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La compagnie (Mic)zzaj et le Printemps des Poètes présentent
Concert poétique sous casquesspectacle tout public
Création pour le Printemps des Poètes 2012
Contacts :
Christine Anthonioz-Blanc, [email protected] / 06 88 58 56 43
Pierre Badaroux, direction [email protected] / 06 13 03 13 15
Note d’inten*on
La compagnie (Mic)zzaj développe depuis plusieurs années un travail singulier sur la musique et le son dans son rapport à l’image ou au texte.
Musiques et sons, associés au texte, offrent une résonance par<culière aux mots, à ce qu’ils véhiculent de témoignage, de poésie, de narra<on... Transformer les mots, transformer les sons, transformer l’écoute des mots et des sons et donner ainsi à la poésie toute sa force sonore, toute sa dimension de possible vagabondage. Par un disposi<f hors normes, rendre la possibilité d’un «lâcher prise», offrir un temps dans lequel chacun peut ainsi accepter d’abandonner le sens à l’émo<on, le quo<dien à l’onirisme.Les transforma<ons mises en œuvre recoupent tout autant l’u<lisa<on des objets de traitements contemporains (lutherie électronique) que celle de «simples» micros et casques, offrant ainsi, via l’analogique et le numérique, un terrain de rencontre à la musique, aux sons et aux mots.
Les poètes sont les électro-‐acous<ciens de la langue. Ils font sonner les mots de notre quo<dien autrement, ils les u<lisent différemment, ils les mixent, les assemblent en des combinaisons étonnantes. En associant instruments acous<ques et électroniques, sons réels et abstraits, nous transformons pour faire entendre différemment, nous associons et mixons des quo<diens et des cultures réels ou imaginaires. Par une proposi<on d’écoute résolument différente, nous permeMons une aMen<on autre, dans laquelle toutes les transforma<ons musicales, sonores, langagières sont abordées sereinement, sans à priori...puisque radicalement différentes.Lorsque texte, musique et sons se nourrissent réciproquement, de leur produc<on simultanée, de chemins parallèles, de contre-‐champs, sans s’illustrer les uns et les autres, mais respectueusement de leur forme, de leur sens, de leur sons, ainsi nous rendons possible une écoute différente de ces objets que sont la poésie, la musique instrumentale, l’électro-‐acous<que, sans négliger pour autant la mélodie et la narra<on.
Mots, musiques et sons cheminent de concert, comme un même souffle, s’entremêlent plutôt que se répondent.
Pierre BadarouxDirecteur ar<s<que
Note d'Inten*on Printemps des Poètes
Quand il s'agit de transmeMre la poésie, on pense souvent, et de plus en plus, à juste <tre à la transmission orale. Mais, et c'est à mon avis un tort, on se soucie plus, voire exclusivement, de la mise en voix et de ses protagonistes : lecteurs, diseurs, comédiens, enfants « récitants » etc.Or, une transmission réussie ne <ent pas qu'à la qualité de la dic<on, à la justesse des moyens sonores ou visuels qui accompagnent la proféra<on du poème, elle <ent tout autant – et c'est même une condi<on sine qua non trop souvent ignorée – à la qualité de la récep<on, à la justesse de l'écoute et donc des moyens mis en oeuvre pour les garan<r. Le travail de la Compagnie (Mic)zzaj est de ce point de vue là exemplaire.Le disposi<f qu'ils ont imaginé me paraît une belle solu<on quant à ce qui est le plus difficile à aMeindre, notamment en ce qui concerne des enfants : la concentra<on, l'aMen<on, la percep<on fine, sans lesquels on ne reçoit du poème que l'effet de surface.Le recours à la musique créa<ve est ici essen<el, il ouvre l'oreille à l'insolite, aux rythmes, à la nuance, ce qui est l'essence même de la poésie.
Jean-‐Pierre SiméonDirecteur ar<s<que du Printemps des Poètes
Le projet
•Créa<on Mars 2012
Les deux premières représenta<ons auront lieu pendant le 14e Printemps des Poètes, comme spectacle embléma<que de la manifesta<on, à Paris et à Lyon.
Dans un second temps, le spectacle sera proposé à la diffusion pour la saison 2012/2013.
• Un partenariat Printemps des PoètesLa 14e édi<on du Printemps des Poètes (5-‐18 mars 2012) aura pour thème « Enfances » et voudrait inviter à considérer quelle parole les poètes <ennent sur les commencements, appren<ssage du monde entre blessures et émerveillements, appé<t de vivre et affrontement à la « réalité rugueuse », comment leur écriture aussi garde mémoire du rapport premier, libre et créa<f, à la langue.
Un montage de textes est réalisé et proposé en spectacle à par<r de poèmes issus du répertoire contemporain, classique mais aussi de poèmes inédits, par Jean-‐Pierre Siméon, poète, dramaturge et directeur ar<s<que du Printemps des Poètes.
• L'équipe ar<s<que- 3 musiciens, dont Pierre Badaroux et Laurent Sellier, à l’origine du concept des concerts sous casques.- 2 comédiens, Arnaud Décarsin et Guillaume Durieux
• Le disposi<f scénique Le disposi<f scénique sera celui développé par la compagnie pour ses précédentes créa<ons.Dans un lieu vaste, de plein pied, ar<stes et spectateurs sont mélangés et répar<s dans tout l’espace. La lumière est douce, et le lieu aménagé avec des transats, des fauteuils, de la moqueMe, des coussins…Un réseau de casques filaires est disposé au sol.Les trois musiciens et les comédiens sont placés autour de cet espace.Assis ou allongé au sol, le public se place librement dans cet espace in<me, choisissant sa place où sont disposés, au sol, posés sur un coussin, les casques audio.
Pour le spectateur, pas de regard obligé; celui-‐ci peut vagabonder d’un ar<ste à un autre...ou se perdre. Fermer les yeux pour créer ses propres images.
La créa<on lumière est volontairement simple afin de ne pas forcer le regard à suivre des tableaux. Elle consiste seulement en point d’éclairage des îlots de produc<on.
1-‐ Centre Départemental des Pra2ques Musicales et Chorégraphiques, à Montmélian (73)2, 5 et 6-‐ Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme, à Paris : ©Véronica de BenedeM3-‐ Théâtre Berthelot, à Montreuil (93) : ©Emmanuel RioufolPortraits : ©Emmanuel Rioufol
Le concept de concert narra*f sous casques
A la croisée du concert, de l’œuvre radiophonique, de l’installa7on, une expérience sonore et émo7onnelle étonnante.
Tout est par7 du casque, et de l'envie un peu folle de convier un auditoire à une écoute concertante exclusivement sous casques...
Symbole d'une forme d'individualisme et de déficit de communica7on, le casque n'en est pas moins un formidable ou7l au service de l'écoute, exhausteur de sensa7ons audi7ves et porte ouverte sur l'imaginaire.
Il permet également d'être au plus près de la produc7on du son, de ses transforma7ons, de ses nuances, de la présence de la voix...Ainsi, malgré la banalité de l'objet casque, proposer un spectacle dont le contenu est exclusivement diffusé à travers un réseau d'une centaine de casques cons7tue une expérience profondément originale pour le spectateur, où l'in7me le dispute au collec7f, où le théâtre rejoint le concert, où l'art radiophonique se mue en cinéma pour l'oreille.
• Le casque : l’écoute au casque est une expérience profondément différente de l’écoute par
haut parleur. In7me et personnelle, ceNe écoute permet de faire entendre la voix, les sons et la musique directement dans le creux de l’oreille du spectateur, pour une mul7tude
de nuances. Nous pouvons chuchoter, caresser, souffler…comme il est habituellement impossible de le faire dans un spectacle frontal et sonorisé par des haut-‐parleurs.
Ce disposi7f d’écoute interroge notre rapport à l’in7me au sein du collec7f, ici, dans la réunion de plusieurs spectateurs dans un même espace, partageant leur présence mais pas leur écoute.
• C’est un disposi7f visuel et événemen7el ; dans un lieu vaste, de plein pied, ar7stes et spectateurs sont mélangés et répar7s dans tout l’espace.
La lumière est douce, et le lieu aménagé avec des transats, des fauteuils, de la moqueNe,
des coussins…
Assis ou allongé au sol, le public se place librement dans cet espace in7me,
choisissant sa place où sont disposés, au sol, posés sur un coussin, les casques audio.
Le lieux peut-‐être le hall d’un théâtre, une médiathèque, une salle de musée,
un bâ7ment historique…ou même une place, un jardin, en extérieur.
• Ce disposi7f, tant par son procédé d’écoute que par sa ges7on de l’espace, rompt avec
les codes tradi7onnels du spectacle vivant… mais reste un moment unique, fragile, vivant.
Ecoute au casque, partage d’un même espace entre le public et les ar*stes, absence de scène, lieu de représenta*on non obligatoirement théâtral, autant d’éléments qui favorisent une autre approche du spectacle vivant, une autre découverte.
La musique :
Elle est jouée en direct par 2 musiciens qui mélangent instruments acous7ques, objets sonores, électronique, sons figura7fs et abstraits.
La créa7on musicale et sonore navigue alors librement entre musique électroacous7que, concrète, électronica, jazz contemporain, formes improvisées ou mélodiques. Une musique libre, un univers sonore parallèle au texte, riche et onirique, qui véhicule des "images" sans être illustra7f, fait d’instruments nombreux et variés (contrebasse, basse électrique, harmonium, guitare préparée, ukuklélé, synthés, ordinateurs, contrôleurs divers, voix, objets sonore...). Ici les mélodies côtoient des événements sonores figura7fs ou abstraits, les instruments rencontrent les ordinateurs, l'expérimenta7on et le "laboratoire" sonore s'abandonnent aux ou7ls des musiques d'aujourd'hui.
La compagnie est propriétaire de l’ensemble du disposi*f d’écoute au casque :160 casques, des amplificateurs et un câblage adapté qu’elle met à la disposi7on des organisateurs, sous leur responsabilité, pour les représenta7ons.Ce disposi7f original offre la possibilité de jouer dans des lieux non dédiés habituellement au spectacle vivant (Musée, Halle, Gymnase, Collège et Lycée...)
Le 14e Printemps des Poètes5 > 18 mars 2012
ENFANCES
L'in7tulé du 14e Printemps des Poètes voudrait inviter à considérer quelle parole les poètes 7ennent sur les commencements, appren7ssage du monde entre blessures et émerveillements, appé7t de vivre et affrontement à la « réalité rugueuse », comment leur écriture aussi garde mémoire du rapport premier, libre et créa7f, à la langue. Ce sera aussi l'occasion de meNre en lumière ceNe poésie qui 7ent l'enfant pour un interlocuteur sinon exclusif, du moins premier, une « poésie pour la jeunesse » qui, fuyant tout didac7sme, s'est profondément renouvelée au cours des dernières décennies.L'occasion aussi de meNre en avant dans le répertoire de poésie pour la jeunesse, le travail novateur de quatre éditeurs à travers leurs collec7ons : Le farfadet bleu chez Cadex ; Poèmes pour grandir chez Cheyne ; Pommes Pirates Papillons chez Møtus et Rue du Monde.Jean-‐Pierre Siméon, directeur ar7s7que
PREMIERES GRANDES LIGNES Des milliers d’événements partout en France pour dire, lire la poésie, inviter les poètes dans les bibliothèques, les écoles, les théâtres, les hôpitaux, les librairies, la rue, les transports, sur les places publiques, sur les murs, les plages, et où vous voulez... Sur le thème Enfances : une bibliographie indica7ve, des poèmes inédits libres de droits à télécharger, une sélec7on de livres à paraître, d’exposi7ons, de spectacles… disponibles sur le www.printempsdespoetes.com.
Inaugura7on : soirée Laurent Terzieff et ses poètes, lundi 5 mars, au Théâtre Na7onal Populaire de Villeurbanne.
De nombreuses ini,a,ves en milieu scolaire dont la 10e édi,on du Prix poésie des lecteurs Lire et faire lire (500 lecteurs bénévoles liront des recueils de poésie à des milliers d’enfants dans 42 départements) ; le concours Poésie en Liberté... et des centaines d'anima,ons dans les établissements scolaires.4e édi,on du Concours Andrée Chedid du poème chanté. Composer une chanson à par,r d’un poème de Michel Butor. Le lauréat par,cipera au concert événement le 13 mars 2012 à l’Alhambra (Paris). MaLhieu Chedid est président d’honneur du jury.
NOUVELLES INITIATIVES -‐ Ciné-‐poème, 1e édi,on du fes,val de courts-‐métrages de poésie ini,é par la ville de Bezons, les 24 et 25 mars 2012.-‐ 1er Concours de composi,on musicale Pierre-‐Jean Jouve pour ensemble instrumental. -‐ Le label Village en poésie / Ville en poésie ini,é en partenariat avec la FNCC (Fédéra,on Na,onale des Collec,vités territoriales pour la Culture) dis,ngue les municipalités qui valorisent la poésie.
Avec les partenaires : des poèmes seront présents sur le réseau RATP, dans les parkings Vinci Park, avec la Fonda,on La Poste, dans les magazines Bayard... Nouveauté 2012 : des chocolats enrobés de poèmes sur l’enfance, proposés par Rouge Papille, seront disponibles en librairies.
Pierre Badaroux Compositeur et contrebassiste Directeur artistique de la compagnie (Mic)zzaj
Musicien de jazz et de musique improvisée, il développe au sein de la compagnie (Mic)zzaj des projets éclectiques et transversaux, alliant à la musique, l’image, le texte... on le retrouve ainsi :
En trio instrumental avec Didier Petit (violoncelle) et Catherine Delaunay (clarinette), pour des projets de cinéma concert mariant musique instrumentale et électro-acoustique, en quartet avec Thierry Balasse (traitement et objets sonores), Didier Petit et Olivier Benoit (guitare) pour «Arsenal» d’Alexandre Dovjenko et «Finis Terrae» de Jean Epstein, en trio avec Jean-Charles Richard (sax) et Thierry Balasse, ou en solo de contrebasse pour «l’Homme à la caméra» de Dziga Vertov, en trio avec Bruno Angelini et Rodrigo Sanz pour «les Aventures du Prince Ahmed» de Lotte Reiniger...Il développe, avec Laurent Sellier, des projets de «Concert narratif sous casques», à la croisée du concert instrumental, de la pièce radiophonique, et de l’installation sonore, et propose plusieurs spectacles sous cette forme, dont «L’histoire de Clara» avec la comédienne Olivia Kryger.
Son parcours d’instrumentiste l’a fait travailler dans les domaines du jazz avec, entre autres,Louis Sclavis, Régis Huby, Denis Badault, Daunik Lazro, François Raulin, Jean-François Baëz, Lucia Recio, le Grotorkestre, Jean Mereu, Alain Chaleard, Daniel Malavergne, Bruno Angelini, Isabelle Olivier, Daniel Mille…de la chanson française avec Orphéo Baltazar, Thomas Gaubiac anglo-saxonne avec Johan Asherton, de la danse avec la compagnie Thierry Niang, au théâtre comme musicien et/ou compositeur («Une belle journée» mise en scène de Th. Gaubiac «La guerre de Robert», mise en scène de O. Kryger,« La guinguette a rouvert ses volets » mise en scène de D. Bailly), de la performance (lecture musicale, art contemporain…)…
Laurent SellierCompositeur et réalisateur sonore
Formé aux musiques électroacoustiques et aux techniques du son, il aborde la composition à partir de 1996. Ses musiques ont le souci de la narration : concerts sous casques (Histoire de Clara avec la Cie (Mic)zzaj), écoute rêveuse sous les étoiles (Superball, pièce acousmatique de plein air), parcours sonores (pour le MacVal de Vitry, la Ferme de Bel Ebat à Guyancourt, le musée Ziem à Martigues), chansons (LP «Rien... presque rien» sur le www.laurentsellier.com), moments vécus (Soleil Rare, pièce pour sons et images fixés), figures oubliées (Géo Charles, installation sonore pour le musée du même nom à Echirolles), histoires communes (Le centenaire de l’école Lesdiguières, livre-CD), paroles données (4’01, portraits de compositeurs), récits compilés (Les moyens du bord, musique de plage), mots d’enfants (Les Mots/Sons)… Il compose également pour le spectacle vivant (Le sang des amis, pièce de Jean-Marie Piemme mise en scène par Jean Boillot, Ricky Pompon de Bertrand Bossard, Le Mur du Son de Thierry Balasse...), le cinéma, la danse contemporaine et les arts plastiques.
Arnaud DécarsinComédien
Comédien, metteur en scène et pédagogue, il vient de jouer Orsino dans La Nuit des Rois de Shakespeare à la Criée à Marseille et en tournée.
En 2008/09, il joue sous la direction de W. Nadylam, B. Freyssinet, J.L. Benoit au théâtre des Amandiers à Nanterre, à la Criée à Marseille et au théâtre de la Commune à Aubervilliers.Il joue également dans l'Illusion Comique de Corneille (mise en scène de Marion Bierry au théâtre Hébertot) nominé pour le meilleur spectacle aux Molières 2007.En 2006, il fonde les Tireurs de Langue, atelier de pratique de la langue poétique.
Comédien permanent de la Comédie de Reims de 1992 à 2002, il joue régulièrement sous la direction de Christian Schiaretti avec qui il signe plusieurs mises en scène et qu'il suit au TNP de Villeurbanne.
Au théâtre on le voit à la Comédie française, au festival d'Avignon, au théâtre de la Colline...
Metteur en scène, il monte notamment Le Songe d'une Nuit d'été de Shakespeare, Stabat Mater Furiosa de J. P. Siméon...
Au théâtre et à l'écran, il joue sous la direction de P. Santini, P. Vecchiali, J. D. Verhaeghe, J. P. Ameris, Garance, C. Rist, C. Stavinsky, J. Deloche...
Guillaume Durieux
Comédien
Comédien et metteur en scène, il commence sa formation au Conservatoire de Lille avant de rejoindre l'école du Théâtre Nationale de
Strasbourg. Au théâtre il joue sous la direction de Yannis Kokkos dans Le songe d'une nuit d'été de Shakespeare, Olivier Py dans Le soulier de satin de Paul Claudel et dans Jeanne au bucher de Honnegger opéra présenté au festival d'Edimbourg, Jacques Vincey dans Le belvédère d'Horvath, Gabriel Garrant dans Jouvet-Gary, Véronique Bellegarde dans Zoltan d' Aziz Chouaki... Il découvre l'art de la marionnette et accompagne Alice Laloy dans la création de d'états de femme. Grâce à Claude Guerre avec qui il se forme à la fiction radiophonique, il participe sous sa direction et celle de Blandine Masson, Michel Sidoroff et Cédric Aussir à de nombreuses mises en onde pour France Culture. Il retrouve Claude Guerre à la Maison de la poésie, et y interprète V. de Tony Harrison, poème aux accents british et charpenté rock'n roll. Il se parfait à l'art du dire en poésie aux cotés de Jacques Bonnaffé avec qui il participe à plusieurs banquets du faisant et à d'autres réjouissances orchestrées par Serge Hureau pour le Hall de la Chanson. Il est régulièrement invité par Le Printemps des Poètes. Avec Le Groupe Incognito, il a présenté Le cabaret des Utopies en juin 2009 au Théâtre de la Cité Internationale avant une recréation à San Paolo-Brésil avec des comédiens et musiciens Français et Brésiliens. En 2011, Il réunit les membres du collectif pour leur nouvelle création Le Cabaret des Vanités à la Comète scène nationale de Chalons en Champagne où il est artiste associé et au Théâtre de la Commune à Aubervilliers. Il dirige des ateliers de jeu pour plusieurs associations et intervient avec Arlette Namiand à la maison d'arrêt de Châlons en Champagne dans le cadre d'un atelier d'écriture et de jeu.
Née en 2002, (Mic)zzaj est une compagnie de musique, créée par le contrebassiste Pierre Badaroux qui en assure la direction artistique, dont le travail s’inscrit dans les domaines du jazz contemporain, de l’improvisation libre, des musiques électro acoustique et des formes mélodiques. Ses créations sont exclusivement musicales (du solo à l’ensemble) ou pluridisciplinaires (cinéma concert, théâtre, danse, textes, art contemporain), et s’inscrivent dans une démarche où l’improvisation et la composition se croisent, où le regard est tourné vers aujourd’hui et demain, où la rencontre est nécessaire.Installée en Savoie, elle travaille en lien étroit avec les institutions départementales et régionales (Inspection Académique, Diapason 73, écoles de musique, communes…) avec qui elle mène de nombreuses actions sur le territoire où son implication est forte (concerts, ateliers, stages…), et ses projets sont soutenu par le Conseil Général de la Savoie, la Région Rhône-Alpes, la DRAC Rhône-Alpes, la SPEDIDAM.
Ses projets se développent par ailleurs sur l’ensemble de la France tant pour la diffusion de ses spectacles que pour des actions pédagogiques.Elle collabore avec d’autres compagnies (BIM-BOM Théâtre et INOUÏE en Ile de France, ROSA M en Eure et Loire), et des artistes issus de tout le territoire.
La compagnie propose à ce jour cinq projets de cinéma concert, du quartet au solo, (Finis Terrae, Arsenal, les Aventures du Prince Ahmed, l’Homme à la caméra, la Fièvre des échecs), des concerts sous casques (l’Histoire de Clara, la Savoie dans la tête), des projets instrumentaux (quartet, duo...), et de nombreuses actions pédagogiques innovantes où se mêle musique improvisée et musique électroacoustique.
www.miczzaj.com