etude exploratoir sue r l'implantatio regionaln e d'un ... · institul national de santé...

152
ETUDE EXPLORATOIRE SUR L'IMPLANTATION REGIONALE D'UN SYSTEME DE SOINS D"URGENCE INTEGRES SELON LE MODELE DE BOYD EN MONTEREGIE VOL. Il: ANNEXES AU RAPPORT FINAL Léo-Roch Poirier Bruce Brown Présentation par le Département de santé communautaire de ('Hôpital Charles LeMoyne pour le Comité régional de sécurité routière des O.S.C. de la Nontérégie La réalisation de ce projet a été rendue possible grâce à une subvention conjointe du ministère de la Santé et des Services sociaux et du Conseil de la santé et des services sociaux de la Nontérégie dans le cadre du programme de subventions à la recherche en santé communautaire. WX 21b P65 7 ^ V.2 Juillet 1989 NSPQ - Montreal 3 556- 002 722

Upload: others

Post on 27-Jun-2020

3 views

Category:

Documents


0 download

TRANSCRIPT

Page 1: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

ETUDE EXPLORATOIRE SUR L'IMPLANTATION REGIONALE D'UN SYSTEME DE SOINS D"URGENCE INTEGRES SELON LE MODELE DE BOYD EN MONTEREGIE

VOL. Il: ANNEXES AU RAPPORT FINAL

Léo-Roch Poirier

Bruce Brown

Présentat ion par le Département de santé communautaire de ( 'Hôp i t a l Charles LeMoyne

pour le Comité régional de sécur i té rou t i è re des O.S.C. de la Nontérégie

La r é a l i s a t i o n de ce p ro je t a été rendue possible grâce à une subvention con jo in te du min is tère de la Santé et des Services sociaux et du Conseil de la santé et des services sociaux de la Nontérégie dans le cadre du programme de subventions à la recherche en santé communautaire.

WX 2 1 b

P65 7 ^ V.2

Juillet 1989

NSPQ - Montreal

3 556- 002 722

Page 2: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal
Page 3: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

Institul national de santé publique du Q u é S c 8 1 " 8 D E S M A T I E R E S

4835. avenue Christcphe-Colomb. bureau 200 Montréal (Québec) H2J3G8 1

Tél.: (514) 597-0606

ANNEXE I Questionnaire sur les services d*urgence préhospitaliers adressé aux techniciens ambulanciers 5

ANNEXE II Réponses au questionnaire sur les services d"urgence préhospitaliers adressé aux techniciens ambulanciers .. 19

ANNEXE III Questionnaire sur les ressources matérielles et humaines et le mode d'opération des services ambulanciers 31

ANNEXE IV Réponses au questionnaire sur les ressources matérielles et humaines et le mode d1opération des services ambulanciers ... 43

ANNEXE V Questionnaire sur l'inventaire des ressources en salles d'urgence des centres hospitaliers sur le territoire de la Nontérégie 53

ANNEXE VI Réponses au questionnaire sur l'inventaire des ressources en salles d'urgence des centres hospitaliers sur le territoire de la Montérégie . 141

ANNEXE VII Grille d'entrevue portant sur les transferts cri tiques interétabli s sementa 177

~ . . //JT-r.iCîlliLI^U I __ • se)

Page 4: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

oedèuD ub oupiiduc; teril^ toiilan» 00$ lisait .ônvJ^ "Utt. va ,coîs

S&SISH Çosdèi;Oj îsè ricW 3090-Ï85 (MS)

l

» \

Page 5: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

ANNEXE I

i

QUESTIONNAIRE

SUR LBS SERVICES D'URGENCE PRBHOSPITALIERS

ADRESSE AUX TECHNICIENS AMBULANCIERS

Page 6: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

QDBSTBGMMHB SDR IEB SSC7IŒB D'HBGBKZ HHEHP13MJBBS

amnnrm M X TBCSHICjXBB S H B D U I O B S

L f a Bocti B o i x i a r âB

D .8 .C . ÛBTIGS L d i i y i i B

l é v r i e r 1989

Page 7: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

I # Iff BFIKKP TBÊXSBmngOBB B K K H W H t f S EE raaVAIL

1.1 Quel âge avez-vous?

i ans

1.2 Travaillez-vous à temps complet ou à temps partiel en tant que technicien ambulancier?

À t f p * o c n p l e t

quel est votre degré d'ancienneté?

ans mois

à temps partiel

combien d'heures de travail avez-vous cumulées?

heures

1.3 Est-ce votre occupation principale?

oui non

1.4 n»™» quelles zones ambulancières de la Montérégie travaillez-vous le plus souvent?

p a r a s u b v a s a œ de eohbb s e vdos i e b c o m m i s e s o o a u r a , I S WTM DE I A fffwimTg M i iK ' i i i àT .T rg EE CHAQUE 2CME; S I VUUU n r a z u a n a K X B D'UHB B O B , D G W B b h i h i i h h g e e j x GO v o a s n M i n z s l b s u b s o o v h j t , e t j a m c e s u r i n .

' J

Page 8: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

II. K H t t n » BT TBCHHIQPB

2.1 Avez-vous reçu la fomation de base en tectonique ambulancière de 150 heures?

oui non

SI NON, QUEUE FQBBfBEEICN EE BBSS AVŒ-VOGB BBCQB?

2.2 Quand avèz-vous reçu cette formation?

19 année de début

19 année de fin

2.3 Où avez-vous reçu cette formation?

SX A PUB D'UN HBBOET, IEB HWIIB 3008

Page 9: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

i i

2.4 Avez-vous suivi des cours de perfectionnement par la suite? oui non

SI OCU, UBQDBEfl i

Far quel établissement/organisme étaient donnés ces cours?

Quand avez-vous suivi un de ces cours pour la dernière fois et quel cours était-ce?

19

ooras:

V 1

I

• 1 » i i 1

!

Page 10: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

8

TTT. (UULÏKX6 OB TRAVAIL

3.1 Travaillez-vous sur appel ou selon un horaire par quart de tra-vail?

sur appel quart de travail autre:

à la fois sur appel et selon un horaire par quart de travail

3 • 2 Considérez-vous que 11 équipement dont vous disposez généralement dans les véhicules ambulanciers est complet, c'est-à-dire qu'il vous pennet de donner tous les traitements que vous êtes en me-sure de donner?

oui, dans tous les véhicules

oui, dans la plupart des véhicules

non

SI K B , DB g T g r j B n PIECES D'BQUUBIBZF SUUHATEEEOEZ-VOCB IHHHHMI?

3.3 Sur la scène d'un accident, la collaboration avec les autres intervenants est-elle généralement bonne?

bonne plus ou moins mauvaise

• premiers répondants

. policiers

• pcnpiers

Quel problème rencontrez-vous le plus souvent dans de telles situations si tel est le cas?

Page 11: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

9

3.4 Etes-vous appelé à l'oocasion à assurer la sécurité sur la scène d'un accident (installation de feus de Bengale, assurer la cir-culation ...)?

oui non

3.5 Quelle est, en général, la qualité de vos relations avec le per-sonnel dès salles d'urgence des hôpitaux?

bannes plus ou moins mauvaises tx^iin^ff

. infirmières à la réception

. infirmières au triage

. fflA'iftM™1 •

3.6 Le personnel des salles d'urgence prend-il en considération les renseignements que vous leur fournissez sur les bénéficiaires que vous y transportez?

oui, toujours

oui, souvent (+ MJLLTU5 EBB OS)

oui, parfois <- MliXiK EES CBS)

non, jamais

3.7 Le personnel des salles d'urgence vous domne-t-il des conseils sur les traitements à donner À ofirtalTiff types dé clientèle que vous, y transporter?

oui, toujours

oui, souvent (+ MJITIK EES CBS)

oui, parfois (- MJITIK EES <28)

non, jamais

Page 12: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

4.1 EQ moyenne, à combien d*appels par jour avez-vous à répondre?

Nombre d'appels

urgents* non-urgents

. selon l'évaluation faite par la réceptionniste au manant de l'appel

• selon l'évaluation que vous avez faite sur les lieux

• transferts interétablissements

4.2 lorsque vous vous rendez sur le lieu d'un appel ou que vous transportez un bénéficiaire, mettez-vous toujours en marche les gyrophares et/ou la sirène?

oui non

SX OUI, BST-K2B,

• une directive de votre envoyeur ou

de votre propre initiative

Nous entendons par uiymt le cas de bénéficiaires devant recevoir des soins en deçà d'une heure quoi leur problème de santé met leur vie en danger ou risque d'entraîner une incapacité permanente*

Page 13: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

11

4.3 Au oours du dernier mois, avez-vous effectué les interventions suivantes sur les lieux de l'appel?

IL EST IMKJWTNZT D'EUS IS FDDB H B Π8 BOSSIBEe

Nombre de fois

Effectuer une désincarcération .

Daaotdliser la colonne vertébrale '

Attelle d'un membre

Traiter un état de choc

Contrôler des hémorragies . ^

Effectuer le triage sur une scène où se trouvent plusieurs blessés Transporter un bénéficiaire sans civière jusqu'au véhicule

Faire la réanimation cardiorespiratoire

Appliquer les premiers soins dans les

cas de brûlures ou d'engelures

Assister la mère pendant l'accouchement

Prodiguer les soins aux nouveau-nés

Evacuer un bénéficiaire dans un lieu exigu ou accidenté Mettre en place une "intraveineuse"

Page 14: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

12

4.4 Au cours du dernier mois, avez-vous effectué les interventions suivantes en route vers l'hôpital?

I L BSV DfEOKEAHT D'EIEB 12 M B KBCX8 mfl f fTBKt

Membre de fois

Attelle d'un membre

Traiter un état de choc

Contrôler des hémorragies

Faire la réanimation cardiorespiratoire

Appliquer les premiers soins dans les

cas de brûlures ou d'engelures

Assister la mère pendant l'accouchement

Prodiguer les soins aux nouveau-nés .

Mettre en place une "intraveineuse"

4.5 Avez-vous déjà eu l'occasion d'évaluer la qualité des soins dispensés par les policiers sur les lieux d'un accident?

oui non

SI OUI, Pensez-vous que les policiers ont une formation leur per-mettant de donner des praniers soins adéquats en attendant votre arrivée sur les lieux?

oui, dans la plupart des cas non

Page 15: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

13

4.6 Avez-vous déjà eu l'occasion d'évaluer la qualité des premiers soins dispensés par les pompiers?

oui non

fil OOI,

pensez-vous que les papiers ont une formation leur permet-tant de donner des premiers soins adéquats en attendant votre arrivée sur les lieu*?

oui, dans la plupart des cas non

4.7 oonment s'effectue le choix de l'établissement vers lequel est dirigé le bénéficiaire?

toujours souvent parfois jamais (4- ItXLTlK (HUiTiE EBB CAS) EBB CAS)

. selon la proximité — de l'établissement

. selon le degré — d'engorgement des salles d'urgence

. selon la nature — du cas

. autre, SHBCEFIEZ

4.8 Qui prend généralement la décision quant à l'hôpital où transpor-ter le bénéficiaire?

vous-même

la centrale de répartition

Page 16: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

14

4.9 Avez-vous, au cours du dernier mois, été refusé à l'urgence d'un hôpital suite À la fermeture de cette urgence?

oui non

s i o u i , g u s t s o n b i s , b i n d s b n s , i e s vbexxb q o ' a b u b a h i b s GNB 1 & U SHUBEEXCH (i.e. le tenps que vous avez dû mettre pour avoir accès à une autre salle d'urgence)?

OCMfBKBkUBS

Page 17: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

15

5.1 y a-t-il oonnunicatlon avec l'établissement vers lequel vous vous dirigez pour:

toujours souvent parfois jamais {+ HUT1B ( - MOTTE DBS CBS) EBB CAS)

• vérifier l'accessi-bilité à la salle d'urgence (i.e. vérifier s'il y a un détournement d'ambulance)

. prévenir le personnel de l'arrivée du cas (mobiliser les res-sources)

. prévenir le personnel de la gravité du cas

. obtenir des conseils sur les traitements À dispenser

. au t re , m w : i n i « _

5.2 Ocmoent s'effectuent les ornwmmlcations avec l'hôpital receveur? toujours souvent parfois jamais

(+ MJCTIB (- MOflTIK DBS GAS) EBB CAS)

• par l'inter-médiaire de la centrale

par vous directement

Page 18: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

Considérez-vous que l'équipement de téléocanunication dont vous disposez est adéquat?

oui non

OONBIIAIBBB • •

Si vous avez des ocnmentaires ou des propositions à faire concer-nant 11 organisation des services ambulanciers, veuillez nous en faire part.

Page 19: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

ANNEXE II

REPONSES AU QUESTIONNAIRE

SUR LBS SERVICES D"URGENCE PREBOSPITÂLIBRS

ADRESSE AUX TECHNICIENS AMBULANCIERS

Page 20: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

19

(81 techniciens ambulanciers travaillant dans 14 zones ont com-plété le questionnaire)

I. DONNEES DEMOGRAPHIQUES ET EXPERIENCE DE TRAVAIL

l.l Age moyen: 30,5 ans (écart-type: 7,4).

1.2 Statut: 54,3% 45,7%

Degré d1 ancienneté: 7,8

2 219,8

6,2

à temps complet; à temps partiel.

ans pour les temps complet (écart-type: 5,2);

heures pour les temps partiels (écart-type: 2 036,4) ;

certains temps partiels nous ont donné leur ancienneté en termes d'années et mois: cette moyenne est de ans (écart-type de 5,0).

1.3 Les services ambulanciers constituaient 1'occupation prin-cipale pour exactement les deux tiers d'entre eux.

1.4 Zones desservies: 660, 661, 662, 665, 666, 667, 668, 669, 670, 671, 672, 673, 674, 675.

Page 21: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

2 0

II. FORMATION EN TECHNIQUE AMBULANCIERE

2.1 Formation de base: tous les techniciens l'ont reçue il y a, en moyenne, 7 ans (en 82-83).

2.2 Idem

2.3 Lieu de formation: environ 75% des répondants ont reçu au moins une partie de leur formation de base au Collège du Haut-Richelieu; le Cegep Ahuntsic a formé un autre 8%.

2.4 Une minorité de techniciens a suivi des cours de perfection-nement par la suite (41,8%). De ce sous-groupe, 57,6% ont suivi des cours de réanimation cardiorespiratoire, 18,2% ont suivi des cours de soins immédiats et 9,1%, des cours de conduite préventive. Ces cours étaient donnés par un bon nombre d'organismes (Fondation des maladies du coeur du Qué-bec, Collège Ahuntsic, Collège du Haut-Richelieu, divers organismes privés) sans qu'il soit possible de discerner un certain profil de prévalence (sauf pour le Collège du Haut-Richelieu où 18,5% des cours de perfectionnement ont été suivis). Parmi les techniciens qui ont suivi un cours de perfectionnement, 51,6% l'ont fait au cours de la dernière année (83,3% de ceux qui ont suivi un cours de perfection-nement en réanimation cardiorespiratoire l'ont fait il y a moins d'un an).

Page 22: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

2 1

III. CONDITIONS DB THAVML

3.1 De notre échantillonnage, 13,6% des techniciens ambulanciers travaillent sur appel, 49,4% selon un horaire par quart de travail et 37% sont soumis à un mélange des deux formules.

3.2 Parmi les techniciens, 21,3% considèrent que 1»équipement de tous les véhicules ambulanciers est complet, 30% jugent <pi'il l'est dans la plupart des véhicules et 48,8% estiment l'équi-pement généralement incomplet. Il est à noter que ce juge-ment est fortement corrélé à la compagnie pour laquelle le technicien travaille: dans un cas, 88,9% des techniciens déplorent le manque d'équipement dans les véhicules, dans un autre, 85,7%.

Parmi les équipements souhaités, 52,2% de ceux qui se sont prononcés ont mentionné le KED, 34,8% un défibrillateur et 32,6% des pantalons antichocs.

3.3 La collaboration sur la scène d'un accident avec les premiers répondants est globalement considérée comme bonne («bonne» = 60,5%, «plus ou moins bonne»» = 16% et «mauvaise»» = 3,7%). 19,8% des répondants ne se sont pas prononcés sur cette ques-tion . La collaboration avec les forces policières donne des résul-tats allant dans le môme sens («bonne»» = 49,3%, «plus ou moins bonne»» = 34,6%, «mauvaise»» s 4,9%). Seulement 1 répon-dant ne s'est pas prononcé.

on retrouve sensiblement les mômes données concernant la collaboration avec les pompiers («bonne»» = 61,7%, «plus ou moins bonne»» = 27,2%, «mauvaise»» = 2,9%, pas de réponse = 8,6%)•

3.4 Plus du tiers (37,6%) des techniciens ambulanciers déclarent être appelés à assurer la sécurité sur la scène d'un acci-dent! installation de feux de Bengale, contrôle de la cir-culation. .. ).

3.5 L'évaluation de la qualité des relations entre le personnel des urgences hospitalières et les techniciens ambulanciers par ces derniers est mitigée. On considère les relations avec les infirmières à la réception bonnes dans 46,9% des cas, plus ou moins bonnes dans 42,0% des cas et mauvaises

Page 23: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

2 2

dans 8/6% des cas (2,5% n1 ont pas répondu) . Les relations avec les infirmières au triage sont considérées bonnes dans 49,4% des cas, plus ou moins bonnes dans 38,3% des cas et mauvaises dans 4,9% des cas (7,4% n'ont pas répondu). Celles avec les médecins de l'urgence sont jugées bonnes dans 54,3% des cas, plus ou moins bonnes dans 35,8% des cas et mauvaises dans 6,7% des cas (taux de non-réponse: 3,7%).

3.6 Les répondants se partagent à peu près également lorsqu'il leur est demandé si le personnel des salles d'urgence prenait en considération les renseignements fournis sur les bénéfi-ciaires qu'ils y avaient amenés: 51% estimaient que c'était toujours (14%) ou souvent (37%) le cas tandis que 49% ju-geaient que ce n'était que parfois (44%) ou jamais (5%) le cas.

3.7 Ils estimaient, par ailleurs, y recevoir très peu de conseils («jamais» pour 54% d'entre eux et «parfois» pour un autre 38% du groupe) sur les traitements à donner à certains types de clientèle. Les commentaires recueillis à la suite de cette question éclairent un peu mieux les motifs de frustration des techniciens ambulanciers envers le personnel des salles d'ur-gence. Deux constatations générales se dégagent alors: pre-mièrement, les relations semblent meilleures avec les méde-cins qu'avec les infirmières, ce que confirment d'ailleurs les données quantitatives présentées plus haut. Les médecins seraient, par exemple, beaucoup mieux disposés à prodiguer des conseils; il est, par contre, beaucoup fait état de l'hostilité du personnel infirmier. Deuxièmement, la qualité du contact serait largement variable d'un hôpital à l'autre.

Ainsi, deux hôpitaux d'une même sous-région sont appréciés très différemment par les techniciens ambulanciers. De façon générale, les techniciens ambulanciers déplorent le manque de considération, de respect et de confiance dont ils sont l'ob-jet.

Page 24: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

2 3

IV* IHTE RVEHTIOHS

4.1 Si le nombre d1appels auxquels ont à répondre les techniciens ambulanciers varie considérablement, comme on s1 en doute, d'une région À l'autre, il est intéressant de noter une in-version à peu prés exacte entre cë que les réceptionnistes jugent urgent lors de l'évaluation faite au moment de l'appel et l'évaluation que peuvent faire les techniciens ambulan-ciers sur les lieux de l'appël. Ainsi, les réceptionnistes considèrent que deux appels sur trois sont urgents alors que la proportion de cas réellement urgents selon ce que peuvent constater sur place les techniciens est de un sur trois.

Le nombre de transferts inter-établissements fluctue aussi considérablement d'une zone à 1'autre• En moyenne, pour l'ensemble de la Montérégie, le tiers des transferts (33,7%) sont considérées urgents par les techniciens ambulanciers. Toutefois, comme on peut s'y attendre, cette proportion varie en fonction du niveau de disponibilité en services spéciali-sés pour une sous-région donnée* Pour les zones ambulanciè-res correspondant aux bassins de desserte des hôpitaux de Longueuil et Greenfield Park, par exemple, le nombre de transferts urgents ne constituent qu'environ 12% du total de transferts inter-établissements. Rappelons que pour cette question, il est entendu par urgent le cas de bénéficiaires devant recevoir des soins;en-deçà d'une heure, sans quoi leur problème de santé met leur vie en danger ou risque d'entraî-ner une incapacité permanente.

4.2 Parmi les techniciens, 18,5% des techniciens déclarent mettre en marche les gyrophares' et la sirène systématiquement lors-qu'ils se rendent sur le lieu d'un appel et un autre 2,5% mettent les gyrophares uniquement* Il semble toutefois que cette décision relève de leur propre initiative.

4.3 Les interventions posées sur les lieux de l'appel se distri-buent ainsi, des plus fréquentes au plus rares:

attelle d'un membre (moyenne 2,8 fois par mois, par tech-nicien ambulancier; écart-type: 3,0);

• immobiliser la colonne vertébrale (moyenne 2,4; écart-type: 2,5);

• transporter un bénéficiaire sans civière jusqu'au véhicule (moyenne 2,0; écart-type 2,9);

Page 25: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

2 4

contrôler des hémorragies (moyenne 1,3; écart-type 2,1);

évacuer un bénéficiaire dans un lieu exigu ou accidenté (moyenne 1,2; écart-type 2,9);

faire la réanimation cardiorespiratoire (moyenne 1,2; écart-type 1,2);

traiter un état de choc (moyenne 1,0; écart-type 2,0);

effectuer le triage sur une scène où se trouvent plusieurs blessés (moyenne 0,8; écart-type 2,2);

effectuer une désincarcération (moyenne 0,7; écart-type 1 , 0 ) ;

appliquer les premiers soins dans les cas de brûlures ou d'engelures (moyenne 0,3; écart-type 0,5);

prodiguer les soins aux nouveau-nés (moyenne 0,2; écart-type 0,7) ; assister la mère pendant 1•accouchement (moyenne 0,1; écart-type 0,3).

Des corrélations assez fortement significatives du point de vue statistique existent entre certaines de ces interventions et certains types de zone. Par exemple, 1'immobilisation de la colonne vertébrale se fait surtout en zones urbaines. Il en est de même pour la pose d'attelle d'un membre. La réanimation car-diorespiratoire est nettement plus pratiquée dans certaines zones que dans d'autres sans qu'on puisse trouver de facteurs explica-tifs; le type de zone (urbaine, semi-urbaine, rurale) ou le taux de recertification en réanimation oardiorespiratoire par zone ne semble pas déterminer ce taux d'application de la technique en question.

4.4 Les interventions les plus souvent pratiquées en route vers l'hôpital sont, en ordre décroissant de fréquence:

. faire la réanimation cardiorespiratoire (moyenne par mois par technicien ambulancier 1,0; écart-type 1,1);

. traiter un état de choc (moyenne 0,8; écart-type 0,9);

• contrôler des hémorragies (moyenne 0,5; écart-type 0,8);

Page 26: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

2 5

• appliquer *es premiers soins dans les cas de brûlures ou d'engelures (moyenne 0,3; écart-type 0,5); prodiguer les soins aux nouveau-nés (moyenne 0,2; écart-type 0,7) ;

. assister la mère pendant 1'accouchement (moyenne 0,1; écart-type 0,3).

La seule de ces interventions qui soit fortement corrélée avec certaines zones ambulancières est encore la réanimation cardio-respiratoire. Il est toutefois ici aussi impossible de dégager des facteurs explicatifs À ce lien.

4.5 Les deux tiers (67,9%) des techniciens ambulanciers déclarent avoir déjà eu l'occasion d'évaluer la qualité des premiers soins dispensés par les policiers sur les lieux d'un acci-dent. Ils considéraient très majoritairement (78,2%) que ceux-ci n'avaient pas une formation leur permettant de donner des premiers soins adéquats.

4.6 Parmi les techniciens ambulanciers, 40,7% ont déjà eu l'oc-casion d'évaluer la qualité despremiers soins dispensés par les pompiers. Ils se partageaient également pour estimer que ceux-ci avaient reçu une formation adéquate ou non leur per-mettant de donner des premiers soins.

4.7 Les critères du choix de l'établissement vers lequel est dirigé le bénéficiaire s'établissent comme suit:

la proximité de l'établissement: 41,9%;

selon la nature du cas: 25,7%;

selon le degré d'engorgement des salles d'urgence: 24,3%;

selon le voeux du bénéficiaire: 8,1%.

4.8 ce sont donc les techniciens ambulanciers eux-mêmes qui déci-dent seuls (45,6% des cas) ou avec la centrale (6,3% des cas) où le bénéficiaire sera transporté dans la majorité des cas. La centrale et la direction décident dans 26,6% des cas. Nous avons vu que le bénéficiaire intervenait lui-même dans 8,1% des décisions. Les hôpitaux, selon que leur salle d'ur-gence soit ouverte ou fermée, détermine le reste des choix.

Page 27: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

2 6

4.9 Très précisément le quart des techniciens ambulanciers a été refusé à 1"urgence d'un hôpital suite à la fermeture de cette urgence . La très grande ma j or i té de ces refus (90%) a été enregistrée dans la sous-région de Longueuil. Les délais qu'a entraînés une telle situation ont été, en moyenne de 29,78 minutes (écart-type 20,24).

De nombreux problèmes associés au détournement d1 ambulances ont été évoqués: des techniciens ont constaté la fermeture d1urgences alors que les salles d'attente et de triage étaient vides; on a fait mention de détournements sans qu'il y ait évaluation de la gravité des cas; s'il y a évaluation, elle est parfois trop sommaire selon eux. Certains hôpitaux attendraient plus d'une heure avant de décider s'ils gardent le bénéficiaire. On souligne enfin la situation des person-nes Âgées toujours suivies au môme hôpital qui ne peuvent comprendre qu'on leur refuse l'accès à l'urgence.

Page 28: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

2 7

V. COMMUNICATIONS

5.1 Les communications avec 1*établissement vers lequel se dirige l'ambulance (lorsqu'il y a communication) ont pour but, dans près de la moitié des cas (46,8%), de prévenir le personnel de la salle d'urgence de l'arrivée d'un cas grave. Dans 28,6% des cas, elles visent À vérifier l'accessibilité à la salle d'urgence. Elles ont pour but, dans 23,4% des cas, d'annoncer leur arrivée à l'hôpital, et, dans seulement 2,6% des cas, d'obtenir des conseils sur les traitements à dis-penser.

5.2 Ces communications avec l'hôpital receveur se font très majo-ritairement (86,7% du temps) par l'intermédiaire de la cen-trale.

5.3 L'équipement de télécommunication dont disposent les tech-niciens ambulanciers est considéré par 71,3% d'entre eux comme inadéquat (ce pourcentage tourne autour de 90% des employés de certaines compagnies).

5.4 Les commentaires et propositions concernant 1 * organisation des services ambulanciers ont été nombreux. Nous les énumé-rons ici en opérant un certain regroupement:

augmenter le niveau de formation et étendre le champ de pratique; augmenter le nombre de véhicules et améliorer leur répar-tition sur le territoire; assurer une inspection régulière et rigoureuse de la qua-lité des véhicules et de l'équipement; faire disparaître les véhicules mus par un moteur diésel;

s'assurer de la désinfection des véhicules et de l'équipe-ment;

prévoir des protocoles de vaccination pour les techniciens ambulanciers et assurer un suivi des bénéficiaires trans-portés susceptibles de transmettre des maladies; améliorer les liens de communication entre les techniciens et les hôpitaux (entre autres, pour obtenir des conseils médicaux);

Page 29: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

augmenter le niveau de compétence des répartiteurs afin de recueillir une information plus spécifique au moment de la prise d1appel; établir des liens de coordination avec Urgences-santé;

améliorer la gestion des transferts inter-établissements;

centraliser la réception d'appels;

voir à ce que les techniciens ambulanciers puissent tra-vailler en toute sécurité sur les lieux d'accidents (maté-riel de protection);

inclure dans la formation des techniciens ambulanciers des stages dans les hôpitaux et des cours de conduite d'ur-gence ; offrir des services de support psychologique aux techni-ciens afin de prévenir les problèmes de stress et le burn out.

Page 30: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

ANNEXE HI

QDESITCHNMRB

SOR IBS HESSODRŒS HMHOEEIES ET HNUNES

ET I E M3DE D'aETOAXlGN EES SHWIŒS AMBDIANCXEKS

Page 31: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

LâcHtoch R i t H i w IijmiI jg plnlf lmHio

DmBmc. d w r l i w LBMojdb

Page 32: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

31

BBcnat i: RESSOURCES MSBOEIUS ET HTHRTKRR

1.1 Combien de lignes téléphoniques sont accessibles aux demandeurs de services dans votre entreprise?

1.2 Ces lignes téléphoniques sont-elles exclusives à la compagnie?

oui non

1.3 combien de réceptionnistes sont en poste pour accueillir les appels? durant la semaine: quart de jour

quart de soir

quart de nuit

durant le veéfc-end: quart de jour

quart de soir

quart de nuit

1.4 Exigez-vous une formation spéciale des réceptionnistes?

oui non

SI OUI, IAQQEHE?

Page 33: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

32

1.5 Quai type d'équipement utilisez-vous pour les oraimmications entre le centre de réception des appels et les véhicules?

1.6 Combien de véhicules avez-vous de disponibles en moyenne?

Selon un horaire Sur appel par quart de travail

• durant la semaine: quart de jour

quart de soir

quart de nuit

. durant le week-end: quart de jour

qyart de soir

quart de nuit

1.7 Considérez-vous disposer d'un ncmbre adéquat de véhicules pour desservir votre territoire?

oui non, surplus de véhicules

non, manque de véhicules

1.8 Ocnbien y a-t-il de techniciens ambulanciers qui travaillent pour votre entreprise?

. a tenps ocnçlet à tenps partiel

selon un horaire par quart de travail sur appel

Page 34: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

33

1.9 Quelle fomation exigez-vous des techniciens ambulanciers lors de l'embauche?

certification provinciale (cours de 150 heures)

autre,. SHOJfUS

1.10 Exigez-vous que les techniciens ambulanciers suivent aussi une fonnation en cours d1 emploi?

oui non

SI OBI, UQDEIU :

1.11 Où vous procurez-vous les fournitures médicales pour vos véhicu-les ambulanciers?

1.12 Où faites-vous faire les travaux de buanderie et de stérilisa-tion?

1.13 Participez-vous à des achats de groupe avec d" autres entreprises de transport ambulancier?

oui non

s i o n , SUR g o m MMtfiwtr ŒB a c a m ?

Page 35: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

34

HBLT1HJM H : H I E D'OEEBKBEFDCXf

2 . 1 Est-ce qu'une évaluation du bien-fondé de la de services (À savoir, est-ce que l'envoi d'une imbulanoe est justifié) est faite lors de la reception de l'appel?

oui, toujours non, jamais

souvent (+ DE IA JSJ1TU8 CES CBS)

parfois (- IE IA MHTIK DES CBS)

2.2 Est-ce qu'une évaluation du degré d'urgence de la demande de services est faite lors de la réception de l'appel?

oui, toujours non, jamais

oui, souvent (-f EE IA IULT1K DES cas)

oui, parfois ( - EE IA JtAiTlE EES CBS)

2.3 Est-ce la meme personne qui reçoit les appels et qui envoie les véhicules?

oui, toujours non, jamais

oui, souvent (+ EE IA IPITIB EES (28)

oui, parfois (- EE IA MJ1Ï1K EES CBS)

oui,

oui,

Page 36: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

35

2.4 Qu'est-ce qui arrive, s'il n'y a aucun véhicule de disponible au moment où vous recevez une Amande de services?

toujours souvent parfois jamais (+ m i n i s ( - î c r n E EEB CAS) DES CAS)

• vous retenez la dpmande jusqu'à ce qu'un de vos véhicules soit disponible

. vous référez la dnwirtdft à une autre oonpagnie d'ambulances

• vous refusez de répondre à la demande

. ne s'applique pas

2.5 Esiste-t-il des ententes formelles entre votre entreprise et d'autres compagnies d'ambulance pour référer des dmandes de service?

oui non

SI cm, AVEC UMHIKM D'BŒB EUES?

2.6 Les véhicules sont-ils toujours postés à des points d'attente fixes?

oui non

2.7 Advenant qu'une partie du territoire que vous desservez soit momentanément à découvert (i.e. qu'il n'y a plus de véhicule disponible sur cette partie du territoire), est-ce que d'autres de vos véhicules disponibles y sont déplacés?

toujours

souvent (+ EE IA WtEHB EES CAS)

parfois (- EE IA m m B DBS OB)

jamais

ne s'applique pas (un seul véhicule dessert le territoire)

Page 37: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

36

2.8 Mises à part les informations qui figurent sur le formulaire de déclaration de transport des bénéficiaires (AS 810), recueillez-vous des données pour vos propres fins de gestion sur:

• le motif de l'appel (ex.: accident de la route, maladie cardia-que, transfert inter-établisseroant, ...)?

oui non

. le degré d'urgence du cas?

oui non

• le temps de réponse (de la réception de l'appel à l'arrivée sur les lieux)?

oui non

le tenps passé sur les lieux?

oui non

. le temps de transport (du départ des lieux jusqu'à l'arrivée à l'établissement)?

oui non

2.9 Btes- vous en mesure d'évaluer (ne serait-ce qu'approximativement) le pourcentage d'appels pour transports primaires (i.e. autres qu'inter-établissansnts)?

. provenant directement du bénéficiaire ou des proches?

oui ; % non

. provenant des policiers/jpcnpiers?

oui % non

Page 38: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

37

2.10 Exigez-vous des techniciens ambulanciers qu1 ils suivent des pro-tocoles d'intervention?

oui non

SX CM, OU CUT EUS DEFIMES IES TNRNNMRSA QU'ILS UMJSBZF?

2.11 Cannent s'effectue le choix de l'établissement vers lequel est dirigé le bénéficiaire?

toujours souvent parfois j amais (+ minus ( - Morns DBS CBS) CES CAS)

. selon la proximité de , 1 ' établissement

selon le degré d'engorge-ment des salles d'urgenœ

selon la nature du cas

autre, SEBCENOB

2.12 L'établissement vers lequel se dirige l'ambulance est-il prévenu de son arrivée?

toujours

souvent (+ EE I A MMOTB EES CBS)

parfois ( - EE I A m i T i K eeb cbs)

jamais

Page 39: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

2.13 S'il y a ocnmunication avec l'établissement vers lequel se dirige l'anftjulanœ, est-ce dans le but de:

toujours souvent parfois jamais (+ MOITIE (- ID i ïus CES CAS) DBS CAS)

. vérifier l'accessibilité à la salle d'urgence (i.e. vérifier s'il y aura détournement d'ambulance)?

• prévenir le personnel de l'arrivée du cas (mobili-sation des ressources)?

. prévenir le personnel de la gravité du cas?

• £es conseils sur les traitements à dispenser?

. autre, SEBCmEB

2.14 Ocoment s'effectuent ces ocmnunications avec l'hôpital receveur? toujours souvent parfois jamais

(4- MOITIE (- MU1T1E IBS CAS) CES CAS)

• par l'intermédiaire de la centrale

• directement entre les farht i^ r>A ma n iV i i l jwv^ n r a et l'hôpital

Page 40: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

39

2.15 Qu1 arrive-t-il si une «irfr"1 ne peut être accueillie par l'établissement vers lequel elle se dirige (fermeture de l'ur-gence)?

toujours souvent parfois jamais (+ HJ1T1K (- Ikjlltjjs ses cas) ses cas)

. elle se dirige d'emblée vers un autre établis-sement pp^âfo^w^

. la centrale intervient pour trouver une autre destina-tion

. l'ambulance se dirige vers l'établissement le plus près d'où elle se trouve alors

. autre, 6H9QFIEZ ;

2.17 Participez-vous à l'élaboration de plans d'urgence en cas de catastrophe (pour des institutions, des municipalités, ...)?

oui non

2,18 Participez-vous k des exercices d'application de plans d'urgence?

oui non

s i c m , an OJUKS DE L ' a n s i 9 s s , A D'ESHCIŒB AVEZ-VGOB PBIS M F ?

Page 41: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

40

Si vous avez des ocranentaires à faire sur l'organisation des services ambulanciers ou sur tout point que vous jugez pertinent à. notre étude, nous vous saurions gré de nous en faire part.

Page 42: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

ANNEXE IV

SBPOH8B8 AU QUESTIONNAIRE SUR LES RESSOURCES MATERIELLES ET HUMAINES

ET LE MODE D * OPERATION DES SERVICES AMBULANCIERS

Page 43: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

4 3

RESSOURCES MATERIELLES ET HUMAINES

. Une ligne: 3 compagnies

. Deux lignes: 9 compagnies • Trois lignes: 1 compagnie . Quatre lignes: 1 compagnie • Onze lignes: 1 compagnie

Lignes exclusives à la compagnie

• Oui pour 13 compagnies • Non pour 2 compagnies (dans un cas, assuré par le service de police)

Nombre de réceptionnistes en poste

- Durant la semaine

. quart de jour: 9 compagnies ont 1 4 compagnies ont 2 2 compagnies ont 3

• quart de soir: 9 compagnies ont 1 1 compagnies ont 1,5 5 compagnies ont 2

. quart de nuit: 15 compagnies ont 1

- Durant le veek-end

quart de jour: 10 compagnies ont 1 réceptionniste quart de jour: 5 compagnies ont 2 réceptionnistes

quart de soir: 12 compagnies ont 1 réceptionniste quart de soir: 3 compagnies ont 2 réceptionnistes

quart de nuit: 15 compagnies ont 1 réceptionniste

Formation spéciale exigée des réceptionnistes

• Oui: pour 3 compagnies (expérience de réceptionniste, con-naissance dans le domaine de la santé est un atout (l compagnie) et formation à l'interne (2 compagnies)

• Non: pour 12 compagnies •

réceptionniste réceptionnistes réceptionnistes

réceptionniste réceptionnistes réceptionnistes

réceptionniste

Page 44: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

4 4

1.5 Type d1équipement de télécommunications

. Radio avec répétitrice: 1 compagnie

. Pagette: 2 compagnies

. Pagette et radio base FM: 3 compagnies • Radio base FM: 8 compagnies • Pas d1information: 1 compagnie

1.6 Nombre de véhicules disponibles en moyenne (en ne considé-rant que les 15 compagnies qui ont répondu au question-naire) •

semaine week end

Horaire quart de travail

Jour soir nuit

31 20

18 18

14 15

Sur appel

jour soir nuit

19 23

26 25

29 17

AU total

Jour soir nuit

semaine week end

50 43

44 43

43 42

1.7 Nombre adéquat de véhicules selon eus:

• Oui: 12 compagnies . Non: 3 compagnies (manque de véhicules)

1.8 Nombre de techniciens ambulanciers à leur emploi

. A.temps complet: 85

. A temps partiel: 192 • Volontaires (1 compagnie)

1.9 Formation de base exigée

• Toutes les compagnies: certification provinciale (cours de 150 h)

Page 45: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

4 5

1.10 Formation en cours d1emploi exigée • Pour 6 compagnies: RCR • Pour 1 compagnie: utilisation des nouveaux équipements de

désincarcération . Pour 9 compagnies: aucune formation exigée

1.11 Lieux d'acquisition des fournitures médicales

. Thomas Electronique de Mtl: 7 compagnies • EMS: 5 compagnies . Normand Michel: 3 compagnies • Dufort & Lavigne: 1 compagnie . Safety Supply: 1 compagnie . Medigaz Québ.: 2 compagnies • ALS Inc.: 2 compagnies • CLSC de Farnham: 1 compagnie . Hôpital BMP: 1 compagnie . Hôtel-Dieu de Sorel: 1 compagnie . sans indications: 2 compagnies

1.12 Lieux des travaux de buanderie et de stérilisation

• Québec linge: l compagnie • Volontaires: 1 compagnie . Par la compagnie elle-même: 2 compagnies . Hotel-Dieu de Sorel: 1 compagnie . BMP: 1 compagnie . CLSC Farnham: 1 compagnie • HHR: 4 compagnies • Nettoyeur: 4 compagnies

1.13 Achats de groupe avec d'autres entreprises

. Aucune compagnie

Page 46: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

4 6

II. MODS D"OPERATION

2.1 Evaluation du bien-fondé de la demande au moment de la ré-ception de l'appel

• toujours: 1 compagnie • souvent: 6 compagnies • parfois: 3 compagnies • jamais: 5 compagnies

2.2 Evaluation du degré d'urgence de la demande au moment de la réception de l'appel

. toujours: 8 compagnies

. souvent: 4 compagnies • parfois: 1 compagnie . jamais: 2 compagnies

2.3 Même personne qui reçoit les appels et envoie les véhicules

• toujours: 12 compagnies • souvent: 3 compagnies

2.4 Ce qui arrive quand il n'y a aucun véhicule de disponible au moment de l'appel: . demande toujours référée à d'autres compagnies: 8 compa-gnies;

• demande référée à d'autre compagnies, si urgent; autre-ment, démande retenue: 7 compagnies.

2.5 Ententes formelles entre compagnies pour référer les deman-des

• oui: 12 . informelle: 1 • non: 2

2.6 véhicules postés à des points d'attente fixes

. oui: 12 compagnies • non: 3 compagnies

Page 47: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

47

2.7 Redéploiement de véhicules si partie du territoire à décou-vert . toujours: 3 compagnies . souvent: 1 compagnie . parfois: 2 compagnies . jamais: 5 compagnies • ne s'applique pas: 3 compagnies (1 seul véhicule) . équipe supplémentaire: 1 compagnie

2.8 informations recueillies pour fins de gestion

• motif de l'appel: il compagnies . degré d'urgence: 6 compagnies • temps de réponse: 12 compagnies . temps passé sur les lieux: 10 compagnies . temps de transport: 11 compagnies

2.9 Pourcentage d'appels provenant du bénéficiaire

• information manquante ou peu fiable

2.10 Protocles d'intervention pour techniciens ambulanciers

. pour 4 compagnies

2.11 Choix de l'établissement

• selon la proximité (toujours): 7 compagnies • selon la nature du cas: l compagnie • selon la proximité (souvent) et la nature du cas

(parfois): 2 compagnies • selon la proximité, le degré d'engorgement, la nature du cas ou le choix du patient: 1 compagnie

• selon le degré d'engorgement (souvent) ou la nature du cas (parfois): 1 compagnie

. pas dë réponse: 2 compagnies

2.12 Etablissement prévenu de l'arrivée de l'ambulance

• toujours: 2 compagnies • souvent: 3 compagnies • parfois: 9 compagnies • jamais: 1 compagnies

Page 48: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

13 Communications avec l'établissement pour:

- vérifier l'accessibilité à la salle d'urgence:

. toujours: 0 compagnie • souvent: 1 compagnie . parfois: 3 compagnies • jamais: 11 compagnies

- prévenir de l'arrivée du cas

. toujours: 6 compagnies

. souvent: 3 compagnies

. parfois: 6 compagnies

. jamais: 0 compagnie

- obtenir des conseils sur les traitements à dispenser:

. toujours: 2 compagnies

. souvent: 0 compagnie • parfois: 5 compagnies . jamais: 8 compagnies

14 Communications s'effectuent par:

• l'intermédiaire de la centrale: 12 compagnies (pour une compagnie, les techniciens ambulanciers communi-queront directement pour les cas très spéciaux);

• directement par les techniciens ambulanciers: 3 compa-gnies.

15 Procédure suivie en cas de fermeture d'urgence:

• ne s'applique pas: S compagnies; • se dirige d'emblée vers un établissement prédéterminé: 2 compagnies;

• se dirige vers un établissement qui a conclu un arrange-ment avec celui à l'orgine du détournement: 2 compagnies;

• se dirige vers l'établissement le plus près d'où il se trouve: 2 compagnies;

. la centrale intervient pour trouver un autre établissement (souvent) ou l'ambulance se dirige d'emblée vers un éta-blissement prédéterminé (parfois): 1 compagnie.

Page 49: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

4 9

2.16 participation à 1*élaboration de plans d'urgence en cas de catastrophe: • 9 compagnies

2.17 Participation à l'application de plans d'urgence:

. 6 compagnies

2.18 Commentaires ou suggestions:

. nécessité d'un contrôle médical et de disponibilité en effectifs médicaux (évoqué par 2 propriétaires);

• la stabilisation d'emploi devrait avoir un impact très positif;

• exercices par équipes d'experts en catastrophe avec dif-férents intervenants;

. problème de prise en considération des techniciens ambu-lanciers par les infirmières.

Page 50: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

}

JttMEXE V

QUttXIUJClQlAIKE SOR L'HTCBilSUIB I E S RtiSSaUHUfii

HT SAIXES D'URtSCE DES ( B i B E E > H D S E E M J H B

SOR IE 'iHOUlUlKtt CE LA M N B E 3 E

)

i

Page 51: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

RESSOURCES D'URGENCE HQ6FTTAIJSΠQuestionnaire d'inventaire

Nofriœ ^î^p^rtsnt^1

Afin de ne pas alourdir abusivement le questionnaire, nous utiliserons le genre le plus couramment usité selcn le type de profession.

Pour empiéter ce questionnaire, veuillez vous référer aux notes explica-tives se trouvant sur les pages de gauche.

Si vous désirez de plus amples informations, n'hésitez pas à nous appeler directement.

Bruœ Broun, met., M.P.H. Directeur du projet

Léo-îtoch Boirier Ooordonnateur du projet

D.S.C. diaries LeMoyne (514) 465-7800

Géraldine Quesnel Conseillère en planification-progranmation

D.S.C. Valleyfield (514) 371-6313

Diane Serjeria Conseillère en recherche

D.S.C. Honoré-Mercier (514) 773-5501

André SéniJcas Ooordonnateur médical

D.S.C. du Haut-Richelieu (514) 359-5000

Page 52: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

52

friftofrirtn 1.1

Une unité d'urgence fonnellemsnt identifiée possède sa propre entrée, une salle d'attente, une aire de réception, un poste d'Infirmières et des salles de traitement, une salle d'urgence moins formelle partage ces installations avec d'autres services de l'hôpital.

Question 1.2

Indiquez le ncobre de lits autorisés ou p 0 ^ » et non le nombre de lits couronnent en opération.

Question 1.3

N'incluez pas dans oe total les visites en cliniques externes ou toute visite sur rendez-vous. Si les pour l'année financière 1987-1988 ne sont pas disponibles, fournissez les les plus récentes dont vous disposez et indiquez à quelle période de tenps elles s'appliquent.

Page 53: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

53

UBLTHJM I: PROFIL DO (MIIHK B D B B S m U B L

l.l Une unité d,urgence fonnellement identifiée offre des soins et services eus bénéficiaires nécessitant de façon urgente une éva-luation, un diagnostic et le traitement de blessures ou de mala-dies, à pniirir d* installations conçues à cette fin et disposant des ressources et matérielles appropriées.

Est-ce que les services d'urgence qu'offre votre établissement le sont au moyen:

d'une unité d'urgence formellement identifiée?

d'une salle d'urgence moins formelle?

OBHB IA sans DB Œ QDBBKSCWnB, BDOB —uii-n—t niUJWUIUJft MBr U B TCPTfFF DB " " « H D'tJHŒEE, OB SERVICES D'URGBXX OU D'UNIXB D'UBGBKS BOOR TBarana» î m w I£ T.tw CB OEESEBBKTECH QDB L'OBffiHEBBOlim DBS BOCDB ET SERVICES D'URGBCB.

1.2 Quel est le nombre de lits, pour chacune des catégories de soins suivantes, autorisés au permis?

soins de courte durée

soins de longue durée

réadaptation

psychiatrie

total

1.3 Pour l'année budgétaire 1987-1988, quel a été le nombre de visi-tes à l'urgence (à l'exclusion des visites sur rendez-vous)?

Page 54: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

54 Question 1,4

Nous reprenons ici les catégories proposées par le ministère de la Santé de 1 "Ontario, si votre établissement utilise une autre catégorisation des visites à l'urgence ou si cette catégorisation est faite à partir des diagnostics finals, ASSEZ A IA QGB8TICN 1.6.

Question 1.5

Si les données pour l'année financière 1987-1988 ne sont pas disponibles, fournissez les 'Vrnv ff les plus récentes dont vous disposez et indiquez à quelle période de temps elles s'appliquent.

Page 55: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

55

1.4 Pour ses relevés statistiques, votre service d'urgence distingue-t-il les visites qui y sont faites selon qu'elles soient extrême-ment urgentes, urgentes, semi-urgentes ou non-urgentes, sur la base du motif déclaré de la visite?

oui non, une méthode différente pour catégoriser les visites est en place (BtfffffB A IA ÇfSSasxOB 1.6) non, les visites ne sont pas catégorisées (assez A IA QUES-TS» 1.8)

Le bénéficiaire requiert une intervention médicale imoédiate mmq quoi son problème de santé met sa vie en danger ou risque d'entraîner une incapacité pennanente.

Le bénéficiaire devrait recevoir des soins en deçà d'une heure at ne devrait pas attendre au-delà de 24 heures après son ar-rivée à l'urgence sans quoi son état risque de devenir ment urgent.

Le bénéficiaire ne requiert pas de soins de façon inmédiate (un délai de 24 heures ne pas ses nhimnes de recouvrement de la santé) et les soins que son état appelle pourraient lui être dlnpeitfMta ailleurs que dans une unité d'urgenoe.

Le bénéficiaire ne présente pas un état qui ferait considérer son cas oonme urgent et est venu à l'urgence suite à un rendez-vous pris formellement.

1.5 Quel a été, pour l'année financière 1987-1988, le nombre de visi-tes à l'urgence selon ces catégories:

)

' ; extrémant urgent

urgent ; )

non-urgent

sur rendez-vous

Page 56: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

56

Question 1.6

Si les bénéficiaires sent catégorisés à la fiais selon le motif déclaré par le bénéficiaire et selon le diagnostic final, inscrivez le ncobre de visites sous deux catégories distinctes selon la base de catégorisation.

Question 1.7

Se ocnprend d'elle-même.

Page 57: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

57

8i votre établissement utilise une autre catégorisation des visi-tes à l'urgenoe, veuillez fournir une définition des catégories retenues et le nombre de visites pour nhnnme d'elles au cours de l'année financière 1987-1988. Précisez si ces catégories s'ap-pliquent au motif déclaré de la visite par le bénéficiaire ou au diagnostic final.

Catégorie Basée sur: Mb de visites Motif Diagnostic déclaré final

1.

2.

3.

4.

5.

6.

Qui effectue cette catégorisation?

(K QO'tK SBOCB GASB)

mfrfrrHn

infixsdère-cbef

assistante infirmière-chef

infirmière

hôtesse

autre, UHUIFUB

Page 58: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

io

frittO»*/»» 9.2

Se ocoprend d'elle-même. - - —

Question 2.3

Se ocmprendd'ello mrmn.

Qufwticn 2.4

Tenir ocapte du teaps de réponse requis par le technicien pour réaliser les croisements et l'hêmotypologié. ' • . -

Question 2.5 • r -'

Letotal des lits de laensemble des spécialités de soins intensifs doit égaler le total'dés lits de soins intensifs.

Page 59: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

1 61

2 Votre établissement possède-t-il une banque de sang? oui 1 non

3 Avez-vous accès rapidement (en moins de 30 minutes) à une banque de gang oennunautaire ou à une liste d'appel de donneurs locaux?

oui non

4 Avez-vous accès à des croisements sanguins et à l'hémotypologie en moins d'une heure, 24 heures par jour?

oui non

Quel est le nombre total de lits de soins intensifs disponibles dans votre établissement?

IHV JIIM LE MMHMK EB I23B SOUR r w v ™ t EBB IMI'IHB 80IVBHD28:

unité de soins intensifs généraux

unité de soins coronariens physiqiwmpnt séparée

unité de soins aux brûlés physiquement séparée

unité de soins néonatals intensifs physiquement séparée

unité de soins neuro-chirurgicaux intensifs physique-ment séparée

unité de soins chirurgicaux physiquement séparée

Page 60: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

64

Question 2 .8 Se oceprend d'elle-même.

Ouestlon-2.9

Nous entendons lei par CcégieBneut une fois ou plus par semaine; siomiallement signifie jusqu'à trois fois par mois et rarement équivaut à moins .d'une fois par mois. -,

n o

Page 61: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

65

2*8 De quelles installations de surveillance dispose votre unité de soins intensifs?

m r m * ADXBHF DB BOIS : QOB NH MRBftTHB

électrocardiogramne oontinu (monitor)

tension artérielle continue au moyen de catheter (indwell-ing)

tension du ventricule droit au moyen de catheter swan Ganz

tension des gaz transcutanée

tension intracrânienne continue

2.9 Est-ce qu'il arrive que votre établissement transfère des béné-ficiaires dans un état sévère de la salle d'urgence à un autre établissement parce que l'unité de soins intensifs est occupée à pleine capacité?

jlM<fl

Page 62: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

68 friocH-j/»» 3.11

Se comprend d'elle-même.

Si les techniciens radiologistes sont disponibles à l'interne ou sur appel 24 heurs par jour mais que le retour de l'appel prend plus de trente minutes, répondez quand mime disponible k l'interne ou sur appel en moins de 30 milites, 24 heures par jour et indiquez le temps de ré-ponse réel.

Page 63: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

69

2.il indiquez la disponibilité du bloo opératoire dans votre hôpital.

HE ««««ai QU'HUE CASE ™ OOIflWR

Lundi au weekends et vendredi jrs fériés

personnel disponible à 1 ' interne, 24 heures par jour

personnel disponible à l'interne ou sur appel, 24 heures par jour

le bloc opératoire n'est pas dis-ponible 24 heures par jour

l'hôpital ne dispose pas de bloc opératoire

2.12 Indiquez la disponibilité de technicien en radiologie dans votre hôpital.

disponible à l'interne 24 heures par jour

disponible à l'interne ou sur appel en moins de 30 minutes, 24 heures par jour

disponible à l'interne ou sur appel pour une partie de la journée seulement7

_ non disponible

Page 64: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

70

Question 2.13 L'angiographie fait référenoe à la capacité de faire tous les types d'examens de cette sous-spécialité (vasculaire périphérique et cardia-que) •

Si une de ces sous-spécialités radiologiques est disponible à l'interne ou sur appel 24 heures par jour mais que le retour de l'appel prend plus de 30 minutes, répondez quand même disponible à l'interne ou sur appel en

de 30 minutes, 24 heures par jour et indiquer le tenps de réponse réel.

t »

giooH*™ 3.14

Si un de ces services de laboratoire disponible à l'interne ou sur appel 24 heures par jour mais que le retour de l'appel prend plus de 30 minu-tes, répondez quand mime disponible k l'interne ou sur appel, en moins de 30 minutes, 24 heures par jour et indiquer le teops de réponse réel.

Quand un spécimen est envoyé pour analyse, donnez le nom de l'hôpital ou du laboratoire où il sera analysé.

t

\

• i

i i

Page 65: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

2.13 Try^T""» la disponibilité des sous-spécial i tés radiologiques suivantes dans votre hôpital.

; .. ^ ; ri ' ^ • -'r": r"\v'- •„: : ^ : . " ; ~ T1 Angiographie Ultrasonographie Tcnographie

'j *" • r r ...y; ;; i r\ ï :

• v ", "> . .'.t ' . '

o DiâpcmlWe à l'inter- • , ne 24 hres/jr '' V : . _ •• i Disponible à l'interne ou sur appel en moins de 30 min., 24 hres/jr _ Disponible à l'interne ou sur appel pour une partie de la journée seul ment

Mon disponible

2.14 indiquez lesquels des services de laboratoire suivants sont dis-ponibles dans votre établissement (81 IS 8SE9ICS M'EST I M DIB-RUBIS HI w™** EB 30 MDD1EB 24 EBOBBB Btt JOUR, IMÏItflKK 00 IEB finQMBB SHOTT EHVDSEB POOR AHRISBE).

Disponible à Disponible k Envoyé a: l'interne 24 l'interne ou hres/jr sur appel en

moins de 30 min. 24 hres/jr

Analyse complète de sang

Gaz nnnrj"4™

Electrolytes

Taux de sucre .

Etudes de coagulation

Microbiologie

Analyse d'urine

Toxicologie mineure (alcool, salicytates)

Toxicologie majeure (méthanol)

Page 66: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

74

f k >

Question 3.1

One ressource affectée spécifiquement au triage de façon fonnelle est un . médecin ou une infirmière qui a pour seule responsabilité, durant son affectation à la salle d'urgenoe, d1 évaluer rapidement et prioriser les bénéficiaires en vue du traitement, un système Informel de triage fait appel aussi à un médecin ou une infirmière qui, tout en prodiguant des soins, évalue et priorise les bénéficiaires qui se présentent à l'urgence.

i i Si votre établissement n'utilise un mécanisme formel de triage que pour certaines périodes de travail et a recours à un système informel le reste du teops, : cochez la case correspondant au mft uni nmn formel et indiquez sur une feuille à part les heures durant lesquelles un tel ménaniflan» est en place. !

Question 3.2 î

Certains de ces services peuvent être offerts par d'autres secteurs de votre établissement. Ne cochez ici que ceux relevant de l'urgence.

i

Page 67: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

75

m . HRBflnTTRrKfl BT W M H H I W B B DP S H T O C g D'UBfflHnT

3.1 La triage est ******* ocnme le processus d1 évaluation initiale de l'état de santé du bénéficiaire et le degré de priorité déterminé suite À cette évaluation.

Lequel des énoncés suivants reflète le mieux votre ménamimft du triage?

un mécanisme fosnel de triage est en place pour tous les bénéficiaires; une ressource est affectée spécifiquement à cette fin

le triage est effectué de façon informelle par le personnel de la salle d'urgenoe

le triage n'est pas un processus établi

3.2 Quels services, parmi les suivants; offrent vbtra service d'urgence?

cliniques externes avec rendezvous

visites médicales sur rendez- vous

chirurgie mineure - court séjour

endoscopie

de santé périodiques du personnel « M iti4 a

Page 68: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

Question 3;6

1. Oontrôle médical, par lea y » ^ ) i

Un médecin identifié à cette fin passe en revue un certain nombre de dossiers d'un autre médecin, à partir d'un échantillon compre-nant à la fois des cas mineurs et dés cas graves, annotant le dos-sier sur un certain nombre d'éléments (histoire de cas, évaluation physique, diagnostic provisoire, pertinence des examens, qualité du traitement, diagnostic. final, résultat de santé, . suivi et enseigne-ment au bénéficiaire). La pratique est 1H firpnt* et une cote çflo* baie est accordée.

i •• _

2. amlrûlft îwti^1 jammyim par les tw1 rs) Cette méthode inplique l'observation anonyme de la . pratique d'un médecin par un autre médecin où certains paramètres en particulier sont évalués. Un processus de rétroaction est assuré.

3. Revue d'entités snérri flnues , un certain nombre de dossiers se rapportant à un problème de santé

donné sont analysés de façon 'statistique selon les oemposantes-clésj. Les résultats sont alors discutés peu: les mprtftrins impliqués et . des standards pour la gestion du problème et sa documentation sont:, élaborés; un suivi est assuré par des analyses répétées.

Am Revue aléatoire de dossiers

Cette revue est assurée |wl'unr<u plusieurs médecins ou autres professionnels de la santé pour évaluer l'eacfauastivitéet la préci-sion! des informations consignées, l'examen, le traitment, les reocranandations lors du congé, le suivi et éventuellement l'impart sur 'l'état de santé. Si certaines attentes générales ou spéci-fiques ne sont pas comblées, les médecins ou infirmières concernés en sont informés. Four assurer la valeur de cette revue, des li-gnes' directrices quant à ce que devraient contenir les dossiers doivent avoir été dégagées. >:•" -

i

5. Revue des résultats de: trail rmnht: • i

Les {résultats d'une consultation médicale sont déterminés par le suivi médical effectué par le médecin traitant ou par le médecin de

. famille, ou. par l'analyse, du dossier des bénéficiaires admis à l'hôpital à partir de l'urgence.

6. Ruvub de ntiaraaoothérapie »

La pertinence de l'utilisation enpirique et thérapeutique de médi-caments est évaluée par l'analyse de profils de prescription individuels ou agrégés.

Page 69: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

79 - i i •

Indiquas quels types de contrôle de la qualité des soins sont pratiqués dans votre établissement sur une base régulière et à quelle fréquence elles le sont?

Fréquence (sur une base annuelle) Contrôle médical (direct par les pairs) :

Contrôle médical (anonyme par les pairs)

Revue aléatoire de dossiers

Revue des résultats de traitement

Revue de pharmaoothérapie

Page 70: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

80 Question 3.7

Se comprend d'ell

Question 3.8

Se oumpieud d'ell i

Question 3.9

Se comprend d'elle

!

Question 3.10

Se comprend d'elle-même

Plusieurs des sujets émmérés peuvent être couverts par la même politi-que. Si tel est le cas, veuilles «chez chacune des cases appropriées.

i

Page 71: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

81

3.7 Votre établissement a-t-il sur pied un comité multidisciplinaire de contrôle de la qualité qui évalue la qualité des soins dispen-sés à l'urgence?

oui non

3.8 Votre établissement a-t-il sur pied un comité médical à la salle d'urgence?

non non

ai m , n s s r a a ia question s.io

3.9 Est-ce que oe comité définit, évalue et met À jour les politi-ques, protocoles et procédures de la salle d'urgence?

oui non

SI OUI/ maggg A IA QQESnCN 3.11

3.10 Y a-t-il dans votre établissement un comité chargé de définir, évaluer et mettre k jour les politiques, protocoles et procédures de la salle d'urgence?

oui non

81 OUI, KM DO OCtiHt ; •

3.11 Pour lesquels de points suivants, le service d'urgence de votre établissement dispose-t-il de politiques, procédures et protoco-les écrits?

(KKWIA AUTANT DB K H B QOB

durée de séjour permise k la salle d'urgence

interventions qui peuvent être faites dans l'unité d'urgence

Page 72: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

83

3.U (suite) arrêts cardiaques et maintien des fonctions vitales isolaient des malades le cas des malades décédés à l'arrivée ou pendant leur sé-jour à l'unité d'urgence l'entrée en contact avec le plus proche parent du malade les soins à certains types de par les infirmières et les initiatives qu'elles doivent prendre vis-à-vis certains problèmes avant l'arrivée du médecin la stabilisation de l'état du malade, la préparation en vue de son transfert et les personnes responsables du malade durant le transfert l'obligation de transférer un lorsque l'hôpital où il se trouve ne peut lui prodiguer les soins spécialisés que son état nécessite le choix d'un véhicule , du personnel qui accompagnera le malade, de l'appareillage, des fournitures et du système de ocoDunication utilisés en cours de trasnport

les dossiers médicaux et les doctments qui accompagnent le «fi

le soin des malades psychiatriques

la sécurité des psychiatriques, des autres malades et du personnel la qualification du personnel qui accompagne le malade lors d'un transfert

l'équipement qui doit acocnpagné le malade lors du transfert

quand et cornent une M"v,i1at>wa est appelée pour le transfert (transfert terrestre ou aérien) les entantes relatives au transfert, les ordonnances de rou-tine en vue de l'évaluation et de la prise en charge des iwiaAn et le transfert des responsabilités entre les hôpi-taux vers lesquels des malades sont régulièrement anhmlnés

les renseignements à oomnuniqyer au personnel de l'ambulance et de l'hôpital où le malade doit être transféré au sujet de toute maladie transmissible dont celui-ci pourrait être atteint

Page 73: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

85

3.11 (suite) le choix du médecin responsable de la coordination globale des soins l'entrée en contact avec le médecin qui traite habituelle-ment le malade

la liste des médecins consultants en disponibilité à l'unité d'urgence

le délai accordé au médecin traitant du malade pour répondre à l'appel et pour arriver à l'hôpital, et la clause d'exception pour les cas urgents

1 'infirmière-chef de l'unité d'urgence ou sa représentante doit faire partie de tous les onmités dont les décisions ont des conséquences directes sur les soins infirmiers à l'unité une réprésentante du personnel infirmier de l'unité d'ur-gence doit faire partie des onmifrés du département des soins infirmiers qui touchent l'unité d'urgence

• les actes médicaux qui peuvent être délégués et le personnel è qui ils peuvent être délégués

la structure d'organisation et d'autorité et les oommmica-tions entre le personnel de l'unité d'urgence, l'administra-tion hospitalière, le personnel médical et infirmier

le retour de l'équipement suite aux transferts

le triage et l'organisation des soins aux malades

la description des tâches (tous les postes) le traitement des cas ayant des aspects juridiques: par exBnple, consentement au traitement, protocoles en cas de viol, mauvais traitement des enfants, cas relevant de la police, cas relevant du coroner, refus de traitement de la part des malades et cas où l'hôpital doit prévenir un tiers

les instructions à remettre aux malades au moment du départ (utilisation de formules pré-isprimées, s'il y a lieu)

l'évaluation de la qualité des soins aux malades par le personnel médical

l'évaluation de la qualité des soins aux malades par le paywtnnol i uni ar

l'entretien du matériel

Page 74: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

Question 3,12

Una salle de réanimation désignée doit oonprendre l'équipement spécia-lisé requis pour le traitaient d'urgences canlicMrasculairas, de trauma-tismes ou toute autre urgence où le survie du bénéficiaire est en cause. Cette salle ne doit pas normalement servir à des procédures de routine ou non urgentes. Elle peut aussi être désignée oônme une salle de traumato-logie majeure et être conservée dans des conditions semi-stériles. Si votre établissement dispose d'une telle salle, veuillez indiquer le nom-bre de places (lits ou civières) qui y sont disponibles.

Question 3.13 t • • • Certains des équipements contenus dans la liste peuvent se trouver dans des services adjacents à la salle d'urgence. Si ces équipements peuvent être apportés À la salle d'urgence assez rapidement pour avoir un ispact sur les soins prodigués À un bénéficiaire dans un état urgent, on doit les oondidérer ocnmè Imrtilliilmmf disponibles.

Page 75: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

87

3.11 (suite)

la liste des conseillers, des membres du clergé, des inter*-prêtes et des autres ressources hospitalières ou ocununau-taires, avec les xuméros de téléphone

les relations publiques et l'éducation de la population (comprend aussi les relations avec lès médias) l'envoi du résumé d'intervention au médecin qui a référé le bénéficiaire vers votre établissement

la prise en considération des cas cliniquement morts (mort cérébrale) pour d'éventuels dons d'organe

3.12 Votre salle d'urgence dispose-t-elle d'une salle de réanimation désignée?

oui non

81 OUI, BQHERB EE CIVIERES

3.13 Lesquels des équipements suivants sont immédiatement disponibles à votre salle d'urgence? HMHMH JUnSHT EB VOSXB QUE NECESSAIRE

lits k inclinaison et à hauteur réglables

; appareil de surveillance électrocardiographique

respirateur (KEB )

appareils de succion fixés au mur

machine à anesthésie

galvanocautère

équipement d'intubation endotrachàale pour adulte

équipement d'intubation endotrachéale pédiatrique

pantalon anti-choc pour adulte

Page 76: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

89

.13 (suite)

. pantalon anti-choc pédiatrique appareil de radiographie portatif matériel k laryngotomie par le cartilage cricoids et la membrane crico-thyroïdienne matériel k intubation

. fourniture d1 oxygène fixée au mur équipement pour la surveillance de la pression veineuse centrale trousse de secours pour arrêts cardiaques (lidocaïne, bicar-bonate de soude, adrénaline, atropine, isuprel, ...)

installations pour retenue maximale (pour blessures k la colonne vertébrale)

appareil de succion portatif

table d'accouchement

matériel à ventilation rhinopharyngée et oropharyngée

solutés et solution intraveineuses

tube à rayon X fixé au plafond

' réfrigérateur pour conserver le sang

appareil k réchauffer le sang

scialytique de haute intensité tringles au plafond servant k suspendre les solutés et solu-tions intraveineuses

défihri 11 ateur

défihrillateur pédiatrique

cabaret à dissection veineuse

sacs pour ventilation manuelle (adulte) avec masques munis de valves

sacs pour ventilation d'enfant

Page 77: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

90

Question 3.14

Certaines des salles ou aires de la liste peuvent être localisées ail-leurs dans 1"hôpital. Seules celles se trouvant à l'intérieur de l'unité d'urgence idoivent être ici cochées.

I :

i

Page 78: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

91

3.13 (suite) _ _ équipement d1 infusion intraveineuse sous pression (pour

transfusions) matériel à thoraootcmie

matériel à paraoenthèse abdominale

nécessaire à oxygène portatif capacité d'insertion de stimulateur électrique intracorporel (Pacemaker) pompe pour infusion intraveineuse volunétrique

équipement intraveineux pédiatrique trousse médicale pour lé terrain (pour intervention hors de l'établissement) matériel de contrôle thennique (couverture thermique, bain d'inmersion, glace, ...) codex des médicaments à usage pédiatrique affiché au mur

3.14 Lesquels des salles ou sites suivants se trouvent à l'unité d'ur-gence mane? ai uns ebi uthjss a pub d'ibb fih, vhdhiez l'Usiquer a ans EB IA REPOSE.

ADXBMT EB IDES QUE HBŒB&AHB salle pour urgences O.R.L. aire de déoontamination (radiation, intoxication chimique)

plâtre et orthopédie

isolement microbiologique

triage

documentation médicale (pour médecins)

salle d'attente

poste d'infirmières

Page 79: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

92

Queaticai 3 .15

Se ccnprend d'elle-même.

Question 3*16

Se ocnprend d'ell<

Page 80: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

93 3.14 (suite)

' petit laboratoire pour tests d'urgence

bureau du chef de service (ou ooordonnateur médical)

bureau de l1 infirmière-chef

salle de conférence

bureau des médecins du service d'urgence

centre de docunentation

poste des médecins sur appel

salle pour le personnel

salle pour entrevues en psychiatrie

salle d'obstétrique et de gynécologie

salle de chirurgie mineure

salle de pédiatrie

salle de toilette

3.15 Est-ce que votre unité d'urgence comprend une aire d'observation (observation de courte durée) pour les bénéficiaires qui n'ont pas été aAnis & l'hôpital?

oui non

81 HXI, Wfflffi A IA QDBBira 3.18

3.16 Combien y a-t-il de lits dans cette aire d'observation?

Page 81: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

94 Question 3.17

Se comprend d'elle-même

Question 3.IB i

Se onnprend d'ell

Question 3,19

Se ccoprand d'ell*

Page 82: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

95

3.17 Votre établissement a-t-il une politique formelle régissant l'utilisation des lits de cette aire d'observation? (ex. limites de durée de séjour, responsabilité médicale, ...)

oui non

3.18 Est-ce que toutes les radiographies des bénéficiaires de l'unité d'urgence sont revues éventuellement par une radiologiste?

oui non

3.19 Est-ce que tous les électrocardiogramnes des bénéficiaires de l'unité d'urgence sont éventuellement revus par un cardiologue ou un autre spécialiste qualifié (en médecine interne, par exemple)?

oui non

Page 83: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

96

i i t

Si une infirmière diplômée est présente physiquement à la salle d'urgence 24 heures par jour, sept jours par semaine, répondez oui à la question. Si, à certaines heures ou certains jours, les infirmières ne sont dis-ponibles que sur appel, répondez non à la question.

Si un médecin est présent physiquement (et non sur appel) à la salle d'urgence 24 heures par jour, 7 jours par semaine, répondez oui à la question. Si, à certaines heures ou certains jours, les médecins ne sont disponibles que sur appel/ répondez non à la question.

frioaHwi 4.2

Se comprend d'elle-même.

i i i

4.3

Se conprend d'elle-même.

Page 84: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

97

SBCXXOtf IV: HIUUKIItim HTUftTMRB A L'UHFIE D'URGBKX

4.1 Est-ce qu'on retrouve à votre unité d'urgence, de façon continue 24 heures par jour, 7 jours par semaine:

dés infirmières de l'unité d'urgence?

oui non

des médecins de l'unité d'urgence sur place?

oui non

SI OUI, HISSEZ A IA QUESTION 4.3

4.2 Est-ce qu'un médecin est toujours disponible et peut se rendre à l'unité d'urgence moins de 15 mi mites après l'arrivée du bénéfi-ciaire?

oui non

4.3 Lequel des énoncés suivants décrit le mieux le fonctionnement dé votre salle d'urgence?

SB QO'QB flPTTFB A8B

des « H H n 0 et des infizmières sont en place 24 heures par jour à la salle d'urgence

des médecins et des infirmières sont en place durant un certain nombre d'heures à la salle d'urgence, après quoi les infirmières, appellent un médecin' lorsque nécessaire

des infisniàres sont en place 24 heures par jour et appel-lent un médecin lorsque nécessaire. Aucun médecin n'est affecté à plein tenps à la salle d'urgence

Page 85: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

98

»

Question 4.4

Se comprend d'elle-même.

4.5

Ub poste aOninistratif à temps plein iuplique que le chef de service ou le ^ ^ r ^ m w t m é d i c a l à l'urgence ne participe pas au traitement des bénéficiaires; son rôle est strictement administratif, un poste à la fois clinique et a&dnistratif À tenps plein iuplique que le chef de service ou le coordonnateur médical à l'urgence prend part, pour des périodes données, au traitement des bénéficiaires, en plus de ses tâches administratives. Si le chef de service ou le coordonnateur à l'urgence effectue à! temps plein du travail clinique et s'occupe, au besoin, des tâches administratives, veuillez cochez devant 'poste clinique à tape pi^i» avec! a*inistratives à l'occasion*. Si le chef de service ou le coordonnateur médical à l'urgence conserve une pratique privée, travaille & tenps partiel à l'urgence auprès des bénéficiaires et effec-tue, au besoin, des tâches aAninistratives, alors cochez 'poste clinique à te^s partiel arveo tâchas a*bdstzatives à l'occasion".

Page 86: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

99

4.3 (suite)

des infirmières sont en place à l'urgence durant un certain nombre d'heures, après quoi une infianière s'y rend sur ap-pel. Les médecins ne s'y rendant que lorsque nécessaire

pas de personnel n'est en place canne tel à la salle d'ur-gence. Las infirmières s'y rendent sur appel, de même que les médecins, lorsque néoesssaire

autre, UtHZiFJJB

4.4 Qui a la responsabilité médicale du service d'urgence?

chef du département de médecine générale (ou familiale)

chef du service d'urgence

président du C.M.D.P.

directeur des services professionnels

coordoonateur médical

infirmière-chef

autre, SEBCmBS • • • •.

81 VOBBB SERVICE D'URSKX EST 8008 IA RESBOKBAHLTIE D'UN OOCft-m a n m o m MBnmT. OU D'UN CBBP EB SERVICE, HKHfitM M X QUESTIONS 4.5 A 4.9. 8HEN, E&SSBZ A IA QUESTION 4.10.

4.5 Lequel des énoncés suivants décrit le mieux le rôle du chef de service ou du coordoonateur médical de la salle d'urgence?

poste aAninistratif à tenps plein

poste à la fois clinique et administratif à tenps plein j .

poste clinique à tenps plein avec tâches a&ninistratives à --, l'occasion

i

poste clinique à tenps partiel avec tâches administratives à l'occasion

autre, S R Q F u a

Page 87: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

100 Question 4*6 Se comprend d'elle-même

i i

Question 4.7 I

Se (xiiyreud d'elle-même

Question 4.8

Se oonprend d'elle-même

Se ocnprend d'ell<

Page 88: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

101 4.6 Votre chef de service ou coordonnateur médical à 11 urgence

reçoit-il une rémunération pour cette responsabilité? oui non

4.7 Votre chef de service ou coordonnateur médical à l'urgence est-il responsable de la planification et du contrôle budgétaires du service?

oui non

4.8 Quelles sont les qualifications professionnelles de votre chef de service ou coordonnateur médical à l'urgence?

imiHMBi ADIAHF DB EQZ8 QUE

ami prati cri en

membre du Collège royal de médecine d'urgence

spécialiste; spécialité certificat en médecine d'urgence du Collège canadien des médecins de famille

diplôme de 1'American Board of Bnergency Medicine (A.B.E.M.)

. éligible à un certificat en médecine d'urgence

autre,

4.9 Est-ce que le chef de service ou ooordosmateur médical à l'ur-gence de votre établissement siège au Conseil des médecins, den-tistes et £hasnacians?

oui non

Centra de documentation DÉPARTEMENT DE ' DU MAUT-RICHELIEU

St-Jean r sur -T. Ici (Québec) • J3A 1G2

Page 89: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

102 4.1Q

Si le mode de couverture médicale à l'urgence correspond à celui exprimé par deux énrmoéa ou plus, veuillez cocher Autre et décrire le mode cour verture qui prévaut.

Se ocnprend d'ell

oufwtlop 4.12

Se comprend d'elle-même.

i

Page 90: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

103

4.10 Lequel des timv^ suivants décrit le mieux la façon dont est établi l>horaire de travail des effectifs médicaux à l'unité d'urgence?

MB <IKW« QU'UNE SEDLB CASE informel: un arrangement avec les médecins locaux qui répon-dent sur appel aux urgences lorsque nécessaire rotation obligatoire des membres actifs: l'obligation d'as-surer la garde à la salle d'urgence de façon régulière est inpérative pour obtenir un privilège de pratique

rotation volontaire: seuls les médecins qui ont choisi d'as-surer des périodes de garde à l'urgence sont inclus dans la rotation rotation de groupe: une équipe de médecin est responsable d'assurer les services d'urgence pour une certaine période de temps. les résidents et internes assurent la garde k l'urgence sous la supervision, pas nécessairement de façon continue, de jnA^dwrl nia diplômés

un certain ncnbre de i H H ™ qui conservent leur pratique privée acceptent oontractuellement de desservir la salle d'urgence des spécialistes en médecine d'urgence assurent exclusive-ment la couverture des services d'urgence

autre, B H T î H B ;

4.11 Quel est le nombre total de médecins qui pratiquent régulièrement à .la salle d'urgence?

4.12 Ocmbien de ces médecins pratiquent à temps plein la médecine d'urgence?

Page 91: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

104 frittcrl-^ 4.13

Se oaoprend d1 elle-même

i

i

ffmoM»» 4.14

Se comprend d'elle-même

Question 4.15

Se comprend d'elle-même

Page 92: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

105

4.13 Oanbien de médecins pratiquant régulièrement à la salle d'urgence de votre établissement pratiquent aussi au service d'urgence d'un autre centre hospitalier?

4.14 Votre établissement dispose-t-il d'une politique concernant les qualifications et les exigences requises pau: les médecins tra-vaillant à votre servcie?

oui, une politique formelle et écrite

oui, une politique informelle

non, TftfiKBB A IA QUESTION 4.16

4.15 Quelles sont, paxmi les exigences suivantes, celles qui sont re-quises pour qu'un médecin puisse pratiquer k la salle d'urgence?

' " H W I D W EE 10X8 QUE NECESSAIRE

technique de base en assistance cardio-respiratoire k l'uni-té d'urgence (BCI£) technique avancée en assistance cardio-respiratoire k l'uni-té d'urgence (ACLS)

technique avancée de maintien des fonctions vitales des grands blessés à l'unité d'urgence (Ana) certificat en médecine d'urgence à l'unité d'urgence (recon-naissance du Collège des médecins de famille du Canada, du Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada ou de l'American Board of Emergency Medicine) un certain nombre d'heures de formation continue en médecine d'urgence par année, SPECIFIEZ is m m w h D'BEDRES

un nombre m^mai d'heures de pratique en salle d'urgence par année, SETCEFIB2 IS OTWB D'BEDRES M K W W

autre,' 8 E B 3 K I B

Page 93: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

106 Question 4.16

Se oooprend d1 :ile-même.

Question 4.17

Se comprend d'ell

Question 4 .18

Me codiez que lorsque ce type de spécialistes est disponible à l1 inté-rieur de 1" hôpital 24 heures par jour. Me tenez pas coopte de ceux dis-ponibles sur appel à domicile ou dans un autre hôpital, ou de ceux qui ne sont disponibles qu'à r*"**™»*» heures. Si, pour une même spécialité, plus d'un type de médecin est disponible (spécialiste, résident ou cntnipraticien qualifié), norhez autant de fois que nécessaire.

Page 94: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

107

4.16 Indiques le ncnbre de rnéflyd™» de votre service d'urgence présen-tant les qualifications suivantes?

Tenps plein Temps occasionnel à la salie d'urgence

Technique de base en assistance cardio-respiratoire (ne pas in-clure ici œux formés à la tech-nique avancée, BOS)

Technique avancée en assistance cardio-respiratoire (ACtt) .

Technique avancée de maintien des fonctions vitales des grands blessés (ARB) Certificat en médecine d'urgence (OCFP, FRCP, ABOI)

Aucune de ces qualifications

4.17 Votre service d'urgence oonserve-t-il une liste de spécialistes sur appel?

oui non

4.18 Indiquez quels types de spécialistes dans chacun des drnwrines suivants sont disponibles 24 heures par jour à l'interne pour aider au traitement imaôdiat d'un bénéficiaire à l'ugence?

B R 9 0 S B F G I B QDB H9CEBSAIEE

Spécialiste Résident Onnipraticien qualifié

anesthésie

chirurgie générale ' ffiAwriwa interne

neurochirurgie

radiologie

obst./gynéoologie :

psychiatrie

Page 95: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

108

He oocbaz; que lorsque oe type de spécialiste peut répondre d'où qu'il soit (à l'intérieur de l'hôpital, à domicile, à un autre hôpital) un délai suffisamment bref pour pourvoir aider au traitement d'un bénéfi-ciaire en état d'urgence. Si, pour une même spécialité, plus d'un type de médecin est disponible (spécialiste, résident ou cmnipraticien qua-lifié) , cochez autant de fois que nécessaire.

Page 96: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

109

4.19 tmï/t10* quels types de spécialistes dans Chacun des drmaines suivants sont disponibles 24 heures par jour en moins de 15 minu-tes, de l'intérieur ou de l'extérieur de l'hôpital pour aider au traitement imnédiat d'un bénéficiaire à l'urgence. rarro* jgnSNT DB X0ŒB Q0B BBCEB8AIRB

Spécialiste Résident fUmi praticien qualifié

Anesthésie

Anesthésie pédiatrique

Cardiologie

Chirurgie cardio- vasculaire

Gastro-entérologie

Chirurgie générale

Hématologie

Médecine interne

Biochimie

Microchirurgie

Néphrologie

Neurologie

Neurochirurgie

Médecine nucléaire

Obstétrique/gynécologie

Ophtalmologie

Chirurgie buccale

Orthopédie

otorhinolaryngologie _ _

Chirugie pédiatrique

cardiologie pédiatrique

Pédiatrie

Page 97: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

t

110

1

1

I

I

Question 4*20 •

Se ccnprend d'elle-même.

4.21

Dormez le nombre d'infirmières diplômées qui travaillent À la salle d'ur-gence et nom le nombre de postes équivalents plein temps.

Page 98: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

Ill

4.19 (suite)

Chirurgie plastique

Psychiatrie

Radiologie

Fneamologie

Urologie

4.20 Qui a la responsabilité directe des soins infirmiers à la salle d'urgence?

BB QU'OS BBUEB HKK1HK

infirimière-chef du service d'urgence

«ordonnatrice clinique

surveillante des soins infirmiers

directrice des soins infirmiers

infirmière

autre, 8 R 3 F I S

4.21 Ocobien d'infirmières travaillent exclusivement à la salle d'ur-gence? (K VÊB OGHPEB CBS IHTIIfîllUTTBTI îimi.'ramwH)

A tenps plein A tenps partiel

Page 99: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

112 Question 4.22 î i

Se ocoprend d'ell

Question 4.23

Se ocoprend d'ell*

I

Question 4.24

Se ocoprend d'elle-même.

Page 100: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

113

4.22 Indiquez ccmbien d1 infirmières travaillant exclusivement à la salle d'urgence possèdent les qualifications suivantes?

A temps plein A tenps partiel Technique de base en assistance cardio-respiratoire (BCES) (ne pas inclure ici celles formées à la technique avancée) '

Technique avancée en assistance cardio-respiratoire (ACLS) (in-clure les infirmières qui n'ont qu'assisté au cours)

Technique avancée de maintien des fonctions vitales des grands blessés (AH8)

Certificat en nursing d'urgence

Aucune de ces catégories

4.23 Mise à part la période d'orientation offerte à toute nouvelle infirmière lors de son embauche, y a-t-il un programme d'orienta-tion spécifique pour les infimLères appelées à travailler à l'urgence?

oui non

81 U , A Uk QUBBXXU 4.27

4.24 Quelle est la durée de oe yiujiaiiiiiH d'orientation?

jours

Page 101: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

1X4 4.25

Se comprend d'elL

Question 4.26

Se oonprend d'elle-même.

Question 4.27 Se ooopzend d'elle-même

Page 102: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

115 4.25 Qui est responsable de oe program» d1 orientation?

infirmière-chef de 1"urgence autres infirmières à 1" urgence formatrice en service ôducatrioe clinique membre du corps médical coordonnatflur clinique

surveillante des soins infirmiers

autre, 8 K I K E B

4.26 Est-ce que cette orientation permet de se prévaloir à l'interne de plus grandes habiletés en soins infirmiers ou de poser cer-tains actes médicaux délégués tels que définis par l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec?

oui non

4.27 Quels sont, parmi les actes infirmiers suivants, ceux qui peuvent être posés par les infirmières de votre salle d'urgence?

imNff EB FO(ES QUE HBCE8SAIBB

débridement

onrnnander des tests de laboratoire

ajouter de la médication aux injections intraveineuses

enlever des tubes endotrachéals

ponction d'une veine

Page 103: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

116 OUBSti i 4,28 Se comprend d'elle-même.

Question 4,29

Ne répondez oui que si un professionnel qualifié, dont la responsabilité pour poser un acte délégué a été clairement établi, est disponible 24 heures par. jour.

Page 104: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

117

4.28 Lesquels des actes médicaux suivants peuvent être posés par les infirmières de votre salle d'urgence?

a x a s mnsMr OB KHB QOE NBCEBEAIBB ponction artérielle interprétation d'électrocardiogranme cast application défibrillation administration de médicaments vitaux (type A.C.L.S.) gonflement de pantalons pneumatiques anti-chocs oranander des radiographies suture des lacérations de surface mettre en place une injection intraveineuse transfusion sanguine autre, 8RBCXFXB

4.29 Y a-t-il en permanence à l'intérieur de l'hôpital quelqu'un (mé-decin, infirmière, ...) de qualifié en mesure de poser les actes médicaux suivants:

oui non

Mettre en place une injection intraveineuse Aâninistrer des médicaments vitaux (type A.C.L.8.) Défibrillation Gonflement de pantalons pragmatiques anti-chocs

Maintien des voies aériennes incluant l'intubation

Page 105: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

118 4.30 i

Cette formation continue peut prendre la forme d'un certain ncmbre d'heu-res de cours, de nàtuirm de perfectionnement ou quelque autre critère de formation préablablanent défini.

4.31

Se comprend d'elle-même.

Question 4.32

Se comprend d'elle

Page 106: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

119

4.30 Est-ce qu'une preuve de formation nantinue en soins aigus est requise des infirmières de la salle d'urgence?

oui non

4.31 Est-ce qu'un rafraîchissement des techniques d'assistance cardio-respiratoire et de maintien des fonctions vitales est requis pour:

oui non

Les médecins de votre salle d'urgence Les infirmières de votre salle d'urgence

4.32 A quelle fréquence ce rafraîchissement doit-il avoir lieu? Médecins, à chaque an (s) infirmières, à chaque an (s)

Page 107: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

120

Question 5.1

Se comprend d'elle-même.

Question 5.2

Se comprend d'elle

Question 5.3

Se ocoprend d'elle-même.

Question 5.4

Si votre établissement transfère les bénéficiaires requérant une neuro-chirurgie après la phase initiale de réanimation, veuillez rtnmer la nom de l'hôpital où ces bénéficiaires seront envoyés. Si vous les transférez vers différents hôpitaux, veuillez dresser la liste de ces hôpitaux par ordre décroissant du volune de ces transferts (l'hôpital accueillant le plus de cas de neurochirurgie en provenance de votre établissement en premier, etc.).

Page 108: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

121

5.1 Votre établissement aooepte-t-il des bénéficiaires nécessitant d1 urgence de la neurochirugie et qui proviennent d'un autre éta-blissement n'offrant pas cette spécialité?

oui non

5.2 Votre établissement est-il en mesure d'effectuer une intervention en neurochirurgie sur des bénéficiaires souffrant de blessures sévères à la tâte ou à la colonne vertébrale?

oui non

5.3 Votre établissement a-t-il une politique établie et écrite per-mettant de décider quand et où un bénéficiaire requérant de façon urgente de la neurochirurgie sera transféré?

oui non

5.4 Vers quel hôpital un bénéficiaire requérant d'urgence une neuro-chirurgie sera-t-il tranféré après la réanimation initiale et la stabilisation?

NOM EE L'HDFITAL

1.

2. 3.

5.5 Votre établissement aooepte-t-il des bénéficiaires requérant d'urgence un traitement cardiovasculaire et qui proviennent d'un autre établissement?

oui non

Page 109: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

122 Question 5,6 Se oanprend d'elle-même.

Question 5.7

Se oooprend d'ell

Question 5,8

Si votre établissement transfère les victimes d'urgences cardiovasculai-res après la phase initiale de réanimation, veuillez duuum le nom de l'hôpital où ces bénéficiaires sont envoyés. Si vous les transférez vers différents hôpitaux, veuillez dresser la liste de ces hôpitaux par ordre décroissant du volune de ces transferts (l'hôpital acceuillant le plus de victimes d'urgences cardiovasculaires en provenance de votre établisse-ment en premier, etc.).

Question 5.9

La capacité d'accueillir des bénéficiaires requérant d'urgence un traite-ment psychiatrique devrait impliquer la présence d'une chambre d'isole-ment, d'infisnières formées en soins psychiatriques et de responsables de cas sur appel.

Question 5.10

Se ocoprend d'elle-même

Page 110: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

123

5.6 Votre établissement est-il en mesure de traiter les victimes d'urgence cardiovasculaires? (ex. embolie artérielle, anévrisme, tamponade cardiaque)

oui non

5.7 Votre établissement a-t-il une politique établie et écrite per-mettant de décider quand et où un bénéficiaire requérant un trai-tement pour une urgence cardiovasculaire sera transféré?

oui non

5.8 Vers quel hôpital un bénéficiaire requérant un traitement pour une urgence cardiovasculaire sera-t-il transféré?

NON EB L'BDPITAL

1.

2. 3.

5.9 Votre établissement acoepte-t-il des bénéficiaires requérant d'urgence un traitement psychiatriaque, et qui proviennent d'un autre établissement?

oui non

5.10 Votre établissement est-il en mesure de traiter les cas d'urgence psychiatriques? (cas présentant un danger pour eux-mêmes ou pour les autres)

oui non

Page 111: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

124 OuRstion 5.11 Se oanprend d'elle-même.

Question 5.12

Si votre établissement transfère les bénéficiaires requérant un traite-ment psychiatrique après la phase initiale de réanimation, veuillez don-ner le nom de l'hôpital où ces bénéficiaires sont envoyés, si vous les transférez vers différents hôpitaux, veuillez dresser la liste de ces hôpitaux par ordre décroissant du volune de ces transferts (l'hôpital accueillant le plus de bénéficiaires requérant d'urgence un traitement psychiatrique en provenance de votre établissement en premier, etc. ).

Owwtion 5.13

On entend par grand brûlé: - un bénéficaire présentant des brûlures sur plus de 25% de la surface corporelle pour un adulte, ou sur. plus de 20% de la surface corpo-relle pour les enfants de moins de 10 ans ou les adultes de plus de 40 ans;

- ou des brûlures en profondeur sur plus de 10% de la surface corpo-relle;

- ou des brûlures au visage, aux mains, aux oreilles, aux yeux, aux pieds du au périnée risquant d'entraîner dés séquelles sur le plan fonctionnel ou esthétique;

- ou des brûlures consécutives à une décharge électrique à haut vol-tage;

- ou des brûlures auxquelles s'ajoutent des séquelles d'inhalation ou des traumatisms importants.

Question 5.14

Se oonprend d'elle-même.

Question 5.15

Se oonprend d'elle mémo

Page 112: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

125

5.11 Votre établissement a-t-il une politique établie et écrite per-mettant de décider où et quand un bénéficiaire requérant d'ur-gence un traitement psychiatrique sera transféré?

oui _ _ non

5.12 Vers quel hôpital un bénéficiaire requérant d'urgence un traite-ment psychiatrique sera-t-il tranféré?

NOM CG L'HOPITAL

1.

2. ; 3.

5.13 Votre établissement accepte-t-il des grands brûlés provenant de d'autres établissements ne pouvant les traiter?

oui non

i

5.14 Votre établissement est-il en mesure de traiter les grands brû-lés?

oui _ non

5.15 Votre établissement a-t-il une politique établie et écrite per-mettant de décider où un grand brûlé doit être transféré?

oui non

Page 113: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

126 QUMtiom_5-16

si votre établissement transfère les grands brûlés vers un autre hôpital après la phase initiale de réanimation, veuilles diinnur la nom de 1 •hôpi-tal où oes bénéficiaires sont envoyés. Si vous les transférez vers dif-férents hôpitaux, veuillez dresser la liste de ces hôpitaux par ordre décroissant du voluna de ces transferts (l'hôpital accueillant le plus de grands brûlés en provenance de votre établissement en premier, etc.).

S. 17

La pérlnatalité est définie oonme la période de temps comprise entre la conception et 28 jours après la naissance.

Question 5.18

Se orwprend d'elle-même.

Question 5.19

Se oonprend d'elle

Question 5.20

si votre établissement transfère les cas d'urgence en pérlnatalité vers une autre hôpital après la phase initiale de réanimation, veuillez don-mar le nom de l'hôpital où ces bénéficiaires sont envoyés. Si vous les transférez vers différents hôpitaux, veuillez dresser la liste de ces hôpitaux par ordre décroissant du volune de ces transferts (l'hôpital accueillant le plus de cas d'urgence en périnatalité en provenance de votre établissement en premier, etc.).

Page 114: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

127

5.16 Vers quel hôpital un grand brûlé sera-t-il transféré? NOM CE L'HOPITAL

1. -

2 . ;

3.

5*17 Votre établissement aooepte-t-il des cas d'urgence en périnata-lité provenant d1 autres établissements?

oui non

5.18 Votre établissement est-il en mesure de traiter les cas d'urgence en périnatalité? (prématurité, hypothermie, hypoglycémie, obs-truction des voies respiratoires)

oui non

5.19 Votre établissement a-t-il une politique établie et écrite per-mettant de décider où les cas d'urgence en périnatalité doivent être référés?

oui non

5.20 Vers quel hôpital les cas d'urgence en périnatalité seront-ils transférés?

NOM CE L'HOPITAL

Page 115: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

128 Question 5*21

Les cas de polytramatiames sévères sont ceux qui, affectant plus d'une région corporelle, donnent, sur l'échelle Trauma Score, un résultat de 12 ou moins.

Question 5.22

Se oonprend d'elle-même*

Question 5.23

Se oonprend d'elle-même*

Question 5.24

Si votre établissement transfère les cas de polytraumatismes sévères vers un autre hôpital après la phase initiale de réanimation, veuillez donner le nom de l'hôpital où ces bénéficiaires seront envoyés, si vous les transférez vers différents hôpitaux, veuillez dresser la liste de ces hôpitaux par ordre décroissant du volume de ces transferts (l'hôpital ac-cueillant le plus de cas de polytraunatismes sévères en provenance de votre établissement en premier, etc. ) •

5.25

Se oonprend d'ell

Question 5.26

Se oonprend d'elle-même*

Page 116: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

129

5.21 Votre établissement accepte-t-il des cas de polytraumatiames sévères provenant d'autres établissements?

oui non

5.22 Votre établissement est-il en masure de traiter les cas de poly-traunatismes sévères?

oui non

5.23 Votre établissement a-t-il une politique établie et écrite per-mettant de décider où les cas de polytraumatiames sévères doi-vent être référés?

oui non

5.24 Vers quel hôpital les cas de polytraixnatiemes sévères seront-ils transférés après réanimation et stabilisation?

MON DE L'HDOTMi

1.

2. ;

3.

5.25 Le maiâro de téléphone d'un centre anti-poison est-il affiché de façon évidente à votre salle d'urgence?

oui non

81 OUI, n DO

5.26 Votre établissement accepte-t-il des victimes d'intoxication pro-venant d'autres établissements?

oui non

Page 117: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

130 Question 5*27 se oonprend d'elle-même.

S.28

Se oonprend d'elle-même.

Owwtinn 5.29

Si votre établissement transfère les victimes d'intoxication vers un autre établissement après la phase initiale de réanimation/ veuillez

la nom de l'hôpital où ces bénéficiaires seront envoyés. Si vous les transférés vers différents hôpitaux, veuillez dresser la liste de ces hôpitaux par ordre décroissant du volune de ces transferts (l'hôpital accueillant le plus de victimes d'intoxication en provenance de votre établissement en premier, etc.).

Question 5.30

se oouprend d'elle-même.

Question 5.31

Se a«n>nnivl d'elle-même

Page 118: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

5

r U <131

o

c

I

r'

U

I

t "

y

5.27 Votre établissement dispose-t-il des ressources pour traiter les victimes d'intoxication grave? (respirateur, équipaient pour hémodialyse, "STAT drug levels") - -

oui non vr • ,. v r' •

5.28 Votre établissement a-t-il une politique établie et écrite per-mettant de décider où une victime d'intoxication grave sera réfé-rée?

oui non

; : 5.29 Vers quelJiçpital les victimes d'intoxication grave seront-elles

i m<

: transférées? (pour bémodialyse,^Lre^i»t^V - -. r- (7

NOM S L'HOPITAL

1. t

2 . ••• ^ - ^ —

oar^-^LWÙ c:J 3 .

5.30 Lemméro detéléphoned'un service pouvant fournir de l'informa-tion sur les substances dangeureuses est-il affiché dans votre établissement?' ^ — > - - - '

oui- _ non

5.31 Le mxnéro de télifrlwnft d'un centre régional recueillant les dons 1 r 5»3i Le mmero oe teiepnone crun g w u o c^mwcu. s w w y d'organe est-il affiché dans votre établissement?

oui non

re"- ;; .Y;-'/ ^ ù r:

I

Page 119: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

150

3.11 Points pour lesquels l'urgence dispose de politiques, procé-dures et protocoles: N

• durée de séjour permiseà l'urgence: HCLM, CHHM, HHR, HDS, CHG, BMP, BBM, CHAL;

. interventions qui peuvent être faites à l'urgence: HDS, CBS, BMP, BBM;

• arrêt cardiaque et maintien des fonctions vitales: HCLM, CHHM, CHPB, HDS, CHG, BMP, BBM, CHAL;

. isolement des malades: CHHM, CHPB/ CHV, HDS;

• cas dés malades décédés à l'arrivée ou durant leur séjour à l'urgence: HCLM, CBBM, CBPB, CHV, HDS, CHG, BMP, CHAL;

. soins et initiatives par infirmières pour certains ' typesde malades, avant l'arrivée du médecin: CHHM/ CBPB, HHR, BMP, HBM, CHAL; " ' " • -

• .stabilisation et préparation du malade en vue du transfert; personne responsable durant le transfert: CHHM, HDS, BMP^ CHAL;

•obligation de transféreroun malade requérant des soins spécia-lisé spécialisés non disponibles ou il se trouve: BMP, CHAL;

. choix du Véhicule, du personnel, de l'appareillage, des fourni-tures et du système de communication utilisés lors d'un trans-fert: CHHM, HDS, CHAL;

' ros^SÏ,nÔdiCaUX e t J u m e n t s accompagnant le malade: CHHM,

. soin des malades psychiatriques: HDS, CHAL;

• p e r S O , m e l ^ «ccompagne le malade lors d'un

• équipement accompagnant un malade lors d'un transfert: CHAL;

' ^ M l m l a a C e " t appelée pour un transfert:

' î r S é î i i î î t î î ^ S ordonnances de routine en vue reri M ^ s S i & i : s

; x s a s T s ^ i . à s r s r i s â r * - r * - * - « <• transmissible» i v e n i l S L s T c J ^ f ' 6 ™ 8 U j 8 t ^ «aladies

Page 120: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

151

. choix du médecin responsable de la coordination des soins:CHHM, HDS, CHAL

• entrée en contact avec le médecin traitant habituel: CHV, HDS, BMP, CHAL;

• liste des médecins consultants en disponibilité à l'urgence: tous les établissements;

• délai maximum accordé au médecin traitant pour répondre à l'ap-pel et arriver à l'hôpital, et clause d'exception pour cas ur-gents: HCLM, HHR, CHV, HBM, CHAL;

• présence de l'infirmière-chef (ou de sa représentante) sur les comités dont les décisions ont des conséquences directes sur les soins infirmiers: HHR, CHV, CHAL;

. présence d'une représentante du personnel infirmier de l'ur-gence sur les comités de la direction des soins infirmiers qui touchent l'urgence: HHR, HDS, CHAL;

. actes médicaux pouvant être délégués et personnel à qui ils peuvent l'être: tous les établissements;

. structure d'organisation et d'autorité, et communications entre personnel de l'urgence, de la direction, du corps médical et soins infirmiers: HCLM, HHR, CHV, HDS, CHAL;

• retour de l'équipement suite aux transferts: CHHM, HHR, CHAI;

• triage et organisation des soins aux malades: HCLM, CHHM, CHPB, HHR, HBM, CHAL;

• description des tâches: tous les établissements;

. traitement des cas présentant des aspects juridiques: HHR, CHV, HDS, BMP, HBM, CHAL;

• instructions à remettre aux malades lors du congé: CHPB, HHR, CHV, HDS, BMP, BBM, CHAL;

. évaluation de la qualité des soins par le personnel médical: CHPB, HDS, BMP, CHAL;

• évaluation de la qualité des soins par le personnel infirmier: CHHM, CHPB, BMP, CHAL;

• entretien du matériel: CHV, HBM, CHAL;

. liste des conseillers, membres du clergé, interprètes et autres ressources communautaires, avec numéro de téléphone: HHR, CHV, HDS, HBM, CHAL;

Page 121: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

152 . envoi du résumé d1intervention au médecin qui a référé le béné-ficiaire: CHV, HDS, BMP, HBM, CHAL;

• prise en considération des cas cliniquement morts pour d'éven-tuels dons d'organe: CHHM, CHAL;

• relations publiques et éducation: CHAL;

3.12 Balle de réanimation (nombre de civières)

. HCLM

. CHHM

. CHPB • HHR . CHV . HDS . CHG . BMP . HBM • CHAL

3.13 Equipement immédiatement disponible à l'urgence

. lits À inclinaison et à hauteur réglables: HCLM, CHPB, HHR, CHV, CHG, BMP, BBM, CHAL;

• appareil de surveillance électrocardiographique: tous les éta-blissements;

. respirateur: HCLM, CHPB, HHR, CHV, BMP, CHAL, tous de type Bird sauf HHR (volumétrique);

• appareils de succion fixés au mur: tous les établissements;

. galvanocautère: CHHM, CHPB, CHV, HBM;

. équipement d'intubation endotrachéale (pour adulte et pédiatri-que): tous les établissements;

• pantalon anti-choc pour adulte: tous les établissements;

• pantalon anti-choc pédiatrique: HHR, CHG, BMP;

. appareil de radiographie portatif: tous sauf HBM;

• matériel à laryngotomie: tous sauf BDS;

. matériel à intubation: tous le établissements;

. fourniture d'oxygène fixée au mur: tous sauf BCLM;

2 1 2 2 1

1 1

3

Page 122: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

153

• équipement pour la surveillance de la pression veineuse centra-le: CHPB, HHR, CHV/ CHG/ BMP/ CHAL;

• trousse de secours pour arrêts cardiaques: tous les établisse-ments ;

• installations pour retenue maximale: CHPB/ HHR/ CHV, BMP, CHAL;

. appareil de succion portatif: HCLM, CHHM, HHR, CHV, HDS, CHG, CHAL;

. table d'accouchement: aucun établissement;

. matériel à ventilation rhinopharyngée et otopharyngée: HCLM, CHHM, CHPB, HHR, CHV, HDS, BMP, CHAL;

. solutés et solution intraveineuses: tous les établissements;

• tube à rayon X fixé au plafond: CHHM, CHPB, CHG;

• réfrigérateur pour conserver le sang: HDS, CHG, BMP, CHAL;

. scialytique de haute intensité: HHR, CHV;

. tringles au plafond pour solutés et solutions intraveineuses: HCLM, CHHM, CHPB, HHR, CHV, CHG, BMP, CHAL;

• défibrillateur: tous les établissements; . défibrillateur pédiatrique: HCLM, CHPB, HHR/ CHV, HDS, BMP, CHAL;

. cabaret à dissection veineuse: tous les établissements;

. sacs pour ventilation manuelle (adulte): HCLM, CHHM, HHR, CHV, HDS, CHG, BMP, HBM, CHAL;

. sacs pour ventilation d'enfant: HCLM, CHHM, HHR, CHV, HDS, CHG, BMP, BBM, CHAL; équipement d'infusion intraveineuse sous pression: tous les établissements;

. matériel à thoracotomie: CHHM, CHPB, BBR, CHV, HDS, BMP, CHAL;

• matériel à paracenthèse abdominale: CBBM, CBPB, HHR, CHV, CHG, BMP, HBM, CHAL;

• nécessaire à oxygène portatif: tous les établissements;

. capacité d'insertion de stimulateur électrique intracorporel: CHPB, HHR, CHV, HDS, CHAL;

Page 123: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

154

• pompe pour infusion intraveineuse volumétrique: HCLM, CHHM, CHPB, HHR, CHV, HDS, BMP, HBM, CHAL?

• équipement intraveineux pédiatrique:. tous les établissements; . trousse médicale pour le terrain (pour intervention hors de 1*établissement): CHHM, HDS, BMP, BBM, CHAI;

• matériel de contrôle, thermique: CHHM, CHV, CHAL;

• codex des médicaments à usage pédiatrique affiché au mur: HCLM, CHHM, CHV, BMP, CBAL;

3.14 Balle ou aires présentes à 1* urgence (* plus d'une fin)

. salles pour urgences O.R.L.: HHR, CHV*, CHAL;

• plâtre et orthopédie: HCLM, CHHM, HHR, CHG, BMP, BBM, CHAL;

• isolement microbiologique: HCLM, CHV;

. triage: HCLM, CHHM, CHPB, BBR, CHAL;

• documentation médicale: HHR, HDS, HBM, CHAL;

. salle d'attente: tous sauf BMP et BBM;

. poste d'infirmières: tous les établissements;

• bureau du coordonnateur médical: BCLM, CBPB, CHV*, HDS, CHAL;

. bureau de l'infirmière-chef: HCLM, CHHM, HHR, CHV, HDS, CHAL;

• bureau du médecin de garde: CHV*, HDS, CHG;

• centre de documentation: BBR;

. poste des médecins sur appel: CBPB, HDS, CHAL;

• salle pour le personnel: HCLM, HDS, CHG, CHAL;

. salle pour entrevues en psychiatrie: HCLM, CHHM, CHPB, HHR, CHV CHG, CHAL;

. salle d'obstétrique et de gynécologie: CHHM, CHPB, HHR, CHV*, HBM, CHAL;

. salle de chirurgie mineure: HCLM, CHHM, CHPB, HHR, CHV*, CHG, HBM, CHAL;

• salle de toilette: tous sauf BMP.

Page 124: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

155

3.15 Aire d*observation pour bénéficiaires non admis: dans tous les établissements.

3.16 Aire d'observation (nombre de lits au permis) HCLM 38 . CHHM 22 CHPB 22 . HHR 30 CHV 10 . HDS 13 CHG 11 . BMP 4

« HBM 1 CHAL 17

3.17 Politique formelle régissant 1 «utilisation des lits de l'ai-re d'observation: HCLM, CHHM, CHPB, HHR, HDS, CHG, CHAL.

3.18 Radiographies des bénéficiaires de 1"urgence revues par radiologiste: dans tous les établissements.

3.19 Blectrocardiogrames des bénéficiaires de 1 • urgence revus par cardiologue ou autre spécialiste qualifié: dans tous les établissements.

Page 125: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

X56

IV. RESSOURCES HUMAINES A L'UNITE D'URGENCE (i

4.1 Présence continue à l'urgence, 24 heures par jour, sept jours par semaine:

i d'infirmières: dans tous les établissements;

. de médecins: dans tous les établissements sauf HBM où un i médecin est toujours disponible sur appel en moins de 15 minutes.

I :

4.2 et 4.3: réponses intégrées à 4.1. i •

4.4 Responsable médical à l'urgence

. chef du département de médecine générale (ou familiale): HCLM, ! CHPB, HDS, CHG, CHAL;

• chef du service d'urgence: CHHM (délégué par le chef du dépar-tement de médecine générale), CHPB, HHR, CHG, BMP;

. directeur des services professionnels: HBM; )

. coordohnateur médical: BCLM, CBPB, CHV, CHG, CHAL. {

- i

LES QUESTIONS 4.5 A 4.9 HE B'ADRESSENT QU'AUX HOPITAUX DOHT L'UR-GENCE EST BOUS LA BBSPON8ABILITB D'UN COORDOHNATEUR MEDICAL OU D'UN CHEF DB SERVICE

4.5 Rôle du chef de service ou eoordonnateur médical

• poste administratif à temps plein: HHR (eoordonnateur médical);

. poste & temps plein à la fois clinique et administratif: HCLM, CHPB, CHV;

. poste clinique à temps plein avec tâches administratives à l'occasion: HDS, BMP, CHAL;

. poste clinique à temps partiel avec tâches administratives à l'occasion: HHR (chef de l'urgence);

. poste administratif â temps partiel: CHHM.

Page 126: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

157

4.6 Chef de service ou coordonnateur médical rémunéré pour cette responsabilités HCLM, CHHM, CHPB, HHR (coordonnateur médi-cal), CHV, CHG, CHAL.

4.7 Chef de service ou coordonnateur Médical responsable de la planification et du contrôle budgétaires dans aucun établis-sement.

4.8 Qualifications professionnelles du ohef de service ou du coordonnateur médical

• omnipraticien: dans tous établissements;

. spécialiste: HCLM (pneumologie, chirurgie);

. membre de l1American College of Emergency Physicians: BMP.

4.9 Chef de service ou coordonnateur médical siège au Conseil des médecins, dentistes et pharmacienss CHPB, CHV, EDS, CHG, BMP, CHAL.

4.10 Horaire de travail des effectifs médicaux à 1"urgence • rotation obligatoire des membres actifs: HCLM, CHV, CHG;

. rotation volontaire: CHHM (en autant que le nombre le permet), CHPB, HHR, HBM, CHAL;

. rotation de groupe: HDS, BMP.

4.11 Médecins qui pratiquent régulièrement à l1 urgence.

4.12 Idem Nombre de médecins

Au total A temps plein . HCLM 31 16 . CHHM 27 • CHPB 32 32 • HHR 18 7 . CHV 21 3 . HDS 5 2 • CHG 25 2 • BMP 16 4 . HBM 13 . CHAL 15 15

Page 127: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

158 4.13 Médecins pratiquant aussi à l'urgence d'un autre hôpital

Nombre de médecins

• HCLM n.d. • CHHM -

« CHPB n.d. • HHR 2 • CHV 1 • HDS - "

• CHG 1 • BMP 1 HBM -

• CHAL 9

4.14 Qualifications et exigences requises pour les médecins de !•urgence

. politique formelle et écrite: CHPB, HHR, BMP, CHAL;

. aucune politique même informelle: HCLM, CHHM, CHV, HDS, CHG, HBM.

4.15 Exigences requises pour les médecins de l'urgence

• technique de base en assistancè cardiorespiratoire: CHPB, CHAL;

. technique avancée en assistance cardiorespiratoire: CHPB, HHR, BMP, CHAL;

. technique avancée de maintien des fonctions vitales des grands blessés: CHPB, HHR, BMP, CHAL;

• formation continue en médecine d'urgence: HHR (50 heures par année).

Page 128: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

159

16 Qualifications des médecins à l'urgence technique de base en assistance cardiorespiratoire (BCLS)

Nombre de médecins formés

HCLM CHHM CHPB

CHV HDS CHG BMP BBM CHAL

31 24

n.d.

21

n.d* 16 15

technique avancée en assistance cardiorespiratoire (ACLS) Nombre de médecins formés

HCLM " CHHM " CHPB HHR II CHV H D S

n A CHG BMP XZ HBM L CHAL "

technique avancée de maintien des fonctions vitales des grands blessés (ATLS) W ^ _ . . Nombre de médecins formés

HCLM CHHM CHPB

CHV HDS CHG BNP BBM CHAL

14 18

n.d, 18 10 3

n.d. 6

15 15

Page 129: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

162 4.21 infirmières travaillant exclusivement à l'urgence

- ' " Nombre d'infirmières ^ , à temps plein à temps partiel

. HCLM

. CHHM

. CHPB • HHR . CHV • HDS . CHG . BMP . HBM . CHAL

• ;- >

4.22 Qualifications des infirmières travaillant exclusivement à l'urgence. • .

i

- technique de base en assistance cardiorespiratoiré (BCLS) T Nombre d'infirmières

à temps plein à temps partiel

. HCLM • CHHM . CHPB • HHR . CHV . HDS • CHG . BMP . HBM . CHAL

- technique avancée de maintien des fonctions vitales des grands , blessés (ATLS)

Nombre d'infirmières à temps plein à temps partiel

. CHAL 2

39 21 22 26 15 14 12 6 2 19

39 21 34 10 21 16 12 9 2

23

1 22 2 10 8 10 3 2 19

34

10 8 12

2 23

Page 130: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

163

- certificat en nursing d'urgence Nombre d'infirmières

à temps plein à temps partiel

. HCLM 7 6 • CHAL 4

4.23 Programme d*orientation spécifique pour infirmières appelées & travailler à 1" urgence s HCLM, CHHM, CHPB, CHV, CHG, BMP, HBM, CHAL.

4.24 Durée de cette orientation

• 30 jours: HBM; . 20 jours: CBAL; . 10 jours: HCLM, CHHM, CHPB, CBG;

5 jours: CHV; 3 jours: BMP.

4.25 Responsable de cette orientation

. infirmière-chef de l'urgence: HCLM, CHV, CHG, BBM, CHAL;

. assistante infirmière-chef: CHHM;

• autres infirmières à l'urgence: CHPB, CHV, HBM, CHAL;

• formatrice en service: HCLM, BMP;

. éducatrice clinique: CBG.

4.26 orientation permettant de poser certains actes médicaux dé-légués: CHHM, CHPB, CHV, CHG, BMP, BBM, CBAL.

4.27 Actes que peuvent poser les infirmières de l'urgence:

. débridement: tous les établissements;

. commandes des tests de laboratoire: BBR, CHV, CHG, HBM, CHAL;

. ajouter de la médication aux injections intraveineuses: tous sauf HBM;

• enlever des tubes endotrachéals: CBAL;

Page 131: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

166

V. MODESDEREFBREBCB

5.1 Etablissements acceptant' des bénéficiaires provenant d'un autre établissement et nécessitant d'urgence de. la neurochi-rurgie: HCLM.

5.2 Etablissements en mesure d'effectuer une. intervention en neurochirurgie sur des bénéficiaires souffrant de blëssures sévères à la tôte ou à la colonne vertébrale: HCLM.,

5.3 Politique permettant de décider quand et où un bénéficiaire requérant d'urgence de la neurochirurgie sera transféré: tous sauf BMP.

5.4 Etablissements'où les bénéficiaires requérant d'urgence une neurochirurgie seront transférés:

• Hôpital Notre-Dame: 5 établissements;

. Hôpital Général de Montréal: 4 établissements;

• centre hospitalier de l'Université de SherbrooXe: 2 établisse-ments;

• Hôpital Charles. LeMoyne: 2, établissements;

. Hôtel-Dieu de Montréal: 1 établissement;

. Hôpital Royal Victoria: 1 établissement;

. Hôpital pour enfants: 1 établissement;

«.Institut neurochirurgie: 1 établissement.

5.5 Etablissements acceptant des bénéficiaires provenant d'un autre établissement et requérant d'urgence un traitement cardiovasculaire: HCLM, CHPB, CHV, HDS.

5.6 Etablissements en mesure de traiter les victimes d'urgences cardiovasoulaires: HCLM, CBPB (tamponade), CHV, HDS.

5.7 Politique permettant de décider quand et où un bénéficiaire requérant un traitement pour une urgence cardiovasculaire sera transféré: HCLM.

Page 132: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

167 5.8 Etablissements où les bénéficiaires requérant un traitement

pour une urgence cardiovasculaire seront transférés: • Institut de cardiologie de Montréal: 4 établissements;

. Hôpital Notre-Dame: 4 établissements;

• Hôtel-Dieu de Montréal: 3 établissements;

• Royal Victoria: 2 établissements;

. Hôpital Maisonneuve-Rosemont: 2 établissements.

5.9 Etablissements acceptant un bénéficiaire provenant d'un autre établissement et requérant d1 urgence un traitement psychiatriques HCLM/ CHHM, CHV, HDS, CHG, CHAL.

5.10 Etablissements en mesure de traiter les cas d'urgences psy-chiatriques: HCLM, CHHM, CHPB, HHR, CHV, HDS, CHG,. CHAL.

5.11 Politique permettant de décider quand et où un bénéficiaire requérant d1 urgence un traitement psychiatrique sera trans-féré: HCLM, CHPB, BMP, CHAL.

5.12 Etablissements où un bénéficiaire requérant d'urgence un traitement psychiatrique sera transférés divers hôpitaux, selon les secteurs.

5.13 Etablissement acceptant des grands brûlés provenant d'un autre établissements aucun.

5.14 Etablissement en mesure de traiter les grands brûlés: CHPB.

5.15 Politique permettant de décider où et quand les grands brû-lés seront transférées HCLM.

Page 133: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

168

5* 16 Etablissements où les grand brûlés seront transférés: • Hôtel-Dieu de Montréal: 6 établissements; j

• Hôpital général de Montréal: 2 établissements;

. Centre des grands brûlés du Québec: 1 établissement;

. Hôpital Royal Victoria: 1 établissement.

Etablissements acceptant des cas d'urgence en périnatalité provenant d'autres établissements: CHPB, (si nécessaire), CHAL.

Etablissements en mesure de traiter les cas d ' urgence en périnatalité: HCLM, CHPB, CHG, CHAL.

Politique permettant de décider où et quand les cas d'ur-gence en périnatalité seront transférés: HCLM, CHPB, CHV, BMP, CHAL. Etablissements où les cas d'urgence en périnatalité seront transférés:

. Hôpital Ste-Justine: 10 établissements;

. Hôpital général pour enfants: 6 établissements;

. Hôpital Royal Victoria: 1 établissement.

5.21 Etablissements acceptant des oas de polytraumatismes sévères provenant d'autres établissements: HCLM, CHPB, CHV, CHAL.

5.22 Etablissements an mesure de traiter les cas de polytrauma-tismes sévères: BCLM, CHPB, CHV, HDS, CHG, CHAL.

5.23 Politique permettant de décider où et quand les cas de poly-traumatismes sévères doivent être transférés: BMP.

5.17

5.18

5.19

5.20

Page 134: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

169

5.24 Etablissements où les cas de polytraumatisées sévères sèront transférés:

. Hôpital Notre-Dame: 3 établissements;

. Hôpital Général de Montréal: 2 établissements;

. Hôpital Charles LeMoyne: 2 établissements;

. Hôpital Saeré-Coeur: 2 établissements;

. Hôpital Royal Victoria: 2 établissements;

. Centre hospitalier de 1'Université de Sherbrooke: 2 établisse-ments ;

. Hôpital Maisonneuve-Rosemont: 1 établissement;

. Hôtel-Dieu de Montréal: 1 établissement.

5.25 Numéro de téléphone d'un Centre anti-poison affiché à l'ur-gence: dans tous les établissements (numéro du Centre anti-poison du Québec).

5.26 Etablissements acceptant des victimes d'intoxication prove-nant d'autres établissements: HCLM, CHV, CHAL.

5.27 Etablissements disposant des ressources pour traiter les victimes d'intoxication grave: HCLM, CHPB (sauf pour hémo-dialyse) , BBR, CHV, HDS, CHAL.

5.28 Politique permettant de décider où et quand les victimes d'intoxication grave seront transférés: dans aucun établis-sement.

5.29 Etablissements où les victimes d'intoxication grave seront transférées

. Hôpital St-Luc: 2 établissements;

. Centre hospitalier de l'Université de Sherbrooke: 2 établisse-ments ;

• Hôtel-Dieu de Montréal: 1 établissement.

. Bôpital Maisonneuve-Rosemont: 1 établissement;

Page 135: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

170

• Hôpital Général de Montréal: 2 établissements; • Hôpital Royal Victoria: 1 établissement;

• Centre hospitalier de Valleyfield: i établissement.

5.30 Numéro de téléphone d'un service pouvant fournir de 11 infor-mation sur les substances dangereuses affiché dans 11éta-blissement:

• tous sauf CHPB.

5.31 Numéro de téléphone d1 un centre régional recueillant les dons d1organe affiché dans 1"établissement:

. tous sauf HDS, HBM..

Page 136: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

171

VI ADMIHISTRATIOH ET COORDIMATIOH

6.1 Plan d'urgence en cas de catastrophe naturelle ou d'urgence nationale:

• tous sauf CHHM/ HHR.

6.2 Dernier exercice complet d'application du plan d'urgence

. HCLM • CHHM . CHPB . HHR . CHV . HDS . CHG . BMP . HBM . CHAL

6.3 Services participant aux exercices d'application du plan d'urgence

. services de police: HCLM, CHV, HDS, CHG, BMP, CHAL;

. personnel ambulancier: HCLM, CHV, CHG, BMP, CHAL;

. moniteurs du MSSS: HCLM, CHG;

• service des incendies: HCLM, CHV, HDS, CHG, BMP, CHAL;

. autres hôpitaux: CHV, HDS, CHAL;

. défense nationale (hélicoptère): HCLM;

• protection civile du Canada: HDS.

6.4 Accès rapide à de 1*équipement supplémentaire, des fourni-tures et des médicaments en cas de désastre

• HCLM, CHHM, HHR, HDS, CHAL.

1988 n.s.p. n.d.

n.s.p. 1987 1988 1988 1986 n.d. 1989 (mars)

Page 137: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

172

6.5 Lieu où oet équipement est gardé:

. local dans le garage des ambulances: HCLM;

• petits locaux dans l'hôpital: CHHM;

• bureaux de la protection civile k St-Jean et St-Bubert: HHR;

• dans les autres hôpitaux: HDS;

• non précisé: CHAL.

6.6 Discussions formelles interhospitaliÀres sur la dispensation des services d'urgence en Montérégie:

. CHPB, HDS, CHAL.

6.7 Activités de formation offertes au personnel de la salle d'urgence

. conférences: tous sauf BMP et HBM;

. revue de dossiers: CHG, CHAL;

. tables rondes: CHG, CHAL;

• réanimation cardiorespiratoire: CHV;

. techniques de base de maintien des fonctions vitales des grands blessés.

6.8 Activités de formation offertes aux techniciens ambulan-ciers:

• HDS, CHAL.

6.9 Equipement nécessaire pour communiquer à partir de l'urgence aveo une ambulance en route:

. CHHM, CHV, BMP, HBM, CHAL.

Page 138: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

173

FOUR LBS QUESTIONS 6.10 A 6.14, CHAL H1 A FU REPONDRE, L1 URGENCE N'ENTRANT EH OPERATION QUB DABS LBS JOURS SUIVANTS LB TRAVAIL CONSACRE A REPONDRE AU QUESTIONNAIRE

6.10 urganoe informée par les services ambulanciers de l'arrivée imminente d'un cas critique:

• À chaque occasion: BCLM, CHHM, CHPB, CHV, HDS;

. généralement: HHR, CHG, BMP, BBM.

6.11 Fréquence à laquelle l'urgence est fermée aux services am-bulanciers

. fréquemment: BCLM;

• occasionnellement: CBPB, CHV;

• jamais: CHHM, HHR, HDS, CBG, BMP, HBM.

6.12 Autorité responsable de la fermeture de l'urgence

. médecin-chef À l'urgence: CHV, CHPB;

. direction générale: CHHM, CHV;

. direction des services professionnels: CHPB, CBG (quart de jour);

. coordonnatrice des soins infirmiers: CHV, CHG (quarts de soir et de nuit; weekends et jours fériés);

• infirmière-chef de l'urgence: HCLM.

6.13 Fréquence à laquelle le personnel de l'urgence est respon-sable de la présence de

- bénéficiaires en attente de lits fréquemment fréquemment occasionnellement fréquemment fréquemment fréquemment fréquemment fréquemment occasionnellement

. HCLM

. CHHM

. CHPB • HHR • CHV • HDS • CHG • BMP • BBM

Page 139: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

174 - bénéficiaires d'une chirurgie d'un jour

• HCLM rarement • CHHM rarement • CHPB rarement • HHR jamais • CHV rarement • HDS occasionnellement • CHG fréquemment . BMP occasionnellement • HBM occas ionnel1ement

- bénéficiaires ayant subi une chirurgie d'un jour

. HCLM jamais • CHHM rarement . CHPB jamais • HHR jamais • CHV jamais • HDS occasionnellement • CHG rarement . BMP occasionnellement • HBM occasionnellement

- bénéficiaires en attente d'un transfert ambulancier

• HCLM rarement • CHHM occasionnellement • CHPB jamais . HHR rarement • CHV rarement . HDS occas i ohne11ement • CHG occasionnellement . BMP occasionnellement • HBM rarement

6.14 Formulaire de déclaration de transport de bénéficiaire (AS-810)

• inclus au dossier du bénéficiaire: tous les établissements.

Page 140: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

v u

Far

Richard Boisvert i

Andy Banikafl

Page 141: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

177

I. GBJBCTI7B VISES

A. m>||mm| et standards

Nos travaux sont fondés en grande-partie sur l'espérience américaine et en particulier sur les travaux de Boyd (1983) et les reocnmandations les plus récentes de l'Américan College of Surgeons (1987) et de l'ATLS (réf. 4) concernant les traumatisés. Pour ce qui est des autres catégo-ries de patients, nous envisageons d'utiliser les normes de l'ACIS (Advanced Cardiac Life Support, 1987) et du PTS (Pediatric Trauma Score (ACS, 1987) ou toute autre norme qui sera jugée pertinente ou acceptable. Les normes et standards servent de guide à la réflexion et ne remplacent en rien le jugement clinique.

L'aspect transferts critiques est isolé artificiellement pour simplifier la AétmMw uk mais il est important de réaliser qu'il y a de multiples facteurs déterminants en aval et en amont (voir graphique sur l'évolution du trauaatisé page suivante). Nous allons utiliser cet ordinogramme ou diagranme de flot pour explorer quelques concepts récents relatifs aux soins des traunatisés selon les sources préoédemnent citées.

Après un traumatisme, on doit accéder au système et des ressources sont envoyées sur les lieux (ambulances, hélicoptères, etc. ). In premiere étape qui nous concerne ici est celle du TOIAœ-omBnJSB£nŒHIlRMBPORr IKDBIBB et se rapporte à l'aspect préhospitalier des soins. Les déci-sions prises lors du triage vont déterminer le niveau, la vitesse et l'intensité du management initial. De multiples études ont été ménées pour détexminer quel était le mode de triage le plus adéquat possible sur la route afin d'obtenir un juste équilibre entre le "sur-triage" (pour augmenter la sensibilité) et le sous-tirage (pour augmenter la spécifici-té). En ce sens, les reocnmandations de 1'American College of Surgeons associant le traîna score à un ménanlmw lésioimel et aux facteurs de «morbidité permettent de trier les patients ayant un I88> 15 (injury Severity Scale, ref.7) et donc un risque de mortalité supérieur à 10%.

Selon l'évaluation initiale (triage), l'Amsrican College of Surgeons reocnmande une resuscitation préhospitalière selon des protocoles sim-ples. On vise ensuite à transporter les cas les plus graves au bon endroit le plus rapidement possible (et dans avec un moyen de transport approprié), concernant les traunatisés, rappelons les statistiques sui-vantes:

NIVEAU, TYPES 0G X£SI0N3 ISS FKBQ COKM

1. Lésions sévères 2. Lésions urgentes 3. Lésions non-urgentes

>15 5% 50% de la mortalité >10 10-15%

80%

Page 142: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

178

Les cas jugés sévères et urgents devront être transportés au centre de soins du niveau le plus approprié et pas toujours néoessalrpnent au cen-tre le plus proche. Far ailleurs, un appariement rigide des lésions avec le niveau de soins n'est pas toujours souhaitable et il peut être néces-saire de traiter temporairement un patient de niveau 3 dans un centre de niveau 1 (si le transport doit prendre plus de 30 minutes) de même qu'il peut être efficace de traiter les patients avec des lésions mineures dans un centre de niveau 3 (si le traumatisme survient à proximité). . il existe plusieurs critères de catégorisation des hôpitaux que nous avons tenté de regrouper dans le tableau suivant:

MSMQCZATORE

AMERICAN COLLEGE réf.2 Niveau 1 Niveau 2 Niveau 3

SANTE X CANADA

ÎP BIEN-ETRE SOCIAL réf. 3

m ocnplète

II majeure

I générale

IANGEAGE S COURANT tertiaire secondaire primaire

RESS00I exemple

CES HUMAINES >: chirurgie générale

neurologie anesthésie

B* E E

E B-S** B

E

E

RES80CH exemple

CES fywpnff.TM i: échographie E B-S 8

VOLUME DE TRAUMA / AN 600-1000 350-600

E* = essentiel S** = souhaitable

Un centre de niveau 3 est oonparable & un centre de niveau 2 mais ©empor-te en plus des activités de recherche et d'enseignement. Selon la lit-térature il faut un centre de traumatologie pour 1 million de population et au Québec, on génère environ 400 à 700 patients par million de popula-tion qui bénéficieraient d'un centre de trauna.

M

Page 143: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

179

Après une stabilisation initiale dans un centre de niveau 1 (surtout en milieu rural), le patient peut devoir être transféré dans un centre de niveau 2 ou 3 ai les ressources anticipées enhlenl. les capacités de l'institution. Mous définirons pour les fins de ce travail un transfert critique OEBB un Huoiert effect urgente lorsque les res-fffir >ff mi qq gp traitement d'un p H** *- sont Insuff^ «—tes.

Les critères de i ^ m ^ i H U a r et de traiwfHi t dans un centre de trama que suggérés par 1'American College of Surgeons sont re-produits en «mu»» et peuvent servir de point de départ dans la discus-sion. Le but de cette première partie du travail est de présenter une VUS <20-BAI2 d'un système de soins aux traumatisés. CTianme des étapes présen-tées a un iupact sur l'évolution et 1'"outcome" du traumatisé; celui-ci devrait s'améliorer k des étapes de son évolution. Afin d'évaluer les résultats d'un tel système, on peut envisager des méthodes de revue systématique oonme le TRISS (qui détermine le % de survie en fonction du trama score et de 1'Injury severity score ou du Revised Trama Score) ou la revue des EVQŒMENTB SENTINEtS. Ceci permet ensuite une rétroaction pour améliorer les étapes déterminantes du processus. En ce qui concerne les iBAHffBQB CSEXDQOBB, nous avons détailler dans la partie 2.b. (questionnaire) les éléments que nous croyons essentiels pour pexmettre une discussion éclairée sur le fonctionnement actuel et les écarts en fonction des normes. L'objectif est d'établir les priorités et modalités concernant les transferts critiques qu'un groupe de travail, dans un germfnd temps, se chargera d'opérationnel 1 ser.

Page 144: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

180

Las différents thèmes qui seront proposés dans oe questionnaire ont pour but d'orienter la réflexion de façon la plus systématique possible. Les données quantitatives qui seront recueillies, bien qu'approximatives, permettront au groupe de travail d'orienter son action vers les aspects prépondérants.

A* origine das cas

A.1 De quel .territoire provient la majorité des patients (75-80%) trauma-tisés reçus dans votre centre? Pour répondre À cette question, vous devriez entourer une région au pourtour de l'hôpital sur la carte de la Montérégie fournie à la page suivante.

A.2 Quel est le voltme annuel de traunatisés vus annuellement dans votre service d'urganoe?

A. 3 Selon la catégorisation ana tonique proposée par le groupe de l'ATIS, combien de patients ou quel pourcentage de ceux-ci recevez-vous selon la catégorie?

CATEGORIE 1: lésions multisystémiques, hémorragie, fracture ouverte, lésion maxillofacials Importante, lésion sévère tête, cou ou voies respi-ratoires supérieures, lésion thoracique instable, fracture du bassin, trama non-pénétrant avec hypotension et/ou lésions pénétran-tes, lésions neurologiques produisant perte de oonsoienne prolongée, posture anormale, signes de latéralisation ou paralysie.

CATEGORIE 2: fracture ouverte ou fenaée, lésions des tissus mous avec saignement stabilisé, fractures de côtes multiples sans volet, trauna abdominal non pénétrant sans hypotension, et perte de TTiftHTre tran-sitoire.

CATEGORIE 3: fracture non-oeapliquées, sans hypovolémie ou hypotension, pas de signe neurologique, pas de lésion abdominale, lésions des tissus mous modérées et lésions thoradques sans détresse respitatoire.

Page 145: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

181

A. 4 Selon quelle fréquence retrouve-t-on les ètiologies suivantes (en pourcentage)?

. maison

. route

. travail

• voie navigable

• autres

B. Soins pié-hnnpi tal i ers

B.l cuumant selon vous les ambulanciers procàdent-ils au triage des trau-matisés? . trop hétérogène pour juger

. catégorisation anatcndque (es. AXIS, réf. question A.3)

• évaluation quantitative (es. traîna score)

. protocole spécifique (es. ACS, aimero 1)

B.2 Jugez-rous que le triage est adéquat?

. toujours

. la plupart du teops

• rarement •

. jamais

• manque d'unifbxsdté

B.3 Recevez-vous fréquemment des patients qui auraient du être orientés ailleurs dès le départ, ocnpte tenu de vos ressources habituelles?

• non

• oui

si oui environ ormHen de fois par an?

Page 146: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

182

. Est-oe à cause d'un mauvais triage ( ) ou de l'attitude 'scoop and run" de ambulanciers ( ) ?

B.4 Lors de la phase de traitement ou de stabilisation préhospitalière, y^a-t'il omrmmi cation avec votre hôpital de la part des ambulanciers avant l'arrivée du patient?

. jamais

• oui, mais rarement

• oui, fréquemment

si oui, est-ce habituellement pour:

• vous avisez de l'arrivée du patient

. s'informer des ressources disponibles

• obtenir un conseil sur le traitement à effectuer

B.5 Existe-t-il des protocoles de traitement préhospitalier dans votre région?

. oui

. non

C. nase des soins hospitaliers

On peut évaluer les ressources nécessaires pour traiter un patient grace À la notion d'épi sorte de soins (ref.7) selon laquelle une pathologie requiert différentes ressources himaines et matérielles. Pour chaque ressource susceptible de manquer et d'être à l'origine d'un transfert, nous allons tenter de détezadner la disponibilité, la fréquence des transferts et la destination de ceux-ci:

Page 147: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

183

RFBff WIWTW HIMATBRB DTSOTfTHIffi lBAHBEBQB EESTXNKnxai toujours jamais 1 habituel rares 2 jamais souvent 3

Chirurgie

Neurochirurgie

Chirurgie cardio-vasculaire

Chirurgie pédiatrique

Nursing

Technicien en radio.

Autres

HlffllIRlBB MMBŒEIUB

Bloc opératoire

Angiographie

Echographie

Tomographic

Laboratoires

Lits

Autres

Page 148: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

184

D. LBS transferts

D.l Existe-t-il des protocoles écrits avec les hôpitaux receveurs? . oui

. non

si non, ocraient se fait le choix du centre receveur?

si non, croyez-vous qu'il serait nécessaire d'établir des protocoles écrits avec les hôpitaux receveurs?

• oui

. non

D.2 Ocmbien de tenps faut-il coopter, en moyenne, afin de faire accepter un patient par l'hôpital receveur?

après avoir contacté ocmbien de médecins et de centres?

les refus de la part du centre receveur potentiel sont-ils dus à la

. disponibilité du médecin

• ou des autres ressources hospitalières

D.3 Existe-t-il un protocole pour contacter le véhicule?

. oui

• non

et l'escorte?

. oui

• non __

Page 149: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

185

D.4 Le niveau d'esoorte est-il toujours adéquat?

• oui . non

si non, pourquoi?

D.5 Le patient est-il toujours rescucité de façon adéquate?

. oui

. non

D.6 Les véhicules et l'équipement sont-ils adéquats?

. oui

. non

D.7 Durant le transport, lesquels des t Aches suivantes sont aoocmplies adéquatement selon vous? • support du système cardio-respiratoire?

. remplacement volune sanguin?

. utilisation des médicaments selon le protocole ou les ordres du md?

• maintien de la onrnmml cation?

• maintien des dossiers?

D.8 Les documents suivent-ils toujours le patient?

. oui

. non

* y-a-t'il d'autres aspects que vous souhaiteriez voir développer plus à fond dans le cadre de oe travail?

Page 150: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

186

miif.irmuiiK

1. Haddon, W., "Options for the prevention of Vehicle Crash Injury", Israel Journal of Medical Sciences, vol.16, no.l, pp.45-68.

2. Boyd, D.R. et al., "Systems approach to Bnergency Medical Cara", Appleton-Century-Crofts, Horwalk, Conn. (1983).

3. American College of Surgeons (Permittee on trauma), "Hospital and Prëhospital Ressources for the Optimal Care of the Injured Pa-tient and Appendices A through J", June 1986.

4. American College of Surgeons (Oomnittee on trauna), "Advanced Trauma Life Stqpport Course, Student Manual", 1983.

5. American Hearth Association, "Testbobk of Advanced Cardiac Life Sup-port", 1987.

6. Hudson, P. et al., "Improving the Field Triage of Major Trauma Vic-tims", in the Journal of Trauna, vol.28, no.5, may 1988.

7. Civil, I.A., "The Abbreviated Injury Scale, 1985 Revision: A Condensed Chart for Use", in the Journal of Trauna, vol. 28, no.l, January 1988.

8. Santé et Bien-être social Canada, "Guide des services d'urgence hospi-taliers", 1981.

9. Williams, J.I., "Prehospital Bnergency Services for Injury Control and Survival of Cardiac Arrest, Report Presented to the Ccmnission d'enquête sur les services de santé et les services sociaux", October 1987.

Page 151: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

P 5424 Annexe Poirier, L-R. et al. ex. 2 ' Litude exploratoire sur 1 ' iinplanta-tion régionale d'un système de soins d'nraence intéorés selon le mocêJtÊ de Boyd en Mc«&£regie. Vul.—11: itixid j ctu id-pj^oi L final

P 5424 Annexe ex. Z

Page 152: ETUDE EXPLORATOIR SUE R L'IMPLANTATIO REGIONALN E D'UN ... · Institul national de santé publique du QuéSc81"8 DE MATIERES S 4835. avenue Christcphe-Colomb burea. u 200 Montréal

' f