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43 ’ Aiiét. - N’ ( 8 . RRire lu 9 ^7S S49 60 •* » 147 90 util- fMi'im'i »-i;. •• 'i ) li-nl) 'jl' fi|i|>l'lT.t I : . , -.1 J v i r . '■! .................... . ''POU|i'sifNUs i I ; llit i«fi : 44 (r. , .1 î'« ^ ................ .... 4 • kJnéL M H S rnimm m A m V K EH CIIEr: E. COURTIER. mM»! I. MMMfai t'M4ignei 90c. — Linnonce au , .1 i.mI - " ' niX DE L 'A I O D U M E I T • ■■■ ' : ................ POUR LE l)ÉP>A1W•■¥^''' ' Un i i u .; . Six oldisl. moU. : ' {. : i8 - 4 # - ;• : i ; nV i Tfoinflwto.,;. . . ... '.V/ii v ; ’ ' PROPWiTJuiiXi«£iùil|lt;. :tvM v.j ^ L’abonnemeiile»l payabled’a v ti^ Il n’eefjfûnfiis interrompu etealcoasidéréc renouTélé si 4 i’expintion 00 me donne pas d’avig contraire. RicLAiOts : La ligne .’ 40 c. — En faits divers, 50 liiégmhiqies. Awtm mmm'AjkmBktém. ,4'avmn^ Il nW l A 8ENL1S, au Bureau du.iouniai, i l , place de rHAtd^e«VUIe, Et elles tous lot Libraires'du département. *' ' A«i<éi*i|^aie. I iSllhVMtilBa|4uniaux>deNew>York, les ma* nœovr« élecloraleaidans les Etats du sud ont PWHMn déatosrt en guerre civile. Dans tousles Etala,.* 1 1 JnioR, t’Miotlon cet grande, mais c*est en Géorgie qu’elle est à son comble. Dans qi9A(aLi4'Sviaanblk,.un meeling qui avait Heu Ie99ilu mois dernier, pour:rati^>le'cboix du aM nl.G njiL comme candidat, a été attaqué pAT UMJbMâe de nlueieun .centainee' d'indivi* dus. Ces derniers ürent feu sur l'Assemblée ét U M iitttolvaieun petwobesi Mais il parait que l’toaawMée.aléiail» pmparm de sob coté à l’ex- ptamw idea jboetilitéa,- e a r ^ e répondit par une ^ h m p gAlérile àl’attaquode sesadversairee; des deux côtés badéqhargs» continuèrent et un gr^iH 0ilA m 4'^teura lum t plus où moins grièvement atteints. .ABaMpriR»- DèS'inspecteursont déclaré sain le ^ là ii im* porté récemment èf .LeitH'M proVènabt au f)a* StiibB tétaii watt ^é ^opiaié p cyaigoait .qu’il ne, fut atteint de la pi^ provenant àu f)a* àiiigné ^ ro é qd’on atteint de la pi^te Mvine. -La . prinomss 'Hélène est accoudiéè d’une OH*;- L’envoyé japonais a présenté b la reitie .ses MlMB^deernoce. ' Le4V«er, pariant du séjour de M; Thfîers à Trouvillet - léit reèsortir la dilTércnce qui existe entre la dtualion actuelle de la France et colle (HèTédeUxans. imjoutliâl anglais cohascre un artède'b'QlIre’l'éloge de H. Thlers, dont il ad- mlielOlalent exceptionnel. IteUe. i mit a^our^'bul que le minislèt^ ilajiifq eàie^ii j[M)ur présenter è Iq Cbapibre une ^iH Ppnm e |es ordres religieux.en Italie. M propaule, dit le correspondit,de Ip l\ome, qu'une loi spéciale '~~** ^ptiV'le$jésqites. La Ini piemon* fff, >,,^,,,qu.i ôrdonnf l’expulsion dps fér _ , . ^ ' é]t,1a d^^.lulipii de tous jes élabljsse- toutes les insliiutions de;l’ordre, dqii^tin étepdue aux provincesronQaioqsi et ap* P liquée dans le royaume entier. Toutefois» è ^ r d des auUes corporblions religieuses» le n u q i^.M proposq de permpttre.piix g ^ o ^ u x omrjes dê demeurer dans le rbyaume,; lipi^R ç^ndapt dqule que la;0iambre '- ‘ ^'p'concemiqn. Un autre point sqr Itr niwor|dé|ppiss^rices étrangères, en vertu de j^^if^^i;))ipx,fiopclp8 avec les gouvernements Mquestipif,. Dans ùn des derniers conseils des ministres, iU ^ e q ^ d d t^ é è rummimilé que ces gou- qjis Mtfiqnt preyenus que ITtaiic est I .c d é ^ un terme è ces traités» et ce ripi,a p ro ^ e r à la dissolution.des or- ers «pssi.bien qii’b celle des Uon8CHitioiian!a. im istré de la]u.'tice, M..de Focco, a été d.e .pr^naret cqtte ,nouvelle loi. Cette .nObVé^ il'p ^ p it line grande émotion au Va* titlat, et lé correspondant de la iVasiene à Home dit que le cardinal AntoutfUi a invité le nonce du pape à Paris, Mgr Cliigi, à représenter au gouveroMneiit français les dangers dont les lois pW tÿllitlinAtaceirfW W ini^ Le oUdinal au rait alBrmé daittctalteHiccasfcn^ « que l'Allema* S teel l’Italie poursuivent le même but; que lÉÉkritiel ViscoBl*MTebosla>8ont.«ni3'enàme éb feuééét et que l’alliance de leurs deux goii- vm lm enle cpntre PBgliw menacent le catholi ■ doribdé raine ei» la France de nouveaux dé- ,Ln>lilkMlo'i\quiMé Veddode 99 dii mois der-l nle»»>wwvtdtMfj^oit steatm^ de guerre: il «ntj visiter Kiola et d’autree parties du sud du pays; Son voyage durera quarante jours : c’est» dans l'histoire du Japon, la première fols qu’un fili- kado exécute une< pareille iournfe. On croit qu’il en résultera du bien jmur le pays. Dans cinq semaines seront complétéca les Qommunicalions .télégrapliiqués entre Yeddo, Nagasaki et l’iiitérieun On est en train d'augmenter l'hétel de la Monnaie au Japon. Le gouvernement va publier une nouvelle forme de rdigion, après examen approfondi de toutes les.doctrines des sectes diverses. La nou velle religion, qui sera obligatoire, doit être éclairée, simple- et adaptée au- sens commun; elle parait devoir être universeHement i ap prouvée. Tii^nle. Une réunion des ministres étrangersa eu lieu mardi dernier à l’ambassade de 'Ruasje. Nubar-Paolia, ministré dee affaires étrangères du khédive d’Egypfe. y assistait. membres delà réunion ne sont pas encore arrivés è un accord sur le projet dee réformes judiciaires'eo Egypte. Des divergences ee sont praduitas en ce qui concerne la juridiction cri minelle. Un rapport a été adressé aux gouvernements étrangers à qui la (^ueslion a été soumise. ' Morsetlfe. H. Lirobouig, préfet des Bouches^u-Rhône, est arrivé à son poste ce matin et a déjà assisté à une séance de la com mission de permanence du conseil g é n ^ i, qui,ayanlapprisson arrivée, l’avait invitéà venir auprès d’elle. M. le préfet adéclaréque la République no peut se fonder qu’en s'a|ipuyant sur l’ordfe le f ilus (larffiit et la plu.4 grande sagesse ; que pour ni, sa politique aurait.'! là fois cçtte pens^cl ce but ; et que quant à ses relations personnelles avec le conseil général et tous lés représentants du département, elles seront toujours inspirées par l’cspril de conciliation. Les membres de la commission do perma nence du conseil général ont répondu qUe leurs propres intentions étaient conformes à ces décla rations, et qu'ils es|>crdieiit en donner les preuves convaincantes. L’entrevue a été, sous tous les rapports, des plus cordiales. Bullelii. Les üiscuurs ne uwirimiiiuM-ovr ptu étaient autrefois des homélies morales, des sermons laïques s’adressant surtout h la jeunesse, et célébrant les blenfait/t de l’ins- truclion et les charmes dalravail. Oo.ypar- lait des lettres et des sciencessvec grffce ou avec austérité, selon le Caiat:^tère l’ora>- tcur, mais jamais tes bruits du dehors ne pénétraient dans le sanctuaire, et la politi que eu était impitoyablement badple. Nos p^res auraient croattcitler h ta. dignité, de la jeunesse s’ils l’avaient associéo'par leurs paroles aux luttes, aux faiblesses, aux revi rements delà plqçeDplilique. Mais aujourd’hui la politique < a tout en vahi.: les,éléves ont une opinipp et jugent celle de leurs ntaliTes; le mio,t&trq diç. l'ins- iructioQ publique ue vicait plus h Ja' Sor- bonne dans le but d’exhorter à la vertQ.des âme^tepéfée çt.na!v.g9,».iQ-iis potif ekpqaqr son programme, jitaldter la oopdMite' du f gouvernement dont il fait partie, et sonnet- ' tre k un aréopage im j^rpe ses oplqlpns, sesi I idéest.ises.defimiw. Qn ô’epteqdIVpièces I baraques traditKmnelles et magistrales qui seyaient si bien k la majesté du lieu, mais des discours parlementaires qui pourraient aussi bien être prononcés h la tribune. M. Jules Simon devait plus que tout qii-» Ire céder k ce penchant. N’avait-il pas de vant lui un auditoire plus bienveillant ou du moins plus silencieux que l’Assemblée, et pouvail'il laisser échapper une aussi heu reuse occasion de se faire écouter sans iii- terriiption, sans contradiction, sans mt>r- murcs? Aussi en a-t-il largement proAlé pour dire tout ce qu’il faisait et voulait faire afin d’introduire dans l’enseignemeul fecqat dairedes réformes utiles sans y etsayer-de rëvolutioti. afin de réformer sans boulevcri ser. Le grand maître de rUniversiiéadéCeadu rUoiversité contre ses éternels enneinîç él contre ses amis trop cn.ippi;ome|lapiSi. X Toutçfi le» féaptjpns^a-til dit ,fort juste- méat» veulent lu détruire, et toutes les<r-A> vobitions veulent la prendre k leur se^yicç et la refaire k leur ims^e. p kf. Ji^eq^im op qui n’est plus un révolutionnaire, pense (|ue igosseest c de conserver en amélio- ran.l » Excellente maxime qui se place d'ello-méme dans ta bouche des ministres du jour; mais qui inspire trop rarement la conduite et le langage des ministres futurs. Aprë.< cette déclaration de principe, l'ora teur a indiqué les réformes assus modestes qu’il a introduites dans reuscignciiicrit secondaire, surtout en ce qui coucerue la géographie cl les lungiie.» vivantes. 11 a plaidé aussi la cause des langues inorles fort attaquées aujourd’hui par les nova teurs qui préieudeiit qu'on {>asse trop de temps k lie les point apprendre. .M. Jules Simon croit qu’on arrivera à faire mieux avec moins du peine. < J'espère, dit il, qu’on apprendra ces deux langues (le grec et le latin) plus vite, (pi’on les saura mieux, qn’on en com|ireudra pins profondément lee beautés. > l.«s iiouvulics dn Pérou sout cmquvunles et bonnes k méditer. Le juillet, daus une insurrection militaire iluni les meneurs étaient, dit-on, trois frères nommés Gultie- rez, le président de la République, M. Ilatiz, . k été assassiné, tandis que le congrès était dissous par force. Mais le vice-président de la République, M. Herencia Ceballos, a pu rétablir l’ordre avec l'aide du peuple. Les Gultierez» après leur court triomphe, ont été pendus eu place publique. Le cungrès a repris ses séances,l’ordre règneparloui, la tranquillité est rétablie ; force est rosiée au droit et k ses représentants. Rarement une conjura tion militaire a été repoussée parta popttla- lion civile qvcc autant d’indignation et dei vigueur. InlotnaliiHis. On commeooe à ûtio très satisfait à Trouvillei daS'Mpérioncas d^rtillerie. Lorsqu’elles seront terminées, on expérimen tera des'fUrils de divere systèmes. 11 ne faudraiti > paa déduire deces essais que le ministre-de lai ' guerro-a l'intention de remplacer le chassepot par un autre iusil; il veut seulement ée rendre compte des perfecUonneinents, des améliora tions que l’on y pourrait apporter, et voir si, dans les autres modèles adoptés par les grandes puissances, il n'est rien qui ne puisse être avan- lageusi'ment appliqué au perfectioniioment du chassepot. Ces oxpériences porteront surtout sur les car touches. On sait quu celles duVhassepol se détériorent Ikcitomeot aussitôt qu'elles ne sont plus en pa quets. On s’efforcera donè de remédier è ce gtavr in convénient en leur donnaut soit une enveloppe métallique» soit une enveloppe gommée et loi- p-3rraéable. . Des exprcicca ordinaires de tir au fusil chas* sepot ont eu lieu hier. Deux nouvelles pièces d'artillerie ont été em barquées.hiee matjn, au chemin de fer: de l’iOuest, pour Trouvjljp.-. Çee piècea,,,qqi sont^d.'Hn. nouveau modèle, doivent servir, aux expOTiênçes d’artijlerie qui se font èo ce moment en jifé^ncf du prudent de la ‘République.'' ' , i--' Qébi qu’en disent plusieurs journaux, la date du retour définitif de ML Thiers à Versaillèe n’est nullement ûxée. Le président de la République, qui aime beau coup Trouville, y séjouiuera tant que le leipps se montrera clépiieot. H'. Thiers a renoncé.k aller à Fontainebleau, l'installation matérielle demanderait trop de tem ;«, serait trop difficile, et k peine y serait-on établi qu'on en serait chaOsé par le froid. Tous CCS motifs ont d^idéM . Thiers à passer tout lo toiiips de ses vacances à Trouville, et à revenir criMiile directement à Versailles. Ayanl-liiiT est arrivé à Paris avec une mission particulière de S. V. l’empereur de Russie pour M. Thiera. lil. le comte do UadischuH', conseiller d ’aml)as.<iuli‘. Arcs avoir eu une courte entrevue avec M. le comte de Résumât, M. le comte de Mailischolf est parti iiiiminliatemcnt pour Trouville. , , , . uo division Ou annonce la mort grand offl- d’honneur à la bataille de t’IClma. Ce fut un dos généraux anglais i|Ui seconda le mieux le général en chef, et è l'asaut de Halakotl' il fut gravement blessé. Ce fut lui qui repous» la sortie .des Russes lo37 octobre. Lord Riijlan's le porta à l’ordre du jour et en li t son officier d'élat-major. Lo tribunal correctionnel de Saint-Girans vient de condamner U. Dougnac, adjoint au maire de Saiix, et M. Gauvet, receveur des doinainus au même lieu, le premier à vingt jours de prison, et le second à sept jours, pour injures et voIih de fatt à l'cgara de M. I abbé Si nous en croyons quelques échos des bruits de la présidence, le gouvernement serait décidé à s'opposer éneigiquement aux tenlativ» de campügiio dissolutionniste que pourrait orga- nher la gauche radicale. M. Thiers aurait d'ailleurs fait renoncer ' H. Gambctta à provoquer une agitation dans ce sens. Persuadé que le succès de l'arppnmt et l'a bondance des récoltes auront bien disjios^ le pays en (hveurdu r^im e actuel, M. Thiers tient a ne pas secouer les esprit». 11 aurait Tiqtenlion de combattre toute idcet do dissoluÜon'jusqu’au moment ah l’Assemblée' aura voté le budget de 1879, la cr^tlon d’une seconde Chambre et aura révisé la loi Rectorale. Le conseil supérieur de la guerre, récemment institué, doit s’occuper, comme on sait,dol’or- ganisation de l’armée, du matériel et de 4a mise enétatdedéfenseidu territoire. Surl’ordrede M. Thiers, on réunit en ce moment tous les documents néçeesaircs aux travaux de cecon- seil pour qu’il puisse tenir sa première séance è Versailles aussitôt le retour du président de la République, qui a témoigné le désir de préader ce conseil dans les derniers jours du mois d’août. La chasse sera ouverte, le 25 de ce mois, dans la deuxième zone, qui comprend les dépar tements suivants - Ardèclie, Aveyron, Cantal, Charente, Charente-lnférieure, Dordogne, Brè me, Gironde, Isère, Uaute-Loiçe» Lott Lot-el- Garonbe, Lotère. Elle sera ouverte, le l* septembre, dans la troisième zone, qui comprend les départements raivanb* : Ain, Allier, HautesMIpéui - Aube, Calvados, Oher,> GmrrèÉie, Géte^’Or, Creuse, Doubs, Eure, Eure-et-Loir, Indre, ludre-et- Lpire, Jura, LoirTet-Cheri Loire,L«W-lnférNlure, Loiret, Mainc-el-I..oire, Nièvre. Gis^ PaiKle- Calais» Puy-de-Dôme, Rhône, Uaute-^a^e, Sar- the, Savoie, Ila'ute-et-Marne, SeînO'et^iOise, Deux-Sèvres, Somme, Tarn, Vendée, Vienne, HaiitOfVienne e t Yonne. Elle sera Ouverte, le 8 septembre, daps Aisne, la Mayenne et le Nord. Et le 45 septembre, dans le Finistère, les Côtre-du-Noro, Ille-et-Vilaine, Manche, Hor- lli diplomate en congé. On s’entretient bvamH>u|), depuis quelque temps, du congé que prend notre mnltassa- dcur k Coiislahtiiioplu, M. de Vogué, pour assister aux séances du cnnscil général de son dêpariement. M. du Vogué aurait, dil- 011, revendiqué «ruiie façon peu oppurtune et presque blessaiilu le droit <bb^'f^rer lievuiii je y)[e iinnliiit ce- ,a*iVtï!iVi i‘i> résultat Rebeux : c’est que nous cessons pendant quelque temps d’étrc re présentés auprès de lu Subliiiie-Porle. Feniladl qme l’envoyé frariçals vienidaus son pays natal se remettre des éiAOlityne d’uue si chaude querelle, une révoltiliôn niinislérielle s’accomplit' k CoHstantinopIc; Midhal-Paclia -enpplanie Mahraoud-Pacha, c'est-b-(liire<iue le parti des réformes et de la civilisation européenne l’emporte de nou veau,, après nne courte défaite, sur le vieux parti musulman. Presque'tous les fônction- naires de marque sont ou vont cire changés. On dit que Mahmoud-Pacha s’inspirait du général Ignatieff, c’esl-'a-dirc subissait cn- ItèrcmcDl l’influence russe*, quelle influence subira Midhal-Paciia? Ce ne sera pas la nôtre assurément, k moins qu'il n’envoie k Bouges un ministre spécial pour demander '*a l’ambassadeur français ce qo’il pense de telle ou telle mes.urc, de tel ou tel person nage. Mats oe serait si invraisemblable que nous n’osons l’espérer. La Tuniuie n’a pas de plus vieil allié que la France; elle n’cn a pas de plus déstnlé- ressé; elle n’en a pas un qui ait versé au- ' tant de sang poor elle. Notre influence sur là SùbtiffiO'Uorleosl-etlck la hantpur des services que nous avons rendus.? On en doute. Presque partoni noos pefdone eo peu «le temps le fruit de nos sacrifices, soit grâce k l’inconslanee dé BMrè ptjiKlqM, soit grâce k l'insouclànce de matie. Puisque nous rcconnaisj^s lû; de rétablir chez nous la discipline. ponsabililé des hauts fonoiioeoaôiesjipiwsfee ooussçQiqns In besoin de rorêpré sAs'dosl yieilles traditions de légèreté, ét mer chacon des serrileors du pays dsM ile cercle de ses devoirs spéciaux, nli^féfkAil bien d’accorder un peu pliiff altéceei v oM cs dé n osdf^nuMlqipprdM^ k voyager. Si M idé’ Vogùéaf fond ou dam là fonnie» iPfkôdirk^ nu'Ie elisoger; s’il araisoiL il fiidi^t-de màinicbir k son peste, et ne ee pélni'i dé sessietvices. l..ecohséU ^| pourra bien se passer dVn de ses. mais là ‘ Prancc ne doit pas sd pisMaé de son reiiréséOtatil k luomeai où les quêtons vont .être »|!Sténs et peilidiré ii» iiyeniM |t notre participation par les sottvéret^ dn . N o r d . Quand mettrons-nous k profil la i é ^ de» événements; lë soùveiiiir de 0 ^ 'd é nier» revers ne nous rendra-t-il pas pins sérieux, plus laborieux, |duB. «Pldififiést Quand donc comprendrens-eees- .ambassadeurs utjt, comme mortels, le devoir d’a p p t ^ ^ gfÿtiunAs et de leurs f ^ ^ ;^ diWHifcNf:»»^ de créance nq - dïpl^tà^ nondquo fi»' ^csoofirtL. di une io '‘.‘®Ve!rîâé qu’on. aUàudônpeuil^J^ijl^ '/nm |terl»»t inrer ussisleriaiM délikAsbooB d’un conseil général. On dfstitneraii sans liésiter Pldstijuttfif qui laisserait fk sa clissé, et pe#i|raM#i#c s’cn étouneràil : est-ce M mérite pauiauUat d^qssbiwtf .fiVWlP école de village? Que doil-o 0 ‘ ptfiaéndp nous k l’étranger? La Russie et TAnglelerre se disputent Pinfliicnce prtpOïtdérSÉM^Aq- près dn eerlàines courà : «pie f^t La France est aux eaux. U Prusse et PÂti- iriche combinent lenrs efforts pour diriger .1» politique d'un grand payo^: qvfr.fiMt la Fraoee ? U France est au eonseil^gfip^l. Si la diplomat'mért inutile, qu'on la sup prime; si elle est utile, qu’en s’eo serve. Si les ministres plénipotentiaire» o’opt» de miss'ton k rein|dir que ser le» chsmMS>dé fter et les paquebots, que ne les re«pllN».-i- on par «les courriers de cabinet, qui^eÜt^W- reient moins citer, et qui ne sonlqvoniflnt pas de questions d’étiquette poor W ’fcn- teuil? Elquefait M. de Rémitsat, si distingué, mais ministre si modéqli^Pli dit que M. Thiers négocie* ®rec.tOBl«lfc« puissances h côté de lut et sàns loi : ne pourrait-il pas employer ses lo w tÛ ^ ^ ^ aotorivé i faite raàterk leur poste, cesiobo- linés voyageurs? BAOtTL r a s M r i n&TÉnm 'tROISleilE DlVlSIOfl ' m e 'M tiK JL T R l. I .'I , ■-nT' ,1 Dftui. ioM nes »’él|Hioère.t d u » Itsj DHUwmra IMrtad». moo .iHMtrmid&l'tou». OPliMl'- S i m oouvril sa < fille d e caresses. ,90.. èfi8 75 490 €• -fs^Ôhl miirakaiBl n a ibère I,dit eelle-cb , dnwMüfitotkbt^'M» maltite’ m’a jouée, et-fl a} PfÜdUvIeiMbÉoatM veBbin’enimeoer. ,r4i^J’al éléitm bit pensa Francis; q«l a: dOMUSvanfii ettte fencae 7 I .UjeMiM»iregard'aenp 90 HnMix autour dé JnUtfiJfeiélbh sortie. . .liwMaatirdégMeadss’bnBdesonenfknt, iaka’é%Aak4nlt fiifraucis. ,.m-.1biiMoeé'vaÉMlr«:iBa flUe, Ini dit-eHe»i ' fiaseiiiBsfli ' ' : r-t Hbibieatffépendit le mëiia, — Ta as veodh; feataot de ten père* Dii lateotv aMhlHeiT •uv-ieiJlutkoèdairupe de mes eselavef» flNe d'aM esclave. M # -ü>.lwnUiaÉlieêda¥el>,«al, répoitdit Moiinda,, ■idiiMnsiTiirtiTïiïïn'mi¥nnilli"rrinift'r , ni'JraafiiM m talà eew 4«1 bweeiti« halM et de (tireur. Hoiinda reprit — 'Ta sais bien que lu ne me fais pas peor. Ah! tu oubllesta naissanoè, ettu falS'do'ma Allénnéqjmi; eb bien,,jeivais, devant tes amis, te rappeler ce que tu es. Oulv'ia •diére; était ce que je suis, une pauvre esclave de > oeite jManiationt elle- était*>belléi'fMm»e Je TaléiéjtoD père l’a'alm ée' commè 14 w al aimée. Ten père t’a falblibrek la mort dé lai mère; tandis que Juaniia ne doii’ëtreafllren- ohle'qu’k lu An de celte 'guerre, au *mpûr dn maître, j'ai sa parole; voilàUoute la dlffë- rence en^re ta mère et moi, entre toi et ta sœur Inauita. Francis se tut. Uneourlre railleur erra snr ses lëVres pûlle» par la colère. Hortnda reprit : — Tu noushkisj mais je méprise ta haine autant que ta Mrsoone. Je consens à cacher cette uoovenelnfkihiek ton père; mais à une condition, c’estque, devant touS; tn me don neras u parole de ne pins vendre ma flile et de ne pas nous séparer. Sinon, préuijs garde! Tn me menaces? — Oiii;<‘ar il n'y a qu’on m ^re ICI, le tien et iè mien, ton père !' — Je vais te prouver le contraire, s’écria Francis. Riarlo, (kis llèr Jaaniia éi qatin la| pprte chez Djinn. La pauvre enflant se sem pins étroitement encore contre sa mère. Sur un signe de Francis, son oomqumdetir Rijirlo et une doutalne de nègres s’élilB- cé|«nt vers les deux femmes ^ r le» sé- ptlrer. Le premier ijui mit la Màfn atfr 1»' jeune fille tomba (Tappé’ par sa mère d’un, coup de cou teau en pleMe poitrine-; le second, blessé, s’acCrochi'iax vétmieofs de la pau vre femme, et paralysa ainsi sa. défense. Aassitôtellètut renversée et'solidefRent ga- rbllée. Riario se ténnta alors vers Frani^iS. S u’ordonné le laàtUeTfiqaiaode-tdl. iTort livrq i^mlMble »ti 'de tê' cage ! . -f-fzrr- r- rr—- t- Un murmntWdritMVénr'émtilU' putiM les assistants ; Morinda elle-même, malgré son énergie, ne put s’empêcher de frissonner. Par- l’ordre de Francis, Rinio, fbrsani i l’oSioe'deboarpeau, salslt la condamnée et la > plaça su r^ n dos, pais 11 sortit de la salle t sttlvbtiB tous les convives, k Texception dei Georges, de Stanislas et d’Alix qMi, ne pou- 'VaniIsJiMr la'malheureuse mère.’ne vou laient pas iassisier à cet atroce sp^aple. I|si resièrCM donc ù côté de Juanlta étendue ûi terre» bâillonnée, et gardée pqr quelques* aêÿres; Djtqn avait suivi Iè lugabirc cortège,, se' promettapi d’emmener sa victfmC’ après' l’exécutioni Un échafaud (Iti promptement dressé sur lebord du flenve, et* un prêtre méthodiste vint assister Morinda. — Deinande-mui pardon, dit alors FVaacj»,! et tu aurus ta grâce. La mère de Juanîta sourit amèrement,i mais ne répondit pas; elle préférait la torture, et la mort. Et pourtant le sunpUcu qui l’attendait de- iniabicmciit Sudil n’y a pas dix ans. ' vait être épouvaniablcmciit atroce; qtt’on en juge. Il était en vigueur dians les Etats du Le bourreau porte le condamné sur son. dos jusque sur la plate-fbrme de Técftafkud ; là il lu i fait IhiiV! la culbute à califüurehon sori une lame tranchante' fixée au mltièn. d’tme cafie de for de deux à trois métrés de Uau- teur, et à laquelle sont fixés des étriers Juste de l’extrême longueur des jamiies du patieni„ si bien que le malheureux est forcé de set dresser sur ses jarrets autant qu'il .le peut) iM or ne pas être atteint par la lame coupante.. De» chaînes rivent fa victime sur l'infernafci moniurè. L’eau de la rivièiv coule sous ses yenx comnië le Dot de Tantale. Quand' la fa- ' ligne» répuisement arrivent, le mulheureuxi s’aflhisM snr sa selle irahchanie, et celle-i ci pénètre dans ses chairs; puis le soleü de» tropiques* brûler sa peau et fuit bouillonner 'saoervello. ^ aoii'Ie dévore, sa làuguc desxéiihéo pend, jiôVsnesa boutée, oi l’caè du fleitve mhr- iMhrê'k* cent'pas’de Itii. Les prunelles do scs yeux s’ciiflammeut k la lévcrbération des mille facettes du sable de la rive. Les moustiques s'acharnent sur son corps uu, pénètrent dans ses yenx et sesi narinés ; lès mains sont liées. La chair, t«-< méfiée» éclàteet dans des fissitres les insectesi s’iniHMiiisentet'y càasetit d’intolérables tor ture»: Le condamné ne meurt souvent qu’au bout dë tiv^is ou qijgtr'e jourë. Morinda c o u n a i^ t toutes les horreurs do ce supplice, et cependant ello ne cria pas grâce. Alors Francis donna l’ordre de cunmeu- cer. Riario reprit la condamnée sur scs épaules, et gravit avec elle l’échelle dressée contré l’échMatid et le cep de fer. A« moment où ii allait jeter Morinda sur le fer irauchant, une grande agilaiioii se manifesta, un homme fendit la foule et s’élança sur l'éclielle. Bo'aii instant' H eut repoussé Riario et délivré Morinda.- Ge sauveur inespéré, c'ctait W illiam Murrjs. '' Céici fait, il attendit avec calme. un ^l»ir de rage avait passé dans les yenx de Francis. Ses lèvres étaient pâles, ses traits contractés ; il fit un pas vers son ancien enncfflL'ei il lui'dit : — J’aijuréà mon père, sur le Christ éter nel, de Respecter la vie; mais prends garde, WilllanlV mà haine pour loi n’est pas élèinte. . — L^mlennc vivra autant qoë moi, rié- pondit Morris d’un ton fToid; un même ser ment noiis retient, rcspectuns-le. Mlilliear à qui frappçra lo premier. — Pourquoi oscs-lu toucher k mes es- ^ c la v c s ? \ — Si t^est dn ces deux pauvres créatures que tu veux parier, elles ne t’appxrtieniièut Vas, — Mensonge! elles sont k mon père!!.. — TôW père est mort I — Mdrt, mon père ! — a« ! ~ Eb bien, alors, si tu dis vrai» s’écria Francis avec une joie mal dissimulée, U n’y n plus qu’uu inattre ici désormais, et ce maître, c’est moi I — Non. Ce maître, le voici! I»e s c ra a c n t «Le %*e»ge»eee» Du geste, William montra Edith qpi venàit d’enirnr accompagnée de son père et de nom breux esclaves portant des torches. — Bonjour, Francis, dit la jeune miss qui tendit gaiemeiiLla maio an mulâtre. Francis était résté interdit. - Vous me faites un singulier accueil, cousin, reprit Edith en riant. Ce ton fkmttier n’avait rien de choquant lorsiiu’oti savait que lajeuue miss avait pasre plusieurs années à l’Hacleuda de! Ve'nado chez son oncle le gt-néral, lorsqu’elle était enfant. Elle avait été éfevée auprès da Francis plu» âgé qu’elle d ’u n e diaaino d ’a n n ré a . nayer contre un m eublepourne p n ................. - ^ “ue Voix éoidè ; ilté ébhngfiTretiegdfifiièût- -L.»'* u u S » » w : i . i J i i |j |^ |r a * - . Plus lani, Francis avait été cnvoyé.par son père au Mexique chez sir James Smith pour y étudie;* le commerce ; il y avait rencoiJiré Flavic, s’en était fkit aimer, l’avait enlevée et conditilc en From«. comme nous l’avons vu au début de ce livre. Dans son dernier duel à Paris avec William Morris, blessé griève ment il n’avait dû la vio qu'à sa vigoureuse constitution» et nous le retrouvons ayant re pris ses anciennes habitudes de débauclie que son amour pour Flavie avaient momentatié- Inent fkit cesser. Ai^poqiio où Frtinds avait reçu l’hospita lité chez mr James Smith» Edith, bien que née le mémo jour que sa sœur, n’était encore q u ’u n e frêle. créature paraissant k pome douze ou treize aus ; tandis que' Flavie sem blait én avoir dix-répt. Mai» depufe, EdltN'^étaR transfbrmM èn M e dêtiricahe )«iine M e M au reflsemhh nçe avec sa soeur jumelle était telle que Francis recula d’un |>as à sa vue, lut forcé de sap- êi murmura .(Ttioe rêtx éoidè : — Dléii.! qtteHé. éiriingq'Vda Quant a sir ramré, Hreâtbit'i' cieux et sombre. D’un aptre côté, dans une demi obxcnritâ.'Georges etStanlsIaa achevaSent (qur soemiei't iw rlm W i^ ù v a il éië grànÀi en découvreht* fè ,4'é!fûftl6"IHbo (fe leVirs compagnpû’ ^ voyxré. Wniiam roinpif Iè ptèwdwwM fellW — Monsieur, dii‘ir en siébfta^lA'lW M - ment k Francis, votre père a léfdê' w * .^ maine k sa nièce rois» Edith, avec tom w ’qul le compose, terres, Iwi», prés» esclave*. Francis s'ipcliaa saès repondihe. — Quant à votis^ cootiniilt Mbrefe; W v g » laisse toutes ces valeurs, cièré. a, • De quoi payer ses dettes, marjWH(i'i^l* Mcsiizo. Morris ajouta : — Je tiens une copie du testament de votre père à votre disposition. — Vowe parole me ri- pondit Francis qui aValt èn W teiopè do r«bi«n(fee'8(m noanmoct hoW Mliii iw h 'y * lonlé de mon père iR* Du reste, partout'où se préseme raiai ra th , elle doit y ètro, traitée en Romretriifi. Q n^ bien même votre vesuie me coûj^fijt iffi do maine, cousine, ce ne leniU p re j cher l'honneur de votre visu*. Y^ mon oncle, soyez le bien ncçuM nous. Il tendu I» main à sir Jamos; pudence aceoututode. . ^ SirJame» le lofea d’oo air M Ini tourna le «lus» , k ’ .» .. Un sourire amer M dessina ffif .b^fi^ticbo du mulâtre. , Moms saisit ce moment pour frm afir r Morinda et sa fille à Edith» A. (La suite au procAdin niim érij.

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Page 1: 43’ Aiiét. - N’ ( 8 kJnéL M H Sbmsenlis.com/data/pdf/js/1872-1874/bms_js_1872_08_15_MRC.pdf · IteU e. i mit a^our^'bul que le minislèt^ ilajiifq eàie^ii j[M)ur présenter

43’ A i i é t . - N’ ( 8.

RRire lu 9

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i T fo inflw to .,;. . . . . . ■ '.V /ii v ; ’ '

P R O P W iT Ju iiX i« £ iù il |l t ; .

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^ L’abonnem eiile» l p ay ab led ’a v t i ^ I l n ’eefjfûnfiis in terrom pu e te a lc o a s id é ré crenouTélé s i 4 i ’e x p in t io n 0 0 me d onne pas d ’avig c ontraire .RicLAiOts : L a ligne .’ 4 0 c . — E n faits d ivers, 50

l i i é g m h iq ie s .

Awtm mmm'AjkmBktém.,4'avmn^ Il nW l A 8ENL1S, au B ureau d u .io u n ia i, i l , place d e rH A td^e«V U Ie,

E t elles to u s lo t L ibraires'du départem ent. *' '

A « i< é i* i|^a ie .

I iSllhVM tilBa|4uniaux>deNew>York, les ma* n œ o v r« élecloraleaidans les E tats du sud o n t P WHMn d é a to sr t en g uerre civile. Dans tousles E tala ,. * 1 1 JnioR, t ’M iotlon cet grande, m ais c*est en Géorgie qu’elle est à son com ble. D ans qi9A (aL i4 'Sviaanblk ,.un m eeling q u i avait Heu I e 9 9 i lu m ois d ern ie r, p o u r :ra ti^ > le 'c b o ix du a M n l .G n j i L com m e candidat, a été a tta q u é pAT UM JbM âe d e n lu e ieun .centainee' d'indivi* d u s . Ces dern ie rs ü ren t feu su r l'Assemblée é t U M i i t t t o lv a i e u n petw obesi Mais il p a ra it q ue l ’t oaawM ée.aléiail» pm parm de s o b co té à l ’ex- ptam w idea jboetilitéa,- e a r ^ e répondit p a r une ^ h m p g A lérile à l ’a ttaq u o d e sesadversairee; des deux côtés b ad éqhargs» co n tinuèren t e t u n g r ^ i H 0 i l A m 4 '^ t e u r a l u m t plus où m oins g rièvem ent a tte in ts .

.A B a M p r i R » -

D èS 'inspecteursont déclaré sain le ^ l à i i im* po rté récem m ent èf .LeitH 'M proVènabt a u f)a* StiibB té ta i i w a tt é o p i a i é p cyaigoait .qu’il ne, fu t a tte in t d e la pi^

provenant à u f)a* àiiigné ^ r o é q d ’on

a tte in t d e la pi^te M vine.

-La . p rinom ss 'H é lè n e est accoud iéè d ’une OH*;-

L’envoyé japonais a présenté b la reitie .ses M lM B ^deernoce .' L e4 V « er, pa rian t d u séjour d e M; Thfîers à T rouvillet - lé it reèsortir la dilTércnce q u i existe en tre la d tu a lio n actuelle de la France e t colle (H èT éd eU x an s. im jou tliâ l anglais cohascre un artède 'b 'Q lIre’l'éloge de H . T hlers, do n t il ad- m lie lO la len t exceptionnel.

I t e U e .

i m it a ^ o u r^ 'b u l q ue le m in islè t^ ilajiifq e à i e ^ i i j[M)ur présenter è Iq Cbapibre une ^ iH P p n m e |es ordres religieux.en Ita lie . M p r o p a u le , d it le c o r r e s p o n d i t ,d e Ip

l\om e, qu 'u n e loi spéciale '~~** ^ p tiV 'le $ jé sq ite s . La Ini piemon*

fff, > ,,^ ,, ,q u .i ô rdonnf l’expulsion dps fér _ , . ^ ' é]t,1a d ^^ .lu lip ii de tous je s élabljsse-

tou tes les insliiu tions de ;l’ord re ,d q ii^ tin étepdue a u x provincesronQaioqsi e t ap*

Pliquée d a n s le royaum e en tier. Toutefois» è ^ r d des auUes corporblions religieuses» le

n u q i ^ . M proposq de perm pttre.piix g ^ o ^ u x omrjes dê dem eurer d ans le rbyaum e,;

l i p i ^ R ç ^ n d a p t dqule q ue la ;0 iam b re ' - ‘ ^ 'p 'c o n c e m iq n . Un au tre po in t sq r I t r

n iw o r |d é |p p iss^ r ice s étrangères, en vertu de j^^ if^ ^ i;))ip x ,fio p c lp 8 avec les gouvernem ents M q uestip if ,.

Dans ùn des d erniers conseils des m inistres, i U ^ e q ^ d d t ^ é è ru m m im ilé q ue ces gou-

qjis M tfiq n t preyenus que ITtaiic es t I . c d é ^ un te rm e è ces traités» e t ce r i p i ,a p r o ^ e r à la d issolution.des or-

ers «pssi.bien qii’b celle des Uon8CHitioiian!a.

im is tré de la ]u .'tice , M ..de Focco, a été d.e .p r^naret cqtte ,nouvelle loi. Cette

.nObVé^ i l ' p ^ p i t line grande ém otion au Va* ti t la t , e t lé correspondant de la iVasiene à Home d it q ue le cardinal AntoutfUi a invité le nonce d u pape à P aris, Mgr Cliigi, à représenter au gouveroM neiit français les dangers d o n t les lois p W tÿ ll i t l in A ta c e ir fW W in i^ Le oUdinal a u ­ra it alBrm é daittctalteHiccasfcn^ « que l'Allema*

S t e e l l’Ita lie poursuivent le m êm e b u t; que lÉÉkritiel V iscoBl*M Tebosla>8ont.«ni3'enàme

éb feu ééé t e t q ue l’alliance de leu rs deux goii- v m lm e n le cp n tre PBgliw m enacent le c a tho li ■

d o r i b d é ra in e ei» la France d e nouveaux dé-

,Ln>lilkMlo'i\quiMé Veddode 99dii mois der-l nle»»>wwvtdtMfj^oit steatm^ de guerre: il «ntj

visiter Kiola e t d ’autree parties d u sud d u pays; Son voyage d urera q u aran te jo u rs : c’est» dans l 'h istoire du Japon , la prem ière fols q u ’un fili- kado exécute une< pareille iournfe. O n c ro it q u ’il en résultera du bien jm ur le pays.

Dans c inq sem aines seront complétéca les Qom municalions .télégrapliiqués en tre Yeddo, Nagasaki e t l’iiitérieun

On est en tra in d 'augm enter l'h é te l d e la Monnaie au Jap o n .

Le gouvernem ent va publier une nouvelle form e de rd ig ion , après exam en approfondi de tou tes les.doctrines des sectes diverses. La nou­velle religion, q u i se ra obligatoire, d o it ê tre éclairée, simple- e t adaptée au- sens com m un; elle para it devoir ê tre universeHement i a p ­prouvée.

T i i ^ n l e .

Une réunion des m inistres é trangersa eu lieu m ardi dern ie r à l’am bassade d e 'Ruasje.

N ubar-Paolia, m inistré dee affaires étrangères d u khédive d ’Egypfe. y assistait.

m em bres d e là réunion ne sont pas encore arrivés è un accord su r le p rojet dee réform es ju d ic ia ire s 'eo Egypte. Des divergences ee sont p radu itas en ce q u i concerne la ju rid ic tion cri­minelle.

Un ra p p o rt a é té adressé aux gouvernem ents é trangers à q u i la (^ueslion a é té soumise. '

M orsetlfe. — H . Lirobouig, préfet des B ouches^u -R hône, est a rriv é à son poste ce m atin e t a déjà assisté à une séance de la com ­mission de perm anence du conseil g é n ^ i , qu i,ay an lap p risso n arrivée, l ’avait inv itéà ven ir auprès d ’elle.

M. le préfet a d é c la ré q u e la République no peu t se fonder q u ’en s'a |ipuyant su r l’o rd fe le

filus (larffiit et la plu.4 grande sagesse ; q u e pour ni, sa po litique aurait.'! là fois cçtte p e n s ^ c l

ce b u t ; e t q ue quan t à ses relations personnelles avec le conseil général e t tous lés représentants du départem ent, elles se ron t toujours inspirées par l’cspril de conciliation.

Les m em bres de la com m ission do perm a­nence du conseil général o n t répondu qUe leurs propres intentions étaient conformes à ces décla­rations, et qu 'ils es|>crdieiit en donner les preuves convaincantes.

L’en trevue a été, sous tous les rapports, des p lus cordiales.

B ullelii.L e s ü is c u u rs n e uw irim iiiu M -o v r p t u

é ta ie n t a u tre fo is d e s h o m é lie s m o ra le s , d e s se rm o n s la ïq u e s s’a d re s s a n t s u r to u t h la je u n e s se , e t c é lé b ra n t le s blenfait/t d e l ’in s - t r u c l io n e t le s c h a rm e s d a l r a v a i l . O o .y p a r - la it d e s le ttre s e t d e s s c ie n c e s sv e c grffce ou avec a u s té r i té , se lo n le Caiat:^tère l’ora>- tc u r , m a is ja m a is tes b ru i ts d u d e h o r s n e p é n é tra ie n t d a n s le s a n c tu a ire , e t la p o lit i­q u e e u é ta it im p ito y ab lem en t b a d p le . N os p^ re s a u ra ie n t c r o a t tc i t l e r h ta. d ign ité , d e la je u n e s s e s’ils l’av a ie n t a s so c ié o 'p a r le u rs p a ro le s aux lu t te s , a u x fa ib le sse s , a u x rev i­

re m e n ts d e l à p lqçeD plilique .M ais a u jo u rd ’h u i la p o litiq u e < a to u t e n ­

v ah i.: le s ,é lév es o n t u n e o p in ip p e t j u g e n t

ce lle d e le u rs n taliT es; le mio,t&trq diç. l 'in s - iructioQ p u b liq u e u e vicait p lu s h Ja ' S o r - b o n n e d a n s le b u t d ’e x h o r te r à la v e rtQ .d es â m e ^ te p é fé e çt.na!v.g9,».iQ-iis p o tif e k p q a q r so n p ro g ra m m e , j i ta ld te r la oopdM ite' d u

f g o u v e rn e m e n t d o n t i l fa it p a r tie , e t s o n n e t - ' t r e k u n a ré o p a g e i m j^ r p e s e s o p lq lp n s , sesi I id é e s t.is e s .d e f im iw . Q n ô ’e p te q d IV p iè c e s I b a r a q u e s trad itK m n e lle s e t m a g is tra le s q u i

sey a ien t s i b ien k la m a jesté d u lie u , m a is d e s d is c o u rs p a r le m e n ta ire s q u i p o u rra ie n t au ss i b ie n ê tr e p ro n o n c é s h la tr ib u n e .

M. J u le s S im o n dev a it p lu s q u e to u t qii-» Ire c é d e r k ce p e n c h a n t. N ’av a it-il pas d e ­van t lu i u n a u d ito ire p lu s b ienve illan t ou d u m o in s p lu s s ile n c ie u x q u e l’A ssem blée, e t p o u v a il 'i l la isse r é c h a p p e r u n e au ssi h e u ­re u se occasio n d e se fa ire éco u te r sa n s iii- te r r i ip tio n , sa n s c o n tra d ic tio n , s a n s mt>r- m u rc s? A ussi e n a - t- il la rg em en t proAlé p o u r d ir e to u t ce q u ’il fa isa it e t v ou la it fa ire afin d ’in tro d u ire d a n s l’en se ig n em eu l f e c q a t d a i r e d e s ré fo rm es u tile s s a n s y e ts a y e r -d e rëv o lu tio ti. afin d e ré fo rm e r san s b o u lev c ri s e r .

L e g ra n d m a îtr e d e rU n iv e rs iié a d é C e a d u rU o iv e r s i té c o n tre s e s é te rn e ls en n e in îç é l c o n tre s e s am is tro p cn.ippi;ome|lapiSi.X T outçfi le» f é a p t jp n s ^ a - t i l d i t ,fo r t ju s te - m éat» v e u le n t lu d é tru ire , e t to u te s les<r-A> v o b itio n s v eu len t la p re n d re k le u r se^yicç e t la re fa ire k le u r im s^ e . p kf. J i^ e q ^ im o p q u i n ’e s t p lu s un ré v o lu tio n n a ire , p e n se ( |ue

ig o s s e e s t c d e c o n se rv e r e n a m é lio - r a n .l » E x ce lle n te m ax im e q u i se place d 'e llo -m é m e d a n s ta b o u c h e d e s m in is tre s d u jo u r ; m a is q u i in sp ire tro p ra re m e n t la c o n d u ite e t le lan g ag e d e s m in is tre s fu tu rs . Aprë.< c e t te d éc la ra tio n d e p rin c ip e , l 'o ra ­te u r a in d iq u é les ré fo rm e s assus m o d este s q u ’il a in tro d u ite s d a n s re u sc ig n c iiic r it s e c o n d a ire , su r to u t e n ce q u i c o u c e ru e la g é o g ra p h ie c l le s lungiie.» v ivantes. 11 a p la id é au ss i la c a u se d es langues i n o r le s fo rt a tta q u é e s a u jo u rd ’hu i p a r les nova­te u rs q u i p ré ie u d e iit q u 'o n {>asse tro p d e te m p s k lie les p o in t ap p re n d re . .M. Ju le s S im o n c ro it q u ’o n a rr iv e ra à fa ire m ie u x avec m o in s du p e in e . < J 'e sp è re , d it il, q u ’o n a p p re n d ra c e s deux lan g u es (le g re c e t le la tin ) p lu s v ite , (pi’on le s sa u ra m ieux , qn ’on e n co m |ire u d ra p in s p ro fo n d é m e n t lee b e a u té s . >

l.« s iiouvu lics dn P é ro u so u t cm q u v u n le s e t b o n n e s k m éd ite r. L e ju ille t , d a u s u n e in su rre c tio n m ilita ire ilun i les m e n e u rs é ta ie n t, d it-o n , t ro is frè re s n o m m és G u ltie - re z , le p ré s id e n t d e la R ép u b liq u e , M. Ilatiz, . k é té a ssa ss in é , ta n d is q u e le co n g rè s é ta it

d is so u s p a r force.M ais le v ic e -p ré s id e n t d e la R ép u b liq u e ,

M. H e re n c ia C eba llo s , a p u ré ta b lir l ’o rd re avec l 'a id e d u p e u p le . L es G ultierez» ap rè s le u r c o u r t tr io m p h e , o n t é té p en d u s eu p la c e p u b liq u e . L e cu n g rè s a re p r is ses s é a n c e s ,l’o rd re rè g n e p a r lo u i , la tran q u illité e s t r é ta b lie ; fo rce e s t ro s iée a u d ro it e t k se s re p ré s e n ta n ts . R a re m e n t u n e c o n ju ra ­tio n m ilita ire a é té rep o u ssée p a r ta pop ttla- lio n c iv ile qvcc a u ta n t d ’in d ig n a tio n e t d e i v igueu r.

InlotnaliiHis.O n comm eooe à ûtio très satisfait à Trouvillei

daS'M périoncas d ^rtille rie .L orsqu’e lles seront term inées, on expérim en­

te ra des'fUrils de divere systèmes. 11 ne faudraiti > paa d éduire d e c e s essais que le m in is tre -de lai

' guerro -a l'in ten tion de rem placer le chassepot

p ar un a u tre iusil; il veut seulem ent ée rendre com pte des perfecUonneinents, des am éliora­tions q ue l’on y pourrait apporter, e t voir si, dans les au tres modèles adoptés par les grandes puissances, il n 'est rien q u i ne puisse ê tre avan- lageusi'm ent appliqué au perfectioniioment du chassepot.

Ces oxpériences porteront su rto u t su r les car­touches.

On sait quu celles duV hassepol se détériorent Ikcitomeot aussitôt qu'elles ne son t p lu s en pa­quets.

On s’efforcera donè de rem édier è ce g tav r in­convénient en leur donnau t so it u ne enveloppe métallique» so it une enveloppe gommée e t loi- p-3rraéable.

. Des exprcicca o rd inaires de t i r au fusil chas* sepot o n t e u lieu h ie r.

Deux nouvelles pièces d 'artillerie o n t été em­ba rq u ées.h iee m atjn , au chem in de fer: de l’iOuest, p ou r T rouvjljp .-.

Çee piècea,,,qqi sont^d.'Hn. nouveau modèle, do ivent servir, aux expOTiênçes d ’artijlerie qui se fo n t èo ce m om ent en j ifé ^ n c f du p r u d e n t de l a ‘République.'' '

, i--'

Q éb i qu’en d isent plusieurs jou rnaux , la date du re to u r définitif de ML T hiers à Versaillèe n ’est nu llem ent ûxée.

Le président de la République, q u i a im e beau­coup Trouville, y séjou iuera tan t q ue le leipps se m ontrera clépiieot.

H'. Thiers a renoncé.k aller à Fontainebleau, l'installation m atérielle dem anderait tro p de tem ;« , serait trop difficile, e t k peine y serait-on étab li qu 'on en serait chaOsé par le froid.

Tous CCS m otifs o n t d ^ id é M . T hiers à passer to u t lo toiiips de ses vacances à T rouville, et à revenir criMiile d irectem ent à Versailles.

Ayanl-liiiT est a rriv é à Paris avec une mission particulière de S . V . l’em pereur de Russie pour M. Thiera. lil. le com te do UadischuH', conseiller d ’aml)as.<iuli‘.

Arcs avoir eu u n e cou rte en trevue avec M. le com te de Résumât, M. le com te de Mailischolf est parti iiiim inliatemcnt p ou r Trouville.

, , , . uo divisionOu annonce la m o rt grand offl-

d ’honneur à la bataille det’IClma.

Ce fu t un dos généraux anglais i|Ui seconda le m ieux le général en chef, e t è l 'a s a u t de Halakotl' il fu t g ravem ent blessé. Ce fut lui qui re p o u s» la sortie .des Russes lo37 octobre. Lord R iijlan 's le porta à l ’o rd re du jo u r e t en li t son officier d 'é la t-m ajor.

Lo tribunal correctionnel de Saint-Girans vient de condam ner U . Dougnac, ad jo in t au maire de Saiix, e t M. Gauvet, receveur des doinainus au m ême lieu , le prem ier à vingt jo u rs de prison, e t le second à sep t jo u rs , pour injures e t voIih de fatt à l'cgara de M. I abbé

Si nous en croyons quelques échos des bru its de la présidence, le gouvernem ent serait décidé à s'opposer éneig iquem ent aux te n la tiv » de campügiio dissolutionniste q ue pourrait orga- nh er la gauche radicale.

M. Thiers au ra it d 'ailleurs fait renoncer ' H . Gambctta à provoquer une agitation dans ce sens.

Persuadé q ue le succès d e l'a rp p n m t e t l 'a ­bondance des réco ltes au ron t bien disjios^ le pays en (hveurdu r ^ i m e actuel, M. T hiers tient a ne pas secouer les esprit».

11 aurait T iq ten lion de com battre tou te idcet do dissoluÜon'jusqu’au m om ent a h l’Assemblée' au ra voté le budget d e 1879, la c r^ t lo n d’une seconde C ham bre e t au ra révisé la loi Rectorale.

Le conseil supérieu r de la guerre , récem m ent institué, do it s’occuper, com m e on sa it,d o l’or-

ganisation de l’arm ée, du m atériel e t de 4a m ise en é ta td e d é fe n se id u territo ire . S u r l ’o rd red e M. T hiers, on réu n it en ce m om ent tous les docum ents néçeesaircs aux travaux de cecon- seil pour qu’il puisse ten ir sa prem ière séance è Versailles aussitô t le re tou r du président de la République, qui a témoigné le désir de préader ce conseil dans les derniers jo u rs du mois d ’août.

La chasse sera ouverte, le 25 de ce mois, dans la deuxièm e zone, qui com prend les dépar­tem ents suivants - Ardèclie, Aveyron, Cantal, C harente, C harente-lnférieure, Dordogne, B rè­m e, G ironde, Isère, Uaute-Loiçe» L ott Lot-el- G aronbe, Lotère.

E lle se ra ouverte , le l * septem bre, dans la troisièm e zone, q u i com prend les départem ents raivanb* : A in, A llier, HautesM Ipéui - Aube, Calvados, Oher,> GmrrèÉie, G é te ^ ’O r, Creuse, D oubs, E ure, Eure-et-Loir, In d re , ludre-et- L pire, Ju ra , LoirTet-Cheri Loire,L«W -lnférNlure, Loiret, Mainc-el-I..oire, Nièvre. G is^ PaiKle- Calais» Puy-de-Dôme, R hône, U a u te -^ a ^ e , Sar- th e , Savoie, Ila'ute-et-Marne, SeînO'et^iOise, Deux-Sèvres, Som m e, T a rn , Vendée, Vienne, HaiitOfVienne e t Yonne.

E lle sera Ouverte, le 8 septem bre, daps Aisne, la Mayenne e t le N ord.

E t le 45 septem bre, dans le Finistère, les Côtre-du-Noro, Ille-et-V ilaine, M anche, H or-

l l i diplomate en congé.O n s ’e n tre tie n t bvamH>u|), d e p u is q u e lq u e

te m p s , d u c o n g é q u e p ren d n o tre m n ltassa- d c u r k C o iislah tiiio p lu , M. d e V o g u é , p o u r a s s is te r aux s é a n c e s du cn n sc il g én é ra l de so n d ê p a rie m e n t. M. du V ogué a u ra i t , d i l - 011, rev en d iq u é «ru iie façon p eu o p p u rtu n e et p re sq u e b lessa iilu le d ro it < b b ^ 'f ^ r e r

lievuiii j e y)[e iin n liiit ce-

,a*iVtï!iVi i‘i> ré su lta t R e b e u x : c ’e s t q u e n o u s ce sso n s p e n d an t q u e lq u e te m p s d ’é trc re ­p ré se n té s a u p rè s d e lu S u b lii i ie -P o rle .

F en ilad l qme l’envoyé frariçals v ie n id a u s so n pays n a ta l s e r e m e ttre d es éiAOlityne d ’u u e si c h a u d e q u e re lle , u n e rév o ltiliô n n iin is lé r ie lle s’acco m p lit ' k C oH stan tinopIc; M id h a l-P ac lia -enpp lan ie M ah rao u d -P ach a , c 'est-b-(liire< iue le p a rti d e s ré fo rm e s e t de la c iv ilisa tion e u ro p é e n n e l’em p o rte d e nou ­veau,, a p rè s n n e c o u r te d éfa ite , s u r le vieux p a r ti m u su lm an . P re s q u e 'to u s les fônction - n a ire s de m a rq u e so n t o u vont c i r e c h an g és . O n d it q u e M ahm oud-P acha s’in sp ira it du g én é ra l Ignatieff, c’e s l- 'a -d irc su b issa it c n - Itèrcm cD l l’in f lu e n c e russe*, q u e lle in fluence su b ira M id h a l-P ac iia? Ce n e se ra pas la n ô tr e a ssu ré m e n t, k m o in s q u 'i l n ’env o ie k B o u g e s u n m in is tre spécial p o u r d em an d e r

'*a l ’a m b a ssa d e u r fran ça is ce q o ’il p en se de te lle o u te lle m es.urc, de te l o u tel p e rso n ­n ag e . M ats o e s e ra it s i in v ra isem b lab le q u e

n o u s n ’oso n s l’e sp é re r .

L a T u n iu ie n’a pas d e p lu s v ie il a llié q ue la F ra n c e ; e lle n ’c n a p as d e p lu s d é s tn lé - r e s s é ; e lle n’e n a p a s u n q u i a it v e rsé a u -

' ta n t d e s a n g p o o r e lle . N o tre in flu en ce s u r là S ù b tif f iO 'U o r le o s l-e tlc k la h a n tp u r d e s

se rv ic e s q u e n o u s av o n s re n d u s .? O n e n d o u te . P re s q u e p a r to n i n o o s p e fd o n e eo p eu «le te m p s le f ru it d e n o s sacrifices, s o it

g râce k l’in c o n s la n e e d é B M rè p tjiK lqM ,so it g râce k l 'in so u c là n c e d em a tie .

P u isq u e n o u s r c c o n n a i s j ^ s lû; d e ré ta b lir ch ez n o u s la d isc ip lin e . po n sab ililé d e s h a u ts fono iioeoaô iesjip iw sfee o o u ssçQ iq n s In b e so in d e ro rê p ré sA s 'd o s l y ieilles tra d i t io n s d e lé g è re té , é t m e r ch aco n d e s s e r r i le o r s d u p ay s d s M ile c e rc le d e s e s d e v o irs s p é c ia u x , n l i ^ f é f k A i l b ien d ’a c c o rd e r u n p eu pliiff a ltécee i v o M c s d é n o s d f ^ n u M l q i p p r d M ^ k voyager. S i M id é ’ V ogùéaf

fond o u d a m là fonnie» iP fkôdirk^ n u 'I e e lis o g e r ; s ’il a r a i s o iL il f i i d i ^ t - d e m à in ic b ir k s o n p e s te , e t n e e e péln i'i

d é se ssie tv ice s . l . .e c o h s é U ^ | p o u rra b ien s e p a s se r d V n d e se s . m a is là ‘ P ra n c c n e d o it p a s sd p isM aé d e so n re iiréséO tatil k lu o m e a i o ù le s q u ê t o n s vo n t .ê tre »|!Sténs e t p e i l i d i r é i i » i i y e n i M | t n o tre p a r tic ip a tio n p a r le s s o t tv é r e t^ d n

. N ord .

Q uand m e ttro n s -n o u s k p ro f il l a i é ^ de» é v é n e m e n ts ; l ë soùveiiiir d e 0 ^ ' d é ­n ie r» r e v e r s n e n o u s re n d ra - t- i l p a s p in s sé rieu x , p lu s la b o rie u x , |duB. « P ld ififiés t Q u an d d o n c c o m p re n d re n s -e e e s -

.am b a ssa d e u rs u tjt, com m e m o rte ls , le d e v o ir d ’a p p t ^ ^ g fÿ tiu n A s

e t de le u rs f ^ ^ ; ^ diW H ifcN f:»»^d e c ré a n c e n q - d ï p l ^ t à ^n o n d q u o f i » ' ^ c s o o f i r t L . d i

u n e i o ' ‘.‘®Ve!rîâé q u ’on. aU àudônpeu il^ J^ ijl^ '/n m |te r l» » t in re r ussisleria iM d é likA sbooB

d ’un conse il g é n é ra l.

On d fs t i tn e ra i i s a n s lié s ite r P ld s tiju ttf if q u i la isse ra it fk sa c l is s é , e t pe#i|raM #i#c

s’c n é to u n e rà il : e s t-ce M m é rite p a u ia u U a t d ^ q s s b iw tf .fiVWlP éco le de v illag e? Q u e d o il-o 0 ‘ p tf ia é n d p n o u s k l’é t r a n g e r? L a R u ss ie e t T A ng le le rrese d isp u te n t P in fliicn ce prtpOïtdérSÉM ^Aq-

p rès dn e e r là in e s co u rà : «pie f ^ t La F ran ce e s t aux eau x . U P ru s s e e t PÂ ti- i r ic h e c o m b in en t le n rs e ffo r ts p o u r d ir ig e r

.1» p o litiq u e d 'u n g ra n d payo^: qvfr.fiMt la F rao ee ? U F ra n c e e s t a u e o n s e i l^ g f ip ^ l .

S i la d ip lo m a t'm é rt in u tile , q u 'o n la s u p ­p r im e ; si e lle e s t u tile , q u ’e n s ’e o s e rv e . S i les m in is tre s p lén ip o ten tia ire» o’opt» d e m iss'ton k r e in |d ir q u e s e r le» chsmMS>dé fter e t les p a q u e b o ts , q u e n e le s re« p llN » .-i- o n p a r «les c o u r r ie r s d e c a b in e t, qui^eÜt^W- re ie n t m o in s c ite r , e t q u i n e so n lq v o n ifln t pas d e q u e s tio n s d ’é tiq u e tte p o o r W ’fc n - te u i l? E l q u e f a i t M. d e R ém itsa t, s i d is tin g u é , m a is m in is tre s i m o d é q l i^ P l i d it q ue M . T h ie r s négocie* ® rec.tO B l«lfc« p u issan ces h cô té d e lu t e t s à n s lo i : n e

p o u rra it- il p a s em p lo y e r s e s l o w t Û ^ ^ ^ aotorivé i f a i te r a à te r k le u r po ste , c e s io b o -

l in é s v o y ag eu rs?

BAOtTL rasM ri

n & T É n m

'tR O I S l e i l E D lV lS IO fl

' m e 'M t i K J L T R l .I . ' I , ■ - n T '

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Dftui. io M n e s »’é l|H io è re .t d u » Its j

DHUwmra IM rtad » . m o o. iH M tr m id & l 't o u » .

O PliM l'-S i m o o u v ril s a < fille d e c a re sse s .

, 9 0 . . èfi8 75 490 € •

- fs^Ô h l m iirakaiB l n a ib è re I ,d i t e e lle -cb , dnwMüfitotkbt^'M» m altite’ m ’a jo u é e , e t - f l a}

P fÜ dU vIe iM bÉ oatM veBbin’en im eo e r. ,r4 i^ J ’a l é l é i tm b i t p e n sa F ra n c is ; q « l a:

dOMUSvanfii e t t t e fen c a e 7 I .U jeM iM » ire g a rd 'a en p 90 HnMix a u to u r d é Jn U tfiJ fe ié lb h so rtie .

. . l iw M a a t i r d é g M e a d s s ’b n B d e s o n e n fk n t , iaka’é % A a k 4 n lt f i if ra u c is .

,.m -.1biiM oeé'vaÉM lr«:iBa flUe, In i dit-eHe»i ' fiaseiiiBsfli ' ': r - t Hbibieatffépendit le mëiia,

— T a a s veodh; f e a ta o t d e te n père* Dii la te o tv a M h lH e iT• u v -ie iJ lu tk o è d a iru p e d e m es eselavef» flNe

d 'a M esclave.M # -ü>.lwnUiaÉlieêda¥el>,«al, rép o itd it M oiinda,,

■ id iiM n s i T i i r t i T ï i ï ï n 'm i ¥ n n i l l i " r r i n i f t ' r , n i ' J r a a f i i M m t a l à e e w 4«1b w e e i t i « h a lM e t d e ( tireu r. H o iin d a re p rit

— 'Ta sa is b ien q u e lu n e m e fais p a s p e o r .

A h ! t u o u b l le s ta na issanoè , e t t u fa lS 'd o 'm a A l lé n n é q jm i ; e b b ie n ,, j e iv a is , d ev a n t te s am is , te r a p p e le r c e q u e tu e s . O u lv 'ia •diére; é ta it ce q u e j e su is , u n e p auvre esc lave d e > oe ite jM aniationt elle- éta it*>bellé i'fM m »e Je T a l é i é j t o D p è re l’a 'a lm é e ' com m è 14 w a l a im ée . T e n p è re t ’a f a lb l ib r e k la m o r t d é la i m è re ; ta n d is q u e Ju a n iia n e d o i i ’ë trea fllren - o h le 'q u ’k lu An d e ce lte 'g u e rre , a u * m p û r d n m a ître , j 'a i sa p a ro le ; voilàU oute la dlffë- re n c e e n^re ta m ère e t m oi, e n tre to i e t ta s œ u r In a u ita .

F ra n c is s e tu t. U n e o u rlre r a il le u r e r r a sn r s e s lëVres pûlle» p a r la co lère .

H o r tn d a re p r i t :— T u n o u s h k is j m a is je m ép rise ta h a in e

a u ta n t q u e ta M rso o n e . J e c onsens à cac h e r c e t te u o o v e n e ln fk ih ie k ton p è re ; m ais à u ne co n d itio n , c’e s tq u e , d ev an t touS; tn m e d o n ­n e ra s u p a ro le d e n e p in s v e n d re m a flile e t d e n e p a s nous sép a re r . S in o n , p réu ijs g a rd e !

T n m e m enaces?— O iii;< ‘a r il n 'y a q u ’o n m ^ r e ICI, le

t ie n e t iè m ie n , ton p è re !'— J e v a is te p ro u v e r le co n tra ire , s’écria

F ra n c is . R ia rlo , (kis l lè r J a a n iia é i q a t in la | p p r te ch ez D jinn.

L a p au v re enflant s e s e m p in s é tro ite m e n t enco re c o n tre sa m ère .

S u r u n s ig n e d e F ra n c is , son oom qum detir R ijirlo e t u n e d o u ta ln e d e n è g re s s’élilB - c é |« n t v e rs le s d e u x fem m es ^ r le» s é - p tlrer. L e p re m ie r iju i m it la M àfn a tfr 1»' je u n e fille tom ba (Tappé’ p a r s a m è re d’un, c o u p d e cou teau e n p leM e poitrine-; le second, b le ssé , s’a c C ro c h i 'ia x v é tm ie o fs d e la p a u ­v re fem m e, e t p a ra ly sa a insi s a . défense. A a s s i tô te l lè tu t re n v e rsé e e t 'so lid e fR en t ga- rb llé e .

R ia rio s e té n n ta a lo rs v e rs Frani^iS.

Su’o rd o n n é le la à tU eT fiq a iao d e -td l. iTort liv rq i^m lM b le » ti

'de tê ' cage ! . - f - f z r r - r - rr— -t -U n m urm ntW dritM V énr'ém tilU ' pu tiM les

a ss is ta n ts ; M orinda e lle -m êm e , m a lg ré son é n e rg ie , n e p u t s’e m p êch e r d e frissonner.

P a r- l’o rd re d e F ra n c is , R in io , fbrsani i l’o S io e 'd e b o a rp e a u , sa ls lt la c o ndam née e t la > p la ç a s u r ^ n d o s , p a is 11 so rtit d e la salle t sttlvbtiB to u s le s conv ives , k Texception dei G eo rg es , d e S ta n is la s e t d ’A lix qMi, n e p ou - 'V a n iIs J iM r la 'm a lh e u re u s e m è re .’ n e vou­la ie n t p a s ia ss is ie r à c e t a tro c e s p ^ a p l e . I |si resièrC M d o n c ù c ô té d e Ju a n lta é ten d u e ûi terre» b â illo n n ée , e t g a rd ée p q r quelques* a ê ÿ re s ; D jtq n a v a it suivi Iè lugabirc co rtège ,, se ' p ro m e tta p i d ’e m m e n e r sa victfm C’ ap rès ' l’exécu tio n i

U n échafaud (Iti p ro m p tem en t d re s sé su r le b o r d d u flenve , et* u n p rê tre m éthod iste v in t a ss is te r M orinda.

— D einande-m ui p a rd o n , d it a lo rs FVaacj»,! e t tu au ru s ta g râce .

L a m ère d e Ju an îta so u rit am èrem en t,i m ais n e rép o n d it p a s ; e lle p ré fé ra it la to rtu re , e t la m ort.

E t p o u rta n t le sunpUcu q u i l’a tte n d a it d e - in iab icm ciit

S u d i l n’y a p a s d ix ans. '

v a it ê t r e épouvan iab lcm c iit a t ro c e ; qtt’o n e n ju g e . Il é ta it e n v ig u e u r dians les E ta ts d u

L e b o u rre a u p o rte le co n d am n é s u r son. d o s ju sq u e s u r la p la te -fb rm e d e Técftafkud ; là i l l u i fa it IhiiV! la cu lb u te à califüurehon sori u n e la m e tran ch an te ' f ixée a u m ltiè n . d ’tm e cafie d e fo r de d eu x à tro is m é tré s d e Uau- te u r , e t à laqu e lle so n t fixés des é tr ie r s Ju s te d e l’e x trê m e lo n g u eu r d e s jam iie s d u pa tien i„ s i b ie n q u e le m a lh eu reu x e s t fo rcé d e set d r e s s e r s u r s e s ja r r e t s a u ta n t q u 'il . le peut)

iM o r n e p as ê t r e a tte in t p a r la lam e coupante .. De» ch a în es riv en t fa v ictim e s u r l'infernafci m o n iu rè . L ’e a u d e la r iv iè iv coule so u s s e s yen x co m n ië le Dot d e T an ta le . Q u an d ' la fa -

' ligne» ré p u ise m e n t a rr iv e n t, le m ulheureuxi s’aflhisM s n r sa se lle irah ch an ie , e t celle-i ci p é n è tre d a n s se s ch a irs ; pu is le so leü de» tropiques* brûler sa p eau e t fuit b o u illo n n e r

's a o e rv e llo .^ ao ii'Ie d év o re , sa làu g u c desxéiihéo pend ,

j iô V s n e s a b o u té e , o i l’c a è du fleitve m hr- iMhrê'k* c e n t 'p a s ’d e Itii.

L e s p ru n e lle s d o sc s yeux s’ciiflam m eut k la lé v c rb é ra tio n d e s m ille facettes d u sab le

d e la riv e . L es m o u stiq u es s 'a c h a rn e n t s u r so n co rp s u u , p é n è tre n t d an s ses yenx e t sesi n a r in é s ; lès m ains so n t liées. L a c h a ir , t«-< méfiée» é c là te e t d a n s des fissitres le s insectesi s’in iH M iiisen te t'y c àa se tit d ’in to lé rab les to r­tu re» :

L e condam né n e m e u rt so u v en t q u’au b o u t d ë tiv^is ou qijgtr'e jo u rë .

M orinda c o u n a i ^ t to u te s le s h o rre u rs do c e supp lice , e t c e p en d an t e llo n e c ria p a s g râ c e .

A lo rs F ranc is do n n a l’o rd re de c u n m e u - c e r . R iario re p r i t la co ndam née su r sc s é p a u le s , e t g ra v it a v e c e lle l’éche lle d re ssée co n tré l’échM atid e t le c e p d e fe r.

A « m om en t o ù i i a lla it j e te r M orinda su r le fe r ira u c h a n t, u n e g ra n d e ag ila iio ii se m an ifesta , u n hom m e fend it la foule e t s’é lança s u r l'éc lie lle .

B o 'a ii in stan t' H e u t rep o u ssé R iario e td é liv ré M orinda.-

G e sau v eu r in e sp é ré , c 'c ta it W illiam M urrjs. ''

Céici fa it, il a t te n d it avec calm e.u n ^ l » i r d e r a g e avait p assé d an s les yenx

d e F ranc is . S es lèv res é ta ie n t p â le s , ses t ra its con trac té s ; il fit un p as v e rs son ancien enncfflL 'e i il lu i 'd it :

— J ’a i j u r é à m on p è re , s u r le C h ris t é te r ­n e l, d e Respecter la v ie ; m ais p re n d s g a rd e , WilllanlV m à h a in e p our loi n’e s t p a s é lè in te .. — L ^ m le n n c v ivra a u ta n t q o ë m o i, rié- p o nd it M orris d ’u n ton fToid; u n m êm e s e r ­m en t noiis re tie n t, rcspectuns-le . M lilliea r à q u i frap p ç ra lo p rem ier.

— P o u rq u o i oscs-lu to u ch e r k m e s e s - c lavcs?

\ — S i t^est dn c es deux pauvres c ré a tu re s q u e tu veux p a r ie r , e lles ne t’appx rtien iièu t Vas,

— M ensonge! e lles son t k m on p è re !! ..— TôW p è re e s t m ort I

‘ — Mdrt, m o n p è re !— a « !~ E b b ie n , a lo rs , si tu d is vrai» s’éc r ia

F ran c is avec u n e jo ie m al d issim u lée, U n’y

n p lu s qu ’u u in a ttre ici d é so rm a is , e t ce m a ître , c’e s t m oi I

— N on. Ce m a ître , le vo ici!

I» e s c r a a c n t «Le % * e » g e » e e e »

D u g este , W illiam m o n tra E d ith q p i v en à it d’e n irn r accom pagnée de son p è re e t d e nom ­b re u x esclaves p o r ta n t d e s to rch es.

— B on jou r, F ra n c is , d it la je u n e m iss q u i ten d it g a iem eiiL la m aio a n m u lâ tre .

F ra n c is é ta it r é s té in te rd it.- V ous m e faites un sin g u lie r accueil,

co u sin , re p r i t E d ith e n r ian t.Ce ton fk m ttie r n’avait r ie n d e cho q u an t

lo rsiiu ’oti sav a it q u e l a je u u e m iss avait p a sre p lu sieu rs a n n é e s à l’H ac leuda de! Ve'nado chez son o nc le le gt-néral, lo rsqu ’e lle é ta it en fan t. E lle ava it é té é fevée au p rè s d a F ra n c is p lu» â g é q u ’e lle d ’u n e d iaaino d ’a n n réa .

n a y e r c o n tre u n m e u b le p o u rn e p n ................. - ^ “ u e Voix éo id è ;

ilté éb h n g fiT re tiegdfifiièû t- -L.»'* u u S » » w : i . i J i i | j |^ |r a * -

. P lu s la n i , F ra n c is a v a it é té c n v o y é .p a r son p è re a u M ex ique chez s ir J a m e s Sm ith p o u r y étudie;* le c om m erce ; il y ava it rencoiJiré F lav ic , s’en é ta it fkit a im er, l’a v a it en lev ée e t cond itilc e n F ro m « . com m e n o u s l’avons vu au d é b u t d e ce liv re . D ans so n d e rn ie r due l à P a r is avec W illiam M orris , b lessé griève­m e n t il n’a v a it d û la vio q u 'à sa v igoureuse constitu tion» e t n o u s le re tro u v o n s a y an t r e ­p r is se s a n c ie n n e s h ab itu d es d e d ébauc lie q u e so n a m o u r p o u r F lav ie a v a ien t m om entatié- Inen t fkit c e sse r .

A i^ p o q iio o ù F r t in d s a v a it reçu l’hosp ita­lité c h ez m r J a m e s Sm ith» E d ith , b ien q u e n ée le m ém o jo u r q u e s a s œ u r , n’é ta it enco re qu ’u n e f r ê l e . c ré a tu re p a ra is sa n t k pom e d ouze o u tre iz e au s ; ta n d is que ' F lav ie sem ­b la it én avo ir d ix - ré p t.

M ai» depufe, E d ltN '^é taR tran sfb rm M è n M e dê tiricahe )« iine M e M a u re flsem hh nçe avec sa soeur ju m e lle é ta it te lle q ue F ranc is recu la d ’un |>as à sa v ue , lu t forcé d e s a p -

ê i m u rm u ra .(Ttioe r ê tx éo id è :— Dléii.! qtteHé. éiriingq'Vda Q uan t a s i r r a m ré , H re â tb i t 'i '

c ieux e t so m b re . D’un a p tre cô té , d ans u n e d em i o b x cn ritâ .'G eo rg es e tS tan ls Iaa achevaSent (q u r soemiei't i w r l m W i ^ ù v a i l é ië g ràn À i e n découvreht* f è ,4'é!fûftl6"IHbo (fe leVirs com p ag n p û ’ ^ v o y x ré .

W n iiam ro in p if Iè p tè w d w w M fe llW— M onsieu r, d ii‘ i r e n s i é b f ta ^ lA 'lW M -

m en t k F ra n c is , v o tre p è re a lé f d ê ' w * . ^ m aine k s a n ièce rois» E d ith , avec t o m w ’q u l le com pose , te r r e s , Iw i», p rés» esclave*.

F ran c is s 'ip c liaa sa è s repondihe.— Q uan t à votis^ cootin iilt M brefe; W v g »

la isse to u te s c e s v a leu rs ,c ièré . a ,

• De qu o i p a y e r se s d e tte s , marjW H(i'i^l* M csiizo.

M orris a jo u ta :— J e tie n s u n e co p ie d u te s tam en t d e

v o tre p è re à v o tre d isposition .— V ow e p a ro le m e r i -

po nd it F ra n c is q u i aValt è n W te iopè d o r«bi«n(fee'8(m n o a n m o c t ho W Mliii iw h 'y * lon lé d e m o n p è re iR*D u re s te , p a r to u t 'o ù s e p ré se m e ra ia i r a t h ,e lle d o it y è tro , tra ité e e n R om retriifi. Q n ^ b ien m êm e v o tre vesuie m e c o û j^ f i j t if f i d o ­m a in e , co u s in e , ce n e le n iU p r e j c h e r l 'h o n n e u r d e v o tre visu*. Y^ m on o n c le , so y ez le b ie n ncçuM nous.

I l te n d u I» m ain à s i r Jam os; p udence aceou tu tode . . ^

S ir J a m e » le lofea d ’o o a i r MIni to u rn a le «lus» , k ’ .» ..

Un so u rire a m e r M d es s in a f f if .b^fi^ ticbo du m ulâtre .

, M o m s sa is it c e m o m e n t p o u r f r m afir r M orinda e t s a fille à E dith»

A .

( L a s u i t e a u p ro c A d in n i i m é r i j .

Page 2: 43’ Aiiét. - N’ ( 8 kJnéL M H Sbmsenlis.com/data/pdf/js/1872-1874/bms_js_1872_08_15_MRC.pdf · IteU e. i mit a^our^'bul que le minislèt^ ilajiifq eàie^ii j[M)ur présenter

.ilillAl. »t

ANTALISs a x i i t n

u n s ' M I Il a c B A H n s

- Mwis, P r4fni*Iiilié |«rti!inonl de l'Oise,

Vu l 'tr tiç lo 3 d e Kl loi ü u S uuii 1844, U Police de U C h ^ i

Tu iM Î M l n i ^ t e d e M. le MinUtre d« 1 in ­térieur, en d a le dee 9 0 m ai cl 9 9 ju illr i 4851 ;

Vu l'airM é |wéfMloral d u W déceipbro 1865, in te rd isu n t, eiUVéaiAHs-éhosw, la deslrurliün d ^ petits oiseaux d it de |^ y s ;

Vu l^ irM é d e C lôture d é la ChaKsc du 94 jan- > d e r lM 9 ;

V u tes rensugnoroeuls transm ia par M n . les S o a s JM M fi- tt le s M aires;-

Vü U circu laire roiuislM elIe du 6 aoû t cou*. r a n U q u i fixe ro u v çc lttto d e ilfl tjhasse au 1“ aq ilem bre 1 879, p o u r lo s d ^ r lç m e iils ç p in p r is d y j ^ h ^ TO^dPPirOiM f t i t partie;

lo ire ^ o i r n o tre dern ier

üvee

é iÔ T ^ /d n ^ C i^

W ? S id 'u a P e m û de (7Aassequ'il wtniiiMtion d « aaente de IS J w S C U p e C d e l i f c h’ U e 'lW ta W ^ ’chasse doi

A li. 1 " . L*ou?erlure de la Chasse, dans ce I, «VW Hi*» • " ^ e -

'-e^les du m*Un._____________ . . sans ô trc m uni

d 'u n ^ n iM s de cA ossequ 'il devra exibcr 4 tou te. j „ ------- . . de j ’aulorilé publique,

.jr'chasse.> donne, 4 celui q u i Ta

«falMÙ« l o d i a t d e bhasain-eurses propres terres a l su r les t e rn a d ’a u tru i, avec le consentem ent y e ^ S W e ï r o i i chasse appartient.’ L h c tÀ sàè 'd u |d o r , .à t ire t-à courre;flét oèùle p m 'iM t lousaotcee m oyensdecbasse,

d ?9 bourses destines aD reo dra tS laN netdum iro ir pour les allouettes,

J<{iil>(4 tlé9 ilM e n t« itfa rd it db transporter, ^qalM rterD qde, vpp^rq le p b io r , a u tr e q u e le

I . 1 , 1 , . . . . • to u t lé tem ps q u e la t m eem ps q u e la t m e itp rtè d e neige,:sauf■l’exception prévue ''" 'eS l d e l’arré té préfectoral eu date du

C^te^^dérensè est applicable

MB bi;

; I v I l O B ,' lîvinnaatii „ ___^ ____

l | . Guillot : arithm étique appliquée, le iiuodcs. livres, géométrie^ arpentage e t nivellem ent, drssin iméairo e ld ’o rnem ent, ch an t, sciuuces pliysi(|iies c l natiirclles, gymnastique.

M. Péret : tenue des livres, géom étrie, arism - tnge et iiivelleineal, dessin linéaire e t a ’or- ne in o n t, chan t, ag ricu ltu re , industrie et nygiilie, gym nastique, langue anglaise .. i

M. Delacroix : tenue ucs livres, dessin linéaire e t d ’ornem ent, ch an t, agriculture, industrie e t hygiène, gym nastique, langue anglaise.

M.- A lexandre : a ritliinétique appliquée, géo­m é tr ie , arpentage e t 'B ivélIcm ent, dessin linéaire e t d ’onte riien t, sciences physiqueset naturelles» m oa& tiqve. vj

f t . Gobêrl ; histoire e t géographie, sciences physiques c l na tu re lles , ag ricu ltu re , in­dustrie e t bvgjène, ch an t, gym astique.

H . Legras : aritlim élique appliquée, géom étrie, arpentage e t n iv d te m e n t, dessin linéaire et d ’o rn em en t, ag ricu llu ie , industrie et hifgiène, gym nastique.

H . Vincent : géom étrie , arpentage e t nivelle­m ent, chan t, sciences physiques e t natu- r d tes, gymnastique.

H . V irgat : agriculture, iiidusirie e t hygiène, m innaslique.

H . H uclier : élève d u penjûonnat des Frères de Bretcuil, tenue des livres.

le s ,‘m l o r i l « ^ c iv i le s e t m i l i l a i r cB e t j l i l t d u i i M p t a i e n l v e n u s

d e s (é o g o s s a u r i o n s t r o p d ig n e s m a g is t

è l e u r s g r a v e s p o u r Y O n ir f l h i t e i M a i ' l e u r p i w e n r e r d e c e l j e u i À g c n S s i i r q u i s e 1' “ - ' - j u m ( ^ l ' ^ | H q r . ^ i | V v n i r d e n o t i

i u i d é l i u i ' W * I a i v r é m o n i c , 'Sonlis, dirigéepnr son habile chef. I I . Qiauviii oi^écnta une des Iwllos uiiverlufW | de son

‘■iVqifi'toiie; avec u n . liili'iil qu V ilf lé iia a habitués à applaudir cl qui n 'u l ie ^ iu de

{nos éloges. Puis, le )euiie IV rrin , c e t'a rlis te prÀxice e t presque pliéiioiiiénnl a fa it «fllenilre il deux n 'prisos su r le piam» des m orceaqg itopt 'interpi'él.ilii>u a excité l is plus vifs appl,iù-

dissements. M. Cos.éu a pris eusuito la |iaid |e liMilé dans son liis 'o iirs 1'imphrt.iftté

fjuestion du rr.«/>rcl e( de rofrserràlivn de fg t^g/e. Dans un tem ps où on est si disposé 4 s'a ffranchir de tm it fespW t’M de liiiiK ?N ^K CCS {uroles étaient de cireonstanoo. l /o u b li du respect è tous des degrés est une des plaies d e no tre époque; de U le m épris des r ^ l e s et lo is; de lA aussi tous les malliours qui frapiicnt si souvent les ramilles e t la société. Eiisoigiter le res|>ect c l l'observation fait partie de l 'édu­cation ; sans aucun doute, c’est l’iPiivre du m ailre ; mais sans le concours éneigique et continuel des parents, l’ivuvre du m aître reste inrructueiise. C’est donc à la famille 4 seconder e t 4 eom pléler la léehe com mencée au colltge et c’est à cette condition>^ seulem ent que la

dansno tre i»p rit,nuu9« ilm n ltln liion9vo lon tie rs | ^’impurtanc<‘. nous i j g p n a ^ ip n ^ to M T * " "

Ions, sfln d ’o u h l i e B u a 8 û | |n e n l , i r ':rassntes de la r t t t é . ■ S v o u t j

,it nom bre d ans ^ 8 c l p M :herrhiouB c« hni

jBnsform» facilem A lions qu’il {ht p h fi rem plit davantngo

to in t ie d ro it d ’élever la voix e t le devoir..........

< iinporte ic li^ s , un vuuH

iliquede la d« rorrn.

n 'eugendie l'uiblasse.

n’éteiid point sou m urs? q u ’un jo u r viendra

........................ -n ieet

f.ilHlmiiéiW^qn’un'i Pensex-vous donc qu'

Répartition de rE oproatD E T R O IS M IIX IA R D S

La rép a rtitio n d u nouvel e m p ru n t d o it se fa ire d a n s le s p ro p o rtio n s su iv a n te s :

. iP h ’tM H érâaoa'Ieh bois;U présen t a r r ê t é . i q s c r é au

'‘U tA ü s 'Û idéparteineBt; aussitôt sa réception,• s irln 'S Ô inB tü è la'diligénce des Maires. . .• ,4 fi ,^ J L e » a u tw té s a d m in is t ra t iv e s , la gen- d a n n m e , les agents forestiers, les gardes^ham - pètres, e t tous au tres agents de l'autorité pu-

,jU iq iie,aoo l chargés d ’e n assurer l’exécution, diacOfi en ce q iii le concerne.

• 'Ü S W a is ; le 9 aôù l 4872.^niq . Cown».

• • IV. k C haque d em ande d e Perm is de Chasse ' ^ 4m rédigée s u r painer tim bré et rem ise au

dom icile ou d e la résidence de l’im pé- 'd i é d è m e h i^ adressée au P réfet, p o u r l’arron-

- les a u tre s a r â ^ u v R s . e t aOlt Sous-préfets p ou r

[ i r i s M i i r ê T d e a î a i ''é îA ^ é ^ e lâ d'émande 4 laquelle sera YSIlfê en la quiU ancé des d ro its d u P erm is v m é s à la caisse d u Percepteur.

Cette q u ittance ne peu t, dans aucuncas, sup- ^ é é r le pèrm is d e chasse. Les quittances seront ■ v a la i t p o u r l ’obtention d u Perm is qu’elle que ap)j|tlevr date» e t le rem boursem ent des droits v è é ^ l i a caisse du P e rc u te u r né p ou rra p lus avéfr3 ieu lo rsque le re rm is a u ra é té refusé

'p a f ile P r tfe t . > ' ■'■VI • q , I ‘ O a trouyo li l ’im prim erie d u Jo u rn a l de Senlis

■des form ules im prim ées p ou r l’obtention des T n u o s DE CbYSB;

P è M e l » « v i n « . —>• R é t l i k l i i a M - ■ n e i A l ^ l * l i b r e c i r e a i a ü o a

a b i t b é i a i l *

Notis, P réfet de l’Oise,Vu nos arrêtés e n ’ d a te des 47 avril e t 80

liovenibre 1 8 7 1 ,9 1 m a i n 10 ju in 1872;. V u les artic les 4.59 e t suivants du Code

la dépfche de M. le Ministre de l ’AgricuI- H u rée t du-Com m erce en date du 6 aoû t 1879 ;■ n C o ^ d é r a n t ,„ : ,Q iie le (} erm er cas de peste bovine signalé ^ q a lé d é p à rte 'm e n t de l’Oise n-montc au T ju in

'd À m è r, e t q iie l ’épizootie a ^ I c m e a t disparue 'r i im le s départem ents .voisins;

. A rrêtons : . ..Article prem ier.

' ' l à circiilalion d u b étail, ainsi q ue les foires -e tim arehés, sq n l ré tab lis dans le ' dé]iariem eot de l ’Oise, mônie p ou r les anim aux venant des d éfa rtem en ts vo isins; néanm oins u ne siirVeil* laDpp.ppéQialedvvra, à la diligence de MM. les; Maires e t avec ie concours des Vétérinaires, ê tre activem ent exercée su r les cham ps de foires e t su r les M archés, afin de prévenir le re tou r' so itdc^la peste bovine, soit d ’atTections ayant; Q u elq u e rapuo rt avec cette épizootie.

. Article 9 .d e Ie m aladie, a v ise n

sera donné 4 la Préfecture sans aucun délai et iYpie,.la.,plus,jMromptç. La com m une

infectée, la zoiQé.eq|i(i|r^qahte s’il y a lieu, leiqqglfjm voisinssproD tim m édiatém entreplacés

la r r ê té d it 3 0 novem bre

LIS SOUWSlPtIl'UD e 5 à 9 0 fr. d e r e n te . . . .

BIKItVSOXT5 fr

Dfi 1 0 0 à « 5 0 f r ..................... « 0D e 160 à 9 9 0 f r .................... «5D e 9 5 0 4 9 8 0 f r .................... 9 0D e 9 9 0 4 5 4 5 f r . ................ 9 5D e 5 5 0 4 4 1 0 fr.................... 3 0De 4 3 0 4 4 7 0 fr ..................... 3 5D e 4 8 0 4 5 3 0 f r . ................ 4 0D e 5 4 0 à 6 0 0 fr .................... 4 5De 6 1 0 à 6 6 0 f r . ................. 5 0De B 70 4 7 9 0 fr ..................... 5 5D e 7 5 0 4 7 9 0 fr ..................... 6 0D e 8 0 0 4 8 5 0 fr ..................... 6 5D e 8 6 0 à 9 9 0 fr. . . . . . 7 0D e 9 8 0 à 9 8 0 f r . ................. 7 5D e 9 9 0 à 1 .0 4 0 f r.................... 8 0D e 1 .0 5 0 4 1 .1 4 0 fr. . . . 8 3De 1 .9 4 0 4 1 .5 0 0 fr . . . . . 100De 1 .8 7 5 4 1 .9 3 0 fr. . . . . 1 3 0De 9 .5 1 0 4 9 .5 6 0 fr . . . . . 9 0 0De 3 .1 3 0 à 3 .9 0 0 0 . . . . . 9 3 0D e 5 .7 9 0 b 3 .8 9 0 fr . . . . . 3 0 0D e 4 .4 5 0 fr................................ . 3 6 0D e * b m ^ S ‘ 0 0 f r . . . , 4 0 0

D e 7 .5 9 0 à 7.6ÔÔ ff. : i • . 6 0 0

D e 1 9 .6 7 0 4 « 9 .7 0 0 fr. . . i MD e 9 0 .0 0 0 f r . .................... . 1 .6 4 5

- , .. r*-ÎBt aux joni's

y iA H o it, ce n 'é ta f l^ H l^ m n P 'iin vif Tare u è | bonheur et d 'esim ir caché, que nous op|wsioiis

4 se» yeux étonnés e t 4 sa tranqu illité pesante . ------.vo8ieiu*vo»,éb;ils, voiiü môiiio. vps urqm ièros.l W H pirehorsu iiow 1 . .t f H i ta iv id ’ex.«cice mllitRiie; ca r l î u î n o t l s . Jen ccd tHsliv» m om iait»,\oM sélli*xla i f p r ^ ! i l |a - . | *“ *# t® ndevore* 'I , ‘ ix ,, i.ytion de i vio-ct l’av .m ir'pn rm » '!® d u - U-oJerex dans lo ! « ' * • ' ' ' « ' ! ' î 'pa&<é « V rao ri «lu q u i^e id ; olors vousnosl fe iÿ a n c o ? ï lc ié té w ipcnslexpasw H W eqnelw jonrV étE it prM hn o ù 1 d^ j4ption. C cst parte 1 *•n o tre viUe d.« t-’enlis p o n n a il souhaiter la Iuimi- ««unuse 4 d w lom .pie le ^venue 4 um- garnison fixinraise d ont la prtuuière **‘«1 iw»^» 'lU® v.ms .levrcz respin l«'r 1-'^ «• «lM n ^ . s’est V . l«* su r io n s , vous kssoriant tou t leoodW il.- v .itm vie n ue nous«insi d i« son arrivé.* dans nos m iiis à s.*s Ions sans c.v«> a la grande *lri.sté&« «le la veille, e t aux ré |« rd tion» désir.W J«»r ou la jeuiu-sw un « r a . t |jh .s ^d u lenderoain .O ue n o tre hnive arméo r.s-<.ivn |

B ^ so c ié îü q n e fa

'le sincère témoigiiiige do n o tre aiïi'Ctiun, do notre syropathio e t do nolro rocimuaissauce. Grùoe 4 vous nous avons pu .sans trop do |>eiue traverser cet lolam oiilahlo pério le, si longue, 81 amère, où votn« souriante jeiinosso ravivait sans ceo« notro espoir, on le fait b rutal dos événements venait nous frapper quand mémo et nous ram ener à l'évidentuv C’est donc uno de vos principales vertus, une vertu qui est v o tif p ropre essencn, |«arc» q ue vous êtes la jeunosso et l’avenir, do représt'n lcr pour vos ulnés CC.S deux cho-. es si dniiees qui s«‘ nom m ent la conciliation e t l ’cspcrance. '

e c k h ii . . ■. 3fj,j,'f8oQ t;V }^tem iea, j u ^ u a nouvel^ ord re ,

dii 10 ju in , en . .

Îut coocerneii'pbjjgàlioo de produire au m aire a fe.caWppùflé /çflaissŒ -pàffler délivrés p a r la

- IW % m rj..4 « M liçe , p ou r les M im a u i d ra ü ii» e t «itpddiés du m arché de La

A rtirie 4 .S w o n t p q i tw ir ie s , çon(orroém enl à la loi,

- — •— ' —^ e n t arrê té , dont , CominaDdaDt de lires s '^ iR u x e t

. | J g ^ i ^ n 9 d e ppl.ice,WQt chaigéâ d ’ u r e é

H M utais, le 7 aoû t 1 879. Cho ppix .oli iii'.ti - i: hL

P ar arrêté de H . le m in istre des travauxpublics : MM.i

' '"'nï •’iwwm®-nli aqm-lit» ro i« e .

bfloui> .Me^iérMlSi • « r .B rm f /beidbMiA' - « t b g | | | i | g ^ ; | x ^ , ^ , I l M 4 a t t l etC hautrelle ,

. W è d v 'c M r t oorinal dm Frèràe de iU 'él d é n b lfV éléi, o n t é té j t ^ dignes iî^ 'làS fheliU ôh des' m atièred fitrullativeS

dMHU liM aiKi'W d 'o « ji« n sn l, «om- B l te e o t d e la p rem rêré'tiél4# d e f matUreé

^ ^ « ‘H l f i u V e l . ' w S l b i W ' • W ^ V4 ^ 0 0 des l iv n d , dssrin hh é iire * °^ ^ d ^ 6 rM m 8 tH ; edtitpM ftim t d s 'la p ieihièré l - l J É k d à j M U h r M fecoUativeSu >: " •

■ 3 B K u a t l t e i . }i i l Ë M i r W tanlpia aiwlaiM. !^ W B Ih H riin A ti q u i Y iatm wt d ’obten ir M

. t 'W n i S r m T p ••••««(*,.. I

Choquct, cenduetGur em brigadé de3* classe des ponts et chaussées 4 Sentis, e s t élevé 4 la x* classe d e son grade;

Guilly, .conducteur em brigadé d e 3* dasse, à H éru. est élevé à la 9* classe ;

Sont nommés conducteurs em brigadés de 4* classe :MM. lle rsd in , conducteurauxiliaire àBeauvais:

Monnehay, conducteur auxiliaire à Beau- vais;

W arnier, conducteur auxiliaire à G rand- villiers.

Le m inistre de la g uerre reçoit tous les jours un certain nom bre d e dem andes formées par des jeunes gens 4gés de moins de vingt ans. à l’etTet d 'ê tre autorisés 4 souscrire des engage- m n its conditionnels d ’un an , conform ém ent à l 'a r t id e 53 de la loi nouvelle au rle recru tem ent de l’arm ée.

Cette loi n’étant exécutoire «iu’4 p artir du 1 " janvier 1873, l’époque à laquellelesdeniandes d'engagem ent d ’un an pourront ê tre adressées 4 l'adm inistration sera portée ultérieurem ent 4 la connaissance du public, par la voie d ’avis insérés dans les journaux.

Les généraux com m andant les divisions et subdivisions territoriales o n t reçu du m inistre d e lagde'rre une le ttre olTicielle qui les engage 4 constituer, ‘dans chanue dépa rtem en t, des oom itéade défense locale, do n t la m ission con­sistera à exam iner les points stratégiques les p lus faciles 4 fortifier ou 4 protéger, e t cela dans toutes les régions d u te rrito ire de la Répn- biiqiM. i)ea- rd ev ée lopoecaphiques lrès-«aacts devront, en ou tre , ê tre faits p a r les comités locaux et adressés au m inistère d e là guerre, qui en composera un travail d’enscmble.

Encore un am bassadeur qui abandonne son poste pour venir assister aux séances de son conseil général.

M. le com te de Gobineau, m inistre de F ranc« flB S uède ,a q u itté dlocholm le 8 août pour sa rendre dans le départem ent de l’Oise.

L’intérim de la légation pendant l’abience du ininiMtre sera fait p a r M. lé vicom te d s G rou- chy. ■ ’

« E l V l i l S

,1 l a q r t t h u t i o r a C o w l a *

Veàdrédi dern ier, 9 aoû t, la d istribu tion des p rix a é té faite a ux âèv es d e l’institu tion Cossin. Interrom pue d epu isdeuxanspar les événements ■politiques celto fête sem blait rm o u e r la cliglns des solennités classiques et o u v rir u ne ère non- velle. On se re trouvait avec p la is ir après tan t d ’ém otions e t d’angoisses, e t u n ,à ir de bon-. Iieur.dpanou’iflsiit tous les visages. L’aflluènoe nom breuse q u i se pressait dans l'encein te trop étro ite destinée 4 la dtolribuUoo tém oignait de rin lé rê t tou jou rs nouveau que l ’on attache aux fêteh daasiques e t aux établissem ents qui en ,son t l ’objet. E n effet, les lu ttes pacifiques de ■i^espril e l les triom phesinnocehts de la jeunesse studieuse o n t te privilège d e séduire ^ m e les p lqs difficiles, e t laiseent d ans le ccrur un Charme sans d égoû t Nous avons rem arqué aveO

génération actuelle, revenue au r«>spect e t 4 la soumission aux lois, pourra régénérer la France et assurer son avenir.

Des applandissem enls sincères et unaniiiu'S accueillirent les |>aroles d c M . Coss’m : chacun avait apprécié la justesse de ses réflexions.

Nous donnons plus loin une iKirtiu de cet iiitérossant dlscoura.

Puis la «listribulioii «les prix rom m ença. — \jcf. élèves des cours de m usique vocale soua la direction deM . Jou rda in , ex& ulèren l, avec le concours de la fanfare d«! S e n tis , p luàeure inorcw ux de chant qui furen t écouhSs avec plaisir; c’était lo chasse a ux Isards, de Rolland; un chtrur iTEsthcr, do Schullx, fit u n quadrille patriotique intitu lé : R etour d 'A llem ugne.com - posé pour la circonstance e t «.hanté avec en train par les jeunes patriotes.

L’appel des prix était coupé d e temps en tem ps par les refrains joyeux de la fehfare.

Une magnique çx|M>âtion de dessins linôair»» orna it les m urs de la grande salle e t chacun a pu apprécier le ta len t et le goût de» élèves et lo n sU te r de cisu quel prix on attache dans l'institu tion à cette hrauche si u tile de rensei­gnem ent.

Les prix d ’instruction m ilitaire décernés aux élèves des divisions supérieure* o n t signalé celle année une innovation ju stem en t appréciée de tous. Celte nouvelle partie in trodu ite dans i'éducalion est destinée à incu lquer de bonne heure aux jeunes gens le patriotism e, la sou­m ission, le respect et l’e sp rit do distnpiine. Il •« « u n it pas de faire des savants. Il faut faire 1 vénération 4 venir en recuiles fruits.

Voici les nom s des principaux laurua^.Dans le* rfesjcs de Fhilo.wpA»e e t de R k s

rarioiie. Prix d 'I io n n o ir : A natole Coqiiatrix (bachelier «‘s -ln llres]. A lbert C orb ie , Charles D uchem m , Frédéric Fournier.

C/ass6sfa(tne.i.‘ PaulCaffin, Em ile Sommaire, Charles Thiellem ont, Jules C lia r^a in , Alphonse Andrv, Georges C handavoine, Gaston Fontaine, Gaston Courtois, A lbert Gentil, Alfred MouiU leroa.

' C/(Uses franrat’scr : Geotges Collet, Gaston G entil, Edm ond Lanrichesse. Léon Appert, Elle G ouverneur, Charles l l tlla m v , Prosper Mahieux, Lucien Coeffé, Georges Rayon, Au­guste Souty, Louis Lam y, Louis Bouvrct, A lbert B audet, Goorgc.s V aillant, Charles Méjas.son, llenri Lcmaire.

P rix d 'Exercices m lila ire s e t .Venfioiis Aono- râbles : A lbert C orb ie , Eugime Delaporfe, Edouard l la m e lin . Alfred P e rv illé , Louis Hamblin, Frédéric F ournier, Anatole O iquatrix , Edm ond Ijaurichesse, loion A lice , Ernest Mercier.

Yuici «{uoIquGS passages du discours de M. IÂH>n (AKsin :

Il ena loujoura é té ainsi, dans tous le» tem ps, aux époques glorieuBCs com m e à colles aes revers e t des calamité». Laiounussc est l’horizon vers kquel so reportent' les regards de l'âge m û r ; I avenir q ui s'ouvro est lu po in t où se i^unisst'Dl tou tes h» aitentioiis du 'prdsciit e t d u

'gètTé(9 tlOil lî^'ppoTVérilirdâns la tjncietü que confusion ol lo «hao.s. De Ipur nntiiro le» diosiw humaine» vonbUu désordro ; il feut une dièci»- pline qui les roUenne. Ccttn discipline, ici, «’ral Ih k ^ u ; au-delà, elles’apnells lo gduveruem ént.

■ Le G ouvernem ent, u it BossuiH, est établi . pour iilTraitctiir leu Jioinince do tou lo oppnvi- « sioo de tou te violeneu. C’est ce q u i fait l'é ta l t du 1a {«riaile liberté , n 'y ayant dsit» le fond « rien d e moins lib re q ue I anarchio «|ui ôte « d ’en tre le» l io m m a tou te prétention légitime• e t ne connait d ’au tre d ro it q ue celui do la - forne. D e c e la iI rc e u llo q u ’i l n ’y a p a B d e p ir e■ état-que-j'iinarcliie, c’est-à-dire l’état où il n’y■ I ni gouvernem ent n i au to rité . O ù to u t le■ m onde veut Ikiru ce q u ’il veu t, nul no fait ce « qu 'il veu t. Où il n’y a pas de m aître , to u t te• m onde est m aître. O u tou t lo m onde est < m aître , to u t In m onde est esclave. •

il n’en serait («as au lrcinunl dans u«s asil«»

p M s & » 'i j . « la |! ra ii j l .u rsa tis ra iù ia u I î ^ l ; “ i7a“ / r à „ f £ H r ' e k t o i ; SVOUS co iiR cledev i.il'du poursuivre les succès | .d 'u n e génération Criomphanto, su it iiiui dé sévères leçons e t q u ’un passé plein de larm«^.vouâçliai'gedela n 'qiaration, e t bâtisse votre future g randeur s u r une uxpérienue acquise au p rix dus plu» désolantes catastrophes.

C’est vous d ire , jeunes élèves; com bien son t graves les dovoira ii l’accom plissem ent desquels il faut vous pniparer. .Aujourd’hu i plus q u ’à toute in tr e époque l-i Société sc dem ande avec — en quelles mains ello laissera le lourd

q u ’uJle supporte e t sons lequel elle a failli succomlier. T ou t ce q u i vous concerne U p r^ c c u p e au plus haut degré. N’êtes-vous pas tes héritiers prochain» de ses pénibles, obliga-

Elle n ’en Ignore pas l’é tendue, e t c c s l

Mes amême

ijourd’bui

Sl i is ir la présence de M. le Sous4^réfet, dé I,. dé M. le P résident du T ribunal e t

d é H i ' t ^ i l i s r , d o o l 'lè iè le est ^ 'ç o ^ p u 'p o |jr lou4at>qiii.twcbe 4 Ilintriiciiw t'à|roo-ft l i i É f l Mcto G o m au id u t d b k 8MoiMN)|i

il y a deux an» à («aruillc époque, là solennité qui nous rassemble aujou s’ouyrait sous le coup des premières uoRoissus

.cfôla patrje. Malgré ta soudaineté inattOMue du m ouvem ent q u i nous je ta it dan» une lu tte c o lo n ie , l'esp rit du la nation avait trouvé le tem |>3de sè 'recu e lllir u t .d e [luiscr dans le passé du no tre h istoire l<s espérances p t l 'en ­thousiasm e q u i dans les jo u rs d e succès o n t doublé les forces d u pays et les lu i o n t rendues subitem ent au lendemain de la défaite «l ■*" revers lu» plus lamcnlablu».

En même tem ps que les é lm s b é re iq u n d e l'esprit national im posaient s ilence, je ne dirai pas à la crain te , mais au. d ou \e .quA faisait naître la grandeur inconnue des événements nouveaux, le cœ ur d u pays avait parlé. La lu tte n ’était pas engagée, que déjà , sqngcaut ù ses blessés, à ses enfants du cham p de,bataille, la France prodiguait son aigcnt. p ou r venir un aide à leurs eti'orts, pour soulagi^ leurs sou f­frances. Comme vosatnés, vous tiotesà honneur d ’apporter votre offrande 4 la SOciétédesecours aux victimes d e làg u e rré , e t la trouvant trop l^ è r e , vous files le généreux abandon de vos prix , c’est-à-dire du plus cher tréso r pour les élèves qui o n t du co>ur.

Depniv cette époque bien des jou rs se sont écoulte, jo u rs som bres, m arqués l ’un après l'au tre par de crnelte» désillusiom , jusqu’4 l’instan t où l ’ennem i so répand it dans nos

S daines, e nvahit nos demeures* s ’insU llaànotre oyer, e t se com plût ave& u n e intelligence

sciem m ent insultante à nous fairO' sentir qu’il é ta it le vainqueur, et que devant sa volonté, les lois françaises, j e d irai p lusjlealo isdes Sociétés ôyilisées n’existaient plus pour no tre inallieu- reu.«e patrie.

Nous les avons traversés,crajours de chagrin, d ’un cliagrin q u i nu ^ d it po in t , avec dus roots, e t ce n’est pas sans une véritable émotion q ue jè rappelle.celle douleur silencieuM que nous avions tous an cœ u r, e tq u tu n a e n tim tio tg é n ^ l de fierté com m e o n n 'en a q ue d ans do pareilfss am iclions. avait fini par ef&icer de n o tn figure.

Je me rappelle aussi q ue , g râce 4 vous, tou tes les m inutes n 'o n t pas leurs tristesses ut toulralcs jou rnées leumlàfm®®- Vous a v a pour nous, peut-être .fan s songer que vi accomplissiez une cu re q) hierveilleiise, un su ie l d e consolatipji, e t d 'e s p ^ n c e . Pm dant les heures du jo u r q ue nous consacrions 4 truction du m odeste détachem ent qui nous restait* U nous sem blait voir en quelques-uns la maison to u t en tiè re : ét' comme ces tribus exilées, qui-se plaisent 4 s'iimaginer leur grande, pa trie dans l'im ita tion .réd u ite , q u ’ils en ont

c lim at lolnmin* nous vivions aveû au d IIIsu de ' nos débris ré fo m és, e t

r r cela nu’ellfi vous a im e c l vous redoute 4 fois. Elle vous aim e com m e un sauveur

espéré ; elle ne se las-^ura pas de vou.» prodiguer se» tendresse», st*» conseil»,,ses supplications.

Fille von» rudoiite en songeant à la tâche q u ’elle vous laissera e t aux m aux réservés 4 la patrie si vous vous trouvez im puissant» e t sans energie lorsque l’heure des volontés viriles et des mâles ve'Ku» aura sonné p o u r vous.

Rentrons donc en iious-mumc» e t considérons sans faiblesse e t sans com plaisance les lemp.» où nous vivons, lo» leçons qu’ils renferm ent les faits e t le» Idées (jii’il» im posent à nos préoccu­pations. A peine étiuns-nous rendus 4 la tran ­quillité q u i convient si bien à nos travaux , au lendemain de 0*5 joui-» douloureux où la guerre civile é tait venue prolonger les angoisses du pays, qu ’une voix u nanim e s’éleva, vous vous le rappelez, com m e p our a lllrm ur la nécessité de moailicalions profoiidesdans no tre oi^anisation générale.

• I» «'ai à jia ilu r ici q«ied«« l'éducation, e t c’est su r elle justeiiii-nt ip io s’esl portée la j>eus«’K5 de tous. On a com pris que Dour sauver la France « l'Iu i ren ilresa g randeur, il fallait avant to u t s assurer d ’u n e jeunesse fortfi p a r le «e-iiitmeni Uu devuir, par I iiumiUQu au i o rd re , du travail, l'obéissance à la K^lu, le respect de tou t ce qui est bien, d ro it, e t ju ste . Q ue les esprits les m eilleurset lus p lus ém inents, frappés des grands événements qui o n t rum iié la Société, des doctrines fiinesius qui la travaillutil encore, dus dangers dont elle est menacée, cherchent d ’heureuses com binaisons {mliliques, des cons- lilulinnssavam inunl constru ites, des institutions en harm onie aveclo gihiie national et les idées de l’époque, ces moyens n ’a u ro n t du valeur et d’enicacilé q u ’au tan t ({u'ils se ron t subordonnés à d ’autres q u i leu r servent d e base, d 'appui e t de com plém ent. LescITort», le lalciil, la probité politique; le patrinlism e de nos hom m esd’Etat ne seront quelque chose dans l’ieuvre d u salu t, daas le relèvem ent du nivrâu social, dans la rééililication d 'une nation grande par son tempérament et se» m œ urs, si on ne com m ence d ’abord ii re«.-onstiliu‘r l'éducation d ’après les princi|>c» qui lui m am |iient tro p i souvent. Je veux dire que sans la régie, la r i^ le avant to u t, et sans le rrspiw t, on peu t bien faire encore des lauréats, m ais un ne fait plus de» hom m es.

liU |>ays u besoin de générations vigouruusits par le caractère, sages, éclairées. Il faut les- préparer par une éducation forie , disciplinée, m orale, religieuse. B âtir su r d ’au tres londc- mente, c 'est élever sur le sable un éd ilii» que le prom ier soufflu em portera. Or.le» familles au tan t e t plus que les m ailres so n t dans l’obligation iin|)érieu8e de consacrer tou te leur ititalligence, toute leu r énergie à la consolidation d 'u n m onum ent auiiiiel en m aints endro its l'im pré- voyarttt,' ta frib Im B itn ea frec iio n m a l entendue o n t porté des coups réjietés. Au m aître il ap partie iit.derevendiquer p lus q ue jam ais la. nécràsité d’une l'-ducation réglée où xfcn n'est laissé au caprice, à ce besoin perpétuel .de chaDgemeni, a cet am our passionnu de l’bxcup- noN qui annihile son au to rité , o l iv-nd inutiles se» tentatives e t ses «xiiiseil». A la E m ilie , de donner 4 l’enfant l’exemnle ilu respect de ces lois salutaires sans^lesquelles rien d e durab le ne peu t être édilié. A elle par sijs paroles, par ses avis, par l'io lluence alfectueusc q u ’ello a tou t, pouvoir d 'exercer, de rehausser. 1 au to rité e t de; nous rendre la lâche plus facile, bien loin d ’en augm enter les pénibles exigences. A vous, .mes am is, de vousinçliner devant ladouble puissance du travail e t de la discipline, d u travail q u i e x m la régularité, du la discip line q u i exige l'ol^issance e t le respect. A ce prix seulem ent, vops vaudrez un jo u r quelque choeu par vous- mêmes.

Reportons pour un in stan t lesyeuxen arrière. Quel singulier chem in parcouru , e t comme nous som m es loin do oc» vieille» génératipos d ’écolièrs façonnés à la vie par une l u rigou­reuse q u i n 'excluait ceiiendant ni la véritable

.am itié des ipatircs ni la solliciludu « l l'afTcption dp la lamUle 1 S u r bien d«» points l ’cducation a qu jtte sa voie; l«7 élém ents do force d o n t elle

'.ji/ipoàatto itl p t^du u se |iartie dp leu r vitalité : ',M f b i i n e d e u 'r ^ l e 011 m arche 4 l ’aventure.

prospérité. Votre can c lè ro «|ui se form e saurait sep asæ r d e gu ide, votre intelligèiioe q u i se développe neaau re itg ran d ir sans soutien. De la solidité d u tu teu r q u i vous au ra applkjué l'éducation., d ^ i i d e u l dans l'avenir votre ferm eté, votre énerg'ie, votre savoir.

L’hom m e m û r lui-m èm e q u i rfijellerait toute au to rité , toutconseil e t m anquerait de confiance ^ n s la sagesse d 'au tres hom m es plus e x p ^ i- montés q ue lu i se trouverait b ien tô t incerta in , isolé, chancelant. U cro irait secouer uu jo u g ; c’est un appui qu ’il b riserait. Que serait-ce donc de vous, de votre ê tre m oral e t inlollectuoi, où rien ne peut g erm er sans cu ltu re , s i, pa r un orgueil présom ptueux ou par haine d» la règle, v o u r le fermiez aux leçons de l'expériéiicc? P our avoir tenté trop ' tô t d user d e vos seules forces, vous vous condamneriez 4 jam ais à une incu ­rab le débilité. U ne m atu rité précoce ut tro m ­peuse vous ferait illusion su r vos propres m érites, e t ne vous laisserait plus confiance q u ’en vous- m êmes. V otre am our exagéré d ’indépendance, votre dédain insensé d e l’é tude sérieuse e t dë l’au torité , au lieu de vous m û rir bâtivemuiiti vousdurcira it, voussècherait. E ssoravenlureux , suivi trop souvent du cruels regrets ! Sâchez respecter ! Lh est la force d e ceux q u i veulent ê tre libres.

. i ' ,9 -y , _ . i t H f l è ' ô f

B S C if S U i

La deuxièm e divlsimi des fitE fem d a m U quelle é ta it classée la m usique d e Crell oom -

deoxièiiwprix «te lecture â vue e t le p rem ier prix d'«xé> eulioii consiptanléit q n y .m ^ ii l te d ’or. '

Voici, du reste , l'ipp récialion d u ju ry , ex traite de l'ficAo d is O i ^ k d tu i

Fartfàro de Grnil ( R lexénltan ts). DIreo- leu r, Deinay.

« Knàiimule rtmarqueUe^, «xecntion très- .soigniifi.jâniuirité bonrq),et,lwu)M èna. G rande di'diciitoBse datis les nuances e t les détails. Le trom bone ne m utim it p.vi< avsnt les notes du ch an t «Uns le tr io du m orceau im posé. Cette

pramiur p rix -sfiyvtdant aveq ses vives réfici- tatioii».

• U ju r y : Emile Jona», président; d e G root, t:ii. M oreau, secrétaires. •

.La (jHe patronale deirA ssoinpthni, ornâm-sée par la fanfare, e t so mla 1 d iivclien -.

m ental su r la place de l’Ilô td -de-V U le, donné

d « w d é " m u ™ lw da S i m t S - Ë a S w t , do M .II( .e td eC in ftl« J |« H < > ..a , ,

Le» corps de m usique, avec leurs bannières, su réun irou l, à m idi piéct8 ,>sarla plâésv e è i m v ind 'hnno ttu r leuraera<ofrertd ’ - '

A uiiB’hiMtre, défilé das sociétés,' précédées <él escortées pur la Com pagnie ' d re sEpedri- pompier». . . ‘ .m i - .

A deux heures, ouv e itu re id u coneert- p h r t e fan la re .deM ôntataire . 1 -.om

ÏAprès le concert, m orceau d ’M sem bldekdM té r i s s sociétés réunies^.sous ta d lrséü o o ' de;

, Hoffmann..................... ■ •> =■-■'Aprèsil’iexécuUon d e oetqoreeiiauteflisiM yvét

p A par M. le baron |d e GoEifé,>^déln d i M oniataire, réum ra*sou»la tM)(St'>te*teaMd>tés du-CoDttil municipal* IreEociétdàsim siiM leèôt' laGompagniedessapeursqKM npihrsl-'- 'i xu&hi^ -i’

L undi 19 omU, ieuK ' et: d ire ite ren rin tle , représentation théâtrale - Jiniii-iv .

A dix heures, su r la place : jeu des ciacaux, le pot cassé, — extinctioo de la boum e, —

avalons te fil, —'I t t th M Im if in d ’o r, — courses «our les bom m re, - r coumu.pu a a ç ,.^ „ iQ a t de leaup ré ,— '. c O ù ^ 'a u x L ^ . > 1’.,.A tro is heurèsl r e p 'ç ^ t a t i o n ^ â i t n i e .p ar tronpe de H . G aillarâ. .Dim ancAe25 aôûf a tro is heu res; Uragê de

tom bola; tOOIots repréeentant une *

B ala jrn y '-sre r-T h ëra iu .nanche 9 3 août. 1 8 7 2 , au ra lie

— 1.0 d i­m anche '2 3 'août. 1 8 7 2 , au ra lieu eu «.'Utle com m une un festival-concours de m usique d ’harm onie ut de fanlOres organisé p ar la société de m usique d e Balagny, sous le patronage de l'au torite m unicipale.

De 9 heures 4 11 lie u tte du m atin , réception à la Mairie d re seize corits'de m usique su ivant»:

8* Creil, 9* H erm re, 10* Melln. 11* Neiiilly-en- Thelle, 12* ftavene l,. 13* Saint-Leu-d Essurtuit, 14*., Sainte - Geneviève , 13* Valdaïupierre,10* e t Warlulé;

A m idi, départ vera la rue de Puronne (roule départem entale) danslo p a rc ile l’anciuii château.

A une heureJprécjsu, enlréf'- du fuslivul, p.ir la m usique de B a la ^ y q u i ne pnnid point pa rt au concours.

A 8 beurre d u so ir, ap rrè lu d islrihu lion des inédailli's, bal à g rand o rchretrc sous la tente de M. Bâron.

La Compagnie du chem in de 1er du Nord accorde une réduction de 50 0/U su r lu prix de transport d rem uriciens voyageant |>argroupe de dix au m oins. Les cor|>» d e m usique doivuiil s'adresser directem ent au chef «le gare de leu r localité pour ob ten ir le bénéfice de la réduction

C b a r e i l l l j - — Là tête iialronale d e C han­tilly aù là lleo les D im anche 1 8 , Luiidi 19, Mardi 90'"«t) D im anche 9 5 A oût. Nous publions uh

D im a n c ^ 18 A oûl. — A «iiiatre heurtis. C our­ses eit S a » . A cinq beurre ','Jeu d re Cisc,iux.' ' Lund i 19. — A q ùa tfo heures,' Mât de ('.o- cagM '' • •. ■ ■ I ■ ' ■

Mardi 2 0 . — A sept heures, grand Spectacle sOuS la toute d u bal, p a r des a rtistes parisiens.

DimuncAe 9 6 . — A q u a tre heures, le u de la Grosse.Têlo- A cinq lieuruu,' Course 4 :p ied .. A hu it heures, grand Feu d ’artifice su r lo Réser­voir.

t è è i S M t 'h t 9 5 A oût: grjrhds BdTs'so'uste' Tente du M. Iluurtevent.

La Gomiiagnie d u Jeu d ’a rc de G hanlilly d o n ­ner» un P rix composé de T im b a le n ^ de Oou- verte 4 fil.ets. -

C i r e i ^ d ^ W . — L undi, l ’ageoi de police | .P a rm en titr am ena devant le .com m issaire de , police, u n individu q u i s 'é ta it préseiilê aui bu ­reau de police, d isan t q u ’il so rta it de, fe; pnfSMi de G lerm ont, e t se trouva it sans »s)lp.ni mnyens d ’existences M. Derger roconm it cet tndivjdu; com m e ayant subi 4 Gompiègne. en 1867, une condam nation 4 treize m ois d e prison pour semblable; M L In terrogé d e | ’em plu |. de-lson

' époque, voici la déclaration

de 1 ,000 francs. ~ à sep t - h eures ifll «demie, re traite aux flambeaux par la fenfere e t ra co in t pagnie des s a p è u r ^ r a |H e n . -.■■■ny'.-

Pendan t Ire trois joura de la .lêie , g rtm iee illum inations, ba)l4 grand o rchestre sous ane tente parquetée et é l ^ m m e n l déoorée>

W « |g e c i l - lu « -V le iq g c s » , — I,«j iem m eQuillet a plusieurs enfants, e t Aon, m a rL e a t.à Tasile de C lermont Q lu tn v a illa it , le lO ’aoû t. chez sa mère, non loin de son liah itation , quand »on petit Cliarlc», âgé d e 4 a n s , croyant q u ’d le é tait au lavoir, sed ir ig » a )d e c e c ô ié : ro n frère A rthur, âgé de 13 ans, co u ru t après, lu i , e t, arrivé au lavoir, l’apérçu t flottant èiïr t r o u , dans la Brèche. S à n s ! c a l c a io r 'l e 'o a n M '^ ’u pou v a ilco ù rir , il sè je ta rééo lüm rhi d i ié ' v ière, mais ne pouvant r é i l .............. réussir 4 ’nhV àf l il appela au secours.’ -La 'jéune liA iiu âgée de 14 ans,a rrivd 'àh reU ô l; l l 'd e s ^ A 'U M seconde fois dans l’eau , e t, cu lte Ihur, m é t o l/>uisu, il amena au bord l e corps f i e ) w ^ . ^ t û'ère. 11 était trop tard ; l'finfent avait r i m do vivre! Quelle dqul«nir p o u r U ipaùVrô foèro» Hiiiâ si cruellenfiuuléjjrbùvfc! ‘ ' •

O e v j - l i f V l l l e : ' Dans t e n u i t d i t 9iàtl

' ^ ' e d'excuses lâclTeuses, q ue du faiblesses, que de laisser-aller s on t devenus de m o d e lR t faut- il s 'étonner ap rès cela de voir aussi alTaibli le rouage lé p lu s indispensable de la oiacliine sociale? Vous no 1 ignorez p as; beaucoup d 'en tre vous pèchent p ar la b asc ;leu r travail es t i r r^ u lie r , capric ieux , insuffisant, leu r érieigie est m qmentàmie ; leu r caractère indocile s 'h a ­b itue 4 jouer .le duvoir e t tend 4 su déform er. Je ne sais quel souflln rudoulahlu traverse la génération â iKjuellu vous app.irteiieZj mais un rajiigeant 4 ce uusoin p r4 ina lu féd ’indçpendaupe qui fe caractérie l, e t nu «hifi avunlui'çux «lu'un trop g ran d nom bru c ro it pouvoir je liT ,» cé* ré lm rep rip c ip ssq ù i son t l'h o n n eu r ut la force aù n e é a n c a tio n veritàblem eot nationale, n’élrj®-

I nom m e A drien-V ictor Le- . d fS G a n s , né 4 Rouen. Bofti de U leLÔ ds.on 4868, j ’ai-été oondampé suc-

tem ps depuis qu 'il fit : Je vassour. î p r ig o o d e_ ,,. cessivemwit 4 LÔuviers, 4 ila n tre e t aux Andelys, e t le 15, ao û t I87Q je sortais de la prison d ’Ëfvreux, G 'étgit (a guerre ; je m'engageai dans le 17* de ligne, faisant partie de l'arm ée de la Loire.

F ait prisonnier après l'alTaire du Mans, j'i é lé c o n d u itâ IleUi en Silésie, où jp suis resté »ix mois. Liliéré do ^ v i« :u e n ju in 1871, je re- ■ouruai 4 Rouen où j e restai 41 asile de» aliénés, de 14, 4 Rlampee e t 4 Duullens où J’ai été arrêté e t où j ai subi une condam nation ,4 un iao><>

S » A ’ d T œ . ' T o t »U anqquyl p ou r y trouver de l'ouvrage cliez, R M . A luàrct e t C?*, et c’w t 14 quu,la gendarm e­rie m 'a arrR |e e t m ’a conduit 4 C lerm ont. E t ce so ir, je, yj^ens.me constituer, prisonnier., | l . le com m iisairo a fa it d ro if 4 pa dem aqdé,. pp. lo faisant conduire 4 la m aison d 'a rrê t.

(P r e g ^ s tU tO is e ) .

, C r e f l . — La fanfero d re sapotirs-pompiers qui n 'avait pu , 4 son grand regret, ré rân d fu 4 l in v ita tjp p ^q i lu i.ay iù lêté fajto ,|iar la tquni- cipalité d e Rrréles, de prefidre ■^Q'itival- çoaGOMrAP*^;4{l jiffil^ . tuais q itiA yait.ralkvaloir

' scs éxcusM, s 'es t roM ue Ip 9 l ju il le t au coppuurs de o u i^ u p .d q U vilU d « M # u ti . ,

fitiutni nous poil b al m arron , db qui valait h u it à n r o f ’r o a t 4 ' ' f f o & J ' i d r £ i û - chfui's qui travaillaient d a r ià 'lé t 'b b iiâ é è V ^ quatre beurre du m atin ; Ôbt erh'Vàir'puhKF çe chuval : un hom m e q u i le u ^ ê Ü l jtocoiûjQ l'em m enait dans lad irec tio n ^

S a l n l - L ^ a a r d : - ’D « '‘ l U t t ; - ' • visité, dans Ih nu it d u 7 au 8 à ^ t T r è à 'i i de plusieurs , maraîcher» é t a fe it’ un r com plète d ’aHictiauts: ^ Ainsi jéo'di . i sieur Laurénl faisant une p rom enJdà é ja rd in fut très surpris d e vo ir qti’qli' ! volé environ ëO a r tic h à u û .

la m ême nu it, 40 a rtirbà llU disparais­saient de thèm e d u ja rd in dü rifeiiF jjfüÂlqe (Alexandre). ^ ,

J L ' I a o i i B i a a e ^ e M f i t e . --r' É hi'I « 4 l a f e n m M .

E rra re Au sm eh m « I ."L’erreu r.re t ub-défiiut inhéren t 4 l’hum aine n a tu re : o’r e t t e qeule bounuuM U sedu 'uo puisée invoquer « •.feveo r d re i d é » q u ’exctm irii|uas, M U i M 'd iaens aviv (léféreiice, q ue deux écrivons ren o eu M eâ d«-s titres d iffé ren ts, A lexandre Dunaas e t Em ile do G iranlin , q o t b ^ é , d 'u n e feçoo usez leste, su r le sujet« la le ra tn a m . V t m m C i m t m t l t à n i u H-'H u/u f m m i com m e témoignages d u la le n t e t su rto u t de l’originalité d e rw pfiA .^ft h

com m e Alexandre D um re, e tp u b lid s te '______w m m e E i i \ i l e ^ q /^ h l^ [ 9 f jq t A rouver con­d u it un jo u r , par j e ne a ils quelfe aberration room enlaoéetM i’wit»niUnMPi^ >, d ^

m B i f m B i i l u l l Inous partons, qu’on Ire lise sans parti p ris , en

périorité, e t l ’on jugera si no tre N n U n iia t 4 leur égard est eiagéro.

L’ezcen trid lé e t la fentalsie, voilà donc le

am élioration 4 l’in riitu tio n d u m a r i ^ b i e n a n

on y fiiit l’apologie d u concubinagel M. Dumas, après-s’ê tre geo<larmé con tre la

li^ islalion qui régit le m anage , ap rès s a avoir faiUresBortir M i iq b ^ le r a m ^ i ’t ià a M y a is selon lu i. e t s 'ê tre écrié , -aiifil iv -> v a la l( 'liM « rétab lir lis divorcojiQ uo d ’ad tiiW re ite lbne ttrlre dans les m œ urs, » I I . D um as, disons liOte,'*n’a p u s lu c o u ra g e n i'la lo g b iu e d e ico n o lo lh 'a a ré­tablissem ent d u divorce; pari uno éih ihge in­conséquence, il fin it p ar m e ttre à M r aiae- les cotiacieucre <dM fh tura D ubouijgqne > le » -im - pule» pourraient ten te r,i-en -'m iv «oàseillaDt hard im ent de se m arie r « n a l ip é 'I o M ' ^ u u 'il y voit de répugnant et- ;, de..tiNT iM «os échéant. C’est son dern ie r m ol. ffaa tsW Ire nhe iM* D um as n’hésite pas 4 fitirej d îo n b M rN g e r ,

I table rase de cettO: loi. .aüpénen4o jiiq rt / | i 0 ^ rég it depuis q ue le -roeb d e /ea tiiM iid S , q u i a délié loutre Ire révolutions e t au froiltiipirae>'de laquelle sont'»gravés .QW.j d e u i . i h M t - N e n occ id es/T u M i u t i m p ob iitl - i. >T

C’est ^ 1 , M. D ubeurg a d u b o ln d n ilait en lisant c requa lqueuchap itim M e D uiila»r«ur- to iil le m ut de ta fin. •Hm’h

!.. iQ u a ^ iM * deG irard In . ti. iM itd W i radica* )iBmqefilrsy9nt,.lLasp<AssBsqiMiriau>wl1t|Wlis

, jaa ûN tdm sn to enx -m lm w d n a a riM in « l ’i l * « .-.« •h I

Page 3: 43’ Aiiét. - N’ ( 8 kJnéL M H Sbmsenlis.com/data/pdf/js/1872-1874/bms_js_1872_08_15_MRC.pdf · IteU e. i mit a^our^'bul que le minislèt^ ilajiifq eàie^ii j[M)ur présenter

l O l A M l D K M M i M .

la(biaiKHitro « ro e l|it) iic M 'il

f t K s i p j i f f . * « i ’.b an é d « u m o iu , en d a u *

' s m S m ç .

lia la ^ g iq u e , n on , m ulq roiiver âL d ^ o n l r e r ên nfeaaaairenua le m ariage

I Vait nq cqnam.ldaaBolannel qui réièvp, |iour ainai dire , au^eeatta de toulee iee actions hu«

“ W I 0 » " * “ !FM ÏW s» •:<!'« W ii» ’ ™ w

" ■ W M W .- " '» ";u w n is^K quee^ J«a preralèro

M K W ftn fl W . W M c t a n l itim iné , ptluMÇfyiJjMtl9üje.d4!r,l0|i|ie, plus

v„r..„ IWMT«.8fli,flifc * l’originedes e o c t ^ , co(nmiiim]ld,r«ifiion d e tous avecxmnuiutuidirMfii

d ^ e ntot^fO rieoM ltiL ^ a i i n #veq o iusleiirs;

ÿro ie . u m

. .. .. un ion , . le iiioïKje liiidialioii ol

sim ulianée d un gvec ol g r é c a r a m ( ,l s M > |U p i d iv p ^ rU n io n w pceesive a uni/avec. plusieurs', d n é ‘iii q b rà je p , v ia r ia œ innisaululile, union d w l v w > i |D . , ‘A i ^ a lo f r suivi ceitd

/ , y . J i ' i n M e i a n i a

aA i u uipiiciA t. ^ w a (4)

C ^ a « M d r « l l M M g d i a ë r i i l e * .

[e sè ia it 'il ^ 'd i r i i n g e de i i i tM re a dririère, e t .levoirUM 'kM ÜUUi

m a m e ra ra n ir n tq faU o n ed u n u a n is m e r {C’est cepenoMtiOe qiM ill»l4itslnrdi»Tpt«)|>oee. , lh is q u e d e v ie a ta lo re d l^ ^ iU e T H . de G irardin ne le d i t m ^ e a c o re e l ,* l ^ a m toage aanq^jucun d o a le w H iM v ÿ ^ n T O ''s i i r t i f h ie d a 'm e n d ro it pour présen t,dans td w n ea cas, V de C irarain pas plus q ue

prenM ve. a e n in o o s renaoos respoi

«0;un l‘« n ,« |,p n ijico n p « i

M. Dpm as n’a p i^ r ip d è ririnède li ce m al ler< r iW ,’T a d o l l ^ e tq p lc è p e in d a D ta cause p r« n H M i;''9 en ltl6 i» reüdodslespènsab ie , dans------------j . . . — 1 - ^ j d a a s r f É i r / e r &

I eQet, on b&cle - i JP « fc r l pou <l«

goûta aanMoiitoMifdeiiceux do n t o n va u q ^ , , |p e , d « û l |4 e i i : > I m p a r t id u ^ U m ^ , la., n » t« » i« i* .P W apéqolalion, u o o .a lf tire d a r - gqj l't, rsrâm an t d â sym path ie , . a l iita le m e n t. l6' nw m an t a r d v L iriie. où d e u x ê t r e s , s’«per- 0 M v tA l* 4 ^ ^ i -IW ’ u r 'ra u tre , l 'a n liw d h su it b ÎM iê t, U, uente dd>

f.._ J.W. danslUX pieds,des a u t U d l à i r i i U b U .

‘ . , P , iBiMAnoEL Durand.

£èrK 8roiéuc«$^j j » t 5 ‘ îfqnUs, f aoû t 1873.

• l lo lJ ^ A r f ,’ ' ^ j •Les in s tim eu ra rèligieux ne possèdenlHls et

semaines e pcoref.N os lecteurs p ou rron t Taire la fé p o B s e '^ d j^ 'ta lk tu r e 'dès deux noies sui* vantes :

' R t ^ i i à à M m k y r : ^• lÀ d irec teu r VfOM ignemeut prim aire

d e U S e lQ ç .ll. C ^ rÜ il -vient de faire afficher iaS -fg sd tfiiu 'dée .^ n o o u rs q u i o n t eu liéu tes 9 e t 16 ju illé l dern ie r 'entre; toutes les écoles

la; t s & d e W r i s ^ ^ t ^ e s g o bourses rounûnpales. Qes résu lta ts contrasten t heureu* sem oil qveo lés appréciations des Teuilles repu • blicainee su r la force respective des deux ensei- anem enl». T oici û ce t ^ r d des cbilTres qui ont leu r éloqaence.

écoles lalquee o n t présenté SOI élèves ; 131 o n t étéc éfimilMi aux prem ières épreuves, e t 57 o n t é té déclarés adroissifilcs aux écoles supérieures. ^

« Lee écoles c o n g n ^ n is le s o n t présenic de Icqi;' cû té 169 élèves ; 2 6 o n t été éliminés aux prem ières épreuves e t 9 6 o n t été déclarés adm issibles aux écoles supérieures.‘'■ 'D a h s les SO prem iers, les num éros obtenus

.siirles,é |è )'bS ’'d n ''é co lM Jaîquê» son t les sui- van lA iS . - 1 2 .1 6 ,1 9 , — 2 K 3 6 .3 2 . 3 5 .3 6 , 3 8 , 3 9 . - < « L J 3 ; 4 « |d 9 . -«-61; 54 , 5 8 . -

« On .qu’è com bler les lacunes en tre ces p ou r se rend re com pte d e quel côté est

Ix v a n b ^ . >(M oniteur.)

l e com ble la lacune, ;iû<)n8ieûî^, e t j e Tais quelques obsèrVatiOrfé* '

65 . 6 6 ,6 7 , 70..<2* f in i t :' ‘de*! k 10 lesErèrqaO

>. : r a i l , 4 6 „ 4 3 , 4 8 , . , , 5 9 , 69 . 6 2 , 64,

7 3 , 7 5 ,7 8 , 7 9 .

U jP .ru 8 se n 'a v |jtp a B M |d e n n é è la F rance léna e t A uersiadt’: avéc la 'fé n a d té e t ta pa- tlMoia d u raraèmrft allem anri, elle M'mnla oublier, médiliint w revanr.be, l‘i p ré |iaraiit lentütncnl e t kuih <iclat. Qnà.nd elt«> l'il sentît p ié le , elle ctiMclia au tre |ia r l q ue s u r le cham p d e m aniauvre (a c q q f irn ù ü v d o .son lM ln b i* ‘ tiph m ilitaire! D n clièf.d ’lu t- i t ia jo r g to é ra U . teioaqt qn inçitn |a liaulq fiire ttion d e rarroéil',' avec cet, esprit'de suite que lui p erm etta it uoe jm ilio n pour ainsi d ira inam ovible, perfte* tionpa it sans cesse : la guerre seule c u v a i t dônner à son œuvre uneco n séc ra tio n au m an te .

U P russe rècbércha d ' ^ r d le Danaonark ; bientôt après elle s’a l t a q u n unp puissance mi* llta ii^ 'plus séHèuse, contre laquelle il ne lui U uifln il pas dV m plojer des arm es nouvelles, m ais d e m ettre en praU que Ire n sao u raw d e la I tn té g ie e t d e la tarjtique.

En rem portan t Tavuitage su r l’A u trich e ,, en IgOO, la Prusse a tte ign it u n au tre b u t , çelui d ’é tab lir sa prépondérance en Allemagne, d ’augm enter d ’un nom bre infinim ent supérieur

^ c ^ l I T p do SOS ,soldais, d ’ÿtendre son ayblèlne in llitâ ire s u r tous les E tats, germ ains ml M dépendance. .

Alors seulem ent la F rance s’é m u ^ d ’un (danger devenu im m inent. -

Les chem ins (le Ter donnaien t aux m ouve- .ments. stratégiques u ne .rap id ité foconnne ju sq u ’a lo rs ; la lactique devait ê tre profondé-

rmenE modifiée en préeeDCe des arm es à Ur rapide, désavantageuses aux races nerveuses e t im premioiuiables, com m e la n ô tra .'

Nous m ultipliâm es les co n fé ren ces 'sû r les .Unis -erméeev (inlqulecie, ic an le rie , OHillerié), ‘8ért’'an mimÂëTe d é la gderre , so it dans les cam ps d ’instruction e t les garnisons. ' l A idéès émises dans ces conférences pouvaient ê tre lionnes, elles éurèn t p o u r résu lta t le p lu s : réel d é c r i a perturbation dans les esprits.

‘bed innOvati(Ms,^û péinè ^ û c h è e s , n ’a ja a t n i la consécration d û tem ps n i celle d u cbam p de.ltalaille, boideversèrant les principes d e la t à o t lÿ ie in h s les, n tiq ila c e r p a r des principes nouveaux ferm em ent établis. La g arde nationale

.m obile fu t créée; m ais elle n’ex ista it encore . .q u e su r le papier, lo rsque le plébiscite d e m ai 1370 fit connaître au m onde entier, le noq tb re réel de nos soldats sous les drapeaux .

11 ne fout.plus faire un aussi rlnéqoent em plo i des trancliees-abri, ni faire constam m en t cou* ch e r les éôTdals p ou r les défiler. Cette dernière dî8positi.on fin it p a r lesren d re s tim ides, et& un niomerit do.nné il dev ien t difficile d e les faire lever spontaném ent p ou r les p o rte r en avant, par u n m ouvement d élan.

Il çst p ré fkab le d ’am ener no tre *nfanterie à m aïuciivrer régulièrem ent dans l’o rd re m ince, l’o i^ u 'o lle est d ans la xone d ’action , o fio-d’ob* ten ir un bon résultat de scs feux, sans'gaspiller des m unitions qu i, à l’époque ac tu e lle , son t beaucoup plus difficiles i 'confecUonner en cam ­pagne qu 'au tem ps de l'aiicien a rm em en t.

E nfin, il im porte de ro m p re le so ldat & la m rrche . ce q u i facilite la m anœ uvre e t p«rm et de com pter su r lui en to u te occasion p o u r exé­cu ter ces grands m ouvem ents to u rn an ts , qu i aujoui-d'liui décident presque to u jo u rs d u gain le s batailles.

11 faut augm enter la cavalerie l ^ è r e . soit lu’on y fonde un certain nom bre d e r ^ im e n ts le ligne, soit qu ’on dem ande le m êm e service à

ces d ern iers. De celle foçon, nous pouvons cou­v r ir les arm ées d’une grande q u a n tité d e déta­chem ents, battan t l’estrade u n s un rayon de tro is à cinq lieues.

Ces éclaireurs o n t p ou r m'ission d e surveiller les m oindres mouvem ents d e l’ennem i, d ’enlever ses espions, sa correspondance ; de ne laisser personne aller è lu i ; enfin , de répandra de fousses nouvelles, qui l’inqu lè teo t e t l'induisen t en erreur.

Le service des avant-postes, q u i son t .lâs yeux de l’arm ée, doit nous laisser moins, insouciants. Ulficiers, sous-officiers, brigadiers, tous les chefs de ces petits délacberoents do ivent ê tre cons­tam m en t en éveil, a tten tifs le jo u r com m e la nu it à tous les indices, à tous les b ru its , in te r­rogeant l(>s h abitants avec so in , etc.

Nous avons les qualités désirables p o u r m et­tre en pratique tous ces détails, il su if ild e n o u s conform er au règlem ent s u r le service des tro u ­pes en campagne, de 18H3, q u i e s t demeuré,, ex u lte n t. I t est donc im portan t d ’y exercei’ sénèusëm ent no tre cavalerie légère en tem ps de

U en r é n l t i on détordra e t nno coofoaiob ioé* vilehiM . Dana d ’eu trM conditiona. 1 | garde qn* tio iiile mobiln l u n i i rendu , d è tleoom iùeoee- m ent des hM lilitéf, des tervicra considérables.

D«os iss dépertèqipots frontièrea d q l 'B r t , les douauiera, ira nom breux agents forestiers les pom piers des villes, Muraient pu fo rm er des délachem euls utiles dans une g uerre défensive, com m e coiniiagnieH de iiartiiuins,' com m e gu i- ' des, fil*., n im m e déAmseurs de {lelils postes, s 'ils av.iiimt été m ieux arm és. T/-s ibiusn iers e t Ira tbrestiers avaient conservé d e m auvais m ous­quetons lp l s to n , ’ê t la com pagnie de pom piers o e TldonvIlle,. pgr exem ple, do n t la lid le te- bu6 rappelait m le iru n e lro u |ie d u g é n ie ,n 'a v a it q u e d e s lb s i ls à s i le x . ;

N otre infanterie m l trop chargée, e t c’est p o u r cela que les so ldats dem andent tou jours a dé|ioser leu r sac |iendanl le c om bat. 11 faut donc m odifier le (itiquelage, supprim er la dem i- > couverture , Id tente-abri, lourde quand e lle ' est m ouillée; simplifier les ustensiles A u.cam ­pem ent, en leur d onnant une capacité p lus pra- 'tique . Le système actuel d ’u n e û m e lle e t d une m arm ite par escouade offre les plus grands inconvénients. Lorsque ces ustensiles M nt perdus, plusieurs hom m es se trouven t privés d 'a lim eufochauds, ou bien il leu rfau t em prun­te r la m arm ite des voisins, s’il leu r reste ésstz dé tem ps pour s’e n servir.

Le système de cam pem ent em prun té à nos

fuerres d'ATrique devrait, ê tre supprim é : ennem i n 'a qu è o o m p ^ r le n om bre des tenteq

So u r connaître l’effectif des troppes ^ u 'I l a evant lu i. Le cam p nécessite lo d io ix d 'u n

em placem ent convenable: ap m ilieu son t p ar­ques les bagages, l ’a r t i l l e r ie ,a m b u la n c e s , en un m o t, toutes les voiturës e t les chevaux. Que de causes de désordres! sans com pter les alertes, les a ttaques de n u it; q ue de tem ps perdu le lendem ain pour r ^ a g n e r les rou tes ,e t se m ettre en m arche I

La campagne de 1870 a donné la prafive d e ce vice d o rganisation; jam ais on n o y a it vu . une aussi grande perle d ’elfels de cam pem ent. 11 est préférable de cantdnner les troupes.

jB ttK Ic ilio M u rgeot4* d ’o u v r i r ' e x t é r i e ^ 'é l o i f i i ^ placé! MIT dés poaitione dominanlAS,a lm de r “ ■*' “ *■“ ‘m rttru le corpe de place ! F ab ri >de" l’a ^ l le r ie 2i lo n râe p é iié e e t A. I |r idqggaïql#; O è .fy a lt m lre p rii d tà trava|ux p o« r p erar «n m M iM l ou la guerre ‘éclata. Ce» travaux ce»- sM èran t è m ultip lier les traverses su r les ram - parta. à blinder les magasins è iioudra* h augm enter le n om bre des casem atei. l.ee places fu rèn t dotées de l 'arm em ent de sûreté , sans loiile-toism w Toir u n penonnol HiiffiiaDt }Hiur le servir.

Des instructions avaien t été données, dtfi* le com m andem ent d e l 'E st, en 1808, p ou r que

ijets des ouvrages A .tiever fü s s e f t t .é ta l^rerim m édiatem ent les

Îuand elles sontoncoro ù u e l 'ennem i; plu&rapproohées <

contre 1 Im laïquesdu 1 0 è 2 0

de 4 0 è 50de 5 0 à 60d e 6 0 'S '7 0

cu<lB70A i8»- . . ^ j t e n t u n 7* d e m oins d 'é -

Ivres A v iro n . lo O e o n tra 2 0 1 , et obtiennent p lus d e isoillé*deB beUrseB a u coitcours.. 4* Aux prem ières épreuves son t élim inés :

é |A es la lq n n f l u t à» U uteUU, des élèves “ ^ “^ “ ’dHW îF.frarâa «fm»

" i f é lra d m Alèvescongréganletes écd o s supérieures i 9 0 . — Un

i | t a a 'd ’u n q u a r t 'seu lem en t "des âèves IM S so n t reçus : 5 7 . ,

......... "ritiate&,ént'préeeRté33 élèvesir â ; ,e t UjS

certaine d istance lu i, elles b i­

v o u a q u e ro n t,'a u tan t que possible, dans les directions q u’elles d o ivent spi.vre le lendem ain, su r les emplacem ents - mêmes où l ’on est résolu .d’attend re l’a ttaque. En faisant can tqnner les troupes dans les villages, on a p lus d ’occasions d 'avo ir des nouvelles de l’ennem i, par lé con tact avec la population, ce qui m et le p a |^ n en confiance e t lui fait d>rs dans la conversation c e . qu ’il n’oserait pas apprendre è n o 'c h e f qni 1 interrogerait.

E n supprim ant la tente-abri p ou r la troupe, on obtiendra une d im inution notab les des ba­gages de régim ent, car les officiers' n’au ro n t plus à se p réoccuper des objets du cnucliage et d ’habita tion sous la ten te, qni son t toujours encom brants, D 'un au tre côté, en em ployant les conserves alim entaires tan t que les années son t en opérations prélim inaires d e com bat, on lourra rralisri* une im portan te réduction dans es convois.

Une tendance regrettable a développé depuis< uelques années l'esprit d é dénigrem ent e t de< isciission dans l'arm ée. Ces ofliciers doivent cependant avoir un respect plus réel p ou r la vam ur de leurs cb e fs ;il ne faut pas q u ’ils s’ima­ginent q ue celui qu i donne u n o rd re do ivent en

d f ÿ o Q tèu 3 9 élèvesiTquet déclarés .adm issibles, Cli

____hreu''de p lus classés parm i le s 8 0 pra-

L instru c tio n des F rères serait-elle donc è reocon tc du succès! le succès com plet, l'ins- truc tioa incom plète? > i -

oole tirée dp 1a iSsmsiiie re lîp ieu te , de

; . L m exam ens dû breve t de capacité ont 4té foha à Rouen depu is le 16 ju sq u ’au 27 ia ilte t;"

M asp iran ts étèieni au a o m b ra d e 7 3 d o n t 1*4 diéM M uetires d e l'école norm ale

pa»v .Le modo qui avait été adopté , d ’a ttacb e r ub

régim ent de cavalerie à chaque d iv irion d ’in ­fanterie, est défectueux, excepté p o u r les cas où cette division serait détachée. O n im m o­bilise ainsi sans profit u n nom bre considéra­ble d ’escadrons, do n t l’actiou séparée su r le cbam p de bataille ne peu t d onner aucun bon r& ulla t.

Les dragons d o ivent con tinuer à com battra à p ied. Q uand ii la grosse cavalérie, sa puissance d 'action est restée la m to e .

Des corps im portan ts e t séparés de cavalerie sont toujours u n auxiliaire indispensable, soit au m om ent d e l’action , so it p ou r les e x péd ition r loinlplnes. .

li’a riîlleric d ivisionnaire d o it ê tre rendue à e lle -m êm e, c 'esl-è-d ire q u ’il-fou^ laisser aux com m andants des batteries u n e p lus g rande ini* tia tive , afin qu ’il puiasent reropitf le rtilè de l ’artillerie légère, com m e dans lep guerres du prem ier em pire, e t engager les com balsp rasque au m êm e titre q u e lés tira illeu rs. iLes ta tteries. devraien t ê tre de h u it pièces e t lés pnojectiles arm és de fusées percu tan tes. E n aucun cas, les coffrets ne do ivent ê t re s o r e h i i ^ 'd e sacs, de cordes, e tc ., com m e l’habitude para it en ê tre prise.

L’anpcl des hom m es de la réserve, à la der­nière h rtire , ne p erm et p a s 'd e 'r a i i ^ p é f dans

San ijeeF rè re s du l’éco le chdétienne). Le ju ry ’qiilfBWI IW H fcMiijwttAin. 4 0 au- b rev e t

Æ p l e ; l e s é lè u t-m a itr ê t m trouvaien t fous d e ce nom bre.

• IB can d idâts o n t ensuite concouru p o u r .Iç ■ U m i jWllêyMir.'.'. fP sè ü lif f le n f o n t ob tenu un

t. iln pqoi de l’école n o rm ale .' • ''L 'û n detixj a m êm e a jou té à son breve t la

. jn en tio n d e 4 a i a r ^ e anglaise e t celle d e ta lan­gue allém ande. l i é fu e f r e a u tres élèvaikiBallivt

. de i j p jy .

I, de R oueni f t'aoû t 1 8 ^ ) ,

* * BUpco lè encore une p reuya q u e lW çongréga- ‘ RistM n’tfnt e t ne do n n en i q u ’une ifiitfrwclAM» ' in tm p lè t e ** ' I h 'i l ra t qvration d 'é tab lir ' è ^ n l l s

«qle'cotiflm ilnale lalijue pour les.garçons.■ -Tm cfd 1 % , m onsieur, de signaler; aiix pères

•d i^ Ih U le d b i 'â t r a lA t , d ans c e ra a ,à l^ ra c b o m ren tra I r a d p h ] ^ I w , quelquee'foilp ib m ,récen ts •p ro p fw ^ k W a ir t f four IcoDsçleacA Peùl-ètre t^ m ln e cès ram rignelffm is spraièut-ilsÀ tiles aux ' dignes cohseillerS chargés de inté-. î M i i f f o trille. ,

• f fé u ilf fo îi^ ré d r , çoowriaur, l ’assuran i» do

iline les anciens soldats éloignés d u cam p d e p u is lo iu te m i» , e t bon nom bre d ’en tre eux ne son t p lus familiarisés avec la m arch e , ne connaissent pas le nouvel arm em ent, s’il a été m odifié depuis l ’époque où ils o n t q u itté le se r­vice actif. \

En faisant rejoindre ces hom m es par les voies ferrées e t sur la fironlière m êm e, c’est-è-d ire eu

Srésenco d e l’ennem i, ceux-ci se falfouent pen- an t les prem ières m arches aVéc oes souliers

non baisés, chaussures auxquelles ils son t rare­m en t habitués dans nos campagnes ; de là une

-g ran d e quantité-deblerauree aux p e d s ,-e t par­lan t, des traînards. E n fdrm ant les arm ées plus en a rriè re , on év ité-ces gratéM ih o o n v  ien ts : les prem ières m arches son t peu longues, o n t lieu su r des routra, è l’in s ta r d ’étapes.

P endan t ce tem ps, le .so ldal d e la réserve pu se rom pre d e nouveau a n m étiA d n arm es quand il arrivé devant l'enUMoi, il a surm onb ' les premières fatigues. E n 4870, le m oral de ces hom m es q u ittan t in o p in ém en l. leu r fom ille , leu rs travaux, no fu t par à la hau teu r des cir­constances. e t leu r p résence, loin d e fortifier ce­lui des jeunes soldats, a p lu tô t co n trib u é à l’é- b ranler.

La garde nationale m obile serait d eV A ueune institu tion m ilitaire réelle e t u t iK oom m e ré­serve, si le m anque d e fonds ralfisan ts n’A avait arrêté l'o igaitisation. Au m om en t d e la guerre , ses cadres n ’avaient pas é té p a rto u t fo ^ m és, les hom m es n’avaient reçn e ucuneinstn io- tio n , Icsarm es éta ien t m co red an s les arsenaux; c’e s t q u ’au d e n ie r in s tan t q o ’oii fit appel k celte jeune e t vaiftantu troupe, T o u lé li t i tà foire:

Iravii^leurs c ^ i ls , en cas â 'u rg w ce . O p en éta it resté I t , faute d e fonds.

D’ailleurs, bon nom bre de nos placée de g u e trr n 'on t plus, aous le rapport s tn té o q o f , la ptfone im portance q u e par le iiaseé, a elles ne pODimaDdiuit-tas, en les inu lilisan t p ou r l'A D em i, les voies ferrées par lesquelles celui- ci ifout les to u rn er et pénétrer au cœ ur dn

1 1 ; ^ . do it ê tre rangé dans cette d ira iè ra catégorie; m allieureusem enlles travaux de . (prts étpienl loin d ’ê tre achevés.

L’instruction de np ire in&mterle- d o it avoir su rtou t p ou f b u t d e lu i d onner la dose de sang- froid q u i m anque è son tem péram A t. ëes im pressions, tou jours v iv es ,. ne p eu v en t ê tre modifiées que' p a r une longue e t solide éducation militaiqs; par une forte discipline. L 'en thou­siasme v iaq l au jp u id ’hU'i; se b rise r fofoUe fo pu issancedèsei^nsperrectionnésdedestruction , e t la science seule peu t lu tte r con tre leur emploi à la guerre.

D I V E R S .

Le général de Montaudon a q u itté i e 10 aoû t le P rytanée d é la F lèche, après pvoir p a n é dans la sem aine l'inspection générale d e c e n e l établis-, sem ent e t après avoir pfésidé'è la d is t^ u l lo q . des p r ix . ,

Le général a paru t r is salifait des résultats obtenus pendant l’année 1872. O n rail q u ’il avait é té précédé è La Flèche.par le m inistre de la guerre, q u i avait tenu à se rendre cém pte de ce qu’il y a v |i t è faire pour am éliorer cette pé- p in ië reae nos jeunes officiers où l ’éducalionest donnée aux fils d e nos anciens officiers, è leurs

m êm e tem ps en développer les ra isons; c’est là le secret du com m andem ent, sans lequel rien n ’est possible. L’obéissancedoil ê tre im m édiate; tout le m érite, tou te l’intelligence d e l’officicr ne do ivent tendre qu ’à la meilleure exécution de l 'o rd re q u 'il reçoit, sans p ou r cela i|u ’i la i t besoin d ’en savoir p lus que ce qu i lui es t d it.

Avec la puissance d e dcslruciioii des arm es actuelles, la rapidité de leur effet, la m oindre faute peu t devenir irréparable. Les com m an­dan ts des troupes, quelle que so it leu r place dans la hiérarchie m ilitaire, do ivent tou jou rs agir avec la plus grande prudence, connaître d u ne foçon com plète le |tays dans lequel ils opèren t. P ou r a tte indre ce dern ier résu lta t, il es t iodispeusable q ue la ooiinaissanca d e la i;é<^raphie soit répandue p arm i lc3o{fieler»et es sous-officiers; il est de nécessité im périeuse

qu ’au m om ent d e la guerre de bonnes cartw , soigneusem ent ra'ises à jo u r , leu r soient d is tri­buées. E nfin, on do it désin^r q ue la pratique des langues étrangères soit p lus ré|Kin(iue dans l’a rm te .

Jam ais une occasion plus favorable ne se pré­sen terait p ou r nous com battre ; la P russe le com prit e t s’y r i ^ l u l . E xploitant l 'a rd eu r e t la fierté du caractère français, le pressentim ent im patien t que nous avions d 'u n e g u ^ r e contre elle, son gouvcrtiém en l‘ fit na ître sous nos pas u n p i^ e do n t nous ne sûm es pas nous garer. La Pru& « avait le beau rô le en appa­rence : ce fu t la F rance q u i leva le bouclier.

Ainsi les ressources de la France n ’éta ien t pas ê tes ; nous ne pouvions opposer q u ’un nom ­

b re d 'hom m es très lim ité aux légions q u e la P russe avait su en traîner sous son d rapeau , en faisant m iro iter aux yeux de l ’Allemagne nos irétendus appétits p ou r certaines provinces d u Ih in . ,

D ue pareille situation nous im posait la dé- fonsive; nous devions éviter de laisser à no tre advejrraire l ’a v a n c e m oral, puissan t, des pre- ihiers succès. .

P o u r ce faire, il fallait occuper certaines pu- sitloDs stratégiques bien connues, nous y cou­v r ir ri’ouvjrages rapidem ent exécutés, re tran ­cher les passages des Vosges, la trouée de Savrane s u rtou t, si im portan te A cause d u ‘che­m in do fer q u i la p arcou rt, s i facile à défendre par su ite de son peu d« largeur e t des obstaciles n a tu rd s e t factices (tels que les tunnels} qui y son t sem fo, ne liv re r d 'ab o rd q ue des corofoits défrasifs. Nous au rions ainsi usé la première a i ^ r d e n o tre advenaire . Obligé d e s’occuper de forces conâdérablcs, qu ’il ne pouvait en ta­m er e t q u 'il ne devait pas la ls e r derrière lu i, il d onnait le tem ps à la F rance d'organiser ses forces, d e lever de nouvelles arm ées e t de prend re a lors l’offensive d ans d e bonnes condi­t i o n contre u n ennem i d o n t le prestige serait d ^ dim inué.

E n u n m o t, n’ayant pas la supériorité du nom bre , il nous fallait revenir aux principes de. de guerre d u dix-septièm e àèc lè : opérer mé­thodiquem ent. L a pu isu iice destructive de l’a r­m em ent actuel nous im posait d e rechercher Y o ffe m m en ttraU gie e t ta d é fe n m e eu f o o

^*^Le grand quartier général d e l 'arm ée, a u lieu d és 'é tab lir en prem ière ligne dès le débu t d e la cam pagne, au ra itd ù se ten ir à Chèlona avec U garde e t les corps d 'avmée en form ation ,com m e arm ée d e r é s ^ e .

Les deux premières arm ees devaient se con­centrer : la i»remièrc arm ée (relie d ’Alsace) vers Lunévillo, Nancy, Pont-à-M ousson; la dexième arm ée (cd le d e Lorraine) eu tre Verdun e t Mets. C hacune de ces arm ées une fois constituée re s e ra it portée en avant avec tous ses élém ents bien c om ikctes; a lors le grand q uartie r général s e ra it venu s 'é tab lir avin: l'arm ée d e réserve, non pas h M ets, m aisau-des-iusde Nancy e t de ^ u a i d , su r le plateau de Haye, cen tre stra té­gique a u tou r duquel les deux arm ées d ’Alsace e t de Lorraine, au ra ien t opéré d u ra n t la période défensive.

Un projet avait é té remfo, en 1869, au i i ^ n is tre d e la gue ire , tendant h couvrir Frouard par des ouvrages do campagne. On proposait d 'é u b i i r n u vaste cam n rolranohé su r le plateau

q m im ie e o roâloyadi'l/o jN cûob publiquê ■ ' t lk c I P e to a n t

n o co im ge e t' dèliouffraoceti.

En h rû la n t la Préfecture do ixriice, Ira repris de juaüebp 'q iii (OhijNialeiit' la mltieure p û ^ * d ra p é l io le u n d e la C oaln iibo , « u r a l e o t èabs doute a n é a i ^ pour jam xfoùeoM B tiiU opécfite de leu rs e r im ra e t 'O T lM n t ^ . " - '

H eeevaieni M e ffetqM daM detddifieoé(ilA t< Ira foineux <M»erayMdidmresreoMant lanom en- d a tu ra exacte des mofaidrra d é ü ls qè 'ifo svaleol com m is. '

A pprenons-leur qu ’ils se s on t trom pés dans leu r ingénieux calcul.

Les cariras judiciaires A t b im étébçûlés, m ais .riA n ’est plus facifo q u e de Ira reconsti­tu e r. '

Depuis très 'longtem ps, en effiat, la préfecture de la Reine a .a r is .p o u r habitude d 'A voyra , tdus Ira tro is m ois dans chaque m airie i s releiié, autograpbié des condam nations p rononcé» dans le d ^ i e r trim estre par Ira lrilH inauf c(^reclioa* ileis e t c r im in ^ . L e m r ir a fo i t^ p fo g n e rp a r ses employés, s u r deû fiches a d Aoêt'les condan^ nétions srêd iies, avec le m o tif qui les a pro^'* q u é e s r r a c e .q u ic o n c e ru e le s iia b iU n lsd è i arroodiraranent.

T oufos ces fiches, classées par o rd re alphabé­tique, tnirtHit servi k refaire, a peu d e teir**"'*’ à très peu de chose près, les casiersde la pi tu re de police.

L e travail de reconstilion q u ia été com m encé dès le lendem ain ^ e la r ^ t r é e des troupes à P a ­ria a é té m in é trfo rap idem A t. I l if ‘été cen tra­lisé dans la casrttiè d e la (^ té o ù les lA seigne- m A ts,co n cen ian t U H . lès ypleiirs e t assassins n’o n t ifosifordé à affluer d e o m qilités. P rès d r trofo m ille ag A ts o n t âA eiàploÿés à se. (es p ro ­cu rer et' o n t déployé, p ou r m bherleûr.ŒUVre à bonné'fin; nne aptivijé è toqte.épréuve.

TaM ‘ (ait rapfoér q ue érâte besogne rotuu- t l ra s é 's e ra rém plélem ènt term inée dans un délai'très rapproché

. , Un trip le accident en ^ n e :n - .._ ;------- canotiers e t nagèurs habiles.

»vo-lé so n

q a l l s I

q w lu i,e t son qaèfo ttD M à quirJes i au plus f o i l« ; i t ..'.R icha to u t

e t p u g rande ,qwi O n' a dem andé A Rlébaiid tn i

Il a v u t dépensé pendant je n e tenais u t

v a n tp u ë T te S k 100 ,009 fo. A

N K m H ' m N i

E n { l ^ « B A e . 4 e , I M ; i

•■j^POUtaNT 15 j e a i a i a m t d u i ' i ' p e t ^ i ^ ; d

Payables p a r eeraratre. Ira I * avril e t iP 'o e fo le e . ;i d e chaque année .'^Ü .riiii."RBMpOVfSAilfo 'BR 9 6 ê f o l in A'^^^Hl^lfGe

A u t c i r ^ p a r d é ^ n d u GonvienraiiM!^

m d a te d n 2 5 m ars 1892

25 francs en souscnvanl,8 0 - > 1 0 » ' ■75 —

' , 6 0 ,. - 75 -

Le coupon d ’a' d ern ie r versem ent.

o rph riio sao rtou t. 11 paparait positif q ue l'in ten lion du m inistre

est .de porter, à la rentrée des classes au c o rn - . m ehcement d’oolobre, le nom bre des élèves à c inq cents.

Le Prytanée est com m andé au jou rd ’hui par le général B ertrand, ancien colonel d 'infonlerie, q u i s ’est distingué à Ueischoffen e t ù Sedan, p rom u général à la su ite d e ces batailles.

L 'instruction religieuse est confiée à l'abbé Denisch, hom m e d 'u p grand m érite , ancien élève de La F lèche e t fo rt a im é des jeunes gens.

A la tète de l'infirm erie se trouve la sœ ur Louise qui. depuis c inquante-six uns, consacre

soins aux élèves de cette école.

Un négociant de Sedan, M. Ju les V arinet, a sauvé, au péril de sa vie, un soldat bavarois q u i a lb i t se noyer dans la Meuse.

L'em|>ereur d'A llem agne vient de lui envoyer la croix de l'o rdre d u H érite civil. U . Jules 'Va­rin e t l'a renvoyée im m édiatem ent, avec une le ttre dont l'Aoeflii* tiaii'onal donne le sens, siD onlcs term es;

J 'a i sauvé un Bavarois parce quec 'é la il m on devoir, c l non pour être, récom pensé. La seule récompense que je puisse accepter, c 'es ila liberté du dernier Français que vous retenez en captivité. Homme pour hom m e. Vous m ’en devez un. Je le réclam e. *

p re o fiA t h ier leurs joyeux ébats su r la Seine, non loin d u Bas-Meudon. I b avaient emm ené avec eux une joliè ^ e | servante ''dans u n ca-< b are t de Sa 'm t-lïoud , < q ue la peur d e l’eau affo lait, au grand arouseraA t de ses com -

P a r un arrê té de M. Léon Say, préfet de la Seine, rendu ^ r è s nne délibération du conseil munlcquil de Ib r is , le d ro it su t Ja .Tèntê a gros des g rains c l grenailles, opéréé^par les foclAr^ à la balle au blé do Paris, est perçu depuis *lè l " aoû t, en p renant pour base le qu intal m é­tr iq u e , au lieu d e l’hectolitre. Go d ro it est fixé à 50 centim es p a r qu inlab m étrique, au lieu de 60 centim es p a r sac du poids de 1 20 k il., équi­valant è 40ccutiipes p ar hectolitre. Les facteurs continueront com m e par le passé, à percevoir pour leu r com pte, à titre de commission, les 9 dixièm es de ce d ro it, e t la ville de Paris, un dixième.

Plusieurs jou rnaux o n t assuré q u e l’école de pyrotechnie de Metz allait ê tre transportée à Boutgra.

O r, la législation de 1861, q u i a décrété les éhiblissemenls m ilitaires de Bourges, a prescrit la création d ’une école de pyrotechnie. Les constructions, com m encées en 4864. se sont jtoursuivies juM u 'en 1868, e t l’Ecole est au jour­d’hui installée d ans le rayon du Polygone ; elle occupe u ne superfic iedeS hectares; elle com pte 26Ü elèves, sous-odiciers c l soldats,détachés de divers régim ents d 'a rtille rie , sous la direction d'un ({ôlonel e t d 'un chef d'escadron , deux capitaines e t deux lieutenants. On .y. prépare, les fusées de guerre , les — •-modèles.

Une compagnie d ’artificiers de 450 hom m es est attachée à l'Ecole. On va constru ire une cartoucherie pour canons à b a lle , su r un terrain de six hectares, à gauche d u Polygone, à mi-cbem in du château de H ontilfau t e t de l’Ecole centrale de pyrotechnie.

A dater d u I** janvier 4873, l'Ecole recevra chaque année trois qqptre hom m es par régim A l. d ’artillerie, p o u r y ê tre exercés à la théorie e t à 1a m anipulation (les artifices. P a r su ite de ce t accroissem ent d'e fiectif, il deviendra nécessaire de prolonger les bâtim ents su r les terres de Hontilfûut.

La Liberté de l ’Yonne rapporte qu 'il v ient d ’a rriv e rà A uxerre, re tour d'AJtemagoe, un de nos com patriotes, p risonnier d ep u b vingt-deux raoM et libéré, il y a quelques jou rs , en exécu­tion de la conventionconclueavecla Prusse.

(ie jeune hom m e, du nom de Landréau, se r­vait en (qualité de ù ^ d ie r - f o u r r ie r aü 4 " i ^ i -

C'étaient des c ris , d it le Cortaire, des con­torsions à n ’r e plus finir.

Tout à coup , l'eau pénétrant dans la b arque , b fillette fit lin soubresaut tel qu’elle la fit chavirer, e t to u t l’équipage fu t A tra in é au fond de la rivière.

Une clam eur d'effroi p artit du rivage. P resque ausa tô t les deux jeunes gens reparuren t à la surface; m a b s’a ^ rc e v a n t tous les deux q ue leur compagne avait d isparu , ils plongèrent de nouveau p our b n o v e r .

Une m inute terrible pour tous s'écoula, pu is un corps so rtit des flots, c’éta it l’un des deux canotiers q u i, se voyant seul, replongea sur-le- cham p. E t ce fu t avec épouvante q u ’on v it deux autres m inutes se succM er saus qu 'aucun des subm ergés ne reparût.

Alors plusieurs hommes se je tè ren t dans des barques e t lancèrent des perches.

Peines inutiles : il é ta it trop tard .Cr.s trois victimes se nom m ent : P ierre Briso-

barre, Jacques F inniri e t Antoinette M artel. Aucune d’elles n 'avait déjussé sa vingtième annés.

On-s’occupe trè^ actiyçm ent en ce m om en t de réunir un certain nb inbre de jeunes fill«^, chobies d ans les maisons centrales parm i celles qui se seront fait yeinarquer par leu r bonne conduite, e t de les expM ier à la Nouvelle-(blé- donie, où on le^ m arierait à des transim rlés placés dans bu mèniès conditions q u ’elles au point de vuedeç d ispositions morales.

Des concessions d e te rre et la restitution par­tielle ou complète des dro its civils aux condam ­nés suivraient ces unions, q u 'o n ne saurait trop A courager, e t q u i constitueront une fom illcà ceux qui n’A o n t pas enrore.

Il y a lieu d'espérer que cette m esure, anpti- luée largem ent et avre intelligence, produira ['excellents résultats aous le rapport do la coloni­

sation eu Galédonie, e t d e b régénération de ses habitants.

; ; o i *•. m 1 (1) 8ou* À 'titre v ien t de p a î^ tro un Virfènie I

■ U Itbn irie Heari- Pion, N o w êétiiAoM - la prMMO da ce fivN qui » 4(4 y iram w t d b e a û .

d 'é tab lir u n vaste cam p rolranohé su r le p latraii de Haye, s'appuyant enr la forêt du m ém o nom ; ce plateau rem m ando les vallées de la M A rthe e t de la Moselle, ainsi q ue le nœ ud si im|K>rtanl des voies fei*réos de Strabourg» do Sarreb ruck • Id é Luxsm bouig. I l pe fût pas donné su ite au

^ o a ’ placM d e gueirra avaient tou tra boM ln de

m eo td e liu ssa rd s , quand il fol foit priaonnier à Sedan. Au b o u td p quclquee jo u rs il parvint à aTétliapper e t à se 'refugier daùs Longny. Celle place ayant é té investie par les Prussiens, il fo t p r is é nouveau dans une rortie d e la garnison, a laquelle il s 'é ta it jo in t.

Malheureusement, quand il tomlia p o u r la seconde fois aux m ains do l'ennem i, Landréau n’avait pas*d’u n ifonne : il porta it le- costum e d v il avec lequel il s'é tait enfui ; les Prussiens

ajsèrent de lo considérer com m e soldat; il fot raené à W erd A , et je té dans une espièco de

b a m , au m ilieu de voleurs u t d'assassins.P endant vingt-deux m ois, il a A b i là une

captixité des p lu s rudes e t enduré les privations f o s g r a n a e s .

O n a u tre Français a partagé, dans le m ême séjour, les souffrances physiques d m orales de no tre M m patriote : c'est un notaire des A rd A - nes. D» ‘Tfaorel, capitaine de la garde nationale d 'A nb lgn ,. , „ .

F a it prisonnier par les Pru tsiens, on la v a it som m é, sous peine d 'ê tre fusillé, de livrer le contrôle d eaa compagnie. Il avait refusé. T ra­d u it qevant un conseil de guerre , présidé par u n général q u i avait |H!rdu ses q u a tre fils d e ­van t P aris. Il s'é tait vu condam ner à m o rt. U sentence alla it ê tre exécutée quand^ k forcé de priè rra , n fem m e obtin t une A m m n tA tk » de

-.iiut'l n!l

versements nvêc booifioation d 'u a eraôrapta d e 5 ^ 1 ' a n . -

E n ten an t com pte d tt fe u p o n d ’a f iB 1 878 e t d e la b o n if ic e tiw d 'in té iê tw r le R e w e w e tW - sées, le prix de ces obligations rearort M i k 250 fi-.i89 ,. m pporU n t 1 6 f r e n » d ’NMfoêl annue l, c’ira(*à-diR 6 6 /9 , . ; i .

Les v e rsem A le i d ’une rd ê ’dùè d e o 0 /0 ;

Les souso rip teun pourron t '« o tic ip er * Biuoatien d 'u -------------

Le cap ita l de la C ompagnie : 2 4 ,0 0 9 i libérées de 3 5 0 francs, r o té » k la D e«se< de 540 à 550 francs. . . 12,600,1909 llr. •

Subventions d e l 'E ta t . 25 ,469 ,108 8 #d o n l l5 ,1 6 0 ,i0 S f r .8 0 c . déjà enoa'tsaéa ; e t '44 ,300 ,000 francs paya­bles le 45 janv ie r W l e t le 45 janvira 4875.

T oU l. 3 7 ,469 .408 f r . 8 9La Compagnie d e la V endée n ’a caeo re 4m m

(|UH 2 8 .0 0 0 obligations form ant un ca|Mtal de 8 ,000 .000 francs.

Les obligatiims fau an t l’o b je t de la p réerait e ém ission, son t destinées :

4* A assurer le service d e tréso térie ApêÉr Ira avances q ue la GcunifogAie fait h T â a t p o e r Ira travaux d'améiiOration d u po rt d ra 'SfellU^ d ’Olonne e t de la pb te -fb rm e d e la lig M de Bressuires à T o u r .

2* A donner suiW à un p ro je ld e 'à N itn td ’e i - ploilation passé pour 9 8 ana aveo la Compagnie de Poitiere-Saoraur. ro n tra t p a r i à q i a i« é l e « s ( engagée ( s a u f . ratification p a r | ’A<Mmhlén générale) à garan tir à cette C ompagnie J e (MO* tan t d e ses obiqpitions, so it 6 ,5 0 0 .0 0 9 fn o ra .'

û s concessions d e la Compagnie de la Vetidée com prennent :

1* Les lignes des Sables-d'O tonne e t d e ira R ocb e -su r^o n à Breaseire,e x p lo i ta t io n ................................

^ La ligne de B ressnire k Tours A D s tr J c t io n : 426 k ilom . do n t i k’iom . (de Brerauire k O unon)

seront p ro ch a in em A t m is a e x p lo i ta t io n , e t le co rap lém A t de.G hindn à Tours) à la fin de 'a n n é e Î 8 7 3 . . . . . . . .. 3* tronçon dè raccordem A t le T houars à M ontrAÎl-Brilay. - .

UN JÉRÔME PATUsoT TRISTE. — L 'au tro jo u r , Alfred Besnard, hom m e de lettres, pour avoir rem pli A u s la O im m une les fonctions de aecrétaire général de» contributions indirectes, é ta it ro ndaronéà cinq années de prison. Au m om ent ou Bcsnard éta it rondam né, il y avait q uatre m ois q u ’il é ta it m ort.. Il avait réussi à q u itte r la France e t à s’em - b arqûer à Bordeaux p ou r Caracas (Venezuela).Il ne s’éta it pas A ric h i a u s la Com m une, il fallut viser im m éd iatem A t à gagner ron pain.

A Caracas aucune ressource : çl p r it le p arti de s’enfoncer à l’in térieur du pays, e t. accoin- paggé dIuQ am i, se dirigea vers San Fernando, A m p ta n t su r la cap ture d ’oisroux ra res, dont là èha ir les nourrira it e t d A t il v rad ra it a - su ite le plumage. P u is il su ivrait le A u rs de rO rén o q u e , deerêndrait le Rio N e ^ , e t. longeàht la rivière des Amaxones, a rn v ere il à ^ r a (Brésil), où il trouverait u n m arché pour H oiseaux et les papillous qu ’il au ra it chassés.

Ce voyage gigantesque à pied, rous une chalenr tropicale perm anente, ne devait pas du re r m oins de sept^ou h u it m ois Besnard et son A inpâgnon épuisèrent vite leu rs provisions, e t m angèrent les oiseaux e t les bêtes qu 'ils tuèren t; mais ils n’A re n l p ou r boisson qu 'une eau croimissante, e t B esuard fo t b iA lô t a tte in t d ’une fièvre p é rà lA tl'ille qui l’obligea à s 'arrêter à ^ n Fernando.

» Le m alheurAX — écrit l’am i qui l’accom ­pagnait — éta it cliangé à faire peur. J 'a p ­préhendais le m om ent o ù . arrives daiM un centre habité , il pourrait se regarder dans un m iro ir. »

En expirani à San Fernando au milieu de Auffrances atroces, il e u t du m oins la suprêm e A osolalion d 'ê tre Migné par une fam ille fran­çaise q u i l 'avait iroueilli.

Besnard avait collaboré à plusieurs jA rn a u x e t fait jouer à Paris quelques petites pièces. A i r e au lres, 'au x Folles-Dramatiques , I’Am î Choulard, q u i A l plus d e C A t représeiilatiims.

11 ra t m o rt à tieo todA X ans. Il laisse une fem m e e t tro is petits A fan ts.

•— Qoique âgé d e vingt e t un ans seulem ent, R ichard rat un v o lra r cousom m é. P en ­dan t d ix-huit m ois. Il a m A é une vie opulente. Son histoire, n ro n té e par lui dans w n in te rro ­gatoire, ra t t rès curieuse.

i l avait acquis une si grande expérience e t ta n t d 'hab ile té dans la perpétration de vols à Vaille d 'eliyaction, raconte le Siècle, q ue , |>our nous serv ir d e m u expresrion, il rou lait n i r l’o r.

R icliard occupait rue d e Rivôli un apparie* m A td e 4 2 .0 0 9 -fr. 11 avait une institu trico pour l'enfont de sa m aitressei p lus âgée q ue lu i, des domoatiques, chevaux e t voilurra. 1?..- :t - i t- : . . . . x .1..

4 2 4 k U o n .

126

3 0

270

490

Ensemble.

P*lns les 400 kilom ètres de la ligne de Poitiers-Saum ur p A d an t to u t le tranps de sa roncession.

S o it un réseau de • . 370 'lulM n.dans les A iitrée s Ira plus r ic h » e t 1 » p h » com m en'antes de la France.

Bien q ue l'exploitation de date récente e lM portan t que s u r 424 kilom ètres B e.'puM iiW re prise com m e base d û ren d em A t ItiloiiiétriqDe, I r a produits o n t donné m - excédant d e 49 .000 fr. A r 1 » dépm aes, e t la j des recettes q u i, a 4872, n’est p as aoiiMli 42 0 /0 , assure le rendem eot U o n é tr iq i ie m t nécessaire au s c rv iu d » oldigati<HM.

Le m on tan t d ra o b ltn ü o n s t a is M o t M é n is* s im étan t d e 68 ,5 6 5 , Cl. . . . 6 ^ 8 8 5desquellra il v a Vi a d e re trancher. , 26^809 d o n t l r a m té r ê t s r t le rem bonrseo iA t seron t à la charge de la Compagnie ‘ ; de Poitiers-Saum ur. ' .

11 reste . . . . . .lur les 2 70 k ilra n è tr» form ant b

roncffision de la Compagnie d ra C heinini d e for la Vendée, M it u n in té rê t de 2 ,5 0 9 f i m n k

servir p a r chaquè kilom ètre.Ce nom bre d’o b l i^ t io i» étan t

suffisant p o u r te rm iner k s lig n » l’A àem ble des A ncessîm is, on p m t i . . b iA so n t faibles les c h a rg » doBt'-'< kilom ètre scragrevé e t , par r a ite , q r * ^ * ces titres o ffrA t aux souscrip tA fo .

G eschaiges ro n t de beaucoup Û L .. . cellra qu ’o n t k A p p o rte r 'to u tM fo É U U # d u réseau firançais. - ’

LA SOUSCRIPTION SERA O Ü V BÜ IB- Lra lundi 49 , m ardi 2 0 e t oM lcrodi 21 :

Au siège de la Compagnie, 43 , n e d e Lifoyette, à P aris , M dans to u tia Hk' (tttfBfoa des figiira d e la G orapagûe d e b Yafjdéq Kvréaa à l 'ex p o ita tio n ;

Chaque jo u r , il alla it au bois k clirvai, galo­pant k fo portière de la voiture occupée |>ar sa femme, ron enfant e tl 'im titu ir ice . R en A ù tra it-il u n m endiapt, il m ettait pied à terre e t lui d û n M it 'l è fo. > ; -

.. I l s’étaiteasD ciéavec u n -n o m m é Roasyvqm v iA td ’ê t n a rrê té . G dui-ci avait aussi une

' maltrraM , T oqf p n o a ie n l fo o n rep aa c b » Pe*

Au Crédit ^ c o l e , 47 e t 49,Capucinra, à P a ris ;

Ati Crédit In dM lriri H C o m m erd d , 7 2 , r m d e la V ic to ire ,! P a ris ;

E t A Province, dans t o a t » I » O etaMMiia e t chra les G o rrra^ n d an ts d e o s d eéx dfoèHa* scm M ts.

On peut égalem ent w uaerire d u » to i t in ra t S uocursa l» d e la Banque d e F rance, era vtHMfo au créd it de la Compagnie d e h,.VMid4e .ora dan étab liM ainA tsc l-deM usa ' *

i n l i t i tV e n k é m m lra lla laoB & ^

FRiM iM e t a x p èd b k «M B l

Ü « V

■ M

f o iÔ M e .4 ( iâ q » b » iA lê

'T ^^sïêS iïrT S îîrsS i.

Page 4: 43’ Aiiét. - N’ ( 8 kJnéL M H Sbmsenlis.com/data/pdf/js/1872-1874/bms_js_1872_08_15_MRC.pdf · IteU e. i mit a^our^'bul que le minislèt^ ilajiifq eàie^ii j[M)ur présenter

M noact •H op Uis dfl Ju stice de ladite Yille,

euvè>de>Pari8

« i « V x B M U i t t O MDdaïOlBiHT

ilioQ dés qrliélcs l " , 'O de' t t ï f è ..................... ■

i r r iett

itpjt'twh^ d u la li ail*

de( la tn eb d e et

La tr ibuna l a o rddbild’q à e l è d i t j â ^ m é a t e m t , aux J t t i | j e la Ibmme B a c b e rillim , inséré 'dans le Journa l de S M É U tf l i tM ll la 'p o a ie d u d o rak ile de

■ "“ - ‘ " * U ià L Squinse

h i J d ¥ W W in l 8 S I i 4 » , 4 » d n «edtoi|iée4 e t I M d u code d ’ioatruction crimineUe.

- ï i ' i & œ t m n . . ,.lii-u im iH ïiio .) 'lA ii'V W Œ N T.

nb l 'i ------

aTOueii Séhiie. m e N euvede-Pans,D* 1 7 ,racd èM lft‘d « W> PM iit .

S u rsd m ^ b til i lb H ië iè .E n r a a d ie o o e d e r m m 'd U 'ti^ D a l civil

d e ( r a p iè r e instance 'ààib i è Sentis, a e ' j à ^ c e | ' - '

flÔi‘1?iife‘cës*'dè TerreS M A s< i« i t n i t a i n cW VAUGIEMNBS,' 'csSMM' de' Grépy, arroiidiseemeRt-de

Seolis (Oise), j? rx ti t n : K 4 4 1 % ' t j ^ i a Qteifjienl'iUiit être réùm * pàrtielletnent li Ion ! ot|.«ti loteitfd, lilliliM dlcation' au ra lieu le H a r d i

v f a i r M p i A a * A i S y » , heure de m id i.

: .'âT adrener ipour. le* renseignementt : <>f'A’!f* VAN TftOYS, avoué poursuivant - E t Hol’ édtté dû tribunal ne Sentis, ou te'cahiiV 'dëi'ciiiû^cs est déposé.

E tude de M* A o ^ a w t c V a a i r w y » ,avoué à Sentis, rueN euvoded^aris,

n * l7 , successeur d e Ë* FREEV .

. ,, , v ê S t eS br'P ab iica tio iis judiciaires,

>c' A u x enckire$ publiques

' ' ' ' ' , „ , ^ ^ A i A Ï S O XAVEC

1 tB ^ r a i i c 4 B e a a a J a a ^ M. « ( E H 1 C L . 0 8

•A VBRAEUIL, canton de Pont>Sainte-vl; ' I : J laxence (Oise),

, , ,, 2° Maison. , . À t e o i i m i x «A C L O S d s f l k c c t e r e

S f c e a i f i a r e s

P i t C E S D E T E I R E: i:Ai8 ARflON, can ton dè L iancourt

(Oise),

tB EB X PffiCES DETERREAn to h b lr d'IIOUDAXCOURT, canton

d ’EstrccS'Saint-Denia (Oise). L ’A djudication au ra lieu p,ir le minis­

tè re de M* RICHARD, notaire à P o n t- Sainte-M axçncc, le H tm ia M e h e p r e a e i e r S M « « a i b r e I W P t , en la BH^irie d e V erneuil, a une heure de rélevéc,- i>our les im m eubles de V erneuil, e t d '^ u n tre Aéurrs de rele­vée, eh' jjé tu d e d u d it M* RicuAnn, à P o n l^ în ie -M a x e a c e , j ^ u r les im­m eubles de 'S arron e t d 'H oudancourt.

S ’adresser pgitr les ren sexg n em n ls : 1® A » .V A N T R 0 ¥ 8 , avoué poureui-

v an lj----------^ B l ' l iil* RICHARD, notaire à P ont- M td to -lltxence ,"dépoe ita ire d u cahier des, c h a p e s .

E lh d é ^ d l* * A « r r a é « e I f é m i r m j m .iW nlb'(Otré).

l i c i t f c l i o L .Px*ncaE, notaire

d 'C V ^-en -K o A iti (One^,com m it i M effet,

' o’tinde fe r in e

JlMlH’' t / t

i U L i a o vAH^DCER-SAIPIT-VlNCENt, canton C<'t-,Uo -de-Crépy (Oise),

. t t rà Ü e a v m 'C . ^ ébre ré u n it.

;ihn àu ra lieu le P i a g — ia h e ' e I S V v , heu re

jNfHr «vo ir dot rcASei- ’ ia(y\t :;o/ '.g n e m e n it:

fUllTS, avoué p o u rsu i- iM ii l f iA te v .

* . A H - G H A U U N , avoué c o -lic i- ItWifftR'/hèLn

notaire à Crépy, déposita ire du cah ier des cliargee.

l 1 ins'K ivt !tl Q|

LVi^Üllil

l l B f '

1 fiR&RDC TtntElOB[j CHAI1BIY( arrondisBomoiil de i Senlis (Oise),

E t d’iin FourM w a I m I également àe ladite Tuiterie ,

■ Sis au d jt ÇHAMRLY.Ication au ra lieu le

A « d i« de

5 ’o (^res^r p»«ir les reiUeignements : 1* À H* CIIALMIN, avoué poursui-

dem eurant 5 Senlis, rue Saint- « 10 ;• VANTROYS. avoué à Sentis ;

3« A M* HAITRE-DEVALLON, noU iro

notaire au m êm eà C hamblv (Oise) ;

M-ORANGÉ,

5* E t au grelTe du tr ib u n a l de Scniis.

E lu d f d e H* E a p s c ta t C l p a l w i i a ,avoué% Sentis, ru e Saipt-H ilaire, oM O.

s tccesseu r de H* H enri Dufxt.

V E l V T E 'P a r su ite de so iiie tmmoét'Iiere.

E n l’audience de:t criées du Tribunal civil de Sentis, séan t au Palais de Justice de ladite ville, rue Neuve-de- Parfe,

DE :

Fiie MaisonSise à BON^EOIL, en ta ru* de la

Ratière,

- I ' ”IC J iie P i è e e d e T e r r e e é B o i sSise te rro ir de RONNEUIL, canton de

C iépy, arrondissem ent de Senlis,E N D E V X LOTS.

L 'A ^'edlcatinn aura lieu le M a r d i v f B | t * - « e p t A o û t I t t T S , heure de m idi.S'adresser pour Us reiuetyneineuU : l*A M’ CIIALMI.N, avoué poursu i­

vant;2° E t au grelTo du Tribunal où le

cahier des charges est déposé.

E tu d e d e M* E m m * 4 'h a l m i n ,av o u é à Senlis ru e Saint*

H ila ire , n° 10.

V e n t e s u r l i e i t a t i o nENTRE MAJEURS ET NINKURS,

P ar le m inistère d f M' Bocchez, notaire (i Sen/is.

commis à cet e ffe t,

D’iiiie M aisonSituée à B.\UG?îY-CHAMANT, a rro n ­

dissem ent de Senlis (Oise),ET DE

GIRQ FËCES DE TERRESises au te rro ir de CUAHANT,

E b w Ix IaB U i Qui pourront être réunis ou dictées

en tout ou en pa rité . L’adjud icationauralieu le D l B s a B c h e

b n i t S « p t * B i h r c 1 8 1 9 9 , une heure de relevée, en la Maison d 'école de Cliamant.S adresser pour les renseignesnenls :A H*' CHALMlNet DELGOVEavoués; E l à M* nO l'C ilE Z , notaire, dépo­

sitaire du cahier des charges.

5 T e * w w r | b t Im reiiseignem entt t M k t ro u é , dem eurant

S t i s f i t f H m w tlN niipiéro 14;IW fNt'tViW é. au d it lleij,

8 * ^ k ' 'W ^ k IBERT, «voué k Senlis. place d e Lavai iitAû , .

4» A M* C( LLAS NÉRY, htiiîsier k ^ n l i a t I I. i >8F>Elau brilTe du tribunal civil do â tn l i i i 'UÙ-ilej cahier diH c h a p e s est

— M* l |* B |i | P e p V B V e , avoué 6 Senlis, r u e duGli&ler. n* 3 1 ,

succeâ^u r >ic M' T»mRV.

ÿ è l V T BAtlx E^ichères publiques.

E n Félude^ et ;>ar le wjiMi.«Mre de H* D elaco u r, no taire d iVeuihp*en- Thelle, cb tf'I ieu de canton, arrondis* sentent de Senlis,

' i B ^ i i e - I P r B j p r l é l i é t> M : '

Dénie MaisontiA veeJa rtlin

A N E im Y -E N -T H E L L E , IF ’b m I P i é c e T e r i * eAu tenrojr d e cette com m une;

n DviE jIdtbe ntCE de tebeeS i t i ^ m êm e terro ir;

E d i 'q iB à i i r e E b Ib<?w' pou rro itl ê tre réu n it en totalité

qu en yMrlfe.E t d ’B B » a tx H 'B B c e l i e ! , « • • f .

Le tout dépendant de ta succesion bénéCciaire' de M onsieur Augusle-Cy- riiie H bsnaro, décédé à Ncuüiy-en T he lje , lé sept octobre 1S65.L ^ ^ u d ic a tlo p aura lieii l e D l i___

v lB i r 4 - « iË « A o ù i 1 9 9 9 , heure de raevée.S’ad rM ier jxw r avoir d«j rcnicipne*

m enls :A M* DELGOYE,avoué po u rsu iv an t; E l à M 'O IxA C O U R .nolaireàN cuilly-

en-TbelIe, dé(>ositairc du cah ier des charges.

E tude de M' Victor-Lovis l* e l l> B ls , docteur en d ro it, avoué è Senlis,

ru e Uougeinaille, n* 14.

v e i v t e :.P a r suite de «urencAére d ’n n sùètéme,

A l ’audience des criées d u ' T ribunal civil séant k Senlis, au Palais de Justice , rue Neuvenio-Paris.

DR ;

U n e M a is o nA xec B âtim ents, Cour, Jard in

e t Dépendances,Située à SENLIS, faubourg Sainl-M artin,

rou te de Paris, num éros 2 e t 4 , en face l'H ôpital,

u ; v C L , O HE ntouré de M urs

S itué te rro ir de S EN LIS, lieu d i t les Fours ^ Chaux,

M f i n e P i è c e d e T e r r eS itué m êm e te rro ir , lieu d it derrière

ire Mura d e Sainl-Laiare,EN DN SEUL LOT.

L’A djudication au ra lieu le M a r d i

E tude de M* l , a s s » c r r e , licencié en dro it, avoué è Senlis (Oise).

V E I V T ES u r Publications Judiciaires,

Après faillite.P ar le m inistère de M* Qt'ni>, no taire

à J t f o u p - d e - r O f s e , cotnrnû d cet effet,

DE

18 Pièces de T erreP r é e t B o i s

Sises su r les territoires des com m unes de BALAG.NY-SIRTIIÉRAIN. CIRES- LES-MELLO. FOUL\NGUES cl LLLY- SAINT-GEOHGES, canton de Ncuiiiy- eii-Tliolle, arrondisseniont de Senlis (Oise).

E n d ix - h u i t L o(« . L’A djudictaton au ra lien h Mouy, le

Riam cdldix-fM spE.haût I h 99, une heure précist; oc ru jirè .-n iitii, en rtine des salies de rilô teH le-V illc .Sa tlresser pour les rvnsriijnem enls :A M« U S S E U R E . avoue à Sonlis,

poursuivant la vente, Vieille-Roe-de- Paris, 3 0 ;

E t R M‘ BUÜIN, notaire û Mouy, dépoaitaire du cahier des cliarges et des titres de propriété.

GraiéE ElsbliBemils'A • V l î i m t t l * ! ' ■

Le Sanwdi 31 A oût, detm heure* après-in idU ,M* DKLCOURT, notaire à Valencienne*, procédera, ou ihni é tude, é la vente udiudicalion pubtiqtiu.de divvfse* Prôpriétre d e rancU>ime Société S o rre l, U u i t ^ , Duqtiesnc e t G‘%

n KOTAMilRirr de

DEUX C U ia D S r i u U S S E I E I T gS is i 'u t) h 'C repy . d ’une contenance de

' 9 b ec ia réa ‘7 'araà,'L 'au tre & Villencuye-eona-Veriierle,

d 'u n e cotiteHance de R héclàree 15 ares,COtirRRIÙRT DE

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linbitalloyiq, Jard ins, Propret i tonte expl/Mtaliôn industrie lle

ou au lre ,‘ S ’a d r c ^ r à M* I i ^ Q U R T , no taire, ou û M. C0(JTHRE1 liqu idateur de la Société Serrét, H aïuoir, D uquesne, k Valenciennes.

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P o rto de!4'.M oéEL,i|o((iér«S ’adresser audit M'M oRDu^nôlaire.

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4» DeiiX'Mqrais'S b & Senlis. tbn te ti«n l''l(lie iiü iT e’75i,

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A D J U D I C A T I O NE n l'élude et p a r le m inistère de

M* Giundmance. Mo<airr à (hinpiègne, Le D im anche 2T) Août 1872, à une

heure de relevée.

D’une Pièce «le BoisDB

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Plaine d 'H crncusc, socüon B, n* AT du cadastre.

D épendant de la succession de mademoi seiiu L esi'eü r, deCompii-giie.

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à M* GRANDHANGE, notaire.

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En la Alaison d 'école do Versigny,Le n im anche 2.'i A oût 1872, à 1 heu te ,

P a r le mini.'‘l'’re de M' Lgm cuur, notaire n N a n ttu il-M la u d o u iii.

Ces terres seront atreniiées poui* neuf années à p a rtir d u 11 novem bre 1872.

S a d resse r audit M* Lexicoi'e, no teire.

E tu d ed c .H « 4 i iA rn s t* > V p a B D B B t,notaire à B aron (Oise).

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