chavouot 5773

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Prospectus de Chavouot 5773 du Vaad Harabanim

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Page 1: Chavouot 5773

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Les mots des mères d’Israël, à travers les époques et les pays, ont rencontré ceux d’un immense Rav. Chaque année, Roch ‘Hodech Sivan est l’occasion de prononcer ces mots de lumière, et de s’associer à la prière du Chlah Hakadoch pour la protection et la réussite de notre bien le plus cher : nos enfants…

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Les mères d’Israël ont de tout temps inventé des prières afin de protéger leurs enfants. Combien de fois prions-nous pour eux? Avec combien de larmes prononçons-nous des mots simples, mais sortis tout droit du cœur ? Quelle mère au monde fait-elle l’économie de tefilot sans sidour, prononcées à chaque instant du jour ou de la nuit ?

Car notre enfant est notre trésor. Rien ne compte plus que sa réussite, son bien-être, sa santé. Que ne donnerait-on pas pour lui ? En ces temps troublés, en ces temps de difficultés morales et matérielles, en ces temps de défi spirituel, nous sommes prêts à tout pour assurer à nos enfants l’harmonie et le bonheur. Mais comment y parvenir ?

Chacun investira selon ses forces et ses moyens. Pour Isaac, il s’agira d’inscrire ses enfants dans

les meilleures écoles. Pour Sara, il faudra tous les jours un professeur particulier. Pour Myriam, il faudra veiller à ses fréquentations. Pour d’autres encore, ce sera tout cela à la fois.

Les enfants d’Israël, depuis les temps immémoriaux, ont compris que l’avenir résidait dans la transmission. « Le peuple de prêtres » ne pourrait vaincre les difficultés, ne pourrait survivre dans l’adversité, ne pourrait faire face et perdurer sans cet investissement de tous les instants et cette attention permanente accordés aux enfants.

Et grâce à Hachem, nous avons réussi. Mais les menaces sont permanentes et les écueils nombreux. Nous savons que ce n’est pas nos seuls efforts qui nous permettront de remporter

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la partie. Il faudra y ajouter un peu de magie : chez nous, cette magie s’appelle la prière.

Les deux tables de l’allianceL’histoire nous a appris que la prière tient une place prépondérante dans tous les domaines de la vie juive. Depuis que nos pères, les patriarches, ont adressé des louanges et des requêtes au Créateur, nous faisons de même, avec la certitude qu’aucune d’entre elles ne se perd. La prière d’un père, les pleurs d’une mère ont une force égale à tous les investissements.

Ces prières, mots de bénédiction et de lumière, sont le terreau sur lequel pourront être semés les graines de la réussite, arrosées par les larmes des mères.

Au 17e siècle, le grand Rav Yechayahou Horovitz, plus connu par le nom de son livre le « Chné lou’hoth habrith », le Chlah Hakadoch, devint le chef de la communauté de Jérusalem. Il avait été précédemment décisionnaire dans plusieurs villes d’Europe et avait acquis une grande réputation. Son érudition

dans tous les domaines de la Thora avaient fait de lui l’un des plus grands Sages de son temps. Il laissa en héritage un livre fondamental « Les deux tables de l’alliance ». Et il légua également à la postérité une prière, qui a rencontré depuis lors un succès toujours grandissant : la prière pour les enfants. Or, le Chlah dévoila un secret très précieux, en nous révélant que le moment propice pour réciter cette tefila était la veille de Roch ‘Hodech Sivan. Car Sivan est le mois durant lequel a été donnée la Thora. C’est grâce à l’observance de la Thora que nous sommes appelés, encore aujourd’hui, « enfants d’Hachem ».

Aujourd’hui encoreIl est des mots éternels, qui portent en eux tant de lumière qu’il est bon de les prononcer avec application et concentration. La prière du Chlah Hakadoch fait partie de ces textes saints dont Hachem a permis le dévoilement pour le bien de Ses enfants. Car si les épreuves sont nombreuses, Il ne nous laisse pas seuls pour les surmonter. « Hachem donne l’antidote avant l’affection », explique les ‘Hazal. Les défis sont immenses,

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Notre Maitre le Mekoubal Rabbi

David Abou'hatseira chlita

Notre Maitre le Gaon Rav

Yaakov Hillel chlita

Notre Maitre le Gaon Rav

Aharon Leib Steinman chlita

Notre Maitre le Gaon Rav

Reouven Elbaz chlita

Notre Maitre le Gaon Rav

Chmouel Auerbach chlita

Notre Maitre le Gaon Rav

'Haim Kaniewsky chlita

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les obstacles presque i n f r a n c h i s s a b l e s . A s s i m i l a t i o n , violence, perte des valeurs, maladies, dépressions… Mais il nous reste un rayon de lumière capable de dissiper l’obscurité. Aujourd’hui encore, la veille de Chavouot, alors que nous nous apprêtons à recevoir la Thora, nous disposons de mots qui nous protègent, de mots qui nous soutiennent, de mots qui nous élèvent.

C’est pourquoi, depuis plusieurs années, le Vaad Harabanim a prit l'habitude d’organiser une prière spéciale la veille de Roch ‘hodech Sivan sur la tombe du Chlah Hakadoch à Tibériade. Les Guedolei hador font le déplacement dans le Nord malgré les difficultés qui peuvent se dresser sur leur chemin. Il est vrai que leur emploi du temps est surchargé : les heures d’étude quotidiennes, les responsabilités publiques et les conseils aux communautés et aux particuliers font de leur vie une traversée tumultueuse dans l’océan de l’existence. Il est vrai qu’ils n’ont pas une

minute, que chacune d’elle est

comptée. Il est vrai que s’il y a

un changement quelconque à

leur emploi du temps, ce n’est

que si la nécessité est totale.

Or, depuis plusieurs années

déjà, ils trouvent le temps de se

rendre à Tibériade, même si le

voyage est long, pour prier en

faveur des enfants du peuple

d’Israël. C’est à leurs yeux une

priorité. Durant cette tefila, ils

unissent leurs voix à d’autres

sommités comme à des

Juifs simples, afin d’implorer

Hachem de sauvegarder Ses

enfants.

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Notre Maitre le Gaon Rav

Azriel Auerbach chlita

Notre Maitre le Gaon Rav

Nissim Karelitz chlita

Notre Maitre le Gaon Rav

Chmouel Yaakov Bornstein chlita

Notre Maitre le Gaon Rav

Nissim Karelitz chlita

Notre Maitre le Gaon Rav Gershon Edelstein chlita

Notre Maitre le Gaon Rav

Yaakov Edelstein chlita

Notre Maitre le Mekoubal Rabbi

David Abou'hatseira chlita

Page 6: Chavouot 5773

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Ces moments sont si intenses qu’il est difficile de les décrire. Ceux qui ont déjà participé à cette tefila, n’y renonceraient pour rien au monde et encouragent leurs amis à y participer. C’est ainsi que le public grandit d’année en année.

Comment décrire la tribune sur laquelle montent un à un les grands Sages de notre génération ? Rav Reouven Elbaz, Rav Dov Yaffé, Rav Chmouel Auerbach, l’Admour de Vichnitz, l’Admour de Bialé, Rav Azriel Auerbach, Rav Chmouel Yaakov Borenstein parviennent un à un au tombeau du Chlah. Sans parler, ils s’imprègnent de la kedoucha du lieu et commencent à se préparer à la prière. Petit à petit, le public se joint à eux et forment un public dense autour des Grands de la génération.

C’est alors que débute la tefila. Tous s’unissent pour ce moment unique, alors qu’un peu plus haut repose le Rambam, dont l’âme semble également présente.

Les tehilim sont dit mot à mot puis repris par le public. Les Guedolim dirigent l’assemblée. Puis c’est la prière du Chlah qui commence avec des kavanoth appropriées et dans une concentration extrême. Les voix se font plus douces et plus déchirantes encore. Les Grands Sages pensent à tous les enfants du peuple juif. Ils prient de toutes leurs forces pour leur réussite et la pérennité du clal Israël. Grâce à leur ferveur communicative, t o u t e l’assemblée

semble soulevée par un souffle spirituel capable de faire trembler les montagnes.

Dans tous les foyers Juifs, en écho à cette prière hors du commun, les parents du monde entier prononcent eux-aussi les mots du Chlah Hakadoch, pour leurs enfants, si fragiles, si vulnérables. Pour les garants de notre avenir, si précieux et pourtant si exposés aux dangers de la vie.

Bientôt, c’est la fin de la prière avec une prière spéciale accompagnée de la récitation des treize attributs divins.

L’émotion est à son comble et chacun sent une proximité spéciale avec le Ciel. Nous sommes certains que Hachem écoute nos prières. Et si nous ne pouvons pas tous nous rendre à Tibériade, nous pouvons compter sur le Vaad Harabanim. Il sera présent, par le biais de ses envoyés, sur ces lieux sublimes afin de prier avec les Guedolim et avec vous. Ils réciteront chacun des noms qui nous seront parvenus et citeront chaque nom d’enfant. Ils prieront avec dévouement car ils savent que de telles prières montent directement vers le Rédempteur. Car ils savent que pour atteindre les plus hauts sommets, il ne faut jamais

cesser de prier.

Notre Maitre l'Admour de Biale chlita

Notre Maitre l'Admour de

Ra'hmastrivka chlita

Notre Maitre le Gaon Rav

Zundel Kroizer chlita

Notre Maitre l'Admour de

Tchernobyl chlita

Notre Maitre l'Admour de Viznitz chlita

Notre Maitre le Gaon Rav

Dov Yaffe chlita

Page 7: Chavouot 5773

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Grâce à vous !L’année dernière, grâce à vous, des milliers de familles ont assisté à de véritables miracles et ont bénéficié de :

5 217Aides médicales

1 652Soins dentaires

4 273Aides pour les veuves et les orphelins

945Opérations urgentes ou délicates

15 451Paniers alimentaires

2 570Subventions pour des cours particuliers

6 854Bourses d’entraide

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Rav Haïm Palaggi nous a livré une segoula très particulière, véritable bijou dans un écrin de tefila : « La veille de Chavouot, prenez 91 pièces et ajoutez-y 13 autres afin de parvenir à la somme de 104 (deux fois la valeur numérique du mot « ben »). Donnez cette somme à la tsedaka afin d’aider les indigents et les érudits dans le besoin. Vous mériterez d'être gratifiés par la naissance d’un enfant et vous hâterez la rédemption finale. »

Aujourd’hui, tout le monde connaît la segoula de Rav Palaggi. Elle a été largement publiée dans les médias et popularisée. Mais ce que l’on ne connaît pas toujours de près, ce sont les couples qui ont été comblés par la naissance d’un enfant après avoir effectué cette segoula. Acher et Rivka font partie de ceux-là. Depuis de nombreuses années, ils attendaient la bonne nouvelle, en vain. Ils avaient entrepris de nombreuses démarches, effectués des tests et rencontré des sommités médicales. Mais leurs efforts n’avaient pas été couronnés de succès. Ils allaient souvent se promener pour entendre le chant des oiseaux,

que Rivka comparait aux rires des enfants. Pour se donner du courage, elle avait même acheté un canari qui lui tenait compagnie et lui rappelait que bientôt, peut-être, elle pourrait tenir dans ses bras un autre petit poussin.

Une veille de ChavouotUne veille de Chavouot, Acher revint de la synagogue avec un prospectus dans les mains :

le Vaad Harabanim proposait la segoula du Rav Palaggi. Acher était enthousiaste. Aider

à la subsistance d’un nécessiteux en cette veille du don de la Thora lui semblait une

opportunité en or. Rivka pensa à son illustre homonyme, la matriarche Rivka, qui, elle aussi, avait tant prié avant

d’avoir des enfants… Acher et Rivka firent le don en suivant à la

lettre les prescriptions du Rav…

C’était un matin de janvier. Le froid était mordant. Rivka sortit de la maternité emmitouflée et alors qu’elle montait dans la voiture avec son mari et le nouveau-né, des flocons de neige vinrent s’abattre sur le pare-brise. Une fois à la maison, Rivka entendit de nouveau le chant du canari. Désormais, une autre mélodie se mêlerait à la sienne…

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Rav Haïm Palaggi enseigne :

« La veille de Chavouot, prenez 91 pièces et ajoutez-y 13 autres afin de parvenir à la somme de 104 (deux fois la valeur numérique du mot « ben »). En donnant cette somme à la tsedaka afin d’aider les indigents et les érudits dans le besoin. Vous mériterez d'être gratifiés par la naissance d’un enfant et vous hâterez la rédemption finale. »

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Les Grands de la génération, accomplissent la Segoula de Rav 'Haim Palaggi par

l'intermediaire du Vaad Harabanim

Ci-joint un don de 104 nis pour la campagne de Chavouot (Segoula de Rav 'Haim Palaggi) pour la bonne cause qu'est le Vaad Harabanim.

'Haim Kanievsky

Je prend part à l'action du Vaad Harabanim. Je fais un don de la somme de 104 nis pour la campagne du don de la Torah, Chavouot.

A. L. Steinman

104 104De la part du Gaon Rav

Aharon Leib Steinman

Chlita

De la part du Gaon Rav

'Haim Kanievsky Chlita

au Vaad Harabanimau Vaad Harabanim

La Lettre de notre Maitre

La Lettre de notre Maitre

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La révolution Il faut parfois mettre en place de grands projets afin de venir en aide aux plus démunis. Pour sauver les veuves et les orphelins de la détresse matérielle et psychologique, le Vaad Harabanim a révolutionné le monde du ‘hessed en inventant le programme « Kol Israël Arevim ».

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Il y a plus de vingt ans, les Grands Sages de la génération, avec à leur tête Rav Elyachiv zatsal, créaient le Vaad Harabanim afin de répondre à la détresse de nombreuses familles en difficulté. La décision de Rav Elyachiv fut motivée par le besoin de centraliser les demandes d’aide de plus en plus nombreuses. Au départ, ce fut la création d’un fonds de soutien pour une veuve et des orphelins qui n’avaient pas vers qui se tourner. Bientôt, les demandes se multiplièrent. Les Rabbanim mirent en place un comité central capable de gérer les dossiers encore informels qui parvenaient à leurs domiciles. Sous l’impulsion des Guedolim, le Vaad Harabanim se développa et mit en place des structures d’aide afin d’établir un suivi. Des bénévoles se joignirent à cette entreprise du Bien et formèrent, auprès des Rabbanim, les bataillons capables de lutter contre la misère et le désespoir.

Les dirigeants de communauté et les Rabbanim estimaient les besoins, récoltaient les informations et développaient les démarches administratives capables de venir en aide aux plus défavorisés.

C’est ainsi que l’activité du Vaad Harabanim, au fil des années, trouvait davantage de soutien et d’impact auprès du public. Tous constataient son sérieux et sa fiabilité. Le Vaad distribuait toujours plus de bourses d’aide et de fonds spéciaux. Il se développa et est aujourd’hui la plus importante caisse de tsedaka d’Erets.

Papa, où es-tu ?

Jusqu’à il y a six ans, le Vaad Harabanim avait développé deux champs d’action qui se complétaient : l’aide ponctuelle et les fonds spéciaux.

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Lorsqu’une personne démunie se retrouve sans ressource, si elle est malade ou sans travail, âgée ou à la tête d’une famille nombreuse avec des enfants en difficulté scolaire, le Vaad lui attribue une aide ponctuelle. Cette bourse l’aide à se remettre à flot.

Mais dans certains cas, l’aide doit être plus importante, lorsqu’il s’agit par exemple du décès de l’un des membres de la famille, d’une aide à attribuer pour une opération coûteuse à l’étranger ou pour aider une personne qui croule sous les dettes. Ce sont les fonds de soutien spéciaux.

Le Vaad Harabanim crée ces fonds en contactant d’abord la famille, les amis, les voisins, puis les proches. Si les sommes récoltées ne sont pas suffisantes, il faut agrandir le cercle, et s’adresser au public, d’abord à l’échelle nationale et même parfois internationale.

Pour les veuves et les orphelins, le problème se pose toujours avec acuité : lorsqu’un père de famille décède, le vide et le désespoir sont immenses. Le pilier de la famille n’est plus là et rien ne peut le remplacer.

La famille se sent désarmée face à la plus petite menace extérieure. Une femme éplorée,

mère de plusieurs enfants, doit affronter d’innombrables difficultés. Elle est désormais seule face aux épreuves. Alors qu’hier, elle avait une épaule sur laquelle s’appuyer, elle doit maintenant tout assumer dans le désarroi causé par la perte de l’être aimé. Ses enfants souffrent également de cette solitude subite. Seuls dans la nuit, ils appellent leur père et crient, les yeux mouillés de larmes « Papa ! Ou es-tu ? » Ces cris déchirant sont une plaie de plus dans le cœur de leur mère. Comment apporter un baume à tant de souffrances ?

Nous ne pouvons remplacer le père qui a disparu mais nous pouvons alléger les difficultés de ceux qu’il a laissés en les aidant à se dégager des problèmes d’argent. C’est pouvons alléger au maximum les difficultés financières des endeuillés. Les banques, les sociétés, les assurances doivent être contactées. Les services d’aide sociale prévenus. C’est le Vaad Harabanim qui se charge de tout cela et s’occupe, par le biais d’un délégué bienveillant, à soutenir ces familles dans les moments difficiles.

Puis les cas sont présentés d’abord aux proches puis au public grâce à des prospectus

Le Gaon Rav Aharon Leib Steinmann chlita :« Kol Israël Arevim permet d’accomplir la plus importante mitstva de tsedaka qui existe. »

Le Gaon Rav Haïm Kanievsky chlita : « Celui qui s’associeau programme deKol Israël Arevimméritera une longue vie. »

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Grâce à un don occasionnel de 2 euros par orphelins, on permet à un enfant démuni de vivre honorablement, de l’âge tendre à la ‘houpa. Voici les domaines d’action de Kol Israël Arevim :

ץ Achat de chaussures

ץ Achat de vêtements

ץ Achat de nourriture

ץ Prise en compte des frais de chabbath et des fêtes

ץ Achat de layette et de fournitures pour bébé

ץ Soins dentaires

ץ Cours particuliers

ץ Lunettes

ץ Frais de scolarité

ץ Livres d’étude

ץ Tefilin

ץ Frais de la Bar-mitsva

ץ Activités extrascolaires

ץ Colonies de vacances

ץ Soutien physique et moral

ץ Frais du mariage

Créer un mondede ‘hessed pour

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distribués dans les grandes villes. Avec les années, malheureusement, ces demandes se sont multipliées et il est devenu de plus en plus difficile de réunir les sommes nécessaires. D’autant que certaines veuves hésitaient à voir leur histoire publiée.

Une cotisation qui redonne la vie

C’est alors que l’idée de Kol Israël Arevim a germé : créer un groupe de 20 000 personnes, membres d’un programme révolutionnaire qui permet instantanément et sans publicité de récolter les fonds. Comment réussir ce tour de force ? Les membres du programme s’engagent à se soutenir mutuellement en cotisant pour créer un fonds de soutien reversé aux orphelins dans le cas où l’un des membres décède. La somme de la cotisation s’élève à 2 euros pour chaque orphelin. Les 20 000 membres les versent automatiquement, ce qui permet de réunir un fonds de 40 000 euros pour chaque orphelin. Si la famille compte deux orphelins, chaque membre cotise 4 euros, et ainsi de suite jusqu’à un plafond fixé par les Rabbanim à 13 euros par mois.

Dans le cas où une personne laisse plus de six enfants, ou si deux personnes ont disparu le même mois, la différence à payer afin que chaque orphelin bénéficie de cette aide providentielle est repoussée au mois suivant.

Le grand avantage de ce programme est de créer des fonds de soutien de 40 000 euros pour chaque enfant sans aucune publicité ni aucun frais. De plus, lorsqu’il n’y a pas de décès, aucune somme n’est prélevée. Ainsi, il ne s’agit pas d’une assurance vie puisque ce n’est pas une entreprise à but lucratif.

Lorsque ce programme a été présenté aux Rabbanim, ils se sont enthousiasmés et l’ont vivement soutenu. Ils ont conseillé à chacun d’y adhérer. En effet, pour une somme minime, on peut littéralement sauver des veuves et des orphelins. Pour cela, il suffit de presser un simple bouton sur le programme des membres de Kol Israël Arevim. Les Rabbanim ont expliqué qu’il est même permis de prélever cet argent du maasser car il s’agit d’un véritable soutien pour une mitsva fondamentale. Ils conseillent même aux personnes qui ne peuvent faire partie de ce programme avec les droits – soit parce qu’ils sont malades, soit

Notre Maitre le Gaon Rav Yossef Chalom Elyachiv zatsal:

« C’est une obligation pour un homme de s’inscrire au programme Kol Israël Arevim »

Notre Maitre Rabbi David Abou’hatsera chlita :« C’est un mérite inestimable de soutenir les veuves et les orphelins grâce au programme Kol Israël Arevim »

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parce qu’ils souscrivent déjà à une assurance vie, soit parce qu’ils n’ont pas besoin de l’argent de la tsedaka – de le faire.

Cette révolution a rencontré un accueil très positif chez le public qui s’est immédiatement rallié à cette noble cause. Grâce à cette adhésion en masse, le programme Kol Israël Arevim a permis de créer, depuis six ans, plus de 350 fonds d’aide aux orphelins.

Nous vous proposons aujourd’hui de faire partie de cette révolution. Si vous le souhaitez, vous pouvez nous contacter pour recevoir des renseignements sur le programme Kol Israël Arevim et rejoindre ainsi la grande famille du Vaad Harabanim. Mais, même si vous ne voulez pas profiter de ce programme, vous pouvez quand même y adhérer comme membres de soutien et vous aiderez ainsi, grâce à une somme minime, des centaines de veuves et d’orphelins de tout votre cœur.

Grâce à votre amour et à votre attention, des souffrances sont évités chaque jour. Des familles détruites retrouvent espoir et des cœurs ravagés sont ranimés. Soutenez le programme Kol Israël Arevim dès aujourd’hui.

AdresseNom et Prénom

No de téléphone

Je souhaite participer au programme

Kol Israel Arevim en tant que membre

de soutien pour accomplir la Mitsvah de

soutenir les veuves et les orphelins.

Je souhaite être contacté pour

recevoir des renseignements sur le

programme Kol Israel Arevim.

E-mail

Pour participer au programme Kol Israel Arevim, veuillez remplir l'ordre de virement permanent ci-joint ainsi que le formulaire suivant :

« J’ai perdu mon mari et le fonds que j’ai reçu nous a, mes enfants et moi, littéralement sauvés.

Lorsque mon époux est mort, j’ai cru que le monde s’écroulait. Sans votre Association, j’aurais dû faire face aux soucis financiers qui s’ajoutent à la peine inconsolable que nous avons ressentie. Mais grâce à Kol Israël Arevim, j’ai vécu cette période très difficile avec un baume au cœur : celui de savoir que mes enfants pourraient compter sur le Vaad Harabanim pour manger et se vêtir. Cette idée m’a rassérénée. Grâce à votre soutien, je reçois chaque mois une aide dans la plus grande discrétion. Kol Israël Arevim est pour tout orphelin une assistance aux fondations solides qui apaise et sauvegarde. Merci d’avoir organisé un tel programme. Par reconnaissance, j’ai demandé à tous mes voisins et à tous mes frères et sœurs d’y souscrire et je joins donc dans cette lettre 30 adhésions au programme Kol Israël Arevim. »

Voici un extrait d’une lettre reçue au Vaad Harabanim envoyée par une veuve. Cet émouvant témoignage met l’accent sur l’importance et la nécessité du programme révolutionnaire de Kol Israël Arevim.

15Pour tous renseignements, vous pouvez joindre le Vaad Harabanim au 0-800-106-135

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Prénom en hébreu ____________________________________

Prénom de la mère ___________________________________ Bonne santé Parnassa Enfants Mariage Réussite

avec les enfants Succès Autre ____________________

Prénom en hébreu ____________________________________

Prénom de la mère ___________________________________ Bonne santé Parnassa Enfants Mariage Réussite

avec les enfants Succès Autre ____________________

Pour que les Grands de la

Génération prient pour vous

- La veille de Roch 'Hodech Sivan- La veille de Chavouot

0-800-106-135En France

0-800-555-889En Suisse

0-800-761-13En Belgique

1877-722-2646Au Canada

pour transmettre vos dons au Vaad haRabanim :5 possibilités

- Envoyez votre don à l'un des Rabanim de votre région (demandez la liste au numéro 0-800-106-135).

Appelez ce numéro pour un don par carte de crédit : 0-800-106-135en Israël: 00. 972.2.501.91.00

- Envoyez votre don dans l'enveloppe jointe.

www.vaadharabanim.org

- Envoyez votre chèque à : Vaad haRabanim- En France : 10, Rue Pavée 75004 Paris FRANCE- En Suisse : Rue Louis-Curval 12. Geneve 1206. SUISSE- En Belgique : Consciencest St. 23 2018 Antwerpren BELGIUM- Au Canada : 5831 Esplanade. Montreal QUEBEC CANADA h2t3a2

Un reçu sera envoyé pour tout don * Veuillez libeller vos chèques à l'ordre de Vaad haRabanim