commune du teich (33) projet de pisciculture de monsieur...
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C o m m u n e du Teich (33)projet de pisciculture
de Monsieur ZINSIUS
É T U D E D'IMPACT
88 SGN 928 AQI
3 0, Ail«! 1969
^ • • I . - . J .-i
BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES ET MINIERESSERVICE G É O L O G I Q U E NATIONAL
Service Géologique Régional Aquitaine
BRGM
OO',cO'
,^e',o^90'to^\^
Commune du Teich (33)
projet de pisciculture
de IVIonsieur ZINSIUS
ÉTUDE D'llVIPACT
M. LANSIART J.-R RUHARD
Pessac, décembre 1988
88 SGN 928 AQI
BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES ET MINIERESSERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
Service Géologique Régional AquitaineAvenue du Docteur-Albert-Schweitzer - 33600 PESSAC
Tél. 56 80 69 00 - Télex. 540030 OGETEL - REF 128
BRGM
OO',cO'
,^e',o^90'to^\^
Commune du Teich (33)
projet de pisciculture
de IVIonsieur ZINSIUS
ÉTUDE D'llVIPACT
M. LANSIART J.-R RUHARD
Pessac, décembre 1988
88 SGN 928 AQI
BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES ET MINIERESSERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
Service Géologique Régional AquitaineAvenue du Docteur-Albert-Schweitzer - 33600 PESSAC
Tél. 56 80 69 00 - Télex. 540030 OGETEL - REF 128
RESUME
La proximité de l'Eyre (rivière du Bassin d'Arcachon) et d'un forage
géothermique sur la commune du Teich est à l'origine d'un projet de
pisciculture, qui comprendra à la fois un élevage d'esturgeons et
d'anguilles.
L'alimentation des bassins sera assurée à partir des eaux
superficielles prélevées par pompage, réchauffées par l'eau gêothermale et
rejetées en rivière après utilisation.
Conformément aux dispositions réglementaires, le pétitionnaire doit
réaliser une étude d'impact qui accompagne son projet, pour mise à
l'enquête publique. Celle-ci a été réalisée par le VBEM Aquitaine, le
présent dossier valant simultanément pour les procédures suivantes :
- Autorisations de prélèvement et de rejet en rivière.
- Autorisation de pisciculture (Art. 432 du Code Rural)
Les besoins en eau ont été évalués en fonction de la production
annuelle attendue et le projet étudié sur la base des températures
optimales de croissance, souhaitées séparément pour les esturgeons et les
anguilles.
La qualité physico-chimique de l'Eyre répondra bien dans l'ensemble
aux exigences de ces élevages bien que la teneur en oxygène dissous
apparaisse insuffisante à certaines périodes de l'année. Une
suroxygênatlon de l'eau (aérateurs) sera donc nécessaire pour adapter en
permanence les apports en oxygène aux besoins piscicoles.
RESUME
La proximité de l'Eyre (rivière du Bassin d'Arcachon) et d'un forage
géothermique sur la commune du Teich est à l'origine d'un projet de
pisciculture, qui comprendra à la fois un élevage d'esturgeons et
d'anguilles.
L'alimentation des bassins sera assurée à partir des eaux
superficielles prélevées par pompage, réchauffées par l'eau gêothermale et
rejetées en rivière après utilisation.
Conformément aux dispositions réglementaires, le pétitionnaire doit
réaliser une étude d'impact qui accompagne son projet, pour mise à
l'enquête publique. Celle-ci a été réalisée par le VBEM Aquitaine, le
présent dossier valant simultanément pour les procédures suivantes :
- Autorisations de prélèvement et de rejet en rivière.
- Autorisation de pisciculture (Art. 432 du Code Rural)
Les besoins en eau ont été évalués en fonction de la production
annuelle attendue et le projet étudié sur la base des températures
optimales de croissance, souhaitées séparément pour les esturgeons et les
anguilles.
La qualité physico-chimique de l'Eyre répondra bien dans l'ensemble
aux exigences de ces élevages bien que la teneur en oxygène dissous
apparaisse insuffisante à certaines périodes de l'année. Une
suroxygênatlon de l'eau (aérateurs) sera donc nécessaire pour adapter en
permanence les apports en oxygène aux besoins piscicoles.
- II -
L'évaluation des paramètres de pollution dans les effluents a été
calculée en fonction du taux de nourrissement des poissons, l'accent étant+
mis sur la production d'ions NH, et de DB05. Après rejet, mélange et4
dilution dans les eaux de l'Eyre, il s'avère que la qualité
physico-chimique et piscicole (2) de la rivière ne sera pas modifiée.
Résultat particulièrement important puisque ce cours d'eau traverse
le Parc Régional Naturel des Landes et de Gascogne.
Des mesures compensatoires seront néanmoins ..nécessaires pour mettre à
l'abri les élevages vis-à-vis des oiseaux et animaux prédateurs, qui
constituent autant d'espèces protégées par arrêtés. Elles ont été estimées
financièrement et porteront en outre sur un contrôle sanitaire régulier
parallèlement à une surveillance permanente de l'exploitation, et à la
création d'un laboratoire d'assistance au pisciculteur.
L'aménagement de l'ouvrage géothermique et de sa tête sera suivi de
l'amenée d'eau chaude sur le site, avec mise en oeuvre d'un échangeur et
d'un régulateur de températures.
!:**
- II -
L'évaluation des paramètres de pollution dans les effluents a été
calculée en fonction du taux de nourrissement des poissons, l'accent étant+
mis sur la production d'ions NH, et de DB05. Après rejet, mélange et4
dilution dans les eaux de l'Eyre, il s'avère que la qualité
physico-chimique et piscicole (2) de la rivière ne sera pas modifiée.
Résultat particulièrement important puisque ce cours d'eau traverse
le Parc Régional Naturel des Landes et de Gascogne.
Des mesures compensatoires seront néanmoins ..nécessaires pour mettre à
l'abri les élevages vis-à-vis des oiseaux et animaux prédateurs, qui
constituent autant d'espèces protégées par arrêtés. Elles ont été estimées
financièrement et porteront en outre sur un contrôle sanitaire régulier
parallèlement à une surveillance permanente de l'exploitation, et à la
création d'un laboratoire d'assistance au pisciculteur.
L'aménagement de l'ouvrage géothermique et de sa tête sera suivi de
l'amenée d'eau chaude sur le site, avec mise en oeuvre d'un échangeur et
d'un régulateur de températures.
!:**
- Ill
SOMMAIRE
Pages
RESUME I
LISTE DES FIGURES VII
LISTE DES ANNEXES VIII
LISTE DES PHOTOS i
INTRODUCTION 1
1 - PRESENTATION DU PROJET 3
1.1 - Définition 3
1.1.1 - Identité du pétitionnaire 3
1.1.2 - Nature du projet 3
1.1.2.1 - Objectifs de production 3
1.1.2.2 - Localisation du projet 4
1.1.2.3 - Besoins en eau 5
1.1.2.4 - Qualité physico-chimique de l'eau 11
1.1.2.5 - Besoins en oxygène dissous 15
1.2 - Description du projet 21
1.2.1 - Elevage des esturgeons 21
1.2.2 - Elevage des anguilles 23
1.2.3 - Caractéristiques des bassins 24
1.2.4 - Approvisionnement des alevins 24
1.2.5 - Alimentation des poissons 26
1.3 - Charges polluantes de l'élevage 27
1.3.1 -Rejets des esturgeons 28
1.3.2 - Rejets des anguilles 31
1.3.3 - Rejets globaux de la pisciculture 36
- Ill
SOMMAIRE
Pages
RESUME I
LISTE DES FIGURES VII
LISTE DES ANNEXES VIII
LISTE DES PHOTOS i
INTRODUCTION 1
1 - PRESENTATION DU PROJET 3
1.1 - Définition 3
1.1.1 - Identité du pétitionnaire 3
1.1.2 - Nature du projet 3
1.1.2.1 - Objectifs de production 3
1.1.2.2 - Localisation du projet 4
1.1.2.3 - Besoins en eau 5
1.1.2.4 - Qualité physico-chimique de l'eau 11
1.1.2.5 - Besoins en oxygène dissous 15
1.2 - Description du projet 21
1.2.1 - Elevage des esturgeons 21
1.2.2 - Elevage des anguilles 23
1.2.3 - Caractéristiques des bassins 24
1.2.4 - Approvisionnement des alevins 24
1.2.5 - Alimentation des poissons 26
1.3 - Charges polluantes de l'élevage 27
1.3.1 -Rejets des esturgeons 28
1.3.2 - Rejets des anguilles 31
1.3.3 - Rejets globaux de la pisciculture 36
- IV -
Pages
2 - ANALYSE DE L'ETAT INITIAL DU SITE 39
2.1 - Situation géographique 39
2.2- Accès au site 40
2.3 - Eléments physiques 40
2.3.1 - Relief et hydrographie 40
2.3.2 - Hydrologie de l'Eyre 41
2.3.2.1 -Régime juridique 41
2.3.2.2 - Régime d'écoulement 42
2.3.3.3 - Température de l'eau 45
2.3.2.4 - Hydrobiologie 45
2.3.3 - Géologie 51
2.3.4 - Hydrogéologie 52
2.3.4.1 - Nappe des Sables des Landes.. 52
2.3.4.2 - Nappes profondes 54
2.3.4.3 - Vulnérabilité des nappes à la
pollution 56
2.3.5 - Climatologie 56
2.4 - Le milieu naturel 60
2.4.1 - La végétation 60
2.4.2 - La faune 62
2.5 - Le milieu humain 68
2.5.1 - Démographie - Population 68
2.5.2 - Documents d'aménagement et d'urbanisme. 70
2.5.3 - Contraintes et servitudes diverses 72
2.5.3.1 - Servitudes d'utilité publique. 72
2.5.3.2 - Servitudes liées aux sites
archéologiques 74
2.5.4 - Le bruit 75
2.5.5 - Qualité de l'air 76
- IV -
Pages
2 - ANALYSE DE L'ETAT INITIAL DU SITE 39
2.1 - Situation géographique 39
2.2- Accès au site 40
2.3 - Eléments physiques 40
2.3.1 - Relief et hydrographie 40
2.3.2 - Hydrologie de l'Eyre 41
2.3.2.1 -Régime juridique 41
2.3.2.2 - Régime d'écoulement 42
2.3.3.3 - Température de l'eau 45
2.3.2.4 - Hydrobiologie 45
2.3.3 - Géologie 51
2.3.4 - Hydrogéologie 52
2.3.4.1 - Nappe des Sables des Landes.. 52
2.3.4.2 - Nappes profondes 54
2.3.4.3 - Vulnérabilité des nappes à la
pollution 56
2.3.5 - Climatologie 56
2.4 - Le milieu naturel 60
2.4.1 - La végétation 60
2.4.2 - La faune 62
2.5 - Le milieu humain 68
2.5.1 - Démographie - Population 68
2.5.2 - Documents d'aménagement et d'urbanisme. 70
2.5.3 - Contraintes et servitudes diverses 72
2.5.3.1 - Servitudes d'utilité publique. 72
2.5.3.2 - Servitudes liées aux sites
archéologiques 74
2.5.4 - Le bruit 75
2.5.5 - Qualité de l'air 76
- V -
Pages
2.6 - Le paysage 76
2.6.1 - La forêt-galerie de l'Eyre 76
2.6.2 - La lande 76
2.6.3 - La pinède 77
3 - RAISONS JUSTIFICATIVES DU CHOIX 78
3.1 - E(alsons techniques ¿- 78
3.1.1 - Abondance des ressources en eau 78
3.1.2 - Energie calorifique disponible 78
3.1.3 - ttobllisatlon facile de l'eau de surface. 79
3.2 - Raisons économiques 79
3.3 - Raisons relatives à l'environnement. 81
4 - IMPACTS DU PROJET SUR L'ENVIRONNEMENT 83
4.1 - Impacts sur la voirie 83
4.2 - Impacts sur les eaux 83
4.2.1 - Eaux de surface 83
4.2.1.1 - Impacts hydrauliques 83
4.2.1.2 - Impacts sur la qualité 84
4.2.2 - Eaux souterraines 90
4.3 - Impacts sur le milieu naturel 92
4.3.1 - Impacts sur la végétation 92
4.3.2 - Impacts sur la faune 92
4.4 - Impacts socio-économiques 93
4.4.1 - Impacts économiques 93
4.4.2 - Impacts sur l'occupation du sol 94
4.5 - Impacts sonores 94
4.6 - Impact paysager 95
- V -
Pages
2.6 - Le paysage 76
2.6.1 - La forêt-galerie de l'Eyre 76
2.6.2 - La lande 76
2.6.3 - La pinède 77
3 - RAISONS JUSTIFICATIVES DU CHOIX 78
3.1 - E(alsons techniques ¿- 78
3.1.1 - Abondance des ressources en eau 78
3.1.2 - Energie calorifique disponible 78
3.1.3 - ttobllisatlon facile de l'eau de surface. 79
3.2 - Raisons économiques 79
3.3 - Raisons relatives à l'environnement. 81
4 - IMPACTS DU PROJET SUR L'ENVIRONNEMENT 83
4.1 - Impacts sur la voirie 83
4.2 - Impacts sur les eaux 83
4.2.1 - Eaux de surface 83
4.2.1.1 - Impacts hydrauliques 83
4.2.1.2 - Impacts sur la qualité 84
4.2.2 - Eaux souterraines 90
4.3 - Impacts sur le milieu naturel 92
4.3.1 - Impacts sur la végétation 92
4.3.2 - Impacts sur la faune 92
4.4 - Impacts socio-économiques 93
4.4.1 - Impacts économiques 93
4.4.2 - Impacts sur l'occupation du sol 94
4.5 - Impacts sonores 94
4.6 - Impact paysager 95
VI -
5 - MESURES DE REDUCTION ET DE CCMPENSATION DES IMPACTS
SUR L'ENVIRONNEMENT 96
5.1 - Voirie 96
5.2- Eaux superficielles 96
5.3- Aménagement du forage 97
5.4 - Milieu naturel 98
5.5 - Bruits 99
5.6 - Paysage 99
VI -
5 - MESURES DE REDUCTION ET DE CCMPENSATION DES IMPACTS
SUR L'ENVIRONNEMENT 96
5.1 - Voirie 96
5.2- Eaux superficielles 96
5.3- Aménagement du forage 97
5.4 - Milieu naturel 98
5.5 - Bruits 99
5.6 - Paysage 99
- VII -
LISTE DES FIGURES
Figure 1 : Plan de situation de l'étude.
Figure 2 : Situation du projet et du forage géothermique à 1/25 000.
Figure 3 : Lieux de prélèvements et d'analyses d'eau de l'Eyre.
Figure 4 : Coupe géologique et technique du forage géothermique GLTPl.
Figure 5 : Inventaire des forages et des contraintes existantes dans le
secteur du Telch et de Nlos.
Figure 6 : Evolution de la nappe de l'Oligocène au droit du forage de
Balanos (850-1-1).
Figure 7 : Diagramme d'analyse d'eau du forage GLTPl.
Figure 8 : Rose des vents de la station de Cazaux.
Figure 9 : Rose des vents de la station du Cap-Ferret.
Figure 10 : Zones sensibles du point de vue archéologique.
- VII -
LISTE DES FIGURES
Figure 1 : Plan de situation de l'étude.
Figure 2 : Situation du projet et du forage géothermique à 1/25 000.
Figure 3 : Lieux de prélèvements et d'analyses d'eau de l'Eyre.
Figure 4 : Coupe géologique et technique du forage géothermique GLTPl.
Figure 5 : Inventaire des forages et des contraintes existantes dans le
secteur du Telch et de Nlos.
Figure 6 : Evolution de la nappe de l'Oligocène au droit du forage de
Balanos (850-1-1).
Figure 7 : Diagramme d'analyse d'eau du forage GLTPl.
Figure 8 : Rose des vents de la station de Cazaux.
Figure 9 : Rose des vents de la station du Cap-Ferret.
Figure 10 : Zones sensibles du point de vue archéologique.
VIII
LISTE DES ANNEXES
ANNEXE 1
ANNEXE 2 :
ANNEXE
ANNEXE
ANNEXE
ANNEXE
ANNEXE
ANNEXE
ANNEXE
ANNEXE
ANNEXE
ANNEXE
ANNEXE
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
Extrait de plan cadastral à 1/4 000 avec report du projet.
Résultats des analyses d'eau de l'Eyre au Pont de Lamothe.
- Moyennes mensuelles de certains paramètres physico¬chimiques (1978-1988).
- Présentation statistique des principaux paramètresphysico-chimiques ( 1971-1981 ) .
- Présentation statistique des principaux paramètresphysico-chimiques ( 1 980-1 986 ) .
- Grille multi-usages de la qualité de l'eau.
Analyse chimique complémentaire effectuée au pont de Mlos.
Note hydrobiologique du SEtAE Aquitaine sur la Leyre.
Fiches de bilan des stations d'épuration situées en bordurede l'Eyre (Belin - Bellet, Salles et Mlos).
Analyse chimique de la nappe superficielle à Balanos.
Evolution piézométrique observée du forage du Miocène(850-2-79).
Analyse d'eau de type 1 du forage de GLTPl.
ZNIEFF de type 2 des vallées de la Grande et de la PetiteLeyre .
ZNIEFF de type 1 de la zone inondable de la basse vallée del'Eyre.
Site généralisé du val de l'Eyre et des vallées de laLeyre .
Nesures à prendre pour l'exécution de travaux etd'opérations au voisinage des lignes électriques.
Résultats de pêche électrique (Conseil supérieur de laPêche)
VIII
LISTE DES ANNEXES
ANNEXE 1
ANNEXE 2 :
ANNEXE
ANNEXE
ANNEXE
ANNEXE
ANNEXE
ANNEXE
ANNEXE
ANNEXE
ANNEXE
ANNEXE
ANNEXE
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
Extrait de plan cadastral à 1/4 000 avec report du projet.
Résultats des analyses d'eau de l'Eyre au Pont de Lamothe.
- Moyennes mensuelles de certains paramètres physico¬chimiques (1978-1988).
- Présentation statistique des principaux paramètresphysico-chimiques ( 1971-1981 ) .
- Présentation statistique des principaux paramètresphysico-chimiques ( 1 980-1 986 ) .
- Grille multi-usages de la qualité de l'eau.
Analyse chimique complémentaire effectuée au pont de Mlos.
Note hydrobiologique du SEtAE Aquitaine sur la Leyre.
Fiches de bilan des stations d'épuration situées en bordurede l'Eyre (Belin - Bellet, Salles et Mlos).
Analyse chimique de la nappe superficielle à Balanos.
Evolution piézométrique observée du forage du Miocène(850-2-79).
Analyse d'eau de type 1 du forage de GLTPl.
ZNIEFF de type 2 des vallées de la Grande et de la PetiteLeyre .
ZNIEFF de type 1 de la zone inondable de la basse vallée del'Eyre.
Site généralisé du val de l'Eyre et des vallées de laLeyre .
Nesures à prendre pour l'exécution de travaux etd'opérations au voisinage des lignes électriques.
Résultats de pêche électrique (Conseil supérieur de laPêche)
IX
LISTE DES PHOTOS
Photo de couverture : Estuirgeon sibérien (Aclpenser baeñ
(cliché Ph. GARGUIL).
Photo
Photo
Photo
Photo
Photo
Photo
Photo
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n"
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1
2
3
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6
7
8
Vue du forage géothermique GLTPl.
: Vallée de l'Eyre et sa forêt-galerie.
Vue panoramique sur la lande et la pinède.
Ripisylve de l'Eyre.
Vue sur l'usine de Facture.
Ligne à haute tension.
Paysages de la lande.
IX
LISTE DES PHOTOS
Photo de couverture : Estuirgeon sibérien (Aclpenser baeñ
(cliché Ph. GARGUIL).
Photo
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Vue du forage géothermique GLTPl.
: Vallée de l'Eyre et sa forêt-galerie.
Vue panoramique sur la lande et la pinède.
Ripisylve de l'Eyre.
Vue sur l'usine de Facture.
Ligne à haute tension.
Paysages de la lande.
- 1 -
INTRODUCTION
Monsieur Michel ZINSIUS, mareyeur à Arcachon se propose de réaliser
sur la commune du Teich (33) un projet de pisciculture, comprenant
simultanément un élevéïge d'esturgeons et d'anguilles.
L'alimentation des bassins sera effectuée à partir des eaux superfi¬
cielles de l'Eyre (prise en rivière à réaliser par pompage) à Mios,
réchauffées par un circuit d'eau chaude géothermale (forage existant GLTPl
au Teich) et rejetées dans la rivière après utilisation.
Conformément aux dispositions réglementaires suivantes :
- Décret du 1er août 1905, relatif aux autorisations de prise d'eau et
de rejet daas un cours d'eau,
- Arrêté ministériel du 20 novembre 1979 (paru au J.O. du 19 décembre
1979), relatif à la pollution des eaux,
- Décret a' 85-1400 du 27 décembre 1985 (paru au J.O. du 29 décembre
1985) fixant, au titre de la Police de la Pêcbe, les formes et
autorisations de pisciculture.
Le pétitionnaire a fait réaliser une étude d'impact préliminaire.
Les modalités de présentation de ce document sont définies par le
décret n* 77-1141 du 12 octobre 1977, puis en application de la loi
n' 76-629 du 10 juillet 1976, relative à la protection de la nature et de
l'environnement (J.O. du 13 octobre 1977).
- 1 -
INTRODUCTION
Monsieur Michel ZINSIUS, mareyeur à Arcachon se propose de réaliser
sur la commune du Teich (33) un projet de pisciculture, comprenant
simultanément un élevéïge d'esturgeons et d'anguilles.
L'alimentation des bassins sera effectuée à partir des eaux superfi¬
cielles de l'Eyre (prise en rivière à réaliser par pompage) à Mios,
réchauffées par un circuit d'eau chaude géothermale (forage existant GLTPl
au Teich) et rejetées dans la rivière après utilisation.
Conformément aux dispositions réglementaires suivantes :
- Décret du 1er août 1905, relatif aux autorisations de prise d'eau et
de rejet daas un cours d'eau,
- Arrêté ministériel du 20 novembre 1979 (paru au J.O. du 19 décembre
1979), relatif à la pollution des eaux,
- Décret a' 85-1400 du 27 décembre 1985 (paru au J.O. du 29 décembre
1985) fixant, au titre de la Police de la Pêcbe, les formes et
autorisations de pisciculture.
Le pétitionnaire a fait réaliser une étude d'impact préliminaire.
Les modalités de présentation de ce document sont définies par le
décret n* 77-1141 du 12 octobre 1977, puis en application de la loi
n' 76-629 du 10 juillet 1976, relative à la protection de la nature et de
l'environnement (J.O. du 13 octobre 1977).
- 2 -
En ce qui conceme la commune du Teich, située en bordure du Bassin
d'Arcachon, et donc du littoral atlantique, les modalités de son aménage¬
ment et de son urbanisme relèvent des dispositions de la loi n* 86-2 du
3 janvier 1986 relative à l'aménagement, la protection et la mise en
valeur du littoral (paruee du J.O. du 4 janvier 1986).
Le présent dossier vaut simultanément pour les procédures suivantes :
- Autorisation de prélèveaent d'eau en rivière.
- Autorisation de rejet.
- Autorisation d'une installation industrielle (pisciculture
d'esturgeons et d'anguilles).
L'étude d'impact comprend les cinq chapitres suivants :
I - raESENTATION DU PROJET
II - ANALYSE DE L'ETAT INITIAL DU SITE
III - RAISONS DU CHOIX DU PROJET
IV - IMPACTS DU PROJET SDR L'ENVIRONNEMENT
V - MESURES DESTINEES A mEVERIR, REDUIEtE, C(»fPENSER
OU SUPraiMER LES IMPACTS DD PROJET
L'exécution de cette étude a été confiée au B.R. G.M/AQUITAINE.
- 2 -
En ce qui conceme la commune du Teich, située en bordure du Bassin
d'Arcachon, et donc du littoral atlantique, les modalités de son aménage¬
ment et de son urbanisme relèvent des dispositions de la loi n* 86-2 du
3 janvier 1986 relative à l'aménagement, la protection et la mise en
valeur du littoral (paruee du J.O. du 4 janvier 1986).
Le présent dossier vaut simultanément pour les procédures suivantes :
- Autorisation de prélèveaent d'eau en rivière.
- Autorisation de rejet.
- Autorisation d'une installation industrielle (pisciculture
d'esturgeons et d'anguilles).
L'étude d'impact comprend les cinq chapitres suivants :
I - raESENTATION DU PROJET
II - ANALYSE DE L'ETAT INITIAL DU SITE
III - RAISONS DU CHOIX DU PROJET
IV - IMPACTS DU PROJET SDR L'ENVIRONNEMENT
V - MESURES DESTINEES A mEVERIR, REDUIEtE, C(»fPENSER
OU SUPraiMER LES IMPACTS DD PROJET
L'exécution de cette étude a été confiée au B.R. G.M/AQUITAINE.
PHOTO N° 1
VUE DU FORAGE GEOTHERMIQUE GLTP1
- 3
I - PRESENTATION DU PROJET
1.1 - Définition
1.1.1 - Identité du pétitionnaire
M. Michel ZINSIUS, mareyeur
Adresse : Criée Municipale
Case n* 8
33120 - ARCACHON
Tel : 56-83-67-10
1.1.2 - Nature du projet
Le demandeur se propose de créer un élevage piscicole intensif en eau
douce et en milieu ouvert. Il s'agit d'un élevage d'esturgeons (Acipenser
baeri) et d'angilles (Anguilla anguilla), à partir de la fourniture
d'alevins.
Les bassins de grossissement seront alimentés en eau par des prélève¬
ments en rivière, réchauffés dans un échangeur de températures par l'eau
chaude d'un forage géothermique (GLTPl), présent sur le site (photo n" 1).
1.1.2.1 - Objectifs de production
Le pétitionnaire se propose de réaliser un projet comportant deux
tranches de travaux, l'une en première eau, l'autre en deuxième eau, en
fonction du mode d'alimentation des bassins.
- 3
I - PRESENTATION DU PROJET
1.1 - Définition
1.1.1 - Identité du pétitionnaire
M. Michel ZINSIUS, mareyeur
Adresse : Criée Municipale
Case n* 8
33120 - ARCACHON
Tel : 56-83-67-10
1.1.2 - Nature du projet
Le demandeur se propose de créer un élevage piscicole intensif en eau
douce et en milieu ouvert. Il s'agit d'un élevage d'esturgeons (Acipenser
baeri) et d'angilles (Anguilla anguilla), à partir de la fourniture
d'alevins.
Les bassins de grossissement seront alimentés en eau par des prélève¬
ments en rivière, réchauffés dans un échangeur de températures par l'eau
chaude d'un forage géothermique (GLTPl), présent sur le site (photo n" 1).
1.1.2.1 - Objectifs de production
Le pétitionnaire se propose de réaliser un projet comportant deux
tranches de travaux, l'une en première eau, l'autre en deuxième eau, en
fonction du mode d'alimentation des bassins.
- 4 -
La première tranche des travaux est établie sur la base d'une
production annuelle de 30 tonnes d'esturgeons et 10 tonnes d'anguilles,
avec des bassins alimentés en première eau (directe).
La seconde tranche sera réalisée à partir de bassins alimentés en
deuxième eau (après surverse) : la production annuelle complémentaire
correspondra à la moitié de la précédente, soit 15 tonnes d'esturgeons et
5 tonnes d'anguilles.
La description et l'étude actuelle du projet portent sur les deux
tranches de travaux.
Dans ces conditions, le plan prévisionnel de production a été établi
par le maître d'oeuvre sur la base de 1 000 kg d'esturgeons et d'an¬
guilles, au bout de 24 mois (tableau 1) et de 19 mois (tableau 2).
Dans le cas des anguilles, les prévisions portent sur 4 lots de
poissons, commercialisés successivement à 7 mois (lot de tête T), 12 mois
(1er lot moyen Ml), 16 mois (2ème lot moyen M2) et 19 mois (lot de
queue Q) , en raison des particularismes de croissance de l'espèce.
1.1.2.2 - Localisation du projet (figure 1)
Département : GIRONDE
Commune : LE TEICH
Lieux-dits : La Oun dou Loup et Pirac, en bordure de l'Eyre.
Les parcelles cadastrées sont les suivantes :
77a forage géothermique GLTPl
77b, 86, 87a et b, 88 de la section D.
- 4 -
La première tranche des travaux est établie sur la base d'une
production annuelle de 30 tonnes d'esturgeons et 10 tonnes d'anguilles,
avec des bassins alimentés en première eau (directe).
La seconde tranche sera réalisée à partir de bassins alimentés en
deuxième eau (après surverse) : la production annuelle complémentaire
correspondra à la moitié de la précédente, soit 15 tonnes d'esturgeons et
5 tonnes d'anguilles.
La description et l'étude actuelle du projet portent sur les deux
tranches de travaux.
Dans ces conditions, le plan prévisionnel de production a été établi
par le maître d'oeuvre sur la base de 1 000 kg d'esturgeons et d'an¬
guilles, au bout de 24 mois (tableau 1) et de 19 mois (tableau 2).
Dans le cas des anguilles, les prévisions portent sur 4 lots de
poissons, commercialisés successivement à 7 mois (lot de tête T), 12 mois
(1er lot moyen Ml), 16 mois (2ème lot moyen M2) et 19 mois (lot de
queue Q) , en raison des particularismes de croissance de l'espèce.
1.1.2.2 - Localisation du projet (figure 1)
Département : GIRONDE
Commune : LE TEICH
Lieux-dits : La Oun dou Loup et Pirac, en bordure de l'Eyre.
Les parcelles cadastrées sont les suivantes :
77a forage géothermique GLTPl
77b, 86, 87a et b, 88 de la section D.
FIGURE 1
BRGM885GN928AQI
PLAN DE SITUATION
LE TEICH
FIGURE 1
BRGM885GN928AQI
PLAN DE SITUATION
LE TEICH
- 5 -
La commune du Teich est actuellement propriétaire du site, mais le
pétitionnaire doit devenir locataire d'un terrain d'environ 2 ha, après
signature sous seing privé d'un bail avec le District d'Arcachon (extrait
du plan cadastral à 1/4 000 en annexe 1 )
Quant à la prise d'eau en rivière, elle sera réalisée à partir d'une
station de pompage, située en rive gauche de l'Eyre, sur la commune
limitrophe de Mios.
1.1.2.3 - Besoins en eau
La température moyenne de l'eau, nécessaire à une croissance optimale
des poissons, est évaluée à 20 "G. Néanmoins, les besoins en eau mensuels
pour les esturgeons ont été calculés sur la base d'une température cons¬
tante de IT'C, sur la base du même cycle thermique qu'à la station expéri¬
mentale de Donzacq. Pour l'élevage des anguilles, la température optimale
prise en compte pour l'eau des bassins est de 23 "C.
Les débits nécessaires pour produire une tonne d'esturgeons de 2 kg
en 22 mois en première eau sont reportés dans le tableau 3. Ils ont été
calculés par le CEMAGREF.
- 5 -
La commune du Teich est actuellement propriétaire du site, mais le
pétitionnaire doit devenir locataire d'un terrain d'environ 2 ha, après
signature sous seing privé d'un bail avec le District d'Arcachon (extrait
du plan cadastral à 1/4 000 en annexe 1 )
Quant à la prise d'eau en rivière, elle sera réalisée à partir d'une
station de pompage, située en rive gauche de l'Eyre, sur la commune
limitrophe de Mios.
1.1.2.3 - Besoins en eau
La température moyenne de l'eau, nécessaire à une croissance optimale
des poissons, est évaluée à 20 "G. Néanmoins, les besoins en eau mensuels
pour les esturgeons ont été calculés sur la base d'une température cons¬
tante de IT'C, sur la base du même cycle thermique qu'à la station expéri¬
mentale de Donzacq. Pour l'élevage des anguilles, la température optimale
prise en compte pour l'eau des bassins est de 23 "C.
Les débits nécessaires pour produire une tonne d'esturgeons de 2 kg
en 22 mois en première eau sont reportés dans le tableau 3. Ils ont été
calculés par le CEMAGREF.
- 6 -
Tableau : 1 Plan de production prévisionnel de 1000 kg d'esturgeons de grossissement
ïois de l'aDDée
ige en sois depuis l'arrivée
Croiîsancs ¡p) (en g)
Charges (kg/a^) zu.
2or:alité ¡Î)
Hoabre d'ÍQdÍ7Ídus
Bioaasse (ig)
;'j?er:ic:i (:»)
iidice ie iOîSûlaa'ios (1)
í'janti'-e d'ùiaent ccq£o::¿ (kg)
Granulorétrie (cï)
leipératarï de d'eau ('C)
(02)/sat. entrée [X]
m/2ii. .fitrée (sg/1 J6Ü ao Hg)
Seuil 0¡ disponible (:g/l)
Quantité d'Oz disponible (ag/l)
Consoaaation Oi dÍ3ponible(3g/kg/h)
07
0
5
<---
<---
610
3
0,5
(---
2í
<---
6,7
6,45
0,25
525
03
1
10
10
09
2
25
>
10
3
60
3 'i/aoia >
593
6
0,3
565
U
H
550
33
1.1
1,5
1,5 -)
25
12 28,5
< -2 >
23
80 )
6,6
6,5
0.1
500
8,84
6,1
0,44
360
20
11
4
80
12
5
100
01
6
130
30
-
44
,..
1,5-
16,5
<
20
(
8,6
6.2
2,4
235
8,6
6,2
2.4
225
545
54
1,3
15
J,2
17
3.15
5.9
3,25
165
-
71
2,4
02
7
180
03
8
230
0.5 Vaois
540
97
3.2
-
124
4.1
25,5
)
14
39 40.5
< 4,5
15
95
9,3
5,6
1.2
120
9.55
5.7
3,85
125
17
9,15
5.9
3,25
140
04 05
9 ; 10
300 330
06
11
490
07
12
600
08
13
830
09
14
1000
10
15
1100
11
16
1200
12
17
1300
01
18
1400
02
19
1500
03
20
1600
04
21
1700
05
22
1330
06
23
2000
535 1 -1
160 ; 208
5,3 6,9
1.55' 1,65i
55.3
22
.79,2
530
260
8,7
1,75
91
-
316
10,5
1,95
109,2
525
434
14.5
2,05
246
22 22
8,3 18,3
6,35.6,35
1,95
200
1,95
190
1
8,3
6,35
1,95
180
24
(
6,7
6,45
0,25
215
25
-
522
17,4
520
572
19.1
-
621
20,7
< 2,2 ->
189.2
- 4,5
23
. jin s
6,6
6,5
0.1
220
6,84
6,4
0,44
190
UO 107.3
515
669
22,3
-
717
23,3
510
765
25,5
< 2.1 - >
115,2 115,2 115,2
-
812
27,1
505
353
28,5
- 500
920 ¡1000 1
30,7
/ 2 S )
33,3
7 11
1
122.2 119,5 161, 2Ii
20 20 17 14 15 17 22 22 22
< 95 )
8,6
6.2
2.4
130
8,6
6,2
2.4
125
9,15
5,9
3.25
185
^8
;,6
1.2
35
9,55
5,7
3,85
90
9,15
5,9
3,25
125
8,3
6,35
1,95
155
8,3
6,35
1,35
150
3,3
6,35
1,35
145
(i) Rapport de la quantité d'aliment distribué au gain de poids,
- 6 -
Tableau : 1 Plan de production prévisionnel de 1000 kg d'esturgeons de grossissement
ïois de l'aDDée
ige en sois depuis l'arrivée
Croiîsancs ¡p) (en g)
Charges (kg/a^) zu.
2or:alité ¡Î)
Hoabre d'ÍQdÍ7Ídus
Bioaasse (ig)
;'j?er:ic:i (:»)
iidice ie iOîSûlaa'ios (1)
í'janti'-e d'ùiaent ccq£o::¿ (kg)
Granulorétrie (cï)
leipératarï de d'eau ('C)
(02)/sat. entrée [X]
m/2ii. .fitrée (sg/1 J6Ü ao Hg)
Seuil 0¡ disponible (:g/l)
Quantité d'Oz disponible (ag/l)
Consoaaation Oi dÍ3ponible(3g/kg/h)
07
0
5
<---
<---
610
3
0,5
(---
2í
<---
6,7
6,45
0,25
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03
1
10
10
09
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>
10
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H
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25
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23
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6,6
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500
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6,1
0,44
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11
4
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130
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-
44
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1,5-
16,5
<
20
(
8,6
6.2
2,4
235
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6,2
2.4
225
545
54
1,3
15
J,2
17
3.15
5.9
3,25
165
-
71
2,4
02
7
180
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8
230
0.5 Vaois
540
97
3.2
-
124
4.1
25,5
)
14
39 40.5
< 4,5
15
95
9,3
5,6
1.2
120
9.55
5.7
3,85
125
17
9,15
5.9
3,25
140
04 05
9 ; 10
300 330
06
11
490
07
12
600
08
13
830
09
14
1000
10
15
1100
11
16
1200
12
17
1300
01
18
1400
02
19
1500
03
20
1600
04
21
1700
05
22
1330
06
23
2000
535 1 -1
160 ; 208
5,3 6,9
1.55' 1,65i
55.3
22
.79,2
530
260
8,7
1,75
91
-
316
10,5
1,95
109,2
525
434
14.5
2,05
246
22 22
8,3 18,3
6,35.6,35
1,95
200
1,95
190
1
8,3
6,35
1,95
180
24
(
6,7
6,45
0,25
215
25
-
522
17,4
520
572
19.1
-
621
20,7
< 2,2 ->
189.2
- 4,5
23
. jin s
6,6
6,5
0.1
220
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0,44
190
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515
669
22,3
-
717
23,3
510
765
25,5
< 2.1 - >
115,2 115,2 115,2
-
812
27,1
505
353
28,5
- 500
920 ¡1000 1
30,7
/ 2 S )
33,3
7 11
1
122.2 119,5 161, 2Ii
20 20 17 14 15 17 22 22 22
< 95 )
8,6
6.2
2.4
130
8,6
6,2
2.4
125
9,15
5,9
3.25
185
^8
;,6
1.2
35
9,55
5,7
3,85
90
9,15
5,9
3,25
125
8,3
6,35
1,95
155
8,3
6,35
1,35
150
3,3
6,35
1,35
145
(i) Rapport de la quantité d'aliment distribué au gain de poids,
Tableau n° 2 Plan de production prévisionnel de 1000 kg d'anguilles - 7 -
MOISENSEMBLE
BIOMASSE (kg)NOMBRE
POIDS IND. (g)
CONS TOT 02 Cmg/h)
LOT DE TETE
BIOMASSE (kg)NOMBRE
POIDS IND (gj
OONS TOT 02 (mg/hp
LOT MOYEN 1
BIOMASSE(kg)NOMBRE
POIDS IND (g)
OONS TOT 02 Cmgx'h:
LOT MOYEN 2
BIOMASSE(kg)NOMBRE
POIDS lND(;g)
CONS TOT 02 (mg/h)
LOT DE QUEUEBIOMASSE(kg)
NOMBRE
POIDS INDCg)
CONS TOT 02(:mg//h:)
OCT
47.9
5996
e
B527
3
3768
534
16.7
2092B
2973
20.12516
8
357B
0.1
10128
1442
NOV
61.3493712.4
10372
5.4373
14.5
848
22.42071
10.8
370 B
24.22491
9,7
4138
9.31002
9.3
1600
DEC
79.9
5877
13,6
12808
9.7369
26.2
1280
29.7205014.5
4663
29,8246612.1
4857
10.7992
10.8
1808
JANV
106,1
582018,2
152811
17,43B5
47,5
1897
39,8203019,6
5731
36.62442
15
5673
12,3983
12.5
1980
FE'V
142,0
576324,7
16563
31,3362
80
2901
52, 5j201 0
26,4
6877
44.7241810.5
6571
14.1
97314,5
2214
MARS
177,3570531.1
20373
55,5358155
4218
50,9199035,6
6159
54,6239422.8
7535
16.3963
16.9
2461
AVR
279.74649B0.2
'
28074
100355282
g6c7o
94.4197047,9
10290
G6.6
237028.1
8591
18.7954
19.6
2693
MAI
22B.7524243.6
25599
1261951
B4.6
12726
81.223473^1.6
9906
21.5344
22.0
2967
JUIN
292.1518856.3
30043
168.21931
87.1
15474
99.2232342.7
11309
24.7¡334
26.5
3260
JUIL
373,9
513772,8
35607
224.5
1912117.4
19082
121
230052,6
12947
28,4
92530.7
3578
AOUT
479,4508794,2
41896
299.1
1893
158
23031
147,6227864,8
149Ü8
32,7916
35.7
3957
SEPT
617,8
5037
122.6
49443
400
1G75
213,3
OCT
273.7313187.4
25420
28000^
180,2¿25579,9
1 71'1 9
37.69a7j
41,5
4324
230223398.6
20700
43.3898
48.2
4720
NOV
318.2
3099102.7
27773
268.52210
121.5
22554
49.7889
55.9
5219
DEC
3053068
125.5
31345
327.82108
149.8
25568
57.21380
65
5777
JANV
465,8
3039153,3
35983
4002167
184.6
29600
65.8872
75,5
6383
FEV
75.6863
87.6
6955
75.6863
87.6
6955
MARS
87855
101.7
7743
87855
101.8
7743
AVR
100846
118.2
8500
100846
118,2
8500
Tableau n° 2 Plan de production prévisionnel de 1000 kg d'anguilles - 7 -
MOISENSEMBLE
BIOMASSE (kg)NOMBRE
POIDS IND. (g)
CONS TOT 02 Cmg/h)
LOT DE TETE
BIOMASSE (kg)NOMBRE
POIDS IND (gj
OONS TOT 02 (mg/hp
LOT MOYEN 1
BIOMASSE(kg)NOMBRE
POIDS IND (g)
OONS TOT 02 Cmgx'h:
LOT MOYEN 2
BIOMASSE(kg)NOMBRE
POIDS lND(;g)
CONS TOT 02 (mg/h)
LOT DE QUEUEBIOMASSE(kg)
NOMBRE
POIDS INDCg)
CONS TOT 02(:mg//h:)
OCT
47.9
5996
e
B527
3
3768
534
16.7
2092B
2973
20.12516
8
357B
0.1
10128
1442
NOV
61.3493712.4
10372
5.4373
14.5
848
22.42071
10.8
370 B
24.22491
9,7
4138
9.31002
9.3
1600
DEC
79.9
5877
13,6
12808
9.7369
26.2
1280
29.7205014.5
4663
29,8246612.1
4857
10.7992
10.8
1808
JANV
106,1
582018,2
152811
17,43B5
47,5
1897
39,8203019,6
5731
36.62442
15
5673
12,3983
12.5
1980
FE'V
142,0
576324,7
16563
31,3362
80
2901
52, 5j201 0
26,4
6877
44.7241810.5
6571
14.1
97314,5
2214
MARS
177,3570531.1
20373
55,5358155
4218
50,9199035,6
6159
54,6239422.8
7535
16.3963
16.9
2461
AVR
279.74649B0.2
'
28074
100355282
g6c7o
94.4197047,9
10290
G6.6
237028.1
8591
18.7954
19.6
2693
MAI
22B.7524243.6
25599
1261951
B4.6
12726
81.223473^1.6
9906
21.5344
22.0
2967
JUIN
292.1518856.3
30043
168.21931
87.1
15474
99.2232342.7
11309
24.7¡334
26.5
3260
JUIL
373,9
513772,8
35607
224.5
1912117.4
19082
121
230052,6
12947
28,4
92530.7
3578
AOUT
479,4508794,2
41896
299.1
1893
158
23031
147,6227864,8
149Ü8
32,7916
35.7
3957
SEPT
617,8
5037
122.6
49443
400
1G75
213,3
OCT
273.7313187.4
25420
28000^
180,2¿25579,9
1 71'1 9
37.69a7j
41,5
4324
230223398.6
20700
43.3898
48.2
4720
NOV
318.2
3099102.7
27773
268.52210
121.5
22554
49.7889
55.9
5219
DEC
3053068
125.5
31345
327.82108
149.8
25568
57.21380
65
5777
JANV
465,8
3039153,3
35983
4002167
184.6
29600
65.8872
75,5
6383
FEV
75.6863
87.6
6955
75.6863
87.6
6955
MARS
87855
101.7
7743
87855
101.8
7743
AVR
100846
118.2
8500
100846
118,2
8500
- 8
TABLEAU 3
DEBITS NECESSAIRES (m3/h) POUR LA raODUCTION
D'UNE TONNE D'ESTURGEONS DE 2 kg EN 22 MOIS
Hois
ÎOTAOÏ
J
8,73
23,65
37,42
1
ï
3,37
23,58
37,95
1
a 1 i1
10.33
OV 1 J'J
i.i.îl
11,56
31,23
42,79
ï
14,01
14,01
J
1 h« 1 i7v^
15,93
J
0,45
13,23
là, 77
1
1,41
13,70
21,11
II
2,51
21,35
23,57
0
3,97
24,03
25,03
S
5,65
25,33
30,95
1
D
1
1
7,50
2', Cl
34,51
Les valeurs trouvées à la tonne s'échelonnent entre 14 et 43 m3/h,
valeurs respectives des mois de mai et d'avril, ce qui représente pour
30 tonnes commercialisables en première eau des débits compris entre 420
m3/h (117 l/s) et 1 290 m3/h (358 l/s).
Les besoins en eau nécessaires à l'élevage des anguilles ont été
évalués de la même façon mois par mois et sont reportés dans les tableaux
4 (pour une t'c = 23''C) et 5 (pour t'C= 25"'C), en fonction de la tempé¬
rature optimale, qui sera choisie.
- 8
TABLEAU 3
DEBITS NECESSAIRES (m3/h) POUR LA raODUCTION
D'UNE TONNE D'ESTURGEONS DE 2 kg EN 22 MOIS
Hois
ÎOTAOÏ
J
8,73
23,65
37,42
1
ï
3,37
23,58
37,95
1
a 1 i1
10.33
OV 1 J'J
i.i.îl
11,56
31,23
42,79
ï
14,01
14,01
J
1 h« 1 i7v^
15,93
J
0,45
13,23
là, 77
1
1,41
13,70
21,11
II
2,51
21,35
23,57
0
3,97
24,03
25,03
S
5,65
25,33
30,95
1
D
1
1
7,50
2', Cl
34,51
Les valeurs trouvées à la tonne s'échelonnent entre 14 et 43 m3/h,
valeurs respectives des mois de mai et d'avril, ce qui représente pour
30 tonnes commercialisables en première eau des débits compris entre 420
m3/h (117 l/s) et 1 290 m3/h (358 l/s).
Les besoins en eau nécessaires à l'élevage des anguilles ont été
évalués de la même façon mois par mois et sont reportés dans les tableaux
4 (pour une t'c = 23''C) et 5 (pour t'C= 25"'C), en fonction de la tempé¬
rature optimale, qui sera choisie.
Tableau n° 4 Evaluation des débits nécessairesProduction 1000 kg d'anguilles
.Température 23°C
MOISDEBITm 3/h
rc 23
TOTAL
JANV.
4,198
9,885
14,083
FEV
4.55
1.91
6,46
MARS
5,597
2.127
7.724
AVR
7.7Ï3
2.335lO&IO
MAI
7.033
7.033
JUIN
8,253
8.253
JUIL
9.782
9.782
AOUT
11,51
11,51
SEPT
13,583
13,583
OCT2.342
8.983
9.325
NOV
2.B49
7.B3
1 0,479
DEC
3.4'64
8.611
12,075
I
vo
Tableau n° 4 Evaluation des débits nécessairesProduction 1000 kg d'anguilles
.Température 23°C
MOISDEBITm 3/h
rc 23
TOTAL
JANV.
4,198
9,885
14,083
FEV
4.55
1.91
6,46
MARS
5,597
2.127
7.724
AVR
7.7Ï3
2.335lO&IO
MAI
7.033
7.033
JUIN
8,253
8.253
JUIL
9.782
9.782
AOUT
11,51
11,51
SEPT
13,583
13,583
OCT2.342
8.983
9.325
NOV
2.B49
7.B3
1 0,479
DEC
3.4'64
8.611
12,075
I
vo
Tableau n° 5. Evaluation des débits nécessairesProduction 1000 kg d'angui I les
Température 25°C
MOISDEBITma/h
rc 25
TOTAL
JANV.
4.589
10,806
15,395
FEV
4.974,
2.058
7.032
MARS
6.118
2.325
8.443
AVR
13.43
2.55210,902
MAI
7.687
7.687
JUIN
9.022
9,022
JUIL
ï Ô.'693
1 0.693
AOUT
12.581
Ï2,5Ôi
SEPT
14,848
14,848
OCT2,5B
7.634
'To2ïm
NOV
3.114
8,34
""iï''454'
DEC
3,786
-- -
9,413
13,199
I
o
I
Tableau n° 5. Evaluation des débits nécessairesProduction 1000 kg d'angui I les
Température 25°C
MOISDEBITma/h
rc 25
TOTAL
JANV.
4.589
10,806
15,395
FEV
4.974,
2.058
7.032
MARS
6.118
2.325
8.443
AVR
13.43
2.55210,902
MAI
7.687
7.687
JUIN
9.022
9,022
JUIL
ï Ô.'693
1 0.693
AOUT
12.581
Ï2,5Ôi
SEPT
14,848
14,848
OCT2,5B
7.634
'To2ïm
NOV
3.114
8,34
""iï''454'
DEC
3,786
-- -
9,413
13,199
I
o
I
- 11 -
Dans ces conditions, il est fixé un débit maximum constant de 22 m3/h
par tonne produite (220 m3/h, soit 61 l/s pour 10 t d'anguilles), ce qui
devrait permettre une légère marge pour optimiser la production.
Au total, est reportée dans le tableau 6 la récapitulation des
besoins en eau du projet pour les bassins de première eau. Ils couvriront
en même temps ceux des bassins de deuxième eau (alimentés à partir des
premiers par surverse).
L'examen du régime thermique des eaux de l'Eyre montre que les
températures minimales oscillent en janvier - février à 5 - 6*C, sans
jamais dépasser IS'C en été, cette dernière valeur étant rarement at¬
teinte. Dans ces conditions, il est donc nécessaire de réchauffer l'eau
prélevée en rivière par l'apport calorifique de l'eau géothermale du
forage du Teich. L'analyse chimique ayant montré son caractère impropre à
la pisciculture, il n'est pas possible de récupérer des calories par
dilution avec l'eau de l'Eyre. L'élévation de la température de l'eau en
tête des bassins sera donc réalisée à travers un échangeur.
1.1.2.4 - Qualité physico-chimique de l'eau
Les principaux paramètres qui doivent être pris en compte dans le
projet piscicole sont les suivants :
- La salinité
- La teneur en ammoniaque
- Le pH
- La température
- La teneur en oxygène dissous
Le fonctionnement physiologique normal des esturgeons et des anguil¬
les a été étudié par de nombreux auteurs et notamment par la Division
Aménagements littoraux et Aquaculture du CEMAGREF de Bordeaux.
- 11 -
Dans ces conditions, il est fixé un débit maximum constant de 22 m3/h
par tonne produite (220 m3/h, soit 61 l/s pour 10 t d'anguilles), ce qui
devrait permettre une légère marge pour optimiser la production.
Au total, est reportée dans le tableau 6 la récapitulation des
besoins en eau du projet pour les bassins de première eau. Ils couvriront
en même temps ceux des bassins de deuxième eau (alimentés à partir des
premiers par surverse).
L'examen du régime thermique des eaux de l'Eyre montre que les
températures minimales oscillent en janvier - février à 5 - 6*C, sans
jamais dépasser IS'C en été, cette dernière valeur étant rarement at¬
teinte. Dans ces conditions, il est donc nécessaire de réchauffer l'eau
prélevée en rivière par l'apport calorifique de l'eau géothermale du
forage du Teich. L'analyse chimique ayant montré son caractère impropre à
la pisciculture, il n'est pas possible de récupérer des calories par
dilution avec l'eau de l'Eyre. L'élévation de la température de l'eau en
tête des bassins sera donc réalisée à travers un échangeur.
1.1.2.4 - Qualité physico-chimique de l'eau
Les principaux paramètres qui doivent être pris en compte dans le
projet piscicole sont les suivants :
- La salinité
- La teneur en ammoniaque
- Le pH
- La température
- La teneur en oxygène dissous
Le fonctionnement physiologique normal des esturgeons et des anguil¬
les a été étudié par de nombreux auteurs et notamment par la Division
Aménagements littoraux et Aquaculture du CEMAGREF de Bordeaux.
- 12 -
TABLEAU 6
EVALUATION GLOBALE DES BESOINS EN EAU (en mS/h)
DE LA PISCICULTURE DU TEICH
1 MOIS
1 J
1 F
1 M
1 A
1 M
1 J
1 J
1 A
1 S
1 0
1 N
1 D
ESTURGEONS
(30 t)
1
1
1
1
1
123
139
212
284
421
480
564
634
717
841
930
039
ANGUILLES
(10 t)
220*
220
220
220
220
220
220
220
220
220
220
220
TOTAL
1
1
1
1
1
1
1
343
359
432
504
641
700
784
854
937
061
150
259
T° MOYENNE |
DE L'EYRE |
5 1
6 1
9 1
11 1
12 1
14 1
17 1
17 1
16 1
14 1
10 1
6 1
* Valeur maximale prise en compte
- 12 -
TABLEAU 6
EVALUATION GLOBALE DES BESOINS EN EAU (en mS/h)
DE LA PISCICULTURE DU TEICH
1 MOIS
1 J
1 F
1 M
1 A
1 M
1 J
1 J
1 A
1 S
1 0
1 N
1 D
ESTURGEONS
(30 t)
1
1
1
1
1
123
139
212
284
421
480
564
634
717
841
930
039
ANGUILLES
(10 t)
220*
220
220
220
220
220
220
220
220
220
220
220
TOTAL
1
1
1
1
1
1
1
343
359
432
504
641
700
784
854
937
061
150
259
T° MOYENNE |
DE L'EYRE |
5 1
6 1
9 1
11 1
12 1
14 1
17 1
17 1
16 1
14 1
10 1
6 1
* Valeur maximale prise en compte
13
1.1.2.4.1 - Salinité
L'esturgeon sibérien est un animal rustique, mais sensible aux
faibles variations de salinité de l'eau.
Le CEMAGREF estimant que l'équilibre de ce poisson est stable jusqu'à
une salinité maximale de 1,2 g/l, l'eau de l'Eyre convient très bien.
L'anguille se montre plus résistante que l'esturgeon à une salinité
élevée.
1.1.2.4.2 - £H
L'influence du pH se manifeste surtout sur les géniteurs et certains
auteurs, cités par le CEMAGREF, recommandent des valeurs comprises entre
6,5 à 8 pour l'élevage des esturgeons.
L'eau de l'Eyre étant caractérisée par un pH toujours acide, qui peut
descendre en hiver en-dessous de 5,5, il conviendra donc de le rectifier
de façon acceptable avec adjonction préalable de chaux.
Il en sera de même pour l'élevage des anguilles, dont l'optimum de
croissance se situe entre 6,5 et 7,8.
1.1.2.4.3 - Ammoniaque
Le forme non ionisée de ce composé (NH ) est toxique pour un élevage
de poissons. Dans le cas de l'esturgeon, il semble que la concentration
léthale de 50 en 24 h (1) soit voisine de 2 mg/l, ce qui situerait cette
espèce parmi les plus résistantes. Néanmoins, cette valeur est bien
supérieure à la moyenne générale de NH rencontrée dans l'Eyre (0,05 mg/l
pour la période 1980-86).
(1) CL 50 en 24 h (en mg/l) : cette valeur exprime la concentration d'un
milieu aquatique pour laquelle 50 Z des individus d'une espèce meurent à
l'issue d'une exposition pendant 24 h.
13
1.1.2.4.1 - Salinité
L'esturgeon sibérien est un animal rustique, mais sensible aux
faibles variations de salinité de l'eau.
Le CEMAGREF estimant que l'équilibre de ce poisson est stable jusqu'à
une salinité maximale de 1,2 g/l, l'eau de l'Eyre convient très bien.
L'anguille se montre plus résistante que l'esturgeon à une salinité
élevée.
1.1.2.4.2 - £H
L'influence du pH se manifeste surtout sur les géniteurs et certains
auteurs, cités par le CEMAGREF, recommandent des valeurs comprises entre
6,5 à 8 pour l'élevage des esturgeons.
L'eau de l'Eyre étant caractérisée par un pH toujours acide, qui peut
descendre en hiver en-dessous de 5,5, il conviendra donc de le rectifier
de façon acceptable avec adjonction préalable de chaux.
Il en sera de même pour l'élevage des anguilles, dont l'optimum de
croissance se situe entre 6,5 et 7,8.
1.1.2.4.3 - Ammoniaque
Le forme non ionisée de ce composé (NH ) est toxique pour un élevage
de poissons. Dans le cas de l'esturgeon, il semble que la concentration
léthale de 50 en 24 h (1) soit voisine de 2 mg/l, ce qui situerait cette
espèce parmi les plus résistantes. Néanmoins, cette valeur est bien
supérieure à la moyenne générale de NH rencontrée dans l'Eyre (0,05 mg/l
pour la période 1980-86).
(1) CL 50 en 24 h (en mg/l) : cette valeur exprime la concentration d'un
milieu aquatique pour laquelle 50 Z des individus d'une espèce meurent à
l'issue d'une exposition pendant 24 h.
- 14 -
L'anguille est elle aussi, un poisson résistant, mais des troubles de
croissance apparaissent pour des valeurs supérieures à 0,12 mg/l en
ammoniac .
Des précautions devront donc être prises préalablement à l'utili¬
sation de l'eau de la rivière, d'autant plus que ce composé est un des
sous-produits majeurs du métabolisme des poissons, au niveau de
l'excrétion (1), ce qui créé des contraintes au niveau de l'exploitation
et des rejets. Néanmoins, le pH acide et la température peu élevée de leau
de l'Eyre devraient permettre une diminution de la toxicité de
1 ' ammoniaque .
On a noté enfin que la qualité bactériologique de l'Eyre est moins
favorable à l'aval de Mios qu'en amont.
Quant à la faible teneur en MES (5 à 7 mg/l), elle doit être considé¬
rée comme un facteur favorable au projet, en permettant un meilleur suivi
visuel de l'élevage et en évitant les problèmes de décantation au niveau
des bassins. A l'inverse, l'esturgeon est une espèce lucifuge, craignant
les excès de lumière : des ombrages seront donc nécessaires pour permettre
la croissance optimale de l'espèce.
1.1.2.4.4 - Températures
L'optimum de croissance des esturgeons et anguilles a été fixé par le
CEMAGREF respectivement à 17°C et 23'*C.
L'utilisation des eaux géothermales est nécessaire pour obtenir ces
valeurs, puisque l'eau de l'Eyre est en moyenne toujours plus fraîche.
(1) D'après les études effectuées par le CEMAGREF, l'excrétion moyenne
d'esturgeons de 70 à 500 g s'élève à environ 250 mg/l d'ammoniaque pour
une alimentation traditionnelle de 1,0 M du poids vif par jour et a été
obtenue à partir de mesures expérimentales a
- 14 -
L'anguille est elle aussi, un poisson résistant, mais des troubles de
croissance apparaissent pour des valeurs supérieures à 0,12 mg/l en
ammoniac .
Des précautions devront donc être prises préalablement à l'utili¬
sation de l'eau de la rivière, d'autant plus que ce composé est un des
sous-produits majeurs du métabolisme des poissons, au niveau de
l'excrétion (1), ce qui créé des contraintes au niveau de l'exploitation
et des rejets. Néanmoins, le pH acide et la température peu élevée de leau
de l'Eyre devraient permettre une diminution de la toxicité de
1 ' ammoniaque .
On a noté enfin que la qualité bactériologique de l'Eyre est moins
favorable à l'aval de Mios qu'en amont.
Quant à la faible teneur en MES (5 à 7 mg/l), elle doit être considé¬
rée comme un facteur favorable au projet, en permettant un meilleur suivi
visuel de l'élevage et en évitant les problèmes de décantation au niveau
des bassins. A l'inverse, l'esturgeon est une espèce lucifuge, craignant
les excès de lumière : des ombrages seront donc nécessaires pour permettre
la croissance optimale de l'espèce.
1.1.2.4.4 - Températures
L'optimum de croissance des esturgeons et anguilles a été fixé par le
CEMAGREF respectivement à 17°C et 23'*C.
L'utilisation des eaux géothermales est nécessaire pour obtenir ces
valeurs, puisque l'eau de l'Eyre est en moyenne toujours plus fraîche.
(1) D'après les études effectuées par le CEMAGREF, l'excrétion moyenne
d'esturgeons de 70 à 500 g s'élève à environ 250 mg/l d'ammoniaque pour
une alimentation traditionnelle de 1,0 M du poids vif par jour et a été
obtenue à partir de mesures expérimentales a
- 15 -
L'élévation des températures sera obtenue par un échangeur à plaques
et non par mélange direct de l'eau chaude avec celle de l'Eyre, Compte
tenu des variations quotidiennes de la température de l'eau de la rivière,
une étude thermique détaillée sera réalisée pour définir avec exactitude
les caractéristiques de l'installation nécessaire à la régulation de la
température de l'eau des bassins,
1.1,2.4.5 - Teneur en oxygène
L'étude de la croissance des jeunes alevins d'esturgeons a montré que
l'optimum pouvait être atteint si on ne descendait pas en-dessous d'en¬
viron 70 % de la saturation en 0 à 20° C (pression partielle de 100 mm
d'Hg). Dans cette hypothèse de croissance, la teneur en oxygène de l'eau
doit varier de 5,7 mg/l à 15°C à 6,5 mg/l à 25°C.
Mais il existe également des valeurs critiques supérieures liées à la
sursaturation en oxygène, qu'il ne faut pas dépasser.
Ce paramètre devra être particulièrement suivi dans le projet du
Teich du fait que l'élévation de température au travers de l'échangeur
entraînera une forte sursaturation gazeuse, principalement en azote.
L'élevage d'anguilles peut tolérer une teneur minimale de 3 mg/l
d'oxygène dissous et supportera jusqu'à 50 % de saturation à 20 "C, Mais il
est impératif de ne pas descendre en-dessous d'une teneur en oxygène
dissous de 4,5 mg/l dans l'eau des effluents de bassins,
1.1.2.5 - Besoins en oxygène dissous
1.1,2,5,1 - Elevage des esturgeons
L'évaluation de la consommation en oxygène des esturgeons a été
évaluée de façon théorique, et expérimentale par le CEMAGREF, sur la base
du poids moyen des poissons et de la température de l'eau. Ces données
comparatives sont reportées dans le tableau 7 et ont permis de définir les
consommations mensuelles réparties sur 24 mois (tableau 1).
- 15 -
L'élévation des températures sera obtenue par un échangeur à plaques
et non par mélange direct de l'eau chaude avec celle de l'Eyre, Compte
tenu des variations quotidiennes de la température de l'eau de la rivière,
une étude thermique détaillée sera réalisée pour définir avec exactitude
les caractéristiques de l'installation nécessaire à la régulation de la
température de l'eau des bassins,
1.1,2.4.5 - Teneur en oxygène
L'étude de la croissance des jeunes alevins d'esturgeons a montré que
l'optimum pouvait être atteint si on ne descendait pas en-dessous d'en¬
viron 70 % de la saturation en 0 à 20° C (pression partielle de 100 mm
d'Hg). Dans cette hypothèse de croissance, la teneur en oxygène de l'eau
doit varier de 5,7 mg/l à 15°C à 6,5 mg/l à 25°C.
Mais il existe également des valeurs critiques supérieures liées à la
sursaturation en oxygène, qu'il ne faut pas dépasser.
Ce paramètre devra être particulièrement suivi dans le projet du
Teich du fait que l'élévation de température au travers de l'échangeur
entraînera une forte sursaturation gazeuse, principalement en azote.
L'élevage d'anguilles peut tolérer une teneur minimale de 3 mg/l
d'oxygène dissous et supportera jusqu'à 50 % de saturation à 20 "C, Mais il
est impératif de ne pas descendre en-dessous d'une teneur en oxygène
dissous de 4,5 mg/l dans l'eau des effluents de bassins,
1.1.2.5 - Besoins en oxygène dissous
1.1,2,5,1 - Elevage des esturgeons
L'évaluation de la consommation en oxygène des esturgeons a été
évaluée de façon théorique, et expérimentale par le CEMAGREF, sur la base
du poids moyen des poissons et de la température de l'eau. Ces données
comparatives sont reportées dans le tableau 7 et ont permis de définir les
consommations mensuelles réparties sur 24 mois (tableau 1).
_ 16 -
Tableau 7- Evaluation cíe la consctrj.ation à'oxyçè.-ie (me O |kç|h)de Acipenser baeri selon le poicis cies animaux ec latempérature cîa l'eau
I I Données expérimentales
^N. Température1 \. or I 14
Poids \.^^ 1
moyen ^s. i
(g) \J 1
1 1 !
1 5 I 244 i
1 1 i
1 1 !
1 10 I 214 i
1 1 1
1 1 '1 1 I
j 50 1 150 1
I 2C0 1 124 i
17
301
265
197
153
20 1 24
1 1
1
1
375 1 525
1
331 I 4621
245 1 344
¡
191 1 2671
t
1 Illl1 1 000 1 92 i 113 1 142 1 200
1 1 1 1
. 1 1 1 1
1 Illl1 2 COO 1 81 1 100 1 125 1 174
1 Illl
_ 16 -
Tableau 7- Evaluation cíe la consctrj.ation à'oxyçè.-ie (me O |kç|h)de Acipenser baeri selon le poicis cies animaux ec latempérature cîa l'eau
I I Données expérimentales
^N. Température1 \. or I 14
Poids \.^^ 1
moyen ^s. i
(g) \J 1
1 1 !
1 5 I 244 i
1 1 i
1 1 !
1 10 I 214 i
1 1 1
1 1 '1 1 I
j 50 1 150 1
I 2C0 1 124 i
17
301
265
197
153
20 1 24
1 1
1
1
375 1 525
1
331 I 4621
245 1 344
¡
191 1 2671
t
1 Illl1 1 000 1 92 i 113 1 142 1 200
1 1 1 1
. 1 1 1 1
1 Illl1 2 COO 1 81 1 100 1 125 1 174
1 Illl
- 17 -
Partant de cette analyse, il est nécessaire de comparer les besoins
en oxygène dissous avec les possibilités de l'Eyre, sur la base des
valeurs moyennes observées dans la rivière au pont de Lamothe sur une
longue période (tableau 8), en regard des températures moyennes de l'eau
(§ 2,3.2.4)
TABLEAU 8
DONNEES MENSUELLES CCMgARATIVES CONCERNANT LES TEMPERATURES MOYENNES
DE L'EAU ET LES TENEURS EN 02 DISSOUS
PONT DE LAMOTHE (1978-87)
1 Valeurs |j|f|m|a|m|J|J|a|S|o|n|d|
1 observées llllllllllll '
1 02 dissous llllllllllll 1
1 (mg/l) |10,2| 10 |10,2| 9,6| 9,3| 8 | 8,5| 9,6| 9 | 7,6|l0,l| 9,6 |
1 T° C 1 5 1 6 1 9 1 11 1 12 1 14 1 17 1 17 1 16 1 14 1 10 i 6 |
Les eaux dérivées pour l'élevage d'esturgeons seront portées à 17''C,
température pour laquelle la concentration à saturation de l'oxygène
dissous est égale à 9,37 mg/l (sous pression normale de 760 mm HG), Une
sursaturation en oxygène apparaîtra donc en sortie d' échangeur (janvier à
avril, août, novembre et décembre), ce qui nécessitera dans ce cas un
dégazage préalable de l'eau avant répartition dans les bassins. Le reste
de l'année, l'eau de l'Eyre n'est pas saturée en oxygène.
Les données comparatives des apports de la rivière en oxygène dissous
(après dégazage en cas de sursaturation) et des besoins de l'élevage
(exprimés en kg/h) ont été rassemblés dans le tableau 9»
- 17 -
Partant de cette analyse, il est nécessaire de comparer les besoins
en oxygène dissous avec les possibilités de l'Eyre, sur la base des
valeurs moyennes observées dans la rivière au pont de Lamothe sur une
longue période (tableau 8), en regard des températures moyennes de l'eau
(§ 2,3.2.4)
TABLEAU 8
DONNEES MENSUELLES CCMgARATIVES CONCERNANT LES TEMPERATURES MOYENNES
DE L'EAU ET LES TENEURS EN 02 DISSOUS
PONT DE LAMOTHE (1978-87)
1 Valeurs |j|f|m|a|m|J|J|a|S|o|n|d|
1 observées llllllllllll '
1 02 dissous llllllllllll 1
1 (mg/l) |10,2| 10 |10,2| 9,6| 9,3| 8 | 8,5| 9,6| 9 | 7,6|l0,l| 9,6 |
1 T° C 1 5 1 6 1 9 1 11 1 12 1 14 1 17 1 17 1 16 1 14 1 10 i 6 |
Les eaux dérivées pour l'élevage d'esturgeons seront portées à 17''C,
température pour laquelle la concentration à saturation de l'oxygène
dissous est égale à 9,37 mg/l (sous pression normale de 760 mm HG), Une
sursaturation en oxygène apparaîtra donc en sortie d' échangeur (janvier à
avril, août, novembre et décembre), ce qui nécessitera dans ce cas un
dégazage préalable de l'eau avant répartition dans les bassins. Le reste
de l'année, l'eau de l'Eyre n'est pas saturée en oxygène.
Les données comparatives des apports de la rivière en oxygène dissous
(après dégazage en cas de sursaturation) et des besoins de l'élevage
(exprimés en kg/h) ont été rassemblés dans le tableau 9»
- 18 -
TABLEAU 9
COMPARAISON DES APPORTS ET DES BESOINS EN 02 DISSOUS
POUR UNE PRODUCTION DE 30 TONNES D'ESTURGEONS
EN PREMIERE EAU (1)
1 Mois
1 J
1 F
1 M
1 A
1 M
1 ^
1 J
1 A
1 S
1 0
1 N
1 D
02 dissous
dans
l'Eyre
(mg/l)
9,37
9,37
9,37
9,37
9,3
IOO8,5
9,37
9
7,6
9,37
9,37
Débits
dérivés
(1/h)
1123.10^
1139.10"^
1212.10^
1284.10^
421.10"^
480.10^
564.10^
634,10'^
717.10^
841. 10~^
930.10"^
1039.10"^
Apports en
02 dissous
(kg/h)
10,5225
10,6724
11,3564
12,0310
3,9153
3,840
4,794
5,9406
6,453
6,3916
8,7141
9,7354
Besoins en
02 dissous
(kg/h)
2,0840
2,4293
3 , 0450
4,9497
5,3256
5,754
2,0855
2,9544
3,1266
2,4635
2,6258
3 , 9803
02 dissous
en sortie
de bassins
(kg/h)
8,4385
8,2431
8,3114
7,0813
Déficit
Déficit
2,7085
2,9862
3,3264
3,9281
6,0883
5,7551
Concentra- 1
tion des |
rejets |
(mg/l) 1
7,514 1
7,237 1
6,858 1
5,515* 1
1
1
4,802* 1
4,710* 1
4,639* 1
4,671* 1
6 , 547 1
5,539* 1
N.B. Les valeurs soulignées correspondent à des mois où l'eau de l'Eyre est sous-
satin?ée en 02 dissous à t = 17° C.
(1) On procédera à une oxygénation des effluents préalablement à l'alimen¬
tation des bassins de deuxième eau.
* Ces valeurs correspondent à des teneurs en 02 dissous de sorties de bassin
de première eau inférieures à 6 mg/l. Les teneurs en 02 dissous des effluents de
deuxième eau ne devront jamais descendre en-dessous de 4,5 mg/l.
- 18 -
TABLEAU 9
COMPARAISON DES APPORTS ET DES BESOINS EN 02 DISSOUS
POUR UNE PRODUCTION DE 30 TONNES D'ESTURGEONS
EN PREMIERE EAU (1)
1 Mois
1 J
1 F
1 M
1 A
1 M
1 ^
1 J
1 A
1 S
1 0
1 N
1 D
02 dissous
dans
l'Eyre
(mg/l)
9,37
9,37
9,37
9,37
9,3
IOO8,5
9,37
9
7,6
9,37
9,37
Débits
dérivés
(1/h)
1123.10^
1139.10"^
1212.10^
1284.10^
421.10"^
480.10^
564.10^
634,10'^
717.10^
841. 10~^
930.10"^
1039.10"^
Apports en
02 dissous
(kg/h)
10,5225
10,6724
11,3564
12,0310
3,9153
3,840
4,794
5,9406
6,453
6,3916
8,7141
9,7354
Besoins en
02 dissous
(kg/h)
2,0840
2,4293
3 , 0450
4,9497
5,3256
5,754
2,0855
2,9544
3,1266
2,4635
2,6258
3 , 9803
02 dissous
en sortie
de bassins
(kg/h)
8,4385
8,2431
8,3114
7,0813
Déficit
Déficit
2,7085
2,9862
3,3264
3,9281
6,0883
5,7551
Concentra- 1
tion des |
rejets |
(mg/l) 1
7,514 1
7,237 1
6,858 1
5,515* 1
1
1
4,802* 1
4,710* 1
4,639* 1
4,671* 1
6 , 547 1
5,539* 1
N.B. Les valeurs soulignées correspondent à des mois où l'eau de l'Eyre est sous-
satin?ée en 02 dissous à t = 17° C.
(1) On procédera à une oxygénation des effluents préalablement à l'alimen¬
tation des bassins de deuxième eau.
* Ces valeurs correspondent à des teneurs en 02 dissous de sorties de bassin
de première eau inférieures à 6 mg/l. Les teneurs en 02 dissous des effluents de
deuxième eau ne devront jamais descendre en-dessous de 4,5 mg/l.
- 19 -
Les conclusions de ces comparaisons sont les suivantes :
- Il apparaît pendant deux mois de l 'année (Mai et Juin) un fort
déficit d'oxygène dissous dans la rivière,
- La concentration en oxygène s'avère en outre inférieure à 6 mg/l en
sortie de bassin durant six autres mois de l'année.
D'importantes mesures seront donc nécessaires au niveau du projet
pour augmenter la concentration en oxygène en sortie d' échangeur et des
bassins à certaines périodes de l'année, pour que l'élevage d'esturgeons
ne soit pas perturbé (oxygénation par aérateurs et/ou augmentation des
débits en tête des bassins, pour augmenter les apports d'oxygène),
1,1.2,5,2 - Elevage des anguilles
Les besoins en oxygène de l'élevage ont été évalués par le CEMAGREF.
Les anguilles tolèrent une teneur minimale de 3 mg/l d'oxygène dissous.
Dans les conditions d'élevage intensif, il est recommandé de ne pas
descendre en-dessous de 4,5 mg/l dans l'eau en sortie de bassins et de
rester au-dessus de 50 % de la saturation.
Les consommations globales en oxygène établies sur un plan prévision¬
nel de 19 mois figurent dans le tableau 2, après avoir été calculées
séparément pour chaque lot. Ces valeurs ont été comparées avec les concen¬
trations en oxygène et les températures moyennes de l'eau de l'Eyre
(tableau 8),
Les débits prélevés dans la rivière seront portés à 23 "C, température
pour laquelle la concentration à saturation de l'oxygène dissous est égale
à 8,38 mg/l.
Une sursaturation apparaîtra selon le tableau 10 la plupart du temps
(à l'exception des mois de juin et d'octobre), sans que celle-ci soit
préjudiciable aux poissons.
- 19 -
Les conclusions de ces comparaisons sont les suivantes :
- Il apparaît pendant deux mois de l 'année (Mai et Juin) un fort
déficit d'oxygène dissous dans la rivière,
- La concentration en oxygène s'avère en outre inférieure à 6 mg/l en
sortie de bassin durant six autres mois de l'année.
D'importantes mesures seront donc nécessaires au niveau du projet
pour augmenter la concentration en oxygène en sortie d' échangeur et des
bassins à certaines périodes de l'année, pour que l'élevage d'esturgeons
ne soit pas perturbé (oxygénation par aérateurs et/ou augmentation des
débits en tête des bassins, pour augmenter les apports d'oxygène),
1,1.2,5,2 - Elevage des anguilles
Les besoins en oxygène de l'élevage ont été évalués par le CEMAGREF.
Les anguilles tolèrent une teneur minimale de 3 mg/l d'oxygène dissous.
Dans les conditions d'élevage intensif, il est recommandé de ne pas
descendre en-dessous de 4,5 mg/l dans l'eau en sortie de bassins et de
rester au-dessus de 50 % de la saturation.
Les consommations globales en oxygène établies sur un plan prévision¬
nel de 19 mois figurent dans le tableau 2, après avoir été calculées
séparément pour chaque lot. Ces valeurs ont été comparées avec les concen¬
trations en oxygène et les températures moyennes de l'eau de l'Eyre
(tableau 8),
Les débits prélevés dans la rivière seront portés à 23 "C, température
pour laquelle la concentration à saturation de l'oxygène dissous est égale
à 8,38 mg/l.
Une sursaturation apparaîtra selon le tableau 10 la plupart du temps
(à l'exception des mois de juin et d'octobre), sans que celle-ci soit
préjudiciable aux poissons.
- 20 -
TABLEAU 10
COMPARAISON DES APPORTS ET DES BESOINS EN 02 DISSOUS
POUR UNE PRODUCTION DE 10 TONNES D'ANGUILLES
1 Mois
1 J
1 F
1 M
1 A
1 M
1 J
\ J
1 A
1 S
1 0
1 N
1 D
02 dissous
dans
l'Eyre
(mg/l)
10,2
10
10,2
9,6
9,3
COI8,5
9,6
9
7,6
10,1
9,6
Débits
dérivés
(1/h)
220.10^
220.10"^
220.10"^
220.10"^
220.10^
220.10^
220.10^
220.10^
220.10"^
220.10"^
220.10"^
220.10^
Apports en
02 dissous
(kg/h)
2,244
2,200
2,244
2,112
2,046
1,760
1,870
2,112
1,980
1,672
2,222
2,112
Besoins en
02 dissous
(kg/h)
i
0,5125
0,2352
0,2812
0,3657
0,2552
0,3004
0,3561
0,4190
0 , 4944
0,3395
0,3815
0,4395
02 dissous
en sortie
de bassins
(kg/h)
1,7314
1,9648
1,9628
1,7463
1,7901
1,4496
1,5139
1,6930
1,4856
1,3325
1,8405
1,6725
Concentra- 1
tion des |
rejets j
(mg/l) 1
7,87 1
8,931 1
8,922 1
7,938 1
8,137 1
6,589 1
6,881 !
7,696 1
6,753 1
6,057 1
8,366 1
7,602 1
N.B. Il n'existe pas de mois où la concentration en oxygène dissous ne soit
inférieure à 4,5 mg/l.
Les valeurs soulignées relatives à la concentration en oxygène dissous
dans l'Eyre correspondent à un état de sous-saturation à t = 23"C.
- 20 -
TABLEAU 10
COMPARAISON DES APPORTS ET DES BESOINS EN 02 DISSOUS
POUR UNE PRODUCTION DE 10 TONNES D'ANGUILLES
1 Mois
1 J
1 F
1 M
1 A
1 M
1 J
\ J
1 A
1 S
1 0
1 N
1 D
02 dissous
dans
l'Eyre
(mg/l)
10,2
10
10,2
9,6
9,3
COI8,5
9,6
9
7,6
10,1
9,6
Débits
dérivés
(1/h)
220.10^
220.10"^
220.10"^
220.10"^
220.10^
220.10^
220.10^
220.10^
220.10"^
220.10"^
220.10"^
220.10^
Apports en
02 dissous
(kg/h)
2,244
2,200
2,244
2,112
2,046
1,760
1,870
2,112
1,980
1,672
2,222
2,112
Besoins en
02 dissous
(kg/h)
i
0,5125
0,2352
0,2812
0,3657
0,2552
0,3004
0,3561
0,4190
0 , 4944
0,3395
0,3815
0,4395
02 dissous
en sortie
de bassins
(kg/h)
1,7314
1,9648
1,9628
1,7463
1,7901
1,4496
1,5139
1,6930
1,4856
1,3325
1,8405
1,6725
Concentra- 1
tion des |
rejets j
(mg/l) 1
7,87 1
8,931 1
8,922 1
7,938 1
8,137 1
6,589 1
6,881 !
7,696 1
6,753 1
6,057 1
8,366 1
7,602 1
N.B. Il n'existe pas de mois où la concentration en oxygène dissous ne soit
inférieure à 4,5 mg/l.
Les valeurs soulignées relatives à la concentration en oxygène dissous
dans l'Eyre correspondent à un état de sous-saturation à t = 23"C.
- 21 -
1.2 - Description du projet
Sur la base de la production évaluée précédemment (Esturgeons et
anguilles) et des courbes de croissance établies par le CEMAGREF de
Bordeaux, la Direction Départementale de l'Agriculture et de la Forêt de
la Gironde a calculé le nombre de bassins nécessaires pour mener à bien
ces deux élevages, à partir d'alevins sevrés de 5 g (esturgeons) et de 8 g
(anguilles) .
1.2.1 - Elevage des esturgeons
Le projet a été établi sur la base du tableau 11 et des hypothèses
retenues suivantes :
- Le poisson sera commercialisable à 2 kg au bout de deux ans.
- La charge d'élevage des bassins des bassins a été établie pour
30 kg/m2 de surface en première eau, 15 à 20 kg/m2 en deuxiènK eau et
une profondeur moyenne de 1 m.
- 30 tonnes d'esturgeons seront conaiercialisables en deux ans en
première eau, et 15 tonnes en deuxième eau.
- Chaque unité de bassin aura une surface de 180 m2 (45 X 4 m).
On disposera pour l'élevage :
. de 5 bassins de prégrossissement de 36 m2, destinés au développement
des alevins de 5 g. Jusqu'à l 'obtention d'un poids unitaire de 80 -
100 g en trois mois.
. en première eau, de 8 bassins raceways de 180 m2 chacun
(tableau 11 ).
L'ensemble sera mis en place sur le site selon un dispositif en
parallèle, pour limiter à ce niveau les risques d'épidémies et économiser
1 'eau.
- 21 -
1.2 - Description du projet
Sur la base de la production évaluée précédemment (Esturgeons et
anguilles) et des courbes de croissance établies par le CEMAGREF de
Bordeaux, la Direction Départementale de l'Agriculture et de la Forêt de
la Gironde a calculé le nombre de bassins nécessaires pour mener à bien
ces deux élevages, à partir d'alevins sevrés de 5 g (esturgeons) et de 8 g
(anguilles) .
1.2.1 - Elevage des esturgeons
Le projet a été établi sur la base du tableau 11 et des hypothèses
retenues suivantes :
- Le poisson sera commercialisable à 2 kg au bout de deux ans.
- La charge d'élevage des bassins des bassins a été établie pour
30 kg/m2 de surface en première eau, 15 à 20 kg/m2 en deuxiènK eau et
une profondeur moyenne de 1 m.
- 30 tonnes d'esturgeons seront conaiercialisables en deux ans en
première eau, et 15 tonnes en deuxième eau.
- Chaque unité de bassin aura une surface de 180 m2 (45 X 4 m).
On disposera pour l'élevage :
. de 5 bassins de prégrossissement de 36 m2, destinés au développement
des alevins de 5 g. Jusqu'à l 'obtention d'un poids unitaire de 80 -
100 g en trois mois.
. en première eau, de 8 bassins raceways de 180 m2 chacun
(tableau 11 ).
L'ensemble sera mis en place sur le site selon un dispositif en
parallèle, pour limiter à ce niveau les risques d'épidémies et économiser
1 'eau.
D.D.A.F, 33
DISTRICT D'ARCACHONTABLEAU 11
PISCICULTURE ZINSIUS.
EVALUATION DES BESOINS EN BASSINS POUR UN ELEVAGE DE 30 TONNES D'ESTURGEONS BAERI EN 2h MOIS
Hypothèses de base : 1°/ Poisson commercialisable en 2'* mois au poids de 2 Kg
2°/ Charge des bassins 30 Kg au m' (profondeur moyenne 1 ml)
3°/ 30 T comméi-cialisables en première eau en 2 ans
h°l Unité de bassin 180 m* soit 'f5 n\ x h
MOISANNEES
ANNEE nO
ANNEE ni
ANNEE n2
JANVIER
2 130 Kg72 m^^
21 510 Kg717 m'
Ct)
FEVRIER
2 910 Kg96 m'
22 950 Kg765 m^
MARS
3 720 Kg123 m'
U /
2it 360 Kg813 m'
\Ji
AVRIL
h 800 Kg159 m^
25 7hO Kg858 m^
MAI
6 2'tO Kg207 m'
27 600 Kg921 m'
< (
JUIN JUILLET
7 800 Kg 9 ííSO Kg261 m' 315 m'- (2) i-
30 000 Kg999 m'
.>)
AOUT
13 020 Kg¿^35 m'
SEPTEMBRE
1 5 660 Kg522 m^
\J)
OCTOBRE
990. Kg33 m'
17 660 Kg573 m^
NOVEMBRE
1 320 Kgh5 m'
18 630 Kg621 m'
« 1
DECEMBRE
1 620 Kg5h m'
20 070 Kg669 m'
^ W/ "
CONCLUSIONS : Total = 7+1 bassin permettant les manutentions - 8 bassiiis de 180 m^ en première eau
Pour le prégrossissement de 5 g à 80/100 g prévoir 5 bassins do 30 m% la charge de res bassins n'étant que d'environ10 Kg au m^
Le débit de pointe nécessaire à l'élevage sera de hi m' /li par tonne produite soit I 290 m'/h soit 358 l/s.
N,B, ; Ce tableau est établi en tenant compte des hypothèses de grossissement préconisées par le CEMAGREF (Document 3uillet 1988 -Page 36 - Tableau 8 et Page 3h).
NJ
F.ll/MSOctobre 1988
D.D.A.F, 33
DISTRICT D'ARCACHONTABLEAU 11
PISCICULTURE ZINSIUS.
EVALUATION DES BESOINS EN BASSINS POUR UN ELEVAGE DE 30 TONNES D'ESTURGEONS BAERI EN 2h MOIS
Hypothèses de base : 1°/ Poisson commercialisable en 2'* mois au poids de 2 Kg
2°/ Charge des bassins 30 Kg au m' (profondeur moyenne 1 ml)
3°/ 30 T comméi-cialisables en première eau en 2 ans
h°l Unité de bassin 180 m* soit 'f5 n\ x h
MOISANNEES
ANNEE nO
ANNEE ni
ANNEE n2
JANVIER
2 130 Kg72 m^^
21 510 Kg717 m'
Ct)
FEVRIER
2 910 Kg96 m'
22 950 Kg765 m^
MARS
3 720 Kg123 m'
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2it 360 Kg813 m'
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AVRIL
h 800 Kg159 m^
25 7hO Kg858 m^
MAI
6 2'tO Kg207 m'
27 600 Kg921 m'
< (
JUIN JUILLET
7 800 Kg 9 ííSO Kg261 m' 315 m'- (2) i-
30 000 Kg999 m'
.>)
AOUT
13 020 Kg¿^35 m'
SEPTEMBRE
1 5 660 Kg522 m^
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OCTOBRE
990. Kg33 m'
17 660 Kg573 m^
NOVEMBRE
1 320 Kgh5 m'
18 630 Kg621 m'
« 1
DECEMBRE
1 620 Kg5h m'
20 070 Kg669 m'
^ W/ "
CONCLUSIONS : Total = 7+1 bassin permettant les manutentions - 8 bassiiis de 180 m^ en première eau
Pour le prégrossissement de 5 g à 80/100 g prévoir 5 bassins do 30 m% la charge de res bassins n'étant que d'environ10 Kg au m^
Le débit de pointe nécessaire à l'élevage sera de hi m' /li par tonne produite soit I 290 m'/h soit 358 l/s.
N,B, ; Ce tableau est établi en tenant compte des hypothèses de grossissement préconisées par le CEMAGREF (Document 3uillet 1988 -Page 36 - Tableau 8 et Page 3h).
NJ
F.ll/MSOctobre 1988
23 -
Le projet prévoit deux bassins de 16 m2 pour permettre diverses
manutentions (notamment une mise en quarantaine éventuelle) ; ils pourront
servir indifféremment à l'élevage des esturgeons et des anguilles. Leur
alimentation et leur vidange seront particulières et indépendantes de
celles des précédents.
En deuxième eau, on réalisera 4 bassins raceways de 160 m2 chacun
disposés à la suite directe des bassins de première eau,
1.2.2 - Elevage des anguilles
Les données du projet sont rassemblées dans le tableau 12, Etant
donné la répartition de la production en 4 lots successifs de poissons de
taille différente (7, 12, 16 et 19 mois), obtenus à partir de tris
fréquents d'homogénéisation (pour favoriser la production et éviter le
cannibalisme), on disposera sur le site de :
- 6 bassins sub-carrés de 16 m2 chacun, dont un réservé aux manipula¬
tions : ils seront destinés à la croissimce du lot de tête (T) de
7 mois et du lot de queue (Q) de 19 mois .
- 6 bassins rectangulaires ou raceways de 36 m2 chacun, réservés à
la croissance des deux lots moyens (Ml et M2) (12 et 16 mois).
Ils seront disposés en parallèle.
On réalisera trois bassins raceways de 36 m2 chacun pour 1 'élevage
en deuxième eau.
(1) Type de bassin le plus utilisé en pisciculture, avec alimentation en
tête et exutoire à 1 'extrémité opposée.
23 -
Le projet prévoit deux bassins de 16 m2 pour permettre diverses
manutentions (notamment une mise en quarantaine éventuelle) ; ils pourront
servir indifféremment à l'élevage des esturgeons et des anguilles. Leur
alimentation et leur vidange seront particulières et indépendantes de
celles des précédents.
En deuxième eau, on réalisera 4 bassins raceways de 160 m2 chacun
disposés à la suite directe des bassins de première eau,
1.2.2 - Elevage des anguilles
Les données du projet sont rassemblées dans le tableau 12, Etant
donné la répartition de la production en 4 lots successifs de poissons de
taille différente (7, 12, 16 et 19 mois), obtenus à partir de tris
fréquents d'homogénéisation (pour favoriser la production et éviter le
cannibalisme), on disposera sur le site de :
- 6 bassins sub-carrés de 16 m2 chacun, dont un réservé aux manipula¬
tions : ils seront destinés à la croissimce du lot de tête (T) de
7 mois et du lot de queue (Q) de 19 mois .
- 6 bassins rectangulaires ou raceways de 36 m2 chacun, réservés à
la croissance des deux lots moyens (Ml et M2) (12 et 16 mois).
Ils seront disposés en parallèle.
On réalisera trois bassins raceways de 36 m2 chacun pour 1 'élevage
en deuxième eau.
(1) Type de bassin le plus utilisé en pisciculture, avec alimentation en
tête et exutoire à 1 'extrémité opposée.
- 24 -
1.2.3 - Caractéristiques des bassins
Il s'agit donc au total d'un ensemble de bassins, dont la superficie
totale d'environ 2 000 m2 se répartira ainsi, pour l'élevage en première
eau (1) :
- 1 650 m2 pour les esturgeons- 312 m2 pour les anguilles
Ils seront creusés dans le sol et réalisés en béton dans un souci de
rationaliser leur gestion et d'en faciliter l'entretien. Leur profondeur
sera de 1 m,
La finition par surfaçage du fond et des parois sera particulièrement
soignée, pour éviter les lésions des poissons.
Dans le cas des esturgeons, une forme rectangulaire a été retenue et
les dimensions ont été choisies pour permettre le maintien d'une vitesse
de nage de 1,2 longueur de corps par seconde.
L'alimentation en eau des bassins se fera en tête par une lame déver¬
sante continue, à partir d'un canal d'amenée. Le trop-plein sera évacué de
la même façon à l'autre extrémité, dans un canal d'évacuation, le niveau
étant fixé par un jeu de planches, précédé d'une grille pour empêcher la
sortie des poissons.
Les bassins seront vidangeables séparément, leur conception étant
réalisée pour que chaque vidange particulière soit indépendante de
l'ensemble.
1.2.4 - Approvisionnement des alevins
La pisciculture du Teich sera approvisionnée en alevins d'esturgeons
de 5 g, en provenance de la station d'alevinage de l'A.P,I,E, de
St-Seurin-Sur-1'Isle (33), à 10 km environ à l'Est de Contras.
(I) Lea bassíae de deuxième eau représenteront près de 750 m2 au total(640 m2 pour les esturgeons et 110 m2 pour les anguilles).
- 24 -
1.2.3 - Caractéristiques des bassins
Il s'agit donc au total d'un ensemble de bassins, dont la superficie
totale d'environ 2 000 m2 se répartira ainsi, pour l'élevage en première
eau (1) :
- 1 650 m2 pour les esturgeons- 312 m2 pour les anguilles
Ils seront creusés dans le sol et réalisés en béton dans un souci de
rationaliser leur gestion et d'en faciliter l'entretien. Leur profondeur
sera de 1 m,
La finition par surfaçage du fond et des parois sera particulièrement
soignée, pour éviter les lésions des poissons.
Dans le cas des esturgeons, une forme rectangulaire a été retenue et
les dimensions ont été choisies pour permettre le maintien d'une vitesse
de nage de 1,2 longueur de corps par seconde.
L'alimentation en eau des bassins se fera en tête par une lame déver¬
sante continue, à partir d'un canal d'amenée. Le trop-plein sera évacué de
la même façon à l'autre extrémité, dans un canal d'évacuation, le niveau
étant fixé par un jeu de planches, précédé d'une grille pour empêcher la
sortie des poissons.
Les bassins seront vidangeables séparément, leur conception étant
réalisée pour que chaque vidange particulière soit indépendante de
l'ensemble.
1.2.4 - Approvisionnement des alevins
La pisciculture du Teich sera approvisionnée en alevins d'esturgeons
de 5 g, en provenance de la station d'alevinage de l'A.P,I,E, de
St-Seurin-Sur-1'Isle (33), à 10 km environ à l'Est de Contras.
(I) Lea bassíae de deuxième eau représenteront près de 750 m2 au total(640 m2 pour les esturgeons et 110 m2 pour les anguilles).
DJDJKJF.
DISTRICT D'ARCACHON TABLEAU 12
EVALUATION DES BESOINS EN BASSINS POUR UN ELEVAGE DE 10 TONNES D'ANGUILLES
PLANNING D'OCCUPATION DES BASSINS EN PREMIERE EAU
PISCICULTURE ZINSIUS - 25 -
Hypothèses de base ^°/ Poisson commercialisable : quatre lots à 7, 12, 16 et 19 mois
2°/ Charge des bassins 30 Kg au m'3°/ 10 T commercialisables en première eau4°/ Unité de bassin 16 m' (SUB-CARRES) - 36 m' (RACE WAYS)
5°/ Une mise en élevage par an
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B
C
T
M
Q
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WAYS RACELEGENDE
1er élevage2ème élevage3ème élevagelot de tetelot moyen (1 -lot de queue
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CM2
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Ce tableau est établi en tenant compte des hypothèses de grossissement préconisées par le CEMAGREF (projet d'atelier de grossissement d'anguilles)
Un débit de pointe nécessaire à l'élevage sera de 22 m'/h par tonne produite soit 220 m'/h pour les 10 tonnes soit 61 l/s.
Les ventes et les tris sont répétitifs d'une année sur l'autre. Ils n'ont pas été répétés pour la bonne compréhension du tableau. Ol
NOVEMBRE 1988
F,11/MS
DJDJKJF.
DISTRICT D'ARCACHON TABLEAU 12
EVALUATION DES BESOINS EN BASSINS POUR UN ELEVAGE DE 10 TONNES D'ANGUILLES
PLANNING D'OCCUPATION DES BASSINS EN PREMIERE EAU
PISCICULTURE ZINSIUS - 25 -
Hypothèses de base ^°/ Poisson commercialisable : quatre lots à 7, 12, 16 et 19 mois
2°/ Charge des bassins 30 Kg au m'3°/ 10 T commercialisables en première eau4°/ Unité de bassin 16 m' (SUB-CARRES) - 36 m' (RACE WAYS)
5°/ Une mise en élevage par an
A
B
C
T
M
Q
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WAYS RACELEGENDE
1er élevage2ème élevage3ème élevagelot de tetelot moyen (1 -lot de queue
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CM2
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Ce tableau est établi en tenant compte des hypothèses de grossissement préconisées par le CEMAGREF (projet d'atelier de grossissement d'anguilles)
Un débit de pointe nécessaire à l'élevage sera de 22 m'/h par tonne produite soit 220 m'/h pour les 10 tonnes soit 61 l/s.
Les ventes et les tris sont répétitifs d'une année sur l'autre. Ils n'ont pas été répétés pour la bonne compréhension du tableau. Ol
NOVEMBRE 1988
F,11/MS
- 26 -
Dès leur arrivée, ils seront répartis dans les bassins de prégrossis-
seraent, où ils séjourneront trois mois.
L'approvisionnement d'anguilles s'effectuera à partir d'alevins de
8 g, en provenance d'élevages dans l'Ile de Ré, l'Ile d'Yeu, et la Vendée.
1.2.5 - Alimentation des poissons
Celle des esturgeons sera réalisée à partir d'aliments très courants,
utilisés en général pour l'élevage des truites arc-en-ciel, dont les
caractéristiques principales sont les suivantes :
- Protéines : 45 %
- Matières grasses : 8 %
- Humidité : II Z
- Matières minérales : 14 %
- Cellulose : 3 %
Le taux moyen journalier (1) de nourrissement sera de 1 %, valeur
inférieure à celle qu'on prend en compte pour un élevage de truites,
La distribution des aliments s'effectuera sous forme de particules,
dont la taille sera fonction du poids des individus à nourrir. Les données
globales établies par le CEMAGREF, seront les suivantes :
Poids moyen
des individus (en g) 10 50 100 300
Taille moyenne des
particules alimen¬
taires (en mm) 1,5 1,5 2 3,2 4,5
(1) Taux de nourrissement exprimé par un pourcentage de poids vif journa¬
lier de poisson ; cette valeur est très importante à connaître pour
calculer les quantités de rejets excrétés dans l 'eau des différents
metabolites (m , DCO, jmo , MES).4 5
- 26 -
Dès leur arrivée, ils seront répartis dans les bassins de prégrossis-
seraent, où ils séjourneront trois mois.
L'approvisionnement d'anguilles s'effectuera à partir d'alevins de
8 g, en provenance d'élevages dans l'Ile de Ré, l'Ile d'Yeu, et la Vendée.
1.2.5 - Alimentation des poissons
Celle des esturgeons sera réalisée à partir d'aliments très courants,
utilisés en général pour l'élevage des truites arc-en-ciel, dont les
caractéristiques principales sont les suivantes :
- Protéines : 45 %
- Matières grasses : 8 %
- Humidité : II Z
- Matières minérales : 14 %
- Cellulose : 3 %
Le taux moyen journalier (1) de nourrissement sera de 1 %, valeur
inférieure à celle qu'on prend en compte pour un élevage de truites,
La distribution des aliments s'effectuera sous forme de particules,
dont la taille sera fonction du poids des individus à nourrir. Les données
globales établies par le CEMAGREF, seront les suivantes :
Poids moyen
des individus (en g) 10 50 100 300
Taille moyenne des
particules alimen¬
taires (en mm) 1,5 1,5 2 3,2 4,5
(1) Taux de nourrissement exprimé par un pourcentage de poids vif journa¬
lier de poisson ; cette valeur est très importante à connaître pour
calculer les quantités de rejets excrétés dans l 'eau des différents
metabolites (m , DCO, jmo , MES).4 5
- 27 -
Le schéma d'alimentation des esturgeons sera établi selon un mode
discontinu adapté à la taille des poissons :
- de 5 à 20 g : 4 distributions par jour
- au-delà de 20 g : 2 distributions par jour
L'alimentation des anguilles sera réalisée à partir d'aliments du
même type, selon un taux moyen journalier de distribution supérieur (2 %)
à celui des esturgeons :
- de 5 à 15 g : 2 à 2,5 Z
- de 15 à 100 g : 1 à 2 Z
- au-delà de 100 g : inférieur à 1 Z
Les aliments seront distribués de façon automatique à partir de
trémies ou deux fois par jour à partir de "pâtons". Il s'agira soit de
granulés semblables à ceux qu'on utilise en salmoniculture, soit de pâtes
humides, à base de farines enrichies en huile (20 % de matières grasses)
et en protéines (45 %).
1.3 - Charges polluantes de l'élevage
Elles sont constituées par les metabolites d'excrétion des poissons
et seront évacuées dans les effluents des bassins piscicoles. Ce sont les
productions d'ammoniaque, de DCO, DBO et MES (1) ; elles font l'objet de5
mesures et de contrôles précis dans des stations expérimentales (Donzacq)
ou sont obtenues à partir de formules, qui figurent dans plusieurs
publications, notamment :
(1) DCO Demande chimique en oxygène
DBO Demande biologique en oxygène au bout de 5 jours
MES Matières en suspension
Ces valeurs sont exprimées en mg/l.
- 27 -
Le schéma d'alimentation des esturgeons sera établi selon un mode
discontinu adapté à la taille des poissons :
- de 5 à 20 g : 4 distributions par jour
- au-delà de 20 g : 2 distributions par jour
L'alimentation des anguilles sera réalisée à partir d'aliments du
même type, selon un taux moyen journalier de distribution supérieur (2 %)
à celui des esturgeons :
- de 5 à 15 g : 2 à 2,5 Z
- de 15 à 100 g : 1 à 2 Z
- au-delà de 100 g : inférieur à 1 Z
Les aliments seront distribués de façon automatique à partir de
trémies ou deux fois par jour à partir de "pâtons". Il s'agira soit de
granulés semblables à ceux qu'on utilise en salmoniculture, soit de pâtes
humides, à base de farines enrichies en huile (20 % de matières grasses)
et en protéines (45 %).
1.3 - Charges polluantes de l'élevage
Elles sont constituées par les metabolites d'excrétion des poissons
et seront évacuées dans les effluents des bassins piscicoles. Ce sont les
productions d'ammoniaque, de DCO, DBO et MES (1) ; elles font l'objet de5
mesures et de contrôles précis dans des stations expérimentales (Donzacq)
ou sont obtenues à partir de formules, qui figurent dans plusieurs
publications, notamment :
(1) DCO Demande chimique en oxygène
DBO Demande biologique en oxygène au bout de 5 jours
MES Matières en suspension
Ces valeurs sont exprimées en mg/l.
- 28
"Evaluation de la pollution rejetée par les salmonicultures intensives"
(étude n° 16 d'octobre 19873 par la Division Aménagements littoraux
et Aquaculture du CEMAGREF de Bordeaux).
Les charges polluantes varient selon le type de poisson élevé et fait
intervenir le taux de nourrissement. Elles ont donc été évaluées séparé¬
ment pour les esturgeons et les anguilles.
1.3.1 - Rejets des esturgeons
Ils ont été calculés mensuellement en fonction des stocks de poissons
des bassins,
La production d'ammoniaque a été obtenue à partir des données relati¬
ves à l'élevage de truites et au même type d'aliment. Dans ce cas, les
résultats expérimentaux ont montré qu'avec un taux de nourrissement de
1,8 %, un élevage de truites rejetait 420 mg par kilo de poids vif
journalier.
Pour les esturgeons, un taux de nourrissement de 1 % s 'avérant
optimal à leur croissance, le rejet d'ammoniaque correspondant ne serait
donc que de 230 mg, valeur estimée par défaut (1), En définitive, c'est la
base majorée à 250 mg qui a été retenue dans le calcul des rejets d'un
kilo de poids vif journalier, soit 0,250 kg/j de NH4 pour 1 tonne de
production.
Cette quantité doit être répartie en fonction des besoins en eau
nécessaires, pour calculer les concentrations des rejets journaliers sur
la base des données du tableau 3 et des stocks mensuels de poissons
(tableau 13).
(1) En l'absence d'alimentation, les poissons continuent d'excréter de
l 'ammoniaque, mais à partir de leurs réserves. Il convient donc de majorer
cette valeur obtenue par simple proportionnalité.
- 28
"Evaluation de la pollution rejetée par les salmonicultures intensives"
(étude n° 16 d'octobre 19873 par la Division Aménagements littoraux
et Aquaculture du CEMAGREF de Bordeaux).
Les charges polluantes varient selon le type de poisson élevé et fait
intervenir le taux de nourrissement. Elles ont donc été évaluées séparé¬
ment pour les esturgeons et les anguilles.
1.3.1 - Rejets des esturgeons
Ils ont été calculés mensuellement en fonction des stocks de poissons
des bassins,
La production d'ammoniaque a été obtenue à partir des données relati¬
ves à l'élevage de truites et au même type d'aliment. Dans ce cas, les
résultats expérimentaux ont montré qu'avec un taux de nourrissement de
1,8 %, un élevage de truites rejetait 420 mg par kilo de poids vif
journalier.
Pour les esturgeons, un taux de nourrissement de 1 % s 'avérant
optimal à leur croissance, le rejet d'ammoniaque correspondant ne serait
donc que de 230 mg, valeur estimée par défaut (1), En définitive, c'est la
base majorée à 250 mg qui a été retenue dans le calcul des rejets d'un
kilo de poids vif journalier, soit 0,250 kg/j de NH4 pour 1 tonne de
production.
Cette quantité doit être répartie en fonction des besoins en eau
nécessaires, pour calculer les concentrations des rejets journaliers sur
la base des données du tableau 3 et des stocks mensuels de poissons
(tableau 13).
(1) En l'absence d'alimentation, les poissons continuent d'excréter de
l 'ammoniaque, mais à partir de leurs réserves. Il convient donc de majorer
cette valeur obtenue par simple proportionnalité.
- 29 -
Les valeurs obtenues figurent dans le tableau 14.
L'ensemble des résultats fait apparaître une charge maximale en avril
et minimale en octobre .
TABLEAU 13
STOCKS MENSUELS EN PLACE (en kg) POUR UNE PRODUCTION
D'UNE TONNE D'ESTURGEONS DE 2 kg (en 22 mois) AVEC UN CYCLE THERMIQUE
IDENTIQUE A CELUI DE DONZACQ (d'après CEMAGREF)
Hois
ÎOTiOÎ
J
157
883
1055
F
203
929
1132
ï
250
975
1225
A
313
1015
1323
H
396
395
J
451
Í51
J
3
517
520
A
17
5i2
^ C3w V v
S
531
655
0
6S
711
771
S
92
734
875
D
13G
i
855
955
- 29 -
Les valeurs obtenues figurent dans le tableau 14.
L'ensemble des résultats fait apparaître une charge maximale en avril
et minimale en octobre .
TABLEAU 13
STOCKS MENSUELS EN PLACE (en kg) POUR UNE PRODUCTION
D'UNE TONNE D'ESTURGEONS DE 2 kg (en 22 mois) AVEC UN CYCLE THERMIQUE
IDENTIQUE A CELUI DE DONZACQ (d'après CEMAGREF)
Hois
ÎOTiOÎ
J
157
883
1055
F
203
929
1132
ï
250
975
1225
A
313
1015
1323
H
396
395
J
451
Í51
J
3
517
520
A
17
5i2
^ C3w V v
S
531
655
0
6S
711
771
S
92
734
875
D
13G
i
855
955
- 30
TABLEAU 1 4
REJETS MENSUELS D'AMMONIAQUE DANS LE MILIEU (mg/l)
(pour 1 t d'esturgeons)*
R (mg/l) = S X 250 = 0.25. S
B X 10^ B
1 Mois
1 J
1 F
1 M
1 A
1 M
1 J
1 «J
1 A
1 S
1 0
1 N
1 D
Stocks
S (en kg)
1 055
1 132
1 225
1 328
396
451
520
599
665
771
876
966
Besoins en eau
B (en m3/j)
37,42
37,95
40,38
42,79
14,01
15,96
18,77
21,11
23,87
28,03
30,99
34,61
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
24
24
24
24
24
24
24
24
24
24
24
24
Rejets de NH4 |
R (en mg/l) |
0,294 1
0,311 1
0,316 1
0,323 ** 1
0,294 1
0,294 1
0,289 1
0,296 1
0,290 1
0,287** 1
0,294 1
0,291 1
* Le résultat obtenu pour une production de 30 tonnes est équivalent,
les valeurs S et B étant alors simultanément multipliées par 30.
** Valeurs maximale en avril et minimale en octobre.
- 30
TABLEAU 1 4
REJETS MENSUELS D'AMMONIAQUE DANS LE MILIEU (mg/l)
(pour 1 t d'esturgeons)*
R (mg/l) = S X 250 = 0.25. S
B X 10^ B
1 Mois
1 J
1 F
1 M
1 A
1 M
1 J
1 «J
1 A
1 S
1 0
1 N
1 D
Stocks
S (en kg)
1 055
1 132
1 225
1 328
396
451
520
599
665
771
876
966
Besoins en eau
B (en m3/j)
37,42
37,95
40,38
42,79
14,01
15,96
18,77
21,11
23,87
28,03
30,99
34,61
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
24
24
24
24
24
24
24
24
24
24
24
24
Rejets de NH4 |
R (en mg/l) |
0,294 1
0,311 1
0,316 1
0,323 ** 1
0,294 1
0,294 1
0,289 1
0,296 1
0,290 1
0,287** 1
0,294 1
0,291 1
* Le résultat obtenu pour une production de 30 tonnes est équivalent,
les valeurs S et B étant alors simultanément multipliées par 30.
** Valeurs maximale en avril et minimale en octobre.
- 31 -
Quant aux rejets en DCO, DBO et MES, ils ont été calculés par le
CEMAGREF par la méthode de LIAO (1) à partir des équations suivantes :
(DCO) a = 1,89 F
(DBO ) b = 0,60 F
(MES) c = 0,52 F
dans lesquelles F représente le taux 1 % de nourrissement en kg d'aliment
pour 100 kg de poisson par jour).
Les valeurs obtenues pour une production de 1 tonne sont donc de :
18,9 kg/j de DCO
6 kg/j de DBO
5,2 kg/j de MES
Elles ont été réparties mois par mois en fonction des besoins en eau
et des stocks (tableau 15) .
1.3.2 - Rejets des anguilles
Ils ont été calculés de la même façon que pour les esturgeons. La
production d'ammoniaque a été obtenue sur la base d'un taux de nourris¬
sement de 2 % et d'un taux de production de NH4 de 3 % par rapport a\ix
quantités d'aliments distribués, à partir des stocks mensuels de poissons
(tableau 16), ce qui correspond à l'équation suivante :
(NH4) = K a A (1)
dans laquelle (NH4) exprime la quantité produite d'ammoniaque en kg/J
A la quantité d'aliment en kg/J
(1) Etude n' 16 octobre 1983 - page 22 op. cité
- 31 -
Quant aux rejets en DCO, DBO et MES, ils ont été calculés par le
CEMAGREF par la méthode de LIAO (1) à partir des équations suivantes :
(DCO) a = 1,89 F
(DBO ) b = 0,60 F
(MES) c = 0,52 F
dans lesquelles F représente le taux 1 % de nourrissement en kg d'aliment
pour 100 kg de poisson par jour).
Les valeurs obtenues pour une production de 1 tonne sont donc de :
18,9 kg/j de DCO
6 kg/j de DBO
5,2 kg/j de MES
Elles ont été réparties mois par mois en fonction des besoins en eau
et des stocks (tableau 15) .
1.3.2 - Rejets des anguilles
Ils ont été calculés de la même façon que pour les esturgeons. La
production d'ammoniaque a été obtenue sur la base d'un taux de nourris¬
sement de 2 % et d'un taux de production de NH4 de 3 % par rapport a\ix
quantités d'aliments distribués, à partir des stocks mensuels de poissons
(tableau 16), ce qui correspond à l'équation suivante :
(NH4) = K a A (1)
dans laquelle (NH4) exprime la quantité produite d'ammoniaque en kg/J
A la quantité d'aliment en kg/J
(1) Etude n' 16 octobre 1983 - page 22 op. cité
32
TABLEAU 15
REJETS MENSUELS DANS LE MILIEU
(pour 1 tonne d'esturgeons)
de DCO, DB05 et MES (mg/l)
1 Mois
1 J
1 F
1 M
1 A
1 M
1 vJ
1 J
1 A
1 S
1 0
1 N
1 D
Stocks
S (en kg)
1 055
1 132
1 225
1 328
396
451
520
599
665
771
876
966
Besoins
eau
en
B (m3/j)
37,42
37,95
40,38
42,79
14,01
15,96
18,77
21,11
23,87
28,03
30,99
34,61
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
24
24
24
24
24
24
24
24
24
24
24
24
DCO
(mg/l)
22,20
23,49
23,89
24,44
22,25
22,25
21,81
22,34
21,94
21,66
22,26
21,98
DB05
(mg/l)
7,04
7,46
7,58
7,75
7,06
7,06
6,92
7,09
6,96
6,87
7,06
6,97
MES
(mg/l)
6,11
6,46
6,57
6j72
6,12
6,12
6,00
6,14
6,03
5,96
6,12
6,04
Maxima |
Minima |
DCO = S X 18,9 (mg/l)
B
DB05 = S X 6 (mg/l)
B
MES = S X 5,2 (mg/l)
B
32
TABLEAU 15
REJETS MENSUELS DANS LE MILIEU
(pour 1 tonne d'esturgeons)
de DCO, DB05 et MES (mg/l)
1 Mois
1 J
1 F
1 M
1 A
1 M
1 vJ
1 J
1 A
1 S
1 0
1 N
1 D
Stocks
S (en kg)
1 055
1 132
1 225
1 328
396
451
520
599
665
771
876
966
Besoins
eau
en
B (m3/j)
37,42
37,95
40,38
42,79
14,01
15,96
18,77
21,11
23,87
28,03
30,99
34,61
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
24
24
24
24
24
24
24
24
24
24
24
24
DCO
(mg/l)
22,20
23,49
23,89
24,44
22,25
22,25
21,81
22,34
21,94
21,66
22,26
21,98
DB05
(mg/l)
7,04
7,46
7,58
7,75
7,06
7,06
6,92
7,09
6,96
6,87
7,06
6,97
MES
(mg/l)
6,11
6,46
6,57
6j72
6,12
6,12
6,00
6,14
6,03
5,96
6,12
6,04
Maxima |
Minima |
DCO = S X 18,9 (mg/l)
B
DB05 = S X 6 (mg/l)
B
MES = S X 5,2 (mg/l)
B
- 33 -
Tableau n" 16 Stocks mensuels pour une production de 1000 kgd'anguilles
MOIS iJANV. jFEV iMARSjAVR IMAI iJUIN iJUIL jAOUTiSEPT iOCT iNOV iDECSTOCK i i i i i i : i i ! 47.9: i
m ! i Í i ! i i i ! i i 61.3Í
i i i i i i i i i i i i 79.9i 106.11 1 i : i i i i i i i
i i 142.6! i ! i i i i i ! i
: i i 177.3Í 1 i i i i i i i
Iiii 279.7Í i î i i i ! i
iiiii 228.7; iiiiiiiiiiii 292.11 iiii:i i i i i i i 373.9: iii!i i i i i i i i 479.4: i i i
! i i i i i i ! i 617.ai i i
i i i i i i i 1 i i 273.7Í i
i i : i i i i i i i i 318.21
i i i i i i i i i i i ! 385
i 465.8! i i i i i i i i i i: ->r^- : ' ' ¡ : ; ' :
i 1 76: ! ; : i 1 i
! : i 8?: i i i î i i i ii i "' i i ' i '
iiij lOOi i.i i i i i i
TOTAL i 571. 9i 218.2; 264.3Í 373.7: 228.7Í 292.1: 373.9Í 479.4: 617.8i 321.5: 379.5= 464.9
- 33 -
Tableau n" 16 Stocks mensuels pour une production de 1000 kgd'anguilles
MOIS iJANV. jFEV iMARSjAVR IMAI iJUIN iJUIL jAOUTiSEPT iOCT iNOV iDECSTOCK i i i i i i : i i ! 47.9: i
m ! i Í i ! i i i ! i i 61.3Í
i i i i i i i i i i i i 79.9i 106.11 1 i : i i i i i i i
i i 142.6! i ! i i i i i ! i
: i i 177.3Í 1 i i i i i i i
Iiii 279.7Í i î i i i ! i
iiiii 228.7; iiiiiiiiiiii 292.11 iiii:i i i i i i i 373.9: iii!i i i i i i i i 479.4: i i i
! i i i i i i ! i 617.ai i i
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i 1 76: ! ; : i 1 i
! : i 8?: i i i î i i i ii i "' i i ' i '
iiij lOOi i.i i i i i i
TOTAL i 571. 9i 218.2; 264.3Í 373.7: 228.7Í 292.1: 373.9Í 479.4: 617.8i 321.5: 379.5= 464.9
34 -
a le taux de production d'ammoniaque par rapport à la
quantité d'aliment.
et K un coefficient de "stress" des poissons, considéré
comme égal à 1 dans des conditions d'élevage
sa tisfaisantes .
Les résultats obtenus ont été reportés dans le tableau 17, Ils font
apparaître une charge méiximale en septembre et minimale en février.
Les rejets en MES ont été calculés par le CEMAGREF à partir de la
formule utilisée en salmoniculture :
MES = (1 - Kd) (33Ic - 20 A )
100
dans laquelle MES est la quantité (en kg) produite
Kd le coefficient de décantation de la pisciculture
le l 'indice de consommation (2)
A la quantité d'aliment distribuée
Dans le cas présent, Kd est nul puisqu'il n'y aura aucune sédimenta¬
tion dans les bassins et IC = 1,5,
Quant aux valeurs de la DCO et de la DBO , elles ont été calculées5
par la méthode de LIAO, comme pour les esturgeons. Les résultats obtenus
sont reportés dans le tableau 18 : ils montrent des maxima en septembre et
des minima en février.
(1) Etude CEMAiXEF op. cité p. 47 § 5.1
(2) C'est le rapport entre le poids d'aliment distribué et le gain de
poids des poissons pendant la même période.
34 -
a le taux de production d'ammoniaque par rapport à la
quantité d'aliment.
et K un coefficient de "stress" des poissons, considéré
comme égal à 1 dans des conditions d'élevage
sa tisfaisantes .
Les résultats obtenus ont été reportés dans le tableau 17, Ils font
apparaître une charge méiximale en septembre et minimale en février.
Les rejets en MES ont été calculés par le CEMAGREF à partir de la
formule utilisée en salmoniculture :
MES = (1 - Kd) (33Ic - 20 A )
100
dans laquelle MES est la quantité (en kg) produite
Kd le coefficient de décantation de la pisciculture
le l 'indice de consommation (2)
A la quantité d'aliment distribuée
Dans le cas présent, Kd est nul puisqu'il n'y aura aucune sédimenta¬
tion dans les bassins et IC = 1,5,
Quant aux valeurs de la DCO et de la DBO , elles ont été calculées5
par la méthode de LIAO, comme pour les esturgeons. Les résultats obtenus
sont reportés dans le tableau 18 : ils montrent des maxima en septembre et
des minima en février.
(1) Etude CEMAiXEF op. cité p. 47 § 5.1
(2) C'est le rapport entre le poids d'aliment distribué et le gain de
poids des poissons pendant la même période.
- 35 -
TABLEAU 17
REJETS MENSUELS D'AMMONIAQUE (en mg/l) DANS LE MILIEU
(pour
ET DES
1 tonne
BESOINS
d'
EN
anguilles *
EAU MAXIMA
(à
(22
t»
x
=
24
23°)
m3/h)
1 mois
1 vJ
1 F
1 M
1 A
1 M
1 J
1 J
1 A
1 S
1 0
1 N
1 D
Stocks
(en kg)
571,9
218,2
264,3
379,7
228,7
292,1
373,9
479,4
617,8
321,6
379,5
464,9
Rejets de NH4
(en kg/j)
0,343
0,130
0,158
0,225
0,136
0,175
0,224
0,287
0,370
0,192
0,227
0,279
Rejets de NH4 |
R (en mg/l) j
0,650 1
0,246** 1
0,299 1
0,426 1
0,258 1
0,331 1
0,424 1
0 , 544 1
0,701** 1
0,364 1
0,430 1
0,528 1
* Le résultat obtenu pour une production de 10 tonnes est équivalent,
les valeurs du stock mensuel et du débit étant alors multipliées
simultanément par 10.
** Valeurs minimale en février et maximale en septembre.
- 35 -
TABLEAU 17
REJETS MENSUELS D'AMMONIAQUE (en mg/l) DANS LE MILIEU
(pour
ET DES
1 tonne
BESOINS
d'
EN
anguilles *
EAU MAXIMA
(à
(22
t»
x
=
24
23°)
m3/h)
1 mois
1 vJ
1 F
1 M
1 A
1 M
1 J
1 J
1 A
1 S
1 0
1 N
1 D
Stocks
(en kg)
571,9
218,2
264,3
379,7
228,7
292,1
373,9
479,4
617,8
321,6
379,5
464,9
Rejets de NH4
(en kg/j)
0,343
0,130
0,158
0,225
0,136
0,175
0,224
0,287
0,370
0,192
0,227
0,279
Rejets de NH4 |
R (en mg/l) j
0,650 1
0,246** 1
0,299 1
0,426 1
0,258 1
0,331 1
0,424 1
0 , 544 1
0,701** 1
0,364 1
0,430 1
0,528 1
* Le résultat obtenu pour une production de 10 tonnes est équivalent,
les valeurs du stock mensuel et du débit étant alors multipliées
simultanément par 10.
** Valeurs minimale en février et maximale en septembre.
- 36 -
1.3.3 - Rejets globaux de la pisciculture
Ils ont été obtenus par sommation des rejets calculés séparément pour
les esturgeons et les anguilles en sortie des bassins de première eau et
rassemblés dans le tableau 19.
Ces valeurs peuvent être ajustées en fonction de la production de
deuxième eau.
Une approche des concentrations finales peut être obtenue en
multipliant les valeurs du tableau par 1,5, ce qui est logique pour
correspondre à une époque donnée au même accroissement des stocks de
poissons sans modification des débits prélevés.
Les résultats figurent dans le tableau 19 et font apparaître des
rejets minima en mai et maxima en septembre.
- 36 -
1.3.3 - Rejets globaux de la pisciculture
Ils ont été obtenus par sommation des rejets calculés séparément pour
les esturgeons et les anguilles en sortie des bassins de première eau et
rassemblés dans le tableau 19.
Ces valeurs peuvent être ajustées en fonction de la production de
deuxième eau.
Une approche des concentrations finales peut être obtenue en
multipliant les valeurs du tableau par 1,5, ce qui est logique pour
correspondre à une époque donnée au même accroissement des stocks de
poissons sans modification des débits prélevés.
Les résultats figurent dans le tableau 19 et font apparaître des
rejets minima en mai et maxima en septembre.
- 37 -
TABLEAU 18
REJETS MENSUELS DANS LE MILIEU DE DCO, DB05, et MES (en mg/l)
POUR UNE TONNE D'ANGUILLES ET DES BESOINS EN EAU MAXIMA (22 x 24 mS/j)
1 Mois
1 J
1 F
1 M
1 A
1 M
1 J
1 J
1 A
1 S
1 0
1 N
1 D
Stocks
S (en kg)
571,9
218,2
264,3
379,7
228,7
292,1
373,9
479,4
617,8
321,6
379,5
464,9
MES
(mg/l)
6,500
2,47
3,002
4,314
2,599
3,320
4,248
5,447
7,021
3,653
4,313
5,282
DCO
(mg/l)
40,943
15,621
18,922
27,183
16,373
20,912
26,768
34,321
44,229
23,024
27,169
33,283
DB05
(mg/l)
"12,998
4,959
6,007
8,630
5,198
6,639
8,498
10,896
14,041
7,309
8,624
10,566
minima |
maxima |
DCO = S x 37,8 (mg/l)
22 x 24
DB05 = S x 12 (mg/l)
22 X 24
- 37 -
TABLEAU 18
REJETS MENSUELS DANS LE MILIEU DE DCO, DB05, et MES (en mg/l)
POUR UNE TONNE D'ANGUILLES ET DES BESOINS EN EAU MAXIMA (22 x 24 mS/j)
1 Mois
1 J
1 F
1 M
1 A
1 M
1 J
1 J
1 A
1 S
1 0
1 N
1 D
Stocks
S (en kg)
571,9
218,2
264,3
379,7
228,7
292,1
373,9
479,4
617,8
321,6
379,5
464,9
MES
(mg/l)
6,500
2,47
3,002
4,314
2,599
3,320
4,248
5,447
7,021
3,653
4,313
5,282
DCO
(mg/l)
40,943
15,621
18,922
27,183
16,373
20,912
26,768
34,321
44,229
23,024
27,169
33,283
DB05
(mg/l)
"12,998
4,959
6,007
8,630
5,198
6,639
8,498
10,896
14,041
7,309
8,624
10,566
minima |
maxima |
DCO = S x 37,8 (mg/l)
22 x 24
DB05 = S x 12 (mg/l)
22 X 24
- 38 -
TABLEAU 19
CHARGES POLLUANTES GLOBALES DE LA PISCICULTURE (mg/l)(1)
(30 t d'esturgeons et 10 t d'anguilles)
1 1 NH4 1 DCO 1 DB05 | MES | |
1 Mois 1 (mg/l) 1 (mg/l) | (mg/l) | (mg/l) | |
1 J 1 0,352 1 25,270 | 8,016 | 6,174 | |
1 F 1 0,301 1 22,481 | 7,055 | 5,883 | |
1 M 1 0,313 1 23,127 \ 7,338 | 6,022 | |
1 A 1 0,338 1 24,841 | 7,879 | 6,368 | |
1 M 1 0,282 1 20,233 | 6,421 | 4,912 | minima |
1 J 1 0,306 1 21,830 1 6,928 | 5,240 1 i
1 J 1 0,327 1 23,201 | 7,363 | 5,508 | |
1 A 1 0,360 1 25,426 | 8,071 | 5,962 | |
1 S 1 0,387 1 27,173 | 8,623 | 6,263 | maxima |
1 0 1 0,303 1 21,943 | 6,961 | 5,482 | j
1 N 1 0,320 1 23,199 | 7,359 j 5,774 | |
1 D 1 0,332 1 23,955 | 7,598 | 5,908 | |
N.B. La relation qui pennet de calculer la concentration globale des
rejets est la suivante :
C = CE X QE + CA x QA dans laquelleF
QE -I- QA
CF est la concentration globale recherchée (en mg/l)
CE la concentration re jetée par l'élevage d'esturgeons (en mg/l)
QE le débit nécessaire à la production des esturgeons (en m3/h)
CA la concentration re jetée par l'élevage d'anguilles (en mg/l)QA le débit nécessaire à la production des anguilles (en m3/h)
(7) ELtu ne pfVLnn&nt peu en compie. lu n.zjzt& di V za.a QZoihtfrnalz , dé.jà
&(ton^iiai liiSal ^^ ^^"'P^^ ^^ ^^ analy&u chlmlqaz^ de VEyfii, dan&
- 38 -
TABLEAU 19
CHARGES POLLUANTES GLOBALES DE LA PISCICULTURE (mg/l)(1)
(30 t d'esturgeons et 10 t d'anguilles)
1 1 NH4 1 DCO 1 DB05 | MES | |
1 Mois 1 (mg/l) 1 (mg/l) | (mg/l) | (mg/l) | |
1 J 1 0,352 1 25,270 | 8,016 | 6,174 | |
1 F 1 0,301 1 22,481 | 7,055 | 5,883 | |
1 M 1 0,313 1 23,127 \ 7,338 | 6,022 | |
1 A 1 0,338 1 24,841 | 7,879 | 6,368 | |
1 M 1 0,282 1 20,233 | 6,421 | 4,912 | minima |
1 J 1 0,306 1 21,830 1 6,928 | 5,240 1 i
1 J 1 0,327 1 23,201 | 7,363 | 5,508 | |
1 A 1 0,360 1 25,426 | 8,071 | 5,962 | |
1 S 1 0,387 1 27,173 | 8,623 | 6,263 | maxima |
1 0 1 0,303 1 21,943 | 6,961 | 5,482 | j
1 N 1 0,320 1 23,199 | 7,359 j 5,774 | |
1 D 1 0,332 1 23,955 | 7,598 | 5,908 | |
N.B. La relation qui pennet de calculer la concentration globale des
rejets est la suivante :
C = CE X QE + CA x QA dans laquelleF
QE -I- QA
CF est la concentration globale recherchée (en mg/l)
CE la concentration re jetée par l'élevage d'esturgeons (en mg/l)
QE le débit nécessaire à la production des esturgeons (en m3/h)
CA la concentration re jetée par l'élevage d'anguilles (en mg/l)QA le débit nécessaire à la production des anguilles (en m3/h)
(7) ELtu ne pfVLnn&nt peu en compie. lu n.zjzt& di V za.a QZoihtfrnalz , dé.jà
&(ton^iiai liiSal ^^ ^^"'P^^ ^^ ^^ analy&u chlmlqaz^ de VEyfii, dan&
38 bis -
TABLEAU 19 BIS
FLUX POLLUANTS JOURNALIERS DE LA PISCICULTURE
1 Mois
1 vJ
1 F
1 M
1 A
1 M
1 J
\ J
1 A
1 S
1 0
1 N
1 D
NH4
(kg/j)
11,346
9,817
10,757
12,200
4,338
5,141
6,153
7,379
8,703
7,716
8,832
10,032
DCO
(kg/j)
814,503
733,240
794,829
896,661
311,265
366,744
436,550
521,131
611,066
558,757
640,292
723,824
DB05
(kg/j)
258,372
230,106
252,192
284,400
98,781
116,390
138,542
165,423
193,914
177,255
203,103
229,581
MES 1 1
(kg/j) 1 1
199,000 1 1
191,880 1 1
206,964 1 1
229,859 1 maxima |
75,566 [minima |
88,032 1 1
103,639 1 1
122,197 1 1
140,842 1 1
139,594 1 1
159,362 1 1
178,516 1 1
(1) Les flux polluants journaliers sont le produit des besoins en eau
(tableau 6) (exprimés en mS/j) par les charges polluantes
(tableau 19) (exprimées en kg/mS).
(2) Ces veileurs n'intègrent pas le flux ammoniacal de l'eau
géothermale, déjà pris en compte dans l'état initial par les
analyses de l'Eyre au Pont de Lamothe.
Sur la base des résultats qui figurent en annexe 8 , le flxix
journalier ammoniacal de cette eau est estimé actuellement à
4 kg/j.
38 bis -
TABLEAU 19 BIS
FLUX POLLUANTS JOURNALIERS DE LA PISCICULTURE
1 Mois
1 vJ
1 F
1 M
1 A
1 M
1 J
\ J
1 A
1 S
1 0
1 N
1 D
NH4
(kg/j)
11,346
9,817
10,757
12,200
4,338
5,141
6,153
7,379
8,703
7,716
8,832
10,032
DCO
(kg/j)
814,503
733,240
794,829
896,661
311,265
366,744
436,550
521,131
611,066
558,757
640,292
723,824
DB05
(kg/j)
258,372
230,106
252,192
284,400
98,781
116,390
138,542
165,423
193,914
177,255
203,103
229,581
MES 1 1
(kg/j) 1 1
199,000 1 1
191,880 1 1
206,964 1 1
229,859 1 maxima |
75,566 [minima |
88,032 1 1
103,639 1 1
122,197 1 1
140,842 1 1
139,594 1 1
159,362 1 1
178,516 1 1
(1) Les flux polluants journaliers sont le produit des besoins en eau
(tableau 6) (exprimés en mS/j) par les charges polluantes
(tableau 19) (exprimées en kg/mS).
(2) Ces veileurs n'intègrent pas le flux ammoniacal de l'eau
géothermale, déjà pris en compte dans l'état initial par les
analyses de l'Eyre au Pont de Lamothe.
Sur la base des résultats qui figurent en annexe 8 , le flxix
journalier ammoniacal de cette eau est estimé actuellement à
4 kg/j.
- 39 -
II - ANALYSE DE L'ETAT INITIAL DU SITE
2.1 - Situation géographique
Le site du projet piscicole se situe sur le territoire du Teich, en
rive gauche de l'Eyre, à 400 m environ au Sud de la voie rapide Bordeaux -
Arcachon. Ses coordonnées extraites de la feuille IGN Gujan-Mestras à
1/25 000 (n' 1438 Ouest) sont comprises entre les points suivants
(figure 2):
et
X = 336,975
Y = 262,150
X = 336,975
Y = 262,300
Z entre + 7 et + 10 NGF
X = 337,125
T = 262,150
X = 337,125
Y = 262,300
Le projet occupera une superficie totale de 2 ha sur un parcellaire
total voisin de 210 ha, qui se décompose ainsi :
- un ensemble allongé, orienté sensiblement SSW - NNE, perpendiculaire¬
ment à l'Eyre (parcelles 86, 87 et 88 ) (155 ha);
- une parcelle adjacente (77) de 55 ha, parallèle au cours de l 'Eyre,
sur laquelle se situe le forage géothermique GLTPl.
Il s'y ajoute :
1°/ L 'emprise du canal d'alimentation des bassins, entre la prise en
rivière sur la commune de Mios et le site (longueur voisine de
640 m).
- 39 -
II - ANALYSE DE L'ETAT INITIAL DU SITE
2.1 - Situation géographique
Le site du projet piscicole se situe sur le territoire du Teich, en
rive gauche de l'Eyre, à 400 m environ au Sud de la voie rapide Bordeaux -
Arcachon. Ses coordonnées extraites de la feuille IGN Gujan-Mestras à
1/25 000 (n' 1438 Ouest) sont comprises entre les points suivants
(figure 2):
et
X = 336,975
Y = 262,150
X = 336,975
Y = 262,300
Z entre + 7 et + 10 NGF
X = 337,125
T = 262,150
X = 337,125
Y = 262,300
Le projet occupera une superficie totale de 2 ha sur un parcellaire
total voisin de 210 ha, qui se décompose ainsi :
- un ensemble allongé, orienté sensiblement SSW - NNE, perpendiculaire¬
ment à l'Eyre (parcelles 86, 87 et 88 ) (155 ha);
- une parcelle adjacente (77) de 55 ha, parallèle au cours de l 'Eyre,
sur laquelle se situe le forage géothermique GLTPl.
Il s'y ajoute :
1°/ L 'emprise du canal d'alimentation des bassins, entre la prise en
rivière sur la commune de Mios et le site (longueur voisine de
640 m).
SITUATION DU PROJET ET DU FORAGEGEOTHERMIQUE A 1/25 000
Limite dede commune
40 -
2' / et celle du canal de restitution à 1 'Eyre sur les parcelles 2044 du
Teich et de Mios (longueur d'environ 400 m).
Le secteur est encadré au Sud par 1 'allée de Mios et deux fossés
latéraux, en direction de la rivière ; il est traversé par la voie
communale n' 41 de Balanos à Mios et se situe à 1 'intérieur du Parc
Naturel Régional des Landes de Gascogne.
2.2 - Accès au site
Il s'opère depuis la voie rapide Bordeaux - Arcachon, à partir de
l'échangeur du Teich, dont il est distant d'environ 4 km au SSE.
L'itinéraire emprunte d'abord au Nord la route D 650 en direction du
bourg pendant 1 km, puis la voie communale du Teich au hameau de Balanos
pendant 3 km, via un passage sous la voie rapide et sur la voie ferrée
Bordeaux - Bayonne, avant de suivre l'allée de Mios sur 500 m.
Pour rejoindre la gare de Facture, distante de 3,5 km au Nord, on
reprend la voie rapide à l'échangeur du Teich en direction de Bordeaux
jusqu'à celui du Pont-Neau avec la route D3 de Mios à Audenge.
2.3 - Eléments physiques
2.3.1 - Relief et hydrographie
Le site étudié est caractérisé par un relief relativement plat, dont
la pente moyenne est faible (environ 5 %) et dirigée vers l'Eyre au NNE.
Les fossés qui longent le secteur sont peu profonds et aboutissent à la
rivière.
L'ensemble des terrains immédiatement au Nord se présente comme une
zone marécageuse mal drainée naturellement, ce type de relief ne permet¬
tant pas un bon écoulement des eaux.
40 -
2' / et celle du canal de restitution à 1 'Eyre sur les parcelles 2044 du
Teich et de Mios (longueur d'environ 400 m).
Le secteur est encadré au Sud par 1 'allée de Mios et deux fossés
latéraux, en direction de la rivière ; il est traversé par la voie
communale n' 41 de Balanos à Mios et se situe à 1 'intérieur du Parc
Naturel Régional des Landes de Gascogne.
2.2 - Accès au site
Il s'opère depuis la voie rapide Bordeaux - Arcachon, à partir de
l'échangeur du Teich, dont il est distant d'environ 4 km au SSE.
L'itinéraire emprunte d'abord au Nord la route D 650 en direction du
bourg pendant 1 km, puis la voie communale du Teich au hameau de Balanos
pendant 3 km, via un passage sous la voie rapide et sur la voie ferrée
Bordeaux - Bayonne, avant de suivre l'allée de Mios sur 500 m.
Pour rejoindre la gare de Facture, distante de 3,5 km au Nord, on
reprend la voie rapide à l'échangeur du Teich en direction de Bordeaux
jusqu'à celui du Pont-Neau avec la route D3 de Mios à Audenge.
2.3 - Eléments physiques
2.3.1 - Relief et hydrographie
Le site étudié est caractérisé par un relief relativement plat, dont
la pente moyenne est faible (environ 5 %) et dirigée vers l'Eyre au NNE.
Les fossés qui longent le secteur sont peu profonds et aboutissent à la
rivière.
L'ensemble des terrains immédiatement au Nord se présente comme une
zone marécageuse mal drainée naturellement, ce type de relief ne permet¬
tant pas un bon écoulement des eaux.
PHOTO N° 2
VALLEE DE L'EYKE ET SA FORET-GALERIE
- 41 -
L'Eyre résulte de la confluence de deux rivières, dont les sources se
trouvent dans le département des Landes :
- La Grande Leyre, dans la région de Solferino
- La Petite Leyre, dans celle de Luxey.
Son cours s'étend d'abord dans les Landes sur une longueur de 80 km,
puis en Gironde. Elle reçoit notamment en rive droite, la rivière
Lacanau-de-Mios, qui constitue la limite communale septentrionale de Mios
peu en aval du pont de la voie rapide (à 800 m environ).
L'Eyre draine au total un bassin de 2 023 km2. Son delta estuarien,
au Sud-Est du Bassin d'Arcachon est de formation récente. Il est caracté¬
risé par de faibles apports sédimentaires et dominé par des courants de
marée importants,
La Vallée de l'Eyre est jalonnée tout au long de son cours par une
forêt - galerie, répartie sur les deux rives, qui confère au secteur une
marque paysagère contrastée par rapport à la forêt landaise environnante
(photo n" 2).
2.3.2 - Hydrologie de l'Eyre
2.3.2.1 - Régime juridique
La Leyre est une rivière domaniale rayée de la nomenclature des cours
d'eau navigables et flottables.
Par arrêté ministériel du 7 avril 1981, modifiant les dispositions du
décret n" 62-1448 du 24 novembre 1962 relatif à la police des eaux
(J.O. du 22 mai 1961), le cours d'eau a été placé sous le contrôle
juridique du Service Hydraulique de la Direction Départementale de
l'Agriculture et de la Forêt de la Gironde, depuis les origines de la
- 41 -
L'Eyre résulte de la confluence de deux rivières, dont les sources se
trouvent dans le département des Landes :
- La Grande Leyre, dans la région de Solferino
- La Petite Leyre, dans celle de Luxey.
Son cours s'étend d'abord dans les Landes sur une longueur de 80 km,
puis en Gironde. Elle reçoit notamment en rive droite, la rivière
Lacanau-de-Mios, qui constitue la limite communale septentrionale de Mios
peu en aval du pont de la voie rapide (à 800 m environ).
L'Eyre draine au total un bassin de 2 023 km2. Son delta estuarien,
au Sud-Est du Bassin d'Arcachon est de formation récente. Il est caracté¬
risé par de faibles apports sédimentaires et dominé par des courants de
marée importants,
La Vallée de l'Eyre est jalonnée tout au long de son cours par une
forêt - galerie, répartie sur les deux rives, qui confère au secteur une
marque paysagère contrastée par rapport à la forêt landaise environnante
(photo n" 2).
2.3.2 - Hydrologie de l'Eyre
2.3.2.1 - Régime juridique
La Leyre est une rivière domaniale rayée de la nomenclature des cours
d'eau navigables et flottables.
Par arrêté ministériel du 7 avril 1981, modifiant les dispositions du
décret n" 62-1448 du 24 novembre 1962 relatif à la police des eaux
(J.O. du 22 mai 1961), le cours d'eau a été placé sous le contrôle
juridique du Service Hydraulique de la Direction Départementale de
l'Agriculture et de la Forêt de la Gironde, depuis les origines de la
- 42
Leyre orientale et de la Leyre occidentale jusqu'au pont de chemin de fer
de la ligne Bordeaux - Bayonne â Lamothe. En aval de ce point, son
estuaire se trouve dans le domaine des Services Maritimes et relève de
leur compétence.
2.3.2.2 - Régime d'écoulement
Il est connu par suite des relevés de hauteurs d'eau réalisés aux
stations suivantes :
- de Salles (à 8 km en amont du bourg de Mios), à l'aval d'un bassin
versant de 1 650 km2 ; elle est contrôlée régulièrement par le
Service Hydrologique Centralisateur de Toulouse depuis 1967 ;
- du Pont de Lamothe sur la RN 650 surveillée pour le compte de
1 'Agence de Bassin Adour-Garonne, par des Jaugeages mensuels du SRAE
Aquitaine depuis 1971 (à 5 km en aval de Mios).
Les débits moyens mensuels de la rivière ne sont cependant connus
qu'à Salles (tableau 20), les valeurs obtenues au Pont de Lamothe ne
représentant que des jaugeages instantanés, réalisés 10 fois par an.
TABLEAU 20
DEBITS MOYENS MENSUELS DE L'EIBE (en m3/s)
A SALLES (1967 - 1986)
- 42
Leyre orientale et de la Leyre occidentale jusqu'au pont de chemin de fer
de la ligne Bordeaux - Bayonne â Lamothe. En aval de ce point, son
estuaire se trouve dans le domaine des Services Maritimes et relève de
leur compétence.
2.3.2.2 - Régime d'écoulement
Il est connu par suite des relevés de hauteurs d'eau réalisés aux
stations suivantes :
- de Salles (à 8 km en amont du bourg de Mios), à l'aval d'un bassin
versant de 1 650 km2 ; elle est contrôlée régulièrement par le
Service Hydrologique Centralisateur de Toulouse depuis 1967 ;
- du Pont de Lamothe sur la RN 650 surveillée pour le compte de
1 'Agence de Bassin Adour-Garonne, par des Jaugeages mensuels du SRAE
Aquitaine depuis 1971 (à 5 km en aval de Mios).
Les débits moyens mensuels de la rivière ne sont cependant connus
qu'à Salles (tableau 20), les valeurs obtenues au Pont de Lamothe ne
représentant que des jaugeages instantanés, réalisés 10 fois par an.
TABLEAU 20
DEBITS MOYENS MENSUELS DE L'EIBE (en m3/s)
A SALLES (1967 - 1986)
- 43 -
Ces valeurs correspondent aux débits moyens naturels du cours d'eau,
car aucun prélèvement n'a lieu en amont de la station.
Les valeurs instantanées du débit au Pont de Lamothe se répartissent
entre un minimum observé en 1984 de 6,75 m3/s et un maximum de 70,5 m3/s
en 1986.
En ce qui concerne les crues, on ne dispose que des débits instanta¬
nés maxima, observés à Salles entre 1967 et février 1988 (tableau 21). Ils
s'étagent entre 27 m3/s (1987) et un maximum de 140 m3/s (février 1988),
la moyenne se situant à 85,9 m3/s. Une approche statistique des périodes
de retour a été établie par la méthode de Gumbel (tableau 22) et montre
que la crue observée en février - mars 1988 correspondrait sensiblement à
une période de 50 ans.
Le projet se situe en dehors des zones inondables connues de l'Eyre,
- 43 -
Ces valeurs correspondent aux débits moyens naturels du cours d'eau,
car aucun prélèvement n'a lieu en amont de la station.
Les valeurs instantanées du débit au Pont de Lamothe se répartissent
entre un minimum observé en 1984 de 6,75 m3/s et un maximum de 70,5 m3/s
en 1986.
En ce qui concerne les crues, on ne dispose que des débits instanta¬
nés maxima, observés à Salles entre 1967 et février 1988 (tableau 21). Ils
s'étagent entre 27 m3/s (1987) et un maximum de 140 m3/s (février 1988),
la moyenne se situant à 85,9 m3/s. Une approche statistique des périodes
de retour a été établie par la méthode de Gumbel (tableau 22) et montre
que la crue observée en février - mars 1988 correspondrait sensiblement à
une période de 50 ans.
Le projet se situe en dehors des zones inondables connues de l'Eyre,
- 44 -
TABLEAU 21
DEBITS INSTANTANES MAXIMA DE LA LEYRE A SALLES (1967 - 1988) (en mS/s)
1 ANNEES
1 1967
1 1968
1 1969
1 1970
1 1971
1 1972
1 1973
1 1974
1 1975
1 1976
i 1977
DEBITS
100
80
104
91
94
92
100
94
61
107
98
00
00
00
50
50
50
00
50
50
00
50
ANNEES
1978
1979
1980
1981
1982
1983
1984
1985
1986
1987
Février 1988
DEBITS 1
89
85
56
95
122
69
79
76
79
27
140
50 1
50 1
50 1
00 1
00 1
00 1
00 1
00 1
50 1
00 1
00 1
TABLEAU 22
PERIODES DE RETOUR DES CRUES DE LA LEYRE ET DEBITS MAXIMA
CORRESPONDANTS A SALLES (1967 - 1988)
1 PERIODE
1 2 ans
1 5 ans
1 10 ans
1 50 ans
1 100 ans
DEBIT 1
82,5 1
100,6 1
112,6 1
139,0 1
150,1 1
- 44 -
TABLEAU 21
DEBITS INSTANTANES MAXIMA DE LA LEYRE A SALLES (1967 - 1988) (en mS/s)
1 ANNEES
1 1967
1 1968
1 1969
1 1970
1 1971
1 1972
1 1973
1 1974
1 1975
1 1976
i 1977
DEBITS
100
80
104
91
94
92
100
94
61
107
98
00
00
00
50
50
50
00
50
50
00
50
ANNEES
1978
1979
1980
1981
1982
1983
1984
1985
1986
1987
Février 1988
DEBITS 1
89
85
56
95
122
69
79
76
79
27
140
50 1
50 1
50 1
00 1
00 1
00 1
00 1
00 1
50 1
00 1
00 1
TABLEAU 22
PERIODES DE RETOUR DES CRUES DE LA LEYRE ET DEBITS MAXIMA
CORRESPONDANTS A SALLES (1967 - 1988)
1 PERIODE
1 2 ans
1 5 ans
1 10 ans
1 50 ans
1 100 ans
DEBIT 1
82,5 1
100,6 1
112,6 1
139,0 1
150,1 1
45
2.3.2.3 - Température de l'eau
Les températures moyennes mensuelles de l'Eyre ont été communiquées
par le CEMAGREF, sur des relevés effectués au Pont de Lamothe. Elles se
répartissent ainsi pour la période 1971-82 ((tableau 23) :
TABLEAU 23
REPARTITION DES TEMPERATURES MOYENNES MENSUELLES EN 'G DE L'EYRE
(valeurs arrondies)
J
5
F
6
M
9
A
11
M
12
J
14
J
17
A
17
S
16
0
14
N
10
D
6
Il s'agit d'une rivière, dont le cycle thermique est caractérisé par
des températures comprises entre un minimum de 5 - d'C en janvier -
février et un maximum de 17 -18''C en été, cette dernière valeur étant
rarement dépassée (température maximale instantanée observée : 19''4 C), La
moyenne générale de l'eau se situe à 12" 3 C.
2.3.2.4 - Hydrobiologie
2.3,2.4.1 - Qualité des eaux de l'Eyre
Elle est contrôlée mensuellement à Lamothe au pont de la RN 650
depuis 1971. On dispose de 16 années de données pour les différents
paramètres physico-chimiques de l'eau.
Cette station (n* 191 000) fait partie du réseau de surveillance, mis
en place par l'Agence de l'Eau et coordonné avec celui du Ministère de
1 ' Environnement .
45
2.3.2.3 - Température de l'eau
Les températures moyennes mensuelles de l'Eyre ont été communiquées
par le CEMAGREF, sur des relevés effectués au Pont de Lamothe. Elles se
répartissent ainsi pour la période 1971-82 ((tableau 23) :
TABLEAU 23
REPARTITION DES TEMPERATURES MOYENNES MENSUELLES EN 'G DE L'EYRE
(valeurs arrondies)
J
5
F
6
M
9
A
11
M
12
J
14
J
17
A
17
S
16
0
14
N
10
D
6
Il s'agit d'une rivière, dont le cycle thermique est caractérisé par
des températures comprises entre un minimum de 5 - d'C en janvier -
février et un maximum de 17 -18''C en été, cette dernière valeur étant
rarement dépassée (température maximale instantanée observée : 19''4 C), La
moyenne générale de l'eau se situe à 12" 3 C.
2.3.2.4 - Hydrobiologie
2.3,2.4.1 - Qualité des eaux de l'Eyre
Elle est contrôlée mensuellement à Lamothe au pont de la RN 650
depuis 1971. On dispose de 16 années de données pour les différents
paramètres physico-chimiques de l'eau.
Cette station (n* 191 000) fait partie du réseau de surveillance, mis
en place par l'Agence de l'Eau et coordonné avec celui du Ministère de
1 ' Environnement .
- 46 -
Les résultats des analyses figurent sur des tableaux reportés en
annexe 2. L'évolution des paramètres montre que les pollutions de type
organique et bactériologique confèrent la qualité passable de la grille
multi-usages (classe 2) à la rivière en aval du projet. L'indice biotique
et les matières toxiques sont caractérisés par une teneur en dérivés
phénoliques (moyenne générale : 0,01 mg/l). Il y a des coliformes totaux
(3 700 N/lOO ml en moyenne). Ces pollutions sont vraisemblablement dues à
l'usine papetière à Facture,
Au total, la qualité actuelle de l'Eyre au Pont de Lamothe ne con¬
vient qu'à certains usages (irrigation, usages industriels et production
d'eau potable après traitement poussé), L'abreuvage des animaux est
toléré, la vie du poisson y est possible, mais sa reproduction y est
aléatoire.
L'objectif fixé par la carte départementale de qualité des eaux de
surface reste cependant d'obtenir la qualité IB (bonne), apte à satisfaire
à tous les usages, en améliorant la collecte des eaux industrielles et
l'assainissement des eaux usées.
Des résultats d'analyses effectuées au Pont de Lamothe, on a tiré les
valeurs moyennes mensuelles des principaux paramètres de pollution et de
la teneur en oxygène dissous sur une période de 10 ans (1978-88)
(tableau 24).
2,3,2,4,2 - Analyses complémentaires
Le point de prélèvement dans l'Eyre se situant à environ 3 km du Pont
de Lamothe et le rejet des effluents piscicoles devant s'effectuer peu en
aval, il a été demandé au SME Aquitaine d'établir l'indice biotique
général (IBG) de la rivière de part et d'autre du projet (figure 3), soit:
- au Pont de la route D126 à Mios, en amont,
- au Pont de Lamothe en aval.
- 46 -
Les résultats des analyses figurent sur des tableaux reportés en
annexe 2. L'évolution des paramètres montre que les pollutions de type
organique et bactériologique confèrent la qualité passable de la grille
multi-usages (classe 2) à la rivière en aval du projet. L'indice biotique
et les matières toxiques sont caractérisés par une teneur en dérivés
phénoliques (moyenne générale : 0,01 mg/l). Il y a des coliformes totaux
(3 700 N/lOO ml en moyenne). Ces pollutions sont vraisemblablement dues à
l'usine papetière à Facture,
Au total, la qualité actuelle de l'Eyre au Pont de Lamothe ne con¬
vient qu'à certains usages (irrigation, usages industriels et production
d'eau potable après traitement poussé), L'abreuvage des animaux est
toléré, la vie du poisson y est possible, mais sa reproduction y est
aléatoire.
L'objectif fixé par la carte départementale de qualité des eaux de
surface reste cependant d'obtenir la qualité IB (bonne), apte à satisfaire
à tous les usages, en améliorant la collecte des eaux industrielles et
l'assainissement des eaux usées.
Des résultats d'analyses effectuées au Pont de Lamothe, on a tiré les
valeurs moyennes mensuelles des principaux paramètres de pollution et de
la teneur en oxygène dissous sur une période de 10 ans (1978-88)
(tableau 24).
2,3,2,4,2 - Analyses complémentaires
Le point de prélèvement dans l'Eyre se situant à environ 3 km du Pont
de Lamothe et le rejet des effluents piscicoles devant s'effectuer peu en
aval, il a été demandé au SME Aquitaine d'établir l'indice biotique
général (IBG) de la rivière de part et d'autre du projet (figure 3), soit:
- au Pont de la route D126 à Mios, en amont,
- au Pont de Lamothe en aval.
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LIEUX DE PílELEVEMENTS ET D'ANALYSESD'EAU DE L'EYRE
^ Pont de la RD
..imite de commune i*-P««i
47 -
TABLEAU 24
VALEURS MOYENNES MENSUELLES (en mg/l)
DE CERTAINS PARAMETRES PHYSICO-CHIMIQUES DE L'EYRE AU PONT DE LAMOTHE
(1978 - 1988)
(communiqués par l'A. F, B.A, G.)
1 MOIS
1 J
1 F
1 M
1 A
1 M
1 J
1 J
1 A
1 S
1 0
1 N
1 D
NH4"^
0
0,1
0,2
0,1
0,07
0,11
0,15
0
0
0
0,04
0
DCO
19
15
19
17
18
14
12
9
10
11
12
14
DB05
1,5
1,4
1,9
1,5
1,3
1,0
1,6
1,4
1,2
1,11,3
1,1
MES
55
19
4,7
6
6
8
5
5
4
6
5
4
02 DISSOUS 1
10,2 1
10,0 1
10,2 1
9,6 1
9,3 1
8,0 1
8,5 1
9,6 1
9 1
7,6 1
10,1 1
9,6 1
47 -
TABLEAU 24
VALEURS MOYENNES MENSUELLES (en mg/l)
DE CERTAINS PARAMETRES PHYSICO-CHIMIQUES DE L'EYRE AU PONT DE LAMOTHE
(1978 - 1988)
(communiqués par l'A. F, B.A, G.)
1 MOIS
1 J
1 F
1 M
1 A
1 M
1 J
1 J
1 A
1 S
1 0
1 N
1 D
NH4"^
0
0,1
0,2
0,1
0,07
0,11
0,15
0
0
0
0,04
0
DCO
19
15
19
17
18
14
12
9
10
11
12
14
DB05
1,5
1,4
1,9
1,5
1,3
1,0
1,6
1,4
1,2
1,11,3
1,1
MES
55
19
4,7
6
6
8
5
5
4
6
5
4
02 DISSOUS 1
10,2 1
10,0 1
10,2 1
9,6 1
9,3 1
8,0 1
8,5 1
9,6 1
9 1
7,6 1
10,1 1
9,6 1
- 48 -
Un autre prélèvement a été effectué au Pont de Mios et analysé par le
laboratoire du CEMAGREF de Bordeaux, pour connaître la qualité chimique de
l'eau (type piscicole) de l'Eyre dans le secteur du projet.
Les résultats sont reportés en annexe 3 . Ils font état d'une eau au
pH de 7,4 et faiblement chargée (100 yS/cm) à 20°C. Les matières en+
suspension sont inférieures à 5 mg/l et l'ion NH4 très faiblement repré¬
senté (<0,02 mg/l). Seule la teneur en fer (0,53 mg 1) semble un peu
élevée.
L'étude hydrobiologique du SEIAE fait apparaître une forte similitude
des peuplements benthiques entre les deux stations inventoriées puisque
17 espèces sur 20 trouvées à la station de Mios sont rencontrées à la
station de Lamothe (annexe 4) .
Le groupe indicateur (Isoperla sp) pour le calcul de l'IBG est le
même à Mios et à Lamothe, la différence de deux points de l'IBG (14 à Mlos
et 16 à Lamothe) est à attribuer à une diversité moindre de la variété
taxonomlque à Mlos (18 unités systématiques contre 27 à Lamothe). Ceci
peut s'expliquer par une diversité moindre des habitats et par des super¬
ficies favorables plus restreintes.
Suivant les bases d'Interprétation de la méthode des IBG la qualité
biologique de La Leyre sur ces deux stations est acceptable.
L'ensemble des résultats disponibles sur La Leyre à la station de
Lamothe a été regroupé dans le le tableau annexé Le changement de
protocole d'échantillonnage et de calcul de l'indice ne nous permet pas de
comparer en toute rigueur les résultats entre 1976 et 1988. Cependant il
est possible d'utiliser les résultats de l'IQBG, pratiqué entre 1978 et
1986, pour dégager les tendances d'évolution. On remarque que le groupe
indicateur est peu variable : Leuctra sp ou Isoperla sp, et que le nombre
- 48 -
Un autre prélèvement a été effectué au Pont de Mios et analysé par le
laboratoire du CEMAGREF de Bordeaux, pour connaître la qualité chimique de
l'eau (type piscicole) de l'Eyre dans le secteur du projet.
Les résultats sont reportés en annexe 3 . Ils font état d'une eau au
pH de 7,4 et faiblement chargée (100 yS/cm) à 20°C. Les matières en+
suspension sont inférieures à 5 mg/l et l'ion NH4 très faiblement repré¬
senté (<0,02 mg/l). Seule la teneur en fer (0,53 mg 1) semble un peu
élevée.
L'étude hydrobiologique du SEIAE fait apparaître une forte similitude
des peuplements benthiques entre les deux stations inventoriées puisque
17 espèces sur 20 trouvées à la station de Mios sont rencontrées à la
station de Lamothe (annexe 4) .
Le groupe indicateur (Isoperla sp) pour le calcul de l'IBG est le
même à Mios et à Lamothe, la différence de deux points de l'IBG (14 à Mlos
et 16 à Lamothe) est à attribuer à une diversité moindre de la variété
taxonomlque à Mlos (18 unités systématiques contre 27 à Lamothe). Ceci
peut s'expliquer par une diversité moindre des habitats et par des super¬
ficies favorables plus restreintes.
Suivant les bases d'Interprétation de la méthode des IBG la qualité
biologique de La Leyre sur ces deux stations est acceptable.
L'ensemble des résultats disponibles sur La Leyre à la station de
Lamothe a été regroupé dans le le tableau annexé Le changement de
protocole d'échantillonnage et de calcul de l'indice ne nous permet pas de
comparer en toute rigueur les résultats entre 1976 et 1988. Cependant il
est possible d'utiliser les résultats de l'IQBG, pratiqué entre 1978 et
1986, pour dégager les tendances d'évolution. On remarque que le groupe
indicateur est peu variable : Leuctra sp ou Isoperla sp, et que le nombre
- 49 -
d'unités systématiques varie de 23 à 30. L'indice de qualité biologique
global (IQBG) varie de 11 à 19, avec une tendance à l'augmentation entre
1978 et 1986. Cette amélioration de la qualité du cours d'eau résulte sans
doute d'un meilleur traitement des eaux usées des collectivités locales et
de l'usine de la Cellulose du Pin,
2.3,2,4,3 - Inventaire des stations d'épuration le long de l'Eyre
Il révèle l'existence de trois stations d'épuration, toutes gérées
par la Régie d'Electricité de la Gironde (REG), Elles concernent d'amont
en aval les communes de Belin-Beliet, Salles et Mios et correspondent
respectivement à 1500, 3000 et 2000 équivalents/habitants.
Les trois stations se situent à l'aval d'un réseau de type séparatif,
celles de Salles et de Mios fonctionnant en outre avec une aération
prolongée.
Ces stations, classées toutes trois dans la même catégorie (niveau IV
de l'arrêté du 13 mai 1975 relatif aux autorisations de déversement) (1)
ont fait ou font actuellement l'objet de travaux complémentaires
d'aménagement. Celle de Belin-Beliet doit notamment être portée à
3000 équivalents/habitants, pour atteindre le niveau de qualité minimale
de ses rejets (e - NKl), défini par la circulaire du 4 novembre 1980
(annexe 5a) (2).
(1) Matières en suspension totales : 30 mg/l sur tout échantillon de 2 b.
DB05 : 40 mg/l sur tout échantillon de 2b et 30 ae/1 en moyenne sur
24 h.
Azote Kjeldahl : 50 n^/l sur tout échantillon de 2 b et 40 mg/l en
moyenne sur 24 h.
Epreuve de putrescibilité : aucune odeur putride ou amuoniacale ne
doit être dégagée par l'eau avant et après 5 j d'incubation.
(2) En application de l 'arrêté du 20 novembre 1979.
- 49 -
d'unités systématiques varie de 23 à 30. L'indice de qualité biologique
global (IQBG) varie de 11 à 19, avec une tendance à l'augmentation entre
1978 et 1986. Cette amélioration de la qualité du cours d'eau résulte sans
doute d'un meilleur traitement des eaux usées des collectivités locales et
de l'usine de la Cellulose du Pin,
2.3,2,4,3 - Inventaire des stations d'épuration le long de l'Eyre
Il révèle l'existence de trois stations d'épuration, toutes gérées
par la Régie d'Electricité de la Gironde (REG), Elles concernent d'amont
en aval les communes de Belin-Beliet, Salles et Mios et correspondent
respectivement à 1500, 3000 et 2000 équivalents/habitants.
Les trois stations se situent à l'aval d'un réseau de type séparatif,
celles de Salles et de Mios fonctionnant en outre avec une aération
prolongée.
Ces stations, classées toutes trois dans la même catégorie (niveau IV
de l'arrêté du 13 mai 1975 relatif aux autorisations de déversement) (1)
ont fait ou font actuellement l'objet de travaux complémentaires
d'aménagement. Celle de Belin-Beliet doit notamment être portée à
3000 équivalents/habitants, pour atteindre le niveau de qualité minimale
de ses rejets (e - NKl), défini par la circulaire du 4 novembre 1980
(annexe 5a) (2).
(1) Matières en suspension totales : 30 mg/l sur tout échantillon de 2 b.
DB05 : 40 mg/l sur tout échantillon de 2b et 30 ae/1 en moyenne sur
24 h.
Azote Kjeldahl : 50 n^/l sur tout échantillon de 2 b et 40 mg/l en
moyenne sur 24 h.
Epreuve de putrescibilité : aucune odeur putride ou amuoniacale ne
doit être dégagée par l'eau avant et après 5 j d'incubation.
(2) En application de l 'arrêté du 20 novembre 1979.
-so
on trouvera en annexe 5b le bilan de chacune de ces stations,
effectué en juin 1987. Celui-ci recommande vivement dans chaque cas de
débrancher le réseau des eaux parasites et de faire fonctionner le système
de chloration existant pendant la saison estivale.
Ces bilans de 1987 mettent par ailleurs en évidence que les charges
hydrauliques et organiques s'établissent d'une station à l'autre entre 50
et 60 %. Il apparaît en outre que les rendements de traitement des ef¬
fluents sont satisfaisants à très satisfaisants sur chacune des stations
pour la DB05, la DCO et les MES (entre 86 et 98 %).
Ils sont nettement moins favorables pour l'élimination des ions NH4
(26,6 % à Salles et 37,1 % à Mios) et de l'azote total Kjeldahl (51,7 % à
Salles et 44,9 % à Mios).
2.3.2.4.4 - Données piscicoles
Dans le cadre de l'inventaire national des peuplements piscicoles une
pêche électrique a été réalisée, en août 1981, dans la Leyre au Pont de la
RN 650 à Lamothe, par le Conseil Supérieur de la Pêche (Délégation Régio¬
nale Midi-Pyrénées - Aquitaine), La population de poissons, tant en
effectif qu'en biomasse, est dominée par l'anguille, suivi du flet, de la
perche et de la vandoise. Les densités et les biomasses sont faibles pour
toutes les espèces : le milieu aquatique est pauvre.
Le peuplement observé est constitué d'espèces habituelles de la zone
à brème et correspond donc au type ichtyologique théorique selon le zonage
piscicole de Huet,
2.3.2.3.5 - Données bactériologiques
La qualité bactériologique de l'Eyre est suivie dans le cadre de
l'inventaire des eaux superficielles pour l'Agence de Bassin à la station
de Lamothe depuis 1971,
-so
on trouvera en annexe 5b le bilan de chacune de ces stations,
effectué en juin 1987. Celui-ci recommande vivement dans chaque cas de
débrancher le réseau des eaux parasites et de faire fonctionner le système
de chloration existant pendant la saison estivale.
Ces bilans de 1987 mettent par ailleurs en évidence que les charges
hydrauliques et organiques s'établissent d'une station à l'autre entre 50
et 60 %. Il apparaît en outre que les rendements de traitement des ef¬
fluents sont satisfaisants à très satisfaisants sur chacune des stations
pour la DB05, la DCO et les MES (entre 86 et 98 %).
Ils sont nettement moins favorables pour l'élimination des ions NH4
(26,6 % à Salles et 37,1 % à Mios) et de l'azote total Kjeldahl (51,7 % à
Salles et 44,9 % à Mios).
2.3.2.4.4 - Données piscicoles
Dans le cadre de l'inventaire national des peuplements piscicoles une
pêche électrique a été réalisée, en août 1981, dans la Leyre au Pont de la
RN 650 à Lamothe, par le Conseil Supérieur de la Pêche (Délégation Régio¬
nale Midi-Pyrénées - Aquitaine), La population de poissons, tant en
effectif qu'en biomasse, est dominée par l'anguille, suivi du flet, de la
perche et de la vandoise. Les densités et les biomasses sont faibles pour
toutes les espèces : le milieu aquatique est pauvre.
Le peuplement observé est constitué d'espèces habituelles de la zone
à brème et correspond donc au type ichtyologique théorique selon le zonage
piscicole de Huet,
2.3.2.3.5 - Données bactériologiques
La qualité bactériologique de l'Eyre est suivie dans le cadre de
l'inventaire des eaux superficielles pour l'Agence de Bassin à la station
de Lamothe depuis 1971,
- 51 -
Le suivi évolutif fait ressortir de fortes variations des trois
paramètres de contrôle (coliformes fécaux, coliformes totaux,
streptocoques fécaux).
Entre les périodes 1971 - 1981 et 1980 - 1986, il apparaît en moyenne
une tendance générale à l'augmentation des peuplements bactériens.
2.3.3 - (néologie
Elle est connue grâce aux données disponibles de la Banque des
Données du Sous-Sol dans le secteur et la cartographie géologique récente
du B.R, G, M.
Cette partie méridionale du Bassin d'Arcachon est constituée en
surface par des alluvions modernes argilo-sableuses et des sables landais.
Les alluvions modernes ont une origine à la fois marine (sables et
argiles apportés par le courant atlantique) et fluviatile (sables déposés
par l'Eyre).
Une série de sondages de quelques mètres a été exécutée à la tarière
à main par le Laboratoire de Bordeaux du C.E.T.E. du Sud-Ouest, le long du
tracé de la voie rapide au droit de la traversée de l'Eyre.
Ces travaux ont révélé l'existence d'une tourbe argileuse de 0,20 à
0,30 m d'épaisseur dans les zones marécageuses, au-dessus de 1,50 m de
formations comprenant des végétaux plus ou moins pourris, de la tourbe
noire à structure très lâche et une argile organique grise, très noble.
Le Sable des Landes, situé au-dessous des alluvions est d'origine
éolienne et composé de grains de quartz homomé triques.
Au contact de ces deux dépôts, on rencontre souvent sur une épaisseur
variable un sable pollué d'inclusions tourbeuses ou organiques, qui
constitue un horizon de transition.
- 51 -
Le suivi évolutif fait ressortir de fortes variations des trois
paramètres de contrôle (coliformes fécaux, coliformes totaux,
streptocoques fécaux).
Entre les périodes 1971 - 1981 et 1980 - 1986, il apparaît en moyenne
une tendance générale à l'augmentation des peuplements bactériens.
2.3.3 - (néologie
Elle est connue grâce aux données disponibles de la Banque des
Données du Sous-Sol dans le secteur et la cartographie géologique récente
du B.R, G, M.
Cette partie méridionale du Bassin d'Arcachon est constituée en
surface par des alluvions modernes argilo-sableuses et des sables landais.
Les alluvions modernes ont une origine à la fois marine (sables et
argiles apportés par le courant atlantique) et fluviatile (sables déposés
par l'Eyre).
Une série de sondages de quelques mètres a été exécutée à la tarière
à main par le Laboratoire de Bordeaux du C.E.T.E. du Sud-Ouest, le long du
tracé de la voie rapide au droit de la traversée de l'Eyre.
Ces travaux ont révélé l'existence d'une tourbe argileuse de 0,20 à
0,30 m d'épaisseur dans les zones marécageuses, au-dessus de 1,50 m de
formations comprenant des végétaux plus ou moins pourris, de la tourbe
noire à structure très lâche et une argile organique grise, très noble.
Le Sable des Landes, situé au-dessous des alluvions est d'origine
éolienne et composé de grains de quartz homomé triques.
Au contact de ces deux dépôts, on rencontre souvent sur une épaisseur
variable un sable pollué d'inclusions tourbeuses ou organiques, qui
constitue un horizon de transition.
- 52 -
L'ensemble des formations plio-quaternaires a une puissance voisine
de 25 m et est représenté par des horizons sableux de granularités et de
faciès divers (à gravillons, à micas ou à nodules), parfois cimentés ou
entrecoupés d'argiles silteuses.
Cette succession est celle de la coupe du forage GLTPl (805-2-69) sur
le site de l'étude.
On rencontre en-dessous un substratum miocène, constitué de forma¬
tions calcaires et sableuses, intercalées d'argiles jusqu'à une profondeur
voisine de 100 m.
Cet ensemble se poursuit par différents horizons tertiaires crétacés
et jurassiques, recoupés par le forage jusqu'à une profondeur voisine de
3 630 m, ou le Trias salifère a été atteint,
La coupe détaillée de cet ouvrage est reportée (figure 4).
2.3.4 - Hydrogéologie
Le sous-sol de la région se présente comme une succession de forma¬
tions aquifères, séparées les unes des autres par des horizons imper¬
méables : le tout constitue un ensemble multicouche de nappes superposées
et le plus souvent captives, utilisées pour les besoins en eau potable des
villes et localités périphériques du Bassin d'Arcachon et naturellement
protégées vis-à-vis d'éventuelles pollutions en surface ,
A noter l'absence de périmètres de protection des captages d'eau
potable dans le secteur,
2.3.4.1 - Nappe des Sables des Landes
Seule la nappe superficielle qui circule dans les formations sableu¬
ses plio-quaternaires, est libre. Il en résulte une forte vulnérabilité
vis-à-vis des rejets de surface, qui augmente en fonction de la diminution
de la profondeur de la nappe par rapport au sol.
- 52 -
L'ensemble des formations plio-quaternaires a une puissance voisine
de 25 m et est représenté par des horizons sableux de granularités et de
faciès divers (à gravillons, à micas ou à nodules), parfois cimentés ou
entrecoupés d'argiles silteuses.
Cette succession est celle de la coupe du forage GLTPl (805-2-69) sur
le site de l'étude.
On rencontre en-dessous un substratum miocène, constitué de forma¬
tions calcaires et sableuses, intercalées d'argiles jusqu'à une profondeur
voisine de 100 m.
Cet ensemble se poursuit par différents horizons tertiaires crétacés
et jurassiques, recoupés par le forage jusqu'à une profondeur voisine de
3 630 m, ou le Trias salifère a été atteint,
La coupe détaillée de cet ouvrage est reportée (figure 4).
2.3.4 - Hydrogéologie
Le sous-sol de la région se présente comme une succession de forma¬
tions aquifères, séparées les unes des autres par des horizons imper¬
méables : le tout constitue un ensemble multicouche de nappes superposées
et le plus souvent captives, utilisées pour les besoins en eau potable des
villes et localités périphériques du Bassin d'Arcachon et naturellement
protégées vis-à-vis d'éventuelles pollutions en surface ,
A noter l'absence de périmètres de protection des captages d'eau
potable dans le secteur,
2.3.4.1 - Nappe des Sables des Landes
Seule la nappe superficielle qui circule dans les formations sableu¬
ses plio-quaternaires, est libre. Il en résulte une forte vulnérabilité
vis-à-vis des rejets de surface, qui augmente en fonction de la diminution
de la profondeur de la nappe par rapport au sol.
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- 53
Son alimentation s'opère principalement à partir des précipitations
atmosphériques et son drainage s'effectue par l'Eyre, ses affluents et le
réseau superficiel des "crastes".
L'inventaire des points d'eau réalisé dans le secteur du Teich
(figure 5) a montré l'existence d'un petit nombre de puits particuliers,
qui exploitent un aquifère de quelques mètres d'épaisseur à un débit
variable, généralement faible (15 m3/h). Ces ouvrages sont surtout locali¬
sés au Nord de la voie rapide Bordeaux-Arcachon, dont le tracé a été
jalonné par quelques sondages de reconnaissance. Aucune exploitation de
cette nappe n'est réalisée pour l'alimentation en eau potable des
communes ,
Il n'existe pas de piézomètre sur le site : celui-ci est seulement
encadré par quelques puits anciens, dont un point d'eau à 450 m environ au
SSW (850-2-71) a montré lors de sa réalisation (1960) que la nappe s'éta¬
blissait à une cote voisine de + 10,8 NGF à l'étiage,.
Il ressort cependant d'une étude ancienne réalisée pour le Service du
Génie Rural de Gironde en 1961, que la nappe s'établit sur le site à + 8
- + 9 NGF à l'étiage, soit entre 1 et 2 m de profondeur du sol. Elle suit
sensiblement la topographie selon une direction SSW - NNE vers la Leyre
avec un faible gradient hydraulique.
Les variations d'amplitude saisonnière seraient voisines de 1 m dans
ce secteur, mais il s'agit d'observations anciennes sans confirmation
actuelle.
Les caractéristiques physico-chimiques de cette nappe sont bien
connues dans l'ensemble. Il s'agit d'une eau généralement peu minéralisée
(conductivité de 140 à 170 yS/cm), de faciès bicarbonaté-calcique ; sa
concentration en fer total est généralement élevée, variable d'un point à
un autre entre 0,02 mg/l et 4 mg/l.
- 53
Son alimentation s'opère principalement à partir des précipitations
atmosphériques et son drainage s'effectue par l'Eyre, ses affluents et le
réseau superficiel des "crastes".
L'inventaire des points d'eau réalisé dans le secteur du Teich
(figure 5) a montré l'existence d'un petit nombre de puits particuliers,
qui exploitent un aquifère de quelques mètres d'épaisseur à un débit
variable, généralement faible (15 m3/h). Ces ouvrages sont surtout locali¬
sés au Nord de la voie rapide Bordeaux-Arcachon, dont le tracé a été
jalonné par quelques sondages de reconnaissance. Aucune exploitation de
cette nappe n'est réalisée pour l'alimentation en eau potable des
communes ,
Il n'existe pas de piézomètre sur le site : celui-ci est seulement
encadré par quelques puits anciens, dont un point d'eau à 450 m environ au
SSW (850-2-71) a montré lors de sa réalisation (1960) que la nappe s'éta¬
blissait à une cote voisine de + 10,8 NGF à l'étiage,.
Il ressort cependant d'une étude ancienne réalisée pour le Service du
Génie Rural de Gironde en 1961, que la nappe s'établit sur le site à + 8
- + 9 NGF à l'étiage, soit entre 1 et 2 m de profondeur du sol. Elle suit
sensiblement la topographie selon une direction SSW - NNE vers la Leyre
avec un faible gradient hydraulique.
Les variations d'amplitude saisonnière seraient voisines de 1 m dans
ce secteur, mais il s'agit d'observations anciennes sans confirmation
actuelle.
Les caractéristiques physico-chimiques de cette nappe sont bien
connues dans l'ensemble. Il s'agit d'une eau généralement peu minéralisée
(conductivité de 140 à 170 yS/cm), de faciès bicarbonaté-calcique ; sa
concentration en fer total est généralement élevée, variable d'un point à
un autre entre 0,02 mg/l et 4 mg/l.
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INVENTAIRE DES FORAGES ET DES CONTRAINTES EXISTANTESDANS LE SECTEUR DU TEICH ET DE MIOS
850-2-69 Forage
Ligne électrique HT
Conduite de gaz SNGSO
- 54 -
Les eaux sont acides, ferrugineuses et manganeuses avec une
concentration élevée de matières organiques (quelques mg/l). C'est le cas
notamment de l'eau d'un puits de 7 m de profondeur, situé à Balanos, à
environ 1 km à l'Ouest du site, dont l'analyse chimique figure en
atmexe 6.
Le coefficient de perméabilité de cette formation aquifère est voisin-4
de 4.10 m/s. De cette valeur, on déduit pour les vitesses de transit de
la nappe sous différents gradients au sein des sables une valeur moyenne
de 4 m/ jour.
2.3.4.2 - Nappes profondes
Leur connaissance est liée à l'existence de plusieurs forages, dont
certains servent à l'alimentation en eau potable.
Il faut signaler successivement :
a) Un forage aux calcaires coquilliers du Miocène (850-2-79) exécuté
préalablement aux travaux de reprise du forage GLTPl. L'évolution de
cette nappe en charge sous des argiles, est suivie depuis
février 1988, son niveau piézométrique se situant alors à 0,70 m du
sol. On a observé depuis une baisse de 0,80 m (annexe 7).
b) Un forage aux Calcaires de l 'Oligocène (850-1-1) , a servi autrefois à
1 'alimentation en eau du hameau de Balanos. Profond de 260 m, il
n'est plus artésien depuis longtemps et son évolution est suivie
depuis plus de 20 ans, montrant une baisse ,stabilisée depuis 1983
Son niveau piézométrique s'établit actuellement entre + 7 et -i- 8 NGF,
avec une variation d'amplitude saisonnière d'environ 0,80 m
(figure 6).
c) Enfin, un ensemble d'anciens forages pétroliers très profonds Mios 1
(850-2-3) et Mios 2 bis ou GLTPl (850-2-69) sur le site ou à
proximité ¡parmi eux le second (850-1-86) capte simultanément les
nappes profondes artésiennes :
- 54 -
Les eaux sont acides, ferrugineuses et manganeuses avec une
concentration élevée de matières organiques (quelques mg/l). C'est le cas
notamment de l'eau d'un puits de 7 m de profondeur, situé à Balanos, à
environ 1 km à l'Ouest du site, dont l'analyse chimique figure en
atmexe 6.
Le coefficient de perméabilité de cette formation aquifère est voisin-4
de 4.10 m/s. De cette valeur, on déduit pour les vitesses de transit de
la nappe sous différents gradients au sein des sables une valeur moyenne
de 4 m/ jour.
2.3.4.2 - Nappes profondes
Leur connaissance est liée à l'existence de plusieurs forages, dont
certains servent à l'alimentation en eau potable.
Il faut signaler successivement :
a) Un forage aux calcaires coquilliers du Miocène (850-2-79) exécuté
préalablement aux travaux de reprise du forage GLTPl. L'évolution de
cette nappe en charge sous des argiles, est suivie depuis
février 1988, son niveau piézométrique se situant alors à 0,70 m du
sol. On a observé depuis une baisse de 0,80 m (annexe 7).
b) Un forage aux Calcaires de l 'Oligocène (850-1-1) , a servi autrefois à
1 'alimentation en eau du hameau de Balanos. Profond de 260 m, il
n'est plus artésien depuis longtemps et son évolution est suivie
depuis plus de 20 ans, montrant une baisse ,stabilisée depuis 1983
Son niveau piézométrique s'établit actuellement entre + 7 et -i- 8 NGF,
avec une variation d'amplitude saisonnière d'environ 0,80 m
(figure 6).
c) Enfin, un ensemble d'anciens forages pétroliers très profonds Mios 1
(850-2-3) et Mios 2 bis ou GLTPl (850-2-69) sur le site ou à
proximité ¡parmi eux le second (850-1-86) capte simultanément les
nappes profondes artésiennes :
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17.
16.
15.
14.
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12.
11.
10.
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- 55 -
- du Purbecko-Wealdien (grès conglomératiques) entre 1 731 et
1 743 m ;
- et du Portlandien (dolomie de Mano) entre 1 778 et 1 860 m,
après avoir traversé préalablement d'autres nappes artésiennes
sus-jacentes de 1 'Eocene supérieur, du Paléocène et du Cénomanien.
Les caractéristiques techniques du forage GLTPl sont représentées sur
la figure 4 . Elles montrent que cet ouvrage initialement de 3 758 m a été
transformé en forage géothermique, après mise en place d'un bouchon de
ciment sous pression et isolement de la partie inférieure, en-dessous de
2 491,60 m.
Un débit artésien stabilisé de 130 m3/h a été mis en évidence en tête
d'ouvrage, à une température de 74 à 74, 5 "C (1) ce qui détermine
actuellement les conditions d'exploitation actuelles, Ce débit doit être
porté à 200 m3/h. Un permis exclusif d'exploitation géothermique a été
sollicité initialement par le District d'Arcachon, Le Teich, Gujan-Mestras
et La Teste pour un débit fictif continu de 40 m3/h (2). Il devra être
actualisé.
Une analyse d'eau de type 1, reportée en annexe 8, révèle un faciès
chimique sulfaté-sodique (figure 7), avec un taux élevé d'hydrogène
sulfureux (13 mg/l) et une minéralisation importante (3,7 mg/l). L'agres¬
sivité de l'eau est faible et le pH voisin de la neutralité. On note la
présence de fluorures (2,72 mg/l) et de fer (0,7 mg/l).
(1) Cf. rapports BRGM : 83 SGN 770 AQI pour les conditions d'exploitation
82 AQI 60 - Notice d'impact de mise en production
du forage.
(2) Note BRGM 86 AQI 23 : Demande d'un permis exclusif d'exploitation
géothermique du forage Le Teich Pirac (GLTPl (ex Mios 2 bis) (n' code
minier 850-2-69) par J.P. RUHARD et J.La TEISSjmia
- 55 -
- du Purbecko-Wealdien (grès conglomératiques) entre 1 731 et
1 743 m ;
- et du Portlandien (dolomie de Mano) entre 1 778 et 1 860 m,
après avoir traversé préalablement d'autres nappes artésiennes
sus-jacentes de 1 'Eocene supérieur, du Paléocène et du Cénomanien.
Les caractéristiques techniques du forage GLTPl sont représentées sur
la figure 4 . Elles montrent que cet ouvrage initialement de 3 758 m a été
transformé en forage géothermique, après mise en place d'un bouchon de
ciment sous pression et isolement de la partie inférieure, en-dessous de
2 491,60 m.
Un débit artésien stabilisé de 130 m3/h a été mis en évidence en tête
d'ouvrage, à une température de 74 à 74, 5 "C (1) ce qui détermine
actuellement les conditions d'exploitation actuelles, Ce débit doit être
porté à 200 m3/h. Un permis exclusif d'exploitation géothermique a été
sollicité initialement par le District d'Arcachon, Le Teich, Gujan-Mestras
et La Teste pour un débit fictif continu de 40 m3/h (2). Il devra être
actualisé.
Une analyse d'eau de type 1, reportée en annexe 8, révèle un faciès
chimique sulfaté-sodique (figure 7), avec un taux élevé d'hydrogène
sulfureux (13 mg/l) et une minéralisation importante (3,7 mg/l). L'agres¬
sivité de l'eau est faible et le pH voisin de la neutralité. On note la
présence de fluorures (2,72 mg/l) et de fer (0,7 mg/l).
(1) Cf. rapports BRGM : 83 SGN 770 AQI pour les conditions d'exploitation
82 AQI 60 - Notice d'impact de mise en production
du forage.
(2) Note BRGM 86 AQI 23 : Demande d'un permis exclusif d'exploitation
géothermique du forage Le Teich Pirac (GLTPl (ex Mios 2 bis) (n' code
minier 850-2-69) par J.P. RUHARD et J.La TEISSjmia
FORAGE GLT Pl
DIAGRAMME D 'ANALYSE D 'EAU
FICURE 7BRCM885GN928AQI
FORAGE GLT Pl
DIAGRAMME D 'ANALYSE D 'EAU
FICURE 7BRCM885GN928AQI
- 56 -
2.3.4.3 - Vulnérabilité des nappes à la pollution
Les nappes profondes sont captives et en charge sous des horizons
imperméables ; celle qui sera exploitée par le forage géothermique est
elle-même jaillissante.
Pour cette raison, les nappes profondes sont naturellement bien
protégées vis-à-vis d'éventuelles pollutions en surface.
Il en est donc ainsi pour les forages d'alimentation en eau potable
du Teich n" 1 et 2 (850-1-4) et de Gujan-Mestras (851-5), situés entre 4
et 7 km au NNW du site. Ils captent respectivement 1' Eocene inférieur à
350 m ou l'ensemble Oligocène-Eocène entre 150 et 200 m de profondeur,
aquifères protégés par un recouvrement argileux important.
Il en est de même pour les forages de l'usine de la Cellulose du Pin
à Facture (842-2-2 et 103),
La nappe des Sables des Landes, très proche du sol, est vulnérable
vis-à-vis des pollutions superficielles, L'Eyre est le niveau de base de
cette nappe.
2.3.5 - Climatologie
Le secteur du Teich est caractérisé par un climat de type océanique.
Ses diverses composantes sont bien connues grâce aux mesures et observa¬
tions effectuées au droit des stations météorologiques d'Arcachon
(n' INSEE 330091), Biganos (n" 330511) et Cazaux-La Teste (n" 335291) qui
encadrent le site.
Les hauteurs moyennes des précipitations, relevées sur de spériodes
de 24 à 27 ans ont été reportées dans le tableau 25.
- 56 -
2.3.4.3 - Vulnérabilité des nappes à la pollution
Les nappes profondes sont captives et en charge sous des horizons
imperméables ; celle qui sera exploitée par le forage géothermique est
elle-même jaillissante.
Pour cette raison, les nappes profondes sont naturellement bien
protégées vis-à-vis d'éventuelles pollutions en surface.
Il en est donc ainsi pour les forages d'alimentation en eau potable
du Teich n" 1 et 2 (850-1-4) et de Gujan-Mestras (851-5), situés entre 4
et 7 km au NNW du site. Ils captent respectivement 1' Eocene inférieur à
350 m ou l'ensemble Oligocène-Eocène entre 150 et 200 m de profondeur,
aquifères protégés par un recouvrement argileux important.
Il en est de même pour les forages de l'usine de la Cellulose du Pin
à Facture (842-2-2 et 103),
La nappe des Sables des Landes, très proche du sol, est vulnérable
vis-à-vis des pollutions superficielles, L'Eyre est le niveau de base de
cette nappe.
2.3.5 - Climatologie
Le secteur du Teich est caractérisé par un climat de type océanique.
Ses diverses composantes sont bien connues grâce aux mesures et observa¬
tions effectuées au droit des stations météorologiques d'Arcachon
(n' INSEE 330091), Biganos (n" 330511) et Cazaux-La Teste (n" 335291) qui
encadrent le site.
Les hauteurs moyennes des précipitations, relevées sur de spériodes
de 24 à 27 ans ont été reportées dans le tableau 25.
- 57 -
TABLEAU 25
PRECIPITATIONS MOYENNES MENSUELLES (en mm)
ISTATIONS(Altitude)
1 ARCACHON (+ 5 NGF)
1 (1961-1987)
|LA TESTE (+ 23 NGF)
1 (1961-1987)
1 BIGANOS (+ 12 NGF)
1 (1964-1987)
J
91,7
98,2
99,3
F
77,5
83,3
86,7
M
71,9
76,2
73,6
A
57,4
63,3
63,0
M
63,9
71,7
74,1
J
43,4
56,3
55,4
J
33,8
46,6
49,9
A i S
51,6j70,9
56,0|82,1
66, 8 1 83, 9
1
i
1
0
87,7
95,3
92,3
N 1 D
95,9|97,8
10^5 1 109
106j5|ll^
ANNEE 1
844,3 1
945,3 i
977,3 1
Les valeurs obtenues font ressortir des maxima en novembre et décembre
et des minima en juin et juillet. On constate en outre une augmentation
sensible de la pluviométrie d'Ouest en Est (du littoral vers l'intérieurdu pays ) .
De même les températures moyennes mensuelles observées (tableau 26)
révèlent des minima de décembre à février et des maxima en juillet et
août.
- 57 -
TABLEAU 25
PRECIPITATIONS MOYENNES MENSUELLES (en mm)
ISTATIONS(Altitude)
1 ARCACHON (+ 5 NGF)
1 (1961-1987)
|LA TESTE (+ 23 NGF)
1 (1961-1987)
1 BIGANOS (+ 12 NGF)
1 (1964-1987)
J
91,7
98,2
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M
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57,4
63,3
63,0
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63,9
71,7
74,1
J
43,4
56,3
55,4
J
33,8
46,6
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106j5|ll^
ANNEE 1
844,3 1
945,3 i
977,3 1
Les valeurs obtenues font ressortir des maxima en novembre et décembre
et des minima en juin et juillet. On constate en outre une augmentation
sensible de la pluviométrie d'Ouest en Est (du littoral vers l'intérieurdu pays ) .
De même les températures moyennes mensuelles observées (tableau 26)
révèlent des minima de décembre à février et des maxima en juillet et
août.
- 58 -
TABLEAU 26
TEMPERATURES MOYENNES (MINIMALES ET MAXIMALES) (en C)
ISTATIONS(Altitude) 1 J |F |M |A |M |J |J [A |S |0 |N | D| ANNEE |
IARCACHON (+37NGF)| 4,3| 4,8| 6,2| 8,4 1 11 ,4 | 14,6 | 16,9 | 16,7 | 14,7 | 11 , 1 | 7,2| 4,7| 11,1 |
1 (1959-1987) |10,3|11,4|13,1|15,2|18,2|21,1|23,5|23,4|22,3|18,8|13,8|10,6| 16,7 |
|LA TESTE (+ 23 NGF)| 2,2| 2,7| 3,8| 6,2| 9,3|l2,4|l4,3|l4,l|l2,0| 8,9| 5,l| 2,9| 7,8 |
1 (1959-1987) |10,2|11,7|13,9|16,2|19,2|22,7|25,3|25,0|23,7|19,4|13,9|10,8| 17,7 |
Les moyennes des températures minimales apparaissent sensiblement
plus élevées à Arcachon qu'à La Teste (de 2,1'C à 2,7"C) mais inversement
les moyennes des maxima sont supérieures à La Teste (de 0,1 °C à 1,8''C),
Au total, l'hiver et l'été sont doux et ne présentent pas de tempéra¬
tures excessives.
Quant au nombre moyen annuel de jours de gelée (température moyenne
inférieure à O'C), observé pendant 29 ans (1959-1987), il est plus élevé à
La Teste (39,9 j/an) qu'à Arcachon (12,2 j/an) et plus étalé dans le temps
(7 mois contre 6) (tableau 27).
- 58 -
TABLEAU 26
TEMPERATURES MOYENNES (MINIMALES ET MAXIMALES) (en C)
ISTATIONS(Altitude) 1 J |F |M |A |M |J |J [A |S |0 |N | D| ANNEE |
IARCACHON (+37NGF)| 4,3| 4,8| 6,2| 8,4 1 11 ,4 | 14,6 | 16,9 | 16,7 | 14,7 | 11 , 1 | 7,2| 4,7| 11,1 |
1 (1959-1987) |10,3|11,4|13,1|15,2|18,2|21,1|23,5|23,4|22,3|18,8|13,8|10,6| 16,7 |
|LA TESTE (+ 23 NGF)| 2,2| 2,7| 3,8| 6,2| 9,3|l2,4|l4,3|l4,l|l2,0| 8,9| 5,l| 2,9| 7,8 |
1 (1959-1987) |10,2|11,7|13,9|16,2|19,2|22,7|25,3|25,0|23,7|19,4|13,9|10,8| 17,7 |
Les moyennes des températures minimales apparaissent sensiblement
plus élevées à Arcachon qu'à La Teste (de 2,1'C à 2,7"C) mais inversement
les moyennes des maxima sont supérieures à La Teste (de 0,1 °C à 1,8''C),
Au total, l'hiver et l'été sont doux et ne présentent pas de tempéra¬
tures excessives.
Quant au nombre moyen annuel de jours de gelée (température moyenne
inférieure à O'C), observé pendant 29 ans (1959-1987), il est plus élevé à
La Teste (39,9 j/an) qu'à Arcachon (12,2 j/an) et plus étalé dans le temps
(7 mois contre 6) (tableau 27).
59 -
TABLEAU 27
NOMBRE MOYEN DE JOURS DE GELEE
1 STATIONS
1 ARCACHON
1 LA TESTE
J
4,5
9,8
F
2,9
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M
0,4
6,0
A
-
1,5
M
-
J .
-
-
J
-
-
A
-
-
S
-
-
0 1 N
- 1 0,7
0,7| 4,8
D
3,7
8,8
ANNEE
12,2
39,9
Par ailleurs on dispose à la station de Cazaux, à 16 km au SSW du
site, de données relatives à l'insolation pour une longue période
(tableau 28).
TABLEAU 28
DUREES MOYENNES DE L'INSOLATION (en h) A CAZAUX (-h 23 NGF)
(1971 - 1987)
! J
1 89
F
108
M
167
A
205
M
213
J
242
J
275
A
256
S
220
0
162
N
117
D
92
ANNEE 1
2147 1
59 -
TABLEAU 27
NOMBRE MOYEN DE JOURS DE GELEE
1 STATIONS
1 ARCACHON
1 LA TESTE
J
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ANNEE
12,2
39,9
Par ailleurs on dispose à la station de Cazaux, à 16 km au SSW du
site, de données relatives à l'insolation pour une longue période
(tableau 28).
TABLEAU 28
DUREES MOYENNES DE L'INSOLATION (en h) A CAZAUX (-h 23 NGF)
(1971 - 1987)
! J
1 89
F
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M
167
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220
0
162
N
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ANNEE 1
2147 1
PHOTO N° 3 (+ 1
VUE PANORAMIQUE SUR LA LANDE ET LA PINEDE
- 60 -
Les résultats révèlent des valeurs importantes (supérieures à 200 h)
pendant six mois consécutifs (d'avril à septembre) contre des valeurs plust'i
faibles (inférieures à 100 h) en décembre et janvier.
Enfin, les observations de vents proviennent des relevés effectués à
Cazaux et Cap-Ferret et sont reportées sous forme de roses des vents
(figures 8 et 9). Traduites en fréquences de directions, intensités et
vitesses, les résultats font ressortir une prédominance des vents de
secteur W à NW en toute saison, mais avec des directions non négligeables
en provenance du NNE.
Le site piscicole du Teich est situé dans une zone où les fréquences
représentatives de vent observées à Cazaux, doivent être corrigées en
pourcentages par celles du Cap-Ferret, malgré l'emprise directe de cette
station sous les vents océaniques.
On remarque néanmoins que les vents calmes (vitesse inférieure à
2 m/s) représentent un pourcentage élevé en été (27 % du total) à Cazaux,
2.4 - Le milieu naturel
2.4.1 - Végétation
Trois grands types de formations végétales sont distingués dans la
zone d'étude (photo n* 3) :
- La pinède
- La lande (sèche ou humide)
- La forêt-galerie.
- 60 -
Les résultats révèlent des valeurs importantes (supérieures à 200 h)
pendant six mois consécutifs (d'avril à septembre) contre des valeurs plust'i
faibles (inférieures à 100 h) en décembre et janvier.
Enfin, les observations de vents proviennent des relevés effectués à
Cazaux et Cap-Ferret et sont reportées sous forme de roses des vents
(figures 8 et 9). Traduites en fréquences de directions, intensités et
vitesses, les résultats font ressortir une prédominance des vents de
secteur W à NW en toute saison, mais avec des directions non négligeables
en provenance du NNE.
Le site piscicole du Teich est situé dans une zone où les fréquences
représentatives de vent observées à Cazaux, doivent être corrigées en
pourcentages par celles du Cap-Ferret, malgré l'emprise directe de cette
station sous les vents océaniques.
On remarque néanmoins que les vents calmes (vitesse inférieure à
2 m/s) représentent un pourcentage élevé en été (27 % du total) à Cazaux,
2.4 - Le milieu naturel
2.4.1 - Végétation
Trois grands types de formations végétales sont distingués dans la
zone d'étude (photo n* 3) :
- La pinède
- La lande (sèche ou humide)
- La forêt-galerie.
K£T£CiîOlOG!E
CM/CLIR/CALCLIL
STATION DE CfiZftUX
36UT. 44.32
3a 34
\°\Û2
04
C3
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10
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CC
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34
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2/4N/S
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2.10
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1.03
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3 £3
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3 73cM/S
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*
*
*
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TOTAL
5.41
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a. £8
1.52
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STATION DE CAP-FERRET
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- 61
2.4.1.1 - La pinède
La forêt de pins maritimes s'étend au Sud, à l'Est et à l'Ouest des
parcelles retenues pour le projet de pisciculture. On y trouve en
sous-bois des Feuillus isolés : chênes pédoncules et tauzins, bouleaux,
saules, trembles,.; ainsi que des espèces arbustives : bruyère à balais,
calunes, ajoncs d'Europe...
2.4.1.2 - La lande
Elle occupe l'ensemble des terrains retenus pour la future piscicul¬
ture et provient de la coupe de la pinède.
Selon la topographie et donc le degré d'humidité, on peut distinguer
deux types de landes :
- La lande sèche à Fougère aigle et ajonc d'Europe, qui occupe les
terrains les plus hauts donc les mieux assainis.
- La lande humide à molinie, dans les zones basses plus ou moins
marécageuses. La molinie est associée à la bruyère tétragone et à
l 'ajonc nain.
Un début de recolonisation forestière peut être observé : les chênes
pédoncules colonisent les terrains sains, alors que les saules et les
trembles s'implantent dans les zones plutôt humides. Quelques pins mari¬
times se développent également.
La répartition de ces deux types de landes est conditionnée par la
microtopographie du site et toutes les formes de transition peuvent y
exister.
- 61
2.4.1.1 - La pinède
La forêt de pins maritimes s'étend au Sud, à l'Est et à l'Ouest des
parcelles retenues pour le projet de pisciculture. On y trouve en
sous-bois des Feuillus isolés : chênes pédoncules et tauzins, bouleaux,
saules, trembles,.; ainsi que des espèces arbustives : bruyère à balais,
calunes, ajoncs d'Europe...
2.4.1.2 - La lande
Elle occupe l'ensemble des terrains retenus pour la future piscicul¬
ture et provient de la coupe de la pinède.
Selon la topographie et donc le degré d'humidité, on peut distinguer
deux types de landes :
- La lande sèche à Fougère aigle et ajonc d'Europe, qui occupe les
terrains les plus hauts donc les mieux assainis.
- La lande humide à molinie, dans les zones basses plus ou moins
marécageuses. La molinie est associée à la bruyère tétragone et à
l 'ajonc nain.
Un début de recolonisation forestière peut être observé : les chênes
pédoncules colonisent les terrains sains, alors que les saules et les
trembles s'implantent dans les zones plutôt humides. Quelques pins mari¬
times se développent également.
La répartition de ces deux types de landes est conditionnée par la
microtopographie du site et toutes les formes de transition peuvent y
exister.
PHOTO N° 4
RIPISYLVE DE L'EYRE
- 62 -
2.4.1.3 - La forêt-galerie (ou ripisylve)>v
Elle constitue une bande de bois de Feuillus le long de l'Eyre au
Nord du site. Les principales espèces d'arbres présentes sont l'aulne
glutineux, les saules, le peuplier tremble, le chêne pédoncule associés
aux carex, à l'osmonde royale, à la menthe, myosotis des marais, gaillet,
iris. . .
11 s'agit d'une formation végétale particulièrement intéressante tant
au niveau paysager que biologique. De plus, elle contribue à stabiliser le
lit de l'Eyre (photo n" 4).
2.4.2 - Faune
L** étude de la faune s'appuie essentiellement sur les documents et
publications existants. Une visite de terrain a permis de vérifier la
pertinence de ces informations. Compte-tenu des enjeux et de la période
d'étude, il n'a pas été réalisé d'inventaire exhaustif de la faune pré¬
sente dans l'aire d'étude,
2.4.2.1 - Les oiseaux
Les peuplements d'oiseaux ont une organisation spatiale dépendant de
la structure de la végétation (type, hauteur, diversité des formations
végétales) et du gradient d'humidité (marais, rivière, zone inondable,,.).
Dans la zone d'étude on peut distinguer les milieux suivants :
- la pinède, où le peuplement avien, constitué potentiellement d'une
trentaine d'espèces de passereaux nicheurs, est assez banal et dominé
par le pinson des arbres, le pouillot véloce, la mésange huppée, le
troglodyte. Il s'agit de l'avifaune habituelle de la forêt landaise.
- 62 -
2.4.1.3 - La forêt-galerie (ou ripisylve)>v
Elle constitue une bande de bois de Feuillus le long de l'Eyre au
Nord du site. Les principales espèces d'arbres présentes sont l'aulne
glutineux, les saules, le peuplier tremble, le chêne pédoncule associés
aux carex, à l'osmonde royale, à la menthe, myosotis des marais, gaillet,
iris. . .
11 s'agit d'une formation végétale particulièrement intéressante tant
au niveau paysager que biologique. De plus, elle contribue à stabiliser le
lit de l'Eyre (photo n" 4).
2.4.2 - Faune
L** étude de la faune s'appuie essentiellement sur les documents et
publications existants. Une visite de terrain a permis de vérifier la
pertinence de ces informations. Compte-tenu des enjeux et de la période
d'étude, il n'a pas été réalisé d'inventaire exhaustif de la faune pré¬
sente dans l'aire d'étude,
2.4.2.1 - Les oiseaux
Les peuplements d'oiseaux ont une organisation spatiale dépendant de
la structure de la végétation (type, hauteur, diversité des formations
végétales) et du gradient d'humidité (marais, rivière, zone inondable,,.).
Dans la zone d'étude on peut distinguer les milieux suivants :
- la pinède, où le peuplement avien, constitué potentiellement d'une
trentaine d'espèces de passereaux nicheurs, est assez banal et dominé
par le pinson des arbres, le pouillot véloce, la mésange huppée, le
troglodyte. Il s'agit de l'avifaune habituelle de la forêt landaise.
- 63 -
- la chênaie-aulnaie (ripisylve du bord de 1 'Eyre) : le peuplement-v
d'oiseaux nicheurs y est plus original ; il est dominé par la fau¬
vette à tête noire, le merle, le rossignol, les mésanges charbonnière
et bleue, le rouge-gorge.
- les landes offrent un habitat favorable à la vie et à la reproduction
de nombreux passereaux , traquet pâtre, pipit des arbres, hypolais,
fauvette grisette et pitchou, bruants, pie-grièche. . . Globalement, il
a été recensé 94 espèces d'oiseaux nicheurs sur la carte au 1/50 000
de Belin et potentiellement toutes les espèces répertoriées peuvent
fréquenter la zone d'étude (tableau 29).
Lors de la visite du site, en octobre 1988, la période était trop
tardiv^ pour rencontrer toutes les espèces nicheuses. Seules, les espèces
communes et banales ont été observées : pinsons, mésanges, merles, cor¬
neilles, pics verts...
Lors des migrations et en hivernage, la vallée de l'Eyre constitue un
milieu favorable pour certaines espèces de passereaux (tarin des aulnes en
particulier) et de canards qui peuvent y trouver nourriture et refuge.
2.4.2.2 - Les maimnlfères
En dehors des mammifères habituels de la forêt landaise (chevreuils,
lapins, musaraignes, mulots, campagnotes. . . ) il faut noter la présence
possible, sur les bords de l'Eyre, de nombreuses espèces remarquables
ichtyophages, panni lesquelles le vison d'Europe, la loutre et le putois
ont été signalés entre le Bassin d'Arcachon et Belin-Beliet.
Le groupe d'étude des mammifères d'Aquitaine a signalé dans la zone
du delta de l'Eyre, la présence de dix-huit espèces formellement identi¬
fiées et de quatre très fortement soupçonnées dont la liste est jointe
(tableau 30). A ces espèces il faudrait ajouter les chiroptères
(chauve-souris) dont la présence, compte tenu du contexte écologique, doit
être importante mais n'est pas actuellement connue.
- 63 -
- la chênaie-aulnaie (ripisylve du bord de 1 'Eyre) : le peuplement-v
d'oiseaux nicheurs y est plus original ; il est dominé par la fau¬
vette à tête noire, le merle, le rossignol, les mésanges charbonnière
et bleue, le rouge-gorge.
- les landes offrent un habitat favorable à la vie et à la reproduction
de nombreux passereaux , traquet pâtre, pipit des arbres, hypolais,
fauvette grisette et pitchou, bruants, pie-grièche. . . Globalement, il
a été recensé 94 espèces d'oiseaux nicheurs sur la carte au 1/50 000
de Belin et potentiellement toutes les espèces répertoriées peuvent
fréquenter la zone d'étude (tableau 29).
Lors de la visite du site, en octobre 1988, la période était trop
tardiv^ pour rencontrer toutes les espèces nicheuses. Seules, les espèces
communes et banales ont été observées : pinsons, mésanges, merles, cor¬
neilles, pics verts...
Lors des migrations et en hivernage, la vallée de l'Eyre constitue un
milieu favorable pour certaines espèces de passereaux (tarin des aulnes en
particulier) et de canards qui peuvent y trouver nourriture et refuge.
2.4.2.2 - Les maimnlfères
En dehors des mammifères habituels de la forêt landaise (chevreuils,
lapins, musaraignes, mulots, campagnotes. . . ) il faut noter la présence
possible, sur les bords de l'Eyre, de nombreuses espèces remarquables
ichtyophages, panni lesquelles le vison d'Europe, la loutre et le putois
ont été signalés entre le Bassin d'Arcachon et Belin-Beliet.
Le groupe d'étude des mammifères d'Aquitaine a signalé dans la zone
du delta de l'Eyre, la présence de dix-huit espèces formellement identi¬
fiées et de quatre très fortement soupçonnées dont la liste est jointe
(tableau 30). A ces espèces il faudrait ajouter les chiroptères
(chauve-souris) dont la présence, compte tenu du contexte écologique, doit
être importante mais n'est pas actuellement connue.
64 -
TABLEAU 29
LISTE DES OISEAUX NICHEliffe - CARTE AU 1/50 000 DE BELIN
(d'après l'Atlas des Oiseaux nicheurs d'Aquitaine)
Grèbe Castagneux
Canard Colvert
Sarcelle d'hiver
Buse variable
Bondrée apivore
Milan noir
Autour des palombes
Epervier d'Europe
Busard St-Martin
Busard cendré
Circaète Jean Le Blanc
Faucon hobereau
Faucon crécerelle
Caille des blés
Faisan
Râle d'eau
Poule d'eau
Petit grave lot
Bécassine des marais
Bécasse des bois
Courlis cendré
Pigeon ramier
Tourterelle des bois
Tourterelle turque
Coucou gris
Chouette chevêche
Rossignol philomèle
Merle noir
Grive musicienne
Chouette hulotte
Chouette effraie
Engoulevent d'Europe
Martinet noir
Martin pêcheur
Huppe fasciée
Pic vert
Pic épeiche
Pic epeichette
Torcol fourmilier
Alouette des Champs
Hirondelle de cheminée
Hirondelle de fenêtre
Pipit rousseline
Pipit des arbres
Bergeronnette printanière
Bergeronnette des ruisseaux
Bergeronnette grise
Pie grièche écorcheur
Pie grièche à tête rousse
Troglodyte
Accenteur mouchet
Traquet pâtre
Rougequeue noir
Rougequeue à front blanc
Rouge gorgo
Bniant zizi
Bruant des roseaux
Pinson des arbres
64 -
TABLEAU 29
LISTE DES OISEAUX NICHEliffe - CARTE AU 1/50 000 DE BELIN
(d'après l'Atlas des Oiseaux nicheurs d'Aquitaine)
Grèbe Castagneux
Canard Colvert
Sarcelle d'hiver
Buse variable
Bondrée apivore
Milan noir
Autour des palombes
Epervier d'Europe
Busard St-Martin
Busard cendré
Circaète Jean Le Blanc
Faucon hobereau
Faucon crécerelle
Caille des blés
Faisan
Râle d'eau
Poule d'eau
Petit grave lot
Bécassine des marais
Bécasse des bois
Courlis cendré
Pigeon ramier
Tourterelle des bois
Tourterelle turque
Coucou gris
Chouette chevêche
Rossignol philomèle
Merle noir
Grive musicienne
Chouette hulotte
Chouette effraie
Engoulevent d'Europe
Martinet noir
Martin pêcheur
Huppe fasciée
Pic vert
Pic épeiche
Pic epeichette
Torcol fourmilier
Alouette des Champs
Hirondelle de cheminée
Hirondelle de fenêtre
Pipit rousseline
Pipit des arbres
Bergeronnette printanière
Bergeronnette des ruisseaux
Bergeronnette grise
Pie grièche écorcheur
Pie grièche à tête rousse
Troglodyte
Accenteur mouchet
Traquet pâtre
Rougequeue noir
Rougequeue à front blanc
Rouge gorgo
Bniant zizi
Bruant des roseaux
Pinson des arbres
- 65 -
Grive draine
Bouscarle de Cetti
Locustelle luscinioïde
Locustelle tachetée
Rousserolle effarvatte
Rousserolle turdoïde
Hypolaïs polyglotte
Fauvette orphée
Fauvette des jardins
Fauvette à tête noire
Fauvette grisette
Fauvette pitchou
Cisticole des joncs
Pouillot véloce
Pouillot de Bonelli
Roitelet triplebandeau
Gobemouche gris
Mésange à longue queue
Mésange huppée
Mésange bleue
Mésange charbonnière
Sitelle touchepot
Grimpe reau des jardins
Bruant proyer
Verdie r
Chardonneret
Linotte mélodieuse
Serin cini
Bouvreuil pivoine
Moineau domestique
Moineau friquet
Etourneau sansonnet
Loriot d'Europe
Geai des chênes
Pie bavarde
Corneille noire
- 65 -
Grive draine
Bouscarle de Cetti
Locustelle luscinioïde
Locustelle tachetée
Rousserolle effarvatte
Rousserolle turdoïde
Hypolaïs polyglotte
Fauvette orphée
Fauvette des jardins
Fauvette à tête noire
Fauvette grisette
Fauvette pitchou
Cisticole des joncs
Pouillot véloce
Pouillot de Bonelli
Roitelet triplebandeau
Gobemouche gris
Mésange à longue queue
Mésange huppée
Mésange bleue
Mésange charbonnière
Sitelle touchepot
Grimpe reau des jardins
Bruant proyer
Verdie r
Chardonneret
Linotte mélodieuse
Serin cini
Bouvreuil pivoine
Moineau domestique
Moineau friquet
Etourneau sansonnet
Loriot d'Europe
Geai des chênes
Pie bavarde
Corneille noire
- 66 -
'I
TABLEAU 30
LISTE DES ESPECES DE MAMMIFERES
- Loutre
- Vison d'Europe
- Vison d'Amérique
- Genette
- Fouine
- Blaireau
- Renard
- Belette
- Putois
- Chevreuil
- Sanglier
- (Lapin ?)
. - (Lièvre ?)
- Ragondin
- (Rat musqué ?)
- Camapgnol amphibie
- Campagnol roussâtre
- Mulot sylvestre
- Ecureuil
- Rat des moissons
- (Rat surmulot)
- Hérisson
- 66 -
'I
TABLEAU 30
LISTE DES ESPECES DE MAMMIFERES
- Loutre
- Vison d'Europe
- Vison d'Amérique
- Genette
- Fouine
- Blaireau
- Renard
- Belette
- Putois
- Chevreuil
- Sanglier
- (Lapin ?)
. - (Lièvre ?)
- Ragondin
- (Rat musqué ?)
- Camapgnol amphibie
- Campagnol roussâtre
- Mulot sylvestre
- Ecureuil
- Rat des moissons
- (Rat surmulot)
- Hérisson
- 67 -
2.4.3 - Ecologie et milieux naturels remarquables
irDans le cadre de l'inventaire des zones naturelles d'intérêt écolo¬
gique, faunistique et floristique, on a noté l'existence dans le secteur
de deux milieux naturels remarquables :
- Les vallées de la Grande et Petite Leyre (ZNIEFF de type 2)
- La zone inondable de la basse vallée de 1 'Eyre (ZNIEFF de type 1 ,
sous ensemble situé à l'intérieur de la ZNIEFF de type 2).
L'intérêt écologique de ces deux milieux ainsi mis en évidence, est
le suivant :
- dans les vallées de la Grande et de la Petite Leyre, il existe un
vaste ensemble original de forêts-galeries humides composées d'es¬
sences diverses, encaissées au milieu du plateau landais monotone et
une faune aquatique très intéressante (annexe 9).
- dans la basse vallée de 1 'Eyre, on est en présence d'une zone humide
à intérêts multiples et variés (fortes potentialités pour l'avifaune,
haute probabilité d'espèces végétales intéressantes, biotope impor¬
tant pour la loutre et le vison, richesse piscicole etc..)
(annexe 10 ).
Ces deux ZNIEFF se prolongent à l'aval par celles de type 1, relati¬
ves au Parc ornitho logique du Teich et au delta de l'Eyre. Il s'agit dans
le premier cas d'une zone écologique parahalienne de 120 ha et dans
l'autre d'une forêt d'aulnes avec sous-bois, roselières et prairies
humides, végétation de pré-salés. Elles se situent à 5 km environ au
Nord-Ouest du site piscicole étudié.
- 67 -
2.4.3 - Ecologie et milieux naturels remarquables
irDans le cadre de l'inventaire des zones naturelles d'intérêt écolo¬
gique, faunistique et floristique, on a noté l'existence dans le secteur
de deux milieux naturels remarquables :
- Les vallées de la Grande et Petite Leyre (ZNIEFF de type 2)
- La zone inondable de la basse vallée de 1 'Eyre (ZNIEFF de type 1 ,
sous ensemble situé à l'intérieur de la ZNIEFF de type 2).
L'intérêt écologique de ces deux milieux ainsi mis en évidence, est
le suivant :
- dans les vallées de la Grande et de la Petite Leyre, il existe un
vaste ensemble original de forêts-galeries humides composées d'es¬
sences diverses, encaissées au milieu du plateau landais monotone et
une faune aquatique très intéressante (annexe 9).
- dans la basse vallée de 1 'Eyre, on est en présence d'une zone humide
à intérêts multiples et variés (fortes potentialités pour l'avifaune,
haute probabilité d'espèces végétales intéressantes, biotope impor¬
tant pour la loutre et le vison, richesse piscicole etc..)
(annexe 10 ).
Ces deux ZNIEFF se prolongent à l'aval par celles de type 1, relati¬
ves au Parc ornitho logique du Teich et au delta de l'Eyre. Il s'agit dans
le premier cas d'une zone écologique parahalienne de 120 ha et dans
l'autre d'une forêt d'aulnes avec sous-bois, roselières et prairies
humides, végétation de pré-salés. Elles se situent à 5 km environ au
Nord-Ouest du site piscicole étudié.
- 68 -
2.5 - Le milieu humain
2.5.1 - Démographie - Population
Les données statistiques de l'Observatoire Economique d'Aquitaine
montrent que la population des deux communes de Mios et du Teich connais¬
sent une croissance rapide. Depuis 1975, celle-ci a évolué ainsi :
1
1 Commune
j MIOS
1 ^
1 LE TEICH
1
1975
2 445
2 167
1982
2 990
2 947
ce qui correspond aux taux d'accroissement suivants :
MIOS + 545 habitants/ + 22,3 %
LE TEICH + 780 habitants/ +36 %
soit des accroissements annuels de :
+ 3,18 % pour MIOS ^
+ 5,14 % pour LE TEICH
La population se répartit dans chaque cas entre un bourg principal et
différents hameaux dispersés sur le territoire communal. Ce phénomène est
particulièrement net au Teich avec l'existence du hameau de Balanos, situé
de façon excentrique au Sud de la voie rapide à 3 - 4 km du centre.
- 68 -
2.5 - Le milieu humain
2.5.1 - Démographie - Population
Les données statistiques de l'Observatoire Economique d'Aquitaine
montrent que la population des deux communes de Mios et du Teich connais¬
sent une croissance rapide. Depuis 1975, celle-ci a évolué ainsi :
1
1 Commune
j MIOS
1 ^
1 LE TEICH
1
1975
2 445
2 167
1982
2 990
2 947
ce qui correspond aux taux d'accroissement suivants :
MIOS + 545 habitants/ + 22,3 %
LE TEICH + 780 habitants/ +36 %
soit des accroissements annuels de :
+ 3,18 % pour MIOS ^
+ 5,14 % pour LE TEICH
La population se répartit dans chaque cas entre un bourg principal et
différents hameaux dispersés sur le territoire communal. Ce phénomène est
particulièrement net au Teich avec l'existence du hameau de Balanos, situé
de façon excentrique au Sud de la voie rapide à 3 - 4 km du centre.
- 69 -
Cependant on note une densité de population assez faible'I
- 21,8 hab/km2 à MIOS
- 33,8 hab/km2 au TEICH
malgré la disparité qui apparaît entre les deux communes.
L'évolution de la population active s'établit ainsi entre 1975 et
1982.
COMMUNE
MIOS
LE TEICH
1975
879
779
1982
1 219
1 211
ACCROISSEMENT
340
432
%
+ 38,7
+ 55,5
soit + 5,5 % de taux annuel à MIOS
et + 7,9 % de taux annuel au TEICH,
Quant à la population active ayant un emploi, elle se répartit
ainsi :
COMMUNE
MIOS
LE TEICH
1975
849
763
1982
1 093
1 083
ACCROISSEMENT
244
320
%
+ 28,7
+ 41,9
soit + 4,1 % de taux annuel à MIOS
et + 6,0 % de taux annuel au TEICH
- 69 -
Cependant on note une densité de population assez faible'I
- 21,8 hab/km2 à MIOS
- 33,8 hab/km2 au TEICH
malgré la disparité qui apparaît entre les deux communes.
L'évolution de la population active s'établit ainsi entre 1975 et
1982.
COMMUNE
MIOS
LE TEICH
1975
879
779
1982
1 219
1 211
ACCROISSEMENT
340
432
%
+ 38,7
+ 55,5
soit + 5,5 % de taux annuel à MIOS
et + 7,9 % de taux annuel au TEICH,
Quant à la population active ayant un emploi, elle se répartit
ainsi :
COMMUNE
MIOS
LE TEICH
1975
849
763
1982
1 093
1 083
ACCROISSEMENT
244
320
%
+ 28,7
+ 41,9
soit + 4,1 % de taux annuel à MIOS
et + 6,0 % de taux annuel au TEICH
- 70 -
La répartition de la population active par catégories socio¬
professionnelles s'opère ainsi :
>v
- actifs agricoles
6,7 % à MIOS
5,2 % au TEICH
- actifs non agricoles
93,3 % à MIOS (dont 81 % de salariés)
94,8 % au TEICH (dont 78,2 % de salariés)
2.5.2 - Documents d'aménagement et d'urbanisme
Il existe différents documents disponibles concernant les communes du
Teich et de Mios.
Dans un premier cas, il s'agit :
1°/ D'un schéma d'aménagement dont les principes généraux, élaborés par la
Mission Interministérielle pour l'Aménagement de la Côte Aquitaine
(MIACA) ont été approuvés en décembre 1970. La mise en réserve
naturelle du delta de l'Eyre est une des mesures qui concerne direc¬
tement la commune du Teich, mais pour la partie située au Nord de la
voie rapide.
2°/ Du schéma directeur d'aménagement et d'urbanisme (SDAU) du Bassin
d'Arcachon, approuvé par arrêté préfectoral du 30 décembre 1975, qui
préconise au Teich un développement des capacités d'accueil pour le
tourisme et les loisirs et l'implantation de petites ou moyennes
industries .
- 70 -
La répartition de la population active par catégories socio¬
professionnelles s'opère ainsi :
>v
- actifs agricoles
6,7 % à MIOS
5,2 % au TEICH
- actifs non agricoles
93,3 % à MIOS (dont 81 % de salariés)
94,8 % au TEICH (dont 78,2 % de salariés)
2.5.2 - Documents d'aménagement et d'urbanisme
Il existe différents documents disponibles concernant les communes du
Teich et de Mios.
Dans un premier cas, il s'agit :
1°/ D'un schéma d'aménagement dont les principes généraux, élaborés par la
Mission Interministérielle pour l'Aménagement de la Côte Aquitaine
(MIACA) ont été approuvés en décembre 1970. La mise en réserve
naturelle du delta de l'Eyre est une des mesures qui concerne direc¬
tement la commune du Teich, mais pour la partie située au Nord de la
voie rapide.
2°/ Du schéma directeur d'aménagement et d'urbanisme (SDAU) du Bassin
d'Arcachon, approuvé par arrêté préfectoral du 30 décembre 1975, qui
préconise au Teich un développement des capacités d'accueil pour le
tourisme et les loisirs et l'implantation de petites ou moyennes
industries .
- 71 -
3*/ Un plan d'occupation des sols en cours d'étude et d'élaboration-y
depuis la constitution de son groupe de travail le 24 février 1972.
Les grandes lignes de ce document figurent actuellement dans un DAMU
avec les principales contraintes d'urbanisme (1).
4°/ Un contrat de ville moyenne (District d'Arcachon, comprenant en outre
les communes de Gujan-Mestras, Le Teich et La Teste) qui prévoit au
Teich l'aménagement de la vallée de l'Eyre pour le tourisme et la
promenade.
Dans le cas de Mios, il existe un plan d'occupation des sols, qui a
été approuvé le 11 juillet 1986, puis modifié le 17 septembre 1987 et est
de ce fait opposable aux tiers.
Enfin les deux communes se situent à l'intérieur du Parc Naturel
Régional des Landes de Gascogne, créé par les décrets du 16 octobre 1970
et du 21 décembre 1972, et géré par un syndicat mixte ; celui-ci est
composé de plusieurs collectivités (Région Aquitaine, départements de la
Gironde et des Landes, villes de Bordeaux et de Mont-de-Marsan, SIVOM des
vallées de la Leyre et du val de l'Eyre) et dispose d'un Conseil Scienti¬
fique et culturel, dont le rôle est consultatif. Cependant un parc naturel
régional, contrairement à un parc national n'a pas de pouvoir réglemen¬
taire ; sa charte établie sur la solidarité intercommunale ne constitue
qu'un engagement moral avec une mission__éducative à l'environnement.
L'examen de ces documents montre l'existence d'un site inscrit
généralisé du val de l'Eyre (cours aval) et des vallées de la Leyre (cours
amont), classé ND (zone naturelle à protéger). En outre, une forêt galerie
jalonne le cours de la rivière (2 à 500 m de large) : il s'agit d'une
bande de bois de feuillus, qui constitue un espace boisé à conserver, en
raison de la spécificité de ses caractères écologiques (zones humides et
inondables, espèces animales et végétales),
(1) DARNU : Directive d'Application du règlement aatioaal d'urbaniamwa
- 71 -
3*/ Un plan d'occupation des sols en cours d'étude et d'élaboration-y
depuis la constitution de son groupe de travail le 24 février 1972.
Les grandes lignes de ce document figurent actuellement dans un DAMU
avec les principales contraintes d'urbanisme (1).
4°/ Un contrat de ville moyenne (District d'Arcachon, comprenant en outre
les communes de Gujan-Mestras, Le Teich et La Teste) qui prévoit au
Teich l'aménagement de la vallée de l'Eyre pour le tourisme et la
promenade.
Dans le cas de Mios, il existe un plan d'occupation des sols, qui a
été approuvé le 11 juillet 1986, puis modifié le 17 septembre 1987 et est
de ce fait opposable aux tiers.
Enfin les deux communes se situent à l'intérieur du Parc Naturel
Régional des Landes de Gascogne, créé par les décrets du 16 octobre 1970
et du 21 décembre 1972, et géré par un syndicat mixte ; celui-ci est
composé de plusieurs collectivités (Région Aquitaine, départements de la
Gironde et des Landes, villes de Bordeaux et de Mont-de-Marsan, SIVOM des
vallées de la Leyre et du val de l'Eyre) et dispose d'un Conseil Scienti¬
fique et culturel, dont le rôle est consultatif. Cependant un parc naturel
régional, contrairement à un parc national n'a pas de pouvoir réglemen¬
taire ; sa charte établie sur la solidarité intercommunale ne constitue
qu'un engagement moral avec une mission__éducative à l'environnement.
L'examen de ces documents montre l'existence d'un site inscrit
généralisé du val de l'Eyre (cours aval) et des vallées de la Leyre (cours
amont), classé ND (zone naturelle à protéger). En outre, une forêt galerie
jalonne le cours de la rivière (2 à 500 m de large) : il s'agit d'une
bande de bois de feuillus, qui constitue un espace boisé à conserver, en
raison de la spécificité de ses caractères écologiques (zones humides et
inondables, espèces animales et végétales),
(1) DARNU : Directive d'Application du règlement aatioaal d'urbaniamwa
- 72
L'inventaire permanent du littoral (carte 086 La Teste à 1/25 000) ne
montre aucune évolution dans la commune du Teich pour la zone du projet
entre 1977 et 1982, Le déboisement des parcelles concernées est intervenu,
mais une autorisation de défrichement sera néanmoins sollicitée par le
pétitionnaire pour la superficie de terrain utilisée par la pisciculture
(2 ha),
2.5.3 - Contraintes et servitudes diverses
Elles ont été recensées sur le site, dans sa proximité immédiate et
sur les communes de Mios et du Teich (figure 5).
2.5.3.1 - Servitudes d'utilité publique
Elles concernent :
1 ' / La conservation du patrimoine
Il existe un site généralisé du val de l'Eyre et des vallées de la
Leyre ((annexe 11), institué par décret du 22 juin 1973 ; il cons¬
titue une contrainte vis-à-vis du projet de pisciculture et rend
nécessaire son approbation préalable par la commission des sites de
Gironde.
Deux autres sites sont classés à Mios :
- celui des chênes jumeaux de la route de Beliet
- et celui de l'ensemble constitué par le plan d'eau de l'Eyre et des
terrains de berges, au lieu-dit "Le Lavoir", entre 2 et 3 km à l 'Est
du site.
2° / La protection du patrimoine culturel
Au Teich un monument historique, institué par décret du
5 novembre 1970 (façades et toitures du château de Ruât) est situé à plus
de 4 km au Nord-Ouest : aucune contrainte vis-à-vis du projet (distance
requise supérieure à 500 m).
- 72
L'inventaire permanent du littoral (carte 086 La Teste à 1/25 000) ne
montre aucune évolution dans la commune du Teich pour la zone du projet
entre 1977 et 1982, Le déboisement des parcelles concernées est intervenu,
mais une autorisation de défrichement sera néanmoins sollicitée par le
pétitionnaire pour la superficie de terrain utilisée par la pisciculture
(2 ha),
2.5.3 - Contraintes et servitudes diverses
Elles ont été recensées sur le site, dans sa proximité immédiate et
sur les communes de Mios et du Teich (figure 5).
2.5.3.1 - Servitudes d'utilité publique
Elles concernent :
1 ' / La conservation du patrimoine
Il existe un site généralisé du val de l'Eyre et des vallées de la
Leyre ((annexe 11), institué par décret du 22 juin 1973 ; il cons¬
titue une contrainte vis-à-vis du projet de pisciculture et rend
nécessaire son approbation préalable par la commission des sites de
Gironde.
Deux autres sites sont classés à Mios :
- celui des chênes jumeaux de la route de Beliet
- et celui de l'ensemble constitué par le plan d'eau de l'Eyre et des
terrains de berges, au lieu-dit "Le Lavoir", entre 2 et 3 km à l 'Est
du site.
2° / La protection du patrimoine culturel
Au Teich un monument historique, institué par décret du
5 novembre 1970 (façades et toitures du château de Ruât) est situé à plus
de 4 km au Nord-Ouest : aucune contrainte vis-à-vis du projet (distance
requise supérieure à 500 m).
- 73 -
3' / Un intérêt économique
Il s'agit de servitudes liées à la présence de lignes électriques, de
conduites enterrées et de liaisons de télécommunications.
Trois lignes HT (63 KV) traversent le territoire communal du Teich,
en provenance de Facture au Nord, qui rejoignent Labouheyre, puis
Arjuzanx, au Sud, suivant sensiblement la ligne SNCF Bordeaux - Bayonne.
Seule la ligne aérienne Masquet - Secary, située au Sud de la voie
rapide, est à environ 150 m du site. Son arrêté préfectoral de mise en
service date du 2 mai 1986,
Les mesures à prendre pour l'exécution de travaux et d'opérations au
voisinage des lignes électriques sont définies par les directives de la
circulnire n''70/21 du 21 décembre 1976 en annexe 12.
Dans le cas présent, elle impose une distance supérieure ou égale à
5 m environ des engins de terrassements et l'aplomb du conducteur le plus
proche. Cette prescription ne serait susceptible de jouer que pour l'amé¬
nagement du canal de restitution des eaux piscicoles à l'Eyre.
Deux canalisations de gaz raffiné de la Société Nationale de Gaz du
Sud-Ouest (SNGSO) traversent le territoire du Teich sensiblement selon une
direction E-W. Leurs emprises se situent au Nord de la voie rapide et ne
créent aucune contrainte vis-à-vis du site.
Il n'existe aucun réseau d'alimentation en eau ou d'assainissement.
Le réseau d'AEP sera étendu jusqu'au projet.
Parmi les trois liaisons hertziennes existantes, seule celle qui
relie Cazaux à Croix d'Hins (classée PT2 avec des servitudes relatives aux
obstacles) se trouve en bordure méridionale immédiate du site piscicole.
Le décret du 3 décembre 1974 prescrit des interdictions relatives aux
projets d'une hauteur supérieure à 25 m, mais ne limite aucun aménagement
réalisé au niveau du sol.
- 73 -
3' / Un intérêt économique
Il s'agit de servitudes liées à la présence de lignes électriques, de
conduites enterrées et de liaisons de télécommunications.
Trois lignes HT (63 KV) traversent le territoire communal du Teich,
en provenance de Facture au Nord, qui rejoignent Labouheyre, puis
Arjuzanx, au Sud, suivant sensiblement la ligne SNCF Bordeaux - Bayonne.
Seule la ligne aérienne Masquet - Secary, située au Sud de la voie
rapide, est à environ 150 m du site. Son arrêté préfectoral de mise en
service date du 2 mai 1986,
Les mesures à prendre pour l'exécution de travaux et d'opérations au
voisinage des lignes électriques sont définies par les directives de la
circulnire n''70/21 du 21 décembre 1976 en annexe 12.
Dans le cas présent, elle impose une distance supérieure ou égale à
5 m environ des engins de terrassements et l'aplomb du conducteur le plus
proche. Cette prescription ne serait susceptible de jouer que pour l'amé¬
nagement du canal de restitution des eaux piscicoles à l'Eyre.
Deux canalisations de gaz raffiné de la Société Nationale de Gaz du
Sud-Ouest (SNGSO) traversent le territoire du Teich sensiblement selon une
direction E-W. Leurs emprises se situent au Nord de la voie rapide et ne
créent aucune contrainte vis-à-vis du site.
Il n'existe aucun réseau d'alimentation en eau ou d'assainissement.
Le réseau d'AEP sera étendu jusqu'au projet.
Parmi les trois liaisons hertziennes existantes, seule celle qui
relie Cazaux à Croix d'Hins (classée PT2 avec des servitudes relatives aux
obstacles) se trouve en bordure méridionale immédiate du site piscicole.
Le décret du 3 décembre 1974 prescrit des interdictions relatives aux
projets d'une hauteur supérieure à 25 m, mais ne limite aucun aménagement
réalisé au niveau du sol.
- 74 -
2.5.3.2 - Servitudes liées aux sites archéologiques
Plusieurs zones sensibles sur' la commune du Teich sont recensées par
la Direction Régionale des Activités historiques et préhistoriques. Une
liste a été établie, qui fait état de sept secteurs reconnus pour leurs
potentialités (tableau 31) (figure 10).
Parmi ceux-ci, on retiendra particulièrement la présence possible
d'une nécropole datant du premier âge du fer, proche du site (au lieu-dit
les Couyouns). Elle ne sera pas concernée par les travaux.
TABLEAU 31
LISTE DES ZONES SENSIBLES
1/ BALANOS (La Peloue de Pierre, Les couyouns) :
Nécropole du Premier Age du Fer
2/ Quartier de BOULANGE :
Vestiges gallo-romains
3/ Quartier de MAROT :
Vestiges gallo-romains (?)
4/ Quartier de MOURAS :
Vestiges gallo-romains
5/ Fontaine Saint- Jean, Gare de LAMOTHE, Hameau de LAMOTHE :
Vestiges gallo-romains.
6/ POULICHE
Vestiges gallo-romains.
- 74 -
2.5.3.2 - Servitudes liées aux sites archéologiques
Plusieurs zones sensibles sur' la commune du Teich sont recensées par
la Direction Régionale des Activités historiques et préhistoriques. Une
liste a été établie, qui fait état de sept secteurs reconnus pour leurs
potentialités (tableau 31) (figure 10).
Parmi ceux-ci, on retiendra particulièrement la présence possible
d'une nécropole datant du premier âge du fer, proche du site (au lieu-dit
les Couyouns). Elle ne sera pas concernée par les travaux.
TABLEAU 31
LISTE DES ZONES SENSIBLES
1/ BALANOS (La Peloue de Pierre, Les couyouns) :
Nécropole du Premier Age du Fer
2/ Quartier de BOULANGE :
Vestiges gallo-romains
3/ Quartier de MAROT :
Vestiges gallo-romains (?)
4/ Quartier de MOURAS :
Vestiges gallo-romains
5/ Fontaine Saint- Jean, Gare de LAMOTHE, Hameau de LAMOTHE :
Vestiges gallo-romains.
6/ POULICHE
Vestiges gallo-romains.
- 75 -
2.5.4 - Le bruit
Des mesures de niveau sonore équivalent (Leq) ont été réalisées sur
le site de la future pisciculture le 13/10/1988 de 14 à 15 h.
Le matériel utilisé pour ces mesures était un sonomètre intégrateur
de marque Bruël et Kjaër type 2226.
Les principales sources de bruit perceptibles sur le site sont
constituées par :
- La circulation automobile sur la voie rapide.
- Le passage des trains sur la 'voie ferrée (Bordeaux - Bayonne et
Bordeaux-Arcachon) .
- Le survol par des avions (civils et militaires).
Des rafales de vent du Sud, assez violentes, constitueraient, lors
des mesures, une source de bruit non négligeable.
Les niveaux sonores équivalents (Leq) sur une minute ont varié,
pendant la période de mesures, entre 39 dBA et 54 dBA. Lors du passage
d'avions militaires à basse altitude des pics supérieurs à 60 dBA ont pu
être mesurés.
L'ambiance sonore générale du site correspond à celle d'une zone
rurale ; la circulation automobile, relativement éloignée de la zone
d'étude, se manifeste de façon atténuée et contribue au bruit de fond au
même titre que les sources sonores naturelles (chants d'oiseaux et
d'insectes, bruissement du vent dans les branches etc...).
- 75 -
2.5.4 - Le bruit
Des mesures de niveau sonore équivalent (Leq) ont été réalisées sur
le site de la future pisciculture le 13/10/1988 de 14 à 15 h.
Le matériel utilisé pour ces mesures était un sonomètre intégrateur
de marque Bruël et Kjaër type 2226.
Les principales sources de bruit perceptibles sur le site sont
constituées par :
- La circulation automobile sur la voie rapide.
- Le passage des trains sur la 'voie ferrée (Bordeaux - Bayonne et
Bordeaux-Arcachon) .
- Le survol par des avions (civils et militaires).
Des rafales de vent du Sud, assez violentes, constitueraient, lors
des mesures, une source de bruit non négligeable.
Les niveaux sonores équivalents (Leq) sur une minute ont varié,
pendant la période de mesures, entre 39 dBA et 54 dBA. Lors du passage
d'avions militaires à basse altitude des pics supérieurs à 60 dBA ont pu
être mesurés.
L'ambiance sonore générale du site correspond à celle d'une zone
rurale ; la circulation automobile, relativement éloignée de la zone
d'étude, se manifeste de façon atténuée et contribue au bruit de fond au
même titre que les sources sonores naturelles (chants d'oiseaux et
d'insectes, bruissement du vent dans les branches etc...).
PHOTO N° 5
ala :
VUE SUR L'USINE DE FACTURE
PHOTO N° 6
LIGNE A HAUTE TENSION
- 76 -
2.5.5 - Qualité de l'air
Le seul rejet atmosphérique identifiable dans la zone est celui de
l'usine de "La Cellulose du Pin" de Facture, située entre 1 et 2 km au
Nord du site. Il est constitué de nombreux éléments, dont certains sont
odorants (mercaptants) .
La circulation automobile sur la voie rapide est à l'origine d'une
pollution atmosphérique diffuse, constituée par des oxydes d'azote (No ),X
gaz carbonique et hydrocarbures imbrûlés.
2.6 - Le paysage
La zone d'étude se caractérise par une ambiance "naturelle" prépondé¬
rante car elle se situe en zone forestière.
Cependant des équipements et des aménagements marquent son paysage :
- 1 'usine d de la Cellulose du pin (photo n' 5)
- la "voie express
- la ligne ¡ajoute tension (photo n' j6)
Ils se trouvent ^tous trois en limite nord du site d'étude et ils
influent de manière jgmpprtante sur la perception visuelle de ce secteur.
En dehors de ces trois équipements, on peut distinguer schématique¬
ment trois unités paysagères :
- La forêt galerie de l 'Eyre
- La lande
- La pinède.
- 76 -
2.5.5 - Qualité de l'air
Le seul rejet atmosphérique identifiable dans la zone est celui de
l'usine de "La Cellulose du Pin" de Facture, située entre 1 et 2 km au
Nord du site. Il est constitué de nombreux éléments, dont certains sont
odorants (mercaptants) .
La circulation automobile sur la voie rapide est à l'origine d'une
pollution atmosphérique diffuse, constituée par des oxydes d'azote (No ),X
gaz carbonique et hydrocarbures imbrûlés.
2.6 - Le paysage
La zone d'étude se caractérise par une ambiance "naturelle" prépondé¬
rante car elle se situe en zone forestière.
Cependant des équipements et des aménagements marquent son paysage :
- 1 'usine d de la Cellulose du pin (photo n' 5)
- la "voie express
- la ligne ¡ajoute tension (photo n' j6)
Ils se trouvent ^tous trois en limite nord du site d'étude et ils
influent de manière jgmpprtante sur la perception visuelle de ce secteur.
En dehors de ces trois équipements, on peut distinguer schématique¬
ment trois unités paysagères :
- La forêt galerie de l 'Eyre
- La lande
- La pinède.
PHOTO N° 7
PAYSAGES DE LA LANDE
- 77
2.6.1 - La forêt-galerie de 1 ' Eyre (photo n* 4)
Le lit du cours d'eau, enserré dans un boisement assez dense, cons¬
titue sur le plan de l'ambiance, de la qualité visuelle et paysagère une
entité remarquable. Il s'agit du paysage fermé où quelques échappées
visuelles sont ouvertes par la rivière elle-même.
2.6.2 - La lande (photos n" 7 et 8)
Elle constitue par elle-même, de par la diversité des formations
végétales qui la composent, une entité paysagère agréable. Les forêts qui
la bordent, pinède et ripisylve, sont également mises en valeur.
L'usine de Facture et la ligne haute tension contribuent à la dégra¬
dation visuelle de ce site, à caractère naturel.
2.6.3 - La pinède
La forêt de pins maritimes qui enserre le site est relativement âgée.
Elle est assez claire et lumineuse mais ses lisières, transition entre la
lande et la forêt, se sont développées et acccentuent le passage entre les
milieux "ouvert" (la lande) et "fermé" (la forêt).
Globalement il s'agit donc d'une zone au paysage de qualité, peu
perceptible de l'extérieur, et marquée par la présence d'infrastructures
importantes.
- 77
2.6.1 - La forêt-galerie de 1 ' Eyre (photo n* 4)
Le lit du cours d'eau, enserré dans un boisement assez dense, cons¬
titue sur le plan de l'ambiance, de la qualité visuelle et paysagère une
entité remarquable. Il s'agit du paysage fermé où quelques échappées
visuelles sont ouvertes par la rivière elle-même.
2.6.2 - La lande (photos n" 7 et 8)
Elle constitue par elle-même, de par la diversité des formations
végétales qui la composent, une entité paysagère agréable. Les forêts qui
la bordent, pinède et ripisylve, sont également mises en valeur.
L'usine de Facture et la ligne haute tension contribuent à la dégra¬
dation visuelle de ce site, à caractère naturel.
2.6.3 - La pinède
La forêt de pins maritimes qui enserre le site est relativement âgée.
Elle est assez claire et lumineuse mais ses lisières, transition entre la
lande et la forêt, se sont développées et acccentuent le passage entre les
milieux "ouvert" (la lande) et "fermé" (la forêt).
Globalement il s'agit donc d'une zone au paysage de qualité, peu
perceptible de l'extérieur, et marquée par la présence d'infrastructures
importantes.
PHOTO N° 8
PAYSAGES DE LA LANDE
78 -
III - RAISONS JUSTIFICATIVES DU PROJET
Depuis plusieurs années, les régions françaises à façade maritime
océanique ont considérablement développé leurs potentialités économiques
aquacoles et piscicoles, en réalisant de nombreuses installations en
bordure des côtes et le long des rivières.
La région Aquitaine, qui bénéficie de conditions climatiques favora¬
bles, s'est très vite intéressée à la pisciculture intensive en milieu
ouvert. Les rivières du domaine forestier landais représentent une res¬
source en eau potentielle abondante, facilement mobilisable Tpur alimenter
des élevages de poissons, tandis que le bassin d'Arcachon constitue un
secteur géographique de savoir-faire aquacole.
3.1 - Raisons techniques
3.1.1 - Abondance des ressources en eau
La présence de l'Eyre, qui draine un vaste bassin versant, est un
facteur particulièrement favorable. Le débit moyen annuel de la rivière
est élevé (21 m3/s) et s'établit encore en étiage à une valeur importante,
voisine de 7 m3/s. Elle n'est actuellement le siège d'aucun prélèvement,
ce qui autorise une dérivation moyenne de 600 l/s,
La qualité hydrobiologique de l'eau (2) et sa température moyenne
relativement élevée (13°C) constituent des atouts supplémentaires pour
valoriser cette ressource à des fins piscicoles.
78 -
III - RAISONS JUSTIFICATIVES DU PROJET
Depuis plusieurs années, les régions françaises à façade maritime
océanique ont considérablement développé leurs potentialités économiques
aquacoles et piscicoles, en réalisant de nombreuses installations en
bordure des côtes et le long des rivières.
La région Aquitaine, qui bénéficie de conditions climatiques favora¬
bles, s'est très vite intéressée à la pisciculture intensive en milieu
ouvert. Les rivières du domaine forestier landais représentent une res¬
source en eau potentielle abondante, facilement mobilisable Tpur alimenter
des élevages de poissons, tandis que le bassin d'Arcachon constitue un
secteur géographique de savoir-faire aquacole.
3.1 - Raisons techniques
3.1.1 - Abondance des ressources en eau
La présence de l'Eyre, qui draine un vaste bassin versant, est un
facteur particulièrement favorable. Le débit moyen annuel de la rivière
est élevé (21 m3/s) et s'établit encore en étiage à une valeur importante,
voisine de 7 m3/s. Elle n'est actuellement le siège d'aucun prélèvement,
ce qui autorise une dérivation moyenne de 600 l/s,
La qualité hydrobiologique de l'eau (2) et sa température moyenne
relativement élevée (13°C) constituent des atouts supplémentaires pour
valoriser cette ressource à des fins piscicoles.
79 -
3.1.2 - Energie calorifique disponible
La présence sur le site d'un forage géothermique artésien et non
utilisé, a justifié la réalisation du projet. Actuellement, 1 'eau peut
s'écouler de l'ouvrage à même le sol, rejoignant l'Eyre de façon incon¬
trôlée et sans utilisation, ou être arrêté par manipulation d'une vanne.
Le débit actuel (130 m3/h à environ 75°C) est susceptible d'être
porté à 200 m3/h après de nouvelles instrumentations dans l'ouvrage.
En raison de sa qualité chimique impropre à la pisciculture, l'eau
géothermale ne sera utilisée que pour son apport énergétique et le
réchauffement des prélèvements en rivière par circulation dans un
échangeur de températures.
Elle sera rejetée en sortie d' échangeur dans le fossé du Brau à une
température voisine de 20° C et rejoindra l'Eyre par un fossé à ciel
ouvert d'environ 640 m,
3.1.3 - Mobilisation facile de l'eau de surface
La faible pente de la rivière évitera la réalisation d'un seuil de
dérivation ; elle limitera les équipements à une station de pompage au fil
de l'eau et à deux canaux d'alimentation gravitaire des bassins et de
retour d'environ 640 m. .
3.2 - Raisons économiques
Par suite de la disparition progressive de l'esturgeon de Gironde
(Acipenser sturio), notamment dans l'estuaire qui demeure un de ses
derniers sites de migration, une mesure de protection de l'espèce a été
prise au niveau ministériel, pour en interdire la destruction (arrêté
interministériel du 25 janvier 1982).
79 -
3.1.2 - Energie calorifique disponible
La présence sur le site d'un forage géothermique artésien et non
utilisé, a justifié la réalisation du projet. Actuellement, 1 'eau peut
s'écouler de l'ouvrage à même le sol, rejoignant l'Eyre de façon incon¬
trôlée et sans utilisation, ou être arrêté par manipulation d'une vanne.
Le débit actuel (130 m3/h à environ 75°C) est susceptible d'être
porté à 200 m3/h après de nouvelles instrumentations dans l'ouvrage.
En raison de sa qualité chimique impropre à la pisciculture, l'eau
géothermale ne sera utilisée que pour son apport énergétique et le
réchauffement des prélèvements en rivière par circulation dans un
échangeur de températures.
Elle sera rejetée en sortie d' échangeur dans le fossé du Brau à une
température voisine de 20° C et rejoindra l'Eyre par un fossé à ciel
ouvert d'environ 640 m,
3.1.3 - Mobilisation facile de l'eau de surface
La faible pente de la rivière évitera la réalisation d'un seuil de
dérivation ; elle limitera les équipements à une station de pompage au fil
de l'eau et à deux canaux d'alimentation gravitaire des bassins et de
retour d'environ 640 m. .
3.2 - Raisons économiques
Par suite de la disparition progressive de l'esturgeon de Gironde
(Acipenser sturio), notamment dans l'estuaire qui demeure un de ses
derniers sites de migration, une mesure de protection de l'espèce a été
prise au niveau ministériel, pour en interdire la destruction (arrêté
interministériel du 25 janvier 1982).
- 80 -
Depuis 1981, les chercheurs du CEMAGREF ont entrepris des études pour'I
maîtriser l'élevage d'une espèce d'eau douce voisine : 1 ' esturgeon
sibérien (Acipenser baeri), avec l'aide de l'AGEDEiA (1).
Dans ce but une station expérimentale a été créée à Donzacq dans les
Landes .
En 1982, on a assisté à la mise en place de la station expérimentale
d'aquaculture du Blayais pour réaliser diverses études zootechniques sur
l'esturgeon et d'autres espèces (anguilles notamment).
En 1984, le PLAN ESTURGEON a pris une nouvelle ampleur, grâce à un
contrat de plan Etat-Région Aquitaine et à l'élargissement des domaines de
compétence à de nouveaux partenaires scientifiques (INEÎA, Université de
Bordeaux I et Services Vétérinaires des Landes).
Depuis 1986, le CEMAGREF a développé en parallèle et sous convention
avec des pisciculteurs privés, des essais de grossissement en élevage
intensif, ce qui a suscité un intérêt immédiat des professionnels.
Une station d'écloserie industrielle est en cours de création en
Gironde, sous l'impulsion de l'A. P. I.E. (2), association qui regroupe,
avec l'appui technique du CEMAGREF, des pisciculteurs soucieux de fournir
des alevins pour une production d'esturgeons de 2 kg, après deux ans
d'élevage.
(1) Association Girondine pour l'Expérimentation et le Développement des
Ressources Aquatiques.
(2) Association pour la Promotion Industrielle de 1 'Esturgeon.
- 80 -
Depuis 1981, les chercheurs du CEMAGREF ont entrepris des études pour'I
maîtriser l'élevage d'une espèce d'eau douce voisine : 1 ' esturgeon
sibérien (Acipenser baeri), avec l'aide de l'AGEDEiA (1).
Dans ce but une station expérimentale a été créée à Donzacq dans les
Landes .
En 1982, on a assisté à la mise en place de la station expérimentale
d'aquaculture du Blayais pour réaliser diverses études zootechniques sur
l'esturgeon et d'autres espèces (anguilles notamment).
En 1984, le PLAN ESTURGEON a pris une nouvelle ampleur, grâce à un
contrat de plan Etat-Région Aquitaine et à l'élargissement des domaines de
compétence à de nouveaux partenaires scientifiques (INEÎA, Université de
Bordeaux I et Services Vétérinaires des Landes).
Depuis 1986, le CEMAGREF a développé en parallèle et sous convention
avec des pisciculteurs privés, des essais de grossissement en élevage
intensif, ce qui a suscité un intérêt immédiat des professionnels.
Une station d'écloserie industrielle est en cours de création en
Gironde, sous l'impulsion de l'A. P. I.E. (2), association qui regroupe,
avec l'appui technique du CEMAGREF, des pisciculteurs soucieux de fournir
des alevins pour une production d'esturgeons de 2 kg, après deux ans
d'élevage.
(1) Association Girondine pour l'Expérimentation et le Développement des
Ressources Aquatiques.
(2) Association pour la Promotion Industrielle de 1 'Esturgeon.
81 -
Le projet du Teich s'inscrit dans cette stratégie de développer une
activité qui dispose de nombreux atouts dans le secteur (climat favo¬
rable). Mais c'est surtout la renommée ancienne de l'esturgeon (caviar,
chair fine, absence d'arêtes) et des essais récents de mise sur le marché
de filets fumés, qui contribuent à donner à ce poisson l'image d'un
produit de haute valeur et lui ouvrent des perspectives intéressantes de
commercialisation.
L'intérêt de 1 'anguilliculture, est à relier à une demande constante
de ces poissons sur le marché européen et à des cours en hausse. Il se
manifeste à plusieurs stades : alevins, anguillettes de 10 à 30g et
anguilles de plus de 250 g.
Le cycle particulier de l'anguille ne permet pas de maîtriser parfai¬
tement sa reproduction, aussi l'élevage se fait-il à partir de civelles
pêchées, domaine dans lequel la France occupe une situation privilégiée.
L'élevage intensif sera le mieux adapté, compte tenu des températures,
qu'il est nécessaire de maintenir pour obtenir une bonne croissance des
poissons, La présence d'eau géothermale sur le site du Teich répond à cet
impératif.
Parallèlement aux divers procédés qui existent sur le marché et à
leurs performances économiques, des recherches menées par le CEMAGREF et
l'INRA se poursuivent sur les techniques, d'élevage (alimentation, gestion
et pathologie) et les méthodes de sélection des civelles.
3.3 - Raisons relatives à l'environnement
Elles sont liées en premier lieu à l'utilisation d'un site retenu
pour valoriser des ressources d'eau géothermale (débit et température), à
partir du forage profond du Teich (investissement déjà fait).
81 -
Le projet du Teich s'inscrit dans cette stratégie de développer une
activité qui dispose de nombreux atouts dans le secteur (climat favo¬
rable). Mais c'est surtout la renommée ancienne de l'esturgeon (caviar,
chair fine, absence d'arêtes) et des essais récents de mise sur le marché
de filets fumés, qui contribuent à donner à ce poisson l'image d'un
produit de haute valeur et lui ouvrent des perspectives intéressantes de
commercialisation.
L'intérêt de 1 'anguilliculture, est à relier à une demande constante
de ces poissons sur le marché européen et à des cours en hausse. Il se
manifeste à plusieurs stades : alevins, anguillettes de 10 à 30g et
anguilles de plus de 250 g.
Le cycle particulier de l'anguille ne permet pas de maîtriser parfai¬
tement sa reproduction, aussi l'élevage se fait-il à partir de civelles
pêchées, domaine dans lequel la France occupe une situation privilégiée.
L'élevage intensif sera le mieux adapté, compte tenu des températures,
qu'il est nécessaire de maintenir pour obtenir une bonne croissance des
poissons, La présence d'eau géothermale sur le site du Teich répond à cet
impératif.
Parallèlement aux divers procédés qui existent sur le marché et à
leurs performances économiques, des recherches menées par le CEMAGREF et
l'INRA se poursuivent sur les techniques, d'élevage (alimentation, gestion
et pathologie) et les méthodes de sélection des civelles.
3.3 - Raisons relatives à l'environnement
Elles sont liées en premier lieu à l'utilisation d'un site retenu
pour valoriser des ressources d'eau géothermale (débit et température), à
partir du forage profond du Teich (investissement déjà fait).
- 82 -
La situation du projet en bordure de l'Eyre, favorise une dérivation
économique des eaux superficielles, qui présentent en outre une bonne
qualité physico-chimique et des débits permanents importants.
Il faut signaler que ce projet s'inscrit dans les perspectives
suivantes :
Í V Maintien de la libre circulation des poissons dans l'Eyre, en
l'absence d'un barrage de dérivation.
2'/ Maintien d'un débit minimal important dans le lit de la rivière au
point de prélèvement.
3°/ Non altération de la qualité de l'eau et par suite de la vie des
espèces .
4°/ Absence de récolte des poissons par captures à la ligne.
Enfin, le projet s'inscrit dans une région où l'aquaculture et le
développement de l'esturgeon relèvent d'une tradition ancienne et d'un
grand intérêt économique,
La proximité du bassin d'Arcachon, avec ses sociétés dynamiques de
mareyage, renforce ces chances de succès
- 82 -
La situation du projet en bordure de l'Eyre, favorise une dérivation
économique des eaux superficielles, qui présentent en outre une bonne
qualité physico-chimique et des débits permanents importants.
Il faut signaler que ce projet s'inscrit dans les perspectives
suivantes :
Í V Maintien de la libre circulation des poissons dans l'Eyre, en
l'absence d'un barrage de dérivation.
2'/ Maintien d'un débit minimal important dans le lit de la rivière au
point de prélèvement.
3°/ Non altération de la qualité de l'eau et par suite de la vie des
espèces .
4°/ Absence de récolte des poissons par captures à la ligne.
Enfin, le projet s'inscrit dans une région où l'aquaculture et le
développement de l'esturgeon relèvent d'une tradition ancienne et d'un
grand intérêt économique,
La proximité du bassin d'Arcachon, avec ses sociétés dynamiques de
mareyage, renforce ces chances de succès
- 83 -
IV - IMPACTS DU PROJET SUR L'ENVIRONNEMENT->
4.1 - Impacts sur la voirie
Un aménagement de l'allée de Mios et de la voie communale 41 sera
réalisé, pour faciliter l'accès des différents types de véhicules destinés
à l'approvisionnement des élevages et à l'évacuation des productions.
Il contribuera à l'amélioration des communications entre le hameau de
Balanos et la commune de Mios,
Le trafic induit par le projet sera restreint ; il correspondra à un
approvisionnement tous les deux mois en nourriture, à l'apport annuel des
alevins et à l'évacuation des productions :
- une fois par an pour les esturgeons
- quatre fois par an pour les anguilles
4.2 - Impacts sur les eaux
4.2.1 - Eaux superficielles
4.2.1.1 - Impacts hydrauliques
On a calculé globalement les besoins en eau de la pisciculture du
Teich pour la production simultanée, en première eau de 30 tonnes d'estur¬
geons et de 10 tonnes d'anguilles, en deuxième eau, de 15 tonnes
d'esturgeons et 5 tones d'anguilles.
Ils sont reportés ci-après et exprimés en m3/s :
- 83 -
IV - IMPACTS DU PROJET SUR L'ENVIRONNEMENT->
4.1 - Impacts sur la voirie
Un aménagement de l'allée de Mios et de la voie communale 41 sera
réalisé, pour faciliter l'accès des différents types de véhicules destinés
à l'approvisionnement des élevages et à l'évacuation des productions.
Il contribuera à l'amélioration des communications entre le hameau de
Balanos et la commune de Mios,
Le trafic induit par le projet sera restreint ; il correspondra à un
approvisionnement tous les deux mois en nourriture, à l'apport annuel des
alevins et à l'évacuation des productions :
- une fois par an pour les esturgeons
- quatre fois par an pour les anguilles
4.2 - Impacts sur les eaux
4.2.1 - Eaux superficielles
4.2.1.1 - Impacts hydrauliques
On a calculé globalement les besoins en eau de la pisciculture du
Teich pour la production simultanée, en première eau de 30 tonnes d'estur¬
geons et de 10 tonnes d'anguilles, en deuxième eau, de 15 tonnes
d'esturgeons et 5 tones d'anguilles.
Ils sont reportés ci-après et exprimés en m3/s :
84 -
J
0,37
FMAMJJASOND'1
0,38 0,40 0,42 0,18 0,19 0,22 0,24 0,26 0,29 0,32 0,35
Comparées aux valeurs des débits moyens mensuels de l'Eyre, les
prélèvements réalisés au niveau de la station de pompage représenteront
1 % et 3 % du débit moyen de l'Eyre, ce qui est très faible.
Les débits prélevés seront en outre immédiatement restitués à l'aval
de la pisciculture, sous forme d'eff luents, par l'intermédiaire du fossé
d'écoulement, dit du Brau, qui abouchera dans l'Eyre à environ 400 m en
aval de la station de pompage, sans consommation intermédiaire.
L'impact sera très limité et ponctuel (1).
4.2.1.2 - Impacts sur la qualité
4,2,1,2.1 - Impact thermique
a) La pisciculture
La pisciculture utilisera l'eau après réchauffement des eaux à 17° C
pour l'élevage des esturgeons et à 23°C pour celui des anguilles.
Compte tenu du refroidissement des eaux qui interviendra avant leur
rejet dans l'Eyre, ces valeurs sont maximales.
La température finale des eaux de la rivière a été obtenue de la
manière suivante :
t = T 17 Ql + 23 Q2 _ Ql + Q2 t.
(1) On doit ajouter aux débits évalués ci-dessus le débit permanent et
constant de rejet du forage géothermique (0,056 m3/s).
84 -
J
0,37
FMAMJJASOND'1
0,38 0,40 0,42 0,18 0,19 0,22 0,24 0,26 0,29 0,32 0,35
Comparées aux valeurs des débits moyens mensuels de l'Eyre, les
prélèvements réalisés au niveau de la station de pompage représenteront
1 % et 3 % du débit moyen de l'Eyre, ce qui est très faible.
Les débits prélevés seront en outre immédiatement restitués à l'aval
de la pisciculture, sous forme d'eff luents, par l'intermédiaire du fossé
d'écoulement, dit du Brau, qui abouchera dans l'Eyre à environ 400 m en
aval de la station de pompage, sans consommation intermédiaire.
L'impact sera très limité et ponctuel (1).
4.2.1.2 - Impacts sur la qualité
4,2,1,2.1 - Impact thermique
a) La pisciculture
La pisciculture utilisera l'eau après réchauffement des eaux à 17° C
pour l'élevage des esturgeons et à 23°C pour celui des anguilles.
Compte tenu du refroidissement des eaux qui interviendra avant leur
rejet dans l'Eyre, ces valeurs sont maximales.
La température finale des eaux de la rivière a été obtenue de la
manière suivante :
t = T 17 Ql + 23 Q2 _ Ql + Q2 t.
(1) On doit ajouter aux débits évalués ci-dessus le débit permanent et
constant de rejet du forage géothermique (0,056 m3/s).
85 -
formule dans laquelle :
t est la température moyenne finale recherchée
t. la température moyenne initiale de l'Eyre
Q le débit moyen mensuel de l'Eyre (mS/s)
Ql représente les besoins en eau mensuels pour les esturgeons
Q2 les besoins en eau pour les anguilles (220 m3/h}.
Les valeurs reportées dans le tableau 32 indiquent que l'augmentation
maximale des températures est comprise entre + 0,04'C en mai et + 0,35°C
en janvier.
L'impact thermique des effluents est donc négligeable.
b) Les eaux géothermales
Lorsque le forage est ouvert, elles sont rejetées dans l'Eyre, après
épandage sur le sol, à une température voisine de 70°C,
Après passage dans un échangeur, leur température finale sera de 20°
à 30°C,
4.2.1.2.2 - Impact chimique
a) Charges polluantes
Il est évalué après calcul des jcejets globaux de la pisciculture
(tableau 19 ) en faisant intervenir la dilution dans les eaux de l'Eyre.
On admettra que le mélange est totalement réalisé à 50 m en aval du point
de rejet.
Le calcul de la concentration finale des paramètres de pollution dans
la rivière a donc été réalisé mois par mois, selon la relation suivante :
C^ = C. + Ql Cf 1 _ r
85 -
formule dans laquelle :
t est la température moyenne finale recherchée
t. la température moyenne initiale de l'Eyre
Q le débit moyen mensuel de l'Eyre (mS/s)
Ql représente les besoins en eau mensuels pour les esturgeons
Q2 les besoins en eau pour les anguilles (220 m3/h}.
Les valeurs reportées dans le tableau 32 indiquent que l'augmentation
maximale des températures est comprise entre + 0,04'C en mai et + 0,35°C
en janvier.
L'impact thermique des effluents est donc négligeable.
b) Les eaux géothermales
Lorsque le forage est ouvert, elles sont rejetées dans l'Eyre, après
épandage sur le sol, à une température voisine de 70°C,
Après passage dans un échangeur, leur température finale sera de 20°
à 30°C,
4.2.1.2.2 - Impact chimique
a) Charges polluantes
Il est évalué après calcul des jcejets globaux de la pisciculture
(tableau 19 ) en faisant intervenir la dilution dans les eaux de l'Eyre.
On admettra que le mélange est totalement réalisé à 50 m en aval du point
de rejet.
Le calcul de la concentration finale des paramètres de pollution dans
la rivière a donc été réalisé mois par mois, selon la relation suivante :
C^ = C. + Ql Cf 1 _ r
- 86 -
TABLEAU 32
TEMPERATURES MOYENNES MENSUELLES DE L'EYRE
EN AVAL DES REJETS DE LA PISCICULTURE
1 MOIS
1 «J
1 F
1 M
1 A ^
1 M
1 J
1 J
1 A
1 S
1 0
1 N
1 D
ti(°C)
Eyre
5
6
9
11
12
14
17
17
16
14
10
6
Q (m3/h)
Eyre
28,5
48,5
33,1
50,5
30,0
11,8
7,55
6,80
7,25
7,65
7,90
12,1
Ql(m3/h)
Esturgeons
0,312
0,316
0,337
0,357
0,117
0,133
0,157
0,176
0,199
0,234
0,258
0,289
Q2(m3/s)
Anguilles
0,061
0,061
0,051
0,061
0,061
0,061
0,061
0,061
0,061
0,061
0,061
0,061
Ql + Q2 )
(m3/s)
0,373
0,377
0,398
0,418
0,178
0,194
0,218
0,237
0,260
0,295
0,319
0,350
ff (°c) 1
5°17 1
6°09 1
9ni 1
11°06 1
12°04 1
14°15 1
17°05 1
17''05 1
16°09 1
14°16 1
10°23 1
6°35 1
L'impact thermique des effluents est négligeable.
- 86 -
TABLEAU 32
TEMPERATURES MOYENNES MENSUELLES DE L'EYRE
EN AVAL DES REJETS DE LA PISCICULTURE
1 MOIS
1 «J
1 F
1 M
1 A ^
1 M
1 J
1 J
1 A
1 S
1 0
1 N
1 D
ti(°C)
Eyre
5
6
9
11
12
14
17
17
16
14
10
6
Q (m3/h)
Eyre
28,5
48,5
33,1
50,5
30,0
11,8
7,55
6,80
7,25
7,65
7,90
12,1
Ql(m3/h)
Esturgeons
0,312
0,316
0,337
0,357
0,117
0,133
0,157
0,176
0,199
0,234
0,258
0,289
Q2(m3/s)
Anguilles
0,061
0,061
0,051
0,061
0,061
0,061
0,061
0,061
0,061
0,061
0,061
0,061
Ql + Q2 )
(m3/s)
0,373
0,377
0,398
0,418
0,178
0,194
0,218
0,237
0,260
0,295
0,319
0,350
ff (°c) 1
5°17 1
6°09 1
9ni 1
11°06 1
12°04 1
14°15 1
17°05 1
17''05 1
16°09 1
14°16 1
10°23 1
6°35 1
L'impact thermique des effluents est négligeable.
- 87 -
dans laquelle pour un même élément polluant :
*>v
Cf est la concentration moyenne finale après dilution (en mg/l) dans
l'Eyre.
C. la concentration moyenne Initiale de l'Eyre (en mg/l)
C la concentration moyenne mensuelle rejetée par les effluents
(en mg/l)
Q le débit anyen mensuel (en m3/h) des effluents
Q le débit noyens mensuel de l'Eyre (en m3/h)
le rapport Ql^ étant le rapport de dilution.
Q
L'ensemble des résultats a été reporté dans le tableau 33, faisant
apparaître côte a côte les concentrations initiales C. obtenues dans1
l'Eyre, les concentrations C des rejets et les valeurs finales calculéesr
après dilution. Il ressort de ces résultats que la qualité de l'Eyre n'en
sera pas modifiée.
b) Teneurs résiduelles des rejets en oxygène dissous
Les calculs ont révélé pour les esturgeons des déficits importants ou
des teneurs résiduelles insuffisantes à certaines périodes, ce qui néces¬
sitera des mesures appropriées pour la réoxygénation de l'eau avant
utilisation.
La teneur en 0 dissous en sortie de bassins des esturgeons a été
ajustée à 6 mg/l pour les mois déficitaires et les charges résultantes
calculées sur les débits prévisionnels.
Le tableau 33 rassemble les charges résiduelles en oxygène issues des
bassins d'esturgeons et d'anguilles, et les concentrations globales des
effluents.
- 87 -
dans laquelle pour un même élément polluant :
*>v
Cf est la concentration moyenne finale après dilution (en mg/l) dans
l'Eyre.
C. la concentration moyenne Initiale de l'Eyre (en mg/l)
C la concentration moyenne mensuelle rejetée par les effluents
(en mg/l)
Q le débit anyen mensuel (en m3/h) des effluents
Q le débit noyens mensuel de l'Eyre (en m3/h)
le rapport Ql^ étant le rapport de dilution.
Q
L'ensemble des résultats a été reporté dans le tableau 33, faisant
apparaître côte a côte les concentrations initiales C. obtenues dans1
l'Eyre, les concentrations C des rejets et les valeurs finales calculéesr
après dilution. Il ressort de ces résultats que la qualité de l'Eyre n'en
sera pas modifiée.
b) Teneurs résiduelles des rejets en oxygène dissous
Les calculs ont révélé pour les esturgeons des déficits importants ou
des teneurs résiduelles insuffisantes à certaines périodes, ce qui néces¬
sitera des mesures appropriées pour la réoxygénation de l'eau avant
utilisation.
La teneur en 0 dissous en sortie de bassins des esturgeons a été
ajustée à 6 mg/l pour les mois déficitaires et les charges résultantes
calculées sur les débits prévisionnels.
Le tableau 33 rassemble les charges résiduelles en oxygène issues des
bassins d'esturgeons et d'anguilles, et les concentrations globales des
effluents.
TABLEAU 33
CALCUL DES CONCENTRATIONS FINALES (NH4. DCO, DB05, MES)
DANS L'EYRE APRES DILUTION DES REJETS PISCICOLES
1 MOIS
1 J
1 F
1 M
1 A
1 M
1 J
1 J
1 A
1 S
1 0
1 N
1 D
RAPPORT
DE
DILUTION
1,3.10-2
0,8.10-2
1,2.10-2
0,8.10~2
0,6. 10-2
1,7.10-2
2,08.10"'
3,5.10-2
3,6.10-2
3,9.10-24,8.10-22,9.10-2
Ci
(mg/l)
0
0.1
0,2
0,1
0,07
0,11
r 0,15
0
0
0
0,04
0
NH4
Cr
(mg/l)
0,352
0,301
0,313
0,338
0,^82
0,306
0,327
0,360
0,387
0,303
0,320
0,332
Cf
(mg/l)
0,005
0,102
0,204
0,103
0,072
0,115
0,16
0,013
0,014
0,012
0,053
0,01
Ci
(mg/l)
19
15
19
17
18
14
12
9
10
11
12
14
DCO
Cr
(mg/l)
25,270
22,481
23,127
24,841
20,233
21,830
23,201
25,426
27,173
21,943
23,199
23,955
Cf
(mg/l)
19,33
15,18
19,28
17,20
18,12
14,37
12,673
9,89
10,978
11,856
12,928
14,695
Ci
(mg/l)
1,5
1,4
1,9
1,5
1,3
1
1,6
1,4
1,2
1,11,3
1,1
DB05
Cr
(mg/l)
8,016
7,055
7,338
7,879
6,421
6,928
7,363
8,071
8,623
6,961
7,359
7,598
Cf
(mg/l)
1,604
1,456
1,988
1,563
1,339
1,118
1,814
1,683
1,510
1,372
1,594
1,32
Ci
(mg/l)
55
19
4,7
6
6
8
5
5
4
6
5
4
MES
Cr
(mg/l)
6,174
5,885
6,022
6,368
4,912
5,240
5,508
5,962
6,263
5,482
5,774
5,908
Cf 1
(mg/l) 1
55,08 1
19, 047 1
. 4,772|
6,051 1
6,03 1
8,089 1
5,16 1
5,209|
4,226 1
6,214|
5,23l|
4,17l|
00(»
Les concentrations maxima sont soulignés. Elles apparaissent principalement au mois de Mars, le maximum des MES
de Janvier, étant surtout représentatif des crues.
TABLEAU 33
CALCUL DES CONCENTRATIONS FINALES (NH4. DCO, DB05, MES)
DANS L'EYRE APRES DILUTION DES REJETS PISCICOLES
1 MOIS
1 J
1 F
1 M
1 A
1 M
1 J
1 J
1 A
1 S
1 0
1 N
1 D
RAPPORT
DE
DILUTION
1,3.10-2
0,8.10-2
1,2.10-2
0,8.10~2
0,6. 10-2
1,7.10-2
2,08.10"'
3,5.10-2
3,6.10-2
3,9.10-24,8.10-22,9.10-2
Ci
(mg/l)
0
0.1
0,2
0,1
0,07
0,11
r 0,15
0
0
0
0,04
0
NH4
Cr
(mg/l)
0,352
0,301
0,313
0,338
0,^82
0,306
0,327
0,360
0,387
0,303
0,320
0,332
Cf
(mg/l)
0,005
0,102
0,204
0,103
0,072
0,115
0,16
0,013
0,014
0,012
0,053
0,01
Ci
(mg/l)
19
15
19
17
18
14
12
9
10
11
12
14
DCO
Cr
(mg/l)
25,270
22,481
23,127
24,841
20,233
21,830
23,201
25,426
27,173
21,943
23,199
23,955
Cf
(mg/l)
19,33
15,18
19,28
17,20
18,12
14,37
12,673
9,89
10,978
11,856
12,928
14,695
Ci
(mg/l)
1,5
1,4
1,9
1,5
1,3
1
1,6
1,4
1,2
1,11,3
1,1
DB05
Cr
(mg/l)
8,016
7,055
7,338
7,879
6,421
6,928
7,363
8,071
8,623
6,961
7,359
7,598
Cf
(mg/l)
1,604
1,456
1,988
1,563
1,339
1,118
1,814
1,683
1,510
1,372
1,594
1,32
Ci
(mg/l)
55
19
4,7
6
6
8
5
5
4
6
5
4
MES
Cr
(mg/l)
6,174
5,885
6,022
6,368
4,912
5,240
5,508
5,962
6,263
5,482
5,774
5,908
Cf 1
(mg/l) 1
55,08 1
19, 047 1
. 4,772|
6,051 1
6,03 1
8,089 1
5,16 1
5,209|
4,226 1
6,214|
5,23l|
4,17l|
00(»
Les concentrations maxima sont soulignés. Elles apparaissent principalement au mois de Mars, le maximum des MES
de Janvier, étant surtout représentatif des crues.
- 89 -
TABLEAU 34
TENEURS RESIDUELLES ET CHARGES RESULTANTES EN 02 DISSOUS
AU NIVEAU DES.gFFLUENTS
1 MOIS
1 >J
1 F
1 M
1 A
1 M
1 J
1 '^
\ A
1 S
1 0
1 N
1 D
ESTURGEONS
Concentra
tion en 02
(mg/l)
7,514
7,237
6,858
^ 6,0
6,0
6,0
6,0
6,0
6,0
6,0
6,547
6,0
Charges en
02 dissous
(kg/h)
8,4385
8,2431
8,3114
7,704
2,526
2,880
3,384
3,804
4,302
5,046
6,0883
6,234
ANGUILLES
Concentra
tion en 02
(mg/l)
7,87
8,931
8,922
7,938
8,137
6,589
6,881
7,696
6,753
6,057
8,366
7,606
Charges en
02 dissous
(kg/h)
1,7314
1,9648
1,9628
1 , 7463
1,7901
1,4496
1,5139
1,6930
1,4856
1,3325
1,8405
1,6725
CHARGES 1
RESULTANTES |
(kg/h) 1
10,169 1
10,208 1
10,274 1
9,450 1
4,316 1
4,330 1
4,898 1
5,497 1
5 , 788 1
6,379 1
7,929 1
7,907 1
- 89 -
TABLEAU 34
TENEURS RESIDUELLES ET CHARGES RESULTANTES EN 02 DISSOUS
AU NIVEAU DES.gFFLUENTS
1 MOIS
1 >J
1 F
1 M
1 A
1 M
1 J
1 '^
\ A
1 S
1 0
1 N
1 D
ESTURGEONS
Concentra
tion en 02
(mg/l)
7,514
7,237
6,858
^ 6,0
6,0
6,0
6,0
6,0
6,0
6,0
6,547
6,0
Charges en
02 dissous
(kg/h)
8,4385
8,2431
8,3114
7,704
2,526
2,880
3,384
3,804
4,302
5,046
6,0883
6,234
ANGUILLES
Concentra
tion en 02
(mg/l)
7,87
8,931
8,922
7,938
8,137
6,589
6,881
7,696
6,753
6,057
8,366
7,606
Charges en
02 dissous
(kg/h)
1,7314
1,9648
1,9628
1 , 7463
1,7901
1,4496
1,5139
1,6930
1,4856
1,3325
1,8405
1,6725
CHARGES 1
RESULTANTES |
(kg/h) 1
10,169 1
10,208 1
10,274 1
9,450 1
4,316 1
4,330 1
4,898 1
5,497 1
5 , 788 1
6,379 1
7,929 1
7,907 1
90 -
c) Teneurs finales en oxygène de l'Eyre
Les concentrations finales ont été calculées ainsi
C^ = C. (1 - Ql + C Ql)
Q Q
relation dans laquelle :
C est la concentration moyenne finale recrherchée (en mg/l)
C la concentration Initiale moyenne mesurée (en mg/l)X
C la concentration résultante des rejets (mg/l)r
Ql le rapport de dilution entre le débit moyen des rejets et celui de
^ l'Eyre.
L'ensemble des résultats figure dans le tableau 35 et fait état de
très faibles diminutions de la teneur en 0 dissous dans l'Eyre en aval
des rejets, après mélange et dilution (abaissement maximum de 0,14 mg/l en
septembre) .
La qualité de la rivière ne sera donc pas modifiée par les prélève¬
ments en oxygène et les rejets des effluents piscicoles.
4.2.2 - Eaux souterraines
Seule la nappe du Sable des Landes est vulnérable aux pollutions. Les
bassins piscicoles et canaux seront creusés dans le sol et auront 1 mètre
de profondeur(l).
Dans ces conditions, les travaux de terrassements ne devraient pas
atteindre la nappe.
Ce n'est que pendant la durée des travaux de terrassement et de génie
civil qu'une pollution occasionnelle sera susceptible de l'atteindre :
elle sera limitée dans le temps (6 à 8 mois au total).
(1) La canalisation d'amenée d'eau sera enterrée à faible profondeur.
90 -
c) Teneurs finales en oxygène de l'Eyre
Les concentrations finales ont été calculées ainsi
C^ = C. (1 - Ql + C Ql)
Q Q
relation dans laquelle :
C est la concentration moyenne finale recrherchée (en mg/l)
C la concentration Initiale moyenne mesurée (en mg/l)X
C la concentration résultante des rejets (mg/l)r
Ql le rapport de dilution entre le débit moyen des rejets et celui de
^ l'Eyre.
L'ensemble des résultats figure dans le tableau 35 et fait état de
très faibles diminutions de la teneur en 0 dissous dans l'Eyre en aval
des rejets, après mélange et dilution (abaissement maximum de 0,14 mg/l en
septembre) .
La qualité de la rivière ne sera donc pas modifiée par les prélève¬
ments en oxygène et les rejets des effluents piscicoles.
4.2.2 - Eaux souterraines
Seule la nappe du Sable des Landes est vulnérable aux pollutions. Les
bassins piscicoles et canaux seront creusés dans le sol et auront 1 mètre
de profondeur(l).
Dans ces conditions, les travaux de terrassements ne devraient pas
atteindre la nappe.
Ce n'est que pendant la durée des travaux de terrassement et de génie
civil qu'une pollution occasionnelle sera susceptible de l'atteindre :
elle sera limitée dans le temps (6 à 8 mois au total).
(1) La canalisation d'amenée d'eau sera enterrée à faible profondeur.
- 91 -
TABLEAU 35
CONCENTRATIONS FINALES DE L'EYRE EN 02 DISSOUS
A L'ISSUE DU MELANGE AVEC LES EFFLUENTS PISCICOLES
|mois
1 J
1 F
1 M
1 A
1 M
1 J
\ >J
1 A
1 S
1 0
1 N
1 D
Ci
(mg/l)
10,2
10
^10,29,6
9,3
8
8,5
9,6
9
7,6
10,1
9,1
Ql
Q
1,3.10"^0,8.10-2
1,2.10"^0,8.10~2
0,6.10-2
1,7.10~2
2,9.10"^3,5.10~2
3,6.10~2
3, 9. 10*2-24.10 ^
2,9.10 ~2
1 - Ql
Q
0,99
0,99
0,99
0,99
0,99
0,98
0,97
0,97
0,96
0,96
0,96
0,97
Cr
(mg/l)
7,944
7,511
7,175
6,283
6,733
6,186
6,247
6,437
6,177
6,070
6,895
6,122
Ci
(1-01)
Q
10,1
9,9
10,1
9,5
9,21
7,84
8,25
9,31
8,64
7,3
9,7
8,83
C2 Ql
Q
0,10
0,06
0,09
0,05
0,04
0,11
0,18
0,23
0,22
0,24
0,28
0,18
Cf
(mg/l)
10,2
9,96
10,19
9,55
9,25
7,95
8,43
9,54
8,86
7,54
9,98
9,01
Ci-Cf 1
(mg/l)|
0 1
0,04 1
0,01 1
0,05 1
0,05 1
0,05 1
0,07 1
0,06 1
0,14 1
0,06 1
0,12 1
0,09 1
Cf = Ci (1 - Ql) + Cr Ql
(mg/l) Q Q
- 91 -
TABLEAU 35
CONCENTRATIONS FINALES DE L'EYRE EN 02 DISSOUS
A L'ISSUE DU MELANGE AVEC LES EFFLUENTS PISCICOLES
|mois
1 J
1 F
1 M
1 A
1 M
1 J
\ >J
1 A
1 S
1 0
1 N
1 D
Ci
(mg/l)
10,2
10
^10,29,6
9,3
8
8,5
9,6
9
7,6
10,1
9,1
Ql
Q
1,3.10"^0,8.10-2
1,2.10"^0,8.10~2
0,6.10-2
1,7.10~2
2,9.10"^3,5.10~2
3,6.10~2
3, 9. 10*2-24.10 ^
2,9.10 ~2
1 - Ql
Q
0,99
0,99
0,99
0,99
0,99
0,98
0,97
0,97
0,96
0,96
0,96
0,97
Cr
(mg/l)
7,944
7,511
7,175
6,283
6,733
6,186
6,247
6,437
6,177
6,070
6,895
6,122
Ci
(1-01)
Q
10,1
9,9
10,1
9,5
9,21
7,84
8,25
9,31
8,64
7,3
9,7
8,83
C2 Ql
Q
0,10
0,06
0,09
0,05
0,04
0,11
0,18
0,23
0,22
0,24
0,28
0,18
Cf
(mg/l)
10,2
9,96
10,19
9,55
9,25
7,95
8,43
9,54
8,86
7,54
9,98
9,01
Ci-Cf 1
(mg/l)|
0 1
0,04 1
0,01 1
0,05 1
0,05 1
0,05 1
0,07 1
0,06 1
0,14 1
0,06 1
0,12 1
0,09 1
Cf = Ci (1 - Ql) + Cr Ql
(mg/l) Q Q
92 -
4.3 - Impacts sur le milieu naturelt'i
4.3.1 - Impacts sur la végétation
Sur la totalité de l'emprise du projet, soit 2 ha maximum, la végéta¬
tion naturelle du site sera détruite. Ceci ne représente qu'une partie de
la lande présente actuellement dont la flore est, par ailleurs, assez
banale et fréquente dans cette région,
La ripisylve de l'Eyre ne sera touchée que ..ponctuel lement, pour le
passage de la canalisation d'amenée d'eau et du canal de rejet, sur une
largeur de 2 à 3 mètres,
4.3.2 - Impacts sur la faune
Pendant la période de chantier (6 à 8 mois) la faune (oiseaux,
mammifères) s'éloignera de la zone du projet.
Ensuite, en phase d'exploitation, les bassins de pisciculture ris¬
quent de devenir attractifs pour les espèces ichtyophages qui vivent dans
la région : hérons, cormorans, loutres, putois.
Pour le héron et le cormoran, une étude réalisée à la demande du
Ministère de l'Environnement sur les conséquences de leur prédation des
piscicultures, a montré que les prélèvements sont faibles, de l'ordre de
2 % de la mortalité totale pour le héron cendré par exemple. Il apparaît
qu'une bonne surveillance permet de limiter notablement la prédation par
les oiseaux.
Pour les mammifères (loutres, putois), aucune donnée n'est disponi¬
ble. Mais il s'agit d'espèces rares et relativement farouches qui ne
devraient pas approcher fréquemment de zones habitées et dont les prélève¬
ments éventuels devraient être, le cas échéant, très limités.
92 -
4.3 - Impacts sur le milieu naturelt'i
4.3.1 - Impacts sur la végétation
Sur la totalité de l'emprise du projet, soit 2 ha maximum, la végéta¬
tion naturelle du site sera détruite. Ceci ne représente qu'une partie de
la lande présente actuellement dont la flore est, par ailleurs, assez
banale et fréquente dans cette région,
La ripisylve de l'Eyre ne sera touchée que ..ponctuel lement, pour le
passage de la canalisation d'amenée d'eau et du canal de rejet, sur une
largeur de 2 à 3 mètres,
4.3.2 - Impacts sur la faune
Pendant la période de chantier (6 à 8 mois) la faune (oiseaux,
mammifères) s'éloignera de la zone du projet.
Ensuite, en phase d'exploitation, les bassins de pisciculture ris¬
quent de devenir attractifs pour les espèces ichtyophages qui vivent dans
la région : hérons, cormorans, loutres, putois.
Pour le héron et le cormoran, une étude réalisée à la demande du
Ministère de l'Environnement sur les conséquences de leur prédation des
piscicultures, a montré que les prélèvements sont faibles, de l'ordre de
2 % de la mortalité totale pour le héron cendré par exemple. Il apparaît
qu'une bonne surveillance permet de limiter notablement la prédation par
les oiseaux.
Pour les mammifères (loutres, putois), aucune donnée n'est disponi¬
ble. Mais il s'agit d'espèces rares et relativement farouches qui ne
devraient pas approcher fréquemment de zones habitées et dont les prélève¬
ments éventuels devraient être, le cas échéant, très limités.
- 93 -
Les espèces concernées sont protégées par la loi. Seule une surveil-t'i
lance constante des bassins est envisageable pour les effaroucher et
éviter ainsi leur prédation sur les poissons. Il faut également noter que
les espèces de poissons élevées : anguille, esturgeon sont licifuges ;
elles ne viennent qu'exceptionnellement en surface des bassins et sont, de
ce fait, moins sujettes à la prédation que d'autres espèces.
Pour la faune aquatique de l'Eyre le projet ne devrait pas avoir de
conséquences notables : les rejets de la pisciculture ne modifient pas
sensiblement la qualité physico-chimique de l'Eyre. Le problème essentiel
est d'ordre sanitaire : les poissons élevés en pisciculture peuvent être
victimes d'épizootie et contaminer le milieu naturel. Il est bien évident
que ceci ne peut être qu'exceptionnel car la pisciculture fait l'objet de
contrôles vétérinaires fréquents ; le pisciculteur a en effet intérêt à
avoir un élevage sain, mais le risque de maladies ne peut être totalement
exclu.
4.4 - Impacts socio-économiques
4.4.1 - Impacts économiques
L'ouverture d'une pisciculture au Teich aura comme conséquences
économiques :
- La création de plusieurs emplois.
- Le versement par le pétitionnaire d'une taxe professionnelle et d'une
taxe foncière auprès des collectivités locales.
Les emplois créés seront liés au gardiennage permanent du site, à une
surveillance constante des élevages, assurée 24 h sur 24 h par des relais
et aux diverses manutentions nécessaires.
- 93 -
Les espèces concernées sont protégées par la loi. Seule une surveil-t'i
lance constante des bassins est envisageable pour les effaroucher et
éviter ainsi leur prédation sur les poissons. Il faut également noter que
les espèces de poissons élevées : anguille, esturgeon sont licifuges ;
elles ne viennent qu'exceptionnellement en surface des bassins et sont, de
ce fait, moins sujettes à la prédation que d'autres espèces.
Pour la faune aquatique de l'Eyre le projet ne devrait pas avoir de
conséquences notables : les rejets de la pisciculture ne modifient pas
sensiblement la qualité physico-chimique de l'Eyre. Le problème essentiel
est d'ordre sanitaire : les poissons élevés en pisciculture peuvent être
victimes d'épizootie et contaminer le milieu naturel. Il est bien évident
que ceci ne peut être qu'exceptionnel car la pisciculture fait l'objet de
contrôles vétérinaires fréquents ; le pisciculteur a en effet intérêt à
avoir un élevage sain, mais le risque de maladies ne peut être totalement
exclu.
4.4 - Impacts socio-économiques
4.4.1 - Impacts économiques
L'ouverture d'une pisciculture au Teich aura comme conséquences
économiques :
- La création de plusieurs emplois.
- Le versement par le pétitionnaire d'une taxe professionnelle et d'une
taxe foncière auprès des collectivités locales.
Les emplois créés seront liés au gardiennage permanent du site, à une
surveillance constante des élevages, assurée 24 h sur 24 h par des relais
et aux diverses manutentions nécessaires.
- 94 -
Les travaux de terrassements et de constructions contribueront au->
maintien d'une activité économique pour les entreprises de travaux publics
locales.
Enfin, le projet s'inscrit dans une politique régionale de dévelop¬
pement de la pisciculture et un développement d'échanges commerciaux au
niveau national et européen.
4.4.2 - Impacts sur l'occupation du sol
Le projet s'inscrit sur un terrain appartenant à la commune du Teich,
qui sera cédé au District du Bassin d'Arcachon, qui le louera par bail au
pétitionnaire. Ce terrain a été retenu depuis plusieurs années pour la
valorisation de l'énergie géothermique, sans trouver à ce jour d'usage. Ce
projet permet donc sa mise en valeur conformément à sa vocation initiale.
Le déboisement a été effectué depuis plusieurs années et l'abandon
des différents projets a permis la reconstitution d'une lande sans intérêt
économique particulier.
4.5 - Impacts sonores
Le projet présente quelques équipements qui peuvent être classés
comme bruyants :
- station de ponçage avec pompe électrique immergée
- installation de dégrillage
- fosse de mélange des eaux
- lames déversantes entre bassins
- oxygénateurs.
- groupe électrogène de secours.
- 94 -
Les travaux de terrassements et de constructions contribueront au->
maintien d'une activité économique pour les entreprises de travaux publics
locales.
Enfin, le projet s'inscrit dans une politique régionale de dévelop¬
pement de la pisciculture et un développement d'échanges commerciaux au
niveau national et européen.
4.4.2 - Impacts sur l'occupation du sol
Le projet s'inscrit sur un terrain appartenant à la commune du Teich,
qui sera cédé au District du Bassin d'Arcachon, qui le louera par bail au
pétitionnaire. Ce terrain a été retenu depuis plusieurs années pour la
valorisation de l'énergie géothermique, sans trouver à ce jour d'usage. Ce
projet permet donc sa mise en valeur conformément à sa vocation initiale.
Le déboisement a été effectué depuis plusieurs années et l'abandon
des différents projets a permis la reconstitution d'une lande sans intérêt
économique particulier.
4.5 - Impacts sonores
Le projet présente quelques équipements qui peuvent être classés
comme bruyants :
- station de ponçage avec pompe électrique immergée
- installation de dégrillage
- fosse de mélange des eaux
- lames déversantes entre bassins
- oxygénateurs.
- groupe électrogène de secours.
- 95 -
Mais il faut remarquer que des études récentes ont montré que le
bruit, et surtout les vibrations qui leur sont associées, peut être
néfaste au développement du poisson ("Environnement sonore et Aquaculture"
par C. BERCY et B. BOEIDEAU Aqua Revue n" 3) . L'installation sera donc
mise en place avec des équipements les moins bruyants possibles. Elle ne
contribuera pas notablement à une élévation de l'ambiance sonore de la
zone, si ce n'est pendant la période de chantier où des engins de chantier
seront mis en oeuvre pour les terrassements et la construction des équipe¬
ments. Cette phase de chantier sera assez courte : 6 à 8 mois ; 1 'éloi¬
gnement des habitations en limite les conséquences pour les riverains.
4.6 - Impact paysager
'y
Une pisciculture ne présente pas de superstructures très importantes,
seuls quelques bâtiments émergent de quelques mètres au-dessus du terrain
naturel (silos de stockage d'aliments).
Il est donc possible de "fondre" le projet dans son milieu et de
réduire ainsi son impact paysager. Pour les pêcheurs et les promeneurs
seuls les canaux d'amenée d'eau et de rejet seront visibles. Il s'agit
d'équipements de peu d'importance : 2 à 3 m de large.
Le maintien, et même le renforcement, de la végétation naturelle aux
abords de la pisciculture est la meilleure solution pour son intégration
dans le site.
- 95 -
Mais il faut remarquer que des études récentes ont montré que le
bruit, et surtout les vibrations qui leur sont associées, peut être
néfaste au développement du poisson ("Environnement sonore et Aquaculture"
par C. BERCY et B. BOEIDEAU Aqua Revue n" 3) . L'installation sera donc
mise en place avec des équipements les moins bruyants possibles. Elle ne
contribuera pas notablement à une élévation de l'ambiance sonore de la
zone, si ce n'est pendant la période de chantier où des engins de chantier
seront mis en oeuvre pour les terrassements et la construction des équipe¬
ments. Cette phase de chantier sera assez courte : 6 à 8 mois ; 1 'éloi¬
gnement des habitations en limite les conséquences pour les riverains.
4.6 - Impact paysager
'y
Une pisciculture ne présente pas de superstructures très importantes,
seuls quelques bâtiments émergent de quelques mètres au-dessus du terrain
naturel (silos de stockage d'aliments).
Il est donc possible de "fondre" le projet dans son milieu et de
réduire ainsi son impact paysager. Pour les pêcheurs et les promeneurs
seuls les canaux d'amenée d'eau et de rejet seront visibles. Il s'agit
d'équipements de peu d'importance : 2 à 3 m de large.
Le maintien, et même le renforcement, de la végétation naturelle aux
abords de la pisciculture est la meilleure solution pour son intégration
dans le site.
- 96
V - MESURES DE REDUCTION ET DE COMPENSATION DES IMPACTS>>
SUR L'ENVIRONNEMENT
5.1 - Voirie
Les accès au site piscicole se feront par l'intermédiaire des routes
et chemins existants, qui feront l'objet d'amélioration ou de renforcement
pour supporter l'augmentation de trafic induit par le projet. Ces travaux
nécessaires seront coordonnés avec les projets des communes concernées.
L'entretien de la voirie sera assurée en liaison avec les autres
utilisateurs par la commune,
5.2 - Eaux superficielles
La surveillance de l'exploitation piscicole sera assurée de façon
permanente par le personnel, qui contrôlera les variations des paramètres
physico-chimiques des eaux d'alimentation et des effluents (t°c, oxygène
dissous, pH, salinité, ammoniaque, DB05,DC0, MES).
En outre, un contrôle sanitaire sera asssuré par l'administration
deux fois par an.
Dans la perspective de prévenir les contaminations bactériennes ou
virales au niveau de l'élevage, deux bassins de quarantaine recevront les
alevins livrés à la pisciculture.
Des traitements antiseptiques seront assurés pour les camions et le
personnel lors des livraisons au moyen de trois pédiluves : un à l'entrée
de la pisciculture pour tous les véhicules et un à l'entrée de chaque
installation pour le personnel.
- 96
V - MESURES DE REDUCTION ET DE COMPENSATION DES IMPACTS>>
SUR L'ENVIRONNEMENT
5.1 - Voirie
Les accès au site piscicole se feront par l'intermédiaire des routes
et chemins existants, qui feront l'objet d'amélioration ou de renforcement
pour supporter l'augmentation de trafic induit par le projet. Ces travaux
nécessaires seront coordonnés avec les projets des communes concernées.
L'entretien de la voirie sera assurée en liaison avec les autres
utilisateurs par la commune,
5.2 - Eaux superficielles
La surveillance de l'exploitation piscicole sera assurée de façon
permanente par le personnel, qui contrôlera les variations des paramètres
physico-chimiques des eaux d'alimentation et des effluents (t°c, oxygène
dissous, pH, salinité, ammoniaque, DB05,DC0, MES).
En outre, un contrôle sanitaire sera asssuré par l'administration
deux fois par an.
Dans la perspective de prévenir les contaminations bactériennes ou
virales au niveau de l'élevage, deux bassins de quarantaine recevront les
alevins livrés à la pisciculture.
Des traitements antiseptiques seront assurés pour les camions et le
personnel lors des livraisons au moyen de trois pédiluves : un à l'entrée
de la pisciculture pour tous les véhicules et un à l'entrée de chaque
installation pour le personnel.
97 -
Les produits désinfectants seront choisis et maintenus en permanence'>
en état de service.
Enfin, il est prévu, à la demande du CEMAGREF, de créer sur place un
pilote expérimental à proximité immédiate des installations, pour permet¬
tre à cet organisme de mener des essais, notamment pour la diversification
des espèces, La proximité de cet équipement sera bénéfique au pisciculteur
pour la gestion de son installation et les techniques piscicoles.
En cas de problème au niveau de la qualité des eaux de rejet, des
terrains sont disponibles pour la mise en place d'un lagunage en aval de
1 'installation.
Le coût de ces différentes mesures peut être estimé à :
- 2 bassins de quarantaine à 30 KF 1 'un, soit 60 KF
- 3 pédiluves à 15 KF soit 45 KF
5.3 - Aménagement du forage
Le forage géothermique devra être aménagé avant mise en service
définitive et exploitation.
Les travaux comprendront :
- Ja réactivation de 1 'ouvrage et 1 'aménagement de sa tête.
- L'amenée d'eau géothermale sur le site, avec mise en oeuvre d'un
échangeur et d'un régulateur de températures.
Les coûts respectifs de ces travaux et études ont été évalués respec¬
tivement à 400 KF et à 1 200 KF.
97 -
Les produits désinfectants seront choisis et maintenus en permanence'>
en état de service.
Enfin, il est prévu, à la demande du CEMAGREF, de créer sur place un
pilote expérimental à proximité immédiate des installations, pour permet¬
tre à cet organisme de mener des essais, notamment pour la diversification
des espèces, La proximité de cet équipement sera bénéfique au pisciculteur
pour la gestion de son installation et les techniques piscicoles.
En cas de problème au niveau de la qualité des eaux de rejet, des
terrains sont disponibles pour la mise en place d'un lagunage en aval de
1 'installation.
Le coût de ces différentes mesures peut être estimé à :
- 2 bassins de quarantaine à 30 KF 1 'un, soit 60 KF
- 3 pédiluves à 15 KF soit 45 KF
5.3 - Aménagement du forage
Le forage géothermique devra être aménagé avant mise en service
définitive et exploitation.
Les travaux comprendront :
- Ja réactivation de 1 'ouvrage et 1 'aménagement de sa tête.
- L'amenée d'eau géothermale sur le site, avec mise en oeuvre d'un
échangeur et d'un régulateur de températures.
Les coûts respectifs de ces travaux et études ont été évalués respec¬
tivement à 400 KF et à 1 200 KF.
- 98 -
5.4 - Milieu naturel
Pour limiter la prédation, des oiseaux sur les poissons et permettre
simultanément un certain ombrage des bassins, il sera installé des filets
sur poteaux au-dessus des installations.
L'ensemble du projet sera clôturé pour éviter l'accès des mammifères
ichtyophages et une grille sera installée à l'entrée de la canalisation
d'alimentation pour éviter la pénétration de ces animaux.
Au niveau de la végétation, un reboisement d'une superficie équiva¬
lente à celle de la pisciculture sera assuré sur des terrains appartenant
au district ou aux communes concernées,
L*»' emprise de la canalisation dans la ripisylve de l'Eyre sera limitée
volontairement au strict minimum (3 m de large), pour ne porter qu'un
minimum d'atteinte à cet écosystème remarquable.
Le coût de ces mesures s'élèvera à :
- clôture périphérique avec pose et fourniture de portail
120 X 500 soit 60 KF
- filets de protection sur poteaux 200 KF
- 98 -
5.4 - Milieu naturel
Pour limiter la prédation, des oiseaux sur les poissons et permettre
simultanément un certain ombrage des bassins, il sera installé des filets
sur poteaux au-dessus des installations.
L'ensemble du projet sera clôturé pour éviter l'accès des mammifères
ichtyophages et une grille sera installée à l'entrée de la canalisation
d'alimentation pour éviter la pénétration de ces animaux.
Au niveau de la végétation, un reboisement d'une superficie équiva¬
lente à celle de la pisciculture sera assuré sur des terrains appartenant
au district ou aux communes concernées,
L*»' emprise de la canalisation dans la ripisylve de l'Eyre sera limitée
volontairement au strict minimum (3 m de large), pour ne porter qu'un
minimum d'atteinte à cet écosystème remarquable.
Le coût de ces mesures s'élèvera à :
- clôture périphérique avec pose et fourniture de portail
120 X 500 soit 60 KF
- filets de protection sur poteaux 200 KF
- 99 -
5.5 - Bruits'I
Une installation de pisciculture n'est pas bruyante en elle-même. Les
choix établis dans la conception du projet :
- prise d'eau enterrée et pompe électrique immergée
- fosse de mélange et lames déversantes
sont des solutions dont l'impact sonore sera très limité ou nul.
Seul le groupe électrogène de secours aura un impact sonore en cas de
pannes de secteur. Il sera occasionnel et limité dans le temps.
Le trafic induit par cette installation sera faible, sans aucune
conséquence dommageable pour le voisinage
5.6 - Paysage
Le site est peu visible à partir des voies d'accès fréquentées et est
masqué par la ripisylve ou la forêt de pins ou de chênes. Aucun nouveau
défrichement n'intervenant au niveau de l'aménagement et les installations
étant de taille très modeste, leur intégration dans le paysage du secteur
ne posera pas de problème majeur.
Seuls les silos de stockage d'ajjments seront visibles, mais on
veillera à leur donner une architecture massive, afin de les camoufler au
maximum par un écran végétal.
- 99 -
5.5 - Bruits'I
Une installation de pisciculture n'est pas bruyante en elle-même. Les
choix établis dans la conception du projet :
- prise d'eau enterrée et pompe électrique immergée
- fosse de mélange et lames déversantes
sont des solutions dont l'impact sonore sera très limité ou nul.
Seul le groupe électrogène de secours aura un impact sonore en cas de
pannes de secteur. Il sera occasionnel et limité dans le temps.
Le trafic induit par cette installation sera faible, sans aucune
conséquence dommageable pour le voisinage
5.6 - Paysage
Le site est peu visible à partir des voies d'accès fréquentées et est
masqué par la ripisylve ou la forêt de pins ou de chênes. Aucun nouveau
défrichement n'intervenant au niveau de l'aménagement et les installations
étant de taille très modeste, leur intégration dans le paysage du secteur
ne posera pas de problème majeur.
Seuls les silos de stockage d'ajjments seront visibles, mais on
veillera à leur donner une architecture massive, afin de les camoufler au
maximum par un écran végétal.
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ANNEXE 1
EXTRAIT DE PLAN CADASTRAL A 1/4 000 AVEC REPORT Dû PROJET
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ANNEXE 1
EXTRAIT DE PLAN CADASTRAL A 1/4 000 AVEC REPORT Dû PROJET
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Echelle : iViOOO
Date : 02-09-198E
Tranche n*
-
Dessiné par L.L
DIRECTION DEPARTEMENTALE DE L'AGRICULTURE
ET DE LA FORET
Cité Administrative rue Jules Ferry B.N'SO 33090 BORDEAUX Cedex
Tel: 56.24.80.80
DE MIOS _ NORD
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Dessiné par L.L
DIRECTION DEPARTEMENTALE DE L'AGRICULTURE
ET DE LA FORET
Cité Administrative rue Jules Ferry B.N'SO 33090 BORDEAUX Cedex
Tel: 56.24.80.80
DE MIOS _ NORD
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ANNEXE 2
RESULTATS DES ANALYSES D'EAU DE L'EYRE Au PONT DE LAMOTHE
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ANNEXE 2
RESULTATS DES ANALYSES D'EAU DE L'EYRE Au PONT DE LAMOTHE
STATION DU PONT DE LAMOTHE (INSEE 191 000)
MOYENNES MENSUELLES DE CERTAIN^'' PARAMETRES PHYSICO-CHIMIQUES (en mg/l)RELEVES SUR L'EYRE POUR LA PERIODE 1978 - 1988
(communiqués par l'A.F.B.A-G. )
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STATION DU PONT DE LAMOTHE (INSEE 191 000)
MOYENNES MENSUELLES DE CERTAIN^'' PARAMETRES PHYSICO-CHIMIQUES (en mg/l)RELEVES SUR L'EYRE POUR LA PERIODE 1978 - 1988
(communiqués par l'A.F.B.A-G. )
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nCHIER PE L* aUfln:Tr"61S EAUX SUP6»FICIELL£S - PÎÎISÊWTAnOlr ^TUTUTIQUE DES RESULTAI
3ASSIM ^COURS S'EiCDEPARTEMENT.
STOIf^^ESRO'MXr'letre
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PAPETERIES DE FACTUREPOINT HO:
'PÉRIODE :191.-000
DU 05/01/J1_AU_07./12/:
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1 TEMPERATURE EAU DEGRE C
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1 CALCIUM CA.+ MG/L1 MAGNESIUM MG+* MG/Li SODIUM NA+ .167L1 POTASSIUM " "IC* " MG/L"1 AMMONIAQUE ;(H4* MG/L! ^tT.íITë5 N0¿- MG/L1 -CTSATES S03- "'-IG/L1 iZOTE <JELOAHL ' MG/L: JICAiiBONATES HCOi- ' .IG/L1 CHLORURES' CL- MG/L
SULFATES SOA 'IS/l', ^hûiPHATES' P04 - MG/L
: 'Loûii F MC/L1 ita 70TAL FE MG/L1 <AHGAIIESE "MN mg/l"1 iRSCNIC AS MG/L; CADMIUM CD MG/Li iHROME TOTAL CR MG/L1 CUIVRE CU MG/L1 .lERCURE HG MG/L' ""LOMB PB M5/L1 .tLfcNIUM SE MG/L' 'î"t IH MG/L. rANURE CN- .MG/Li JtltRGENTS ANIONIQUES MG/L. ^ETESGEÑti NON lONÏ. MG/L1 Í.UHKUSÉS PHENOLIQUES MG/L' 3U8ST.cXtRAC.CLHORO. MG/L
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PAPETERIES DE FACTUREPOINT HO:
'PÉRIODE :191.-000
DU 05/01/J1_AU_07./12/:
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La grille multi-usages
Critères d'appréciation globale de la qualité de l'eauCefie grille fixe 5 classes de qualité selon les usages gue doivent satisfaire les rivièresChaque classe regroupe les valeurs de plusieurs parârhètres.
('tit^^m^'.m'Elle caractérise les eaux considérées comme exemptes
de pollution, aptes à satisfaire les usages les plus exigeantsen qualité.
D'une qualité légèrement moindre, ces eaux peuventnéanmoins satisfaire fous les usages.
Cláss¤r2 MQualité "passable": suffisante pour l'irrigation, les usa¬
ges industriels, la production d'eau potable après un traite¬ment poussé. L'abreuvage des animaux est généralement to¬léré. Le poisson y vit normalement mais sa reproduction peuty être aléatoire. Les loisirs liés à l'eau y sont possibles lors¬qu'ils ne nécessitent que des contacts exceptionnels avecelle.
Qualité "médiocre" : juste apte à l'irrigation, au refroidis¬sement et â la navigation. La vie piscicole peut subsisterdansces eaux, mais cela est aléatoire en période de faibles débitsou de fortes températures, par exemple.
Eaux dépassant la valeur maximale tolérée en classe 3pour un ou plusieurs paramètres. Elles sont considéréescomme inaptes à la plupart des usages et peuvent constituerune menace pour la santé publique et l'environnement.
L'utilisation de la grille
La qualité d'une eau dépend de nombreux paramètres (Température, Ammoniaque NH^, Mercure Hg)
On a coutume d'attribuer à une eau laqualité quiest donnéepar le paramètre mesuré le plus dé favorable.
. Cette qualité est celle qui, d'après les seuils figurant dans la grille, est atteinte parau moins 10% des plusmauvaises mesures de ce paramètre.
r
ox
N
T
B
IT
Conductivité >i S/cm à 20° C
TempératurepHMES (mg/l)
02 dissous (mg/l)02 dissous en %de saturationDBOS (mg/l)Oxydabilité (mg/l)DCO (mg/l)
NH4 (mg/l)N03 (mg/l)N total (kjeldahl)
Fe (mg/l)Mn (mg/l)F (mg/l)Cu (mg/l)Zn (mg/l)As (mg/l)Cd (mg/l)Cr (mg/l)CN (mg/l)Pb (mg/l)Se (mg/l)Hg (mg/l)Phénols (mg/l)Détergents (mg/l)S.E.C. (mg/l)
Coliformes (Num. 100 ml)Esch. Coli (Num. 100 ml)Strep, fée. (Num. 100 ml)
Ecart de l'indice biotiquepar rapport à l'indice normal
mmc^Ê^<400<20
6,5 â 8,5<30>7
> 90 %
< 3< 3<20
< 0,1
< 1
<0,5<0,1<0,7<0,02<0,5<0,01< 0.001<0,05<0,05<0,05<0,01< 0,0005
<0,2< 0,2
<50<20<20
1
400 à 75020 à 22
6,5 à 8,5<305à7
70â90
3â53â5
20â25
0,1 âO,5
1 à2
0,5 à 1
0,1 â0,250,7 â1,70,02 à 0,050,5 à1<0,01< 0,001<0,05< 0,05<0,05<0,01< 0,0005< 0,001<0,20,2 â 0,5
50 à 500020 â 200020 â 1000
2 ou 3
-:,;/.:v-:2 [f^mr-
750 â 1500
22â256â9<30
3â550â70
5à 105à8
25â40
0.5 à 2<442à3
1 â 1,50,25 â 0,500,7 â1,70,05 â 1
1 â50,01 â0,05 -
< 0,001<0,05<0,05<0,05<0,01< 0,0005
0,001 â0,050,2 à 0,50,5 à1
5000 â 500002000 â 200001000 â 10000
4 ou 5
1500 a 300025â30
5,5 â 9,530â70
milieu aërobieà maintenir en permanence
10â25
40 à 80
2à844 â 100
> 1,7> 1
> 5> 0.05> 0,001> 0,05> 0,05> 0,05> 0,01> 0,00050,05 â 0,5> 0,5> 1
6 ou 7
J
La grille multi-usages
Critères d'appréciation globale de la qualité de l'eauCefie grille fixe 5 classes de qualité selon les usages gue doivent satisfaire les rivièresChaque classe regroupe les valeurs de plusieurs parârhètres.
('tit^^m^'.m'Elle caractérise les eaux considérées comme exemptes
de pollution, aptes à satisfaire les usages les plus exigeantsen qualité.
D'une qualité légèrement moindre, ces eaux peuventnéanmoins satisfaire fous les usages.
Cláss¤r2 MQualité "passable": suffisante pour l'irrigation, les usa¬
ges industriels, la production d'eau potable après un traite¬ment poussé. L'abreuvage des animaux est généralement to¬léré. Le poisson y vit normalement mais sa reproduction peuty être aléatoire. Les loisirs liés à l'eau y sont possibles lors¬qu'ils ne nécessitent que des contacts exceptionnels avecelle.
Qualité "médiocre" : juste apte à l'irrigation, au refroidis¬sement et â la navigation. La vie piscicole peut subsisterdansces eaux, mais cela est aléatoire en période de faibles débitsou de fortes températures, par exemple.
Eaux dépassant la valeur maximale tolérée en classe 3pour un ou plusieurs paramètres. Elles sont considéréescomme inaptes à la plupart des usages et peuvent constituerune menace pour la santé publique et l'environnement.
L'utilisation de la grille
La qualité d'une eau dépend de nombreux paramètres (Température, Ammoniaque NH^, Mercure Hg)
On a coutume d'attribuer à une eau laqualité quiest donnéepar le paramètre mesuré le plus dé favorable.
. Cette qualité est celle qui, d'après les seuils figurant dans la grille, est atteinte parau moins 10% des plusmauvaises mesures de ce paramètre.
r
ox
N
T
B
IT
Conductivité >i S/cm à 20° C
TempératurepHMES (mg/l)
02 dissous (mg/l)02 dissous en %de saturationDBOS (mg/l)Oxydabilité (mg/l)DCO (mg/l)
NH4 (mg/l)N03 (mg/l)N total (kjeldahl)
Fe (mg/l)Mn (mg/l)F (mg/l)Cu (mg/l)Zn (mg/l)As (mg/l)Cd (mg/l)Cr (mg/l)CN (mg/l)Pb (mg/l)Se (mg/l)Hg (mg/l)Phénols (mg/l)Détergents (mg/l)S.E.C. (mg/l)
Coliformes (Num. 100 ml)Esch. Coli (Num. 100 ml)Strep, fée. (Num. 100 ml)
Ecart de l'indice biotiquepar rapport à l'indice normal
mmc^Ê^<400<20
6,5 â 8,5<30>7
> 90 %
< 3< 3<20
< 0,1
< 1
<0,5<0,1<0,7<0,02<0,5<0,01< 0.001<0,05<0,05<0,05<0,01< 0,0005
<0,2< 0,2
<50<20<20
1
400 à 75020 à 22
6,5 à 8,5<305à7
70â90
3â53â5
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0,1 âO,5
1 à2
0,5 à 1
0,1 â0,250,7 â1,70,02 à 0,050,5 à1<0,01< 0,001<0,05< 0,05<0,05<0,01< 0,0005< 0,001<0,20,2 â 0,5
50 à 500020 â 200020 â 1000
2 ou 3
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750 â 1500
22â256â9<30
3â550â70
5à 105à8
25â40
0.5 à 2<442à3
1 â 1,50,25 â 0,500,7 â1,70,05 â 1
1 â50,01 â0,05 -
< 0,001<0,05<0,05<0,05<0,01< 0,0005
0,001 â0,050,2 à 0,50,5 à1
5000 â 500002000 â 200001000 â 10000
4 ou 5
1500 a 300025â30
5,5 â 9,530â70
milieu aërobieà maintenir en permanence
10â25
40 à 80
2à844 â 100
> 1,7> 1
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6 ou 7
J
./
ANNEXE 3
ANMSE CHIMIQUE COMPLEMENTAIRE EFFECTUEE Au PONT DE MIOS
./
ANNEXE 3
ANMSE CHIMIQUE COMPLEMENTAIRE EFFECTUEE Au PONT DE MIOS
REPUBLIQUE FRANÇAISE
CENTRE NATIONAL DU MACHINISME AGRICOLE DU GENIE RURAL DES EAUX ET DES FORETS
CEM<=ïGRE F
DIVISION QUALITE DES EAUXPECHE & PISCICULTURE RAPPORT D'ANALYSE D'EAU
DIVISION QUALITE DES EAUX50 AVENUE DE VERDUN - GAZINET
33610 CESTASTEL : 56.36.09.40 Gazinet le 12/10/88
POLLUTION DE : L'EYREECHANTILLONS PRELEVES LE 29/09/88
DEPARTEMENTCOMMUNE
USINEACTIVITECACHETSMARQUES
GIRONDEMIOS
REÇUS LE 29/09/88ANALYSES COMMENCEES LE 29/09/88
N°:1N°:N°:N°:N°:
EFFECTUE:EFFECTUE:EFFECTUE:EFFECTUE:EFFECTUE:
PONT DE MIOS H
H
H
H
H
10.30
PROJET PISCICULTURE 'OU TEICHMr RUHARD - BRGM Av. du Docteur SCHUEITZER 33600 PESSAC
ELEMENTS DOSES
ASPECT AU LABO
ODEUR
TEMPERATURE EN °CpH LABORATOIRECONDUCTIVITE A 20°CEN nS/cmMATIERES EN SUSPENSIONFRACTION MINERALE EN %
1
LIMPIDE
NEANT
7.4
100< 5
56
Test de toxicité immédiate sur daphnies en 24 h
REPUBLIQUE FRANÇAISE
CENTRE NATIONAL DU MACHINISME AGRICOLE DU GENIE RURAL DES EAUX ET DES FORETS
CEM<=ïGRE F
DIVISION QUALITE DES EAUXPECHE & PISCICULTURE RAPPORT D'ANALYSE D'EAU
DIVISION QUALITE DES EAUX50 AVENUE DE VERDUN - GAZINET
33610 CESTASTEL : 56.36.09.40 Gazinet le 12/10/88
POLLUTION DE : L'EYREECHANTILLONS PRELEVES LE 29/09/88
DEPARTEMENTCOMMUNE
USINEACTIVITECACHETSMARQUES
GIRONDEMIOS
REÇUS LE 29/09/88ANALYSES COMMENCEES LE 29/09/88
N°:1N°:N°:N°:N°:
EFFECTUE:EFFECTUE:EFFECTUE:EFFECTUE:EFFECTUE:
PONT DE MIOS H
H
H
H
H
10.30
PROJET PISCICULTURE 'OU TEICHMr RUHARD - BRGM Av. du Docteur SCHUEITZER 33600 PESSAC
ELEMENTS DOSES
ASPECT AU LABO
ODEUR
TEMPERATURE EN °CpH LABORATOIRECONDUCTIVITE A 20°CEN nS/cmMATIERES EN SUSPENSIONFRACTION MINERALE EN %
1
LIMPIDE
NEANT
7.4
100< 5
56
Test de toxicité immédiate sur daphnies en 24 h
ANALYSE CHIMIQUE (Tous les résultats sont exprimés en mg par litre)ND = non détecté
ELEMENTS DOSES
INDICE DE PUTRESCIBILITEà 30° C
D.C.O. en 02OXYGENE CEDE PARKMn04 en 4 h en 02OXYG. DISSOUS SUR PLACEHYDROXYLE (OH -)CARBONATES (C03 --)HYDROGENOCARBONATESCHLORURES (Cl -)SULFATES (S04 --)NITRITES (N02 -)NITRATES (N03 -)ORTHOPHOSPHATES (P04---)ACIDITE (H +)CALCIUM (Ca ++)MAGNESIUM (Mg ++)SODIUM (Na +)POTASSIUM (K >-)
AMMONIUM (NH4 +5
FER en FePOLYPHENOLS (ac. gall.)SUBSTANCES ACTIVES AU
BLEU DE METHYLENE (LS)PHENOLS en C6 H5 >0H
1
0.6
ND
ND
3519
ND
2.0ND
122.0
< 0.020.53
.>
CONCLUSIONS :
L'eau analysée ne semble apparemment pas polluée. Il convient de signaler néanmoins uneteneur en fer, dans l'eau brute, qui peut ne pas convenir suivant les utilisations prévues.
Le chef du laboratoire de chimie des eauxR. Carbone
Transmis av/ec avis conformele 12/10/88
DE LA DIVISIONPêche et Pisciculture
/ RO ttv ^phassorho0 tKj^)(çhass
ANALYSE CHIMIQUE (Tous les résultats sont exprimés en mg par litre)ND = non détecté
ELEMENTS DOSES
INDICE DE PUTRESCIBILITEà 30° C
D.C.O. en 02OXYGENE CEDE PARKMn04 en 4 h en 02OXYG. DISSOUS SUR PLACEHYDROXYLE (OH -)CARBONATES (C03 --)HYDROGENOCARBONATESCHLORURES (Cl -)SULFATES (S04 --)NITRITES (N02 -)NITRATES (N03 -)ORTHOPHOSPHATES (P04---)ACIDITE (H +)CALCIUM (Ca ++)MAGNESIUM (Mg ++)SODIUM (Na +)POTASSIUM (K >-)
AMMONIUM (NH4 +5
FER en FePOLYPHENOLS (ac. gall.)SUBSTANCES ACTIVES AU
BLEU DE METHYLENE (LS)PHENOLS en C6 H5 >0H
1
0.6
ND
ND
3519
ND
2.0ND
122.0
< 0.020.53
.>
CONCLUSIONS :
L'eau analysée ne semble apparemment pas polluée. Il convient de signaler néanmoins uneteneur en fer, dans l'eau brute, qui peut ne pas convenir suivant les utilisations prévues.
Le chef du laboratoire de chimie des eauxR. Carbone
Transmis av/ec avis conformele 12/10/88
DE LA DIVISIONPêche et Pisciculture
/ RO ttv ^phassorho0 tKj^)(çhass
./
ANNEXE 4
NpTE HYDROBIOLOGIQUE Dû SRAE AQUITAINE SDR LA LEYRE
./
ANNEXE 4
NpTE HYDROBIOLOGIQUE Dû SRAE AQUITAINE SDR LA LEYRE
Service régional de l'aménagementdes eaux
Région Aquitaine
NOTE HYDROBIOLOGIQUEsur la LEYREà la station de la N.650 h Lamothe età la station de la D. 216 à Mios
A la demande du B.R.G.M. un examen hydrobiologiquede type l.B.G. (norme AFNOR T 90.350) a été réalisé au pont de la D.216à Mios.
Les 8 prélèvements de faune d'invertébrés benthiquesont été effectués suivant l'échantillonnage différentiel reporté dans letableau ci-après. Nous avons cherché à avoir le plus de similitude possibleavec l'échantillonnage réalisé annuellement à la station 191 000 du pontde la N.650 à Lamothe, dans le cadre du Réseau National de Bassin,afin de pouvoir établir des comparaisons.
../.
Service régional de l'aménagementdes eaux
Région Aquitaine
NOTE HYDROBIOLOGIQUEsur la LEYREà la station de la N.650 h Lamothe età la station de la D. 216 à Mios
A la demande du B.R.G.M. un examen hydrobiologiquede type l.B.G. (norme AFNOR T 90.350) a été réalisé au pont de la D.216à Mios.
Les 8 prélèvements de faune d'invertébrés benthiquesont été effectués suivant l'échantillonnage différentiel reporté dans letableau ci-après. Nous avons cherché à avoir le plus de similitude possibleavec l'échantillonnage réalisé annuellement à la station 191 000 du pontde la N.650 à Lamothe, dans le cadre du Réseau National de Bassin,afin de pouvoir établir des comparaisons.
../.
tl
Etítantiüormage différentiel - protocole LB.G.
EcotrfefTient ; V cm/sSupports : S
Brytiphytes
Sp¤ f inBpnytcj imfnBfçasChnbien"}
S. minérawc ds grancje taillepierres, caiHom» galeta
' 250 > $ % 25 mm
Granulats graaaàen
i n^i V le res /
25 > 0 % 2^ mm
Eléments organiques groaaers ;PUftteSf branchaçttOf rBcrai-_
Seofnents fais ' oiyaniques(-VMSS-)
0 ï 0,1 mm
S perTíMp^l)rtes rimeiçents *
IMloptiytes
Siafaces naturvUes e< artifl-
cieUes > ro^w, deiles, aob,parais. _
Granutata mindimac fins iaables et Bmoro$ < 2,5 mm
Algues, Bactéries et Champignons
»
8
7
6
5
*
3
2
1
0
V a ISO
2
150>vS754
75 > V a 255
1
25 > V > 5
3
1
2
1
Z
2
1
2
1
2
5> V
1
1
2
1
2
1
2
8 «chantilloni da 1/20 m*
H = Indication d'habitabilité et d'ordfe de prospection des habitatafBé 9 k 0)
1 - Prélèvements de la station N.650 à Lamothe (11 août 1988)2 - Prélèvements de la station D.216 à Mios (27 septembre 1988)
tl
Etítantiüormage différentiel - protocole LB.G.
EcotrfefTient ; V cm/sSupports : S
Brytiphytes
Sp¤ f inBpnytcj imfnBfçasChnbien"}
S. minérawc ds grancje taillepierres, caiHom» galeta
' 250 > $ % 25 mm
Granulats graaaàen
i n^i V le res /
25 > 0 % 2^ mm
Eléments organiques groaaers ;PUftteSf branchaçttOf rBcrai-_
Seofnents fais ' oiyaniques(-VMSS-)
0 ï 0,1 mm
S perTíMp^l)rtes rimeiçents *
IMloptiytes
Siafaces naturvUes e< artifl-
cieUes > ro^w, deiles, aob,parais. _
Granutata mindimac fins iaables et Bmoro$ < 2,5 mm
Algues, Bactéries et Champignons
»
8
7
6
5
*
3
2
1
0
V a ISO
2
150>vS754
75 > V a 255
1
25 > V > 5
3
1
2
1
Z
2
1
2
1
2
5> V
1
1
2
1
2
1
2
8 «chantilloni da 1/20 m*
H = Indication d'habitabilité et d'ordfe de prospection des habitatafBé 9 k 0)
1 - Prélèvements de la station N.650 à Lamothe (11 août 1988)2 - Prélèvements de la station D.216 à Mios (27 septembre 1988)
3.
L'examen de la faune d'invertébrés benthiques de la sta¬tion D. 216 à Mios permet de dénombrer une variété taxonomique de18 unités systématiques et un Indice Biologique Global (I.B.G) de [t^.
>
A la station 191 000 de la N. 650 à Lamothe, la variététaxonomique est de 27 unités systématiques donnant un I.B.G. de 16.
La comparaison des listes faunistiques montre que prèsde 17 espèces sur 20 trouvées à la station de Mios sont rencontréesà la station de Lamothe.
Le Groupe Indicateur (G.I = Isoperla sp.) étant le mêmeà Mios et à Lamothe, cela permet de conclure que la qualité d'eau estsemblable sur les deux stations, la différence de deux points de l'I.B.G.est à attribuer à une diversité moindre de la variété taxonomique àMios. Elle est due pour partie à une diversité moindre des habitats(les prélèvements différentiels effectués à Mios sont très localisés dansune zone de surface restreinte).
Suivant les bases d'interprétation de la méthode des I.B.G.la qualité biologique de la Leyre sur ces deux stations est acceptable.
Le tableau suivant récapitule les Indices Biotiques dela Leyre à la station 191 000 établis annuellement.
Pour pouvoir faire une comparaison, nous avons recalculéen utilisant les bases de chacune des méthodes, les différents IndicesBiotiques à partir des listes faunistiques dressées depuis 1976.
On remarque que le groupe indicateur est peu variable(Isoperla sp. ou Leuctra sp.), que le nombre d'Unités Systématiquesvarie de 17 à 30 au maximum et que l'Indice de Qualité Biologique Globalvarie de 12 à 16, bien que les méthodes utilisées jusqu'en 1986 fassentun échantillonnage limité à 6 prélèvements.
On peut en conclure que la qualité biologique de la Leyreà la station 191 000 de la N.650 à Lamothe a peu varié de 1976 à 1988.
3. MENYHydrobiologiste
Bordeaux, le 5 octobre 1988
3.
L'examen de la faune d'invertébrés benthiques de la sta¬tion D. 216 à Mios permet de dénombrer une variété taxonomique de18 unités systématiques et un Indice Biologique Global (I.B.G) de [t^.
>
A la station 191 000 de la N. 650 à Lamothe, la variététaxonomique est de 27 unités systématiques donnant un I.B.G. de 16.
La comparaison des listes faunistiques montre que prèsde 17 espèces sur 20 trouvées à la station de Mios sont rencontréesà la station de Lamothe.
Le Groupe Indicateur (G.I = Isoperla sp.) étant le mêmeà Mios et à Lamothe, cela permet de conclure que la qualité d'eau estsemblable sur les deux stations, la différence de deux points de l'I.B.G.est à attribuer à une diversité moindre de la variété taxonomique àMios. Elle est due pour partie à une diversité moindre des habitats(les prélèvements différentiels effectués à Mios sont très localisés dansune zone de surface restreinte).
Suivant les bases d'interprétation de la méthode des I.B.G.la qualité biologique de la Leyre sur ces deux stations est acceptable.
Le tableau suivant récapitule les Indices Biotiques dela Leyre à la station 191 000 établis annuellement.
Pour pouvoir faire une comparaison, nous avons recalculéen utilisant les bases de chacune des méthodes, les différents IndicesBiotiques à partir des listes faunistiques dressées depuis 1976.
On remarque que le groupe indicateur est peu variable(Isoperla sp. ou Leuctra sp.), que le nombre d'Unités Systématiquesvarie de 17 à 30 au maximum et que l'Indice de Qualité Biologique Globalvarie de 12 à 16, bien que les méthodes utilisées jusqu'en 1986 fassentun échantillonnage limité à 6 prélèvements.
On peut en conclure que la qualité biologique de la Leyreà la station 191 000 de la N.650 à Lamothe a peu varié de 1976 à 1988.
3. MENYHydrobiologiste
Bordeaux, le 5 octobre 1988
OateGroipe
indicateurNombre d'unités
systématiques
Indices biotiques dezone calme
/IO
zone de courant
/IO
Indice de Qualitébiologique
globalIQBa/20
Méthode I.B.G.
Méthode I.B/variante IQBG
Méthode l.B. stricte
11 août 1988
15 juin 1987
28 juillet 1986
6 août 1985
24 juillet 1984
22 août 1983
27 juillet 1982
26 août 1981
31 juillet 1980
25 septembre 1979
20 juillet 1978
7 septembre 1977
4 mai 1976
Isoperla sp.
Leuctra sp.
Isoperla sp.
Leuctra sp.
Isoperla sp.
Leuctra sp.
Isoperla sp.
Leuctra sp.
Leuctra sp.
Leuctra sp.
Leuctra sp.
Leuctra sp.
Leptophlebiidae
Leuctra sp.
Leuctra sp.
Leuctra sp.
Isoperla sp.
Leuctra sp.
27
18
29
27
26
24
30
26
20
23
23
21
17
10
9
10
9
5
8
10
8
7
10
10
18
16
19
18
9
10
10
10
8
5
10
10
9
17
13
14
14
11
13
12
13
16
OateGroipe
indicateurNombre d'unités
systématiques
Indices biotiques dezone calme
/IO
zone de courant
/IO
Indice de Qualitébiologique
globalIQBa/20
Méthode I.B.G.
Méthode I.B/variante IQBG
Méthode l.B. stricte
11 août 1988
15 juin 1987
28 juillet 1986
6 août 1985
24 juillet 1984
22 août 1983
27 juillet 1982
26 août 1981
31 juillet 1980
25 septembre 1979
20 juillet 1978
7 septembre 1977
4 mai 1976
Isoperla sp.
Leuctra sp.
Isoperla sp.
Leuctra sp.
Isoperla sp.
Leuctra sp.
Isoperla sp.
Leuctra sp.
Leuctra sp.
Leuctra sp.
Leuctra sp.
Leuctra sp.
Leptophlebiidae
Leuctra sp.
Leuctra sp.
Leuctra sp.
Isoperla sp.
Leuctra sp.
27
18
29
27
26
24
30
26
20
23
23
21
17
10
9
10
9
5
8
10
8
7
10
10
18
16
19
18
9
10
10
10
8
5
10
10
9
17
13
14
14
11
13
12
13
16
...
PLECOPTtRESLeudntae : Letccr* peniaiata
Leuctra n>.
P«MMi : P"" "P-Dmocrss A.
I^Bi^i^i^e : Nenwura ^l.ProtonaflHira Kk
lurptmtanun p.
Capnioneura ip.
ri]lliiiii>a« : Isoperla «t.Perloees «>.
Itammf y*" Braeh^tera ».Taeraopteryi 9.
TRICHOPTERESRyMXpNUae : HrPOlfiyacsotala ^>.
Hy«>i4ia)ictiidae : H. silularH. inuabiliiH. ingutUMnras
H. palUicKkjIaCheumaupsycfie x).
1 1, uiugiiliitaii : lUiyUicnia a>.
Hydroptila 9.PulruwMluiiuitrtaa : Potyeenlropus 9.Bi^'ijiM*!»^» Micnasma tanqulun
OligoplectrMn mariilari
Laancepnala basilis
Ciunecia 9.
r jiiiii^ii : Coara s.LiUiax 9.Silo n.
L^m pMlidae : Nemotauiius tD.
Asvnarcnus 9.
AnM»iia 9.LimnophilcA sp>
Haleaus ».Stenoonyiax ap.
Hydaupnylai 9.
Potamopnytax ap.
Anitalla ».Chaaioptaryi «.Chaacopterygopsis ».
GranwnocauJius ».Phacoptaryx ap.
Orusinae
(.apucMiitae : Mystaades ap.
ëm. Triaanooai ».Adicella ».Leptpcaius ».
Oecatis 9.
^qikjjilUiiMal illa» : Sericostofna ».pifUopot^nuâaa : Chimaría margvwcaOt^M^ULMHMimu s Odoncocerum aibicorne
P»>lJmi»i xlae : Metalype ap.
2.
5
2.
¿.
-1
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1
¿
^
2.
2.
3
3
1
_ EPHEKCROPTERES
LaptophletMidBe : Habrophtebia 9._ ParalaptoDhlebia «u_ Laptophlabia ip.
Baatktee : Baetis mooaniBaetU alpinus
Baetis gameUus
Baetis fuicicusfisecis vemusCamrooiiivn ^y.
Cloeon s^Procieon sp.
Acent relia v.Hffrtagenôdae : Ecdvonurus oivir
Cccfvonurus venosus
Heptagenie ip.Eoeorus sp.
Rhitrogena semicoloriRhJtrogena pictetiRhitrogena ferruginea
"1 rriheneimiliuaii : CDhemerella qnitaEphemandae : Eohemert oanica
Ephemera vulgataEpTiemara bnaata
CaanidM : Caents 9p.
PDtamanthidae ; PoUmanttius sp.
Sphlorajridae : Svhknuria 9.
Stenetmts sp.
Riolus ».
Stictonectss 9.PotamophiKs sp.
Agabus s}<
Coalambus 9.Platambus ip.Oraccochilus 9.
Gyrinidae : Connus sp.
Hyarophilidae : Cymoiodyti 9.Hsiiplidae : Haliplus %u
Pel todytes sp.
Brychius n.Hydraenidae : Hyoraeria v.Dryopidae : Helichus sp.
Hydrochidae : Hydrocnus sp.
t
.5
(a
4-
M
v^X?
y?
'
5"
Z
V^
¿/.'/2.
1
HETEROPTERCS larve/adulteCorutioae : Nepa 9.
Sigara sp.
HafB<«tiidat : Maiovelia m,Aphelocnetfüdae : Apnatocfteina sp.
Gemdae : Cams «1.
f4epidaa : Ranatra «).
^4oconactidae : Notonecta ao.
DIPTERES
BJepnaroceridae : Btopharocsrus ^^^
Stmulidae ; Simuáium m,Tipiiiirtaa : Oicranoca c
Antocha ^Ertocera «>.
Tipula v.Gsranomyta sp.
CnranomioaeAt^erlaaae : Atherix ^i^
Athncnops sp.
Enoididaa : Atalanta s^Wieoemanma 9.Hemerooromia spa
Psvcnodidae : Pericoma ».Tabanioae : TaPanus so.
CuiiTinaa : Chacoorw sp.
Ceratopogoniûae : Bezzta ip.
CWKATESCatcptar^gaaa : Caioptaryx virgo
/t
'¿
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A
"It
Caioptaryx haainmnotoiiB 1
CoenaprateeAesctmoae : boyBtia innéCorduiegastehdee : Corduleqastar armulatu
GomphKüe : Onyctwgoniinus tvicatiGomphus vulgatBsimusGomotxjs pulcnelks
Cordubktoe :
LiPalluttdae C «'oca I'll cmis tr^fratu
NCCALOPTERESSialidae : Sialis v.
LEPIDOPTERES
CRUSTACES
Cammarirtaa s Rivulogammarw ip.AaaUidaa : Asellus aquattcu*
Astacioae : Oronectes limosus
Astacus leptodactyfajs
H
JS
Z
^
ó3
^í-
3
5"
5"
2.
4-2.
1
kíoxusaucs
Linrnaaidae : Lyimaea ap.
Ancylioae : Aneylua ».
Hydrcbüdaa : HyOsPia «>.
Bvthinia ».
¿
Potamopyrgus iankana 4.
Neritidae : Tiieodogcts ItuviatüiajVivpandae : Vivoaius ap.
Uniorudae : Anooonca ».Coiticultaae : CoOKuia »Spnaerüdae : Spftaaraan ».
Pbidium ».Planorpidae : Planoipii 9.
ACWTESGloaotioniidae : Cloaupmrua eomoianErpoPdelliaae : Eipoodalla aetoculauPscicolidae : Pimceía çeometraHirudidae : Hirudo ap.
TRX3.A0CSPlanarjidae : Polyeelis tenuis
Polycein leiaiaDi^wiioae : Dujaaia çonocepnala
IVjpMia kquOris
Ot^aua t^ma
ata21
i
Oenoneelidae : Oenorecelun laeteun
QUCOOCTCSLuniortciaae
LumPriculidaeTubifiadeeNaidioae
HYDRACARIENS
SPONGIAIRES
3T
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Hy«>i4ia)ictiidae : H. silularH. inuabiliiH. ingutUMnras
H. palUicKkjIaCheumaupsycfie x).
1 1, uiugiiliitaii : lUiyUicnia a>.
Hydroptila 9.PulruwMluiiuitrtaa : Potyeenlropus 9.Bi^'ijiM*!»^» Micnasma tanqulun
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Laancepnala basilis
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L^m pMlidae : Nemotauiius tD.
Asvnarcnus 9.
AnM»iia 9.LimnophilcA sp>
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Hydaupnylai 9.
Potamopnytax ap.
Anitalla ».Chaaioptaryi «.Chaacopterygopsis ».
GranwnocauJius ».Phacoptaryx ap.
Orusinae
(.apucMiitae : Mystaades ap.
ëm. Triaanooai ».Adicella ».Leptpcaius ».
Oecatis 9.
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_ EPHEKCROPTERES
LaptophletMidBe : Habrophtebia 9._ ParalaptoDhlebia «u_ Laptophlabia ip.
Baatktee : Baetis mooaniBaetU alpinus
Baetis gameUus
Baetis fuicicusfisecis vemusCamrooiiivn ^y.
Cloeon s^Procieon sp.
Acent relia v.Hffrtagenôdae : Ecdvonurus oivir
Cccfvonurus venosus
Heptagenie ip.Eoeorus sp.
Rhitrogena semicoloriRhJtrogena pictetiRhitrogena ferruginea
"1 rriheneimiliuaii : CDhemerella qnitaEphemandae : Eohemert oanica
Ephemera vulgataEpTiemara bnaata
CaanidM : Caents 9p.
PDtamanthidae ; PoUmanttius sp.
Sphlorajridae : Svhknuria 9.
Stenetmts sp.
Riolus ».
Stictonectss 9.PotamophiKs sp.
Agabus s}<
Coalambus 9.Platambus ip.Oraccochilus 9.
Gyrinidae : Connus sp.
Hyarophilidae : Cymoiodyti 9.Hsiiplidae : Haliplus %u
Pel todytes sp.
Brychius n.Hydraenidae : Hyoraeria v.Dryopidae : Helichus sp.
Hydrochidae : Hydrocnus sp.
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1
HETEROPTERCS larve/adulteCorutioae : Nepa 9.
Sigara sp.
HafB<«tiidat : Maiovelia m,Aphelocnetfüdae : Apnatocfteina sp.
Gemdae : Cams «1.
f4epidaa : Ranatra «).
^4oconactidae : Notonecta ao.
DIPTERES
BJepnaroceridae : Btopharocsrus ^^^
Stmulidae ; Simuáium m,Tipiiiirtaa : Oicranoca c
Antocha ^Ertocera «>.
Tipula v.Gsranomyta sp.
CnranomioaeAt^erlaaae : Atherix ^i^
Athncnops sp.
Enoididaa : Atalanta s^Wieoemanma 9.Hemerooromia spa
Psvcnodidae : Pericoma ».Tabanioae : TaPanus so.
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Caioptaryx haainmnotoiiB 1
CoenaprateeAesctmoae : boyBtia innéCorduiegastehdee : Corduleqastar armulatu
GomphKüe : Onyctwgoniinus tvicatiGomphus vulgatBsimusGomotxjs pulcnelks
Cordubktoe :
LiPalluttdae C «'oca I'll cmis tr^fratu
NCCALOPTERESSialidae : Sialis v.
LEPIDOPTERES
CRUSTACES
Cammarirtaa s Rivulogammarw ip.AaaUidaa : Asellus aquattcu*
Astacioae : Oronectes limosus
Astacus leptodactyfajs
H
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4-2.
1
kíoxusaucs
Linrnaaidae : Lyimaea ap.
Ancylioae : Aneylua ».
Hydrcbüdaa : HyOsPia «>.
Bvthinia ».
¿
Potamopyrgus iankana 4.
Neritidae : Tiieodogcts ItuviatüiajVivpandae : Vivoaius ap.
Uniorudae : Anooonca ».Coiticultaae : CoOKuia »Spnaerüdae : Spftaaraan ».
Pbidium ».Planorpidae : Planoipii 9.
ACWTESGloaotioniidae : Cloaupmrua eomoianErpoPdelliaae : Eipoodalla aetoculauPscicolidae : Pimceía çeometraHirudidae : Hirudo ap.
TRX3.A0CSPlanarjidae : Polyeelis tenuis
Polycein leiaiaDi^wiioae : Dujaaia çonocepnala
IVjpMia kquOris
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Oenoneelidae : Oenorecelun laeteun
QUCOOCTCSLuniortciaae
LumPriculidaeTubifiadeeNaidioae
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SPONGIAIRES
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ANNEXE 5
QUALITE MINIMALE DE L' EFFLUENT D'UNE STATION D'EPURATION
FICHES DE BILAN DES STATIONS D'EPURATION SITUEES EN BORDURE
L'EYRE (BELIN - BELIET - SALLES ET MIOS)
ANNEXE 5
QUALITE MINIMALE DE L' EFFLUENT D'UNE STATION D'EPURATION
FICHES DE BILAN DES STATIONS D'EPURATION SITUEES EN BORDURE
L'EYRE (BELIN - BELIET - SALLES ET MIOS)
EauC. 4 nov. 1980
ANNEXE AU CHAPITRE III
Niveaux de qualité minimale d'un rejety i dominante domestique
Qualité minimale de l'effluent
Premier groupe
Nioeaux de rejet pour les matières en suspension et maliires oxydables
NIVEAUX(voir
chapitre IV)
ECHANTILLON MOYEN SUR VINGT-QUATRE HEURESNON DECANTE
Matièresdécantables
Eliminationil 90 p. IOO
M.E.S.totales
Eliminationà 80 p. 100(1)
Eliminationà 90 p. 100(1)
D.C.O.(mg/J)
90
50
D3.0. 5(mg/J)
30
15
ECHANTILLON MOYEN SUR DEUX HEURESNON DECANTE
M.E.S. totales(mg/l)
120
30
20
D.C.O.(mg/J)
(2) 120
120
80
D.B.O. 5(mg/l)
(2) 40
40
20
(1) Remarque'.-. Dans le cas d'un effluent particulièrement dilué pour lequel l'application d'une e.tigenccde qualité exprimée, dans les niveaux 6 ou c, en terme de rendement d'élimination conduirait i ce que laconcentration en matières en suspension totaJes dans l'effluent traité soit inférieure à 20 mg par litre, onfl.xera l'exigence de traitement k cette dernière valeur.(2) Sur échantillon filtré.
Deuxième groupe
Niueaux de rejet pour ¡es formes de substances azotées
Azote Kjeldahl (N.K.) : azote organique + azote ammoniacal exprimés en N. :
Niveau N.K. 1 :50 mg par litre sur un échantillon moyen de deux heures ;
40 mg par litre sur un échantillon moyen de vingt-quatre heures.Niveau N.K. 2 :
15 mg par litre sur un échantillon moyen de deux heures ;10 mg par litre sur un échantillon moyen de vingt-quatre heures.
Niveau N.K. 3 :
5 mg par litre sur un échantillon moyen de deux heures.
Azote global (N.G.L.) : azote organique -f- azote ammoniacal -f- azote nitreux -(- azote nitrique exprimes en N.Niveau N.G.L. 1 :
25 mg par litre sur un échantillon moyen de deux heures ;
20 mg par litre sur un échantillon moyen de vingt-quatre heures. 'Niveau N.G.L. 2 :
10 mg par Jitre sur un échantillon moyen de deu.x heures.
Troisième groupe
Niveaux de rejet pour les substances phosphorées (phosphore total), exprijnès en P.Niveau P.T. 1 :
80 p. 100 d'élimination sur vingt-quatre heures (1).Niveau P.T. 2 :
1 mg par litre sur un échantillon moyen de deux heures.
(1) Dans le cas d'un effluent particulièrement dilué pour lequel l'application de l'exigence de qualité minimale P.T. 1exprimée en terme de rendement d'élimination conduirait à ce que la concentration en phosphore total dans l'effluenttraité soit inférieure à 2 mg par litre on pourra fixer l'exigence de traitement à cette dernière valeur.
CODE PERMANENTENVIRONNEMENT ET NUISANCES Feuillets 51 (IS décembre 1983) 804 Z 123
EauC. 4 nov. 1980
ANNEXE AU CHAPITRE III
Niveaux de qualité minimale d'un rejety i dominante domestique
Qualité minimale de l'effluent
Premier groupe
Nioeaux de rejet pour les matières en suspension et maliires oxydables
NIVEAUX(voir
chapitre IV)
ECHANTILLON MOYEN SUR VINGT-QUATRE HEURESNON DECANTE
Matièresdécantables
Eliminationil 90 p. IOO
M.E.S.totales
Eliminationà 80 p. 100(1)
Eliminationà 90 p. 100(1)
D.C.O.(mg/J)
90
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D3.0. 5(mg/J)
30
15
ECHANTILLON MOYEN SUR DEUX HEURESNON DECANTE
M.E.S. totales(mg/l)
120
30
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D.C.O.(mg/J)
(2) 120
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D.B.O. 5(mg/l)
(2) 40
40
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(1) Remarque'.-. Dans le cas d'un effluent particulièrement dilué pour lequel l'application d'une e.tigenccde qualité exprimée, dans les niveaux 6 ou c, en terme de rendement d'élimination conduirait i ce que laconcentration en matières en suspension totaJes dans l'effluent traité soit inférieure à 20 mg par litre, onfl.xera l'exigence de traitement k cette dernière valeur.(2) Sur échantillon filtré.
Deuxième groupe
Niueaux de rejet pour ¡es formes de substances azotées
Azote Kjeldahl (N.K.) : azote organique + azote ammoniacal exprimés en N. :
Niveau N.K. 1 :50 mg par litre sur un échantillon moyen de deux heures ;
40 mg par litre sur un échantillon moyen de vingt-quatre heures.Niveau N.K. 2 :
15 mg par litre sur un échantillon moyen de deux heures ;10 mg par litre sur un échantillon moyen de vingt-quatre heures.
Niveau N.K. 3 :
5 mg par litre sur un échantillon moyen de deux heures.
Azote global (N.G.L.) : azote organique -f- azote ammoniacal -f- azote nitreux -(- azote nitrique exprimes en N.Niveau N.G.L. 1 :
25 mg par litre sur un échantillon moyen de deux heures ;
20 mg par litre sur un échantillon moyen de vingt-quatre heures. 'Niveau N.G.L. 2 :
10 mg par Jitre sur un échantillon moyen de deu.x heures.
Troisième groupe
Niveaux de rejet pour les substances phosphorées (phosphore total), exprijnès en P.Niveau P.T. 1 :
80 p. 100 d'élimination sur vingt-quatre heures (1).Niveau P.T. 2 :
1 mg par litre sur un échantillon moyen de deux heures.
(1) Dans le cas d'un effluent particulièrement dilué pour lequel l'application de l'exigence de qualité minimale P.T. 1exprimée en terme de rendement d'élimination conduirait à ce que la concentration en phosphore total dans l'effluenttraité soit inférieure à 2 mg par litre on pourra fixer l'exigence de traitement à cette dernière valeur.
CODE PERMANENTENVIRONNEMENT ET NUISANCES Feuillets 51 (IS décembre 1983) 804 Z 123
Département de la Gironde Commune de
SERVICE D'ASSISTANCE TECHNIQUEBELIN DCLICT
N" d'identification de la station
33 _0A^__V_001
FICHE DE VISITE BILAN DE LA STATION D'EPURATION
DE : C-O M H u N A L E
Type de station : Lit Bactérien Q Boues Activées ^ Lagunage D
Nom du Technicien : H. JULIEN
Personnes rencontrées : 4Í,. BAILLETDate : 29/30 JUIN 07Météorologie : -BeauTempérature Maxi :3^
Mini :
MESURE DES DÉBITS ET PRÉLÈVEMENTS
Méthode de mesure de débit : Débit-mètre et pompes de relevage-. --
Méthode de prélèvement entrée et sortie : Préleveurs automatiques.
Confection et nombre d'échantillons, entrée et sortie : Entrée et sortie moyennes^ boues
activées et recycl é es^
RELEVÉ DES COMPTEURS
Electriques kwh
HC
P
HP
68 03A
7rt R?«
68 067 33
- 76-903 75
Consommation électriquer
Le jour de l'étude : 108
Le mois précédent :
Energie consommée ^ Kwh par kg de DBO» éliminée.
HorairesP.l
T
PR
Dec.
5233,27
62,2^3089.38
3194,84
9202,3
5257,27
62 293095^58
3206 75
9202,3
2406,2
11^01
0
Débit-metre enregistreur : 1 30 m3
Population raccordée le jour de la visiteSédentaire : 455 branchements
Saisonnière :
Industries raccordées le jour de la visite :
Département de la Gironde Commune de
SERVICE D'ASSISTANCE TECHNIQUEBELIN DCLICT
N" d'identification de la station
33 _0A^__V_001
FICHE DE VISITE BILAN DE LA STATION D'EPURATION
DE : C-O M H u N A L E
Type de station : Lit Bactérien Q Boues Activées ^ Lagunage D
Nom du Technicien : H. JULIEN
Personnes rencontrées : 4Í,. BAILLETDate : 29/30 JUIN 07Météorologie : -BeauTempérature Maxi :3^
Mini :
MESURE DES DÉBITS ET PRÉLÈVEMENTS
Méthode de mesure de débit : Débit-mètre et pompes de relevage-. --
Méthode de prélèvement entrée et sortie : Préleveurs automatiques.
Confection et nombre d'échantillons, entrée et sortie : Entrée et sortie moyennes^ boues
activées et recycl é es^
RELEVÉ DES COMPTEURS
Electriques kwh
HC
P
HP
68 03A
7rt R?«
68 067 33
- 76-903 75
Consommation électriquer
Le jour de l'étude : 108
Le mois précédent :
Energie consommée ^ Kwh par kg de DBO» éliminée.
HorairesP.l
T
PR
Dec.
5233,27
62,2^3089.38
3194,84
9202,3
5257,27
62 293095^58
3206 75
9202,3
2406,2
11^01
0
Débit-metre enregistreur : 1 30 m3
Population raccordée le jour de la visiteSédentaire : 455 branchements
Saisonnière :
Industries raccordées le jour de la visite :
Département de la Gironde Commune de
SERVICE D'ASSISTANCE TECHNIQUESALLES
N" d'identification de la station
.?.T 498 V 001
tl
FICHE DE VISITE BILAN DE LA STATION D'EPURATION
DE : COMMUNALE
Type de station : Lit Bactérien D Boues Activées fe Lagunage Q
Nom du Technicien :
Personnes rencontrées
M.JULIEN
: MM. AVENEAU-CAPI
natfi : 17&18 j.iin 1Q87
Météorologie : Nuageux p 1 ii i p.
Température Maxi :
Mini !
MESURE DES DÉBITS ET PRÉLÈVEMENTS
Méthode de mesure de débit : Compteur horaire.
Méthode de prélèvement entrée et sortie : Préleveurs automatiques.
Confection et nombre d'échantillons, entrée et sortie : Entrée & sortie moyennes
bQU&s_act i véjejSL,&^recyjCLJjé-&fiL^
RELEVÉ DES COMPTEURS Consommation électrique
Le jour de l'étude : 182
Le mois précédent :
Electriques kwh
HC
P
HP
19 136
61 739
19 176
61 881
Energie consommée Kwh par kg de DBO» éliminée.
Horaires
EJ_P.2
_68±0^6836.5
PR^PR.2
Oe».
-11847.JÜ248_,5_
8 U8S8
Í28Í79~
Compt . H/S
11078,5
-6812,6-6839.0
.5-31259,5-
70308,9
JJ^088,0
^2^XJL
AX-XL
24
i^-9WÎ5-
Débit-rfîêtre enregistreur
Population raccordée le jour de la visite :
Sédentaire :
Saisonnière :
Industries raccordées le jour de la visite
Département de la Gironde Commune de
SERVICE D'ASSISTANCE TECHNIQUESALLES
N" d'identification de la station
.?.T 498 V 001
tl
FICHE DE VISITE BILAN DE LA STATION D'EPURATION
DE : COMMUNALE
Type de station : Lit Bactérien D Boues Activées fe Lagunage Q
Nom du Technicien :
Personnes rencontrées
M.JULIEN
: MM. AVENEAU-CAPI
natfi : 17&18 j.iin 1Q87
Météorologie : Nuageux p 1 ii i p.
Température Maxi :
Mini !
MESURE DES DÉBITS ET PRÉLÈVEMENTS
Méthode de mesure de débit : Compteur horaire.
Méthode de prélèvement entrée et sortie : Préleveurs automatiques.
Confection et nombre d'échantillons, entrée et sortie : Entrée & sortie moyennes
bQU&s_act i véjejSL,&^recyjCLJjé-&fiL^
RELEVÉ DES COMPTEURS Consommation électrique
Le jour de l'étude : 182
Le mois précédent :
Electriques kwh
HC
P
HP
19 136
61 739
19 176
61 881
Energie consommée Kwh par kg de DBO» éliminée.
Horaires
EJ_P.2
_68±0^6836.5
PR^PR.2
Oe».
-11847.JÜ248_,5_
8 U8S8
Í28Í79~
Compt . H/S
11078,5
-6812,6-6839.0
.5-31259,5-
70308,9
JJ^088,0
^2^XJL
AX-XL
24
i^-9WÎ5-
Débit-rfîêtre enregistreur
Population raccordée le jour de la visite :
Sédentaire :
Saisonnière :
Industries raccordées le jour de la visite
BOUES
MES g/l
8,5
13,9
MVS g/l
y
/o MVS pH IM çir3/g
112
301
Naturede la boue
B.A.
B.A.di 1 .1/4
B.R.
Test de décantationcm3/l
30 mn
mon
640
60 mn
IOOO
540
Oxygènedissous
mg/l
0 7àl
turbi neen march e
OBSERVATIONS AU MICROSCOPE
Bactéries libres et zooflagellés
Bactéries filamenteuses :
Ciliés libres :
Ciliés fixes
Amibes et Thécamébiens
Rotifères
Vers Nematodes :
Vers Oligochètes :
Aspect du floc :
BOUES
MES g/l
8,5
13,9
MVS g/l
y
/o MVS pH IM çir3/g
112
301
Naturede la boue
B.A.
B.A.di 1 .1/4
B.R.
Test de décantationcm3/l
30 mn
mon
640
60 mn
IOOO
540
Oxygènedissous
mg/l
0 7àl
turbi neen march e
OBSERVATIONS AU MICROSCOPE
Bactéries libres et zooflagellés
Bactéries filamenteuses :
Ciliés libres :
Ciliés fixes
Amibes et Thécamébiens
Rotifères
Vers Nematodes :
Vers Oligochètes :
Aspect du floc :
Département de la Gironde Commune de
MIOSSERVICE D'ASSISTANCE TECHNIQUE
N" d'identification de la station
^.T 284 V 002
tl
FICHE DE VISITE BILAN DE LA STATION D'EPURATION
DE : COMMUNALE
Type de station : Lit Bactérien Q Boues Activées ^ Lagunage Q
Nnm riii Tpfîhnirifin M. JULIEN
Pfirsnnnfis rfinrontréfi-'î : M. AVEN EAU
natfi 16-17 juin 87
Météorologie :
Température Max! :
Mini :
MESURE DES DÉBITS ET PRÉLÈVEMENTS
Méthode de mesure de débit : Compteur horaire,
Méthode de prélèvement entrée et sortie Préleveurs automatiques.
Confection et nombre d'échantillons, entrée et sortie : Entrée et sortie moyennes - boues
actJ-vAes et tecyc Léea.. t,, ',
RELEVÉ DES COMPTEURS
Electriques kwh
HC
P
HP
82 350
41 41699 590
82 416
41 44799 684
= 66
= 31
= 94
Consommation électrique'
Le jour de l'étude : 191 kwh
Le mois précédent :
Energie consommée 3/ 5 Kwh par kg de DBO» éliminée.
HorairesI.l
P.l
P.2
PR.
25 906,7
5 316,95 525 6
18 012,9
25 930,7
5 318,85 528 1
18 024,9
24h
1,92 5
12
Débit-mitre enregistreur
Sédentaire : 380 abonnés.Population raccordée le jour de la visite
Saisonnière
Industries raccordées le jour de la visite :
Département de la Gironde Commune de
MIOSSERVICE D'ASSISTANCE TECHNIQUE
N" d'identification de la station
^.T 284 V 002
tl
FICHE DE VISITE BILAN DE LA STATION D'EPURATION
DE : COMMUNALE
Type de station : Lit Bactérien Q Boues Activées ^ Lagunage Q
Nnm riii Tpfîhnirifin M. JULIEN
Pfirsnnnfis rfinrontréfi-'î : M. AVEN EAU
natfi 16-17 juin 87
Météorologie :
Température Max! :
Mini :
MESURE DES DÉBITS ET PRÉLÈVEMENTS
Méthode de mesure de débit : Compteur horaire,
Méthode de prélèvement entrée et sortie Préleveurs automatiques.
Confection et nombre d'échantillons, entrée et sortie : Entrée et sortie moyennes - boues
actJ-vAes et tecyc Léea.. t,, ',
RELEVÉ DES COMPTEURS
Electriques kwh
HC
P
HP
82 350
41 41699 590
82 416
41 44799 684
= 66
= 31
= 94
Consommation électrique'
Le jour de l'étude : 191 kwh
Le mois précédent :
Energie consommée 3/ 5 Kwh par kg de DBO» éliminée.
HorairesI.l
P.l
P.2
PR.
25 906,7
5 316,95 525 6
18 012,9
25 930,7
5 318,85 528 1
18 024,9
24h
1,92 5
12
Débit-mitre enregistreur
Sédentaire : 380 abonnés.Population raccordée le jour de la visite
Saisonnière
Industries raccordées le jour de la visite :
BOUES
MES g/l
8
13,9
MVS g/l
'y
% MVS pH IM en{i3/g
121
90
Naturede la boue
B.act i vées
R.A.Hj ( ,1//J
Test de décantationcm3/l
30 mn
970
180
60 mn
940
15f^
Oxygènedissous
mg/l
max .surf
1 «imo/l
en pt'ofondeur
0,5m9/l
a
OBSERVATIONS AU MICROSCOPE
Bactéries libres et zooflagellés
Bactéries filamenteuses
Ciliés libres
Ciliés fixes
Amibes et Thécamébiens
Rotifères
Vers Nematodes :
Vers Oligochètes :
Aspect du floc : _
BOUES
MES g/l
8
13,9
MVS g/l
'y
% MVS pH IM en{i3/g
121
90
Naturede la boue
B.act i vées
R.A.Hj ( ,1//J
Test de décantationcm3/l
30 mn
970
180
60 mn
940
15f^
Oxygènedissous
mg/l
max .surf
1 «imo/l
en pt'ofondeur
0,5m9/l
a
OBSERVATIONS AU MICROSCOPE
Bactéries libres et zooflagellés
Bactéries filamenteuses
Ciliés libres
Ciliés fixes
Amibes et Thécamébiens
Rotifères
Vers Nematodes :
Vers Oligochètes :
Aspect du floc : _
' >
ANNEXE 6
ANALYSE CHIMIQUE DE LA NAPPE SUPERFICIELLE A BALANOS
' >
ANNEXE 6
ANALYSE CHIMIQUE DE LA NAPPE SUPERFICIELLE A BALANOS
BORDEAUX
LABORATOIRE MUNICIPAL
t»titut municipal da recl,erch« sur raUenlatíon h,
*<>^P-I. Mini-i,. 4, n,»,^0»* »< rAo«io» N.lionW.* Vatoiwioa d. U bchadM
15/06/83 BHI SIBABP 12ALLEE BOISSIERE33980 AUDENGE
umaine et animale
pa* I* Mjn«f^. a* lé Smii«
N« ANALYSE ;
CHANTILLÓN
BULLETINE06612 A
REÇU LE 30/05/83
D A N A L Y S
~.Î'CASSA?C?.|--" "" ^^^^" - ^^'-^- OE B.LANOS
ANALYSE D.U.E EAU TYPE Z CHIMIE-BACTERIOLOGIE
DENTIFICATION DE L'ECHANTILLON
14, AVENUE DE 3ALAN0S
COMMUNE: LE TEICHDEPARTEMENT: GIRONDELIEU DE PRELEVEMENT:M- CASSAIGNEPOINT D'EAU PRIVEORIGI.JE ûf L'EAU: PUITSPRüFOiNDEüR DU PUITS' 7 McrpccEAU BRUTE «ETRES
<L».. ^ '^* TECHOUEYRES
TEMPERATURE D- L-pm,? ?ï^; ^^ «DEGRES
NALYSE CHIMIQUE
XAMt.N PHY SI UUETURaiDiTECOULEUR00 EU.-^
DEPOT:aSPECT-NATUREPH fcLECTROMETRIQUE
riTRc ALCAUNETRIOUE SIMPLE TAI
CARBONATES EN C03BICARBONATES EN HC03-CHLORURES EN CL-
112 0. JUIN "J'JiSL.-^ !
COUr^RlER ARRIVÉ
S4oA
GOUTTES MASTIC
0HMS/CM2/CM
^G/LMG/LMG/L
32LEGT JAUNE
iNQDrjKbLEGER
5,607475
2,301,30NUL
1,25
NEANT15,2530,10
OUibtURA E/Ei . Í3M DORDEAUX . TÉLÉPa <56) >¡.U.7,
BORDEAUX
LABORATOIRE MUNICIPAL
t»titut municipal da recl,erch« sur raUenlatíon h,
*<>^P-I. Mini-i,. 4, n,»,^0»* »< rAo«io» N.lionW.* Vatoiwioa d. U bchadM
15/06/83 BHI SIBABP 12ALLEE BOISSIERE33980 AUDENGE
umaine et animale
pa* I* Mjn«f^. a* lé Smii«
N« ANALYSE ;
CHANTILLÓN
BULLETINE06612 A
REÇU LE 30/05/83
D A N A L Y S
~.Î'CASSA?C?.|--" "" ^^^^" - ^^'-^- OE B.LANOS
ANALYSE D.U.E EAU TYPE Z CHIMIE-BACTERIOLOGIE
DENTIFICATION DE L'ECHANTILLON
14, AVENUE DE 3ALAN0S
COMMUNE: LE TEICHDEPARTEMENT: GIRONDELIEU DE PRELEVEMENT:M- CASSAIGNEPOINT D'EAU PRIVEORIGI.JE ûf L'EAU: PUITSPRüFOiNDEüR DU PUITS' 7 McrpccEAU BRUTE «ETRES
<L».. ^ '^* TECHOUEYRES
TEMPERATURE D- L-pm,? ?ï^; ^^ «DEGRES
NALYSE CHIMIQUE
XAMt.N PHY SI UUETURaiDiTECOULEUR00 EU.-^
DEPOT:aSPECT-NATUREPH fcLECTROMETRIQUE
riTRc ALCAUNETRIOUE SIMPLE TAI
CARBONATES EN C03BICARBONATES EN HC03-CHLORURES EN CL-
112 0. JUIN "J'JiSL.-^ !
COUr^RlER ARRIVÉ
S4oA
GOUTTES MASTIC
0HMS/CM2/CM
^G/LMG/LMG/L
32LEGT JAUNE
iNQDrjKbLEGER
5,607475
2,301,30NUL
1,25
NEANT15,2530,10
OUibtURA E/Ei . Í3M DORDEAUX . TÉLÉPa <56) >¡.U.7,
./
ANNEXE 7
EVOLUTION PIEZOMETRIQUE OBSERVEE Dû FORAGE Dû MIOCENE
(850-2-79)
./
ANNEXE 7
EVOLUTION PIEZOMETRIQUE OBSERVEE Dû FORAGE Dû MIOCENE
(850-2-79)
I OIi.\Gn-Tn.\ÍOIN :
B. R. G. M.s. G. R. AQUITAINE
Av. Docteur Alborf - Sdiweihef
336C0 PESSAC*-~TéL 80.69.0O
r.ffcctué par :
Repire :
&^ ¿'fâ. Z 73
Relevé des niveaux
^o/:^ / ^ ^^
Date
j /m/anCh)
^J^¿¿
V
-V^r/A^^^y^'jfr)c> . i Jsfè^r. fl . A^ï^n9^ <3 . CN^io
N.P. parrapport
aurepère
^^.D'O'^
- à,^'-»- O.'SiZ'^- ^\ko'^_ ^.Tivv,
Cot;eabsolue
(NGF)\;p ou ND
COTE N G.F. DU REPERE :
N.D. parrapport
aurepère
Débitinstan¬tané enm3/h
2S
1
1
1 '^1
1
1
1
j1
1
1y
1
1
1
Indexcompteur
(en in3 )
-i1/
Observations
.^¿/¿¿¿^ ¿^/4¿/. d^^
/
¿/¿-/ïi-i /)fTu/ùiieu¿7*./ô.Ar^ ^(¿-¿A^^/m
y 1
NP : Niveau piézométrique (foraee au reoosî NT» Nfupaii At.
I OIi.\Gn-Tn.\ÍOIN :
B. R. G. M.s. G. R. AQUITAINE
Av. Docteur Alborf - Sdiweihef
336C0 PESSAC*-~TéL 80.69.0O
r.ffcctué par :
Repire :
&^ ¿'fâ. Z 73
Relevé des niveaux
^o/:^ / ^ ^^
Date
j /m/anCh)
^J^¿¿
V
-V^r/A^^^y^'jfr)c> . i Jsfè^r. fl . A^ï^n9^ <3 . CN^io
N.P. parrapport
aurepère
^^.D'O'^
- à,^'-»- O.'SiZ'^- ^\ko'^_ ^.Tivv,
Cot;eabsolue
(NGF)\;p ou ND
COTE N G.F. DU REPERE :
N.D. parrapport
aurepère
Débitinstan¬tané enm3/h
2S
1
1
1 '^1
1
1
1
j1
1
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1
1
1
Indexcompteur
(en in3 )
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Observations
.^¿/¿¿¿^ ¿^/4¿/. d^^
/
¿/¿-/ïi-i /)fTu/ùiieu¿7*./ô.Ar^ ^(¿-¿A^^/m
y 1
NP : Niveau piézométrique (foraee au reoosî NT» Nfupaii At.
' .ï
ANNEXE 8
. ANALYSE D'EAU DE TYPE 1 Dû FORAGE DE GLTPl
' .ï
ANNEXE 8
. ANALYSE D'EAU DE TYPE 1 Dû FORAGE DE GLTPl
M^^&Vt
rl/
Institut mimîcîpal de recherches sur ralimentation humaine et animale
ém V^DtM^ion Ó* U t»atmiim
l D£AUX Lt 25/011/33 I ÜRGH.,AV. bu DR SCHWEITZER
3600 PESSAC
AwaWe ±,
ANALYSE : E03834 AECHANTILLON : REÇU LE 06/07/83
U DU 06.07.33 OE LE TEICH - PIRAC -ALYSE D'UNE EAU TYPE l.
ANALYSES OFFICIELLESRECTIVE DU CONSEIL
D'EAU TYPE 1
EUROPEEN (30/77d/CEE)
A 14H30MGE.MEUR (LMB)
23 DEGRES
FORAGE
EAU DESTir>:EE AU CHAUFFAGE DE SERRESHORTICJLESCOMMUNE: LE TEICH^DEPARTt.MENT: GIRONDERELEVEMENTSEAU PRELEVEE Lt 06/0T/I9Q3PRELEVEUR: M. RESS3UCHES ITEMPERATURE ATMOSPHERIQUE:PRESSICf-1 ATMOSPHERIQUE: 76Z:VM-PRECIPITaTIO-JS: PERIQOf D'ORaGES
*ORIGINE DE L'EAUNATURE DU POI^JT D'EAU: FORAGEOENOMI/îATIOM LOCALE OU POINT D'EAU:PIRAC N": 1 (cX: MIOS Z SIS)
^'ARACTlR ISTIQUES DU POINT D'EAUCOMMUME: le TEICH . 'OEPARTcMENT: GIRONDELIEU DIT: PIRACCOOROD-vlEES LAMCERT: X=337,183 Y=261,60ALTirUJE CU POIMT DE CaPTAGE NGF: 2=10M ENVSITE GrOLOGIQUE OU TERRAIN AUUIFERE:JURASSI'JUE: PURJcCX. lEN-NATURE DU TERRAIN AQUIFERE: CALCAIRESDOLOMITIjUES.PROFONDEUR DU FORAGE: .1660 M
COTES 'J=J TERRAIN AOUIFERE CAPTE: PERFORA¬TIONS DE - 1731 M A - la5),50 M
0E2IT NATUREL:1o2,0 M3/H - ARTESIEN AU SOLNIVEAU STATIOUE: 6, LU <G/CM2 A 2M/SaL'NAPPE CAPTIVc
<:CARAcrcRiSTi.;'.j;s bu point ue prélèvementCANALISAT I3.N D'cVACUATIC-^ DU FU.-iAGE -DISTANCE UE LA RIVE -EAU PRELEVEE APRtS 30 HEU.-^ES D'ECOULEMENT
à
Í¿
i
VtUn,LEZ ADRESSER TOUTE CORRESPONÜAJs;CE AU DIRECTEURRUE DU PROFESSEUR-VÈZES - JJJOo BORDEAUX - TÉLÉPH. (56) ai.17.71
M^^&Vt
rl/
Institut mimîcîpal de recherches sur ralimentation humaine et animale
ém V^DtM^ion Ó* U t»atmiim
l D£AUX Lt 25/011/33 I ÜRGH.,AV. bu DR SCHWEITZER
3600 PESSAC
AwaWe ±,
ANALYSE : E03834 AECHANTILLON : REÇU LE 06/07/83
U DU 06.07.33 OE LE TEICH - PIRAC -ALYSE D'UNE EAU TYPE l.
ANALYSES OFFICIELLESRECTIVE DU CONSEIL
D'EAU TYPE 1
EUROPEEN (30/77d/CEE)
A 14H30MGE.MEUR (LMB)
23 DEGRES
FORAGE
EAU DESTir>:EE AU CHAUFFAGE DE SERRESHORTICJLESCOMMUNE: LE TEICH^DEPARTt.MENT: GIRONDERELEVEMENTSEAU PRELEVEE Lt 06/0T/I9Q3PRELEVEUR: M. RESS3UCHES ITEMPERATURE ATMOSPHERIQUE:PRESSICf-1 ATMOSPHERIQUE: 76Z:VM-PRECIPITaTIO-JS: PERIQOf D'ORaGES
*ORIGINE DE L'EAUNATURE DU POI^JT D'EAU: FORAGEOENOMI/îATIOM LOCALE OU POINT D'EAU:PIRAC N": 1 (cX: MIOS Z SIS)
^'ARACTlR ISTIQUES DU POINT D'EAUCOMMUME: le TEICH . 'OEPARTcMENT: GIRONDELIEU DIT: PIRACCOOROD-vlEES LAMCERT: X=337,183 Y=261,60ALTirUJE CU POIMT DE CaPTAGE NGF: 2=10M ENVSITE GrOLOGIQUE OU TERRAIN AUUIFERE:JURASSI'JUE: PURJcCX. lEN-NATURE DU TERRAIN AQUIFERE: CALCAIRESDOLOMITIjUES.PROFONDEUR DU FORAGE: .1660 M
COTES 'J=J TERRAIN AOUIFERE CAPTE: PERFORA¬TIONS DE - 1731 M A - la5),50 M
0E2IT NATUREL:1o2,0 M3/H - ARTESIEN AU SOLNIVEAU STATIOUE: 6, LU <G/CM2 A 2M/SaL'NAPPE CAPTIVc
<:CARAcrcRiSTi.;'.j;s bu point ue prélèvementCANALISAT I3.N D'cVACUATIC-^ DU FU.-iAGE -DISTANCE UE LA RIVE -EAU PRELEVEE APRtS 30 HEU.-^ES D'ECOULEMENT
à
Í¿
i
VtUn,LEZ ADRESSER TOUTE CORRESPONÜAJs;CE AU DIRECTEURRUE DU PROFESSEUR-VÈZES - JJJOo BORDEAUX - TÉLÉPH. (56) ai.17.71
L/A15Ui<AiUil<J:!: MUNICIPAL
Institut municipal ¿e recherches sur ralimentation humaine el animale
A^U tmt te «Lnt-.llra é. TAgfloi»».I u iiçÊ.iiton àm tim
A^M r.1 t. Itinitl^. da rtmrant..
25/08/83 HRQM
AV. DU CR SCHWEITZER
3600 PESSAC
. ANALYSE :
CHANTILLÓNE08834
; REÇU LE 06/07/83
LI3RE ARTESIEN -^CAUSES £VEMTUELLES 'JE POLLUTION
- PER.^îANE.VTE: NULLES- NON PERMANENTE: NULLESMODE DE TKANSPl^RT GU PRELEVEMENT:. GLACIERELE 06.07.33 A I6H40HEU?,E OE DEPART: ISH'fO HEU-.E D' ARRIVEE : 16H40ANALYSE COMMENCEE LE 06/07/1983 A 16H45
NALYSE CHIMIQUE«v
DETERHIfiATIONS SUR PLACE (EAU 5RUTE)TEMPERATURE OE L'EAU DEGRETEMPERATURE DE L'AIR DEGREODEURPH ELECTROHETRIQUEPOTENTIEL REDOXGAZ CAReONIUUE LIERE EN C02OXYGENE DISSOUS EN 0HYDROGENE SULFURE EN H2S
ETERMI^ATIO.-;S AU LAJÛRATOI.^ECOULEUR METriCüE AFNORTURDIOITERESISTIVITE A 20 DEGRES C
DE POT: ASPECT-NATUREMATIERES EN SOLUTION ( SU^. EAU 3RUTE)
ExTkAIT SEC A 105-110 DEGRESRESIDU AU ROUGEMATIERES COM'JUSTIdLES
4:DEGRES ET TITRES DIVERSDEGRE HYORJTIMETRIOUE
HYDROT If.ETRIUUEHYDROT IflETRIwÜEHYORjr IMETRICUEHYOROTImETRIjUEALCALIMETRIOUE
HG/LMG/LHG/LHG/L
GOUTTES MASTIC0HMS/CM2/CM
ET VOLATILES
TOTAL ÍTH)PcRMA.-IENTTEMPORAIRECALCI-jUEMAGNESIEN
SIMPLE (TA)ALCALIMET.KICUE complet (TAC)CHIMr:UES DE POLLUTION
AM.^-.ONlACU£,Sf.;LS A.-.MO.NIACAUX EN NH3NITRITES EN NÜ2NITRATES EN N
HG/Lhg/l'MG/L
DEGREDEGREDtGiEDEGRETITRETITi.t
tïINOICiSMG/LHG/LHG/L
73,4028,0
H2S FORTE \^
7,00-172,0
36,30 ^
NEANT13,06 "
INCOLORE145230
FERRIQUE
37003600
100
140,50139,00
1,50106,00
34,50NUL
11,25
1,22NEANTNEANT
VEUILLEZ ADRESSER TOUTE CORRESPONDANCE AU DIRECTEURRUE DU PROFESSEUR-VÈZES - 3i3üü DORDEAUX - T^LÉPiL {5o) 3ia7.7l
L/A15Ui<AiUil<J:!: MUNICIPAL
Institut municipal ¿e recherches sur ralimentation humaine el animale
A^U tmt te «Lnt-.llra é. TAgfloi»».I u iiçÊ.iiton àm tim
A^M r.1 t. Itinitl^. da rtmrant..
25/08/83 HRQM
AV. DU CR SCHWEITZER
3600 PESSAC
. ANALYSE :
CHANTILLÓNE08834
; REÇU LE 06/07/83
LI3RE ARTESIEN -^CAUSES £VEMTUELLES 'JE POLLUTION
- PER.^îANE.VTE: NULLES- NON PERMANENTE: NULLESMODE DE TKANSPl^RT GU PRELEVEMENT:. GLACIERELE 06.07.33 A I6H40HEU?,E OE DEPART: ISH'fO HEU-.E D' ARRIVEE : 16H40ANALYSE COMMENCEE LE 06/07/1983 A 16H45
NALYSE CHIMIQUE«v
DETERHIfiATIONS SUR PLACE (EAU 5RUTE)TEMPERATURE OE L'EAU DEGRETEMPERATURE DE L'AIR DEGREODEURPH ELECTROHETRIQUEPOTENTIEL REDOXGAZ CAReONIUUE LIERE EN C02OXYGENE DISSOUS EN 0HYDROGENE SULFURE EN H2S
ETERMI^ATIO.-;S AU LAJÛRATOI.^ECOULEUR METriCüE AFNORTURDIOITERESISTIVITE A 20 DEGRES C
DE POT: ASPECT-NATUREMATIERES EN SOLUTION ( SU^. EAU 3RUTE)
ExTkAIT SEC A 105-110 DEGRESRESIDU AU ROUGEMATIERES COM'JUSTIdLES
4:DEGRES ET TITRES DIVERSDEGRE HYORJTIMETRIOUE
HYDROT If.ETRIUUEHYDROT IflETRIwÜEHYORjr IMETRICUEHYOROTImETRIjUEALCALIMETRIOUE
HG/LMG/LHG/LHG/L
GOUTTES MASTIC0HMS/CM2/CM
ET VOLATILES
TOTAL ÍTH)PcRMA.-IENTTEMPORAIRECALCI-jUEMAGNESIEN
SIMPLE (TA)ALCALIMET.KICUE complet (TAC)CHIMr:UES DE POLLUTION
AM.^-.ONlACU£,Sf.;LS A.-.MO.NIACAUX EN NH3NITRITES EN NÜ2NITRATES EN N
HG/Lhg/l'MG/L
DEGREDEGREDtGiEDEGRETITRETITi.t
tïINOICiSMG/LHG/LHG/L
73,4028,0
H2S FORTE \^
7,00-172,0
36,30 ^
NEANT13,06 "
INCOLORE145230
FERRIQUE
37003600
100
140,50139,00
1,50106,00
34,50NUL
11,25
1,22NEANTNEANT
VEUILLEZ ADRESSER TOUTE CORRESPONDANCE AU DIRECTEURRUE DU PROFESSEUR-VÈZES - 3i3üü DORDEAUX - T^LÉPiL {5o) 3ia7.7l
/JRDEAUX
LABORATOIRE MUNICIPAL
Institut municipal de recherches sur ralimentation humaine el animale
I h f ^ Valotaaiaaa da la bdwrcft.rtf »ai la U. «ai* <t» U V>f4
Laba«M0*4a da tiJitanca
LE 25/08/83 I BRCMAV- DU DR SCHWEITZER
3600 PESSAC
ANALYSE : E0d934 AECHANTILLON : REÇU LE 06/07/83
PHOSPHATES EN P205MAT. ORGAN. EN MILIEU ALCALIN
<:8ALANCÊ ANIONS-CATIGNS-ANIONS /
ALCALINITE VRAIE EN OH-CARBONATES EN C033ICAR:íONATES en HC03-SULFATES EN SÜ4CHLORURES EM CL- U c
NITRITES EN N32- ^ *-^
NITRATES EN NÜ3-PHOS PHATES EN P04
i:TOTALSILICE EN SI03
-CATIONS \CALCIUM EN CA*+MAGNESIUM EN MG>*SODIUM EN NA*POTASSIUM EN K»AMMONIUM EN NH4+FER EN FE+*MANGANESE EN HN++
i:TOTALALUMINIUM EN AL***
*ETUDE DE L'AGRESSIVITE
EN 0"*
HG/LHG/LMG/LMG/LHG/LMG/LMG/LHG/LMG/LHG/L
HG/LHG/LHG/LHG/LHG/LMG/LHG/LMG/LHG/L
,
ESSAI AU MAR3RE (M) A 20 DEGRESPH ELECTRGMETRIOUEALCALINITE-PHENGLPHTALEINE-cNALCAL INI TE-METHYLO.-IANGE- ENCONCLUSICN SUR L'AGRESSIVITE 1
RECHERCHE ET DOSAGE DES ELEMENTSNOi^XAUX cT tuxiuues
FLUORURES EN FCUIVREZINCPL O.M 3ARSENICMERCUkESELENIUM
C03CACÛ3CA
HG/LMG/L
ME/LME/LME/LME/LME/LHE/LME/LME/LHE/LME/L
ME/LME/LME/LME/LME/LME/LME/LME/LME/L
-
MG/LMG/L
PAR C02
RA.^ES
HG/LKG/LMG/LHG/LMG/LHG/LMG/L
NEANT3,00
MG/LNEANTNEANT
137,251440, OT
798,70NEANTNEANTNEANT
2375,9522,77
KG/L424,00
84, 00630,20
53,751,300,700,20
1194,150,055
AVANT M.7,00
NEANT112,5
1 '-
2,720,0030,003
<0,0010,001
0,000 l<0,002
ME/LNEANTNEANT2,250
30,00022,500
NEANTNEANTNEANT
54,7500,593
ME/L20,120
6,90027,400
1,3750,072
55,3670,006
APRES H.7,06
NEANT120,0
LEGERE
Jf
Íli3
ALYSE BACTERIOLOGIQUE
VEUILLEZ ADRESSER TOUTE CORRESPONDANCE AU DIRECTEURRUE DU PKOFESSEUR-VÈZES - iiJOO BORUEAUX - TÉLÉPH. (56) 81.17.71
/JRDEAUX
LABORATOIRE MUNICIPAL
Institut municipal de recherches sur ralimentation humaine el animale
I h f ^ Valotaaiaaa da la bdwrcft.rtf »ai la U. «ai* <t» U V>f4
Laba«M0*4a da tiJitanca
LE 25/08/83 I BRCMAV- DU DR SCHWEITZER
3600 PESSAC
ANALYSE : E0d934 AECHANTILLON : REÇU LE 06/07/83
PHOSPHATES EN P205MAT. ORGAN. EN MILIEU ALCALIN
<:8ALANCÊ ANIONS-CATIGNS-ANIONS /
ALCALINITE VRAIE EN OH-CARBONATES EN C033ICAR:íONATES en HC03-SULFATES EN SÜ4CHLORURES EM CL- U c
NITRITES EN N32- ^ *-^
NITRATES EN NÜ3-PHOS PHATES EN P04
i:TOTALSILICE EN SI03
-CATIONS \CALCIUM EN CA*+MAGNESIUM EN MG>*SODIUM EN NA*POTASSIUM EN K»AMMONIUM EN NH4+FER EN FE+*MANGANESE EN HN++
i:TOTALALUMINIUM EN AL***
*ETUDE DE L'AGRESSIVITE
EN 0"*
HG/LHG/LMG/LMG/LHG/LMG/LMG/LHG/LMG/LHG/L
HG/LHG/LHG/LHG/LHG/LMG/LHG/LMG/LHG/L
,
ESSAI AU MAR3RE (M) A 20 DEGRESPH ELECTRGMETRIOUEALCALINITE-PHENGLPHTALEINE-cNALCAL INI TE-METHYLO.-IANGE- ENCONCLUSICN SUR L'AGRESSIVITE 1
RECHERCHE ET DOSAGE DES ELEMENTSNOi^XAUX cT tuxiuues
FLUORURES EN FCUIVREZINCPL O.M 3ARSENICMERCUkESELENIUM
C03CACÛ3CA
HG/LMG/L
ME/LME/LME/LME/LME/LHE/LME/LME/LHE/LME/L
ME/LME/LME/LME/LME/LME/LME/LME/LME/L
-
MG/LMG/L
PAR C02
RA.^ES
HG/LKG/LMG/LHG/LMG/LHG/LMG/L
NEANT3,00
MG/LNEANTNEANT
137,251440, OT
798,70NEANTNEANTNEANT
2375,9522,77
KG/L424,00
84, 00630,20
53,751,300,700,20
1194,150,055
AVANT M.7,00
NEANT112,5
1 '-
2,720,0030,003
<0,0010,001
0,000 l<0,002
ME/LNEANTNEANT2,250
30,00022,500
NEANTNEANTNEANT
54,7500,593
ME/L20,120
6,90027,400
1,3750,072
55,3670,006
APRES H.7,06
NEANT120,0
LEGERE
Jf
Íli3
ALYSE BACTERIOLOGIQUE
VEUILLEZ ADRESSER TOUTE CORRESPONDANCE AU DIRECTEURRUE DU PKOFESSEUR-VÈZES - iiJOO BORUEAUX - TÉLÉPH. (56) 81.17.71
LABORATOIRE MUNICIPAL
Institut municipal de recherches sur ralimentation humaine el animale
AqM pv la Wioiul*. da TAgiicuK*.Sank, da te fipiauMii daf lia>KÍn
A^U p.. ta Minittka <ta rltxiiAgf¿4 pa< TAgw^ca Nai.ontlada Vakxaalavi da U JU<:^a«í>.
labo«*^»»a V^iOAaltigM paf U MiArtiàra da U Santd
l.tM««fo.fa da lá<«ianca
CROEAUX LE 25/08/83 I ÔRG/M
AV. OU UR SCHWEITZER
3600 PESSAC
- ANALYSE :ECHANTILLON
E08d34 A
REÇU LE 06/07/83
RESULTATS AU MLGERMES TOTAUXGE.RMES TOTAUX
RESULTATS OANS 1
BACTERIES COLESPECES IDErJT
ESCHERICHIACITROBaCTER
KLt5SIENTERO
STREPTOCCLOSTRIDRECHERCH
BACTERBACTER
RECHERCHRECHERCH
ELLA6DACTEOQUESIUM S
E OElOPHAlOPHAE DEE DES
APRESAPRES
OO.MLI FORMESIFIEES:
COLIÍ I:E.FREÜ
E-INTEI^'VIC)Rd.-IVIC
FECAUXULFITORBACTERIGES COLGES SHISPOROVI
EACTER
24H A 37 DEGRES72H A 22 DEGRES
(LACTOSE BROTH)
.^VIC)NOI It IMVIC)RMEOlAt IMVIC)
)
(LITSKY ET SUTTIAUX)EúüCTEURSÍVF SULFITECPHAGES FECAUXKOANS 50ML)GELLAiOANS 50ML)tRIÙ ÜESULFURICANSIES DU FER
00
NEANT
NEANTNEANTNEANTNEANTNEANTNEANTNEANT
NEGATIVENEGATIVENEGATIVENEGATIVENEGATIVE
EAU FORTEMENT MINERALISEE, RICHE EN SULFATES,ET DE TEMPERATURE ELEVEE.ON NOTE. LA PRESENCE D'Uf^E QUANTITE IMPORTANTED'HYD.RUGE.ME SULFURE ET UN TAUX NOTAfîLE EN FERSUIVANT L'UTILISATION OE CETTE EAU DEVRONT
TRE PRISES EN CUNSIOERAT ION SES PARTICULARI-ES. -
LE DIRECTEUR, J.G FAUGERE
VEUILLEZ ADRESSER TOUTE CORRESPONDANCE AU DmECTEURRUE DU PKOKE5SEUR-VÈZES Í3J00 ÜOKÜEAUX - TtLÉPIL (56) «1.17.71
LABORATOIRE MUNICIPAL
Institut municipal de recherches sur ralimentation humaine el animale
AqM pv la Wioiul*. da TAgiicuK*.Sank, da te fipiauMii daf lia>KÍn
A^U p.. ta Minittka <ta rltxiiAgf¿4 pa< TAgw^ca Nai.ontlada Vakxaalavi da U JU<:^a«í>.
labo«*^»»a V^iOAaltigM paf U MiArtiàra da U Santd
l.tM««fo.fa da lá<«ianca
CROEAUX LE 25/08/83 I ÔRG/M
AV. OU UR SCHWEITZER
3600 PESSAC
- ANALYSE :ECHANTILLON
E08d34 A
REÇU LE 06/07/83
RESULTATS AU MLGERMES TOTAUXGE.RMES TOTAUX
RESULTATS OANS 1
BACTERIES COLESPECES IDErJT
ESCHERICHIACITROBaCTER
KLt5SIENTERO
STREPTOCCLOSTRIDRECHERCH
BACTERBACTER
RECHERCHRECHERCH
ELLA6DACTEOQUESIUM S
E OElOPHAlOPHAE DEE DES
APRESAPRES
OO.MLI FORMESIFIEES:
COLIÍ I:E.FREÜ
E-INTEI^'VIC)Rd.-IVIC
FECAUXULFITORBACTERIGES COLGES SHISPOROVI
EACTER
24H A 37 DEGRES72H A 22 DEGRES
(LACTOSE BROTH)
.^VIC)NOI It IMVIC)RMEOlAt IMVIC)
)
(LITSKY ET SUTTIAUX)EúüCTEURSÍVF SULFITECPHAGES FECAUXKOANS 50ML)GELLAiOANS 50ML)tRIÙ ÜESULFURICANSIES DU FER
00
NEANT
NEANTNEANTNEANTNEANTNEANTNEANTNEANT
NEGATIVENEGATIVENEGATIVENEGATIVENEGATIVE
EAU FORTEMENT MINERALISEE, RICHE EN SULFATES,ET DE TEMPERATURE ELEVEE.ON NOTE. LA PRESENCE D'Uf^E QUANTITE IMPORTANTED'HYD.RUGE.ME SULFURE ET UN TAUX NOTAfîLE EN FERSUIVANT L'UTILISATION OE CETTE EAU DEVRONT
TRE PRISES EN CUNSIOERAT ION SES PARTICULARI-ES. -
LE DIRECTEUR, J.G FAUGERE
VEUILLEZ ADRESSER TOUTE CORRESPONDANCE AU DmECTEURRUE DU PKOKE5SEUR-VÈZES Í3J00 ÜOKÜEAUX - TtLÉPIL (56) «1.17.71
'/
ANNEXE 9
ZNIEFF DE TYPE 2 DES VALLEES DE LA GRANDE ET
DE LA PETITE LEYRE
'/
ANNEXE 9
ZNIEFF DE TYPE 2 DES VALLEES DE LA GRANDE ET
DE LA PETITE LEYRE
/ INVENTAIRE DES ZONES NATURELLES
D'INTERETS ECOLOGIQUE, FAUNISTIQUE, FLORISTIQUE
MINISTERE DE L'ENVIRONNEMENT-SECRETARIAT FAUNE-FLORE
1. REGION ADMINISTRATIVE 2. NUMERO DE ZONE
\lo^-rA\ . . . I
3. AUTEUR DE LA DESCRIPTION ([,,,, J j
A.Q,^, I .r.ft-, i.M.e. -I I ' t ' I J I L. -J 1 1 I t I
I L. lllllll I I I ( I I -I 1 I I I ' ' ' 'I 1
4. DATE DE DESCRIPTION
annéc(5) mois
s. UX:f>LI SATION a)départeme.Tt (s) et cocanune (s) concernant la :one
.l^.is'.G^Â.
I . .05.-, , ,^,oib) altitude (s) I l i v i^ ! I l 1^7 i*^ I c) superf icie (en ha)
d) JOINDRE UNE PHOTOCOPIE REFERENCEE DE CARTE IGN AVEC CONTOUR ET N* DE LA ZONE
I tA^tOtCtO] I
6. DESCRIPTION a)no."ai^de la zone b) source de la description : voir § 9
(L J L j)IT.A-, k.L.ç.g.S, .P.g-, ,U.A: .C^.A^^/P.^ ,¤:-T-. ,P,Ç,T,^ ,T.¤. . L.F, r.f^.Ç", . ,
1 I i t_ ' lll II ( I I I ] I I I I 1 J I I I i_ 'l'I (_ 'l'I L.
c)TYFOUX:iE DESCRIPTIVEGENERALE..
d) LITHOLOGIE GENERALE.
e)ACTIVI7ES HUMAINES
f) MESURES D'AMENAGEMENT DEGESTION ET DE PROTECTION....
g)S7ATUT DE PROPRIETE
h) DESC.tîIPTION ECOLOGIQUE
1. A l'intérieur de la zone
1 . i^.4|/l.>|4,X!/l,5|2f^|3,0|
|0,C 1 , 1 , 1 , 1 , 1 , 1 , 1
|0,U |0,>,/(,^| ,1,1,1,11,1,1.1,1,1,1,1
1.1,1,1,1,1.1,1
2 . En périphérie de la zone
I2.,'1I2,V-l^,6|o,íf| , i , 1
10,^1 , 1 . 1 , 1 . 1 . 1
\o,^\ OfL\os \o,^\o,3\A,A 1 1
1.1,1.1,1,1,11 , 1 , 1 . 1 . 1 . 1 1 1
1
1
^1
1
teurs écologiques _ i^^i^_ J^Ctí^Júí^J-,^ ^ _ Jc^l^Ur. . ^¿Ü4^_ .k^ ^^A^ _4f?V^-|2
£ ^ Al ^ùiiJk-1 - _ - fAiu'i/jiy _ -li^vy^ d^ ^ _ _ uW^ . _ (¿^ >^_' /i_ ¿Z _ wp.C'.^'i-.
K . tMSi^..fJi. AtSy^ ô^^ X . JLA<is^ . l^óéi P. L^ C>? ûL'J^ . ^ _ pr>¿JÍL. A^'.ùQk -
Type (s) de milieu(x) ; sec
nomenclature phytosociologicue
étaçe et série de végétation (avec ref. de la carte de la vég. CNRS) líí.
autre classification ou typologie (noter la référence)
i) AUTRES ELEMENTS DESCRIPTIFS DE LA ZONE :
Fornulaire S. F. F. n*305 T.S.V.P.
I / I
unr / '/ /j-JZ
/ INVENTAIRE DES ZONES NATURELLES
D'INTERETS ECOLOGIQUE, FAUNISTIQUE, FLORISTIQUE
MINISTERE DE L'ENVIRONNEMENT-SECRETARIAT FAUNE-FLORE
1. REGION ADMINISTRATIVE 2. NUMERO DE ZONE
\lo^-rA\ . . . I
3. AUTEUR DE LA DESCRIPTION ([,,,, J j
A.Q,^, I .r.ft-, i.M.e. -I I ' t ' I J I L. -J 1 1 I t I
I L. lllllll I I I ( I I -I 1 I I I ' ' ' 'I 1
4. DATE DE DESCRIPTION
annéc(5) mois
s. UX:f>LI SATION a)départeme.Tt (s) et cocanune (s) concernant la :one
.l^.is'.G^Â.
I . .05.-, , ,^,oib) altitude (s) I l i v i^ ! I l 1^7 i*^ I c) superf icie (en ha)
d) JOINDRE UNE PHOTOCOPIE REFERENCEE DE CARTE IGN AVEC CONTOUR ET N* DE LA ZONE
I tA^tOtCtO] I
6. DESCRIPTION a)no."ai^de la zone b) source de la description : voir § 9
(L J L j)IT.A-, k.L.ç.g.S, .P.g-, ,U.A: .C^.A^^/P.^ ,¤:-T-. ,P,Ç,T,^ ,T.¤. . L.F, r.f^.Ç", . ,
1 I i t_ ' lll II ( I I I ] I I I I 1 J I I I i_ 'l'I (_ 'l'I L.
c)TYFOUX:iE DESCRIPTIVEGENERALE..
d) LITHOLOGIE GENERALE.
e)ACTIVI7ES HUMAINES
f) MESURES D'AMENAGEMENT DEGESTION ET DE PROTECTION....
g)S7ATUT DE PROPRIETE
h) DESC.tîIPTION ECOLOGIQUE
1. A l'intérieur de la zone
1 . i^.4|/l.>|4,X!/l,5|2f^|3,0|
|0,C 1 , 1 , 1 , 1 , 1 , 1 , 1
|0,U |0,>,/(,^| ,1,1,1,11,1,1.1,1,1,1,1
1.1,1,1,1,1.1,1
2 . En périphérie de la zone
I2.,'1I2,V-l^,6|o,íf| , i , 1
10,^1 , 1 . 1 , 1 . 1 . 1
\o,^\ OfL\os \o,^\o,3\A,A 1 1
1.1,1.1,1,1,11 , 1 , 1 . 1 . 1 . 1 1 1
1
1
^1
1
teurs écologiques _ i^^i^_ J^Ctí^Júí^J-,^ ^ _ Jc^l^Ur. . ^¿Ü4^_ .k^ ^^A^ _4f?V^-|2
£ ^ Al ^ùiiJk-1 - _ - fAiu'i/jiy _ -li^vy^ d^ ^ _ _ uW^ . _ (¿^ >^_' /i_ ¿Z _ wp.C'.^'i-.
K . tMSi^..fJi. AtSy^ ô^^ X . JLA<is^ . l^óéi P. L^ C>? ûL'J^ . ^ _ pr>¿JÍL. A^'.ùQk -
Type (s) de milieu(x) ; sec
nomenclature phytosociologicue
étaçe et série de végétation (avec ref. de la carte de la vég. CNRS) líí.
autre classification ou typologie (noter la référence)
i) AUTRES ELEMENTS DESCRIPTIFS DE LA ZONE :
Fornulaire S. F. F. n*305 T.S.V.P.
I / I
unr / '/ /j-JZ
< 'ERET Synthèse des éléments précisant le niveau d'intérêt : aspects biologique (voir liste d'espèces),écologique, géologique, pédologique, géomorphologique, hydrobiologique, climatique, paysager,spéléologique, pédagogique etc..
-^ - --'t- ^ i --.
.¿A.. Lf^Xl. .lJr..JljL M .)i5v . J!_ [u_f¿\ -
tialit¿s biologiques de la zone
GRADATIONS ET MENACES ; PROTECTION SOUHAITEE,
iradations réalisées, en cours ou crévisibles
lA^^J^.\a^L^.ïidL..AL-l-^-^^:Jl!-'}^.-.k^.S^Jê^ ,
lité et urgence d'une protection , forme souhaitable ; protection en cours
BLIOGRAPHIE Références bibliographiques conplètes concernant la zone.
S¤ü n. . N./irTJP./yAL. - P/it i^ Tsi L¿^ .fi .^t-i26£:ll r. . 7 . A6A ^_ j . . .^_^.d^"i4i"¿^^ . i.oáp.y.
LÜJ.222X.....ÚJ. -^ 't t ..y!^ri!^..A^-j^}U^jdC^.-J^.CJrQ:^£.¤..ái2.í:^.dmí¿^--^kf
i^.T£_oU.i?k^a^i^-..SS.^ai;o.- .-
lEXES
mbrc d'anncxcs
méro d'annexé I >-
< 'ERET Synthèse des éléments précisant le niveau d'intérêt : aspects biologique (voir liste d'espèces),écologique, géologique, pédologique, géomorphologique, hydrobiologique, climatique, paysager,spéléologique, pédagogique etc..
-^ - --'t- ^ i --.
.¿A.. Lf^Xl. .lJr..JljL M .)i5v . J!_ [u_f¿\ -
tialit¿s biologiques de la zone
GRADATIONS ET MENACES ; PROTECTION SOUHAITEE,
iradations réalisées, en cours ou crévisibles
lA^^J^.\a^L^.ïidL..AL-l-^-^^:Jl!-'}^.-.k^.S^Jê^ ,
lité et urgence d'une protection , forme souhaitable ; protection en cours
BLIOGRAPHIE Références bibliographiques conplètes concernant la zone.
S¤ü n. . N./irTJP./yAL. - P/it i^ Tsi L¿^ .fi .^t-i26£:ll r. . 7 . A6A ^_ j . . .^_^.d^"i4i"¿^^ . i.oáp.y.
LÜJ.222X.....ÚJ. -^ 't t ..y!^ri!^..A^-j^}U^jdC^.-J^.CJrQ:^£.¤..ái2.í:^.dmí¿^--^kf
i^.T£_oU.i?k^a^i^-..SS.^ai;o.- .-
lEXES
mbrc d'anncxcs
méro d'annexé I >-
ällt GlUlíi (OU"*! f*'"-„ jßZS}] ^^"
,- # ) ' ^ J a . ^ j t a , jMrt^"« *SíF(Jinon
./
ANNEXE 10
ZNIEFF DE TYPE 1 DE LA ZONE INONDABLE DE LA BASSE VALLEE
DE L'EYRE
./
ANNEXE 10
ZNIEFF DE TYPE 1 DE LA ZONE INONDABLE DE LA BASSE VALLEE
DE L'EYRE
/ INVENTAIRE DES ZONES NATURELLES
D'INTERETS ECOLOGIQUE, FAUNISTIQUE, FLORISTIQUE
MINISTERE DE L'ENVIRONNEMEKT-SECRETARIAT FAUNE-FLORE
1. REGION ADMINISTRATIVE
A¿?U Í TA < i^^
(l I . . . l)3. AUTEUR DE LA DESCRIPTION
|C,o,(n. i.TT^, ,9,^.^. ,^^J,^/.^.^/|7^fr-.-(,Tl^^.S, Ar,^,^.i XAr. (. fJ.g
I ' I ' I ' I I , L__I . I , ' ' ' . I I I . I I I ' I I I .
2. NUMERO DE ZONE
K.O.W.-^IO.O.n, VII 1
4. DATE DE DESCRIPTION
année (s) mois
5.lX>:i\LISATI0N a) département (s) et commune (s) concernant la zone
LRrJ.P.eÂ
.fAC.Tv_ ^£^ . _i t_r.^_\_ÇJi_^_}ALû-S> .
b) altitude (s) I l t i -^ i I . 1-^ l*^ I c) superficie (en ha) | l 1 ¿àili^J I
J
d) JOINDRE UNE PHOTOCOPIE REFERENCEE DE CARTE IGN AVEC CONTOUR ET N* DE LA ZONE
6. DESCRIPTION a) nom de la zone b) source de la description : voir § 9
(L J l I L
l^,¿p,^f,tg:, .1 .^',o,^'.:).A,5,L,¤. ,P.¤. ,L,A, ,6. .A-.S.S ,g. >>. L.L,e,e-| . P,g, .
j). /L,e,r,^.¤ I r I I I I I I I I 1 I I I I I I I I I I I I I . I . I I I
c) TYPOLOGIE DESCRIPTIVEGEf.-ERALE ...
d) LITHOLOGIE GENERALE.
e) ACTIVITES HUMAI rJES
f) KESUP.es d ' A.'IEKAGEMEt.T DEGESTION ET DE PROTECTION..
ç)STATL.T DE PROPRIETE
h) DESCRIPTION ECOLOGIQUE
1. A l'intérieur de la zone
\A,{=\A,^>^\^
^^1 I
iO,Q-i ^.TiOIII'
M.
llA
^\z
I±
-1i3',oi , I
I I 1
2 . En périphérie de la zone
L^AlLilLlMl\0,A\D ,2! g,
0-11,^1
S"|o,ViO ^ M.-^Kl,3iJ L_j_
Type(s) de railieu(x) ; secteurs écologiques __ XItlÍa-Ív.-. jil iy^^2dZ^A^i4 _. 1 ._ L^ÍD£-¿t -i'.'^^
r.or.encl ature phy tosociolog ique
éta=e et série de végétation (avec ref. de la carte de la vég. OJRS) -^LL i^. _'^^\ .£i^C*^_ _^. V^.^ .'Ít.- t£jliy: :
letj^'UlS.vî^ .¿S^ ]r2: 4.-^. -Ot- .a - \i^Q- C^ .^ 4<^'^- -'i . JW.Li_ tJi-yylfL .>vlrfâ^" -¿|.^-? J. >û-.".e^ . «¿k . ., ., , , , r- , (>UÜM. LC^Íjv'^íXvJí'.autre classification ou typologie (noter la reference) \- -
i) AUTRES ELEMENTS DESCRIPTIFS DE LA ZONE :
Formulaire S. F. F. n*305 T.S.V.P.
/ / /l/l I / I 1/ I 1/
UA. i /i J lXJ-
/ INVENTAIRE DES ZONES NATURELLES
D'INTERETS ECOLOGIQUE, FAUNISTIQUE, FLORISTIQUE
MINISTERE DE L'ENVIRONNEMEKT-SECRETARIAT FAUNE-FLORE
1. REGION ADMINISTRATIVE
A¿?U Í TA < i^^
(l I . . . l)3. AUTEUR DE LA DESCRIPTION
|C,o,(n. i.TT^, ,9,^.^. ,^^J,^/.^.^/|7^fr-.-(,Tl^^.S, Ar,^,^.i XAr. (. fJ.g
I ' I ' I ' I I , L__I . I , ' ' ' . I I I . I I I ' I I I .
2. NUMERO DE ZONE
K.O.W.-^IO.O.n, VII 1
4. DATE DE DESCRIPTION
année (s) mois
5.lX>:i\LISATI0N a) département (s) et commune (s) concernant la zone
LRrJ.P.eÂ
.fAC.Tv_ ^£^ . _i t_r.^_\_ÇJi_^_}ALû-S> .
b) altitude (s) I l t i -^ i I . 1-^ l*^ I c) superficie (en ha) | l 1 ¿àili^J I
J
d) JOINDRE UNE PHOTOCOPIE REFERENCEE DE CARTE IGN AVEC CONTOUR ET N* DE LA ZONE
6. DESCRIPTION a) nom de la zone b) source de la description : voir § 9
(L J l I L
l^,¿p,^f,tg:, .1 .^',o,^'.:).A,5,L,¤. ,P.¤. ,L,A, ,6. .A-.S.S ,g. >>. L.L,e,e-| . P,g, .
j). /L,e,r,^.¤ I r I I I I I I I I 1 I I I I I I I I I I I I I . I . I I I
c) TYPOLOGIE DESCRIPTIVEGEf.-ERALE ...
d) LITHOLOGIE GENERALE.
e) ACTIVITES HUMAI rJES
f) KESUP.es d ' A.'IEKAGEMEt.T DEGESTION ET DE PROTECTION..
ç)STATL.T DE PROPRIETE
h) DESCRIPTION ECOLOGIQUE
1. A l'intérieur de la zone
\A,{=\A,^>^\^
^^1 I
iO,Q-i ^.TiOIII'
M.
llA
^\z
I±
-1i3',oi , I
I I 1
2 . En périphérie de la zone
L^AlLilLlMl\0,A\D ,2! g,
0-11,^1
S"|o,ViO ^ M.-^Kl,3iJ L_j_
Type(s) de railieu(x) ; secteurs écologiques __ XItlÍa-Ív.-. jil iy^^2dZ^A^i4 _. 1 ._ L^ÍD£-¿t -i'.'^^
r.or.encl ature phy tosociolog ique
éta=e et série de végétation (avec ref. de la carte de la vég. OJRS) -^LL i^. _'^^\ .£i^C*^_ _^. V^.^ .'Ít.- t£jliy: :
letj^'UlS.vî^ .¿S^ ]r2: 4.-^. -Ot- .a - \i^Q- C^ .^ 4<^'^- -'i . JW.Li_ tJi-yylfL .>vlrfâ^" -¿|.^-? J. >û-.".e^ . «¿k . ., ., , , , r- , (>UÜM. LC^Íjv'^íXvJí'.autre classification ou typologie (noter la reference) \- -
i) AUTRES ELEMENTS DESCRIPTIFS DE LA ZONE :
Formulaire S. F. F. n*305 T.S.V.P.
/ / /l/l I / I 1/ I 1/
UA. i /i J lXJ-
fJTERET Synthèse des éléments précisant le niveau d'intérêt : aspects biologique (voir liste d'espèces)écologique, géologique, pédologique, géomorphologique, hydrobiologique, climatique, paysager,spéléologique, pédagogique etc.. /
,^v^.j^J\y^2¿^.-^..p\\:^..fí'^^^n ,?sí^.i,<^u^.f.^^^!J^.d''^.ji¿i.yí^^.t^.l^ .¿Í0.'lr?.k--'^-(?:!ÍOav^.t-4.P?írv_JLi._.Á^<fc._:^^
JLk..Â:i-us>>Jt:i.A'Aû^.Sii<.'j^}rXûï>\^..
Potentialités biologiques de la zone
/' /' / /''/ / 1/ / '/8. DEGRADATIONS ET MENACES : PROTECTION SOUHAITEE.
Dégradations réalisées, en cours ou prévisibles
Utilité et urgence d'une protection , forae souhaitable ; protection en cours
I / I
//'/ '/^,9. BIBLIOGRAPHIE Références bibliographiques complètes concernent la zone.
l 10 .a:)!,JEXES
a) nombre d'annexés I I
b)nu.Tiéro d'à nnexe I ' '
fJTERET Synthèse des éléments précisant le niveau d'intérêt : aspects biologique (voir liste d'espèces)écologique, géologique, pédologique, géomorphologique, hydrobiologique, climatique, paysager,spéléologique, pédagogique etc.. /
,^v^.j^J\y^2¿^.-^..p\\:^..fí'^^^n ,?sí^.i,<^u^.f.^^^!J^.d''^.ji¿i.yí^^.t^.l^ .¿Í0.'lr?.k--'^-(?:!ÍOav^.t-4.P?írv_JLi._.Á^<fc._:^^
JLk..Â:i-us>>Jt:i.A'Aû^.Sii<.'j^}rXûï>\^..
Potentialités biologiques de la zone
/' /' / /''/ / 1/ / '/8. DEGRADATIONS ET MENACES : PROTECTION SOUHAITEE.
Dégradations réalisées, en cours ou prévisibles
Utilité et urgence d'une protection , forae souhaitable ; protection en cours
I / I
//'/ '/^,9. BIBLIOGRAPHIE Références bibliographiques complètes concernent la zone.
l 10 .a:)!,JEXES
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LISTE DES ESPECES
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COnES TAXONOMIQUES S. F. F.
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AtOyl(^\^St^^:( )
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INVEhfTAIRE DES ZONES NATURELLES 1D'INTERETS ECOLOGIQUE FAUNISTIOUE FLOR1STIOUE|
ere1 , liqne : nomenclature Imnéenne : genre espace2 liqne "^cotations et abondance. .^^^ , auteur et date!.
1 rareté dip 2 rareté rég. 3 statut et. 4 aoondance dans la zone
NUMEHO nr. ZONF. (rappel)
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INVEhfTAIRE DES ZONES NATURELLES 1D'INTERETS ECOLOGIQUE FAUNISTIOUE FLOR1STIOUE|
ere1 , liqne : nomenclature Imnéenne : genre espace2 liqne "^cotations et abondance. .^^^ , auteur et date!.
1 rareté dip 2 rareté rég. 3 statut et. 4 aoondance dans la zone
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ANNEXE 11
SITE GENERALISE DÜ VAL DE L'EYRE ET DES VALLEES DE LA LEYRE
1
ANNEXE 11
SITE GENERALISE DÜ VAL DE L'EYRE ET DES VALLEES DE LA LEYRE
« Château Picon/Cüle.s tltt l'icoii », la li,nite ilo licuxdits « la Tuquo/ilôli-de Picoii », le ruisseau de la Gravouze jusqu'à son débouché sur la ri\c{ruuclx- dp la Dordopno (point dp départ) \S. Inn. : -t juillet 1ÍJ781.
Eynesse et Saiiit-Aiidrc-ct-ApiieHcs. li,isoniblr r.inné pur li- .w- <li-coteaux de la Dordogne, délimité comme suit, dans le sens des aiguilles d'uiifmontre :
Commune d'Eynesse : section AB : à partir de l'intersection du CD. n" I .'{() dePuisseguin à Sainte-Foy-la-Crande avec le ruisseau (limite de la parcellen" 2Ü), le ruisseau, la rive gauche de la Dordogne jusqu'au ruisseau la
Gravouze (limite du site inscrit de Picon); section ZC (au-delà du site ¡narrlide Picon) : la limite des parcelles n"" 7, 8, 9, 10, le CD. n" 130 d'Kynesse à
Saint-André-et-Appelles, la '.imite des parcelles n" 28, 2G, 2ha, 22. 2 la. 1!).
18e (non comprises), les limites de la parcelle n" 12.
Commune de Saint-André-et-Appelles : section .AC : la rive gauche de liiDordogne, la limite des parcelles n'" 13, 12, 262, le CD. n" 130 de Puisse¬
guin à Sainte-Foy-la-Grande, les limites de la pacelle n" 261 (non comprise),la limite de la parcelle n" 9, le chemin rural de Picon à Báby, la li,nite dé In
parcelle n" 244, le chemin rural (limite de commune).
Commune d'Eynesse : .section ZC : le chemin rural (limite de cominuiie). la
limite de la parcelle n" 36 (limite du site inscrit de Picon); section .-Xli (mí¬
dela du site inscrit de Picon) : le ruisseau la Gravouze, la limite des parcellesn'" 157, 156, 145, 144, 137, 136, le CD. n" 130 de Puisseguin à Saintc-Fox-la-Grande,- les limites des parcelles n"" 35, 34, le CD. n" 130 de Puisseguin à
Sainte-Foy-la-Grande jusqu'à son intersection avec le ruisseau (limite <lo laparcelle i," 26) point t\c dépari (.S. //¡s. ; 27 «léccnibrc l!)82).
Eyre (\al de V). Val de TEvre et vallées de la Leyre, ensemble s'étendantsur le territoire des communes de Béliet, Belin, Biganos, Le Teich, Lugos. Mios.Salles (et sur lê territoire des communes d'Argelouse, Belhade, Commensacq.Moustey, Pissos, Richet, Sabres, Saugnac-et-Murel, Sore, Trensacq dans ledépartement des Landes) et délimité comme suit dans le sens des aiguillesd'une montre en partant du nord : la rivière la Leyrê; le ruisseau de l'F.Ngat: leruisseau de Lacanau; la voie ferrée de Facture à Saint-Symphoricn: la H.N.n" 10 de Bordeaux à Saint-Jean-Pied-de-Port; la R.D. n" 1 IÓ; le C.V.O. n" ."> deToutin au Meynieu; le C.V.O. n" 18 (D. UO E) de Joué au Mevnieu: la U.I).n" 134; la R.D. n" 120; la R.N. n" 651; la R.D. n" 43; la piste n" 244; la pisten"2ô; la route de Lacrottc; la R.D. n" 20; la R.N. n" 626; la R.D. n" II: laR.D. n" 77; la rivière grande Leyre; la^oie du chemin de fer de Sabres à
Conimensacq; le ruisseau du Mougnocq; la R.D. n" 34; la R.D. n"20: la R.N.n" 10; le CV.O. n" 12 de Mesplet à Mons; la R.D. n" UO; la R.D. n" 108: leC.G.C n" 3 E de Salles à Candes; le C.V.O. n" 15 de Caplanne: les cheminsruraux depuis le CV.O. n" 15 jusqu'à la rencontre de la rivière la Leyn*: la
; rivière de la LevTe; le bras de la LejTC; le ruisseau (petit bras de la Lryn-). depuis le bras de la Le\Te jusqu'à la rivière la Lèvre (|K>int de départ) \S. ¡ns. :22 ji,in 19731. " ' ' -
Fa. ite. Ancienne abbaye. \oir : Artigues-de-Lussac.
« Château Picon/Cüle.s tltt l'icoii », la li,nite ilo licuxdits « la Tuquo/ilôli-de Picoii », le ruisseau de la Gravouze jusqu'à son débouché sur la ri\c{ruuclx- dp la Dordopno (point dp départ) \S. Inn. : -t juillet 1ÍJ781.
Eynesse et Saiiit-Aiidrc-ct-ApiieHcs. li,isoniblr r.inné pur li- .w- <li-coteaux de la Dordogne, délimité comme suit, dans le sens des aiguilles d'uiifmontre :
Commune d'Eynesse : section AB : à partir de l'intersection du CD. n" I .'{() dePuisseguin à Sainte-Foy-la-Crande avec le ruisseau (limite de la parcellen" 2Ü), le ruisseau, la rive gauche de la Dordogne jusqu'au ruisseau la
Gravouze (limite du site inscrit de Picon); section ZC (au-delà du site ¡narrlide Picon) : la limite des parcelles n"" 7, 8, 9, 10, le CD. n" 130 d'Kynesse à
Saint-André-et-Appelles, la '.imite des parcelles n" 28, 2G, 2ha, 22. 2 la. 1!).
18e (non comprises), les limites de la parcelle n" 12.
Commune de Saint-André-et-Appelles : section .AC : la rive gauche de liiDordogne, la limite des parcelles n'" 13, 12, 262, le CD. n" 130 de Puisse¬
guin à Sainte-Foy-la-Grande, les limites de la pacelle n" 261 (non comprise),la limite de la parcelle n" 9, le chemin rural de Picon à Báby, la li,nite dé In
parcelle n" 244, le chemin rural (limite de commune).
Commune d'Eynesse : .section ZC : le chemin rural (limite de cominuiie). la
limite de la parcelle n" 36 (limite du site inscrit de Picon); section .-Xli (mí¬
dela du site inscrit de Picon) : le ruisseau la Gravouze, la limite des parcellesn'" 157, 156, 145, 144, 137, 136, le CD. n" 130 de Puisseguin à Saintc-Fox-la-Grande,- les limites des parcelles n"" 35, 34, le CD. n" 130 de Puisseguin à
Sainte-Foy-la-Grande jusqu'à son intersection avec le ruisseau (limite <lo laparcelle i," 26) point t\c dépari (.S. //¡s. ; 27 «léccnibrc l!)82).
Eyre (\al de V). Val de TEvre et vallées de la Leyre, ensemble s'étendantsur le territoire des communes de Béliet, Belin, Biganos, Le Teich, Lugos. Mios.Salles (et sur lê territoire des communes d'Argelouse, Belhade, Commensacq.Moustey, Pissos, Richet, Sabres, Saugnac-et-Murel, Sore, Trensacq dans ledépartement des Landes) et délimité comme suit dans le sens des aiguillesd'une montre en partant du nord : la rivière la Leyrê; le ruisseau de l'F.Ngat: leruisseau de Lacanau; la voie ferrée de Facture à Saint-Symphoricn: la H.N.n" 10 de Bordeaux à Saint-Jean-Pied-de-Port; la R.D. n" 1 IÓ; le C.V.O. n" ."> deToutin au Meynieu; le C.V.O. n" 18 (D. UO E) de Joué au Mevnieu: la U.I).n" 134; la R.D. n" 120; la R.N. n" 651; la R.D. n" 43; la piste n" 244; la pisten"2ô; la route de Lacrottc; la R.D. n" 20; la R.N. n" 626; la R.D. n" II: laR.D. n" 77; la rivière grande Leyre; la^oie du chemin de fer de Sabres à
Conimensacq; le ruisseau du Mougnocq; la R.D. n" 34; la R.D. n"20: la R.N.n" 10; le CV.O. n" 12 de Mesplet à Mons; la R.D. n" UO; la R.D. n" 108: leC.G.C n" 3 E de Salles à Candes; le C.V.O. n" 15 de Caplanne: les cheminsruraux depuis le CV.O. n" 15 jusqu'à la rencontre de la rivière la Leyn*: la
; rivière de la LevTe; le bras de la LejTC; le ruisseau (petit bras de la Lryn-). depuis le bras de la Le\Te jusqu'à la rivière la Lèvre (|K>int de départ) \S. ¡ns. :22 ji,in 19731. " ' ' -
Fa. ite. Ancienne abbaye. \oir : Artigues-de-Lussac.
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ANNEXE 12
MESURES A PRENDRE POUR L'EXECUTION DE TRAVAUX D'OPERATIONS Au
VOISINAGE DES LIGNES ELECTRIQUES
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ANNEXE 12
MESURES A PRENDRE POUR L'EXECUTION DE TRAVAUX D'OPERATIONS Au
VOISINAGE DES LIGNES ELECTRIQUES
TRAVAUX AU VOISINAGEDES LIGNES ÉLECTRIQUES
A. 3-3-65
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ARRÊTÉ DU 3 MARS 196S 0)
modèle d'attestation de mise hors tension et d'avisde cessation de travail
Le Ministre du Trrival!,Sur le rapport du directeur général du Travail et de l'Emploi,Vu l'article 175 (alinéa 5) du décret n* 65-48 du 0 Janvier
1965 portant règlement d'administration publique pour l'exé¬cution des dispositions du livre II du Code du Travail (titre II :Hygiène et Sécurité des travailleurs) en ce qui concerne lesmesures particulières de protection et de salubrité applicablesaux établlssement.s dont le personnel exécute des travaux duBfttltnont, de.'j Travaux publics et tous autres travaux concer¬nant les Immeubles ;
Vu l'avis de la Commission de sécurité du travail,
Arrête : \
AUTICHî PllEIMIER. L'atte.stntlon de mise hors tension etl'avis de ces.satlon de travail prévus par l'article 175 (alinéa 5)du décret n* Rñ-IS du 0 Janvier 1905 portant rfttîlcmnnt d'atlml-nlstratlon publique pour l'exécution des dl.sposlllons du livre IIdu Code du Travail (titre II : IlyRléne et Sécurité des travail¬leurs) cn CC qui concerne les mesures particulières de protec¬tion et de salubrité applicables aux établissements dont lepersonnel exécute des travaux du Bailment, des Travauxpublics et tous autres travaux concernant les Immeubles, doi¬vent être établl.s conformément aux modèles reproduits (2).
MIT. 2. Le présent arrêté entrera cn vigueur le 1" avril1965.
(1) Joiininl o//lcint du M innr.s lOnr..
(2) Voir p. 22-1 cl 22S.
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TRAVAUX AU VOISINAGEDES LIGNES ÉLECTRIQUES
C. 21-12-70
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CIRCULAIRE N" 70/21 DU 21 DÉCEMBRE 1970 O
mesures à prfendre pour l'exécution de travaux oud'opérations a\i voisinage de lignes électriquesaériennes et souterraines et outres installations
électriques
ARRÊTÉ PRÉFECTORAL TYPEDéclarallcn d'Intention de travauxRécépissé de déclaration d'Intention de travauxAtteslallon de mise liori tensionAvis de cessation de travail
Le Ministre du Développement Industriel et scientifique àM. le Préfet du département de /.
(tous départements)
Par circulaire n* 1431 du 20 Juillet 1900 (complétée par lacirculaire n* 1435 du 17 Janvier 1901) un de mes prédécesseursvous avait Invité ii prendre un arrêté conforme au texte Jointil ladite circulaire, obligeant toute personne qui se proposed'cllectuer ou de faire elTectucr des travaux ou opérationsquelconques ^ proximité d'une ligne électrique aérienne ousouterraine, d'en aviser le représentant local de la distributiond'énergie électrique, dix Jours au moins avant la date prévuepour le début dès travaux ou opérations, en utJllsant une« déclaration d'Intention de travaux » d'un modèle fixé parl'arrêté.
Par ailleurs, le Go\ivernement, par décret n" 65-48 du 0 Jan¬vier 1965 portant réglomcnt d'adinlnlstratlon publique pourl'cxécutloii des dispositions du Livre II du Code du travail(litre II : Hygiène et sécurité des travailleurs) et pris surle rapport du Ministre chargé du Travail, a fixé notamment lesnouvelles proscriptions que doivent respecter les chefs d'établis¬sements visés par l'article 05 du Livre II du Code du travail,et en particulier ceux du biVtImcnt et des travaux publics dontle personnel exécute des travaux du biltlment, des travauxpublics et tous autres travaux concernant les Immeubles. Letitre XII de ce décret précise les mesures de sécurité qui doi¬vent être prises lorsque ces travaux sont exécutés au voisinage
(I) Non pnrue nu Jottrtial o//lclcl.
211
TRAVAUX AU VOISINAGEDES LIGNES ÉLECTRIQUES
A. 3-3-65
mm!s^m[mssms!ssssmm¡s¡ms^^^^msm^^m^mmii
ARRÊTÉ DU 3 MARS 196S 0)
modèle d'attestation de mise hors tension et d'avisde cessation de travail
Le Ministre du Trrival!,Sur le rapport du directeur général du Travail et de l'Emploi,Vu l'article 175 (alinéa 5) du décret n* 65-48 du 0 Janvier
1965 portant règlement d'administration publique pour l'exé¬cution des dispositions du livre II du Code du Travail (titre II :Hygiène et Sécurité des travailleurs) en ce qui concerne lesmesures particulières de protection et de salubrité applicablesaux établlssement.s dont le personnel exécute des travaux duBfttltnont, de.'j Travaux publics et tous autres travaux concer¬nant les Immeubles ;
Vu l'avis de la Commission de sécurité du travail,
Arrête : \
AUTICHî PllEIMIER. L'atte.stntlon de mise hors tension etl'avis de ces.satlon de travail prévus par l'article 175 (alinéa 5)du décret n* Rñ-IS du 0 Janvier 1905 portant rfttîlcmnnt d'atlml-nlstratlon publique pour l'exécution des dl.sposlllons du livre IIdu Code du Travail (titre II : IlyRléne et Sécurité des travail¬leurs) cn CC qui concerne les mesures particulières de protec¬tion et de salubrité applicables aux établissements dont lepersonnel exécute des travaux du Bailment, des Travauxpublics et tous autres travaux concernant les Immeubles, doi¬vent être établl.s conformément aux modèles reproduits (2).
MIT. 2. Le présent arrêté entrera cn vigueur le 1" avril1965.
(1) Joiininl o//lcint du M innr.s lOnr..
(2) Voir p. 22-1 cl 22S.
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TRAVAUX AU VOISINAGEDES LIGNES ÉLECTRIQUES
C. 21-12-70
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CIRCULAIRE N" 70/21 DU 21 DÉCEMBRE 1970 O
mesures à prfendre pour l'exécution de travaux oud'opérations a\i voisinage de lignes électriquesaériennes et souterraines et outres installations
électriques
ARRÊTÉ PRÉFECTORAL TYPEDéclarallcn d'Intention de travauxRécépissé de déclaration d'Intention de travauxAtteslallon de mise liori tensionAvis de cessation de travail
Le Ministre du Développement Industriel et scientifique àM. le Préfet du département de /.
(tous départements)
Par circulaire n* 1431 du 20 Juillet 1900 (complétée par lacirculaire n* 1435 du 17 Janvier 1901) un de mes prédécesseursvous avait Invité ii prendre un arrêté conforme au texte Jointil ladite circulaire, obligeant toute personne qui se proposed'cllectuer ou de faire elTectucr des travaux ou opérationsquelconques ^ proximité d'une ligne électrique aérienne ousouterraine, d'en aviser le représentant local de la distributiond'énergie électrique, dix Jours au moins avant la date prévuepour le début dès travaux ou opérations, en utJllsant une« déclaration d'Intention de travaux » d'un modèle fixé parl'arrêté.
Par ailleurs, le Go\ivernement, par décret n" 65-48 du 0 Jan¬vier 1965 portant réglomcnt d'adinlnlstratlon publique pourl'cxécutloii des dispositions du Livre II du Code du travail(litre II : Hygiène et sécurité des travailleurs) et pris surle rapport du Ministre chargé du Travail, a fixé notamment lesnouvelles proscriptions que doivent respecter les chefs d'établis¬sements visés par l'article 05 du Livre II du Code du travail,et en particulier ceux du biVtImcnt et des travaux publics dontle personnel exécute des travaux du biltlment, des travauxpublics et tous autres travaux concernant les Immeubles. Letitre XII de ce décret précise les mesures de sécurité qui doi¬vent être prises lorsque ces travaux sont exécutés au voisinage
(I) Non pnrue nu Jottrtial o//lclcl.
211
TRAVAUX AU VOISINAGEDES LIGNES ÉLECTRIQUES
C. 21-12-70
ím¡mmmm¡ismmm!mMm!esmmmmimmmmsmsm
de lignes et Installations électriques. C'est donc ce titre XIIqui s'applique dans les établissements enumeres il l'article 05du Livre II du Code du travail lors des travaux visés à l'arti¬cle 1" du décret du 8 Janvier 1965.
Comme 11 est souhaitable que des opérations de même naturesoient, autant que possible, régies par des prescriptions simi¬laires et que les exploitants d'ouvrages électriques aient àobserver une procédure Identique quelle que soit la qualitédu demandeur, ll est apparu nécessaire, dans l'Intérêt général,de procéder, dans toute la mesure du possible, ia l'unificationdes règles destinées à assurer la sécurité des personnes exé¬cutant des travaux au voisinage d'ouvrages électriques.
Vous remarquerez toutefois, que le décret du 8 Janvier 1965,s'il oblige les chefs d'établissements à se mettre en rapportavec l'exploitant des ouvrages électriques au voisinage desquelsdoivent être effectués des travaux, n'Impose pas de forme pré¬cise, ni de délais pour l'Information de l'exploitant des ouvragesélectriques. Etant donné que la procédure (déclaration d'Inten¬tion de travaux et accusé de réception de déclaration d'Inten¬tion de travaux) Instituée par l'arrêté préfectoral type Jointil la circulaire ministérielle du 20 Juillet 1960 s'est révélée denature à accrollre non seulement la sécurité des personnes,mais aussi celle des ouvrages électriques, 11 est égalementapparu désirable d'en maintenir le principe, tout en la slmpll-Hant et en l'adaptant aux dlsposltlona prévues par le décretdu 8 Janvier 1965 et de l'Imposer dans tous les cas de travauxeilectuôs au voisinage d'un ouvrage électrique, n\êmc si cestravaux sont effectués par une personne assujettie aux dispo¬sitions du décret précité.
C'est pourquoi. Je vous Invite à rapporter l'arrêté que vousavez pris en application de la précédente circulaire et d pren¬dre, en vertu des pouvoirs que vous tenez de l'article 107 duCode Municipal, un nouvel arrêté conforme au modèle cl-Jolnt.
Je crois utile de faire Ici les commentaires suivants :
1' L'arrêté s'applique à tous les travaux et à toutes les opé¬rations susceptibles d'être effectués à proximité d'une Installa¬tion électrique telle qu'une ligne électrique aérienne ou souter¬raine (branchement aérien ou souterrain compris), d'un postede transformation, mais à l'exclusion des lignes de télécommu¬nications. Il s'applique également, que les travaux ou opéra¬tions en cause soient exécutés sur une propriété privée, surle domaine privé de l'Etat et des collectivités ou sur le domainepublic.
2* L'arrêté concerne toutes les personnes qui ne sont pasvisées par le décret du 8 Janvier 1905. Toutefois, la déclarationd'Intention de travaux visée aux articles 1, 2 et 3 de l'arrêté
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concerne également les chefs d'établissements visés par cedécret. Vous observerez, en ellet, que la déclaration d'Intentionde travaux du responsable de l'exécution de ceux-ci doit êtreeflectuée sur un Imprimé dont le modèle est annexé à l'arrêté,même si ce responsable est un des chefs d'établissements viséspar le décret du 8 Janvier 1965. Il en résulte que l'intéresséagissant pour le compte d'un établissement assujetti à ce décretest dans l'obligation d'accomplir les formalités prévues auxarticles 2 et 3 de l'arrêté préfectoral. L'accomplissement deces formalités satisfait pour lui aux prescriptions des arti¬cles 172 et 173 du décret du 8 Janvier 1965. Pour les conditionsd'exécution des travaux, ll est soumis aux dispositions desarticles 174 et 181 du même décret. Les dispositions susvlséesont reçu l'accord du Ministre du Travail, de l'Emploi et de laPopulation.
3* L'arrêté exclut notamment et expressément de son champd'application les travaux agricoles saisonniers de caractèreItinérant eiTectués t. proximité des Installations électriquesédifiées au-dessus du sol. Toutefois, en vue d'assurer la sécuritédu personnel participant fi ces travaux, vous devrez faire entre¬prendre chaque année, en temps opportun, et par les moyensque vous Jugerez les plus efficaces (communiqués de p¿.esse,affiches, tracts...) une campagne d'Information rappelant auxIntéressés les dangers présentés par les Installations électriquessous tension ou susceptibles d'être mises sous tension, et notam¬ment par les lignes aériennes et souterraines, et portant à leurconnaissance les précautions fi prendre (i cet égard.
Pour cette campagne, qui devra être adaptée aux particula¬rités agricoles de votre département, vous pourrez demanderle concours des Services et Entreprises exploitant les distribu¬tions d'énergie électrique, des Directeurs départementaux del'Equipement, des Ingénieurs en chef du Génie rural, des Eauxet des Forêts, Directeurs départementaux de l'Agriculture, desInspecteurs et Contrôleurs des lois sociales en Agriculture etdes Organisations professionnelles agricoles.
4* Vous observerez également que dans un souci de simplifi¬cation administrative le modèle d'attestation de mise hors ten¬sion Joint à l'arrêté type, est Identique, qu'il s'agisse de l'appll-ciitlon du décret du 0 Janvier 1905 ou de celle de l'arrêté pré¬fectoral.
5* Il convient de souligner, en raison de la nécessité crois¬sante d'nssurer une excellente conllnuUé du service public dela distribution d'énergie électrique, que la mise hors tensiondes réseaux de distribution est une mesure dont l'applicationse révèle de plus en plus difficile.
SI l'arrêté mentionne, dans l'ordre logique, la mise hors ten¬sion de l'Installation, et les mesures de sécurité à prendre
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de lignes et Installations électriques. C'est donc ce titre XIIqui s'applique dans les établissements enumeres il l'article 05du Livre II du Code du travail lors des travaux visés à l'arti¬cle 1" du décret du 8 Janvier 1965.
Comme 11 est souhaitable que des opérations de même naturesoient, autant que possible, régies par des prescriptions simi¬laires et que les exploitants d'ouvrages électriques aient àobserver une procédure Identique quelle que soit la qualitédu demandeur, ll est apparu nécessaire, dans l'Intérêt général,de procéder, dans toute la mesure du possible, ia l'unificationdes règles destinées à assurer la sécurité des personnes exé¬cutant des travaux au voisinage d'ouvrages électriques.
Vous remarquerez toutefois, que le décret du 8 Janvier 1965,s'il oblige les chefs d'établissements à se mettre en rapportavec l'exploitant des ouvrages électriques au voisinage desquelsdoivent être effectués des travaux, n'Impose pas de forme pré¬cise, ni de délais pour l'Information de l'exploitant des ouvragesélectriques. Etant donné que la procédure (déclaration d'Inten¬tion de travaux et accusé de réception de déclaration d'Inten¬tion de travaux) Instituée par l'arrêté préfectoral type Jointil la circulaire ministérielle du 20 Juillet 1960 s'est révélée denature à accrollre non seulement la sécurité des personnes,mais aussi celle des ouvrages électriques, 11 est égalementapparu désirable d'en maintenir le principe, tout en la slmpll-Hant et en l'adaptant aux dlsposltlona prévues par le décretdu 8 Janvier 1965 et de l'Imposer dans tous les cas de travauxeilectuôs au voisinage d'un ouvrage électrique, n\êmc si cestravaux sont effectués par une personne assujettie aux dispo¬sitions du décret précité.
C'est pourquoi. Je vous Invite à rapporter l'arrêté que vousavez pris en application de la précédente circulaire et d pren¬dre, en vertu des pouvoirs que vous tenez de l'article 107 duCode Municipal, un nouvel arrêté conforme au modèle cl-Jolnt.
Je crois utile de faire Ici les commentaires suivants :
1' L'arrêté s'applique à tous les travaux et à toutes les opé¬rations susceptibles d'être effectués à proximité d'une Installa¬tion électrique telle qu'une ligne électrique aérienne ou souter¬raine (branchement aérien ou souterrain compris), d'un postede transformation, mais à l'exclusion des lignes de télécommu¬nications. Il s'applique également, que les travaux ou opéra¬tions en cause soient exécutés sur une propriété privée, surle domaine privé de l'Etat et des collectivités ou sur le domainepublic.
2* L'arrêté concerne toutes les personnes qui ne sont pasvisées par le décret du 8 Janvier 1905. Toutefois, la déclarationd'Intention de travaux visée aux articles 1, 2 et 3 de l'arrêté
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concerne également les chefs d'établissements visés par cedécret. Vous observerez, en ellet, que la déclaration d'Intentionde travaux du responsable de l'exécution de ceux-ci doit êtreeflectuée sur un Imprimé dont le modèle est annexé à l'arrêté,même si ce responsable est un des chefs d'établissements viséspar le décret du 8 Janvier 1965. Il en résulte que l'intéresséagissant pour le compte d'un établissement assujetti à ce décretest dans l'obligation d'accomplir les formalités prévues auxarticles 2 et 3 de l'arrêté préfectoral. L'accomplissement deces formalités satisfait pour lui aux prescriptions des arti¬cles 172 et 173 du décret du 8 Janvier 1965. Pour les conditionsd'exécution des travaux, ll est soumis aux dispositions desarticles 174 et 181 du même décret. Les dispositions susvlséesont reçu l'accord du Ministre du Travail, de l'Emploi et de laPopulation.
3* L'arrêté exclut notamment et expressément de son champd'application les travaux agricoles saisonniers de caractèreItinérant eiTectués t. proximité des Installations électriquesédifiées au-dessus du sol. Toutefois, en vue d'assurer la sécuritédu personnel participant fi ces travaux, vous devrez faire entre¬prendre chaque année, en temps opportun, et par les moyensque vous Jugerez les plus efficaces (communiqués de p¿.esse,affiches, tracts...) une campagne d'Information rappelant auxIntéressés les dangers présentés par les Installations électriquessous tension ou susceptibles d'être mises sous tension, et notam¬ment par les lignes aériennes et souterraines, et portant à leurconnaissance les précautions fi prendre (i cet égard.
Pour cette campagne, qui devra être adaptée aux particula¬rités agricoles de votre département, vous pourrez demanderle concours des Services et Entreprises exploitant les distribu¬tions d'énergie électrique, des Directeurs départementaux del'Equipement, des Ingénieurs en chef du Génie rural, des Eauxet des Forêts, Directeurs départementaux de l'Agriculture, desInspecteurs et Contrôleurs des lois sociales en Agriculture etdes Organisations professionnelles agricoles.
4* Vous observerez également que dans un souci de simplifi¬cation administrative le modèle d'attestation de mise hors ten¬sion Joint à l'arrêté type, est Identique, qu'il s'agisse de l'appll-ciitlon du décret du 0 Janvier 1905 ou de celle de l'arrêté pré¬fectoral.
5* Il convient de souligner, en raison de la nécessité crois¬sante d'nssurer une excellente conllnuUé du service public dela distribution d'énergie électrique, que la mise hors tensiondes réseaux de distribution est une mesure dont l'applicationse révèle de plus en plus difficile.
SI l'arrêté mentionne, dans l'ordre logique, la mise hors ten¬sion de l'Installation, et les mesures de sécurité à prendre
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lorsque cette mise hors tcn.slon ne peut être effectuée, 11 con¬vient dn savoir qu'en fait 11 sera de moins cn moins souventpossible de procéder ¿i la ml.se hor.s tension des réseaux dedistribution.
6* L'efficacité de votre arrêté .sera, pour une grande part,liée fl la connaissance que j)rendra le public de celte mesure.J'Insiste auprès de vous pour que la plus large publicité soitdonnée fi celle-ci dan.s l'ensemble du déparlement, par tousles moyens appropries.
7* Il convient enfin de rappeler que les contraventions auxdispositions des arrêtés Intervenus sont passibles des peinesprévues aux articles R 26 et R 29 du Code Pénal.
Les circulaires des 20 Juillet 1960 et 17 Janvier 1901 sontabrogées.
Vous voudrez bien me rendre compte do l'exécullon des pré¬sentes instructions et m'adresser l'arrêté que vous serez amenéà prendre pour leur application.
J'adresse la présente circulaire et le projet d'arrêté qui luiest annexé à. MM. les Ingénieurs en chef des circonscriptionsélectriques, fi MM. les Directeurs départementaux de l'Equipe¬ment et fl MM. les Directeurs départementaux de l'Agriculture.
ARRETE PREFECTORAL DU
Le Préfet de )
Vu le Code municipal et, notamment, son article 107 ;
Vu la loi du 15 Juin 1906 sur les distributions d'énergie élec¬trique ;
Considérant que, dans l'Intérêt de la sécurité publique, pourprévenir des accidents d'origine électrique souvent mortels etdans le but d'assurer la protection des ouvrages électriquescontre les risques d'avaries ou do perturbations do la cllstrlbu-lloii d'éiiürglc, 11 Imporle t|ue les cxploltanls de lignes élcc-IrUlues aériennes ou souterraines et autres installallons éloc-trl(iues, soient Informés de tous les travaux ou opérations ilentreprendre au voisinage de ces ouvrages, afin que puissentCire arrêtées les mesures de protection à adopter.
Arrête :
ARTICLE rilEIMIER. Le présent arrêté s'applique :\ toutepersonne physique ou morale ii l'cxcepllon . des chefs d'éta¬blissements a.ssujctlls au décret n" 05-46 du 0 Janvier 1905.Toutefois, les formalités de déclaration d'Intention de travauxprévues aux articles 2 et 3 cl-aprôs doivent être égalementelTectuées par lesdlts chefs d'établissements.
"^ ART. 2. Toute personne, physique ou morale, qui se pro¬pose d'effectuer ou de faire elfectuer, au voisinage d'une Instal¬lation électrique, inibllque ou privée, édifiée sur le sol et notam¬ment d'une ligne aciienne, des travaux ou opérations quel¬conques, doit s'Informer auprè.s de l'exploitant de cet ouvrage(soit directement, soit par l'Intermédiaire du représentantlocal de la distribution d'énergie électrique) de la valeur deslenslon.s de ces Installations et notamment de ces lignes aérien¬nes, afin de pouvoir s'assurer qu'au cours de l'cxôcutlon destravaux ou opérations, aucun exéculant ne sera susceptiblede s'approcher lui-même ou d'approcher, par l'une quelconquede leurs parties, tous objets matériels ou appareils tels, que :
outils, échafaudages et ouvrages accessoires, matériels et maté¬riaux manulentlonné.s, engins, agrès, appareils divers, moyensde liansporl, fi une distance dangereuse des pièces conductricesnues normalement sous tension, et notamment fi une distanceInférieure à :
a) trois mètres, pour les Installations électriques et notammentpour les lignes aériennes dont la tension nominale est Infé¬rieure fl 50 000 volts (1) ; ^
b) cinq mètres, pour les Installations électriques et notammentpour les lignes aériennes dont la tension nominale est égaleou supérieure à 50 000 volts (1).
Il doit être tenu compte, pour déterminer les distances mini¬males qu'il convient de respecter par rapport aux pièces con¬ductrices nues normalement sous tension, d'une part, de tousles mouvements possibles des pièces conductrices nues soustension de l'Installation électrique et notamment de la ligneaérienne, d'autre part, de tous les mouvements, déplacements,balancements, fouoltomcnts (notamment cn cas do ruptureéventuelle d'un organe) ou chutes possibles des engins utiliséspour les travaux ou oi)ératlons envisagés.
Les opérations d'élagage ou d'abattage- d'arbres sont consl-ilérées comme faisant jiartic des opérations vUséos par le pré¬sent arrêté .si le plod do l'arbre est situé fl une distance del'Installation élcctrkiue, cl notamment de la ligne aérienne,Inférieure d la hauteur de cet arbre augmentée de la distanceIndiquée cl-dessu.s.
Dans le cas où les conditions de sécurité précisées ci-dessusno seraient pas remplies, le responsable de l'exécution destravaux (qui, dans cc qui suit, sera désigné par 1'* Intéressé »)est tenu do faire part de son Intention ii l'exploitant de l'Ins¬tallation électrique et notamment do la ligne aérienne, au
(1) Celte limite correspond, dnn.s la protiquc, & celle Indiquée dansle décret du B Janvier 10G5.
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lorsque cette mise hors tcn.slon ne peut être effectuée, 11 con¬vient dn savoir qu'en fait 11 sera de moins cn moins souventpossible de procéder ¿i la ml.se hor.s tension des réseaux dedistribution.
6* L'efficacité de votre arrêté .sera, pour une grande part,liée fl la connaissance que j)rendra le public de celte mesure.J'Insiste auprès de vous pour que la plus large publicité soitdonnée fi celle-ci dan.s l'ensemble du déparlement, par tousles moyens appropries.
7* Il convient enfin de rappeler que les contraventions auxdispositions des arrêtés Intervenus sont passibles des peinesprévues aux articles R 26 et R 29 du Code Pénal.
Les circulaires des 20 Juillet 1960 et 17 Janvier 1901 sontabrogées.
Vous voudrez bien me rendre compte do l'exécullon des pré¬sentes instructions et m'adresser l'arrêté que vous serez amenéà prendre pour leur application.
J'adresse la présente circulaire et le projet d'arrêté qui luiest annexé à. MM. les Ingénieurs en chef des circonscriptionsélectriques, fi MM. les Directeurs départementaux de l'Equipe¬ment et fl MM. les Directeurs départementaux de l'Agriculture.
ARRETE PREFECTORAL DU
Le Préfet de )
Vu le Code municipal et, notamment, son article 107 ;
Vu la loi du 15 Juin 1906 sur les distributions d'énergie élec¬trique ;
Considérant que, dans l'Intérêt de la sécurité publique, pourprévenir des accidents d'origine électrique souvent mortels etdans le but d'assurer la protection des ouvrages électriquescontre les risques d'avaries ou do perturbations do la cllstrlbu-lloii d'éiiürglc, 11 Imporle t|ue les cxploltanls de lignes élcc-IrUlues aériennes ou souterraines et autres installallons éloc-trl(iues, soient Informés de tous les travaux ou opérations ilentreprendre au voisinage de ces ouvrages, afin que puissentCire arrêtées les mesures de protection à adopter.
Arrête :
ARTICLE rilEIMIER. Le présent arrêté s'applique :\ toutepersonne physique ou morale ii l'cxcepllon . des chefs d'éta¬blissements a.ssujctlls au décret n" 05-46 du 0 Janvier 1905.Toutefois, les formalités de déclaration d'Intention de travauxprévues aux articles 2 et 3 cl-aprôs doivent être égalementelTectuées par lesdlts chefs d'établissements.
"^ ART. 2. Toute personne, physique ou morale, qui se pro¬pose d'effectuer ou de faire elfectuer, au voisinage d'une Instal¬lation électrique, inibllque ou privée, édifiée sur le sol et notam¬ment d'une ligne aciienne, des travaux ou opérations quel¬conques, doit s'Informer auprè.s de l'exploitant de cet ouvrage(soit directement, soit par l'Intermédiaire du représentantlocal de la distribution d'énergie électrique) de la valeur deslenslon.s de ces Installations et notamment de ces lignes aérien¬nes, afin de pouvoir s'assurer qu'au cours de l'cxôcutlon destravaux ou opérations, aucun exéculant ne sera susceptiblede s'approcher lui-même ou d'approcher, par l'une quelconquede leurs parties, tous objets matériels ou appareils tels, que :
outils, échafaudages et ouvrages accessoires, matériels et maté¬riaux manulentlonné.s, engins, agrès, appareils divers, moyensde liansporl, fi une distance dangereuse des pièces conductricesnues normalement sous tension, et notamment fi une distanceInférieure à :
a) trois mètres, pour les Installations électriques et notammentpour les lignes aériennes dont la tension nominale est Infé¬rieure fl 50 000 volts (1) ; ^
b) cinq mètres, pour les Installations électriques et notammentpour les lignes aériennes dont la tension nominale est égaleou supérieure à 50 000 volts (1).
Il doit être tenu compte, pour déterminer les distances mini¬males qu'il convient de respecter par rapport aux pièces con¬ductrices nues normalement sous tension, d'une part, de tousles mouvements possibles des pièces conductrices nues soustension de l'Installation électrique et notamment de la ligneaérienne, d'autre part, de tous les mouvements, déplacements,balancements, fouoltomcnts (notamment cn cas do ruptureéventuelle d'un organe) ou chutes possibles des engins utiliséspour les travaux ou oi)ératlons envisagés.
Les opérations d'élagage ou d'abattage- d'arbres sont consl-ilérées comme faisant jiartic des opérations vUséos par le pré¬sent arrêté .si le plod do l'arbre est situé fl une distance del'Installation élcctrkiue, cl notamment de la ligne aérienne,Inférieure d la hauteur de cet arbre augmentée de la distanceIndiquée cl-dessu.s.
Dans le cas où les conditions de sécurité précisées ci-dessusno seraient pas remplies, le responsable de l'exécution destravaux (qui, dans cc qui suit, sera désigné par 1'* Intéressé »)est tenu do faire part de son Intention ii l'exploitant de l'Ins¬tallation électrique et notamment do la ligne aérienne, au
(1) Celte limite correspond, dnn.s la protiquc, & celle Indiquée dansle décret du B Janvier 10G5.
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voisinage de laquelle 11 se propose d'elTectucr ces travaux. Cettedéclaration d'Intention de travaux est effectuée sur un Impriméconforme au modèle n' l annexé au présent arrêté.
Sauf en cas d'urgence motivée, cette Intention doit êtreexprimée dix Jours francs au moins avant la date prévue pourle début des travaux (Jours fériés non compris).
L'exploitant doit donner acte de cette déclaration à l'Intéresséau moyen d'un récépissé établi au verso de l'Imprimé n* 1.
ART. 3. Toute personne physique ou morale qui se proposed'ellcctuer ou de faire edeetuer des travaux de terrassement,des fouilles, des forages ou des enfoncements doit s'Informers'il existe des Installations électriques souterraines et notam¬ment des lignes électriques souterraines (qu'elles soient ou nonenterrées) ii l'Intérieur du périmètre des travaux projetés ouà moins de 1,50 mètre à l'extérieur de ce périmètre, d'abordauprès du représentant local de la distribution d'énergie élec¬trique, ensuite, .soit auprès du service Intéressé en cas de tra¬vaux sur le domaine public ou le domaine privé de l'Etat, d'undéportement ou d'une commune, et en particulier le Servicede la voirie en cas de travaux sur les voles publiques, soitauprès du propriétaire ou de son représentant en cas do tra¬vaux sur les propriétés privées.
Les travaux doivent être considérés ^omme susceptibles deprésenter des dangers pour ceux qui y participent s'ils ont lieu,en tout ou partie, il moins de 1,60 mètre d'une installation élec¬trique souterraine et notamment d'une ligne électrique souter¬raine.
S'il résulte des renseignements détenus par le représentantlocal de la distribution, notamment en application du deuxièmealinéa de l'article 12, qu'au voisinage de l'emplacement destravaux [¡rojetes 11 peut exister des Installallons électriquesKouterralnes piibll(|ucs ou privées et notamment des lignes élec¬triques souterraines exploitées par le service local de la distri¬bution ou par d'autres exploitants, l'Intéressé est tenu rie faireauprès du repré.sentiint local de la distribution une déclarationd'Intention de travaux, q.ul est eílecluée sur un Imprimémodèle n" 1. Cette déclaration doit être faite dans les mêmesdélais que ceux précisés fi l'article 2.
Le représentant local de la distribution doit en donner acteil l'Intéressé au moyen d'un récépissé établi au verso de l'Im¬primé Iï* 1.
En outre, 11 transmet un autre exemplaire de la déclarationpar les voles les plus rapides ù. chacun des autres exploitantsqui, d'après les ren.selgnemenls en sa possession, lui paraissentsusceptibles d'exploiter des Installallons électriques souterraines
et notamment des lignes électriques souterraines au voisinagede^l'emplacement des travaux projetés.
Ces derniers doivent, chacun' en ce qui le concerne, donneracte à l'Intéressé de sa déclaration au moyen d'un récépisséétabli au verso d'un Imprimé modèle n* 1.
ART. 4. Il ne peut être procédé aux travaux ou opérationsqu'après la mise hors tension de l'Installation électrique etnotamment de la ligne aérienne ou souterraine, ii moins riuel'exploltont ait fait connallre par écrit, au moyen du récépisséprévu aux articles 2 et 3, ou, cn cas de nécessité, par messagetéléphoné, qu'il ne peut, pour une raison qu'il Juge Impérieuse,effectuer la mise hors tension.
Dans ce dernier cas, l'Intéressé doit se conformer aux arti¬cles 6 à 9 du présent arrêté.
ART. 5. Lorsque des travaux ou opérations doivent êtreeffectués au voisinage d'une Installation électrique, souter¬raine ou non, et notamment d'une ligne aérienne ou souter¬raine qu'il a été décidé de mettre hors tension, l'Intéressé doitdéterminer exactement, en accord avec l'exploitant et jDarécrit, les Jours et heures auxquels auront Heu les travaux, cesIndications ne dispensant pas d'établir et de remettre les attes¬tations et avis visés cl-aprés.
Le travail ou l'opération ne peut commencer que lorsquel'Intéressé est en possession d'une « attestation de mise horstension > écrite, datée et signée par l'exploitant.
Le travail ou l'opération ayant cessé, qu'il soit Interrompuou terminé, l'Intéressé doit s'assurer que toutes les personnesont évacué le chantier ou ne courent plus aucun risque IIétablit alors et signe un « avis de cessallon de travail > qu'ilremet à l'exploitant, cette remise valant décharge.
Lorsque l'Intéressé a délivré t l'avis de cessation de travail >,11 ne peut faire reprendre les travaux ou oi)érallons que s'ilest en possession d'une nouvelle t attestation de mise horstension ».
« L'attestation de mise hors tension » et < l'avis de cessationde travail » doivent être conformes au modèle n* 2 annexé auprésent arrêté.
La remise de la main à la main de ces documents peut êtreremplacée par l'échange de messages téléphoniques enregistréssur un carnet spécial et relus en retour avec le numéro d'enre¬gistrement lorsque le temps de transmission d'un document écritaugmenterait dans une mesure excessive la durée de l'Interrup¬tion de la livraison du courant électrique.
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voisinage de laquelle 11 se propose d'elTectucr ces travaux. Cettedéclaration d'Intention de travaux est effectuée sur un Impriméconforme au modèle n' l annexé au présent arrêté.
Sauf en cas d'urgence motivée, cette Intention doit êtreexprimée dix Jours francs au moins avant la date prévue pourle début des travaux (Jours fériés non compris).
L'exploitant doit donner acte de cette déclaration à l'Intéresséau moyen d'un récépissé établi au verso de l'Imprimé n* 1.
ART. 3. Toute personne physique ou morale qui se proposed'ellcctuer ou de faire edeetuer des travaux de terrassement,des fouilles, des forages ou des enfoncements doit s'Informers'il existe des Installations électriques souterraines et notam¬ment des lignes électriques souterraines (qu'elles soient ou nonenterrées) ii l'Intérieur du périmètre des travaux projetés ouà moins de 1,50 mètre à l'extérieur de ce périmètre, d'abordauprès du représentant local de la distribution d'énergie élec¬trique, ensuite, .soit auprès du service Intéressé en cas de tra¬vaux sur le domaine public ou le domaine privé de l'Etat, d'undéportement ou d'une commune, et en particulier le Servicede la voirie en cas de travaux sur les voles publiques, soitauprès du propriétaire ou de son représentant en cas do tra¬vaux sur les propriétés privées.
Les travaux doivent être considérés ^omme susceptibles deprésenter des dangers pour ceux qui y participent s'ils ont lieu,en tout ou partie, il moins de 1,60 mètre d'une installation élec¬trique souterraine et notamment d'une ligne électrique souter¬raine.
S'il résulte des renseignements détenus par le représentantlocal de la distribution, notamment en application du deuxièmealinéa de l'article 12, qu'au voisinage de l'emplacement destravaux [¡rojetes 11 peut exister des Installallons électriquesKouterralnes piibll(|ucs ou privées et notamment des lignes élec¬triques souterraines exploitées par le service local de la distri¬bution ou par d'autres exploitants, l'Intéressé est tenu rie faireauprès du repré.sentiint local de la distribution une déclarationd'Intention de travaux, q.ul est eílecluée sur un Imprimémodèle n" 1. Cette déclaration doit être faite dans les mêmesdélais que ceux précisés fi l'article 2.
Le représentant local de la distribution doit en donner acteil l'Intéressé au moyen d'un récépissé établi au verso de l'Im¬primé Iï* 1.
En outre, 11 transmet un autre exemplaire de la déclarationpar les voles les plus rapides ù. chacun des autres exploitantsqui, d'après les ren.selgnemenls en sa possession, lui paraissentsusceptibles d'exploiter des Installallons électriques souterraines
et notamment des lignes électriques souterraines au voisinagede^l'emplacement des travaux projetés.
Ces derniers doivent, chacun' en ce qui le concerne, donneracte à l'Intéressé de sa déclaration au moyen d'un récépisséétabli au verso d'un Imprimé modèle n* 1.
ART. 4. Il ne peut être procédé aux travaux ou opérationsqu'après la mise hors tension de l'Installation électrique etnotamment de la ligne aérienne ou souterraine, ii moins riuel'exploltont ait fait connallre par écrit, au moyen du récépisséprévu aux articles 2 et 3, ou, cn cas de nécessité, par messagetéléphoné, qu'il ne peut, pour une raison qu'il Juge Impérieuse,effectuer la mise hors tension.
Dans ce dernier cas, l'Intéressé doit se conformer aux arti¬cles 6 à 9 du présent arrêté.
ART. 5. Lorsque des travaux ou opérations doivent êtreeffectués au voisinage d'une Installation électrique, souter¬raine ou non, et notamment d'une ligne aérienne ou souter¬raine qu'il a été décidé de mettre hors tension, l'Intéressé doitdéterminer exactement, en accord avec l'exploitant et jDarécrit, les Jours et heures auxquels auront Heu les travaux, cesIndications ne dispensant pas d'établir et de remettre les attes¬tations et avis visés cl-aprés.
Le travail ou l'opération ne peut commencer que lorsquel'Intéressé est en possession d'une « attestation de mise horstension > écrite, datée et signée par l'exploitant.
Le travail ou l'opération ayant cessé, qu'il soit Interrompuou terminé, l'Intéressé doit s'assurer que toutes les personnesont évacué le chantier ou ne courent plus aucun risque IIétablit alors et signe un « avis de cessallon de travail > qu'ilremet à l'exploitant, cette remise valant décharge.
Lorsque l'Intéressé a délivré t l'avis de cessation de travail >,11 ne peut faire reprendre les travaux ou oi)érallons que s'ilest en possession d'une nouvelle t attestation de mise horstension ».
« L'attestation de mise hors tension » et < l'avis de cessationde travail » doivent être conformes au modèle n* 2 annexé auprésent arrêté.
La remise de la main à la main de ces documents peut êtreremplacée par l'échange de messages téléphoniques enregistréssur un carnet spécial et relus en retour avec le numéro d'enre¬gistrement lorsque le temps de transmission d'un document écritaugmenterait dans une mesure excessive la durée de l'Interrup¬tion de la livraison du courant électrique.
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ART. C. Lorsque l'exploitant a fait connaître par écritqu'il ne peut, pour une raison qu'il Juge Impérieuse, mettrehors tension l'Installation électrique et notamment la ligneélectrique aérienne ou souterraine au voisinage de laquelle lestravaux ou opérations seront elfectués, l'Intéressé doit, avantlo début des travaux ou opérations et en accord avec l'exploi¬tant, arrêter les mesures de sécurité tí prendre.
Il doit, au moyen de la consigne prévue fl l'article 11 duprésent arrêté, porter ces mesures ii la connaissance des per¬sonnes travaillant sous sa direction ou avec lui.
ART. 7. Lors(|Ue les travaux ou opérations doivent êtreeiloctués au voisinage d'une Installation électrique construiteau-dessus du sol cl en particulier (l'imn ligne aérienne, et quel'oxploltant, pour une raison (pi'll Juge Impérieuse, estime qu'ilne peut mettre hors tension celle Installation électrique et enparticulier cette ligne aérienne, la consigne prévue par l'arti¬cle 11 du présent arrêté doit préciser les mesures à prendrepour mettre hors d'atteinte des personnes l'Installation élec¬trique et notamment la ligne aérienne
SI rinstallallon électrique et notamment la ligne aérienneest de première catégorie (1), cette mise hors d'atteinte doitêtre réalisée :
a) soit en mettant des obstacles efflcqccs solidement fixés ;
b) soit en Isolant par recouvrement les conducteurs ou autrespièces nus sous tension, ainsi que le neutre.
S'il n'est pas possible de recourir ii de telles mesures, laconsigne prévue par l'article 11 du présent arrêté doit ¡¡rcscrlreaux personnes participant au travail ou ii l'opération de porterdes gants Isolants, qui seront mis ii leur disposition par l'Inté¬ressé, ainsi que des vêtements ii manches longues et une coif¬fure, sans préjudice des mesures propres ù, isoler ces personnespar rapport au sol.
Lorsque l'Installation électrique, et en particulier la ligneaériciiiin, est de catégorie suiiérictirn fl la prenilérn ciilégorlo,la ntlse hors d'atteinte do celle In.slallatlon électrique ou decelle ligne aérienne doit être réalisée en mettant en place desobstacles efficaces solidement fixés devant les conducteurs oupièces nus sous tension, ainsi que devant le neutre
(I) Une inst.Tll.TlIon csl de première cnlÎBorlo si In plus grande destciiülons cxi.stant en régime normal, aussi bien cnlre deux quel¬conques de ses conducteurs qu'ciUrc l'un d'entre eux cl ln terre,n une viilcur cíDcnce ne dépassant pns 500 volts cn courant nller-nalit ou 71)0 volts cn courant continu.La première cateijnrlc comprend, priitlqucmcnl, les InslnllntlonsA 127/220 volts el celles A 22U/:iU0 volts cii cournnt nllernnlK.
SI cette mesure ne peut être envisagée, la zone de travaildoit être délimitée matériellement, dans tous les plans possibles,par une signalisation très visible (telle que : pancartes, bar¬rières, rubans). La consigne prévue par l'article 11 du présentarrêté doit préciser les conditions dans lesquelles cette délimita--lion doit être effectuée. L'Intéressé est tenu, en outre, de dési¬gner une personne compétente ayant pour unique fonction des'assurer que les personnes participant au travail ou ii l'opéra¬tion ne franchissent pas la limite de la zone do travail el deles alerter dans le cas contraire
Les mises hors d'atteinte susceptibles d'amener des personnesil une dislance dangereuse des pièces conductrices nues norma¬lement sous tension, ainsi que l'Intervention directe sur desInstallations électriques et notamment des lignes aériennesou pièces nues normalement sous tension, no peuvent être eflec-tiiéos que par des personnes compétentes et i)ourvues du maté¬riel approprié.
ART. R. Lorsque des travaux do terrassement, des fouilles,des forages ou des enfoncements doivent être elfoctués au voi¬sinage d'Installallons élcclrlciues souterraines, et notamment delignes électriques souterraines de quelque catégorie que ce' soit,le parcours des canalisations et l'emplacement des Installationsdoivent, dans tous les cas, être balisés do façon très visible iil'aide de pancartes, banderoles, fanions, peinture ou tous autresdispositifs ou moyens équivalents. Ce balisage doit être réalisépar l'Intéressé en tenant compte des Informations recueilliespar application des articles 3 ii 5 du présent arrêté ; 11 doitêtre effectué avant le début des travaux et maintenu pendanttoute leur durée.
En outre, lorsque , l'exploitant, pour une raison qu'il JugeImpérieuse, estime né pas pouvoir mettre hors tension rinstal¬lallon électrique, et notamment la ligne électrique souterraine,l'Intéressé est tenu de désigner une personne compétente poursurveiller les personnes participant au travail ou ii l'opérationet de les alerter dès ciii'ellcs s'approchent ou approchent leursoutils ^ moins do 1,50 métro des lii.stallatlons électrkiucs souter¬raines et notamment des lignes électriques souterraines.
ART. D. Lorsque des engins de terrassement, de transport,de levage ou do manutention doivent être utilisés ou déplacésau voisinage d'une Installation électrique aérienne ou souter¬raine ou autres installations électriques de quelque catégorieque ce soit et que l'exploitant, pour une raison qu'il Juge Impé¬rieuse, estime qu'il no peut mettre hors tension cette Installa¬tion électrique aérienne ou souterraine, les emplacements àoccuper et les Itinéraires a suivre par ces engins doivent, danstoute la mesure du possible, être choisis de manière il éviter
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ART. C. Lorsque l'exploitant a fait connaître par écritqu'il ne peut, pour une raison qu'il Juge Impérieuse, mettrehors tension l'Installation électrique et notamment la ligneélectrique aérienne ou souterraine au voisinage de laquelle lestravaux ou opérations seront elfectués, l'Intéressé doit, avantlo début des travaux ou opérations et en accord avec l'exploi¬tant, arrêter les mesures de sécurité tí prendre.
Il doit, au moyen de la consigne prévue fl l'article 11 duprésent arrêté, porter ces mesures ii la connaissance des per¬sonnes travaillant sous sa direction ou avec lui.
ART. 7. Lors(|Ue les travaux ou opérations doivent êtreeiloctués au voisinage d'une Installation électrique construiteau-dessus du sol cl en particulier (l'imn ligne aérienne, et quel'oxploltant, pour une raison (pi'll Juge Impérieuse, estime qu'ilne peut mettre hors tension celle Installation électrique et enparticulier cette ligne aérienne, la consigne prévue par l'arti¬cle 11 du présent arrêté doit préciser les mesures à prendrepour mettre hors d'atteinte des personnes l'Installation élec¬trique et notamment la ligne aérienne
SI rinstallallon électrique et notamment la ligne aérienneest de première catégorie (1), cette mise hors d'atteinte doitêtre réalisée :
a) soit en mettant des obstacles efflcqccs solidement fixés ;
b) soit en Isolant par recouvrement les conducteurs ou autrespièces nus sous tension, ainsi que le neutre.
S'il n'est pas possible de recourir ii de telles mesures, laconsigne prévue par l'article 11 du présent arrêté doit ¡¡rcscrlreaux personnes participant au travail ou ii l'opération de porterdes gants Isolants, qui seront mis ii leur disposition par l'Inté¬ressé, ainsi que des vêtements ii manches longues et une coif¬fure, sans préjudice des mesures propres ù, isoler ces personnespar rapport au sol.
Lorsque l'Installation électrique, et en particulier la ligneaériciiiin, est de catégorie suiiérictirn fl la prenilérn ciilégorlo,la ntlse hors d'atteinte do celle In.slallatlon électrique ou decelle ligne aérienne doit être réalisée en mettant en place desobstacles efficaces solidement fixés devant les conducteurs oupièces nus sous tension, ainsi que devant le neutre
(I) Une inst.Tll.TlIon csl de première cnlÎBorlo si In plus grande destciiülons cxi.stant en régime normal, aussi bien cnlre deux quel¬conques de ses conducteurs qu'ciUrc l'un d'entre eux cl ln terre,n une viilcur cíDcnce ne dépassant pns 500 volts cn courant nller-nalit ou 71)0 volts cn courant continu.La première cateijnrlc comprend, priitlqucmcnl, les InslnllntlonsA 127/220 volts el celles A 22U/:iU0 volts cii cournnt nllernnlK.
SI cette mesure ne peut être envisagée, la zone de travaildoit être délimitée matériellement, dans tous les plans possibles,par une signalisation très visible (telle que : pancartes, bar¬rières, rubans). La consigne prévue par l'article 11 du présentarrêté doit préciser les conditions dans lesquelles cette délimita--lion doit être effectuée. L'Intéressé est tenu, en outre, de dési¬gner une personne compétente ayant pour unique fonction des'assurer que les personnes participant au travail ou ii l'opéra¬tion ne franchissent pas la limite de la zone do travail el deles alerter dans le cas contraire
Les mises hors d'atteinte susceptibles d'amener des personnesil une dislance dangereuse des pièces conductrices nues norma¬lement sous tension, ainsi que l'Intervention directe sur desInstallations électriques et notamment des lignes aériennesou pièces nues normalement sous tension, no peuvent être eflec-tiiéos que par des personnes compétentes et i)ourvues du maté¬riel approprié.
ART. R. Lorsque des travaux do terrassement, des fouilles,des forages ou des enfoncements doivent être elfoctués au voi¬sinage d'Installallons élcclrlciues souterraines, et notamment delignes électriques souterraines de quelque catégorie que ce' soit,le parcours des canalisations et l'emplacement des Installationsdoivent, dans tous les cas, être balisés do façon très visible iil'aide de pancartes, banderoles, fanions, peinture ou tous autresdispositifs ou moyens équivalents. Ce balisage doit être réalisépar l'Intéressé en tenant compte des Informations recueilliespar application des articles 3 ii 5 du présent arrêté ; 11 doitêtre effectué avant le début des travaux et maintenu pendanttoute leur durée.
En outre, lorsque , l'exploitant, pour une raison qu'il JugeImpérieuse, estime né pas pouvoir mettre hors tension rinstal¬lallon électrique, et notamment la ligne électrique souterraine,l'Intéressé est tenu de désigner une personne compétente poursurveiller les personnes participant au travail ou ii l'opérationet de les alerter dès ciii'ellcs s'approchent ou approchent leursoutils ^ moins do 1,50 métro des lii.stallatlons électrkiucs souter¬raines et notamment des lignes électriques souterraines.
ART. D. Lorsque des engins de terrassement, de transport,de levage ou do manutention doivent être utilisés ou déplacésau voisinage d'une Installation électrique aérienne ou souter¬raine ou autres installations électriques de quelque catégorieque ce soit et que l'exploitant, pour une raison qu'il Juge Impé¬rieuse, estime qu'il no peut mettre hors tension cette Installa¬tion électrique aérienne ou souterraine, les emplacements àoccuper et les Itinéraires a suivre par ces engins doivent, danstoute la mesure du possible, être choisis de manière il éviter
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^,^]a^t¿{iii.c. 21-12-70
essid'énergie électrique
kRT. 11. L'Intéressé doit, avant le début des travaux ouopérations :
a),, mettre ou faire mettre en place les dispositifs protecteursI prescrits par le présent arrêté ; i
b) porter à. la connaissance des personnes qui travaillent soussa direction ou avec lui, au moyen d'une consigne écrite,les mesures de protection qui, en application des dispositionsdu présent arrêté, doivent être mises en uvre lors del'exécution des travaux.
ART. 12. Lorsque l'Installation électrique, el notammentla ligne aérienne ou souterraine à proximité de laquelle estenvisagée l'exécution de travaux n'est pas exploitée par leservice local de la distribution auquel s'est adressé l'Intéressé,ce service doit communiquer à ce dernier le nom el l'adressedu service, de l'entreprise ou de la personne responsable decette Installation électrique et notamment de cette ligneaérienne ou souterraine.
A cet effet, tout exploitant d'ouvrages électriques autres quedes Installations particulières entlèreinent situées dans despropriétés privées, est leiiu de communiquer au représentantlocal de la distribution un plan de la localité comportant letracé desdits ouvrages tenu fi Jour ¡i chaque modlllcallun.
ART. 13. Le présent arrêté ne s'applique pas :
a) aux travaux agricoles salsointlers, de caractère Itinéranttels qu'arrosage et récolle eifeclués à proximité des Instal¬lations électriques édifiées au-dessus du sol ;
qu'une parlle quelconque des engins approche de la ligneaérienne ou souterraine ou autres Installations électriques àune distance Inférieure aux distances fixées par les articles 2et 3 du présent arrêté.
S'il ne peut en être ainsi, la consigne prévue par l'article 11du présent arrêté doit préciser les précautions à prendre pouréviter de tels rapprochements, même s'il existe des llmlteursde déplacement des éléments mobiles ou si des dispositionsappropriées d'avertissement ou d'arrêt ont été prises.
ART. 10. En cas de désaccord entre l'Intéressé et l'exploi¬tant, soit sur la possibilité de mettre l'Installation électriqueet notamment la ligne électrique aérienne ou souterraine horstension, soit dans le cas où la mise hors tension n'est paseffectuée, sur les mesures ii prendre pour assurer la protectiondes personnes, les contestations doivent être portées par l'Inté¬ressé devant le service chargé du contrôle des distributions
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b)'^aux travaux effectués ii proximité des Installations élec¬triques édifiées au-dessus du sol :
Par les services publics (concessionnaires de transport et dedistribution d'énergie électrique, service des Postes et l'élécom-munlcallons, S.N.C.F., Entreprises visées fi l'article 23 de laloi du 8 avril 1948, services de l'Eciulpement et du Ix)gementet certains services techniques des collecllvllés locales), lorsqueceux-ci appliquent déjfi des prescriptions propres de sécuritéconcernant ces travaux.
Par des entreprises elTectuant des travaux pour le comptede ces services lorstiu'elles appliquent les mômes prescriptionsde sécurité que celles en vigueur dans les Services publics p>ourle compte desquels elles travaillent.
ART. 14. Les dispositions du présent arrêté, qui devra êtrepublié dans toutes les communes, sont applicables à tout leterritoire du département.
Elles abrogent et remplacent l'arrêté en date du
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essid'énergie électrique
kRT. 11. L'Intéressé doit, avant le début des travaux ouopérations :
a),, mettre ou faire mettre en place les dispositifs protecteursI prescrits par le présent arrêté ; i
b) porter à. la connaissance des personnes qui travaillent soussa direction ou avec lui, au moyen d'une consigne écrite,les mesures de protection qui, en application des dispositionsdu présent arrêté, doivent être mises en uvre lors del'exécution des travaux.
ART. 12. Lorsque l'Installation électrique, el notammentla ligne aérienne ou souterraine à proximité de laquelle estenvisagée l'exécution de travaux n'est pas exploitée par leservice local de la distribution auquel s'est adressé l'Intéressé,ce service doit communiquer à ce dernier le nom el l'adressedu service, de l'entreprise ou de la personne responsable decette Installation électrique et notamment de cette ligneaérienne ou souterraine.
A cet effet, tout exploitant d'ouvrages électriques autres quedes Installations particulières entlèreinent situées dans despropriétés privées, est leiiu de communiquer au représentantlocal de la distribution un plan de la localité comportant letracé desdits ouvrages tenu fi Jour ¡i chaque modlllcallun.
ART. 13. Le présent arrêté ne s'applique pas :
a) aux travaux agricoles salsointlers, de caractère Itinéranttels qu'arrosage et récolle eifeclués à proximité des Instal¬lations électriques édifiées au-dessus du sol ;
qu'une parlle quelconque des engins approche de la ligneaérienne ou souterraine ou autres Installations électriques àune distance Inférieure aux distances fixées par les articles 2et 3 du présent arrêté.
S'il ne peut en être ainsi, la consigne prévue par l'article 11du présent arrêté doit préciser les précautions à prendre pouréviter de tels rapprochements, même s'il existe des llmlteursde déplacement des éléments mobiles ou si des dispositionsappropriées d'avertissement ou d'arrêt ont été prises.
ART. 10. En cas de désaccord entre l'Intéressé et l'exploi¬tant, soit sur la possibilité de mettre l'Installation électriqueet notamment la ligne électrique aérienne ou souterraine horstension, soit dans le cas où la mise hors tension n'est paseffectuée, sur les mesures ii prendre pour assurer la protectiondes personnes, les contestations doivent être portées par l'Inté¬ressé devant le service chargé du contrôle des distributions
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b)'^aux travaux effectués ii proximité des Installations élec¬triques édifiées au-dessus du sol :
Par les services publics (concessionnaires de transport et dedistribution d'énergie électrique, service des Postes et l'élécom-munlcallons, S.N.C.F., Entreprises visées fi l'article 23 de laloi du 8 avril 1948, services de l'Eciulpement et du Ix)gementet certains services techniques des collecllvllés locales), lorsqueceux-ci appliquent déjfi des prescriptions propres de sécuritéconcernant ces travaux.
Par des entreprises elTectuant des travaux pour le comptede ces services lorstiu'elles appliquent les mômes prescriptionsde sécurité que celles en vigueur dans les Services publics p>ourle compte desquels elles travaillent.
ART. 14. Les dispositions du présent arrêté, qui devra êtrepublié dans toutes les communes, sont applicables à tout leterritoire du département.
Elles abrogent et remplacent l'arrêté en date du
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TRAVAUX AU VOISINAGEDES LIGNES ÉLECTRIQUES
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Cachet du Servicequi reçoit la déclaration
MoDÎi.E 1
(recio)
DECLARATION D'INTENTION DE TRAVAUX
(I) A l'extérieur, au voisinage d'une Installation électrique édi¬fiée sur le sol et iiolninnient d'une ligne électrique aérienne,
(1) Dans le sol, au voisinage d'Installallons électriques souter¬raines et notamment de lignes électriques souterraines.(effectuée en application de l'arrêté préfectoral pris en
application de la circulaire n* du .).
Reçue le sous le n*par (2) M Service Fonction
Responsablede l'exécution
des travaux
Travaux
Nom : Fonction : (1) agissant pour, son compte personnel.(1) Chef (ou préposé) de l'établissement.Adresse ; Téléphone :
Nature : Lieu : Date prévue pour le commencement (3) : ,
Durée probable : , ,
Stnnoture du resporuablede l'exécution des travaux :
En cas de transmission téléphonique, heure de la communica¬tion : Nom et signature de l'agent qui a enregistré la communica¬tion :
VOIR REPONSE AU VERSO
(1) Rayer la mention Inutile.(2) Exploitant des lignes électriques nirlcnnes et soulcrrnincs ou
représentant local de In distribution.(3) Sauf cas d'urgence Impérieuse, dix jours francs au moins après
la date de la déclaration (Jours fériés non compris).
RECEPISSE DE DECLARATION D'INTENTION DE TRAVAUXComme suite k U déclaration d'Intention de travaux itgurant au
recto sous le n' , nous nous Informons que:
Notre Service exploite les Installations électriques suivantes au voisi¬nage de remplacement des travaux mentionnés au recto du présentdocument :
lignes (s) aérienne (s) à volts (I) lignes (s) électrique (s) souterraine (s) & volts (1)
(J) D
Ul D
lai D
Motrc flervlce voua écrira pour tous prtclier I'll lui eit poiilbic ou oond'rncctuer lt mite lion Itnalon de celle (ceil iDitalIfttlon (il. II j
urkil de KrivcA dinieri K commencer ecs trartui avtot que rouiftyet, en iccord ftvec ooui, irrêl^ les mesures de sicurIK L prendre.
Notrr Service, ne peut, pour una raison qu'il Jure tmpfrleuic, mellrchors Irnilon celle (ces) loslsIUlloQ (s}. Pour ¿rUer tout «celdcnt, vousdevrei. Kvsnl le déhul des travaux et cn accord avec nous, arrêterles mesures de sécurité I prendre.Kotre Qerrlce te tient à rolre disposition pour examiner avec toutcette analre et vous prie de vous adresser k M Telephone :
Notre Service accepte de mettre hors tension cette (ces) Initallatton (t).En pr;nclpe, cette mise hors tension est prévue le (ou les, de heures à heurei. U y aurait de frtvcsdaniers à commencer ces travaux avant que. noua vous lyont remitune I attestation de mite hors tension t de cctli (eet) Inttallatlont (t),écrite, datte et tiente par nous, el avant que tous ajrex, en accordavec nous, arrMt let mesures de s¿curltt complémentaires k prendrepour ¿viler d'endommaier notre (nos) Installation (s), La personnede notre Service chartes de cette aOalre est M Telephone ;
II n'7 a pal de Menea électriques touterralnei exploitées par notre(3) Q Service à l'Intérieur du petimetre del travaux mentionnes au recto du
prêtent document, ou i moins de 1.60 m k rexUrIcur de ce pJrlmttre,
11 n'y a pas, i notre connaissance, de lignes électriques souterrainescxplolUes par d'autres eervicet, k l'InKrleur du périmètre des travauxmentionnes au recto du present document, ou à moins de 1.60 m à
l'extérieur de ce pérlmilre.
11 peut exister, au Tolslitafe de l'emplacement des IraTaux mentionnésau recto du présent document, des Hines électriques louterralnesdependant du ou des exploitants Indiqués ct-aprés. auxquels noustrsnsmeltont copie de Totre déclaration, en leur demandant de Tout/aire connaître directement leur reponte;
Aucun travail oe devra être entrepris avant que vous ayex reçureponte de cet (ou de cet) exploitant (a).
(I) narer la mention Inutile.(3) La (ou ies) mention (s) à prendre en considération sont celles marquées
d'une croix.
(J) n
U) G
NOTK IMPOR-I'AMTE ; Tour 1rs travaux dans le sol, nous attironi Totreattention sur la nécessité de tous tnlormcr. en outre. Indépendamment dela déclaration laite au recto, auprta du Service de voirie, en cas de travauxdans le domaine public, ou auprtt du propriétaire, en cas de travaux surle domaine privé, i'il exiite d'iutret ouvrâtes louterraint tutceptiblei decontinuer une itne ou un risque pour l'eiécutlon de vos travaux.
Il
Slffnnliirt da Clitf d'exptoltalton (ou de ton pripoti):Nom du tifnataire :
2.22 223
TRAVAUX AU VOISINAGEDES LIGNES ÉLECTRIQUES
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TRAVAUX AU VOISINAGEDES LIGNES ÉLECTRIQUES
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Cachet du Servicequi reçoit la déclaration
MoDÎi.E 1
(recio)
DECLARATION D'INTENTION DE TRAVAUX
(I) A l'extérieur, au voisinage d'une Installation électrique édi¬fiée sur le sol et iiolninnient d'une ligne électrique aérienne,
(1) Dans le sol, au voisinage d'Installallons électriques souter¬raines et notamment de lignes électriques souterraines.(effectuée en application de l'arrêté préfectoral pris en
application de la circulaire n* du .).
Reçue le sous le n*par (2) M Service Fonction
Responsablede l'exécution
des travaux
Travaux
Nom : Fonction : (1) agissant pour, son compte personnel.(1) Chef (ou préposé) de l'établissement.Adresse ; Téléphone :
Nature : Lieu : Date prévue pour le commencement (3) : ,
Durée probable : , ,
Stnnoture du resporuablede l'exécution des travaux :
En cas de transmission téléphonique, heure de la communica¬tion : Nom et signature de l'agent qui a enregistré la communica¬tion :
VOIR REPONSE AU VERSO
(1) Rayer la mention Inutile.(2) Exploitant des lignes électriques nirlcnnes et soulcrrnincs ou
représentant local de In distribution.(3) Sauf cas d'urgence Impérieuse, dix jours francs au moins après
la date de la déclaration (Jours fériés non compris).
RECEPISSE DE DECLARATION D'INTENTION DE TRAVAUXComme suite k U déclaration d'Intention de travaux itgurant au
recto sous le n' , nous nous Informons que:
Notre Service exploite les Installations électriques suivantes au voisi¬nage de remplacement des travaux mentionnés au recto du présentdocument :
lignes (s) aérienne (s) à volts (I) lignes (s) électrique (s) souterraine (s) & volts (1)
(J) D
Ul D
lai D
Motrc flervlce voua écrira pour tous prtclier I'll lui eit poiilbic ou oond'rncctuer lt mite lion Itnalon de celle (ceil iDitalIfttlon (il. II j
urkil de KrivcA dinieri K commencer ecs trartui avtot que rouiftyet, en iccord ftvec ooui, irrêl^ les mesures de sicurIK L prendre.
Notrr Service, ne peut, pour una raison qu'il Jure tmpfrleuic, mellrchors Irnilon celle (ces) loslsIUlloQ (s}. Pour ¿rUer tout «celdcnt, vousdevrei. Kvsnl le déhul des travaux et cn accord avec nous, arrêterles mesures de sécurité I prendre.Kotre Qerrlce te tient à rolre disposition pour examiner avec toutcette analre et vous prie de vous adresser k M Telephone :
Notre Service accepte de mettre hors tension cette (ces) Initallatton (t).En pr;nclpe, cette mise hors tension est prévue le (ou les, de heures à heurei. U y aurait de frtvcsdaniers à commencer ces travaux avant que. noua vous lyont remitune I attestation de mite hors tension t de cctli (eet) Inttallatlont (t),écrite, datte et tiente par nous, el avant que tous ajrex, en accordavec nous, arrMt let mesures de s¿curltt complémentaires k prendrepour ¿viler d'endommaier notre (nos) Installation (s), La personnede notre Service chartes de cette aOalre est M Telephone ;
II n'7 a pal de Menea électriques touterralnei exploitées par notre(3) Q Service à l'Intérieur du petimetre del travaux mentionnes au recto du
prêtent document, ou i moins de 1.60 m k rexUrIcur de ce pJrlmttre,
11 n'y a pas, i notre connaissance, de lignes électriques souterrainescxplolUes par d'autres eervicet, k l'InKrleur du périmètre des travauxmentionnes au recto du present document, ou à moins de 1.60 m à
l'extérieur de ce pérlmilre.
11 peut exister, au Tolslitafe de l'emplacement des IraTaux mentionnésau recto du présent document, des Hines électriques louterralnesdependant du ou des exploitants Indiqués ct-aprés. auxquels noustrsnsmeltont copie de Totre déclaration, en leur demandant de Tout/aire connaître directement leur reponte;
Aucun travail oe devra être entrepris avant que vous ayex reçureponte de cet (ou de cet) exploitant (a).
(I) narer la mention Inutile.(3) La (ou ies) mention (s) à prendre en considération sont celles marquées
d'une croix.
(J) n
U) G
NOTK IMPOR-I'AMTE ; Tour 1rs travaux dans le sol, nous attironi Totreattention sur la nécessité de tous tnlormcr. en outre. Indépendamment dela déclaration laite au recto, auprta du Service de voirie, en cas de travauxdans le domaine public, ou auprtt du propriétaire, en cas de travaux surle domaine privé, i'il exiite d'iutret ouvrâtes louterraint tutceptiblei decontinuer une itne ou un risque pour l'eiécutlon de vos travaux.
Il
Slffnnliirt da Clitf d'exptoltalton (ou de ton pripoti):Nom du tifnataire :
2.22 223
TRAVAUX AU VOISINAGEDES LIGNES ÉLECTRIQUES
C. 21-12-70 TRAVAUX AU VOISINAGEDES LIGNES ÉLECTRIQUES
C. 21-12-70
mmm^mmiiimMmâiiMmi^mmwàwm^Mm&^MmM mWiTSr «WÎ-aVriiïieWAPi/WZ'iilft'/.i^^^^
Exploitation : Modèle 2
ATTESTATION DE MISE HORS TENSION N'EN VUE DE TRAVAUX AU VOISINAGE DE UGNES,CANALISATIONS ET INSTALLATIONS ELECTRIQUES
Diliurée en verlu de l'arrêté du 3 mars 1905 pris en nppllcallondu décret n' 65-Í8 du 8 Innuier 1005
ou de l'arrêté préfectoral pris en. applicationN' rfii
l'on de la circulaire
Le chef d'exploitation (ou sonpréposé) soussigné :
Nom : (en capitale!)
Fonction : Avise le destinataire désigné ci-contre que les installationsci-après :
sont hors tension (1) h compterdes date» el heures cl-dc.isousindiquées en vue de l'-exéaitlondes travaux suivants :
L'avla de ces.iation de travail
Le soussigné :
Nom : (en capttalet)
ronction : Chei (ou préposé) de l'éUiblisse-mont :
Déclare :
! Connallre les textes réglemen¬taires relatifs aux travaux auvoisinage d'instailatloni élec¬triques ;
2« Avoir reconnu conlradietolre-nienl avec le chc( d'exploita¬tion les limilcs des inslaiintlonjmises hors tension ;
3' Avoir été nvi.ié que loulei lesautres pnrllr^ de l'InstAlinlionrestent sous tension el «ontdonc dangereti.tes.
devra être remis au plus tardle
Il est convenu qu'en cas de nécessité, les Insinuations mises horstension pourront être remises A la disposition du chef d'explollallon(ou de son |)réposé) dans un délai maximal de h mnt partir de ¡a demande.
De toute /açon, le chef d'exploitation (ou son préposé) ne pourraremettre l'installation sous tension qu'après réception de l'avis decessation de travail, ' .
Le chef d'exploitation (ou sonpréposé) :
Date et heure : Signature :
Le clief d'établissement (ou sonpréposé) :
Date et heure: Signature :
UTILISATION DE MESSAGES TELEIMIONES1° Remplir la formule ci-dessus (sauf signature du chef d'établis¬
sement ou de toi\ préposé).2" Compléter ia forinitie ci-dessous:La présente attestation de mise hors tension a été adressée
le A Il nin, par message télé¬phoné n* à M. . . . .' qui, après coilalionnemenl,a déclaré lavoir enregistré sous ic n*
.Slffiinlitrt liu Chef d'txplottatton (ou dt ion prl poil):
Modèle 2(suite)
AVIS DE CESSATION DE TRAVAIL N°
Le soussigné :
Nom : Fonction : (en capitales)
Chef (ou préposé) de l'établissement : Aviso le chef d'exploitation (ou son préposé) :
Nom : Fonction : (en capitales)
1* Que les travaux faisant l'objet de l'attestation de misehors tension n* délivrée le sont,en ce qui concerne cet établissement :
terminés (1) ;
Interrompus Jusqu'à nouvelle attestation de mise horstension (1). =-
2* Qu'il a fait évacuer la zone des Installations mises horstension et pris les dispositions réglementaires pour que sonpersonnel no coure plus aucun risque du fait du rétablisse¬ment de la tension dans cette zone.
Le chef d'établissement (ouson préposé) :
Date et heure : Signature :
Le chef d'exploitation (ou sonpréposé) :
Date et heure : Signature :
UTILISATION DE MESSAGES TELEPHONES
1* Remplir la formule ci-dessus (sauf signature du chef del'exploitation ou de sort préposé),
2* Compléter la formule ci-dessous :
Le présent avis de cessation de travail a été adressé le fl h mn, par messagetéléphoné n* il M qui, aprèscollatlonnement. a déclaré l'avoir enregistré sous le n"
.Hçiiatiire ilit Chef d'exploitation {ou ite ion préposé). '
(1) NOTA. L* mise hora tension néceiaile la cnndanination en position d'où*Tenure des ortanea de coupure el la vérincatloo da l'abieoce di Icniion. (I) Rayer la mention Inulllc.
- 224 225
TRAVAUX AU VOISINAGEDES LIGNES ÉLECTRIQUES
C. 21-12-70 TRAVAUX AU VOISINAGEDES LIGNES ÉLECTRIQUES
C. 21-12-70
mmm^mmiiimMmâiiMmi^mmwàwm^Mm&^MmM mWiTSr «WÎ-aVriiïieWAPi/WZ'iilft'/.i^^^^
Exploitation : Modèle 2
ATTESTATION DE MISE HORS TENSION N'EN VUE DE TRAVAUX AU VOISINAGE DE UGNES,CANALISATIONS ET INSTALLATIONS ELECTRIQUES
Diliurée en verlu de l'arrêté du 3 mars 1905 pris en nppllcallondu décret n' 65-Í8 du 8 Innuier 1005
ou de l'arrêté préfectoral pris en. applicationN' rfii
l'on de la circulaire
Le chef d'exploitation (ou sonpréposé) soussigné :
Nom : (en capitale!)
Fonction : Avise le destinataire désigné ci-contre que les installationsci-après :
sont hors tension (1) h compterdes date» el heures cl-dc.isousindiquées en vue de l'-exéaitlondes travaux suivants :
L'avla de ces.iation de travail
Le soussigné :
Nom : (en capttalet)
ronction : Chei (ou préposé) de l'éUiblisse-mont :
Déclare :
! Connallre les textes réglemen¬taires relatifs aux travaux auvoisinage d'instailatloni élec¬triques ;
2« Avoir reconnu conlradietolre-nienl avec le chc( d'exploita¬tion les limilcs des inslaiintlonjmises hors tension ;
3' Avoir été nvi.ié que loulei lesautres pnrllr^ de l'InstAlinlionrestent sous tension el «ontdonc dangereti.tes.
devra être remis au plus tardle
Il est convenu qu'en cas de nécessité, les Insinuations mises horstension pourront être remises A la disposition du chef d'explollallon(ou de son |)réposé) dans un délai maximal de h mnt partir de ¡a demande.
De toute /açon, le chef d'exploitation (ou son préposé) ne pourraremettre l'installation sous tension qu'après réception de l'avis decessation de travail, ' .
Le chef d'exploitation (ou sonpréposé) :
Date et heure : Signature :
Le clief d'établissement (ou sonpréposé) :
Date et heure: Signature :
UTILISATION DE MESSAGES TELEIMIONES1° Remplir la formule ci-dessus (sauf signature du chef d'établis¬
sement ou de toi\ préposé).2" Compléter ia forinitie ci-dessous:La présente attestation de mise hors tension a été adressée
le A Il nin, par message télé¬phoné n* à M. . . . .' qui, après coilalionnemenl,a déclaré lavoir enregistré sous ic n*
.Slffiinlitrt liu Chef d'txplottatton (ou dt ion prl poil):
Modèle 2(suite)
AVIS DE CESSATION DE TRAVAIL N°
Le soussigné :
Nom : Fonction : (en capitales)
Chef (ou préposé) de l'établissement : Aviso le chef d'exploitation (ou son préposé) :
Nom : Fonction : (en capitales)
1* Que les travaux faisant l'objet de l'attestation de misehors tension n* délivrée le sont,en ce qui concerne cet établissement :
terminés (1) ;
Interrompus Jusqu'à nouvelle attestation de mise horstension (1). =-
2* Qu'il a fait évacuer la zone des Installations mises horstension et pris les dispositions réglementaires pour que sonpersonnel no coure plus aucun risque du fait du rétablisse¬ment de la tension dans cette zone.
Le chef d'établissement (ouson préposé) :
Date et heure : Signature :
Le chef d'exploitation (ou sonpréposé) :
Date et heure : Signature :
UTILISATION DE MESSAGES TELEPHONES
1* Remplir la formule ci-dessus (sauf signature du chef del'exploitation ou de sort préposé),
2* Compléter la formule ci-dessous :
Le présent avis de cessation de travail a été adressé le fl h mn, par messagetéléphoné n* il M qui, aprèscollatlonnement. a déclaré l'avoir enregistré sous le n"
.Hçiiatiire ilit Chef d'exploitation {ou ite ion préposé). '
(1) NOTA. L* mise hora tension néceiaile la cnndanination en position d'où*Tenure des ortanea de coupure el la vérincatloo da l'abieoce di Icniion. (I) Rayer la mention Inulllc.
- 224 225
/ I' '
AHMlXt -65-^0C'âhk c on dtj<l tjruj^lnjizf.><:.<-¤.- :^ ,
^,''./'V'; " . ' w. V ,... . .A v^.rT/^/.'^^ /-////^z ',^
£nPR¡S£' ' OE L'ALIGNE DANS L E'- PLAN VERT/CAL
£/r)prj:i<r 1 horlxonC^Jci-
-?i5/?r Cr -îc-'i
¡ I r >- - J- -- - -
1 -I-^ "t 1. v-.-._.' .^ I
^ 1 I ~i r^ . 1 -.- ;
"-^ / / "\ T r-r-
EHPRISE DE LA LIGNE DANS -LE PLAN HORIZONTAL
Zûne ûB sécurité à observer pour l'exécution de travaux au voisinage d'unaLigne électrique de 3èaiB catégorie conformément aux prescriptions du décret 6S-43du 3 janvier 19.65. eh ¿le la Circu lâtre lo-«L-( (ínáüirne) ¿lu !><-/< iMS^o , - \
(Pourone litjne.ile. re-v^Ston { riU -' ' &« '''^ 3 "^OY^y/^la diS^^<\ci- ¿Lz. fwi a/jr r^i^Lxi^"^ d S'-" -j
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EHPRISE DE LA LIGNE DANS -LE PLAN HORIZONTAL
Zûne ûB sécurité à observer pour l'exécution de travaux au voisinage d'unaLigne électrique de 3èaiB catégorie conformément aux prescriptions du décret 6S-43du 3 janvier 19.65. eh ¿le la Circu lâtre lo-«L-( (ínáüirne) ¿lu !><-/< iMS^o , - \
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Cacnet du Servicequi reçoit
la déclaration
CERFA N" 55-1117
Formulaire obligatoireArrêtés préfectoraux pris enapplication de la drculaireministérielle du 21.12.1970
Modèle 1 (recto)
tl
DÉCLARATION D'INTENTION DE TRAVAUX
(1) A L'EXTÉRIEUR AU VOISINAGE D'UNE INSTALLATION ÉLECTRIQUE ÉDIFIÉE SUR LE SOL ETNOTAfVlMENT D'UNE LIGNE ÉLECTRIQUE AÉRIENNE
(1) DANS LE SOL AU VOISINAGE D'INSTALLATIONS ÉLECTRIQUES SOUTERRAINES ET NOTAM¬MENT DE LIGNES ÉLECTRIQUES SOUTERRAINES
(Efiectuée conformément à tarrélé préfectoral pris en application de la circulaire n" 70-21 du 21 décembre 1970).
Reçue le..
par (2) M..
.sons le n".
Service. Fonction ,
Responsablede l'exécution
des travaux
Nom:.
Fonction: (1) agissant pour son compte personnel(1) Chef \oü préposé) de l'établissement
Adresse :
Téléphone
Travaux
Nature : .
Lieu :
Date prévue pour le commencement (3)
Durée probable :
Signature du responsablede Texécution des travaux .
En cas de transmission téléphonique, heure de la communication :
Nom et signature de l'agent qui a enregistré la communication
VOIR RÉPONSE AU VERSO
(1) Rayer ia mention inutile.(2) Exploitant des lignes électriques aériennes et souterraines ou représentant Itjcal de la distribution.(3) Sauf en cas d'urgence impérieuse, dix jours francs au moins après la date de la déclaration (jours fériés non compris).
Sieisj 35 35 404
Cacnet du Servicequi reçoit
la déclaration
CERFA N" 55-1117
Formulaire obligatoireArrêtés préfectoraux pris enapplication de la drculaireministérielle du 21.12.1970
Modèle 1 (recto)
tl
DÉCLARATION D'INTENTION DE TRAVAUX
(1) A L'EXTÉRIEUR AU VOISINAGE D'UNE INSTALLATION ÉLECTRIQUE ÉDIFIÉE SUR LE SOL ETNOTAfVlMENT D'UNE LIGNE ÉLECTRIQUE AÉRIENNE
(1) DANS LE SOL AU VOISINAGE D'INSTALLATIONS ÉLECTRIQUES SOUTERRAINES ET NOTAM¬MENT DE LIGNES ÉLECTRIQUES SOUTERRAINES
(Efiectuée conformément à tarrélé préfectoral pris en application de la circulaire n" 70-21 du 21 décembre 1970).
Reçue le..
par (2) M..
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Service. Fonction ,
Responsablede l'exécution
des travaux
Nom:.
Fonction: (1) agissant pour son compte personnel(1) Chef \oü préposé) de l'établissement
Adresse :
Téléphone
Travaux
Nature : .
Lieu :
Date prévue pour le commencement (3)
Durée probable :
Signature du responsablede Texécution des travaux .
En cas de transmission téléphonique, heure de la communication :
Nom et signature de l'agent qui a enregistré la communication
VOIR RÉPONSE AU VERSO
(1) Rayer ia mention inutile.(2) Exploitant des lignes électriques aériennes et souterraines ou représentant Itjcal de la distribution.(3) Sauf en cas d'urgence impérieuse, dix jours francs au moins après la date de la déclaration (jours fériés non compris).
Sieisj 35 35 404
PT
U
TELECOMMUNICATIONS
I. GENERALITES .-,
Servitudes relatives au.x transmissions radioéleciriqucs concernant la protection contre les obstacles des centresd'émission et de réception «.xploicés par l'Etat.
Articles L 54 à L 56 du code des postes et téIécommu.^ications.Anieles R 21 à R 26 et R 39 du code des postes et t¿¡écommu.^icatio^s.Premier ministre (Comité de coordination des télécommunications, groupement des contrôles radioéîeciriques,
C.N.E.S.)..Ministère de !a défense.
Ministère de l'Intérieur.Ministère des transports Direction généraJe de l'aviation civile (service des bases aériennes) Direction de la
météorologia Direction générale de la marine marchande Direction des ports et de la navigation maritimes Ser¬vices des phares et balises.
Secrétariat d'état aux postes et télécommunications et à la télédiffusion.
IL PROCEDURE D'INSTITUTION
A. ProcédureServitudes instituées par un décret particulier à chaque centre, soumis au contreseing du ministre dont les services
exploitent le centre et du ministre de l'environnement et du cadre de vie. Ce décret auquel est joint le plan des servitudesintervient après consultation des administrations concernées, enquête publique dans les communes intéressées et trans¬mission de l'ensemble du dossier d'enquête au comité de coordination des télécommunications. L'accord préalable duministre chargé de l'industrie et du ministre chargé de l'agriculture est requis dans tous les cas. Si l'accord entre lesministres n'intervient pas il est statué par décret en Conseil d'Etat (article R 25 du code des postes et télécommunica¬tions).
Les ser/itudes instituées par décret sont modifiées selon !a procédure mentionnée ci-dessus, lorsque la n-.odi ficationentraîne un changement d'assiette de la servitude ou son aggravation. Elles sont réduites ou supprimées par décret sansqu'il y ait lieu de procéder à l'enquête (anicle R 25 du code des postes et télécommunications).
Le plan des servitudes détermine, autour des centres d'émission et de réception dont les limites sont définies confor¬mément au deuxième alinéa de l'anicie R 22 du code des postes et télécommunications ou entre des centres assurar.t uneliaison' radioéiectrique sur ondes de fréquence supérieure à 30 MHz, différentes zones possibles de servitudes.
a. ,'\utour des centres émetteurs et récepteurs et autour des stationsde radio-repérage et de radio-navigadon, d'émis¬sion et de réception (articles R 21 et R 22 du code des postes et télécommunications).ZONE PRLMaIRE de DEG.AGcMENT à une distance majcimaie de ICO mètres (i partir des limites d'j'cenCre) les diffé¬rents centres à l'e.-^clusion des installations radiogoniométriques, ou de sécurité aéronautique pour iesqueiles la distancemaximale peut être portée à -iOO mètres.
ZONE SECONDAIRE DE DEGAGEMENTLa distance ma.ximale à partir des limites du centre peut être de 2 (XX) mètres.
''secteurs de DEGAGEMENTD'une ouverture de quelques degrés à 360° autour des stations de radio-repérage et de radionavigation et sur une
distcUTce ma.ximale de 5 OCX) mètres entre les limites du centre et !e périmètre du secteur.
b. Entre deux centres assurant une liaison radioéiectrique par ondes de fréquence supérieure à 30 .MHz
(Anicle R 23 du code des postes et télécommunications). 'ZONE SPECIALE DE DEGAGE.MEi-n'
D'une largeur appro.ximativc de 5CX) mètres compte tenu de la largeur du faisceau henzien proprement dit estiméedans la plupan des cas à 4tX) mètres et de deux zones latérales de 50 mètres.
B. IndemnisationPossible si rétablissement des ser/itudes cause aux propriétés et aux ouvrages un dommage direct .Tiatériel et actuel
(anicle L 56 du code des postes et télécommunications). La demande d'indemnité doit être faite dans ie délai de un andu jour de la notiñcation dss mesures imposées. .A défaut d'accord amiable, les contestations relatives à cette indemnitésont de la compétence du tribunal administratif (article L 56 du code des postes et télécommunications).
C. PublicitéP'jblication au Journal officiel, des décrets.
Publication au fichier nationai du secrétariat d'état aux postes et télécommunications et à la télédiffusion(B.C.I.D.S.R.), qui 'alimente '.es fichiers mis à la disposition des préfets, des directeurs dépanementaux de l'équipement,des directeurs interdépanementaux de l'industrie (instruction interministérielle ^iOO C.C.T. du 21 juin 19^1 modiñée).
Notification par les maires, aux intéressés, des mesures les concernant.
PT
U
TELECOMMUNICATIONS
I. GENERALITES .-,
Servitudes relatives au.x transmissions radioéleciriqucs concernant la protection contre les obstacles des centresd'émission et de réception «.xploicés par l'Etat.
Articles L 54 à L 56 du code des postes et téIécommu.^ications.Anieles R 21 à R 26 et R 39 du code des postes et t¿¡écommu.^icatio^s.Premier ministre (Comité de coordination des télécommunications, groupement des contrôles radioéîeciriques,
C.N.E.S.)..Ministère de !a défense.
Ministère de l'Intérieur.Ministère des transports Direction généraJe de l'aviation civile (service des bases aériennes) Direction de la
météorologia Direction générale de la marine marchande Direction des ports et de la navigation maritimes Ser¬vices des phares et balises.
Secrétariat d'état aux postes et télécommunications et à la télédiffusion.
IL PROCEDURE D'INSTITUTION
A. ProcédureServitudes instituées par un décret particulier à chaque centre, soumis au contreseing du ministre dont les services
exploitent le centre et du ministre de l'environnement et du cadre de vie. Ce décret auquel est joint le plan des servitudesintervient après consultation des administrations concernées, enquête publique dans les communes intéressées et trans¬mission de l'ensemble du dossier d'enquête au comité de coordination des télécommunications. L'accord préalable duministre chargé de l'industrie et du ministre chargé de l'agriculture est requis dans tous les cas. Si l'accord entre lesministres n'intervient pas il est statué par décret en Conseil d'Etat (article R 25 du code des postes et télécommunica¬tions).
Les ser/itudes instituées par décret sont modifiées selon !a procédure mentionnée ci-dessus, lorsque la n-.odi ficationentraîne un changement d'assiette de la servitude ou son aggravation. Elles sont réduites ou supprimées par décret sansqu'il y ait lieu de procéder à l'enquête (anicle R 25 du code des postes et télécommunications).
Le plan des servitudes détermine, autour des centres d'émission et de réception dont les limites sont définies confor¬mément au deuxième alinéa de l'anicie R 22 du code des postes et télécommunications ou entre des centres assurar.t uneliaison' radioéiectrique sur ondes de fréquence supérieure à 30 MHz, différentes zones possibles de servitudes.
a. ,'\utour des centres émetteurs et récepteurs et autour des stationsde radio-repérage et de radio-navigadon, d'émis¬sion et de réception (articles R 21 et R 22 du code des postes et télécommunications).ZONE PRLMaIRE de DEG.AGcMENT à une distance majcimaie de ICO mètres (i partir des limites d'j'cenCre) les diffé¬rents centres à l'e.-^clusion des installations radiogoniométriques, ou de sécurité aéronautique pour iesqueiles la distancemaximale peut être portée à -iOO mètres.
ZONE SECONDAIRE DE DEGAGEMENTLa distance ma.ximale à partir des limites du centre peut être de 2 (XX) mètres.
''secteurs de DEGAGEMENTD'une ouverture de quelques degrés à 360° autour des stations de radio-repérage et de radionavigation et sur une
distcUTce ma.ximale de 5 OCX) mètres entre les limites du centre et !e périmètre du secteur.
b. Entre deux centres assurant une liaison radioéiectrique par ondes de fréquence supérieure à 30 .MHz
(Anicle R 23 du code des postes et télécommunications). 'ZONE SPECIALE DE DEGAGE.MEi-n'
D'une largeur appro.ximativc de 5CX) mètres compte tenu de la largeur du faisceau henzien proprement dit estiméedans la plupan des cas à 4tX) mètres et de deux zones latérales de 50 mètres.
B. IndemnisationPossible si rétablissement des ser/itudes cause aux propriétés et aux ouvrages un dommage direct .Tiatériel et actuel
(anicle L 56 du code des postes et télécommunications). La demande d'indemnité doit être faite dans ie délai de un andu jour de la notiñcation dss mesures imposées. .A défaut d'accord amiable, les contestations relatives à cette indemnitésont de la compétence du tribunal administratif (article L 56 du code des postes et télécommunications).
C. PublicitéP'jblication au Journal officiel, des décrets.
Publication au fichier nationai du secrétariat d'état aux postes et télécommunications et à la télédiffusion(B.C.I.D.S.R.), qui 'alimente '.es fichiers mis à la disposition des préfets, des directeurs dépanementaux de l'équipement,des directeurs interdépanementaux de l'industrie (instruction interministérielle ^iOO C.C.T. du 21 juin 19^1 modiñée).
Notification par les maires, aux intéressés, des mesures les concernant.
/
ANNEXE 13
RESULTATS DE PECHE ELECTRIQUE DANS L'EYRE
(CONSEIL SUPERIEUR DE LA PECHE - DELEGATION REGIONALE
MIDI -PYRENEES - AQUITAINE)
/
ANNEXE 13
RESULTATS DE PECHE ELECTRIQUE DANS L'EYRE
(CONSEIL SUPERIEUR DE LA PECHE - DELEGATION REGIONALE
MIDI -PYRENEES - AQUITAINE)
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Dlatanc*partlall» (k») 17,5
Ponte en % 0,5
2ona placlcolaOa HUET zona è Brème
Ul X Conniune Le TEICH nios SALLES
o Dápa r teman t GIRONDE
10
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Oápartanant t: I R O N O C
Comauna SALLES 8ELIN BCLIET
Sactaur da piche álcotrlque.
4^
Zona placlcol*de HUET
Altitude()
zon^ k Truite 2.T
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zona fc Brèae z.Br
¡dmPont
routa principale y routa eeoondalre.
vola farráe I plate, chealn
Conriuanca d'una rlvlèrai d'un rulaeeau notable
Prlaa d'eau î lo^bouchá d'un oanalt d'un ruleaelet 7
ii
.01 atanc* auconfluant (km)
Ii^i;;
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m^itiiiiï
titula
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Olatancapartielle (icia)
Pente an ^^
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Conriuanca d'una rlvlèrai d'un rulaeeau notable
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Olatancapartielle (icia)
Pente an ^^
.Zona piscicoleda HUET
^ ^ foimune
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0,5
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SALLES
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¡ LUCOS1
C 1 R
zona
ONDE
& Brume
11
1
BELIN BCLIET
CONSEIL SUPERIEUR OC LA PECHEOilégetlon régionale niDI-PYRENEES AQUITAINE PECHE ELECTRIQUE du 19 eoOt 1981
COURS D'EAU Nom I LEVREArriuent de t rlvlllreBaealn t citlfereDápartenant Gironde
SECTEUR O'ETUOE NumAro iCatégorie piaolcole i 2
Looelleation t pant RN 650 k LaaothaLongueur i 200Largeur moyenne i 15 n
HOOALITES OE LA PECHE náthode ^t aondege, 1 eeul peeaege«etirlel l E.P.H.C.Noabre d'anodea mProepectlon t bateauOur<e I SS ainutee
ESPECE
Lea eapkceaobeervâne
aont eouligA^ee
Anguille
Chabot
TRUITE FARIO
Truite arc
Vairon
Locho Tranche
OnBRE COMMUN
ToxoBtome
Uandol ss
Chouaane
Goujon
BARBEAU
Epinoche
Cardon
Brochot
Ablette
Porche
Sandre
Carpe
BREHE
Tahcho
Zonebiogéographiqua
Perche noloil
01act< bass
Flat
Hugte ap.
poiaaona capturée/eaateur
Nombre
18
POIDS TOTAL
Poide(9)
1.260
324
446
danait4 eatla«e/hectare
Nombre
22
592
22
Poids(kg)
laportanoadu
paupleaant *
2.760 I
EFFECTIFS DES POISSONS C.^PTURES - DENSITES ESTinEES
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' ' 1 i ' ' '^^0 ^^s ordonnéoa : nombre de oolsaons cipturrts
TAILLES OES POISSONS CAPTURES
Inventaire National 1961
C = tr*ifl nhondanl
CONSEIL SUPERIEUR OC LA PECHEOilégetlon régionale niDI-PYRENEES AQUITAINE PECHE ELECTRIQUE du 19 eoOt 1981
COURS D'EAU Nom I LEVREArriuent de t rlvlllreBaealn t citlfereDápartenant Gironde
SECTEUR O'ETUOE NumAro iCatégorie piaolcole i 2
Looelleation t pant RN 650 k LaaothaLongueur i 200Largeur moyenne i 15 n
HOOALITES OE LA PECHE náthode ^t aondege, 1 eeul peeaege«etirlel l E.P.H.C.Noabre d'anodea mProepectlon t bateauOur<e I SS ainutee
ESPECE
Lea eapkceaobeervâne
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Anguille
Chabot
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Truite arc
Vairon
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Chouaane
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BARBEAU
Epinoche
Cardon
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Perche noloil
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Nombre
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POIDS TOTAL
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2.760 I
EFFECTIFS DES POISSONS C.^PTURES - DENSITES ESTinEES
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TAILLES OES POISSONS CAPTURES
Inventaire National 1961
C = tr*ifl nhondanl
COURS O'EAU LEYRE
Secteur pont R.N. 650
Pâche du "^ 9 août 1981
ANALYSE DES RESULTATS DE LA PECHE
Niveau typologique théorique du secteur
Type I Espèces I Typeichtyologique I observées I ichtyologique
zone àB rème ' B(les espèces concernées sont saullgnëes)
ChabotTruite farioVaironLoche fr.ToxQstomey/andoiaeChevesneGoulonBarbeauGardonBrochetAblettePercheSandreCarpeBrèmeTanchePerche soleilBlack bassPoisson chatRotengle
ChabotTruite farioUaironLoche fr.ToxostomeWandoiaeChevesneGoujonBarbeauGardonBrochetAblettePercheSandreCarpe l
BrèmeTanchePerche soleilBlack bassPoisson chatRotengle
ChabotTruite farioUalronLoche fr.ToxostomeUandoiseChe va sneGoujonBarbeauGardonBrochetAblettePercheSandreCarpeBrèmeTanchePerche soleilBlack bassPoiason chatRotengle
ASPECT QUALITATIF
Niveau typologique théorique non déterminé (données manquantespour le calcul). D'après l'indice pente/largeur, le secteurappartient à la zona à Brème de HUET.
Peuplement observé en coïncidence avec le peuplement théoriquemais nombre d'espèces présentes faible.
ASPECT QUANTITATIF
Densités et biomasses faibles pour toutes espèces
CONCLUSION
Milieu plutôt pauvre au plan piscicole et probablement dégradé.
COURS O'EAU LEYRE
Secteur pont R.N. 650
Pâche du "^ 9 août 1981
ANALYSE DES RESULTATS DE LA PECHE
Niveau typologique théorique du secteur
Type I Espèces I Typeichtyologique I observées I ichtyologique
zone àB rème ' B(les espèces concernées sont saullgnëes)
ChabotTruite farioVaironLoche fr.ToxQstomey/andoiaeChevesneGoulonBarbeauGardonBrochetAblettePercheSandreCarpeBrèmeTanchePerche soleilBlack bassPoisson chatRotengle
ChabotTruite farioUaironLoche fr.ToxostomeWandoiaeChevesneGoujonBarbeauGardonBrochetAblettePercheSandreCarpe l
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ChabotTruite farioUalronLoche fr.ToxostomeUandoiseChe va sneGoujonBarbeauGardonBrochetAblettePercheSandreCarpeBrèmeTanchePerche soleilBlack bassPoiason chatRotengle
ASPECT QUALITATIF
Niveau typologique théorique non déterminé (données manquantespour le calcul). D'après l'indice pente/largeur, le secteurappartient à la zona à Brème de HUET.
Peuplement observé en coïncidence avec le peuplement théoriquemais nombre d'espèces présentes faible.
ASPECT QUANTITATIF
Densités et biomasses faibles pour toutes espèces
CONCLUSION
Milieu plutôt pauvre au plan piscicole et probablement dégradé.