l’anatomie – pathologique · morgagni publia ainsi en 1761, à venise, le premier ouvrage...
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LES BASES ELEMENTAIRES DE
L’ANATOMIE – PATHOLOGIQUE
Dr: A.LOUCIF
Médecin spécialiste en anatomie pathologique EHS.DAKSI
HISTORIQUE:
Les Egyptiens connaissaient déjà les tumeurs inflammatoires (abcès), kystiques et solides . De plus la momification des corps témoignent de leur connaissance de l'anatomie. Le relais a été pris par les Grecs. L'école d'Hippocrate (460-377) est la plus connue et repose avant tout sur des descriptions cliniques.
Les Perses pratiquent des dissections anatomiques et Avicenne (Ibn Sina) (980-1037) utilisa les cadavres des champs de bataille à des fins scientifiques.
L'émergence de l'anatomie pathologique est, avant l'expérimentalisme de Claude Bernard (1813-1878), le premier stade de développement de la médecine moderne.
La pratique de l'autopsie fut longtemps à visée purement anatomique, sans que l'on y retrouve un désir d'étude du processus pathologique ("pathologie"). Hermann Boerhave(1668-1738), fut un des premiers à étudier les cadavres des médecins décédés, pour découvrir la cause de la maladie et de la mort.
Giovanni-Batista Morgagni (1682-1771), professeur de médecine et anatomiste,
peut être considéré comme le premier anatomo-pathologiste moderne. Il entreprit
d'établir une relation de cause à effet entre les lésions constatées chez le cadavre et
la sémiologie clinique. Il fonda à ce titre la "Méthode anatomo-clinique".
Morgagni publia ainsi en 1761, à Venise, le premier ouvrage d'anatomie
pathologique
Le microscope optique apparut ainsi que l'étude des tissus et des cellules et la
théorie cellulaire vit le jour (1839 T. Schwann et M.J. Schleiden à Berlin). La
théorie cellulaire trouvée par R. Virchow (1821-1902) en Allemagne (Berlin) qui
l'appliqua à la pathologie et en fit la base de la classification histopathologique des
lésions.
Depuis les années cinquante, plusieurs avancées technologiques se sont ajoutées à
la microscopie traditionnelle :
la microscopie électronique,
l'histochimie,
l'immunohistochimie et la biologie moléculaire.
La morphologie n'est plus le seul principe organisateur de la classification
nosologique des maladies. Par exemple, la classification des lymphomes prend en
compte les données de la cytologie, de l'immunohistochimie, de la cytogénétique et
de la biologie moléculaire
I/INTRODUCTION :
Le pathologiste, dans sa pratique quotidienne, est amené à analyser différents types de matériel cellulaire ou tissulaire provenant de tumeurs avec, comme objectif constant de fournir :
Un diagnostic lésionnel aussi précis que possible, en particulier concernant le type de la tumeur (épithélial, mésenchymateux, lymphoïde…) et son caractère bénin ou malin.
Toute information additionnelle ayant un impact sur le pronostic et/ou la prise en charge thérapeutique (grade, stade, expression de marqueurs moléculaires…).
II/DEFINITION :
L’anatomie pathologique se définit comme
« l’étude des lésions macroscopiques,
histologiques, ultra structurales et bio
moléculaires apportées par la maladie aux
organes, aux tissus et aux cellules ».
III/LE DIAGNOSTIC ANATOMOPATHOLOGIQUE
Le diagnostic anatomo-
pathologique découle d’une
cascade d’étapes
interdépendantes l’une de
l’autre.
Elles se résument en une
succession d’étapes:
¤- Le prélèvement;¤- La fixation;¤- La macroscopie;¤- Le traitement des tissus;¤- L’inclusion dans la
paraffine;¤- La coupe;¤- L’étalement;¤- La coloration standard;¤- La coloration spéciale;¤- Le montage;¤- La lecture.
A/ETAPE DE LA FIXATION :
La fixation est primordiale et essentielle.
L’ensemble des pathologistes considèrent la fixation comme le stade essentiel qui déterminera la qualité de l’examen, la fiabilité du diagnostic et la rapidité du résultat.
La fixation est un moyen technique (physique ou, surtout chimique) qui permet de garder les structures tissulaires à étudier dans un état aussi proche que possible de l’état vivant.
Elle fige (fixe) les structures cellulaires et tissulaires en « une image instantanée » par une coagulation des protéines.
CONDITIONS D’UNE BONNE FIXATION
La fixation doit être immédiate et
aussi précoce que possible, dans les
premières minutes ou même secondes
qui suivent le prélèvement pour éviter
la dessiccation des cellules.
Le liquide fixateur doit être abondant,
pour immerger totalement la pièce à
fixer. Le volume doit être de 10 à 20
fois le volume du prélèvement à fixer.
La plupart des fixateurs agissent en dénaturant ou en
précipitant les protéines; qui forment alors une éponge
ou un filet; tendant à contenir les autres constituants de
la cellule.
Des dégâts minimes et des altérations physiques et
chimiques du contenu cellulaire sont inévitables avec
n’importe quel fixateur. Il n’existe pas de fixateur idéal.
La fixation dépend du type de tissu et du type de
recherche à faire. Une fixation incomplète ou incorrecte
donne des blocs de tissus mous et pâteux et les coupes
seront friables, donc de très mauvaise qualité.
1/Fixateurs physiques :
A:Fixation par la chaleur :
C’est l’une des plus anciennes méthodes de fixation. Elle réalise la coagulation des protéines sous l’effet de la chaleur. Les résultats morphologiques sont désastreux. Elle est citée, uniquement, à titre historique.
B:Fixation par dessiccation à l’air libre :
La fixation par dessiccation, utilisée essentiellement pour les frottis de sang, de moelle osseuse et aux empreintes de pièces fraîches, n’est pas une vraie fixation puisqu’elle est suivie, toujours, par un complément de
fixation chimique.
C:Fixation par dessiccation à basse
température (congélation) :
C’est la cryodessiccation. La méthode consiste
à dessécher les tissus à basse température. Elle
n’est pas une fixation au sens propre du terme .
Le refroidissement consiste à arrêter les
processus d’autolyse enzymatique et cet arrêt
cesse bien sûr, avec le retour à la température
ambiante.
2/Fixateurs chimiques
Les fixateurs chimiques se comptent par
dizaines, mais nombre d’entre eux sont de
simples variantes.
On note :
des liquide fixateurs aqueux : le solvant
est représenté par l’eau tels que le formol et le
liquide de Bouin .
des liquides fixateurs alcooliques : le
solvant est représenté par l’alcool, exemple de
liquide de Carnoy.
3/But de la fixation :
Elle s’oppose à l’autolyse des constituants
fondamentaux sous l’effet des enzymes
cellulaires.
Elle s’oppose aux distorsions et
rétractions.
Elle protège contre l’attaque bactérienne.
4/Choix du fixateur :
Le fixateur sera choisi en fonction de
certains paramètres :
but poursuivi
les colorations spéciales ultérieures
le volume de la pièce
la vitesse de pénétration
la disponibilité du produit
le coût du produit.
Un bon fixateur doit :
pénétrer vite dans le tissu
être isotonique
provoquer un minimum
d’altérations physiques et
chimiques au niveau de la cellule
être stable et inoffensif dans sa
manipulation
Particularités:
Il est connu que le mucus et le sang s’opposent, en
général, à la pénétration du fixateur.
Avant la fixation, il faut enlever le maximum de mucus
(exp. : kyste mucoïde de l’ovaire).
Il est connu, également, que les tissus adipeux
(cutanés, mammaires, lipome) se fixent lentement ; leurs
coupes doivent être très fines moins de 4 mm.
Pour une bonne fixation, il est souhaitable
d’utiliser des flacons en verre, transparents et à col
large pour permettre le retrait aisé de la pièce qui
durcit au contact du liquide fixateur.
La transparence des flacons permet de voir, à
l’étape macroscopique, les minuscules
prélèvements et les saisir à la pince.
Pour éviter que la pièce (prélèvement) fraîche ne
colle au fond du flacon, il faut remplir d’abord le
flacon de liquide fixateur et ensuite plonger la
pièce.
La durée de fixation dépend de la nature du
fixateur, de sa rapidité de pénétration et du volume
de la pièce.
La fixation est activée, au moins, à 50 % si on
agite les prélèvements dans le liquide fixateur.
La fixation doit être; ni trop courte ni trop longue :
si la fixation est trop courte, les affinités
tinctoriales des constituants cellulaires sont
faibles
une fixation trop longue causera, au contraire,
des empattements lors de la coloration et,
parfois, la perte des constituants chimiques.
DIFFÉRENTS CONSTITUANTS/FIXATEURS
A gauche, Formol de
commerce (1L) de 30 à
40% de concentration.
Liquide de Bouin de
couleur jaune avec dépôt
d’acide picrique au fond de
l’éprouvette.
Flacon d’acide picrique en
cristaux.
a/Le formol (HCHO) :
Il est le plus utilisé pour ses qualités de bon fixateur
et conservateur.
Il est disponible sur le marché sous forme d’une
solution mère de formaldehyde de 30 à 40 % de
concentration.
Solution à 10 % (la plus utilisée) :
solution mère …………10 vol
eau courante ………… 90 vol
C’est un produit à conserver à l’abri de la
lumière et à des températures supérieures à
10°C pour éviter la polymérisation (précipité)
qui est plus rapide à de basse température.
Il ne précipite par les protéines, fixe les
lipides complexes et ne contracte pas les
tissus.
La fixation au formol à 10 % permet, la
réalisation de technique de biologie de
pratiquer l’immuno-histochimie et même la
microscopie électronique.
Le formol est totalement éliminé par l’alcool de
déshydratation. Il est bon marché, facile à
préparer et relativement stable lorsqu’il est
tamponné.
Le formol est un excellent fixateur pour les
structures nerveuses et le tissu adipeux.
Sa vitesse de pénétration est moyenne. Des
prélèvements découpés à 4 mm d’épaisseur sont
fixés en 4 à 6 heures. Une fixation complète est de
12 à 24 heures.
Le mélange formol – chlorure mercurique
(Hgcl2) est celui qui convient le mieux aux lipides.
Les inconvénients :
Sa manipulation peut provoquer des dermatoses des mains.
ll dégage des vapeurs irritantes, pour les muqueuses nasales,
et lacrymogènes gênantes et parfois nuisantes.
Des études récentes l’incriminent d’être un agent
cancérigène.
ll durcit les pièces.
Dans les tissus qui contiennent beaucoup de sang, comme la
rate, le formol donne, parfois, naissance à un pigment artificiel
noir ou brun foncé qu’on appelle pigment formolé qui est due à
la présence de trace d’acide formique dans le formaldehyde de
commerce.
Pour éliminer le pigment formolique constitué, on
peut le faire à l’aide de l’acide picrique :
Immerger la coupe dans de l’eau après
avoir désolidarisé la lamelle de la lame par
un séjour dans le xylène dont la durée
dépend de l’ancienneté de la lame.
La passer dans une solution alcoolique
d’acide picrique à saturation pendant une
période de 5 mn à 2 heures selon l’intensité
du pigment.
Ensuite laver pendant 5 à 10 min à l’eau
courante.
B/LE LIQUIDE DE BOUIN :
C’est le deuxième fixateur le plus utilisé en
anatomie pathologique, particulièrement pour
les petites pièces.
Il est meilleur fixateur topographique, pénètre
rapidement et fixe de façon homogène.
C’est un excellent fixateur du glycogène et de
la plupart des tissus sauf le rein qu’il fixe mal.
C’est une solution stable.
INCONVÉNIENTS DU LIQUIDE DE BOUIN
Les tissus ne doivent pas y séjourner plus de
12 à 24 heures selon leur taille, car ils deviennent
durs, cassants et difficile à couper.
Après la fixation au Bouin, les tissus doivent
être conservés dans de l’alcool éthylique à 70 %.
Il lyse les globules rouges.
Il a une couleur jaune due à l’acide picrique et
colore les pièces en jaune, empêchant, ainsi, de
reconnaître la couleur initiale de la lésion ou de
la pièce.
Pour faire disparaître cette couleur jaune des
coupes, on les traite avec l’une des deux méthodes
suivantes :
on met la coupe pendant quelques min
dans une solution saturée de carbonate de
lithium dans de l’alcool à 70 % ;
on traite les coupes à l’alcool éthylique puis
à l’hyposulfite de soude à 5 %. Ensuite, on
lave à l’eau courante.
C/LIQUIDE DE CARNOY
Le liquide de Carnoy doit être préparé extemporanément. Il ne se conserve pas.
Formule :
alcool éthylique absolu…………………60ml
chloroforme …….………………………… 30ml
acide acétique glacial ….…………… 10 ml
Il convient aux petits prélèvements (curetage). C’est un bon fixateur du glycogène.
Les inconvénients :
Il laque (lyse) les globules rouges et provoque une rétraction considérable.
D/ALCOOL (70 À 100 %) :
L’alcool éthylique est un très mauvais
fixateur. Il est utilisé en dernier ressort quand
le médecin est dépourvu de fixateurs
adéquats.
Il précipite énergiquement les protéines.
Il dissout certains lipides complexes et
précipite le glycogène sans le fixer.
Il prépare mal à la coloration.
E/GLUTARALDEHYDE
La solution mère est à 25 %.
On obtient une bonne fixation avec
une concentration de 2,5 % à 4 %.
Après fixation on transfère les
tissus dans de l’alcool éthylique à
70 % pour les déshydrater et on
les inclut de façon habituelle ;
La glutaraldehyde est utilisée,
généralement, pour la microscopie
électronique.
Les avantages :Une meilleure conservation des cellules,
particulièrement le cytoplasme.
Provoque moins de rétraction que ne le fait
le formol.
Meilleures coupes du caillot sanguin et du
cerveau.
Les inconvénients :
le coût de revient est élevé.
Moins stable.
Pénètre les tissus plus lentement que le
formol.
Traitement particulier de certains tissus :
Certains prélèvements doivent subir un traitement
spécial pour être techniqués après leur fixation.
Les prélèvements osseux doivent être découpés
en tranches de moins de 02 cm d’épaisseur à l’aide
d’une scie, fixés à l’aide de liquide de formol à 10 ou
15% et ensuite décalcifiés avec une solution
d’acide nitrique.
Le contrôle de la décalcification se fait au toucher
ou en piquant le fragment avec une aiguille
(mauvaise méthode) ou même on apprécie le
résultat sous la lame du bistouri pendant la coupe.
Au terme de ce chapitre sur la
fixation, il est important de
souligner que si l’inclusion est
différée pour une raison ou une
autre, tous les liquides
fixateurs peuvent être un
liquide d’attente et servir
comme liquide conservateur
LE BON DE DEMANDE D’EXAMEN
Il n’y a pas de modèle standard, cependant certains renseignements importants doivent y figurer, il permettent, non seulement, d’aider au diagnostic mais, également, de l’accélérer.
Etablissement (CHU, hôpital, service, clinique…)……………
Nom………….Prénom………….Age………Sexe…………
Nature du prélèvement (biopsie simple, exérèse, chirurgicale)
Siège du prélèvement………………………………………....
Date du prélèvement ……………........……………………….
Prélèvements gynécologiques, donner la date du cycle……....
Aspect macroscopique de la lésion…………………………...
Données biologiques………………………………………….
Données radiologiques………………………………………..
MATÉRIEL DE LA MACROSCOPIE
Liège
Pinces
Bistouri
Couteaux
Mètre ruban
Gants
Canule
Ciseaux
LA PESÉE
Balance Classique placée dans la salle de macroscopie pour peserles pièces adressées au laboratoire.
MACROSCOPIE : MESURE DE LA PIÈCE
OPÉRATOIRE:
Macroscopie : mesure de la tumeur
MACROSCPIE : PRÉLÈVEMENT AU NIVEAU D’UNE
PIÈCE OPÉRATOIRE (LARYNX)
CASSETTES:ELLES COMPORTENT DE PETITES PERFORATIONS
POUR QUE LES PRÉLÈVEMENTS BAIGNENT DANS LES PRODUITS
FRAGMENT PRÉLEVÉ DE LA PIÈCE OPÉRATOIRE
ET PLACÉ DANS UNE CASSETTE
Bocal contenant des cassettes avec les prélèvements en attente d’être traités à l’aide de l’automate de traitement des tissus.
Les bons de demande d’examen comportant les renseignements cliniques, accompagnent les cassettes.
LE TRAITEMENT DES TISSUS:
Il est fait d’une manière automatique à l’aide d’un automate de traitement des tissus.
Celui-ci comporte 12 bacs :
* 7 d’alcool (éthanol) pour déshydrater les tissus.
* 3 de xylène pour éliminer les traces d’alcool (désalcoolisation) et clarifier les tissus.
* 2 de paraffine pour occuper la place de l’eau retirée des cellules.
Il comporte, également, un programmateur qui permet de faire passer les paniers remplis de cassettes d’un bac à l’autre d’une manière automatique.
AUTOMATE DE TRAITEMENT DE TISSUS(
TABLEAU DE PROGRAMMATION)
AUTOMATE À INCLUSION OUVERT AVEC 2
PANIERS
L’INCLUSION:
Il s’agit de faire pénétrer à l’échelle cellulaire une substance
homogène et solidifiable appelée paraffine.
Il s’agit, également, de confectionner des blocs de paraffine,
dans lesquels sont inclus les prélèvements à étudier, à
l’aide de moules.
LA PARAFFINE:
C’est une substance blanche, cristalline, insoluble dans l’eau et l’alcool.
Elle est soluble dans la plupart des essences.
Les paraffines idéales sont celles ayant un point de fusion entre 50 et 60°C et constituées de paraffine très purifiée mélangée à des polymères synthétiques.
MODULE D’ENROBAGE
COMPLET
CONSOLE CHAUFFANTE
PRÉLÈVEMENTS PLACÉS AU FOND DU MOULE
BLOCS DE PARAFFINE
LA COUPE:
ETALEMENT
DES PRÉLÈVEMENTS ÉTALÉS SUR DES LAMES
DÉPOSÉES SUR UNE PLAQUE CHAUFFANTE
PORTE LAMES CIRCULAIRE
La Coloration
Pour ce faire, le pathologiste utilise des techniques
morphologiques standard (coupes en paraffine colorées à
l’hématoxyline éosine (HE) et, au besoin, des techniques
complémentaires qui peuvent être : des colorations
histochimiques (par exp: PAS pour la mise en évidence de
mucines neutres, trichome de Masson pour le tissu
conjonctif…), des marquages immunohistochimiques (anticorps
permettant de détecter des protéines) ou encore de l’hybridation
in situ.
De cette analyse « multiparamétrique » découle un
classement des tumeurs en groupes et en sous-groupes
permettant la mise en œuvre de stratégies thérapeutiques
spécifiques.
LE MONTAGE:
Le montage consiste à protéger le
prélèvement étalé sur la lame en
collant une lamelle à l’aide d’une
résine.
Le prélèvement est, ainsi, protégé
contre les traumatismes et le
dessèchement.
LA LAMELLE AVEC LA RÉSINE VA ÊTRE PLACÉE
SUR LA LAME
LAMES COLORÉES
PLATEAU AVEC LAMES ET BONS DE
RENSEIGNEMENTS:
MEUBLE DE RANGEMENT DES BLOCS:
LA LECTURE
Merci pour votre attention
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