FESTIVAL 23.06 > 12.07_

CONCERT PIQUE-NIQUE 23.07

2016

MARDI 12 JUILLET 2016 • 20hBasilique Saint-Remi

concert de clôtureOrchestre philharmonique de Strasbourg

Marko Letonja /direction

Véronique Gens /soprano

Carl Maria von Weber (1786-1826) : Invitation à la danse, « rondo brillant pour pianoforte », op.65

Hector Berlioz (1803-1869) : Les nuits d’été, op.7 | |

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Maurice Ravel (1875-1937) : Le tombeau de Couperin | | |

Franz Liszt (1811-1886) : Les Préludes, poème symphonique n°3, S.97 | | |

À propos des œuvres

Sous la direction de Marko Letonja, l’Orchestre philharmonique de Strasbourginterprète un magnifique programme où le romantisme de Weber et de Liszt encadre deux œuvres majeures du répertoire français : « Le Tombeau de Couperin », hommage de Ravel à la musique du XVIIIe siècle et le cycle de mélodies « Les nuits d’été » de Berlioz, illuminées par la voix de la soprano Véronique Gens, qui sait comme nulle autre suggérer la mélancolie poétique de ces chants d’amour.

Carl Maria von Weber (1786-1826) :

Dans l’œuvre pour piano de Weber, l’Invitation à la danse brille comme un joyau. Weber la composa en 1819, alors que la valse envahissait l’Europe, ouvrant la voie à Chopin et bien d’autres pianistes, tout en offrant à Johann Strauss le modèle de ses propres valses dans cette forme en rondo libre. En 1841, Berlioz, le plus ardent défenseur de Weber en France, orchestra cette œuvre pour l’Opéra de Paris. On a ici un bel exemple de l’art de Berlioz, qui utilise sa maîtrise dans ce domaine pour donner plus de relief à l’original sans jamais chercher à se faire remarquer. La musique rappelle certaines pages de Berlioz lui-même, en particulier le de la

Hector Berlioz (1803-1869) : sont un cycle de six mélodies composées à partir de 1834 par Berlioz,

en pleine période romantique, sur des poèmes de Théophile Gautier. Ecrites au départ pour la voix et le piano, ces six mélodies révèlent tout leur charme mélancolique dans la version orchestrale qui soutient constamment la voix en même temps qu’elle lui apporte une force nouvelle. L’amour sert à Berlioz de fil conducteur : l’amour souvent fragile, parfois perdu, les blessures secrètes, l’absence mais aussi la mort qui plane avec ses fantômes, les voyages sans retour... Malgré une tonalité générale sombre, ce cycle comprend quelques-unes des pièces les plus fraîches et les plus belles de Berlioz, où scintillent la douceur des longs soirs d’été et une mélancolie enfouie.

Maurice Ravel (1875-1937) : est une suite de six pièces pour piano composée entre 1914 et

1917. Loin d’une composition funèbre, le mot « Tombeau » dans le titre fait référence à un hommage poétique et musical en usage au XVIIIe siècle. Ravel rend ainsi hommage à François Couperin mais aussi à toute la musique baroque française de cette époque. Une des spécificités de l’œuvre réside dans le fait que le compositeur a tenu à dédier chacune des pièces à ses amis tués sur le front durant la guerre. Comme souvent, Ravel transcrit ensuite pour orchestre une œuvre précédemment écrite pour piano. Il réduit cependant les six danses d’origine à quatre, dont il change l’ordre d’exécution. Écrit pour petit orchestre symphonique, est un chef-d’œuvre d’orchestration, proche du concerto pour orchestre tant les parties individuelles sont solistiques.

Franz Liszt (1811-1886) : Franz Liszt compose ce poème symphonique entre 1845 et 1853. Le titre de l’œuvre prend sa source dans la poésie de Lamartine dont Liszt s’inspira et qu’il mit en exergue sur la partition : « Notre vie est-elle autre chose qu’une série de Préludes à ce chant inconnu dont la mort entonne la première et solennelle mort ? ». Après une lente et mystérieuse ouverture, l’œuvre se décline en quatre parties au cours desquelles l’orchestre fait l’ample démonstration d’une variété de couleurs et de mouvements, évoquant tour à tour le bonheur, les inquiétudes, la sérénité et les combats de la vie. Des treize poèmes symphoniques que Liszt composa, « Les Préludes » est le plus connu et le plus souvent joué.

Biographies

Orchestre philharmonique de StrasbourgFondé en 1855, l’Orchestre philharmonique de Strasbourg (OPS) est dirigé depuis 2012 par Marko Letonja. Considéré comme l’un des meilleurs orchestres français, l’OPS (110 musiciens), a acquis une solide réputation internationale à travers ses nombreuses tournées à l’étranger et ses disques. L’OPS a enregistré de nombreuses œuvres du répertoire, du XVIIIe au XXe siècle, enregistrements pour lesquels il a reçu plusieurs distinctions. Citons, entre autres, les de Strauss, les

de Dvořák et de Schumann, un album regroupant des œuvres de Dukas, Kœchlin et Ravel (Diapason d’Or au Japon), et un CD consacré à Korngold (Diapason d’Or et disque du mois sur ClassicsTodayFrance). La saison passée, l’Orchestre a enregistré plusieurs œuvres de Kaija Saariaho, compositrice en résidence. L’OPS a obtenu le Prix Européen d’Orchestre Symphonique en 1996 et le Prix Claude Rostand pour le en 1999. L’Orchestre a également obtenu la « Victoire de l’enregistrement de l’année » aux Victoires de la musique 2006 pour son album consacré aux œuvres de Jean-Louis Agobet.

www.philharmonique-strasbourg.com

Marko Letonja, directionÀ la fois directeur musical et artistique de l’OPS et du Tasmanian Symphony Orchestra depuis 2012, le chef slovène a commencé par étudier le piano à l’Académie de musique de Ljubljana avant d’y aborder la direction d’orchestre. Entre 1991 et 2003, il est directeur musical de l’Orchestre philharmonique de Slovénie. Rapidement, il est très demandé sur la scène internationale. Du Grand Théâtre de Genève au Teatro alla Scala de Milan, il œuvre dans les plus prestigieuses maisons. En janvier 2013, Marko Letonja a fait ses débuts au Staatsoper de Vienne dans , puis y a notamment dirigé

. En 2003, il est nommé chef permanent et directeur musical de l’Orchestre symphonique et de l’Opéra de Bâle où il dirige, entre autres, de nouvelles

productions de , et avant d’être nommé, en 2008, chef principal invité de l’Orchestra Victoria de Melbourne. Dans sa discographie, mentionnons un opus dédié à Ross Harris (Naxos, 2012), une remarquable intégrale symphonique de Weingartner (CPO, 2014) et un récent CD consacré à Kaija Saariaho (Ondine, 2015) avec l’OPS.

www.philharmonique-strasbourg.com/directeur-musical.php

Biographies

Véronique Gens, soprano Après avoir dominé la scène baroque pendant plus d’une décennie, Véronique Gens est aujourd’hui considérée comme l’une des meilleures interprètes de Mozart. L’un des rôles phares de sa carrière, Donna Elvira dans , présenté par Peter Brook et Claudio Abbado au Festival d’Aix en Provence, lui a permis de se faire connaître dans le monde entier. Véronique Gens a chanté sur les plus grandes scènes comme Covent Garden de Londres, Staatsoper de Vienne, Opéra de Paris, Salzbourg, Glyndebourne… et auprès des orchestres les plus importants dont le Philarmonique de Berlin, l’Orchestre National de France ou encore le Boston Symphony Orchestra. Son répertoire est composé des plus grands rôles mozartiens (Donna Elvira, La Contessa, Vitellia, Fiordiligi...) et de grands rôles de la tragédie lyrique. Véronique Gens se produit également régulièrement dans des récitals de mélodies françaises dans le monde entier. Ses futurs engagements comprennent notamment Desdemona/ au Staatsoper de Vienne (Février 2017), (Décembre 2016) et

à Bruxelles (Décembre 2017).En 1999, elle est élue « Artiste Lyrique de l’année » aux Victoires de la Musique Classique.Ses nombreux enregistrements (plus de 80 CD et DVD) ont reçu plusieurs récompenses internationales.

www.veroniquegens.com

Zoom sur...

SAMEDI 23 JUILLET 2016 • 19hParc de Champagne1ère Partie - Ensemble vocal Réminiscence des Voix de la Cathédrale et Chœur d’hommes de la Maîtrise Sandrine Lebec /chef de chœur

Paris en chantant

Orchestre national de LorraineJacques Mercier /direction

Fabienne Conrad /soprano

Thomas Bettinger /ténor

Les comédies musicales américaines

Prévente* : 12€(6€ pour les 6/25 ans)

Sur place* : 18€ (9€ pour les 12/25 ans6€ pour les 6/11 ans)

* tous les détails sont sur notre site internet

Etant donné l’affluence à ce concert, nos amis les animaux ne sont pas acceptés.

Paroles

Villanelle

Quand viendra la saison nouvelle,Quand auront disparu les froids,Tous les deux nous irons, ma belle,Pour cueillir le muguet aux bois.Sous nos pieds égrenant les perles,Que l’on voit au matin trembler,Nous irons écouter les merles siffler.

Le printemps est venu, ma belle,C’est le mois des amants béni;Et l’oiseau, satinant son aile,Dit des vers au rebord du nid.Oh! viens donc, sur ce banc de moussePour parler de nos beaux amours,Et dis-moi de ta voix si douce: «Toujours!»

Loin, bien loin, égarant nos courses,Faisant fuir le lapin caché,Et le daim au miroir des sourcesAdmirant son grand bois penché,Puis chez nous, tout heureux, tout aises,En panier enlaçant nos doigts,Revenons, rapportant des fraisesDes bois.

Le spectre de la rose

Soulève ta paupière closeQu’effleure un songe virginal.Je suis le spectre d’une roseQue tu portais hier au bal.Tu me pris encor emperléeDes pleurs d’argent de l’arrosoir,Et parmi la fête étoiléeTu me promenas tout le soir.

Ô toi, qui de ma mort fut cause,Sans que tu puisses le chasser,Toutes les nuits mon spectre roseA ton chevet viendra danser.Mais ne crains rien, je ne réclameNi messe ni De Profundis, Ce léger parfum est mon âmeEt j’arrive du Paradis.

Mon destin fut digne d’envie,Et pour avoir un sort si beauPlus d’un aurait donné sa vie.Car sur ton sein j’ai mon tombeau,Et sur l’albâtre où je reposeUn poète avec un baiserÉcrivit : «Ci-gît une roseQue tous les rois vont jalouser».

Sur les lagunes – Lamento

Ma belle amie est morte,Je pleurerai toujours;Sous la tombe elle emporteMon âme et mes amours.Dans le ciel, sans m’attendreElle s’en retourna;L’ange qui l’emmenaNe voulut pas me prendre.Que mon sort est amer!Ah ! sans amour s’en aller sur la mer!

La blanche créatureEst couchée au cercueil.Comme dans la natureTout me paraît en deuil!La colombe oubliéePleure et songe à l’absent;Mon âme pleure et sentQu’elle est dépareillée.Que mon sort est amer!Ah ! sans amour s’en aller sur la mer!

Sur moi la nuit immenseS’étend comme un linceul.Je chante ma romanceQue le ciel entend seul.Ah ! comme elle était belle,Et comme je l’aimais!Je n’aimerai jamaisUne femme autant qu’elle.Que mon sort est amer!Ah ! sans amour s’en aller sur la mer!

Absence

Reviens, reviens, ma bien-aimée!Comme une fleur loin du soleil

La fleur de ma vie est ferméeLoin de ton sourire vermeil.

Entre nos cœurs quelle distance!Tant d’espace entre nos baisers!Ô sort amer! Ô dure absence!Ô grands désirs inapaisés!

Reviens, reviens, ma bien-aimée, etc.

D’ici là-bas, que de campagnes,Que de villes et de hameaux,Que de vallons et de montagnes,A lasser le pied des chevaux!

Reviens, reviens, ma bien-aimée, etc.

Au cimetière – Clair de lune

Connaissez-vous la blanche tombeOù flotte avec un son plaintifL’ombre d’un if?Sur l’if, une pâle colombe,Triste et seule, au soleil couchant,Chante son chant:

Un air maladivement tendre,A la fois charmant et fatalQui vous fait malEt qu’on voudrait toujours entendre;Un air, comme en soupire aux cieuxL’ange amoureux.

On dirait que l’âme éveilléePleure sous terre à l’unissonDe la chanson,Et du malheur d’être oubliéeSe plaint dans un roucoulementBien doucement.

Sur les ailes de la musiqueOn sent lentement revenirUn souvenir.Une ombre, une forme angéliquePasse dans un rayon tremblantEn voile blanc.

Les belles de nuit, demi-closesJettent leur parfum faible et douxAutour de vous,Et le fantôme aux molles poses

Murmure en vous tendant les bras:«Tu reviendras!»

Oh jamais plus, près de la tombeJe n’irai, quand descend le soirAu manteau noir,Écouter la pâle colombeChanter sur la pointe de l’ifSon chant plaintif!

L’île inconnue

Dites, la jeune belle,Où voulez-vous aller?La voile enfle son aile,La brise va souffler.

L’aviron est d’ivoire,Le pavillon de moire,Le gouvernail d’or fin.J’ai pour lest une orange,Pour voile une aile d’ange,Pour mousse un séraphin.

Dites, la jeune belle,Où voulez-vous aller?La voile enfle son aile,La brise va souffler.

Est-ce dans la Baltique?Dans la mer Pacifique?Dans l’île de Java?Ou bien est-ce en Norvège,Cueillir la fleur de neige,Ou la fleur d’Angsoka?

Dites, la jeune belle,Où voulez-vous aller?

Menez-moi, dit la belle,A la rive fidèleOù l’on aime toujours!Cette rive, ma chère,On ne la connaît guèreAu pays des amours.

Où voulez-vous aller?La brise va souffler.

MENU :

Pour l’apéritif > La fougasse aux légumes du soleil, serpolet, thym et tapenade aux deux couleurs

Pour débuter> Raviole de Romans au basilic> Petite brochette de gambas

> Gaspacho au pistou et huile vierge parfumée

Pour continuer > Comme une daube provençale et sa piperade fondante au romarin

Pour patienter> Quiche provençale au Banon, brisures de châtaignes...

Pour terminer> Compotée de pêches et d’abricots du Luberon au Lemoncello

> La tropézienne revisitée à la fleur d’oranger et melon confit

Les gourmandises sucrées :

Navette provençale à l’anis, calisson, berlingot de Carpentras et nougat de Montélimar

Réservation : 03 26 04 47 32 / piqueniquedu23juillet2016@gmail.com

Dîner Pique-nique en vente sur place

Concert pique-nique :

NAVETTES QUARTIERS ALLER BUS N° 1 :

LAON → arrêt BELGES vers MAURENCIENNE (ligne 3) 17H35 LAON NORD → arrêt TONDEURS vers MOULIN DE LA HOUSSE (ligne 3) 17H45 ORGEVAL → arrêt NEUFCHATEL vers HOPITAUX (ligne 4) 17H55 LAON – CHARLES ARNOULD → arrêt LUTON vers HOPITAL DEBRE (ligne 4) 18H05 LAON – ZOLA → arrêt ROOSEVELT vers OPERA (ligne 4) 18H15 COURCELLES → arrêt Gare CLAIRMARAIS vers OPERA (ligne 4) 18H25

BUS N° 2 : FRANCHET D’ESPEREY → arrêt F. D’ESPEREY vers APOLLINAIRE (ligne 7) 17H45 FAC DROIT ET LETTRES → CAMPUS Croix Rouge vers CROIX du SUD (ligne 11) 17H55 CROIX ROUGE → arrêt HOPITAL DEBRE vers GARE (ligne 7) 18H05 VAL DE MURIGNY → arrêt MELIES vers VAL DE MURIGNY (ligne 5) 18H15 CORMONTREUIL → arrêt ALSACE LORRAINE vers OPERA (ligne 2) 18H25 CHATILLONS → arrêt C. COLOMB vers OPERA (lignes 5/2) 18H35 WILSON → arrêt SALAIRE vers OPERA (ligne 2) 18H40 SAINTE ANNE → arrêt SAINTE ANNE vers OPERA (ligne 4) 18H45 SAINT REMI → arrêt SAINT REMI vers OPERA (ligne 4) 18H50

BUS N° 3 : PORTE DE PARIS → arrêt MARTIN PELLER vers OPERA (ligne 1/7/8) 17H45 OPERA → arrêt Rue de CHANZY (en face de la BOUTIQUE CITURA) 17H55 JEAN JAURES → arrêt BROUETTE vers ROUTE DE WITRY (ligne 5) 18H10 JEAN JAURES → arrêt CIMETIERE DE L’EST vers CAMPUS (ligne 11) 18H20 EUROPE → arrêt EUROPE vers CAMPUS (lignes 1/11) 18H30 VERRIER → arrêt FACULTE DES SCIENCES vers CROIX DU SUD (ligne 11) 18H40

NAVETTES QUARTIERS RETOUR

BUS N° 1 : SAINT REMI → arrêt SAINT-REMI vers HOPITAL DEBRE (lignes 4/6/11) SAINTE ANNE → arrêt SAINTE ANNE vers HOPITAL DEBRE (lignes 4/11) WILSON → arrêt SALAIRE vers CORMONTREUIL (ligne 2) CHATILLONS → arrêt C. COLOMB vers CORMONTREUIL (ligne 2) CORMONTREUIL → arrêt ALSACE LORRAINE vers OPERA (ligne 2) VAL DE MURIGNY → arrêt MELIES vers VAL DE MURIGNY (ligne 5) CROIX ROUGE → terminus HOPITAL DEBRE vers GARE (ligne 7) CAMPUS CROIX ROUGE → CAMPUS vers GARE (ligne 11) FRANCHET D’ESPEREY → arrêt F. D’ESPEREY vers GARE (ligne 7) PORTE DE PARIS → arrêt MARTIN PELLER vers OPERA (lignes 1/7/8) CENTRE → arrêt OPERA vers GARE GARE → arrêt ROEDERER vers MAURENCIENNE (ligne 3)

BUS N° 2 : EUROPE → arrêt FACULTE DES SCIENCES vers GARE (ligne 11) EUROPE → arrêt EUROPE vers GARE (ligne 11) JEAN JAURES → arrêt CIMETIERE DE L’EST vers GARE (ligne 11) JEAN JAURES → arrêt BROUETTE vers OPERA (ligne 5) OPERA → arrêt OPERA vers MAURENCIENNE (ligne 3) COURCELLES → arrêt Gare CLAIRMARAIS vers ORGEVAL (ligne 4) LAON – ZOLA → arrêt ROOSEVELT vers ORGEVAL (ligne 4) LAON – CHARLES ARNOULD → arrêt LUTON vers ORGEVAL (ligne 4) ORGEVAL→ arrêt NEUFCHATEL vers ORGEVAL (ligne 4) LAON NORD → arrêt TONDEURS vers MOULIN de la HOUSSE (ligne 3) LAON → arrêt BELGES vers MOULIN de la HOUSSE (ligne 3)

MERCI !

La 27e édition des Flâneries Musicales de Reims s’achève… Elle a été fidèle au thème retenu pour promouvoir la programmation 2016 :

Merci à Jean-Philippe Collard, directeur artistique pour la 5e édition consécutive, d’avoir minutieusement conçu le programme de ces 53 concerts avec pour objectif de permettre à toutes et tous de vivre d’intenses moments dans lesquels se mêlaient à la fois découverte, émotion et plaisir.

En 3 semaines. 750 artistes ont eu le mérite de faire découvrir leur talent à l’ensemble des spectateurs qui n’ont jamais ménagé leur enthousiasme à l’issue des concerts. Nos premiers remerciements sont en leur direction.

Les Flâneries Musicales de Reims ont atteint la 8e place parmi les festivals Français, confirmant ainsi une qualité et une dimension permettant d’élargir l’attractivité de la Ville de Reims et de notre Région.

La 27e édition a été l’occasion de célébrer en musique les 25e et 1er anniversaires des inscriptions de notre patrimoine par l’UNESCO pour ce qui concerne la Cathédrale, le Palais du Tau et l’ancienne Abbaye Saint Remi en 1991 et des Coteaux, Maisons et Caves de Champagne en 2015.Parallèlement, la venue du talentueux pianiste de 22 ans, Seong-Jin Cho, dans le cadre de la série « Débuts » suivie du Korean Symphony Orchestra lui-même accompagné par Edgar Moreau ont positionné notre Ville dans le cadre de l’année France-Corée. Comment ne pas citer la venue de la célèbre Karine Deshayes, Victoire de la Musique classique 2016, de l’un des plus grands pianistes mondiaux Nelson Freire… mais aussi l’importante collaboration des acteurs artistiques de notre Région avec notamment le Chœur Nicolas de Grigny, la Maîtrise Notre Dame, les Elèves et Professeurs du Conservatoire, Ars Vocalis, l’Harmonie du 3e Canton…

L’équipe des Flâneries Musicales de Reims tient à remercier l’ensemble de celles et ceux qui permettent l’organisation de ce « marathon musical », notamment la Ville de Reims, sa Direction de la Culture et du Patrimoine, ses Services Techniques, les communes de Bazancourt, Cormontreuil, Champigny, Saint-Brice-Courcelles, Sillery, Taissy et Tinqueux pour leur accueil et leur soutien ; le Conseil Régional « Grand Est », le Conseil Départemental de la Marne, la Direction Régionale des Affaires Culturelles de Champagne-Ardenne (Ministère de la Culture et de la Communication), les sociétés civiles, et enfin chacune des 100 entreprises mécènes dont l’important soutien est non seulement déterminant mais aussi indispensable pour pérenniser l’organisation d’un tel festival et le rendre accessible au public le plus large.Merci aux très nombreux partenaires médias (presse écrite, radio et TV) qui participent activement à la promotion des Flâneries Musicales de Reims.

En attendant le festival 2017… l’équipe des Flâneries vous attend très nombreux au « Concert Pique-Nique » le samedi 23 juillet 2016 au Parc de Champagne, concert qui a pris cette année le nom de « Paris - Broadway » pour nous faire voyager… au son d’une première partie : « Paris en chantant » par l’ensemble vocal Réminiscence des Voix de la Cathédrale et le Chœur d’hommes de la Maîtrise (direction : Sandrine Lebec) suivi en deuxième partie de comédies musicales américaines interprétées par l’Orchestre national de Lorraine (direction : Jacques Mercier, Fabienne Conrad, soprano et Thomas Bettinger, ténor).

Déjà… la 28e édition se prépare avec détermination et volonté de poursuivre notre route de la Musique pour tous et par tous...

Bon été !