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Anne Lunati – P.E.M.F. – Circonscription de Molsheim. E.M.C. – Cycle 2 Comment m’y prendre avec les autres ? Textes officiels : Bulletin officiel spécial n°11 du 26 novembre 2015 Bulletin officiel spécial n° 6 du 25 juin 2015 Domaine 3 La formation de la personne et du citoyen L'accès à des valeurs morales, civiques et sociales se fait à partir de situations concrètes, de confrontations avec la diversité des textes et des œuvres dans tous les enseignements et plus particulièrement dans l'enseignement moral et civique. Cet enseignement vise à faire comprendre pourquoi et comment sont élaborées les règles, à en acquérir le sens, à connaitre le droit dans et hors de l'école. Confronté à des dilemmes moraux simples, à des exemples de préjugés, à des réflexions sur la justice et l'injustice, l'élève est sensibilisé à une culture du jugement moral : par le débat, l'argumentation, l'interrogation raisonnée, l'élève acquiert la capacité d'émettre un point de vue personnel, d'exprimer ses sentiments, ses opinions, d'accéder à une réflexion critique, de formuler et de justifier des jugements. Il apprend à différencier son intérêt particulier de l'intérêt général. La sensibilité : soi et les autres. Prendre soin de soi et des autres = Le soin du langage : langage de la politesse. Le droit et la règle : des principes pour vivre avec les autres Adapter sa tenue, son langage et son comportement aux différents contextes de vie et aux différents interlocuteurs. Le jugement : penser par soi-même et avec les autres Différencier son intérêt particulier de l’intérêt général. L'engagement : agir individuellement et collectivement Respecter les engagements pris envers soi-même et envers les autres. Expliquer en mots simples la fraternité et la solidarité. Objectifs généraux : - Prendre en compte l’autre, différencier son intérêt particulier de l’intérêt général. - Prendre soin de soi et des autres = Le soin du langage : langage de la politesse. - Adapter sa tenue, son langage et son comportement aux différents contextes de vie et aux différents interlocuteurs.

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Anne Lunati – P.E.M.F. – Circonscription de Molsheim.

E.M.C. – Cycle 2 Comment m’y prendre avec les autres ?

Textes officiels :

• Bulletin officiel spécial n°11 du 26 novembre 2015 • Bulletin officiel spécial n° 6 du 25 juin 2015

Domaine 3 La formation de la personne et du citoyen L'accès à des valeurs morales, civiques et sociales se fait à partir de situations concrètes, de confrontations avec la diversité des textes et des œuvres dans tous les enseignements et plus particulièrement dans l'enseignement moral et civique. Cet enseignement vise à faire comprendre pourquoi et comment sont élaborées les règles, à en acquérir le sens, à connaitre le droit dans et hors de l'école. Confronté à des dilemmes moraux simples, à des exemples de préjugés, à des réflexions sur la justice et l'injustice, l'élève est sensibilisé à une culture du jugement moral : par le débat, l'argumentation, l'interrogation raisonnée, l'élève acquiert la capacité d'émettre un point de vue personnel, d'exprimer ses sentiments, ses opinions, d'accéder à une réflexion critique, de formuler et de justifier des jugements. Il apprend à différencier son intérêt particulier de l'intérêt général. La sensibilité : soi et les autres. Prendre soin de soi et des autres = Le soin du langage : langage de la politesse. Le droit et la règle : des principes pour vivre avec les autres Adapter sa tenue, son langage et son comportement aux différents contextes de vie et aux différents interlocuteurs. Le jugement : penser par soi-même et avec les autres Différencier son intérêt particulier de l’intérêt général. L'engagement : agir individuellement et collectivement Respecter les engagements pris envers soi-même et envers les autres. Expliquer en mots simples la fraternité et la solidarité. Objectifs généraux :

- Prendre en compte l’autre, différencier son intérêt particulier de l’intérêt général. - Prendre soin de soi et des autres = Le soin du langage : langage de la politesse. - Adapter sa tenue, son langage et son comportement aux différents contextes de vie et aux

différents interlocuteurs.

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Un petit tour d’horizon pour l’enseignant : Source : Citoyenneté à vivre en cycle 2, Jean-Pierre Remond, Editions Accès, chapitre 8. Les mots de la politesse La politesse constitue l’indispensable tissu social. Sans la civilité, les liens sociaux se délitent pour se réduire à une lutte des uns contre les autres même pour les choses les plus insignifiantes. Un langage poli se caractérise par toute une série d’usages linguistiques oraux et écrits qui ont évolué. Les codes corporels Tout se qui concerne le corps fait l’objet d’usages qui édictent des formes de bienséance. Elles sont d’une extrême variété et concernent toutes les manifestations corporelles. La civilisation tend à effacer l’appartenance de l’homme à la nature et sa dépendance à ses fonctions vitales. Le savoir-vivre Les civilités s’inscrivent également dans les hiérarchies sociales. Elles valorisent l’attention aux autres et ont essentiellement pour visée la protection des personnes en position de faiblesse. L’empathie Ressentir ce que l’autre ressent tout en restant soi-même. L'empathie, c'est la capacité de se mettre à la place des autres et surtout de comprendre leurs émotions, leurs souffrances et à terme de s'impliquer d'une manière ou d'une autre pour tenter d'y apporter une réponse appropriée.

Quelques définitions : La politesse Manière respectueuse de parler et d’agir envers les autres. Les civilités Bonnes manières et comportements de respect adoptés dans un pays. Le savoir-vivre Mise en application de la politesse dans la vie en société. La solidarité Lien social d'engagement et de dépendance réciproques entre des personnes ainsi tenues au bien-être des autres, généralement des membres d’un même groupe liés par une communauté de destin (famille, village, profession, entreprise, nation, etc.). La fraternité Lien fraternel et naturel ainsi que le sentiment de solidarité et d'amitié qui unissent ou devraient unir les membres de la même famille que représente l'espèce humaine.

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Rituels de langage à mettre en place dans la classe Comment rendre une conversation agréable ? Moment de langage quotidien ritualisé pour permettre à tous les élèves de parler, de donner son opinion, de partager ses émotions et d’exprimer ses besoins. Ceux qui ne parlent pas écoutent les autres, interrogent si besoin… Chaque élève a le droit à la parole (faire tourner un « bâton de parole »). Chaque élève a le droit d’être écouté (seul celui qui a le bâton parle). Chaque élève a le droit de refuser de prendre la parole et fait donc tourner le bâton à son voisin. Prévoir un questionnement bien précis et demander aux élèves d’argumenter (Pourquoi ?) Exemples de questionnement : Comment te sens-tu aujourd’hui ? Et pourquoi ? Quelle est ton activité préférée ? et pourquoi ? De quoi es-tu le plus fier ? Et pourquoi ? ü Prendre en compte l’autre : son corps, ses sentiments, ses opinions, ses besoins.

Le temps de débat en classe au cycle 2.

Langage oral : ü Conserver une attention soutenue lors des situations d’écoute ou d’interactions. ü Produire des énoncer clairs en tenant compte de l’objet du propos. ü Participer avec pertinence à un échange. E.M.C. : Le jugement – penser par soi-même et avec les autres. ü Exposer une courte argumentation pour exprimer et justifier un point de vue. ü S’affirmer dans un débat sans imposer son point de vue aux autres et accepter le point de vue des

autres.

Un débat est une discussion ou chacun doit s’exprimer librement sur un sujet. Objectif : apprendre à penser par soi-même. A élaborer une pensée rationnelle et fondée sur les questions importantes posées à la condition humaine, au contact exigeant des autres. Méthode : la discussion réglée entre élèves sous la conduite vigilante du maître :

- à partir de questions que les élèves ont eux-mêmes posées et choisies de débattre - suite à un problème rencontré en classe - suite à la lecture d’un album de littérature de jeunesse - à partir d’une maxime.

Périodicité : une à deux séances de 15-20 minutes par semaine (en fonction des besoins).

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Organisation : Nous procédons toujours de la même manière et de façon très ritualisée. 1. Regroupement au coin langage de la classe. Espacement des bancs pour élargir le cercle,

éviter les conflits dus à la proximité et permettre à tous de se voir. 2. On allume la bougie (ou autre signal). La bougie ouvre la séance. A la fin, on éteint la

bougie pour clôturer la séance. 3. Au départ on explique qu'on va réfléchir et essayer de répondre à des questions et on

rappelle les règles du débat : § il n'y a pas de bonnes ou mauvaises réponses, on peut dire les choses que l’on pense

vraiment, § les enfants ne sont plus des élèves et les maîtresses plus des maîtresses mais des

"personnes du monde", § on va parler dans sa tête, réfléchir (on a le temps) pour dire après, § on attend le bâton de parole pour parler, § on s’écoute, § on ne se moque pas ou qu'on ne rigole pas pour ne pas faire croire qu'on juge celui

qui parle, § on essaie de ne pas répéter ce qui est dit, § lorsqu’on parle de quelqu’un, on essaie de ne pas donner de nom, de rester "général",

de dire "on" ou "des enfants" ... Le but est de ne stigmatiser personne. 4. C’est le sablier qui est le maître du temps. 5. Ensuite on donne un thème ou on pose la question du débat. 6. On passe le bâton de parole. La maîtresse reformule les idées des enfants, relance le débat,

prend des notes, veille aux respects des règles du débat. 7. A la fin de l'atelier on récupère le bâton de parole. On demande aux enfants qui n'ont pas

parlé s'ils veulent expliquer pourquoi, on demande ensuite comment ça s'est passé. 8. En classe, il y a un cahier de débats, la maîtresse met dedans un compte rendu du débat et

un élève peut illustrer ce thème. Evolutions possibles : Durant l’année, les enfants ont envie de prendre des responsabilités. On peut nommer pour chaque séance le responsable du bâton de parole, le responsable du sablier (le maître du temps), le responsable de la bougie (le maître du feu).

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Propositions de situations pour atteindre ces objectifs : 1-2 séances sont nécessaires pour atteindre l’objectif visé.

1) Situation inductrice d’une réflexion (voir propositions de situations) 2) Débat avec argumentation, sans jugement de valeur, pour permettre à chacun de

donner son avis personnel 3) Confronter les avis, faire un rappel de la règle établie pour permettre un retour sur son

positionnement personnel 4) Arriver à un consensus, une règle que les élèves vont comprendre et peut être respectée.

Situations pour prendre soin de soi Travailler l’estime de soi. Exprimer ses émotions. Prendre soin de son corps. « Avant d'aimer les autres, il faut savoir s'aimer soi-même. En travaillant sa confiance en soi, on apprend à mieux se connaître. Se comprendre et s'accepter soi-même est le premier pas pour mieux comprendre les autres. » Cécile Cardol.

Situations pour prendre soin des autres Soigner son langage : Situation A : Le langage de politesse Plusieurs possibilités s’offrent à l’enseignant pour faire l’inventaire des formules de politesse :

- recherche en petits groupes suivie d’un bilan collectif - collecte progressive en classe complète - improvisations théâtrales avec validation des propos des personnages.

A partir d’images : Que peuvent dire ces personnages ?

Sources : http://www.librairie-interactive.com/la-politesse-a-l-ecole

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Situation B : Le tutoiement et le vouvoiement

Source : Citoyenneté à vivre en cycle 2, Jean-Pierre Remond, Editions Accès, chapitre 8. Situation C : Peut-on dire des gros mots ? Animer un débat entre les élèves. Les plus petits diront qu’il ne faut pas dire de gros mots. Ils en entendent, les répètent parfois sans savoir ce que cela veut dire. Certains élèves viendront également vous dire que X a dit un gros mot alors que ce n’en est pas un … Pour les CP, reprendre les paroles et en discuter avec le groupe. Les plus grands en connaissent davantage et vont les utiliser consciemment. C’est avec eux que le débat va être porteur de sens. Définir progressivement la notion en notant les gradations de la violence :

- interjections (zut !) - langage familier (bouffon) - langage grossier (crétin) - langage ordurier (ta gueule) - langage injurieux (connard)

Observer quelques mécanismes de fabrication : animal (cochon, blaireau), plante (cornichon, patate), objet (tarte, boudin). Guider le débat en partant de contextes. Distinguer les gros mots que l’on ne peut pas s’empêcher de penser, ceux que l’on dit, le ton que l’on choisit et qui insuffle plus ou moins de violence.

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Mise en commun et structuration collective.

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Anne Lunati – P.E.M.F. – Circonscription de Molsheim.

Les gros mots ne sont pas toujours des formes de méchanceté. Ils sont également utilisés pour marquer l’admiration : Nom de Dieu ! Punaise ! Il est fort le salaud ! Ben, mon cochon, il faut le faire ! … Etablir une règle de tolérance des gros mots … A modifier en fonction de vos limites !

Source : Citoyenneté à vivre en cycle 2, Jean-Pierre Remond, Editions Accès, chapitre 8. Situation D : La différence entre la politesse et la flatterie

Source : Citoyenneté à vivre en cycle 2, Jean-Pierre Remond, Editions Accès, chapitre 8.

Situations pour adopter des comportements et des manières civilisés Situation A : Comment se dire bonjour ?

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Anne Lunati – P.E.M.F. – Circonscription de Molsheim.

Le hug. Les Américains se tapent le dos avec les mains en s’approchant l’un de l’autre. Ne pas le confondre avec un enlacement amoureux.

Quelque soit la manière, échanger un geste de salutation prouve une volonté de se rencontrer et de communiquer. Elle varie en fonction des coutumes et des liens de proximité entre les personnes.

Le sampeah = salutation au Cambodge. Ces femmes joignent leurs mains en les ramenant vers le visage au niveau du menton.

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En France, en général, deux mains droites tendues sont serrées. Entre personnes connues qui se sentent à l’aise se faire la bise est une pratique répandue. Un petit signe de la main entre personnes restant à distance peut faire office de salut. Situation B : Comment se moucher ou éternuer ?

Il faut se moucher quand le nez coule à cause d’un rhume ou de pleurs. Se moucher évite de propager des microbes. C’est pour cette raison qu’il faut aussi mettre le bras ou un mouchoir devant la bouche lors d’éternuements. Un fois utilisé, on jette son mouchoir à la poubelle. Travailler l’hygiène corporelle et faire l’expérience de la propagation des microbes : séquence intéressante sur Lutin Bazar que vous pouvez vous approprier et modifier … http://lutinbazar.fr/lhygiene-corporelle/

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Situation C : Comment se comporter à table ?

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Manger salement et dans une position inappropriée est très désagréable pour les autres. Cette position peut varier en fonction des pays et des époques. Situation D : Comment se comporter en classe ?

En classe, il est impoli de rester avachi sur sa table, de se balancer sur sa chaise, de mâcher du chewing-gum, de porter une casquette en classe.

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Situation E : Comment se comporter dans une file d’attente, chez un commerçant ou dans les transports ?

Faire la queue, attendre sagement son tour permet d’éviter des conflits. Dépasser quelqu’un est impoli. Dans les transports en commun, dans un magasin, le savoir vivre préconise de laisser sa place à une personne plus fragile : personne âgée, femme enceinte, maman avec enfants en bas âges …

Dans notre société où l’individualisme est de mise. « On ne peut pas simplement parler aux

enfants de comportements comme la bonté et le partage, ils doivent véritablement en faire

l'expérience. » Mary Gordon

Cas d’A., élève de C.P. : Elève intelligent, conscient de ses actes, qui connaît toutes les règles de bienséances, mais qui ne les applique pas. Très égocentré, il prend avant tout soin de lui. Que faire ?

Situations pour travailler l’empathie dans sa classe Les hommes et les femmes d'aujourd'hui seraient près de deux fois moins empathiques que la génération de nos parents et de nos grands-parents, selon une étude menée en 2010 par l'université du Michigan.

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Anne Lunati – P.E.M.F. – Circonscription de Molsheim.

Développer l’empathie à l’école, une discipline essentielle à la vie. http://educavox.fr/accueil/debats/developper-l-empathie-a-l-ecole-une-discipline-essentielle-de-la-vie Site très complet sur l’empathie. http://ien.senart.free.fr/WP/?p=4415 Boîte à outils pour travailler l’empathie dans la classe, de nombreuses idées intéressantes. https://www.ashoka.org/fr/file/2475/download?token=Ejd5rrr4 Le jeu des mousquetaires expliqué en vidéo https://vimeo.com/137681120 Des jeux pour éduquer à l’empathie, Omar Zanna. https://vimeo.com/128556177 Le sport pour éduquer à l’empathie, Omar Zanna, Revue E.P.S. n°354, 2012. https://www.reseau-canope.fr/climatscolaire/fileadmin/user_upload/articles/Le_sport_pour_eduquer_a_lempathie_Zanna.pdf « La meilleure manière de développer la capacité d’empathie d’un enfant, c’est de lui démontrer de l’empathie. »

Serge Tisseron