acte final du sÉminaire mec-unesco-oasti · structuration et l'insertion du système lmd ......
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REPUBLICA DE GUINEA ECUATORIAL UNION AFRICAINE MINISTERIO DE EDUCACION Y CIENCIA AOSTI
ACTE FINAL DU SÉMINAIRE MEC-UNESCO-OASTI
Formulation d'Instruments de Politique Science, Technologie et Innovation (ESCTI) et Éducation Supérieure pour le Développement Soutenable en Guinée Équatoriale.
Baney, 21-22 juin 2016
04 JUILLET 2016
MINISTÈRES L'ÉDUCATION ET DE LA SCIENCE MALABO II S/N
ÍNDICE :
1. Instituions présentes dans le séminaire………………………………….. 4,
2. Introduction…………………………………………………………………………………...4,
3. Objectifs du Séminaire ……………………………………………………..…….…6,
a. Objectif Général ………………………………………………………………...6,
b. Objectif Spécifique …………..……………………………………………...6,
4. 4. ORDRE DES INTERVENTIONS PENDANT LA SESSION
DE L'OUVERTURE DU SÉMINAIRE …………………………………….6,
a. Le représentant de l'UNESCO Yaoundé ………………………… 7,
b. Le représentant d'AOSTI (Observatoire de Sipopo)….9,
c. Le représentant de la Coopération espagnole ………..……..9,
d. Exc. Mr. le Ministre de Education et Science …………….10,
5. 5. PRINCIPAUX RAPPORTS DÉVELOPPÉS……….………………10,
5.1 Juliana CHAVES CHAPARRO (UNESCO- Paris): le
projet d'assistance pour la formulation d'instruments
de politiques CTI ….……………..……………………………………… 10,
5.2 Almamy KONTE (AOSTI). Il a présenté le tableau
théorique d'Instruments de Politique CTI ………………11,
5.3 5.3 Vroh BI IRIE (AOSTI). Son sujet traitait de la
production scientifique de Guinée Équatoriale au sein
de la CEEAC pour l'année 2025………………………………….12,
5.4 5.4 Monsieur le Directeur Diosdado ESONO ENZEMA
(MEC), a parlé de la politique éducative de Guinée
Équatoriale.........................................................................13,
5.5 Monsieur le Aniceto Jesus ELA COFFI (CICTE),
l'importance qu'accorde le Gouvernement de la
République de Guinée Équatoriale sur la CTI.............14,
5.6 Monsieur Fidel ESONO MBA, Directeur Général
d’INDEFOR ; son rapport a été intitulé contribution
d'INDEFOR pour le développement soutenable ……..14,
5.7 Monsieur Tito MITOGO, Directeur du Comité
Pédagogique et Suivi de de Sortis de l’UNGE. Son
sujet était traité sur la création cette Université, de
structuration et l'insertion du système
LMD.....................................................................................15,
5.8 Dr. Ricardo DOMINGUEZ LLOSÁ, Conseiller
Technique du projet financé par GEF de la Direction
Générale d'Environnement du MPMA ; son sujet a été
la conservation de la Biodiversité en G E ………………… 17,
5.9 AUTRES INTERVENTIONS:………………………….…….19,
5.9.1 Monsieur Mama PLEA (l'UNESCO - YAOUNDÉ) a
présenté le Programme de réserve de la Biosphère de l'UNESCO
et l'importance de celle-ci comme laboratoire de Recherche 19,
5.9.2 Madame Juliana CHAVES CHAPARRO, a présenté le
questionnaire basé sur la méthodologie GO-SPIN ….……………… 19,
6. 6. Résultats d'atelier ….…………………………………………………………….20,
7. 7. Points faibles identifiés dans le séminaire ..………………….. 21,
8. 8. Feuille de Route ..……………………………………………………………………22.
Le Séminaire en question ; a commencé sur les 10 :00 heures du
matin le 21 juin de l'année en cours, dans la Salle de Conférences
Internationales de Baney.
1. INSTITUTIONS PRÉSENTES DANS LE SÉMINAIRE :
Ministère l'Éducation et de la Science,
Ministère la Pêche et de l'Environnement,
Ministère de la Jeunesse et des Sports,
Ministère les Affaires Sociales et de l'Égalité de Génère,
Ministère Transports, Technologie, les Courriers et des
Télécommunications,
Université Nationale de Guinée Équatoriale (U.N.G.E.),
Institut National de Statistiques de Guinée Équatoriale
(I.N.E.G.E.),
La Commission Nationale de Coopération avec l'UNESCO,
Institut National Développement Forestier et Maniement du
Système de Secteurs Protégés (INDEFOR - AP),
Conseil de Recherche Scientifique et Technologique (CICTE),
Bulletin Officiel de l'État (B.O.E.),
Le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD),
Agence espagnole pour la Coopération Internationale et le
Développement (AECID),
Quelques Organisations Non Gouvernementales (ECOGUINEA),
Tortue Marine de Bioko (TMB).
2. INTRODUCTION.
Les dirigeants africains sont conscients que l'investissement
dans la Science, la Technologie et l'Innovation constitue un des
moyens pour porter la croissance économique et confronter les défis
sociaux. Entre les questions relatives à l'implication de prise de
décisions figurent celle de de savoir comment établir lien entre
Science, Technologie et Innovation par une partie et la réduction la
pauvreté, la création d'emplois, moyens de subsistance durables et
amélioration du bien-être des citoyens d'autre part ; comment
renforcer les capacités et les compétences pour innover ; et comment
étendre la connaissance.
La politique doit faire l'équilibre entre les nécessités sociales et
les nécessités économiques nationales, en tenant compte en même
temps, des réalités de l'universalisation. Les résultats de ces
décisions de politiques détermineront les types d'innovation que
l'Afrique peut connaître.
L'Initiative africaine sur la production d'indicateurs la Science,
la Technologie et l'Innovation (CTI), est produit de la réunion des
ministres africains chargés de ce secteur tenue à Johannesburg
durant l'année 2003 qui a décidé "d'élaborer et d'adopter des
ensembles d'indicateurs communs pour évaluer nos systèmes
nationaux et régionaux d'innovation". Une fois appliquée de manière
nécessaire, les indicateurs CTI on peut révéler des outils utiles par
toute la nation ou entreprise concrète, puisqu'ils peuvent impliquer
une planification stratégique efficace des ressources disponibles, en
établissant une échelle de priorités dans l'utilisation des ressources,
ainsi que le contrôle et l'évaluation les programmes et les activités.
Différentes études effectuées dans le monde mettent en
évidence que la Science, la Technologie et l'Innovation (CTI), sont les
moteurs de la croissance économique, indiscutablement sont facteur
de prospérité.
La Stratégie de l'UA pour la Science, la Technologie et
l'Innovation pour l'Afrique (STISA 2024) récemment élaborée,
exprime sa mission dans ces termes : "accélérer les paisses de
l'Afrique passer à une économie orientée et basée sur la
connaissance" (UA 2013).
La mesure des indicateurs la Science, la Technologie et
l'Innovation implique plusieurs avantages. Les indicateurs sont
utilisés non seulement avec des fins de comparaison, mais servent
aussi comme un guide essentiel pour la formulation de politique
nationale, en facilitant l'élaboration des normes de résultat et en
élevant le sens d'ils responsabiliseraient.
3. OBJECTIFS DU SÉMINAIRE:
3.1 OBJECTIF GÉNÉRAL
Le Renforcement de Capacités Techniques relatives à la
production d'indicateurs qui permettraient au Gouvernement de la
République de Guinée Équatoriale, mener à bien une profonde analyse
et un suivi politiques et instruments nécessaires pour la
matérialisation du Plan National de Développement tracé pour
l'Horizon 2.020.
3.2 OBJECTIF SPÉCIFIQUE
Contribuer à la création de conditions favorables et d’une masse
critique de chercheurs qui peuvent accompagner la mise en œuvre de
l'agenda national de développement le potentiel de la CTI dans le
court, moyen et long terme.
Mardis, 21 juin 2016
4. ORDRE DES INTERVENTIONS DANS L'OUVERTURE.
L'enseignant de la cérémonie pour ce Séminaire a été M.
Diosdado EBANG ELA BILÉ, technicien supérieur dans le Ministère
de l'Éducation et Science, Point Focal du Projet mentionné
(l'UNESCO Guinée Équatoriale Sur la Formulation d'Instruments de
Politiques Science, Technologie et Innovation "ESTI" et Éducation
Supérieure pour le Développement Soutenable en Guinée
Équatoriale).
a) Le représentant de l'UNESCO de Yaoundé, M. Suce Plea,
b). Le Représentant de l'OASTI (Dr. Philippe Kuhutama Mawoko),
c). Le Représentant de l'AECID,
d). Le Ministre Éducation et Science Exc. M. Jesus ENGONGA
NDONG.
a). Le représentant de l'UNESCO Yaoundé : M. Mama Plea. Il
a entamé son discours, en remerciant d'abord aux autorités du
Ministère l'Éducation et de la Science pour avoir accepté
l'organisation de ce séminaire en Guinée Équatoriale et, de manière
spéciale S. E. le Président de la République pour la paix régnante dans
le sol de la patrie.
Du point de vue de l'UNESCO, la Science, la Technologie et
l'Innovation (CTI) sont clef pour obtenir la diversification
économique et le développement soutenable de tout pays et surtout
des pays en développement, où le retour social de l'investissement en
I+D+i est considérablement plus grand. La mise effective en marche
du Plan National de Développement (PNDES) - Horizon 2020 et les
Objectifs de Développement Soutenables (ODS), nécessitent d'une
masse critique de de scientifiques et techniques qui peuvent répondre
aux nécessités recherche scientifique, de transfert et adoption
technologique et innovation de la société. Toutefois, la création de
cette masse critique requiert du temps et une volonté politique ferme
qui se matérialise à travers des instruments de politiques CTI et
Éducation Supérieure concrets et adaptés à la réalité du système
national guinéen.
L'UNESCO soutient le développement de politiques scientifiques
partout dans le monde depuis 70 années. Durant l'année 2008, grâce
à la contribution de l'Agence espagnole de Coopération internationale
pour le Développement (AECID), l'UNESCO travaille dans le
développement de capacités de politiques de CTI dans plus de 20 pays
de l'Afrique Sub-saharienne.
Dans la première phase de ce projet, on a soutenu la formulation
de plus de 20 Politiques/Stratégies nationales de CTI et une dizaine
d'instruments de politiques de CTI pour sa mise en action. Ceci a été
obtenu par le biais d'organisation de séminaires techniques sur la
conception, la mise en œuvre et l'évaluation politiques et instruments
de politique de CTI. On a donné une formation technique plus de à
400 personnes, la moitié 250 décideurs politiques (fonctionnaires et
parlementaires).
Ce vaste travail dans la région se base le cadre conceptuel et
méthodologique de l'Observatoire Global d'Instruments de CTI
(GÓSPIN dans ses sigles en Anglais) qui est l'extension du Projet
SPIN pour l'Amérique latine et les Caraïbes (ALC).
Go-spin a démontré être un relatif pour le développement, le
monitorat et l'évaluation de politiques scientifiques en Afrique. Plus
de dix pays ont effectué ce qui est mappé de leur système national,
en coopération avec l'UNESCO et certains de d'eux, avec l'appui de
l'Observatoire africain de CTI (AOSTI) basé en Guinée Équatoriale.
La seconde phase du projet espagnol d'appui au développement
d'instruments de politique de CTI inclut à Guinée Équatoriale,
Mozambique, Niger et le Sénégal.
L'objectif principal du projet est de renforcer les capacités du
pays bénéficiaire pour autoévaluer son système national d'Éducation
Supérieure, Professionnelle et de Science, Technologie et Innovation
(ESP 'CTI) et pour développer des instruments de politiques
effectifs afin d'améliorer son fonctionnement. Il s'agit de formuler
des instruments opérationnels qui promeuvent l'accès et la qualité de
l'Éducation Supérieure et Professionnelle et les activités recherche,
transfert technologique et innovation.
b). Mots de bienvenu du Dr. Philippe Kuhutama Mawoko,
Secrétaire Exécutif de l'Observatoire africain la Science, la
Technologie et l'Innovation (AOSTI), basé la Ville de Sipopo.
A commencé son discours charmant au Gouvernement de la
République de Guinée Équatoriale, au nom de la Commission de
l'Union africaine, pour avoir permis l'organisation de cet atelier sur
le Renforcement de Capacités Techniques relatives à la production
d'indicateurs.
Pour approbation de l'Assemblée de l'Union africaine, beaucoup
d'institutions du continent ont le mandat d'assister et de soutenir
aux États Membres de l'Union, pour la mise en marche et évaluation
politiques et programmes de CTI. Tel est le cas du Conseil africain
de Recherche Scientifique (ASRIC), de l'Organisation Panafricain de
la Propriété Intellectuelle (PAIPO) et de l'Observatoire africain la
Science, la Technologie et l'Innovation (AOSTI). Celle-ci dernière,
mise en marche depuis 2009 et opérationnelle à partir de 2012 ; il a
comme mission principale "soutenir aux pays africains à produire les
indicateurs fiables de CTI et de promouvoir l'élaboration de
politiques basées des preuves". Comme le sauront tous, AOSTI
fonctionne à partir de son bureau central basé la ville de Sipopo avec
un fonds initial du Gouvernement de la République de Guinée
Équatoriale.
Il a continué son discours insister l'importance de la Technologie
en soulignant que, dans nos sociétés actuelles, basées l'économie de
la connaissance, l'Innovation constitue un pilier essentiel de la
croissance économique, de la réduction de la pauvreté et du
développement durable.
c). Représentant de la Coopération espagnole. Il a souligné
l'effort du gouvernement espagnol pour promouvoir la coopération
avec les pays de l'Afrique, en offrant à ces derniers l'occasion
d'approcher à la voiture les innovations et les changements
technologiques que le monde connaît ; La Guinée Équatoriale, comme
pays d'héritage culturel hispanique, ne peut pas surtout rester en
marge de la générosité espagnole, quand d'autres pays africains
recevront déjà cet appui et coopération.
Il a fini sa dissertation en souhaitant des succès dans le
développement de l'Atelier et en félicitant à l'UNESCO et les
autorités ecuato - guinéens par l'invitation reçue pour prendre part
ce séminaire.
d). Son Excellente. M. le Ministre Éducation et Science, pendant
son discours il a dit que cet atelier est particulièrement opportun,
parce qu'il sert de support à la mise en œuvre de la Stratégie de
Développement déjà conçu par le Gouvernement de G.E. par le Plan
National de Développement de l'Horizon 2020 en accord avec les
Objectifs du Développement Soutenable (ODS) déjà adoptés par la
plupart des pays du monde. Il a continué avec son discours, souligner
que, dans le cas spécifique de notre pays, nous avons besoin de
renforcer et d'augmenter le fonctionnement de nos Institutions
orientées à la production du savoir et du transfert technologique, où
on espère que, avec le présent séminaire, on obtienne produire des
talents qu'ils puissent donner des réponses aux nécessités Recherche
Scientifique, de transfert et d'adoption de technologies qu'exige le
pays actuellement.
4. PRINCIPAUX RAPPORTS DÉVELOPPÉS:
5.1 Le premier rapport a été de Juliana CHAVES CHAPARRO :
Point focal l'UNESCO Paris qui a présenté le projet d'assistance pour
la formulation d'instruments de politiques CTI. Pendant son
intervention, il a dit que le rôle de l'UNESCO et les Politiques de CTI
; il consiste à développer les capacités en Science ; Technologie et
Innovation en Afrique ; et il a souligné, en même temps que, pour
obtenir les résultats nécessaires on doit établir le projet dans des
phases ; à savoir :
a) La création d'un Comité National de travail (Interministériel
; Université),
b). Formation dans l'évaluation du Système Général de CTI
(Politique cadre légale, structure organisatrice, instruments de
politique- méthodologie GO-SPIN),
c). Enquête Go-spin complétée avec DAFO, d). Priorisation de
points faibles,
e). Formulation d'instruments à mesure (accompagnement et
assessorat technique),
f). Feuille de route conçue pour la mise en marche de
l'instrument.
Il est nécessaire de construire et de renforcer le Système
National d'ES -CTI qui est critique pour le Développement
Soutenable de G.E. (horizon 2020 et plans sectoriels).
Il a aussi affirmé qu'il existe une volonté politique qui devrait
être accompagnée par un financement (1% PIB en CTI selon des
recommandations de l'Union africaine), et aussi que l'UNESCO met à
la disposition de G.E. l'expérience, outils, réseau de partenaires et
tout l'appui précis pour renforcer le Système National; dans ce
contexte, il est nécessaire de diagnostiquer; à terme court et moyen;
concevoir un instrument de politique pour promouvoir le transfert,
l'adaptation technologique et les connaissances d'innovation:
Il a insisté à la fin qui est nécessaire selon l'accord l'UNESCO
G.E. délai plutôt large, favoriser la formation de Ressources
Humaines nécessaires pour le Développement Soutenable de G.E. sur
les ingénieries et, créer des masses critiques de chercheurs dans des
secteurs stratégiques pour atteindre les objectifs de l'Horizon 2020
et plans sectoriels.
5.2 Le second rapport a été du Dr. Almamy KONTE (AOSTI).
Il a présenté le tableau théorique d'Instruments de Politique
CTI. Dans sa dissertation il a dit qu'il était nécessaire de mettre
en marche des politiques pour rendre effective l'innovation, pour
cela, a souligné l'importance d'un Instrument de Politique lequel doit
définir l'ensemble voies et moyens à utiliser pour mettre en marche
cette politique à savoir : a) La loi de l'orientation de la Recherche,
b). Exonération fiscale fixée par une loi administrative en vue à
promouvoir le développement technologique :
- La loi sur l'innovation,
- Fonds compétitifs pour la recherche,
- Développement de compétences,
- Création de centres d'excellences,
- Création d'un système national/régional de santé,
- Conseil présidentiel ou interministériel
- Etc....
5.3 Le troisième rapport a couru à charge du Dr. Vroh BI IRIE
(expert en politique Science et Technologie AOSTI).
Son sujet traitait de la production scientifique de Guinea
Équatoriale en sein de la CEEAC pour l'année 2025.
Il a parlé du plan contexte et tableau d'indicateurs de CTI de
la production Scientifique l'Union africaine, de Guinée Équatoriale
dans la CEEAC et dans la CEMAC et les liens de la collaboration avec
l'AOSTI.
Dans le contexte et les tableaux indicateurs de la CTI, dans le
contexte mondial (la Globalisation, l'Économie de de savoir-faire, les
Objectifs de Développement Durables, etc....) l'Agenda Continental
de le 2063 de Guinée Équatoriale avec les Unions africaines et, au
niveau régional avec la CEEAC, CEMAC vision CEMAC 2025.
Il a aussi souligné sur l'Évaluation de la Production Scientifique
de l'Union africaine et des pays membres de la CEEAC en médecine,
dans des sciences naturelles, dans des sciences appliquées, et
l'impact des publications scientifiques de la CEMAC, dans laquelle la
Guinée Équatoriale n'a pas de données automatisées dans les secteurs
faits allusion.
Dès que la Programmation Économique Régionale (PER) vision
CEMAC 2025 a mis en évidence les piliers de croissance pour la
présente vision à développer, à savoir :
- L'énergie,
- L'agro-industrie,
- Économie forestière,
- Agronomie et pêche,
- Mines et métallurgique.
Comme des axes stratégiques a souligné le capital humain, en
accentuant le renforcement de la qualification et la formation de
Ressources Humaines et le renforcement du Système de Santé
Régionale.
5.4 Le quatrième rapport a été développé par Monsieur Diosdado
ESONO ENZEMA, Directeur Général de Planification, Programmation
et Développement Éducatif :
Pendant son intervention, il a parlé de la politique éducative
marquée par le Gouvernement de la République de Guinée Équatoriale
depuis la Période le 3 août, Coup de Liberté, jusqu'à la période
actuelle, en mettant l'accent à la promulgation du Décret-Loi
d'Éducation de de 1995 et l'innovation conséquente du Décret-Loi de
de 2007 dont les points fondamentaux ont été :
L'extension de l'Enseignement Primaire à six (6) années, la
formation d'un Enseignement Secondaire de six (6) années, (ESBA
quatre années et Baccalauréat en deux années) classé dans trois
branches qui sont : Humanités, Sciences la Nature et la Santé, ainsi
que la nouvelle organisation et la composition de l'Essai Étatique de
la Sélectivité.
5.5 Le cinquième rapport a couru à charge de Monsieur Aniceto
Jesus ELA COFFI, Directeur Général de Sciences Appliquées
Représentant de l'Invention et Innovation dans (CICTE).
Pendant son intervention il a dit que la Science et la Technologie
ont deux faces à savoir :
Un positive. - qui a permis l'avance rapide du développement des
peuples et un autre refus associé à la destruction de la personne et
de son environnement.
Il a souligné que le Gouvernement de G.E. dans son vaste
programme Horizon 2020, reconnaît la nécessité de promouvoir et
d'harmoniser le développement intégral du Pays, qui dans les
dernières décennies a fait un grand effort par rapport à la Science
et à la Technologie.
Il a conclu en disant que nous sommes convaincus que l'Éducation
et le Développement Moral de la Science et la Technologie sont le
chemin correct pour soutenir le développement soutenable des
peuples.
5.6 Le sixième rapport a couru à charge de Monsieur Fidel
ESONO MBA Directeur Général d’INDEFOR ; son rapport a été
intitulé contribution d'INDEFOR pour le développement soutenable
Il a souligné que l'INDEFOR est une Institution Publique
dépendante du Ministère Agriculture et les Forêts, chargée de veiller
pour l'utilisation soutenable des forêts et la gestion le Système
National et les Secteurs Protégés.
Quant à la recherche, il consiste l'évaluation de la surface non
profitée, en relation au volume de bois profité ; vérification de
l'utilisation des résidus du mécanicien des véhicules à moteur dans
les conversions forestières ; enquête sur les produits forestiers non
de construction ; application du système d'Information Géographique
dans la Réforme du Secteur Forestier.
Dans le domaine de la recherche pour la conservation de la nature, ils
ont mené à bien :
(i) Chambres de pièges pour les captures d'images de la faune
sauvage afin d'élaborer le documentaire "SECRET de la
FORÊT",
(ii) (ii) Projet des marines tortugas (TOMAGE);
(iii) (iii) Programme d'appui à la conservation des écosystèmes
du bassin du Congo ;
(iv) (iv) Projet de renforcement de Capacités Institutionnelles
en matière de réseaux pour la gestion durable des forêts
du bassin du Congo ;
(v) (v) Récolte d'espèces botaniques ; formation du personnel
et les appuis externes de l'INDEFOR, UNGE, par AMOEGE,
RAPACE, PACEBCO, WCS, WRI, ECOGUINEA et BBPP
etc....
5.7 Le septième rapport a été de M. Tito MITOGO. Directeur
de la Comité Pédagogique et le Suivi de de finalistes de l'UNGE.
Pendant son intervention il a souligné que l'Université Nationale
de Guinée Équatoriale se croit par la Loi 12/1995 en date du 6 janvier
1995, a comme mission la formation de Ressources Humaines de
niveau Supérieur, la Recherche Scientifique et l'extension.
Il a des compétences dans tout le Territoire National avec
personnalité juridique et est sous la tutelle du Ministère l'Éducation
et de la Science ; a deux Terrain celui de Malabo où on place le
Rectorado et un autre à Bata.
Il a un total de 10 centres de Formation, distribué dans cinq (5)
centres par terrain. En Malabo on trouve la Faculté Lettres et
Sciences Sociales, Environnement, Sciences de l'Éducation et, l'École
Universitaire d'Études Agricoles, Pêche et Forestière et, l'École
Universitaire de l'Administration.
A Battez se trouve la Faculté Sciences Médicales, Sciences de
l'Éducation, Sciences Religieuses, École Universitaire de Santé et
Environnement et l'École Universitaire d'Ingénierie Technique.
Au niveau d'innovation, l'UNGE est dans une phase de
transformation vers le système LMD, ou GMD depuis la déclaration
de Libreville de du 11/02/2005 des Chefs d'États de la CEMAC,
relatif à la création de l'espace CEMAC d'Enseignement Supérieur,
Recherche Scientifique et Formation Professionnelle.
Une commission créée à ce propos cet travaille depuis 2008, le
système est en marche dans la Faculté de Lettres et des Sciences
Sociales comme centre pilote, les autres centres ont été intégrées
progressivement au Système LMD.
Dans le présent cours 2015-2016 les facultés Lettres et
Sciences Sociales sortiront ses premiers sortis.
Pour évaluer la qualité de des finalistes, on a créé la Direction
Universitaire le Comité Pédagogique et le Suivi de finalistes.
Après ce dernier rapport du premier jour des travaux, on a
ouvert le paragraphe questions, explications et recommandations ; ce
qui nous a conduites à la conclusion des travaux pour ce jour.
Mercredi, 22 juin 2016 (continuation des interventions)
5.8 Le Dr. Ricardo Domínguez Llosá, Conseiller Technique du
projet financé par GEF et qui est exécuté dans la Direction
Générale d'Environnement du MPMA ; il a brièvement expliqué
comment se conserver la riche Biodiversité en Guinée Équatoriale qui
a un futur brillant.
Il a indiqué les Secteurs protégés de la Guinée Équatoriale, qui
occupent 18% du territoire national. Le projet travaille 5 secteurs :
deux dans la région Insulaire et 3 dans ce qui est Continentale.
A aussi expliqué, l'objectif et les résultats attendus de ce
projet sur la Biodiversité en Guinée Équatoriale :
Résultat 1 : Révision du cadre légal et opérationnel avec la définition
du système national de secteurs protégés. De même, on a révisé mis
à jour et élaboré différents plans utilisation et maniement de l'AP.
Résultat 2 : Renforcées les capacités des tableaux techniques qui
travaillent dans l’AP : Le projet a extrait actuellement en 2014 et a
développé diverses actions formatives et de recherche, avec plus de
685 personnes formées.
Actuellement, on renforce les capacités techniciens ecuato-
guinéens, deux sortissantes récemment de la Faculté de Sciences
environnementales et d'un technicien du MPMA dans l'estimation du
fonds d'absorption de carbone de Guinée Équatoriale.
Résultat 3: Sensibilisation et génération de bénéfices pour les
populations des secteurs protégés et leur environnement. On a déjà
effectué les activités de sensibilisation et on travaille la mise en
marche d'activités génératrices de recettes pour les populations
limitrophes de l'AP, ces activités permettront la réduction de la
surexploitation des Ressources naturelles et de cette façon
augmenteront la valeur de la biodiversité.
Cette valeur du PN de Montagne Alen est estimée, en ayant pris
en considération seulement 17 indicateurs de des 21 nécessaires dans
3.498.767.689 XAF annuels.
Et en extrapolant à aux autres secteurs, la valeur des Secteurs
Protégés, on estime qu'ils ont une valeur annuelle de de 1.200 millions
d'USS anuales-724.614.192.000 XAF.
Il a aussi expliqué les deux propositions de Réserves de la
Biosphère qu'on travaille, "une Réserve de la Biosphère Île de Bioko"
et une seconde "Réserve de la Biosphère dans la Région Continentale".
Après cette intervention ; s'est passés à la composition de
groupes de travaux pour identifier les points forts et faibles du
Système National d'Éducation Supérieure et de la CTI, ainsi que
l'identification d'Instruments existants de Politiques
d'Enseignement Supérieur; les groupes de travail se sont conformés
comme il suit:
(i) INEGE, Ministerio de Asuntos Sociales e Igualdad de
Género, Ministerio de Transportes,
(ii) (ii) INDEFOR, PNUD, ECOGUINEA, Tortuga Marina de
Bioko;
(iii) (iii) UNGE, CICTE, MEC y la Presidencia de Gobierno.
Le travail de groupes a été organisé pour identifier les sources
d'information pour compléter le questionnaire. Celle-ci sera la base
pour diagnostiquer l'état du Système de CTI – et l'éducation
supérieure pour le pays.
En fonction des priorités des acteurs et de Gouvernement sur
les paquets principaux, l'UNESCO soutiendra la formulation d'un
Instrument de Politique pour les arrêter.
L'UNESCO a aussi inclus une proposition pour continuer et
étendre les travaux commencés seulement pour G.E. dans le futur
accord de coopération Unesco-G.E. en suspens de SIGNATURE
5.9 AUTRES INTERVENTIONS :
5.9.1 Le Monsieur SUCE PLEA (l'UNESCO - YAOUNDÉ) a
présenté le Programme de réserve de la Biosphère de l'UNESCO et
l'importance de de celle-ci comme laboratoire de Recherche.
5.9.2 La Madame Juliana CHAVES CHAPARRO, l'UNESCO
Paris, a présenté le questionnaire basé sur la méthodologie GO-SPIN
avec des questions sur l'Éducation Supérieure et Professionnelle.
Elle a expliqué en même temps qu'à travers le GO-SPIN (et SPIN
dans l'Amérique latin) on peut voir l'impact des différents
instruments de politique de CTI et ES qu'ils ont fonctionné dans des
pays avec des caractéristiques semblables, c'est par conséquent un
outil très important pour formuler des instruments de politique
effectifs pour G.E.
Après les travaux de groupe, il s'est passé à la présentation dans
plénière dans le but de et concevoir la feuille de route Mec-aosti-
UNESCO.
Avec cette activité, on a procédé à la clôture du séminaire.
5. RÉSULTATS D'ATELIER:
Parmi les résultats obtenus pendant le développement de
l'Atelier il convient de mentionner :
a) Meilleure information et connaissance des actions
institutionnelles que développent les différents Ministères et les
Organismes Publics et Privés,
b) Rapprochement des institutions nationales de G. E. à ses
homologues internationales pour renforcer des liens de coopération
en matière de Recherche,
c) On a réveillé intérêt public en matière de formulation de
politiques et de ses institutions correspondantes sur base d'un but
suivi et évaluation continus,
d) on a constitué des équipes techniques potentiellement aptes
pour germer le processus de suivi, adoption de méthodes innovatrices
et augmentation d'élan vers l'Innovation,
e) On a ouvert, avec l'élaboration et l'adoption d'une Feuille de
Route, des perspectives de mise à jour future qu'elles peuvent
promouvoir l'innovateurs et augmentation d'élan vers l'Innovation.
6. POINTS FAIBLES IDENTIFIÉS DANS LE SÉMINAIRE
a) Manque de données pour calculer les indicateurs (non-
existence de publications), proposée de monter deux bibliothèques
numériques articles et anciens livres,
B). Manque ressources financières et infrastructures pour la
recherche. Créer une ligne budgétaire pour financer des bourses
de recherche. Concevoir un projet qui finance la recherche dans
l'UNGE avec appui de la CICTE dans des secteurs spécifiques
Biodiversité et Environnement soutenue par la candidature de deux
réserves de biosphère.
C). Manque de ressources humaines pour la recherche : Projet
inclus dans l'Accord en suspens de signature entre l'UNESCO et
Guinée Équatoriale. Création d'une masse critique nécessaire.
Malabo, 03 juillet 2016
LE POINT FOCAL
Diosdado EBANG ELA BILE
República de Guinea Ecuatorial Unión Africana Ministerio de Educación y Ciencia AOSTI
Formulation d'Instruments de Politique Science, Technologie et Innovation (ESCTI) et Éducation
Supérieure pour le Développement Soutenable en Guinée Équatoriale
FEUILLE DE ROUTE
- Le Comité Technique National organisera deux Ateliers, un par chaque région, pour former aux agents des
collecteurs de données, avec dévouement exclusif, (seconde quinzaine du mois d'août)
- Le Comité Technique National a la responsabilité de remplir le Questionnaire avec appui technique
d'AOSTI - premier projet prêt et envoyé à l'UNESCO - (seconde quinzaine du mois d'août 2016),
- Identification de priorités à travailler en collaboration avec l'UNESCO pour formulation d'un instrument
d'ES-CTI politique - août (trois membres du Comité voyagent à Yaoundé pour cette fin)
- Révision finale du questionnaire avec AOSTI - envoyé à l'UNESCO - septembre,
- Projet d'instrument de politique avec UNESCO-HQ – septembre
- Fin d'instrument de politique avec l'UNESCO - octobre
- Séminaire de validation/présentation diagnostic et instrument de politique - seconde quinzaine du mois
d'octobre. Financé par Gouvernement de la République Guinée Équatoriale, l'UNESCO et d'AECID a Bata,
Proposition de projet pour continuer avec le développement capacités et instruments de CTI et ES dans l'Accord
de collaboration de UNESCO- Guinée Équatoriale EN SUSPENS DE SIGNATURE.
- 1. Manque d'infrastructures (laboratoires, moyens, équipements, technologies, bibliothèques, salles de
classe, internet) = 18 2.
- 2. Manque de financement en formation de chercheurs/étudiants=14 3.
- 3. Manque de la culture statistique et disponibilité de données =11 4.
- 4. Application loi (environnement, statuts chercheurs.) =8 5.
- 5. Manques des indicateurs (CTI ES) par manque de financement =8 6.
- Manque de financement activités de CTI=8 7,
- Biodiversité comme secteur stratégique et pour diversification économique =7 8.
- Conflit d'attributions entre institutions =5 9.
- Peu de coopération sud-sud et triangulaire =3 10.
- Loi planification de l'activité scientifique - public et privé =3 11.
- Difficulté en accès à des fonds - contrepartie du Gouvernement =2 12.
- Échange entre des chercheurs (visas) - politiques implicites =2 13.
- Dépendance de fonds étrangers =2 14.
- Manque divulgation scientifique - musées, revues, olympiades, etc.=1
Malabo, 03 juillet 2016 le POINT FOCAL
Diosdado EBANG ELA BILE.