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Bois d’œuvre de l’Afrique tropicale Conclusions et recommandations basées sur PROTA 7(1): “Bois d’œuvre 1” Ressources végétales de l’Afrique tropicale

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Bois d’œuvre de l’Afrique tropicaleConclusions et recommandations

basées sur PROTA 7(1): “Bois d’œuvre 1”

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R.H.M.J. Lemmens, E.A. Omino & C.H. Bosch (Editeurs), 2010. Bois d’œuvre de l’Afrique tropicale. Conclusions et recommandations basées sur PROTA 7(1) : “Bois d’œuvre 1”. [Traduction de : Timbers of Tropical Africa. Conclusions and recommendations based on PROTA 7(1): ‘Timbers 1’. 2009]. Fondation PROTA, Nairobi, Kenya, 92 pp.

511 ‘Primary use’ timber species are describedin 280 review articles

PROTA 7(1): Timbers 1Louppe, D., Oteng-Amoako A.A. & Brink, M. (Editors), 2008. Plant Resources of Tropical Africa 7(1). Timbers 1. 704 pp.

ISBN 978-90-5782-209-4 (book only): €20 (Developing Countries) €40 (Industrialized Countries)ISBN 978-90-5782-210-0 (book + CD-Rom): €25 (Developing Countries) €50 (Industrialized Countries)

Distributed for ACP countries by CTA (through credit point system), P.O. Box 380, 6700 AJ Wageningen, Netherlands (www.cta.int)Distributed for all other countries by Earthprint, UK (www.earthprint.com)

511 espèces dont l’usage primaire est comme “Bois d’œuvre”sont décrites au sein de 280 articles de synthèse

PROTA 7(1): Bois d’œuvre 1Louppe, D., Oteng-Amoako A.A. & Brink, M. (Editeurs), 2008. Ressources végétales de l’Afrique tropicale 7(1). Bois d’œuvre 1. 785 pp.

ISBN 978-90-5782-211-7 (livre seul): €20 (Pays en développement) €40 (Pays industrialisés)ISBN 978-90-5782-212-4 (livre + CD-Rom): €25 (Pays en développement) €50 (Pays industrialisés)

Diffusé pour les pays ACP par le CTA (système d’unités de crédit), B.P. 380, 6700 AJ Wageningen, Pays-Bas (www.cta.int)Diffusé pour tous les autres pays par Earthprint, Royaume-Uni (www.earthprint.com)

Bois d’œuvre de l’Afrique tropicaleConclusions et recommandations basées sur PROTA 7(1): “Bois d’œuvre 1”

Editeurs: R.H.M.J. Lemmens E.A. Omino C.H. Bosch

Fondation PROTANairobi, Kenya, 2010

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Table de matières

Chapitre 1. Introduction 1.1 Portée 5 1.2 Méthodologie 6 1.3 Collaborateurs 7 1.4 Abréviations 8 1.5 Bibliographie 8

Chapitre 2. Bois d’œuvre 1: vue d’ensemble 2.1 Usage principal comme bois d’œuvre 9 2.2 Familles botaniques 9 2.3 Origine 10 2.4 Répartition en Afrique tropicale 10 2.5 Usages secondaires 11 2.6 Altitude 12 2.7 Propriétés du bois 12

Chapitre 3. Technologies candidates 3.1 Des arbres à usages multiples 15 3.2 Plantation et domestication 16 3.3 Exploitation durable des arbres 16 3.4 Succédanés 17 3.5 Matériel de vulgarisation 17

Chapitre 4. Lacunes du développement 4.1 Extraction, valorisation et distribution / commercialisation des produits 19 4.2 Sources de matériel végétal 20 4.3 Sélection et fourniture de provenances supérieures 20 4.4 Gestion 21

Chapitre 5. Lacunes de la recherche 5.1 Exploitation durable 23 5.2 Inventaire, évaluation et cartographie des ressources forestières 23 5.3 Usages autres que le bois d’œuvre 24 5.4 Elaboration de produits 24 5.5 Taxinomie 24 5.6 Caractéristiques de croissance 25 5.7 Ecologie 25 5.8 Régénération naturelle 25 5.9 Domestication, plantation et sylviculture 25 5.10 Agroforesterie 26 5.11 Maladies et ravageurs 26 5.12 Amélioration génétique de l’arbre 27

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Chapitre 6. Sujets de thèses 6.1 Inventaire et étude 29 6.2 Propriétés du bois 29 6.3 Etudes sur la phytochimie, la toxicité et la sécurité 30 6.4 Taxinomie 30 6.5 Croissance et développement 30 6.6 Multiplication 30

Chapitre 7. Besoins de conservation 33

Chapitre 8. Mesures politiques 8.1 Protection des espèces 35 8.2 Disparition des milieux 36 8.3 Espèces potentiellement envahissantes 36 8.4 Plantation d’arbres 36 8.5 Mesures politiques nationales en faveur des bambous 37

Chapitre 9. Données comparatives sur 280 essences à bois d’œuvre importantes d’Afrique 39

Chapitre 10. Tableau récapitulatif “280 essences à bois d’œuvre × 6 sujets clés” 55

PROTA en bref 92

Carte de l’Afrique tropicale pour PROTA

Figures

Figure 1. Nombre d’essences à bois d’œuvre par famille botanique 10

Figure 2. Répartition des espèces dans les régions 11

Figure 3. Nombre d’espèces par région 11

5introduction

1. Introduction

1.1 Portée

L’ouvrage PROTA 7(1): “Bois d’œuvre 1”, publié en octobre 2008, fait partie de l’encyclopédie de PROTA (Ressources végétales de l’Afrique tropicale) et constitue le premier d’une série de deux volumes qui se veulent un aperçu général des essences à bois d’œuvre sauvages et cultivées d’Afrique tropicale. Les informations sont disponibles en anglais et en français et les articles de synthèse peuvent être consultés gratuitement en ligne (www.prota.org). Vous pouvez vous procurer les livres et les CD-ROM auprès de nos distributeurs et de nos bureaux.

La base de données de PROTA “SPECIESLIST” répertorie quelque 1100 arbres à bois d’œuvre dont c’est l’usage primaire et qui appartiennent à 85 familles botaniques. Ce tome, “Bois d’œuvre 1”, décrit 511 espèces dont l’usage primaire est le bois d’œuvre et qui appartiennent à 25 familles botaniques importantes. On y trouvera des descriptions détaillées de 113 essences à bois d’œuvre et d’autres moins approfondies de 167 espèces moins importantes. D’autre part, 231 espèces ne sont que mentionnées dans les articles sur les espèces apparentées; elles ne font pas l’objet d’un article séparé par manque de données.

Certaines des espèces sont commercialisés sur le marché international des bois d’œuvre, mais la plupart ne sont utilisées que localement, en construction ou pour la fabrication de meubles, d’outils ou d’ustensiles. Les bambous dont les tiges sont employées en construction sont également inclus. Cet ouvrage regroupe de manière détaillée les informations provenant de centaines de publications dispersées.

Afin de rendre ces informations accessibles au plus grand nombre possible, cette brochure, qui vient compléter la série “PROTA recommande…”, résume les principaux résultats de PROTA 7(1): Bois d’œuvre 1. La consultation d’intervenants du secteur des bois d’œuvre a permis d’aboutir aux conclusions et recommandations présentées ici qui font état des besoins et des enjeux d’une production durable de bois d’œuvre en Afrique. Ces conclusions s’adressent aux groupes cibles dont les actions ont des répercussions sur les utilisateurs finaux de l’information de PROTA, en d’autre termes tous ceux qui tirent leurs ressources des plantes (agriculteurs, collectivités forestières et entrepreneurs d’Afrique). PROTA s’adresse aux groupes cibles suivants:

• Les agences de développement rural, les services de vulgarisation et les centres de formation professionnelle doivent être informés des technologies candidates pertinentes, en d’autres termes des pratiques les mieux adaptées, des compétences, des innovations et des connaissances utilisables qui n’attendent que d’être testées ou mises en pratique par les agriculteurs et les administrateurs de forêts naturelles. Ils doivent les intégrer dans leurs programmes de formation et de vulgarisation.

6

• Les entreprises privées ont un rôle important à jouer pour combler les nombreuses lacunes du développement dans la fabrication locale de produits dérivés des bois d’œuvre, notamment la valeur ajoutée.

• Les chercheurs disposent d’un bref aperçu des lacunes de la recherche pour lesquelles leur intervention est nécessaire. Celui-ci récapitule les problèmes plus étendus que doit résoudre le secteur de la recherche.

• Les étudiants d’universités et d’autres institutions de l’enseignement supérieur peuvent contribuer de manière constructive à la recherche et à la mise en valeur des bois d’œuvre grâce à leurs sujets de thèses qui sont plus spécialisés que la catégorie précédente.

• Les agences de conservation de la nature sont informées de l’état de conservation, des menaces et, éventuellement, des besoins de conservation qui touchent les espèces à bois d’œuvre.

• Les décideurs sont invités à prendre des mesures politiques afin d’instaurer un environnement propice aux interventions citées plus haut, comme la maîtrise de l’exploitation des ressources, la législation et la lutte contre les espèces potentiellement envahissantes.

1.2 Méthodologie

Le chapitre 2 résume les informations relatives à la botanique, à la répartition géographique, à l’écologie, à la culture et à l’utilisation des espèces citées dans PROTA 7(1): “Bois d’œuvre 1”. Les données de référence concernant les 280 essences à bois d’œuvre qui font l’objet d’articles séparés dans PROTA 7(1) sont présentées au chapitre 9.

Nos experts ont rédigé la première ébauche d’un tableau récapitulatif qui porte sur les six domaines en question : les technologies candidates, les lacunes du développement, les lacunes de la recherche, les sujets de thèses, les besoins de conservation et les mesures politiques. Ce tableau a servi de point de départ à l’échange de vues qui a réuni les intervenants du secteur des bois d’œuvre. En novembre 2008, 23 d’entre eux ont participé à un atelier de réflexion qui s’est tenu à Kumasi, au Ghana, pour parachever les conclusions et recommandations qui devaient être publiées dans la présente brochure. Celles-ci sont mises en exergue aux chapitres 3–8 qui esquissent les domaines décisifs nécessitant une intervention rapide de la part des différents groupes cibles. Le tableau récapitulatif élaboré à l’issue de l’atelier à partir des réponses des intervenants est présenté au chapitre 10.

Cet opuscule de la série “PROTA recommande…” s’inscrit dans le droit fil de la démarche adoptée avec succès pour les volumes PROTA 1: Céréales et légumes secs, PROTA 2: Légumes, PROTA 3: Colorants et tanins et PROTA 14: Oléagineux. S’inspirant des recommandations présentées ici, des projets pilotes seront mis en place, afin que ceux qui utilisent les arbres comme les agriculteurs, les communautés qui tirent leurs ressources de la forêt et les entrepreneurs de la filière bois puissent tirer profit de ces informations.

7introduction

1.3 Collaborateurs

• K.A. Aimé, Société de Développement des Forêts (SODEFOR) B.P. 3770, Abidjan 01, Côte d’Ivoire ([email protected]).

• L. Amissah, Forestry Research Institute of Ghana (FORIG), P.O. Box 63 Kwame Nkrumah University of Science and Technology (KNUST), Kumasi, Ghana ([email protected]).

• S.O. Badejo, Forestry Research Institute of Nigeria (FRIN), P.M.B. 5054, Ibadan, Nigeria ([email protected]).

• C.H. Bosch, PROTA Network Office Europe, Wageningen University, P.O. Box 341, 6700 AH Wageningen, Netherlands ([email protected]).

• M. Brink, PROTA Network Office Europe, Wageningen University, P.O. Box 341, 6700 AH Wageningen, Netherlands ([email protected]).

• S. Britwum, PROTA West Africa Regional Office, Forestry Research Institute of Ghana (FORIG), P.O. Box 63, Kwame Nkrumah University of Science and Technology (KNUST), Kumasi, Ghana, ([email protected]; [email protected]).

• M. Chauvet, Editeur de la traduction française, PROTA Country Office France, Pl@ntNet, UMR AMAP, Université Montpellier 2, TA A-51/PS1, Boulevard de la Lironde, 34398 Montpellier Cedex 5, France ([email protected]).

• B. Chikamai, Kenya Forestry Research Institute (KEFRI), P.O. Box 64636-00620, Mobil Plaza, Nairobi, Kenya ([email protected]).

• S. W. Chomba, World Agroforestry Centre (ICRAF), P.O. Box 30677-00100, Nairobi, Kenya ([email protected]).

• H. Corbière, Traductrice, 26 Avenue de Lodève, F-34070 Montpellier, France ([email protected]).

• K.P. Ghartey, Ghana Forestry Commission, P.O. Box M.434, Accra, Ghana ([email protected]).

• D. Louppe, Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (CIRAD), Avenue Agropolis, 34398 Montpellier Cedex 5, France ([email protected] ).

• A. U. Lumbile, Botswana College of Agriculture, Private Bag 0027, Gaborone, Botswana ([email protected]).

• A.J. Madingou, Ministère de l’Economie Forestière et de la Pêche, P.O. Box 199, 5787 Libreville, Gabon ([email protected] ).

• S.M. Mbala, Service permanent d’inventaire et d’aménagement forestiers (SPIAF) , 35 Avenue Pumbu, Kinshasa/Gombe, B.P. 1461, Kinshasa, D.R. Congo ([email protected]).

• K.K. Mensah, Forestry Research Institute of Ghana (FORIG), P.O. Box 63, Kwame Nkrumah University of Science and Technology (KNUST), Kumasi, Ghana ([email protected]).

• M. Muga, Kenya Forestry Research Institute (KEFRI), P.O. Box 64636-00620, Mobil Plaza, Nairobi, Kenya ([email protected]).

• P. Mugabi, Makerere University, Department of Forest Products, P.O. Box 7062, Kampala, Uganda ([email protected]).

8

• B. Neya, Dept Prid Forestieres, Institut de l’Environnement et de Recherches Agricoles (DPF/INERA), Forests Products Program, 03 B.P. 7047, Ouagadougou 03, Burkina Faso ([email protected]).

• S.N. Njihia, Kenya Forest Service, P.O. Box 30513-00100, Nairobi, Kenya ([email protected]).

• D. Oke, Federal University of Technology, Department of Forestry and Wood Technology, P.M.B. 704, Akure, Nigeria ([email protected]).

• E.A. Omino, PROTA Network Office Africa, World Agroforestry Centre (ICRAF), P.O.Box 30677-00100, Nairobi, Kenya ([email protected])

• A.A. Oteng-Amoako, Forestry Research Institute of Ghana (FORIG), P.O. Box 63 Kwame Nkrumah University of Science and Technology (KNUST), Kumasi, Ghana ([email protected]).

• E. Owusu-Sekyere, Forestry Research Institute of Ghana (FORIG), P.O. Box 63, Kwame Nkrumah University of Science and Technology (KNUST), Kumasi, Ghana ([email protected]).

• M.A. Oyebo, African Forest Forum, 3 Daniel Arap Moi Close off Maitama Sule Street OAU Quarters, Asokoro, Abuja, Nigeria ([email protected])

• L.G. Rajoelison, Recherche Sylviculture et Aménagement, BP 175, Antananarivo 101, Madagascar ([email protected]).

• J.S. Siemonsma, Editeur de la traduction française, PROTA Network Office Europe, Wageningen University, P.O. Box 341, 6700 AH Wageningen, Netherlands ([email protected]).

1.4 Abréviations

CIFOR Center for International Forestry ResearchCITES Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore

sauvages menacées d’extinctionGCRAI Groupe Consultatif pour la Recherche Agricole InternationaleICRAF World Agroforestry Centre (International Centre for Research in

Agroforestry)INBAR Réseau international sur les bambous et les rotinsUICN Union Internationale pour la Conservation de la Nature

1.5 Bibliographie

Louppe, D., Oteng-Amoako, A.A. & Brink, M. (Editeurs), 2008. Ressources végétales de l’Afrique tropicale 7(1). Bois d’œuvre 1. [Traduction de : Plant Resources of Tropical Africa 7(1). Timbers 1. 2008]. Fondation PROTA, Wageningen, Pays-Bas / Backhuys Publishers, Leiden, Pays-Bas / CTA, Wageningen, Pays-Bas. 785 pp.

9Vue d’ensemble

2. Bois d’œuvre 1: vue d’ensemble

Ce chapitre subdivise les essences à bois d’œuvre qui sont étudiées dans PROTA 7(1): Bois d’œuvre 1 en un certain nombre de grandes catégories en fonction de la botanique, de la répartition géographique, de l’écologie et de détails concernant les propriétés du bois éventuellement. Les données par espèce (chapitre 9) sont destinées à servir de guide de référence rapide.

2.1 Usage principal comme bois d’œuvre

Il est capital de bien comprendre que PROTA 7(1): Bois d’œuvre 1 n’aborde qu’une partie des bois d’œuvre importants d’Afrique. Seules les espèces appartenant à une sélection de 25 familles botaniques sont traitées dans le premier volume, les autres seront abordées dans le second.

Sur les 1100 espèces utilisées principalement comme bois d’œuvre, 280 font l’objet d’articles de synthèse séparés dans PROTA 7(1) et 231 espèces ne sont que mentionnées et brièvement décrites dans les articles sur des espèces apparentées plus importantes, car il n’existe pratiquement pas d’information à leur sujet.

Les quelque 900 espèces qui sont utilisées comme bois d’œuvre à titre secondaire ne sont également pas traitées ici, ce qui est sans nul doute une lacune qui mérite d’être signalée. Pour ces espèces à usage secondaire de bois d’œuvre, il faut se référer aux groupes d’usage correspondants, cela afin d’éviter les répétitions. A titre exceptionnel, une espèce pourra être traitée dans 2 volumes différents, comme c’est le cas du fromager (Ceiba pentandra), qui figure à la fois dans PROTA 7(1) et dans PROTA 16: Plantes à fibres, et de Pterocarpus angolensis, qui figure également dans PROTA 3: Colorants et tanins.

2.2 Familles botaniques

Les 280 essences à bois d’œuvre traitées dans PROTA 7(1) appartiennent à 25 familles botaniques, dont 7 comptent plus de 10 espèces chacune et qui, à elles seules, représentent presque 70% des espèces (cf. Figure 1).

10

Une famille mérite une attention particulière, ce sont les Poaceae. Elle figure dans PROTA 7(1) car 9 espèces de 7 genres différents de bambous sont utilisées en Afrique tropicale pour la construction, la fabrication de meubles, d’outils et d’instruments de musique.

2.3 Origine

Sur les 280 essences à bois d’œuvre traitées, moins de 10% sont introduites, ce qui est bien inférieur à d’autres groupes d’usages tels que “Céréales et légumes secs”, qui comptent près de 40% d’espèces introduites et “Légumes” avec 25% environ.Les genres introduits que sont Eucalyptus et Pinus occupent une place importante avec 7 et 6 espèces, respectivement. Parmi les autres introductions qui ont fait leurs preuves dans les plantations de bois d’œuvre, citons le teck (Tectona grandis), le gmelina (Gmelina arborea) et le cèdre acajou (Cedrela odorata). La majorité des essences à bois d’œuvre d’Afrique sont indigènes. Plusieurs sont plantées dans des plantations de bois d’œuvre au sein de leur aire naturelle, mais parfois aussi ailleurs en Afrique, voire même sur d’autres continents, comme Khaya spp.

2.4 Répartition en Afrique tropicale

La répartition des espèces dans les régions (Figure 2) est importante lorsqu’il s’agit de formuler des recommandations au niveau national, régional ou continental. En effet, 83 des 280 espèces sont plus ou moins panafricaines, 25 étant présentes dans les cinq régions, et 58 dans quatre d’entre elles (Afrique centrale, Afrique de l’Est, îles de l’océan Indien, Afrique australe, et Afrique de l’Ouest). 85 sont endémiques d’une seule région.

Papilionaceae Mimosaceae Sapotaceae Meliaceae Sterculiaceae Lauraceae Rutaceae Autres

Figure 1. Nombre d’essences à bois d’œuvre par famille botanique

53

39

28

262312

12

87

11Vue d’ensemble

9%

21%

16%23%

31% 5 régions 4 régions 3 régions 2 régions 1 région

Figure 2. Répartition des espèces dans les régions

Le nombre d’espèces par région varie considérablement comme le montre la Figure 3. Sur les 280 essences à bois d’œuvre, 179 sont présentes en Afrique centrale et 100 dans les îles de l’océan Indien. C’est dans les îles de l’océan Indien, principalement à Madagascar, que l’on trouve le plus grand nombre d’endémiques (48), et en Afrique de l’Est le moins grand nombre (4), l’Afrique centrale en abritant 19.

300

250

200

150

100

50

0

Figure 3. Nombre d’espèces par région

Endémiques

Autres

Afrique centrale

Afrique de l’Est

Afrique australe

Afriquede l’Ouest

Nombre total

Îles de l’océanIndien

2.5 Usages secondaires

Les espèces à usage primaire de bois d’œuvre sont souvent polyvalentes et comptent en moyenne presque 3 usages secondaires. Les groupes d’usage les plus importants sont les “Plantes médicinales” (avec presque 70%) et les “Bois de feu” (40%). Quant aux “Plantes auxiliaires”, “Plantes ornementales” et “Fruits”, ils représentent les usages secondaires d’environ 25% des essences à bois d’œuvre traitées.

12

2.6 Altitude

Les informations relatives à la répartition en altitude des espèces sont incomplètes pour près de 20% des espèces étudiées dans PROTA 7(1). Pour ce qui est du reste, 41% sont limitées à des altitudes inférieures à 1000 m, tandis que 59% se rencontrent à des altitudes supérieures à 1000 m.

Certaines essences à bois d’œuvre se rencontrent jusqu’à 4000 m d’altitude, mais alors, dans cette partie supérieure de leur répartition, elles se caractérisent par un fût rabougri et de petite taille, ce qui les rend impropres à la commercialisation. Cependant, plusieurs d’entre elles sont des espèces importantes des hautes terres jusqu’à 2500(–3000) m, y compris certaines résineux comme le bois jaune (Afrocarpus falcatus), Podocarpus latifolius et le cyprès du Portugal introduit (Cupressus lusitanica), sans oublier des feuillus comme Pouteria adolfi-friedericii.

Toutefois, la majorité des bois d’œuvre commerciaux proviennent des forêts de basse altitude d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale, où se trouvent les forêts les plus étendues et où la récolte et le transport des grumes est souvent plus facile que dans les zones d’altitude.

2.7 Propriétés du bois

Les propriétés du bois ont une énorme incidence sur les usages qui en sont faits. Ainsi, le bois qui devra rester en contact avec le sol, pour la construction d’habitations par exemple, doit-il être durable, alors que celui qui est employé en construction nautique, doit plutôt être léger et assez durable dans l’eau. Il existe une étroite corrélation entre densité, durabilité et dureté du bois. En général, un bois lourd est à la fois durable et dur. Malgré tout, il y a des exceptions : par exemple, les bois dont la durabilité est renforcée par la présence de composés qui éloignent les insectes, comme le genévrier d’Afrique (Juniperus procera), dont le bois moyennement léger résiste aux termites grâce à la présence de cédrol. Par ailleurs, il existe d’autres espèces comme Cassipourea ruwensoriensis et le bois patte poule (Vepris lanceolata), qui produisent un bois lourd réputé non durable. Notons à ce propos que l’on peut améliorer la faible durabilité de nombreux bois légers par des traitements de conservation, même si ces opérations peuvent s’avérer difficiles.

Pour 206 (75%) des 280 essences à bois d’œuvre abordées dans PROTA 7(1), des informations relatives à la densité du bois sont données. Seuls 10% de ces espèces produisent un bois léger (défini comme (presque) toujours inférieur à 500 kg/m3 à 12% d’humidité). Parmi elles, plusieurs essences importantes d’un point de vue commercial: l’émien (Alstonia spp.), l’ako (Antiaris toxicaria), l’okoumé (Aucoumea klaineana), le fromager (Ceiba pentandra) et l’ayous (Triplochiton scleroxylon), toutes étant très utilisées en tant que bois de construction pour les applications intérieures, et pour la production de placages et de contreplaqué.

13Vue d’ensemble

Près de 22% des essences à bois d’œuvre dont la densité est connue peuvent être classées comme ayant un bois lourd (défini comme (presque) toujours supérieur à 800 kg/m3 à 12% d’humidité). Parmi elles, quelques bois commerciaux: le moabi (Baillonella toxisperma), le katrafay (Cedrelopsis grevei) et la grenadille d’Afrique (Dalbergia melanoxylon), qui ont des utilisations particulières pour lesquelles la durabilité est indispensable, et qui sont utilisés en décoration.

Les essences à bois d’œuvre moyennement lourdes (définies comme (presque) toujours égales à 500–800 kg/m3 à 12% d’humidité) représentent le groupe le plus important, environ 40% des espèces dont la densité est connue. Parmi elles, de nombreuses essences non négligeables d’un point de vue commercial: l’ozigo (Dacryodes buettneri), les acajous d’Afrique (Entandrophragma and Khaya spp.), le bossé (Guarea spp.), le niangon (Heritiera utilis), le bété (Mansonia altissima), l’iroko (Milicia spp.), l’afrormosia (Pericopsis elata), le dabéma (Piptadeniastrum africanum), l’aningré (Pouteria spp.), le padouk d’Afrique (Pterocarpus soyauxii), le teck (Tectona grandis), le douka (Tieghemella africana) et le makoré (Tieghemella heckelii).

Les 28% restants ne peuvent être classés dans ces trois catégories car la densité de leur bois se trouve en deux catégories.

14

15Vue d’ensemble

3. Technologies candidates

Ce chapitre rend compte des interventions cruciales, désignées ici comme “technologies candidates”, préconisées par les acteurs de la filière comme étant indispensables à l’amélioration de la production de bois d’œuvre en Afrique tropicale. A ce propos, les technologies candidates portent sur le travail de plusieurs vulgarisateurs et autres intervenants du secteur des arbres ou de la foresterie en Afrique. Ces technologies sont prêtes à être mises en œuvre sur des parcelles expérimentales, notamment dans les programmes de formation ou à être essayées à la ferme. Leur objectif étant d’améliorer la diffusion des connaissances relatives à la plantation d’arbres, la productivité et la rentabilité des essences à bois d’œuvre afin de lutter contre la pauvreté et d’améliorer les conditions de vie des populations rurales. Les technologies candidates, telles qu’elles ont été définies pour chaque espèce (chapitre 10), sont examinées ci-dessous en thèmes technologiques.

3.1 Des arbres à usages multiples

L’attrait pour la production commerciale d’arbres est faible car celle-ci demande énormément de temps. Or, les petits agriculteurs, qui sont majoritaires en Afrique, sont davantage préoccupés par la production alimentaire. Il n’est donc guère surprenant que les sujets les plus couramment abordés concernant les technologies candidates tournent autour de la polyvalence des arbres. Les arbres, qui sont source de profits et qui fournissent en même temps du bois d’œuvre, sont intéressants pour les populations rurales et leur culture pourraient être encouragée. Parmi eux:• Pterocarpus angolensis, essence à bois d’œuvre commerciale très prisée dont les

sous-produits (copeaux, sciure, écorce) servent à fabriquer une teinture et des produits médicinaux;

• le bois jaune (Afrocarpus falcatus), essence à bois d’œuvre très appréciée, qui est une source de graines comestibles et de remèdes traditionnels;

• le moabi (Baillonella toxisperma) qui produit un bois d’œuvre excellent, et dont la graine donne une huile végétale précieuse elle aussi;

• l’abricotier d’Afrique (Mammea africana) qui pourrait avoir plus d’avenir non pas comme bois d’œuvre, mais en tant qu’arbre fruitier;

• le bois de l’arbre de corail d’Abyssinie (Erythrina abyssinica) qui est utilisé couramment, mais cette espèce est également recommandée comme arbre d’ombrage dans les plantations de café, pour améliorer la fertilité des sols, lutter contre l’érosion et comme engrais vert;

• Acacia robusta qui peut être planté comme arbre ornemental des jardins.

Parmi les essences à bois d’œuvre qui ont plusieurs usages secondaires importants, certaines pourraient voir leur culture encouragée et devenir polyvalentes, notamment le fromager (Ceiba pentandra), le petit sycomore (Ficus sur), le greuvier (Grewia bicolor) et le prunier noir (Vitex doniana).

16

3.2 Plantation et domestication

Si la plantation d’arbres fournit aux agriculteurs du bois d’œuvre mais leur assure également d’autres avantages, elle a cependant souvent été mise en cause par la structure agraire et la propriété des arbres existant dans bien des régions d’Afrique. Il faut à tout prix que les agents de vulgarisation tiennent compte de ces paramètres qui peuvent empêcher les agriculteurs de planter des arbres et qu’au contraire ils travaillent main dans la main avec eux pour influencer ces droits tout en encourageant la plantation d’arbres.

Les recherches menées en agroforesterie montrent qu’il faut “planter le bon arbre au bon endroit” et que certaines essences sont faites pour être plantées à certains endroits en particulier. Même si les agriculteurs n’ignorent rien de tout cela, ils manquent souvent des informations nécessaires pour faire les bons choix. Il est du devoir des vulgarisateurs de les informer des besoins, des avantages et des inconvénients des espèces et des provenances. Parmi les exemples mis en lumière par les intervenants du secteur, figurent:• le teck (Tectona grandis) et l’ayous (Triplochiton scleroxylon), dont la culture

peut être encouragée dans un système de cultures intercalaires suivant la méthode taungya. En outre, les plantations clonales de l’ayous qui reposent sur du matériel génétique supérieur permettraient d’accroître la production de bois d’œuvre;

• la culture du manil marécage (Symphonia globulifera) pourrait être encouragée dans le cadre de plantations de bassins versants;

• le noyer d’Afrique (Lovoa trichilioides) convient très bien à une plantation d’enrichissement de la forêt.

Des essences diverses sont adaptées à des conditions écologiques variées. Par exemple, en zone sèche, on pourrait conseiller aux agriculteurs de planter de l’ébénier jaune (Dalbergia sissoo) ou du Pouteria alnifolia, alors que l’eucalyptus rouge (Eucalyptus robusta) semble plutôt avoir de l’avenir en zones humides et que la culture d’Entandrophragma excelsum pourrait être favorisée dans les zones d’altitude spécifiquement.

3.3 Exploitation durable des arbres

Les essences forestières à petit fût tel que Millettia richardiana et Pleiocarpa pycnantha jouent un rôle limité sur le marché international, mais leur culture pourrait être encouragée en vue d’usages locaux comme les poteaux et les piquets. Au nombre des caractéristiques qui rendent une essence impropre au marché international, citons un fût sinueux et cannelé comme celui de Trichilia prieureana. Nesogordonia holtzii est tout indiqué pour l’industrie locale du meuble et Valiha diffusa, un bambou, est utile en tant que matériau de construction légère. On sait peu de choses sur l’étendue de l’usage d’espèces comme Beilschmiedia spp., le bambou géant (Cathariostachys madagascariensis) et le dabema noir (Aubrevillea platycarpa),

17Vue d’ensemble

mais étant au moins communs localement, leur culture peut être encouragée en vue de divers usages locaux.

La production commerciale de bois d’œuvre est une source de revenus pour le développement rural et pour l’amélioration des conditions de vie. Des espèces comme Albizia gummifera et Albizia zygia pourraient être promises à un bel avenir pour la production commerciale de bois d’œuvre issu de forêts aménagées durablement. Si l’on encourageait la production de bois du faux néré (Parkia bicolor), cela permettrait d’alléger la demande de bois d’œuvre dans des zones où les essences à bois d’œuvre commercial sont désormais épuisées.

3.4 Succédanés

Les bois d’œuvre qui ont une grande valeur commerciale, comme les acajous d’Afrique (Entandrophragma et Khaya spp.), l’iroko (Milicia spp.), le niangon (Heritiera utilis) et Pterocarpus angolensis, sont souvent surexploités dans leur milieu naturel. La conservation de ces espèces nécessite de nombreuses stratégies, dont le recours à des succédanés. Les intervenants ont recensé des essences à bois d’œuvre sous-employées dont la culture pourrait être favorisée et qui pourraient ainsi remplacer des espèces surexploitées, comme notamment: • l’émien (Alstonia boonei) et le fromager (Ceiba pentandra), qui pourraient

remplacer l’ayous (Triplochiton scleroxylon) en tant que source de bois léger;• le cèdre épicé (Beilschmiedia mannii) qui pourrait être utilisé à la place du bossé

(Guarea spp.);• Pterocarpus tinctorius à la place de Pterocarpus angolensis;• l’ozigo (Dacryodes buettneri) à la place de l’okoumé (Aucoumea klaineana) pour la

production de contreplaqué;• l’iroko (Milicia spp.), exploité de manière non durable et dont le bois d’œuvre

devrait être remplacé dans le commerce, au moins en partie, par du bois similaire issu de plantations, en particulier du teck (Tectona grandis).

3.5 Matériel de vulgarisation

Il y a lieu d’élaborer et de diffuser du matériel de vulgarisation sur les bois d’œuvre d’Afrique tropicale. Il doit être clair, concis et rédigé de préférence dans la langue vernaculaire des sylviculteurs et des forestiers locaux pour leur être utile. Il peut s’agir de prospectus, d’affiches, de fiches, de guides pour la culture et l’après-récolte, de diapositives et de vidéos.

Quant aux informations relatives aux essences à bois d’œuvre qui requièrent des techniques spécifiques de plantation, de multiplication ou de gestion ou une protection particulière contre les ravageurs, elles peuvent facilement être présentées dans un manuel de culture. Ces informations sont non seulement vitales pour la mise en place des grandes plantations, mais sont aussi très utiles pour les petits exploitants agricoles. Parmi les espèces qui nécessitent des manuels de

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culture, figurent des bambous comme le bambou commun (Bambusa vulgaris) et Oxytenanthera abyssinica, des arbres exotiques comme Eucalyptus et Pinus spp., et de précieuses essences à bois d’œuvre indigènes comme le camphrier (Ocotea usambarensis) et le makoré (Tieghemella heckelii).

Les manuels qui concernent les traitements après-récolte sont indispensables pour limiter les pertes et accroître les rendements. Les grumes d’espèces telles que l’aningré (Pouteria altissima et Pouteria aningeri) et Quassia undulata doivent être débardées le plus rapidement possible après la coupe ou bien traitées immédiatement avec des produits de conservation car elles sont sujettes au bleuissement. Il faut indiquer aux agriculteurs comment manipuler après la récolte les graines d’Albizia glaberrima et de teck (Tectona grandis) et les tiges de bambous précieux comme le bambou creux (Sinarundinaria alpina), et leur donner des directives complémentaires sur la façon de réduire les déchets lors du traitement du bois qui provoquent de faibles taux de récupération, comme pour l’aningré blanc (Pouteria altissima).

19lacunes du déVeloppement

4. Lacunes du développement

L’investissement du secteur privé (entreprises locales, nationales et internationales) est indispensable à la mise en valeur d’une filière bois florissante en Afrique tropicale. Ce chapitre met l’accent sur les possibilités d’intervention du secteur privé définies par les intervenants de la filière africaine des bois. Les lacunes du développement correspondent en général à des innovations discrètes et commercialisables et représentent des étapes finales de recherche qui sont attrayantes pour le secteur privé. Des activités, telles que l’exploitation, dont se chargent des sociétés privées peuvent avoir des répercussions environnementales catastrophiques si elles ne sont pas menées dans un souci de durabilité. Le secteur privé, au même titre que n’importe quel utilisateur de ressources naturelles, a l’obligation d’utiliser les arbres et les produits qui en sont issus de manière durable tout en réduisant au minimum les actions qui pourraient avoir des conséquences funestes sur l’environnement comme le changement climatique. Les parties prenantes ont souligné le besoin de “gestion” par le secteur privé, en d’autres termes d’innovations comme la gestion de l’arbre qui garantit la production durable de biens et de services dérivés des arbres. Les lacunes du développement qui ont été recensées (chapitre 10) sont classées ci-après en quatre grandes catégories.

4.1 Extraction, valorisation et distribution / commercialisation des produits

Les industries locales de transformation de bois d’œuvre ou de produits non bois ont un rôle important à jouer pour améliorer la qualité et renforcer l’accessibilité, la compétitivité et la rentabilité de ces produits sur le marché international. Qui plus est, la transformation sur place crée des emplois et stimule le développement des pays africains. Cependant, l’Afrique doit encore réellement exploiter les gains engendrés par la transformation locale des produits bois ou non bois.

L’exportation de grumes non débitées est une pratique encore courante dans la filière africaine du bois. Actuellement en Afrique, ce sont surtout les grandes entreprises multinationales, dont beaucoup sont sous contrôle étranger, qui ont accès aux équipements de transformation du bois, mais les petits producteurs de bois d’œuvre n’en ont guère. Les exploitants qui utilisent la scie à chaîne, dont beaucoup opèrent de manière illégale, restent les principaux fournisseurs de bois d’œuvre des marchés locaux dans de nombreuses parties de l’Afrique, mais leurs méthodes et leur matériel entraînent un gaspillage considérable de bois. Parmi les essences à bois d’œuvre qui réclament que l’on s’intéresse à elles d’urgence si l’on souhaite améliorer la qualité des produits grâce à l’amélioration des techniques de transformation du bois, figure l’aningré (Pouteria spp.), qui permettrait d’améliorer le rendement et la qualité du placage. Il faut aménager les possibilités qu’offre l’okan (Cylicodiscus gabunensis), qui est peut-être sous-employé. Les cadres de transformation et de commercialisation du bambou creux (Sinarundinaria alpina) doivent être développés.

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La mise en valeur et la commercialisation de produits non bois mais issus d’essences à bois d’œuvre valorisent l’arbre en tant que ressource pour les exploitants ou les propriétaires forestiers. Voici quelques exemples de produits issus d’essences à bois d’œuvre qui sont étudiés dans PROTA 7(1): Bois d’œuvre 1 et qui nécessitent une valeur ajoutée et une meilleure commercialisation:

• Gommes: amélioration de la qualité et de la quantité de gomme produite par Albizia zygia et par l’acajou à grandes feuilles (Khaya grandifoliola);

• Huiles: commercialisation de la production d’huile de vintanina (Calophyllum inophyllum) et d’Eucalyptus spp., et de la matière grasse de douka (Tieghemella africana);

• Fruits: commercialisation, valorisation et renforcement de la production de fruits de Dacryodes spp.;

• Médicaments / remèdes: amélioration de la commercialisation d’extraits d’écorce d’émien (Alstonia spp.) à des fins médicinales et mise en valeur de l’huile de graines de Pterocarpus osun destinée aux produits de soins pour la peau.

4.2 Sources de matériel végétal

L’accès à un matériel végétal (semences et plants) de qualité demeure un obstacle à l’exploitation de bois d’œuvre par les agriculteurs d’Afrique. Certes, ils peuvent récolter les graines en forêt naturelle ou sur les arbres adultes qui se trouvent sur leur ferme, mais les connaissances concernant la collecte et la qualité des semences leur font défaut. C’est grâce à des cultivars améliorés et à de bonnes pratiques sylvicoles que l’on peut relever la productivité et faire progresser la qualité des bois d’œuvre, notamment d’espèces exotiques comme Eucalyptus spp. et des pins (Pinus spp.). La vente de jeunes plants d’arbres d’une qualité douteuse est une pratique courante sur le bord des routes des grands centres urbains d’Afrique. Tant que le commerce de matériel végétal ne sera pas réglementé, les forestiers ne pourront être assurés de la qualité de leurs plants.

C’est pourquoi le rôle du secteur privé est capital car, c’est en fournissant un matériel végétal de qualité qu’il permettra de créer une filière bois solide en Afrique. On prévoit une augmentation sensible de la demande de matériel végétal supérieur pour Eucalyptus cloeziana, Eucalyptus viminalis, Newtonia buchananii et pour le camphrier (Ocotea usambarensis).

4.3 Sélection et fourniture de provenances supérieures

Les programmes d’amélioration génétique forestière sont onéreux et la rentabilité économique des arbres risque de ne pas justifier les dépenses engagées dans ces programmes. Ce qui explique que la sélection et l’amélioration génétique n’attirent guère le secteur privé, surtout si son objectif est, à terme, d’accroître le plus possible les bénéfices. Pourtant, le secteur privé peut se charger d’opérations simples de sélection et de gestion de concert avec des agriculteurs et d’autres intervenants dans

21lacunes du déVeloppement

des domaines où des recherches ont déjà été entreprises. Par exemple, la sélection de caractères supérieurs comme l’amélioration du rendement en bois d’œuvre du pin argenté (Pinus patula), des fruits supérieurs pour l’abricotier d’Afrique (Mammea africana), des provenances visant une productivité et une polyvalence renforcées d’Eucalyptus spp., et des ressources génétiques supérieures permettant d’obtenir une croissance et une qualité de bois optimales de l’ayous (Triplochiton scleroxylon).

4.4 Gestion

Il s’agit des méthodes culturales telles que l’épandage d’engrais et l’élagage. On aborde ici des pratiques actuelles ou des recommandations généralisées ; nous avons fait le choix d’une présentation générale sans entrer dans le détail des recommandations adaptées aux conditions locales extrêmement variées que rencontrent les agriculteurs.

Au nombre des arbres qui doivent être conduits dans un souci de durabilité, figurent des essences dont le bois d’œuvre est particulièrement prisé, et qui sont aussi souvent les plus exploitées. Parmi elles, les Dalbergia spp. et le sapelli (Entandrophragma cylindricum). L’exploitation durable est également primordiale pour les espèces qui font partie d’écosystèmes menacés, comme le palétuvier blanc (Avicennia marina) dans les mangroves.

Certaines espèces ont un usage particulier ou bien constituent la principale source de bois destiné à une utilisation bien précise. Dans ce cas, elles sont souvent récoltées même si elles sont menacées, car il n’existe pas de succédanés ou si peu. Parmi les exemples d’essences qui nécessitent de toute urgence des mesures de gestion destinées à la production de produits spécifiques en bois, citons Dalbergia spp. à Madagascar, dont le bois est très demandé pour la confection d’instruments de musique, mais aussi la grenadille d’Afrique (Dalbergia melanoxylon), qui est l’un des bois les plus prisés par les sculpteurs sur bois et les artistes en Afrique continentale tropicale.

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23lacunes de la recherche

lacunes de la recherche

5. Lacunes de la recherche

Les chercheurs ont un rôle crucial à jouer dans la mise en place d’une filière bois durable en Afrique tropicale. Les intervenants de la filière ont recensé des lacunes de recherche pour plus de 85% des 280 essences à bois d’œuvre abordées dans PROTA 7(1), ce qui laisse entrevoir l’énorme travail de recherche qui reste à faire dans ce domaine en Afrique. De nombreuses espèces font toutefois l’objet de recherches entreprises dans le cadre des initiatives nationales et régionales, par des universités et par les centres du GCRAI comme le CIFOR et l’ICRAF. Ces lacunes de la recherche (chapitre 10) concernent une large gamme de sujets.

5.1 Exploitation durable

La productivité à venir passe par l’exploitation durable des essences à bois d’œuvre africaines. La recherche doit étudier des méthodes de récolte durables pour les espèces qui sont classées comme menacées par la Liste rouge de l’UICN (comme Dalbergia chlorocarpa) ou d’autres accords de conservation tels que le CITES (comme l’afrormosia, Pericopsis elata). La grenadille d’Afrique (Dalbergia melanoxylon) fournit l’un des bois d’œuvre les plus appréciés d’un point de vue économique et culturel, mais devant la baisse du nombre d’arbres adultes et le recul de leur répartition, il serait particulièrement souhaitable que la recherche étudie des techniques de récolte durables, de même que des méthodes de production durable du wengé (Millettia laurentii), qui est menacé par la surexploitation destinée au marché international. Il faut gérer des peuplements naturels de Baphia kirkii, qui est un exemple de source importante de bois d’œuvre local, dans un souci de durabilité.

Certaines essences sont menacées par l’exploitation de certaines parties spécifiques, notamment à des fins médicinales, comme c’est le cas de l’écorce et des racines de Pericopsis angolensis, de l’écorce du camphrier (Ocotea usambarensis) et de Trichilia monadelpha.

5.2 Inventaire, évaluation et cartographie des ressources forestières

Pour la conservation et la production durable de bois d’œuvre, il y a lieu de déterminer quelles quantités d’une certaine espèce sont récoltées tant légalement qu’illégalement, et quelles quantités subsistent. Il faut recourir, dans la plupart des régions d’Afrique, aux outils de la recherche avancée qui permettent de cartographier et de modéliser et dont les indicateurs analytiques et visuels peuvent être exploités pour évaluer et contrôler les ressources forestières.

Les essences forestières qui nécessitent de la recherche dans ce domaine sont celles qui sont particulièrement prisées comme la grenadille d’Afrique (Dalbergia melanoxylon) et le tiama (Entandrophragma angolense), ainsi que celles dont la répartition est limitée et dont les usages sont mal définis comme Dacryodes normandii et Dacryodes pubescens.

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5.3 Usages autres que le bois d’œuvre

Les chercheurs doivent se pencher sur les arbres qui ont des usages et des emplois variés et qui fournissent autre chose que du bois d’œuvre. Citons l’usage éventuel d’Eucalyptus spp. pour la production d’huile essentielle, la production éventuelle de gomme de Sterculia quinqueloba, les propriétés nutritionnelles des fruits de Dacryodes, de Mimusops, de Parkia filicoidea et de Synsepalum, et les propriétés nutritionnelles des graines d’Odyendyea gabonensis.

Nombreux sont les arbres dont l’écorce notamment, mais aussi bien d’autres parties, fournissent des remèdes traditionnels. Parmi les essences à bois d’œuvre qui méritent que la recherche étudie les possibilités qu’elles offrent pour la mise au point de médicaments, citons entre autres Albizia spp., Alstonia spp., Ekebergia capensis, l’arbre de corail d’Abyssinie (Erythrina abyssinica), Eucalyptus spp. dont l’huile possède des vertus médicinales, le petit sycomore (Ficus sur), l’acajou à grandes feuilles (Khaya grandifoliola), l’acajou du Sénégal (Khaya senegalensis), le bois d’or (Millettia versicolor), le camphrier (Ocotea usambarensis), Pericopsis angolensis, le dabéma (Piptadeniastrum africanum), Pseudocedrela kotschyi, le vène (Pterocarpus erinaceus), Quassia undulata, Trichilia monadelpha, Vepris nobilis, le prunier noir (Vitex doniana), Xeroderris stuhlmannii et l’olon (Zanthoxylum spp.).

5.4 Elaboration de produits

Un certain nombre d’essences à bois d’œuvre africaines sont sous-exploitées et mériteraient que la recherche se penche sur les débouchés qu’elles pourraient avoir sur le marché international. Les chercheurs devraient s’intéresser notamment à la mise au point de produits, à la production de produits en bois adaptés et à l’économie de la production de produits non bois. Par exemple, les possibilités économiques de la production de placage et de contreplaqué à partir du faux néré (Parkia bicolor) et de produits tinctoriaux et médicinaux à partir de Pterocarpus angolensis et du padouk d’Afrique (Pterocarpus soyauxii) sont encore peu explorées. Amphimas ferrugineus et Amphimas pterocarpoides sont des exemples d’espèces sous-exploitées qui pourraient avoir un avenir en tant que bois d’œuvre commerciaux.

5.5 Taxinomie

La recherche taxinomique sur les essences à bois d’œuvre est fondamentale si l’on veut établir des rapports corrects entre des informations et des espèces. Les analyses moléculaires ayant montré qu’Albizia était hétérogène, une révision du genre s’impose. C’est aussi le cas de Millettia, qui pourrait éventuellement être divisé en plusieurs genres. Des recherches bio-systématiques sont nécessaires pour déterminer au juste si les différences observées entre le bossé foncé (Guarea thompsonii) et Guarea laurentii justifient qu’elles restent deux espèces distinctes.

25lacunes de la recherche

lacunes de la recherche

5.6 Caractéristiques de croissance

Qui veut mener une exploitation durable, doit comprendre au préalable les caractéristiques de croissance des essences à bois d’œuvre, en d’autres termes leurs exigences de croissance, leurs taux de croissance et le développement des arbres sous l’angle des conditions de croissance.

La recherche doit de toute urgence déterminer les taux et les modèles de croissance de plusieurs essences à bois d’œuvre, notamment les indigènes, dont Chrysophyllum spp., l’ozigo (Dacryodes buettneri), Dalbergia spp. et Ocotea spp. Il convient d’établir par quel moyen les taux de croissance du pin d’Elliott (Pinus elliottii), une essence exotique, peuvent être augmentés. Les exigences de croissance d’Albizia adianthifolia et du padouk d’Afrique (Pterocarpus soyauxii) ne sont pas bien comprises. Certaines espèces qui produisent un bois de qualité ont tendance à avoir des fûts courts et mal formés, ce qui fait s’effondrer la production commerciale de bois d’œuvre. Parmi elles: Albizia adianthifolia et l’avodiré (Turraeanthus africanus). La recherche pourrait vaincre cet inconvénient grâce à la manipulation physiologique des arbres et de leurs conditions de croissance, par exemple.

5.7 Ecologie

Dans le cadre d’une recherche élargie, on sait encore très peu de choses sur l’écologie de nombreuses espèces sauvages telles qu’Albizia boivinii, Amphimas pterocarpoides, le dabema noir (Aubrevillea platycarpa), le miama (Calpocalyx heitzii), le bambou géant (Cathariostachys madagascariensis) et le faux néré (Parkia bicolor). Or, nous devons connaître ces exigences écologiques pour savoir quelles essences utiliser dans les programmes de plantation destinés à venir à bout des problèmes provoqués par les stress écologiques dus au changement climatique. Les chercheurs doivent étudier les effets des conditions écologiques sur les propriétés du bois de Vitex fischeri s’ils souhaitent optimiser la production de bois d’œuvre dans les plantations.

5.8 Régénération naturelle

La régénération naturelle fluctue énormément d’une espèce à l’autre. La germination des graines et la survie et la croissance des semis sont influencées par la présence ou l’absence de clairières dans la forêt, mais peuvent dépendre également de la présence ou de l’absence d’animaux, comme pour l’abricotier d’Afrique (Mammea africana) et Tieghemella spp., dont la régénération est fortement tributaire des éléphants qui servent à disséminer les graines. Parmi les espèces qui nécessitent que des recherches supplémentaires soient menées dans le domaine de la régénération en général, figurent Khaya spp., le wengé (Millettia laurentii) et le panga panga (Millettia stuhlmannii), Quivisianthe papinae, Vitex grandifolia et Vitex micrantha.

5.9 Domestication, plantation et sylviculture

Moins d’un tiers des 280 essences à bois d’œuvre étudiées sont cultivées. Les deux tiers restants sont récoltés dans la nature. La plantation d’essences à bois d’œuvre renforce

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la disponibilité et la durabilité du bois d’œuvre et la conservation d’espèces menacées. Les intervenants de la filière ont précisé qu’il fallait étudier la mise en place d’essences à bois d’œuvre dans les plantations et mener des essais de plantation. En effet, il y a lieu d’étudier la mise en place de plantations et la conduite d’essences de feuillus très demandées comme Pterocarpus angolensis, et d’espèces menacées ou vulnérables comme Dalbergia madagascariensis et Beilschmiedia ugandensis. Des essais de plantation d’Adenanthera mantaroa, espèce peu connue et endémique de Madagascar, doivent être menés pour alléger la pression qui pèse sur les peuplements sauvages. Au chapitre des espèces prioritaires qui devraient faire l’objet d’études de domestication en Afrique, on peut citer notamment Albizia altissima, Beilschmiedia oblongifolia, l’abam (Chrysophyllum lacourtianum) et Dacryodes igaganga. Il convient d’élaborer des protocoles de domestication pour les espèces surexploitées qui, à terme, pourraient être menacées comme le katrafay (Cedrelopsis grevei).

Pour la plupart des essences à bois d’œuvre d’Afrique tropicale, la sylviculture n’est pas bien comprise. Il est recommandé d’entreprendre des recherches sylvicoles sur les arbres produisant un bois de qualité supérieure comme le coing de Chine (Mimusops elengi) et le bois jaune (Afrocarpus falcatus) ; quant aux espèces dont la sylviculture est maîtrisée comme le teck (Tectona grandis), il faut poursuivre les travaux de recherches sur la sylviculture clonale. Il faut étudier les techniques de culture d’Oreobambos buchwaldii, qui est l’un des rares bambous indigènes d’Afrique.

5.10 Agroforesterie

Les agriculteurs ont tout intérêt à mélanger les arbres et les cultures ou du bétail dans les systèmes agroforestiers. En effet, les arbres donnent non seulement de l’ombre, mais ils peuvent aussi être plantés pour améliorer le sol et pour fournir divers produits non bois. En plantations agroforestières, nombreux sont les arbres qui ont de multiples usages. Les lacunes de la recherche concernant l’usage d’essences à bois d’œuvre dans les systèmes agroforestiers ont été détectées pour Albizia spp., Duboscia macrocarpa, Ekebergia capensis et Entandrophragma spp.

5.11 Maladies et ravageurs

La protection des essences à bois d’œuvre contre les maladies et les ravageurs reste un défi à relever. Pterocarpus angolensis souffre périodiquement d’une maladie cryptogamique mal connue. Les semis d’afrormosia (Pericopsis elata) sont attaqués par la pyrale Lamprosema lateritialis, et les graines d’Albizia schimperiana sont souvent la proie des insectes. La lutte intégrée, qui fait appel à des interventions complémentaires pour éradiquer maladies et ravageurs, manque pour la plupart des essences à bois d’œuvre. Les chercheurs doivent trouver sans délai des méthodes efficaces de lutte intégrée pour les Meliaceae, comme le cèdre acajou (Cedrela odorata), Entandrophragma spp. et Khaya spp., contre le foreur des pousses Hypsipyla, pour le cyprès du Portugal (Cupressus lusitanica) contre le puceron du

27lacunes de la recherche

lacunes de la recherche

cyprès (Cinara cupressi), pour le wengé (Millettia laurentii) contre les chenilles de Rhopalocampta libeon, et pour Eucalyptus spp. contre le charançon de l’eucalyptus (Gonipterus scutellatus).

5.12 Amélioration génétique de l’arbre

L’amélioration forestière passe par la sélection et l’amélioration génétique qui permettent d’obtenir les différents caractères désirés. Au nombre des exemples de lacunes de la recherche, citons la sélection et l’amélioration génétique pour la résistance au ravageurs du cyprès du Portugal (Cupressus lusitanica) et des Khaya spp., la résistance aux maladies du pin de Monterey (Pinus radiata), la rapidité de croissance du moabi (Baillonella toxisperma) et la production optimale de bois d’œuvre d’Albizia adianthifolia. La variation génétique du bois jaune (Afrocarpus falcatus) et des Dalbergia spp. doit être étudiée. Des essais de provenance sont recommandés pour les essences exotiques telles que le cèdre acajou (Cedrela odorata), Chukrasia tabularis et Eucalyptus spp. afin d’identifier des génotypes adaptés aux conditions locales.

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29sujets de thèses

6. Sujets de thèses

Les étudiants de troisième cycle en Afrique contribuent utilement aux besoins de la recherche examinés au chapitre 5 grâce à leurs thèses et à leurs mémoires. Il faut souligner que ce sont les étudiants de licence et de maîtrise qui se chargent de la plupart des travaux de thèses. Leurs travaux ne sont pas publiés dans des journaux évalués par leurs pairs et constituent ainsi une “littérature grise”. D’autre part, les travaux de doctorat réalisés par des étudiants ou des organismes africains sont relativement rares. Les intervenants ont recensé des sujets de thèses qui pourraient être classés grosso modo en six axes de recherche.

6.1 Inventaire et étude

Bien que l’inventaire, l’évaluation et la cartographie des ressources forestières rentrent largement dans le cadre des sujets de recherche (voir chapitre 5) car ils demandent énormément de temps, les étudiants de deuxième et troisième cycle pourraient se charger des simples inventaires et des enquêtes socio-économiques, ou bien ils pourraient utiliser les données existantes. Dans ce cadre, ils pourraient réaliser notamment des enquêtes socio-économiques sur le bambou commun (Bambusa vulgaris), des enquêtes concernant la demande de bambou creux (Sinarundinaria alpina) par le secteur des fibres, ainsi qu’un inventaire des usages d’Albizia aylmeri. Des modèles d’exploitation durable d’afrormosia (Pericopsis elata) pourraient être élaborés.

6.2 Propriétés du bois

Pour de nombreux arbres africains dont le bois est utilisé sur place ou qui pourraient servir à produire du bois d’œuvre commercial, les propriétés du bois sont méconnues. C’est le cas par exemple de plusieurs espèces d’Albizia et de Cola. Il est fortement recommandé d’effectuer des essais sur les propriétés du bois de différentes provenances d’essences à bois d’œuvre plantées comme le cèdre acajou (Cedrela odorata), Eucalyptus viminalis et Pinus spp. Il est indispensable de disposer d’informations complémentaires sur les propriétés du bois par rapport à différents traitements sylvicoles du teck (Tectona grandis).

L’amélioration de la qualité du bois sur le marché passe souvent par des travaux de recherche sur la transformation, par exemple sur le séchage de Mammea africana, dont le bois est fréquemment soumis à des taux de retrait importants. Force est de disposer d’informations plus poussées sur les propriétés du bois si l’on veut définir quel bois est le mieux adapté à certaines destinations particulières. Ainsi de Ficus variifolia, qui pourrait avoir de l’avenir dans la production de contreplaqué sur une échelle plus commerciale. La variabilité du bois en matière de durabilité naturelle du difou (Morus mesozygia) reste mal comprise.

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6.3 Etudes sur la phytochimie, la toxicité et la sécurité

Les études qui sont recommandées sur la phytochimie des essences à bois d’œuvre ont un rapport avec leurs usages. Dans certains cas, il faut prendre des précautions au cours de l’usinage du bois à cause de la présence de composés allergènes, comme chez l’ako (Antiaris toxicaria) et le bété (Mansonia altissima). La recherche devrait se pencher davantage sur les propriétés insecticides du bois de Ptaeroxylon obliquum. Des études sur la toxicité et la sécurité d’extraits de tiges de Pterocarpus osun sont souhaitables pour élaborer des produits de soin pour la peau. De même que des études sur la toxicité de l’huile des graines du tiama (Entandrophragma angolense) et de Pterocarpus osun. Les études pharmacologiques d’espèces qui ont des usages médicinaux s’inspirent des recherches de la phytochimie, et les études phytochimiques préconisées recoupent énormément les propriétés médicinales découvertes dans le cadre des lacunes de la recherche.

6.4 Taxinomie

Voici quelques sujets de travaux sur la taxinomie qui pourraient être parfaits pour des thésards : ils pourraient par exemple distinguer clairement entre l’ogoué (Heritiera densiflora) et le niangon (Heritiera utilis) pour ce qui est des caractéristiques botaniques et des propriétés du bois, et préciser les limites entre l’oussogpalié à fleurs rouges (Erythrina vogelii) et Erythrina senegalensis. Albizia adianthifolia a une grande adaptabilité écologique et on pense qu’il existe différents écotypes, ce qui justifie des recherches plus poussées.

6.5 Croissance et développement

Certains aspects de la croissance des arbres sont plus rapides à étudier et conviennent donc mieux comme sujets de thèse. Voici quelques suggestions de projets pour les étudiants : rechercher les bonnes méthodes de traitement des graines d’Autranella congolensis pour lever la dormance, améliorer les taux de germination et accélérer la croissance des jeunes individus de Pterocarpus angolensis, et analyser le rôle des anastomoses de racines de l’okoumé (Aucoumea klaineana). Les étudiants peuvent également étudier les taux de croissance des arbres à croissance rapide ; par exemple, la plupart des Eucalyptus spp. ont un taux de croissance initiale élevé. Ils peuvent élaborer les modèles de croissance de ces espèces dans un laps de temps raisonnable.

6.6 Multiplication

Elle peut se faire par graine ou par matériel végétatif, les deux méthodes étant autant de sujets de recherches pour les étudiants. Des essais de germination et de conservation des semences de l’olon dur (Zanthoxylum gilletii), et des essais d’inoculation mycorhizienne des graines destinée à favoriser la mise en place des semis du sipo (Entandrophragma utile) peuvent être entrepris pendant une

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période relativement courte. L’élaboration de méthodes optimales de multiplication végétative s’impose de toute urgence pour l’acajou du Honduras (Swietenia macrophylla), Albizia gummifera et l’abricotier d’Afrique (Mammea africana). Broussonetia greveana exige que des recherches soient menées sur les techniques de multiplication par bouturage.

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33besoins de conserVation

7. Besoins de conservation

L’Afrique est connue pour sa riche biodiversité. Les forêts naturelles restent une source non négligeable de matériel de construction, de combustibles, de nourriture et de médicaments, et fournissent des emplois tant dans le secteur de l’écotourisme que dans celui de la transformation des produits de la forêt. Les forêts jouent un rôle écologique de premier plan: elles protègent les ressources en terre et en eau, assurent un milieu à la flore et à la faune sauvages et maintiennent la stabilité de la biosphère par rapport à l’équilibre en dioxyde de carbone. Cependant, les forêts africaines subissent une pression très forte due aux demandes massives de terres agricoles, de bois de feu et d’autres produits naturels qui émanent d’une population humaine en progression rapide. Les taux de déboisement sont très variables d’une région à l’autre; ils sont beaucoup plus élevés en Afrique occidentale qu’en Afrique centrale. C’est dans ces deux régions que se trouvent les forêts à canopée fermée, tandis que les forêts claires et les savanes herbeuses se rencontrent surtout en Afrique orientale et australe. Ce qui explique que les pays qui produisent du bois d’œuvre pour le marché international se trouvent principalement en Afrique occidentale et centrale. Le rôle que joue l’exploitation du bois d’œuvre dans le déboisement reste souvent obscur. Il dépend de l’intensité de l’exploitation, des méthodes d’abattage et des cycles de rotation, sans oublier qu’une meilleure accessibilité de la forêt après la coupe peut en accélérer la destruction. De nombreuses essences à bois d’œuvre sont menacées par la surexploitation. A ce propos, il faudrait se préoccuper en particulier de Madagascar, où de nombreuses essences endémiques sont menacées à cause du déboisement intense et de l’abattage sélectif.

Les initiatives qui ont pour but de sauvegarder les ressources forestières sont nécessaires pour garantir leur pérennité. L’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES) et le réseau de surveillance du commerce des espèces sauvages TRAFFIC sont d’importantes organisations internationales de conservation qui évaluent l’état de conservation des essences forestières ainsi que d’autres espèces végétales et animales. La Liste rouge établie par l’UICN dresse les degrés de menace suivants: préoccupation mineure, quasi menacée, vulnérable, en danger, en danger critique d’extinction, éteinte à l’état sauvage, éteinte.

Les intervenants de la filière bois ont trouvé qu’il existait des inquiétudes de conservation concernant de nombreuses essences à bois d’œuvre d’Afrique tropicale. En effet, beaucoup figurent déjà sur la Liste rouge de l’UICN et l’une d’elles, l’afrormosia (Pericopsis elata), est inscrite à l’Annexe II de la CITES, mais bien d’autres appellent également des mesures de conservation à cause d’événements récents ou de la surexploitation locale, comme le ramy (Canarium madagascariense) en Tanzanie, Fagaropsis angolensis en Ethiopie, le katrafay (Cedrelopsis grevei) et Dichrostachys myriophylla à Madagascar, et le grand natte (Mimusops maxima) à

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la Réunion et à Maurice. Quant à certaines espèces, comme Carpodiptera africana, on ne sait pas si elles sont touchées par l’érosion génétique. D’autres, peu connues, pourraient y être exposées en raison d’aires de répartition très réduites, comme c’est le cas par exemple de Dacryodes normandii.

Bien que la sauvegarde de la biodiversité soit axée sur la conservation in situ, la conservation ex situ peut être une garantie contre la perte d’une précieuse diversité génétique. La conservation in situ, qui consiste notamment à créer des zones forestières protégées, est déterminante pour les arbres à graines récalcitrantes qui ne peuvent être conservées longtemps dans des banques de graines. Au nombre des essences pour lesquelles une conservation in situ est recommandée figure l’iroko (Milicia excelsa et Milicia regia), l’acajou du Sénégal (Khaya senegalensis) et le padouk d’Afrique (Pterocarpus soyauxii). Quant au bois jaune (Afrocarpus falcatus), c’est un exemple d’espèce qui réclame une conservation à la fois in situ et ex situ. La conservation ex situ est déjà menée en Afrique du Sud et elle pourrait être élargie à l’Ethiopie et à la Tanzanie où le bois jaune est sous la menace de l’abattage sélectif.

Les intervenants ont défini la collecte et la conservation de ressources génétiques comme étant la principale intervention de conservation. C’est souvent le cas pour la sauvegarde d’espèces menacées, comme par exemple Oreobambos buchwaldii à cause de sa présence dispersée. Il en va de même du bambou creux (Sinarundinaria alpina) qui est lui aussi disséminé et dont il est recommandé de collecter les ressources génétiques pour bénéficier de sa variabilité géographique. Le principal défi à relever dans la conservation de ressources génétiques d’arbres est qu’il leur faut énormément de temps pour devenir adultes et produire des graines.

35mesures politiques

8. Mesures politiques

Des politiques saines d’utilisation et de conservation des arbres et des forêts sont indispensables au développement durable de la filière bois en Afrique. Encore récemment, de nombreux pays d’Afrique avaient recours à des politiques forestières surannées qui prônaient les coupes à blanc au profit des défrichements agricoles, entraînant la disparition du couvert forestier sur l’ensemble du continent. Une étude des politiques forestières est en cours dans la plupart des pays africains afin d’intégrer les dernières connaissances et pratiques qui permettraient d’encourager une sylviculture durable grâce notamment à une gestion forestière décentralisée, à la protection d’espèces menacées et à la démarcation des limites de la forêt. D’autres règles qui concernent les forêts et les arbres, par exemple celles qui fixent le statut de l’occupation des sols et l’utilisation des arbres, sont aussi actuellement modifiées dans de nombreuses parties du continent afin d’instituer des régimes fonciers exempts d’anomalies, dont la propriété des forêts et des arbres. La tâche la plus ardue à laquelle sont confrontés de nombreux pays d’Afrique est la mise en œuvre des mesures politiques qui se heurte à des cadres institutionnels précaires et à une absence de volonté politique. On ne saurait trop insister sur la nécessité de réformes et de mise en œuvre permanente des mesures politiques qui permettraient d’instaurer une filière bois durable en Afrique. Parmi ces mesures, citons par exemple la création de mesures de protection nationale des espèces menacées, de mesures destinées à lutter contre la disparition de milieux et contre les espèces envahissantes, de mesures concernant les programmes de plantation et de mesures en faveur du bambou.

8.1 Protection des espèces

Ce sont les caractéristiques des essences forestières, telles qu’une régénération naturelle médiocre, un taux de germination faible, la dormance des semences et une croissance lente nécessitant de longues révolutions, qui entravent l’exploitation durable. Les espèces qui présentent ces caractéristiques ont peu de chances d’être retenues pour la production commerciale de bois d’œuvre et il faudrait privilégier leur protection, comme c’est le cas par exemple de Dalbergia spp. et de Guarea spp. Concernant certaines essences à bois d’œuvre parmi les plus prisées d’Afrique tropicale, comme l’afrormosia (Pericopsis elata), les organisations de conservation internationales ont déjà pris conscience de la nécessité de les protéger, mais il n’en demeure pas moins qu’elles doivent encore prendre des mesures qui permettraient de favoriser l’utilisation et la gestion durable de plusieurs autres espèces très demandées sur le marché international des bois d’œuvre comme l’aningré (Pouteria spp.), l’ayous (Triplochiton scleroxylon) et le panga panga (Millettia stuhlmannii). Ces mesures de protection comprennent également la mise en place de méthodes durables d’exploitation de l’écorce à des fins médicinales, comme pour Alstonia spp. et Pseudocedrela kotschyi. Des mesures nationales de protection ou des législations sont souhaitables pour les espèces menacées dans certains pays, comme Oreobambos buchwaldii en Zambie, Oxytenanthera abyssinica en Guinée, Pouteria adolfi-friedericii en Ethiopie, Zanthoxylum davyi au Zimbabwe, le komonbélo (Cola laurifolia) au Sénégal et l’ozigo (Dacryodes buettneri) au Cameroun.

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8.2 Disparition des milieux

La disparition des milieux et leur dégradation sont des facteurs fondamentaux du déclin des ressources forestières d’Afrique tropicale. A essences forestières différentes, milieux différents. Les mesures et les législations qui sont destinées à protéger les milieux sauveraient de nombreuses essences à bois d’œuvre. Des espèces telles qu’Avicennia spp. et le bois de table (Heritiera littoralis) bénéficieraient de la protection des mangroves, de même que Neolemonniera clitandrifolia pourrait être protégé par la conservation de la forêt humide dense d’Afrique de l’Ouest ; d’autre part, la sauvegarde du milieu est capitale pour la protection de nombreuses essences forestières à Madagascar, dont Alantsilodendron villosum, Pongamiopsis pervilleana et Phylloxylon spp. Il est primordial que de vastes zones de forêt sempervirente et de forêt humide semi-décidue soient protégées car elles abritent de nombreuses essences à bois d’œuvre qui jouent un rôle commercial important. C’est dans les forêts de montagne que l’on trouve non seulement d’importantes espèces de résineux qui sont menacées telles que le bois jaune (Afrocarpus falcatus), le genévrier d’Afrique (Juniperus procera) et Podocarpus latifolius, mais aussi des bambous comme le bambou creux (Sinarundinaria alpina) et Oreobambos buchwaldii.

8.3 Espèces potentiellement envahissantes

Les espèces exotiques pouvant éventuellement devenir envahissantes, elles doivent faire l’objet d’un suivi dans les zones où elles sont plantées. C’est le cas de l’acacia à bois noir (Acacia melanoxylon) qui est devenu un envahisseur sérieux en Afrique du Sud, de l’ébénier jaune (Dalbergia sissoo) qui est classé comme une adventice indésirable en Australie, du balsa (Ochroma pyramidale) qui est un pionnier typique colonisant les clairières, et du pin à trois feuilles (Pinus kesiya) ainsi que du pin argenté (Pinus patula) qui peuvent être agressifs et adventices. Il convient également de surveiller le risque que représentent les plantations de gommier bleu (Eucalyptus globulus) pour les écosystèmes locaux en Afrique.

8.4 Plantation d’arbres

Les mesures prises en faveur des plantations d’arbres sont cruciales pour assurer la pérennité de la filière bois en Afrique. Voici les espèces indigènes africaines dont la culture pourrait être encouragée en vue de la mise en place de plantations de bois d’œuvre: Acacia galpinii en zone sèche et l’ako (Antiaris toxicaria) en zone humide. Il est recommandé de planter le tamarin des hauts (Acacia heterophylla) à la Réunion à cause de la valeur de son bois. Grâce à une sélection réfléchie des provenances, on peut encourager la culture de plusieurs essences exotiques en vue de plantations plus extensives, comme plusieurs Eucalyptus spp., dont chaque espèce convient à des conditions écologiques différentes, et le teck (Tectona grandis) qui, bien que notoirement connu, doit encore être promu comme essence de plantation par les communautés rurales.

37mesures politiques

8.5 Mesures politiques nationales en faveur des bambous

Le Réseau international sur les bambous et les rotins (INBAR) a évalué la production et la consommation de bambou dans plusieurs pays d’Afrique de l’Est. Il est ressorti de cette étude que son exploitation n’était assortie d’aucune réglementation ni d’aucun suivi efficace et que les mesures faisaient défaut. L’évaluation portait essentiellement sur le bambou creux (Sinarundinaria alpina), mais ses conclusions valent également pour d’autres bambous indigènes d’Afrique et pour les bambous exotiques comme le bambou commun (Bambusa vulgaris).

38

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9. Données comparatives sur 280 essences à bois d’œuvre importantes d’Afrique

Légende

Région Répartition en Afrique tropicale (voir carte PROTA) C: Afrique centrale E: Afrique de l’Est I: Îles de l’océan Indien A: Afrique australe O: Afrique de l’Ouest

Usages secondaires Usages correspondant aux autres groupes d’usage en plus de l’usage principal 7, Bois d’œuvre

1, Céréales et légumes secs 10, Bois de feu 2, Légumes 11, Plantes médicinales 3, Colorants et tanins 12, Epices et condiments 4, Plantes ornementales 13, Huiles essentielles et exsudats 5, Plantes fourragères 14, Oléagineux 6, Fruits 15, Plantes stimulantes 8, Sucres et amidons 16, Plantes à fibres 9, Plantes auxiliaires

Altitude Ecart d’altitudes où l’espèce se rencontre, en mètres au-dessus du niveau de la mer

Densité Densité du bois en kg/m3 à 12% d’humiditéDureté de flanc Janka Dureté de flanc Janka, exprimée en N à 12% d’humiditéDureté de flanc Ch-M Dureté de flanc Chalais-Meudon à 12% d’humidité

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chil

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–150

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ne

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C E

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6, 8

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6, 8

, 11,

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C E

A O

1, 3

, 5, 9

, 10,

.11,

16

–165

083

0–83

5m

oyen

ne

Xyl

ia e

vans

ii–

Mim

osac

eae

O1,

11,

12,

16

bass

es t

erre

s77

0bo

nne

Zan

thox

ylum

dav

yi–

Rut

acea

eA

11?

830–

930

moy

enne

9210

–10

450

Zan

thox

ylum

gil

leti

i O

lon

dur

Olo

nvog

o, o

lon

Rut

acea

eC

E A

O4,

8, 1

0, 1

1, 1

2,

14, 1

6?–

2400

(550

–)72

0–10

40m

oyen

ne36

50–7

790

5,2–

13 +

Zan

thox

ylum

hei

tzii

Olo

n te

ndre

Olo

n, o

lon

lége

rR

utac

eae

C9,

10,

11

–120

045

0–56

0fa

ible

1,5–

2,9

Zan

thox

ylum

ts

ihan

impo

sa–

Fah

aval

onka

zoR

utac

eae

I11

–400

520–

680

faib

le à

m

oyen

ne1,

9–3,

6

55

10. Tableau récapitulatif “280 essences à bois d’œuvre × 6 sujets clés”

56

Esp

èce

Tec

hn

olo

gie

s ca

nd

ida

tes

La

cun

es d

u

dév

elo

pp

emen

tL

acu

nes

de

la r

ech

erch

eS

uje

ts d

e th

èses

Bes

oin

s d

e co

nse

rva

tio

nM

esu

res

po

liti

qu

es

Aca

cia

caff

raA

rbre

orn

emen

tal

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

Ph

ytoc

him

ie

Lég

isla

tion

en

vue

de

l’exp

loit

atio

n du

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e au

Moz

ambi

que

et

Bot

swan

a

Aca

cia

galp

inii

Ges

tion

pou

r l’e

xplo

itat

ion

du

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e

Ges

tion

pou

r le

s zo

nes

ches

E

ssai

s de

pla

nta

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E

tude

du

mar

ché

En

cou

rage

r de

s pl

anta

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s da

ns

les

régi

ons

sèch

es

Aca

cia

het

erop

hyl

laA

rbre

orn

emen

tal

Tec

hn

iqu

es d

e cu

ltu

re

in v

itro

Ges

tion

pou

r l’e

xplo

itat

ion

du

rabl

e à

la R

éun

ion

Mis

e en

pla

ce d

e pl

anta

tion

s T

ech

niq

ues

cu

ltu

rale

s &

u

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s po

ten

tiel

s

Cro

issa

nce

&

ren

dem

ents

E

tude

du

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ché

Mu

ltip

lica

tion

En

dém

iqu

e de

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Réu

nio

nS

uiv

i et

prot

ecti

on d

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pop

ula

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nat

ure

lle

En

cou

rage

r la

pla

nta

tion

co

mm

erci

ale

Aca

cia

mel

anox

ylon

M

ult

ipli

cati

on in

vit

ro

M

ult

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on p

ar

drag

eon

s M

ult

ipli

cati

on

végé

tati

ve

Ges

tion

app

ropr

iée

pou

r év

iter

et

con

ten

ir

l’en

vah

isse

men

t

Aca

cia

nig

resc

ens

U

sage

s m

ult

iple

sP

hyt

och

imie

Con

trôl

e de

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écol

te

Aca

cia

robu

sta

Usa

ges

mu

ltip

les

S

cari

fica

tion

m

écan

iqu

e po

ur

amél

iore

r la

ge

rmin

atio

n

Séc

hag

e du

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s P

ropr

iété

s m

édic

inal

esA

mél

iore

r le

séc

hag

e du

bo

is e

t sa

du

rabi

lité

P

hyt

och

imie

Aca

cia

rovu

mae

A

mél

iore

r l’u

tili

sati

onP

ropr

iété

s du

boi

s

Aca

cia

xan

thop

hlo

eaU

sage

s m

ult

iple

s A

rbre

de

plan

tati

on

pote

nti

el

Com

mer

cial

isat

ion

du

rabl

e de

l’éc

orce

et

du b

ois

d’œ

uvr

e

Mét

hod

es d

’exp

loit

atio

n

dura

ble

Agr

ofor

este

rie

Du

rabi

lité

du

boi

s

Pré

serv

atio

n d

u b

ois

P

ropr

iété

s et

ap

plic

atio

ns

de la

go

mm

e

Men

acé

loca

lem

ent

par

l’exp

loit

atio

n

exce

ssiv

e

Lég

isla

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en

vu

e de

l’e

xplo

itat

ion

du

rabl

e de

l’éc

orce

& s

uiv

i des

po

pula

tion

s n

atu

rell

es

Ad

enan

ther

a m

anta

roa

E

ssai

s de

pla

nta

tion

P

ropr

iété

s du

boi

sT

ech

niq

ues

de

mu

ltip

lica

tion

D

écou

rage

r l’e

xplo

itat

ion

du

boi

s à

part

ir d

es p

eupl

emen

ts

sau

vage

s

57E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

thès

esB

eso

ins

de

con

serv

ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Aes

chyn

omen

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aph

roxy

lon

Boi

s d’

œu

vre

com

mer

cial

Etu

des

de d

ura

bili

Dév

elop

pem

ent

de

plan

tati

ons

Rég

énér

atio

n n

atu

rell

e

Am

élio

rer

la f

erti

lité

de

s so

ls

Pré

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atio

n d

u b

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Q

ual

ité

du b

ois

Pro

tect

ion

dan

s le

s zo

nes

men

acée

s, p

ar

ex. a

u T

chad

Afr

ocar

pus

falc

atu

sU

sage

s m

ult

iple

sP

lan

tati

on à

gra

nde

éc

hel

leV

aria

tion

gén

étiq

ue

Syl

vicu

ltu

reC

onse

rvat

ion

in s

itu

&

ex

situ

V

uln

érab

le (

Lis

te

rou

ge d

e l’U

ICN

)

Pro

tect

ion

Ala

nts

ilod

end

ron

vi

llos

um

Ges

tion

vis

ant

la

con

serv

atio

nP

ropr

iété

s du

boi

s C

onse

rvat

ion

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Evi

ter

la d

estr

uct

ion

de

son

mil

ieu

Alb

izia

ad

ian

thif

olia

Usa

ges

mu

ltip

les

Uti

lisa

tion

en

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rofo

rest

erie

P

ropr

iété

s m

édic

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es

Tax

inom

ie d

u g

enre

E

ssai

s de

cro

issa

nce

et

de

surv

ie

Sél

ecti

on e

n v

ue

de f

ûts

dr

oits

et

de la

qu

alit

é du

bo

is d

’œu

vre

Ph

ytoc

him

ie

Car

acté

risa

tion

des

éc

otyp

es

Pro

tect

ion

des

gra

ines

Su

ivi d

e so

n c

arac

tère

ag

ress

if

Alb

izia

alt

issi

ma

U

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s m

ult

iple

sE

tude

s de

la p

rodu

ctio

n d

es

grai

nes

fer

men

tées

D

omes

tica

tion

T

axin

omie

du

gen

re

Ph

ytoc

him

ie

Per

spec

tive

s po

ur

le c

olor

ant,

le t

anin

, l’e

ncr

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avon

Alb

izia

an

tun

esia

na

Réc

olte

du

rabl

e de

s ra

cin

esC

olle

cte

de s

emen

ces,

év

alu

atio

n p

our

la m

ise

en

plac

e de

pla

nta

tion

s S

élec

tion

en

vu

e de

la

qual

ité

du b

ois

d’œ

uvr

e et

de

ts d

roit

s

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

T

axin

omie

du

gen

re

Con

trôl

e de

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écol

te

des

raci

nes

pou

r le

s m

édic

amen

ts

trad

itio

nn

aux

Alb

izia

are

nic

ola

Pro

prié

tés

du b

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Tax

inom

ie d

u g

enre

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izia

ayl

mer

iT

axin

omie

du

gen

reIn

ven

tair

e de

s u

sage

s In

ven

tair

e du

sta

tut

de

con

serv

atio

n

58E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

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esB

eso

ins

de

con

serv

ati

on

Mes

ure

s p

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tiq

ues

Alb

izia

ber

nie

riP

ropr

iété

s du

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s P

ropr

iété

s m

édic

inal

es

Tax

inom

ie d

u g

enre

Alb

izia

boi

vin

iiE

colo

gie

T

aux

de c

rois

san

ce

Rég

énér

atio

n

Pro

prié

tés

du b

ois

Tax

inom

ie d

u g

enre

P

ropr

iété

s m

édic

inal

es

Alb

izia

fer

rugi

nea

Usa

ges

mu

ltip

les

Usa

ge e

n a

grof

ores

teri

e T

axin

omie

du

gen

reP

rote

ctio

n d

es g

rain

esC

olle

cte

de

ress

ourc

es

gén

étiq

ues

V

uln

érab

le (

Lis

te

rou

ge d

e l’U

ICN

)

Con

trôl

e de

la

sure

xplo

itat

ion

et

enco

ura

ger

l’uti

lisa

tion

du

rabl

e

Alb

izia

gla

berr

ima

Usa

ges

mu

ltip

les

Tra

item

ent

aprè

s ré

colt

e

Tax

inom

ie d

u g

enre

U

tili

sati

on e

n

agro

fore

ster

ie

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

Ph

ytoc

him

ie

Alb

izia

gu

mm

ifer

aB

ois

d’œ

uvr

e co

mm

erci

al

Usa

ges

mu

ltip

les

Uti

lisa

tion

en

ag

rofo

rest

erie

V

aria

tion

dan

s le

s pr

opri

étés

du

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s T

axin

omie

du

gen

re

Sta

tist

iqu

es d

e la

pr

odu

ctio

n e

t du

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mm

erce

T

ech

niq

ues

de

mu

ltip

lica

tion

géta

tive

Alb

izia

sch

impe

rian

a

Usa

ges

mu

ltip

les

Eva

luat

ion

pou

r l’a

grof

ores

teri

e P

ropr

iété

s m

édic

inal

es

Pro

prié

tés

du b

ois

Tax

inom

ie d

u g

enre

P

robl

èmes

du

s au

x ra

vage

urs

Sta

tist

iqu

es d

e la

pr

odu

ctio

n e

t du

co

mm

erce

P

hyt

och

imie

Alb

izia

ver

sico

lor

Usa

ges

mu

ltip

les

Tax

inom

ie d

u g

enre

Etu

des

de t

oxic

ité

Pri

se d

e co

nsc

ien

ce

con

cern

ant

les

com

posa

nts

tox

iqu

es

du f

ruit

dan

s le

s zo

nes

fo

rtem

ent

pâtu

rées

59E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

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esB

eso

ins

de

con

serv

ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Alb

izia

zyg

iaB

ois

d’œ

uvr

e co

mm

erci

al

Usa

ges

mu

ltip

les

Uti

lisa

tion

de

la g

omm

e da

ns

l’in

dust

rie

phar

mac

euti

que

pou

r la

pro

duct

ion

de

com

prim

és

Lu

tte

inté

grée

(IP

M)

Eva

luat

ion

pou

r l’a

grof

ores

teri

e T

axin

omie

du

gen

re

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

Pro

tect

ion

des

gra

ines

Con

trôl

e de

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écol

te

de l’

écor

ce p

our

méd

icam

ents

et

gom

me

Als

ton

ia b

oon

ei

Com

mer

cial

isat

ion

de

s ex

trai

ts

d’éc

orce

à d

es fi

ns

méd

icin

ales

, et

du la

tex

pou

r le

ca

outc

hou

c P

rom

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ir

com

me

subs

titu

t de

Tri

ploc

hit

on

scle

roxy

lon

Eva

luat

ion

pou

r l’a

grof

ores

teri

e P

ropr

iété

s m

édic

inal

es

Réc

olte

du

rabl

e de

l’é

corc

e

Als

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ia c

onge

nsi

s C

omm

erci

alis

atio

n

des

extr

aits

d’

écor

ce à

des

fin

s m

édic

inal

es

Eva

luat

ion

pou

r l’a

grof

ores

teri

eC

him

ie

Tra

item

ent

du

palu

dism

e

Men

acé

(Nig

eria

)R

écol

te d

ura

ble

de

l’éco

rce

Am

blyg

onoc

arpu

s an

don

gen

sis

Usa

ges

mu

ltip

les

Ges

tion

pou

r l’e

xplo

itat

ion

du

rabl

e

Tra

nsf

orm

atio

n d

u b

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V

aleu

r al

imen

tair

e /

nu

trit

ion

nel

le

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

Ph

ytoc

him

ie

Am

phim

as f

erru

gin

eus

Pro

mou

voir

com

me

bois

d’œ

uvr

e co

mm

erci

al

Dév

elop

pem

ent

de p

rodu

its

et d

u m

arch

é L

utt

e in

tégr

ée (

IPM

)

Tra

item

ent

chim

iqu

e co

ntr

e le

s té

rébr

ants

P

roto

cole

s de

séc

hag

e

Am

phim

as

pter

ocar

poid

es

Pro

mou

voir

com

me

bois

d’œ

uvr

e co

mm

erci

al

Dév

elop

pem

ent

de p

rodu

its

Tau

x de

cro

issa

nce

E

colo

gie

et g

esti

on d

es

peu

plem

ents

nat

ure

ls

Lu

tte

inté

grée

(IP

M)

Var

iati

on d

es p

ropr

iété

s du

boi

s en

fon

ctio

n d

es

zon

es é

colo

giqu

es

Iden

tifi

cati

on c

omm

e su

bsti

tut

pou

r le

s bo

is

d’œ

uvr

e co

mm

erci

aux

impo

rtan

ts

An

tiar

is t

oxic

aria

Usa

ges

mu

ltip

les

Pro

mou

voir

com

me

espè

ce in

diqu

ée

pou

r le

s pl

anta

tion

s (r

ecom

man

dée

déjà

au

Gh

ana)

Lu

tte

inté

grée

(IP

M)

Var

iati

on d

es p

ropr

iété

s du

boi

s et

des

pro

prié

tés

chim

iqu

es e

n f

onct

ion

de

s si

tes

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Su

ccéd

ané

pou

r le

s pl

anta

tion

s ex

otiq

ues

60E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

thès

esB

eso

ins

de

con

serv

ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Ara

uca

ria

cun

nin

gham

iiE

valu

atio

n d

es p

lan

tati

ons

expé

rim

enta

les

Lu

tte

inté

grée

(IP

M)

Fai

sabi

lité

éco

nom

iqu

e V

alid

er le

s re

com

men

dati

ons

sur

la m

ult

ipli

cati

on,

la s

élec

tion

et

la

sylv

icu

ltu

re

Au

brev

ille

a pl

atyc

arpa

E

nco

ura

ger

l’usa

ge

en c

onst

ruct

ion

et

en

men

uis

erie

Ges

tion

vis

ant

la c

onse

rvat

ion

et

l’ex

ploi

tati

on

dura

ble

Est

imat

ion

et

cart

ogra

phie

de

s re

ssou

rces

E

colo

gie

Inve

nta

ire

Tec

hn

olog

ie d

u b

ois

Col

lect

e de

re

ssou

rces

gén

étiq

ues

(not

amm

ent

en

Gui

née)

Au

cou

mea

kla

inea

na

Usa

ges

mu

ltip

les

Pro

duct

ion

de

la

rési

ne

pou

r le

s m

arch

és lo

cal e

t in

tern

atio

nal

Mét

hod

es d

e lu

tte

inté

grée

(IP

M)

en v

ue

du d

ével

oppe

men

t de

s pl

anta

tion

s m

ixte

s et

en

vu

e de

s co

ndi

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s cl

imat

iqu

es v

arié

es

Sél

ecti

on e

n v

ue

des

cara

ctèr

es s

upé

rieu

rs (

pou

r la

pro

duct

ion

de

rési

ne

et

de b

ois

d’œ

uvr

e)

Ph

ytoc

him

ie (

qual

ité

de

la r

ésin

e)

Ess

ais

de s

ylvi

cult

ure

da

ns

diff

éren

tes

zon

es

écol

ogiq

ues

A

nas

tom

ose

des

raci

nes

et

effe

ts s

ur

la c

rois

san

ce e

t la

sy

lvic

ult

ure

Sau

vega

rder

la

dive

rsit

é gé

nét

iqu

eId

enti

fica

tion

et

prot

ecti

on d

es

peu

plem

ents

nat

ure

ls

dan

s to

ute

l’ai

re d

e ré

part

itio

n d

e l’e

spèc

e

Au

tran

ella

con

gole

nsi

sR

égén

érat

ion

nat

ure

lle

Tau

x de

cro

issa

nce

Ph

ytoc

him

ie

Ger

min

atio

nE

n d

ange

r cr

itiq

ue

d’ex

tin

ctio

n (

Lis

te

rou

ge d

e l’U

ICN

) C

olle

cte

de

ress

ourc

es

gén

étiq

ues

Con

trôl

e de

l’e

xplo

itat

ion

P

rote

ctio

n

Avi

cen

nia

ger

min

ans

Ges

tion

vis

ant

la

cons

erva

tion

et

la

com

mer

cial

isat

ion

de

s pr

odui

ts n

on b

ois

Est

imat

ion

et

cart

ogra

phie

de

s re

ssou

rces

P

ropr

iété

s m

édic

inal

es

Pro

prié

tés

du b

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Inve

nta

ire

Ph

ytoc

him

ie

Pro

tect

ion

des

m

angr

oves

Avi

cen

nia

mar

ina

Ges

tion

vis

ant

la

con

serv

atio

n e

t la

co

mm

erci

alis

atio

n

des

prod

uit

s n

on

bois

Est

imat

ion

et

cart

ogra

phie

de

s re

ssou

rces

P

ropr

iété

s m

édic

inal

es

Pro

prié

tés

du b

ois

Inve

nta

ire

Ph

ytoc

him

ie

Pro

tect

ion

des

m

angr

oves

61E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

thès

esB

eso

ins

de

con

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ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Bai

llon

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tox

ispe

rma

Usa

ges

mu

ltip

les

Tec

hn

iqu

es d

e m

ult

ipli

cati

on e

t de

pl

anta

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Com

mer

cial

isat

ion

de

s pr

odu

its

non

bo

is

Lu

tte

inté

grée

(IP

M)

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

S

élec

tion

en

vu

e de

cr

oiss

ance

rap

ide

Cu

ltu

re d

e ti

ssu

s G

enie

gén

étiq

ue

Etu

de d

u m

arch

é po

ur

l’hu

ile

des

grai

nes

P

hyt

och

imie

T

eneu

r en

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Vu

lnér

able

par

la

sure

xplo

itat

ion

et

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dégr

adat

ion

de

son

m

ilie

u

Pro

tect

ion

des

arb

res

not

amm

ent

ceu

x pr

och

es d

es v

illa

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Bam

busa

vu

lgar

isU

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s m

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iple

s M

anu

el d

e cu

ltu

re

Uti

lisa

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in

dust

riel

le c

omm

e su

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tut

de b

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Con

serv

atio

n d

e pi

èces

de

tig

e E

tude

soc

io-é

con

omiq

ue

Pro

prié

tés

phys

iqu

es e

t m

éch

aniq

ues

P

ropr

iété

s de

la p

ulp

e et

des

fibr

es

Var

iati

on d

e la

ten

eur

en a

mid

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Val

eur

éner

géti

que

M

odèl

es d

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ren

dem

ents

Col

lect

e de

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ssou

rces

nét

iqu

es à

l’éc

hel

le

mon

dial

e

En

cou

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r la

pl

anta

tion

et

l’uti

lisa

tion

com

me

subs

titu

t po

ur

le b

ois

Rég

lem

enta

tion

s n

atio

nal

es s

ur

les

bam

bou

s

Bap

hia

kir

kii

Sci

age

et t

rava

il à

la

mac

hin

e ef

fect

ifs

à l’a

ide

de la

mes

de

scie

st

elli

tées

et

d’ou

tils

tr

anch

ants

au

car

bure

de

tu

ngs

tèn

e

Pro

prié

tés

tech

nol

ogiq

ues

et

pro

mot

ion

co

mm

erci

ale

Cro

issa

nce

&

mu

ltip

lica

tion

P

ropr

iété

s m

édic

inal

es

Ges

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des

peu

plem

ents

n

atu

rels

P

ropr

iété

s du

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s

Ph

ytoc

him

ie

Pro

prié

tés

de r

ésis

tan

ce

Su

ppre

ssio

n d

e l’o

deu

r po

ivré

e

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

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N)

Pro

tect

ion

, in

ven

tair

e &

su

ivi d

es

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plem

ents

exi

stan

ts

Bei

lsch

mie

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cor

bisi

eri

Pro

mou

voir

le b

ois

pou

r u

ne

larg

e ga

mm

e d’

appl

icat

ion

s

Par

amèt

res

de la

cr

oiss

ance

E

stim

atio

n e

t ca

rtog

raph

ie

des

ress

ourc

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Etu

de d

u m

arch

é

Bei

lsch

mie

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d

iver

sifl

ora

Pro

mou

voir

le b

ois

pou

r u

ne

larg

e ga

mm

e d’

appl

icat

ion

s

Est

imat

ion

et

cart

ogra

phie

de

s re

ssou

rces

Pré

serv

atio

n d

u b

ois

Etu

de d

u m

arch

é

Bei

lsch

mie

dia

kw

eoG

esti

on d

ans

les

plan

tati

ons

anci

enn

es

de M

aeso

psis

em

inii

Rég

énér

atio

n n

atu

rell

e P

aram

ètre

s de

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croi

ssan

ce

Eco

logi

e E

tabl

ir le

sta

tut

de

con

serv

atio

n

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

l’UIC

N)

Pro

tect

ion

Bei

lsch

mie

dia

lou

isii

Pro

mou

voir

le b

ois

pou

r u

ne

larg

e ga

mm

e d’

appl

icat

ion

s

Pré

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atio

n d

u b

ois

Etu

de d

u m

arch

é E

tabl

ir le

sta

tut

de

con

serv

atio

n

62E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

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e la

rec

her

che

Su

jets

de

thès

esB

eso

ins

de

con

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ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Bei

lsch

mie

dia

man

nii

Usa

ges

mu

ltip

les

(boi

s d’

œu

vre,

pla

nte

m

édic

inal

e &

fru

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Su

bsti

tut

de l’

acaj

ou

Pla

nta

tion

s &

ag

rofo

rest

erie

Tec

hn

iqu

es d

e m

ult

ipli

cati

on

Pro

prié

tés

de s

éch

age

En

cou

rage

r l’e

mpl

oi

com

me

subs

titu

t de

l’a

cajo

u

Bei

lsch

mie

dia

ob

lon

gifo

lia

Dom

esti

cati

on

Est

imat

ion

et

cart

ogra

phie

de

s re

ssou

rces

E

ssai

s de

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nta

tion

Pot

enti

el c

omm

erci

al

Mu

ltip

lica

tion

S

tatu

t de

con

serv

atio

n

Bei

lsch

mie

dia

u

gan

den

sis

En

cou

rage

r l’e

xplo

itat

ion

du

rabl

eE

ssai

s de

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nta

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P

ropr

iété

s du

boi

sV

uln

érab

le (

Lis

te

rou

ge d

e l’U

ICN

)E

xplo

itat

ion

du

rabl

e

Bei

lsch

mie

dia

vel

uti

na

Col

lect

e de

res

sour

ces

géné

tiqu

esP

rote

ctio

n d

e so

n

mil

ieu

Ber

rya

cord

ifol

ia

Bol

usa

nth

us

spec

iosu

sP

rom

ouvo

ir

l’uti

lisa

tion

pou

r m

eubl

es d

e h

aute

qu

alit

é

Ess

ais

de p

rove

nan

ces

Dév

elop

pem

ent

de p

rodu

its

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

Pro

prié

tés

méc

aniq

ues

, d’

usi

nag

e et

de

fin

itio

n

Ph

ytoc

him

ie

Bro

uss

onet

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reve

ana

En

cou

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r la

pl

anta

tion

E

xplo

itat

ion

du

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eT

ech

niq

ues

de

mu

ltip

lica

tion

(v

égét

ativ

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Pro

tect

ion

de

son

m

ilie

u

Cal

oden

dru

m c

apen

seU

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s m

ult

iple

sG

esti

on

Var

iati

on g

énét

iqu

eM

ult

ipli

cati

onC

olle

cte

de

ress

ourc

es

gén

étiq

ues

Cal

oph

yllu

m i

nop

hyl

lum

U

sage

s m

ult

iple

s (b

ois

d’œ

uvr

e, h

uil

e es

sen

tiel

le, p

lan

te

méd

icin

ale,

hu

ile

de g

rain

es p

our

illu

min

atio

n e

t co

smét

iqu

e)

Com

mer

cial

isat

ion

de

la p

rodu

ctio

n d

e l’h

uil

e de

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ines

Syl

vicu

ltu

re

Lu

tte

inté

grée

(IP

M)

P

ropr

iété

s m

édic

inal

es

Sél

ecti

on e

n v

ue

de f

ûts

dr

oits

Pro

prié

tés

du b

ois

Pro

prié

tés

tech

nol

ogiq

ues

P

ropr

iété

s d’

usi

nag

e P

roto

cole

s de

séc

hag

e P

ropr

iété

s m

écan

iqu

es

& t

rait

emen

t de

pr

éser

vati

on

Pro

prié

tés

de l’

hu

ile

Sta

tist

iqu

es d

e la

pr

odu

ctio

n e

t du

co

mm

erce

Cal

poca

lyx

brev

ibra

ctea

tus

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

Ph

ytoc

him

ie

63E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

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esB

eso

ins

de

con

serv

ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Cal

poca

lyx

hei

tzii

E

colo

gie

Rég

énér

atio

n

Tau

x de

cro

issa

nce

Pro

toco

le d

e sé

chag

e T

axin

omie

du

gen

reV

uln

érab

le (

Lis

te

rou

ge d

e l’U

ICN

)P

rote

ctio

n p

ar la

cr

éati

on d

es r

éser

ves

fore

stiè

res

de la

rge

éten

due

Can

ariu

m

mad

agas

cari

ense

U

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s m

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iple

sP

rom

ouvo

ir c

omm

e bo

is d

’œu

vre

com

mer

cial

et

l’uti

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à d

es

fin

s m

édic

inal

es

Mis

e en

pla

ce e

t ge

stio

n d

es

plan

tati

ons

Syl

vicu

ltu

re

Am

élio

rer

la d

ura

bili

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

Mu

ltip

lica

tion

P

hyt

och

imie

P

rése

rvat

ion

du

boi

s

Au

bor

d de

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xtin

ctio

n e

n

Tan

zan

ie

Pro

tect

ion

not

amm

ent

en T

anza

nie

Car

alli

a br

ach

iata

Syl

vicu

ltu

re

Uti

lisa

tion

pou

r re

stau

rer

des

site

s dé

grad

és e

t po

llu

és

Ada

ptat

ion

au

x so

ls e

t ai

r po

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és

Cro

issa

nce

&

prod

uct

ion

Car

pod

ipte

ra a

fric

ana

Ges

tion

P

ropr

iété

s du

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sP

hyt

och

imie

S

tati

stiq

ues

de

la

prod

uct

ion

et

étu

de d

u

mar

ché

Sta

tut

de

con

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atio

n

ince

rtai

n

Cas

sipo

ure

a af

zeli

iG

esti

on v

isan

t la

co

nse

rvat

ion

et

la

prod

uct

ion

Est

imat

ion

et

cart

ogra

phie

de

s re

ssou

rces

P

ropr

iété

s m

édic

inal

es

Inve

nta

ire

P

hyt

och

imie

Cas

sipo

ure

a eu

ryoi

des

G

esti

on p

our

le b

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d’œ

uvr

e et

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ois

de f

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Pro

prié

tés

du b

ois

Val

eur

éner

géti

que

Cas

sipo

ure

a gu

mm

iflu

aG

esti

on p

our

l’exp

loit

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n

dura

ble

Cro

issa

nce

G

esti

on

Séc

hag

e &

pré

serv

atio

n

du b

ois

Val

eur

éner

géti

que

Cas

sipo

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a m

alos

ana

Ges

tion

pou

r l’e

xplo

itat

ion

du

rabl

e

Tra

nsf

orm

atio

n,

séch

age

& p

rése

rvat

ion

du

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s

Cas

sipo

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a ru

wen

sori

ensi

s G

esti

on p

our

l’exp

loit

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n

dura

ble

Est

imat

ion

et

cart

ogra

phie

de

s re

ssou

rces

P

ropr

iété

s du

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s &

u

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s po

ten

tiel

s

Inve

nta

ire

S

tati

stiq

ues

de

la

prod

uct

ion

et

du

com

mer

ce

64E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

thès

esB

eso

ins

de

con

serv

ati

on

Mes

ure

s p

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tiq

ues

Cat

har

iost

ach

ys

mad

agas

cari

ensi

sIn

trod

uct

ion

su

r le

con

tin

ent

de

l’Afr

iqu

e tr

opic

ale

Uti

lisa

tion

E

colo

gie

Pro

prié

tés

phys

iqu

es

Pro

prié

tés

méc

aniq

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U

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s in

digè

nes

V

aria

tion

des

pro

prié

tés

en f

onct

ion

des

zon

es

écol

ogiq

ues

Ced

rela

od

orat

a P

lan

tati

on m

ixte

po

ur

le b

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d’œ

uvr

e po

lyva

len

t

Am

élio

rer

la g

esti

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et l’

uti

lisa

tion

L

utt

e in

tégr

ée (

IPM

) E

ssai

s de

pro

ven

ance

s V

aria

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gén

étiq

ue

Var

iati

on d

es p

ropr

iété

s du

boi

s en

fon

ctio

n d

es

prov

enan

ces

Ced

relo

psis

gre

vei

U

sage

s m

ult

iple

s

Exp

loit

atio

n d

ura

ble

Pro

duct

ion

de

méd

icam

ents

Dom

esti

cati

on

Ess

ais

de p

lan

tati

on

Syl

vicu

ltu

re

Pro

prié

tés

méd

icin

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Mu

ltip

lica

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P

hyt

och

imie

Pro

babl

emen

t m

enac

é da

ns u

n

aven

ir p

roch

e C

olle

cte

de r

esso

urce

s gé

néti

ques

Impo

ser

l’exp

loit

atio

n

dura

ble

de l’

arbr

e

Cei

ba p

enta

nd

raU

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s m

ult

iple

sS

élec

tion

& g

esti

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Mod

ern

isat

ion

des

in

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ries

rep

osan

t su

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s fi

bres

Dév

elop

pem

ent

des

plan

tati

ons

Rég

énér

atio

n n

atu

rell

e P

ropr

iété

s m

édic

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es

Pro

prié

tés

du b

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des

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es p

lan

tés

Ch

imie

de

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ile

des

grai

nes

D

iver

sité

gén

étiq

ue

(et

flu

x de

gèn

es)

Sys

tèm

es d

e cr

oise

men

t

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

En

cou

rage

r la

ges

tion

et

l’ex

ploi

tati

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bles

S

tim

ule

r la

gén

érat

ion

nat

ure

lle

Ch

lam

ydoc

ola

chla

myd

anth

aL

utt

e in

tégr

ée (

IPM

) P

ropr

iété

s du

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s P

ropr

iété

s m

édic

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es

Ph

ytoc

him

ie

Etu

de s

ur

l’arb

re d

u

viru

s du

gon

flem

ent

des

ram

eau

x du

cac

aoye

r

Ch

loro

xylo

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aho

Ess

ais

de p

lan

tati

on

Rég

énér

atio

n n

atu

rell

e

Sta

bili

té d

u b

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en

serv

ice

Ch

loro

xylo

n s

wie

ten

iaE

ssai

s de

pla

nta

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en

A

friq

ue

Tau

x de

cro

issa

nce

Mu

ltip

lica

tion

Ch

rist

ian

a af

rica

na

Var

iati

on g

énét

iqu

e P

ropr

iété

s m

édic

inal

es

Pro

prié

tés

du b

ois

Ges

tion

Ph

ytoc

him

ie

Ch

ryso

phyl

lum

af

rica

nu

mU

sage

s m

ult

iple

sA

jou

t de

val

eur

aux

prod

uit

s n

on b

ois

Var

iati

on g

énét

iqu

e

Sél

ecti

on e

n v

ue

de f

ûts

lo

ngs

et

de g

ran

d di

amèt

re

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

Sta

tist

iqu

es d

e la

pr

odu

ctio

n &

étu

de d

u

mar

ché

Ph

ytoc

him

ie

Mes

ure

s de

pro

tect

ion

il e

st r

are

(par

ex

. au

Gh

ana)

65E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

thès

esB

eso

ins

de

con

serv

ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Ch

ryso

phyl

lum

bo

ivin

ian

um

En

cou

rage

r l’e

xplo

itat

ion

du

rabl

e V

aria

tion

gén

étiq

ue

Ges

tion

E

ssai

s de

pla

nta

tion

T

aux

de c

rois

san

ce

Mu

ltip

lica

tion

P

ropr

iété

s du

boi

s de

s ar

bres

pla

nté

s A

nat

omie

du

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s

Bes

oin

de

con

serv

atio

nL

égis

lati

on e

n v

ue

de

l’exp

loit

atio

n d

ura

ble

Ch

ryso

phyl

lum

gi

gan

teu

mR

égén

érat

ion

nat

ure

lle

Est

imat

ion

et

cart

ogra

phie

de

s re

ssou

rces

T

aux

de c

rois

san

ce

Pré

serv

atio

n

Sta

tist

iqu

es d

e la

pr

odu

ctio

n &

étu

de d

u

mar

ché

Lég

isla

tion

pou

r la

ge

stio

n d

ura

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Ch

ryso

phyl

lum

la

cou

rtia

nu

m

Usa

ges

mu

ltip

les

Dom

esti

cati

on

Ges

tion

T

aux

de c

rois

san

ce

Sél

ecti

on e

n v

ue

de

croi

ssan

ce r

apid

e

Mu

ltip

lica

tion

S

tati

stiq

ues

de

la

prod

uct

ion

& é

tude

du

m

arch

é

Ch

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phyl

lum

pe

rpu

lch

rum

Apt

itu

de à

la p

rodu

ctio

n d

e bo

is d

’œu

vre

Mu

ltip

lica

tion

G

esti

on

Sta

tist

iqu

es d

e la

pr

odu

ctio

n &

ét

ude

du

mar

ché

Séc

hag

e du

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s d’

œu

vre

Ch

ryso

phyl

lum

pr

un

ifor

me

Pro

prié

tés

du b

ois

P

ropr

iété

s m

édic

inal

es

Rôl

e en

for

êt a

mén

agée

de

faço

n d

ura

ble

Ph

ytoc

him

ie

Ch

ryso

phyl

lum

su

bnu

du

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Ess

ais

de p

lan

tati

on

Ges

tion

E

valu

atio

n d

u p

oten

tiel

co

mm

e bo

is d

’œu

vre

Tau

x de

cro

issa

nce

Sta

tist

iqu

es d

e la

pr

odu

ctio

n

Tau

x de

cro

issa

nce

P

hyt

och

imie

Ch

ukr

asia

tab

ula

ris

Ges

tion

pou

r la

pr

odu

ctio

n e

t l’u

tili

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on a

ccru

e

Sél

ecti

on e

n v

ue

de

prod

uct

ivit

é &

rés

ista

nce

à

Hyp

sipy

laE

ssai

s de

pro

ven

ance

s S

ylvi

cult

ure

Var

iati

on g

énét

iqu

e M

ult

ipli

cati

on

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x de

cro

issa

nce

P

hyt

och

imie

P

rése

rvat

ion

du

boi

s

Col

a ca

uli

flor

aG

esti

on v

isan

t la

co

nse

rvat

ion

Pro

prié

tés

du b

ois

U

sage

s po

ten

tiel

s

66E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

thès

esB

eso

ins

de

con

serv

ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Col

a cl

avat

aP

rom

ouvo

ir la

ge

stio

n p

our

le b

ois

d’œ

uvr

e (y

com

pris

de

s pl

anta

tion

s)

Est

imat

ion

et

cart

ogra

phie

de

s re

ssou

rces

V

aria

tion

gén

étiq

ue

Ess

ais

de p

rove

nan

ces

Ges

tion

S

ylvi

cult

ure

T

aux

de c

rois

san

ce

Pro

prié

tés

du b

ois

Inve

nta

ire

Mu

ltip

lica

tion

Col

a gr

een

way

i

Ges

tion

pou

r la

pr

odu

ctio

n d

e bo

is

d’œ

uvr

e

Tau

x de

cro

issa

nce

G

esti

on

Pro

prié

tés

du b

ois

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

Mu

ltip

lica

tion

P

hyt

och

imie

Col

a la

teri

tia

Usa

ges

mu

ltip

les

Ges

tion

vis

ant

la

con

serv

atio

n e

t la

pro

duct

ion

de

plu

sieu

rs p

rodu

its

Ges

tion

P

ropr

iété

s du

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s &

tr

ansf

orm

atio

n

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

Du

rabi

lité

du

boi

s P

hyt

och

imie

Col

a la

uri

foli

aU

sage

s m

ult

iple

s (b

ois

d’œ

uvr

e, f

ruit

&

plan

te m

édic

inal

e)

Ges

tion

pou

r la

pr

odu

ctio

n d

e pl

usi

eurs

pro

duit

s

Pro

prié

tés

du b

ois

&

uti

lisa

tion

G

esti

on

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

Ph

ytoc

him

ie

Val

eur

éner

géti

que

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es a

u

Sén

égal

Lég

isla

tion

en

vu

e de

la p

rote

ctio

n d

e l’e

spèc

e au

Sén

égal

Com

mip

hor

a pt

eroc

arpa

Cro

issa

nce

& g

esti

on

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

Q

ual

ité

du b

ois

Etu

des

sur

la d

ura

bili

du b

ois

Mes

ure

s po

ur

enco

ura

ger

la

prod

uct

ion

de

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Cu

pres

sus

lusi

tan

ica

Usa

ges

mu

ltip

les

Pro

duct

ion

co

mm

erci

ale

d’h

uil

e es

sen

tiel

le

Lu

tte

inté

grée

(IP

M)

Sél

ecti

on e

n v

ue

de

rési

stan

ce a

u p

uce

ron

du

cy

près

Cyl

icod

iscu

s ga

bun

ensi

s G

esti

on p

our

la

prod

uct

ion

de

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d’

œu

vre

Cro

issa

nce

E

xplo

itat

ion

du

rabl

eS

tati

stiq

ues

de

la

prod

uct

ion

& é

tude

du

m

arch

é

Dac

ryod

es b

uet

tner

iS

ubs

titu

t d’

okou

dan

s la

pro

duct

ion

de

con

trep

laqu

é E

n a

grof

ores

teri

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Ajo

ut

de v

aleu

r au

x m

édic

amen

ts &

fr

uit

s

Ess

ais

de p

lan

tati

on

Tau

x de

cro

issa

nce

G

esti

on

Syl

vicu

ltu

re

Lu

tte

inté

grée

(IP

M)

Sél

ecti

on e

n v

ue

d’ar

bres

su

péri

eurs

(po

ur

fru

its

ou

bois

d’œ

uvr

e)

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

Mu

ltip

lica

tion

P

hyt

och

imie

C

olle

cte

de

ress

ourc

es

gén

étiq

ues

Lég

isla

tion

en

vu

e d’

élim

iner

la

sure

xplo

itat

ion

au

C

amer

oun

67E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

thès

esB

eso

ins

de

con

serv

ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Dac

ryod

es i

gaga

nga

E

xplo

itat

ion

du

rabl

eA

jou

t de

val

eur

aux

fru

its

Var

iati

on g

énét

iqu

e D

omes

tica

tion

G

esti

on

Var

iati

on d

es p

ropr

iété

s gé

nét

iqu

es

Tra

item

ent

de

prés

erva

tion

afi

n d

e pr

olon

guer

la d

uré

e de

se

rvic

e du

boi

s

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

l’UIC

N)

Lég

isla

tion

en

vu

e de

co

ntr

ôler

l’ex

ploi

tati

on

et d

e pr

otég

er s

on

mil

ieu

Dac

ryod

es k

lain

ean

aU

sage

s m

ult

iple

sA

mél

iore

r la

pr

odu

ctio

n f

ruit

ière

Du

rabi

lité

du

boi

s P

ropr

iété

s m

édic

inal

es

Ch

imie

V

aleu

r én

ergé

tiqu

e A

nat

omie

du

boi

s

Vu

lnér

able

en

C

ôte

d’Iv

oire

et

au

Cam

erou

n

Dac

ryod

es n

orm

and

ii

Exp

loit

atio

n d

ura

ble

Est

imat

ion

et

cart

ogra

phie

de

s re

ssou

rces

G

esti

on

Tau

x de

cro

issa

nce

E

ssai

s de

pla

nta

tion

Sta

tist

iqu

es d

e la

pr

odu

ctio

n &

étu

de d

u

mar

ché

Mu

ltip

lica

tion

P

ropr

iété

s de

s fi

bres

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

(rép

arti

tion

lim

itée

)

Eli

min

er la

su

rexp

loit

atio

n

et e

nco

ura

ger

l’exp

loit

atio

n d

ura

ble

Dac

ryod

es p

ube

scen

s

Pro

duct

ion

co

mm

erci

ale

& c

omm

erce

in

tern

atio

nal

T

ech

niq

ues

de

con

serv

atio

n d

u b

ois

Etu

des

sur

la q

ual

ité

du b

ois

d’œ

uvr

eE

stim

atio

n e

t ca

rtog

raph

ie

des

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ourc

es

Ges

tion

C

rois

san

ce

Ess

ais

de p

lan

tati

on

Pro

prié

tés

nu

trit

ion

nel

les

du f

ruit

Sta

tist

iqu

es d

e la

pr

odu

ctio

n &

étu

de d

u

mar

ché

Mu

ltip

lica

tion

M

éth

odes

de

prés

erva

tion

du

boi

s

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

(rép

arti

tion

lim

itée

)

Con

trôl

e de

la

sure

xplo

itat

ion

Dal

berg

ia b

aron

ii

Ges

tion

vis

ant

la

con

serv

atio

nV

aria

bili

té g

énét

iqu

e G

esti

on

Est

imat

ion

et

cart

ogra

phie

de

s re

ssou

rces

T

aux

de c

rois

san

ce

Car

togr

aph

ie g

énét

iqu

e M

ult

ipli

cati

on

Cro

issa

nce

S

tati

stiq

ues

de

la

prod

uct

ion

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

l’UIC

N)

Lég

isla

tion

en

vu

e d’

impo

ser

la p

rote

ctio

n

Dal

berg

ia c

hap

elie

ri

Exp

loit

atio

n d

ura

ble

Ges

tion

inte

nsi

fiée

&

expl

oita

tion

du

rabl

eP

ropr

iété

s du

boi

s

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

V

aria

tion

gén

étiq

ue

Est

imat

ion

et

cart

ogra

phie

de

s re

ssou

rces

Sta

tist

iqu

es d

e la

pr

odu

ctio

n

Inve

nta

ire

(y c

ompr

is

des

étu

des

de

prod

uct

ion

) E

tude

du

mar

ché

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

l’UIC

N)

Lég

isla

tion

en

vu

e d’

impo

ser

la p

rote

ctio

n

Dal

berg

ia c

hlo

roca

rpa

Ges

tion

inte

nsi

fiée

&

uti

lisa

tion

du

rabl

eV

aria

tion

gén

étiq

ue

Ges

tion

E

stim

atio

n e

t ca

rtog

raph

ie

des

ress

ourc

es

Pro

prié

tés

du b

ois

Sta

tist

iqu

es d

e la

pr

odu

ctio

n

Inve

nta

ire

Etu

de d

u m

arch

é

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

l’UIC

N)

Lég

isla

tion

en

vu

e d’

impo

ser

la p

rote

ctio

n

68E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

thès

esB

eso

ins

de

con

serv

ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Dal

berg

ia g

reve

ana

Sél

ecti

on /

amél

iora

tion

G

esti

on

Est

imat

ion

et

cart

ogra

phie

de

s re

ssou

rces

V

aria

tion

gén

étiq

ue

Sél

ecti

on e

n v

ue

des

dim

ensi

ons

& d

e fû

ts d

roit

s S

ylvi

cult

ure

T

aux

de c

rois

san

ce

Pro

prié

tés

méd

icin

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Inve

nta

ire

Mu

ltip

lica

tion

C

rois

san

ce

Pro

prié

tés

du b

ois

Ph

ytoc

him

ie

Col

lect

e de

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ssou

rces

nét

iqu

es

Prè

s d’

être

vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

l’UIC

N)

Lég

isla

tion

en

vu

e d’

impo

ser

la p

rote

ctio

n

Dal

berg

ia h

ild

ebra

nd

tii

Ges

tion

vis

ant

la

con

serv

atio

nE

stim

atio

n e

t ca

rtog

raph

ie

des

ress

ourc

es

Var

iati

on g

énét

iqu

e E

ssai

s de

pla

nta

tion

G

esti

on

Tau

x de

cro

issa

nce

P

ropr

iété

s du

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s

Inve

nta

ire

Mu

ltip

lica

tion

C

olle

cte

de

ress

ourc

es

gén

étiq

ues

V

uln

érab

le (

Lis

te

rou

ge d

e l’U

ICN

)

Lég

isla

tion

en

vu

e d’

impo

ser

la p

rote

ctio

n

Dal

berg

ia l

atif

olia

Pla

nta

tion

en

sys

tèm

es

agro

fore

stie

rs

Ges

tion

pou

r u

ne

croi

ssan

ce r

apid

e et

de

s fû

ts r

ecti

lign

es

Var

iati

on g

énét

iqu

e S

élec

tion

/ am

élio

rati

on

gén

étiq

ue

Ess

ais

de p

lan

tati

on

Ges

tion

T

aux

de c

rois

san

ce

Mu

ltip

lica

tion

P

hyt

och

imie

Dal

berg

ia l

ouve

lii

Ges

tion

vis

ant

la

con

serv

atio

nE

stim

atio

n e

t ca

rtog

raph

ie

des

ress

ourc

es

Var

iati

on g

énét

iqu

e E

ssai

s de

pla

nta

tion

P

ropr

iété

s m

édic

inal

es

Tau

x de

cro

issa

nce

Inve

nta

ire

Mu

ltip

lica

tion

P

hyt

och

imie

P

ropr

iété

s du

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s

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

En

dan

ger

(Lis

te

rou

ge d

e l’U

ICN

)

Lég

isla

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en

vu

e d’

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ser

la p

rote

ctio

n

Dal

berg

ia

mad

agas

cari

ensi

sE

xplo

itat

ion

du

rabl

eG

esti

on v

isan

t la

con

serv

atio

n

et l’

expl

oita

tion

du

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e

Est

imat

ion

et

cart

ogra

phie

de

s re

ssou

rces

V

aria

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gén

étiq

ue

Ess

ais

de p

lan

tati

on

Ges

tion

T

aux

de c

rois

san

ce

Pro

prié

tés

du b

ois

Inve

nta

ire

Mu

ltip

lica

tion

C

olle

cte

de

ress

ourc

es

gén

étiq

ues

V

uln

érab

le (

Lis

te

rou

ge d

e l’U

ICN

)

Lég

isla

tion

en

vu

e d’

impo

ser

la p

rote

ctio

n

Dal

berg

ia m

elan

oxyl

onE

nco

ura

ger

la

plan

tati

on

Exp

loit

atio

n d

ura

ble

dan

s le

s fo

rêts

n

atu

rell

es

Ges

tion

vis

ant

la c

onse

rvat

ion

de

s re

ssou

rces

nét

iqu

es, l

a pr

odu

ctio

n e

t l’e

xplo

itat

ion

du

rabl

e

Est

imat

ion

et c

arto

grap

hie

des

ress

ourc

es

Sél

ecti

on e

n vu

e de

cr

oiss

ance

rap

ide

& d

e fû

ts

droi

ts

Mét

hode

s de

réc

olte

dur

able

T

aux

de c

rois

sanc

e

Inve

nta

ire

Mu

ltip

lica

tion

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Prè

s d’

être

men

acé

(Lis

te r

ouge

de

l’UIC

N)

Lég

isla

tion

en

vu

e d’

impo

ser

la p

rote

ctio

n

69E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

thès

esB

eso

ins

de

con

serv

ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Dal

berg

ia m

olli

sG

esti

on v

isan

t la

co

nse

rvat

ion

Est

imat

ion

et

cart

ogra

phie

de

s re

ssou

rces

V

aria

tion

gén

étiq

ue

Ess

ais

de p

lan

tati

on

Pro

prié

tés

du b

ois

Tau

x de

cro

issa

nce

Inve

nta

ire

Mu

ltip

lica

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C

olle

cte

de

ress

ourc

es

gén

étiq

ues

P

rès

d’êt

re m

enac

é (L

iste

rou

ge d

e l’U

ICN

)

Lég

isla

tion

en

vu

e d’

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ser

la p

rote

ctio

n

Dal

berg

ia m

onti

cola

Mis

e en

pla

ce d

es

plan

tati

ons

Ges

tion

vis

ant

la

con

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atio

n e

t la

pr

odu

ctio

n

Est

imat

ion

et

cart

ogra

phie

de

s re

ssou

rces

V

aria

tion

gén

étiq

ue

Ess

ais

de p

lan

tati

on

Pro

prié

tés

du b

ois

Inve

nta

ire

Mu

ltip

lica

tion

par

m

arco

ttes

aér

ien

nes

T

aux

de c

rois

san

ce

Col

lect

e de

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ssou

rces

nét

iqu

es

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

l’UIC

N)

Lég

isla

tion

en

vu

e d’

impo

ser

la p

rote

ctio

n

Dal

berg

ia n

itid

ula

U

sage

s m

ult

iple

s (b

ois

d’œ

uvr

e, c

ombu

stib

le,

légu

me

& p

lan

te

méd

icin

ale)

Ges

tion

pou

r l’e

xplo

itat

ion

du

rabl

e

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

P

ropr

iété

s du

boi

s T

aux

de c

rois

san

ce

Pro

prié

tés

nu

trit

ion

nel

les

des

feu

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s

Ess

ais

de t

oxic

ité

Ph

ytoc

him

ie

Val

eur

éner

géti

que

Dal

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ia p

urp

ura

scen

sG

esti

on v

isan

t la

co

nse

rvat

ion

E

stim

atio

n e

t ca

rtog

raph

ie

des

ress

ourc

es

Var

iati

on g

énét

iqu

e E

ssai

s de

pla

nta

tion

T

aux

de c

rois

san

ce

Pro

prié

tés

du b

ois

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prié

tés

colo

ran

tes

Inve

nta

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Mu

ltip

lica

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S

tati

stiq

ues

de

la

prod

uct

ion

& é

tude

du

m

arch

é

Col

lect

e de

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ssou

rces

nét

iqu

es

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

l’UIC

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Lég

isla

tion

en

vu

e d’

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ser

la p

rote

ctio

n

des

peu

plem

ents

n

atu

rels

Dal

berg

ia s

isso

oA

rbre

pol

yval

ent

pou

r l’a

grof

ores

teri

e en

zo

ne

sèch

e

Ges

tion

pou

r la

pr

odu

ctio

n d

e bo

is

d’œ

uvr

e

Var

iati

on g

énét

iqu

e E

ssai

s de

pla

nta

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P

ropr

iété

s m

édic

inal

es

Pro

prié

tés

du b

ois

Tau

x de

cro

issa

nce

Mu

ltip

lica

tion

P

hyt

och

imie

C

olle

cte

de

ress

ourc

es

gén

étiq

ues

Ges

tion

pou

r co

ntr

ôler

l’e

nva

his

sem

ent

Dal

berg

ia t

rich

ocar

pa

Mu

ltip

lica

tion

in v

itro

Ges

tion

vis

ant

la c

onse

rvat

ion

et

l’ex

ploi

tati

on

dura

ble

Est

imat

ion

et

cart

ogra

phie

de

s re

ssou

rces

V

aria

tion

gén

étiq

ue

Pla

nta

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A

grof

ores

teri

e P

ropr

iété

s m

édic

inal

es

Tau

x de

cro

issa

nce

P

ropr

iété

s du

boi

s

Inve

nta

ire

Mu

ltip

lica

tion

P

hyt

och

imie

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Ris

que

faib

le (

Lis

te

rou

ge d

e l’U

ICN

)

Lég

isla

tion

en

vu

e de

co

ntr

ôler

l’ex

ploi

tati

on

70E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

thès

esB

eso

ins

de

con

serv

ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Den

dro

cala

mu

s as

per

Tec

hn

iqu

es d

e m

ult

ipli

cati

onS

élec

tion

de

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s su

péri

eurs

P

rodu

ctio

n

com

mer

cial

e &

co

mm

erci

alis

atio

n

du m

atér

iel v

égét

al

Val

eur

nu

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ion

nel

le d

es

jeu

nes

pou

sses

G

esti

on

Val

eur

éner

géti

que

Mod

èle

d’es

tim

atio

n d

es

ren

dem

ents

P

rése

rvat

ion

con

tre

les

vril

lett

es

Mu

ltip

lica

tion

Div

ersi

té g

énét

iqu

e fa

ible

C

olle

cte

de

ress

ourc

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gén

étiq

ues

Den

dro

cala

mu

s gi

gan

teu

sU

sage

s m

ult

iple

s T

ech

niq

ues

de

mu

ltip

lica

tion

Sél

ecti

on d

e ty

pes

supé

rieu

rs

Pro

duct

ion

co

mm

erci

ale

&

com

mer

cial

isat

ion

du

mat

érie

l vég

étal

Mu

ltip

lica

tion

G

esti

on

Val

eur

nu

trit

ion

nel

le d

es

jeu

nes

pou

sses

Val

eur

éner

géti

que

Mod

èle

d’es

tim

atio

n d

es

ren

dem

ents

P

rése

rvat

ion

con

tre

les

vril

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es

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Dic

hro

stac

hys

m

yrio

phyl

laA

grof

ores

teri

e T

aux

de c

rois

san

ce

Rég

énér

atio

n n

atu

rell

e

Mu

ltip

lica

tion

Peu

t-êt

re m

enac

é pa

r la

des

tru

ctio

n d

e so

n m

ilie

u

Con

trôl

e de

la r

écol

te

Dic

raeo

peta

lum

m

ahaf

alie

nse

Var

iati

on g

énét

iqu

e E

ssai

s de

pla

nta

tion

G

esti

on

Sél

ecti

on e

n v

ue

de

croi

ssan

ce r

apid

e T

aux

de c

rois

san

ce

Mu

ltip

lica

tion

P

ropr

iété

s du

boi

s

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

l’UIC

N)

Lég

isla

tion

en

vu

e d’

impo

ser

la p

rote

ctio

n

Dom

beya

rot

un

dif

olia

Usa

ges

mu

ltip

les

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

Dom

beya

tor

rid

aU

sage

s m

ult

iple

s

Du

bosc

ia m

acro

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aA

rbre

pot

enti

el p

our

l’agr

ofor

este

rie

Eco

logi

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esti

on &

uti

lisa

tion

A

grof

ores

teri

e T

aux

de c

rois

san

ce

Pro

prié

tés

du b

ois

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

Mu

ltip

lica

tion

T

aux

de c

rois

san

ce

Ph

ytoc

him

ie

Dyp

sis

mad

agas

cari

ensi

sU

sage

s m

ult

iple

sG

esti

on p

our

l’exp

loit

atio

n

dura

ble

Est

imat

ion

et

cart

ogra

phie

de

s re

ssou

rces

V

aleu

r n

utr

itio

nn

elle

du

ur

de p

alm

ier

Inve

nta

ire

Col

lect

e de

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ssou

rces

nét

iqu

es

Pro

tect

ion

par

la

réco

lte

con

trôl

ée

Eke

berg

ia c

apen

sis

Arb

re p

olyv

alen

t po

ur

l’agr

ofor

este

rie

Ges

tion

pou

r la

pr

odu

ctio

n &

l’u

tili

sati

on

Car

togr

aph

ie d

e la

va

riab

ilit

é gé

nét

iqu

e A

grof

ores

teri

e L

utt

e in

tégr

ée (

IPM

) P

ropr

iété

s m

édic

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es

Ph

ytoc

him

ie

Pro

prié

tés

du f

ourr

age

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Pro

tect

ion

en

Eth

iopi

a et

en

Ou

gan

da

71E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

thès

esB

eso

ins

de

con

serv

ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

En

tad

a pe

rvil

lei

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

P

ropr

iété

s du

boi

s P

hyt

och

imie

En

tan

dro

phra

gma

ango

len

seG

esti

on p

our

la

prod

uct

ion

du

rabl

eE

stim

atio

n e

t ca

rtog

raph

ie

des

ress

ourc

es

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

R

égén

érat

ion

en

for

êt

expl

oité

e G

esti

on

Eva

luat

ion

des

pro

prié

tés

(hu

ile

& é

ner

gie)

Val

eur

éner

géti

que

Ph

ytoc

him

ie

Pro

prié

tés

de l’

hu

ile

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

l’UIC

N)

Pro

tect

ion

& r

écol

te

con

trôl

ée

En

tan

dro

phra

gma

can

dol

lei

Ges

tion

pou

r la

pr

odu

ctio

n d

ura

ble

Est

imat

ion

et

cart

ogra

phie

de

s re

ssou

rces

P

ropr

iété

s m

édic

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es

Rég

énér

atio

n e

n f

orêt

ex

ploi

tée

Ges

tion

Ph

ytoc

him

ie

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

l’UIC

N)

Pro

tect

ion

& r

écol

te

con

trôl

ée

En

tan

dro

phra

gma

cyli

nd

ricu

m

Ges

tion

vis

ant

la

con

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atio

n &

la

prod

uct

ion

du

rabl

e

Sél

ecti

on e

n v

ue

de

croi

ssan

ce r

apid

e L

utt

e in

tégr

ée (

IPM

) A

grof

ores

teri

e T

aux

de c

rois

san

ce

Mu

ltip

lica

tion

par

bo

utu

rage

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es &

ca

ract

éris

atio

n

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

l’UIC

N)

Pro

tect

ion

& r

écol

te

con

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ée

En

tan

dro

phra

gma

exce

lsu

m

Agr

ofor

este

rie

en

alti

tude

Ges

tion

vis

ant

la

con

serv

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n &

la

prod

uct

ion

du

rabl

e

Agr

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rie

Tau

x de

cro

issa

nce

R

égén

érat

ion

nat

ure

lle

Mu

ltip

lica

tion

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Ris

que

faib

le (

Lis

te

rou

ge d

e l’U

ICN

)

Pro

tect

ion

& r

écol

te

con

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ée

En

tan

dro

phra

gma

uti

le

Ges

tion

du

rabl

eG

esti

on v

isan

t la

co

nse

rvat

ion

& la

pr

odu

ctio

n d

ura

ble

Est

imat

ion

et

cart

ogra

phie

de

s re

ssou

rces

R

égén

érat

ion

en

for

êt

expl

oité

e S

ylvi

cult

ure

L

utt

e in

tégr

ée (

IPM

) A

grof

ores

teri

e

Ph

ytoc

him

ie

Inoc

ula

tion

m

ycor

hiz

ien

ne

Col

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e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

l’UIC

N)

Pro

tect

ion

& r

écol

te

con

trôl

ée

Ery

thri

na

abys

sin

ica

Usa

ges

mu

ltip

les

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

P

ropr

iété

s du

boi

sP

hyt

och

imie

72E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

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esB

eso

ins

de

con

serv

ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Ery

thri

na

exce

lsa

U

sage

s m

ult

iple

s E

nco

ura

ger

la

plan

tati

on

Pro

duct

ion

co

mm

erci

ale

de

prod

uit

s po

ur

l’in

dust

rie

du

tou

rism

e

Agr

ofor

este

rie

Ges

tion

P

ropr

iété

s du

boi

s P

ropr

iété

s m

édic

inal

es

Pro

tect

ion

des

gra

ines

co

ntr

e le

s in

sect

es

Ery

thri

na

voge

lii

U

sage

s m

ult

iple

sA

grof

ores

teri

e T

aux

de c

rois

san

ceT

axin

omie

Eu

caly

ptu

s ca

mal

du

len

sis

Usa

ges

mu

ltip

les

Pla

nta

tion

de

séle

ctio

ns

Man

uel

de

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ure

Sél

ecti

on /

amél

iora

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de

gén

otyp

es a

dapt

és

Pro

duct

ion

&

diff

usi

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atér

iel

végé

tal

Ess

ais

de p

rove

nan

ces

Rec

her

ches

clo

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Inve

nta

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Mod

èles

de

croi

ssan

ceP

rom

ouvo

ir c

omm

e cu

ltu

re in

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riel

le

Eu

caly

ptu

s cl

oezi

ana

Usa

ges

mu

ltip

les

Intr

odu

ctio

n d

ans

les

zon

es à

plu

viom

étri

e an

nu

elle

de

1000

–15

00 m

m e

t à

sais

on

sèch

e de

4–5

moi

s M

anu

el d

e cu

ltu

re

Sél

ecti

on d

e pr

oven

ance

s su

péri

eure

s P

rodu

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n

com

mer

cial

e &

co

mm

erci

alis

atio

n

de g

rain

es /

sem

is

Ess

ais

de p

rove

nan

ces

Pot

enti

el p

our

la

prod

uct

ion

de

l’hu

ile

esse

nti

elle

Pro

mou

voir

com

me

cult

ure

indu

stri

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Eu

caly

ptu

s gl

obu

lus

En

cou

rage

r la

pl

anta

tion

com

me

arbr

e po

lyva

len

t M

anu

el d

e cu

ltu

re

Sél

ecti

on d

e pr

oven

ance

s av

ec

cara

ctèr

es s

ouh

aité

s P

rodu

ctio

n

com

mer

cial

e d’

hu

ile

esse

nti

elle

P

rodu

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n &

di

ffu

sion

de

mat

érie

l vé

géta

l

Ess

ais

de p

rove

nan

ces

Lu

tte

inté

grée

(IP

M)

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

Ph

ytoc

him

ie

Mod

èles

de

croi

ssan

ce

Pro

mou

voir

com

me

cult

ure

indu

stri

elle

S

uiv

i de

la m

enac

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ten

te q

ue

repr

ésen

ten

t le

s pl

anta

tion

s po

ur

les

écos

ystè

mes

loca

ux

Eu

caly

ptu

s gr

and

isM

anu

el d

e cu

ltu

reS

élec

tion

de

prov

enan

ces

supé

rieu

res

Pro

duct

ion

&

diff

usi

on d

e m

atér

iel

végé

tal

Ess

ais

de p

rove

nan

ces

Lu

tte

inté

grée

(IP

M)

Mod

èles

de

croi

ssan

ce

P

rom

ouvo

ir c

omm

e cu

ltu

re in

dust

riel

le

Eu

caly

ptu

s ro

bust

aE

nco

ura

ger

la

plan

tati

on e

n

con

diti

ons

hu

mid

es

Man

uel

de

cult

ure

Pro

duct

ion

&

diff

usi

on d

e m

atér

iel

végé

tal

Sél

ecti

on d

e pr

oven

ance

s su

péri

eure

s

Ess

ais

de p

rove

nan

ces

Lu

tte

inté

grée

(IP

M)

Hyb

rida

tion

P

ropr

iété

s m

édic

inal

es

Mod

èles

de

croi

ssan

ce

Ph

ytoc

him

ie

Ela

rgir

la v

aria

tion

nét

iqu

e à

Mad

agas

car

Pro

mou

voir

com

me

cult

ure

indu

stri

elle

73E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

thès

esB

eso

ins

de

con

serv

ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Eu

caly

ptu

s te

reti

corn

isE

nco

ura

ger

la

plan

tati

on c

omm

e ar

bre

poly

vale

nt

Man

uel

de

cult

ure

Sél

ecti

on d

e pr

oven

ance

s lo

cale

men

t ad

apté

es

Pro

duct

ion

&

diff

usi

on d

e m

atér

iel

végé

tal

Pro

duct

ion

co

mm

erci

ale

d’h

uil

e es

sen

tiel

le &

m

édic

amen

ts

Ess

ais

de p

rove

nan

ces

Mod

èles

de

croi

ssan

ce

Pro

mou

voir

com

me

cult

ure

indu

stri

elle

Eu

caly

ptu

s vi

min

alis

Pla

nta

tion

com

me

arbr

e po

lyva

len

t en

zo

nes

su

jett

es a

u g

el

Man

uel

de

cult

ure

Sél

ecti

on d

e pr

oven

ance

s su

péri

eure

s P

rodu

ctio

n &

co

mm

erci

alis

atio

n

de g

rain

es /

sem

is

Pro

duct

ion

co

mm

erci

ale

d’h

uil

e es

sen

tiel

le

Ess

ais

de p

rove

nan

ces

Lu

tte

inté

grée

(IP

M)

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

Mod

èles

de

croi

ssan

ce

Ph

ytoc

him

ie

Var

iati

on d

es p

ropr

iété

s du

boi

s

Pro

mou

voir

com

me

cult

ure

indu

stri

elle

Fag

arop

sis

ango

len

sis

Exp

loit

atio

n d

ura

ble

Exp

loit

atio

n d

ura

ble

Ess

ais

de p

lan

tati

on

Tau

x de

cro

issa

nce

P

ropr

iété

s m

édic

inal

es

not

amm

ent

les

com

posé

s an

tipl

asm

odiu

m

Etu

des

de t

oxic

ité

Ph

ytoc

him

ie

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Bes

oin

s de

co

nse

rvat

ion

en

E

thio

pie

et e

n

Tan

zan

ie

Pro

tect

ion

par

la

réco

lte

con

trôl

ée

Pri

se d

e co

nsc

ien

ce s

ur

la t

oxic

ité

pote

nti

elle

d’

extr

aits

Fic

us

sur

Usa

ges

mu

ltip

les

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

Etu

des

de t

oxic

ité

Fic

us

vari

ifol

iaU

tili

sati

on e

n

con

trep

laqu

éP

ropr

iété

s du

boi

s

Fic

us

voge

lian

aU

sage

s m

ult

iple

sU

tili

sati

on e

n

con

trep

laqu

éP

ropr

iété

s du

boi

s

Fil

laeo

psis

dis

coph

ora

Pro

duct

ion

co

mm

erci

ale

de

plac

ages

dér

oulé

s

Eco

logi

e R

égén

érat

ion

nat

ure

lle

Tau

x de

cro

issa

nce

P

ropr

iété

s m

édic

inal

es

Mu

ltip

lica

tion

P

rése

rvat

ion

P

hyt

och

imie

74E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

thès

esB

eso

ins

de

con

serv

ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Gm

elin

a ar

bore

aU

sage

s m

ult

iple

sE

ssai

s de

pro

ven

ance

s S

élec

tion

en

vu

e d’

adap

tati

on

Lu

tte

inté

grée

(IP

M)

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

M

odèl

es d

e cr

oiss

ance

S

élec

tion

en

vu

e de

ts

droi

ts e

t de

la p

rodu

ctiv

ité

Ph

ytoc

him

ie

Mu

ltip

lica

tion

géta

tive

Gre

wia

bic

olor

Pro

mou

voir

com

me

arbr

e po

lyva

len

t po

ur

les

plan

tati

ons

com

mu

nau

tair

es

Dév

elop

pem

ent

&

com

mer

cial

isat

ion

de

pro

duit

s n

on b

ois

Sél

ecti

on &

am

élio

rati

on

gén

étiq

ue

Ges

tion

T

aux

de c

rois

san

ce

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

P

ropr

iété

s du

boi

s

Ph

ytoc

him

ie

Etu

de d

u m

arch

éP

rote

ctio

n d

ans

les

régi

ons

où il

est

vu

lnér

able

Gre

wia

mol

lis

Usa

ges

mu

ltip

les

(boi

s d’

œu

vre,

légu

me,

co

mbu

stib

le &

pla

nte

m

édic

inal

e)

Syl

vicu

ltu

re

Tau

x de

cro

issa

nce

P

ropr

iété

s du

boi

s P

ropr

iété

s m

édic

inal

es

Pro

prié

tés

nu

trit

ion

nel

les

Mu

ltip

lica

tion

P

hyt

och

imie

Gu

area

ced

rata

Usa

ges

mu

ltip

les

Exp

loit

atio

n d

ura

ble

Ges

tion

E

ssai

s de

pla

nta

tion

S

élec

tion

en

vu

e de

cr

oiss

ance

rap

ide

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

l’UIC

N)

Con

trôl

e de

la r

écol

te

& é

vite

r la

dis

pari

tion

et

la d

égra

dati

on d

e so

n m

ilie

u

Gu

area

th

omps

onii

Exp

loit

atio

n d

ura

ble

Ges

tion

R

ech

erch

es t

axin

omiq

ues

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

l’UIC

N)

Con

trôl

e de

la r

écol

te

& é

vite

r la

dis

pari

tion

et

la d

égra

dati

on d

e so

n m

ilie

u

Hap

lorm

osia

mon

oph

ylla

Exp

loit

atio

n d

ura

ble

Tau

x de

cro

issa

nce

Mu

ltip

lica

tion

S

tati

stiq

ues

du

co

mm

erce

E

tude

s de

la n

odu

lati

on

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

l’UIC

N)

Con

trôl

e de

la

réco

lte

& é

vite

r la

grad

atio

n d

e so

n

mil

ieu

75E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

thès

esB

eso

ins

de

con

serv

ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Her

itie

ra d

ensi

flor

aG

esti

on

Car

actè

res

dist

inct

ifs

par

rapp

ort

à H

erit

iera

uti

lis

(bot

aniq

ue

& p

ropr

iété

s du

boi

s)

Mu

ltip

lica

tion

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Su

scep

tibl

e d’

éros

ion

nét

iqu

e

Her

itie

ra l

itto

rali

s T

aux

de c

rois

san

ce

Pro

tect

ion

des

gra

ines

G

esti

on

Sél

ecti

on e

n v

ue

de f

ûts

dr

oits

et

de g

ran

d di

amèt

re

Mu

ltip

lica

tion

P

roto

cole

s de

séc

hag

eL

égis

lati

on e

n v

ue

de

prot

éger

son

mil

ieu

Her

itie

ra u

tili

s

Mis

e en

pla

ce d

’arb

res

en p

lan

tati

ons

et e

n

forê

ts

Exp

loit

atio

n d

ura

ble

Syl

vicu

ltu

re

Ess

ais

de p

rove

nan

ces

Mu

ltip

lica

tion

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

l’UIC

N)

Lég

isla

tion

en

vu

e de

pro

tége

r l’e

spèc

e co

ntr

e l’e

xplo

itat

ion

Hib

iscu

s la

sioc

occu

sD

ével

oppe

men

t de

pl

anta

tion

s T

aux

de c

rois

san

ce

Mu

ltip

lica

tion

S

ylvi

cult

ure

C

olle

cte

de

ress

ourc

es

gén

étiq

ues

Ges

tion

pou

r l’e

xplo

itta

ion

du

rabl

e

Hil

deg

ard

ia

eryt

hro

siph

onU

tili

sati

on d

u b

ois

pou

r is

olat

ion

&

mod

elag

e

Ges

tion

pou

r la

pr

odu

ctio

n e

t l’u

tili

sati

on a

ccru

e

Var

iati

on g

énét

iqu

eS

éch

age

& p

rése

rvat

ion

du

boi

sC

olle

cte

de

ress

ourc

es

gén

étiq

ues

Hyp

odap

hn

is z

enke

riV

aria

tion

gén

étiq

ue

Réc

olte

du

rabl

e de

l’éc

orce

P

ropr

iété

s du

boi

s

Etu

de d

u m

arch

é S

tatu

t de

con

serv

atio

n

Ju

nip

eru

s be

rmu

dia

na

Pro

prié

tés

du b

ois

Ju

nip

eru

s pr

ocer

aU

sage

s m

ult

iple

sL

utt

e in

tégr

ée (

IPM

) S

élec

tion

en

vu

e de

sist

ance

à la

pou

rrit

ure

du

ur

Ris

que

faib

le (

Lis

te

rou

ge d

e l’U

ICN

)L

égis

lati

on e

n v

ue

de p

roté

ger

l’esp

èce

con

tre

l’exp

loit

atio

n

Kh

aya

anth

oth

eca

Lut

te in

tégr

ée (I

PM

) E

ssai

s de

pro

vena

nces

G

esti

on

Rég

énér

atio

n na

ture

lle

Tau

x de

cro

issa

nce

Sél

ecti

on e

n vu

e de

sist

ance

à H

ypsi

pyla

ro

bust

a

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

l’UIC

N)

Con

trôl

e de

la r

écol

te

& é

vite

r la

dis

pari

tion

de

son

mil

ieu

76E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

thès

esB

eso

ins

de

con

serv

ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Kh

aya

gran

dif

olio

laP

rodu

ctio

n

com

mer

cial

e de

go

mm

e et

de

méd

icam

ents

Col

lect

e de

gén

otyp

es d

ans

tout

e l’a

ire

Lut

te in

tégr

ée (I

PM

) P

ropr

iété

s m

édic

inal

es

Sél

ecti

on e

n vu

e de

sist

ance

à H

ypsi

pyla

ro

bust

aS

ystè

mes

de

gest

ion

E

ssai

s de

pro

vena

nces

App

lica

tion

s po

ur

la

gom

me

Lim

ites

des

esp

èces

da

ns

le g

enre

(éc

olog

ie

& m

orph

olog

ie)

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

l’UIC

N)

Con

trôl

e de

la r

écol

te

& é

vite

r la

dis

pari

tion

et

la d

égra

dati

on d

e so

n m

ilie

u

Kh

aya

ivor

ensi

sM

ise

en p

lace

en

pl

anta

tion

s m

ixte

s et

en

sys

tèm

es

agro

fore

stie

rs

Pro

duct

ion

de

méd

icam

ents

Rég

énér

atio

n

Sys

tèm

es d

e ge

stio

n

Lu

tte

inté

grée

(IP

M)

Sél

ecti

on e

n v

ue

de

rési

stan

ce à

Hyp

sipy

la

robu

sta

Tax

inom

ie

Ess

ais

de p

rove

nan

ces

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

Lim

ites

des

esp

èces

da

ns

le g

enre

(éc

olog

ie

& m

orph

olog

ie)

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

l’UIC

N)

Con

trôl

e de

la r

écol

te

& é

vite

r la

dis

pari

tion

et

la d

égra

dati

on d

e so

n m

ilie

u

Kh

aya

sen

egal

ensi

sM

ise

en p

lace

en

pl

anta

tion

s m

ixte

s E

xplo

itat

ion

du

rabl

e

Pro

duct

ion

co

mm

erci

ale

de

méd

icam

ents

Rég

énér

atio

n

Lu

tte

inté

grée

(IP

M)

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

M

éth

odes

de

réco

lte

dura

ble

Sél

ecti

on e

n v

ue

de

rési

stan

ce à

Hyp

sipy

la

robu

sta

Ess

ais

de p

rove

nan

ces

Con

serv

atio

n in

sit

u

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

l’UIC

N)

Con

trôl

e de

la r

écol

te

& é

vite

r la

dis

pari

tion

et

la d

égra

dati

on d

e so

n m

ilie

u

Kir

kia

acu

min

ata

U

sage

s m

ult

iple

sP

rom

ouvo

ir

l’uti

lisa

tion

en

pl

acag

es e

t co

mm

e ar

bre

orn

emen

tal

Pro

prié

tés

des

plac

ages

T

ech

niq

ues

de

mu

ltip

lica

tion

Lec

omte

dox

a kl

ain

ean

aE

xplo

itat

ion

du

rabl

e po

ur

le b

ois

d’œ

uvr

eC

olle

cte

de

ress

ourc

es

gén

étiq

ues

Pro

tect

ion

de

l’esp

èce

Lep

idot

rich

ilia

vol

ken

sii

Pro

prié

tés

du b

ois

Via

bili

té d

es g

rain

es

Let

estu

a d

uri

ssim

aE

xplo

itat

ion

du

rabl

e

77E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

thès

esB

eso

ins

de

con

serv

ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Lov

oa t

rich

ilio

ides

P

lan

tati

on

d’en

rich

isse

men

t de

la

for

êt

Lu

tte

inté

grée

(IP

M)

Mét

hod

es d

e ge

stio

n

dura

ble

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

Pré

serv

atio

n d

u b

ois

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

l’UIC

N)

En

cou

rage

r la

ges

tion

du

rabl

e

Mam

mea

afr

ican

aU

sage

s m

ult

iple

sS

élec

tion

pou

r de

s ty

pes

de f

ruit

su

péri

eurs

Lu

tte

inté

grée

(IP

M)

Agr

ofor

este

rie

Mu

ltip

lica

tion

géta

tive

S

éch

age

& r

etra

its

Man

son

ia a

ltis

sim

aG

esti

on p

our

la

prod

uct

ion

&

l’exp

loit

atio

n

dura

ble

Est

imat

ion

et

cart

ogra

phie

de

s re

ssou

rces

P

lan

tati

on &

agr

ofor

este

rie

Lu

tte

inté

grée

(IP

M)

Sta

tist

iqu

es d

e la

pr

odu

ctio

n &

étu

de d

u

mar

ché

Mil

icia

exc

elsa

Exp

loit

atio

n d

ura

ble

Sél

ecti

on /

amél

iora

tion

en

vu

e de

rés

ista

nce

au

x P

hyt

olym

aP

rodu

ctio

n d

e m

édic

amen

ts

Lu

tte

inté

grée

(IP

M)

Con

serv

atio

n in

sit

u

Ris

que

faib

le (

Lis

te

rou

ge d

e l’U

ICN

)

Lég

isla

tion

en

vu

e de

la

pro

tect

ion

Mil

icia

reg

iaE

xplo

itat

ion

du

rabl

eS

élec

tion

/ am

élio

rati

on e

n v

ue

de r

ésis

tan

ce a

ux

Ph

ytol

yma

Pro

duct

ion

de

méd

icam

ents

Lu

tte

inté

grée

(IP

M)

Con

serv

atio

n in

sit

u

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

l’UIC

N)

Lég

isla

tion

en

vu

e de

la

pro

tect

ion

Mil

lett

ia g

ran

dis

Usa

ges

mu

ltip

les

Pro

duct

ion

co

mm

erci

ale

de

bois

d’œ

uvr

e &

co

mm

erci

alis

atio

n

de g

rain

es /

sem

is

Pla

nta

tion

& a

grof

ores

teri

e R

évis

ion

du

gen

reP

roto

cole

de

séch

age

Pro

prié

tés

de s

ciag

e et

d’

usi

nag

e

Pro

prié

tés

de s

éch

age

Con

trôl

e de

la r

écol

te

dan

s le

s ré

gion

s où

u

ne

gran

de p

ress

ion

s’

exer

ce s

ur

les

peu

plem

ents

nat

ure

ls

Mil

lett

ia l

aure

nti

i

Usa

ges

mu

ltip

les

Reb

oise

men

t E

nlè

vem

ent

de

la r

ésin

e po

ur

amél

iore

r le

fi

nis

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Rég

énér

atio

n na

ture

lle

Tau

x de

cro

issa

nce

Mul

tipl

icat

ion

L

utte

inté

grée

(IP

M)

Mét

hode

s de

pro

duct

ioin

du

rabl

e R

évis

ion

du g

enre

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

l’UIC

N)

Con

trôl

e de

la r

écol

te

78E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

thès

esB

eso

ins

de

con

serv

ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Mil

lett

ia r

hod

anth

a

Dév

elop

pem

ent

com

mer

cial

de

pote

aux

et d

e m

onta

nts

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

P

rése

rvat

ion

du

boi

s R

évis

ion

du

gen

re

Ph

ytoc

him

ie

Mil

lett

ia r

ich

ard

ian

aD

ével

oppe

men

t co

mm

erci

al d

e po

teau

x et

de

mon

tan

ts

Pro

prié

tés

du b

ois

Pré

serv

atio

n d

u b

ois

R

évis

ion

du

gen

re

Mil

lett

ia s

tuh

lman

nii

R

égén

érat

ion

nat

ure

lle

Tau

x de

cro

issa

nce

R

évis

ion

du

gen

re

Mét

hod

es d

e sé

chag

e ef

fect

ives

& e

xam

en d

es

prot

ocol

es d

e sé

chag

e M

éth

odes

de

la

prod

uct

ion

du

rabl

e C

arto

grap

hie

gén

étiq

ue

Mis

e su

r pi

ed d

’un

pl

an d

’act

ion

afin

de

dév

elop

per

la

tran

sfor

mat

ion

sur

plac

e, d

’opt

imis

er la

ch

aine

de

dist

ribu

tion

et

de s

auve

gard

er l’

aven

ir

de la

pro

duct

ion

Mim

uso

ps a

nd

onge

nsi

sP

ropr

iété

s du

boi

s P

hyt

och

imie

Mim

uso

ps c

affr

aU

sage

s m

ult

iple

s

Mis

e en

val

eur

des

dun

es s

able

use

s en

gion

s cô

tièr

es

Ess

ais

de p

lan

tati

on

Pro

prié

tés

du b

ois

Val

eur

nu

trit

ion

nel

le d

u

fru

it

Mim

uso

ps e

len

gi

Usa

ges

mu

ltip

les

Pro

duct

ion

de

méd

icam

ents

Sél

ecti

on /

amél

iora

tion

nét

iqu

e S

ylvi

cult

ure

Mim

uso

ps k

um

mel

Usa

ges

mu

ltip

les

Val

eur

nu

trit

ion

nel

le d

u

fru

it

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

P

ropr

iété

s du

boi

s T

aux

de c

rois

san

ce

Ph

ytoc

him

ie

Mim

uso

ps m

axim

aU

sage

s m

ult

iple

sE

xplo

itat

ion

du

rabl

eR

édu

ctio

n p

ar le

clin

des

for

êts

nat

ure

lles

Pro

tect

ion

des

popu

lati

ons

subs

ista

ntes

Mim

uso

ps z

eyh

eri

Usa

ges

mu

ltip

les

Sél

ecti

on e

n v

ue

de

croi

ssan

ce r

apid

e A

grof

ores

teri

e G

esti

on

Pro

prié

tés

du b

ois

Mu

ltip

lica

tion

79E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

thès

esB

eso

ins

de

con

serv

ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Mor

us

mes

ozyg

iaU

sage

s m

ult

iple

sV

aria

tion

de

la

dura

bili

té n

atu

rell

e

Neo

har

msi

a ba

ron

iiC

olle

cte

de r

esso

urce

s gé

néti

ques

E

n da

nger

cri

tiqu

e d’

exti

ncti

on (L

iste

ro

uge

de l’

UIC

N)

Pro

tect

ion

de

l’esp

èce

Neo

lem

onn

iera

cl

itan

dri

foli

aP

lan

tati

on g

énér

ale

y co

mpr

is d

ans

les

arbo

retu

ms

et

jard

ins

bota

niq

ues

E

n d

ange

r (L

iste

ro

uge

de

l’UIC

N)

Pro

tect

ion

de

l’esp

èce

Nes

ogor

don

ia h

oltz

iiU

tili

sati

on e

n

con

fect

ion

loca

le d

e m

obil

ier

Ges

tion

vis

ant

la

con

serv

atio

n &

pr

odu

ctio

n d

ura

ble

de b

ois

d’œ

uvr

e

Est

imat

ion

et

cart

ogra

phie

de

s re

ssou

rces

B

esoi

ns

de c

onse

rvat

ion

Inve

nta

ire

Nes

ogor

don

ia

kabi

nga

ensi

sG

esti

on p

our

la

prod

uct

ion

du

rabl

eE

stim

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n e

t ca

rtog

raph

ie

des

ress

ourc

es

Rég

énér

atio

n n

atu

rell

e T

aux

de c

rois

san

ce

Inve

nta

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Mu

ltip

lica

tion

C

olle

cte

de

ress

ourc

es

gén

étiq

ues

V

uln

érab

le (

Lis

te

rou

ge d

e l’U

ICN

)

New

ton

ia b

uch

anan

iiU

sage

s m

ult

iple

s en

sys

tèm

es

agro

fore

stie

rs

Com

mer

cial

isat

ion

pa

r m

oyen

de

la

prod

ucti

on e

t de

la

diff

usio

n de

gra

ines

/ s

emis

Tau

x de

cro

issa

nce

Mu

ltip

lica

tion

T

rait

emen

t de

pr

éser

vati

on

Loc

alem

ent

sure

xplo

ité

Con

trôl

e de

la r

écol

te

New

ton

ia l

euco

carp

aP

rodu

ctio

n

com

mer

cial

e de

boi

s d’

œu

vre

Tau

x de

cro

issa

nce

Sta

tist

iqu

es d

e la

pr

odu

ctio

n &

étu

de d

u

mar

ché

Mét

hod

es d

e sé

chag

e à

l’air

app

ropr

iées

New

ton

ia p

auci

juga

Var

iati

on g

énét

iqu

e C

arto

grap

hie

gén

étiq

ue

Mét

hod

es d

e sé

chag

e ap

prop

riée

s M

ult

ipli

cati

on

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

l’UIC

N)

Con

trôl

e de

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écol

te

Not

hos

pon

dia

s st

aud

tii

Col

lect

e de

res

sour

ces

géné

tiqu

es

Vul

néra

ble

(Lis

te

roug

e de

l’U

ICN

)

En

cou

rage

r la

co

nse

rvat

ion

80E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

thès

esB

eso

ins

de

con

serv

ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Och

rom

a py

ram

idal

e U

tili

sati

on a

ccru

e po

ur

des

appl

icat

ion

s de

nic

he

Dév

elop

pem

ent

de

plan

tati

ons

& u

tili

sati

on

accr

ue

Sél

ecti

on /

amél

iora

tion

nét

iqu

e

Mu

ltip

lica

tion

S

urv

eill

er

l’en

vah

isse

men

t

Oco

tea

cym

osa

Tau

x de

cro

issa

nce

G

esti

onM

ult

ipli

cati

on

Oco

tea

ken

yen

sis

Su

ivi d

e l’e

xplo

itat

ion

de

s pe

upl

emen

ts

nat

ure

ls

Exp

loit

atio

n d

ura

ble

Tau

x de

cro

issa

nce

P

ropr

iété

s du

boi

s

Mu

ltip

lica

tion

P

hyt

och

imie

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

l’UIC

N)

Mes

ure

s de

pro

tect

ion

Oco

tea

usa

mba

ren

sis

Am

élio

rer

la

croi

ssan

ce e

n

plan

tati

ons

Man

uel

de

cult

ure

Pro

duct

ion

, co

mm

erci

alis

atio

n &

di

ffu

sion

de

grai

nes

Tau

x de

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issa

nce

R

écol

te d

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ble

de l’

écor

ce

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

Mu

ltip

lica

tion

S

tati

stiq

ues

de

la

prod

uct

ion

P

hyt

och

imie

S

tatu

t de

con

serv

atio

n

Oct

olob

us

spec

tabi

lis

Val

eur

nu

trit

ion

nel

le d

es

grai

nes

Od

yen

dye

a ga

bon

ensi

sP

ropr

iété

s m

édic

inal

es

Val

eur

nu

trit

ion

nel

le d

es

grai

nes

Tra

item

ent

de

prés

erva

tion

du

boi

s C

ontr

ôle

de la

réc

olte

Om

phal

ocar

pum

ela

tum

Eva

luat

ion

du

pot

enti

el

com

me

esse

nce

de

bois

d’

œu

vre

en f

orêt

nat

ure

lle

amén

agée

/ en

pla

nta

tion

s P

ropr

iété

s m

édic

inal

es

Ph

ytoc

him

ie

Ore

obam

bos

buch

wal

dii

E

nco

ura

ger

l’uti

lisa

tion

en

co

nst

ruct

ion

Tec

hn

iqu

es c

ult

ura

les

&

usa

ges

pote

nti

els

Mu

ltip

lica

tion

C

olle

cte

de

ress

ourc

es

gén

étiq

ues

Bes

oin

de

prot

ecti

on

pou

r la

Zam

bie

Orm

ocar

pops

is

itre

moe

nsi

sC

olle

cte

de r

esso

urce

s gé

néti

ques

E

n da

nger

cri

tiqu

e d’

exti

ncti

on (L

iste

ro

uge

de l’

UIC

N)

Bes

oin

de

prot

ecti

on

urg

ent

de l’

espè

ce

81E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

thès

esB

eso

ins

de

con

serv

ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Oxy

ten

anth

era

abys

sin

ica

Pro

mou

voir

com

me

arbr

e po

lyva

len

t et

po

ur

réh

abil

itat

ion

de

terr

ain

s M

anu

el d

e cu

ltu

re e

t de

réc

olte

Uti

lisa

tion

in

dust

riel

le c

omm

e su

bsti

tut

de b

ois

d’œ

uvr

e

Var

iati

on g

éogr

aph

iqu

e C

ycle

s de

flor

aiso

n &

su

rvie

de

s to

uff

es

Sta

tut

de c

onse

rvat

ion

&

essa

is d

e pr

oven

ance

s

Var

iati

on g

énét

iqu

e E

n d

ange

r en

G

uin

éeB

esoi

n d

e pr

otec

tion

pa

r en

droi

ts

Par

kia

bico

lor

Usa

ges

mu

ltip

les

Pro

duct

ion

co

mm

erci

ale

du

bois

d’œ

uvr

e po

ur

le

mar

ché

loca

l

Ges

tion

pou

r la

pro

duct

ion

co

mm

erci

ale

de p

laca

ges

&

con

trep

laqu

é

Tau

x de

cro

issa

nce

E

colo

gie

Pot

enti

el é

con

omiq

ue

de

la p

rodu

ctio

n d

e pl

acag

e et

de

con

trep

laqu

é T

rait

emen

t de

pr

éser

vati

on

Par

kia

fili

coid

ea

Usa

ges

mu

ltip

les

Val

eur

nu

trit

ion

nel

le

Pot

enti

el c

omm

e ar

bre

fru

itie

r

Mét

hod

es d

e sé

chag

e ap

prop

riée

s P

rése

rvat

ion

du

boi

s

Per

icop

sis

ango

len

sis

Tau

x de

cro

issa

nce

G

esti

on

Ess

ais

de p

lan

tati

on

Tec

hn

iqu

es d

e ré

colt

e du

rabl

e de

s ra

cin

es e

t de

l’é

corc

e P

ropr

iété

s m

édic

inal

es

Sél

ecti

on e

n v

ue

de f

ûts

dr

oits

Mod

èles

d’e

xplo

itat

ion

du

rabl

e po

ur

les

pote

aux

et le

boi

s de

feu

P

hyt

och

imie

Per

icop

sis

elat

aE

xplo

itat

ion

du

rabl

eT

aux

de c

rois

san

ce

Ges

tion

L

utt

e in

tégr

ée (

IPM

)

Sél

ecti

on e

n v

ue

de

croi

ssan

ce r

apid

e &

sist

ance

à L

ampr

osem

a la

teri

tial

is

Mod

èles

d’e

xplo

itat

ion

du

rabl

e P

hyt

och

imie

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

En

dan

ger

(Lis

te

rou

ge d

e l’U

ICN

)

Con

trôl

e de

la

réco

lte

afin

d’a

ssu

rer

l’exp

loit

atio

n d

ura

ble

dan

s le

s fo

rêts

n

atu

rell

es

Ph

yllo

xylo

n p

erri

eri

Exp

loit

atio

n d

ura

ble

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

En

dan

ger

(Lis

te

rou

ge d

e l’U

ICN

)

Bes

oin

de

prot

ecti

on

adéq

uat

e de

son

mil

ieu

n

atu

rel

Ph

yllo

xylo

n

xylo

phyl

loid

esE

xplo

itat

ion

du

rabl

eP

hyt

och

imie

Col

lect

e de

res

sour

ces

géné

tiqu

es

Vul

néra

ble

(Lis

te

roug

e de

l’U

ICN

)

Bes

oin

de

prot

ecti

on

adéq

uat

e de

son

mil

ieu

n

atu

rel

82E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

thès

esB

eso

ins

de

con

serv

ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Pin

us

cari

baea

Usa

ges

mu

ltip

les

Lu

tte

inté

grée

(IP

M)

Sél

ecti

on e

n v

ue

de q

ual

ité

supé

rieu

re d

u b

ois

Pro

prié

tés

du b

ois

des

hyb

ride

s et

des

pr

oven

ance

s di

vers

es

Pin

us

elli

otti

iA

mél

iore

r le

tau

x de

cr

oiss

ance

par

sél

ecti

on

Pin

us

kesi

yaS

élec

tion

/ am

élio

rati

on e

n v

ue

de f

ûts

rec

tili

gnes

Ges

tion

L

utt

e in

tégr

ée (

IPM

) P

ropr

iété

s du

boi

s de

s pr

oven

ance

s di

vers

esC

ontr

ôle

& g

esti

on

(en

vah

issa

nt)

Pin

us

ooca

rpa

Impo

rtat

ion

de

res

sou

rces

nét

iqu

es

Hyb

rida

tion

ave

c P

inu

s pa

tula

Pro

prié

tés

du b

ois

des

prov

enan

ces

dive

rses

Pin

us

patu

laA

rbre

pol

yval

ent

pou

r le

s zo

nes

au

-des

sus

de

1200

m d

’alt

itu

de

Sél

ecti

on e

n vu

e de

ren

dem

ents

et

de q

uali

té d

u bo

is

amél

ioré

s Im

port

atio

n

de r

esso

urce

s gé

néti

ques

Am

élio

rer

la q

ual

ité

du

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Con

trôl

e &

ges

tion

(e

nva

his

san

t)

Pin

us

rad

iata

Usa

ges

mu

ltip

les

Sél

ecti

on e

n v

ue

de

rési

stan

ce a

ux

mal

adie

s L

utt

e in

tégr

ée (

IPM

)

Pro

prié

tés

du b

ois

des

prov

enan

ces

dive

rses

T

rait

emen

t de

pr

éser

vati

on

Pip

tad

enia

stru

m

afri

can

um

Usa

ges

mu

ltip

les

Ges

tion

pou

r la

pr

odu

ctio

n d

ura

ble

Tau

x de

cro

issa

nce

G

esti

on

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

R

écol

te d

ura

ble

de l’

écor

ce

Inve

nta

ire

Ph

ytoc

him

ie

Pla

tyse

palu

m c

hev

alie

ri

Su

bsti

tut

de c

arye

r co

mm

e so

urc

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s po

ur

les

équ

ipem

ents

sp

orti

fs

Pla

tyse

palu

m v

iola

ceu

m

Ple

ioca

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pycn

anth

a

Pro

duct

ion

de

mon

tan

ts e

t d’

ust

ensi

les

dura

bles

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

P

ropr

iété

s du

boi

sP

hyt

och

imie

83E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

thès

esB

eso

ins

de

con

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ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Pod

ocar

pus

lati

foli

us

Usa

ges

mu

ltip

les

Con

serv

atio

n

Sél

ecti

on e

n v

ue

de

croi

ssan

ce r

apid

e

Col

lect

e de

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sour

ces

géné

tiqu

es

Ris

que

faib

le (L

iste

ro

uge

de l’

UIC

N)

Pro

tect

ion

Pon

gam

iops

is p

ervi

llea

na

Su

ivie

des

peu

plem

ents

Pro

tect

ion

de

son

m

ilie

u

Pou

teri

a ad

olfi

-fri

eder

icii

Pro

mou

voir

des

te

chn

iqu

es o

ptim

ales

de

réc

olte

et

de

tran

sfor

mat

ion

Tec

hniq

ues

de g

esti

on

dura

ble

pour

la

prod

ucti

on d

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iage

s et

de

plac

ages

Pro

tect

ion

de

son

m

ilie

u d

ans

cert

ain

es

régi

ons,

par

ex.

dan

s le

su

d-ou

est

de l’

Eth

iopi

e

Pou

teri

a al

nif

olia

Pro

mou

voir

com

me

arbr

e po

lyva

len

t en

zo

nes

sèc

hes

Rar

e da

ns

plu

sieu

rs

régi

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Pro

tect

ion

des

pe

upl

emen

ts lo

cau

x

Pou

teri

a al

tiss

ima

Man

uel

de

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tem

ent

aprè

s ré

colt

e T

ech

niq

ues

opt

imal

es

de r

écol

te e

t de

tr

ansf

orm

atio

n

Tec

hn

iqu

es d

e ge

stio

n d

ura

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Col

lect

e de

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ssou

rces

nét

iqu

es

Ris

que

faib

le (

Lis

te

rou

ge d

e l’U

ICN

)

Con

trôl

e de

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xplo

itat

ion

Pou

teri

a an

inge

riM

anu

el d

e tr

aite

men

t ap

rès

réco

lte

Tec

hn

iqu

es o

ptim

ales

de

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olte

et

de

tran

sfor

mat

ion

Tec

hn

iqu

es d

e pr

odu

ctio

n a

mél

ioré

e T

ech

niq

ues

de

gest

ion

du

rabl

e

Réc

olte

du

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e

Pre

mn

a an

gole

nsi

sP

ropr

iété

s m

édic

inal

esP

hyt

och

imie

Pre

mn

a m

axim

aC

olle

cte

de r

esso

urce

s gé

néti

ques

V

ulné

rabl

e (L

iste

ro

uge

de l’

UIC

N)

Con

trôl

e de

la r

écol

te

Pse

ud

ober

sam

a m

ossa

mbi

cen

sis

Pro

prié

tés

du b

ois

Pro

tect

ion

de

son

m

ilie

u

Pse

ud

oced

rela

kot

sch

yiU

sage

s m

ult

iple

s

Pro

tect

ion

con

tre

feu

Per

spec

tive

s po

ur

le

déve

lopp

emen

t de

m

édic

amen

ts

Mét

hod

es d

e ré

colt

e du

rabl

e de

l’éc

orce

et

des

raci

nes

P

ropr

iété

s du

boi

s P

ropr

iété

s m

édic

inal

es

Ph

ytoc

him

ie

Con

trôl

er l’

expl

oita

tion

de

l’éc

orce

84E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

thès

esB

eso

ins

de

con

serv

ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Pta

erox

ylon

obl

iqu

um

Pro

prié

tés

inse

ctic

ides

Col

lect

e de

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ssou

rces

nét

iqu

es

Bes

oin

de

prot

ecti

on

en v

ue

de la

su

rexp

loit

atio

n p

ar

endr

oits

Pte

roca

rpu

s an

gole

nsi

sU

sage

s m

ult

iple

s U

tili

sati

on d

es

sou

s-pr

odu

its

de

l’exp

loit

atio

n p

our

le

bois

d’œ

uvr

e po

ur

la

prod

uct

ion

de

tein

ture

M

éth

odes

de

réco

lte

dura

ble

Pro

duct

ion

de

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icam

ents

et

de

colo

ran

ts

Evi

ter

la m

arbr

ure

du

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s P

rote

ctio

n c

ontr

e le

s m

alad

ies

fon

giqu

es

Pro

prié

tés

colo

ran

tes

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

T

ech

niq

ues

de

gest

ion

du

rabl

e

Ger

min

atio

n

Côt

é éc

onom

iqu

e de

la

prod

uct

ion

de

tein

ture

et

de

méd

icam

ents

en

ta

nt

que

sou

s-pr

odu

its

de l’

expl

oita

tion

pou

r le

bo

is d

’œu

vre

Sta

tist

iqu

es d

e la

pr

odu

ctio

n e

t du

co

mm

erce

P

rote

ctio

n d

es g

rain

es

Con

serv

atio

n in

sit

u

Prè

s d’

être

vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

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N)

Bes

oin

de

prot

ecti

on

Pte

roca

rpu

s er

inac

eus

Pla

nta

tion

com

me

arbr

e po

lyva

len

t en

ag

rofo

rest

erie

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

S

élec

tion

en

vu

e de

ca

ract

ères

uti

les

Con

trôl

e de

la r

écol

te

Pte

roca

rpu

s lu

cen

sU

sage

s m

ult

iple

sT

ech

niq

ues

de

gest

ion

du

rabl

e P

ropr

iété

s m

édic

inal

es

Ph

ytoc

him

ie

Con

trôl

e de

la r

écol

te

Pte

roca

rpu

s os

un

Pro

duit

s de

soi

ns

pou

r la

pea

uP

ropr

iété

s du

boi

s P

ersp

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ves

pou

r l’u

tili

sati

on c

omm

erci

ale

com

me

bois

d’œ

uvr

e P

ropr

iété

s m

édic

inal

es

Etu

des

d’in

noc

uit

é &

mét

hod

es p

our

déba

rras

ser

les

grai

nes

des

fac

teu

rs

anti

nu

trit

ion

nel

s &

co

mpo

san

ts t

oxiq

ues

P

hyt

och

imie

Bes

oin

de

prot

ecti

on

Pte

roca

rpu

s ro

tun

dif

oliu

sU

sage

s m

ult

iple

s P

ropr

iété

s du

boi

sP

rote

ctio

n d

es g

rain

es

Pte

roca

rpu

s sa

nta

lin

oid

esP

lan

tati

on c

omm

e ar

bre

poly

vale

nt

en

agro

fore

ster

ie

Arb

re o

rnem

enta

l

Pro

prié

tés

du b

ois

85E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

thès

esB

eso

ins

de

con

serv

ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Pte

roca

rpu

s so

yau

xii

Pla

nta

tion

com

me

arbr

e po

lyva

len

t en

ag

rofo

rest

erie

P

rom

ouvo

ir

l’exp

loit

atio

n d

ura

ble

Exi

gen

ces

de c

rois

san

ce

Ess

ais

de p

lan

tati

on

Côt

é éc

onom

iqu

e de

la

prod

uct

ion

de

tein

ture

et

de

méd

icam

ents

en

ta

nt

que

sou

s-pr

odu

its

de l’

expl

oita

tion

pou

r le

bo

is d

’œu

vre

Pro

prié

tés

de la

te

intu

re &

tec

hn

iqu

es

d’ex

trac

tion

Con

serv

atio

n in

sit

u

Bes

oin

de

mes

ure

s de

pro

tect

ion

afi

n

de s

auve

gard

er la

va

riab

ilit

é gé

nét

iqu

e

Pte

roca

rpu

s ti

nct

oriu

sU

sage

s m

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iple

s S

ubs

titu

t de

P.

ango

len

sis

Eva

luat

ion

des

pe

rspe

ctiv

es c

omm

e bo

is

d’œ

uvr

e co

mm

erci

al

Pro

prié

tés

de la

te

intu

re

Pte

rygo

ta m

acro

carp

a U

sage

s m

ult

iple

s In

diqu

é po

ur

des

plan

tati

ons

et

pou

r pl

anta

tion

d’

enri

chis

sem

ent

Ges

tion

pou

r la

pr

odu

ctio

n e

t l’u

tili

sati

on d

ura

bles

Est

imat

ion

et

cart

ogra

phie

de

s re

ssou

rces

A

grof

ores

teri

e G

esti

on d

es p

lan

tati

ons

Inve

nta

ire

Mu

ltip

lica

tion

Col

lect

e de

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ssou

rces

nét

iqu

es

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

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N)

Pro

tect

ion

de

son

m

ilie

u

Pte

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ta m

ild

brae

dii

In

diqu

é po

ur

plan

tati

ons

mix

tes

Pro

prié

tés

du b

ois

&

uti

lisa

tion

Pyr

anth

us

alas

oaP

ropr

iété

s du

boi

s P

ropr

iété

s m

édic

inal

es

Qu

assi

a u

nd

ula

taU

sage

s m

ult

iple

s M

anu

el d

e tr

aite

men

t ap

rès

réco

lte

Pro

mou

voir

co

mm

e su

bsti

tut

de T

ripl

och

iton

sc

lero

xylo

n

Ess

ais

de p

lan

tati

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Rég

énér

atio

n n

atu

rell

e

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

Tra

item

ent

de

prés

erva

tion

S

tati

stiq

ues

de

la

prod

uct

ion

& é

tude

du

m

arch

é

Loc

alem

ent

sure

xplo

ité

dan

s qu

elqu

es p

ays

Con

trôl

e de

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écol

te

là o

ù il

est

su

rexp

loit

é

Qu

ivis

ian

the

papi

nae

Est

imat

ion

et

cart

ogra

phie

de

s re

ssou

rces

T

aux

de c

rois

san

ce

Rég

énér

atio

n n

atu

rell

e A

ptit

ude

à la

pla

nta

tion

d’

enri

chis

sem

ent

Sta

tist

iqu

es d

e la

pr

odu

ctio

n

Inve

nta

ire

des

peu

plem

ents

Rh

odog

nap

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on

brev

icu

spe

Usa

ges

mu

ltip

les

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

Pro

prié

tés

de la

te

intu

re

Pro

prié

tés

des

fibr

es

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

l’UIC

N)

En

cou

rage

r l’e

xplo

itat

ion

du

rabl

e de

s pe

upl

emen

ts

nat

ure

ls

86E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

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rec

her

che

Su

jets

de

thès

esB

eso

ins

de

con

serv

ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Rh

odog

nap

hal

on

sch

um

ann

ian

um

Usa

ges

mu

ltip

les

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

V

aleu

r n

utr

itio

nn

elle

des

gr

ain

es

Pro

prié

tés

des

fibr

es

Sak

oan

ala

mad

agas

cari

ensi

sP

ropr

iété

s du

boi

sE

ssai

s de

mu

ltip

lica

tion

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Vu

lnér

able

(L

iste

ro

uge

de

l’UIC

N)

Pro

tect

ion

de

l’esp

èce

et d

e so

n m

ilie

u

Sid

erox

ylon

in

erm

e U

tili

sati

on c

omm

e co

upe

-feu

Pro

prié

tés

du b

ois

Pro

prié

tés

méd

icin

ales

Sta

tut

de c

onse

rvat

ion

Sin

aru

nd

inar

ia a

lpin

aU

sage

s m

ult

iple

s M

anu

el d

e tr

aite

men

t ap

rès

réco

lte

Dév

elop

pem

ent

des

cadr

es p

our

la

tran

sfor

mat

ion

et

la

com

mer

cial

isat

ion

Cla

rifi

cati

on d

e la

var

iati

on

géog

raph

iqu

e In

ven

tair

e de

s de

man

des

de l’

indu

stri

e de

s fi

bres

T

rait

emen

t de

pr

éser

vati

on

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

Bes

oin

de

régl

emen

tati

ons

nat

ion

ales

su

r le

s ba

mbo

us

Ste

rcu

lia

appe

nd

icu

lata

U

sage

s m

ult

iple

sP

ropr

iété

s du

boi

s P

ropr

iété

s m

édic

inal

esP

hyt

och

imie

Ste

rcu

lia

oblo

nga

Pré

serv

atio

n d

u b

ois

Pro

toco

les

de s

éch

age

Col

lect

e de

res

sour

ces

géné

tiqu

es

Vul

néra

ble

(Lis

te

roug

e de

l’U

ICN

)

Pro

tect

ion

de

son

m

ilie

u

Ste

rcu

lia

quin

quel

oba

Usa

ges

mu

ltip

les

(boi

s d’

œu

vre,

com

bust

ible

, go

mm

e)

Pot

enti

el p

our

la

prod

uct

ion

de

gom

me

Eth

nob

otan

iqu

e C

him

ieS

urv

eill

er l’

uti

lisa

tion

de

l’es

pèce

Ste

rcu

lia

rhin

opet

ala

Pré

serv

atio

n d

u b

ois

Pro

toco

les

de s

éch

age

Su

rvei

ller

l’u

tili

sati

on

de l’

espè

ce

Str

eblu

s d

imep

ate

Pot

enti

el e

n p

arqu

eter

ie,

en s

culp

ture

et

en t

ourn

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Dom

esti

cati

on

Sta

tut

de c

onse

rvat

ion

Sw

iete

nia

mac

roph

ylla

Ges

tion

pou

r la

pr

odu

ctio

nS

élec

tion

en

vu

e de

re

nde

men

ts e

t de

sist

ance

à H

ypsi

pyla

Lu

tte

inté

grée

(IP

M)

E

ssai

s de

pla

nta

tion

Mu

ltip

lica

tion

géta

tive

87E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

thès

esB

eso

ins

de

con

serv

ati

on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Sw

iete

nia

mah

agon

iG

esti

on p

our

la

prod

ucti

on

Uti

lisa

tion

des

hy

brid

es p

our

une

mei

lleu

re r

ésis

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et

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s m

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Val

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sage

s m

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ts

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ygiu

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sage

s m

ult

iple

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ult

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cati

on v

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en

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for

me

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ût

& r

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men

ts

Ph

ytoc

him

ie, d

ont

la

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de

l’éco

rce

Pru

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ce d

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ploi

de

l’éc

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ns

méd

icin

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na

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a U

sage

s m

ult

iple

sP

ropr

iété

s du

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ropr

iété

s m

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inal

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mu

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les

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tem

ent

des

grai

nes

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ès

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Pla

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tion

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les

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ropr

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s du

boi

s en

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n

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trai

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re

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par

les

com

mu

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tés

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les

88E

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eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

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e la

rec

her

che

Su

jets

de

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esB

eso

ins

de

con

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ati

on

Mes

ure

s p

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tiq

ues

Th

espe

sia

popu

lnea

Usa

ges

mu

ltip

les

Pla

nta

tion

con

tre

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litt

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l

Lu

tte

inté

grée

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M),

y

com

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ur

les

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site

s du

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Déc

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ou

inte

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pla

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tion

da

ns

les

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ltu

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Tie

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afr

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tili

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n

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Pro

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de

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sse

com

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le g

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Col

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es

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dan

ger

(Lis

te

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ge d

e l’U

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e de

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écol

te

Tie

ghem

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hec

keli

iP

lan

tati

ons

et

agro

fore

ster

ie p

our

bois

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uvr

e et

hu

ile

Man

uel

de

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ure

Col

lect

e de

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ssou

rces

nét

iqu

es

En

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ger

(Lis

te

rou

ge d

e l’U

ICN

)

Pro

tect

ion

de

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m

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u &

con

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e de

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réco

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Too

na

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Lu

tte

inté

grée

(IP

M)

Tri

chil

ia g

ilgi

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prié

tés

méd

icin

ales

Ph

ytoc

him

ie

Tri

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ia m

onad

elph

aU

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s m

ult

iple

sP

ropr

iété

s m

édic

inal

es

Réc

olte

du

rabl

e de

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orce

Ph

ytoc

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ie

Tri

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ia p

rieu

rean

aP

ropr

iété

s m

édic

inal

esP

hyt

och

imie

Tri

ploc

hit

on s

cler

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on

Pla

nta

tion

s cl

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esS

élec

tion

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es

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rieu

rs

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ltip

lica

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ent

vuln

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trôl

e de

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te

dan

s le

s fo

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rell

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afri

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duct

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du

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is d

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nce

E

colo

gie

Ges

tion

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ion

du

rabl

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êt n

atu

rell

e S

élec

tion

en

vu

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amél

iore

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for

me

du f

ût

Col

lect

e de

re

ssou

rces

nét

iqu

es

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uge

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ruct

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er le

s pe

rspe

ctiv

es

pou

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tica

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E

colo

gie

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tipl

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ion

C

ultu

re

Ren

dem

ents

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ech

no

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can

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ével

op

pem

ent

La

cun

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e la

rec

her

che

Su

jets

de

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eso

ins

de

con

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on

Mes

ure

s p

oli

tiq

ues

Vau

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ia d

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Col

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e de

re

ssou

rces

nét

iqu

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Vep

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Usa

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mu

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ur

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s m

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tibl

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e ar

bre

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Per

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tive

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ph

ytot

hér

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Tax

inom

ie e

n f

onct

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olog

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t de

l’é

colo

gie

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Vit

ex fi

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Arb

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diqu

é po

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gra

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le

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de l’

écol

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r le

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opri

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lnér

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Vit

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Usa

ges

mu

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Tau

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nce

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lle

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s m

ult

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rois

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wh

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Col

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dan

ger

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rou

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e l’U

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erci

s m

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sis

E

xplo

itat

ion

du

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eS

élec

tion

&

amél

iora

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en

vu

e de

cro

issa

nce

rap

ide

Ess

ais

de p

lan

tati

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aleu

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itio

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elle

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fru

itC

olle

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esso

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E

n da

nger

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te

roug

e de

l’U

ICN

)

Con

trôl

e de

la r

écol

te

90E

spèc

eT

ech

no

log

ies

can

did

ate

sL

acu

nes

du

d

ével

op

pem

ent

La

cun

es d

e la

rec

her

che

Su

jets

de

thès

esB

eso

ins

de

con

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on

Mes

ure

s p

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tiq

ues

Xer

oder

ris

stu

hlm

ann

iiU

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s m

ult

iple

sM

éth

odes

de

réco

lte

dura

ble

Rég

énér

atio

n n

atu

rell

e T

aux

de c

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san

ce

Pro

prié

tés

méd

icin

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Ph

ytoc

him

ie

Xyl

ia e

van

sii

Pro

prié

tés

du b

ois

Tau

x de

cro

issa

nce

Mu

ltip

lica

tion

Zan

thox

ylu

m d

avyi

Pro

prié

tés

méd

icin

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P

hyt

och

imie

P

rote

ctio

n a

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Zim

babw

e

Zan

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ylu

m g

ille

tii

Usa

ges

mu

ltip

les

Pot

enti

el p

our

des

plan

tati

ons

Dév

elop

pem

ent

de

méd

icam

ents

Ges

tion

des

pop

ula

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s en

fo

rêt

nat

ure

lle

Ess

ais

de g

erm

inat

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M

ult

ipli

cati

on

Etu

des

sur

le s

tock

age

des

grai

nes

Men

acé

par

l’exp

loit

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n

séle

ctiv

e

Zan

thox

ylu

m h

eitz

iiU

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s m

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iple

s M

anu

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e tr

aite

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t ap

rès

réco

lte

Ess

ais

de p

lan

tati

on

Pro

prié

tés

méd

icin

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Mu

ltip

lica

tion

P

hyt

och

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Ris

que

pote

nti

el

d’ér

osio

n g

énét

iqu

e da

ns

l’ave

nir

En

cou

rage

r l’e

xplo

itat

ion

du

rabl

e

Zan

thox

ylu

m

tsih

anim

posa

Inve

nta

ire

Dét

erm

iner

le s

tatu

t de

co

nse

rvat

ion

91

92

PROTA en bref

Le programme “Ressources végétales de l’Afrique tropicale” (PROTA) a été lancé en 2000 et est devenu un partenariat de 11 institutions dans 11 pays pendant la Phase préparatoire 2000–2003. Depuis le 19 février 2003, PROTA fonctionne en tant que fondation internationale, domiciliée à Wageningen, Pays-Bas.

PROTA est un important programme “de synthèse d’informations et de rapatriement des connaissances”. Ce programme se propose d’introduire dans le domaine public (africain) la “littérature mondiale” sur les plantes utiles de l’Afrique tropicale, accessible uniquement à quelques privilégiés à l’heure actuelle, et de contribuer à une plus grande conscience des plantes et à leur usage durable, dans le respect des connaissances traditionnelles et des droits de propriété intellectuelle. PROTA décrira les quelque 7000 plantes utiles pendant la Phase opérationnelle 2003–2012. Les véhicules d’information seront des bases de données sur le web (www.prota.org) accessibles gratuitement, une série de livres et de CD-Rom à prix bas représentant 16 groupes d’usage, et des produits spéciaux par groupe d’usage pour les acteurs du développement rural, de l’éducation, de la recherche et de la politique (tous en anglais et en français).

PROTA 1: Céréales et légumes secs (2006) PROTA 9: Plantes auxiliairesPROTA 2: Légumes (2004) PROTA 10: Bois de feuPROTA 3: Colorants et tanins (2005) PROTA 11(1): Plantes médicinales 1 (2008) PROTA 4: Plantes ornementales PROTA 12: Epices et condiments PROTA 5: Plantes fourragères PROTA 13: Huiles essentielles et exsudatsPROTA 6: Fruits PROTA 14: Oléagineux (2007)PROTA 7(1): Bois d’œuvre 1 (2008) PROTA 15: Plantes stimulantesPROTA 8: Sucres et amidons PROTA 16: Plantes à fibres

PROTA Network Office Europe, c/o Wageningen University B.P. 341, 6700 AH Wageningen, Pays-BasPROTA Network Office Africa, c/o World Agroforestry Centre (ICRAF) B.P. 30677-00100, Nairobi, Kenya, (www.prota.org)

AFRIQUE DE L’OUEST

1. Cap-Vert 2. Mauritanie3. Sénégal4. Gambie5. Guinée-Bissau6. Guinée7. Sierra Leone8. Liberia9. Côte d’Ivoire10. Mali11. Burkina Faso12. Ghana13. Togo14. Bénin15. Niger16. Nigeria

AFRIQUE CENTRALE

17. São Tomé-et-Principe18. Cameroun19. Tchad20. Centrafrique21. Guinée équatoriale22. Gabon23. Congo24. République démocratique du Congo25. Rwanda26. Burundi

AFRIQUE DE L’EST

31. Somalie32. Kenya33. Ouganda34. Tanzanie

27. Soudan28. Erythrée29. Ethiopie30. Djibouti

AFRIQUE AUSTRALE

35. Malawi36. Zambie37. Angola38. Namibie39. Botswana40. Zimbabwe41. Mozambique

ILES DE L’OCEAN INDIEN

42. Comores43. Mayotte (Fr)44. Madagascar45. Seychelles46. Réunion (Fr)47. Maurice

10

2

1

3

45

6

7

8

9

11

1213

15

16

17

18

22 23

21

19

28

24

37

38 39

40

41

3536

33

32

3445

42

43

44

4647

31

27

28

29

30

2526

14

Série PROTA Recommande

lacunes du développement

Série PROTA

Recommande

lacunes de la recherche

besoins de conservation

besoins de conser-vation

mesures politiques

sujets de thèses

technologies candidates

technologies candidates

Formation professionnelle

Réseaux de recherche

Enseignement supérieur

Politique

Développement rural(vulgarisation)

Secteur privé

AgriculteursPopulations forestières

Entrepreneurs villageois