festival forum mont-noble 2012
DESCRIPTION
Programme 2012TRANSCRIPT
foru
m m
ont-n
oble
un théâtre ouvert
au balcon du ciel
pho
to ©
pab
lo fe
rnan
dez
CuChe et barbezat
font des bêtisespar cuche & barbezat
CONCEPTION Benjamin CucheJean-Luc BarbezatAlain Roche
Pierre Mifsud
mIsE EN sCèNE Pierre Mifsud
mUsIQUE
lUmIèrEAlain Roche
dECOrs
aCCEssOIrEsMartial LambertJean-Marie Liegme
régIEMartial Lambert
INTErPréTaTION
Benjamin CucheJean-Luc BarbezatAlain Roche
dUréE55 minutes
TOUT PUblICdès 6 ans
Petite planète fragile bricolée avec des mauvaises planches et des bouts de ficelle, dernier lambeau de terre sauvage menacé par les rumeurs de la ville toute proche. Voilà le terrain de jeu de nos trois protagonistes. Ils se réunissent pour fêter leur jardin avant le passage des bulldozers. Cha-cun s’affaire de son côté, mais très vite la petite mécanique du quotidien s’enraye. Une feuille d’automne se pose légère comme un papillon et le grand désordre de la vie reprend ses droits. Les bêtises s’enchaînent en cascade: une porte claque, la poule s’affole, une pile d’assiettes se brise, le compteur électrique explose, le vent se lève, le piano brûle, les feuilles tourbillonnent, la musique s’envole, on ferme les yeux. C’est mer-veilleux!
La création Cuche et Barbezat font des bêtises se présente essentiellement comme une série de sketches visuels (presque) sans paroles, où la drôlerie se teinte d’une aura de poésie burlesque délicate. Accompagné du pianiste Alain Roche, le duo d’humoristes enchaîne pirouettes sur mésa-ventures domestiques avec une habilité qui prend l’apparence de la pire maladresse. Cuche & Barbe-zat s’adonnent à ces Bêtises avec un tel brio qu’on se demande pourquoi ils ont attendu si longtemps avant de proposer un spectacle aux enfants! Anne-Sylvie Sprenger, 24 heures
jeudi 21 juin 2012 - 19h00
théâtre tout public
pho
to ©
cla
ude
jour
nu
Pazzipar la compagnie interface
CONCEPTION
ET mIsE EN sCENE
Stéphanie BollGéraldine Lonfat André Pignat
CHOrégraPHIEStéphanie Boll Géraldine Lonfat
mUsIQUE OrIgINalE
André Pignat
TEXTE OrIgINal
Maud Pfister
sCéNOgraPHIEPatrick Jacquérioz
COsTUmEs Gerda Pignat
maQUIllagEColette Kramer
COIFFUrEFrançois Evéquoz
INTErPréTaTION
Stéphanie Boll Géraldine LonfatMaud Pfister
dUréE55 minutes
jeudi 28 juin 2012 - 21h30
danse
Pazzi évoque la quête d’une âme humaine qui veut toucher le divin, embrasser la sainteté. C’est le refus de la soumission passive, de la soumission au monde et à sa morale, de cette soumission qui rend les rêves inaccessibles et qui justifie le fatalisme de sa propre vie. On y dévoile un vrai combat, non pas contre les autres, mais contre soi-même, ou plutôt pour soi-même. Pazzi c’est transcender son corps, mettre à l’épreuve ses croyances, franchir ses barrières physiques et morales. Une ode à la marginalité.
«Danse intense, textes hachés, puissants, musique onirique donnent à ce moment une énergie éton-nante. On se passionne très vite pour l’intransi-geance de cette femme rare qui consacre sa vie à une recherche physique de la spiritualité. Plus qu’un témoignage de foi, le spectacle m’est apparu comme une ode à la marginalité, à une démarche de vie demandant effort, détermination, authenticité et singularité. On chancelle pour ce troublant tra-vail qui paraît instinctif et violent, avec ce sentiment très présent que les danseuses prennent un risque physique»A. Bonvin - LPV
aPrès-midi à nax création 2012
par le collectif d’auteurs «nous sommes vivants»
aUTEUrs Marie Fourquet Julie GilbertJérôme Richer Antoinette Rychner
Philippe Soltermann
et Peter Handke
vIdéOFrédéric Choffat
mUsIQUEManon Pierrehumbert
Olivier Membrez
INTErPréTaTION
Marie Fourquet Julie GilbertJérôme Richer Antoinette Rychner
Philippe Soltermann
Manon Pierrehumbert
Olivier Membrez
dUréE75 minutes
jeudi 2 août 2012 - 21h30
théâtre, création
Gilbert, Fourquet, Rychner, Richer, Soltermann et... Handke à la montagne! Tous ces auteurs vont quitter leur bureau et se promener... pro-duire des textes inédits en relation avec Nax, la région, ce qu’ils vont y découvrir.... Ces textes seront écrits en écho libre au texte de Handke intitulé Après-midi d’un écrivain, parfois dans l’amour, l’humour, la dérision, la colère aussi, peut-être...
Les mots de P. Handke: «Ceux qui, en groupes, venaient à sa rencontre pouvaient bien avoir l’air de n’être occupés que d’eux- mêmes : l’écrivain, ils ne manquaient pas de le voir. Dès les premières maisons, tout de suite après le rétrécissement, un même regard non de reconnaissance mais d’incom-préhension, d’hostilité, même. Il se dit qu’ils sortaient justement de l’école où ils avaient été contraints de dire le sens, l’intention, le fond d’un texte littéraire et maintenant, enfin redevenus libres, ils étaient d’ac-cord pour ne plus jamais ouvrir un livre et pour mé-priser sans exception ceux qui étaient responsables d’une pareille contrainte. Et il ne pouvait leur en vou-loir ; car, pour son malheur, il ne pouvait, tel un tribun populaire ou un chanteur sûr de son rôle prendre la parole et entrer en scène.»
Les mots d’Antoinette Rychner:
3 août 2012, 14 :10
Etat- Major de la Police Cantonale, Avenue
de France 69, Sion.Dialogue entre le Commandant Christian
Varone et Jean-Claude Moix, chef du Ser-
vice Logistique.– Jean-Claude.– Mon commandant.
– Ce que je lis dans le rapport.
– Oui mon commandant.
– Vous me confirmez que rien n’a été géré
au moment de l’arrivée au stade du Tour-
billon ?
cré
atio
n 20
12
– C’est-à-dire, mon commandant. Moi et
Carlo, on a mis l’accent sur la route. Avec
tout ce monde qui se déplaçait de Nax
à Sion, je vous dis pas l’encombrement au
niveau circu...– Anticiper, Jean-Claude, ça vous dit
quelque chose ?– Mais...– Vous saviez qu’il y avait un match ?
– Oui.– Et vous saviez qu’il y aurait le même soir
ce... enfin cette...– Cette création d’été, mon commandant.
Cinq auteurs en résidence, qui présentaient
une sorte de lecture-spectacle, un genre
de...– Oui. Bon. Cette lecture-spectacle. Vous
saviez qu’elle aurait lieu le même soir ?
– Mais mon commandant, il n’était pas
prévu que les auteurs se produisent au
stade ! La soirée était programmée au
Forum Mont-Noble, et je peux vous assu-
rer que...– Combien de places compte ce théâtre,
Jean-Claude ?– 192, mon commandant.
– Et il ne vous est pas venu à l’idée que ça
ne suffirait pas ?–...– Eh bien, Jean-Claude ?
– C’est-à-dire... quand j’ai reçu l’appel, ils
étaient déjà plus dix mille, il y en avait
partout la route jusqu’à la Crettaz, une
foule, mon commandant, on a demandé
du renfort, Carlo et moi, mais on était car-
rément en sous effectif, les gens étaient là,
à trépigner, à gueuler qu’ils voulaient voir
les auteurs, « DU SENS ET D’LA POESIE
/ ON / VEUT DU SENS ! », ça scandait, et
« DONNEZ- NOUS / DES AUTEURS VI-
VANTS ! » ça klaxonnait, et les gens étaient
comme fous et râlaient parce que c’était
mal organisé et qu’il n’y avait pas d’écran
géant, tout ce qu’on a pu faire, Carlo et
moi, c’était essayer de gérer tant bien que
mal la circulation pendant que la tête du
cortège roulait sur Sion et...
– ... Et prenait d’assaut le stade du Tour-
billon pour vider le FC Sion et mettre leurs
idoles, ces cinq auteurs de théâtre suisses
romands sous les feux, merci Jean-Claude,
j’ai lu le rapport. Et pour ce qui est de
l’émeute et des bagarres entre supporters
et fadas d’écriture contemporaine, mon
vieux, heureusement que les supporters
ont fini par lâcher le match et se laisser
convaincre d’écouter la lecture.
– Ils ont été séduits, ça on peut le dire !
Vingt-mille auditeurs en larmes, transis de
poésie jusqu’au bout de la nuit, mon com-
mandant.– Faites donc le malin. On peut dire qu’on
a eu de la chance, une sacrée chance de
s’en tirer avec des dégâts matériels et c’est
tout. Vous feriez une autre tête, s’il y avait
eu des blessés !– J’ai tout mis en œuvre pour...
– C’est avant, qu’il fallait réfléchir. Anticiper,
Jean-Claude, anticiper. On se renseigne, on
checke le programme, on voit qu’il y a des
auteurs qui débarquent à Nax, on prévoit
l’affluence, Jean-Claude, on prévoit ce qu’il
faut. Les noms des organisateurs ?
– Attendez. Ils sont dans le rapport, page
3, ah voilà ; Stéphanie Boll et Alain Roche.
Si je peux me permettre, mon comman-
dant. M’est avis que les organisateurs eux-
mêmes n’avaient pas prévu l’affluence. Pas
dans ces proportions, en tout cas.
– Une sacrée équipe d’irresponsables,
vous pouvez le dire ! Je ne comprends
pas, Jean-Claude. Vingt mille spectateurs,
et personne ne semble les avoir vu venir.
Qu’est-ce qui s’est passé ?
–...– Expliquez-moi !– On ne sait pas, mon commandant. Per-
sonne ne sait. C’est quelque chose dans
l’air, les gens en ont marre, la platitude du
langage, ça va un moment, les gens veulent
du sens, de la profondeur, les gens veulent
vibrer, les gens veulent du poème, mon
commandant. De la littérature. Je n’ai pas
vu venir, c’est vrai, parce que la littérature –
comment dire, je ne voyais pas ça comme
ça, si vous me suivez – j’avais comme des
souvenirs d’école, des souvenirs pas mar-
rants marrants. Mais là ! Rien à voir. On ne
vous demande pas de dire le fond et l’in-
tention du bouquin, on ne vous demande
rien, on vous livre simplement des mots en
chair, en musique et en voix, et ça fait des
images, des sensations, ça touche, ça fait
rire et ça émeut, mon commandant. Toutes
sortes de gens se découvrent comme qui
dirait une sensibilité et se rendent fous, ils
en veulent, ils en redemandent, oui mon
commandant, les gens aiment ça.
pho
to ©
fréd
éric
cha
pota
t
loïC lantoineen tournée
CHaNT Loïc Lantoine
CONTrEbassEFrançois Pierron
gUITarEsFilvIOlONClarINETTE
baNjOgUITarEs
maNdOlINE
FlûTE Joe Doherty
baTTErIEThomas Fiancette
dUréE90 minutes
jeudi 9 août 2012 - 21h30
chansonLoïc Lantoine, auteur puis chanteur français débute son parcours comme parolier. L’idée de poser sa propre voix sur des textes lui vient en-suite. «Faire de la chanson pas chantée, des textes parlés donc, parfois chuchotés, parfois clamés d’une voix rauque et faussement incertaine; le tout accompagné d’un contrebassiste fou», voilà le projet de l’artiste, qu’il parvient finalement à réaliser. S’il fallait le comparer à l’un des parrains classiques de la chanson française, ça serait plu-tôt Brel qu’on évoquerait. Baroudeur des mots, sculpteur de tempos, sorte de mélange cramé de Tom Waits et de Léo Ferré, Loïc Lantoine dit s’inspirer autant d’Henri Michaux que de Géo Norge, poète belge contemporain.
«Quand il fait noir dans ma caboche, les soirs où tout est un peu moche, où même un sourire devient louche, où je brise tout ce que je touche, avis de vent devant ma vie, et les paupières en parapluie, y’a tou-jours mon copain Pierrot…». Parolier avant de deve-nir chanteur, Loïc Lantoine a la fraternité chevillée au corps et lui dédie plusieurs chansons dont «Pierrot». Avec son complice contrebassiste François Pierron, ce poète-rockeur-slameur fait «de la chanson pas chantée». Il chante entre les lignes et le rythme du verbe donne la cadence. Sa voix rocailleuse nous plonge dans des histoires cabossées par la vie: on dérape, on rêve, on aime, on pleure, on saigne… Une écriture portée par la braise de la sensibilité.» Christian Dampne
smarties, kleenex et Canada dry
par brigitte rosset
TEXTE Brigitte Rosset
mIsE EN sCèNEGeorges Guerriero
Jean-Luc Barbezat
lUmIèrEs
rEgIEThierry Van Osselt
INTErPréTaTIONBrigitte Rosset
dUréE75 minutes
jeudi 16 août 2012 - 21h30
humourC’est un «seul en scène» qui raconte avec hu-mour, les blessures et la reconstruction d’une femme à l’approche de ses 40 ans. Il est question de rupture sentimentale, de dépression et par conséquent : de Canada dry, de plantes alpines, de clinique, de thérapies, de perte de poids, d’amour, de manque d’amour, de trop d’amour, de kleenex, de couteaux suisses, de fragilité, de sur-menage, de colère(s), de colchiques dans les prés, d’abandon, de terre glaise, de plombs qui pètent, de chevaliers paumés, de Smarties, de lucioles, de pantalon en velours côtelé bordeaux, de trahi-son, de plombier, d’amitié, d’Œdipe raté, de visites, de valises, du temps qui passe, de désillusions, de bac à sable, d’espoir et d’humour toujours. Car si les histoires d’amour finissent mal, les histoires d’humour elles, finissent plutôt très bien.
«Brigitte Rosset se moque d’elle-même en décrivant le monde de la psychiatrie. Dans cette «Clinique des Lucioles», elle joue son propre rôle, celui de Norbert, le fou qui n’en est pas un et qui philosophe sur l’existence, ou celui de l’infirmière de nuit à l’accent espagnol. La palette des personnages est large et bigarrée. Pendant plus d’une heure de stand-up, la comédienne se meut, pieds nus, sur un grand tapis blanc et livre sa fragilité, son aveuglement et son rétablissement. A voir, pour rire de la mise en cage des blessures humaines» CLAK
Par le boudude et par bonanventure gacon
TEXTE mIsE EN sCèNEBonaventure Gacon
rEgIENicolas Cautain
INTErPréTaTIONBonaventure Gacon
dUréE60 minutes
jeudi 23 août 2012 - 21h30
théâtre
Il a un peu mal au cœur, trop bu… sans doute le foie, les petites bières ou peut-être le cœur lui même, son pauvre cœur d’ogre, ou bien cette satanée rouille qui inexorablement agit sur toutes choses, sur les poêles, les cœurs et le reste… Enfin, il faut bien se remettre au boulot, aller voir les bons petits gars et les petites filles, siroter quelques verres, regarder les couchers de soleil, se faire des petits gueuletons et puis être méchant du mieux qu’on peut.Faut bien vivre…
Baffe dans la gueule. Coup au foie. Eclat de rire. «L’homme des Bois» est là. C’est Bona ou plutôt son clown! «Le méchant» comme il dit: «C’est moi le méchant». Qui tient à peine debout qui s’arrime à sa table qui ne déplace pas les objets – on dirait qu’il leur en veut qu’il va casser tout ce qui l’entoure. C’est une bouffée de Préhistoire. Un corps à corps avec l’angoisse. Une sacrée présence tonitruante… Echo de Boudu Sauvé des Eaux. Un clown «à l’état sauvage». BONA. Un monologue drôlatique acroba-tique. Un clown comme un Furieux. Un clown Fureur! Gilles Defacque – Le Prato
allegria
par la troupe de spectacle en chansons dont le chœur
des enseignants du valais romand (spval)
dIrECTION Algée Rey
réPErTOIrE Calogero
ZazieRidan
Johnny HallydayFlorent PagnyDany Brillant
Edith PiafMaurane
Jacques BrelJulien Clerc
Yannick NoahDaniel Lavoie
Alain Souchon
Jean-Jacques Goldman
Medley des villes européennesMedley AbbaEddy Mitchell
Ben l’Oncle SoulregieNicolas Cautain
INTErPréTaTION 40 chanteurs
les jeudis du Cinéma
organisés par la commision culturelle de mont-Noble
cinéma
jeudi 5 juillet 2012 - 20h30
jeudi 12 juillet 2012 - 20h30
jeudi 19 juillet 2012 - 20h30
jeudi 26 juillet 2012 - 20h30
Allegria est une troupe de spectacle en chansons composée d’une quaran-taine de chanteurs et chanteuses du Valais romand désireux de s’exprimer dans la chanson en mouvements. Elle met en scène les pièces de son réper-toire par des positions, des gestes et des chorégraphies destinés à lui don-ner une dimension spatiale et dyna-mique.
Allegria a partagé la scène avec des troupes internationales comme Cres-cendo et V’la l’bon Vent du Québec ou Le Tourdion de France.
Le répertoire se compose essentielle-ment de grands standards de la chan-son française ou étrangère, harmoni-sés à plusieurs voix (Pagny, Calogero, Ben l’Oncle Soul, Johnny, Abba …).
jeudi 14 juin 2012 - 21h00
chorale
Organisés par la commission cultu-relle de Mont-Noble, les JEUDIS DU CINEMA proposent - chaque jeudi de juillet à 20h.30 - un film original et de qualité.
Par une programmation exi-geante et variée, les films présentés s’adressent à un public avide de dé-couvertes et intéressé par un cinéma porteur d’histoires émouvantes, inso-lites ou amusantes.
La qualité technique des projections est particulièrement soignée avec un matériel performant. Tous les films sont projetés en version originale sous-titrée en français. Le prix d’entrée de chf 10.-- est mo-dique pour encourager l’accès de tous au plus grand nombre de films.
Un bar avec petite restauration accueille le public avant et après la séance et permet de débuter et de prolonger la soirée dans un moment convivial.
infos Pratiques
réservations / locations
www.forummontnoble.ch
• réservations et locations en ligne pour tous les spectacles
027 203 17 38 • réservations par téléphone à l’office du tourisme de Mont-
Noble du lundi au samedi 08h30 12h00 - 13h30 17h30
forum mont-noble • locations 1h30 avant la représentation à la caisse du Forum
Mont-Noble
accueil accès• l’accès au site du Forum Mont-Noble vous sera indiqué dès
votre arrivée dans le village de Nax
portes• 1h30 avant le début de la représentation
bar & restauration• bar et petites restaurations (raclettes, assiettes valaisannes,
soupes) sur le site du Forum Mont-Noble avant et après la re-
présentation• possibilité de réserver une table dans les différents restaurants
de la région
n piano bar• un pianiste live avec un vrai piano!
forum mon
t-no
ble visa d’entr
ée
jeudi21 juin19h00
forum mon
t-no
ble visa d’entr
ée
jeudi28 juin 21h30
forum mon
t-no
ble visa d’entr
ée
jeudi2 août 21h30
forum mon
t-no
ble visa d’entr
ée
jeudi9 août 21h30
forum mon
t-no
ble visa d’entr
ée
jeudi16 août
21h30
forum mon
t-no
ble visa d’entr
ée
jeudi23 août
21h30
CuChe et barbezat
CUCHE & barbEzaT FONT dEs bêTIsEs
• théâtre tout public (dès 6 ans)
jeudi 21 juin 2012 - 19h00 | 10 CHF enfants | 30 CHF adultes
interfaCe PazzI• dansejeudi 28 juin 2012 | 21h30 | 30 CHF prix unique
nous sommes vivants
aPrès mIdI à NaX
• théâtre | création 2012
jeudi 2 août 2012 | 21h30 | 30 CHF prix unique
loïC lantoine TOUr 2012 • chanson jeudi 9 août 2012 | 21h30 | 30 CHF prix unique
brigitte rosset
smarTIEs, klEENEX ET CaNada dry
• humour jeudi 16 août 2012 | 21h30 | 30 CHF prix unique
bonaventure gaCon
Par lE bOUdU • théâtre jeudi 23 août 2012 | 21h30 | 30 CHF prix unique
à fa
ire
tam
ponn
er à
la c
aiss
e du
foru
m m
ont-
nobl
e
vo
s b
ill
et
s d
’en
tr
ée