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De la peinture réaliste à la peinture impressionniste au XIXème siècle Seconde H L'Impressionnisme L'Impressionnisme est un mouvement pictural français né de l'association de quelques artistes de la seconde moitié du XIXème siècle. Fortement critiqué à ses débuts, ce mouvement se manifesta notamment de 1874 à 1886 par huit expositions publiques à Paris, et marqua la rupture de l'art moderne avec l'Académisme, notamment le style « pompier ». La peinture académique était codifiée, avec un goût marqué pour l’orientalisme et les thèmes historiques.David, de style néoclassique, est l’un des peintres officiels de l’époque. L’Académisme provenait d’un système créé par Louis XIV qui souhaitait exercer un contrôle sur les artistes afin de lutter contre le pouvoir subversif de l’art.Ainsi, le pouvoir contrôlait les Salons, passait les commandes officielles et choisissait les jurys. « Autoportrait », Jacques-Louis David (1794), musée du Louvre. Entre 1820 et 1850, la peinture française connaissait de prestigieux mouvements artistiques, avec d'abord la révolution romantique (Géricault, Delacroix), puis la révolution réaliste qui montre la poésie du quotidien(Courbet, Millet) et naturaliste des peintres de l'Ecole de Barbizon (Daubigny, Rousseau, Troyon, Corot). Selon Courbet, « la peinture est un art essentiellement concret et ne peut consister que dans la représentation des choses réelles et existantes ». Sous l'influence des paysagistes britanniques Bonington, Constable, Turner, le paysage allait devenir un genre à part entière dans la peinture française, dont Corot sera le représentant le plus illustre. Courbet, Corot et Delacroix, représentent alors l'avant-garde de la peinture française, et vont constituer les modèles dont tous les impressionnistes vont s'inspirer à leurs débuts. L'avènement du Second Empire (1852-1870) devait marquer une rupture dans l'histoire artistique du XIXème siècle en France, entre d'un côté un art officiel, et de

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De la peinture réaliste à la peinture impressionnis te au XIXème siècle Seconde H

L'Impressionnisme

L'Impressionnisme est un mouvement pictural français né de l'association de quelques artistes de la seconde moitié du XIXème siècle. Fortement critiqué à ses débuts, ce mouvement se manifesta notamment de 1874 à 1886 par huit expositions publiques à Paris, et marqua la rupture de l'art moderne avec l'Académisme , notamment le style « pompier ».

La peinture académique était codifiée, avec un goût marqué pour l’orientalisme et les thèmes historiques.David, de style néoclassique, est l’un des peintres officiels de l’époque. L’Académisme provenait d’un système créé par Louis XIV qui souhaitait exercer un contrôle sur les artistes afin de lutter contre le pouvoir subversif de l’art.Ainsi, le pouvoir contrôlait les Salons, passait les commandes officielles et choisissait les jurys.

« Autoportrait », Jacques-Louis David (1794), musée du Louvre.

Entre 1820 et 1850, la peinture française connaissait de prestigieux mouvements artistiques, avec d'abord la révolution romantique (Géricault, Delacroix), puis la révolution réaliste qui montre la poésie du quotidien(Courbet, Millet) et naturaliste des peintres de l 'Ecole de Barbizon (Daubigny, Rousseau, Troyon, Corot). Selon Courbet, « la peinture est un art essentiellement concret et ne peut consister que dans la représentation des choses réelles et existantes ». Sous l'influence des paysagistes britanniques Bonington, Constable, Turner, le paysage allait devenir un genre à part entière dans la peinture française, dont Corot sera le représentant le plus illustre. Courbet, Corot et Delacroix, représentent alors l'avant-garde de la peinture française, et vont constituer les modèles dont tous les impressionnistes vont s'inspirer à leurs débuts.

L'avènement du Second Empire (1852-1870) devait marquer une rupture dans l'histoire artistique du XIXème siècle en France, entre d'un côté un art officiel, et de

l'autre un art indépendant. La plupart des artistes réalistes et naturalistes étaient opposés au coup d’Etat de Napoléon III.

Le terme « Impressionnisme » fut créé comme une insulte pour le groupe qui exposait chez Nadar des œuvres jugées scandaleuses , à partir du tableau « Impression, soleil levant » de Claude Monet (1872). Louis Leroy, critique au journal Le Charivari, intitula son article de 1874 « L’exposition des impressionnistes » afin de faire un jeu de mots malveillant et moqueur sur le titre de la toile de Monet. Ce style est sans doctrine, les « Impressionnistes » avaient cependant en commun deux volontés : peindre la vie moderne et les variations de lumière en plein air.Monet tenta toute sa vie durant de rendre le dialogue incessant de l’eau et de la lumière. Emile Zola notait en 1896 : « "Chez Monet, l’eau est vivante, profonde, vraie surtout . Elle clapote autour des barques avec de petits flots verdâtres coupés de lueurs blanches. Elle s’étend en mares glauques qu’un souffle fait frissonner, elle allonge les mâts qu’elle reflète en brisant leur image, elle a des teintes blafardes et ternes qui s’illuminent de clartés aigües ». Certains impressionnistes se concentraient plus sur les paysages comme Alfred Sisley . En revanche, Edgar Degas ,lui ,ne concevait pas que l'on peigne en extérieur .

L'Impressionnisme a choisi une vision moderne, avec des thèmes encore non abordés en peinture, s'affranchissant des canons picturaux pour inventer une nouvelle technique picturale répondant au désir de privilégier en peinture l'"impression" instantanée sur la construction de l'esprit. Il s’agit de l’aboutissement esthétique d’une création artistique liée à la représentation réaliste. Ils peignent sur le motif , en plein air, emportant en train les tubes de peinture.

Claude MONET, « Les nymphéas » (1895-1926)

-Auguste RENOIR « Chemin montant dans les hautes herbes » ,1873. Sources : -LOILIER Hervé, Histoire des Arts, Ellipses, 2003. -http://fr.wikipedia.org/wiki/Peinture_acad%C3%A9mique

Quentin Duboc et Demare Pierre Claude Monet ,« Mer agitée à Étretat »(1883)

Auguste Renoir :« Déjeuner des canotiers » (1881)

Sources : Wikipédia et L’Impressionnisme,voyage au pays de la lumière et des couleurs (709-19e IMP)

I. Henri Fantin-Latour Il est né à Grenoble le 14 janvier 1836 et mort le 25 août 1904. Il entre à l'Ecole des Beaux- Arts en 1854 et participe à l'éphémère expérience de Gustave Courbet.Il appartint au groupe du Cénacle des Batignolles. Il épouse la peintre Victoria Dubourg en 1876. Il passe ensuite ses étés dans la résidence de la famille de sa femme à Buré en Basse -Normandie. Membre du groupe « de 1863 » et du Cénacle des Batignolles. Ses scènes d'intérieur sont monochromes en gris et brun. Fantin-Latour cherche à la transcrire par des peintures fluides exécutées en larges touches,comme « Trois filles du Rhin », 1876. Il est enterré au cimetière du Montparnasse.

« Les Filles du Rhin », 1876 Exposé d’Antoine Deschamps II Gustave COURBET Gustave Courbet est né le 10 juin 1819 à Ormans, et mort le 31 décembre 1877 en Suisse. Il était un peintre français, chef de file du courant réaliste, Son réalisme fait scandale. Il est l'un des élus de la Commune de 1871.

Il est issu d'une famille de propriétaires terriens ;son père Régis Courbet possède des terres au village de Flagey où il élève des bovins et pratique l'agriculture ; sa mère Sylvie Oudot donne par ailleurs naissance à quatre filles. A l'âge de douze ans, il entra comme disciple de la peinture préromantique d'Antoine-Jean Gros. Courbet se rend au musée du Louvre pour y étudier les maîtres, en particulier les peintres de l'école espagnole (Vélasquez, Zurbaran, Ribera) du XVIIème siècle. Il est admiratif du clair-obscur hollandais, de la sensualité vénitienne et du réalisme espagnol . En 1841, Courbet découvre la mer, mais il faut attendre son passage à Montpellier pour qu'il en fasse un sujet pictural. Un an plus tard, il peint un premier autoportrait dit « Autoportrait au chien noir ». En 1845, il propose plusieurs toiles pour le Salon ; le jury choisit de faire exposer le « Guitarrero ». En août 1849, il fait un voyage en Hollande où il découvre les peintures de Frans Hals et Rembrandt. Théo Hache et Natacha Henrion. 2nde H

« La Vague », Gustave Courbet, 1869. Ce tableau fut peint à Etretat. III.Edouard Manet (par Alexandre V et Valentin B) Peintre français dont les œuvres ont inspiré le mouvement impressionniste, il s’attacha toujours à préserver son indépendance. Il fit le choix de sujets faciles, tirés de la vie quotidienne, avec des couleurs pures et une technique rapide et libre. Manet naquit à Paris le 23 janvier 1832, dans une famille de la haute bourgeoisie. Dès l’âge de seize ans, il désira s’engager dans la marine, mais échoua au concours de l’École navale. Il s’embarqua pourtant sur un bateau-école à destination du Brésil, mais son goût pour les beaux-arts le poussa à réaliser déjà de nombreux dessins. Il revint à Paris, quelques mois plus tard, pour étudier la peinture dans l’atelier de Thomas Couture. À partir de 1852, Manet multiplia les voyages à l’étranger : la Hollande, où il admira particulièrement la peinture de Frans Hals, l’Allemagne, l’Autriche, l’Italie, et, plus tard, l’Espagne où les œuvres de Diego Vélasquez, et

surtout de Francisco Goya influencèrent beaucoup son propre travail. Les premières peintures de Manet représentent essentiellement des scènes de genre, souvent d’inspiration espagnole, ainsi que des portraits. Sa technique picturale, franche et directe, laisse apparaître de larges touches. En 1863, Manet exposa son célèbre « Déjeuner sur l’herbe »(musée d’Orsay, Paris) au Salon des Refusés, nouveau lieu d’exposition inauguré par Napoléon III accueillant, à la demande des artistes, les œuvres rejetées au Salon officiel. La toile de Manet, représentant une jeune femme nue assise, entourée de deux hommes en costume, dans un décor champêtre, attira immédiatement l’attention du public, mais fut violemment attaquée par les critiques. En 1864, le Salon officiel accepta deux de ses tableaux, et, en 1865, Manet y exposa « Olympia » (1863, musée d’Orsay, Paris), un nu inspiré de la « Vénus d’Urbin » de Titien. . En 1866, Émile Zola, qui avait pris fait et cause pour l’art de Manet dans le Figaro, devint son ami. Tel fut également le cas des peintres impressionnistes Edgar Degas, Claude Monet, Auguste Renoir, Alfred Sisley, Camille Pissarro et Paul Cézanne, qui subirent l’influence de Manet et qui, à leur tour, influencèrent son art, le rendant peut-être plus sensible aux jeux de lumière. Manet mourut à Paris le 30 avril 1883, laissant une œuvre importante, comprenant plus de quatre cents peintures à l’huile, des pastels et de nombreuses aquarelles.

On voit des bandes blanches et noires. Les fonds sont uniformes, gris, bruns ou noirs. Cela forme un contraste tragique avec la couleur rose d’une partie de la tenue et de la muleta.Le rose est une couleur chaude.Mais celle-ci n’est pas dominante dans ce tableau. Le torero est étendu au premier plan.La tête est l’élément le plus proche du spectateur. Sa posture est digne et élégante même dans la mort, avec la main sur la poitrine et l’autre tenant la muleta. Le peintre a représenté le mouvement avec des plis visibles sur la muleta et les vêtements.Ceci est en nette opposition avec l’immobilité du cadavre.

« Le Torero mort ou L'homme mort » Edouard Manet, 1864 Huile sur toile, 75.9 x 153.3 cm N. G. Washinghton.

IV.Jean-François Millet

Jean-François Millet est né le 4 octobre 1814 et est mort le 20 janvier 1875 . C’est un artiste peintre réaliste, pastelliste, graveur et dessinateur français du XIXème siècle, l’un des fondateur de l’Ecole de Babylone. Il est particulièrement célèbre pour ses scènes champêtres et de la paysannerie réaliste, il fut influencé par Courbet .

« Les glaneuses »,1857:

Ce tableau montre trois femmes qui s’emploient à ramasser péniblement les vestiges de l’abondante moisson qui s’achève en arrière-plan sous le regard du contremaître

juché sur son cheval. Elles sont autorisées à glaner par les édiles.

V.Claude MONET (exposé de Tristan Langlois et Samy Leghat) Oscar-Claude Monet est né à Paris le 14 novembre 1840.Il est le second fils d'Adolphe et Louise-Justine Monet. Il s'installa en Normandie,au Havre en 1845,il avait alors cinq ans. Plus tard,il apparaît dans les annales du collège havrais qu'il fréquente comme « une excellente nature très sympathique à ses condisciples ». De manière précoce,il développe un goût pour le dessin et il suit avec intérêt le cours d'Ochard,un ancien élève de David.Ses premiers dessins sont des caricatures. En 1857,il abandonne ses études car sa mère est décédée. Sa tante Lecadre l'accueille et le convainc de continuer le dessin. Il vend ses dessins signés O.Monet,chez un commerçant spécialisé pour le matériel de peinture,où il y a également Eugène Boudin,ancien associé du propriétaire. C'est là qu'il va faire sa connaissance,qui sera importante pour sa carrière artistique. De 1861 et 1862,il va servir dans l'armée en Algérie. Il quitta l'armée pour aller à l'université mais n’appréciait pas la peinture académique.En 1862,il se lie d'amitié avec Johan Barthold JongKind pour retrouver Eugène Boudin lors de ses séjours à la ferme Saint-Simon à Honfleur et à Sainte- Adresse. La même année,il commence à étudier l'Art Impérial des Beaux-Arts à Paris où il rencontre Pierre-Auguste Renoir,ils fondèrent ensemble un mouvement artistique appelé l'Impressionnisme ;ils ont peint ensemble et auront maintenu une amitié durant toute leur vie. Il épousa une de ses modèles,Camille Doncieux,elle servit plusieurs fois comme modèle dans : « La dame à la robe verte » et surtout « Femmes au jardin » peint dans le jardin de Monet vers la fin des années 1860. Il peignit une série de tableaux sur le thème du brouillard de Londres sur la Tamise lors de son premier déplacement au Royaume-Uni pour la guerre de 1870,puis lors de ses séjours de 1899 jusqu'en 1904 grâce au peintre britannique Turner (1775-1851) impressionné par sa manière de traiter la lumière.Sur la suggestion de Clémenceau,en 1914,Monet commence une nouvelle grande série de peintures,de nymphéas cette fois-ci. Claude Monet décéda le 5 décembre 1926 et est enterré dans le cimetière de l'église de Sainte-Radegonde de Giverny. Voici cinq des principaux tableaux de Monet : -« Le Pont d'Argenteuil »:1874 -« Les coquelicots »:1874 -« La Liseuse »:1871 -« La Barque »:1887 -« Les Arceaux de roses »:1913

« Le Pont d'Argenteuil »(1874)

Ce tableau impressionniste mesurant 60x80 cm,huile sur toile,se permet de représenter cette période par un fleuve unique:La Seine,près de la Maison Meret à Argenteuil.La scène témoigne d'une étonnante fidélité de la vision accidentelle. Monet applique sur un fond plat la couleur divisée. Le ciel et l'eau calme du premier plan sont rendus dans des tons presque plats .Les trois bateaux à voile sont à peine suggérés par des coulées épaisses. Nous voyons aussi le pont d'Argenteuil sur la Seine reliant Gennevilliers à Argenteuil. Il fut construit en 1822 mais détruit par la guerre de 1870. Il fut remplacé par une passerelle provisoire en bois qui fut représentée par Alfred Sisley en 1872.

VI.Jean-Baptiste Camille Corot

« Corot la palette à la main », 1830

Jean-Baptiste Camille COROT est un peintre français, né le 16 juillet 1796, dans une famille aisée : sa mère, Marie-Françoise COROT est une modiste réputée et son père, Jacques-Louis Corot, drapier. Il a deux soeurs : Annette Octavie et Victoire Anne. Il vit son enfance à Paris.

COROT fait ses études au collège de Rouen. Il est alors accueilli par des amis de ses parents. C'est auprès d'eux qu'il apprendra à aimer la nature. Puis de 1815 à

1822, il devient apprenti chez un marchand de draps à Rouen. Mais il n'est pas passionné par le métier. Il finira par convaincre ses parents de l'autoriser à poursuivre une carrière de peintre à partir de 1822. L'aisance de ses parents le met à l'abri du besoin mais en contrepartie, il est dépendant d'eux, et ce, jusqu'à leur mort.

Au printemps de cette année 1822, il entre dans l'atelier du peintre Achille Etna Michallon, guère plus âgé que lui. Il inculque à COROT les principes du néoclassicisme et l'encourage à travailler en plein air. Mais il meurt quelques mois plus tard. Corot poursuit donc sa formation avec Jean-Victor Bertin qui a eu Michallon comme élève.

Depuis le XVIIIème siècle, le voyage en Italie fait partie de la formation de tout jeune artiste. COROT est déjà familier des paysages italiens qu'il a copiés sur les toiles rapportées d'Italie par son maître Michallon. Il y séjournera trois fois: de 1825 à 1828; en 1834; et en 1843.

Mais COROT parcourt aussi sans relâche les provinces françaises à la recherche de paysages qu'il peint pour le plaisir et pour l'enrichissement visuel qu'ils lui apportent. Il séjourne alors chez des amis peintres ou drapiers.

Ils peint surtout des paysages mais s'intéresse aussi à l’architecture ( « La cathédrale de Chartres », 1830). Mais ces toiles ne sont pour lui que des études qu'il ne songe jamais à exposer. Elles sont en effet destinées à être réemployées dans des compositions plus ambitieuses, à caractère historique, mythologique ou religieux.

COROT affronte pour la première fois le Salon en 1835 avec un grand tableau intitulé « Agar dans le désert », qui est reçu favorablement.

Les années suivantes, COROT participera régulièrement au Salon. A partir de cette période, il attire l'attention de ses contemporains, et souvent, leur admiration.

En 1846, COROT suscite les éloges de Baudelaire et de Champfleury, bientôt suivis par toute la critique.

Ses parents meurent : son père en 1847 et sa mère en 1851. Il devient plus indépendant financièrement et libéré des contraintes familiales. Il continue à voyager et à peindre des paysages mais il laisse davantage place à l'imagination. Le thème du souvenir devient prépondérant dans son oeuvre.

Il meurt le 22 février 1875 d'un cancer à l'estomac et est inhumé au cimetière du Père Lachaise.

Corot est surtout connu pour ses paysages mais aussi pour ses portraits dont beaucoup sont exposés dans les musées des Beaux-Arts de France ( musée du Louvre, musée d'Orsay...)

« Le pont de Narni », 1826

« Agar dans le désert », 1835

« Vue de Florence depuis le jardin de Boboli », 1835-1840

« Tivoli, les jardins de la villa d'Este », 1843

« Nymphe désarmant Amour », 1857

« Le pont de Mantes », 1868

« La femme à la perle », 1869

« La femme en bleu », 1874

Sources : 759 19e COR

Internet Gautier LEMELLE

CASEY Lorcan

Dans cette peinture nous voyons en premier plan une mère avec sa fille en promenade. Les couleurs sont froides et les arbres dans le fond nous donnent l’impression que c’est l’automne. Leur façon de s’habiller nous laisse penser qu’elles viennent d’un milieu social aisé.

« Madame Stumpf et sa fille » (1872) 106 x 14 cm

Les peintres impressionnistes en Normandie Source : http://www.impressionniste.net/

« La plage à Sainte-Adresse » Claude MONET, 1867

Art Institute of Chicago

« Le calvaire de la Côte de Grâce », Honfleur Camille COROT, 1829-30

Metropolitan Museum of Art, NY

« Impression, soleil levant » Claude MONET, 1873 Musée Marmottan, Paris

Claude Monet, « Régates à Sainte-Adresse » 1867 Metropolitan Museum of Art New York

« La cathédrale de Rouen. Le portail et la tour St-Romain, plein soleil. Harmonie bleue et or » 1894 Musée d'Orsay

« Etretat », 1883 (Claude Monet) Source : Wikipédia

Claude Monet, « Étretat, la plage et la porte d'Amont », 1883. Source : Wikipédia

« Etretat,l’aiguille et la falaise », C Monet,1885 Source : Wikipédia

« Etretat, la porte d’Aval », 1885 Source : Wikipédia

Claude Monet, « Pluie à Étretat », 1884. Source : Wikipédia

« Coucher de soleil à Etretat », 1883, C Monet Source : Wikipédia

« Grosse mer à Etretat », 1868, C Monet Source : Wikipédia

« Marée haute », 1885, C Monet Source : Wikipédia

« Bateaux de pêche à Etretat », 1885, C Monet Source : Wikipédia

« La Manneporte à Etretat », 1886, C Monet Source : Wikipédia

« Fécamp, bord de mer »,1881, C Monet -Musée Malraux au Havre

« Au bord de la mer », Auguste Renoir, 1883 (Metropolitan Museum of Art, New York)