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Bois d’œuvre de l’Afrique tropicaleConclusions et recommandations
basées sur PROTA 7(1): “Bois d’œuvre 1”
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R.H.M.J. Lemmens, E.A. Omino & C.H. Bosch (Editeurs), 2010. Bois d’œuvre de l’Afrique tropicale. Conclusions et recommandations basées sur PROTA 7(1) : “Bois d’œuvre 1”. [Traduction de : Timbers of Tropical Africa. Conclusions and recommendations based on PROTA 7(1): ‘Timbers 1’. 2009]. Fondation PROTA, Nairobi, Kenya, 92 pp.
511 ‘Primary use’ timber species are describedin 280 review articles
PROTA 7(1): Timbers 1Louppe, D., Oteng-Amoako A.A. & Brink, M. (Editors), 2008. Plant Resources of Tropical Africa 7(1). Timbers 1. 704 pp.
ISBN 978-90-5782-209-4 (book only): €20 (Developing Countries) €40 (Industrialized Countries)ISBN 978-90-5782-210-0 (book + CD-Rom): €25 (Developing Countries) €50 (Industrialized Countries)
Distributed for ACP countries by CTA (through credit point system), P.O. Box 380, 6700 AJ Wageningen, Netherlands (www.cta.int)Distributed for all other countries by Earthprint, UK (www.earthprint.com)
511 espèces dont l’usage primaire est comme “Bois d’œuvre”sont décrites au sein de 280 articles de synthèse
PROTA 7(1): Bois d’œuvre 1Louppe, D., Oteng-Amoako A.A. & Brink, M. (Editeurs), 2008. Ressources végétales de l’Afrique tropicale 7(1). Bois d’œuvre 1. 785 pp.
ISBN 978-90-5782-211-7 (livre seul): €20 (Pays en développement) €40 (Pays industrialisés)ISBN 978-90-5782-212-4 (livre + CD-Rom): €25 (Pays en développement) €50 (Pays industrialisés)
Diffusé pour les pays ACP par le CTA (système d’unités de crédit), B.P. 380, 6700 AJ Wageningen, Pays-Bas (www.cta.int)Diffusé pour tous les autres pays par Earthprint, Royaume-Uni (www.earthprint.com)
Bois d’œuvre de l’Afrique tropicaleConclusions et recommandations basées sur PROTA 7(1): “Bois d’œuvre 1”
Editeurs: R.H.M.J. Lemmens E.A. Omino C.H. Bosch
Fondation PROTANairobi, Kenya, 2010
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Table de matières
Chapitre 1. Introduction 1.1 Portée 5 1.2 Méthodologie 6 1.3 Collaborateurs 7 1.4 Abréviations 8 1.5 Bibliographie 8
Chapitre 2. Bois d’œuvre 1: vue d’ensemble 2.1 Usage principal comme bois d’œuvre 9 2.2 Familles botaniques 9 2.3 Origine 10 2.4 Répartition en Afrique tropicale 10 2.5 Usages secondaires 11 2.6 Altitude 12 2.7 Propriétés du bois 12
Chapitre 3. Technologies candidates 3.1 Des arbres à usages multiples 15 3.2 Plantation et domestication 16 3.3 Exploitation durable des arbres 16 3.4 Succédanés 17 3.5 Matériel de vulgarisation 17
Chapitre 4. Lacunes du développement 4.1 Extraction, valorisation et distribution / commercialisation des produits 19 4.2 Sources de matériel végétal 20 4.3 Sélection et fourniture de provenances supérieures 20 4.4 Gestion 21
Chapitre 5. Lacunes de la recherche 5.1 Exploitation durable 23 5.2 Inventaire, évaluation et cartographie des ressources forestières 23 5.3 Usages autres que le bois d’œuvre 24 5.4 Elaboration de produits 24 5.5 Taxinomie 24 5.6 Caractéristiques de croissance 25 5.7 Ecologie 25 5.8 Régénération naturelle 25 5.9 Domestication, plantation et sylviculture 25 5.10 Agroforesterie 26 5.11 Maladies et ravageurs 26 5.12 Amélioration génétique de l’arbre 27
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Chapitre 6. Sujets de thèses 6.1 Inventaire et étude 29 6.2 Propriétés du bois 29 6.3 Etudes sur la phytochimie, la toxicité et la sécurité 30 6.4 Taxinomie 30 6.5 Croissance et développement 30 6.6 Multiplication 30
Chapitre 7. Besoins de conservation 33
Chapitre 8. Mesures politiques 8.1 Protection des espèces 35 8.2 Disparition des milieux 36 8.3 Espèces potentiellement envahissantes 36 8.4 Plantation d’arbres 36 8.5 Mesures politiques nationales en faveur des bambous 37
Chapitre 9. Données comparatives sur 280 essences à bois d’œuvre importantes d’Afrique 39
Chapitre 10. Tableau récapitulatif “280 essences à bois d’œuvre × 6 sujets clés” 55
PROTA en bref 92
Carte de l’Afrique tropicale pour PROTA
Figures
Figure 1. Nombre d’essences à bois d’œuvre par famille botanique 10
Figure 2. Répartition des espèces dans les régions 11
Figure 3. Nombre d’espèces par région 11
5introduction
1. Introduction
1.1 Portée
L’ouvrage PROTA 7(1): “Bois d’œuvre 1”, publié en octobre 2008, fait partie de l’encyclopédie de PROTA (Ressources végétales de l’Afrique tropicale) et constitue le premier d’une série de deux volumes qui se veulent un aperçu général des essences à bois d’œuvre sauvages et cultivées d’Afrique tropicale. Les informations sont disponibles en anglais et en français et les articles de synthèse peuvent être consultés gratuitement en ligne (www.prota.org). Vous pouvez vous procurer les livres et les CD-ROM auprès de nos distributeurs et de nos bureaux.
La base de données de PROTA “SPECIESLIST” répertorie quelque 1100 arbres à bois d’œuvre dont c’est l’usage primaire et qui appartiennent à 85 familles botaniques. Ce tome, “Bois d’œuvre 1”, décrit 511 espèces dont l’usage primaire est le bois d’œuvre et qui appartiennent à 25 familles botaniques importantes. On y trouvera des descriptions détaillées de 113 essences à bois d’œuvre et d’autres moins approfondies de 167 espèces moins importantes. D’autre part, 231 espèces ne sont que mentionnées dans les articles sur les espèces apparentées; elles ne font pas l’objet d’un article séparé par manque de données.
Certaines des espèces sont commercialisés sur le marché international des bois d’œuvre, mais la plupart ne sont utilisées que localement, en construction ou pour la fabrication de meubles, d’outils ou d’ustensiles. Les bambous dont les tiges sont employées en construction sont également inclus. Cet ouvrage regroupe de manière détaillée les informations provenant de centaines de publications dispersées.
Afin de rendre ces informations accessibles au plus grand nombre possible, cette brochure, qui vient compléter la série “PROTA recommande…”, résume les principaux résultats de PROTA 7(1): Bois d’œuvre 1. La consultation d’intervenants du secteur des bois d’œuvre a permis d’aboutir aux conclusions et recommandations présentées ici qui font état des besoins et des enjeux d’une production durable de bois d’œuvre en Afrique. Ces conclusions s’adressent aux groupes cibles dont les actions ont des répercussions sur les utilisateurs finaux de l’information de PROTA, en d’autre termes tous ceux qui tirent leurs ressources des plantes (agriculteurs, collectivités forestières et entrepreneurs d’Afrique). PROTA s’adresse aux groupes cibles suivants:
• Les agences de développement rural, les services de vulgarisation et les centres de formation professionnelle doivent être informés des technologies candidates pertinentes, en d’autres termes des pratiques les mieux adaptées, des compétences, des innovations et des connaissances utilisables qui n’attendent que d’être testées ou mises en pratique par les agriculteurs et les administrateurs de forêts naturelles. Ils doivent les intégrer dans leurs programmes de formation et de vulgarisation.
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• Les entreprises privées ont un rôle important à jouer pour combler les nombreuses lacunes du développement dans la fabrication locale de produits dérivés des bois d’œuvre, notamment la valeur ajoutée.
• Les chercheurs disposent d’un bref aperçu des lacunes de la recherche pour lesquelles leur intervention est nécessaire. Celui-ci récapitule les problèmes plus étendus que doit résoudre le secteur de la recherche.
• Les étudiants d’universités et d’autres institutions de l’enseignement supérieur peuvent contribuer de manière constructive à la recherche et à la mise en valeur des bois d’œuvre grâce à leurs sujets de thèses qui sont plus spécialisés que la catégorie précédente.
• Les agences de conservation de la nature sont informées de l’état de conservation, des menaces et, éventuellement, des besoins de conservation qui touchent les espèces à bois d’œuvre.
• Les décideurs sont invités à prendre des mesures politiques afin d’instaurer un environnement propice aux interventions citées plus haut, comme la maîtrise de l’exploitation des ressources, la législation et la lutte contre les espèces potentiellement envahissantes.
1.2 Méthodologie
Le chapitre 2 résume les informations relatives à la botanique, à la répartition géographique, à l’écologie, à la culture et à l’utilisation des espèces citées dans PROTA 7(1): “Bois d’œuvre 1”. Les données de référence concernant les 280 essences à bois d’œuvre qui font l’objet d’articles séparés dans PROTA 7(1) sont présentées au chapitre 9.
Nos experts ont rédigé la première ébauche d’un tableau récapitulatif qui porte sur les six domaines en question : les technologies candidates, les lacunes du développement, les lacunes de la recherche, les sujets de thèses, les besoins de conservation et les mesures politiques. Ce tableau a servi de point de départ à l’échange de vues qui a réuni les intervenants du secteur des bois d’œuvre. En novembre 2008, 23 d’entre eux ont participé à un atelier de réflexion qui s’est tenu à Kumasi, au Ghana, pour parachever les conclusions et recommandations qui devaient être publiées dans la présente brochure. Celles-ci sont mises en exergue aux chapitres 3–8 qui esquissent les domaines décisifs nécessitant une intervention rapide de la part des différents groupes cibles. Le tableau récapitulatif élaboré à l’issue de l’atelier à partir des réponses des intervenants est présenté au chapitre 10.
Cet opuscule de la série “PROTA recommande…” s’inscrit dans le droit fil de la démarche adoptée avec succès pour les volumes PROTA 1: Céréales et légumes secs, PROTA 2: Légumes, PROTA 3: Colorants et tanins et PROTA 14: Oléagineux. S’inspirant des recommandations présentées ici, des projets pilotes seront mis en place, afin que ceux qui utilisent les arbres comme les agriculteurs, les communautés qui tirent leurs ressources de la forêt et les entrepreneurs de la filière bois puissent tirer profit de ces informations.
7introduction
1.3 Collaborateurs
• K.A. Aimé, Société de Développement des Forêts (SODEFOR) B.P. 3770, Abidjan 01, Côte d’Ivoire ([email protected]).
• L. Amissah, Forestry Research Institute of Ghana (FORIG), P.O. Box 63 Kwame Nkrumah University of Science and Technology (KNUST), Kumasi, Ghana ([email protected]).
• S.O. Badejo, Forestry Research Institute of Nigeria (FRIN), P.M.B. 5054, Ibadan, Nigeria ([email protected]).
• C.H. Bosch, PROTA Network Office Europe, Wageningen University, P.O. Box 341, 6700 AH Wageningen, Netherlands ([email protected]).
• M. Brink, PROTA Network Office Europe, Wageningen University, P.O. Box 341, 6700 AH Wageningen, Netherlands ([email protected]).
• S. Britwum, PROTA West Africa Regional Office, Forestry Research Institute of Ghana (FORIG), P.O. Box 63, Kwame Nkrumah University of Science and Technology (KNUST), Kumasi, Ghana, ([email protected]; [email protected]).
• M. Chauvet, Editeur de la traduction française, PROTA Country Office France, Pl@ntNet, UMR AMAP, Université Montpellier 2, TA A-51/PS1, Boulevard de la Lironde, 34398 Montpellier Cedex 5, France ([email protected]).
• B. Chikamai, Kenya Forestry Research Institute (KEFRI), P.O. Box 64636-00620, Mobil Plaza, Nairobi, Kenya ([email protected]).
• S. W. Chomba, World Agroforestry Centre (ICRAF), P.O. Box 30677-00100, Nairobi, Kenya ([email protected]).
• H. Corbière, Traductrice, 26 Avenue de Lodève, F-34070 Montpellier, France ([email protected]).
• K.P. Ghartey, Ghana Forestry Commission, P.O. Box M.434, Accra, Ghana ([email protected]).
• D. Louppe, Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (CIRAD), Avenue Agropolis, 34398 Montpellier Cedex 5, France ([email protected] ).
• A. U. Lumbile, Botswana College of Agriculture, Private Bag 0027, Gaborone, Botswana ([email protected]).
• A.J. Madingou, Ministère de l’Economie Forestière et de la Pêche, P.O. Box 199, 5787 Libreville, Gabon ([email protected] ).
• S.M. Mbala, Service permanent d’inventaire et d’aménagement forestiers (SPIAF) , 35 Avenue Pumbu, Kinshasa/Gombe, B.P. 1461, Kinshasa, D.R. Congo ([email protected]).
• K.K. Mensah, Forestry Research Institute of Ghana (FORIG), P.O. Box 63, Kwame Nkrumah University of Science and Technology (KNUST), Kumasi, Ghana ([email protected]).
• M. Muga, Kenya Forestry Research Institute (KEFRI), P.O. Box 64636-00620, Mobil Plaza, Nairobi, Kenya ([email protected]).
• P. Mugabi, Makerere University, Department of Forest Products, P.O. Box 7062, Kampala, Uganda ([email protected]).
8
• B. Neya, Dept Prid Forestieres, Institut de l’Environnement et de Recherches Agricoles (DPF/INERA), Forests Products Program, 03 B.P. 7047, Ouagadougou 03, Burkina Faso ([email protected]).
• S.N. Njihia, Kenya Forest Service, P.O. Box 30513-00100, Nairobi, Kenya ([email protected]).
• D. Oke, Federal University of Technology, Department of Forestry and Wood Technology, P.M.B. 704, Akure, Nigeria ([email protected]).
• E.A. Omino, PROTA Network Office Africa, World Agroforestry Centre (ICRAF), P.O.Box 30677-00100, Nairobi, Kenya ([email protected])
• A.A. Oteng-Amoako, Forestry Research Institute of Ghana (FORIG), P.O. Box 63 Kwame Nkrumah University of Science and Technology (KNUST), Kumasi, Ghana ([email protected]).
• E. Owusu-Sekyere, Forestry Research Institute of Ghana (FORIG), P.O. Box 63, Kwame Nkrumah University of Science and Technology (KNUST), Kumasi, Ghana ([email protected]).
• M.A. Oyebo, African Forest Forum, 3 Daniel Arap Moi Close off Maitama Sule Street OAU Quarters, Asokoro, Abuja, Nigeria ([email protected])
• L.G. Rajoelison, Recherche Sylviculture et Aménagement, BP 175, Antananarivo 101, Madagascar ([email protected]).
• J.S. Siemonsma, Editeur de la traduction française, PROTA Network Office Europe, Wageningen University, P.O. Box 341, 6700 AH Wageningen, Netherlands ([email protected]).
1.4 Abréviations
CIFOR Center for International Forestry ResearchCITES Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore
sauvages menacées d’extinctionGCRAI Groupe Consultatif pour la Recherche Agricole InternationaleICRAF World Agroforestry Centre (International Centre for Research in
Agroforestry)INBAR Réseau international sur les bambous et les rotinsUICN Union Internationale pour la Conservation de la Nature
1.5 Bibliographie
Louppe, D., Oteng-Amoako, A.A. & Brink, M. (Editeurs), 2008. Ressources végétales de l’Afrique tropicale 7(1). Bois d’œuvre 1. [Traduction de : Plant Resources of Tropical Africa 7(1). Timbers 1. 2008]. Fondation PROTA, Wageningen, Pays-Bas / Backhuys Publishers, Leiden, Pays-Bas / CTA, Wageningen, Pays-Bas. 785 pp.
9Vue d’ensemble
2. Bois d’œuvre 1: vue d’ensemble
Ce chapitre subdivise les essences à bois d’œuvre qui sont étudiées dans PROTA 7(1): Bois d’œuvre 1 en un certain nombre de grandes catégories en fonction de la botanique, de la répartition géographique, de l’écologie et de détails concernant les propriétés du bois éventuellement. Les données par espèce (chapitre 9) sont destinées à servir de guide de référence rapide.
2.1 Usage principal comme bois d’œuvre
Il est capital de bien comprendre que PROTA 7(1): Bois d’œuvre 1 n’aborde qu’une partie des bois d’œuvre importants d’Afrique. Seules les espèces appartenant à une sélection de 25 familles botaniques sont traitées dans le premier volume, les autres seront abordées dans le second.
Sur les 1100 espèces utilisées principalement comme bois d’œuvre, 280 font l’objet d’articles de synthèse séparés dans PROTA 7(1) et 231 espèces ne sont que mentionnées et brièvement décrites dans les articles sur des espèces apparentées plus importantes, car il n’existe pratiquement pas d’information à leur sujet.
Les quelque 900 espèces qui sont utilisées comme bois d’œuvre à titre secondaire ne sont également pas traitées ici, ce qui est sans nul doute une lacune qui mérite d’être signalée. Pour ces espèces à usage secondaire de bois d’œuvre, il faut se référer aux groupes d’usage correspondants, cela afin d’éviter les répétitions. A titre exceptionnel, une espèce pourra être traitée dans 2 volumes différents, comme c’est le cas du fromager (Ceiba pentandra), qui figure à la fois dans PROTA 7(1) et dans PROTA 16: Plantes à fibres, et de Pterocarpus angolensis, qui figure également dans PROTA 3: Colorants et tanins.
2.2 Familles botaniques
Les 280 essences à bois d’œuvre traitées dans PROTA 7(1) appartiennent à 25 familles botaniques, dont 7 comptent plus de 10 espèces chacune et qui, à elles seules, représentent presque 70% des espèces (cf. Figure 1).
10
Une famille mérite une attention particulière, ce sont les Poaceae. Elle figure dans PROTA 7(1) car 9 espèces de 7 genres différents de bambous sont utilisées en Afrique tropicale pour la construction, la fabrication de meubles, d’outils et d’instruments de musique.
2.3 Origine
Sur les 280 essences à bois d’œuvre traitées, moins de 10% sont introduites, ce qui est bien inférieur à d’autres groupes d’usages tels que “Céréales et légumes secs”, qui comptent près de 40% d’espèces introduites et “Légumes” avec 25% environ.Les genres introduits que sont Eucalyptus et Pinus occupent une place importante avec 7 et 6 espèces, respectivement. Parmi les autres introductions qui ont fait leurs preuves dans les plantations de bois d’œuvre, citons le teck (Tectona grandis), le gmelina (Gmelina arborea) et le cèdre acajou (Cedrela odorata). La majorité des essences à bois d’œuvre d’Afrique sont indigènes. Plusieurs sont plantées dans des plantations de bois d’œuvre au sein de leur aire naturelle, mais parfois aussi ailleurs en Afrique, voire même sur d’autres continents, comme Khaya spp.
2.4 Répartition en Afrique tropicale
La répartition des espèces dans les régions (Figure 2) est importante lorsqu’il s’agit de formuler des recommandations au niveau national, régional ou continental. En effet, 83 des 280 espèces sont plus ou moins panafricaines, 25 étant présentes dans les cinq régions, et 58 dans quatre d’entre elles (Afrique centrale, Afrique de l’Est, îles de l’océan Indien, Afrique australe, et Afrique de l’Ouest). 85 sont endémiques d’une seule région.
Papilionaceae Mimosaceae Sapotaceae Meliaceae Sterculiaceae Lauraceae Rutaceae Autres
Figure 1. Nombre d’essences à bois d’œuvre par famille botanique
53
39
28
262312
12
87
11Vue d’ensemble
9%
21%
16%23%
31% 5 régions 4 régions 3 régions 2 régions 1 région
Figure 2. Répartition des espèces dans les régions
Le nombre d’espèces par région varie considérablement comme le montre la Figure 3. Sur les 280 essences à bois d’œuvre, 179 sont présentes en Afrique centrale et 100 dans les îles de l’océan Indien. C’est dans les îles de l’océan Indien, principalement à Madagascar, que l’on trouve le plus grand nombre d’endémiques (48), et en Afrique de l’Est le moins grand nombre (4), l’Afrique centrale en abritant 19.
300
250
200
150
100
50
0
Figure 3. Nombre d’espèces par région
Endémiques
Autres
Afrique centrale
Afrique de l’Est
Afrique australe
Afriquede l’Ouest
Nombre total
Îles de l’océanIndien
2.5 Usages secondaires
Les espèces à usage primaire de bois d’œuvre sont souvent polyvalentes et comptent en moyenne presque 3 usages secondaires. Les groupes d’usage les plus importants sont les “Plantes médicinales” (avec presque 70%) et les “Bois de feu” (40%). Quant aux “Plantes auxiliaires”, “Plantes ornementales” et “Fruits”, ils représentent les usages secondaires d’environ 25% des essences à bois d’œuvre traitées.
12
2.6 Altitude
Les informations relatives à la répartition en altitude des espèces sont incomplètes pour près de 20% des espèces étudiées dans PROTA 7(1). Pour ce qui est du reste, 41% sont limitées à des altitudes inférieures à 1000 m, tandis que 59% se rencontrent à des altitudes supérieures à 1000 m.
Certaines essences à bois d’œuvre se rencontrent jusqu’à 4000 m d’altitude, mais alors, dans cette partie supérieure de leur répartition, elles se caractérisent par un fût rabougri et de petite taille, ce qui les rend impropres à la commercialisation. Cependant, plusieurs d’entre elles sont des espèces importantes des hautes terres jusqu’à 2500(–3000) m, y compris certaines résineux comme le bois jaune (Afrocarpus falcatus), Podocarpus latifolius et le cyprès du Portugal introduit (Cupressus lusitanica), sans oublier des feuillus comme Pouteria adolfi-friedericii.
Toutefois, la majorité des bois d’œuvre commerciaux proviennent des forêts de basse altitude d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale, où se trouvent les forêts les plus étendues et où la récolte et le transport des grumes est souvent plus facile que dans les zones d’altitude.
2.7 Propriétés du bois
Les propriétés du bois ont une énorme incidence sur les usages qui en sont faits. Ainsi, le bois qui devra rester en contact avec le sol, pour la construction d’habitations par exemple, doit-il être durable, alors que celui qui est employé en construction nautique, doit plutôt être léger et assez durable dans l’eau. Il existe une étroite corrélation entre densité, durabilité et dureté du bois. En général, un bois lourd est à la fois durable et dur. Malgré tout, il y a des exceptions : par exemple, les bois dont la durabilité est renforcée par la présence de composés qui éloignent les insectes, comme le genévrier d’Afrique (Juniperus procera), dont le bois moyennement léger résiste aux termites grâce à la présence de cédrol. Par ailleurs, il existe d’autres espèces comme Cassipourea ruwensoriensis et le bois patte poule (Vepris lanceolata), qui produisent un bois lourd réputé non durable. Notons à ce propos que l’on peut améliorer la faible durabilité de nombreux bois légers par des traitements de conservation, même si ces opérations peuvent s’avérer difficiles.
Pour 206 (75%) des 280 essences à bois d’œuvre abordées dans PROTA 7(1), des informations relatives à la densité du bois sont données. Seuls 10% de ces espèces produisent un bois léger (défini comme (presque) toujours inférieur à 500 kg/m3 à 12% d’humidité). Parmi elles, plusieurs essences importantes d’un point de vue commercial: l’émien (Alstonia spp.), l’ako (Antiaris toxicaria), l’okoumé (Aucoumea klaineana), le fromager (Ceiba pentandra) et l’ayous (Triplochiton scleroxylon), toutes étant très utilisées en tant que bois de construction pour les applications intérieures, et pour la production de placages et de contreplaqué.
13Vue d’ensemble
Près de 22% des essences à bois d’œuvre dont la densité est connue peuvent être classées comme ayant un bois lourd (défini comme (presque) toujours supérieur à 800 kg/m3 à 12% d’humidité). Parmi elles, quelques bois commerciaux: le moabi (Baillonella toxisperma), le katrafay (Cedrelopsis grevei) et la grenadille d’Afrique (Dalbergia melanoxylon), qui ont des utilisations particulières pour lesquelles la durabilité est indispensable, et qui sont utilisés en décoration.
Les essences à bois d’œuvre moyennement lourdes (définies comme (presque) toujours égales à 500–800 kg/m3 à 12% d’humidité) représentent le groupe le plus important, environ 40% des espèces dont la densité est connue. Parmi elles, de nombreuses essences non négligeables d’un point de vue commercial: l’ozigo (Dacryodes buettneri), les acajous d’Afrique (Entandrophragma and Khaya spp.), le bossé (Guarea spp.), le niangon (Heritiera utilis), le bété (Mansonia altissima), l’iroko (Milicia spp.), l’afrormosia (Pericopsis elata), le dabéma (Piptadeniastrum africanum), l’aningré (Pouteria spp.), le padouk d’Afrique (Pterocarpus soyauxii), le teck (Tectona grandis), le douka (Tieghemella africana) et le makoré (Tieghemella heckelii).
Les 28% restants ne peuvent être classés dans ces trois catégories car la densité de leur bois se trouve en deux catégories.
15Vue d’ensemble
3. Technologies candidates
Ce chapitre rend compte des interventions cruciales, désignées ici comme “technologies candidates”, préconisées par les acteurs de la filière comme étant indispensables à l’amélioration de la production de bois d’œuvre en Afrique tropicale. A ce propos, les technologies candidates portent sur le travail de plusieurs vulgarisateurs et autres intervenants du secteur des arbres ou de la foresterie en Afrique. Ces technologies sont prêtes à être mises en œuvre sur des parcelles expérimentales, notamment dans les programmes de formation ou à être essayées à la ferme. Leur objectif étant d’améliorer la diffusion des connaissances relatives à la plantation d’arbres, la productivité et la rentabilité des essences à bois d’œuvre afin de lutter contre la pauvreté et d’améliorer les conditions de vie des populations rurales. Les technologies candidates, telles qu’elles ont été définies pour chaque espèce (chapitre 10), sont examinées ci-dessous en thèmes technologiques.
3.1 Des arbres à usages multiples
L’attrait pour la production commerciale d’arbres est faible car celle-ci demande énormément de temps. Or, les petits agriculteurs, qui sont majoritaires en Afrique, sont davantage préoccupés par la production alimentaire. Il n’est donc guère surprenant que les sujets les plus couramment abordés concernant les technologies candidates tournent autour de la polyvalence des arbres. Les arbres, qui sont source de profits et qui fournissent en même temps du bois d’œuvre, sont intéressants pour les populations rurales et leur culture pourraient être encouragée. Parmi eux:• Pterocarpus angolensis, essence à bois d’œuvre commerciale très prisée dont les
sous-produits (copeaux, sciure, écorce) servent à fabriquer une teinture et des produits médicinaux;
• le bois jaune (Afrocarpus falcatus), essence à bois d’œuvre très appréciée, qui est une source de graines comestibles et de remèdes traditionnels;
• le moabi (Baillonella toxisperma) qui produit un bois d’œuvre excellent, et dont la graine donne une huile végétale précieuse elle aussi;
• l’abricotier d’Afrique (Mammea africana) qui pourrait avoir plus d’avenir non pas comme bois d’œuvre, mais en tant qu’arbre fruitier;
• le bois de l’arbre de corail d’Abyssinie (Erythrina abyssinica) qui est utilisé couramment, mais cette espèce est également recommandée comme arbre d’ombrage dans les plantations de café, pour améliorer la fertilité des sols, lutter contre l’érosion et comme engrais vert;
• Acacia robusta qui peut être planté comme arbre ornemental des jardins.
Parmi les essences à bois d’œuvre qui ont plusieurs usages secondaires importants, certaines pourraient voir leur culture encouragée et devenir polyvalentes, notamment le fromager (Ceiba pentandra), le petit sycomore (Ficus sur), le greuvier (Grewia bicolor) et le prunier noir (Vitex doniana).
16
3.2 Plantation et domestication
Si la plantation d’arbres fournit aux agriculteurs du bois d’œuvre mais leur assure également d’autres avantages, elle a cependant souvent été mise en cause par la structure agraire et la propriété des arbres existant dans bien des régions d’Afrique. Il faut à tout prix que les agents de vulgarisation tiennent compte de ces paramètres qui peuvent empêcher les agriculteurs de planter des arbres et qu’au contraire ils travaillent main dans la main avec eux pour influencer ces droits tout en encourageant la plantation d’arbres.
Les recherches menées en agroforesterie montrent qu’il faut “planter le bon arbre au bon endroit” et que certaines essences sont faites pour être plantées à certains endroits en particulier. Même si les agriculteurs n’ignorent rien de tout cela, ils manquent souvent des informations nécessaires pour faire les bons choix. Il est du devoir des vulgarisateurs de les informer des besoins, des avantages et des inconvénients des espèces et des provenances. Parmi les exemples mis en lumière par les intervenants du secteur, figurent:• le teck (Tectona grandis) et l’ayous (Triplochiton scleroxylon), dont la culture
peut être encouragée dans un système de cultures intercalaires suivant la méthode taungya. En outre, les plantations clonales de l’ayous qui reposent sur du matériel génétique supérieur permettraient d’accroître la production de bois d’œuvre;
• la culture du manil marécage (Symphonia globulifera) pourrait être encouragée dans le cadre de plantations de bassins versants;
• le noyer d’Afrique (Lovoa trichilioides) convient très bien à une plantation d’enrichissement de la forêt.
Des essences diverses sont adaptées à des conditions écologiques variées. Par exemple, en zone sèche, on pourrait conseiller aux agriculteurs de planter de l’ébénier jaune (Dalbergia sissoo) ou du Pouteria alnifolia, alors que l’eucalyptus rouge (Eucalyptus robusta) semble plutôt avoir de l’avenir en zones humides et que la culture d’Entandrophragma excelsum pourrait être favorisée dans les zones d’altitude spécifiquement.
3.3 Exploitation durable des arbres
Les essences forestières à petit fût tel que Millettia richardiana et Pleiocarpa pycnantha jouent un rôle limité sur le marché international, mais leur culture pourrait être encouragée en vue d’usages locaux comme les poteaux et les piquets. Au nombre des caractéristiques qui rendent une essence impropre au marché international, citons un fût sinueux et cannelé comme celui de Trichilia prieureana. Nesogordonia holtzii est tout indiqué pour l’industrie locale du meuble et Valiha diffusa, un bambou, est utile en tant que matériau de construction légère. On sait peu de choses sur l’étendue de l’usage d’espèces comme Beilschmiedia spp., le bambou géant (Cathariostachys madagascariensis) et le dabema noir (Aubrevillea platycarpa),
17Vue d’ensemble
mais étant au moins communs localement, leur culture peut être encouragée en vue de divers usages locaux.
La production commerciale de bois d’œuvre est une source de revenus pour le développement rural et pour l’amélioration des conditions de vie. Des espèces comme Albizia gummifera et Albizia zygia pourraient être promises à un bel avenir pour la production commerciale de bois d’œuvre issu de forêts aménagées durablement. Si l’on encourageait la production de bois du faux néré (Parkia bicolor), cela permettrait d’alléger la demande de bois d’œuvre dans des zones où les essences à bois d’œuvre commercial sont désormais épuisées.
3.4 Succédanés
Les bois d’œuvre qui ont une grande valeur commerciale, comme les acajous d’Afrique (Entandrophragma et Khaya spp.), l’iroko (Milicia spp.), le niangon (Heritiera utilis) et Pterocarpus angolensis, sont souvent surexploités dans leur milieu naturel. La conservation de ces espèces nécessite de nombreuses stratégies, dont le recours à des succédanés. Les intervenants ont recensé des essences à bois d’œuvre sous-employées dont la culture pourrait être favorisée et qui pourraient ainsi remplacer des espèces surexploitées, comme notamment: • l’émien (Alstonia boonei) et le fromager (Ceiba pentandra), qui pourraient
remplacer l’ayous (Triplochiton scleroxylon) en tant que source de bois léger;• le cèdre épicé (Beilschmiedia mannii) qui pourrait être utilisé à la place du bossé
(Guarea spp.);• Pterocarpus tinctorius à la place de Pterocarpus angolensis;• l’ozigo (Dacryodes buettneri) à la place de l’okoumé (Aucoumea klaineana) pour la
production de contreplaqué;• l’iroko (Milicia spp.), exploité de manière non durable et dont le bois d’œuvre
devrait être remplacé dans le commerce, au moins en partie, par du bois similaire issu de plantations, en particulier du teck (Tectona grandis).
3.5 Matériel de vulgarisation
Il y a lieu d’élaborer et de diffuser du matériel de vulgarisation sur les bois d’œuvre d’Afrique tropicale. Il doit être clair, concis et rédigé de préférence dans la langue vernaculaire des sylviculteurs et des forestiers locaux pour leur être utile. Il peut s’agir de prospectus, d’affiches, de fiches, de guides pour la culture et l’après-récolte, de diapositives et de vidéos.
Quant aux informations relatives aux essences à bois d’œuvre qui requièrent des techniques spécifiques de plantation, de multiplication ou de gestion ou une protection particulière contre les ravageurs, elles peuvent facilement être présentées dans un manuel de culture. Ces informations sont non seulement vitales pour la mise en place des grandes plantations, mais sont aussi très utiles pour les petits exploitants agricoles. Parmi les espèces qui nécessitent des manuels de
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culture, figurent des bambous comme le bambou commun (Bambusa vulgaris) et Oxytenanthera abyssinica, des arbres exotiques comme Eucalyptus et Pinus spp., et de précieuses essences à bois d’œuvre indigènes comme le camphrier (Ocotea usambarensis) et le makoré (Tieghemella heckelii).
Les manuels qui concernent les traitements après-récolte sont indispensables pour limiter les pertes et accroître les rendements. Les grumes d’espèces telles que l’aningré (Pouteria altissima et Pouteria aningeri) et Quassia undulata doivent être débardées le plus rapidement possible après la coupe ou bien traitées immédiatement avec des produits de conservation car elles sont sujettes au bleuissement. Il faut indiquer aux agriculteurs comment manipuler après la récolte les graines d’Albizia glaberrima et de teck (Tectona grandis) et les tiges de bambous précieux comme le bambou creux (Sinarundinaria alpina), et leur donner des directives complémentaires sur la façon de réduire les déchets lors du traitement du bois qui provoquent de faibles taux de récupération, comme pour l’aningré blanc (Pouteria altissima).
19lacunes du déVeloppement
4. Lacunes du développement
L’investissement du secteur privé (entreprises locales, nationales et internationales) est indispensable à la mise en valeur d’une filière bois florissante en Afrique tropicale. Ce chapitre met l’accent sur les possibilités d’intervention du secteur privé définies par les intervenants de la filière africaine des bois. Les lacunes du développement correspondent en général à des innovations discrètes et commercialisables et représentent des étapes finales de recherche qui sont attrayantes pour le secteur privé. Des activités, telles que l’exploitation, dont se chargent des sociétés privées peuvent avoir des répercussions environnementales catastrophiques si elles ne sont pas menées dans un souci de durabilité. Le secteur privé, au même titre que n’importe quel utilisateur de ressources naturelles, a l’obligation d’utiliser les arbres et les produits qui en sont issus de manière durable tout en réduisant au minimum les actions qui pourraient avoir des conséquences funestes sur l’environnement comme le changement climatique. Les parties prenantes ont souligné le besoin de “gestion” par le secteur privé, en d’autres termes d’innovations comme la gestion de l’arbre qui garantit la production durable de biens et de services dérivés des arbres. Les lacunes du développement qui ont été recensées (chapitre 10) sont classées ci-après en quatre grandes catégories.
4.1 Extraction, valorisation et distribution / commercialisation des produits
Les industries locales de transformation de bois d’œuvre ou de produits non bois ont un rôle important à jouer pour améliorer la qualité et renforcer l’accessibilité, la compétitivité et la rentabilité de ces produits sur le marché international. Qui plus est, la transformation sur place crée des emplois et stimule le développement des pays africains. Cependant, l’Afrique doit encore réellement exploiter les gains engendrés par la transformation locale des produits bois ou non bois.
L’exportation de grumes non débitées est une pratique encore courante dans la filière africaine du bois. Actuellement en Afrique, ce sont surtout les grandes entreprises multinationales, dont beaucoup sont sous contrôle étranger, qui ont accès aux équipements de transformation du bois, mais les petits producteurs de bois d’œuvre n’en ont guère. Les exploitants qui utilisent la scie à chaîne, dont beaucoup opèrent de manière illégale, restent les principaux fournisseurs de bois d’œuvre des marchés locaux dans de nombreuses parties de l’Afrique, mais leurs méthodes et leur matériel entraînent un gaspillage considérable de bois. Parmi les essences à bois d’œuvre qui réclament que l’on s’intéresse à elles d’urgence si l’on souhaite améliorer la qualité des produits grâce à l’amélioration des techniques de transformation du bois, figure l’aningré (Pouteria spp.), qui permettrait d’améliorer le rendement et la qualité du placage. Il faut aménager les possibilités qu’offre l’okan (Cylicodiscus gabunensis), qui est peut-être sous-employé. Les cadres de transformation et de commercialisation du bambou creux (Sinarundinaria alpina) doivent être développés.
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La mise en valeur et la commercialisation de produits non bois mais issus d’essences à bois d’œuvre valorisent l’arbre en tant que ressource pour les exploitants ou les propriétaires forestiers. Voici quelques exemples de produits issus d’essences à bois d’œuvre qui sont étudiés dans PROTA 7(1): Bois d’œuvre 1 et qui nécessitent une valeur ajoutée et une meilleure commercialisation:
• Gommes: amélioration de la qualité et de la quantité de gomme produite par Albizia zygia et par l’acajou à grandes feuilles (Khaya grandifoliola);
• Huiles: commercialisation de la production d’huile de vintanina (Calophyllum inophyllum) et d’Eucalyptus spp., et de la matière grasse de douka (Tieghemella africana);
• Fruits: commercialisation, valorisation et renforcement de la production de fruits de Dacryodes spp.;
• Médicaments / remèdes: amélioration de la commercialisation d’extraits d’écorce d’émien (Alstonia spp.) à des fins médicinales et mise en valeur de l’huile de graines de Pterocarpus osun destinée aux produits de soins pour la peau.
4.2 Sources de matériel végétal
L’accès à un matériel végétal (semences et plants) de qualité demeure un obstacle à l’exploitation de bois d’œuvre par les agriculteurs d’Afrique. Certes, ils peuvent récolter les graines en forêt naturelle ou sur les arbres adultes qui se trouvent sur leur ferme, mais les connaissances concernant la collecte et la qualité des semences leur font défaut. C’est grâce à des cultivars améliorés et à de bonnes pratiques sylvicoles que l’on peut relever la productivité et faire progresser la qualité des bois d’œuvre, notamment d’espèces exotiques comme Eucalyptus spp. et des pins (Pinus spp.). La vente de jeunes plants d’arbres d’une qualité douteuse est une pratique courante sur le bord des routes des grands centres urbains d’Afrique. Tant que le commerce de matériel végétal ne sera pas réglementé, les forestiers ne pourront être assurés de la qualité de leurs plants.
C’est pourquoi le rôle du secteur privé est capital car, c’est en fournissant un matériel végétal de qualité qu’il permettra de créer une filière bois solide en Afrique. On prévoit une augmentation sensible de la demande de matériel végétal supérieur pour Eucalyptus cloeziana, Eucalyptus viminalis, Newtonia buchananii et pour le camphrier (Ocotea usambarensis).
4.3 Sélection et fourniture de provenances supérieures
Les programmes d’amélioration génétique forestière sont onéreux et la rentabilité économique des arbres risque de ne pas justifier les dépenses engagées dans ces programmes. Ce qui explique que la sélection et l’amélioration génétique n’attirent guère le secteur privé, surtout si son objectif est, à terme, d’accroître le plus possible les bénéfices. Pourtant, le secteur privé peut se charger d’opérations simples de sélection et de gestion de concert avec des agriculteurs et d’autres intervenants dans
21lacunes du déVeloppement
des domaines où des recherches ont déjà été entreprises. Par exemple, la sélection de caractères supérieurs comme l’amélioration du rendement en bois d’œuvre du pin argenté (Pinus patula), des fruits supérieurs pour l’abricotier d’Afrique (Mammea africana), des provenances visant une productivité et une polyvalence renforcées d’Eucalyptus spp., et des ressources génétiques supérieures permettant d’obtenir une croissance et une qualité de bois optimales de l’ayous (Triplochiton scleroxylon).
4.4 Gestion
Il s’agit des méthodes culturales telles que l’épandage d’engrais et l’élagage. On aborde ici des pratiques actuelles ou des recommandations généralisées ; nous avons fait le choix d’une présentation générale sans entrer dans le détail des recommandations adaptées aux conditions locales extrêmement variées que rencontrent les agriculteurs.
Au nombre des arbres qui doivent être conduits dans un souci de durabilité, figurent des essences dont le bois d’œuvre est particulièrement prisé, et qui sont aussi souvent les plus exploitées. Parmi elles, les Dalbergia spp. et le sapelli (Entandrophragma cylindricum). L’exploitation durable est également primordiale pour les espèces qui font partie d’écosystèmes menacés, comme le palétuvier blanc (Avicennia marina) dans les mangroves.
Certaines espèces ont un usage particulier ou bien constituent la principale source de bois destiné à une utilisation bien précise. Dans ce cas, elles sont souvent récoltées même si elles sont menacées, car il n’existe pas de succédanés ou si peu. Parmi les exemples d’essences qui nécessitent de toute urgence des mesures de gestion destinées à la production de produits spécifiques en bois, citons Dalbergia spp. à Madagascar, dont le bois est très demandé pour la confection d’instruments de musique, mais aussi la grenadille d’Afrique (Dalbergia melanoxylon), qui est l’un des bois les plus prisés par les sculpteurs sur bois et les artistes en Afrique continentale tropicale.
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5. Lacunes de la recherche
Les chercheurs ont un rôle crucial à jouer dans la mise en place d’une filière bois durable en Afrique tropicale. Les intervenants de la filière ont recensé des lacunes de recherche pour plus de 85% des 280 essences à bois d’œuvre abordées dans PROTA 7(1), ce qui laisse entrevoir l’énorme travail de recherche qui reste à faire dans ce domaine en Afrique. De nombreuses espèces font toutefois l’objet de recherches entreprises dans le cadre des initiatives nationales et régionales, par des universités et par les centres du GCRAI comme le CIFOR et l’ICRAF. Ces lacunes de la recherche (chapitre 10) concernent une large gamme de sujets.
5.1 Exploitation durable
La productivité à venir passe par l’exploitation durable des essences à bois d’œuvre africaines. La recherche doit étudier des méthodes de récolte durables pour les espèces qui sont classées comme menacées par la Liste rouge de l’UICN (comme Dalbergia chlorocarpa) ou d’autres accords de conservation tels que le CITES (comme l’afrormosia, Pericopsis elata). La grenadille d’Afrique (Dalbergia melanoxylon) fournit l’un des bois d’œuvre les plus appréciés d’un point de vue économique et culturel, mais devant la baisse du nombre d’arbres adultes et le recul de leur répartition, il serait particulièrement souhaitable que la recherche étudie des techniques de récolte durables, de même que des méthodes de production durable du wengé (Millettia laurentii), qui est menacé par la surexploitation destinée au marché international. Il faut gérer des peuplements naturels de Baphia kirkii, qui est un exemple de source importante de bois d’œuvre local, dans un souci de durabilité.
Certaines essences sont menacées par l’exploitation de certaines parties spécifiques, notamment à des fins médicinales, comme c’est le cas de l’écorce et des racines de Pericopsis angolensis, de l’écorce du camphrier (Ocotea usambarensis) et de Trichilia monadelpha.
5.2 Inventaire, évaluation et cartographie des ressources forestières
Pour la conservation et la production durable de bois d’œuvre, il y a lieu de déterminer quelles quantités d’une certaine espèce sont récoltées tant légalement qu’illégalement, et quelles quantités subsistent. Il faut recourir, dans la plupart des régions d’Afrique, aux outils de la recherche avancée qui permettent de cartographier et de modéliser et dont les indicateurs analytiques et visuels peuvent être exploités pour évaluer et contrôler les ressources forestières.
Les essences forestières qui nécessitent de la recherche dans ce domaine sont celles qui sont particulièrement prisées comme la grenadille d’Afrique (Dalbergia melanoxylon) et le tiama (Entandrophragma angolense), ainsi que celles dont la répartition est limitée et dont les usages sont mal définis comme Dacryodes normandii et Dacryodes pubescens.
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5.3 Usages autres que le bois d’œuvre
Les chercheurs doivent se pencher sur les arbres qui ont des usages et des emplois variés et qui fournissent autre chose que du bois d’œuvre. Citons l’usage éventuel d’Eucalyptus spp. pour la production d’huile essentielle, la production éventuelle de gomme de Sterculia quinqueloba, les propriétés nutritionnelles des fruits de Dacryodes, de Mimusops, de Parkia filicoidea et de Synsepalum, et les propriétés nutritionnelles des graines d’Odyendyea gabonensis.
Nombreux sont les arbres dont l’écorce notamment, mais aussi bien d’autres parties, fournissent des remèdes traditionnels. Parmi les essences à bois d’œuvre qui méritent que la recherche étudie les possibilités qu’elles offrent pour la mise au point de médicaments, citons entre autres Albizia spp., Alstonia spp., Ekebergia capensis, l’arbre de corail d’Abyssinie (Erythrina abyssinica), Eucalyptus spp. dont l’huile possède des vertus médicinales, le petit sycomore (Ficus sur), l’acajou à grandes feuilles (Khaya grandifoliola), l’acajou du Sénégal (Khaya senegalensis), le bois d’or (Millettia versicolor), le camphrier (Ocotea usambarensis), Pericopsis angolensis, le dabéma (Piptadeniastrum africanum), Pseudocedrela kotschyi, le vène (Pterocarpus erinaceus), Quassia undulata, Trichilia monadelpha, Vepris nobilis, le prunier noir (Vitex doniana), Xeroderris stuhlmannii et l’olon (Zanthoxylum spp.).
5.4 Elaboration de produits
Un certain nombre d’essences à bois d’œuvre africaines sont sous-exploitées et mériteraient que la recherche se penche sur les débouchés qu’elles pourraient avoir sur le marché international. Les chercheurs devraient s’intéresser notamment à la mise au point de produits, à la production de produits en bois adaptés et à l’économie de la production de produits non bois. Par exemple, les possibilités économiques de la production de placage et de contreplaqué à partir du faux néré (Parkia bicolor) et de produits tinctoriaux et médicinaux à partir de Pterocarpus angolensis et du padouk d’Afrique (Pterocarpus soyauxii) sont encore peu explorées. Amphimas ferrugineus et Amphimas pterocarpoides sont des exemples d’espèces sous-exploitées qui pourraient avoir un avenir en tant que bois d’œuvre commerciaux.
5.5 Taxinomie
La recherche taxinomique sur les essences à bois d’œuvre est fondamentale si l’on veut établir des rapports corrects entre des informations et des espèces. Les analyses moléculaires ayant montré qu’Albizia était hétérogène, une révision du genre s’impose. C’est aussi le cas de Millettia, qui pourrait éventuellement être divisé en plusieurs genres. Des recherches bio-systématiques sont nécessaires pour déterminer au juste si les différences observées entre le bossé foncé (Guarea thompsonii) et Guarea laurentii justifient qu’elles restent deux espèces distinctes.
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5.6 Caractéristiques de croissance
Qui veut mener une exploitation durable, doit comprendre au préalable les caractéristiques de croissance des essences à bois d’œuvre, en d’autres termes leurs exigences de croissance, leurs taux de croissance et le développement des arbres sous l’angle des conditions de croissance.
La recherche doit de toute urgence déterminer les taux et les modèles de croissance de plusieurs essences à bois d’œuvre, notamment les indigènes, dont Chrysophyllum spp., l’ozigo (Dacryodes buettneri), Dalbergia spp. et Ocotea spp. Il convient d’établir par quel moyen les taux de croissance du pin d’Elliott (Pinus elliottii), une essence exotique, peuvent être augmentés. Les exigences de croissance d’Albizia adianthifolia et du padouk d’Afrique (Pterocarpus soyauxii) ne sont pas bien comprises. Certaines espèces qui produisent un bois de qualité ont tendance à avoir des fûts courts et mal formés, ce qui fait s’effondrer la production commerciale de bois d’œuvre. Parmi elles: Albizia adianthifolia et l’avodiré (Turraeanthus africanus). La recherche pourrait vaincre cet inconvénient grâce à la manipulation physiologique des arbres et de leurs conditions de croissance, par exemple.
5.7 Ecologie
Dans le cadre d’une recherche élargie, on sait encore très peu de choses sur l’écologie de nombreuses espèces sauvages telles qu’Albizia boivinii, Amphimas pterocarpoides, le dabema noir (Aubrevillea platycarpa), le miama (Calpocalyx heitzii), le bambou géant (Cathariostachys madagascariensis) et le faux néré (Parkia bicolor). Or, nous devons connaître ces exigences écologiques pour savoir quelles essences utiliser dans les programmes de plantation destinés à venir à bout des problèmes provoqués par les stress écologiques dus au changement climatique. Les chercheurs doivent étudier les effets des conditions écologiques sur les propriétés du bois de Vitex fischeri s’ils souhaitent optimiser la production de bois d’œuvre dans les plantations.
5.8 Régénération naturelle
La régénération naturelle fluctue énormément d’une espèce à l’autre. La germination des graines et la survie et la croissance des semis sont influencées par la présence ou l’absence de clairières dans la forêt, mais peuvent dépendre également de la présence ou de l’absence d’animaux, comme pour l’abricotier d’Afrique (Mammea africana) et Tieghemella spp., dont la régénération est fortement tributaire des éléphants qui servent à disséminer les graines. Parmi les espèces qui nécessitent que des recherches supplémentaires soient menées dans le domaine de la régénération en général, figurent Khaya spp., le wengé (Millettia laurentii) et le panga panga (Millettia stuhlmannii), Quivisianthe papinae, Vitex grandifolia et Vitex micrantha.
5.9 Domestication, plantation et sylviculture
Moins d’un tiers des 280 essences à bois d’œuvre étudiées sont cultivées. Les deux tiers restants sont récoltés dans la nature. La plantation d’essences à bois d’œuvre renforce
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la disponibilité et la durabilité du bois d’œuvre et la conservation d’espèces menacées. Les intervenants de la filière ont précisé qu’il fallait étudier la mise en place d’essences à bois d’œuvre dans les plantations et mener des essais de plantation. En effet, il y a lieu d’étudier la mise en place de plantations et la conduite d’essences de feuillus très demandées comme Pterocarpus angolensis, et d’espèces menacées ou vulnérables comme Dalbergia madagascariensis et Beilschmiedia ugandensis. Des essais de plantation d’Adenanthera mantaroa, espèce peu connue et endémique de Madagascar, doivent être menés pour alléger la pression qui pèse sur les peuplements sauvages. Au chapitre des espèces prioritaires qui devraient faire l’objet d’études de domestication en Afrique, on peut citer notamment Albizia altissima, Beilschmiedia oblongifolia, l’abam (Chrysophyllum lacourtianum) et Dacryodes igaganga. Il convient d’élaborer des protocoles de domestication pour les espèces surexploitées qui, à terme, pourraient être menacées comme le katrafay (Cedrelopsis grevei).
Pour la plupart des essences à bois d’œuvre d’Afrique tropicale, la sylviculture n’est pas bien comprise. Il est recommandé d’entreprendre des recherches sylvicoles sur les arbres produisant un bois de qualité supérieure comme le coing de Chine (Mimusops elengi) et le bois jaune (Afrocarpus falcatus) ; quant aux espèces dont la sylviculture est maîtrisée comme le teck (Tectona grandis), il faut poursuivre les travaux de recherches sur la sylviculture clonale. Il faut étudier les techniques de culture d’Oreobambos buchwaldii, qui est l’un des rares bambous indigènes d’Afrique.
5.10 Agroforesterie
Les agriculteurs ont tout intérêt à mélanger les arbres et les cultures ou du bétail dans les systèmes agroforestiers. En effet, les arbres donnent non seulement de l’ombre, mais ils peuvent aussi être plantés pour améliorer le sol et pour fournir divers produits non bois. En plantations agroforestières, nombreux sont les arbres qui ont de multiples usages. Les lacunes de la recherche concernant l’usage d’essences à bois d’œuvre dans les systèmes agroforestiers ont été détectées pour Albizia spp., Duboscia macrocarpa, Ekebergia capensis et Entandrophragma spp.
5.11 Maladies et ravageurs
La protection des essences à bois d’œuvre contre les maladies et les ravageurs reste un défi à relever. Pterocarpus angolensis souffre périodiquement d’une maladie cryptogamique mal connue. Les semis d’afrormosia (Pericopsis elata) sont attaqués par la pyrale Lamprosema lateritialis, et les graines d’Albizia schimperiana sont souvent la proie des insectes. La lutte intégrée, qui fait appel à des interventions complémentaires pour éradiquer maladies et ravageurs, manque pour la plupart des essences à bois d’œuvre. Les chercheurs doivent trouver sans délai des méthodes efficaces de lutte intégrée pour les Meliaceae, comme le cèdre acajou (Cedrela odorata), Entandrophragma spp. et Khaya spp., contre le foreur des pousses Hypsipyla, pour le cyprès du Portugal (Cupressus lusitanica) contre le puceron du
27lacunes de la recherche
lacunes de la recherche
cyprès (Cinara cupressi), pour le wengé (Millettia laurentii) contre les chenilles de Rhopalocampta libeon, et pour Eucalyptus spp. contre le charançon de l’eucalyptus (Gonipterus scutellatus).
5.12 Amélioration génétique de l’arbre
L’amélioration forestière passe par la sélection et l’amélioration génétique qui permettent d’obtenir les différents caractères désirés. Au nombre des exemples de lacunes de la recherche, citons la sélection et l’amélioration génétique pour la résistance au ravageurs du cyprès du Portugal (Cupressus lusitanica) et des Khaya spp., la résistance aux maladies du pin de Monterey (Pinus radiata), la rapidité de croissance du moabi (Baillonella toxisperma) et la production optimale de bois d’œuvre d’Albizia adianthifolia. La variation génétique du bois jaune (Afrocarpus falcatus) et des Dalbergia spp. doit être étudiée. Des essais de provenance sont recommandés pour les essences exotiques telles que le cèdre acajou (Cedrela odorata), Chukrasia tabularis et Eucalyptus spp. afin d’identifier des génotypes adaptés aux conditions locales.
29sujets de thèses
6. Sujets de thèses
Les étudiants de troisième cycle en Afrique contribuent utilement aux besoins de la recherche examinés au chapitre 5 grâce à leurs thèses et à leurs mémoires. Il faut souligner que ce sont les étudiants de licence et de maîtrise qui se chargent de la plupart des travaux de thèses. Leurs travaux ne sont pas publiés dans des journaux évalués par leurs pairs et constituent ainsi une “littérature grise”. D’autre part, les travaux de doctorat réalisés par des étudiants ou des organismes africains sont relativement rares. Les intervenants ont recensé des sujets de thèses qui pourraient être classés grosso modo en six axes de recherche.
6.1 Inventaire et étude
Bien que l’inventaire, l’évaluation et la cartographie des ressources forestières rentrent largement dans le cadre des sujets de recherche (voir chapitre 5) car ils demandent énormément de temps, les étudiants de deuxième et troisième cycle pourraient se charger des simples inventaires et des enquêtes socio-économiques, ou bien ils pourraient utiliser les données existantes. Dans ce cadre, ils pourraient réaliser notamment des enquêtes socio-économiques sur le bambou commun (Bambusa vulgaris), des enquêtes concernant la demande de bambou creux (Sinarundinaria alpina) par le secteur des fibres, ainsi qu’un inventaire des usages d’Albizia aylmeri. Des modèles d’exploitation durable d’afrormosia (Pericopsis elata) pourraient être élaborés.
6.2 Propriétés du bois
Pour de nombreux arbres africains dont le bois est utilisé sur place ou qui pourraient servir à produire du bois d’œuvre commercial, les propriétés du bois sont méconnues. C’est le cas par exemple de plusieurs espèces d’Albizia et de Cola. Il est fortement recommandé d’effectuer des essais sur les propriétés du bois de différentes provenances d’essences à bois d’œuvre plantées comme le cèdre acajou (Cedrela odorata), Eucalyptus viminalis et Pinus spp. Il est indispensable de disposer d’informations complémentaires sur les propriétés du bois par rapport à différents traitements sylvicoles du teck (Tectona grandis).
L’amélioration de la qualité du bois sur le marché passe souvent par des travaux de recherche sur la transformation, par exemple sur le séchage de Mammea africana, dont le bois est fréquemment soumis à des taux de retrait importants. Force est de disposer d’informations plus poussées sur les propriétés du bois si l’on veut définir quel bois est le mieux adapté à certaines destinations particulières. Ainsi de Ficus variifolia, qui pourrait avoir de l’avenir dans la production de contreplaqué sur une échelle plus commerciale. La variabilité du bois en matière de durabilité naturelle du difou (Morus mesozygia) reste mal comprise.
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6.3 Etudes sur la phytochimie, la toxicité et la sécurité
Les études qui sont recommandées sur la phytochimie des essences à bois d’œuvre ont un rapport avec leurs usages. Dans certains cas, il faut prendre des précautions au cours de l’usinage du bois à cause de la présence de composés allergènes, comme chez l’ako (Antiaris toxicaria) et le bété (Mansonia altissima). La recherche devrait se pencher davantage sur les propriétés insecticides du bois de Ptaeroxylon obliquum. Des études sur la toxicité et la sécurité d’extraits de tiges de Pterocarpus osun sont souhaitables pour élaborer des produits de soin pour la peau. De même que des études sur la toxicité de l’huile des graines du tiama (Entandrophragma angolense) et de Pterocarpus osun. Les études pharmacologiques d’espèces qui ont des usages médicinaux s’inspirent des recherches de la phytochimie, et les études phytochimiques préconisées recoupent énormément les propriétés médicinales découvertes dans le cadre des lacunes de la recherche.
6.4 Taxinomie
Voici quelques sujets de travaux sur la taxinomie qui pourraient être parfaits pour des thésards : ils pourraient par exemple distinguer clairement entre l’ogoué (Heritiera densiflora) et le niangon (Heritiera utilis) pour ce qui est des caractéristiques botaniques et des propriétés du bois, et préciser les limites entre l’oussogpalié à fleurs rouges (Erythrina vogelii) et Erythrina senegalensis. Albizia adianthifolia a une grande adaptabilité écologique et on pense qu’il existe différents écotypes, ce qui justifie des recherches plus poussées.
6.5 Croissance et développement
Certains aspects de la croissance des arbres sont plus rapides à étudier et conviennent donc mieux comme sujets de thèse. Voici quelques suggestions de projets pour les étudiants : rechercher les bonnes méthodes de traitement des graines d’Autranella congolensis pour lever la dormance, améliorer les taux de germination et accélérer la croissance des jeunes individus de Pterocarpus angolensis, et analyser le rôle des anastomoses de racines de l’okoumé (Aucoumea klaineana). Les étudiants peuvent également étudier les taux de croissance des arbres à croissance rapide ; par exemple, la plupart des Eucalyptus spp. ont un taux de croissance initiale élevé. Ils peuvent élaborer les modèles de croissance de ces espèces dans un laps de temps raisonnable.
6.6 Multiplication
Elle peut se faire par graine ou par matériel végétatif, les deux méthodes étant autant de sujets de recherches pour les étudiants. Des essais de germination et de conservation des semences de l’olon dur (Zanthoxylum gilletii), et des essais d’inoculation mycorhizienne des graines destinée à favoriser la mise en place des semis du sipo (Entandrophragma utile) peuvent être entrepris pendant une
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période relativement courte. L’élaboration de méthodes optimales de multiplication végétative s’impose de toute urgence pour l’acajou du Honduras (Swietenia macrophylla), Albizia gummifera et l’abricotier d’Afrique (Mammea africana). Broussonetia greveana exige que des recherches soient menées sur les techniques de multiplication par bouturage.
33besoins de conserVation
7. Besoins de conservation
L’Afrique est connue pour sa riche biodiversité. Les forêts naturelles restent une source non négligeable de matériel de construction, de combustibles, de nourriture et de médicaments, et fournissent des emplois tant dans le secteur de l’écotourisme que dans celui de la transformation des produits de la forêt. Les forêts jouent un rôle écologique de premier plan: elles protègent les ressources en terre et en eau, assurent un milieu à la flore et à la faune sauvages et maintiennent la stabilité de la biosphère par rapport à l’équilibre en dioxyde de carbone. Cependant, les forêts africaines subissent une pression très forte due aux demandes massives de terres agricoles, de bois de feu et d’autres produits naturels qui émanent d’une population humaine en progression rapide. Les taux de déboisement sont très variables d’une région à l’autre; ils sont beaucoup plus élevés en Afrique occidentale qu’en Afrique centrale. C’est dans ces deux régions que se trouvent les forêts à canopée fermée, tandis que les forêts claires et les savanes herbeuses se rencontrent surtout en Afrique orientale et australe. Ce qui explique que les pays qui produisent du bois d’œuvre pour le marché international se trouvent principalement en Afrique occidentale et centrale. Le rôle que joue l’exploitation du bois d’œuvre dans le déboisement reste souvent obscur. Il dépend de l’intensité de l’exploitation, des méthodes d’abattage et des cycles de rotation, sans oublier qu’une meilleure accessibilité de la forêt après la coupe peut en accélérer la destruction. De nombreuses essences à bois d’œuvre sont menacées par la surexploitation. A ce propos, il faudrait se préoccuper en particulier de Madagascar, où de nombreuses essences endémiques sont menacées à cause du déboisement intense et de l’abattage sélectif.
Les initiatives qui ont pour but de sauvegarder les ressources forestières sont nécessaires pour garantir leur pérennité. L’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES) et le réseau de surveillance du commerce des espèces sauvages TRAFFIC sont d’importantes organisations internationales de conservation qui évaluent l’état de conservation des essences forestières ainsi que d’autres espèces végétales et animales. La Liste rouge établie par l’UICN dresse les degrés de menace suivants: préoccupation mineure, quasi menacée, vulnérable, en danger, en danger critique d’extinction, éteinte à l’état sauvage, éteinte.
Les intervenants de la filière bois ont trouvé qu’il existait des inquiétudes de conservation concernant de nombreuses essences à bois d’œuvre d’Afrique tropicale. En effet, beaucoup figurent déjà sur la Liste rouge de l’UICN et l’une d’elles, l’afrormosia (Pericopsis elata), est inscrite à l’Annexe II de la CITES, mais bien d’autres appellent également des mesures de conservation à cause d’événements récents ou de la surexploitation locale, comme le ramy (Canarium madagascariense) en Tanzanie, Fagaropsis angolensis en Ethiopie, le katrafay (Cedrelopsis grevei) et Dichrostachys myriophylla à Madagascar, et le grand natte (Mimusops maxima) à
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la Réunion et à Maurice. Quant à certaines espèces, comme Carpodiptera africana, on ne sait pas si elles sont touchées par l’érosion génétique. D’autres, peu connues, pourraient y être exposées en raison d’aires de répartition très réduites, comme c’est le cas par exemple de Dacryodes normandii.
Bien que la sauvegarde de la biodiversité soit axée sur la conservation in situ, la conservation ex situ peut être une garantie contre la perte d’une précieuse diversité génétique. La conservation in situ, qui consiste notamment à créer des zones forestières protégées, est déterminante pour les arbres à graines récalcitrantes qui ne peuvent être conservées longtemps dans des banques de graines. Au nombre des essences pour lesquelles une conservation in situ est recommandée figure l’iroko (Milicia excelsa et Milicia regia), l’acajou du Sénégal (Khaya senegalensis) et le padouk d’Afrique (Pterocarpus soyauxii). Quant au bois jaune (Afrocarpus falcatus), c’est un exemple d’espèce qui réclame une conservation à la fois in situ et ex situ. La conservation ex situ est déjà menée en Afrique du Sud et elle pourrait être élargie à l’Ethiopie et à la Tanzanie où le bois jaune est sous la menace de l’abattage sélectif.
Les intervenants ont défini la collecte et la conservation de ressources génétiques comme étant la principale intervention de conservation. C’est souvent le cas pour la sauvegarde d’espèces menacées, comme par exemple Oreobambos buchwaldii à cause de sa présence dispersée. Il en va de même du bambou creux (Sinarundinaria alpina) qui est lui aussi disséminé et dont il est recommandé de collecter les ressources génétiques pour bénéficier de sa variabilité géographique. Le principal défi à relever dans la conservation de ressources génétiques d’arbres est qu’il leur faut énormément de temps pour devenir adultes et produire des graines.
35mesures politiques
8. Mesures politiques
Des politiques saines d’utilisation et de conservation des arbres et des forêts sont indispensables au développement durable de la filière bois en Afrique. Encore récemment, de nombreux pays d’Afrique avaient recours à des politiques forestières surannées qui prônaient les coupes à blanc au profit des défrichements agricoles, entraînant la disparition du couvert forestier sur l’ensemble du continent. Une étude des politiques forestières est en cours dans la plupart des pays africains afin d’intégrer les dernières connaissances et pratiques qui permettraient d’encourager une sylviculture durable grâce notamment à une gestion forestière décentralisée, à la protection d’espèces menacées et à la démarcation des limites de la forêt. D’autres règles qui concernent les forêts et les arbres, par exemple celles qui fixent le statut de l’occupation des sols et l’utilisation des arbres, sont aussi actuellement modifiées dans de nombreuses parties du continent afin d’instituer des régimes fonciers exempts d’anomalies, dont la propriété des forêts et des arbres. La tâche la plus ardue à laquelle sont confrontés de nombreux pays d’Afrique est la mise en œuvre des mesures politiques qui se heurte à des cadres institutionnels précaires et à une absence de volonté politique. On ne saurait trop insister sur la nécessité de réformes et de mise en œuvre permanente des mesures politiques qui permettraient d’instaurer une filière bois durable en Afrique. Parmi ces mesures, citons par exemple la création de mesures de protection nationale des espèces menacées, de mesures destinées à lutter contre la disparition de milieux et contre les espèces envahissantes, de mesures concernant les programmes de plantation et de mesures en faveur du bambou.
8.1 Protection des espèces
Ce sont les caractéristiques des essences forestières, telles qu’une régénération naturelle médiocre, un taux de germination faible, la dormance des semences et une croissance lente nécessitant de longues révolutions, qui entravent l’exploitation durable. Les espèces qui présentent ces caractéristiques ont peu de chances d’être retenues pour la production commerciale de bois d’œuvre et il faudrait privilégier leur protection, comme c’est le cas par exemple de Dalbergia spp. et de Guarea spp. Concernant certaines essences à bois d’œuvre parmi les plus prisées d’Afrique tropicale, comme l’afrormosia (Pericopsis elata), les organisations de conservation internationales ont déjà pris conscience de la nécessité de les protéger, mais il n’en demeure pas moins qu’elles doivent encore prendre des mesures qui permettraient de favoriser l’utilisation et la gestion durable de plusieurs autres espèces très demandées sur le marché international des bois d’œuvre comme l’aningré (Pouteria spp.), l’ayous (Triplochiton scleroxylon) et le panga panga (Millettia stuhlmannii). Ces mesures de protection comprennent également la mise en place de méthodes durables d’exploitation de l’écorce à des fins médicinales, comme pour Alstonia spp. et Pseudocedrela kotschyi. Des mesures nationales de protection ou des législations sont souhaitables pour les espèces menacées dans certains pays, comme Oreobambos buchwaldii en Zambie, Oxytenanthera abyssinica en Guinée, Pouteria adolfi-friedericii en Ethiopie, Zanthoxylum davyi au Zimbabwe, le komonbélo (Cola laurifolia) au Sénégal et l’ozigo (Dacryodes buettneri) au Cameroun.
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8.2 Disparition des milieux
La disparition des milieux et leur dégradation sont des facteurs fondamentaux du déclin des ressources forestières d’Afrique tropicale. A essences forestières différentes, milieux différents. Les mesures et les législations qui sont destinées à protéger les milieux sauveraient de nombreuses essences à bois d’œuvre. Des espèces telles qu’Avicennia spp. et le bois de table (Heritiera littoralis) bénéficieraient de la protection des mangroves, de même que Neolemonniera clitandrifolia pourrait être protégé par la conservation de la forêt humide dense d’Afrique de l’Ouest ; d’autre part, la sauvegarde du milieu est capitale pour la protection de nombreuses essences forestières à Madagascar, dont Alantsilodendron villosum, Pongamiopsis pervilleana et Phylloxylon spp. Il est primordial que de vastes zones de forêt sempervirente et de forêt humide semi-décidue soient protégées car elles abritent de nombreuses essences à bois d’œuvre qui jouent un rôle commercial important. C’est dans les forêts de montagne que l’on trouve non seulement d’importantes espèces de résineux qui sont menacées telles que le bois jaune (Afrocarpus falcatus), le genévrier d’Afrique (Juniperus procera) et Podocarpus latifolius, mais aussi des bambous comme le bambou creux (Sinarundinaria alpina) et Oreobambos buchwaldii.
8.3 Espèces potentiellement envahissantes
Les espèces exotiques pouvant éventuellement devenir envahissantes, elles doivent faire l’objet d’un suivi dans les zones où elles sont plantées. C’est le cas de l’acacia à bois noir (Acacia melanoxylon) qui est devenu un envahisseur sérieux en Afrique du Sud, de l’ébénier jaune (Dalbergia sissoo) qui est classé comme une adventice indésirable en Australie, du balsa (Ochroma pyramidale) qui est un pionnier typique colonisant les clairières, et du pin à trois feuilles (Pinus kesiya) ainsi que du pin argenté (Pinus patula) qui peuvent être agressifs et adventices. Il convient également de surveiller le risque que représentent les plantations de gommier bleu (Eucalyptus globulus) pour les écosystèmes locaux en Afrique.
8.4 Plantation d’arbres
Les mesures prises en faveur des plantations d’arbres sont cruciales pour assurer la pérennité de la filière bois en Afrique. Voici les espèces indigènes africaines dont la culture pourrait être encouragée en vue de la mise en place de plantations de bois d’œuvre: Acacia galpinii en zone sèche et l’ako (Antiaris toxicaria) en zone humide. Il est recommandé de planter le tamarin des hauts (Acacia heterophylla) à la Réunion à cause de la valeur de son bois. Grâce à une sélection réfléchie des provenances, on peut encourager la culture de plusieurs essences exotiques en vue de plantations plus extensives, comme plusieurs Eucalyptus spp., dont chaque espèce convient à des conditions écologiques différentes, et le teck (Tectona grandis) qui, bien que notoirement connu, doit encore être promu comme essence de plantation par les communautés rurales.
37mesures politiques
8.5 Mesures politiques nationales en faveur des bambous
Le Réseau international sur les bambous et les rotins (INBAR) a évalué la production et la consommation de bambou dans plusieurs pays d’Afrique de l’Est. Il est ressorti de cette étude que son exploitation n’était assortie d’aucune réglementation ni d’aucun suivi efficace et que les mesures faisaient défaut. L’évaluation portait essentiellement sur le bambou creux (Sinarundinaria alpina), mais ses conclusions valent également pour d’autres bambous indigènes d’Afrique et pour les bambous exotiques comme le bambou commun (Bambusa vulgaris).
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9. Données comparatives sur 280 essences à bois d’œuvre importantes d’Afrique
Légende
Région Répartition en Afrique tropicale (voir carte PROTA) C: Afrique centrale E: Afrique de l’Est I: Îles de l’océan Indien A: Afrique australe O: Afrique de l’Ouest
Usages secondaires Usages correspondant aux autres groupes d’usage en plus de l’usage principal 7, Bois d’œuvre
1, Céréales et légumes secs 10, Bois de feu 2, Légumes 11, Plantes médicinales 3, Colorants et tanins 12, Epices et condiments 4, Plantes ornementales 13, Huiles essentielles et exsudats 5, Plantes fourragères 14, Oléagineux 6, Fruits 15, Plantes stimulantes 8, Sucres et amidons 16, Plantes à fibres 9, Plantes auxiliaires
Altitude Ecart d’altitudes où l’espèce se rencontre, en mètres au-dessus du niveau de la mer
Densité Densité du bois en kg/m3 à 12% d’humiditéDureté de flanc Janka Dureté de flanc Janka, exprimée en N à 12% d’humiditéDureté de flanc Ch-M Dureté de flanc Chalais-Meudon à 12% d’humidité
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PROTA en bref
Le programme “Ressources végétales de l’Afrique tropicale” (PROTA) a été lancé en 2000 et est devenu un partenariat de 11 institutions dans 11 pays pendant la Phase préparatoire 2000–2003. Depuis le 19 février 2003, PROTA fonctionne en tant que fondation internationale, domiciliée à Wageningen, Pays-Bas.
PROTA est un important programme “de synthèse d’informations et de rapatriement des connaissances”. Ce programme se propose d’introduire dans le domaine public (africain) la “littérature mondiale” sur les plantes utiles de l’Afrique tropicale, accessible uniquement à quelques privilégiés à l’heure actuelle, et de contribuer à une plus grande conscience des plantes et à leur usage durable, dans le respect des connaissances traditionnelles et des droits de propriété intellectuelle. PROTA décrira les quelque 7000 plantes utiles pendant la Phase opérationnelle 2003–2012. Les véhicules d’information seront des bases de données sur le web (www.prota.org) accessibles gratuitement, une série de livres et de CD-Rom à prix bas représentant 16 groupes d’usage, et des produits spéciaux par groupe d’usage pour les acteurs du développement rural, de l’éducation, de la recherche et de la politique (tous en anglais et en français).
PROTA 1: Céréales et légumes secs (2006) PROTA 9: Plantes auxiliairesPROTA 2: Légumes (2004) PROTA 10: Bois de feuPROTA 3: Colorants et tanins (2005) PROTA 11(1): Plantes médicinales 1 (2008) PROTA 4: Plantes ornementales PROTA 12: Epices et condiments PROTA 5: Plantes fourragères PROTA 13: Huiles essentielles et exsudatsPROTA 6: Fruits PROTA 14: Oléagineux (2007)PROTA 7(1): Bois d’œuvre 1 (2008) PROTA 15: Plantes stimulantesPROTA 8: Sucres et amidons PROTA 16: Plantes à fibres
PROTA Network Office Europe, c/o Wageningen University B.P. 341, 6700 AH Wageningen, Pays-BasPROTA Network Office Africa, c/o World Agroforestry Centre (ICRAF) B.P. 30677-00100, Nairobi, Kenya, (www.prota.org)
AFRIQUE DE L’OUEST
1. Cap-Vert 2. Mauritanie3. Sénégal4. Gambie5. Guinée-Bissau6. Guinée7. Sierra Leone8. Liberia9. Côte d’Ivoire10. Mali11. Burkina Faso12. Ghana13. Togo14. Bénin15. Niger16. Nigeria
AFRIQUE CENTRALE
17. São Tomé-et-Principe18. Cameroun19. Tchad20. Centrafrique21. Guinée équatoriale22. Gabon23. Congo24. République démocratique du Congo25. Rwanda26. Burundi
AFRIQUE DE L’EST
31. Somalie32. Kenya33. Ouganda34. Tanzanie
27. Soudan28. Erythrée29. Ethiopie30. Djibouti
AFRIQUE AUSTRALE
35. Malawi36. Zambie37. Angola38. Namibie39. Botswana40. Zimbabwe41. Mozambique
ILES DE L’OCEAN INDIEN
42. Comores43. Mayotte (Fr)44. Madagascar45. Seychelles46. Réunion (Fr)47. Maurice
10
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15
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33
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31
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30
2526
14
Série PROTA Recommande
lacunes du développement
Série PROTA
Recommande
lacunes de la recherche
besoins de conservation
besoins de conser-vation
mesures politiques
sujets de thèses
technologies candidates
technologies candidates
Formation professionnelle
Réseaux de recherche
Enseignement supérieur
Politique
Développement rural(vulgarisation)
Secteur privé
AgriculteursPopulations forestières
Entrepreneurs villageois