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Cours 01: Le langage
Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche ScientifiqueUniversité Abdelhamid Ibn Badis de Mostaganem
Faculté des Sciences et de la Technologie Département d’Architecture & de Génie Civil
Adresse : BP 227, route de Belhacel Université de Mostaganem, 27000 MOSTAGANEMTéléphone/Fax : 045 20 39 33 - E-mail : [email protected]
Mr Bensella Kada
Maître Assistant Classe B, 2013-2014
2ème année architecture LMD1er semestre
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La théorie du Projet
Vocabulaire
S1
Le langageL’œuvre
architecturale
NOTIONS
GÉNÉRALES
Ensemble de signes® vocaux, ® gestuel, ® graphiques, ® tactiles, ® olfactifs, etc.)
sémantique
syntaxe
Moyens de communication, de
lecture et d’interactions de et
avec l’espace architectural
Doté
Structure langagière
Comprendre
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La théorie du ProjetS1
L’œuvre architecturale
NOTIONS
GÉNÉRALES
Forme urbaine® Formes, ® Fonctions, ® Symboles, ® Typologie, ® Académie, ® Techniques,® Enjeux,® Etc.
Signifiants
Signifiés
Combinatoire binaire
Ordonnancement architectural
Espace de vie
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Le langage
NOTIONS
GÉNÉRALES
Secteurs scientifiques et techniques:
® Philosophie, ® Psychologie,® Psychanalyse,® Neurologie, ® Sociologie, ® Ethnologie, ® Anthropologie,® Littérature,® Mathématiques, ® Logique;® Physique,® Informatique,® etc.
Concerne plusieurs disciplines
Le langage est un objet complexe et multiforme,
L’architecture est une science qui puise de tous les autres secteurs
Le langage peut être abordé en tant que: Þ Faculté spécifique de l’homme.Þ Phénomène social,Þ Code oral ou écrit,Þ Mode d’inscription des textes,Þ Matière d’applications techniques
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NOTIONS
GÉNÉRALES
Implique :® La capacité d’articuler des sons en les
reliant à des significations, ® La maitrise de la pensée abstraite et
reflexible,® Une créativité permettant de produire et
de comprendre un nombre infini de phrases nouvelles,
Questions philosophiques: Þ Relation entre logique et
langage.Þ Rapport les expressions du
langage ordinaire et la méthode philosophique,
Þ Philosophie et linguistique;
la matière de réflexion philosophique
Relation entre langage et pensée
Husserl, qui insiste sur le rôle que jouent la conscience et l’ intentionnalité dans l'activité de langage. (tradition phénoménologique)
A. Le langage, la faculté de l’espèce humainesLe langage 5
L'analyse des processus de conception architecturale, Il apporte ainsi un éclairage nouveau sur les concepts
de créativité et d'inventivité, en distinguant clairement l'approche de l'architecte de celle de l'ingénieur. Il insiste sur la qualité architecturale et la robustesse de l’œuvre architecturale.
Le beau et le sublime
"Design is not making beauty, beauty emerges from selection, affinities, integration, love.“ Louis Kahn.
Le langage
NOTIONS
GÉNÉRALES
® Structuralisme (1950) empruntait du behaviourisme (Skinner) et la cybernétique (Shannon).
® Le modèle de la grammaire générative (Chomsky, 1960).® Processus cognitifs (1970) cherchant à caractériser les opérations sous-
jacentes au traitement de l’information à travers les différentes composantes , ou « module, de la langue: phonologique, lexical, syntaxique, sémantique.
A. Le langage, la faculté de l’espèce humaines
Questions philosophiques: Þ L’inné et l’acquis.Þ Capacités spécifiques du langage et capacités cognitives généralesÞ L’universalité: langues/individus
1. La psycholinguistique :
1. La psychologie du langage: rapport du langage avec la pensée, l’intelligence, le comportement et le moi.
2. La psychanalyse: son langage c’est l’inconscient.
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Le structuralisme la matérialisation des signifiants par la représentation mentale de:ÞConscient/inconscient : démarche présentielle du
déterministe psychique et de causalité, Þ Intuition: ÞSens/structure: (phénoménologie).
Louis Kahn:Þ"Tournez-vous vers l’Intuition et détournez-vous de la
Pensée. L’âme est dans l’Intuition. La Pensée est l’Intuition et la présence de l ’ Ordre. L’ Ordre, auteur de toute existence, n’a pas de Volonté d’Existence. Je choisis le mot Ordre au lieu de savoir parce que le savoir personnel est trop petit pour exprimer abstraitement la Pensée. Cette volonté est dans l’âme"
Le langage
NOTIONS
GÉNÉRALES
® Structuralisme (1950) empruntait du behaviourisme (Skinner) et la cybernétique (Shannon).
® Le modèle de la grammaire générative (Chomsky, 1960).® Processus cognitifs (1970) cherchant à caractériser les opérations sous-
jacentes au traitement de l’information à travers les différentes composantes , ou « module, de la langue: phonologique, lexical, syntaxique, sémantique.
A. Le langage, la faculté de l’espèce humaines
Questions philosophiques: Þ L’inné et l’acquis.Þ Capacités spécifiques du langage et capacités cognitives généralesÞ L’universalité: langues/individus
1. La psycholinguistique :
1. La psychologie du langage: rapport du langage avec la pensée, l’intelligence, le comportement et le moi.
2. La psychanalyse: son langage c’est l’inconscient.
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Vue extérieure du Kimbell Art Museum, Fort Worth, (Texas), construit par Louis I. Kahn, 1966-1972. un prolongement conscient d’ un rationalisme de la construction et de la structure à travers l'articulation du processus de construction de telle sorte que l'œuvre achevée reflète une phénoménologie de la construction.
Le langage
NOTIONS
GÉNÉRALES
® Structuralisme (1950) empruntait du behaviourisme (Skinner) et la cybernétique (Shannon).
® Le modèle de la grammaire générative (Blumstein et al., 1960), sur l’aphasie, et la question des localisations cérébrales du langages.
® Études cliniques sur diverses pathologie du langage (1970).
Questions taches perceptuelles ou motrices à l’œuvre dans des processus langagiers comme l’écoute, la phonation ou la lecture correspondant à des opération de :
Þ Reconnaissance visuelle, auditive ou proprioceptive,Þ Calculs de mémorisation, Þ Calcules d’ordonnancement et de contrôles, etc..
2. La neurolinguistique :
1. Les sciences cognitives: processus signifiant/représentation mentale.
A. Le langage, la faculté de l’espèce humaines
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L’archéologie
Typologie spatiale:® Formes, ® Fonctions, ® Symboles, ® Typologie, ® Académie, ® Techniques,® Enjeux,® Etc.
Gestualité
Codification
Système d’apprentissage
Quoi, comment, pourquoi
Etablissements humains
Le langage
NOTIONS
GÉNÉRALES
3. L’origine du langage :
A. Le langage, la faculté de l’espèce humaines
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Le langage
NOTIONS
GÉNÉRALES
® Sociologie du langage: les pratiques langagières à partir d’une étude de la société.
® Sociolinguistique : partirait de l’étude de la langue et de ses variations pour rechercher des corrélations avec certaines variables sociales.
Questions : Þ Variations internes dans l’usage de l’espace. Selon les situations (âge,
sexe, niveau social, groupe communautaire/petit groupe et individus, etc..)Þ Ethnométhodologie, interactionnisme, théorie pragmatique des actes de
langage interactions communicatives (expressions, rencontres, espace public, etc..)
Þ Compétences communicatives (l’échange langagier: règle de politesse, hiérarchie, orientation, etc..).
Þ Les comportements et les attitudes qui influent sur le langage de l’usagers (préjugés, sentiment de sécurité ou d’insécurité, hypercorrection, etc..)
1. La sociolinguistique:
B. Le langage, phénomène social
Exploration : méthodologie d’enquête sur terrain.
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Le langage
NOTIONS
GÉNÉRALES
® Morphologie spatiale (spatialité): hiérarchisation, morphologie social, grappe, etc..
® Emprunts: Favelas, Gentrification, Casbah, vernaculaire, bidonville, moucharabieh, igloo, etc..
2. La dialecte :
B. Le langage, phénomène social
® La dimension diachronique ® Les traditions vivantes, ® L’immanation et la transcendance.
3. L’histoire:
® Les liens entre langues et cultures, les emprunts, ® Le formel et l’informel.® Détermination par les acteurs sociaux ( ex: planification, aménagement,
4. L’ethnolinguistique et la politique linguistique:
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Le langage
NOTIONS
GÉNÉRALES
® Les règles du discours: ® Loral: intonation (accents, pauses, montées et descentes, etc..).® Le parlé: construction progressive du discours: hésitations,
reformulations, autocorrections, inachèvements
1. L’oral et le parlée :
C. Le langage, oral et écrit
® Le système d’écriture: graphèmes, phonèmes,
2. Code oral et code écrit:
® Le phonogramme,® Le morphogramme,® Logogramme.
® La structuration typographique: ponctuations, ordonnancements
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Le langage
NOTIONS
GÉNÉRALES
® L’étude des formes : ® Ecart, Mise en relief, connotation, registre de subjectivité/objectivité,
3. La stylistique :
C. Le langage, oral et écrit
L’art de persuader par le discours oratoire. Selon la tradition aristotélicienne
4. La rhétorique :
® Les pisteis (preuves ou inventions: sélectionner le quoi dire?), à partir d’une grille (les topei, ou lieux) selon situation (qui parle? à qui ? dans quel type de discours ?)
® La taxis (« disposition »), qui concernait l'ordre de succession des parties du discours (exorde, narration, confirmation, péroraison).
® La lexis (« élocution ») – moment essentiel puisqu'il touche à la dimension esthétique du discours –, qui avait trait au choix des mots, des figures et à la composition générale de la phrase ; à quoi s'ajoutait l'hupocrisis (« action »), qui réglait la voix et les gestes de l'orateur.
Au cours des siècles, c'est surtout l'élocution et tout particulièrement la réflexion sur les figures (métaphoreاستعارة , métonymie كناية , synecdoque لمجازا , etc.) qui a prévalu.
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La rhétorique: البيان علم® Les pisteis البديع أو
التعليل® La taxis الصياغــة® La lexis علم
المعاني® L’élocution الخطابة فن® l'hupocrisis اإللقــــاء
Le langage
NOTIONS
GÉNÉRALES
® L’étude des formes : ® Formalisme russe, cercle de Prague, école allemande, courants nord-
américains, ® Narratologie française,® La poétique de l’espace telle défini par Gaston Bachellard,
5. La poétique :
C. Le langage, oral et écrit
Transposer dans le domaine des systèmes signifiants le type de modélisation visant à construire un modèle abstrait révélant le fonctionnement caché de l’œuvre (ses ressorts idéologiques ou psychanalytiques. sens
4. La sémiologie :
Pierre Pellegrino[1]: «[…] Des modèles d’urbanité conditionnent l’habité de l’espace à travers des figures urbaines d’une position spatiale, inscrites dans des logiques de localisation».
[1] Pelligrino Pierre, Figures architecturales : formes urbaines, Anthropos, Lausanne Genève-Suisse, 1994.
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Gaston Bachelard:« la maison voit, veille, surveille, attend. »p.48La lumière, la lampe, les étoiles, la lune, ont beaucoup d’importance au fil de cet essai pour nous guider sur le chemin de l’espoir et de l’éveil.« J’habite la tranquillité des feuilles, l’été grandit » (cité p. 190) car « Une feuille tranquille vraiment habitée, un regard tranquille surpris dans la plus humble des visions sont des opérateurs d’immensité. » (p. 190)Louis Kahn:"Le seuil entre le silence et la lumière." (à propos de l’architecture),"Une bonne question a plus d’importance que la réponse la plus brillante. »« La lumière ne savait pas ce qu’elle était avant de venir frapper un mur… »
L’espace pensée et l’espace réel:PELLIGRINO Pierre, Figures architecturales : formes urbaines, Anthropos,
Lausanne Genève-Suisse, 1994.
L’espace mental et l’espace vivant:BOUDON Philippe, Sur l'espace architectural : Essai d'épistémologie de
l'architecture, Dunod, Paris, 1971, 138p.
La dimension caché de l’espace :EDWARD Twitchell Hall, La dimension cachée, Le Seuil, Paris, 1978, 254p.
L’espace sensible:MOORE Charles & G. ALLEN, l’architecture sensible. Espace, forme, Dunod,
Paris, 1981, p187.L’art du lieu:
NORBERG-SCHULZ Christian, l’art du lieu : Architecture et paysage, permanence et mutations, Moniteur, Paris, 1997, 312p.
Le langage
4. La sémiologie :
NOTIONS
GÉNÉRALES
C. Le langage, oral et écritA propos de la nature de l’espace, il soutient qu’il est un produit culturel. Ainsi veut-il montrer que, tout comme des hommes parlant des langues différentes n’ont pas la même expérience/perception du monde, des hommes vivant dans des cultures différentes "habitent des mondes sensoriels différents " . " Les environnements architecturaux et urbains créés par l’homme nous permettent de découvrir comment les différents peuples font usage de leurs sens ". On doit bien sûr ici préciser que Hall est anthropologue de formation ; dès lors, son postulat est que l’homme est jusqu’au bout "prisonnier de son organisme biologique ", autant que l’animal. Les dimensions cachées, les structures sous-jacentes de notre expérience, et a fortiori de l’espace, sont donc référées aux " infrastructures biologiques ".
La dimension cachée, c'est celle du territoire de tout être vivant, animal ou humain, de l'espace nécessaire à son équilibre. Mais chez l'homme, cette dimension devient culturelle. Ainsi, chaque civilisation a sa manière de concevoir les déplacements du corps, l'agencement des maisons, les conditions de la conversation, les frontières de l'intimité. Ces études comparatives jettent une lumière neuve sur la connaissance que nous pouvons avoir d'autrui et sur le danger que nous courons, dans nos cites modernes, à ignorer cette dimension cachée : peut-être est -ce moins le surpeuplement qui nous menace que la perte de notre identité.
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Bibliographie
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Bibliographie
1. Boudon Philippe, Sur l'espace architectural : Essai d'épistémologie de l'architecture, Dunod, Paris, 1971, 138p.
2. Castex Jean, Depaule Jean Charles, Panerai Philippe, Formes urbaines: de l’îlot à la barre, Dunod, Paris 2e édit 1980 (1e édit. 1977), 232p.
3. Choay Françoise, L’urbanisme, utopies et réalités- une anthropologie, Le Seuil, Paris, 1965, 448p.
4. Choay Françoise, La règle et le modèle, Le Seuil, Paris, 1980, 381p.
5. Cornuejols Michel, Créativité et rationalisme en architecture, L’Harmattan, Paris, 2005, 474p.
6. De Aberasturi Antonio Lopez, Ildefonso Cerda: la théorie générale de l’urbanisation, Le Seuil, Paris, 1979, 248p.
7. Didillon H et J.M, Habiter le désert. Les maisons mozabites, Pierre Mardagua, 1995, 250p.
8. Duplay Claire et Michel, Méthode illustré de création architecturale, Le Moniteur, Paris, 1985, 448p.
9. Foura Mohamed, Histoire critique de l’architecture : évolutions et transformations en architecture pendant les 18e, 19e et 20e siècles, OPU, Alger, 2005, 314p.
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Bibliographie10.Frey Jean Pierre & Al, Recherches sur la typologie et les types
architecturaux, L’Harmattan, 1989, 368p.11.Frey Jean Pierre, La ville industrielle et ses urbanités – Le Creusot,
Pierre Margada, Bruxelles, 1986, 386p.12.Gauthiez Bernard et Burgel Guy, Espace urbain : Vocabulaire et
morphologie, Centre des monuments nationaux 2003, 494p.13.Gibberd Frederick, Composition Urbaine, Dunod, Paris, 1972,
364p.14.Guidoni Enrico, La ville européenne : formation et signification du
4e au 11e siècle, Pierre Margada, Bruxelles, 1981, 199p.15.Jacobs Jane, le déclin et la survie des grandes villes américaines,
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2004, 194p.18. LACAZE Jean-Paul, les méthodes de l’urbanisme, Presses Universitaires De
France - PUF, 2007, 127p.19. LE CORBUSIER, vers une architecture, Arthaud, Paris, 1923, 255p.
LEFEBVRE Henri, La production de l’espace, Anthropos, Paris, 2e édit 1981(1e édit. 1974), 223p.
18
Bibliographie
20. LEFEBVRE Henri, Le droit à la ville, Paris: Anthropos (2e ed.) Paris: Ed. du Seuil, 1968.
21. LEVY Albert, Formes urbaines et significations : revisiter la morphologie urbaine, in Espaces et Société, n°122/2005, p 25-48.
22. LYNCH, Kevin, L'image de la cité, 1960, trad. Française par VÉNARD Marie Françoise et VÉNARD Jean-Louis, Dunod, Paris 1976, 222p.
23. M. Merleau-Ponty, Phénoménologie de la perception, Paris. Gallimard, 1992, (1e édit. 1945), 531p.
24. MANGIN David & PANERAI Philippe, Projet urbain, Parenthèses, 1999, 185p.25. MANGIN David, La ville franchisée, Formes et structures de la ville
contemporaine, La Villette, 2004, 480p.26. MEISS Pierre von, de la forme au lieu, Presses Polytechniques et Universitaires
Romandes, Lausanne, 2e édit 2003 (1e édit. 1986), p149.27. MOORE Charles & G. ALLEN, l’architecture sensible. Espace, forme, Dunod,
Paris, 1981, p187.28. MUNFORD Lewis, La cité à travers l’histoire, Le Seuil, Paris, 1961, 781p.29. NORBERG-SCHULZ Christian, Genius Loci : Paysage, ambiance, architecture,
Margada, Liège, 1981, 214p. 30. NORBERG-SCHULZ Christian, l’art du lieu : Architecture et paysage,
permanence et mutations, Moniteur, Paris, 1997, 312p.
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30. NORBERG-SCHULZ Christian, La signification dans l'architecture occidentale, 1974, trad. franç. Mardaga, Liège, 1977, 447p.
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34. PINON Pierre & Dupe-henry Dominique, Composition urbaine I Repères, la défense : Villes et Territoires, Paris, 1994, 106p
35. PINON Pierre & Dupe-henry Dominique, Composition urbaine II Projets, la défense : Villes et Territoires, Paris, 1994, 119p.
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