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Affirmation de soi ou techniques d’entraînement aux habiletés sociales

Dr Julie GenesteDr Anne-Marie Tronche

Psychiatres

Congrès de l’ACATCC« de l’estime de soi à la confiance en soi »

8 et 9 fevrier 2013

communiquer de façon affirmée, c’est exprimer ses sentiments et ses façons de

voir, d’une façon calme,honnête et appropriée, tout en voulant connaître les sentiments et la manière de

voir d’autrui. ( Boivert et Beaudry)

Estime de soi/ confiance en soi/affirmation de soi

L’Estime de soi personnelle: jugement de valeur global que nous portons sur notre personne. (cas particulier d’une bonne estime de soi sociale, dépendant de l’image donnée aux autres, avec une mauvaise estime de soi personnelle).

La Confiance en soi: notre sentiment de compétence personnelle, notre confiance en notre capacité à agir, à décider.

L’affirmation de soi: notre capacité à exprimer nos opinions, nos émotions, afin de faire respecter nos droits tout en respectant les opinions, les émotions et les droits d’autrui.

Affirmation de soi:

Mes compétences relationnelles

Confiance en soi:

Mes compétences personnelles

Estime de soi:

Mon opinion de moi même

Estime de soi/confiance en soi/affirmation de soi (d’après F. Fanget)

Manque d’estime de soi

Manque de confiance en soi

Manque d’affirmation de soi

origine Manque de « nourritures affectives ».

Attitudes envers les premières actions de l’enfant.

Traumatismes, échecs lors des premières relations.

Domaines concernés

L’image de soi Les actes Les rapports aux autres

Croyances/

préjugés

« je suis nul(le), sans valeur »

« je ne suis pas capable »

« j’ai besoin que l’on m’aime »

Pathologies associées

Dépressions chroniques, troubles de personnalité.

Dépressions, trouble d’anxiété généralisée.

Phobies sociales, personnalité évitante

traitements Thérapie sur la personnalité.

Thérapie sur les comportements

Thérapie d’affirmation de soi

L’affirmation de soi est un comportement relationnelComposantes verbalesComposantes non-verbalesComposantes cognitives Composantes émotionnelles

Jeux de rôle

Noter les différents types de comportement

passivité

Affirmation de soi

agressivité

L’affirmation de soi est un comportement relationnel

manipulation

Exprime pas ou peu ses besoins ( 5% du temps)

Attend qu’on devine ses besoins. A tendance à ne pas regarder l’autre en face,

baisse souvent les yeux et la tête, la voix est souvent faible et peu audible.

En cas de conflit d’intérêt, a tendance à prendre la fuite.

Se sent souvent mal, frustré regrettant de ne pas vous être exprimer.

Les caractéristiques d’un comportement passif

Les caractéristiques d’un comportement agressif

Impose ses besoins et ses désirs. Ne respect pas l’autre. Parle à la place de l’autre. Regarde l’autre fixement, la posture est

tendue, rigide, la voix est forte, peut s’approcher très près de l’autre pour lui parler.

A tendance à généraliser. En cas de conflit, n’hésite pas à contre-

attaquer. Regrette la détérioration de la relation.

Les caractéristiques d’un comportement affirmé

Exprime ses besoins et ses désirs. Respecte équitablement les besoins et les

désirs de l’autre. Parle autant qu’il écoute l’autre (50%,50%) Direct, clair et précis dans son expression. Regarde l’autre en face, la posture est

décontractée, la voix est claire et suffisamment forte.

En cas de conflit d’intérêts, cherche un compromis.

Content de s’être exprimé et d’avoir respecté l’autre.

Les 3 types de comportement

passif agressif affirmé

Obtenir quelque chose

rarement Quelque fois, au détriment de l’autre

Souvent, si l’interlocuteur est en mesure de répondre favorablement

Relations avec les autres

« paillasson » « hérisson » favorables

Émotions et satisfaction personnelle

Anxiété, ruminations,Colère,Sentiment de « non accomplissement »

Colère,Tension psychique

Possible anxiétéSoulagementsatisfaction

Thérapie d’affirmation de soi

Se centre sur l’apprentissage du comportement affirmé

Utilise différentes techniques: L’information La formation à l’observation Les jeux de rôles et le feedback Les techniques de relaxation Les tâches assignées Les expositions in vivo

Modéles théoriques des TCC

Par le travail sur le comportement le thérapeute vise une modification triple: comportementale, émotionnelle et cognitive (modification des schémas de pensées: représentations de soi, des autres et du monde)

Le travail comportemental est la voie d’abord principale choisie (du fait de son efficacité ++)

conditionnement opérantSkinner: notion de renforcementModèle SORCS O R Cses +

Renforcement : la présence de conséquences positives permet d’accroître l’intensité et la fréquence du comportement qui précède.

+

conditionnement opérant

2 types de renforcement car 2 types de conséquences positives :

Renforcement positif: la réponse apporte quelque chose de nouveau et d’agréable

Renforcement négatif: la réponse suprime quelque chose de désagréable, apporte un soulagement (par exemple: évitement, échappement) .

Exemple: renforcement positif

Des amis viennentdiner

J’ose mettre une belle robe

Je reçois plein de compliments

Le compliment renforce le comportement d’oser mettre une belle robe

Exemple: renforcement négatif

Un problème de travail

Je fume pour me calmer et mieux me concentrer

Calme, meilleure concentration

Le calme renforce le comportement de fumer en cas de stress

conditionnement opérant

S O R Cses-

Punition = aversion: la présence de conséquences négatives fait décroître l’intensité et la fréquence du comportement qui le précède.

S O R pas de Csesextinction progressive du comportement.

-

L’apprentissage social (Bandura, 1969)

Apprentissage par imitation et par processus symbolique.

Importance du renforcement anticipé: source de motivation au comportement qui serait plus importante que le renforcement réel.

L’apprentissage social

Pour Bandura, il existe 3 types de renforcement:Renforcement externeRenforcement vicariant (observation)Auto renforcement (anticipation des

réponses)

habituation

Principes thérapeutique et facteurs de changement

Habituation et principes d’exposition:

L’habituation est d’autant plus facile que le sujet entre dans la situation anxiogène avec un faible niveau d’activation émotionnelle

Principes thérapeutique et facteurs de changement

Le renforcement positif: doit avoir lieu le plus tôt possible, ciblé en fonction de ce que l’on veut renforcer Jamais de mise en échec !

Le façonnement progressif: un comportement que l’on veut produire peut être obtenu progressivement en renforçant des comportements qui s’en rapproche.

Principes thérapeutique et facteurs de changement

Apprentissage vicariant: avec utilisation deModéles réels (thérapeutes, environnement)Le modèle doit présenter un certain prestige

sans être parfait, le patient doit savoir à l’avance ce qu’il doit

observer et imiter, l’imitation doit être renforcée après chaque réalisation

Comment apprendre à s’affirmer (selon F. Fanget)

Principe n° 1 : Priorité à l’action. Oser agir

Principe n°2 : Observer après avoir agit.Observer le comportement du patient, les réactions de l’interlocuteur et la qualité de la relation.

Comment apprendre à s’affirmer(selon F. Fanget)

Principe n°3 : Juger après avoir agitOn s’aime plus lorsque l’on s’affirme.

Principe n°4 : La façon de faire facilite l’action. Apprendre des habiletés sociales à vos patients pour pouvoir s’affirmer.

La répétition

- Répétition des situations en jeux de rôle.

- entraînement et exposition dans la vie réelle de manière répétitive.

Diagnostic du déficit en affirmation de soi

Évaluation: échelle d’affirmation de soi de Rathus, échelle de phobie sociale de Liebowitz

Échelle d’estime de soi de Rosenberg

Modèles explicatifs du déficit en affirmation de soi:

- l’anxiété inhibitrice (phobie sociale),

- le manque de savoir-faire (compétences sociales),

- les obstacles cognitifs (schéma précose inadapté).

Analyse fonctionnelle en affirmation de soi (définitions)

L’analyse fonctionnelle est une étape préalable à toute intervention psychothérapeutique.

Elle est la première étape essentielle d’une thérapie comportementale et cognitive.

l’analyse fonctionnelle C’est une analyse qualitative Permet de déterminer pour une

séquence comportementale Les facteurs de déclenchement Le déroulement Les émotions et cognitions associées Les facteurs de maintien

Permet de donner du sens au comportement, aux émotions et aux cognitions en mettant à jour leur fonction pour un individu donné.

Situation déclenchante

Cognitions: interprétation de la situation

émotions

comportement

conséquences

anticipation

Le jeu de rôle Définition de la situation-problème Choix des participants Premier essai Feedback sur le premier essai Mise au point de variantes Deuxième essai avec variantes Feedback…

La communication non verbale 80% de l’impression que nous font les

autres, Distance interpersonnelle Contact visuel Posture Mimiques, gestes Intonation,débit,hauteur de la voix.

Situation-problèmes travaillées en thérapie d’affirmation de soi

Faire une demande Savoir dire non Faire une critique Recevoir une critique Faire un compliment Recevoir un compliment Engager une conversation

Pensées empêchant la demande :

Si je demande, je dois obtenir.   Demander directement, précisément,

c’est mal élevé. Si je demande, je m’impose à l’autre.   Si on me refuse une première fois, ce

serait mal poli d’insister. L’autre doit deviner mes besoins. Ma demande va déranger l’autre. Il est inutile de demander ce qui sera

refusé.

LA DEMANDE

Pensées facilitant la demande ou la rendant acceptable :

Je peux demander, mais je dois accepter que l’autre refuse. Une demande directe est claire pour l’autre qui sait à quoi s’en tenir. Grâce à l’empathie, je le laisse libre de choisir sa réponse.  Il est souvent nécessaire de persister dans une demande pour obtenir.  Faire d’abord la demande et demander ensuite si elle dérange.  On ne peut être sûr que ce sera refusé. De toute façon, même en cas de refus, je serai au moins content de moi d’avoir demandé

Formulez votre demande en appliquant la méthode JEEPP :

. J comme je. Commencez votre première phrase par je. (« J’aimerais, j’apprécierais, je souhaite ... »)

. E comme empathie. Tenez compte de l’autre. (« Je comprends bien ... mais j’aimerais »)

. E comme émotions, les vôtres (« Je suis gêné d’avoir à insister ») et celles de l’autre (« Je comprends que vous soyez embarrassé par ma demande »)  

la technique pour faire une demande :

. P comme précis.Demandez directement ce que vous voulez.(« Je viens vous voir pour vous demander de partir à 16 heures ce soir, s’il vous plaît »)

.P comme persistance.Répétez votre première phrase précise comme un disque rayé, en alternant avec l’empathie.(« Je comprends que cela vous pose des problèmes, mais j’aimerais sortir du bureau à 16 heures »)  

la technique pour faire une demande :

JEEPP

Pourquoi dire non ?

« Ne pas dire non, c’est comme une maison sans fenêtre ni porte : Le vent, la pluie et la

neige peuvent venir mouiller votre sol et abîmer les fondations. Apprenez à fermer

vos fenêtres. »

Pensées qui peuvent empêcher ou aider un refus

Ce que je veuxRefuser

Ce que je me disCognitions

Ce que je faisJe refuse

Pensées empêchant Pensées aidant

Ex : Cela va entraîner un conflit

Ex : je peux dire « non » en respectant l’autre

Les étapes de la technique du refus

1. Respecter vos droits et vos devoirs : - Vous avez le droit de dire NON - Vous ne devez jamais vous sentir obligé de

vous justifier. - Si vous négociez, vous le faite toujours après

avoir refusé la première demande.

2. Respecter les droits de l’autre :2. Respecter les droits de l’autre :

- De faire une demande- De faire une demande

- D’insister- D’insister

Les étapes de la technique du refus

Votre plan d’action en 5 étapes :1er étape : Dire NON d’emblée (cela suffit dans 80%)

2ème étape : Répéter NON, méthode du « disque rayé » 

3ème étape : Manifester de l’empathie

4ème étape : Exprimer ses émotions négatives

5ème étape : Mettre fin à la discussion

 

1 . Apprenez à voir les aspects positifs chez l’autre.

2. Dîtes-lui directement et précisément ce que vous appréciez (en étant franc).3. Dîtes JE.

La technique pour faire un compliment :

4. Engagez vous personnellement en exprimant votre émotion positive.(« J’apprécie beaucoup que tu aies rangé ton bureau aujourd’hui »).

 

 

1. Dites merci - : Accusez réception du fait d’être complimenté :

 2. Exprimez franchement vos émotions :

quelles qu’elles soient :« Cela me fait plaisir que tu me dises cela »ou bien « Cela me gêne » 3. Exprimez franchement votre opinion :«  Moi aussi je pense que j’ai cette qualité »

REPONDRE A UN COMPLIMENT

 

Voici un résumé du DESC :.D :Décrire la situation précisément, brièvement et objectivement.E : Exprimer ses émotions négatives directement en employant la première personne du singulier : JE ou CELA ME.S : Suggérer une solution positive, précise, réalisable par l’autre en employant la première personne du singulier.(« J’apprécierais beaucoup que tu puisses être à l’heure lors de nos prochains rendez-vous. »).C : Conclure par les conséquences positives pour vous si l’autre accepte votre solution

FAIRE UNE CRITIQUE A L’AUTRE

Bibliographie affirmation de soi

  F.Fanget, Affirmez-vous, 2ème édition, Odile Jacob, 2002. C. Cungi, Savoir s’affirmer, Retz, 2001. J.M. Boisvert et M. Beaudry, S’affirmer et communiquer, Editions de l’Homme, 1979

R.E. Alberti et M. Emmons, S’affirmer, savoir prendre sa place, le Jour, 1992

R.P Liberman, Entraînement aux habilités sociales pour les patients psychiatriques, Retz, 2005.

  F.Fanget, B. Rouchouse, L’affirmation de soi, une méthode de thérapie, avril 2007, Editions Odile Jacob (pour professionnels)

 

ECHELLE d’affirmation de soi de RATHUS

  Nom : Prénom : Sexe : Age : Date :  

Indiquer à quel degré les affirmations suivantes sont caractéristiques ou descriptives de votre comportement. Veuillez utiliser la cotation ci-dessous et mettre une note à chaque affirmation :

  1 : Très caractéristique 4 : Un peu non caractéristique 2 : Plutôt caractéristique 5 : Plutôt non caractéristique 3 : Un peu caractéristique 6: Vraiment non caractéristique

  

1.* La plupart des gens me semblent être plus agressifs et défendre mieux leurs droits que moi.

  2. * Il m’est arrivé d’hésiter par timidité au moment de donner ou d’accepter des rendez-vous.

   3. Quand la nourriture dans un restaurant ne me satisfait pas, je m’en plains au serveur ou à la serveuse.

4.* Je fais attention à ne pas heurter les sentiments des autres, même lorsque je sens que l’on m’a blessé(e).

5.* Si un vendeur s’est donné beaucoup de mal à me montrer une marchandise qui ne me convient pas parfaitement, j’ai un moment difficile lorsque je dois dire non.

   

ECHELLE RATHUS suite 

6. Lorsqu’on me demande de faire quelque chose, j’insiste pour en savoir la raison.

   7. Il y a des moments où je cherche une bonne et vigoureuse

discussion.   8. Je me bats pour arriver aussi bien que les autres dans ma

profession.   9.* A vrai dire, les gens tirent souvent profit de moi.   10. J’ai du plaisir à entreprendre des conversations avec de

nouvelles connaissances ou des étrangers.  

ECHELLE RATHUS suite

 11.* Souvent, je ne sais rien dire à des personnes séduisantes du sexe opposé.12.* J’hésiterais à téléphoner à un grand établissement de commerce ou à une

administration.13.* Je préférerais poser ma candidature pour un autre travail par lettre

plutôt que par un entretien personnel.14.* Je trouve embarrassant de renvoyer une marchandise.15.* Si un parent proche et respecté est en train de m’ennuyer, j’étoufferais

mes sentiments plutôt que d’exprimer cette gêne.16.* Il m’est arrivé d’éviter de poser des questions par peur de paraître

stupide.17.* Pendant une discussion serrée, j’ai souvent peur d’être bouleversé(e) au

point de trembler de tout mon corps.18. Si un conférencier réputé et respecté dit quelque chose que je pense

inexact, j’aimerais que le public entende aussi mon point de vue.19.* J’évite de discuter les prix avec les représentants et les vendeurs.20. Lorsque j’ai fait quelque chose d’important et de valable, je m’arrange

pour le faire savoir aux autres.

 

ECHELLE RATHUS

21. Je suis ouvert et franc au sujet de mes sentiments.22. Si quelqu’un a répandu des histoires fausses et de mauvais goût à

mon sujet, je le vois aussi vite que possible pour une explication.23.* J’ai souvent un moment difficile lorsque je dois dire non.24.* J’ai tendance à contenir des émotions plutôt que de faire une

scène.25. Je me plains lorsque le service est mal fait, dans un restaurant ou

ailleurs.26. * Souvent, je ne sais pas quoi dire lorsqu’on me fait un

compliment.27. Au cinéma, au théâtre, ou lors d’une conférence, si un couple près

de moi est en train de parler à voix haute, je lui demande de se taire ou d’aller autre part.

28. Quiconque cherche à passer devant moi dans une queue, risque une bonne explication.

29. Je suis rapide dans l’expression de mes opinions.30.* Il y a des moments où je ne sais pas quoi dire.

ECHELLE DE PHOBIE SOCIALE LIEBOWITZ

Nom : Prénom : Age : Sexe : date :

 ANXIETE 0 = Aucune 1 = Légère 2 = Moyenne 3 = Sévère

  1.(P) Téléphoner en public.  2.(P) Participer au sein d’un petit groupe.  3.(P) Manger dans un lieu public.  4.(P) Boire en compagnie dans un lieu public.  5.(S) Parler à des gens qui détiennent une autorité. 6.(P) Jouer, donner une représentation ou une conférence.

 7.(S) Aller à une soirée. 8.(P) Travailler en étant observé.  9.(P) Ecrire en étant observé.  10.(S) Contacter par téléphone quelqu’un que vous ne connaissez pas très bien.

11.(S) Parler à des gens que vous ne connaissez pas très bien.

12.(S) Rencontrer des inconnus. 13.(P) Uriner dans les toilettes publiques.

EVITEMENT0 = Jamais1 = Occasionnel ( 0-33 %)2 = Fréquent ( 33-66 %)3 = Habituel (67-100 %)

suite   14.(P) Entrer dans une pièce alors que tout le monde est déjà assis.

15.(S) Être le centre d’attention. 16.(P) Prendre la parole à une réunion. 17.(P) Passer un examen. 18.(S) Exprimer son désaccord ou sa désapprobation à des gens que vous ne

connaissez pas très bien. 19.(S) Regarder dans les yeux les gens que vous ne connaissez pas très bien.

20.(P) Faire un compte-rendu à un groupe. 21.(P) Essayer de « draguer » quelqu’un. 22.(S) Rapporter des marchandises dans un magasin.

23.(S) Donner une soirée. 24.(S) Résister aux pressions d’un vendeur insistant. TOTAL : A = E = Deux scores : S = Interaction sociale A.S = E.S = P = Performance A.P = E.P =

ECHELLE DE PHOBIE SOCIALE LIEBOWITZ

L’échelle d’estime de soi de Rosenberg (Traduction de O. CHAMBON 1992) Date : Nom : Prénom : Indiquez la réponse qui vous semble correcte pour chacune des dix

affirmations suivantes, selon que vous soyez : fortement en accord, en accord, en désaccord, ou fortement en désaccord.

1 : fortement en accord 2 : en accord 3 : en désaccord 4 : fortement en désaccord 1 . * Dans l’ensemble, je suis satisfait de

moi……………………………………….   2 . Parfois, je pense que je vaux rien………………………………………………    3 . * Je pense que j’ai un certain nombre de bonnes qualités

……………………….   4 . * Je suis capable de faire les choses aussi bien que la plupart des

gens………….    5 . Je sens qu’il n’y a pas grand chose en moi dont je puisse être

fier……………..    6 . Parfois, je me sens réellement

inutile…………………………………………..  

L’échelle d’estime de soi de Rosenberg

6 . Parfois, je me sens réellement inutile…………………………………………..

  7 . * Je pense que je suis quelqu’un de valable, au

moins autant que les autre gens…. 8 . J’aimerais pouvoir avoir plus de respect pour moi-

même…………………………

9 . Tout bien considéré, j’ai tendance à penser que je suis un(e) raté(e)………………

   10. *J’ai une opinion positive de moi-

même…………………………………………..    total :

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