buzznews10- carte blanche le graphelier
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Agenda des Cultures //Urbaines// de Montpellier et ses environs. Carte Blanche au Graphelier, groupement d'indépendants à Montpellier.TRANSCRIPT
news #10
Novembre 2010
L’agenda des cultures // urbaines //
à Montpellier et ses environs
Buzz
le raphelier &
éditO2
Nous sommes tous profondément bouleversés par le décès d’un « Grand Homme ,» qui a guidé et orienté le développement local, par l’amour dévoué à son territoire, Montpellier, puis le Languedoc-Roussillon. Il représentait le caractère méditerra-néen, il aimait et respirait sa culture, il était ancré dans nos racines Antique et cette vision première de la Politique, l’Agora et l’Empire.
Nous mesurons mieux encore aujourd’hui, l’image de ce visionnaire, par les témoignages de l’un et de l’autre. Nous lui sommes tous reconnaissant pour l’héritage qu’il nous lègue. Cette Ville, Montpellier, la surdouée, le développement des uni-versités, du monde de la recherche et des activités de demain. Un bouillonnement culturel qu’il n’a eu de cesse de mobiliser, du tissu local aux festivals de rang national voire international.
Le Roi est mort, vive le Roi !! Une nouvelle ère s’ouvre avec ses risques mais aussi ses opportunités. La ville et ses acteurs doivent se tourner vers l’avenir en conservant un cap visionnaire, ouvert sur l’autre, sans se laisser bouffer par le consensualisme ou le conservatisme. Innover, inventer, interroger et surtout agir sur la ville, agir pour la ville.
En ce mois de novembre, la première Zone Artistique Temporaire s’ouvre dans le quartier d’Antigone avec comme ambition d’animer 10 ans d’intervention urbaine. Un chalenge double : faire oublier les Quartiers Libres (manifestations qui a su recueillir un avis unanime chez les acteurs locaux et le public) et réussir à créer à partir d’interventions artistiques une appropriation de l’espace urbain... Beau programme pour ouvrir une nouvelle page.
Férial « Polaroïds, capt
eurs de rêves »
L’association a crée u
n espace dédié
aux artistes souhaitan
t faire la pro-
motion de leurs travau
x par le biais
de nos outils web. La
première artiste
que nous accueillons s
’appelle Férial,
artiste complète origi
naire d’Alger et
vivant actuellement en
PACA. Elle nous
fait découvrir sa séri
e de Polaroïds
accompagnées de poèmes
qu’elle a appelé
« Polaroïds, capteurs
de rêves » ! Nous
vous invitons donc à p
asser voir son
espace dans notre rubr
ique « artistes »
sur notre site : www.b
uzzarts.org
Appel aux bénévolesDans le cadre du Super-nova, nous faisons appel aux bénévoles pour nous aider dans l’organisation et la logistique du festival. Merci de prendre contact directement par mail : [email protected]
c u sTA
Supernova, Montpellier Photo festival off : du 7 au 22 mai 2011
L’appel à candidatures est disponible sur notre site, aucun thème n’est
imposé et les dossiers sont à envoyer avant le 31 janvier 2011 :
www.supernovafestival.wordpress.com/candidatures
Nous avons déjà eu quelques retours sur notre changement de nom et nous sommes
heureux de savoir que cette évolution vous motive davantage. Les premières
propositions de projets de photos dans la rue nous sont parvenues.
Nous étudions leurs faisabilités.
3
Carte blanche à le Graphelier
le Graphelier : Mat
le Graphelier : Ju
le Graphelier : Fanch
jeux
Bons plans Shop & Food
Bons plans Culture
Bons plans Ailleurs
Gros plan sur...
Retrospective
Street art : Montpellier
Concept carte blanche
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OH ! com
me *
Le Graphelier est un regroupement de professionnels indépendants spécialisé dans différents domaines multimédia : photo, infographie, webdesign et édi-torial.
Forts de leur complicité et de leur complémentarité, les six yeux du Graphelier se sentent comme les trois doigts de la main et s’allient pour proposer un autre regard sur la communication en réaction au forma-tage esthétique actuel.
Que vous soyez professionnel ou particulier, le Graphelier est l’interlocuteur privilégié qu’il vous faut dès lors que vous avez un message à faire passer !
Quelle est ton approche artistique ? D’où vient-elle ?
Ju : Je place toujours l’idée en avant dans mes créa-tions, c’est-à-dire que je cherche avant tout le sens, puis je l’habille. Ensuite tout est bon à prendre : le net est une sorte d’ultra-grenier pour moi, on y trouve tout et n’importe quoi, on mélange les ingrédients comme pour faire une potion vaudou désopilante. J’aime le décalage, la folie, l’excès (avec modéra-tion !).
Mat : En ce qui me concerne c’est plutôt l’art qui m’approche. Sinon j’essaie de retranscrire ma réa-lité, de traduire une émotion, isoler le chaos. Répren-senter par le biais d’images des éléments matériels de manière abstraite et en tout cas purement imagi-native reste une forte ligne directrice dans mon tra-vail graphique ou photographique.
Fanch : Cela fait des années que j’écris et j’ai pris goût à la conception graphique grâce à mon mé-tier de webdesigner. Ce que j’aime par dessus tout, c’est utiliser les mots en tant qu’image, les intégrer dans mes compositions pour ce qu’ils sont : des sym-boles visuels.
As-tu des influences que tu revendiques ?
Mat : Le punk, la musique reste une influence ma-jeure. Dans le domaine de l’image, c’est le Noir & Blanc qui m’a attiré en premier, ces photographies granuleuses sans trop de gris d’artistes comme Mario Giacomelli.
Ju : Salvador Dali m’a éveillé à l’art dans mon ado-lescence, où je peignais à l’huile en écoutant du Hendrix, Pink Floyd, Gong etc. tout en encensant l’atmosphère de senteurs orientales... Plus person-nellement, j’aime faire des montages humoristiques en mettant mes amis en scène dans des situations cocasses, en m’appliquant à un rendu aussi vrai que nature.
Fanch : Pas particulièrement, tout peut être source d’inspiration, même les éléments les plus « basiques » ; par exemple, mon dernier projet s’appelle « Comité Radical Antipoétique » et utilise les outils de la pu-blicité pour montrer des textes en prose sous forme d’affiche mais c’est bien entendu plus une provoca-tion qu’une prospection. Marre de voir ces 4x3 qui nous vendent tout et n’importe quoi sans réflexion !
Quels sont tes prochains projets ?
Fanch : Je suis actuellement en train d’écrire mon 7ème recueil de poésie (dont 5 sont toujours en attente de publication) et je m’essaye à d’autres formes d’écriture. Je viens de terminer le site d’un photographe et d’une comédienne en attendant de commencer celui d’une association. Et puis, j’ai-merais bien reprendre la batterie également dans un groupe de rock et ainsi retrouver mes premières amoures...
Mat : Retrouver mon appareil photo volé pour pou-voir participer au festival Supernova organisé par Buzz’Arts.
Ju : Retrouver le type qui a volé l’appareil de Mat pour lui racheter à moindre frais ! Ça coûte cher ces ptites bêtes ! Et ça m’aiderait grandement à avoir de la matière « fraiche » pour mes créations (appel aux généreux donateurs).
Quels sont les lieux et les moments que tu affec-tionnes ?
Ju : Le crépuscule, les coins de nature encore intacts (oui oui il y en a) et le monde des rêves.
Mat : Ici et maintenant !
Fanch : J’adore la nuit, je suis insomniaque mais maintenant j’assume, je profite. C’est fou la percep-tion des choses qu’on peut avoir quand on vit en décalé ; ne serait-ce que sortir se balader en pleine ville à 4h du matin, quand tout est désert et que tu croises les mecs en fin de soirée qui sont en train de rentrer chez eux, ou tout du moins d’essayer... La nuit m’inspire.
Un mot pour te décrire ?
Mat : Hair-ethic !
Fanch : Pouet !
Ju : Supercalifragilistikespialidocious !
le raphelierça déchire
Plus d’infos sur www.legraphelier.fr
Carte blanche à
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Série 12
* 3
pom
mes
...
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Mathieu Catonné, photo/infographie http://mathieucatonne.wifeo.com
Gyohei Zaitsu
Série 12
Québec
Rémi Laroussinie
Lena CircusPlaine des sables Hors des sentiers battus
jo
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www.fanchy.fr
écriture
musique
webdesign
infographie
photo
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Pour Halloween, Rahan ci-dessous s’est déguisé ; sau-ras-tu retrouver le personnage qu’il incarne (sachant que par élimination, ça n’est pas Lady Gaga...) ?
Combien de portraits de Liliane Bettencourt ne sont pas présents dans ce webzine ?
A la rubrique « bon plan CULTURE », il n’y a pas 7 différences entre les pages de gauche et de droite ; sauras-tu quand même en déceler ?
Pour le mois de la contes-tation, octobre rouge oblige, trouve un slogan génial avec les mots suivants : cacahuète, turpitude et inflation.
Quelle est la différence entre un rhinoféroce ?C’est qu’il ne peut ni voler.
Solution de la page 21 : Il n’y a pas de page 21.
Jeux
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BAOBAB MONTPELLIER : LA JARDINERIE CRÉATIVEDepuis 1998, l’enseigne Baobab s’est développé et compte désormais 150 jardineries sur toute la France. Le concept : un agencement conçu
pour la mise en scène des végétaux, de la décoration et l’espace animalerie. Tout en un, l’espace regroupe les besoins d’une jardinerie créa-
tive pour occuper vos week-ends ensoleillés et pourquoi pas craquer sur un petit chiot qui vous aura fait les yeux doux !
203 rue Ferdinand Barre, Clos des hirondelles à Montpellier
Bons plans SHOPPING & FOODING
LA VIE SAINE : LE MAGASIN SPÉCIALISTE DU BIOSi vous être soucieux de l’environnement et de la provenance de vos produits achetés. Vous avez certaine-
ment marre du surplus de packaging qui ne sert à rien, du poids de l’emballage payé toujours trop cher par rapport au poids du produit réel acheté. Filez faire un tour du côté de la Vie Saine, le magasin spécialiste du bio. www.laviesaine.fr4 magasins en Languedoc-Roussillon : ouvert du lundi au samedi de 9h à 19h
3, rue Castilhan à Montpellier et nouveau : 30 rue de l’Industrie, Zone Artisanale à La Grande MotteART’MANIAC : RECYCL’ARTAu centre de Montpellier, juste à côté de la Préfecture, ce magasin expose les créations d’artistes qui ont pour obses-
sion de travailler à partir d’objets récupérés, une vraie caverne à Alibaba si vous cherchez des objets rares et originaux.
Le magasin organise également la collecte de différents matériaux afin de les revaloriser ou de les redistribuer à leurs
artistes. Un vrai bonheur de pourvoir donner un second souffle à ces vieux objets trouvés !
6, rue Bonnier d’Alco à Montpellier
MIKI KAYA : CRÉATRICE DE MOBILIERS INDUSTRIELSAu sein de son atelier boutique, Florence transforme, interprète et détourne le mobilier industriel, d’usine, des meubles d’atelier et peut même vous confectionner des meubles sur mesure avec des pièces dénichées spécialement pour vous.
www.mikikaya.comLundi et vendredi : 10h-12h30 et 14h-19h
Mardi, mercredi, jeudi et samedi sur rendez-vous.53 rue de la méditerrannée à Montpellier
CAFÉ LÉON : RESTAURANT AGRICOLE
Le café Léon est un restaurant agricole et authentique. On y déguste par exemple de la viande Salers, de la charcuterie et du
fromage du Cantal. Côté décoration, les torchons à carreaux en guise de nappes plantent le décor. Et pour rester dans le même
registre, des saucisses sont suspendues au mur. En un mot, un style authentique! Le service est sympathique, l’adresse est
connue alors on vous conseille tout de même de réserver à l’avance.
12, rue du Plan-d’Agde - 34000 Montpellier - Tél : 04 67 60 56 83
BLABLABAR : RESTAURANT ET BAR à TAPASPour le ventre, les yeux et les oreilles, le Blablabar restaurant vous propose une cuisine du monde simple et parfaitement exécutée à des prix très abordables : Plat du jour le soir à 9 €, le midi à 8,5 €, conf it de canard, magret. A noter pour se restaurer rapidement les formules hamburgers & frites maison à partir de 6 € le midi et 8 € le soir. Coté vins, la carte vous permettra de découvrir les vins de la région, assis sur le mobilier original du lieu, tous réalisés à partir d’objets récupérés. Le Blablabar c’est aussi un lieu de culture et de rencontre où les artistes ont la part belle avec des expositions organisées toutes les 3 semaines, des concerts acoustiques chaque semaine... Dans cet état d’esprit, l’invitation est lancée à venir vous détendre en buvant un verre accompagné de tapas maison.Du mardi au vendredi de 18h30 à 1h00, samedi de 18h30 à 1h. Fermé le dimanche et lundi. Dernières commandes 23h00.4, rue de Candolle -Montpellier - Tel : 04 67 55 68 40
9
Z.A.T. Les zones artistiques temporaires de Mont-pellier à Antigone. 30 spectacles et surprises urbaines, plus de 60 rendez-vous pendant quatre jours, du 11 au 14 novembre 2010. Découvrez la programmation chaque jour sur Face-book et sur le site zat.montpellier.fr
Johan Lorbeer est en l’air. Tranquillement, il défie les lois de la gravité. A Montpellier, au cœur d’Antigone, quartier d’espaces publics où l’architecture semble sculpter le vide, cette performance de l’artiste ber-linois vous fera sourire, ou vous inquiètera un peu. Retrouvez-le samedi 13 novembre à 14h30 et à 18h.
Montana SHOP11 rue d’Alger, Montpellier«Exposition rétrospectives : les 20 ans du graffiti à Montpellier »
Vernissage : 5 novembre 19HExpo du 06.11.2010 au 15.01.2010
Concept store - 4 rue de l’Université, Montpellier« Exposition du graffeur montpelliérain : PskteaR » jusqu’au 25 novembreLes arts urbains sont à l’honneur dans cette boutique-galerie de la rue de l’université. Ce mois-ci le graffeur montpelliérain PskteaR, nous propose ses
dernières créations sur toile. Un style qui se rapproche de plus en plus des coloristes pastels, de la peinture
abstraite ce qui fait de lui un artiste de la nouvelle génération qui ose franchir les
frontières du graf figuratif... et quand c’est bien fait, ça fait du bien !! http://psktear.com
Nouvelle faç
ade commercial
e
habillée par
le graffeur
montpelliérai
n SMOLE
Bons plans CULTURE
10 &
Maison pour Tous Boris Vian 14 rue de l’améthysteExposition collective de photo-graphie sur le thème annuel de la Maison pour Tous « Là où je vais »Jusqu’au 19 novembre, ouvert du lundi au vendredi 9h à 12h et 14h à 19h
Philippe Domergue présente dans l’espace cultu-
rel de l’IUFM de Montpellier une installation :
Mémorial, Retirada.
La Retirada, du mot « retraite » en espagnol, est
l’exode des réfugiés espagnols de la guerre civile.
Philippe Domergue, photographe plasticien ori-
ginaire de Perpignan découvre les photos prises
par Manuel Moros en 1939. Se pose alors, pour
lui la question suivante : Comment montrer ces
images d’un peuple abandonné à lui-même ?
Comment garder la mémoire de cet exil, exil à
son pays, à soi-même ?
Philippe Domergue décide alors de « bâtir des images ». Une installation photographique, quasi
architecturale, de très grande dimension. Dans l’espace du lieu d’exposition, le spectateur est écrasé
par ces images qui le regardent.
Exposition ouverte du 14 septembre au 14 décembre, du lundi au vendredi, de 10h à 18h.
Espace culturel - IUFM site de Montpellier - Bat A2, place Marcel Godechot
Montpellier
Tramways : arrêt stade Philippidès
Si vous avez raté l’exposition à l’l’Auditorium de Sauramps Odyssée pen-dant la première édi-tion du OFF des Bou-tographies, Songes et Démences est pré-sentée à nouveau au Théâtre Jean Vilar. Entre onirisme et surréalisme, l’ex-position « songes et démence » tente d’offrir au specta-teur un voyage dans un monde fantastique. Loin des conventions de la photographieclassique, elle nous transporte dans un uni-vers contemporain, au-delà des limites du réel. Des photo-montages tissant le lien entre une situation et la pensée philosophique, so-ciologique ou psychologique qui en résulte.
Et si vous devenez Fan des photos de Frank et des textes de son amie, vous apprécierez l’exposition « j’y étais » à la Galerie A la Barak, 10 rue de la Petite Loge, jusqu’au 27 novembre.
Théâtre Jean Vilar, 155 Avenue de BologneExposition du photographe Frank PUYAU« Songes et démence »
Miss Buffet Froid fête les « 1 an » de son premier Ouvrage auto-
produit Fragments d’Eve. Vous pourrez découvrir des extraits de
l’ouvrage via des poèmes ainsi que des autoportraits réalisés avec
une webcam. Puis sous forme d’une installation de cartes postales,
découvrez le contenu de son futur ouvrage. Il s’agit de la ré-
trospective de ses travaux en tant que modèle-comédienne (sortie
prévue début 2011 chez Ragage Edition, préface Manu Larcenet).
pré-commande du futur ouvrage : [email protected].
Achetez l’ouvrage Fragments d’Eve http://fr.blurb.com/bookstore/detail/902364
http://www.missbuffetfroid.com/http://fragment.eve.free.fr/
Cinéma Diagonal Capitole, 5 rue Verdun, Montpellier
Exposition Miss Buffet FroidJusqu’au 30 novembre 2010
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CONFLUENCES190 boulevard de Charonne - Paris 20ème
Du 3 au 13 novembre Entre l’espace et le temps, Jadikan travaille l’instant, des anciennes
cités népalaises jusqu’aux usines en ruines. Après une escale à la
Galerie WM à Lyon en septembre, Jadikan LP présente ses photo-
graphies à Confluences. Entre le Népal, la Bretagne et les friches
parisiennes, et sans retouche informatique, le light painting
permet de peindre des fresques qui n’ont pour limite que l’inventivité du photographe.
Vernissage le mercredi 3 novembre - 19 h www.poselumiere.com
Bons plans AILLEURSARTAQ AWARDSEspace Beaurepaire, 28 rue Beaurepaire, Paris X°Première exposition de la tournée des ARTAQ AWARDS. Avant d’aller à Berlin, Bruxelles et Lyon, la première exposition des ARTAQ AWARDS est présentée à Paris dans le X° arrondissement. Les 32 artistes sélectionnés présentent leurs travaux à l’Espace Beaurepaire : Sculpture, pochoir, graffiti, photo, digital arts, peinture. Parmi eux, nous nous devons de citer nos amis Italien Yapwilli et Garagolo, qui ont participé entre autres, à la première édition du festival OFF des Boutographies pour leurs travaux de light painting, « signes de lumière » repérés et sélectionnés aussi pour ces ARTAQ AWARDS.
GALERIE POLAYOU
17, rue des moines 75017 PARIS
Du 2 au 30 novembre
A l’occasion du Mois de la Photo Off 2010, la
Galerie PolaYou présente son exposition
consacréee au Polaroid. A l’honneur une
exposition collective :
Thibault Tourmente,
Fangchen Dong,
François Darmigny...
La passion du grain
POLAROID exprimée à
travers des états d’âmes
instantanés, qui se ren-
contrent et s’entremêlent...
Vernissage le 5 novembrede 18h à 21h30
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Galerie Orenda, 54 rue de Verneuil, Paris VII°
Rétrospective du photographe Pete TURNER, le maître de la couleur« Four directions in colors »
Jusqu’au 20 novembre.
« La couleur pour la couleur » Venez découvrir une vingtaine d’œuvre du plus génial
des coloristes de la photo. Né le 30 mai 1934 à Albany (N.Y. USA), Pete Turner est
exposé face à un jeune photographe russe, Tom Wolf. Un face à face insolite.
CHATEAU DE LA FALGALARIE
AUSSILLON (TARN)
Du 22 octobre au 20 novembre
En partenariat avec le Musee
des Abattoirs de Toulouse et
le Festival "Echos d’ici,
echos d’ailleurs" de Labas-
tide-Rouairoux - Oeuvres du
Musee des Abattoirs de Tou-
louse, FRAC Midi-Pyrenees
LE POINT BAR38 Rue de la Noue Bras de Fer, Nantes
Du 5 novembre au 7 janvier 2011Jinks Kunst StencilExposition de stencil à Nantes - 02 40 35 20 67lepointbar.com | http://jinkstencil.jimdo.com/
GALERIE MANDY’ART, 16 rue maury, toulouse
Exposition photo de Fréderic JG photographer
« Traveling, 42th street, NYC »
du 4 novembre au 30 décembre
http://frederic-jg.com/expomandyart.htm
LA GALERIE CELAL ET GRAFFITI ART MAGAZINE Exposition Tilt, My Love Letters
Du 23 octobre au 27 novembre 2010
L’exposition post-graffiti qui s’inscrit dans la semaine de l’art contemporain à Paris, à ne manquer sous aucun prétexte !
Tilt est, selon une représentation collective commune, le... charmeur de ces dames et l’artiste des BubbleGirls. Le talent de ce grand enfant prend sa source à la fois dans l’innocence et le plaisir.
L’exposition My Love Letters se déploie sur les trois niveaux de la Galerie Celal et donne beaucoup d’œuvres inédites à voir au public : des peintures sur toile, des photos, une installation sous forme de chambre d’hôtel, des sculptures, et même une reconstitution de chapelleavec ses vitraux.
Vernissage le samedi 23 octobre à partir de 18 h, en présence de l’artiste
Galerie Celal - 45, rue Saint-Honoré, Paris 1erwww.galeriecelal.com - 01 40 26 56 35
XIII
MUSEE D’ART MODERNE DE PARIS, 11 avenue du Président Wilson 75016 GRANDE RETROSPECTIVE DE JEAN-MICHEL BASQUIATJusqu’au 30 Janvier 2011Le Musée d’Art moderne de la
Ville de Paris consacre une vaste rétrospective à l’artiste américain Jean-Michel Basquiat, une pre-mière de cette envergure à être présentée en France.
D’origine portoricaine et haï-tienne, né en 1960 à Brooklyn dans l’Etat de New York et mort à New York en 1988 à la suite d’une overdose à l’âge de vingt-sept ans, Basquiat appartient à la génération des graffiteurs qui a brusquement émergé à New York à la fin des années 70.
En 1977, il commence à signer ses graffitis du nom de SAMO (pour « Same Old Shit ») accom-pagné d’une couronne et du sigle du copyright. Au cours de sa fulgurante carrière, sa peinture passe de la rue au tableau. Son univers mélange les mythologies sacrées du vaudou et de la Bible en même temps que la bande dessinée, la publicité et les mé-dias, les héros afro-américains de la musique et de la boxe, et l’affir-mation de sa négritude.
Il définit ainsi une contre-culture
urbaine, underground, violente et anarchique, pétrie de liberté et de vitalité. En 1982, Basquiat est invité à participer à la Documenta 7 de Kassel en Allemagne. L’an-née suivante, il est le plus jeune et premier artiste noir à exposer à la Biennale du Whitney Museum of American Art à New York. À par-tir de 1984, il réalise en commun
des peintures avec Andy Warhol jusqu’à la mort de ce dernier en 1987.
S’étant toujours défini comme un
peintre influencé par son envi-ronnement urbain quotidien, les racines de sa pratique « expres-sionniste primitiviste » sont à trou-ver du côté d’une peinture euro-péenne d’après-guerre, celle de Jean Dubuffet, réfractaire à l’« asphyxiante culture » ou celle de Cobra, ainsi que du côté de la grande tradition américaine de Robert Rauschenberg à Cy Twom-bly.
Après sa mort prématurée en 1988, il laisse une œuvre consi-dérable habitée par la mort, le racisme et sa propre destinée. Sa vie brûlante et explosive, mêlant le star-système et la révolte, a ins-piré en 1996 le film « Basquiat » du peintre et cinéaste Julian Schnabel.
En 1984, le musée d’Art moderne de la Ville de Paris avait déjà pré-senté Jean-Michel Basquiat dans une exposition collective consa-crée au mouvement de la Figu-ration Libre France/USA, aux côtés de Robert Combas, Hervé Di Rosa, Keith Haring.
Sarah Hadad
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Loin de croire que les sphères du pouvoir doivent s’immiscer dans la sphère cultu-relle, notre belle France innove. Après les affaires financières en tout genre, après la négation d’un peuple nomade, après les censures de la presse ou l’at-teinte au secret des sources journalis-tiques, Monsieur S. notre cher et mal aimé Président et consorts, s’imposent comme censeur culturel et artistique au nom de la protection …. des mineurs. Quelle belle blague … !? A l’heure où la pornographie est accessible d’un simple click sur le net, ils ont décidé d’INTER-DIRE au moins de 18 ans l’exposition du grand LARRY CLARCK.
C’est le monde à l’envers. Au lieu de leur permettre de s’interroger sur les dérives de l’adolescence par le biais du médium photographique et de l’œil de l’artiste, loin d’être complaisant et en-
core moins de faire l’apologie du sexe et de la drogue, la SOCIETE (ou plutôt celle de la droite puritaine) préfère se voiler la face.
L’obscénité partout sur les médias n’est pas censurée, aucun moyen n’est mis en œuvre pour réellement protéger nos enfants et nous allons faire croire que censurer cette exposition va permettre de vivre dans une société plus apaisée ?
Bien au contraire. Au lieu de s’interroger sur cette réalité, les adolescents vont la vivre … comme toutes les autres géné-rations avant eux et sûrement moins que les générations qui viendront. Plus on cache, moins on éduque et plus on incite. Belle preuve d’incompréhension d’une société dirigée par des vieux, pour des vieux.LARR
YLARRY CLARK, quand la France puritaine et autoritaire prend le pouvoir...
la CENSURE !
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gros plan blog street artLe street art ou les arts urbains se democratisent. Nous ne comptons plus les blogs qui se creent pour donner a voir ou pour diffuser des images ou des actualites de ce mouvement.
Parmi eux, nous voulions vous presenter 4 blogs plus qu’interessant, qui vous permettront de suivre la production actuelle.
L’actualisation de ces blogs est le principal critere pour connaitre du dyna-misme et donc de l’interet que l’on peut y porter. Evidement, notre sitewww.buzzarts.fr tentera de vous guider dans ce marasme mais deja nous souhai-tons vous presenter le blog qui montre le plus d’interet : stick2target. Un blog qui nous arrive du Portugal, plus precisement de Lisbonne. Une ville qui temoigne du dynamisme de sa creation. Vous n’avez qu’a vous balader dans le quartier Bairro Alto pour vous rendre compte de la presence des plus grands noms du street art mais aussi de tous ces portugais qui oeuvrent au quotidien.
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http://www.stick2target.com
http://www.stencilhistoryx.com
http://www.unurth.com http://www.ekosystem.org
RetrospectiveFree Market
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02-03 octobre
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Street Art Views : MONTPELLIER
Jonny Style
Jonny Style
Symbolic Art
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Street Art Views : MONTPELLIERMist
Al
Notre concept de CARTE BLANCHE permet à
un artiste par mois d’avoir carte blan
che sur l ’adap-
tation de notre newsletter (couverture + typographie
+ graphisme de la maquette intérieure).
En s’appropriant notre newsletter, une page
interview
lui est dédiée pour présenter son
travail et parler de
son actualité.
Artistes programmés pour les prochains numéros :
#11 - Decembre 2010 : Juhavey (illustrateur)
#12 - Janvier 2011 : Amylee (art designer)
#14 - Et si c’etait vous ?
Concept CARTE BLANCHERETRO VISIONRetrouvez les anciens numé-ros de la carte blanche dans notre galerie numérique ou sur notre site internet :
www.buzzarts.fr
BUZZ NEWS#8Septembre 2010Carte Blanche à Kidou (Montpellier) http://issuu.com/buzzarts/docs/buzz_
news_8-sep-tembre_2010
BUZZ NEWS#9Octobre 2010Carte Blanche à Elise Ortiou Campion(Montpellier) http://issuu.com/buz-
zarts/docs/buzznews9-oct2010
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