2017 - bujinkan-kanji.combujinkan-kanji.com/images/journaln.i.n/2017/janvier.pdf · shinden fudō,...
TRANSCRIPT
1
Bonjour.
Nous voilà lancés !!
Editer un petit journal d’infos comme celui-ci demande
d’abord du sérieux, de l’humilité, mais surtout le plus impor-
tant qui uni toutes les personnes de notre club, du cœur.
Lorsque je suis arrivé dans ce club il y a 10 ans déjà, j’ai fait
la connaissance de belles personnes, et à leur tête, Laïd.
Quelle rencontre !! Au fil des années, nous avons appris à
nous connaitre et nous apprécier. Au début, j’ai proposé mon
aide et mes petites compétences.
Lorsque le secrétaire a quitté le club, c’est tout naturelle-
ment que l’on m’a proposé de lui succéder. Au fil des années,
aidé de personnes motivées, nous avons su ensemble créer
une équipe soudée et dévouée. Certains sont partis et
d’autres sont arrivés; mais à chaque fois j’ai eu de très
bonnes relations. Je tiens à les remercier, car sans eux, je
n’existerai pas. Un club fonctionne sur l’idée du partage et du
respect, règles immuables des arts martiaux, et je dirai aussi
les règles de vie en général.
Une phrase importante de Laïd que j’ai gardé en mémoire au
début de notre rencontre :
Le Bujinkan est une grande famille, et l’on s’aide les
uns les autres !
Alors bienvenue à la maison et j’espère que vous apprécierez
le nouveau "Ninja Infos News" !!!
Editorial par Rémi Bourgine
Dans ce Numéro
EDITORIAL
1
LE SALUT
2
LE SALUT - La Suite
3
STAGE NINJUTSU
4
STAGE NINJUTSU
5
STAGE NINJUTSU
6
STAGE MULTI ARTS
MARTIAUX à ANNECY
7
STAGE NINJUTSU
à Bejaïa en Algérie
8
Q’EST-CE QUE
LE BUJINKAN
9
Q’EST-CE QUE
LE BUJINKAN - La Suite
10
LE MOT DU PRESIDENT
et INFOS
11
BUJINKAN ANNECY - Aix les Bains
www.bujinkan-kanji.com
N° 20 - Janvier/Ichigatsu 2017
Imp
rim
é p
ar
no
s so
ins
- N
E P
AS J
ETER
SU
R L
A V
OIE
PU
BLI
QU
E
2
Le Salut par Loïc et Daniel
Miroir des Kami
Le mot " Dôjô " signifie littéralement " Lieu où l’on étudie la Voie ".
Le Dôjô admet une base carrée dont chacun des cotés a un nom différent et une fonction
précise.
Le lieu le plus important dans le Dôjô est le Kamiza dont la signification est " le siège supé-
rieur ". Le Kamiza est le lieu devant lequel se tient le professeur lors du salut. Il doit se
trouver à l’Est.
C’est aussi sur ce mur que l’on accroche le « Portrait du Fondateur ». Ce qui suit rappelle
qu’un Dôjô est régi par des règles d’orientation immuables. Il est souvent difficile en occi-
dent, de respecter ses règles, dû aux contraintes de constructions
Lorsque le Dôjô est vaste, il est possible de créer un autel (Shinden) dans lequel on mettra
le portrait du fondateur, éventuellement les portraits des Sensei précédents.
Littéralement, Kamiza (1) s'écrit 上座 et se compose de 上 Kami: haut, supérieur, et 座 za:
siège, assise. Il ne faut pas confondre ce terme Kami avec son homonyme 神, qui désigne
les divinités, les esprits. Donc le Kamiza ne constitue pas le "Siège des Esprits".
Il est cependant possible de rendre aux « Kami » la place qui leur est due en les installant
dans un Kamidana (1). Un Kamidana 神棚, littéralement « étagère des Kami », est un
sanctuaire Shintô miniature, posé ou accroché au mur. Le Kamidana contient divers
objets liés aux cérémonies shintoïstes.
Le côté opposé au Kamiza est le Shimoza à l’Ouest ou " Siège Inférieur ", côté par lequel
les élèves pénètrent sur le tatami. C'est ici qu'ils s'assoient pour le salut ou pour écouter le
professeur.
A droite du Shimoza se trouve le Joseki au Sud ou " côté supérieur ". Ici prennent place
les assistants ou les Sempaï (premiers élèves).
Enfin le Shimoseki au Nord ou " côté inférieur " est le côté par lequel nous pouvons entrer
sur le tatami.
Avant de pénétrer ou de quitter le tatami, il convient de saluer face au Kamiza l'enceinte du
Dôjô dans la position Shizen (debout) (2). Ainsi on exprime par ce salut son respect pour le
lieu.
Kamidana
Kami
Vases à Offrandes
Imp
rim
é p
ar
no
s so
ins
- N
E P
AS J
ETER
SU
R L
A V
OIE
PU
BLI
QU
E
3
N° 20 - Janvier/Ichigatsu 2017
Le Salut - La Suite par Loïc et Daniel
Dans le Ninjutsu, comme dans tout autre art martial japonais, le salut est la première étape
qui va préparer le professeur et ses élèves à l’entraînement. On aime à dire que le Ninjutsu
n’est pas spirituel, mais lors du salut, on se retrouve directement dans la dimension reli-
gieuse du Japon. En effet, le Kamidana (1) représente un temple Shintoïste, religion majori-
taire au Japon. Le Shintoïsme, à forte influence bouddhique, est devenue religion d’état en
1868 pendant l’Ere MEJI.
Ne voyez pas dans le salut une allégeance au Shintoïsme, mais la première partie de l’ensei-
gnement de votre art. Il vous permet de vider votre esprit et de collecter les bonnes éner-
gies du groupe.
Après l’entrée sur le tatami (2), s’ensuit l’alignement des élèves, du plus gradé à droite au
moins gradé à gauche, face au Kamiza.
Au signal du professeur, tous passent de Shizen (debout) à Seiza (à genoux) face à face.
Pour le salut traditionnel, on descend en premier le genou gauche puis le genou droit. Cela
fait référence au Japon Féodal, où l’on portait un Katana à la ceinture (Obi). Il fallait toujours
pouvoir dégainer son sabre en cas d’attaque.
Une fois tout le monde en Seiza, le professeur se retourne vers le Kamiza.
« Généralement, le salut s’exécute à genoux (Seiza). On pose les mains au sol, de-
vant les genoux, d'abord la main gauche puis la main droite. On peut aussi l'effec-
tuer en tailleur (Fûdoza). Cependant, des variantes existent lorsque nous avons
des armes longues ou une armure. Il peut s’effectuer debout (Shizen), pieds légè-
rement écartés, bras le long du corps pour les hommes, sur le devant pour les
femmes, et seul le corps ou la tête s’incline. »
Le professeur annonce ensuite le «Mokuso» (« méditation » où l’on fait le vide), mains sur
les genoux ou entre les cuisses, mains « en bol » et pouces joints. Puis le professeur stoppe
en prononçant « Mokuso Yame» (arrêter Mokuso).
Ensuite les mains jointes en prière vers le Kamiza, tous répètent alors après le professeur
« Shikin Haramitsu Daikomyo » : « Dans chaque expérience, il y a un enseignement à
tirer », (Soke Masaaki Hatsumi).
Puis tous claquent deux fois dans leurs mains et salut (pour chasser les mauvais esprits),
avant de les claquer une fois et salut à nouveau (pour faire rentrer les bons esprits).
L’élève le plus gradé annonce ensuite « Rei » (« Remerciement, Salut ») ; tous les élèves
s’inclinent en disant « Onegai Shimasu » (« S’il vous plaît », enseignez-nous), ce à quoi le
professeur répond « Ikimasshô » (« Allons-y / On y va / C’est parti »).
Enfin, l’élève le plus gradé annonce « Kiritsu » ( « debout, levez-vous »).
À la fin de l’entraînement, le protocole suivi est le même. Mais les élèves saluent le profes-
seur en disant « Domo Arigato Gozaimashita » (« Merci beaucoup, infiniment »), ce à
quoi le professeur répond « Gokuro Sama Deshita » (« Bon travail » à tous).
Shikin Haramitsu Daikomyo
Imp
rim
é p
ar
no
s so
ins
- N
E P
AS J
ETER
SU
R L
A V
OIE
PU
BLI
QU
E
4
Ouah quel stage ! Onzième stage déjà et j’ai l’impression que c’était hier.
En 2017, Arnaud continue à nous hypnotiser, et tout le monde en redemande.
2017 c’est aussi mon onzième stage, et je trouve toujours autant de plaisir à être
avec vous. La retraite est encore loin, donc vous risquez de devoir me supporter
encore quelques années :))))
R.B
Stage Ninjutsu à Annecy
Imp
rim
é p
ar
no
s so
ins
- N
E P
AS J
ETER
SU
R L
A V
OIE
PU
BLI
QU
E
5
N° 20 - Janvier/Ichigatsu 2017
Stage Ninjutsu à Annecy - La Suite
Imp
rim
é p
ar
no
s so
ins
- N
E P
AS J
ETER
SU
R L
A V
OIE
PU
BLI
QU
E
6
Stage Ninjutsu à Annecy - La Suite
Imp
rim
é p
ar
no
s so
ins
- N
E P
AS J
ETER
SU
R L
A V
OIE
PU
BLI
QU
E
7
N° 20 - Janvier/Ichigatsu 2017
Stage Multi Arts Martiaux à Annecy
Imp
rim
é p
ar
no
s so
ins
- N
E P
AS J
ETER
SU
R L
A V
OIE
PU
BLI
QU
E
8
N° 20 - Janvier/Ichigatsu 2017
Stage Ninjutsu à Bejaïa en Algérie
Imp
rim
é p
ar
no
s so
ins
- N
E P
AS J
ETER
SU
R L
A V
OIE
PU
BLI
QU
E
Bejaïa - Décembre 2016
9
Le Bujinkan est une école d’arts martiaux créée par Masaaki Hatsumi pour diffuser
l’enseignement du Ninjutsu.
Le Bujinkan est une école d’arts martiaux fondée en 1972 par Masaaki Hatsumi
qui la dirige depuis sa création.
Cette école diffuse l’enseignement du Budō Taijutsu, appelé également commu-
nément le Ninjutsu du Bujinkan.
Le mot Bujinkan signifie littéralement : la maison (« Kan ») du Dieu de la Guerre
(« Bujin »). C’est également une référence à Takamatsu Sensei, maître de Hatsu-
mi Sensei, qui était surnommé « Wu Sen » (prononciation Chinoise de « Bujin »)
en raison de son excellence au combat. « Bujin » désigne enfin un être humain
vrai, quelqu’un de spirituellement avancé. Masaaki Hatsumi est le fondateur du
Bujinkan. Il est l’héritier actuel des 9 écoles regroupées au sein du Ninjutsu.
Biographie :
Masaaki Hatsumi (初見良昭 Hatsumi Masaaki Yoshiaki) naît le 2 décembre 1931
au Japon, à Noda (nord-est de Tokyo).
Enfant, il découvre les arts martiaux tout en s’initiant également à d’autres sports
et pratiques artistiques : football, danse, théâtre, gymnastique. Durant ses années
universitaires, il se spécialise dans le Jūdō qu’il aura le loisir d’enseigner sur une
base américaine.
Après l’obtention de son diplôme en études théâtrales, Hatsumi commence à cher-
cher un professeur afin d’approfondir son apprentissage des arts martiaux. Il
reçoit notamment l’enseignement de Ueno Takashi qui lui enseigne quelques
écoles : Asayama Ichiden Ryū, Bokuden Ryū, Shinto Tenshi Ryū, Gyokushin Ryū
Koppō Jutsu, Takagi Yōshin Ryū, Kuki Shinden Ryū…
Après 3 ans, Ueno Takashi lui donne un Menkyō Kaiden car il maîtrise certaines
écoles, ce qui permet à Hatsumi de commencer à les transmettre à son groupe
d’élèves. Il reçoit également l’enseignement de Yumio Nawa qui l’instruit en Ma-
saaki Ryū et quelques Kobu Jutsu comme le Manriki-Kusarijutsu, Jutte Jutsu, Ku-
sarigama Jutsu, Nawa Jutsu… À l’âge de 26 ans, Il rencontre Toshitsugu Taka-
matsu, connu sous le nom de « Tigre de Mongolie ». Takamatsu l’accepte comme
élève auprès de lui et lui apprend les neufs écoles (Ryūha) enseignées au Bu-
jinkan. Un an avant sa mort en 1972, Takamatsu Sensei donne « tout l’art des 9
écoles » à Hatsumi et le désigne comme son seul héritier. Hatsumi crée alors le
Bujinkan (la maison du Dieu de la Guerre). Hatsumi Sensei est aujourd’hui le
Sōke (héritier) des 9 traditions que nous étudions au sein du Bujinkan. Sa com-
préhension profonde du Budō Japonais fait de Hatsumi Sensei l’un des derniers
grands maîtres Japonais vivants. Il a été décoré par le Gouvernement japonais
pour sa contribution à la diffusion internationale de la culture japonaise et des arts
guerriers japonais. (Source Bujinkan France)
Qu’est que le Bujinkan
Imp
rim
é p
ar
no
s so
ins
- N
E P
AS J
ETER
SU
R L
A V
OIE
PU
BLI
QU
E
10
Qu’est que le Bujinkan- Suite
Professeur de Hatsumi Sensei pendant plus de 15 ans, Takamatsu Toshitsugu fut
l’un des derniers vrais Ninjas du Japon.
Biographie :
Takamatsu Toshitsugu (高松寿嗣 Takamatsu Toshitsugu) naît le 10 mars 1889
(la 23e année de l’ère Meiji) au Japon, à Akashi dans la province de Hyogo. Il est
le descendant de la famille Toda de Iga, héritière de plusieurs Ryū (écoles) tradi-
tionnels depuis 1624. Cette famille est détentrice notamment de l’école Togakure
Ryū Ninpō. À l’âge de 9 ans, Takamatsu, faible et timide, se fait souvent brimer
par ses pairs. Son père, qui a peu de temps à consacrer à son éducation, l’envoie
chez son oncle Toda ShinRyūken Masamitsu qui tient un dōjō de Budō à Kobe.
Toda ShinRyūken Masamitsu était le Sōke du Shinden Fudô Ryū et de plusieurs
autres styles. Il était également l’héritier en 8e génération de l’école Tozawa de
Momochi Taro Saemon, un descendant direct de Tozawa Hakuunsai, le fondateur
de l’école Gyokkō. Pendant cette période, Takamatsu étudie avec son oncle l’école
Shinden Fudō, ainsi que les écoles Koto et Togakure.
À 17 ans, Takamatsu rencontre Ishitani Matsutaro Takekage, reconnu pour sa
pratique martiale au Japon, et que le père de Takamatsu emploie comme gar-
dien dans son usine. Takamatsu étudie avec lui le Kuki Happō Biken Jutsu de
l’école Kuki Shinden. Ishitani lui enseigne également d’autres aspects du Ninjutsu,
ainsi que deux autres écoles dont il était le Sōke : Hontai Takagi Yōshin Ryū et Gi-
kan Ryū Koppō Jutsu. À sa mort en 1906, Ishitani transmet ces écoles à Takamat-
su.
C’est à cette période également que Takamatsu reçoit le Menkyō Kaiden (plus haut
degré d’apprentissage) des mains de Toda ShinRyūken Masamitsu qui s’éteint en
1909. S’ensuit pour Takamatsu un long voyage d’une dizaine d’années qui le con-
duit à travers la Chine et la Mongolie. Il y enseigne les arts martiaux et livre de
nombreux combats, parfois jusqu’à la mort. C’est de cette période que naît son
nom martial : Tora no Moko (le Tigre de Mongolie).
De retour au Japon en 1919, il ouvre un restaurant à Kashiwara City, dans le pro-
vince de Nara. Il enseigne le Ninjutsu à quelques élèves et forme des successeurs
à sa tradition martiale. Il enseigne notamment le Bōjutsu de l’école Kuki Shinden
à Kano Sensei et aux élèves du Kodōkan.
Vers la fin de sa vie, il rencontre Masaaki Hatsumi. Il lui transmet la totalité de
ses connaissances et lui fait partager son expérience du combat réel. À sa mort,
il lègue à Hatsumi les 9 écoles dont il est détenteur : Shinden Fudō Ryū, Kotō
Ryū, Gyokko Ryū, Togakure Ryū, Kumogakure Ryū, Takagi Yōshin Ryū, Kuki Shin-
den Ryū, Gikan Ryū, Gyokushin Ryū. Takamatsu Sensei s’éteint le 2 avril 1972 à
l’âge de 85 ans. Il est considéré comme l’un des derniers vrais Ninjas du Japon.
(Source Bujinkan France)
N° 20 - Janvier/Ichigatsu 2017
Qu’est que le Bujinkan - La suite
Imp
rim
é p
ar
no
s so
ins
- N
E P
AS J
ETER
SU
R L
A V
OIE
PU
BLI
QU
E
11
CENTRE ARTYS
1 Passage de Vignières
74000 Annecy
Laïd Bouadjadja : 06 18 04 54 86
Site Web : www.bujinkan-kanji.com
Email : [email protected]
Infos
Imp
rim
é p
ar
no
s so
ins
- N
E P
AS J
ETER
SU
R L
A V
OIE
PU
BLI
QU
E
Le Mot du Président
C’est donc moi qui rédige le mot de la fin. Je suis content du stage de Janvier. C’est
toujours un moment particulier et riche d’avoir Arnaud chez nous. Au moment où
j’écris ce mot de la fin, Arnaud nous donne des infos sur le thème 2017 qui évolue et
s’appelle « Kannin Dokuson », «respect mutuel». Nous allons bien nous amusé cette
année :). Pour revenir au stage, merci à Rémi d’avoir comme d’habitude emmené
tout le groupe composé d’élèves et de bénévoles qui ont contribué à ce que ce stage
se déroule sans encombres.
Concernant les articles de ce numéro, je vous demande de bien les lire car il vous
apporterons forcément des réponses. Je tiens à remercier Loïc et Daniel pour leur
implication à la rédaction de ce journal. Je sais que cela demande du temps supplé-
mentaire à trouver en plus des cours, mais lorsque je vois le résultat, je dis, bravo !!
Nous avons aussi participé au Stage Multi Arts Martiaux le 14 janvier. Merci à notre
ami Zak d’Annecy Karaté. Aussi quelques photos du Stage que j’ai animé à Bejaïa en
Algérie.
Je vous rappelle à l’avance qu’un évènement exceptionnel va se dérouler au mois de
juin. En effet, avec mon ami Christophe Ayen Shihan de Maisons Laffitte, nous orga-
nisons pour la première fois en France un Stage avec Armure. Ô-Yoroi, c’est comme
cela que l’on appelle une armure de Samurai. Ce stage est vraiment un très gros
challenge, et nous comptons sur vous pour participer à cet évènement. Une surprise
vous y attendra ce week-end là ; Un haut gradé a décidé de venir « jouer » avec
nous !! J’ai hâte ! Plus d’infos dans les dôjô et dans le prochain numéro !!
A bientôt.
Laïd Bouadjadja - Shihan Jûgodan
Le 28 janvier débute l’année du "Coq de feu", Signe de l’aube, signe de l’éveil. Cette an-
née, le triomphe et les succès ne pourront être décrochés qu’aux prix d’efforts soutenus
et bien orientés. Qui a dit que l’on pouvait tout obtenir sans efforts ? Certaine-
ment pas quelqu’un de chez nous
Stage Dijon Shinobi Dôjô 4 et 5 Février
Sortie Neige Semnoz 12 Février
Stage Dijon TenRyu Dôjô 1Er et 2 Avril
N° 20 - Janvier/Ichigatsu 2017
Rédaction : Laïd, Rémi, Loïc, Daniel
Evènements