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Cline Lamare

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Vido : http://www.ted.com/talks/dan_pink_on_moti vation?language=fr#t-313343 http://www.ted.com/talks/dan_pink_on_moti vation?language=fr#t-313343

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Trois besoins physiologiques ( extrait du site : http://jean.heutte.free.fr/spip.php?article160 )http://jean.heutte.free.fr/spip.php?article160 Autonomie ( ou autodtermination ) : rfre au sentiment de se sentir l'origine ou la source de ses actions, de sorte quelle est en congruence avec elle et quelle lassume entirement (deCharms, 1968 ; Deci & Ryan, 1985). Cependant, agir de faon autonome ne veut pas dire agir seul : il convient de bien distinguer lautonomie et lindividualisme. Nous serions mme tent de dire que paradoxalement, il est presque imprativement ncessaire dtre avec dautres pour ressentir rellement son autonomie, notamment quand il sera possible de percevoir quils respectent nos choix, mme sils ne les partagent pas. Comptence : rfre un sentiment defficacit sur son environnement (Deci, 1975 ; White, 1959), ce qui stimule la curiosit, le got dexplorer et de relever des dfis. elle seule, lefficacit ne suffit pas toutefois susciter le sentiment dtre comptent ; elle doit comprendre aussi le sentiment de la prise en charge personnelle de leffet produire (Laguardia & Ryan, 2000). L encore, il est difficile de ressentir rellement sa comptence sans quelque part sa confirmation par dautres. Souvent, certaines de nos comptences sont dabord perues par dautres alors que nous nen avons mme pas conscience (Le Boterf, 2004). Cette rvlation, et donc le bien-tre psychologique qui en dcoule, ne peut seffectuer sans eux. Appartenance sociale : implique la perception de laffiliation et le sentiment dtre reli des personnes qui sont importantes pour soi (Baumeister & Leary, 1995 ; Ryan, 1993). Ressentir une attention dlicate et sympathique confirme alors quon est quelquun de signifiant pour dautres personnes et objet de sollicitude de leur part (Reis, 1994). Satisfaction des trois besoins = sentiment de bien-tre Lautonomie est le besoin le plus fondamental

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obligation Eviter la culpabilit Pour faire plaisir Choix de lactivit par llve Activit qui a du sens par rapport un projet ( dont la motivation est intrinsque ) Doivent faire des activits qui parfois ne les intresse pas mais qui est utile Hobbies Plaisir de la pratique de lactivit Satisfaction russite Rsignation Pas de motivation du tout Seuil dautodtermination Lactivit nest pas pratique pour le plaisir quelle apporte, mais pour des raisons souvent totalement externes lindividu. Projet de vie, en lien avec les valeurs personnelle Motivation extrinsque car motivation lie au but atteindre

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La perception de la valeur d'une activit est le jugement quun lve porte sur lutilit et l'intrt de celle-ci en vue datteindre les buts quil poursuit (ECCLES, WIGFIELD et SCHIEFELE, 1998). La perception de sa comptence est une perception de soi par laquelle un lve, avant dentreprendre une activit qui comporte un degr lev dincertitude quant sa russite, value ses capacits laccomplir de manire adquate (PAJARES, 1996). La perception de contrlabilit se dfinit comme tant la perception qua un lve du degr de contrle quil peut exercer sur le droulement et les consquences dune activit pdagogique (DECI, VALLERAND, PELLETIER et RYAN, 1991). On rencontre souvent chez les lves en difficult dapprentissage la forme la plus aigu du sentiment de perte de contrle quun lve puisse ressentir : limpuissance apprise. Il sagit dune raction dabdication de la part de llve, qui en vient croire en son incapacit russir, quoi quil fasse. Par exemple, dans le cadre dun cours de franais, langue seconde, un lve souffrira dimpuissance apprise si, lgard dactivits dcriture, il croit quil sera toujours un mauvais scripteur; il a beau essayer dcrire sans faire derreurs, a ne marchera jamais.

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Ces trois sources motivationnelles influencent trois comportements dapprentissage : L'engagement cognitif correspond au degr d'effort mental que l'lve dploie lors de l'excution d'une activit d'apprentissage (SALOMON, 1983). Cet engagement se traduit par lutilisation systmatique et rgulire de stratgies dapprentissage. Un lve dmotiv utilise sur une base rgulire des stratgies dvitement. Ces stratgies consistent en des comportements quil adopte pour viter de sengager dans une activit ou pour retarder le moment o il doit laccomplir. La persvrance se traduit par le temps que l'lve consacre des activits dapprentissage, alors que la performance dsigne les rsultats de lapprentissage, cest--dire un ensemble de comportements indiquant le degr de russite une activit.

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Une meilleure connaissance des sources de la dynamique motivationnelle nous permet maintenant de rpondre la question pourquoi bon nombre dlves en difficult dapprentissage sont dmotivs en classe, alors que dautres demeurent motivs. Ils sont dmotivs, car ils jugent inutiles ou inintressantes la matire et les activits dapprentissage qui leur sont proposes ; se sentent incapables de faire ce quon leur demande ou craignent de ne pas possder les capacits ncessaires ; ont limpression de navoir aucune responsabilit dans ce quon leur demande de faire et croient que leurs succs ou leurs checs ne dpendent pas deux. Ils sont motivs, car ils jugent utiles ou intressantes la matire et les activits dapprentissage qui leur sont proposes ; se sentent capables de faire ce quon leur demande ; ont limpression davoir une certaine part de responsabilit (contrle) d ans le droulement de leurs apprentissages et croient que leurs succs comme leurs checs dpendent en grande partie deux.

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Se sentir comptent Coopration: aide entraide tutorat travail de groupe Les intelligences multiples Choix de lactivit Plan de travail Juger utile / sens par rapport un projet Texte libre Crations mathmatiques Communication : twitter blog audioboo Quoi dneuf - confrences Classer les matires, expliquer quoi a sert Appartenance sociale Coopration Conseil coopratif Dbat philo Quoi dneuf - confrences