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Déchristianisation Paris
Choisis… Tu es libre
(1904)
Bénédiction des blés en Artois (1859)
Procession Bretagne 1910
Mariage 1900
Bernadette Soubirous
Pie IX
16 -Les hommes peuvent, dans quelque culte que ce soit, trouver la voie du salut éternel et y parvenir.
45-Toute la direction des écoles publiques, clans lesquelles la jeunesse d'un État chrétien est élevée peut et doit être attribuée exclusivement à l'autorité civile.
55 – L’Eglise doit être séparée de l'État, et l'État séparé de l'Église.
56 - Le sacrement de mariage n'est qu'un accessoire du contrat et peut en être séparé.
80 -Le pape peut et doit se réconcilier et se mettre en harmonie avec le progrès, le libéralisme et la civilisation moderne.
Léon XIII
Les travailleurs isolés et sans défense se sont vus, avec le temps, livrés à la merci de maîtres inhumains et à la cupidité d'une concurrence effrénée. Les socialistes, pour guérir ce mal, poussent à la haine jalouse des pauvres contre ceux qui possèdent. Ils prétendent que toute propriété de biens privés doit être supprimée. Un homme doit prendre en patience sa condition : il est impossible que dans la société civile tout le monde soit élevé au même niveau. L’erreur capitale dans la question présente, c'est de croire que les deux classes sont ennemies. Mais, d'une manière générale, que le riche et le patron se souviennent qu'exploiter la pauvreté et la misère et spéculer sur l'indigence sont choses que réprouvent à la fois les lois divines et humaines. L’équité demande donc que l'État se préoccupe des travailleurs et fasse en sorte que, de tous les biens qu'ils procurent à la société, il leur revienne une part convenable.
Albert de Mun
J’ai toujours cru que les catholiques ne pouvaient se désintéresser de la question sociale, sous peine de manquer à leurs obligations : aujourd’hui, depuis l'encyclique sur la condition des ouvriers, je crois qu'ils n'en ont pas le droit et que leur programme social est là, tout écrit, magistralement tracé, comme leur programme l'a été par l'encyclique.
A mes yeux, l'ensemble de nos revendications doit tendre à assurer au peuple la jouissance de ses droits essentiels méconnus par le régime individualiste; la possibilité pour chacun de vivre et de faire vire les siens du produit de son travail, avec une garantie contre l'insécurité résultant des accidents de la maladie, du chômage et de la vieillesse; l'assurance contre la misère inévitable; la faculté pour l'ouvrier de participer aux bénéfices et même, par la coopération, à la protection contre les spéculations qui épuisent les épargnes du peuple et le condamnent à l'indigence, pendant que, suivant les paroles de l'encyclique « une fraction maîtresse absolue de l'industrie et du commerce détourne le cours des richesses et en fait affluer vers elle toutes les sources. »
Karl Marx
« La religion est l’opium du peuple »
Friedrich Nietzsche
« Dieu est mort ! »
Baden-Powell
Fête JOC 1937
Eglise art déco (1922)
Marc Sangnier
Missionnaire au Congo
Cameroun 1935
Charles Darwin (1809-1882)
Auguste Comte (1789-1857)
Sigmund Freud
(1856-1939)
Albert Einstein (1879-1955)
André Breton (1896-1966)
Rotatives (1900)
Evolution médias (France)
Tintin (depuis 1929)
Quotidiens (1866)
Presse à sensation
Presse sportive (1937)
Alexandre Dumas (1802-1870)
George Sand (1804-1876)
Eugène Sue (1804-1857)
La bande dessinée
Bécassine (1905)
Zig et Puce (A.Saint Ogan
(1925)
Mickey France 1935
Le phonographe
La TSF
La TSF (1930)
Charlie Patton 1891-
1934
Blind Lemon Jefferson
1897-1930
howling wolf
Le Blues
Scott Joplin 1867-1917
Le Ragtime
Sidney Bechet1897-1959 Louis Armstrong (1901-1971)
Le Jazz New-Orleans
Duke Ellington
Count Basie
Billie Holiday
Le Swing
Cabarets et caf’conc
Jacques Offenbach 1819-1880
Les folies parisiennes
Le moulin rouge 1898
Le french cancan
Aristide Bruant
Papa c'était un lapinQui s'app'lait J.-B. ChopinEt qu'avait son domicileÀ Bell'ville ;L'soir, avec sa p'tit' familleY's'baladait en chantantDes hauteurs de la CourtilleÀ Ménilmontant. (Bis)
L'buvait si peu qu'un soirOn l'a trouvé su'l'trottoirIl 'tait crevé ben tranquilleÀ Bell'ville ;On l'a mis dans d'la terr'glaisePour un prix exorbitantTout en haut du Pèr' LachaiseÀ Ménilmontant. (Bis)
Depuis c'est moi qu'est l'souteneurNaturel à ma pt'it' sœurQu'est l'amie d'la p'tit' CécileÀ Bell'ville ;Qu'est sout'nue par son grand frèreQui s'appell' Éloi ConstantQu'a jamais connu son pèreÀ Ménilmontant. (Bis)
Ma sœur est avec ÉloiDont la sœur est avec moiL'soir su'l'boul'vard ej'la r'fileÀ Bell'ville ;Comm' ça j'gagn' pas mal de braiseMon beau-frère en gagne autantPuisqu'y r'file ma sœur ThérèseÀ Ménilmontant. (Bis)
L'dimanche au lieu d'travaillerJ'mont' les môm's au poulaillerVoir jouer l'drame ou l'vaud'villeÀ Bell'ville ;Le soir on fait des épatesOn étal' son culbutantMinc' des g'noux et larg' des pattesÀ Ménilmontant. (Bis)
C'est comm' ça qu'c'est l'vrai moyenD'dev'nir un bon citoyenOn grandit, sans s'fair' de bileÀ Bell'ville ;On cri' : « Viv' l'indépendance ! »On a l'cœur bath et contentEt l'on nag' dans l'abondanceÀ Ménilmontant. (Bis)
Belleville Ménilmontant
Réveillon 1925
Le charleston
Les guinguettes
Le tango
André GueratRenaud
Nous les paumésNous ne sommes pas aimésDes grands bourgeoisQui nagent dans la joieIl faut avoirPour être à leur goûtUn grand faux colEt un chapeau mouÇa n'fait pas chique une casquetteÇa donne un genre malhonnêteEt c'est pourquoiQuand un bourgeois nous voitIl dit en nous montrant du doigt
{Refrain:}C'est un mauvais garçonIl a des façonsPas très catholiquesOn a peur de luiQuand on le rencontre la nuitC'est un méchant p'tit garsQui fait du dégasSi tôt qu'y s'expliqueÇa joue du poingD'la tête et du chaussonUn mauvais garçon
Toutes les belles damesPleines de perles et de diam'sEn nous croisant ont des airs méprisantsOui mais demainPeut-être ce soirDans nos musettesElles viendront nous voirElles guincheront comme des fillesEn s'enroulant dans nos quillesEt nous lirons dans leurs yeux chavirésL'aveux qu'elles n'osent murmurer
{
Refrain:}C'est un mauvais garçonIl a des façonsPas très catholiquesOn a peur de luiQuand on le rencontre la nuitC'est un méchant p'tit garsQui fait du dégasSi tôt qu'y s'expliqueMais y a pas mieuxPour t'donner l'grand frissonQu'un mauvais garçon
{Refrain:}C'est un mauvais garçonIl a des façonsPas très catholiquesOn a peur de luiQuand on le rencontre la nuitC'est un méchant p'tit garsQui fait du dégasSi tôt qu'y s'expliqueMais y a pas mieuxPour t'donner l'grand frissonQu'un mauvais garçon
C’est un mauvais garçon (1936)
La grèviste
Gaston Ouvrard
Je ne suis pas bien portant
Depuis que je suis sur la terre [militaire],C'n'est pas rigolo. Entre nous,Je suis d'une santé précaire,Et je m'fais un mauvais sang fou,J'ai beau vouloir me remonterJe souffre de tous les côtés.
J'ai la rateQui s'dilateJ'ai le foieQu'est pas droitJ'ai le ventreQui se rentreJ'ai l'pyloreQui s'coloreJ'ai l'gésier [gosier]AnémiéL'estomacBien trop basEt les côtesBien trop hautesJ'ai les hanchesQui s'démanchentL'épigastreQui s'encastreL'abdomenQui s'démèneJ'ai l'thoraxQui s'désaxeLa poitrineQui s'débineLes épaulesQui se frôlentJ'ai les reinsBien trop finsLes boyauxBien trop grosJ'ai l'sternumQui s'dégommeEt l'sacrumC'est tout commeJ'ai l'nombrilTout en vrilleEt l'coccyxQui s'dévisse
J'ai les seinsSous l'bassinEt l'bassinQu'est pas sainEn plus d'çaJ'vous l'cach' pasJ'ai aussiQuel souci !La luetteTrop fluetteL'oesophageQui surnageLes gencivesQui dériventJ'ai l'palaisQu'est pas laidMais les dentsC'est navrantJ'ai les p'titesQui s'irritentEt les grossesQui s'déchaussentLes caninesS'ratatinentLes molairesS'font la paireDans les yeuxC'est pas mieuxJ'ai le droitQu'est pas droitEt le gaucheQu'est bien mocheJ'ai les cilsQui s'défilentLes sourcilsQui s'épilentJ'ai l'mentonQu'est trop longLes artèresTrop pépèresJ'ai le nezTout bouchéL'trou du couQui s'découdEt du coupVoyez-vousJ'suis gênéPour parlerC'est vexantCar maint'nantJ'suis forcéD'm'arrêter.
Ah ! bon Dieu ! qu'c'est embêtantD'être toujours patraque,Ah ! bon Dieu ! qu'c'est embêtantJe n'suis pas bien portant.
Pour tâcher d'guérir au plus vite,Un matin tout dernièrementJe suis allé à la visite [rendre visite]Voir le major du régiment.[A un méd'cin très épatant.]D'où souffrez-vous ? qu'il m'a demandé.C'est bien simpl' que j'y ai répliqué.
Qui s'dilateJ'ai le foieQu'est pas droitEt puis j'aiAjoutéVoyez-vousC'n'est pas toutJ'ai les g'nouxQui sont mousJ'ai l'fémurQu'est trop durJ'ai les cuissesQui s'raidissentLes guibolesQui flageolentJ'ai les ch'villesQui s'tortillentLes rotulesQui ondulentLes tibiasRaplaplaLes molletsTrop épaisLes orteilsPas pareilsJ'ai le cœurEn largeurLes poumonsTout en longL'occiputQui chahuteJ'ai les coudesQui s'dessoudentJ'ai les seinsSous l'bassinEt l'bassinQu'est pas sain
J'ai la rate
{Refrain}
Avec un' charmant' demoiselleJe devais m'marier par amour.Mais un soir comm' j'étais près d'elle,En train de lui faire la cour,Me voyant troublé, ell' me dit :- Qu'avez vous ? moi j'lui répondis :
J'ai la rateQui s'dilateJ'ai le foieQu'est pas droitJ'ai le ventreQui se rentreJ'ai l'pyloreQui s'coloreJ'ai l'gésier [gosier]AnémiéL'estomacBien trop basEt les côtesBien trop hautesJ'ai les hanchesQui s'démanchentL'épigastreQui s'encastreL'abdomenQui s'démèneJ'ai l'thoraxQui s'désaxeLa poitrineQui s'débineLes épaulesQui se frôlentJ'ai les reinsBien trop finsLes boyauxBien trop grosJ'ai l'sternumQui s'dégommeEt l'sacrumC'est tout commeJ'ai l'nombrilTout en vrilleEt l'coccyxQui s'dévisseEt puis j'ai
AjoutéVoyez-vousC'n'est pas toutJ'ai les g'nouxQui sont mousJ'ai l'fémurQu'est trop durJ'ai les cuissesQui s'raidissentLes guibolesQui flageolentJ'ai les ch'villesQui s'tortillentLes rotulesQui ondulentLes tibiasRaplaplaLes molletsTrop épaisLes orteilsPas pareilsJ'ai le cœurEn largeurLes poumonsTout en longL'occiputQui chahuteJ'ai les coudesQui s'dessoudent
Allô, allô James !Quelles nouvelles ?Absente depuis quinze jours,Au bout du filJe vous appelle ;Que trouverai-je à mon retour ?
Tout va très bien, Madame la Marquise,Tout va très bien, tout va très bien.Pourtant, il faut, il faut que l'on vous dise,On déplore un tout petit rien :Un incident, une bêtise,La mort de votre jument grise,Mais, à part ça, Madame la MarquiseTout va très bien, tout va très bien.
Allô, allô James !Quelles nouvelles ?Ma jument gris' morte aujourd'hui !Expliquez-moiValet fidèle,Comment cela s'est-il produit ,
Cela n'est rien, Madame la Marquise,Cela n'est rien, tout va très bien.Pourtant il faut, il faut que l'on vous dise,On déplore un tout petit rien :Elle a périDans l'incendieQui détruisit vos écuries.Mais, à part ça, Madame la MarquiseTout va très bien, tout va très bien.
Allô, allô James !Quelles nouvelles ?Mes écuries ont donc brûlé ?Expliquez-moiValet modèle,Comment cela s'est-il passé ?
Cela n'est rien, Madame la Marquise,Cela n'est rien, tout va très bien.Pourtant il faut, il faut que l'on vous dise,On déplore un tout petit rien :Si l'écurie brûla, Madame,C'est qu'le château était en flammes.Mais, à part ça, Madame la MarquiseTout va très bien, tout va très bien.
Allô, allô James !Quelles nouvelles ?Notre château est donc détruit !Expliquez-moiCar je chancelleComment cela s'est-il produit ?
Eh bien ! Voila, Madame la Marquise,Apprenant qu'il était ruiné,A pein' fut-il rev'nu de sa surpriseQue M'sieur l'Marquis s'est suicidé,Et c'est en ramassant la pell'Qu'il renversa tout's les chandelles,Mettant le feu à tout l'châteauQui s'consuma de bas en haut ;Le vent soufflant sur l'incendie,Le propagea sur l'écurie,Et c'est ainsi qu'en un momentOn vit périr votre jument !Mais, à part ça, Madame la Marquise,Tout va très bien, tout va très bien.
Tout va très bien (1936)
Valentine
On se rappelle toujours sa première maîtresseJ'ai gardé d'la mienne un souvenir pleine d'ivresseUn jour qu'il avait pluTous deux on s'était pluEnsuite on se plut de plus en plus
J'lui d'mandait son nom, elle me dit ValentineEt comme elle suivait chaque soir la rue CustineJe pris le même cheminEt puis j'lui pris la mainJ'lui pris tout enfin
Elle avait des tout petits petons, Valentine, ValentineElle avait des tout petits tétonsQue je tâtais à tâtons, Ton ton tontaineElle avait un tout petit menton, Valentine, ValentineOutre ses petits petons ses petits tétons son petit mentonElle était frisée comme un mouton
Elle n'était pas une grande intelligenceMais dans un plumard, ça n'a pas d'importanceQuand on a dix-huit ansOn n'en demande pas tantDu moment qu'on s'aime, on est content
Elle n'avait pas un très bon caractèreElle était jalouse et même autoritairePourtant, j'en étais fousElle me plaisait beaucoupParce que surtout
Elle avait des tout petits petons, Valentine, ValentineElle avait des tout petits tétonsQue je tâtais à tâtons, Ton ton tontaineElle avait un tout petit menton, Valentine, ValentineOutre ses petits petons ses petits tétons son petit mentonElle était frisée comme un mouton
Hier, sur le boulevard, je rencontre une grosse dameAvec des grands pieds, une taille d'hippopotameVivement elle m'saute au couMe crie bonjour, mon loupJe lui dis pardon, mais qui êtes vous
Elle sourit voyons, mais c'est moi, ValentineDevant son double menton, sa triple poitrineJe pensais, rempli d'effroiQu'elle a changé , ma foiDire qu'autre fois
Elle avait des tout petits petons, Valentine
Mais ils sont enflés à présent ValentineElle avait des tout petits tétons des vraie p'tite pommesNon non j'aime mieux parler d'autre chose voila
Elle avait elle avait un tout petit menton, avec une p'tite pincetteElle en a quatre ou cinq mentons maintenantOh cette pauvre petite Valentine ça d'vrait pas être permis ça nonC'est des trucs qui ne devarait pas être permisNon
Je voudrais être blanche
Je voudrais être blanchePour moi quel bonheurSi mes seins et mes hanches changent de couleurLes Parisiens à Juan-les-Pins me faisaient [voir]Au soleil [exposés leurs reins pour être] noirMoi pour être blancheJ'allais me roulantParmi les avalanchesEn haut du Mont BlancCe stratagème donne un petit... ???[J'aurais l'air dans la crème d'un p'tit pruneau]Etant petite avec chagrinJ'admirais dans les magasinsLe teint [pale des poupees blondes]J'aurais voulu leur [être pareille]Et je disais l'air accabléMe croyant [la] seule brune au mondeAu soleil c'est par l'extérieurQu'il lance l'orMoi c'est la flamme de mon cœur qui me colore[Dites-moi, monsieur,Faut-il que je sois blanche pour vous plaire mieux?] Je voudrais être blanche
Y a d'la joie bonjour bonjour les hirondellesY a d'la joie dans le ciel par dessus le toitY a d'la joie et du soleil dans les ruellesY a d'la joie partout y a d'la joieTout le jour, mon cœur bat, chavire et chancelleC'est l'amour qui vient avec je ne sais quoiC'est l'amour bonjour, bonjour les demoisellesY a d'la joie partout y a d'la joie
Le gris boulanger bat la pâte à pleins brasIl fait du bon pain du pain si fin que j'ai faimOn voit le facteur qui s'envole là-basComme un ange bleu portant ses lettres au Bon DieuMiracle sans nom à la station JavelOn voit le métro qui sort de son tunnelGrisé de ciel bleu de chansons et de fleursIl court vers le bois, il court à toute vapeur
{2e Refrain:}Y a d'la joie la tour Eiffel part en baladeComme une folle elle saute la Seine à pieds jointsPuis elle dit:" Tant pis pour moi si j'suis maladeJ'm'ennuyais tout' seule dans mon coin"Y a d'la joie le percepteur met sa jaquettePlie boutique et dit d'un air très doux, très doux" Bien l'bonjour, pour aujourd'hui finie la quêteGardez toutMessieurs gardez tout"
Mais soudain voilà je m'éveille dans mon litDonc j'avais rêvé, oui, car le ciel est grisIl faut se lever, se laver, se vêtirEt ne plus chanter si l'on n'a plus rien à dir'Mais je crois pourtant que ce rêve a du bonCar il m'a permis de faire une chansonChanson de printemps, chansonnette d'amourChanson de vingt ans chanson de toujours.
Y a d’la joie
Les semelles de bois
Débuts de la
télévision (années 30)
France-Angleterre 1903
La boxe
Georges Carpentier Emile Georget
Sportifs français
Pierre de Coubertin
Henri Desgrange
Maurice GARIN
Jules Rimet
Coupe du monde 1934
Jeux olympiques 1936
Leni riefenstahl
Leni riefenstahl (1902- 2003)
Le tourisme
Plage 1880
Plage en 1936
Congés payés 1936
Frères Lumière
Train en gare de la Ciotat (1896)
Georges Melies
Le voyage dans la Lune (1902)
Charles Pathé
Léon Gaumont
Charles Jourjon
1913
Max Linder
Hollywood
Buster Keaton
Charlie Chaplin
Laurel et hardy
The jazz singer (1927)
1933
King Kong (1933)
Autant en
emporte le vent (1939)
Marlène Dietrich
Fred Astair & Ginger Rogers
Katharine Hepburn
Olivia de Havilland
Ginger Rogers
Greta Garbo
Henry Fonda
John Wayne
Jean Gabin
Simone Signoret
Gustave Courbet
Un enterrement à Ornans (1849)
Gustave Moreau : Oedipe et le sphinx
(1864)
Claude Monet : Impression soleil levant (1872)
Georges Seurat : Un dimanche à la grande Jatte (1884)
Henri Matisse : La desserte rouge (1908)
Pablo Picasso : Les
demoiselles d’Avignon
(1907)
Edvard Munch :
Le cri (1893)
Vassily Kandinsky : Impression V (1911)
Piet Mondrian : composition IV
(1920)
Quartier Frugès 1925 (Pessac)
Projet de Le Corbusier pour Paris
The flat iron
building
Théière
Marianne Brandt 1924
Lampe de bureau
Jucker 1923
Le Bauhaus
Igor StravinskyLe sacre du printemps
1913
G.Gershwin Summertime
1935
Ella Fitzgerald
et
Louis Armstrong
Zola Dickens et Flaubert
L’écriture automatique
René Magritte au seuil de la liberté 1930
Violon d’Ingres Man Ray
1924
The ready made Marcel Duchamp
1917
Francis Picabia l’œil cacodylate
1921
Luis Bunuel Un chien andalou 1929