Download - MENTION & CIE
FROID - CLIMATISATION - CUISINES51, AVENUE ROGER DUMOULINBP 4133780081 AMIENS CEDEX 2CONTACT : [email protected] : 03 22 96 83 33FAX : 03 22 96 83 12
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• 5 0 0 c h a n t i e r s a n n u e l s• 1 2 0 v é h i c u l e s p o u r a s s u r e r n o t r e m o b i l i t é• 2 0 0 c o l l a b o r a t e u r s• 3 0 0 . 0 0 0 h e u r e s d e t r a v a i l e f f e c t u é e s• 2 3 m i l l i o n s d e c h i f f r e d ’ a f f a i r e s
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SOCIETE D’ANIMATION DU GROUPE
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3
Nous avons tous un devoir de mémoire pour
faire connaître nos origines.
Cet héritage est nécessaire pour vivre le présent et
construire le futur. Cela nous donne davantage de chances
de réussite car nous bénéficions, ainsi, de l’expérience acquise
en terme de service, de technique et d’organisation.
Les millions d’heures de travail effectuées laissent une empreinte
indélébile dans les bâtiments de notre ville, Amiens et de notre région.
Grâce à ce livre, nous rendons hommage aux clients, aux familles et
aux fournisseurs qui nous ont accompagnés depuis 65 ans.
Un grand merci à tous pour votre contribution à la pérennité
de l’entreprise MENTION.
AVANT - PROPOSAVANT - PROPOS
Jean - Luc Mention
AVANT - PROPOS
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1939-1945Au lendemain de la guerre 1939 - 1945, Amiens est en pleine renaissance. Certains quartiers ont
littéralement été atomisés par les bombardements. Le quartier de la gare se relève doucement.
C’est là que s’installent bon nombre d’entrepreneurs de la reconstruction.
Parmi eux, en 1948, Michel Mention.
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Amiens après la guerre 1939-1945.
Né en 1905, orphelin de guerre
à l’âge de 13 ans, il a dû arrêter
l’école avec, pour seul bagage
en poche, son certificat d’études,
alors qu’il a toujours rêvé de
devenir ingénieur chimiste. Il a
d’ailleurs tenté de nombreuses
expériences et même fait exploser
un cabanon de jardin au cours
de l’une d’entre elles.
Il se passionne également pour
les nouvelles technologies en
général et la radiodiffusion en
particulier, surtout avec le
développement des postes à
galène. C’est d’ailleurs en tant
que sapeur radiotélégraphiste
qu’il effectue son service militaire.
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1905
Passionné, Michel Mention a une profonde admiration pour Edouard Branly, amiénois d’origine, physicien et médecin qui a découvert le principe de la radioconduction et celui de la télémécanique. Il est l’un des précurseurs de la radio. En mars 1923, il lui écrit pour obtenir une photo de son modèle.
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La grand-mère de Michel Mention qui trouve qu’il a une belle écriture, le propose au concours de rédacteur à la préfecture. En dépit d’une bonne copie en composition française, il est recalé. Vexé sur le moment, il avouera plus tard que cet échec a été une véritable chance dans sa vie.
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19251926
1927...
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Michel Mention effectue son service militaire à la radiotransmission. Il en profite pour parfaire ses connaissances techniques et apprendre toujours plus.
Libéré de ses obligations, i l est
embauché comme vendeur par
René Audelin dont la société
d’électricité commercialise aussi
du matériel radio à Amiens.
Il travaille en binôme avec Maurice
Brayet, ingénieur diplômé.
À la rondeur de caractère de Michel
Mention qui a le sens du commerce
et le contact facile, vient s’ajouter
la rigueur technique de Maurice
Brayet. Les deux hommes forment
un duo efficace et apprennent
beaucoup l’un de l’autre. Michel
Mention, toujours avide de savoir,
souhaite connaître tous les aspects
techniques d’un matériel avant d’aller
en visite chez un client. Il se les fait
expliquer par Maurice Brayet.
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Madeleine Mention (à droite) en compagnie de M. et Mme Audelin, les patrons de Michel Mention.
Façade du magasin Audelin.
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Michel et Madeleine Mention en 1929 et en 1932.
Dès le début de la guerre, il est mobilisé à la citadelle.
En mai 1940, les Allemands envahissent la majorité du nord-est de la France. Amiens, tout comme
Lille, Arras et Calais, constitue pour eux, un objectif important puisque la prise de la ville leur
permettrait de poursuivre leur offensive.
Le 20 mai, les Allemands sont aux portes de la capitale picarde. Jusqu’au 8 juin, la ville sera la
cible de bombardements aériens menés par la Luftwaffe.
Michel Mention n’attend pas le 26 mai que les Allemands lancent leur offensive pour réagir.
Il avertit sa famille réfugiée à Vignacourt, puis il gagne Paris et le quartier général de la tour Eiffel
avec du matériel radio. Alors qu’il a l’impression de sortir de l’enfer, l’ambiance parisienne est
paisible. Il n’est même pas pris au sérieux lorsqu’il raconte ce qu’il vient de vivre et il est même,
dans un premier temps, considéré comme un déserteur par la hiérarchie militaire.
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1940
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Son témoignage permettra, malgré tout, d’anticiper la marche allemande sur la capitale.
Le 22 juin 1940, l’armistice est signé entre le représentant du Troisième Reich allemand et celui du
gouvernement français de Pétain. Il met fin aux hostilités et établit les conditions de l’occupation
par l’Allemagne, le sort des personnes capturées, déplacées ou occupées, la neutralisation
des forces françaises, et le paiement de compensations économiques à l’Allemagne. Michel Mention
transmet le message depuis Bordeaux.
En septembre 1940, il regagne Amiens et reprend sa place au service commercial dont il a pris la
direction chez Audelin.
La société continue son activité tout le temps du conflit.
Mais, de plus en plus, Michel Mention souhaite se mettre à son compte. Depuis longtemps, il en rêve.
Il a même promis à son épouse Madeleine qu’« un jour, elle verrait « Mention » en lettres de feu ».
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19391940
Madeleine et Michel Mention pendant la guerre.
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Le couple a deux enfants : Françoise à qui il souhaite pouvoir payer des études et Jean-Jacques,
né en octobre 1939, le fils espéré auquel il pourra léguer son entreprise et qui assurera la continuité
du nom.
Madeleine Mention et Françoise, sa fille aînée. Madeleine Mention et Jean-Jacques, son fils.
La reconstruction est une période faste pour créer son entreprise.
Il demande à André Caty, peintre en bâtiment, de l’aider. Les deux hommes se sont rencontrés en
se côtoyant sur les chantiers et se vouent l’un à l’autre une profonde estime qui se change bien
vite en une amitié solide et durable.
André Caty, dont le siège social et les ateliers sont installés rue Jean Mermoz dans le quartier de
la gare, apprend que M. Bonnecuelle, artisan électricien, est décédé.
Sans repreneur, son affaire est à vendre. C’est l’occasion qu’il fallait à Michel Mention pour
franchir le pas.
La société Mention & compagnie est installée dans un atelier de l’ancien établissement
de M. Bonnecuelle, au 60, rue du Vivier à Amiens.
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17
1
9
4
8
Premier contrat de téléphonede la société Mention & cie, rue du Vivier.
Citadelle construit par Vaubanau 17 ème siècle.
A M I E N S
Un autre associé vient apporter sa pierre à l’édifice : Jean Herbet, entrepreneur en maçonnerie.
C’est Michel Mention qui a toutes les rênes en main. André Caty, lui, s’occupe de sa société
de peinture avec son fils Jean qui reprendra sa suite et Jean Herbet gère sa propre affaire.
Néanmoins, toutes les décisions sont prises à trois et chacun se tient informé régulièrement.
D’abord électr icien puis, également grossiste pour les artisans, la société Mention & Cie
développe petit à petit son activité dans le secteur du bâtiment. Il prend des chantiers pour
les collectivités territoriales et les bailleurs sociaux comme le chantier des ISAI Faidherbe et
celui du quartier du « Pigeonnier ».
Lorsqu’il faut livrer du matériel sur un chantier dans Amiens, les équipes s’y rendent avec une
voiture à bras jusque dans les années 50.
Ensuite, la société acquiert un « Tube » Citroën et une 2 CV camionnette.
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Les ouvriers ont utilisé cette voiture à bras jusqu’en 1955 pour transporter le matériel sur les chantiers dans Amiens. Ensuite, la carriole a servi de décor dans le hall d’entrée de l’entreprise. Elle était fleurie avec soin par Françoise Lancéa lors des journées professionnelles ou grands événements de l’entreprise jusque dans les années 70.
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En 1953, l’atelier de la rue du Vivier est devenu
trop étroit pour l’activité de la société Mention.
Il est donc décidé de louer un immeuble
16, rue Gresset à Amiens.
L’immeuble appartient à André Caty.
Michel et Madeleine Mention s’installent à
l’étage avec leurs deux enfants.
C’est l’occasion d’aménager, en façade,
un magasin de petit électroménager, de
luminaires et de lustres. Le plafond en est
tapissé.
Madeleine Mention s’en occupe, aidée dans
sa tâche par Jean Boucher. Ce dernier a été
embauché comme électricien par Michel
Mention dès sa sortie de l’école industrielle
en 1949. Il lui a accordé d’emblée une totale
confiance et agit avec lui davantage comme
s’il faisait partie de la famille que comme un
patron le ferait avec son employé.
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Jean Boucher dans l’atelier de la rue Gresset.
Inauguration de la Tour PERRET.
1952A M I E N S
Madeleine Mention derrière le comptoir du magasin.
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1 9531 953
Premier bail de la rue Gresset.
Plaque émaillée de l’entreprise qui se trouvait à l’arrière de la cour, rue Léon Blum.
21Madeleine Mention dans le magasin.
Madeleine et Michel Mention devant leur magasin, rue Gresset.
Grands garages de Picardie.
A M I E N S
Les annees
1950
Michel Mention n’aime pas conduire , il préfère
de loin circuler à vélo. C’est Jean Boucher qui
prend le volant de la DS Pallas dès qu’il y a un
peu de route. Ensemble, donc, ils se rendent à
des salons professionnels mais également à des
mariages, des communions, des enterrements...
Il leur arrive régulièrement de chercher leur route !
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L e s a n n E e s 1 950
Jean Boucher entre Michel et Madeleine Mention à la sortie d’une église.
Michel et Madeleine Mention.
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Derrière l’immeuble, une porte cochère donne sur une cour. Au fond, sont agencés un magasin de petit
matériel électrique pour les artisans et un bureau.
C’est là que la secrétaire Geneviève Hacot, la comptable Denise Gueudet et Christiane Désesquelle sont
installées les unes à côté des autres, sur une table toute en longueur. Geneviève Hacot est remplacée, en
1955, par Francine Lancéa qu’on embauche comme dactylo facturière et Denise Gueudet cédera sa
place à Georges Petit en 1960.
Elles encaissent également le paiement du petit matériel vendu aux artisans.
La société compte désormais une quinzaine de salariés.
La personnalité de Michel Mention et son charisme transpirent dans sa façon de gérer la société et
le personnel. C’est une entreprise familiale à dimension humaine. Les ouvriers lui sont attachés.
Michel Mention accorde beaucoup d’estime à chacun. Quant à Madeleine Mention, elle, appelle
Francine Lancéa et Christiane Desesquelle, « mes filles ».
Les secrétaires et la comptable à leur bureau.
La Gare.
A M I E N S
Les annees
1950
Les salariés sont associés aux fêtes et évènements familiaux, tout comme Madeleine et Michel
Mention le sont à ceux des employés.
En 1956, tous sont invités au repas de mariage de Françoise, la fille aînée de Madeleine et de
Michel Mention avec Roger Hostequin. Un jour de congé exceptionnel leur a été accordé à tous
pour l’occasion.
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1950Le personnel le jour du mariage de Françoise Mention avec Roger Hostequin.
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Comme à chaque fois qu’il le peut, Jean Boucher
fixe l’événement sur la bobine.
Il a trouvé sa place au magasin où il est responsable
du rayon télé et radio. Le commerce est une activité
qu’il aime. Il est attaché à son entreprise, à son
patron. Sa priorité, c’est l’image de marque de la
« maison Mention » et pour cela, il ne compte pas ses
heures. Il ne quittera d’ailleurs jamais la rue Gresset
avant l’âge de la retraite, en décembre 1991.
Jean Boucher dans le magasin rue Gresset. Michel Mention essaie tous les téléviseurs lui-même pour être certain de la qualité des produits commercialisé chez lui.
Première pierre Coursives - quartier Etouvie.
A M I E N S
1957
Sur la place publique, le nom Mention est un gage de qualité. Si la maison ne casse pas les prix,
elle a par contre, une excellente réputation.
Jean-Jacques Mention est élevé pour prendre la suite de son père. Il préfère le terrain aux études;
pour autant, il s’y astreint. Il suit un cursus au lycée de la Société Industrielle ce qui lui permet la
mise en application en continu de ses apprentissages, puis il entre à EEIP Charliat à Paris.
26
les annees 1950
27
Pour Michel Mention qui a été privé d’études, le fait que son fils devienne ingénieur est une réelle fierté.
Son diplôme en poche, le jeune Jean-Jacques est appelé à servir le drapeau. Comme son père, il
effectue son service militaire à la télétransmission. Dès qu’il en a l’occasion, pendant ses permissions,
il revient travailler pour l’entreprise. A partir de 1966,
il est officiellement intégré à l’entreprise en tant
qu’ingénieur.
Rue des Trois cailloux.
A M I E N S
1958
En 1959, il a rencontré son épouse Marie-France, originaire du Centre.
De leur union, alors qu’il est encore à l’armée, est née une première fille prénommée Isabelle.
Désormais, c’est le jeune couple qui habite au-dessus du magasin de la rue Gresset. Madeleine
et Michel Mention ont, quant à eux, déménagé en ville.
Marie-France Mention donne des cours à l’école Saint-Rémi.
Jean-Jacques Mention est un leader, un gagnant. Il veut aller toujours plus loin et toujours plus haut.
Il est heureux d’arriver réellement dans la société.
Pourtant il doit se faire accepter par des équipes qui ont grandi en même temps que l’entreprise et
qui la considèrent d’ailleurs un peu comme étant la leur.
28
29
En 1968, ils rachètent la société
Audelin dans laquelle Michel
Mention a fait ses premières armes
en tant que commercial.
La véritable passation de pouvoir
se fait dans la douceur. Jean-
Jacques Mention a trouvé sa place
et son père, bien que toujours
présent, s’efface petit à petit.
1968
Portrait de Jean-Jacques Mention réalisé à l’occasion d’un séminaire de travail.
Inaugurationde la Maison de la Culture.
A M I E N S
1966
Depuis quelque temps, il a demandé à Francine Lancéa de tenir le magasin. Ce n’est pas le rôle
qu’elle préfère mais, s’il est un patron très humain, lorsqu’il a une idée bien arrêtée, on ne lui dit
pas « non ».
Elle s’occupe donc de la clientèle jusqu’au jour où, elle est appelée dans le bureau. Le père et
son fils se tiennent là tous les deux. Michel Mention lui annonce que Jean-Jacques, son fils, va
prendre les rênes de la société officiellement. Il lui demande donc, solennellement, si elle accepte
d’être la secrétaire de son fils. Francine Lancéa saute sur l’occasion et accueille avec un grand
bonheur la proposition.
Jean-Jacques Mention succède officiellement à son père à la
direction de l’entreprise en 1969. La société compte alors une
cinquantaine de salariés et porte le nom de « Mention Electricité »
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1969
Jean-Jacques Mention.
31
Le départ de Michel Mention se ressent
davantage dans les bureaux que sur les
chantiers. Les hommes sont habitués à travailler
en autonomie. Leur patron leur a toujours
accordé une grande confiance. Il ne prend
plus officiellement les décisions mais reste
présent au côté de son fils. Il passe très
régulièrement dans les bureaux et participe
au débat, sans en avoir l’air.
Michel Mention et Jean-Luc, son petit fils qu’il forge dès le plus jeune âge au métier.
Construction du quartierdit du Pigeonnier.
A M I E N S
Les années
1960
Max Donnette, arrivé en 1955 comme monteur-électricien, est nommé adjoint de direction.
Il devient le bras droit de Jean-Jacques Mention. Il stabilise encore davantage la jonction
entre Michel et Jean-Jacques Mention.
Dès lors, un partenariat étroit se noue entre les trois. Max Donnette et Francine Lancéa, arrivés la
même année, forment un vrai tandem. Jean-Jacques Mention sait qu’il peut compter sur eux.
Leur collaboration est très forte, très solide et plutôt agréable.
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En marge de l’activité qui se développe toujours, un comité d’entreprise a vu le jour. Francine Lancéa en est la
secrétaire. Jean Boucher en fait partie. Il organise des parties de pêche, des sorties pique-nique.
L’ensemble des membres du personnel et leur famille se réunissent systématiquement au début de l’été autour
d’un petit pavillon de chasse pour une grande journée en plein air avec moutons grillés et tout ce qui va avec.
A chaque fois, une centaine de personnes partagent des moments mémorables. C’est toute une organisation
qui se met en place. L’itinéraire est fléché avec de véritables panneaux de signalisation « journée Mention ».
L’autre rendez-vous immanquable de l’année, c’est le repas de Noël.
Rapidement, on doit organiser cette fête en deux temps : l’après-midi, les enfants ont leur fête et leur arbre
de Noël durant laquelle ils reçoivent des cadeaux. En soirée, un gala est réservé aux adultes. Tout le monde
est sur son trente-et-un. Jean-Jacques Mention y tient plus que tout. S’il ne donne pas d’argent directement
au CE, il met un point d’honneur à financer la salle et le repas.
Au début de cette formule, la soirée se passe dans
une salle des fêtes mais, rapidement, les salariés
et les conjoints sont si nombreux qu’il faut louer des
endroits plus grands comme le Petit Château de
Lamotte-Brebière ou même Mégacité.
Le choix de l’orchestre n’est jamais laissé au
hasard. Il faut pouvoir danser et que la musique
soit bonne.
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Supermarché DELTA, futur Mamouth puis Auchan.
1969A M I E N S
En 1972, André Caty décède. Jean Caty, son fils
reprend l’entreprise de peinture et les parts de
son père dans Mention Electricité.
A l’image de son père qui avait de nombreux
mandats para-professionnels dont celui de juge
au tribunal de commerce, Jean-Jacques Mention
est très engagé dans la vie économique picarde.
Président départemental puis régional de la fédération
du bâtiment, membre du comité directeur de la FNEE,
de profilelec, vice-président de la commission de
liaison EDF, membre titulaire de la CCI d’Amiens dont
il deviendra trésorier... La liste est si longue qu’elle ne
tient pas sur une page A4 ! Mais, lorsque, débordé, il
tente de faire des choix et d’élaguer certaines de ses
responsabilités, il n’y parvient pas.
En dépit d’un emploi du temps surchargé, il n’organise
pas de grandes réunions, mais fait un point tous les
jours avec chacun.
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Michel Mention, juge au tribunal de commerce d’Amiens1970 - 1980.
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Le 1er mars 1973 salue l’embauche de Bernard Vautherot en tant que contremaître de chantier
par Jean-Jacques Mention et Max Donnette.
Homme de fort caractère mais totalement dévoué à l’entreprise, Bernard Vautherot entretient
avec Jean-Jacques Mention, une collaboration exemplaire.
L’entreprise compte deux autres contremaîtres de chantier : André Varlet et Jacques Létuvé.
Leur bureau est installé dans une toute petite pièce qui deviendra l’atelier des dépanneurs par la suite.
En 1974, Bernard Vautherot passe cadre chargé d’affaires.
A la même époque, M. Géroche, M.Ternisien et
Michel Klimenko sont conducteurs de travaux.
M. Macron travaille au bureau d’études.
Le développement de la société s’accèlère.
les annees 1970
Palais de Justice.
A M I E N S
Les années1970
De plus en plus, la taille de l’entreprise pose question au quotidien. Dans les locaux de la rue
Gresset, ce n’est plus possible. Il n’y a pas de place pour le matériel, les voitures, ni même pour les
hommes. L’effectif est désormais stabilisé à 75 salariés.
Jean-Jacques Mention prend les choses en main et décide de déménager l’entreprise à l’exception
du magasin qui restera rue Gresset avec Jean Boucher et une partie du SAV.
Marie-France Mention qui a repris une activité d’aide comptable dans l’entreprise, supervise
également le magasin.
Les plus anciens quittent le centre-ville à contrecœur mais c’est une nouvelle ère qui s’ouvre pour
le développement de l’entreprise.
Après une brève hésitation, le site choisi est
situé sur la zone industrielle nord, rue Roger
Dumoulin.
Jean-Jacques Mention souhaite que tout
soit parfait. Attentif au moindre détail, il
passe un temps considérable sur le chantier
à suivre les travaux. Le déménagement se fait
le 22 décembre 1976. Tout ce qui est emporté
sur le nouveau site doit être nettoyé.
36Les nouveaux bâtiments avenue Roger Dumoulin
sur la Zone Industrielle Nord – Amiens.
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Pour tous, le déménagement est un bouleversement. C’est un peu comme si tous avaient changé
d’entreprise sans changer de patron.
Mais c’est une nouvelle évolution qui démarre et chacun retrouve vite sa place.
Repas du personnel dans le nouvel entrepôt.Centre Hospitalier Universitaire.
A M I E N S
Les années1970
Jean-Jacques Mention est un visionnaire. Des idées lui viennent en flot continu. Certaines sont
mises en application, d’autres resteront dans les tiroirs mais désormais, il a la place pour les
développer.
C’est ainsi qu’une division « faux plafonds/cloisons amovibles » est créée. Jean-Pierre Collier en
est le responsable. Il s’intéresse également à l’éolien mais il est sans doute trop tôt. Cette activité
est abandonnée.
L’activité « électricité industrielle » prend une part de plus en plus importante. Viennent s’y ajouter
l’informatique y compris en interne dans la gestion et la comptabilité ainsi que les automates.
En 1985, Jean Caty qui n’a pas de repreneurs pour Caty Peinture souhaite profiter de sa retraite.
Il revend son entreprise à Jean-Jacques Mention.
Caty Peinture qui, du coup, quitte la rue Jean Mermoz où elle est installée depuis toujours et rejoint
la zone industrielle à son tour.
Bernard Vautherot est nommé à sa direction avec
pour mission de développer l’activité.
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39
Le magasin d’électricité au fond de la cour, rue Gresset.Le magasin de petit électroménager au début des années 80.
Caisse d’Allocations Familiales.
A M I E N S
Les annEes
1980
Et puis, le 26 juillet 1986, alors que l’ensemble du personnel
a profité de la journée traditionnelle de l’entreprise, Francine
Lancéa reste à ranger avec Jean-Jacques Mention. Il lui donne
le programme de la rentrée.
La veille, toute la journée du jeudi, ils ont classé et trié. Le repas
a eu lieu le vendredi. Puis chacun est parti en week-end. C’est
la dernière employée qui a vu Jean-Jacques Mention.
Le lundi 28 juillet, en arrivant, elle apprend de Max Donnette
que son patron est décédé d’une méningite fulgurante. Il n’avait
que 46 ans.
Il faut taire cette terrible nouvelle au moins le temps que,
les parents de Jean-Jacques, Michel et Madeleine Mention
soient mis au courant. Mais très rapidement, cela se sait par
l’extérieur.
Pour l’ensemble du personnel, c’est le choc. L’avion est désormais
sans pilote. Seul Max Donnette reste aux commandes.
40
Jean-Jacques Mention.
1986
41
Pour l’organisation immédiate, Jean-Jacques Mention a toujours laissé
des consignes à Francine Lancéa et Max Donnette « au cas où un jour il
n’arriverait pas au bureau » mais la plupart des salariés paniquent.
Michel Mention réagit en patron. Il appelle Francine et lui demande de
rassurer tout le monde. « Dites leur, dites leur que je vais tout faire pour
que l’entreprise survive ».
Il demande à sa belle-fille qui supervisait la gestion du magasin depuis
quelque temps déjà, d’assurer la gérance de transition. Une assemblée
générale extraordinaire est réunie et Marie-France Mention accepte
pour trois à six mois au départ. Le temps de réorganiser l’entreprise.
Elle y restera 15 ans.
Plus tard, Michel Mention avouera « Elle ne savait pas que c’était impossible,
alors elle l’a fait ».
Souvent, en tête à
tête avec elle,
il saluera son
courage dans
une période
qui n’est pas
aussi faste que
l’après-guerre.
Courrier Picard du 29 Juillet 1986.
Hôtel de Ville.
A M I E N S
Les annEes
1980
Cela donne du temps aussi au jeune Jean-Luc Mention, fils de Jean-Jacques de faire ses armes.
Depuis l’âge de 7 ans, son grand-père lui a dit : « Toi, min tiot, tu n’as pas le choix, tu seras électricien »
et depuis l’âge de 14 ans, il se rend lorsqu’il le peut sur les chantiers avec les ouvriers pour apprendre
le métier, mais il n’a encore que 18 ans.
A la rentrée, tout est en ordre de marche pour permettre à l’entreprise de surmonter la terrible
épreuve. Après le drame, les quatre-vingts salariés se sont encore rapprochés et le sentiment d’appartenir
à la « maison Mention » est encore plus fort.
La jeune veuve applique dans sa conduite au quotidien, la philosophie des Mention : « Une fois une
décision prise, le doute n’est plus permis : on a le droit de se faire peur, l’obligation de se remettre en
cause soi-même mais jamais la possibilité de remettre en cause le choix que l’on a fait ».
42
43
Un deuxième choc vient secouer l’entreprise. Le 5 avril 1987,
un an après son fils, Michel Mention décède.
1987Michel Mention.
Courrier Picard.
A M I E N S
Les annEes
1980
Max Donnette est à deux ans de l’âge de la retraite. Des sociétés d’envergure nationale, pensant
l’entreprise affaiblie, approchent les actionnaires et tentent quelques propositions. Marie-France
Mention ne cède pas au chant des sirènes. Elle fait confiance à son entourage qui lui conseille
plutôt d’embaucher un directeur.
Marc Delavaud, ingénieur dans une entreprise industrielle à Lyon, âgé de moins de 40 ans qui sait
qu’on ne lui proposera pas tout de suite une direction d’agence répond à l’annonce. L’entretien
avec Marie-France Mention, Francis Huglo et Max Donnette se passe très bien. Il est embauché
et quitte sa vie lyonnaise pour venir s’installer à Amiens avec sa famille. D’emblée Marie-France
Mention lui accorde une grande confiance.
Elle lui donne des clés pour réussir. Jean-Jacques Mention était très impliqué dans le tissu socio-économique
de la ville et de la région. Il est nécessaire que Marc Delavaud, en tant que directeur le soit à son tour
car il devient l’ambassadeur de l’entreprise auprès des réseaux locaux. Environ 70 % du chiffre d’affaires
dépend du tissu local. Il est hors de question que les grands groupes qui se positionnent en face grignotent
ces parts du marché. Cette nécessité induite par son poste, facilite son intégration personnelle et il
noue de très bons contacts qui se transformeront en solides amitiés.
44
1987
Marc Delavaud occupera son bureauau-delà de la vente de l’entreprise, jusqu’en 2006.
Carte de visite de Bernard Vautherot, directeur de Caty peinture.
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Cathédrale premier son et lumière.
A M I E N S
Marc Delavaud étoffe le bureau d’études pour
développer tout ce qui touche à la technique et aux
automatismes. Il encourage les activités nouvelles.
Bernard Vautherot et Marc Delavaud sont nommés
directeurs des deux entreprises.
Marc Delavaud, prend en main le développement
de l’entreprise Mention « historique ». Il bénéficie
d’une belle marge de manœuvre, soutenu dans
ses choix par Marie-France Mention.
Bernard Vautherot est délégué au développement
de Caty Peinture. La section passera de douze
personnes à une quarantaine en 15 ans.
1987
Chaque semaine, Marie-France Mention s’attache à faire un point avec les directeurs associés.
Elle se fait un devoir d’assister à l’élaboration du planning hebdomadaire de chaque service et
met un point d’honneur à ce que tout le courrier passe par elle. Au quotidien, elle se tient informée
des chantiers mis en œuvre. Ainsi, elle a une vision constante de la vie de la structure. Elle assure
l’interface avec les banques. Elle note tout sur des listes, des petits papiers pour pouvoir rayer les
choses à faire au fur et à mesure.
Avec Max Donnette, Bernard Vautherot et Marc Delavaud forment une direction à trois têtes.
Max Donnette leur apporte beaucoup par sa connaissance de l’histoire de chacun des salariés
au sein de l’entreprise. Cela devient rapidement un atout majeur pour Marc Delavaud.
Reste, néanmoins, pour lui, la difficile gestion de ce personnel en plein deuil, très attaché à la
personnalité de Jean-Jacques Mention. Mais le nouveau directeur trouve des hommes et des
femmes courageux et fidèles, prêts à se battre pour leur entreprise.
1 9 8 7
46
Le comptoir du magasin en centre ville. 47
Cinéma Picardy.
A M I E N S
Les annEes
1980
48
Passation de la direction d’entreprise entre Max Donnette et Marc Delavaud.Le Courrier Picard – Décembre 1987.
Mme Mention Mme Lancea
M. BienaiméM. Delavaud
M. Geroche M. Klimenko
Mme Richet
M. Boucher M. Donnette
M. Levert
M. Dépreux
M. Petit
M. Macqueron
M. Vautherot
M. Letuve
M. Vitasse
49
Francine Lancéa accepte
de prendre la gestion du
service de dépannage.
Quatre employés, Serge
Berna, Jacques Varlet,
Claude Melun et Bruno
Delhomelle sont affectés en
permanence à ce service.
Deux d’entre eux se dépla-
cent également pour installer
des antennes télé.
Elle est « vaccinée 100%
Mention » et elle est prête
à tout pour l’entreprise.
Bénéficiant, elle aussi, de la
grande confiance de Marie-
France, d’une collaboration
très proche avec Marc
Delavaud, elle apprécie
beaucoup ses nouvelles
fonctions et défend son
service bec et ongles.
Conseil Général de la SommeHôtel des feuillants.
A M I E N S
Médailles du travail
Les annEes
1980
A l’extérieur, les temps sont durs. Le
décès de Jean-Jacques Mention a
ébranlé la confiance des partenaires.
Certains fournisseurs doutent de
la pérennité de l’entreprise. L’un
d’entre eux, pessimiste, a même
fermé le compte de Mention de
façon arbitraire !
Dans l’organigramme, chacun
connaît sa mission et si l’entreprise
souffre moralement, elle maintient
malgré tout son développement.
Peu à peu, la société, tout en
gardant sa culture de proximité,
est structurée comme une grande
entreprise. Plus tard, elle aura même
son propre service d’achat.
50
Article dans une revue professionnelle au début des années 90
51
En 1989, afin de confirmer son identité au-delà de la
diversification d’activités qui a continué après le décès
de Jean-Jacques Mention, la société prend le nom de
« Mention Entreprise ».
Une activité « agencement » a vu le jour. Pour cela, la
maison travaille avec des fabricants de cloisons amovibles.
Elle embauche des plaquistes, des menuisiers et des ouvriers
polyvalents ce qui lui permet de proposer à ses clients la
réalisation de bureaux « clé en main » sans devoir dépendre
des délais de chaque corps de métier.
L’entreprise commence à communiquer à l’extérieur - Exemples de plaquettes commerciales.
Préfecture.
A M I E N S
Les annEes
1980
Marc Delavaud souhaite développer le secteur
« automatismes ». Il décroche de gros contrats, dont
un en Chine. Il aurait bien aimé communiquer sur
cette réussite en recevant à Amiens une délégation
chinoise mais l’actualité internationale met à mal son
projet. Les clients arrivent pour le « design meeting » alors
que, dans leur pays, les étudiants viennent d’envahir
la place Tian’anmen. Leur visite est finalement beaucoup
plus discrète que prévu pour ne pas attirer l’attention
des médias.
52
1989
53
Les années
1990 Le courrier Picard,
Décembre 1991.
Le Carlton.
A M I E N S
Les années
1990
En 1992, l’entreprise compte 120 salariés.
En 1995, la décision est prise de rendre autonome le service de petit dépannage sous la responsabilité de
Francine Lancéa pour créer SIDEM dont les lettres auraient d’abord voulu signifier Société Industrielle de
Diffusion Electro-Mécanique puis Société d’Installation et de Dépannage Electrique et de Maintenance.
En 1996, Jean-Luc Mention entre dans l’entreprise.
Il n’a pas perdu de temps. Son BTS d’électrotechnicien en poche, libéré de ses obligations militaires,
sa mère à la tête de l’entreprise familiale, il a souhaité travailler en dehors pour faire reconnaître
ses compétences. Alors qu’il cherche du travail en tant qu’électricien partout en France et qu’il a
souhaité pour cela ne pas profiter du réseau de ses parents, Jacky Vanbelle, directeur régional de
Sulzer infra lui fait une proposition pour devenir contremaître dans un domaine qu’il ne connaît pas :
la plomberie, le chauffage et le génie climatique. Le jeune homme a bien tenté d’expliquer qu’il n’a pas
le diplôme requis. En face de lui, l’homme lui rétorque « Si tu es le digne héritier de ton père, tu y arriveras ».
54
55
Il accepte donc le poste, reste en Picardie et côtoie le monde du bâtiment.
C’est au bout de cinq ans qu’il décide de rejoindre l’entreprise familiale mais il n’y trouve pas
vraiment sa place. Alors que son nom pourrait le désigner comme le successeur à la tête de
l’entreprise, il a en face de lui, Marc Delavaud qui est là depuis 8 ans et qui fait ses preuves en
tant que directeur. Les associés n’ont rien à lui reprocher, au contraire.
Jean-Luc Mention prend donc un poste de conducteur de travaux dans le service agencement
mais cette fonction ne lui correspond pas.
On lui confie alors le « dossier » du magasin. Depuis
le départ à la retraite de Jean Boucher, la question
occupe l’équipe dirigeante.
Le commerce est une activité à part entière
mais en perte de vitesse. Un responsable
a été recruté mais son intégration est plus
compliquée qu’il n’y paraissait.
1992 1993 1994 1995 1996
La Cité scolaire.
A M I E N S
Les années
1990
Jean-Luc Mention reprend donc le commerce et, Francine Lancéa partie à la retraite elle aussi,
il prend également la responsabilité de Sidem et de l’activité dépannage. L’atelier est réinstallé
au fond de la cour, rue Gresset à Amiens, là où il l’était de façon historique.
Conserver le dépannage aux particuliers sur le même site que Mention Entreprise qui traite de
plus en plus avec les professionnels est un non-sens marketing. Et puis, le fait de rapprocher le petit
dépannage du magasin a l’avantage supplémentaire de renforcer l’activité du commerce qui
commence à souffrir de la concurrence des grandes surfaces.
De quatre personnes dans le service, il passe à une vingtaine.
Petit à petit, Jean-Luc Mention diversifie l’activité. Il conçoit le développement de Sidem comme
celui d’un groupe.
56
1996
57
Avril 1996 - Départ à la retraite de Francine Lancéa (au pupitre). A ses côtés : sa famille, Marie-France Mention et Marc Delavaud.
Francine Lancéa entourée de Daniel Ternisien, responsable du bureau d’étude, Marie-France Mention et Bernard Vautherot.
Conseil Régional de Picardie.
A M I E N S
Les années
1990
1998
En 1998, Mention entreprise a fêté ses 50 ans à l’occasion d’une grande journée festive à laquelle
chacun a participé et à laquelle les conjoints et enfants étaient conviés. Tous étaient invités à
partager une passion ou un hobby avec l’ensemble du personnel : balades en tracteur ou en
bateau, vtt, pêche, jeux picards, poneys, tir à l’arc...
58
59
50 ans
Une rue de la Z.I. Nord est baptisée Jean-Jacques Mention.
A M I E N S
1999
La holding compte alors trois sociétés mais Marie-France Mention souhaite arrêter et passer le
flambeau. Jean-Luc Mention étudie attentivement et objectivement la situation. L’entreprise est
belle mais sa taille est «critique». A l’époque où tout est au regroupement, il ne saurait résister très
longtemps face aux groupes internationaux qui se sont constitués. Plein de fougue et d’idées,
il souhaite également avoir les mains complètement libres dans son entreprise pour la faire
évoluer à son rythme.
Marie-France Mention et son fils prennent la décision de revendre tout, en gardant à cœur que
l’entreprise perdure. Marc Delavaud souhaite rester à son poste. Son contrat de directeur salarié
est ainsi intégré dans les conditions de reprise.
60
61
Départ à la retraite de Marie-France Mention. Marc Delavaud, Jean-Luc Mention, Marie-France Mention et Bernard Vautherot.
OrganicomCarré de la République.
A M I E N S
Les années
2000
62
2 0 0 1
Carte de remerciement adressée à Marie-France Mention.
Discours prononcé par Jean-Luc Mention à l’occasion de son départ à la retraite.
63
La négociation est confiée à un intermédiaire. Forclum remporte le marché.
En interne, Marie-France Mention en a discuté avec Marc Delavaud, lui soumettant la « short list ».
Les repreneurs potentiels faisant les mêmes promesses pour le personnel en place, le directeur
analyse rapidement la situation et oriente finalement son choix en fonction du potentiel de
développement. L’activité Caty peinture est vendue, quant à elle, à la société Zion à Compiègne.
Pour beaucoup, c’est une déchirure. Certains, sur le coup ne comprennent pas et vivent cette
cession comme une trahison, une perte des racines.
Quelques-uns, comme Bernard Vautherot
préfèrent bénéficier d’un départ anticipé
à la retraite. Mention disparaît pour mieux
renaître de ses cendres...
Quartier Pierre Rollin.
A M I E N S
Les années
2000
Jean-Luc Mention conserve Sidem. Il en devient gérant et actionnaire unique. Il déménage le siège de
l’entreprise quelques centaines de mètres plus loin dans des locaux fonctionnels et modernes.
Depuis le début des années 2000, la rue Roger-Dumoulin
est en zone franche. Dans le cadre de la loi, cela
implique que toutes les cinq embauches, il y ait un
résident de la zone. Cette mesure contribue beaucoup
à la mixité sociale au sein de l’entreprise et une
véritable politique d’intégration est mise en place.
En 1999, pour s’attacher de nouvelles compétences,
Jean-Luc Mention a racheté la société Bertrand.
Un bon nombre d’anciens collaborateurs de chez Sulzer
le rejoignent dans l’aventure dont Patrick Varlet qui est
le premier salarié embauché et qu’il nomme directeur
du SAV dépannage et maintenance de chez Bertrand.
La petite structure existe depuis 1978. Elle a été créée à Villers-Bretonneux
par Robert Bertrand, un artisan qui, en 1982, a racheté la société « Michel
Lizut » dans laquelle il a fait ses premiers pas. Il reprend les quatre salariés
de son ancien patron. Plombier-chauffagiste, il possède également un
commerce de petit électroménager à Villers-Bretonneux qui ne résiste pas à
la pression de la concurrence. Il ferme définitivement en 1988. L’objectif de
Robert Bertrand est de développer l’activité « froid » qui est bien spécifique.
64 Façade de la société Bertrandà Villers-Bretonneux.
Personnel de l’entreprise autour de Robert Bertrand avant la reprise.
65
Il crée d’ailleurs la société Bertrand Froid le 1er
octobre 1990 mais, en 2000, à l’heure de la
retraite, n’ayant pas de repreneur « naturel »,
il est mis en contact avec Jean-Luc Mention
via la CCI.
Lors du rachat, il compte 7 employés et cinq
ou six véhicules. Leurs compétences viennent
compléter celles des équipes de Sidem.
Jean-Luc Mention décide de conserver le nom
de l’enseigne. Robert Bertrand reste pendant
un an au côté de son repreneur pour assurer la
transition en douceur.
Sa première idée est de ramener le siège de
la société en zone industrielle mais il existe
une clientèle de proximité dont il serait
dommage de se priver. Il s’installe à 50
mètres environ du domicile de Robert
Bertrand qui était jusqu’alors le siège
de l’enseigne.
Nouveaux locaux de Bertrand Froid, toujours à Villers-Bretonneux.
Intermarché Vallée des vignes.
A M I E N S
Les années
2000
Patrick Varlet
En 2001, Jean-Luc Mention opère de la même façon pour racheter la société d’Haillecourt, une
petite entreprise de plomberie-chauffage.
Créée en 1994 par Bernard d’Haillecourt, elle compte quatre salariés. A l’heure de la retraite, en
2001, l’artisan n’a pas de repreneur et souhaite revendre.
La petite structure travaille pour Sidem en sous-traitance depuis longtemps. Le rachat se règle
rapidement. La collaboration entre les deux hommes est simple et sans détour. Leurs rapports sont
toujours cordiaux. Jean-Luc Mention reprend les quatre salariés à son compte et conserve
l’enseigne pendant trois ans avant de la faire passer sur le nom de Sidem Chauffage-Plomberie.
66
2 0 0 1Carte à en-tête de l’établissement d’Haillecourt.
67Publi-rédactionnel paru dans le supplément d’un journal régional - 2001
Vallée des vignes.
A M I E N S
Les années
2000
68
Rue Gresset, l’activité commerciale perdure. En 2001, le magasin devient sociétaire de la centrale d’achat Gitem. Un directeur, Tony Dècque est nommé comme directeur du magasin au moment où sa surface commerciale a été augmentée. Les ventes de petit électroménager connaissent une nouvelle croissance de 20%. Les locaux sont, à nouveau, trop petits.La construction d’une surface de 600 m2
dans la zone d’activité Jules Verne à Glisy est décidée pour contrer les grandes surfaces. L’ouverture de cette seconde enseigne se fait en 2007. Gitem – Magasin Mention emploie désormais 18 salariés.Hélas, le magasin du centre-ville est en perte de vitesse. La gestion du stock et du personnel sur deux sites est compliquée.Le magasin de la rue Gresset fermera en 2009 avec le départ en retraite de Jean-Claude Vitasse. Le « grand » magasin peut compter sur Eric Devauchelle, Céline Dufossé, et José Rodrigues à la vente et Jonathan Danten, Philippe Hedin et Yves Lefevre aux services.
Façade du magasin rue Gresset à Amiens
Isabelle Mention, épouse de Jean-Luc Mention, gérante de Gitem, Raphaëlle Szyporta, directrice des ressources humaines, Maryline Debuire, comptable et Tony Decque, directeur du magasin.
69
Intersport.
A M I E N S
En 2007, l’entreprise inaugure un magasin d’électroménager dans la Zone d’activité Commerciale Jules-Verne à Glisy.
Les années
2000
En 2006, Jean-Luc Mention décide de déplacer l’activité de SIDEM électricité en zone industrielle et d’installer
au même endroit Sidem Chauffage plomberie. Il faut donc trouver de l’espace et des locaux adaptés.
Le hasard fait qu’il trouve un bâtiment correspondant à ses besoins toujours dans l’avenue Roger-Dumoulin.
Il est vendu par M. Fourcade qui l’avait fait construire en 1995 pour ses sociétés 3A et SCMS. Il est situé à une
centaine de mètres tout juste de l’endroit où Jean-Jacques Mention avait fait construire trente ans plus tôt,
juste en face de l’usine Dunlop dont le grand-père maternel de Jean-Luc avait été le premier directeur
au moment de l’édification de l’usine.
Le siège de Bertrand froid est lui aussi ramené sur le site.
Jean-Luc Mention place des collaborateurs issus de grands groupes à des postes importants. Sa volonté
est de gérer la petite structure avec la même rigueur qu’une grande entreprise. Il obtient, au fil des années,
la souplesse d’une PME et l’organisation d’une grosse structure.
70
2 0 0 6
Nouveaux locaux de l’entreprise Sidem à la ZI Nord-Amiens.
71
Il souhaite réunir autour de lui des gens aux compétences variées
qui pourront apporter à l’ensemble des expertises complémentaires.
Son audace le pousse à aller vers des personnes très spécialisées
aux personnalités et aux cultures très différentes.
En 2007, Jean-Luc Mention a donc rassemblé Sidem électricité,
Sidem plomberie-chauffage et Bertrand froid en un site unique ce
qui lui permet de réunir toutes les compétences sous un même toit.
Il a finalement recréé un groupe qui développe les mêmes
métiers que celui qu’avait bâti son grand-père.
La nature n’aimant pas le vide, le groupe Sidem connaît alors
une nouvelle phase de progression fulgurante.
2 0 0 7
Clinique Pauchet.
A M I E N S
Les années
2000
Isabelle Lescarcelle, directrice financière et comptable du groupe depuis sa création en 1995.
Christophe Derolez
Valentin Brunelle
Xavier Desaegher
72 2006 – Personnel Sidem électricité autour d’Hervé Chatelain, directeur.
2
0
0
6
73
Sidem électricité développe l’activité « historique » de l’entreprise en
proposant son expertise, des conseils, la mise en oeuvre, le suivi
opérationnel, la maintenance préventive et générale et le dépannage
tant au niveau des courants forts que des courants faibles. Elle
accompagne les clients de manière transversale pour leurs installations
neuves ou dans le cadre de leur réhabilitation ou leur mise en conformité,
en s’appuyant toujours plus sur la maîtrise des énergies
pour rendre les bâtiments plus performants. L’activité
s’appuie sur une équipe de spécialistes par secteur
d’activité.
UPJV.
A M I E N S
Les années
2000
74 2006 – Le personnel de Sidem Chauffage Plomberie autour de Jean-Paul Vilbert directeur. Marc Boissady prendra sa succession en 2010.
2
0
0
6
75
Sidem chauffage propose des solutions performantes et adaptées pour
les ressources naturelles. Elle accompagne les clients dans leurs projets
de la conception à la réalisation. Spécialisée dans le logement neuf et
en réhabilitation, elle intervient en milieu industriel et commercial, assurant
qualité de service et délais de réalisation. Elle propose également des
services de dépannage après-vente, des contrats
de maintenance avec astreinte 7j/7, 24h/24 et
possède un bureau d’études intégré.
Le 7ème Art.
A M I E N S
Les années
2000
76
2
0
0
6
2006 – Personnel Bertrand Froid autour de Yann Resentera, responsable climatisation, de Patrick Varlet responsable froid, de Xavier Desaegher, responsable SAV et dépannages.
77
Bertrand Froid conserve son nom et regroupe les métiers de la chaîne du
froid commercial à celle du confort dans la réfrigération et la climatisation.
CCI Amiens-Picardie.
A M I E N S
Les années
2000
78
2
0
0
7
2007 – Personnel autour de Patrice Nantier, directeur et de Matthieu Grognier qui prendra sa succession en 2009.
79
En 2005, une filiale est née. Bertrand grandes cuisines est spécialisée dans la cuisine professionnelle
et les buanderies.
Les deux sociétés interviennent autant dans la création que dans la rénovation ou la maintenance.
En 2008, Bertrand Grandes Cuisines et Bertrand Froid fusionnent pour ne former qu’une grande entreprise.
Brasserie Jules.
A M I E N S
Les années
2000
80
2
0
1
0
2012 – Personnel de Sidem Maintenance autour de Jean-Claude Mong, directeur.
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L’année 2010 voit la création de Sidem maintenance.
La section dépêche, sur les chantiers pour des clients comme l’OPAC,
des équipes pluridisciplinaires dont la grande force est la réactivité.
Coordination et intégration multi-technique sur l’ensemble des
bâtiments, Sidem maintenance pérennise les bâtiments existants
et améliore leurs performances énergétiques.
Créée le 1er avril, elle atteint dès le mois de septembre
une belle croissance et rapidement remplit son
objectif en générant un chiffre d’affaires de
3 millions par an.
Carrefour.
A M I E N S
Les années
2000
82
2012 – Départ en retraite de Jean-Paul Vilbert, directeur de Sidem chauffage-plomberie puis de Sidem maintenance. Jean-Claude Mong prendra sa succession.
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Quelques photos d’un comité d’entreprise très actif...
83
Hôpital Sud.
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Les années
2000
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2 0 1 0
2010 - Chantier de l’immeuble le jango et le bowling BMB.
Bowling BMB.
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Les années
2000
La place de l’homme dans l’entreprise est primordiale dans les valeurs que défend Jean-Luc
Mention. Pour lui, des mots comme « insertion », « diversité », « management » ou encore « égalité »
sont les fondements de la structure qu’il dirige. Il s’attache à ce qu’ils soient mis en application au quotidien.
85
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2 0 1 0
Auchan Amiens Dury – Hélitreuillage d’un groupe de climatisation.
Auchan.
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Les années
2000
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L’entreprise organise régulièrement des rencontres professionnelles.
2 0 1 0
Résidence Paul Claudel.
A M I E N S
Les années
2000
« Le client est la chose la plus importante dans l’entreprise. » Jean-Luc Mention
89
90
En dépit de la crise, l’entreprise est prospère. Le groupe compte 140 salariés.
Jean-Luc Mention a décidé depuis 2009 de se faire épauler par un directeur
général, Denis Clère, qui a reçu comme objectif de faire doubler le chiffre
d’affaires en 5 ans ; un but qu’il a quasiment atteint en 3 ans.
Toujours dans un souci de préserver le potentiel de développement, Jean-Luc
Mention décide la même année d’acheter le terrain et le bâtiment voisin
qui s’est libéré pour disposer de plus de place et héberger Sidem électricité.
2009 - Jean-Luc Mention et Denis Clère, directeur général de Sidem.
Novembre 2009,Entreprise 80.
2
0
1
1
En 2011, afin d’animer le groupe, Jean-Luc Mention crée Sidem Management qui réunit la direction
générale, le service des ressources humaines, la comptabilité et le magasinier logistique.
Dans le cadre d’un partenariat signé avec Amiens Métropole, Sidem éléctricité se dote d’un véhicule électrique.
Caisse d’EpargneAgence Amiens Centre
Rue des Cordeliers.
A M I E N S
Les années
2000
91
En 2013, le nom Mention rayonne dans l’Amiènois depuis 65 ans comme le spécialiste du
génie électrique et climatique. Jean-Luc Mention comme son père et son grand-père multiplie
les mandats para-professionnels. Il a, pour son entreprise, de grandes ambitions.
92
2013
Les véhicules des quatre entités de la holding.
Jean-Luc Mention.
Ajinomoto.
A M I E N S
Les années
2000
93
HIS
TOR
IQU
E
Quelques repères dans le temps94 1 9501948
1948 : Création de la SOCIÉTÉ MENTION et Cie par Michel Mention (installations électriques, commerce électroménager).
1989 :La société prend le nom de MENTION ENTREPRISE pour confirmer sa diver-sification d’activités.
1996 : Jean-Luc Mention intègre MENTION ENTREPRISE et prend la direction de SIDEM.Orientation vers la clientèle de particuliers, gestionnaires d’immeubles tout en conservant les dépannages et petits travaux.
Octobre 2000 :MENTION ENTREPRISE est cédée au groupe FORCLUM.Jean-Luc Mention devient gérant et actionnaire unique de Sidem et Bertrand Froid.
1966 : Entrée de Jean-Jacques Mention en qualité d’ingénieur.
1969 : i l prend la succession de son père, Michel, à la direction de MENTION ELECTRICITE.
1995 : Création de la filiale SIDEM pour assurer les petits travaux effectués jusqu’alors par MENTION ENTREPRISE.
1999 : Rachat de la société BERTRAND FROID, spécialisée en climatisation et froid commercial.
9520121990198019701960
2005 : Création de BERTRAND GRANDES CUISINES, spécialiste de la cuisine professionnelle et filiale de BERTRAND FROID.
2007 : Création du magasin MENTION GITEM, qui devient une société à part entière.
2011 : Création de Sidem Management.
2009 : Regroupement de l’activité GITEM sur le magasin de Glisy.
2001 : Acquisition de la société D’HAILLECOURT, qui spécialise le groupe dans les domaines du chauffage, de la plomberie et du génie climatique.
2006 : Création de la holding Sidem et intégration des prestations de paie et de communication.
2010 : Arrivée de Denis CLERE en qualité de Directeur Général.C r é a t i o n d e S I D E M MAINTENANCE, spécialiste du dépannage mul t i -technique.
2012 : Création de MENTION & CO.
1 950
ALLURE
BRASSERIE JULES
GALERIES LAFAYETTE
INTERMARCHE
ECOMARCHÉ
NETTO
INTERSPORT
MC DONALD’S
LE 7ème ART
TABLE DU MARAIS
TROGNEUX
CARREFOUR
AUCHAN
CH ABBEVILLE
CH PÉRONNE
CH ST VALÉRY
CHU AMIENS
CHU RUE
CHU ALBERT
CHU PHILIPPE PINEL
CLINIQUE DE CORBIE
CPAM SIEGE ET SUCCURSALES
DDSIS
LABORATOIRE
MAIL ALBERT 1er
CLINIQUE PAUCHET
MAPAD RUE
CENTRE D’IMAGERIE
D’AMIENS
AMIENS METROPOLE
CCI
MAIRIE D’AMIENS
COMMUNES
COMMUNAUTES DE COMMUNES
CONSEIL GENERAL DE L’OISE
CONSEIL GENERAL DE LA SOMME
CONSEIL REGIONNAL DE PICARDIE
UNIVERSITE DE PICARDIE
PREFECTURE DE LA SOMME
CAF DE LA SOMME
FINAXIOME
IMMOBILIERE
NORD ARTOIS
PATRIMOINE OPH D’AMIENS
PATRIMOINE OPSOM
PATRIMOINE ODA
SIP
SAPI
Gro
up
e S
IDEM
NOS RéFéRENCES CLIENTS
96
MEDECINE DU TRAVAIL – ABBEVILLE
MEDECINE DU TRAVAIL – ROYE
MEDECINE DU TRAVAIL – MONTDIDIER
CREDIT IMMOBILIER DE LA SOMME
U.R.S.S.A.F – AMIENSC.A.F.S – AMIENS
CHAMBRE DE COMMERCE ET D’INDUSTRIE – AMIENS
COURRIER PICARD
MAGASINS GENERAUX – AMIENS
SOPAD AMIENS
RUCHE PICARDE AMIENS
COOPERATEURS AMIENSCOOPERATEURS LAON
C.P.A.M CENTRE – AMIENS FIDUCIAIRE DE FRANCE – AMIENS
HOTEL DE VILLE – AMIENSP.T.T. CENTRE AERE
SOCIETE GENERALE – ABBEVILLE
CRCA – AMIENS
PARKING SOUTERRAIN – AMIENS
STATION B.P. SANTERRE – AMIENS
STATION B.P. MAIGNAN LARIVIERE – AMIENSSTATION ESSO BLD DE ROUBAIX – AMIENS
GARAGE LA BRETECHE (PORSHE)
PROGRAMMATEUR FLASH
AUTOMATE PROGRAMMABLE – MERLIN GERIN PB 3
RELAYAGE STATIQUE SILEXAUTOMATE PROGRAMMABLE – MERLIN GERIN PB 400
LA CLARA – AMIENS
AUTOMATE PROGRAMMABLE TELEMECANIQUE TSX 21
N.T. I . – AMIENSAUTOMATE PROGRAMMABLE TELEMECANIQUE TSX 27
SEDEP – AMIENS
AUTOMATE PROGRAMMABLE TELEMECANIQUE TSX 47
DIRECTION DES IMPOTS – AMIENS Z. I .
AUTOMATE PROGRAMMABLE TELEMECANIQUE TSX 67
ALLOCATIONS FAMILIALES – AMIENS
AUTOMATE PROGRAMMABLE TELEMECANIQUE TSX 80
C.R.C.A.M. – AMIENS
PARKING SOUTERRAIN AMIENS MATERNITE STE THERESE
GARAGE PEUGEOT – DURY
GARAGE MERCEDES – AMIENS
GARAGE BERLIET – DURY
DIRECTION DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOI
CONTACT 80
MATERNELLE DE FLESSELLES
CLINIQUE BON SECOURS
SALAISON LA FRANCAISE 1200 M²
CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS
PHARMYGIENE – AMIENS – cloisons entrepôts
LANDRY – AMIENS – cloisons bureaux
LA CLARA – AMIENS – sal le de contrôle
C.C.I – AMIENS – bureaux
D.O.T.R.N. – AMIENS – bureaux
CENTRE DE LIGNES A ABBEVILLE
CREDIT MUNICIPAL – AMIENS – bureaux
CENTRAL DE COMPIEGNE
ALCATEL – EU – Aménagement de 1250 m² de bureauxSAINTE FAMILLE – AMIENS – séparations de sal les de classes ECOLE NOTRE DAME – AMIENS (900 m²)
CITE ADMINISTRATIVE (sal le informatique)
SOCIETE GENERALE – ALBERT
BANQUE DUPONT – AMIENS
B.N.P – AMIENS
C.R.C.A – MAIL ALBERT 1ER – AMIENS
CLINIQUE DE BUTLER – AMIENS
MAISON DE RETRAITE – CAGNY
MAISON DE RETRAITE – PLACE DE LA NEUVILLE – AMIENS
CHAMBRE DE COMMERCE – RUE VINCENT AURIOL – AMIENS
CHAMBRE DE COMMERCE – CROIX ROMPUE – AMIENS
SOCIETE GENERALE – AMIENS
MAPELECBANQUE LENOIR ET BERNARD
ECOLE ELBOEUF – AMIENS (1500M²)ECOLE B – (1341 m²) AMIENS
NOUVELLES GALERIES
SACRE CŒUR DE FREVENT
PENSIONNAT STE FAMILLE – AMIENS
PENSIONNAT STE FAMILLE – ROYE
C.E.S. EDOUARD LUCAS – AMIENSCLINIQUE ST FUSCIEN
CLINIQUE BON SECOURS
MATERNITE STE THERESE
U.E.R. DE SCIENCES
I.G.H. TOUR PERRET
LABORATOIRE DEPARTEMENTAL
NOVA HENRIVILLE
MEDECINE DU TRAVAIL
PROTECTION CIVILE (SIRENE DU DEPARTEMENT)
PETITES SŒURS DES PAUVRES « MA MAISON »
CANAPLES – PONT REMY
MOULET – AMIENS
FRANCE TELECOM – TOUR HERTZIENNE REIMS – BERRU
FRANCE TELECOM – TOUR HERTZIENNE ST FUSCIEN
FRANCE TELECOM – AGENCE COMMERCIALE AMIENS – ABBEVIILE
FRANCE TELECOM – BATIMENT C T 4 – EQUIPES REGIONALES AMIENS – ALBERT – ROYE
D.O.T.R.N. – BATIMENT CHALONS S/MARNE – ST QUENTIN – CAMBRAI – ARRAS – AMIENS
ECOLE ETOUVIE – AMIENS (1600 m²)
F.R.3
C.P.A.M.
CHAPELLE CAGNY
CREDIT AGRICOLE PICQUIGNY
CREDIT AGRICOLE CORBIE
RUCHE ENTREPOT
CHAPELLE STE FAMILLE A CANGY
SALLE DES SPORTS LA VALLEE
HONEYWELL (NEUILLY)
CHAMBRE SYNDICALE
CONSEIL REGIONAL DE LA SOMME – réhabil i tat ion du Bon pasteur – AMIENS – 2000 m²TELECOMMUNICATION ABBEVILLED.R.T. PERONNE
AMPHITHEATRE CAMPUS UNIVERSITAIRE – AMIENS
PREECTURE (sal le informatique)
MONSIEUR MATIFAT – ALBERT
D.R.T. AMIENS C.T.4. (750 m²)
MONSIEUR BOULANGER – HANGEST EN SOMME
D.R.T. ABBEVILLE (250m²)COURRIER PICARD – AMIENS
D.R.T. SOISSONS (380 m²)
HONEYWELL – Z. I . AMIENS (2400 M²)
EUROLYSINE
ECOLE AVENUE DE LA PAIX – AMIENS (1400 m²)
PROCTER GAMBLE
ECOLE FAUBOURG DE HEM – AMIENS (14556 m²)
PHARMYGIENE (1800M²)
ECONOMIE ENERGIE AMIENS 3600 M²
SAINTE FAMILLE – RUE VASCOSAN AMIENS
SAINTE FAMILLE – RUE CHARLES DE FAUCOAULT AMIENS
SAINTE FAMILLE – LUMBRES (62)
GYMNASE VALLEE ST LADRE 1500 M² B.N.P. HALL D’AMIENS
D.R.T. AMIENS
D.R.T. SOISSONS
D.R.T. ABBEVILLE
E.D.F.G.D.F. CANTINE
CANTINE ST OUENST ROCH VILLE D’AMIENS 2800 M²
LYCEE PROFESSIONNEL – ABBEVILLE
ATELIERS DE COURTEMANCHE – MONTDIDIER
PROCTER ET GAMBLE – AMIENS
MAISON DE RETRAITE DE LA POLICE – WARLUS
GOODYEAR – AMIENS
CARBONNE LORRAINE – AMIENS
JEAGER – AMIENS
BUREAUX ENTREPOT RUCHE PICARDE – AMIENS (600m²)
HALLES PARMENTIER AMIENS
MIAMI – MERS LES BAINS
AVON RANTIGNYLE CARLTON
CELOR Z. I . AMIENS
LE BARON
SOCOPAL Z. I . AMIENS
C.G.E. Z. I AMIENSRUCHE PICARDE Z. I . AMIENS
MINISTERE DES AFFAIRES CULTURELLES – AMIENS MIAMI – CENTRE VILLECENTRE CULTUREL – ABBAYE DE ST RIQUIER
MIAMI – CENTRE COMMERCIAL MAMMOUTH
CATHEDRALE D’AMIENS
EGLISE ST JACQUES – AMIENS
EGLISE ST MARTIN – AMIENS
CENTRAL TELEPHONIQUE LAON
CENTRAL TELEPHONIQUE HIRSON
ARCHIVES DEPARTEMENTALES
A.S.S.E.D.I .C DE LA SOMME – AMIENS
MEDECINE DU TRAVAIL – AMIENSTRIBUNAL ADMINISTRATIF
C.N.R.O. – AMIENS
PORCHER – WOINCOURT
CLINIQUE BON SECOURS
SOPEM – MOREUIL
CLINIQUE ST FUSCIENFAVI – HALLENCOURT
CLINIQUE DU MAILBENOIT – AMIENS
MAISON DE RETRAITE DE LA POLICE – WARLUX
TISSAGE DE PICARDIE – AMIENS
MAISON DE RETRAITE MARIE MARTHE – AMIENS
DEFACQUES – AMIENS
MAISON DE RETRAITE LA NEUVILLE – AMIENS
MAISON DE RETRAITE STE FAMILLE – CAGNY
LANDRY PLASTIQUES NORD – Z. I . AMIENS
BREILLY – MOREUIL
BANQUE DE FRANCE – AMIENSBANQUE DUPONT – AMIENSCAISSE D’EPARGNE – AMIENS
F.R.3C.P.A.M.
CHAPELLE CAGNY
CREDIT AGRICOLE PICQUIGNY
CREDIT AGRICOLE CORBIE RUCHE ENTREPOT
CHAPELLE STE FAMILLE A CANGYSALLE DES SPORTS LA VALLEE
HONEYWELL (NEUILLY)
CHAMBRE SYNDICALEBANQUE LENOIR ET BERNARD
CONSEIL REGIONAL DE LA SOMME – réhabil i tat ion du Bon pasteur – AMIENS – 2000 m²
C.P.R.N. TOUR HERTZIENNE
TELECOMMUNICATION ABBEVILLE
D.R.T. PERONNE
AMPHITHEATRE CAMPUS UNIVERSITAIRE – AMIENS
PREECTURE (sal le informatique)
MONSIEUR MATIFAT – ALBERT
D.R.T. AMIENS C.T.4. (750 m²)MONSIEUR BOULANGER – HANGEST EN SOMME
D.R.T. ABBEVILLE (250m²)
COURRIER PICARD – AMIENS
D.R.T. SOISSONS (380 m²)HONEYWELL – Z. I . AMIENS (2400 M²)
EUROLYSINE
ECOLE AVENUE DE LA PAIX – AMIENS (1400 m²)
PROCTER GAMBLE
ECOLE FAUBOURG DE HEM – AMIENS (14556 m²)
PHARMYGIENE (1800M²)ECONOMIE ENERGIE AMIENS 3600 M²
SAINTE FAMILLE – RUE VASCOSAN AMIENS
SAINTE FAMILLE – RUE CHARLES DE FAUCOAULT AMIENS
SAINTE FAMILLE – LUMBRES (62)
GYMNASE VALLEE ST LADRE 1500 M²
B.N.P. HALL D’AMIENSD.R.T. AMIENS
D.R.T. SOISSONS
D.R.T. ABBEVILLE
E.D.F.G.D.F. CANTINE CANTINE ST OUEN
ST ROCH VILLE D’AMIENS 2800 M²
NUTRIAL BANANIA – FAVEROLLES
DECAYEUX ET LOISON – SAUCOURT
PLASTIBAT – ROYE
CARON LENEL – FRIVILLE
CALIBRACIER – CORBIEFEREMBAL – ROYE
PHILIPS – CEMA AMIENSCREPIN PETIT – BERNAVILLEALCATEL CIT
DELSEY – MONTIDIER
LYCEE PROFESSIONNEL – ABBEVILLE
KEMO – AMIENS
CITE SCOLAIRE (SUD) – AMIENS
ATELIERS DE COURTEMANCHE – MONTDIDIER
L.E.P. MONTAIGNE – AMIENS DELESTREZ – AMIENS
CLINIQUE GUEROULT (Materni té) – AMIENS
PROCTER ET GAMBLE – AMIENS
MAISON DE RETRAITE DE LA POLICE – WARLUS
GOODYEAR – AMIENS
DUNLOP – AMIENSVALEO – AMIENSEUROLYSINE – AMIENS
CARBONNE LORRAINE – AMIENS
COLAS – AMIENS
JEAGER – AMIENSBUREAUX ENTREPOT RUCHE PICARDE – AMIENS (600m²)
DIRECTION DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOIMATERNELLE DE FLESSELLES
CLINIQUE BON SECOURS
SALAISON LA FRANCAISE 1200 M²
CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS PHARMYGIENE – AMIENS – cloisons entrepôts
LANDRY – AMIENS – cloisons bureaux
LA CLARA – AMIENS – sal le de contrôle
C.C.I – AMIENS – bureaux
D.O.T.R.N. – AMIENS – bureaux
CREDIT MUNICIPAL – AMIENS – bureaux ALCATEL – EU – Aménagement de 1250 m² de bureaux
SAINTE FAMILLE – AMIENS – séparations de sal les de classes
ECOLE NOTRE DAME – AMIENS (900 m²)
CITE ADMINISTRATIVE (sal le informatique)MAISON DE RETRAITE – CAGNY
ECOLE B – (1341 m²) AMIENS
FRANCE TELECOM – AGENCE COMMERCIALE AMIENS – ABBEVIILE
MONSIEUR BOULANGER – HANGEST EN SOMME
SAINTE FAMILLE – LUMBRES (62)
CARON LENEL – FRIVILLE
L.E.P. MONTAIGNE – AMIENS
LANDRY – AMIENS – cloisons bureaux
PARKING SOUTERRAIN AMIENS
MATERNITE STE THERESE
DIRECTION DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOI
CONTACT 80
MATERNELLE DE FLESSELLES
CLINIQUE BON SECOURS
SALAISON LA FRANCAISE 1200 M²CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONSCREDIT MUNICIPAL – AMIENS – bureaux
CENTRAL DE COMPIEGNE
ALCATEL – EU – Aménagement de 1250 m² de bureaux
ECOLE NOTRE DAME – AMIENS (900 m²)
B.N.P – AMIENSCLINIQUE DE BUTLER – AMIENS
MAISON DE RETRAITE – CAGNY
CHAMBRE DE COMMERCE – RUE VINCENT AURIOL – AMIENS
CHAMBRE DE COMMERCE – CROIX ROMPUE – AMIENS
MAPELEC
BANQUE LENOIR ET BERNARD
ECOLE ELBOEUF – AMIENS (1500M²)
ECOLE B – (1341 m²) AMIENSNOUVELLES GALERIES
FRANCE TELECOM – TOUR HERTZIENNE REIMS – BERRU
FRANCE TELECOM – TOUR HERTZIENNE ST FUSCIEN
FRANCE TELECOM – AGENCE COMMERCIALE AMIENS – ABBEVIILE
FRANCE TELECOM – BATIMENT C T 4 – EQUIPES REGIONALES AMIENS – ALBERT – ROYE
ECOLE ETOUVIE – AMIENS (1600 m²)
CREDIT AGRICOLE CORBIE
RUCHE ENTREPOT
SALLE DES SPORTS LA VALLEE
HONEYWELL (NEUILLY)
CONSEIL REGIONAL DE LA SOMME – réhabil i tat ion du Bon pasteur – AMIENS – 2000 m²
TELECOMMUNICATION ABBEVILLE
D.R.T. PERONNEPREECTURE (sal le informatique)
HONEYWELL – Z. I . AMIENS (2400 M²)
SAINTE FAMILLE – RUE VASCOSAN AMIENS
SAINTE FAMILLE – RUE CHARLES DE FAUCOAULT AMIENS
B.N.P. HALL D’AMIENS
D.R.T. AMIENSD.R.T. SOISSONS
LYCEE PROFESSIONNEL – ABBEVILLE
PROCTER ET GAMBLE – AMIENS
GOODYEAR – AMIENS
JEAGER – AMIENS
BUREAUX ENTREPOT RUCHE PICARDE – AMIENS (600m²)
C.P.A.M.
CREDIT AGRICOLE PICQUIGNY
CREDIT AGRICOLE CORBIE RUCHE ENTREPOT
CHAPELLE STE FAMILLE A CANGYSALLE DES SPORTS LA VALLEE
HONEYWELL (NEUILLY)
CHAMBRE SYNDICALEBANQUE LENOIR ET BERNARD
CONSEIL REGIONAL DE LA SOMME – réhabil i tat ion du Bon pasteur – AMIENS – 2000 m²
C.P.R.N. TOUR HERTZIENNE
TELECOMMUNICATION ABBEVILLE
D.R.T. PERONNEECOLE AVENUE DE LA PAIX – AMIENS (1400 m²)ECOLE FAUBOURG DE HEM – AMIENS (14556 m²) ST ROCH VILLE D’AMIENS 2800 M²
CARON LENEL – FRIVILLECLINIQUE GUEROULT (Materni té) – AMIENS
DIRECTION DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOIMATERNELLE DE FLESSELLES
CLINIQUE BON SECOURS
SALAISON LA FRANCAISE 1200 M²
CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS PHARMYGIENE – AMIENS – cloisons entrepôts
LANDRY – AMIENS – cloisons bureaux
LA CLARA – AMIENS – sal le de contrôle
C.C.I – AMIENS – bureaux
D.O.T.R.N. – AMIENS – bureaux
CREDIT MUNICIPAL – AMIENS – bureaux
ALCATEL – EU – Aménagement de 1250 m² de bureaux
SAINTE FAMILLE – AMIENS – séparations de sal les de classes
ECOLE NOTRE DAME – AMIENS (900 m²)
CITE ADMINISTRATIVE (sal le informatique)
MAISON DE RETRAITE – CAGNYECOLE B – (1341 m²) AMIENS
FRANCE TELECOM – AGENCE COMMERCIALE AMIENS – ABBEVIILE
DIRECTION DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOI
MATERNELLE DE FLESSELLES
CLINIQUE BON SECOURS
SALAISON LA FRANCAISE 1200 M²
CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS
PHARMYGIENE – AMIENS – cloisons entrepôts
LANDRY – AMIENS – cloisons bureaux
LA CLARA – AMIENS – sal le de contrôle
C.C.I – AMIENS – bureaux
D.O.T.R.N. – AMIENS – bureauxCREDIT MUNICIPAL – AMIENS – bureaux
CHAMBRE DE COMMERCE – RUE VINCENT AURIOL – AMIENS
NOUVELLES GALERIES
F.R.3CREDIT AGRICOLE CORBIE
RUCHE ENTREPOTSALLE DES SPORTS LA VALLEE
HONEYWELL (NEUILLY)
CONSEIL REGIONAL DE LA SOMME – réhabil i tat ion du Bon pasteur – AMIENS – 2000 m²
TELECOMMUNICATION ABBEVILLED.R.T. PERONNE
AMPHITHEATRE CAMPUS UNIVERSITAIRE – AMIENS
PREECTURE (sal le informatique)
MONSIEUR MATIFAT – ALBERTHONEYWELL – Z. I . AMIENS (2400 M²)
ECOLE AVENUE DE LA PAIX – AMIENS (1400 m²)
PROCTER GAMBLE
PHARMYGIENE (1800M²)
ECONOMIE ENERGIE AMIENS 3600 M²
SAINTE FAMILLE – RUE VASCOSAN AMIENS
SAINTE FAMILLE – RUE CHARLES DE FAUCOAULT AMIENS
SAINTE FAMILLE – LUMBRES (62)
GYMNASE VALLEE ST LADRE 1500 M² B.N.P. HALL D’AMIENS
D.R.T. AMIENS
D.R.T. SOISSONS
D.R.T. ABBEVILLE
E.D.F.G.D.F. CANTINE
CANTINE ST OUENST ROCH VILLE D’AMIENS 2800 M²
LYCEE PROFESSIONNEL – ABBEVILLEPROCTER ET GAMBLE – AMIENS
GOODYEAR – AMIENS
CARBONNE LORRAINE – AMIENS
JEAGER – AMIENS
BUREAUX ENTREPOT RUCHE PICARDE – AMIENS (600m²)CHAPELLE CAGNY
ECOLE FAUBOURG DE HEM – AMIENS (14556 m²)LA CLARA – AMIENS – sal le de contrôleFRANCE TELECOM – AGENCE COMMERCIALE AMIENS – ABBEVIILECLINIQUE BON SECOURS
A.P.A.J.H.
A.D.A.P.E. I .
A.F.T.A.M.
A.T.S.
LOGISTIQUE
CAISSE D’EPARGNEDE PICARDIE
CREDIT DU NORD
EISMAN
FRAIKIN
GROUPAMA
MIKO / MORY
SIEGE DE L’OPH D’AMIENS
SIEGE DE L’OPSOM
BOWLING D’AMIENS
BSD
SNCF
INDUSTRIE
AJINOMOTO
AROMEX
COURRIER PICARD
DUNLOP
EREA
FLORENSUC
GELAGRO
GOODYEAR
HUTCHINSON
LES CANARDS
DU VAL DE LUCE
RIGOLLE PERE
ET FILS
VALEO
WHIRPOOL
COLAS
UNITHER
97
DIRECTION GENERALE DES IMPOTS – AMIENS
RESTAURANT ADMINISTRATIF – AMIENS
P.T.T. RECETTE PRINCIPALE D’AMIENS
P.T.T. RESTAURANT CENTRE TELECOMMUNICATION – AMIENS
PORCHER – WOINCOURT
CLINIQUE BON SECOURS
SOPEM – MOREUIL
CLINIQUE ST FUSCIENFAVI – HALLENCOURT
CLINIQUE DU MAILBENOIT – AMIENS
MAISON DE RETRAITE DE LA POLICE – WARLUX
TISSAGE DE PICARDIE – AMIENS
MAISON DE RETRAITE MARIE MARTHE – AMIENS
DEFACQUES – AMIENS
MAISON DE RETRAITE LA NEUVILLE – AMIENS
MAISON DE RETRAITE STE FAMILLE – CAGNY
LANDRY PLASTIQUES NORD – Z. I . AMIENS
BREILLY – MOREUIL
BANQUE DE FRANCE – AMIENSBANQUE DUPONT – AMIENSCAISSE D’EPARGNE – AMIENS
CREDIT LYONNAIS – AMIENS
CRCA – MOREUIL
CRCA – VILLERS BRETONNEUX
CRCA – ABBEVILLE
CRCA – FRIVILLE ESCARBOTIN
CRCA – PERONNE
CRCA – CHAULNES
CRCA – CRECY
CRCA – DOMART
CRCA – NESLE CRCA – DOULLENS
BNP – PERONNESOCIETE GENERALE – AMIENS
NOVA AMIENS
ROND POINT COOP – CUCQ (62)
NOVA ACHICOURT
TENNIS AVON RANTIGNY
COMPLEXE SPORTIF ALEXANDRE DUMAS – AMIENS
ROND POINT COOP – ABBEVILLE (80)
INTERMARCHE LONGEAU UNA FRIVILLE
COOP FRIVILLE
CENTRE LECLERCQ SALOUEL
COOP ROYE
ATELIERS MUNICIPAUX – AMIENS
NOVA MONTDIDIER
CETA GARAGE VILLE D’AMIENS
MAMMOUTH DURY
MAMMOUTH MERSMAMMOUTH ARRAS
MOBLI SALOUEL
GARAGE HUBAULT (SAAB) – AMIENS
GROUPE 306 LOGEMENTS HLM VICTORINE AUTIER – AMIENS
F.R.3C.P.A.M.
CHAPELLE CAGNY
CREDIT AGRICOLE PICQUIGNY
CREDIT AGRICOLE CORBIE RUCHE ENTREPOT
CHAPELLE STE FAMILLE A CANGYSALLE DES SPORTS LA VALLEE
HONEYWELL (NEUILLY)
CHAMBRE SYNDICALEBANQUE LENOIR ET BERNARD
CONSEIL REGIONAL DE LA SOMME – réhabil i tat ion du Bon pasteur – AMIENS – 2000 m²
C.P.R.N. TOUR HERTZIENNE
TELECOMMUNICATION ABBEVILLE
D.R.T. PERONNE
AMPHITHEATRE CAMPUS UNIVERSITAIRE – AMIENS
PREECTURE (sal le informatique)
MONSIEUR MATIFAT – ALBERT
D.R.T. AMIENS C.T.4. (750 m²)MONSIEUR BOULANGER – HANGEST EN SOMME
D.R.T. ABBEVILLE (250m²)
COURRIER PICARD – AMIENS
D.R.T. SOISSONS (380 m²)HONEYWELL – Z. I . AMIENS (2400 M²)
EUROLYSINE
ECOLE AVENUE DE LA PAIX – AMIENS (1400 m²)
PROCTER GAMBLE
ECOLE FAUBOURG DE HEM – AMIENS (14556 m²)
PHARMYGIENE (1800M²)ECONOMIE ENERGIE AMIENS 3600 M²
SAINTE FAMILLE – RUE VASCOSAN AMIENS
SAINTE FAMILLE – RUE CHARLES DE FAUCOAULT AMIENS
SAINTE FAMILLE – LUMBRES (62)
GYMNASE VALLEE ST LADRE 1500 M²
B.N.P. HALL D’AMIENSD.R.T. AMIENS
D.R.T. SOISSONS
D.R.T. ABBEVILLE
E.D.F.G.D.F. CANTINE CANTINE ST OUEN
F.P.A.
ST ROCH VILLE D’AMIENS 2800 M²
C.F.A. – AMIENS
LES RESIDENCES DU PARC DELPECH
C.E.S. – CORBIE
29 PAVILLONS ST VALERY SUR SOMMEL.E.P. – CORBIE
GOUPE 55 LOGEMENTS – AMIENS
LYCEE NORD – AMIENS
GROUPE 37 LOGEMENTS – AMIENS
ECOLE MATERNELLE MODIGLIANI – AMIENS
LYCEE TECHNIQUE D’ETAT – AMIENS
CITE SCOLAIRE – AMIENSC.E.S. SAGEBIEN – AMIENS
PENSIONNAT STE FAMILLE – BETHUNE
NOTRE DAME DU BON CONSEIL
PENSIONNAT STE FAMILLE – LUMBRES
TENNIS – AMIENS
C.E.S VILLERS BOCAGE – AMIENS
PENSIONNAT STE FAMILLE – ALBERT
GYMNASE JEAN MARC LAURENT
C.E.S DOULLENS
CLINIQUE DE BUTLER
GROUPE 680 LOGEMENTS – LE PIGEONNIER AMIENS
GROUPE 680 LOGEMENTS FLESSELLES – AMIENS
GROUPE 386 LOGEMENTS SEMCA ILOT EC – AMIENS
GROUPE 120 LOGEMENTS RAPATRIES – AMIENS
NUTRIAL BANANIA – FAVEROLLES
DECAYEUX ET LOISON – SAUCOURT
PLASTIBAT – ROYE
CARON LENEL – FRIVILLE
CALIBRACIER – CORBIEFEREMBAL – ROYE
DERENNE – MONTDIDIER
PHILIPS – CEMA AMIENSCREPIN PETIT – BERNAVILLEALCATEL CIT
DELSEY – MONTIDIER
LYCEE PROFESSIONNEL – ABBEVILLE
KEMO – AMIENS
CITE SCOLAIRE (SUD) – AMIENS
ATELIERS DE COURTEMANCHE – MONTDIDIER
L.E.P. MONTAIGNE – AMIENS DELESTREZ – AMIENS
CLINIQUE GUEROULT (Materni té) – AMIENS
PROCTER ET GAMBLE – AMIENS
MAISON DE RETRAITE DE LA POLICE – WARLUS
GOODYEAR – AMIENS
DUNLOP – AMIENSVALEO – AMIENSEUROLYSINE – AMIENS
CARBONNE LORRAINE – AMIENS
COLAS – AMIENS
JEAGER – AMIENSBUREAUX ENTREPOT RUCHE PICARDE – AMIENS (600m²)
B.P. TRUCKSTOP A ROYE
CENTRAL TELEPHONIQUE WOINCOURT
DIRECTION DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOIMATERNELLE DE FLESSELLES
CLINIQUE BON SECOURS
SALAISON LA FRANCAISE 1200 M²
CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS PHARMYGIENE – AMIENS – cloisons entrepôts
LANDRY – AMIENS – cloisons bureaux
LA CLARA – AMIENS – sal le de contrôle
C.C.I – AMIENS – bureaux
D.O.T.R.N. – AMIENS – bureaux
CREDIT MUNICIPAL – AMIENS – bureaux ALCATEL – EU – Aménagement de 1250 m² de bureaux
SAINTE FAMILLE – AMIENS – séparations de sal les de classes
ECOLE NOTRE DAME – AMIENS (900 m²)
CITE ADMINISTRATIVE (sal le informatique)MAISON DE RETRAITE – CAGNY
ECOLE B – (1341 m²) AMIENS
FRANCE TELECOM – AGENCE COMMERCIALE AMIENS – ABBEVIILE
PORCHER – WOINCOURT
CLINIQUE BON SECOURS
SOPEM – MOREUIL
CLINIQUE ST FUSCIENFAVI – HALLENCOURT
CLINIQUE DU MAILBENOIT – AMIENS
MAISON DE RETRAITE DE LA POLICE – WARLUX
TISSAGE DE PICARDIE – AMIENS
MAISON DE RETRAITE MARIE MARTHE – AMIENS
DEFACQUES – AMIENS
MAISON DE RETRAITE LA NEUVILLE – AMIENS
MAISON DE RETRAITE STE FAMILLE – CAGNY
LANDRY PLASTIQUES NORD – Z. I . AMIENS
BREILLY – MOREUIL
BANQUE DE FRANCE – AMIENSBANQUE DUPONT – AMIENSCAISSE D’EPARGNE – AMIENS
F.R.3C.P.A.M.
CHAPELLE CAGNY
CREDIT AGRICOLE PICQUIGNY
CREDIT AGRICOLE CORBIE RUCHE ENTREPOT
CHAPELLE STE FAMILLE A CANGYSALLE DES SPORTS LA VALLEE
HONEYWELL (NEUILLY)
CHAMBRE SYNDICALEBANQUE LENOIR ET BERNARD
CONSEIL REGIONAL DE LA SOMME – réhabil i tat ion du Bon pasteur – AMIENS – 2000 m²
C.P.R.N. TOUR HERTZIENNE
TELECOMMUNICATION ABBEVILLE
D.R.T. PERONNE
AMPHITHEATRE CAMPUS UNIVERSITAIRE – AMIENS
AMPHITHEATRE CAMPUS UNIVERSITAIRE – AMIENS
PREECTURE (sal le informatique)
MONSIEUR MATIFAT – ALBERT
D.R.T. AMIENS C.T.4. (750 m²)MONSIEUR BOULANGER – HANGEST EN SOMME
D.R.T. ABBEVILLE (250m²)
COURRIER PICARD – AMIENS
D.R.T. SOISSONS (380 m²)HONEYWELL – Z. I . AMIENS (2400 M²)
EUROLYSINE
ECOLE AVENUE DE LA PAIX – AMIENS (1400 m²)
PROCTER GAMBLE
ECOLE FAUBOURG DE HEM – AMIENS (14556 m²)
PHARMYGIENE (1800M²)ECONOMIE ENERGIE AMIENS 3600 M²
SAINTE FAMILLE – RUE VASCOSAN AMIENS
SAINTE FAMILLE – RUE CHARLES DE FAUCOAULT AMIENS
SAINTE FAMILLE – LUMBRES (62)
GYMNASE VALLEE ST LADRE 1500 M²
B.N.P. HALL D’AMIENS
D.R.T. AMIENS
D.R.T. SOISSONS
D.R.T. ABBEVILLE
E.D.F.G.D.F. CANTINE CANTINE ST OUEN
ST ROCH VILLE D’AMIENS 2800 M²
NUTRIAL BANANIA – FAVEROLLES
DECAYEUX ET LOISON – SAUCOURT
PLASTIBAT – ROYE
CARON LENEL – FRIVILLE
CALIBRACIER – CORBIEFEREMBAL – ROYE
PHILIPS – CEMA AMIENS
CREPIN PETIT – BERNAVILLE
ALCATEL CIT
DELSEY – MONTIDIER
LYCEE PROFESSIONNEL – ABBEVILLE
KEMO – AMIENS
CITE SCOLAIRE (SUD) – AMIENS
ATELIERS DE COURTEMANCHE – MONTDIDIER
L.E.P. MONTAIGNE – AMIENS DELESTREZ – AMIENS
CLINIQUE GUEROULT (Materni té) – AMIENS
PROCTER ET GAMBLE – AMIENS
MAISON DE RETRAITE DE LA POLICE – WARLUS
GOODYEAR – AMIENS
DUNLOP – AMIENSVALEO – AMIENSEUROLYSINE – AMIENS
CARBONNE LORRAINE – AMIENS
COLAS – AMIENS
JEAGER – AMIENSBUREAUX ENTREPOT RUCHE PICARDE – AMIENS (600m²)
DIRECTION DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOIMATERNELLE DE FLESSELLES
MATERNELLE DE FLESSELLES
MATERNELLE DE FLESSELLES
CLINIQUE BON SECOURS
SALAISON LA FRANCAISE 1200 M²
CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS PHARMYGIENE – AMIENS – cloisons entrepôts
LANDRY – AMIENS – cloisons bureaux
LA CLARA – AMIENS – sal le de contrôle
C.C.I – AMIENS – bureaux
D.O.T.R.N. – AMIENS – bureaux
CREDIT MUNICIPAL – AMIENS – bureaux
ALCATEL – EU – Aménagement de 1250 m² de bureaux
SAINTE FAMILLE – AMIENS – séparations de sal les de classes
ECOLE NOTRE DAME – AMIENS (900 m²)
CITE ADMINISTRATIVE (sal le informatique)
MAISON DE RETRAITE – CAGNYECOLE B – (1341 m²) AMIENS
FRANCE TELECOM – AGENCE COMMERCIALE AMIENS – ABBEVIILE
SOCIETE GENERALE – ABBEVILLE
CRCA – AMIENS STATION B.P. SANTERRE – AMIENSSTATION ESSO BLD DE ROUBAIX – AMIENS
PROGRAMMATEUR FLASH
RELAYAGE STATIQUE SILEX
AUTOMATE PROGRAMMABLE – MERLIN GERIN PB 400
AUTOMATE PROGRAMMABLE TELEMECANIQUE TSX 21
N.T. I . – AMIENSAUTOMATE PROGRAMMABLE TELEMECANIQUE TSX 27
AUTOMATE PROGRAMMABLE TELEMECANIQUE TSX 47
DIRECTION DES IMPOTS – AMIENS Z. I .
AUTOMATE PROGRAMMABLE TELEMECANIQUE TSX 67
ALLOCATIONS FAMILIALES – AMIENS
AUTOMATE PROGRAMMABLE TELEMECANIQUE TSX 80
C.R.C.A.M. – AMIENS
PARKING SOUTERRAIN AMIENS MATERNITE STE THERESE
DIRECTION DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOI
CONTACT 80
CONTACT 80
MATERNELLE DE FLESSELLES
CLINIQUE BON SECOURS
SALAISON LA FRANCAISE 1200 M²
CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS
PHARMYGIENE – AMIENS – cloisons entrepôts
LANDRY – AMIENS – cloisons bureaux
LA CLARA – AMIENS – sal le de contrôle
C.C.I – AMIENS – bureaux
D.O.T.R.N. – AMIENS – bureaux
CENTRE DE LIGNES A ABBEVILLE
CREDIT MUNICIPAL – AMIENS – bureaux
CENTRAL DE COMPIEGNE
ALCATEL – EU – Aménagement de 1250 m² de bureauxSAINTE FAMILLE – AMIENS – séparations de sal les de classes ECOLE NOTRE DAME – AMIENS (900 m²)
CITE ADMINISTRATIVE (sal le informatique)
SOCIETE GENERALE – ALBERT
BANQUE DUPONT – AMIENS
B.N.P – AMIENS
C.R.C.A – MAIL ALBERT 1ER – AMIENS
CLINIQUE DE BUTLER – AMIENS
MAISON DE RETRAITE – CAGNY
MAISON DE RETRAITE – PLACE DE LA NEUVILLE – AMIENS
CHAMBRE DE COMMERCE – RUE VINCENT AURIOL – AMIENS
CHAMBRE DE COMMERCE – CROIX ROMPUE – AMIENS
SOCIETE GENERALE – AMIENS
MAPELECBANQUE LENOIR ET BERNARD
ECOLE ELBOEUF – AMIENS (1500M²)ECOLE B – (1341 m²) AMIENS
NOUVELLES GALERIES
SACRE CŒUR DE FREVENTMEDECINE DU TRAVAIL
CANAPLES – PONT REMY
MOULET – AMIENS
FRANCE TELECOM – TOUR HERTZIENNE REIMS – BERRU
FRANCE TELECOM – TOUR HERTZIENNE ST FUSCIEN
FRANCE TELECOM – AGENCE COMMERCIALE AMIENS – ABBEVIILE
FRANCE TELECOM – BATIMENT C T 4 – EQUIPES REGIONALES AMIENS – ALBERT – ROYE
D.O.T.R.N. – BATIMENT CHALONS S/MARNE – ST QUENTIN – CAMBRAI – ARRAS – AMIENS
ECOLE ETOUVIE – AMIENS (1600 m²)
F.R.3CREDIT AGRICOLE CORBIE
RUCHE ENTREPOTSALLE DES SPORTS LA VALLEE
HONEYWELL (NEUILLY)
CONSEIL REGIONAL DE LA SOMME – réhabil i tat ion du Bon pasteur – AMIENS – 2000 m²
TELECOMMUNICATION ABBEVILLED.R.T. PERONNE
AMPHITHEATRE CAMPUS UNIVERSITAIRE – AMIENS
PREECTURE (sal le informatique)
MONSIEUR MATIFAT – ALBERT
HONEYWELL – Z. I . AMIENS (2400 M²)
ECOLE AVENUE DE LA PAIX – AMIENS (1400 m²)
PROCTER GAMBLE
PHARMYGIENE (1800M²)
ECONOMIE ENERGIE AMIENS 3600 M²
SAINTE FAMILLE – RUE VASCOSAN AMIENS
SAINTE FAMILLE – RUE CHARLES DE FAUCOAULT AMIENS
SAINTE FAMILLE – LUMBRES (62)
GYMNASE VALLEE ST LADRE 1500 M² B.N.P. HALL D’AMIENS
D.R.T. AMIENS
D.R.T. SOISSONS
D.R.T. ABBEVILLE
E.D.F.G.D.F. CANTINE
CANTINE ST OUENST ROCH VILLE D’AMIENS 2800 M²
LYCEE PROFESSIONNEL – ABBEVILLEPROCTER ET GAMBLE – AMIENS
GOODYEAR – AMIENS
CARBONNE LORRAINE – AMIENS
JEAGER – AMIENS
BUREAUX ENTREPOT RUCHE PICARDE – AMIENS (600m²)
BUREAUX ENTREPOT RUCHE PICARDE – AMIENS (600m²)
CHAPELLE CAGNY
CHAPELLE STE FAMILLE A CANGY
D.R.T. ABBEVILLE (250m²)COURRIER PICARD – AMIENS
EUROLYSINE
ECOLE FAUBOURG DE HEM – AMIENS (14556 m²)
MAISON DE RETRAITE DE LA POLICE – WARLUS DEFACQUES – AMIENS
F.R.3C.P.A.M.
CREDIT AGRICOLE PICQUIGNY
CREDIT AGRICOLE CORBIE
RUCHE ENTREPOT
CHAPELLE STE FAMILLE A CANGYSALLE DES SPORTS LA VALLEE
HONEYWELL (NEUILLY)
CHAMBRE SYNDICALE
BANQUE LENOIR ET BERNARD
CONSEIL REGIONAL DE LA SOMME – réhabil i tat ion du Bon pasteur – AMIENS – 2000 m²
C.P.R.N. TOUR HERTZIENNE
TELECOMMUNICATION ABBEVILLE
D.R.T. PERONNE
AMPHITHEATRE CAMPUS UNIVERSITAIRE – AMIENS
PREECTURE (sal le informatique)
MONSIEUR MATIFAT – ALBERT
D.R.T. AMIENS C.T.4. (750 m²)MONSIEUR BOULANGER – HANGEST EN SOMME
D.R.T. ABBEVILLE (250m²)
COURRIER PICARD – AMIENS
D.R.T. SOISSONS (380 m²)HONEYWELL – Z. I . AMIENS (2400 M²)
EUROLYSINE
ECOLE AVENUE DE LA PAIX – AMIENS (1400 m²)
PROCTER GAMBLEPHARMYGIENE (1800M²)ECONOMIE ENERGIE AMIENS 3600 M²
SAINTE FAMILLE – RUE VASCOSAN AMIENS
SAINTE FAMILLE – RUE CHARLES DE FAUCOAULT AMIENS
SAINTE FAMILLE – LUMBRES (62)
GYMNASE VALLEE ST LADRE 1500 M²
B.N.P. HALL D’AMIENSD.R.T. AMIENS
D.R.T. SOISSONS
D.R.T. ABBEVILLE
E.D.F.G.D.F. CANTINE CANTINE ST OUEN
ST ROCH VILLE D’AMIENS 2800 M²
LYCEE PROFESSIONNEL – ABBEVILLE
CITE SCOLAIRE (SUD) – AMIENS
ATELIERS DE COURTEMANCHE – MONTDIDIER
L.E.P. MONTAIGNE – AMIENS
CLINIQUE GUEROULT (Materni té) – AMIENS
PROCTER ET GAMBLE – AMIENS
MAISON DE RETRAITE DE LA POLICE – WARLUS
GOODYEAR – AMIENS
EUROLYSINE – AMIENS
CARBONNE LORRAINE – AMIENS
COLAS – AMIENS
JEAGER – AMIENS
BUREAUX ENTREPOT RUCHE PICARDE – AMIENS (600m²)DIRECTION DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOI
CLINIQUE BON SECOURS
LANDRY – AMIENS – cloisons bureaux
C.C.I – AMIENS – bureaux
SAINTE FAMILLE – AMIENS – séparations de sal les de classes
SAINTE FAMILLE – LUMBRES (62)
LANDRY – AMIENS – cloisons bureaux
DIRECTION DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOI
CONTACT 80
MATERNELLE DE FLESSELLESSALAISON LA FRANCAISE 1200 M²CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS CREDIT MUNICIPAL – AMIENS – bureaux
CENTRAL DE COMPIEGNE
ALCATEL – EU – Aménagement de 1250 m² de bureaux
B.N.P – AMIENSCLINIQUE DE BUTLER – AMIENS
MAISON DE RETRAITE – CAGNY
FRANCE TELECOM – TOUR HERTZIENNE REIMS – BERRU
FRANCE TELECOM – TOUR HERTZIENNE ST FUSCIEN
FRANCE TELECOM – AGENCE COMMERCIALE AMIENS – ABBEVIILE
ECOLE ETOUVIE – AMIENS (1600 m²)
RUCHE ENTREPOT
TELECOMMUNICATION ABBEVILLE
B.N.P. HALL D’AMIENSD.R.T. AMIENS
D.R.T. SOISSONS
LYCEE PROFESSIONNEL – ABBEVILLE
GOODYEAR – AMIENS
JEAGER – AMIENS
MONSIEUR MATIFAT – ALBERT
HONEYWELL – Z. I . AMIENS (2400 M²)
E.D.F.G.D.F. CANTINE
RédactRiceMarie JOUBERT
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