LE PARALLOìDRE DES �ORFE

ANDRE MARTEL

Edition DEBRESSE38, rue de lÕuniversit�, Paris

1951

PRODICE

LE POETEUPOTE

Par le parallo�dre des �orfes,Bralan�ant les r�tricences des tam�riaux,Les cimentectes ont babellis� les lapincags,Les g�nieurs ont travelard� les honts, septlieubott� les valles, herculaugiac� les vafles ;Les cam�niciens ont ganc�man� des chimanes � transfonter lestras, � subondir les nars, � picarifier les nieux.Moi, jÕai fabr� un dyno�me, Avec une blangeEt un yoncrai.Mais mieuq les g�nieurs aloint�s, pluq les cimentectes parsaut�s,et odl� des cam�niciens minor�s, jÕai emp�ri les t�l�dins stelliges et all�-lou� les espouffres micronaires,Avec une blangeEt un yoncrai.Et on a dit que les cimentectes �taient supers,Que les g�nieurs �taient formis, Que les cam�niciens �taient fantas ; Moi, on a dit que jÕ�tais fada, Avec une blange

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Et un yoncrai.Mais Zis, qui est un archicimentecte, un g�nieurhyper, un cam�nichanu, mÕa dit :Ç Cesonteuxquisond�fadas !Toiseul mÕa transpig�, Po�te ; et tu es mon P�te, mon Po�teup�te,Avec une blangeEt un yoncrai.

BOCALISES DEROUILLINTELLES (avec tradite en l�gateux)

V�rible :JÕai lÕhonneur de vous faire savoir que vous �tes cocu.

V�ruse :II se peut que je me trompe.

V�rable :Le pass�, cÕest la force du futur (hum !)

V�r�ne :AujourdÕhui, il pleut, nÕest-ce pas ?

V�rone :Ton portefeuille ou je tire !

V�rude :Vous avez bien chang�, Madame.

V�race :CÕest en grognant quÕon devient grognon.

V�riolo :0h ! la belle verrue que vous avez juste au bout du nez !

V�rette :Ils sont gentils, ces jeunes gar�ons.

V�rique :Deux et deux font quatre, et quatre �t� de cinq reste un.

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V�rical :Les moules crues, �a donne la typho�de.

V�rasque :Demain, je vais � la clinique...

V�rague :Il me semble que Jules mÕa dit quÕil viendrait mercrediou jeudi � moins que ce ne soit vendredi, peut-�tre same-di. Mais je ne sais plus au juste si ce nÕest pas pourdimanche. En tous cas il viendra, du moins je le pense.

V�rice :Si toutefois, Madame, vous avez peur cette nuit touteseule dans votre chambre...

V�ronte :Oui, maman, il mÕa embrass�e ; et puis je ne sais plus,Maman...

V�rouge :Un mot de plus, et je te gifle !

V�rinot :Je mÕengage, par la pr�sente, � vous payer int�gralement,quand je pourrai.

V�rijoie :Vous avez gagn� cinq millions !

VARITIONS

VIGAMOURES

L�gateuse :Je tÕaime,Je tÕadore,Je suis fou de toi.

Franciote :JÕt�mÕJÕtadorÕJÕsuis foudÕ toi.

S�n�gre :Zi timÕZi tidorÕZi sifou ditoi.

Bourroue :Jou toumou,Jou toudoure,Jou soufou doutoua.

F�lique :Miaou !Miaou�heuh !Miaouioua ! Fe ! Fe !

Yankise :Mo� aimvou,

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Mo� dorvou,Mo� soui folle devou.

Appeloise :Psit !Hou ! Hou !Oh� ! Olla ! Olli ! Oll� !

Aqualine :Glou !Tic ! Tac ! Toc !Pchitt ! Pchitt ! Pchitt !

Movalise :Je te folaimore.

Frauve :Jre tr�mor,Jre trador,Jre suir foudre toir.

Timde :Je tÕai...Je ta...JÕ...

Carillonnie :Dang ! Dang !Dong ! Dong ! Dong !Dingue ! Dingue ! Dingue !

Piantou :Io t�mo,Io tadour�,Io souifol d� toa.

Crapuline :Je te l�muche,Je te lador�me,Je suize loufic de toize.

C�c�teuse :Ce t�me,Ce tÕadoreCe �ui fou detoi.

Apicure :Zzz ! Z� !Zzz ! Zo ! Zzz !Zzz ! Zi ! Zzz ! Zo ! Zzz ! Za !

Chuivare :Cheu taime,Cheu tatore,Cheu chui fou teutoi,Eternuate :Aj tchoume !Aj tchore !Aj tchoudetoi !

Mutuse :E � e :E a o e :E i o e a :

B�gu�tin :Jejeje jetaime,Je tatata tadore,Je sssui fffou dedede detoi.

Bougnate :Je te fouchtrame,

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Je te fouchtradore,Je suis fouchtre de fouchtra.

Chuimgomeuse :Je te miamm,Je tamiamdore,Je suis miamm miamm foudetoi.

T�l�point� :. Ð Ð Ð.Ð. Ð. .Ð Ð. etc.

Radiocroc :Je t����� me (ter)Jeta Jeta Jeta dooooo reJeeeeeE ! (arr�croc !)

Excitanchialiste :Je tÕaimerdre,Je tÕadorpisse,Je suip�te forcrache de tongongul.

Symboulique :Pomme,Mante,Vall�e du Rh�ne !

Phonitail�e :All� !Ah !Oh ! (coup� !)

Tatouze :Je tume,Je tudure,Je suis foufou de tutu.

Galet�ze :Un louis !Un dollar !Un ch�que !

Tabaseur :Pan ! Pan !Pan ! Pan ! Pan !Pan ! Pan ! Pan ! Pan !

Postillou :Pje pt�me,Pje ptaptore,Pje psui psou pte ptoi.

Cloumrie :(Il met les deux mains sur son coeur, mais il se trompe de c�t� et les

place � droite, disant :)

Ñ Mo�, boumboum, MidamÕ !(Il l�ve sa veste, lÕ�tend par terre, sÕy essuie les pieds et sÕy met �

genoux, disant, bras lev�s :

Ñ Je tÕardore, je tÕardore !(Puis brusquement il se roule dans la poussi�re, cabriole, gesticule,

fait des sauts p�rilleux, disant et criant :)

Ñ Eh ! Eh ! Eh ! Hi ! Hi ! Hi ! Hou ! Hou ! Hou !...N�bulague :

TÕaimai-je ?TÕadorai-je ?

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Fou de toi suis-je ?Sur�adingue :

Le bilboquet de Ceylan se met en route ;O tr�fle du chantier qui commence la quatorze,Dans lÕorgueil de noircir le sac du circonflexe !

Adjup�te :Garde-�-vous !Pr�sentez-armÈ !En avant ! En arri�re ! Couch� ! Debout ! Feu � volont� !

Sembomm�e :1¡... (Il d�bouche un flacon de violette)2¡... (Il d�bouche un flacon de rose)3¡... (Il d�bouche un flacon dÕh�liotrope)

Math�cingle :A2MnZ°

Dansinge :Tango !Valse !Boujon-bouju !

Jaloucide :Pif !Paf !Ta ! Ta ! Ta ! Ð Ta !(Police-secours !)

FLEMITINE

Ye me pralasseYe me tirasseDans les bralaces :Qualle vidasse !Pouvre cracasse !LÕami BidasseMe coccylasse ;Tino tinasse,Lily limaceJa jacotasse,Beauty fardasse,Frolly follasse,YÕennuie Ignace.L� cocoasse,Sonia gnagnace,Fillis filasse,Danny gangace,Rosa rosace,Malou molasse,Betty b�tasse,Eva r�vasse,Tally pipasse,

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Do� cafetasse,J� papouillasse,Fine finasse,Paule poilasse,L� pianossasse ;Ry capotasse,Malou flicasse,J� chuimgommace,Tyl chantagace,Gyna gymnace,Loth v�lovasse ;Ny sociasse,My radicasse,Cl� d�gaulasse,Ni� ursucasse ;Med m�dicasse,N� piloface,Loth billetasse,Miny minace,Ty canichasse,Zo boivinasse,Tata gougnace,Rath platonasse,Bootz dormiasse,Syl poliglace,Rath mordicasse,Kate trograsse,Gud trogrognasse,Lou trolypasse,Pour quÕon sÕaimasse

Sans quÕon b�illasse,Ahahahahsse !

Atchoum !

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SYNCHRONANCES

DES JUMEAUGRAMMES

LEGATEUX

Abusance :Vin :Vain !

Commercile :Vante :Vente.

G�n�rice :Mer,M�re.

Th�ogieuse :CroisCroix.

Adorave :Ah !Ha !

Diplomacine :Mots :Maux.

Charmer�ve :Toit(Toi).

Mirlitasque :Ch�ne :Cha�ne.

Namour�e :Agathe,Agate !

Ligatoire :EncreAncre.

R�volture :RomptsRond.

Attach�me :Cher :Cher.

Nohinde :Temps,Tant !

Bucolienne :Champ(Chant).

Affaireuse :Comptant ?Content !

Bagarrice :Coup :Co�t.

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Lubrille :CeinsSeins.

Collo�ve :LitLie.

Habilesse :SoisSoie.

Narcienne :Jeux,Je.

QUELQURIMES OU SOTTRIMES

LEGATEUSES A MECANIQUE

M�caniquePolytechniqueSataniqueStatistiqueEconomiqueEpileptiqueJournalistiqueDiplomatiqueMachiav�lique GalliqueAm�riqueCeltiqueItalique Ib�riqueCatastrophiqueGermaniqueSovi�tiqueArabiqueIslamiqueEpid�miqueAsiatique

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AfriqueAntartiqueMongoliqueBourriqueSid�rurgiqueBalistiqueTuniqueHi�rarchiqueStrat�giqueFantasmagoriquePharmaceutiqueChirurgiqueHorrifiqueAn�miqueFam�liqueSquelettiqueCadav�riqueAtomiqueApocalyptiqueD�sertique

SONUMATE LEGATEUSE

Oisilleur :Dix-huit !Dix-huit !Cuit ! Cuit !

M�dicle :Trente-trois ;Tremble au froid ;Bras en croix.

Capoutel :Quatre-vingt-treize !Quatre-vingt-treize !Guillotinaise !

Termible :Trente-et-un !Termimportun !JÕen nÕai pas un !

Furtif :Vingt-deux !Clin dÕyeux !Moins dÕdeux !

Colbac :Z�ro !

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Z�ro !Z�ro !(Tu te repr�senteras lÕan prochain).

Vieilluse :Settante-cinq !Cet an te ceint !CÕest tante-seins !

Acad�me :QuaranteTarantesMarantes !

Fantile :Dix et trois ;Deux mains trois ;F�lix boit.

Commertile :Neuf cent quatre-vingt dix-neuf :Neufs gants, pl�tre, lin, lit veuf ;OEuf, sang, p�tre, thym, lys, bleuf !

Jougadous :Trente-quarante :Tu vendras ta rente,Ta mante et ta tente.

Foudrill� :Cent-vingt milleVolts sur Mimile :IÕnÕ se fÕra plus dÕbile !

Budg�crat :Dix sept cents milliards !Dix sept cents milliards !

Dix sept cents milliards(dÕimp�ts !)

Infinestelle :Trillions de trillions !Trillions de trillions !Trillions de trillions !...(ecc�t�ral).

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TOTOPHONIE LEGATEUSE(D�ROUILLINTELLE)

Poupoune a pouponn� sa poupoule pouponne.Le minet de Mimi a mis Mimile en mie.Dans lÕar�ne marine une marenne est reine.Tonds les moutons, Tonton, sur ton de mirliton.Riri rit rissolant cary de ris au riz.Dudule adule Ad�le, et Th�odule Odile.On dit quÕOndine d�ne avalant dix sardines.Pipo ne parle pas de la pipe � papa.Toto t�te � t�tons la t�tine � Tati.Debout au bas-labours le tambour bat le bourg.Rosine en robe rose arrose aux roseraies.

ERGOISME

MOI !TOI ! LUI ! eux !

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THEOREMAGIE DU NIG

Sphinx�me.Nig !Anamater !�orfapilic�mudonocte !Abyssante de lÕenfoncir du chronouffre !Nennimane, nennipouche :Et pansurge !

Pribord.Es-tu le Magistre du sifranum�re ?Le Patronus grandis des frighorrors bouchorgnes porcadavers dÕatomilles ?(Lyropote, Haro sor frighorros ! Ne tÕy nigolaisse enclo-rir, tu tÕy fossilicerais !)Porquapa Directorclas des invisis papyrudings aux supra-rels grattefichtres dÕabsentaisie avec bureaucrampes fan-tasmes ?Roberroudin ? babylacte !Ravachol ? minup�de !Bissimilitoi !O sambornyme bocab�e !

Ensuive.Tu es peutesse le sifrillimital,

Ou lÕAghapan des broyines, concassines, pulv�rusines,Ou le Dicomore des aplatissoires, des entonouares, des estouffaminoires.Vas-y avec tes pellioches, tes aspompes, tes lithoperces,tes dynamitisbas, tes lancepyrocases !Dans les tassons, les poutrailles, les pl�tris, les gravas, lessabules, les bous�es ;Crouse,Crou-Se,Cr-Ou-Se,Pour y fondir les bassoclesDÕo� urgera des pilas le giclis verticielll.

Aloin.V�ritament, tu es Empirator du Sifrmultipliate,G�n�ralice des b�licornes aux muraux des fi�rorgues,Et Capitas des bouledogosores largouvrant la vialle auxlunobonds des libersalves.Certement, Ka�d des amoisses pyrames dÕoutrices :Lors on possira vister les s�rtes vesp�res punctillant dansle n�buloir leurs luminionnes lointani�res.

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S�rment, tu es le plusultre desherbaine � lÕessane dÕou-bliance analg�se.Dinoue les m�lim�lotes ;Di-noueDi-Nou-E ;Pr�glom�rel�zassimentured�monzav�nes.

Endin.Je cr�donne que tu es le plus colossone creus�tan�bule,Le spouffre de Fontajouve o� pongeEt se ravigore la vitence.

Conclute.Nig = PanLÕInfernacrie pyrorge les Zis !

RASON

PlatornanteArt�phage

H i ! E h ! O h !RasonLoison

BalambarreH u e ! C r o i s o n D i a !

M�calogieÑ M i t a n � s e +

C h u v r i l l e S u r c o r d � t r i q u e G i g l a f o l� � aux

lÕIntimouffre lÕIntrabysse Sir�nazielsApp�lar�ve Rigosourfride App�linfer

IninclineCart�siteG�nifuge

Trorason :Raloginerbifrom,

Icarastrophe

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RESSURGICE

AVEC REMORANCES LEGATONES

O D�pas ! Brag�tal diss�camitin�re dont la s�vante prodigadon-nait dÕinfin�terfruit.Arcijadis, m�turincui ! Lumiris�e,Jeune source si fra�che aux vieilles eaux puis�es !

Toduco vous stopez, alorque vous volantorniez, Squel�mane qui sourigotiez !Inchrone en parcos dans lÕimble de lÕisole sudacadave ! Pernuitvotre girabore !Mais loin de vous, le volant lanc� tourne encore.

LÕaffol hippocrincol du f�tre en fulgubal sÕest stouff�. Portantdans le cuivron thermogarde coronronnent, sur les cinercaloraux,Les forces qui feront le flux des pas nouveaux.

Dans lÕabr�me, le sole a flui. Mais ante sa d�gringol�e souterrane,il a d�lipos� de sa lumille sur les fl�cheures du tictule.Et tandique nous vigilons id�antes,Aux nuits, brille au cadran lÕheure luminiscente.

Cette plumore a chut, croulimane sur le vocamin.La denlabrangue gon�zaboque aussi, qui dictographait cr�nid�es.QuÕimpote : elle a ceptant gravur�, comme sur des cand�mauxin�tioles,Le pur ramage des persistantes corolles.

Enterris � jamais les nommilles de tes taillarbres qui s�catirentdans ton argentillage, Olivorse.Portant par les rayors de ta vuile novelleSÕilluminent les lentilles de lÕ�cuelle.

Pin�ob�diant, nourriss� dÕarcaziel, qui colorchorait des imag�resaux sol�bords des encadrures, o� p�ritu ?Mais au toilin g�nigureTon chargement p�rennis� se transfigure.

Et de la panoffre de noyancien aux luisangles, o� sont les sylva-nates ?Les m�tils qui tÕont formaill�e sont en broie aux griffasures desrouillisants,Cependant le bahut est debout sur les ans.

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LES �ORFOLLES

Glorive � lÕesse des �orfollesBousclant les pr�visiblit�s,Dont les foutasques hyp�rolesPongent aux horsillimit�s !

Glorive aux plomgrains fugicibles,Au concentracerne insurmis !Ils supervoltent les poussiblesDes liberprodives germis.

Glorive � brisarde �rosieDans les murauyas barrizons !RoutafuitÕ vers lÕavenosie,Lointant les vieill�cres closons !

Glorive, exceptuse � ferr�gleNon�ant la luxheur des lexors !Ainse le prodyne � volaigleSurtrance les cyclans stritors !

SYLLABATTE

Li�d�jad�jorsQue je v�ts ce moquinge ;Li�d�jad�jorsQue ce verre a versons ;Li�d�jad�jorsQue mon cardi�nsinge ;Li�d�jad�jorsQue nous nous mamassons.

Ily�urad�jorsPour ce mokinge �choire ;Ily�urad�jorsPour cardi�stoper ;Ily�urad�jorsPour bris�verrunsoire ;Mainy�urapajorPour bris�monamor !

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RODAFUITÕ

Torne, torne, torne, Rode !Te voil� flus�e, et jodeDans lÕirr�sible �olisDe tes brayons, satellisCernes � ta surgirance ;Vars, Rode en nimbesp�rance !

Enfol des linescalandes,Virtige dans les discendesFouliles, vers les horzonsNoves ! Azut ! les mausons,Les vriles et les lusines,Et les esses terracines !

D�senlise les stouffuses,D�senliane les contruses ;Vasse clurs, cypres, silongs,Papyros de taboulons,Craserne, marrie, �croule !Tout sauvroule, tout sauvroule !

Horterras, horlonde, horboue,Montalair sur lÕhorzon ! FroueTourentour du motaxeur !Clamat � la poisanteur !Le courcis ascende �brive ;La vritesse est lib�rive !

La montbarre aloin sÕ�biffe ;Abande umane tigriffe ;Par providenbonds spaciels,Almonte les pentaziels ;Panfuit ! En larlonghauphaneTout sÕ�vane, tout sÕ�vane !

Tout s�zame dans lÕespameA vitamore en ail�me,Sutoi, Rode � nos destis,Dans les ivris matutis,Avec mamante alaur�e !Tout sÕaurelle en splendor�e !

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SOIFFAMIRES

Oh ! Tantalage aux fac�magesQuÕav�ne bandaphare � lÕintimizonO� caravanent des fantanaves, aloint des sablages,Houlant charesp�res jusquÕ� lÕafloson !

Aux chronolimbes sous toilente,Calculajongles avec les tassuns !Frucompteurs avant la m�raison !Qualle foulgrouille dans lÕinlassante !

Quelquestelle, seuldeuvue, les drige ;Leurs ang�lis leur ont dictor�, � blanvosonge :Ç Portouvre noctimmsÕ,Ç Toi qui sursais que soumur la diurne fondamonte ! È

O libersolit� pandis � lÕavan�ure !Abandolant les b�n�puits o� g�t lÕaquase,Ils ont cha�nebris et vencouruSans vister les d�s�r�ffres altour de leur catalestase.

Leur mantuniq sÕaccrocr�ve aux buis�piqes ;Leurs pi�las sanguinent dans leurs imprimes ;Ils cr�nheurtent aux palissadures ;Mais leurs garfix sÕinclavent aux jovamires des futurarches.

Ils murmusent : Ç Le slille dans lÕaziel vance sans reposance ;Dans lÕinfinabysse les t�lestelles onque chemillent ;Tant pir si nous chutons ante lÕaublanche !Nous anticidons � dÕautres la quittuse ! È

Ceux-l� nigombent ; ceux-ci par des routiversesArrissurgent. LÕarde tribudyne se reformille sans traves.Glorive aux coursoifs dans lÕaquar�ve !Car dans leur sillaspire ils ont entrail� le pancosme !

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SECREMOVES

Dans ce cristil cette aigormanteO� ne simile nig movoir,Sais-tu quÕune gire affri�vranteR�gite infond dÕunimiroir ?

En urbe � la p�dipopuleQui vassage au manilabeur,Sais-tu quÕen catame virule,Unamunime, tant dÕ�creur ?

Cette estelle qui floralise,Aloinvue au s�r�naziel,Sais-tu quÕen elle catacriseLe pyr�ffre dÕun horrentiel ?

Et ces vlouzieux dÕenchateresseQui cillent en ci�l�regards,Sais-tu qualle intratorturesseLes subitrouble � mes �pars ?

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DYNISME

Je ne suis quÕun conglom�rouge de nerchairos ;Mais ma volonte me cimarme ;Et la malance � frafort peut martoper mon esseComme la zundeur en vanule flagraque lÕAltas !

Quand la griffance de la guignure sÕaccorcroche,Je preux dentisserrant stater bucaforclos,Solidantenir dactiblocs aux fompoches,Et pleurfouler � r�tro des zilles.

Si quelque a�rice me poussouffle � la brutaise,Je ne mÕaffouble si elle me rocapproche ;Je morphe mon desti comme on pastrit la glaimolle !Car je preux, dans ma nave, focvirer.

Je me plaise � coursir aumi des lamences ;Je sit�pare les r�quines mordoires ;Mais quÕun minifilair provivance,Je lÕempoignis dans ma corruse et lÕattracte � butamoi.

Fermenant gouverne vibracousse,Je tra�nardouble et peureuss�me,Isolav�ne dans lÕardance qui mÕexoulte :Ce nÕest quÕen devan�ant que je me jovessens !

Ipso, je preux victorer le trioparque au ciseste,Mortir en plainaile, fron�ant � bizonfure,S�rtant quÕun novumane aud�lera mon jacteEn infinant mon bondisse � lÕultrefonrizonte.

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MARTE

Au frontat du laborumane,Marte azurombre ameurtrie de vaille,Dans lÕincesse alsant des tabloucs,Fouldense coudacoude en d�valanche !Garention ! Parfois horsant du manche,La m�tamasse cr�nebrise un manechouc !

Mais ligamaneId�aducte,Elle avan�orfeVers av�nors.Flor�ternilleDes gerbincelles !LÕaltevolonteSe mat�riseDans la manouvre.OutissupesseRivitar�ve !Mat�ral�veHym�naziel !

�ORFAMOURE(IMAJOSIE)

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AQUALIE

Aquafilis Fervidolus Versicolos.

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ATTRACTER(TREIZIE)

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FEMINEGANCE

Un chichapeau, Un corsapointÕ,Une jupaile, Des bottineuses :

Quall�bellÕ !

Un potaplumÕUn corsaplat,Un jupensac,Des panardons :

Quall�comiqÕ !

Une chevalure,Des n�n�nus,Une diarobe,Des chausminioms :QuallallumÕ !

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TENTAVE DE MECANINSTINCT AUX

INFERSAVES

Infersaves,T�l�zieux aux racinochronouffres forcivesDans leurProu-foun-d-e-u-r,Et qui smockDes s�catures pypoloufes ;Car sanstop les avenis floriomphent.

Noctulus alphysistes,In�alchimes,G�ossomnambles,B�tag�nie !(Save, inconsave : vigor�me !) Punchballeurs des hyposunthes.Atomillagineurs de sanguimin�ros�ve !Fabules invactes sgueudegueux !PuncsufÕ par anti�post des milliar de fluxaisons messidoriennes !

LÕintellumane a bricol� le r�octave ; cequiplusest, vous avez fabr�lÕaiglat veln�ph�l�en c�rul�bule.LÕintellumane a destroqu� la radiocurie ; cequiplusest, vous avezmovanc� la vitamoure dodoeuse des mis�rumences.Maugr� ce pacotylabre, les apprentissorces r�vaginent-ils, � �orfedÕintellorgue de d�chaisir Zis por lui pilpoker les fulgum�chesc�lestiennes dans une r�volture terrassotte de dictoruse aux Infer-saves ?Aussi que contreminez-vous, Infersaves ?A la cimi�re de lÕarbrog�n�se, o� menotez-vous lÕesp��agre deshumanes ?Les fadaliserez-vous jusquÕ� les ravidioter en quadripattes, b�to-dos licouocoles standarigoustes embrouillaminiais dans une nigo-ti�re d�cr�tine dÕograchie cervellophage ?Les bolidant ensuive, les entreconnerez-vous, coutelaudents, aspi-copoings, fronconfront, dans des d�liromystries polis�nes, massa-crouilles sanguignoles, moutonconduits par des �pilepsiotes farfa-leux, por afinir dans une formidiable m�lom�lasse catastroflagra-tionnaire ?Ainsi, Infersaves, chastrirez-vous leur follorgue.Post, lÕoragie fluie, � la s�r�nange en reven�sie, les humanes r�surgeront-ils dans lÕhumblit� bonsens�enne, d�couvant, sous vosrameuilles, Infersaves, leurs antanes terradis pertus !

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MERDISANCE(CARRESIE

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SYNFOULNIE

Du sir�naube � sifflissoir,Myriosaure prolatonte,Au zoom�ca dÕusinoir,Bramake en m�tapyrobronte.Sur filacha�ne � jacjout�s,Aux avan��pres milligraves,Les mat�riants galbat�sSurgent aux r�glors mathigraves.Incisoutils en fulguisonsSÕaciarnent � poussipressonsPour que gicloeuvrent les commanes.Et sidi sÕy brusque un jarsang,CÕest afin quÕau prodinaissantSÕunillage lÕantesse umane.

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ANIMATO

Qualle fluidice agicienneVloppe silenfoule audillant !Est-ce motis paradillant ?Est-ce charmuse uricienne ?K�afait ! un milcardun baltitEt coflux en millortes froule.Ghaqu�me terrarch�e altitAu balancharme dÕunanoule.La marumanum�rumar,DÕun fauloinrose au r�lamar,SÕaccucharge en splosiv�trangesQui fusront, augr� barateurs,Le grivol des corbinciseurs,Ou les cand�lans leveranges.�

Foulendorme aux lampadairvilles !Les intimurs dÕombrenvelisAngegardent les humalitsDesclav�s des labors serriles.Les lassudes dÕextracteffortsSÕaccalment en dolordormante.Edulcore est somme ar�vante !Somme ar�vante est similmort !Pr�t�nerland, foularmistice !Tanthaine occit quand sol�glisse,Croulorgue quand chairabl�mit.Massoule se cr�de infagable,Porquoi gir�tant pour sommir ?Memphisoule somme au soussable !

LÕautomateur c�phalovaquePas�quibat en pilochoc.Milbracte bestiamac�rocCourugichore, craquetarque.Kelkesoit son mal�bressort,La chimane est ob�dicause ;Car sur la clur p�negirorLa manombre sÕy mysterpose.Dans vuilispline absor�tifProdant pousque suidant avif.Arch�junior, aux gloirommandes,Sa prace aux innochamps sÕimprit ;Et pleurbus, apr�s suraicris,Sa routourge amonte aux neigendes.

Rien ne move aux prol�tairbourgs,Barumeure en sourdinamine !Sourdebattent les noctambours ;Follesp�re catalumine.Brusquire explot un stellessoir :Le Frauve urgit et torrenrue ;Mais tankarne igne popurue,Et le Frauve ingrade au cavoir ;Un mitracier le clavessangue,Il cormolle et pupilletangue,Gorgorale et cardialentit ;Et dans ces bluzieux en r�v�le,Tandis quÕil se nuitencroulit,SÕal�ve une aurole int�relle.

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Bar

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Le pi�geaville serrejoint ;La suspice insonne ondulisse.Graphobe ! Gabinoir ! Torplice !Mouflic broudonne pr�s�loin.Vingt-deux ! Vingt-deux ! cadenabouche !Laborc� des esclamarteaux !M�tablocs fr�ment aux sertaux ; Slille est troclarc, ombrune est flouche.Cloufers sonnoctent au pavoir ;Blackoust�me, intellect�gnoir !Et mis�ra fr�le fr�mige ; Mater graine paterav�,Dans lÕimmble du noiseau trav� QuÕun regartile horbizieux frige.

Aux trompebois et p�fartons,Foulgrouille lie � flavenue !T�normanches �clorytons Carrefournent, all�grenue.Trinquaverre ruissepinard !Et fillar�ons en crichariresGuirlandolent sous claquindards,Dans les coucoudes en folires.Aux noctampions, les baldiacorpsSÕendansent aux trombonnaccords.Et pour que joves tempestellent,Superl�gres au garbloui,Dans un pyroflore aljailli,Humane et s�rel m�lestellent.

HIPPOTINE

Hippopas ! Popapi ! Papippo !Blrr ! Hili ! Blrr ! Hiliglih�gli !Silen !.................... Paf !Dring ! Dring ! Driiiing !Hippotrot ! Hippotrot ! Hippotrot !Hippogalop ! Hippogalop ! Hippogalop !Hippoglop ! Hippoglop ! Hippoglop !Higlop ! Higlop ! Higlop !Hig ! Hig ! Hig ! HibondSurhaie ! Bonsurhaie ! Bonsurhaie ! BondPatater ! Higlop ! Patater !Hip ! Hip ! Hip ! HibondSurleau ! Bonsurleau ! BondPataflac ! Hippoglop ! Pataflac !Hip ! Hip ! Hip ! Hip !Pasrapas ! pasrapas ! pasrapas !HippofonsÕ ! HippobourÕ ! HippopoussÕ !Pasrapas ! pasrapas ! pasrapas !Hippoclac ! Hippocloc ! Hippoclic !Pasra ! Pasra ! Pasra ! Pasra !VolÕ ! Proch ! Pr�s ! Raz !Pasra ! Pasra ! Pasra ! Pasra !PassÕ ! PassÕ ! PassÕ ! PassÕ !Ah ! a - a - a - a - a - a - ah !

- 66 - - 67 -

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ALLEGRO

SORDAMENTE

A MAMORIGRI (1)

(FREMSIE)

Ch�rumienne, samparamante, Mamorigri !JÕai fervont� de myst�rir dans cette fremsie le sublinostre poulpa-dis hermaphrodile.Il jambragite dans le stellit du pritajongle de la f�lisbrunove illum-nouie.(Ne piochouillez pas, commenteurs, cet antrazis et cette chim�rol-le cepdant r�alive, vous ne la d�ci�lerez pas : elle est barbel�t�g�epar le labyrinclave de ma sylvocabule idiosynchrone).Mais qualle jove terradisiaque de coralyre en liberlecte cette b�ta-gicienne delcinante qui formite � seulelle un fabulorquestre.Simultane ou alternive, par son quintorfice adam�ve, elle jouilledu clavecinchair quarantactile avec une extrordiaire d�lisubtesse ;Du fifrident verg�monte et d�gringolagamme, son instrume ver-tuolupte, surquel diverphonnent des charminettes languedoucinesen pastemps dÕapr�me, trillotantes, languiflores, languitornes, lan-guiforches, languifournes, pizzicotant, lipicotant, patinotant, ski-lissant avec une licatesse �rosbienne,

Du coxyphone balanche, de lÕantipodine chromatise, de la cadieraconcodule, du pilofonce modicane, du pipocin guitarin, dans desgigotines, tremblouses, razouillons, trobonates, branjoves, cla-codes, jusquÕau d�liraigue ;Du bruitajaz avec souphonie de cracsomme, criplan� de c�cibonesde vazivienzis, de pluphoupluphonds, de hahahohosses altorn�s dezencores et de zenempuplus, pour stopaner � lÕultr�me tumetu.O vigorance perpendicole barrefisconnante !Balors la compinaphonie ralente, furefleure en glissancoulis, puissÕalanguisse pour se motuser dans la morph�lasse immble du clo-zieux.A ce move la bestiame se d�mat�rise et cÕest une chim�rail�e qui�cheline h�licienne la strator�ve.Elle floralise, lunaronaute, aux musicanges dans la bleuaisondÕidyl�sies subcoc�anes. Plus de pritajongle, plus de f�lisbrunove,plus de poulpadis bic�phaloctule ! CÕest lÕillimited pongeant dansle s�r�nespazÕen siderplane. Achronamat�rabsol�sie !Mais comme en cendrillominocte, aux fatichocs, quand la dixui-tortombe, la chim�rolle att�raque, et cit�t le poulpadis se s�catureet dispare dans la foulonyme o� il sÕinvisble � la quidamaille pro-sa�teuse.

- 68 - - 69 -

Inse il sÕenfondra � �orfetemps dans la noctur�e du chronouffre.Cepdant la chim�rolle stablera par ce sylvocabule magice en �ter-n�lage dans la bibliosie des g�n�rumanes.Et tous les tachivores, gommencres et grattepyrus allianc�s auxmoussilles et v�ronges bouquinophobes nÕ�vanouilleront jamaiscette chim�romage, car elle est vitamoure, et la vitamoure estinoccible,Ch�rumienne, samparamante, Mamorigri !

LE ROBANTHROPE

- 70 - - 71 -

LE CHOUC

Dans la fantasmogrerieDes ouvrailles de lÕinfer,Le chouc chuse les scariesEt drucit lÕanimafer.

Atr�ve, le chouc surlumeDes stellys � son frontil :Sur lÕhorzon du martenclumeLÕavenure est forgeril.

Peuremblez clones du Tlemple !La foudroye est chouc luxor ;LÕaziel xige quÕon lÕaltemple,Vos vro�tes clavent le jor.

Mais apr�s que chouc aigraze,Il fa�ule � son riveil,Et fabre sur taburaseUn bronzart soclasoleil.

- 73 -

NRJ

1¡ Pr�cr�at : SPASSPHERNIG

2¡ Seconcr�at : MATERSPHERPUNCT

3¡ Cr�ater : MOVESPHERGIR

4¡ Quartocr�at : ATTRACTECONCENTRASPHER

Sil�nimbeVidimme

EsseImmble

GrouillisFabule

Selfactclarurg

Animusanima.AbracadabrazaC�rulitellura

NRJ

Kitakatapulk� ?Est-ce Urian ou Zis ?Fallait un soclazis ;Fallait un surian.Et cÕest Zis uriantKitakatapulk�.

Filanfafusanr�grinsansiclaquandoTabacafragarocrat�rifosforuBrontozorolifancrut�rizonitraVaroulourondonditan�clacr�sininGrond�ribrisanz�brafracabroi�aproi !NRJN� NRJN� NRJN�

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5¡ Quintocr�at : UNIVERNAISSSPHERNATIV

OrdijFormobje

III

LES SCIENTICHERCHES

Inlasse laborante � lÕoultrefonds terrus,Carnive, cellusique ou multimin�rale !Des call�flics, sanstop filassent tes varus,Jovant cachicachat avec leur briglaciale.

Qual entas de papefiches �tram�triques !M�thodipifarfous, ils ont distoubattuSur ton passimÕ de lÕincuijor aux anantiques,Pour savoir ton vientu, ton vatu, ton estu.

Ils ont chenicoui boutabout biblinomesDe bouquinoquinas eu kilom�trayonsO� volantent journoc les papyruspillonsAux rongivers coursant en foli�cr�tomes.

Ta r�alance attrise un indible brasir,Lumeuse dÕamorants aux lorgnonipponazes ;Ils te chaspellent de leurs manaces viciases ;Leurs puprilles fl�charponnent pour tÕaccrosir.

Aux tr�bucs de truquins mal�tors et fratasques,Par la chim�rhypothe aux polit�l�gants,Ils cr�denir ta recte, ils nÕont que cartomasques ;Ils cr�denir ta mane, ils nÕont que podegants.

- 76 - - 77 -

I

EXORGUE

Je mÕembatoeil de la nocture de ta surgeEt de tes prim�lans aux confulang�lis !Conjoncte myst�rouse � lÕespac�miurge !Ispeukeu cÕ�tait nig anque tu natalis.

II

LES HYPOSES

Certus tÕont cr�dul� dans la sylvascendanteDÕun sonjadis mervel de la Bellemboidor.Fabulensommill�e en la virginattente,Pr�taveil de son Princecharnel en ador.

Altres, m�fistochims, puncapel, lumizieux,TÕont r�vagu�e en sacassous quÕil possiblaireDe d�nou�r par un secr�gest articieuxJusquÕaux ducador�s des avrices millaires.

Pour Ali, cornalune ornante ton capras ;Pour Pierrome, tu te mondresses dans croisarbre ;Pour Cham, turavivue en bronzoupissibras ;Et pour Phidias, tu mat�ris en candimarbre.

Ils ont pl�tri la vocabesque � majuscrulePour se d�compenser de leur �checpital ;Les marlins par le clar grossillant du scintalExplonge lÕ�th�rel et scrouille la ci�lule.

En larlong m�tronnant lÕimprime de tes vas,Par la surmasse, par lÕamplore et la pendure,Sous �cortal, sous p�l�beste et sous trissure,Ils perquisent totus ne tÕeur�katant pas.

Ils ont pertendu lors leur longangui mathote,Maillixes, noeudygrecs, cha�namoins, queleuplus ;Mais ils nÕont pu trouter dans leur m�lim�loteQue fatrasac � foimulille en n�bulus.

IV

LES R�ALISES

Mais, moi, folandr�mart, mais sans martot � lÕ�me,Sans scalpir mon clairscient et mon cavernoscient,Sans tortir un vicorps dÕherbille ou de bestiame,Sansoustat, sanmultipliate, et sangocient,

Avec la croif de trousquer mouille � lÕabuvir,Sans lunaglass, sans �prouv�re et sans cirgie,Je preux, plalme de coresprit, Etern�gie,Voguelaisser ma jove aux chud�s de te vir.

Quand sÕavirile, au montauvert, la savirose,Souquels tactilicats sa mantatutinatSÕaploie, et je voyeure une habilhabilleuseCirpliposer la chromoline en chamtounat.

Je te ravivoyeure en �meralgu�rande,En papillailessoie, en plumedinoiseau,En perlirisorore, en dentell�cumeau,En brill�caillorvert de nageoiropicande.

Tu te paisis � charmepare en ce qui fluit,Le cristoflor neigeal aux gracifugilines,La jeunheureujoueuse en splend�clats f�mines,La sille dÕune nave, un cuivron en relui.

Je preux te supister, b�n�vole ou malorte,Dans le cheminoraire au filariane ordi ;Car le po�teupote ouvrarge lÕinvisorteEt secr�noctulit comme � sol�midi.

Je voyeure lÕalchitienne � polyssignes,Quand vend�me foli�frange dÕormadou ;Sup�ralchime, manipule en campavignes,M�tamorphant grainaprevert en raisinor.

Tu ribondis de ricoforme en ricoforme ;Du branchenu tu ressurgis � flambaneuf ;Tu mets en movement le minim et lÕonorme,Patille de mospique ou cuissasse � graboeuf.

- 78 - - 79 -

Et jamayant traitesclav� mes contadins ;Je ne voule, assalair, que chorer tes loranges.Que la jungr�le apite �crouille mes grappangesOu quÕao�torage aux orbl�miens giraflapir,Je ne voule apl�toi si le tirsort mÕintraire ;Tes projes sont tropals pour tÕen futilistraire ;Si tu mÕadges tamieus, si tu me cuis tampir !

EH ! (brabal)

Il tÕes posble un giver dÕalasser ma padence,Tandique tu bombis au juniorendrelin,Et de mÕoblaindre undi � hortir de ma plancePour me seulafaler sur lÕourlon du roulin.Tu preux jecter ma cin�rure � plus heurables,Simplex mat�riants pour dÕaltres �difables,Et grassir tojoplus ton colostorrembit,Je ne me geindrai pas de ta �orfe fantasme ;Car, fa�atoi, ne suis quÕun agglom�ratasme :Ta rige est ma�trabsole et ma gueille la sbit.

HI ! (manidos)

Je ne gromettrai pas si ta foutanfrigeancePerlaisse la granille et putride les flors,Si la guigneur en parl�ment tient baratance,Si le blain a tanfois lÕam�rume des plors.Si les maleurincuis sont les jadisortures,

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Tu charpentores sylve aux giclars des s�vures,Tu fombris par la frige aux grimi�ants irsaims ;Tu ruges dans la zundeurzis en z�brisures,Ou noctulises lÕoctobral rossignolin.

Des parches du r�al tu transes la clart�re ;A la roque ou lÕaziel ta posse sÕinchancrit,M�torphant si tu vreux le sp�rit en mat�re,Ou virant sÕil te pla�t la mat�re en sp�rit.

In�puisible, hurant la voye en Abyssope,Creucomblant sansintrupÕ, trissant, supercr�ant ;Devant ta charjurie ardive, Vid�antRitracte en Immenzie ou se trache en Perscope.

Ultrante au soleillant des surgimatinaux,Je te voyeure camener le movimonde,O Poussance bousquant la vire ind�maillondeDu Pancosme dans les quadriges gondinaux.

V

ODAISON

AH ! (manhanche)Jamayant creussong� dÕherculiner ta vigue,Jamayant sanguerc� que roujus des douvins,Jamayant bacaboche ou torsetorte � trime,

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Porquoi tÕirriprocher tempeste et guerrayuresFluxant comme sanvigne aux gicles dÕun pr�zoir,Archant m�turs, fondrant pontarchs, dessirant vailes ;Lorsque mes ravizieux frontent tes orbitelles,Tu lumilles si plalme aux proufounds du bleuzoir.

OH ! (croibras)

Nul esclam carnimien, si frible r�vibrance,Nul jacte brutabrus de mes brisibles bras,Nul r�volse sous frontamien tu nÕimpyras,Nig � matrafliquer en m�me, Omniprotence !Que jÕirge en Rockfeller ou que jÕargue en Pascal,Je ne suis quÕun p�vrille herb�re bestical ;Mais mon honorgue et plusoultrale ma cimence,CÕest de sentagir ta �orfogre � lÕintimenceDe mon cardiabatteur et de mon incr�noix,Et dÕ�tre une par�ule int�rante deTouah !