elections fédérales 2015

MON ENGAGEMENTPOUR GENEVE:

Parti socialiste genevois | OB | 2015photo de couverture: Michael Dornbiererphotos des candidat-e-s au Conseil national: atelier Bläuer, Bernephotos des candidat-e-s au Conseil des Etats: Alan HumeroseEditeur responsable: Nadia MéricLicence CC (by-nc-nd)

Le 18 octobre 2015, à l’occasion des élections fédérales, les électeurs et électrices auront le pouvoir d’influencer la direction vers laquelle ira la Suisse. Cette orientation aura des conséquences indéniables pour Genève. Voulons-nous une Suisse isolée du reste du monde, une Suisse qui maintient des privilèges pour quelques grands groupes et dirigeant-e-s? Ou voulons-nous une Suisse qui partage plus équitablement les fruits de sa prospérité entre toutes et tous ses citoyen-ne-s? Pour les Socialistes genevois, la réponse est claire: nous voulons une Suisse dans laquelle chaque personne trouve sa place, puisse librement décider de son mode de vie et ait les mêmes chances de réussite. Ces choix sont fondamentaux, car Genève, capitale des organisations internationales et centre stratégique d’une agglomération transfrontalière, ne peut prospérer dans une Suisse du repli et de l’égoïsme.

Un des grands défis à venir pour notre canton est la réforme de la fiscalité des entreprises (troisième réforme de l’imposition des entreprises RIE III), dont le taux d’imposition est en train de se décider à Berne. En jeu, des centaines de millions de francs de pertes potentielles pour Genève. Les Socialistes défendent une réforme comprenant des mesures qui compenseront ces pertes annoncées afin de continuer à maintenir des prestations et un service public de qualité dans l’enseignement, la santé, le logement, la sécurité, etc. En effet, les principales préoccupations des habitant-e-s de notre canton, comme le logement, l’assurance-maladie, l’AVS, l’égalité salariale, la protection des salarié-e-s et le soutien aux familles se décident à Berne, car elles sont des compétences fédérales et relèvent du droit fédéral. Toutes ces préocupations, pour lesquelles les Socialistes exigent résolument plus de justice sociale, sont au cœur de nos combats. Et, parce qu’elles nous tiennent à cœur, nous ne cesserons de lutter pour un canton dynamique, ouvert et tourné vers l’avenir, un canton qui s’engage pour tous et toutes, sans privilèges!Avec les Socialistes, votre voix compte à Berne!

Carole-Anne Kast, Présidente du Parti socialiste genevois

ÉLECTIONS FÉDÉRALES 2015: LES ENJEUX POUR GENÈVE

Elisez vos représentant-e-s genevois-es aux deux chambres du Parlement fédéral:

CONSEIL NATIONAL: LISTE N°3CONSEIL DES ETATS: LISTE N°1

Les élections fédérales du 18 octobre sont déterminantes. Elles dessineront les majorités au parlement de notre pays et par conséquent la politique de la Suisse dans les années à venir. Des enjeux importants se joueront à l’Assemblée fédérale et auront un impact sur les moyens dont disposera notre canton pour assurer des prestations indispensables à la population genevoise.Grâce aux Socialistes, l’AVS, le congé maternité, le droit de vote des femmes et les conventions collectives de travail, qui protègent les salarié-e-s, ont été instaurés. Ces droits sont de plus en plus menacés par une droite qui cherche à démanteler ces acquis sociaux. Les Socialistes se battent avec acharnement pour une Suisse au sein de laquelle toutes et tous puissent vivre dignement et ne soient pas exclu-e-s. Les Socialistes défendent une Suisse ouverte, juste et solidaire. Voter pour les Socialistes, c’est défendre:

L’emploi: Le Parti socialiste exige l’extension des conventions collectives de travail, qui intègrent des salaires minimums et des possibilités de formation professionnelle pour protéger les salarié-e-s et leur garantir de bonnes conditions de travail. Le Parti socialiste veut le renforcement de la protection contre les licenciements, qui devront obligatoirement être motivés. Il s’engage aussi à étendre les mesures d’accompagnement à la libre circulation des personnes. Enfin, l’assurance-chômage doit améliorer ses prestations avec des formations continues prises à sa charge.

La fiscalité: Le Parti socialiste prône une répartition équitable des richesses. Chacun-e doit contribuer au fonctionnement de notre société en fonction de ses moyens. Les richesses ne doivent pas être concentrées dans les mains d’une poignée de privilégiés, exonérés d’une partie de l’impôt. L’équité devant l’impôt est fondamentale pour que l’Etat puisse offrir à la population les prestations dont elle a besoin (crèches, écoles, hôpitaux, soins aux personnes âgées, logements, etc.). Le Parti socialiste se bat également pour la mise en place d’une taxe sur les transactions boursières (taxe Tobin) afin de freiner la spéculation boursière et générer des recettes fiscales dans un secteur qui ne paie pas la TVA.

La formation: Le principe d’égalité est au cœur de tous les combats socialistes.Chaque enfant a droit à une bonne formation, quel que soit le revenu de ses parents ou l’environnement dans lequel il grandit. Le Parti socialiste genevois défend une école qui a suffisamment de ressources et de moyens à sa disposition. La réalisation de l’égalité des chances passe par la mise en place d’une école à journée continue qui permet d’encourager les enfants dans leur apprentissage; qui favorise l’expérience de la diversité; et qui ancre les élèves dans le mieux-vivre en société. De plus, le Parti socialiste exige une augmentation des allocations familiales et de formation.

La santé: Les assuré-e-s paient beaucoup trop de primes d’assurance-maladie. Leur coût alourdit le budget des ménages qui doivent faire des sacrifices financiers pour

PROGRAMME

pouvoir les payer. Ce surcoût est injustifié lorsqu’il n’est pas dédié à l’amélioration des prestations, mais sert uniquement à enrichir les assureurs privés. Les Socialistes veulent la suppression des primes des enfants et la baisse des primes d’assurance-maladie, pour que celles-ci ne dépassent pas 10% du revenu.

Le logement et l’aménagement: Le canton de Genève connaît toujours une grave pénurie de logements. Si le droit au logement est inscrit dans notre Constitution (art. 38), trouver un logement à un prix abordable relève malheureusement du parcours du combattant. Cette pénurie est trop souvent organisée par des spéculateurs peu scrupuleux qui recherchent l’enrichissement au détriment des locataires. Le Parti socialiste se bat contre la spéculation et pour que les loyers soient bon marché. La spécificité de Genève, en sa qualité de région frontalière, doit être mieux comprise. Les Socialistes défendent la construction de logements de qualité pour toutes et tous, en préservant le territoire et le paysage.

Les retraites: Contrairement à ce que soutient la droite, la capacité de la Suisse à financer sa retraite dépend d’une juste répartition de ses ressources et donc de la volonté politique à la réaliser. Notre système d’assurances sociales ne doit pas être démantelé. Celles et ceux qui ont travaillé durement toute leur vie, ont le droit à une retraite qui leur permet de vivre dignement. Les Socialistes veulent augmenter les rentes AVS de 10%, sans toucher à l’âge de la retraite.

Le principe d’égalité: Aujourd’hui, en 2015, les femmes gagnent encore, en moyenne, 20% de moins que les hommes! Le Parti socialiste exige la réalisation de l’égalité salariale grâce à une surveillance efficace des salaires comprenant la publication des échelles de salaires et l’application de sanctions. De plus, il s’engage en faveur du mariage pour tous; pour une sensibilisation aux différences dès le plus jeune âge; et pour l’application de sanctions contre toute forme de discrimination.

La mobilité: C’est un fait : avec l’accroissement de la population, les villes s’étendent. Les effets négatifs de l’agrandissement des agglomérations ne pourront pas être résolus par la construction de nouvelles routes. Au contraire, le Parti socialiste veut un réseau ferroviaire et des transports publics, performants et étendus, qui auront un effet considérable sur le désengorgement routier et sur notre qualité de vie. L’espace public redeviendra ainsi accessible aux piétons et aux cyclistes. Grâce à cette mobilité durable, notre air et notre environnement seront préservés.

La coopération internationale: Les drames liés à la migration, tels que l’actualité ne cesse de nous les relater, ne peuvent pas nous laisser indifférent-e-s! Les Socialistes s’engagent à augmenter le budget de la coopération internationale pour permettre aux populations des pays concernés d’améliorer durablement leurs conditions de vie, et de limiter les trafics de personnes qui poussent des hommes et des femmes à prendre tous les risques pour traverser la Méditerranée afin d’offrir une vie meilleure à leurs enfants et les extirper des zones de guerres.


CARLO SOMMARUGA

Déterminé à renforcer la protection des salariés et des locataires, je continuerai à m’investir pour leur défense. Les classes moyennes et populaires resteront au cœur de mes préoccupations, en particulier sous l’angle de la justice fiscale et de l’accès à des logement abordables.Les valeurs de justice, de solidarité et d’ouverture guideront toujours mon engagement. A Genève, en Suisse et dans le monde, je poursuivrai - fidèle à l’esprit de Genève - la lutte pour la démocratie, les droits de l’homme, l’Etat de droit et la dignité de chacun.Je défendrai une Suisse ouverte, en partenariat stable avec l’Europe et assumant sa responsabilité pour un développement international durable et des multinationales responsables.Relais fédéral d’une Genève internationale solide, sociale et humanitaire, je soutiendrai les atouts de notre canton qui y contribuent comme son université, ses HES, sa diversité culturelle et sa politique d’intégration. A Berne, je porterai la voix d’une Genève, d’une Suisse et d’un monde solidaire!

56 ans, quatre enfants, Conseiller national. Avocat, vice-président de l’ASLOCA Suisse et ancien secrétaire syndical. Président de la Commission de politique extérieure du Conseil national, membre du comité de Swissaid et de la Commission fédérale de la coopération au développement.www.carlosommaruga.ch

Conseil national


LAURENCE FEHLMANN RIELLE

La réforme en cours pour adapter le système des retraites prévoit l’élévation de l’âge de la retraite des femmes de 64 à 65 ans, une augmentation de la TVA et une baisse du taux de conversion de 6,8% à 6% pour les rentes du 2e pilier. Ces réformes font partie d’un paquet présenté par le Conseil fédéral. Je m’élève contre cette détérioration de la situation des femmes: d’une part, elles gagnent 20% de moins que les hommes; d’autre part, cette réforme ouvrirait une brèche pour une augmentation généralisée de l’âge de la retraite au détriment des hommes également. En conséquence, je m’engage à combattre toute détérioration des futures retraites et à soutenir le renforcement de l’AVS, système beaucoup plus équitable.

Assurance maladie: les primes par tête représentent une charge beaucoup trop importante pour les familles. Je m’engagerai pour que les primes soient réduites afin qu’elles ne dépassent pas le 10% du revenu d’un ménage.

59 ans, mariée, Conseillère municipale en Ville de Genève. Directrice FEGPA-Carrefour addictionS (prévention alcool/cannabis). Licence en Sciences politiques, diplôme IDHEAP, Master en santé publique, anc. Députée, anc. présidente du Parti socialiste genevois, présidente de l’Association Suisse Birmanie, membre comité Cercle dir. d’entreprises, de F-Information et de la Commission cantonale d’aide au sport. www.fehlmann-rielle.info


MANUELTORNARE

Elu à l’Exécutif de la Ville de Genève, Maire de Genève, je m’étais battu pour doubler le nombre de places en crèche, obtenir le maintien des prestations municipales complémentaires à l’AVS/AI, développer la politique sociale en faveur des plus démunis, des aînés et des handicapés. J’ai obtenu le maintien, aux côtés des habitants, de la Poste de Saint-Jean.Elu à Berne, je me suis battu ces quatre dernières années pour la Genève internationale, pour les droits humains, pour la défense du service public postal, pour améliorer les transports publics dans l’arc lémanique, pour augmenter l’aide financière à la politique en faveur des familles et des structures de la petite enfance. J’ai été reconnu, par la Fédération suisse de consommateurs, comme l’un des meilleurs défenseurs des consommateurs.Réélu à Berne, je continuerai à défendre les intérêts de Genève en matière de transports publics dans la région, à renforcer la Genève internationale, à améliorer les prestations AVS/AI, les aides à la formation, la culture et le sport, et la qualité des services publics.

64 ans, Conseiller national, ancien Maire de Genève, ancien député. Titulaire d’un Master en Lettres. Président de la LICRA, de l’UPA (Université populaire albanaise), de la Maison Rousseau/littérature, membre du bureau de la Fondation du Grand-Théâtre. Co-président du cercle de soutien à la rénovation du Musée d’Art et d’Histoire.www.manueltornare.ch


LYDIA SCHNEIDERHAUSSER

Je m’engage pour le renforcement des politiques sociales, terreau de notre lien confédéral.Je m’engage à lutter pour l’égalité entre femmes et hommes. Plus de 51 % des femmes travaillent à temps partiel (contre moins de 20% d’hommes) et plus de 80 % des cheffes des familles monoparentales sont des femmes!Je m’engage à faire appliquer, entre les cantons, les principes de l’universalité, d’égalité de traitement et de la capacité économique, à éliminer la concurrence fiscale. Certains cantons surfent sur des impositions minimales et font porter, sur leurs voisins urbains, les coûts des écoles supérieures, des universités et des hôpitaux.Avec le modèle des 4 piliers en matière de politique drogue, la Suisse a été à l’avant-garde de tous les pays du monde. Ce dispositif fonctionne bien. L’étape suivante sera la gestion du marché des produits, des drogues où la Suisse devra s’ouvrir à des expérimentations. Je soutiendrai la régulation du marché du cannabis.

57 ans, Députée au Grand Conseil, cheffe du groupe Socialiste, membre des commissions finances, travaux, et de la commission fiscale. Coordinatrice association SOS Femmes, assistante sociale. Membre du comité de l’association Astural, du Collectif 500. Comités/présidences précédent-e-s: Ludothèque Plainpalais-Jonction, Fondation Cap Loisirs, Pré-en-Bulle, Première Ligne.


THIERRYTANQUEREL

Justice, solidarité, ouverture: trois valeurs plus que jamais d’actualité, mais plus que jamais menacées. Les inégalités se creusent, les services publics sont toujours remis en cause, la protection sociale s’affaiblit, la précarité s’étend. Le nationalisme et la xénophobie gagnent du terrain dans toute l’Europe et prospèrent de façon inquiétante en Suisse et à Genève. Ils menacent les fondements de notre démocratie et de notre Etat de droit.

La voix d’une autre Suisse doit être mieux entendue. Une Suisse qui se préoccupe du sort des plus faibles; qui demande à chacun de contribuer au bien commun selon ses moyens; qui garantit des chances égales à toutes et tous; qui maintient une démocratie directe vivante, mais respectueuse des minorités et des droits fondamentaux; qui ne s’enferme pas dans un isolement égoïste et mortifère. Que notre canton donne l’exemple sur son territoire et porte cette voix à Berne! Tel est mon engagement pour Genève.

61 ans, docteur en droit, professeur à l’Université de Genève, directeur du Centre d’études, de technique et d’évaluation législatives (CETEL). Constituant, président puis membre de la commission de rédaction de l’Assemblée constituante du canton de Genève (2008-2012). Ancien juge au Tribunal administratif du canton de Genèvewww.tanquerel.ch


NICOLEVALIQUERGRECUCCIO

Je m’engage pour une politique cohérente de l’aménagement du territoire à l’échelle nationale. Le sol ne doit pas être gaspillé; offrir des logements de qualité passe par des constructions d’une densité urbaine. La spécificité de Genève, comme celle des villes et des régions métropolitaines en Suisse, doit être défendue si l’on veut garantir le droit au logement.Je m’engage pour une politique de l’emploi qui préserve les emplois menacés par le franc fort et pour un service public de qualité. Je m’engage à renforcer la législation en matière du droit du travail afin de garantir la protection des travailleuses et travailleurs contre les licenciements, et améliorer celle en cas de maladie (APG); lutter contre le harcèlement psychologique et sexuel et concrétiser l’égalité salariale au sein des entreprises. Je m’engage contre le dumping salarial par un soutien au partenariat social et aux conventions collectives de travail.Fille de la démocratisation des études, je m’engage pour une politique culturelle forte.

54 ans, Députée au Grand Conseil, Conseillère municipale en Ville de Genève de 2003 à 2015. Sociologue, syndicaliste, membre de la Fondation immobilière de droit public Emma Kammacher, de la commission Aménagement et logement de la Communauté genevoise d’action syndicale, du comité de l’Asloca Genève et du Groupe de suivi « Praille-Acacias-Vernets »


SYLVAINTHEVOZ

Nous vivons à Genève sur un territoire restreint. La richesse globale y est grande. Toutefois, les inégalités sociales augmentent et de plus en plus de personnes vivent dans la précarité. Notre taux de croissance est important, mais profite-t-il vraiment à toutes et tous? Trop d’aîné-e-s, considéré-e-s comme improductifs, sont isolé-e-s. Le traitement des requérants d’asile est d’une indigence grave. Des hommes et des femmes attendent leur renvoi de manière stérile. Les compétences de chacun-e doivent être revalorisées afin qu’il/elle puisse donner ce qu’il/elle a de meilleur et recevoir en retour ce qu’il/elle mérite. Je m’engage pour que Genève devienne un foyer social, culturel, créateur de richesses, aménagé pour et par ses habitant-e-s. Vivre autrement, vivre mieux, c’est reconsidérer notre système économique, social et écologique. Communaliser nos ressources, c’est faire des économies et maximaliser notre bien-être. Genève, ensemble, c’est possible.

40 ans, Conseiller municipal en Ville de Genève.Travailleur social. Membre des comités d’Ap-partenances (aide aux migrant-e-s), Aspasie (défense des personnes exerçant le travail du sexe), Boulevards (prévention hors murs, de rue et de nuit), ATE (Association transports et envi-ronnement), Art + Politique. www.sylvainthevoz.ch


OLGA BARANOVA

Qu’il s’agisse des infrastructures, de la fiscalité, de l’économie ou encore de la migration, Genève devra faire face à de nombreux défis. Ces défis dépassent de plus en plus les frontières cantonales et nécessitent une action intelligente et concertée de l’ensemble des collectivités publiques suisses. C’est pour cette raison que Genève doit chercher à se faire entendre à Berne, comme un véritable contrepoids aux conservatismes de tout bord. Nous avons, dans les années à venir, l’opportunité de nous profiler comme des véritables acteurs du développement du pays, en fédérant les Villes autour d’un projet commun d’une Suisse qui ose affronter l’avenir; qui innove; qui crée de la qualité de vie pour toutes et tous. Alors, saisissons cette chance d’élir aux Chambres fédérales des hommes et des femmes qui ont le bien commun, et non pas des intérêts privés, pour ligne conductrice de leur action!

24 ans, Conseillère municipale en Ville de Genève, chargée de communication visuelle et étudiante en management public (MAP) à l’Université de Genève. Présidente de Solidar Suisse Genève, membre du comité de l’association Droits politiques pour les résident-e-s à Genève, bénévole de l’assocation Dialogai et membre du conseil de fondation de la FCIG. www.baranova.ch


ROGERDENEYS

Régulariser les sans-papiers qui ont séjourné plus de 5 ans à Genève et qui n’ont pas commis de délits. Réintroduire la clause du besoin dans le secteur de la restauration. Interdire le dumping salarial et commercial pour protéger les salarié-e-s, et entreprises suisses. Soutenir les PME et les indépendant-e-s. Augmenter les minima AVS de 50%. Encourager l’agriculture biologique. Encourager les vraies coopératives d’habitation pour allouer 20% du parc immobilier genevois à des loyers abordables. Garantir l’accès aux études et à la formation pour toutes et tous. Réaliser la gare souterraine de Cornavin. Piétonniser le centre-ville. Libéraliser la consommation de drogues sous contrôle public. Réduire les coûts de l’armée suisse de 50%. Introduire un impôt de solidarité sur les hauts revenus pour lutter contre l’accroissement des inégalités. Mettre sur pied une politique pénitentiaire régionale. Créer une caisse-maladie publique.

51 ans, en couple, 2 enfants de 9 et 13 ans, Député au Grand Conseil. Patron d’une entreprise durant près de 20 ans, employé auprès d’une fédération syndicale internationale (UITA). Membre du comité de Provélo GE et des Entrepreneurs Progressistes (GEIP), coopérateur de la CodHA, de Mobility et des Jardins de Cocagne.www.rogerdeneys.ch


AMANDA GAVILANES

Je m’engage pour une Genève où chacun-e peut vivre selon ses moyens, ses besoins et dans la dignité. Je n’accepte pas que, dans notre pays, certain-e-s de nos concitoyen-ne-s vivent en dessous du seuil de pauvreté. C’est pourquoi, la préservation des acquis sociaux, comme les CCT, sera une de mes priorités. J’œuvrerai pour une société plus égalitaire et plus juste en luttant contre les discriminations de toutes sortes et en faveur de l’égalité entre femmes et hommes. Pour que nous puissions toutes et tous mener la vie à laquelle nous aspirons!Je m’engage également pour une Genève respectueuse des droits humains et des Conventions dont elle est la dépositaire. Notre politique en matière de coopération et de solidarité internationale doit être cohérente et engagée! Cela va de paire avec une politique de sécurité responsable et soucieuse de l’Etat de droit et des libertés individuelles. Pour une Suisse pour toutes et tous sans privilèges!

32 ans, Conseillère municipale en Ville de Genève.Secrétaire romande du GSsA, politologue. Membre du comité pour l’Avortement Libre et Gratuit, de Feminista!, d’Osez le féminisme Suisse et d’Attac.www.amandagavilanes.ch


38 ans, marié, 2 enfantsDéputé au Grand ConseilPrésident de l’Association Transports et Environnement, ATE-GenèveMaster en Sciences politiquesChargé de projetswww.thomaswenger.pssuisse.ch

THOMAS WENGER

Je m’engage pour un service public répondant aux besoins de chacun et chacune. Pour des transports publics performants, le développement d’énergies renouvelables, un aménagement du territoire respectueux de l’environnement et des logements abordables.Je veux un système de santé transparent, où les primes ne servent pas à enrichir les assurances privées, mais à financer des soins de qualité sans discrimination; des retraites assurées; une lutte renforcée contre le chômage.Je défends une Suisse ouverte, fière de ses valeurs d’accueil et de solidarité; un développement économique durable pour des emplois pérennes; une fiscalité juste et équitable. Face aux phénomènes d’exclusion et aux attaques contre les prestations publiques, nous devons privilégier, avec force, l’intérêt général contre les intérêts particuliers. Les décisions prises à Berne ont des répercussions concrètes sur notre quotidien. Je m’engage à défendre vos intérêts et ceux de notre canton.

LILIANE MAURY PASQUIER,une femme au service de la population genevoise

À la tête de la commission santé-social du Conseil des États, elle défend les intérêts des assuré-e-s genevois-es, notamment en demandant des primes-maladie équitables et la suppression de ces primes pour les enfants. Elle s’engage pour des soins de qualité et accessibles à toutes et tous. Elle œuvre aussi au renforcement de la politique familiale et sociale - notamment des rentes AVS – et pour l’égalité hommes-femmes. À la commission science-éducation-culture, elle soutient la recherche et la formation, un système éducatif ouvert à toutes et tous ainsi qu’une offre culturelle riche et variée. À la commission de politique extérieure comme à la Délégation auprès du Conseil de l’Europe – qu’elle a présidée en 2012 et 2013 -, elle promeut infatigablement les droits humains. À Berne, elle s’est battue avec succès afin d’améliorer l’accès aux réparations pour les victimes de violations commises par des multinationales, dont beaucoup siègent à Genève. À Strasbourg, elle s’est notamment engagée pour le respect des droits fondamentaux au Sahara occidental et pour la protection des enfants victimes de violences sexuelles.

Liliane Maury Pasquier, sage-femme de pro-fession, est Conseillère aux États du canton de Genève depuis 2007. En 2002, elle a été prési-dente du Conseil national, où elle a siégé 12 ans. Âgée de 58 ans, elle est mariée, mère de 4 en-fants et grand-mère de 7 petits-enfants.

18 octobre 2015 - Liste n°1www.geneveaberne.chwww.maurypasquier.ch

Conseil des Etats

De toutes parts, les voix s’accordent: Liliane Maury Pasquier et Robert Cramer défendent remarquablement les intérêts de leur canton. Au cours de la législature écoulée, ils ont fait campagne contre l’initiative du 9 février 2014, qui isole notre pays. Ils se sont engagés pour un système d’assurance-maladie équitable et mieux contrôlé. Ils ont œuvré avec succès contre la discrimination en raison de l’orientation sexuelle. Ils ont travaillé à construire une économie au service de toutes et tous. Robert Cramer et Liliane Maury Pasquier ont relayé à Berne les préoccupations des Genevois-es. Au service des assuré-e-s, ils se sont battus pour obtenir le remboursement des primes d’assurance-maladie payées en trop par les habitant-e-s du canton de Genève. Au service des familles, ils se sont engagés avec succès pour la primauté des intérêts de l’enfant en cas de séparation et une résolution rapide, non bureaucratique et égalitaire des conflits. Ils ont aussi soutenu l’accueil extrafamilial, domaine où l’aide fédérale a permis au canton de Genève de créer de nombreuses places de crèche. Au service des consommatrices et des consommateurs, ils ont défendu les intérêts de l’agriculture de la région genevoise. Ils ont aussi œuvré sans relâche pour la Genève internationale, les droits humains, ainsi qu’une Suisse solidaire et écologique.Dans tous ces domaines, Liliane Maury Pasquier et Robert Cramer forment un duo complémentaire et uni pour représenter les Genevois-es. Durant la législature écoulée, ils ont voté à Berne comme la population du canton sur les sujets fédéraux soumis au verdict populaire. Que ce soit pour soutenir une caisse publique d’assurance-maladie, assurer le financement du développement ferroviaire, lutter contre les rémunérations abusives, contrer l’achat des Gripen ou encore pour déployer un aménagement du territoire qui favorise un logement de qualité en milieu urbain.

Robert Cramer et Liliane Maury Pasquier une expérience et des compétencesreconnues à Berne, au servicedes Genevois-es

LILIANE MAURY PASQUIERROBERT CRAMERAU CONSEIL DES ETATS

LES VERTSGENÈVE

VOTEZ POUR LA LISTE N°1

le 18 octobre 2015

VOTRE VOIX COMPTE A BERNE

Les milieux xénophobes ne s’y trompent pas: ils préparent déjà leurs recettes pour appliquer l’initiative du 9 février 2014 sur l’immigration de masse. Vote après vote, la majorité de droite du Conseil national suit les thèses les plus extrémistes et les moins respectueuses des libertés fondamentales: par exemple avec la nouvelle loi sur la surveillance et la loi sur le renseignement, ou encore sur les questions d’asile et de naturalisation. Le Conseil des États fait rempart contre les plus graves débordements. Pour la défense de notre démocratie, chaque siège compte! L’action de Liliane Maury Pasquier et Robert Cramer est souvent déterminante pour préserver et développer une société unie dans sa diversité. Ces prochaines années, notre pays devra relever de nombreux défis. Il faudra notamment gérer les relations bilatérales, particulièrement importantes pour la Genève internationale et multiculturelle. Mais aussi assurer la réforme de la prévoyance vieillesse, la transition énergétique ou encore le soutien à la recherche et à la formation.Sur ces enjeux cruciaux, Robert Cramer et Liliane Maury Pasquier continueront à s’engager pour trouver des solutions communes et à défendre les intérêts des Genevois-es. Au Conseil des États, le dialogue est essentiel pour trouver des majorités. La personnalité, l’expérience et les réseaux des deux sortant-e-s sont donc des atouts majeurs pour faire entendre la voix de Genève à Berne.

Ensemble, Liliane Maury Pasquier et Robert Cramer s’engagent pour une Suisse respectant le travail et reposant sur des valeurs d’intégration plutôt que d’exclusion.

Ensemble, ils agissent pour une médecine de qualité accessible à toute la population.

Ensemble, ils s’engagent pour la sortie du nucléaire, la sobriété énergétique, les énergies renouvelables et une politique des transports respectueuse de l’environnement.

Ensemble, Robert Cramer et Liliane Maury Pasquier œuvrent pour une politique culturelle diversifiée, pour un système éducatif démocratique et pour la non-discrimination de tous les parcours de vie.

Les prochaines années seront décisives pour l’ouverture de la Suisse

LILIANE MAURY PASQUIERROBERT CRAMERAU CONSEIL DES ETATS

LES VERTSGENÈVE

VOTEZ POUR LA LISTE N°1

le 18 octobre 2015

VOTRE VOIX COMPTE A BERNE

elections fédérales 2015

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