lsmeets.free.frlsmeets.free.fr/ps/_.pdf/francais.pdffrench franÇais pg titel / titre artiste(s) 001...
TRANSCRIPT
FRENCH FRANÇAISPG TITEL / TITRE ARTISTE(S)001 À bicyclette Yves Montand002 À Paris Yves Montand003 À toi Joe Dassin004 Ah, le petit vin blanc trad.005 Aimer à perdre la raison Jean Ferrat006 Allons à Messine trad.007 Alors regarde Patrick Bruel008 Amsterdam Jacques Brel009 Attention mesdames et messieurs Michel Fugain010 Au-dessus des nuages Frédérik Mey011 Au Lac de Neuvic De Beestenboel012 Auprès de mon arbre Georges Brassens013 Bon voyage Jane McGarrigle014 Bonsoir, mes amis Frédérik Mey015 Boum Charles Trenet016 Bravo monsieur le monde Michel Fugain017 C’est magnifique Luis Mariano018 C’est si bon Yves Montand019 Ça fait rire les oiseaux La Compgnie Créole020 Ça va pas changer le monde Joe Dassin021 Caroline Elmer Food Beat022 Ce n’est rien Julien Clerc023 Céline Hugues Aufray024 Champagne Hervé Villard025 Chanson pour l’Auvergnat Georges Brassens026 Chante comme si tu devais mourir demain Michel Fugain027 Chaque jour de plus Michel Fugain028 Comme d’habitude Claude François029 Comme de bien entendu Michel Simon030 Comme ils disent Charles Aznavour031 Comme un soleil Michel Fugain032 Couroucoucou roploplo Elmer Food Beat033 Daniela Elmer Food Beat034 Danser maintenant Dave035 Désormais Charles Aznavour036 Dors Patrick Bruel037 Douce France Charles Trenet038 Elle était si jolie Alain Barrière039 Elle me regardait comme ça Patrick Bruel040 Emmenez-moi Charles Aznavour041 En chantant Michel Sardou042 Enfants de tous pays Enrico Macias043 Est-ce que tu la sens? Elmer Food Beat044 Et maintenant Pierre Delanoë / Gilbert Bécaud045 Et pourtant Charles Aznavour / Georges Garvarentz046 Et si tu n’existais pas Joe Dassin047 Fais comme l’oiseau Michel Fugain048 For me, formidable Charles Aznavour049 Heureusement qu’il y a de l’herbe George Moustaki050 Hier encore Charles Aznavour
FRENCH FRANÇAISPG TITEL / TITRE ARTISTE(S)051 Il est cinq heures Jacques Dutronc052 Il est trop tard George Moustaki053 Il était une fois nous deux Joe Dassin054 Il venait d’avoir 18 ans Dalida055 J’ai oublié de vivre Johnny Hallyday056 J’aime les filles Jacques Dutronc057 Jardin extraordinaire Charles Trenet058 J’attends Yves Duteil059 J’entends siffler le train Richard Antony060 J’me voyais déjà en haut de l’affiche Charles Aznavour061 J’te l’dis quand même Patrick Bruel062 Je n’aurai pas le temps Michel Fugain063 L’accordéoniste Édith Piaf064 L’aigle noir Barbara065 L’Amérique Joe Dassin066 L’âme des poètes Charles Trenet067 L’assasin est toujours le jardinier Frédérik Mey068 L’équipe à Jojo Joe Dassin069 L’été indien Joe Dassin070 L’hymne à l’amour Edith Piaf071 L’important c’est la rose Gilbert Bécaud072 L’oiseau et l’enfant Joe Gracy / Jean-Paul Cara073 La ballade des gens heureux Gérard Lenorman074 La bande à Bonnot Joe Dassin075 La bohème Charles Aznavour076 La chanson des vieux amants Jacques Brel077 La chansonnette Yves Montand078 La complainte du laboureur Elmer Food Beat079 La demoiselle de déshonneur Joe Dassin080 La fête Michel Fugain081 La fleur aux dents Joe Dassin082 La France de mon enfance Enrico Macias083 La grosse Jocelyne Elmer Food Beat084 La java bleu Géo Koger & Noël Renard / Vincent Scotto085 La javanaise Serge Gainsbourg086 La maladie d’amour Michel Sardou087 La Maritza Sylvie Vartan088 La mer Charles Trenet089 La montagne Jean Ferrat090 La petite diligence Marc Fontenoy091 La philosophie - Batucada Georges Moustaki092 La puce et le pianiste Yves Duteil093 La romance de Paris Charles Trenet094 La vie en rose Édith Piaf095 Le ciel, le soleil et la mer François Deguelt096 Le chemin de Papa Joe Dassin097 Le danseur de Charleston Jean-Pierre Moulin098 Le gorille Georges Brassens099 Le loup, la biche et le chevalier Henri Salvador100 Le Métèque George Moustaki
FRENCH FRANÇAISPG TITEL / TITRE ARTISTE(S)101 Le moribond Jacques Brel102 Le petit pain au chocolat Joe Dassin103 Le petit pont de bois Yves Duteil104 Le plastique c’est fantastique Elmer Food Beat105 Le plastique c’est fantastique Elmer Food Beat106 Le Portugais Joe Dassin107 Le temps de vivre Georges Moustaki108 Le temps du muguet 109 Le vin me saoule Nicolas Peyrac110 Les Acadiens Michel Fugain111 Les cerise de Monsieur Clément Michel Fugain112 Les Champs-Elysées Joe Dassin113 Les comédiens Jacques Plante / Charles Aznavour114 Les copins d’abord Georges Brassens115 Les feuilles mortes Yves Montand116 Les filles de mon pays Enrico Macias117 Les grands boulevards Yves Montand118 Les moulins de mon coeur Michel Legrand119 Les trois cloches Les Compagnons de la chanson120 Ma liberté Serge Reggiani121 Ma liberté de penser Florent Pagny122 Ma solitude George Moustaki123 Maladie d’amour Henri Salvador124 Marina Rocco Granata125 Méditerrannée 126 Mes emmerdes Charles Aznavour127 Milord Édith Piaf128 Mon amant de Saint-Jean Patrick Bruel129 Mon frère Maxime Le Forestier130 Mon ménage à moi Édith Piaf131 Mon vieux Daniel Guichard132 Mon village au bout du monde Joe Dassin133 Nathalie Gilbert Bécaud134 On ira tous au paradis Michel Polnareff135 Parce qu’on sait jamais Christophe Maé136 Pas de Boogie Woogie Eddie Mitchell137 Pour la vie Patrick Bruel138 Pour moi la vie va commencer Johnny Hallyday139 Plaisir d’amour Nana Mouskouri140 Prendre un enfant Yves Duteil141 Quand il est mort le poète Gilbert Bécaud142 Quand le soleil dit bonjour aux montagnes Lucile Star143 Retiens la nuit Johnny Hallyday144 Salade de fruits Bourvil 145 S’il suffisait d’aimer Céline Dion146 Si j’avais un marteau Claude François147 Si j’étais président Gérard Lenormand148 Si toi aussi tu m’abandonnes M. François & H. Contet / Dimitri Tiomkin149 Si tu t’appelles mélancholie Joe Dassin150 Si tu vas à Rio Dario Moreno
FRENCH FRANÇAISPG TITEL / TITRE ARTISTE(S)151 Siffler sur la colline Joe Dassin152 Sous les ponts de Paris Lucienne Delyle153 Sur ton visage une larme Lucky Blondo154 Suzette Dany Brillant155 Sympatique Pink Martine156 Temps de vivre George Moustaki157 This melody Julien Clerc158 Tombe la neige Adamo 159 Tous les garçons Françoise Hardy160 Tous va changer Michel Fugain 161 Un jour tu verras Mouloudji162 Un mexicain Charles Aznavour163 Une belle histoire Michel Fugain164 Une jolie fleur Georges Brassens165 Une maison bleue Maxime Le Forestier166 Voir un ami pleurer Jacques Brel167 Vous permettez, monsieur Adamo
à bicyclette Yves MontandPierre Barouh ™
BmQuand on partait de bon matin, quand on partait sur les chemins
À bicyF#mclette.
BmOn était quelques bons copains, y’avait Fernand, y’avait Firmin,
y’avait Francis et Sébastien
Et puis PauF#mlette.
DmOn était
Gtous amoureux
Cd’elle, on se sen
Ftait pousser des
Bm7-5ailes
À bicyAmclette.
GmSur les petits chemins de terre, on a souvent vécu l’en
Dmfer,
pour ne pas mettre pied à A7terre
Devant PauBmlette.
BmFaut dire qu’elle y mettait du coeur, c’était la fille du facteur
À bicyF#mclette.
BmEt depuis qu’elle avait huit ans, elle avait fait en le suivant
tous les chemins environnants
À bicyF#mclette.
DmQuand on appro
Gchait la ri
Cvière, on dépo
Fsait dans les fou
Bm7-5gères
Nos bicyAmclettes.
GmPuis on se roulait dans les champs, faisant naître un bouquet chan
Dmgeant
de sauterelles, de papilA7lons
Et de raiBmnettes.
BmQuand le soleil à l’horizon profilait sur tous les buissons
Nos silhouF#mettes
BmOn revenait fourbus contents, le coeur un peu vague pourtant
de n’être pas seul un instant
Avec PauF#mlette
DmPrendre furtive
Gment sa
Cmain, oubli
Fer un peu les co
Bm7-5pains
La bicyAmclette.
GmOn se disait c’est pour demain, j’oserai, j’oserai de
Dmmain,
quand on ira sur les cheA7mins
À bicyBmclette.
à boire •Kate & Anna McGarriglePhilippe Tatartcheff ™ Anna McGarrigle
E B7 B7(intro)
Je Eme regardais dans la glace, si folle
SouriAant, promenais mes sou
B7liers désaccor
Edés.
A Eboire, à
Aboire, je
B7lui deman
Edais.
Pour l’amour du Seigneur, je lui suppliais.
Si Ejeune, si jeune, chaque gorgée m’emporte,
par Ades mers gelées,le prin
B7temps cherchant l’au
Etomne.
CHORUS
Froidement fidèle, vision toujours changeante
Divin comApagne, à mes
B7lèvres si accor
Edantes.
à paris Yves MontandFrancis Lemarque, reprise par Yves Montand
À PaDmris, quand un amour fleurit, ça fait pendant des s’main’s
deux coeurs qui se sourient, tout ça parce qu’ils s’aim’nt à PaA7ris.
Au printemps sur les toits les girouettes tournent et font les coquettes
avec le premier vent, qui passe indifférent, nonchaDmlant.
Car le D7vent, quand il vient à Paris n’a plus qu’un seul souci,
c’est d’aller musarder dans tous les beaux quartiers de PaGmris.
Le soA7leil, qui est son vieux copain, est aussi de la fête
et comm’ deux collégiens, ils s’en vont en goguett’ dans PaDmris.
Et la Emmain dans la
A7main, ils vont
Dmsans se frapper
regarEmdant en che
A7min, si Pa
Bb7ris a chan
E7/Bgé.
A
Y’a toujours des taxis en maraude, qui vous chargent en fraude
avant le stationnement où y’a encore l’agent des taxis.
Au café on voit n’importe qui, qui boit n’importe quoi,
qui parle avec ses mains, qu’est là depuis le matin au café!
Y’a la Seine à n’importe quelle heure elle a ses visiteurs,
qui la r’gardent dans les yeux. Ce sont ses amoureux à la Seine.
Et y’a ceux, ceux qui ont fait leur nids (lit), près du lit de la Seine
et qui s’lav’nt à midi tous les jours de la s’main’ dans la Seine.
Et les autres, ceux qui en ont assez, parc’qu’ils en ont vu d’trop
et qui veul’nt oublier, alors ils s’jett’nt à l’eau, mais la Seine.
Elle préfère voir les jolis bateaux, se promener sur elle
et au fil de son eau, jouer aux caravell’s, sur la Seine!
Les ennuis y’en n’a pas qu’à Paris, y’en a dans l’monde entier,
oui, mais dans l’monde entier, y’a pas partout Paris, v’là l’ennui...
À Paris, au quatorze juillet à la lueur des lampions,
on danse sans arrêt, au son d’l’accordéon, dans les rues.
DeEmpuis qu’à Pa
A7ris,
on a Dmpris la Bastille,
dans Emtous les fau
A7bourgs
et à Dmchaque carr’four,
il Gmy a des
C7gars,
et il A7/C#y a des
Dmfill’s,
qui sur Emles pavés,
A7sans arrêt,
Dmnuit et jour,
A7/Efont des
Dmtours
A7/Eet des
Dmtours
A7/Eà Pa
DM
ris.
à toi•
Joe DassinPierre Delanoé & Claude Lemesle
À Amtoi, à la façon que tu as
Dmd’être belle
À la façon que tu as G7d’être à moi
À ces mots tendres un peu arCtificiels quelques
E7fois
À Amtoi, à la petite fille que
Dmtu étais
À celle que tu es enG7core souvent
À ton passé, à tes seCcrets, à tes anciens princes char
E7mants
À la Amvie, à l’amour, à nos nuits, à nos jours
À l’éterE7nel retour d’la
Amchance
AmÀ l’enfant qui viendra, qui nous ressemblera
Qui seG7ra à la fois toi et
Emoi
À Ammoi, à la folie dont tu es
Dmla raison
À mes colères sans saG7voir pourquoi
À mes silences et à mes traChisons quelques
E7fois
À Ammoi, au temps que j’ai passé à
Dmte chercher
Aux qualités dont tu te G7moques bien
Aux défauts que j’t’ai caCchés, à mes idées de bala
E7din
REFRAIN
À Amnous, aux souvenirs que nous al
Dmlons nous faire
À l’avenir et au préG7sent surtout
À la santé de cette Cvieille terre qui s’en
E7fout
À Amnous, à nos secrets et à nos
Dmillusions
À notre prochain premier G7rendez-vous
À la santé de ces milClions d’amoureux qui sont comme
E7nous
REFRAIN
Ah! Le petit vin blanc•
trad.
VoiCci le prin
CM7temps. La douceur du
C6temps
Cnous fait
GDIM
des aG7vances.
ParG7tez mes enfants, vous
G7avez vingt ans,
G7partez en
G5va
Ccances.
Vous Cverrez a
Amgiles, sur
Dm7l’onde tran
Amquille, les
Dm7barques do
Amciles au
Dm7bras des a
G7mants.
De G7fraîches guinguettes, des
G7filles bien faites, les
G7frites sont prêtes et
D7y’a du vin
G7blanc
CAh! le petit vin
C6blanc,
Cqu’on boit sous les ton
G7nelles,
G7quand les filles sont
G7belles du côté de
G5Nog
Cent.
CEt puis de temps en
C6temps,
C7un air de vieille ro
Fm6man
Fce
Fsemble don
CDIM
ner la caC6den
Cce, pour fau
C6ter, pour fauter,
dans les G7bois, dans les prés du cô
G7té, du côté de No
Cgent.
Suivons ce conseil, monsieur le Soleil connaît son affaire.
Cueillons, en chemin, ce minois mutin, cette robe Claire.
Venez belle fille, soyez bien gentille, là, sous la charmille, l’amour nous attend.
Les tables sont prêtes, l’aubergiste honnête, y’a des chansonnettes et y’a du vin blanc.REFRAIN
À ces jeux charmants, la taille souvent prend de l’avantage.
Ça n’est pas méchant, ça finit tout l’temps par un mariage.
Le gros de l’affaire, c’est lorsque la mère demande, sévère à la jeune enfant:
Ma fille raconte, comment, triste honte, as-tu fait ton compte? Réponds, je t’attends...REFRAIN
Car c’est F6toujours pareil, tant
CDIM
qu’y’auCra du soleil
On EbDIM
ver-G7ra les amants au
G5prin
Ctemps s’en al
C6ler pour fauter
dans les G7bois, dans les prés, du cô
G7té, du côté de No
Cgent.
C6x
1 1 1 1 1III
3 3 3 3
aimer à perdre la raison •Jean Ferrat
Jean Ferrat
C C(intro)
AiCmer à
Gperdre la rai
Amson
AiFmer à n’en savoir que
Dmdire
CA n’avoir que toi d’hori
Gzon
DmEt ne connaître de sai
Amsons
Que par la douleur du parFtir,
Aimer à perdre la raiCson.
CmAh, c’est toujours toi que l’on blesse
C’est toujours ton miroir briFmsé
Mon pauvre Bb
bonheur ma faiEb
blesseFmToi qu’on in
Gsulte et qu’on dé
Ab
laisseFmDans toute
Ab
chair martyriGsée.
CmLa faim, la fatigue et le froid,
Toutes les misères du Fmmonde,
C’est par mon Bb
amour que j’y Eb
croisFmEn elles
Gje porte ma
Ab
croixFmEt de leurs
Ab
nuits ma nuit se Gfonde.
REFRAIN
ACmmour et bonheur d’autres sortes
Ils tremblent l’hiver et l’éFmté
Toujours la Bb
main dans une Eb
porteFmLe coeur com
Gme une feuille
Ab
morte FmEt les
Ab
lèvres ensanglanGtées
REFRAIN
AiGmer à
Dperdre la rai
Emson
AiCmer à n’en savoir que
Amdire
GA n’avoir que toi d’hori
Dzon
AmEt ne connaître de sai
Emsons
Que par la douleur du parCtir,
Aimer à perdre la raiGson.
AiCmer à perdre la rai
Gson.
allons à messine trad
Ils étaient deux amants, qui s’aimaient tendrement,
qui voulaient voyager, mais ne savaient comment.
Ah, ah, ah, ah, allons à Messine, pêcher la sardine.
Allons à Lorient, pêcher le hareng.
Qui voulaient voyager, mais ne savaient comment.
Le vit dit au con: ‘Tu seras batiment.’REFRAIN
Le vit dit au con: ‘Tu seras batiment.’
Je serai le grand mât, que l’on plante dedans.REFRAIN
Je serai le grand mât, que l’on plante dedans.
Mon rouston de droite sera commandant.REFRAIN
Mon rouston de droite sera commandant.
Mon rouston de gauche sera lieutenant.REFRAIN
Mon rouston de gauche sera lieutenant.
Les poils de mon cul seront les haubants.REFRAIN
Les poils de mon cul seront les haubants.
Et les morpions grimperont dedans.REFRAIN
Et les morpions grimperont dedans.
La peau de mes couilles fera voile au vent.REFRAIN
La peau de mes couilles fera voile au vent.
Le trou de mon cul soufflera dedans.REFRAIN
Le trou de mon cul soufflera dedans.
Sacré nom de Dieu, ça puera bougrement.REFRAIN
alors regarde Patrick BruelPatrick Bruel
Le somAmeil veut pas
Dd’moi, tu rêves depuis long
Atemps
sur la télé la Dneige a envahi l’é
E7cran.
J’ai Avu des hommes qui
Dcourent, une terre qui re
Acule,
des appels au seDcours, des enfants qu’on bous
E7cule.
Tu Adis qu’c’est pas mon
Drôle de parler de tout
Aça,
qu’avant d’prendre la paDrole il faut aller là-
E7bas.
Tu Adis qu’c’est trop fa
Dcile, tu dis qu’ça sert à
Arien,
mais c’‘t’encore plus faDcile de ne parler de
E7rien.
AAlors re
D/F#
garde,E/G#
regarde un Apeu ...
Je vais Dpas me taire parce
Eque t’as mal aux
Ayeux.
Alors reD/F#
garde,E/G#
regarde un Apeu ...
Tu verDras tout c’qu’on peut
Efaire si on est
Adeux.
PerAdue dans tes nu
Dances, la conscience au re
Apos,
pendant qu’le monde aDvance, tu trouves pas bien tes
E7mots.
T’heAsites entre tout
Ddire et un drôle de si
Alence,
t’as du mal à parDtir, alors tu joues l’inno
E7cence.
REFRAIN
Dans ma Atête une musique
Dvient plaquer ses i
Amages
sur des rythmes d’ADfrique mais j’vois pas l’pay
E7sage.
TouAjours ces hommes qui
Dcourent, une terre qui re
Acule,
ces appels au seDcours, ces enfants qu’on bous
E7cule.
REFRAIN
amsterdam Jacques Brel
F#m F#m7 F#m(intro)
Dans le F#mport d’Amsterdam y a des
C#mmarins qui chantent.
Les Drêves qui les hantent au
C#7large d’Amsterdam.
Dans le F#mport d’Amsterdam y a des
C#mmarins qui dorment,
Comme Ddes ori
C#7flammes le long
F#mdes berges mornes.
Dans le Aport d’Amsterdam y a des
E7marins qui meurent,
C#7Pleins de
F#mbière et de drames aux pre
C#7mières lueurs.
Mais dans le Dport d’Amsterdam y a des
C#mmarins qui naissent,
Dans la Bm7chaleur é
C#7paisse des lan
F#mgueurs océanes.
Dans le F#mport d’Amsterdam y a des
C#mmarins qui mangent
Sur des Dnappes trop blanches des pois
C#7sons ruisselants.
Ils vous F#mmontrent des dents à cro
C#mquer la fortune,
À déDcroisser la
C#7lune à bouf
F#mfer des haubans
Et ça Asent la morue jusque
E7dans le coeur des frites,
C#7Que leurs
F#mgrosses mains invitent à reve
C#7nir en plus.
Puis se Dlevent en riant dans un
C#mbruit de tempête,
ReBm7ferment leur bra
C#7guette et sortent en rotant.
Dans le F#mport d’Amsterdam y a des
C#mmarins qui dansent,
En se Dfrottant la panse sur la
C#7panse des femmes
Et ils F#mtournent et ils dansent comme des so
C#mleils crachés.
Dans le Dson déchi
C#7ré d’un ac
F#mcordéon rance.
Ils se Atordent le cou pour mieux s’en
E7tendre rire .
C#7Jusqu’à ce
F#mque tout à coup l’accor
C#7déon expire .
Alors Dle geste grave alors
C#mle regard fier .
Ils raBm7mènent leur ba
C#7tave jusqu’en
F#mpleine lumière .
Dans le F#mport d’Amsterdam y a des
C#mmarins qui boivent .
Et qui Dboivent et reboivent et qui re
C#7boivent encore .
Ils F#mboivent à la santé des pu
C#mtains d’Amsterdam .
De HamDbourg ou d’ail
C#7leurs enfin
F#mils boivent aux dames .
Qui leur Adonnent leur joli corps qui leur
E7donnent leur vertu .
C#7Pour une
F#mpièce en or et quand
C#7ils ont bien bu .
Se Dplantent le nez au ciel se mouchent
C#mdans les étoiles .
Et ils Bm7pissent comme je
C#7pleure sur les
F#mfemmes infidèles .
Dans le F#mport d’Amsterdam, dans le
C#mport d’Amsterdam.
Bm C#7 F#m
attention mesdames et messieurs Michel Fugain & Le Big BazarMichel Fugain
AttenE7tion mesdames et mes
Dmsieurs dans un in
Gstant on va commen
Amcer
Installez-Dmvous dans votre fau
Gteuil bien gentille
Cment.
Dm C
5-4-Dm3-2-1-0 partez,
DmM7tous les
Dm7projecteurs vont s’alu
Dm6mer
Et tous les acDm7teurs vont s’ani
Dm6mer en même
Etemps
AttenDmtion mesdames et mes
Gsieurs c’est impor
Ctant on va commen
Amcer
C’est touDmjours la même his
Gtoire depuis la nuit des
Ctemps.
Dm C
L’histoire Dmde la vie et de la
DmM7mort, mais nous a
Dm7vons changés de dé
Dm6cor
Espèrons Dm7qu’on la jouera encore
Dm6dans mille
Eans
Nous aDmvons 20 ans
Get plein
Cde chan
Amsons
Comme le Dmprintemps nous allons danser dans votre maison
Notre Dmpain est blanc,
Gnotre
Cvin est
Ambon
Si vous l’vouDmlez c’est nos croquettes que nous partagerons
AttenDmtion mesdames et mes
Gsieurs dans un in
Cstant on va commen
Amcer
Nous vous demanDmdons évidem
Gment d’être indul
Cgent
Dm C
Le specDmtacle n’est pas bien ro
DmM7dé, laissez
Dm7nous encore quelque an
Dm6nées
Il ne Dm7pourra que s’amélio
Dm6rer au fil des
Eans
DmM7
1 1 1 1 1 1V
2 34
Dm6
1 1 1 1 1 1III
23 4
au dessus des nuages •Frédérik Mey
GVent sud-ouest piste vingt-
Amtrois,
Dbruyant ses moteurs s’é
Gveillent.
Il s’élance devant Ammoi,
Dassourdissant mes o
Greilles.
Troublant l’asphalte mouilAmlé,
Dtraînant la pluie comme un
Gvoile,
qui retombe déchiAmré,
Den lambeaux lorsqu’il s’en
Gvole.
Au dessus des nuAmages
Dla liberté semble
Gêtre infinie.
Toutes nos craintes et nos Ampeines, dit-on,
Den sont enseve
Glies sous l’horizon
Cet tout ce qui nous ac
Gcable et confond,
Ds’y allège et s’éclair
Gcit.
GMes yeux distinguent long
Amtemps
Dle feu rouge au fuse
Glage.
Qui disparaît lenteAmment
Dau fond du gris des nu
Gages.
Je connais bien son cheAmmin
Det la route qu’il sil
Glonne.
Par le sifflement loinAmtain,
Dson grondement mono
Gtone.
REFRAINAb
Le calme vient s’instalBbmler
Eb
et la pluie fine perAb
siste
Quelqu’un prépare un Bbmthé
Eb
au fond du bureau de Ab
piste.
L’huile fait des arcs-en-Bbmciel
Eb
dans les flaques et les nuAb
ages.
En passant, se mirent en Bbmelles...
Eb
J’aurais bien fait ce voyAb
age.REFRAIN
au lac de neuvic •De BeestenboelNathalie & Lucas Smeets ™ Mike Wilsh & Mike Deighan
C E7 Am C7 F C D7 G7 C(intro)
Je m’Cbaladais
E7sur la plage, le
Am7coeur ouvert à la
C7nage.
J’aFvais envie de
Cdire bonjour à n’
D7importe
G7qui.
N’imCporte qui et
E7ce fut toi, je t’ai
Amdit n’
C7importe quoi,
il Fsuffisait de
Cte parler, pour t’
Dmappri
G7vois
Cer.
CAu
E7Lac de Neu
Amvic,
C7
Fau
CLac de Neu
D7vic.
G7
CAu soleil,
E7sous la pluie,
Amà midi ou
C7à minuit,
Fon y fait
Cdu ski nautique au
DmLac de
G7Neu
Cvic.
Dm G7 C Am Dm G C
CTu m’as dit ‘J’ai
E7rendez-vous au
Amfeu de camp a
C7vec des fous,
qui Fvivent la guitare
Cà la main, du
D7soir au ma
G7tin’.
AClors je t’ai ac
E7compagnée, on
Ama chanté, on
C7a dansé
et l’Fon n’a même
Cpas pensé
Dmà s’em
G7brasser.
C
REFRAINCHier soir deux
E7Malibu et
Amce matin deux
C7inconnus,
deux Famoureux tout
Cétourdis par
D7la longue
G7nuit.
Et Cde la plage à
E7la bouée, un
Amcamping toute
C7la journée,
tous Fles campeurs du
Cpoint du jour,
Dmchantent
G7l’armour.
C
REFRAIN
auprès de mon arbre Georges Brassens
FJ’ai plaqué mon
D7chêne,
Gm7comme un sali
C7gaud.
FMon copain le
D7chêne,
Gmmon alter e
C7go.
D7On était du même bois,
Dmun peu rustique,
A7un peu tendre,
Dmdont on fait n’im
A7porte quoi,
Dmsauf naturelle
C7ment les flutes...
FJ’ai maintenant des
D7frênes,
Gm7des arbres de Ju
C7dée.
FTous de bonne
D7graine,
Gmde haute fu
C7taie..
DMais toi tu manques
Gmà l’appel,
Dmma vieille branche
A7de campagne,
Dmmon seul arbre
A7de Noël,
C7mon mât de co
Fca
G7gne.
CAuprès de mon arbre, je vivais heureux.
C7
FJ’aurai
Fmjamais
Cdù
A7m’éloig
Dm7ner de mon
Garbre...
CAuprès de mon arbre, je vivais heureux.
C7
FJ’aurai
Fmjamais
Cdù
A7le quit
Dmter
G7des
Cyeux...
C7
FJe suis un pauvre
D7type,
Gm7j’aurai plus de
C7joie.
FJ’ai jeté ma
D7pipe,
Gmma vieille pipe en
C7bois,
D7qu’avait fumé sans se fâcher,
Dmsans jamais me brû
A7ler la lipe.
DmLe tabac de la vache
A7enragée,
Dmdans sa bonne vieille
C7tête de pipe...
FJ’ai des pipes d’é
D7cume,
Gm7ornées de fleu
C7rons,
Fde ces pipes qu’on
D7fume,
Gmen levant le
C7front.
DMais je retrouverai
Gmplus ma foi,
Dmdans mon cour ni
A7sur ma lippe.
DmLe gout de ma vieille
A7pipe en bois,
C7sacré nom d’une
Fpi
G7pe !
REFRAINFLe surnom d’in
D7fâme
Gm7me va comme un
C7gant.
FD’avec que ma
D7femme
Gmj’ai foutu le
C7camp,
D7parce que depuis tant d’années
Dmc’était pas une
A7sinécure
Dmde lui voir
A7tout le temps le
Dmnez au milieu de
C7la figure...
FJe bats la cam
D7pagne pour dé
Gm7nicher
C7la,
Fnouvelle compagne
D7valant
Gmcelle-
C7là.
DQui bien sûr, lais
Gmsait beaucoup
Dmtrop de pierres
A7dans les lentilles,
Dmmais se pendait
A7à mon cou quand
C7je perdais mes
Fbil
G7les.
REFRAINFJ’avais une man
D7sarde
Gm7pour tout loge
C7ment
Favec des lé
D7zardes
Gmsur le firma
C7ment
D7Je le savais par coeur depuis
Dmet pour un bai
A7ser la course,
DmJ’emmenais mes bel
A7les de nuit
Dmfaire un tour sur
C7la grande Ourse...
FJ’habite plus d’man
D7sarde, il peut
Gm7désormais tom
C7ber
Fdes halle bardes
D7je m’en
Gmbats l’oeil
C7mais,
DMais si quelqu’un
Gmmonte aux cieux
Dmmoins que moi j’y
A7paie des prunes:
DmY’a cent sept ans
A7qui dit mieux, que
C7j’ai pas vu la
Flu
G7ne.
REFRAIN
blanche comme la neige •Kate & Anna McGarrigle - Dancer with bruised knees 198?trad
La Ebmbelle s’est endor
Ebm7mie sur
Bb7un beau lit de
Ebmroses.
La Ebmbelle s’est endor
Ebm7mie sur
Bb7un beau lit de
Ebmroses.
B7Blanche
Abmcomme la
Ebmneige, bel
Bb7le comme le
Ebmjour.
EbmI-ils sont trois
Abmcapi
Ebm7taines, qui
Ebmvont lui
Abmfaire l’a
Ebmmour.
Le Ebmplus jeune des
Ebm7trois la
Bb7prend par sa main
Ebmblanche.
Le Ebmplus jeune des
Ebm7trois la
Bb7prend par sa main
Ebmblanche.
B7Montez,
Abmmontez prin
Ebmcesse des
Bb7sus mon cheval
Ebmgris.
EbmÀ-à-à Pa
Abmris j’vous
Ebm7mène dans
Ebmun fort
Abmbeau lo
Ebmgis.
B7 Abm Ebm Bb7 Ebm Ebm Abm Bb Bb7(instrumental)
FiEbmnissant ce dis
Ebm7cours le
Bb7capitaine
Ebmrentre.
FiEbmnissant ce dis
Ebm7cours le
Bb7capitaine
Ebmrentre.
B7Mangez,
Abmbuvez la
Ebmbelle, se
Bb7lon votre appé
Ebmtit.
EbmA-avec un
Abmcapi
Ebm7taine vous
Ebmpasse
Abmrez la
Ebmnuit.
Au Ebmmilieu du re
Ebm7pas la
Bb7belle a tombé
Ebmmorte
Au Ebmmilieu du re
Ebm7pas la
Bb7belle a tombé
Ebmmorte
B7Sonnez,
Abmsonnez les
Ebmcloches, tam
Bb7bours au régi
Ebmment.
EbmMa maîtresse
Abmelle est
Ebm7morte à
Ebml’âge
Abmde quinze
Ebmans.
B7 Abm Ebm Bb7 Ebm Ebm Abm Bb Bb7(instrumental)
Mais Ebmau bout de trois
Ebm7jours son
Bb7père s’y pro
Ebmmène.
Mais Ebmau bout de trois
Ebm7jours son
Bb7père s’y pro
Ebmmène.
B7Ouvrez,
Abmouvrez ma
Ebmtombe, mon
Bb7père, si vous m’ai
Ebmmez.
EbmTrois jours j’ai
Abmfait la
Ebm7morte, pour
Ebmmon hon
Abmneur gar
Ebmder.
B7 Abm Ebm Bb7 Ebm Ebm Abm Bb Bb7(instrumental)
bon voyage Jane McGarrigle - The McGarrigle Hour 1998J. Laure / Small
Pas la Eb
peine de Eb7prendre cet air
Ab
triste en me Eb
quittant
Puisque celle qui Cmt’aime t’at
Fm7tend.
Bb7
Offre Eb
lui de ma Eb7part ces li
Ab
las du jarEb
din.
Je ne lui en veux Bb7pas, je la
Eb
plains.
Bon voyBb
a-a-a-age. Bon voyEb
a-a-a-age. Le soCmleil brille
Fm7ra bien sans
Bb7toi.
Tu peux Eb
faire une Eb7croix, j’ai fi
Ab
ni de t’aiAbmmer.
Bon voEb
yage et Bb7ne reviens ja
Eb
mais.
Je m’emEb
porte si Eb7bête, je te sou
Ab
haite d’être heuEb
reux.
On m’a dit qu’elle aCmvait des beaux
Fm7yeux.
Bb
On m’a Eb
même ajouEb7té comme
Ab
pour t’excuEb
ser,
que tu l’aime au Bb7point de l’épou
Eb
ser.
Bon voyBb
a-a-a-age. Bon voyEb
a-a-a-age. Ta tenCmdresse pour
Fm7moi garde
Bb7la.
Quand tu Eb
vas, tout à Eb7l’heure, te je
Ab
ter dans ces Abmbras,
n’y ai pas Eb
peur Bb7que je pleure pour
Eb
ça. Fm7
Bon voEb
yage et Bb7ne reviens ja
Eb
mais.
bonsoir, mes amis •Frédérik Mey
Reinhard May
Bonsoir, mes Bmamis,
E7il est temps que je m’en
Aaille.
DCe qui me reste à vous
C#mdire ne dure qu’une ciga
Bmrette
Eet le temps d’un dernier
Averre.
Pour ce jour, cette Bmnuit sous votre toit, mer
Eci, pour la place à votre
Atable
et le vin dans mon Averre, pour le couvert de plus
Bmque vous mettez pour
Emoi
comme si rien au Amonde n’é
Dtait plus nor
Emal.
REFRAIN
Pour ces heures pasBmsées à bavarder, mer
Eci, pour votre pa
Atience
quand nos avis étaient conAtraires, pour n’avoir pas cher
Bmché à savoir d’où je ve
Enais
ni pour où je Apars, ni
Dquand, ni pour
Equoi.
REFRAIN
Merci pour la bonBmté qui s’abrite chez vous, der
Erière cette
Aporte
que je dois franAchir. Peut-être est-ce par
Bmelle qu’à travers vos car
Ereaux
la lumière Asemble plus
Dchaude qu’ai
Elleurs.
REFRAIN
boum •Charles Trenet
CLa pendule
Amfait tic
Dmtac tic
G7tic,
Cles oiseaux du
Amlac pic
Dmpac pic
G7pic.
CGlouglou
C7glou font tous
Fles dindons
D7et la jolie cloche
G7ding din don.
Mais Cboum,
Am7
Dmquand notre
G7coeur fait
Cboum,
Am7
Dmtout avec
G7lui dit
Cboum
Am7et c’est l’a
Dmmour
G7qui s’é
Cveille.
Am7 Dm G7
CBoum,
Am7
Dmil chante ‘
G7love in
Cbloom’
Am7
Dmau rythme
G7de ce
Cboum
Am7qui redit
Dmboum
G7à l’o
Creille.
F6Tout a chan
G7gé depuis
Chier et la
Am7rue a des
F6yeux qui re
G7gardent aux fe
Cnêtres.
F6Y a du li
G7las et y a
Cdes mains ten
Am7dues, sur la
D7mer, le soleil va pa
G7raître.
CBoum,
Am7
Dml’astre
G7du jour fait
Cboum,
Am7
Dmtout avec
G7lui dit
Cboum
Am7quand notre
Dmcoeur
G7fait boum
Cboum.
CLe vent dans les
Am7bois fait
Dmhou
G7hou,
Cla biche aux a
Am7bois fait
Dmmêêê
G7êê.
CLa vaisselle cas
C7sée fait
Fcric cric crac
D7et les pieds mouillés font
G7flic flic flac.
Mais Cboum,
Am7
Dmquand notre
G7coeur fait
Cboum,
Am7
Dmtout avec
G7lui dit
Cboum,
Am7l’oiseau dit
Dmboum,
G7c’est l’o
Crage.
Am7 Dm G7Brrrrr.
CBoum,
Am7
Dml’éclair qui
G7lui fait
Cboum
Am7
Dmet le bon
G7dieu dit
Cboum
Am7dans son fau
Dmteuil
G7de nu
Cages.
F6Car mon a
G7mour est plus
Cvif que l’é
Am7clair,
F6plus lé
G7ger qu’un oi
Cseau, qu’une a
Am7beille
F6et s’il fait
G7boum, s’il se
Cmet en co
Am7lère il en
D7traîne avec lui des mer
G7veilles.
CBoum,
Am7
Dmle monde en
G7tier fait
Cboum,
Am7
Dmtout l’uni
G7vers fait
Cboum,
Am7parc’que mon
Dmcoeur
G7fait boum
Cboum
Am7boum.
Dmje n’en
G7tends pique
Cboum
Am7boum.
DmÇa fait tou
G7jours
Cboum
C7boum,
Fboum
Fmboum
Cboum...
F6x
1 1 1 1 1III
3 4
bravo monsieur le monde Pierre Delanoë ™ Michel Fugain
Em E7 Am Am7 B7 Em Em7 Am7 Am6 Am B+ B7(intro)
BraE7vo monsieur le
Ammonde, cha
Am7peau monsieur le
B7monde
Même Emquand les gens di
Em7ront
Am7que vous ne
Am6tour
Amnez
B+
pas touB7très rond.
BraEmvo pour vos mon
E7tagnes, c’est
Ambeau, c’est formi
Am7dable.
CompliB7ments pour vos sai
Emsons
Em7qui nous
Amdonnent des
B7idées de chan
Emsons.
E7
BraAm7vo la mer on
D7SUS
n’a jamais D7trouvé un vert plus bleu, un bleu
GM7plus vert
auCM7cune symphonie n’est riche d’autant d’har
FM7monies
qu’un Am6merveilleux
B7tonnère qui fait l’amour a
Emvec la pluie.
E7
BraAm7vo le vent, qui
D7SUS
fait danser D7les blés, qui fait trembler les o
GM7céans
braCM7vo pour le soleil et la colère du
FM7volcan
braAm6vo pour l’arc-
B7en-ciel, qui met de la joie dans
Emle coeur
E7d’un en
CM7fant.
B
BraEmvo monsieur le
E7monde, cha
Ampeau monsieur le
Am7monde
Nous vous B7demandons par
Emdon
Em7pour tous
Am7ceux
Am6qui
Amvous a
B+
bîB7meront.
BraEmvo monsieur le
E7monde, bra
Amvo pour la co
Am7lombe.
Si vous B7lui laisse la
Emvie,
Em7nous vous
Amdiront
B7simplement mer
Emci.
E7 Em Am7 Em7/A F#m7-5 Em9
Am6
1 1 1 1 1 1V
2 3 4
B+
1 1 1 1 1 1VII
2 34
D7SUS
1 1 1 1 1 1V
23
GM7
1 1 1 1 1 1III
2 34
CM7
1 1 1 1 1 1III
23 4
FM7
1 1 1 1 1 12 3
4
Am6/B
1 1 1 1 1 1V
1 2 3 4
Em7/Ao o o o o
1
F#m7-5x x
1IV
2 3 4
Em9o o o o
1IV
3
c'est dit•
CalogeroCalogero / J.-J. Goldman
Bm Em A D / Bm Em A D / Bm Em A D / DM7 G G Em / Em F# F# Bm(intro)BmDes chansons, des
Em7filles,
Embeaucoup
Ade verres et de
Bm7nui
(D)ts,
BmTelles étaient nos
Em7heu-
Emeures,
Atelles étaient nos
Bm7vies
(D),
BmFutiles a
Em7doles
Emcents tout
Anous étaient per
Dmis,
DM7Rois de paco
Gtilles,
Gprinces dému
Em7nis,
EmOn est riches
F#
que de ses aF#
mis, c’est Bmdit.
BmLe temps des tem
Em7pêtes ar
Emrivent a
Avant qu’on les pré
Bm7dit,
(D)
BmAmours impos
Em7si-
Emible,
Adéfaites, iro
Bm7nie
(D)s,
BmQuand tout s’a
Em7bî-
Emme, quand mê
Ame nos rêves
Dfuient,
DM7Ne reste qu’une
Gîle, un
Gport, un par
Em7ti,
EmOn est riches
F#
que de ses aF#
mis, c’est Bmdit.
C’est Bmdit.
Em7 A D / Bm Em7 A D / Bm Em7 A D / DM7 G G Em7 / Em F# F# F#
CmMais quand tout s’al
Fm7lume,
Fmquand tout
Bb
enfin nous souCm7ris,
(Eb)
CmGloire, fêtes,
Fm7sympho
Fmnies,
Bb
bravo, bijoux, Cm7fré
(Eb)nésie,
CmQuand on me
Fm7saoule
Fmd’impos
Bb
ture ou d’amnéEb
sie,EbM7Honneur et for
Ab
tune, quand Ab
s’ai-je aujourFm7d’hui?
Je Fmne suis riche
Gque de mes a
Gmis.
C’est Cmdit.
Fm7la
Bb
lalala Eb / Cm Fm7 Bb Eb / Cm Fm7 Bb Eb
EbM7Honneur et for
Ab
tune, quand Ab
s’ai-je aujourFm7d’hui?
Je Fmne suis riche
Gque de mes a
Gmis,
mes aGmis. C’est
Cmdit...
Fm7 Bb Eb Cm
c’est magnifique•
Luis MarianoFrançois Llenas ™ Cole Porter (1953)
La Gvie est là, qui vous prend par le bras.
Oo la la E7la, c’est magni
Amfique.
E7Des
Amjours tous bleus, des
Am7baisers lumi
Amneux
Bss bss bss D9bss,
D+
c’est magniG6fi-
GM7que.
G6
DonGner son coeur avec un bouquet d’fleurs
Oo la la G9la,
G7c’est magni
CM7fi--
C6que.
Am
Et C6faire
Emun
Cm6jour un
Gmari
Cage d’a
Gmour
C’est magniA7fi-
D7i--
Gque.
D7
ParGtir là-bas, lune de miel à Cuba,
Oh la la E7la, c’est magni
Amfique !
E7Sous
Amce climat, les
Am7baisers sont comme
Amça !
Bss bss bss D9bss,
D+
c’est magniG6fi-
GM7que!
G6
Des Gnuits d’amour qui durent quarante cinq jours
Oh la la G9la, mais
G7c’est magni
CM7fi--
C6que!
Am
ReC6voir
EmPa
Cm6ris, re
Gtrouver
Cses a
Gmis
C’est magniA7fi-
D7i--
Gque.
D7
DîGner à deux dans un nid d’amoureux
Oh la la E7la, c’est magni
Amfique !
E7Dans
Amun baiser, lais
Am7ser l’poulet brû
Amler
Bss bss bss D9bss,
D+
c’est magniG6fi-
GM7que!
G6
AGvoir deux coeurs pour faire un seul bonheur
Oh la la G9la, mais
G7c’est magni
CM7fi--
C6que!
Am
S’aiC6mer
Emd’a
Cm6mour à
GParis
Cpour tou
Gjours
C’est magniA7fi-
D7i--
Gque.
D7 G
c’est si bon Yves MontandAndré Hornez ™ Henri Betti
Je ne sais Bb
pas s’il en est F7de plus
Bb
blonde,
mais de plus belle il Cm7n’en est pas pour
F7moi,
elle est vraiCm7ment tou
F7te la joie du
Cm7monde,
F7
ma vie comCm7mence
C7dès que je la
F7vois.
Et je fais: Bb9Oh!
Ab9 Gb9 Ab9
Et je fais: F9Ah!
E7/9 F7
C’est si Cm7bon
F7de partir n’importe
Bb
où,
bras dessus, bras desCm7sous
F7en chantant des chan
Bb
sons.
C’est si Cm7bon
F7de se dir’des mots
Bb
doux,
des petits rien du Cm7tout,
F7mais qui en disent
Bb
long.
En voyGb
ant notre Bmine ra
Gb
vie, les pasC7sants dans la rue nous en
F7vient.
C’est si Cm7bon
F7de guetter dans ses
Bb
yeux
un espoir merveilCm7leux
F7qui donne le fris
Fmson.
G7C’est si
C7bon
Ebmces petit’s sensa
Bb
tions,
ça vaut mieux qu’un milB7lion, tell’ment, tell’
F7ment c’est
Bb
bon.
Vous deviBb
nez quel bonheur F7est le
Bb
nôtre,
et si je l’aim’ Cm7vous comprenez pour
F7quoi,
elle m’enCm7ivre et
F7je n’en veux pas
Cm7d’autres,
F7
car elle est Cm7tout’s les
C7femmes à la
F7fois.
Ell’ me fait: Bb9Oh!
Ab9 Gb9 Ab9
Ell’ me fait: F9Ah!
E7/9 F7
C’est si Cm7bon
F7de pouvoir embras
Bb
ser,
et puis de r’commenCm7cer
F7à la moindre occa
Bb
sion.
C’est si Cm7bon
F7de jouer du pia
Bb
no,
tout le long de son Cm7dos, ten
F7dis que nous dan
Bb
sons.
C’est iGb
nouï ce qu’elle Ba pour sé
Gb
duire, sans parC7ler de c’que je n’peux pas
F7dire.
C’est si Cm7bon
F7quand j’la tiens dans mes
Bb
bras
de me dir’que tout Cm7ça
F7c’est à moi pour de
Fmbon.
G7C’est si
C7bon
Ebmet si nous nous ai
Bb
mons,
cherchez pas la raiB7son, c’est parce que
F7c’est si
Bb
bon,
c’est parce que F7c’est si
Bb
bon,
c’est parce que F7c’est trop
Bb
bon.
Bb9
1VII
2 34
Ab9
1V
2 34
Gb9
1III
2 34
F9
1II
2 34
E7-9
1 1 12
4
ça fait rire les oiseaux La compagnie créole
Ça fait Grire les oiseaux, ça fait chanter les a
Cbeilles,
Ça Gchasse les nuages et briller le so
Dleil.
Ça fait Grire les oiseau et danser les écu
Creuils.
Ça raGjoute des couleurs aux couleurs de l’arc-en-
Dciel
Ça fait Grire les oiseaux,
COh!
DOh! Oh!
GRire les oiseaux
C D
Ça fait Grire les oiseaux,
COh!
DOh! Oh!
GRire les oiseaux
C D
Une Gchanson d’amour c’est comme un
Clooping en avion
Ça fait Dbattre le coeur des filles et des gar
Gçons.
Une chanson d’amour c’est d’l’oxygène dans la maiCson,
tes Dpieds touchent plus par terre, t’es en
Glévitation.
Si y a d’la pluie Emdans ta vie, si le soir te
Cfait peur, la musique est
Dlà pour ça.
Y a touEmjours une mélodie pour des jours meil
Cleurs
Allez Dtape dans tes mains, ça porte bonheur,
C’est magique un refrain qu’on reprend tous en choeur REFRAIN
T’es reveGnu chez toi la tête pleine de souve
Cnirs
Des Dsoirs au clair de lune, des moments de plai
Gsir
T’es revenu chez toi et tu veux déjà reparCtir
RetrouDver l’aventure qui n’aurait pas dû fi
Gnir
Si y a du gris Emdans tes nuit ou des larmes dans ton
Ccoeur, la musique est là pour
Dça
Y a touEmjours une mélodie pour des jours meil
Cleurs
Allez Dtape dans tes mains, ça porte bonheur
C’est magique un refrain qu’on reprend tous en choeur REFRAIN
ça va pas changer le monde •Joe Dassin
C’est Eb
drole tu es partie et pourtant tu es encore iAb
ci
puisque Ab
tout me parle de Eb
toi un parfum de Bb7femme, l’écho de ta
Eb
voix Eb7
ton aAb
dieu je n’y crois pas du Eb
tout c’est un aureBb7voir, presqu’un rendez
Eb
vous.
Eb
Ça va pas changer le monde il a trop tourné sans Bb
nous
il pleuvra toujours sur Londres ça va rien changer du Eb
tout.
Qu’est-ce que ça peut bien lui faire Eb7une porte qui s’est refer
Ab
mée
on s’est aimé, Eb
n’en parlons plus Bb
et la vie contiEb
nue.
Eb
Ça va pas changer le monde que tu changes de maiBb
son
il va continuer le monde et il aura bien raiEb
son.
Les poussières d’une étoile c’est Eb7ça qui fait briller la voix lac
Ab
tée
on s’est aimé, Eb
n’en parlons plus Bb
et la vie contiEb
nue.
Eb
Ça va pas changer le monde ça va pas le déranBb
ger
il est en avant le monde c’est toi seule qui a chanEb
gé.
Moi je suis resté le même Eb7celui qui croyait que tu l’ai
Ab
mais
c’était pas vrai, Eb
n’en parlons plus Bb
et la vie contiEb
nue.
caroline Elmer Food Beat
Tiens voilà l’plombier, qu’est-il arrivé?
(Choeurs) Mais qu’est-il arrivé?
C’est chez ma voisine, la p’tite Caroline.
(Choeurs) La p’tite Caroline.
Tous les jours comme ça, c’est le défilé.
(Choeurs) C’est le défilé.
Y a que le curé qui n’y est pas passé.
Caroline s’endort légèrement humide.
Une ligne tiède coule entre ses jambes.
Caroline s’endort légèrement humide.
Une ligne tiède coule entre ses jambes.
Tiens voilà l’boucher, qu’est-il arrivé?
(Choeurs) Mais qu’est-il arrivé?
C’est chez ma voisine, la p’tite Caroline.
(Choeurs) La p’tite Caroline.
Tous les jours comme ça, c’est le défilé.
(Choeurs) C’est le défilé.
Y a que le curé qui n’y est pas passé.REFRAIN
ce n’est rien•
Julien ClercRoda-Gil ™ Julien Clerc
EmCe n’est
Crien,
Amtu le
Csais bien,
B7le temps
Cpasse,
B7ce n’est
Emrien.
Tu sais Cbien,
Amelle s’en
Cvont comme
B7les ba
Cteaux
B7et sou
Emdain,
ça reCvient
Ampour un
D7bateau qui s’en
Gva et re
Amvient.
F#m7Il y a
B7mille coquilles de
Emnoix sur ton che
Cmin,
Amqui coulent
B7et c’est trés
Embien.
Em7Et c’est comme
D7une tourterelle,
qui s’éGloigne a tire-d’aile
en emAmportant le du
B7vet, qu’était ton
Emlit, un beau matin
Em7
et c’est comme D7une fleur nouvelle
et qui s’en Gva vers la grêle,
comme un Ampetit radeau
B7frêle sur l’Océ
Eman.
EmCe n’est
Crien,
Amtu le
Csais bien,
B7le temps
Cpasse,
B7ce n’est
Emrien.
Tu sais Cbien,
Amelle s’en vont
Ccomme
B7les ba
Cteaux
B7et sou
Emdain,
ça préCvient
Amcomme un
D7bateau qui re
Gvient et sou
Amdain
F#m7Il y a
B7mille sirénes de
Emjoies sur ton che
Cmin,
Amqui résonnent
B7et c’est trés
Embien.
REFRAIN
céline•
Hugues Aufray
Dis Gmmoi Céline, les années ont passes,
pourquoi n’as tu jamais penCmsé à te marier?
FDe tout’ mes soeurs
Gmqui vivaient ici
Tu Fes la seule
Gmsans mari.
Non Non non Cmne rougis pas, non
Gmne rougis pas.
Eb
Tu as, tu as Gmtoujours de beaux yeux.
CmNe rougis pas, non
Gmne rougis pas.
FTu aurais pu rendre un
Gmhomme heureux.
Dis Gmmoi Céline, toi qui es notre aînée,
toi qui fus notre mère, toi Cmqui l’as remplacée.
FN’as tu vécu pour
Gmnous autrefois
que Fsans jamais pen
Gmser à toi?
REFRAIN
Dis Gmmoi Céline, qu’est il donc devenu
ce gentil fiancé, qu’on Cmn’a jamais revu?
FEst-c’pour ne pas
Gmnous abandonner
que Ftu l’as laissé
Gms’en aller?
REFRAIN
Dis Gmmoi Céline, ta vie n’est pas perdue.
Nous sommes les enfants, que Cmtu n’as jamais eus.
FIl y a longtemps,
Gmque je le savais
et Fje ne l’oublie
Gmrai jamais.
CmNe pleure pas, non
Gmne pleure pas.(Parlé)
Tu as, tu as toujours les yeux d’autrefois.CmNe pleure pas, non
Gmne pleure pas.
DNous resterons toujours
Gmprès de toi.
DNous resterons toujours
Gmprès de toi.
champagne (namoradinha de um amigo meu) Hervé Vilard ™ Roberto Carlos
Bm A G Em F#
(intro)
ABmmis, je vous invite, champagne, pour l’amour de
F#mcelles qui m’a laissé tomber.
BmC’est foutu, champagne, elle ne m’a rien
F#mdit, elle ne m’a rien laissé.
EmJe vais prendre une
Amusette,
Emdanser et faire
Ala fête.
EmChampagne pour tout
F#7le monde et c’est
Bmmoi qui
Apaie.
G Em F#
Et Bmpuisqu’elle est partie, champagne, je vais reprendre
F#mma vie de célibataire.
BmEt tant mieux, champagne, elle n’était pas
F#
d’une beauté extraordinaire.EmTous les hommes sont
Atrompés,
Emcomme disait
Amon père.
EmUne de perdue
F#7égale dix de
Bmretrou
Avées.
G F#
BmJe n’atten
Edrai pas son retour
Bm
à Emes futures amours
Bm
Santé, mes amis, champagne, ce soir je vais boire F#mpour essayer de l’oublier.
Bm
Santé, mes amis, champagne, ce soir je vais boire F#mpour essayer de l’oublier.
Bm
Et Bmpagne et vive la vie, champagne, ça y est je suis
F#mbien, je suis dans les nuages.
BmJe suis saoul, je plane, je ne veux rien
F#md’autre, seul’ment tourner la page.
EmJe sais, je vais
Asouffrir,
Emaprès, j’irai
Adormir.
EmChampagne pour tout
F#7le monde et c’est
Bmmoi qui
Apaie.
G Em F#
SanBmté, mes amis, champagne, ce soir je vais boire
F#mpour essayer de l’oublier.
Bm
Santé, mes amis, champagne, ce soir je vais boire F#mpour essayer de l’oublier.
Bm
chanson pour l’auvergnat •Georges Brassens
Bm F#7 Bm F#7(intro)BmElle est à toi cet
F#7te chanson, toi l’auvergnat qui
Bmsans façon
Bmm’as donné quatre
F#7bouts de bois, quand dans
Gma vie
A7il faisait
Dfroid.
F#7
BmToi qui m’as donné
F#7du feu quand les croquantes et
Bmles croquants,
Bmtous les gens bien in
F#7tentionnés
Gm’avaient fermé
A7la porte au
Dnez.
D7Ce n’était
Grien qu’un
A7feu de
Dbois,
Bmmais il m’a
Emvait chauf
Bmfé le corps
F#7et dans mon âme il
Bmbrûle encore
Gà la manière d’un
G7feu de
F#7joie.
BmToi l’auvergnat, quand
F#7tu mourras, quand le croquemort t’em
Bmporteras,
Bmqu’il te conduise à
Etravers
Aciel,
Gau
F#7père éter
Bmnel
BmElle est à toi cet
F#7te chanson, toi l’hôtesse qui
Bmsans façon,
Bmm’as donné quatre
F#7bouts de pain, quand dans
Gma vie
A7il faisait
Dfaim.
BmToi qui m’ouvris ta
F#7hutte quand les croquantes et
Bmles croquants,
Bmtous les gens bien in
F#7tentionnés
Gs’amusaient
A7à me voir jeu
Dner.
D7Ce n’était
Grien qu’un
A7bout de
Dpain,
Bmmais il m’a
Emvait chauf
Bmfé le corps
F#7et dans mon âme il
Bmbrûle encore
Gà la manière d’un
G7grand fes
F#7tin.
BmToi l’auvergnat, quand
F#7tu mourras, quand le croquemort t’em
Bmporteras,
Bmqu’il te conduise à
Etravers
Aciel,
Gau
F#7père éter
Bmnel
BmElle est à toi cet
F#7te chanson, toi l’étranger qui
Bmsans façon
Bmd’un air malheureux
F#7m’a souri lorsque
Gles gen
A7darmes m’ont
Dpris
BmToi qui n’a pas ap
F#7plaudi quand les croquantes et
Bmles croquants
Bmtous les gens bien in
F#7tentionnés
Griaient de me
A7voir ame
Dné
D7Ce n’était
Grien qu’un
A7peu de
Dmiel,
Bmmais il m’a
Emvait chauf
Bmfé le corps
F#7et dans mon âme il
Bmbrûle encore
Gà la manière d’un
G7grand so
F#7leil
BmToi l’étranger quand
F#7tu mourras, quand le croquemort t’em
Bmporteras
Bmqu’il te conduise à
Etravers
Aciel,
Gau
F#7père éter
Bmnel
chante comme si tu devais mourir demain •Michel Fugain
CmChante la vie,
Fmchante comme
Bb7si tu devais mourir de
EbM7main.
Comme AbM7si plus rien n’avait d’impor
DSUS
tanD7ce,
GSUS
chanGte, oui
Cmchante.
CmAime la vie,
Fmaime comme
Bb7un voyou, comme un fou, comme un
EbM7chien
Comme AbM7si c’était ta dernière
DSUS
chanD7ce,
GSUS
chanGte oui
Cmchante.
FmTu peux par
Bb7tir quand tu
EbM7veux
Fmet tu peux dor
Bb7mir où tu
EbM7veux.
D7Rêver d’une fille,
Gmprendre la bastille
D7ou claquer ton fric au
Gjeu,
G7mais n’oublie pas:
CmChante la vie,
Fmchante comme
Bb7si tu devais mourir de
EbM7main.
Comme AbM7si plus rien n’avait d’impor
DSUS
tanD7ce,
GSUS
chanGte, oui
Cmchante.
CmFête, fais la
Fmfête pour
Bb7un amour, un ami ou un
EbM7rien.
Pour AbM7oublier qu’il pleut sur tes va
DSUS
canD7ces,
GSUS
chanGte, oui
Cmchante
FmEt tu ver
Bb7ras que c’est
EbM7bon
Fmde laisser
Bb7tomber sa rai
EbM7son.
D7Sors par les fenêtres,
Gmmarche sur la tête
D7pour changer les tradi
Gtions,
G7mais n’oublie pas:
CmChante la vie,
Fmchante comme
Bb7si tu devais mourir de
EbM7main.
Comme AbM7si plus rien n’avait d’impor
DSUS
tanD7ce,
GSUS
chanGte, oui
Cmchante.
CmLa la lala
Fmla la la
Bb7la la la la la la la la
EbM7la.
Ab
La la la D7la la la
Gla la
G7la la la
Cmla la.
GChante,
G7oui chan
Cmte.
chaque jour de plus•
Michel FugainBrice Homs / Michel Fugain
AmÀ quoi ça
Gmsert l’amour
Csi c’est un aller sans re
Gm7tour.
FM7Y a plus que du vide à la
E7place,
Ammais que veux-tu que j’en
Dmfas
Ese?
AmÀ quoi ça
Gmsert la vie
Cquand on meurt petit à pe
Gm7tit.
FM7S’il ne reste plus que l’ab
E7sence,
Amà qui veux-tu que je
Dmpen
Ese?
CJe jure si
Gmtu reviens,
je Fsaurai être heu
E7reux d’un sourire.
Am7Je jure que j’ap
Gprendrai à é
FM7crire
tous les mots pour le E7dire.
AmChaque jour de
Dm7plus est
Gun jour de
Ctrop.
AmJe plie déjà
Dm7sous le
Efar
Amdeau.
AmChaque jour de
Dm7plus est
Gun jour de
Ctrop.
AmEst-ce que tu re
Dm7viendras
Ebien
Amtôt?
AmEt moi je
Gmsers à quoi,
Csi je n’suis plus la moitié de
Gm7toi.
FM7Si ta vie n’est plus dans le
E7mienne,
Amcomment veux-tu que je
Dmtien
Ene?
CJe jure si
Gmtu reviens,
j’apFprendrai à
E7être différent.
Am7Je jure que
Gje saurai simple
FM7ment
laisser le temps E7au temps.
REFRAINAm Gm C Gm7(instrumental)FM7S’il ne reste plus que l’ab
E7sence,
Amà qui veux-tu que je
Dmpen
Ese?
REFRAIN
cheminant à la ville •Kate & Anna McGarrigle - French Record 1980Kate McGarrigle & Philippe Tatartcheff ™ Kate McGarrigle
CCheminant à la
Gville, mes
Fnuits et mes de
G7niers en poche
CDe mon village tran
G7quille,
Amune fourche mène à
DmRome, l’autre à la
Amfosse
Mais Dmtout au long du par
Amcours
Je Flaisserai des
Gtraces pour mon re
Ctour
CCheminant à la
Gville, sans
Fcrainte que je ne
G7m’éparpille
CDéjeuner en
G7main, l’au
Amberge n’entrave
Dmra pas mon che
Ammin
L’eau Dmclaire me suffira
Ambien
FOh, de mon or,
Gtu n’en auras
Cpoint.
C B Bb A
AGare aux embûches,
Dm7marche lentement
ADeux pieds à terre, mais le
Dm7nez dans le vent
Cm7Du parfum des roses à l’at
Gtrait des ronces
L’apFpel de la foule et
G7son silence
CAh, ce che
Gmin,
Fcomme il a vieil
G7li sous mes pas
CJ’en recon
G7nais, de
Amses mirages l’ap
Dmpel toujours fu
Amyant
AinDmsi des pèlerins d’an
Amtan
Les Fyeux toujours fi
Gxés sur l’hori
Czon
Et Cdès que je se
G7rai, par
Fmi les tours et
G7les vautours
Je Cme dirige
G7rai,
Amsans aucun dé
Dmtour vers le mar
Amché
A la Dmfin de la jour
Amnée
Je Fsuivrai les re
G7pères que j’ai se
Cmés
comme d’habitude •Jacques Revaux & Claude François & Gilles Thibaut
Je m’Flève et je te bous
Amcule, tu ne te réveilles
Cmpas, comme d’habi
D7tude.
Sur Gmtoi, je remonte le
Gm7drap, j’ai peur que tu aies
C7froid, comme d’habi
Ftude.
Ma Fmain caresse tes che
F7veux, presque malgré
Bb
moi, comme d’habiBbmtude.
Mais Ftoi, tu me tournes le
C7dos, comme d’habi
Gm7tu-u-
Fde.
AFlors, je m’habille très
Amvite, je sors de la
Cmchambre, comme d’habi
D7tude.
Tout Gmseul, je bois mon ca
Gm7fé, je suis en re
C7tard, comme d’habi
Ftude.
Sans Fbruit, je quitte la mai
F7son, tout est gris de
Bb
hors, comme d’habiBbmtude.
J’ai Ffroid, je relève mon
C7col, comme d’habi
Gm7tu-u-
Fde.
Comme d’habiFtude, toute la jour
F7née, je vais
Bb
jouer à faire semblant.
Comme d’habiGm7tude, je vais sou
C7rire, comme d’habi
Am7tude, je vais même
Dmrire,
Comme d’habiGm7tude, enfin je vais
C7vivre, comme d’habi
Gm7tu-u-
Fde.
Et Fpuis, le jour s’en i
Amra, moi je revien
Cmdrai, comme d’habi
D7tude.
GmToi, tu sera sor
Gm7tie, pas encore ren
C7trée, comme d’habi
Ftude.
Tout Fseul, j’irai me cou
F7cher, dans ce grand lit
Bb
froid, comme d’habiBbmtude.
Mes Flarmes, je les cache
C7rai, comme d’habi
Gm7tu-u-
Fde.
Comme d’habiFtude, même la
F7nuit, je vais
Bb
jouer à faire semblant.
Comme d’habiGm7tude, tu rentre
C7ras, comme d’habi
Am7tude, je t’atten
Dmdrai.
Comme d’habiGm7tude, tu me souri
C7ras, comme d’habi
Gm7tu-u-
Fde.
Comme d’habiGm7tude, tu te déshabille
C7ras, comme d’habi
Am7tude, tu te couche
Dmras.
Comme d’habiGm7tude, on s’embrasse
C7ra, comme d’habi
Gm7tu-u-
Fde.
Comme d’habiGm7tude, on fera sem
C7blant, comme d’habi
Am7tude, on fera l’a
Dmmour.
Comme d’habiGm7tude, on fera sem
C7blant, comme d’habi
Gm7tu-u-
Fde.
comme de bien entendu•
Michel Simon, Arletty (1939)Jean Boyer ™ Georges Van Parijs
Voici contée sur une valse musette, l’histoire en quelques motsdu beau roman d’une jeune midinette et d’un p’tit Parigot.Tous les refrains d’amour sont un peu bêtes, celui-là l’est aussi,mais si vous chantez en coeur ma chansonette, je vous dirai: Merci.CElle était jeune et belle, comme de bien enten
Gdu.
Il eut l’béguin pour elle, G7comme de bien enten
Cdu.
Elle était demoiselle, C7comme de bien enten
Fdu.
Il se débrouilla pour qu’elle Cne le soit plus,
Dm7comme de
G7bien enten
Cdu.
CIls se mirent en ménage, comme de bien enten
Gdu.
Elle avait du courage, G7comme de bien enten
Cdu.
Il était au chômage, C7comme de bien enten
Fdu.
Ça lui f’sait déjà un genCtil revenu,
Dm7comme de
G7bien enten
Cdu.
CVoulant faire une folie, comme de bien enten
Gdu.
Il offrit à sa mie, G7comme de bien enten
Cdu.
Un billet d’la lott’rie, C7comme de bien enten
Fdu.
Ça lui f’sait jamais que 100 Cballes de foutus,
Dm7comme de
G7bien enten
Cdu.
CMais il se mit à boire, comme de bien enten
Gdu.
Elle ne fit pas d’histoires, G7comme de bien enten
Cdu.
Mais pour n’pas êtr’une poire, C7comme de bien enten
Fdu.
Elle se consola en le Cfaisant cocu,
Dm7comme de
G7bien enten
Cdu.
CIl la trouva mauvaise, comme de bien enten
Gdu.
Mais elle ramenait du pèze, G7comme de bien enten
Cdu.
Au lieu de ramm’ner sa fraise, C7comme de bien enten
Fdu.
Il se contenta d’lui foutr’Cle pied au cul,
Dm7comme de
G7bien enten
Cdu.
CEt depuis, l’on raconte, comme de bien enten
Gdu.
Qu’il y trouva son compte, G7comme de bien enten
Cdu.
Et quand chez lui on monte, C7comme de bien enten
Fdu.
Il s’en va faire un p’tit tour Cau P.M.U.,
Dm7comme de
G7bien enten
Cdu.
CEt la leçon elle fut bonne, comme de bien enten
Gdu.
Maint’nant tous ils boulonnent, G7comme de bien enten
Cdu.
Ils payent de leur personne, C7comme de bien enten
Fdu.
Chaqun dans la norme est enCfin revenu,
Dm7comme de
G7bien enten
Cdu.
CEt c’est moi l’plus pépère, comme de bien enten
Gdu.
Avec ma régulière, G7comme de bien enten
Cdu.
J’suis l’plus heureux d’la terre, C7comme de bien enten
Fdu.
J’arrose mes salades et je Cne m’en sers plus,
Dm7comme de
G7bien enten
Cdu.
J’arrose mes salades et je Cne m’en sers plus,
Dm7comme de
G7bien enten
Cdu.
comme ils disent (je suis un homo) Charles Aznavour
EmJ’habite
Am6seul avec ma
Emman dans un très vieil appartement rue Sara
Am6sate.
J’ai pour me tenir compaAm6/Bgnie une tortue, deux cana
B7ris et une
Emchatte
Pour laisser Am/Bmaman repo
Emser très souvent je fais le marché
E7et la cui
Amsine
Je range, je lave, j’esAm7suie à l’occasion je pique aus
Am6si à la ma
Am6/Bchine.
B7
Le Emtravail ne me
Am6fait pas
Empeur, je suis un peu décorateur un peu sty
Am7liste.
Mais mon vrai métier, c’est la Am6/Bnuit que je l’exerce, traves
Am6ti
B7je suis ar
Am6/Etiste.
Em
EmJ’ai un numé
Am6/Bro très spé
Emcial, qui finit en nu intégral
E7après strip-
Amtease
Et dans la salle je vois que les mâles n’en croient pas leurs Emyeux,
je suis un homo! Comme ils GDIM
di__Am6/Bi____
Amsent.
EmVers les trois
Am6heures du ma
Emtin on va manger entre copains de tous les
Am6sexes.
Dans un quelconque bar-taAm6/Bbac et là, on s’en donne à coeur-
B7joie et sans com
Emplexes.
On déAm/Bballe des véri
Emtés sur des gens qu’on a dans le nez
E7on les la
Ampide.
Mais on le fait avec huAm7mour enrobé dans des calem
Am6bours mouillés d’a
Am6/Bcide.
B7
On renconEmtre des
Am6attar
Emdés, qui pour épater leur tablée marchent et on
Am7dulent.
Singeant ce qu’ils croient être Am6nous et se couvrent, les pauvres
Am6fous
B7de ridi
Am6/Ecu__
Emle.
EmÇa gesti
Am6/Bcule et parle
Emfort, ça joue les divas, les ténors
E7 de la bê
Amtise.
Moi les lazzis, les quolibets me laissent froid, puisque c’est Emvrai,
je suis un homo! Comme ils GDIM
di__Am6/Bi____
Amsent.
EmA l’heure où
Am6naît un jour nou
Emveau, je rentre retrouver mon lot de soli
Am6tude.
J’ôte mes cils et mes cheAm6/Bveux, comme un pauvre clown malheu
B7reux de lassi
Emtude.
Je me couche, Am/Bmais ne dors
Empas, je pense à mes amours sans joie
E7 si déri
Amsoires.
A ce garçon beau comme un Am7dieu, qui sans rien faire a mis le
Am6feu à ma mé
Am6/Bmoi_
B7re.
Ma Embouche n’ose
Am6ra ja
Emmais lui avouer mon doux secret mon tendre
Am7drame.
Car l’objet de tous mes tourAm6/Bments passe le plus clair de son
Am6temps
B7 aux lits des
Am6/Efem_
Emmes.
Nul n’a le Emdroit en
Am6/Bvéri_
Emté de me blâmer, de me juger
E7et je pré
Emcise.
Que c’est bien la nature qui est seule responsable Emsi
je suis un homme oh! comme ils GDIM
di__Am6/Bi____
Amsent.
comme toi Jean-Jacques GoldmanJean-Jacques Goldman
Dm Gm ASUS A Dm(intro)DmElle avait les yeux et la robe en veloursGmÀ côté de sa mère et la famille autour
Elle pose ASUS
un peu distraite au Adoux soleil de la fin du
Dmjour.
DSUS2 Dm
DmLa photo n’est pas bonne mais l’on peut y voirGmLe bonheur en personne et la douceur d’un soir
Elle aiASUS
mait la musique surtout ASchumann et puis Mo
Dmzart.
DSUS2 Dm
Comme Gmtoi, comme
ASUS
toi, comme Atoi, comme
Dmtoi.
Comme Gmtoi, comme
ASUS
toi, comme A7toi, comme
Dmtoi.
DSUS2 Dm DSUS2
Comme Gmtoi que je regarde tout
A7SUS
bas A7
Comme Dmtoi qui dors en rêvant à
Gmquoi
Comme Bb
toi, comme A7SUS
toi, comme A7toi, comme
Dmtoi.
DSUS2 Dm
DmElle allait à l’école au village d’en basGmElle apprenait les livres, elle apprenait les lois
Elle chanASUS
tait les grenouilles Aet les princesses qui dorment au
Dmbois.
DSUS2 Dm
DmElle aimait sa poupée, elle aimait ses amisGmSurtout Ruth et Anna et surtout Jérémy
Et ils ASUS
se marieraient un Ajour peut-être à Varso
Dmvie.
DSUS2 Dm
REFRAINEmElle s’appelait Sarah, elle n’avait pas huit ansAmSa vie c’était douceur, rêve et nuages blancs
Mais BSUS
d’autres gens en aBvaient décidé autre
Emment.
ESUS2 Em
EmElle avait les yeux clairs et elle avait ton âgeAmC’était une petite fille sans histoire et très sage
Mais elle BSUS
n’est pas née comme Btoi ici et mainte
Emnant.
ESUS2 Em
Comme Amtoi, comme
BSUS
toi, comme Btoi, comme
Emtoi.
Comme Amtoi, comme
BSUS
toi, comme B7toi, comme
Emtoi.
ESUS2 Em ESUS2
Comme Amtoi que je regarde tout
B7SUS
bas B7
Comme Emtoi qui dors en rêvant à
Amquoi
Comme Ctoi, comme
B7SUS
toi, comme B7toi, comme
Emtoi.
ESUS2 Em
Comme Ctoi, comme
B7SUS
toi, comme B7toi, comme
Emtoi.
ESUS2 Em
Dm
1 1 1 1 1 1V
23 4
Gm
1 1 1 1 1 1III
2 3
ASUS
1 1 1 1 1 1V
2 3 4
DSUS2
1 1 1 1 1 1V
2 3
A7SUS
1 1 1 1 1 1V
2 4
Em
1 1 1 1 1 1VII
23 4
Am
1 1 1 1 1 1V
2 3
BSUS
1 1 1 1 1 1VII
2 3 4
ESUS2
1 1 1 1 1 1VII
2 3
B7SUS
1 1 1 1 1 1VII
2 4
comme un soleil•
Michel FugainPierre Delanoe / Michel Fugain ™ Michel Fugain / Georges Blaness
DComme un so
Emleil, comme une
Aéclair
Dcie
BmComme une
F#mfleur que l’on
C#
cueille entre les orF#mties
GElle doit ve
Dnir comme
Avient le beau
Dtemps
D7
GElle doit ve
Dnir comme
Avient le prin
Gtemps
D
DDemandez-moi tout ce que
Emvous voulez
AEt sans regret, je vous le
Ddonne
BmMais dites-moi où je la
F#mtrouverai
Celle qui comC#
prendra, celle qui me diF#mra
GOù que tu ailles, je vais avec
Dtoi
Quelque soit Ale chemin, je te suis pas à
Dpas
D7
GEt s’il m’arrivait alors de
Dtomber, c’est elle
Aqui me relève
Grai-ai-ait
D
REFRAINDDemandez-moi tout ce que vous
Emvoulez
ADe ne plus jamais voir per
Dsonne
BmDe renoncer aux parfums de
F#ml’été
Aux accords C#
de guitare aux fumées F#mde la gloire
GDemandez-moi de ne plus
Dcroire en rien
Pourvu Aque je la vois au bout de
Dmon che
D7min
GDemandez-moi tout ce que
Dvous voulez mais dites-
Amoi où la
Gtrouver-er-er
D
REFRAIN
couroucoucou roploplo Elmer Food Beat
Céreinté,
Amfatigué
par la Fnuit passée
Gà danser.
Tout Ccontre toi
Amentre tes bras,
J’ai Fdécouvert tes
Ggros nénés.
Je t’aime Cpour ça, parce que tu
Amas les plus gros
et que pour Fmoi il n’y en a
Gjamais de trop.
Je t’aime Cpour ça, parce que tu
Amas les plus beaux
et qu’avec Ftoi je peux faire couroucou
Gcou roploplo.
Mon Cpain de sucre sou
Amdainement
Fa montré le
Gbout du nez.
Tout Ccontre toi dans
Amla samba,
il Fa découvert tes
Ggros nénés.
REFRAIN
Rio de ...
Rio de CJanvier, Bernard La
Amvilliers,
moi j’ai Ftout oublié sauf tes
Ggros nénés.
Rio de CJanvier, Bernard La
Amvilliers,
moi j’ai Ftout oublié sauf tes
Ggros nénés.
Rio de CJanvier, Bernard La
Amvilliers,
moi j’ai Ftout oublié sauf tes
Ggros nénés.
Rio de CJanvier, Bernard La
Amvilliers,
moi j’ai Ftout oublié sauf tes
Ggros nénés.
(intermezzo)
Céreinté,
Amfatigué
par la Fnuit passée
Gà danser.
Tout Ccontre toi
Amentre tes bras,
J’ai Fdécouvert tes
Ggros nénés.
REFRAIN
Rio de CJanvier, Bernard La
Amvilliers,
moi j’ai Ftout oublié sauf tes
Ggros nénés.
Rio de CJanvier, Bernard La
Amvilliers,
moi j’ai Ftout oublié sauf tes
Ggros nénés.
daniela Elmer Food BeatElmer Food Beat
EMoi ce que
C#mj’aime chez Danie
Ela,
C#m
Ec’est que l’on
C#mpeut y mettre les
Edoigts.
C#m
AbmElle est tou
Ajours d’accord,
Abmpour me prê
Ater son corps.
AbmHou
Ahou
Bhou.
EMoi ce que
C#mj’aime chez Danie
Ela,
C#m
Ec’est que l’on
C#mpeut s’y mettre à
Etrois.
C#m
AbmElle est tou
Ajours d’accord,
Abmpour battre
Ades records.
AbmHou
Ahou
Bhou.
Oh! EDaniela la
C#mlala la
Abmla
Alalala.
E
Oh! EDaniela la
C#mlala la
Abmla
Alalala.
E
Oh! EDaniela la
C#mlala la
Abmla
Alalala.
E
Oh! Daniela.ECe que Da
C#mniela aime en
Emoi,
C#m
Ec’est qu’elle au
C#mra toujours le
Echoix.
C#m
AbmJe ferai
Atout pour lui plaire,
Abmpar devant
Aet par derrière
AbmHou
Ahou
Bhou.
EEt dans la
C#mbouche de Danie
Ela,
Et dans la C#mbouche de Daniela,
et dans la Ebouche de Danie
C#mla, yeh, yeh, yeh, he
Abmil y a tou
Ajours de la place
Abmpour les co
Apains qui passent.
AbmHou
Ahou
Bhou.
REFRAINC#mla
Abmaaaa
Aaaaa
Baaaa
Daniela aaaa aaaa aaaa
Daniela aaaa aaaa aaaa
Daniela
dansez maintenant DavePatrick Loiseau ™ Glenn Miller
C7Dan
F6sez mainte
BDIM
nant tout l’éGmté
C7les pieds
Gmnus
C7dans le sable.
DanFsez maintenant et je
FM7tez vos en
F7nuis dans les
D7vagues,
GmQui
Fdan
FM7sent,
Fba
Gmlan
EDIM
cent Gmau
C6/9gré du
C7vent sa
Flé.
Gm C7
C7Dan
F6sez mainte
BDIM
nant tout l’éGmté
C7aimez
Gmvous
C7sur le sable.
DanFsez maintenant tout l’é
FM7té vous se
F7rez des ci
D7gales
GmQui
Fdan
FM7sent,
Fba
Gmlan
EDIM
cent Gmau
C6/9gré du
C7vent lé
Fger.
F7
BbM7Quand l’hiver
Bb6se-
Eb6/9ra venu
Eb9vous
Em7SUS
prendre A7au dépour
Cm6vu,
D7vous
Dm6danse
E7rez main
Dm6dans la
E7main en
Cm6atten
D7dant l’é
Gm7té pro
Cm9chain.
C7Dan
F6sez mainte
BDIM
nant tout l’éGmté
C7aimez
Gmvous
C7sur le sable.
DanFsez maintenant tout l’é
FM7té vous se
F7rez des ci
D7gales
GmQui
Fdan
FM7sent,
Fba
Gmlan
EDIM
cent Gmau
C6/9gré du
C7vent lé
Fger.
F7
REFRAINC7Dan
F6sez mainte
BDIM
nant tout l’éGmté
C7les pieds
Gmnus
C7dans le sable.
DanFsez maintenant et je
FM7tez vos en
F7nuis dans les
D7vagues,
GmQui
Fdan
FM7sent,
Fba
Gmlan
EDIM
cent Gmau
C6/9gré du
C7vent sa
Flé.
F6x
1 1 1 1 1III
3 4
BDIMx x o o
1 2
FM7
1 1 1 1 1 12 3
4
EDIMx x
1 23 4
C6/9x
1 12 3 4
Bb6
1 1 1 1 1 1
3 3 3 3
BbM7
1 1 1 1 1 12
3 4
Eb6/9x
1 1V
2 3 4
Eb9o
1 23
Em7SUSo o o
1 24
Cm6
1 1 1 1 1 12
3 4
Dm6o o o
13
Cm9x
1
2 3 4
demain sera parfait Jean-Louis AubertJean-Louis Aubert
G(intro)GJe veux chan
Bmter
EmJe veux te faire ou
Cblier
GTon âme en
Bmpeine
EmTon manque de
Cveine
GJe veux chan
Bmter
EmEt te baratine-
Cer
DeGmain se
Dra par
Gfait
GJe veux chan
Bmter
EmJe veux te faire
Ct’agiter
GSur les dé
Bmcombres
Emde notre
Cmonde
GJe veux chan
Bmter
EmEt je veux t’faire chan
Cter
DeGmain je
Dm’y re
Gmets
AmLes pugilats, les com
Cbats
GLes arguments à deux
Bmballes
AmLaisse-les là ils sont
Cbien
GAu pied des tours infer
Bmnales
AmLes petits malfrats, les quin
Cquats
GLes gros Madoff en ca
Bmvale
AmC’est pour les ra
Gdios mati
Dnales
GJe veux dan
Bmser
EmJe veux danser sur les
Cbraises
GIl fait si
Bmchaud
EmMets-toi à
Cl’aise
GJe veux dan
Bmser
EmComme un derviche ba
Claise
Les Gdeux pieds
Ddans la
Gglaise
AmLes petits cadors en go
Cguette
GS’occupent déjà de nos
Bmdettes
AmLes petits castors à res
Csort
GIls sont encore bien plus
Bmforts
AmSi dans nos villes ça sent
Cfort
GIls prennent en charge la
Bmmort
AmLaisse-les donc
Gà leur
Dsort
désormais•
Charles Aznavour
GmDésormais on ne nous verra plus en
Dmsemble
GmDésormais mon coeur vivra sous les dé
Cm6combres
D7
Eb
De ce monde qui nous resFsemble
GmEt que le temps a dévas
D7té
GmDésormais ma voix ne dira plus je
Dmt’aime
GmDésormais moi qui voulais être ton
Cm6ombre
D7
Eb
Je serai l’ombre de moi-Fmême
GmMa main de ta main sépa
D7rée
Bb
Jamais Ab
plus nous ne mordrons au Bb
même Ab
fruit
Ne dormirons au Bb
même Flit ne refe
Eb
rons les mêmes Cm7ges
F7tes
Bb
Jamais Ab
plus ne connaîtrons la Bb
même Ab
peur
De voir s’enfuir Bb
notre bonFm7heur et du
Ab
resBb
te, DSUS
désorD7mais
GmDésormais les gens nous verrons l’un sans
Dml’autre
GmDésormais nous changerons nos habi
Cm6tudes
D7
Eb
Et ces mots que je croyais Fnôtres
GmTu les diras dans d’autres
D7bras
GmDésormais je garderai ma porte
Dmclose
GmDésormais enfermé dans ma soli
Cm6tude
D7
Eb
Je traînerai parmi les Fchoses
GmQui parleront toujours de
D7toi
REFRAIN
dors Patrick Bruel
Shampoing qui pique pas les yeux. Une main qui traîne dans mes cheveux.
Pas eu le temps de faire mes devoirs ni envie de dormir seul ce soir.
Pas fermer la porte à clé. Juste entr’ouvrir les volets.
Comme toi j’avais peur la nuit, bandits cachés sous mon lit.
Les histoires pour t’endormir. Ça m’a jamais fait dormir.
Les batailles de polochons, j’ai toujours trouvé ça con.
Dors, dors, mais ne ferme pas les yeux.
Même quand le doute est l’plus fort, faut pas glisser, tenir encore.
Dors, dors, mais ne ferme pas les yeux.
En chacun d’nous y a d’la lumière, à toi d’savoir c’qu’il faut en faire.
à toi qui vient juste derrière j’voudrais crier c’qui faut faire:
mets pas tes pieds là, ça fait mal, c’est pas vrai que tous les hommes se valent.
Les bras trop couts pour embrasser, mais bien assez long pour cogner.
J’en ai vu qui priaient peinards, mais qui tournaient tout le temps le regard.
Dors, dors, mais ne ferme pas les yeux.
C’qui nous éclaire vient d’l’intérieur, personne peut arrêter c’compteur.
Dors, dors, mais ne ferme pas les yeux.
On ne peut pas aimer tout l’monde et ceux qui l’disent, disent des mensonges.
Mais c’est comme la course au trésor: si t’y crois plus c’est qu’t’es mort.
Faut chercher encore et encore, jamais s’attarder dans les ports.
Dors, dors, mais ne ferme pas les yeux.
En chacun d’nous y a d’la lumière, à toi d’savoir c’ qu’il faut en faire.
Dors, dors, mais ne ferme pas les yeux.
C’qui nous éclaire vient d’l’intérieur, personne peut arrêter c’compteur.
Dors, dors, mais ne ferme pas les yeux.
Tu ne peux pas aimer tout l’monde et ceux qui l’disent, disent des mensonges.
Dors, dors, mais ne ferme pas les yeux.
Même les soirs où le doute est trop fort, faut pas glisser tenir encore.
double enfance •Julien ClercMaxime le Forestier
Em(intro)
Elle Emest pas donnée
Amà tout l’monde, la
Dchance de s’aimer
Gpour la vie
C10 ans,
Am10 mois,
B710 se
Emcondes...
Cet nous voi
B7ci
EmÀ plonger dans
Amles eaux troubles
Dde mes souve
Gnirs lointains
CSi quel
Amque fois
B7je vois
Emdouble,
Cc’est que l’en
Amfance
B7me re
Emvient...
Am7Double vie
Amdouble silence
F#
double sens et B7double jeux
CSilencieux le
Amcoeur balance,
F#
pourquoi les parents B7sont-ils deux ?
COn voit du pays
Don voyage chaqu’semaine et chaqu’
Gété
CDes souve
Amnirs qui
B7démé
Emnagent et
Cqu’on ne peut
Ampas racon
B7ter...
REFRAINAm7Deux maisons,
Amdeux quartiers,
F#
deux gateaux d’anB7niversaire
CMultiplier les
Ampères et mères
F#
n’a pas que des mauB7vais côtés
CAvant les autres
Dj’aurai su, que le seul senti
Gment qui dure
CC’est le cha
Amgrin
B7d’une rup
Emture,
Coù je n’au
Amrai... jamais rom
B7pu.
REFRAINEm10 ans, 10 mois,
Am10 secondes
Dle temps n’est plus
Gun soucis
Elle Cest pas
Amdonnée
B7à tout l’
Emmonde la chance de s’ai
B7mer... pour la
Emvie !
douce france Charles Trenet ™ Léo Chauliac (1943)
Il reBb
vient à ma mémoire
Des souvenirs famiCm7liers
F7Je re
Cm7vois ma blouse
F7noire
Lorsque Cm7j’étais
F7éco
Bb
lierAm7Sur le
Dchemin de l’é
Gmcole
Je chanF7tais à pleine
Bb
voix
Des romances sans paCm7roles
Vieilles C7chansons d’autre
F7fois
Douce Bb
FranGm7ce
Cm7
Cher paF7ys de mon en
Bb
fanGm7ce
Cm7
Bercée F7de tendre insou
Bb
cianGm7ce
Cm7
Je t’ai F7gardée dans mon
C7cœur!
G7+ Cm7 F7
Mon vilBb
la Gm7ge
Cm7
au cloF7cher aux maisons
Bb
saGm7ges
Cm7
Où les F7enfants de mon
Bb
â Gm7ge
Cm7
Ont parF7tagé mon bon
Bb7heur
Oui je Fm7t’ai
Bb7me
Fm7
Et je Bb7te donne ce po
Eb
èmeEb7Oui je
Gb7t’aime
Dans la joie ou la douF7leur
Douce Bb
FranGm7ce
Cm7
Cher paF7ys de mon en
Bb
fanGm7ce
Cm7
Bercée F7de tendre insou
Bb
cianGm7ce
Cm7
Je t’ai F7gardée dans mon
Bb
cœur
J’ai connu des paysages
Et des soleils merveilleux
Au cours de lointains voyages
Tout là-bas sous d’autres cieux
Mais combien je leur préfère
Mon ciel bleu mon horizon
Ma grande route et ma rivière
Ma prairie et ma maison.REFRAIN
G7+x
1 2III
3 4
elle était si jolie Alain BarrièreAlain Barrière
Elle était si joEb
lie, G7
que je n’osais l’aiCmmer.
Cm7/Bb
Ab
Elle éCm/Gtait si jo
Fm7lie,
Bb7
je ne peux l’oubliEb
er.G7Elle était trop jo
Cm9lie
Fm7Quand le
Bb7vent l’emme
Eb
naitG7/DElle fuyait ra
Cmvi_
Cm/Bb
eAb
et le G7vent me di
Cmsait.
Fm
CmElle est bien trop jo
Eb
lie Fm6/D
et toi G7je te con
Cmnais
L’aimer toute une Fmvie,
Bb7
Tu ne Bb5pourras ja
EbM7mais
G7Oui, mais elle est par
Cmtie
Fm7C’est
Bb7bête mais c’est
Eb
vraiFm6/DElle é
G7tait si jo
Cmli_
Gm/Bb
e
Je ne l’ouG7blierai ja
Cmmais.
Fm
Aujourd’hui c’est l’automne
Et je pleure souvent
Aujourd’hui c’est l’automne
Qu’il est loin le printemps
Dans le parc où frissonnent
Les feuilles au vent mauvais
Sa robe tourbillonne
Puis elle disparaît
Elle était si joEb
lie, G7
que je n’osais l’aiCmmer.
Cm7/Bb
Ab
Elle éCm/Gtait si jo
Fm7lie,
Bb7
je ne peux l’oubliEb
er.G7Elle était trop jo
Cm9lie
Fm7Quand le
Bb7vent l’emme
Eb
naitG7/DElle était si jo
Cmli_
Cm7/Bb
eFm6/AJe ne l’ou
G7blierai ja
Cmmais.
elle habite ici Gerald de PalmasGerald de Palmas
C#
Je conAb
nais une F#
fille hors Ab
norme,C#
super Ab
belle et touF#
jours en Ab
forme.C#
Une de Ab
celle que F#
l’on vouAb
draitC#
pour la Ab
vie, à F#
ses Ab
côtes.
C#
Je la Ab
croise F#
tous les maAb
tins,C#
quand elle Ab
part seule aF#
vec son Ab
chien.C#
S’il pleut et Ab
qu’elle F#
rentre plus Ab
tôt,C#
je fais du Ab
feu et je F#
fais le Ab
beau.
Elle haC#
bite Ab
i_F#
ci, elle dort C#
dans Ab
mon F#
lit.
Elle haC#
bite Ab
i_F#
ci, C#
chez Bmoi,
F#
chez Ab
moi, C#
chez Bmoi.
F# Ab
C#
Je conAb
nais une F#
fille hors Ab
norme,C#
super Ab
belle et touF#
jours en fAb
orme.C#
Ça fait un Ab
moment que je F#
la cherAb
chais,C#
je suis paAb
tient et pluF#
tôt obstiAb
né.REFRAIN
C#
Il ne faudrait pas que la routine nous Ab
tue.C#
C’est pourquoi je fais comme si rien ne m’était dû, m’était Ab
dû.REFRAIN
elle m’regardait comme ça Patrick Bruel
Elle avait un blouson trois fois trop grand pour elle,
un pantalon qui n’ pouvait pas vivre sans bretelles.
Elle avait dans les yeux ce p’tit air qui agace,
tous les gens bien pensants, bien assis, bien en place.
Elle disait tout ce qu’elle pense sans penser tout ce qu’elle disait.
Elle jouait avec sa chance, temps en temps elle trichait.
Elle me regardait comme ça. Elle me regardait comme ça.
Elle me regardait comme ça. Le monde n’existait pas.
Elle me regardait comme ça. Elle me regardait comme ça.
Elle me regardait comme ça. Ça voulait dire que je suis là.
Moi j’comprenais p’t êt’ pas!
Elle a mis dans ma vie tellement de choses qui manquaient,
des fenêtres à mes nuits, des bateaux sur le quaie.
Elle avait qu’un défaut, c’était d’voir tous les miens,
chaque fois que j’en faisais trop, d’un petit sourire en coin,
elle cherchait dans mes yeux des réponses, des questions.
Ça me rendait malheureux, je disais oui, je disais non!REFRAIN
J’comprenais toujours pas!
Elle est partie un jour, elle a quitté le bal
dans ce monde en mal d’amour, elle respirait trop mal.
Elle avait pas eu le temps d’attendre trop longtemps
et puis les princes charmants parfois prennent tout leur temps.
Pas besoin d’être en cage pour se croire en prison.
P’t êt’ que j’étais trop sage p’t êt’ que j’étais trop con.REFRAIN
Elle avait un blouson trois fois trop grand pour elle,
un pantalon qui n’pouvait pas vivre sans bretelles.
Elle avait dans les yeux ce p’tit air qui agace
tous les gens bien pensants, bien assis, bien en place.
Elle me regardait comme ça.
Elle me regardait comme ça.
Elle me regardait comme ça.
emmenez-moi Charles Aznavour
Vers les Amdocks où le poids et l’en
Gnui me courbent le
Cdos.
E
Ils arAmrivent le ventre alour
Gdi de fruits, les ba
Cteaux.
E
Ils Amviennent du bout du
Gmonde apportant avec
Ameux
des idées vagaGbondes au reflet ciel
Ambleu de milles
Câges.
TraîCnant un parfum poi
Gvré de pays incon
Amnus
et d’éternels Gétés presque
Cnus sur les
Eplages.
Moi qui Amn’ait connu toute ma
Gvie que le ciel du
Amnord.
G
J’aimeAmrais débarbouiller ce
Ggris en virant de
Ambord.
AmEm
E7me
Amnez-
G7moi au bout de la
Cterre.
Emmenez-G7moi au pays des mer
Cveilles.
Il me E7semble que la mi
Amsère se
Frait moins pé
E7nible au so
Amleil.
Dans les Ambars à la tombée du
Gjour avec les ma
Crins.
E
Quand on Amparle de filles et d’a
Gmour, un verre à la
Cmain.
E
Je Amperds la notion des
Gchoses et soudain ma pen
Amsée
m’enlève et me déGpose un merveilleux é
Amté sur la
Cgrève.
Où je Cvois tendant les bras l’a
Gmour qui comme un
Amfou
court au devant de Gmoi et je me pends au
Ccou de mon
Erêve.
Quand les Ambars ferment, que les ma
Grins rejoignent leur
Ambord,
G
moi, je Amrêve encore jusqu’au ma
Gtin, debout sur le
Amport.
REFRAIN
Un beau jour sur un rafiot craquant de la coque au pont
Pour partir je travaillerais dans la soute à charbon
Prenant la route qui mène à mes rêves d’enfant
Sur des îles lointaines où rien n’est important que de vivre
Où les filles allanguies vous ravissent le coeur
En tressant m’a t’on dit de ces colliers de fleurs qui enivrent
Je fuirais laissant là mon passé sans aucun remords,
sans bagage et le coeur libéré en chantant très fort.
RFERAIN
en chantant Michel Sardou & Pierre Delanoë ™ T. Cutugno
DQuand j’étais petit garçon, je repassais mes leçons en
Emchantant.
Et bien des années plus A7tard je chassais mes idées noires en
Dchantant.
C’est beaucoup moins inquiétant de parler du mauvais temps en Emchantant.
Et c’est tell’ment plus miA7gnon de se faire traiter de
F#
con en Bmchanson.
GLa vie c’est plus mar
Drant, c’est moins dés
A7espérant en chan
Dtant.
DLa première fille de ma vie, dans la rue je l’ai suivie en
Emchantant.
Quand elle s’est déshabilA7lée, j’ai joué le vieil habitué en
Dchantant.
J’étais si content de moi, que j’ai fait l’amour dix fois en Emchantant.
Mais je n’peux pas m’expliA7quer, qu’au matin elle m’ait quit
F#
té enBmchantée.
GL’amour c’est plus mar
Drant, c’est moins dés
A7espérant en chan
Dtant.
Tous les hommes vont en galère à la pêche ou à la guerre en chantant.
La fleur au bout du fusil, la victoire se gagne aussi en chantant.
On ne parle à Jehova, à Jupiter à Bouddha qu’en chantant.
Quelles que soient nos opinions, on fait sa révolution en chanson.
Le monde est plus marrant, est moins désespérant en chantant.
Puisqu’il faut mourir enfin, que ce soit côté jardin en chantant.
Si ma femme a de la peine, que mes enfants la soutiennent en chantant.
Quand j’irai revoir mon père, qui m’attend les bras ouverts en chantant.
J’aimerais que sur la terre, tous mes bons copains m’enterrent en chantant.
La mort c’est plus marrant, c’est moins désespérant en chantant.
en cloque RenaudRenaud Séchan
D Bm Em D A7(intro)A7Elle a
Dmis sur l’mur au
Dd’ssus du ber
Bmceau une photo d’Ar
A7thur Rim
Dbaud.
Avec ses ch’veux en brosse elle trouve qu’il est Bmbeau, dans une chambre du
A7gosse bra
Dvo.
Déjà les p’tits Ganges sur le papier
Dpeint, j’trouvais ça é
A7trange j’dis
Drien
Elle me font marrer ses idées louBmfoques, depuis qu’elle
A7est en
Dcloque
Elle s’réveille la nuit veut bouffer des fraises, elle a des envies balèzes.
Moi j’suis au p’tits soins, je m’défonce en huit, pour qu’elle manque de rien, ma p’tite.
C’est comme si j’pissais dans un violoncelle, comme si j’existais plus pour elle.
Je m’retrouve planté tout seul dans mon froc, depuis qu’elle est en cloque.G Em F#m Bm G A7 D(intermezzo)
Le soir elle tricote en buvant d’la verveine, moi j’démèle ses p’lotes de laine.
Elle use les miroirs à s’regarder d’dans à s’trouver bizarre tout l’temps.
J’lui dis qu’elle est belle comme un fruit trop mûr, elle croit qu’j’m’fous d’elle c’est sûr.
Faut bien dire c’qui est moi aussi j’débloque, depuis qu’elle est en cloque.
Faut qu’j’retire mes grolles quand j’rentre dans la chambre du p’tit rossignol qu’elle couve.
C’est qu’son p’tit bonhomme qu’arrive en décembre, elle le protège comme une louve.
Même le chat pépère elle en dit du mal, sous prétexte qu’y perd ses poils.
Elle veut plus l’voir traîner autour du paddock, depuis qu’elle est en cloque.G Em F#m Bm G A7 D(intermezzo)
Quand j’promène mes mains d’l’autre côté d’son dos, j’sens comme des coups d’poing ça bouge.
J’lui dis : ‘T’es un jardin une fleur un ruisseau’, alors elle devient toute rouge.
Parfois c’qui m’désole c’qui m’fait du chagrin, quand j’regarde son ventre et l’mien.
C’est qu’même si j’dev’nais pédé comme un phoque, moi j’s’rais jamais en cloque.
en filant ma quenouille •Kate & Anna McGarrigle - French Record 1980traditionel de Quebec
Mon Eb
père aussi Ab
m’a mariBb
éeEb
gai lon la je m’en Ab
vais rouBb
ler
un Eb
incivile il Ab
m’a donné
je me Froule,
Bb
rouleEb
Gai lon la je m’en Ab
vais rouler en Eb
filant ma queBb
nouEb
illeEb Ab Bb Eb Ab Bb Eb Ab F Bb Eb Ab Eb Bb Eb
(instrumental)
Un Eb
incivile il Ab
m’a donBb
néEb
gai lon la je m’en Ab
vais rouBb
ler
qui Eb
n’a ni maille Ab
ni denier
je me Froule,
Bb
rouleREFRAIN
Qui Eb
n’a ni maille Ab
ni deBb
nierEb
gai lon la je m’en Ab
vais rouBb
ler
qu’un Eb
vieux bâton de Ab
vert pommier
je me Froule,
Bb
rouleREFRAIN
Qu’un Eb
vieux bâton de Ab
vert pomBb
mierEb
gai lon la je m’en Ab
vais rouBb
ler
aEb
vec quoi m’en bat Ab
les côtés
je me Froule,
Bb
rouleREFRAIN
AEb
vec quoi m’en bat Ab
les côBb
tésEb
gai lon la je m’en Ab
vais rouBb
ler
Si Eb
vous m’ battez, je Ab
m’en irai !
je me Froule,
Bb
rouleREFRAIN
Si Eb
vous m’ battez, je Ab
m’en iBb
rai !Eb
gai lon la je m’en Ab
vais rouBb
ler
Dans Eb
la rivière Ab
me noyer
je me Froule,
Bb
rouleREFRAIN
Dans Eb
la rivière Ab
me noBb
yerEb
gai lon la je m’en Ab
vais rouBb
ler
Et Eb
vous battrez qui Ab
vous voulez
je me Froule,
Bb
rouleCHORUSEb
Gai lon la je m’en Ab
vais rouler en Eb
filant ma queBb
nouEb
ille
enfants de tous pays Jacques Demarny & Pascal René Blanc ™ Enrico Macias
Enfants de Fm7tous pa
Bb7ys tendez vos
Eb
mains meurCmtries,
semez l’aFmmour et
Bb7puis donnez la
Eb
vie. C7
Enfants de Fmtous pa
Bb7ys et de tou
Eb
tes couCmleurs,
vous avez Fmdans le
Bb7coeur notre bon
Eb
heur.
C’est dans vos Abmmains que de
Ebmmain notre
F7/9terre
seBb7ra con
Ebmfié pour sor
Gb
tir de Abmnotre
Bb7nuit
Ebmet notre es
Abmpoir de re
Ebmvoir la lu
F7/9mière
est Bb7dans vos
Ebmyeux qui s’é
Abmveill’nt à la
Bb7vie.
Séchez vos Abmlarmes,
Bb7jetez vos
Ebmarmes, faites du
F7/9monde
Bb7-9un pa
Bb7ra-
Eb
dis. C7
REFRAIN
Il faut penAbmser au pas
Ebmsé de nos
F7/9pères
et Bb7aux pro
Ebmmesses qu’ils
Gb
n’ont jaAbmmais te
Bb7nues
Ebmla véri
Abmté c’est d’ai
Ebmmer sans fron
F7/9tières
et Bb7de don
Ebmner chaque
Abmjour un peu
Bb7plus,
car la saAbmgesse
Bb7et la ri
Ebmchesse n’ont qu’une a
F7/9dresse:
Bb7-9le pa
Bb7ra-
Eb
dis. C7
REFRAIN
Et puis un Abmjour, ou l’a
Ebmmour sur la
F7/9terre
deBb7viendra
Ebmroi, vous pour
Gb
rez vous Abmrepo
Bb7ser
Ebmlorsque la
Abmjoie couvri
Ebmra nos pri
F7/9ères,
vous Bb7aurez
Ebmdroit a votre
Abméterni
Bb7té
et tous les Abmrises
Bb7de votre em
Ebmpire feront du
F7/9monde
Bb7-9un pa
Bb7ra-
Eb
dis. C7
REFRAIN
F7/9x o
1 1 1II
24
Bb7-9x o o
1 2 3
est-ce que tu la sens? Elmer Food Beat
Ce matin, dans ma salle de bains,
le zguègue entre les mains, j’ai bien du chagrin.
Hier soir encore, j’ai poussé si fort.
Mais jamais de la nuit, j’ai entendu un cri!
Est-ce que tu la sens? Rentrer dans ton corps? Est-ce que tu la sens? Je fais tant d’efforts.
Est-ce que tu la sens? Rentrer dans ton corps? Est-ce que tu la sens? Je fais tant d’efforts.
Car cette nuit j’essaierai encore
de te faire hurler: «Fais-moi mal, Roger!»
ça y est enfin, tu hurles à la mort.
Tu reconnais le plus fort et tu cries si fort:
Oui, je la sens bien. Rentrer dans mon corps. Oui, je la sens bien. T’as fait tant d’efforts.
Oui, je la sens bien. Avancer plus loin et me faire du bien et me faire du bien.
et maintenant •Pierre Delanoë ™ Gilbert Bécaud
Et mainteFnant que vais-je
Bb6fai
Fre
de tout ce Gmtemps que sera ma
FM7vie,
F6de tous ces
Fgens, qui m’indif
Bb6fè
Frent,
mainteGmnant que tu es par
Ftie.
Toutes ces Gmnuits,
C7pourquoi, pour
Am7qui?
Dm7Et ce ma
Gmtin,
C7qui revient pour
Frien.
Mon coeur qui Bbm7bat,
Eb7pour qui, pour
AbM7quoi?
DbM7qui bat trop
Bbm6fort,
BDIM
trop Gm6fort.
C7
Et mainteFnant que vais-je
Bb6fai
Fre?
Vers quel néGmant glissera ma
FM7vie?
F6Tu m’as lais
Fsé la terre en
Bb6tiè
Fre,
mais la Gmterre sans toi c’est pe
Ftit.
Vous mes aGmmis,
C7soyez gen
Ftils.
Dm7Vous savez
Gmbien,
C7que l’on n’y peut
Frien.
Même PaBbm7ris
Eb7crève d’en
AbM7nui.
DbM7Toutes ses
Bbm6rues
BDIM
me Gm6tuent.
C7
Et mainteFnant que vais-je
Bb6fai
Fre?
Je vais en Gmrire pour ne plus pleu
FM7rer.
F6Je vais brû
Fler des nuits en
Bb6tiè
Fres.
Au maGmtin je te haï
Frai.
Et puis un Gmsoir,
C7dans mon mi
Froir,
Dm7Je verrai
Gmbien
C7la fin du che
Fmin.
Pas une Bbm7fleur et
Eb7pas de
AbM7pleurs
DbM7au mo
Bbm6ment de l’a
AbM7dieu
Je n’ai vraiFment plus rien à
Bb6fai
Fre.
Je n’ai vraiGmment
C7plus
Frien.
Bb6
1 1 1 1 1 1
3 3 3 3
F6x
1 1 1 1 1III
3 4
Bbm6
1 1 1 1 1 1VI
2 3 4
BDIMx x o o
1 2
Gm6
1 1 1 1 1 1III
2 3 4
et pourtant •Charles Aznavour ™ Georges Garvarentz
Un beau maF6tin je sais que je m’éveillerai
différemDmment de tous les autres jours
et mon Bb
coeur délivré enfin Fde notre amour
et pourG7tant, et pour
C7tant.
Sans un reF6mord, sans un regret, je partirai
droit devant Dmmoi, sans espoir de retour.
Loin des Bb
yeux, loin du coeur, j’oublieFrai pour toujours
et ton Gm6corps, et tes
A7bras et ta
Dmvoix,
Bb6mon
C7a-
Fmour.
Dm7Et pour
Gm7tant, pour
C7tant je
F6n’aime que
Dm7toi.
Et pourGm7tant, pour
C7tant je
F6n’aime que
Dm7toi.
Et pourGm7tant, pour
C7tant je
F6n’aime que
Dm7toi.
Et porBb
tant...
J’arracheF6rai sans une larme sans un cri
les liens seDmcrets qui déchirent ma peau.
me libéBb
rant de toi, pour trouFver le repos
et pourG7tant, et pour
C7tant.
Je marcheF6rai vers d’autres cieux, d’autres pays
en oubliDmant ta cruelle froideur.
Les mains Bb
plaines d’amour, j’offriFrai au bonheur
et les Gm6jours et les
A7nuits et la
Dmvie
Bb6de
C7mon
Fcoeur.
REFREIN
Il faudra F6bien que je retrouve ma raison.
Mon insouDmciance et mes éclats de joie,
que je Bb
parte à jamais pour éFchapper à toi
et pourG7tant, et pour
C7tant.
Dans d’autres F6bras, quand j’oublierai jusqu’à ton nom,
quand je pourDmrai repenser l’avenir,
tu devienBb
dras pour moi qu’un Flointain souv’nir,
quand mon Gm6mal et ma
A7peur et mes
Dmpleurs
Bb6vont
C7fi-
Fnir.
REFREIN
F6x
1 1 1 1 1III
3 4
Gm6
1 1 1 1 1 1III
2 3 4
Bb6
1 1 1 1 1 1
3 3 3 3
et si tu n’existais pas Joe DassinPierre Delanoë & Claude Lemesle ™ Salvatore Cutugno & Pasquale Losito
GmEt si tu n’existais pas, dis-moi pourqoui j’ex
Cmisterais
pour traîner dans un monde sans D7toi, sans espoir et
Gmsans regrets.
Gmet si tu n’existais pas, j’essaierais d’inven
Cmter l’a
Cm6mour
comme un Cmpeintre qui voit sous ses
F7doigts naître les cou
Bb
leurs du jour et qui n’en D7revient pas.
GmEt si tu n’existais pas, dis-moi pourqoui j’ex
Cmisterais,
des passantes endormies dans mes D7bras que je n’aime
Gmrais jamais.
GmEt si tu n’existais pas, je ne serais qu’un
Cmpoint de
Cm6plus
dans ce Cmmonde qui vient et qui
F7va, je me senti
Bb
rais perdu, j’aurais beD7soin de toi.
GmEt si tu n’existais pas, dis-moi comment j’ex
Cmisterais,
je pourrais faire semblant d’être D7moi, mais je ne se
Gmrais pas vrai.
GmEt si tu n’existais pas, je crois que je l’au
Cmrais trou
Cm6vé
le seCmcret de la vie, le pour
F7quoi simplement pour
Bb
te créer er pour te D7regarder.
Cm6
1 1 1 1 1 12
3 4
évidemment France GallMichel Berger 1987
FY’a comme un
Gm7goût amer en
Fnous
Gm7
FComme un goût
Gm7de poussière dans
Bb
toutGmEt la co
Amlère qui
Cnous suit partout
FY’a des si
Gm7lences qui disent
Fbeaucoup
Gm7
FPlus que tous
Gm7les mots qu’on a
Bb
voueGmEt toutes ces
Amquestions qui ne
Ctiennent pas debout
CÉvide
Fment,
Cévidemment
F
Bb
On danse enDmcore
Sur les acAmcords
Qu’on aimait Gmtant
CÉvide
Fment, évidem
Cment
F
Bb
On rit enDmcore
Pour des bêAmtises
Comme des enGmfants
CMais pas comme a
Fvant
FEt ces ba
Gm7tailles dont on se
Ffout
Gm7
FC’est comme
Gm7une fatigue, un dé
Bb
goût GmÀ quoi ça
Amsert de
Ccourir partout
FOn garde
Gm7cette blessure en
Fnous
Gm7
FComme une é
Gm7claboussure de
Bb
boue GmQui n’change
Amrien,
Cqui change tout
REFRAINCPas comme a
Fvant
fais comme l’oiseau Michel FugainPierre Delanoë ™ Antonio Carlos & Jocafi
Fais G6com
Bmme l’oi
FM7seau:
E7
ça Amvit d’air pur et d’eau fraîche, un oi
Cm6seau,
Dd’un
G6peu de chasse et de
Bmpêche, un oi
FM7seau,
E7
mais Amjamais rien ne l’empêche, l’oi
Cm6seau
D7d’aller plus
Gmhaut.
Mais Gm7je suis seul dans l’Uni
Cmvers.
J’ai F7peur du ciel et de l’hi
BbM7ver.
J’ai peur des EbM7fous et de la
AbM7guerre.
J’ai peur du D7temps qui passe,
Gmdis
comGm7ment peut on vivre aujour
Cmd’hui
dans F7la fureur et dans le
BbM7bruit.
Je ne sais EbM7pas, je ne sais
AbM7plus, je suis per
D7du.
REFRAIN
Et l’amour dont on m’a parlé,
cet amour que l’on m’a chanté,
ce sauveur de l’humanité,
je n’en vois pas la trace, dis
comment peut on vivre sans lui,
sous quelle étoile, dans quel pays.
Je n’y crois pas, je n’y crois plus, je suis perdu.REFRAIN
Mais j’en ai marre d’être roulé
par des marchands de liberté
et d’écouter se lamenter
ma gueule dans la glace, dis
est-ce que je dois montrer les dents,
est-ce que je dois baisser les bras?
Je n’y crois pas, je n’y crois plus, je suis perdu.REFRAINBbM7
EbM7haut,
AbM7
GM7haut.
G6x
1 1 1 1 1V
3 4
FM7
1 1 1 1 1 12
3 4
Cm6
1 1 1 1 1 12
3 4
BbM7
1 1 1 1 1 12
3 4
EbM7x
1 1 1 1 1
2 3 4
AbM7
1 1 1 1 1 1IV
2 34
GM7
1 1 1 1 1 1III
2 34
for me, formidable •Charles Aznavour (1964)
C C+ C6 C7 CM7 C7 C6 C+
(intro)
You are the one for Cme,
C+
For me, C6for me,
C7formida
CM7ble.
C7 C6 C+
You are my friend veCry,
C6
VeC7ry, very,
CM7véri
C6ta
CM7ble.
C6
Et je vouAmdrais pou
AmM7voir un
Am7jour en
Am6fin de le
Emdire,
Te l’éDm7crire
Dans la Dm7lan
Em7gue
F6de
G6Shake
F#6spea
F6re.
CMy twin,
C6my twin,
C7twin
CM7ning,
CM7jume
C7la
C6ge,
C
Je suis malheureux d’aCvoir si peu de
E7mots
À E7t’offrir en cadeau.
Am
Dollar, I E6love
F6you, love you,
CDIM
Dollar, I want you, C6
Et puis c’est à A+
peu près tout!A7
You are the one for D9me,
For D9me, for me, formi
Dm7da-
G7a-
Cble.
C6
You are the one for me,
For me, for me, formidable.
But how can you see me,
See me, see me, si minable.
Je ferais mieux d’aller choisir mon vocabulaire
Pour te plaire
Dans la langue de Molière.
Toi, ton castle, ton river, ton burnside adorables...
Tu n’as pas compris ? tant pis, ne t’en fais pas
Et viens-t’en dans mes bras !
Darling, I love you, love you,
Darling, I want you,
Et puis le reste on s’en fout !
You are the one for me,
For D9me, for me, formi
Dm6da-a-
E7ble.
Je me demande F6même
CDIM
Pourquoi je t’aime,C6
Toi qui te moque de A+
moi et de toutA7
Avec ton Dm7air ca
CDIM
naille, caC6naille, ca
CDIM
naille,
How can Dm7I
Db7love
Cyou?
C+
C6 C7 G C
C+o o
1 23
4
C6o o
12 3
4
AmM7
2 34
Am6o o
12 3 4
F6x
1 1 1 1 1III
3 4
G6o o o o
23
F#6x
1 1 1 1 1IV
3 4
E6x
1 1 1 1 1II
3 4
A+x o
12 3
4
D9o o o
12 3
Dm6o o o
13
heureusement qu’il y a de l’herbe •Georges Moustaki
Il y Cma des chansons qui reviènent, comme revient le moi de
Gmai.
Chansons d’amour vieille rangaine où toujours rim’avec jaCmmais.
Je veux sur la même musique parCm7ler du monde d’aujour
Fmd’hui.
Mi-souriant, mi-nostalCmgique, con
Gclurant déclarant ce
G7ci:
HeuCreusement qu’il y a de l’herbe dans nos villes polu
Gées.
Et que la nature est superbe quand elle pouss’en seCcret.
Et ce n’est pas demain la veille qu’on C7viendra nous l’arra
Fcher.
Un Fmpeu d’amour et de so
Cleil suf
Gfit à la faire pous
Cser.
Un Fmpeu d’amour et de so
Cleil suf
Gfit à la faire pous
Cser.
Fm Cm G Cm G Cm
Oui, Cmje voudrais en quelques strophes livrer messages et dis
Gcours.
Et êtr’un nouveau philosophe en allant chanter dans les Cmcours.
Avec mon piano à (ma guitare sans) bretelle viCm7rer de pays en
Fmpays.
Rependre la bonne nouCmvelle et
Gfaire un peut d’écolo
G7gie.
REFRAIN
Et Cmsi par maleur je m’éssouffle à vouloir tout dire en chan
Gtant.
Je me mettrai dans mes pantouffles, je m’arrêterai quelque Cmtemps.
Mais comme revient l’hirondelle un Cm7jour à la belle sai
Fmson,
je reviendrai à tire Cmd’aile, cé
Glébrer pelous’ et ga
G7zon.
REFRAIN
HeuFmreusement qu’il y a de
Cl’herbe, elle
Gest douce si t’as fu
Cmé.
Fm Cm G Cm G Cm
hier encore •Charles Aznavour
Dm Gm Dm Gm Dm Gm Dm(intro)
Hier enGmcore, j’avais vingt
Cans je caressais le
Ftemps.
J’ai joué de la Bb
vie comme on joue de l’aGmmour
et je vivais la Anuit, sans compter sur mes
Dmjours qui fuyaient dans le temps.
J’ai fait tant de proGmjets qui sont restés en
Cl’air.
J’ai fondé tant d’esFpoirs qui se sont envo
Bb
lés,
que je reste perGmdu, ne sachant où al
Aler,
les yeux cherchant le Dmciel, mais le coeur mis en terre.
Hier enGmcore, j’avais vingt
Cans, je gaspillais le
Ftemps
en croyant l’arrêBb
ter et pour le reteGmnir,
même le devanAcer je n’ai fait que cou
Dmrir et m’suis essouflé.
Ignorant le pasGmsé, conjugant au fu
Ctur,
je précédais de Fmoi toute conversa
Bb
tion
et donnais mon aGmvis que je voulais le
Abon
pour critiquer le Dmmonde avec désinvolture.
Hier enGmcore, j’avais vingt
Cans mais j’ai perdu mon
Ftemps
à faire des foBb
lies qui me laissent au Gmfond,
rien de vraiment préAcis, que quelques rides au
Dmfront et la peur de l’ennui.
Car mes amours sont Gmmortes avant que d’exis
Cter.
Mes amis sont parFtis et ne reviendront
Bb
pas.
Par ma faute j’ai Gmfait le vide autour de
Amoi
et j’ai gâché ma Dmvie et mes jeunes années.
Du meilleur et du Gmpire en jettant le meil
Aleur
j’ai figé mes souDmrires et j’ai glacé mes
Gmpleurs.
Où sont-ils à préAsent, à présent, mes vingt
Dmans...
il est cinq heures Jacques Dutronc & Anne Ségalen
AmJe suis le dauphin de la place Dau
Dmphine
Et la place blanche à mauvaise Cmine
E7
AmLes camions sont pleins de
Dmlait
Les balayeurs sont pleins d’baClais
Il est cinq E7heures, Pa
Aris s’é
Bmveille, Pa
E7ris s’é
Amveille
Les travestis vont se raser
Les streap-teaseuses sont rhabillées
Les traversins sont écrasés
Les amoureux sont fatiguésREFRAIN
Le café est dans les tasses
Les cafés nettoient leurs glaces
Et sur le boulevard Montparnasse
La gare n’est plus qu’une carcasseREFRAIN
Les banlieusards sont dans les gares
A la Vilette on tranche le lard
Paris by night regagne les cars
Les boulangers font des bâtardsREFRAIN
La Tour Eiffel a froid au pied
L’Arc de Triomphe est ranimé
Et l’Obélisque et bien dressé
Entre la nuit et la journéeREFRAIN
Les journaux sont imprimés
Les ouvriers sont déprimés
Les gens se lèvent ils sont brimés
C’est l’heure où je vais me coucherAmIl est 5 heures, Paris se
Bmlève
Il est cinq E7heures, je n’ai pas som
Ammeil
FM7 Am
il est trop tard Georges Moustaki
CPendant que je dor
G7mais, pendant que je rê
Cvais,
les aiguilles ont tourG7né, il est trop
Ctard.
C7
Mon enfance est si Floin,
FM7
Dmil est déjà de
Emmain.
G7
Passe, passe le Ctemps, il n’y en a
Fplus pour
G7très long
Ctemps
CPendant que je t’ai
G7mais, pendant que je t’a
Cvais,
l’amour s’en est alG7lé, il est trop
Ctard.
C7
Tu étais si joFlie,
FM7
Dmje suis seul dans mon
Emlit.
G7
Passe, passe le Ctemps, il n’y en a
Fplus pour
G7très long
Ctemps.
CPendant que je chan
G7tais, ma chère liber
Cté,
d’autres l’ont enchaiG7née, il est trop
Ctard.
C7
Certains se sont batFtus,
FM7
Dmmoi je n’ai jamais
Emsu.
G7
Passe, passe le Ctemps, il n’y en a
Fplus pour
G7très long
Ctemps.
CPourtant je vis tou
G7jours, pourtant je fais l’a
Cmour,
m’arrive même de chanG7ter sur ma gui
Ctare.
C7
Pour l’enfant que j’éFtais,
FM7
Dmpour l’enfant que j’ai
Emfait
G7
passe, passe le Ctemps, il n’y en a
Fplus pour
G7très long
Ctemps.
CPendant que je dor
G7mais, pendant que je t’ai
Cmais,
Pendant que je rêG7vais, il était encore
Ctemps.
FM7
1 1 1 1 1 12 3
4
il était une fois nous deux •Joe DassinPierre Delanoë & Claude Lemesle ™ Salvatore Cutugno
EmSouviens
Amtoi, c’était un jeudi.
D7Souviens
Gtoi on avait suivi
Cle chemin des
Emamoureux. C’était il é
F#
tait une B7fois nous deux.
EmSouviens
Amtoi, c’était le grand jour.
D7Le grand
Gpas vers le grand amour.
CC’était encore
Emmieux que ça. C’é
F#
tait nous deux il B7était une fois.
Em
EmUn motel sur la route du port un
Amsoir banal.
D7Le client, un veilleur s’endort sur
Gson journal.
EmIl nous tend à chacun une clé, nous
Amdit bonsoir.
D7Le matin on avait réservé des chambres à
Gpart.
On n’ose D7pas montrer qu’on
Ems’aime à dix huit
B7ans à peine.
REFRAINEmOn a pris le quatorze au hasard, un
Ampeu gêné.
D7Puis ta robe a glissé dans le noir, on
Gs’est aimé.
EmQuand plus tard le garçon est venu nous appor
Amter l’café,
D7d’un sourire entendu, tu t’est ca
Gchée.
Il n’a pas D7vu que tu pleu
Emrais l’enfance
B7qui s’en allait.
REFRAIN
il venait d’avoir 18 ans•
Michelle RichardPascal Sevran & S. Lebrail ™ P. Auriat & J. Bouchety
CIl venait d’avoir dix-huit
Gans
Il était Dmbeau comme un en
Gfant, fort comme
Chomme
CC’était l’été évidem
Gment
Et j’ai compDmté, en le vo
Gyant, mes nuits d’au
Ctomne
AmJ’ai mis de l’ordre à mes che
Dmveux
un peu de Gnoir sur mes
Cyeux, ça l’a fait
Amrire
AmQuand il s’est approché de
Dmmoi
j’aurais donGné n’importe
Cquoi pour le sé
Dmduire...
G
CIl venait d’avoir dix-huit
Gans
C’était le Dmplus bel argu
Gment de sa vic
Ctoire
CIl ne m’a pas parlé d’a
Gmour
Il pensait Dmque les mots d’a
Gmour sont déri
Csoires
AmIl m’a dit j’ai envie de
Dmtoi
Il avait Gvu au ciné
Cma le blé en
Amherbe
AmAu creux d’un lit improvi
Dmsé
j’ai découGvert émerveil
Clée un ciel su
Dmperbe
G
CIl venait d’avoir dix-huit
Gans
ça le renDmdait presque inso
Glent de certi
Ctudes
CEt pendant qu’il se rhabil
Glait
déjà vainDmcue je retrou
Gvais ma soli
Ctude
AmJ’aurais voulu le rete
Dmnir
pourtant je Gl’ai laissé par
Ctir sans faire un
Amgeste
AmIl m’a dit c’était pas si
Dmmal
avec la canGdeur infer
Cnale de sa jeu
Dmnesse
G
AmJ’ai mis de l’ordre à mes che
Dmveux
un peu plus de Gnoir sur mes
Cyeux par habi
Amtude
AmJ’avais oublié simple
Dmment
que j’avais Gdeux fois dix-huit
Amans
j’ai oublié de vivre•
Johnny HalidayPierre Billon ™ Jacques Revaux
C F C F Dm G(intro)CÀ force de briser dans mes mains des gui
Dmtares
GSur des scènes violentes sous des lumières bi
Czarre
CÀ force de
C7forcer ma force à cet ef
Ffort
Pour faire bouger mes Cdoigts pour faire vibrer mon
Bb
corpsG
CÀ force de laisser la sueur brûler mes
Dmyeux
GÀ force de crier mon amour jusqu’aux
Ccieux
CA force de je
C7ter mon coeur dans un mi
Fcro
Portant les projecCteurs
G7comme une croix dans le
Cdos
F C
J’ai oublié de Dmvivre.
G
J’ai oublié de Fvi-
Ci-
Gi-
Cvre.
CÀ force de courir la terre comme un é
Dmclair
GBrisant les murs du son en bouquets de la
Csers
CÀ force de je
C7ter mes trésors aux bra
Fsiers
Brûlant tout en un Ccoup pour vous faire cri
Bb
erG
CÀ force de changer la couleur de ma
Dmpeau
GMa voix portant les cris qui viennent du ghet
Cto
CÀ force d’être in
C7dien Hell’s Angels ou bo
Fhême
L’amour dans une Cmain
Fet dans l’autre la
Chaine
F C
REFRAINCÀ force de briser dans mes mains des gui
Dmtares
GSur des scènes violentes sous des lumières bi
Czarres
CÀ force d’oub
C7lier qu’il y a la socié
Fté
M’arrachant du somCmeil pour me faire
Bb
chanterG
CÀ force de courir sur les routes du
Dmmonde
GPour les yeux d’une brune ou le corps d’une
Cblonde
CÀ force d’être en
C7fin sans arrêt le cou
Fpable
Le voleur le pilCleur
Fle violent admi
Crable
F C
REFRAIN
REFRAINC F C F Dm G
j’ai tout oublié •Marc Lavoine & Cristina MaroccoMarc Lavoine
C#m G#m(intro)C#mÀ deux pas d’ici, j’habite,
F#mpeut-être est-ce ailleurs
C#mJ’n’reconnait plus ma vie, par
F#mfois je me fais peur
G#7Je vis dans un
G#
monde qui n’eC#mxiste
C#m7pas
ASans toi je ne suis plus tout à fait
G#
moi...
C#mÀ deux pas d’ici j’ai éga
F#mré ce que j’étais
C#mMon nom ne me dis rien, ni la pho
F#mto sur mes papiers
G#7On peut bien m’appe
G#
ler unC#mtel ou un
C#m7tel
ASans toi peu m’importe qui m’ap
G#
pelle...C#mComment dit-on bonjour, je ne
F#msais plus.
BLe parfum des beaux jours, je n’le
Esens plus.
AComment fait-on l’amour, si j’a
F#mvais su.
J’ai tout oubliC#mé, quand tu m’as ou
G#7bli
G#
é...C#mLes mots doux de velours, je ne
F#mcrie plus.
BEt le sens de l’humour, je l’ai
Eperdu.
AComment faire l’amour, si j’a
F#mvais su.
J’ai tout oubliC#mé, quand tu m’as ou
G#7bli
G#
é...C#mA deux pas d’ici, j’ai essa
F#myé de revenir,
C#mde mettre un peu d’ordre à mes i
F#mdées, les rafraîchir.
G#7Je m’suis coupé
G#
les cheveux, j’ai C#mrasé les
C#m7murs.
ACe que j’ai fait, je n’en suis pas
G#
sûre...CHORUSC#mTu tu tu
F#mtu tu
BTududu tu tu
Etu tu
ATududu tu tu
F#mtu tu
J’ai tout oubliC#mé, quand tu m’as ou
G#7bli
G#
é...C#mTu tu tu
F#mtu tu
BTududu tu tu
Etu tu
ATududu tu tu
F#mtu tu
J’ai tout oubliC#mé, quand tu m’as ou
G#7bli
G#
é...
j’aime les filles •Jacques Lanzmann ™ Jacques Dutronc
J’aime les Bm7filles de chez Cas
E7tel
J’aime les A6filles de chez Rég
F#mine
J’aime les Bm7filles qu’on voit dans
E7Elle
J’aime les filAles des ma
E7gazines
A
J’aime les filles de chez Renault
J’aime les filles de chez Citroën
J’aime les filles des hauts fourneaux
J’aime les filles qui travaillent à la chaîneBm7 Si vous êt’s comm’
E7ça
Téléphonez-Amoi,
A6 Si vous êtes comm’
Bmci
E Téléphonez
Ame
J’aime les filles à dot
J’aime les filles à papa,
J’aime les filles de Loth,
J’aime les filles sans papa,
J’aime les filles de Megève
J’aime les filles de Saint-Tropez,
J’aime les filles qui font la grève,
J’aime les filles qui vont camperREFRAIN
J’aime les filles de la Rochelle,
J’aime les filles de Camaret
J’aime les filles intellectuelles
J’aime les filles qui m’font marrer
J’aime les filles qui font vieille France
J’aime les filles de Cinéma
J’aime les filles de l’Assistance
J’aime les filles dans l’embarras
Si vous êt’s comme ça
Téléphonez-moi,
Si vous êt’s comm’ci
Téléphonez-me
Si vous êt’s comme ça
Téléphonez-moi,
Si vous êt’s comm’ci
Téléphonez me
jardin extraordinaire Charles Trenet
C’est Bb
un jardin Cmextraordinaire. Il y a
Bb
des canards qui Cparlent anglais.
Je leur Bb
donne du pain ils reCmmuent leur derrière
en m’diBb
sant ‘Thank you very F7SUS
much Monsieur TreBb
net.’
On y Cvoit aussi des
Fstatues, qui se tiennent tran
Gm6quilles tout le jour
Adit-on.
Mais Dmmoi je sais que dès la nuit venue, elles s’en vont danser sur le ga
Fzon.
Papa, c’est Bb
un jardin Cmextraordinaire. Il y a
Bb
des oiseaux qui Ctiennent un buffet.
Ils Bb
vendent du grain des Cmpetits morceaux de gruyère
comme Bb
clients ils ont Monsieur le F7SUS
maire et le Sous-PréBb
fet.
Il fallait Cbien trouver dans cette grande ville maussade où les touristes s’ennuient au fond de leurs autocars
Il fallait bien trouver un lieu pour la promenade, j’avoue que ce samedi-là je suis entré par hasard
Dans, Bb
dans, dans un jardin extraordinaire, loin des noirs buildings et des passages cloutés
Y avait un bal qu’donnaient des primevères dans un coin d’verdure
deux petites grenouilles chantaient
Une Cchanson pour saluer la lune, dès que celle-ci parut toute rose d’émotion
Elles entonnèrent je crois la valse brune, une vieille chouette me dit: ‘Quelle distinction!’
Maman, Bb
dans ce jardin extraordinaire je vis soudain passer la plus belle des filles
Elle vint près de moi et là me dit sans manières:
‘Vous me plaisez beaucoup j’aime les hommes dont les yeux brillent!’
Il falClait bien trouver dans cette grande ville perverse une gentille amourette un petit flirt de vingt ans
Qui me fasse oublier que l’amour est un commerce dans les bars de la cité, oui mais oui mais pas dans...
Dans, Bb
dans, dans mon jardin extraordinaire, un ange du Bizarre un agent nous dit
Etendez-vous sur la verte bruyère,
je vous jouerai du luth pendant que vous serez réunis
Cet aCgent était un grand poète, mais nous préférions Artémise et moi
La douceur d’une couchette secrète, qu’elle me fit découvrir au fond du bois
Pour Bb
ceux qui veulent savoir où ce jardin se trouve, il est vous le voyez au coeur de ma chanson
J’y vol’ parfois quand un chagrin m’éprouve,
il sufBb
fit pour ça d’un peu d’iF7SUS
maginaBb
tion!
Il suffit pour ça d’un peu d’imagination!
Il suffit pour ça d’un peu d’imagination!
j’attends Yves Duteil
J’attends les grands sommets de la plus haute étoile
ou déposer ton coeur pour le garder vivant.
J’attends de traverser la vie de salle en salle
de couloirs en entrées de fauteuils en divans.
J’attends de reposer sans peine et sans angoisse
auprès de ton amour qui traverse les ans.
J’attends de rassembler les morceaux de l’espace
ou nous vivrons nous deux jusqu’à la fin des temps.
J’attends que l’univers se reduise à nos coeurs
afin d’être à l’abri des méchants et des faux.
J’attends que nos instants s’éternisent en des ages
et que le fil du temps s’embrouille autour de nous.
J’attends que le printemps fleurisse la chaumière
où je t’emmènerai passer l’éternité.
J’attends que le soleil soit fait de la lumière
et qu’une nuit d’hiver se transforme en été.
J’attends que tous les bruits ne soient plus que musique
et le fond de la terre une source de miel.
Et j’attends que j’aillisse un jeser fantastique
entrainant nos élans jusqu’au plus haut du ciel.
C’est toi que le monde alors ressemblera
et je t’épouserai pour la seconde fois.
j’entends siffler le train Richard Anthony
GJe pensai qu’il valait mieux nous
Cquitter sans un a
D7dieu,
Je n’auAm7rai pas eu le
D7coeur de te re
Gvoir.
Mais j’enGtends siffler le train,
mais j’enAm7tends siffler le
D7train,
que c’est Am7triste un train qui
D7siffle dans le
Gsoir.
GJe pourai t’imaginer toute
Cseule abandon
D7née
sur le Am7quai dans la co
D7hue des au re
Gvoir.
Et j’enGtends siffler le train,
et j’enAm7tends siffler le train,
que c’est Am7triste un train qui
D7siffle dans le
Gsoir.
J’ai failli courir vers toi,
j’ai failli crier vers toi,
c’est à peine si j’ai pu me retenir.
Que c’est loin où tu t’en vas,
que c’est loin où tu t’en vas,
auras tu jamais le temps de revenir.
(intermezzo)
J’ai pensé qu’il valait mieux nous quitter sans un adieu,
mais je sens que maintenant tout est fini.
Et j’entends siffler le train,
et j’entends siffler le train,
j’entendrai siffler ce train toute ma vie,
j’entendrai siffler ce train toute ma vie.
j’me voyais déjà en haut de l’affiche•
Charles Aznavour
G7A dix huit
Cmans j’ai quitté ma pro
G7vince, bien
G7décidé à empoigner la
Cmvie.
Le coeur léger et le bagage G7mince, j’étais certain de conquérir Pa
Cmris.
Chez le tailC7leur le plus chic j’ai fait faire ce complet bleu qu’était du dernier
Fmcri.
Les photos, les chansons Bb
et les orchestraCmtions ont eu rai
Dson de mes écono
Gmies.
Je m’voyais déG7jà en haut de l’af
Cfiche.
En dix fois plus G7gros que n’importe qui, mon nom s’éta
Clait.
Je m’voyais déA7jà adulé et
Dmriche.
Signant mes photos aux admirateurs, qui se bouscuG7laient.
J’étais le plus grand des grands fantaiCsistes.
Faisant un sucG7cès si fort, que les gens m’acclamaient de
Cbout.
Je m’voyais déA7jà cherchant dans ma
Dmliste.
Celle qui ce soir pourrait par faG7veur se pendre à mon
Ccou.
Mes traits ont veilE7li bien sûr sous mon maquil
Amlage,
mais la voix est E7là, le geste est précis et j’ai du res
Amsort.
Mon coeur s’est aiD7gri un peu en prenant de
Gl’âge,
mais j’ai des iD7dées, j’connais mon métier et j’y crois en
Gcore
Rien que sous mes pieds de sentir la scène
de voir devant moi un public assis, j’ai le coeur battant
On m’a pas aidé, je n’ai pas eu d’veine,
mais au fond de moi, je suis sûr au moins que j’ai du talent
Mon complet bleu v’la trente ans que je le porte et mes chansons ne font rire que moi
J’cours le cachet, je fais du porte à porte pour subsister je fais n’importe quoi
Je n’ai connu que des succès faciles, des trains de nuits et des filles à soldats
Les minables cachets, les valises à porter, les p’tits meublés et les maigres repas
Je m’voyais déjà racontant ma vie l’air désabusé
A des débutants friands de conseils
J’ouvrais calmement les soirs de première
Mille télégrammes de ce tout Paris qui nous fait si peur
Et mourant de trac devant ce parterre
Entrer sur la scène sous les ovations et les projecteurs
J’ai tout essayé pourtantpour sortir du nombre
J’ai chanté l’amour, j’ai fait du comique et d’la fantaisie
Si tout a raté pour moi, si je suis dans l’ombre
Ce n’est pas ma faute mais celle du public qui n’a rien compris
On ne m’a pas jamais accordé ma chance
D’autres ont réussi avec peu de voix et beaucoup d’argent
Moi j’étais trop pur ou trop en avance
Mais un jour viendra, je leur montrerai que j’ai du talent
j’te l’dis quand même Patrick Bruel
On aurait pu se dire tout ça,
ailleurs qu’au café d’en bas,
que t’allais peut-être partir
et p’t êt’ même pas revenir.
Mais en tout cas c’qui est sûr,
c’est qu’on pouvait en rire.
Alors on va s’quitter comme ça,
comme des cons devant le café d’en bas,
comme dans une série B,
on est tous les deux mauvais.
On s’est moqué tellement d’fois,
des gens qui faisaient ça.
Mais j’trouve pas de refrain à notre histoire.
Tout les mots qui m’viennent sont dérisoires.
J’sais bien qu’j’l’ai trop dis,
mais j’te l’dis quand même ... je t’aime.
J’voulais quand même te dire merci
pour tout le mal qu’on s’est pas dit.
Certains rigolent déjà,
je m’en fous, j’les aimais pas!
On avait l’air trop bien,
y en a qui supportent pas!REFRAIN
je n’aurai pas le temps Michel FugainPierre Delanoë
CHm
GHm
CHm
GHm
CHm Hm Hm Hm
GHm
G7
EHm Hm
AmHm
FJe n’aurais pas le
Ctemps,
Gpas le
Ctemps
CMême en
Gcou
Crant plus
Gvite que le
Cvent plus
Dm7vite que le
Gtemps
G7
E7Même en vo
Amlant
Am7
FJe n’au
Emrais pas le
Ctemps,
G7pas le
Ctemps
CDe
Gvisi
Cter toute l’im
Gmensi
Cté d’un si
Dm7grand uni
Gvers
G7
EMême en cent
Amans
Am7
Fje n’au
Emrais pas le
Ctemps
Gde tout
Cfaire
EJ’ou
B7vre tout grand mon
Emcoeur,
Gj’ai
D7me de tous mes
Gyeux
G7
CC’est
F trop
Cpeu pour
Ftant de
Ccoeurs et
Gtant de
Cfleurs
C7Des mil
Fliers de
Cjours, c’est
Fbien trop
Ccourt, c’est
G7bien trop
Ccourt
CEt
Gpour ai
Cmer, comme
Gl’on doit ai
Cmer quand on
Dm7aime vrai
Gment
G7
EMême en cent
Amans
Am7
Fje n’au
Emrais pas le
Ctemps,
Gpas le
Ctemps
CHm
GHm
CHm Hm Hm
GHm Hm Hm
C
Fje n’au
Emrais pas le
Ctemps,
Gpas le
Ctemps
je pense à toi Axelle RedAxelle Red
G(intro)
GQuand rien ne
Gva, je pense à
Dtoi.
T’es mon soGleil, plus jamais
Cfroid.
Le monde est B7gris, il ne sourit
Empas !
Mon truc à Gmoi,
Dje pense à
Gtoi.
Quand tout est Gtrouble et me dé
Dçoit.
C’est toi qui Gbrille, la pluie s’en
Cva.
Le monde en B7rit ? Toujours
Empas.
Mon truc à Gmoi,
Dje pense à
Gtoi.
Ce maCtin chaque chose me
Gpèse.
Le moinCdre détail devient casse-
Gpied.
J’passe enCcore à côté d’une
Bmbelle jour
Emnée,
aAmlors je pense à
Dtoi.
GQuand rien ne
Gva, je pense à
Dtoi.
T’es mon soGleil, plus jamais
Cfroid.
Le monde est B7gris, il ne sourit
Empas !
Mon truc à Gmoi,
Dje pense à
Gtoi.
(intermezzo)
The sky is Ggrey, you make my
Dday.
The thought of Gyou, clouds move
Caway.
The world’s morB7ning, not happy to
Embe.
I think of Gyou,
Dyou make my
Gday.
J’ai des Cjours où les questions m’ar
Grosent.
La nuit Ctombe et j’en suis toujours
Glà.
J’pense à Ctoi et les fleurs re
Bmprennent leurs cou
Emleurs.
AmJe n’ai plus
Dpeur.
GQuand rien ne
Gva, je pense à
Dtoi.
T’es mon soGleil, plus jamais
Cfroid.
Le monde est B7gris, il ne sourit
Empas !
Mon truc à Gmoi,
Dje pense à
Gtoi.
Quand tout est Gtrouble et me dé
Dçoit.
C’est toi qui Gbrille, la pluie s’en
Cva.
Le monde en B7rit ? Toujours
Empas.
Mon truc à Gmoi,
Dje pense à
Gtoi.
je reviens te chercher•
Gilbert BecaudGilbert Becaud
Gm6 A7-5(intro)DmJe reviens te cher
Gm7cher.
C7
Je savais que tu Fm’attendais.
Dm
Je savais que l’on Gmne pourrait
Se pasBDIM
ser l’un de A7l’autre long
Dmtemps.
Je reviens te cherGm7cher.
C7
Ben tu vois, j’ai pas Ftrop changé.
Dm
Et je vois que de Gmton côté
Tu as BDIM
bien traverA7sé le
Dmtemps.
Tous les Gmdeux
C7on s’est fait la
Amguer
Dmre
Tous les Gmdeux
C7on s’est pil
Flés, volés, ruinés
GDIM
Qui a gagné, qui a perDmdu,
On n’en sait rien, on ne sait G7plus
On se reBb7trouve les mains
A7nues
Mais aDmprès la
Gguerre,
Il nous Dmreste à
Gfaire la
A7paix.
DmJe reviens te cher
Gm7cher.
C7
Tremblant comme un Fjeune marié.
Dm
Mais plus riche qu’aux Gmjours passés
De tenBDIM
dresse et de A7larmes et de
Dmtemps.
Je reviens te cherGm7cher.
C7
J’ai l’air bête sur Fce palier.
Dm
Aide-moi et viens Gmm’embrasser
Un taBDIM
xi est en A7bas qui at
Dmtend.
REFRAIN
Gm6
1 1 1 1 1 1III
2 3 4
A7-5x x
1VII
2 34
l'accordéoniste Edith PiafMichel Emer
Em D C B7 Em D C B7(intro)
La Emfille de
B7joie est
Embelle au
Ccoin de la
B7rue là-
Embas.
Elle Ema une
B7clien
Emtèle, qui
Clui remp
B7lit son
Embas.
Quand Amson bou
Emlot s’a
Amchève, elle
Fs’en va
Eà son
Amtour.
CherAmcher un
Empeu de
Amrêve dans un bal du fau
B7bourg.
Son Emhomme est
B7un ar
Emtiste, c’est
Cun drôle
B7de p’tit
Emgars.
Un Emaccor
B7déo
Emniste, qui
Amsait jouer la ja
B7va.
Elle éEcoute la java, mais elle ne la danse pas, elle ne regarde même pas la
F#mpiste.
Et ses B7yeux amoureux suivent le jeu nerveux et les
F#mdoigts secs et
Bmlongs de l’ar
Etiste.
Ça lui rentre dans la peau, par le bas, par le haut, elle a enE7vie de chanter, c’est phy
Asique.
Tout son B7être est tendu, son souffl’ est suspendu, c’est une vraie tordue de la mu
Esique.
Em D C B7
La Emfille de
B7joie est
Emtriste au
Ccoin de la
B7rue là-
Embas.
Son Emaccor
B7déo
Emniste, il
Cest par
B7ti sol
Emdat.
Quand il Amrevien
Emdra de la
Amguerre, ils
Fprendront
Eune mai
Amson.
Elle Amsera
Emla cais
Amsière et lui sera le pa
B7tron.
Que Emla vie
B7sera
Embelle! Ils se
Cront de
B7vrais pa
Emchas.
Et Emtous les
B7soirs pour
Emelle, il
Amjouera la ja
B7va.
Elle éEcoute la java, qu’elle fredonne tout bas, elle revoit son accordéo
F#mniste.
Et ses B7yeux amoureux suivent le jeu nerveux et les
F#mdoigts secs et
Bmlongs de l’ar
Etiste
Ça lui rentre dans la peau, par le bas, par le haut, elle a enE7vie de pleurer, c’est phy
Asique.
Tout son B7être est tendu, son souffl’ est suspendu, c’est une vraie tordue de la mu
Esique.
Em D C B7
La Emfille de
B7joie est
Emseule au
Ccoin de la
B7rue là-
Embas.
Les Emfilles qui
B7font la
Emgueule, les
Chommes n’en
B7veulent
Empas.
Et Amtant pis
Emsi elle
Amcrève, son
Fhomme ne re
Eviendra
Amplus.
AAmdieux tous
Emles beaux
Amrêves, sa vie elle est fou
B7tue.
PourEmtant ses
B7jambes
Emtristes l’em
Cmènent
B7au boui-
Emboui.
Où y Ema un
B7autre ar
Emtiste, qui
Amjoue toute la
B7nuit.
Elle éEcoute la java… , …elle entend la java
…Elle a fermé les yeux …et les doigts secs et nerveux
Ca lui rentre dans la peau, par le bas, par le haut, elle a enE7vie de gueuler, c’est phy
Asique.
Alors B7pour oublier, elle s’est mise à danser, à tourner au son de la mus
Eique
…Arrêtez !
Arrêtez la musique !
l’aigle noir •Barbara
Un beau Djour ou peut-être
Aune nuit,
Emprès d’un lac, je m’étais
Bendormie.
GQuand soudain, semblant cre
Dver le ciel
et venant Cde nulle part surgit un
Baigle noir.
LenteDment les ailes
Adéployées
EmLentement je le vis
Btournoyer
GPrès de moi dans un bruis
Dsement d’ailes
Comme tomCbé du ciel l’oiseau vint
Bse poser
Il aDvait des yeux cou
Aleur rubis
EmEt des plumes couleur
Bde la nuit
GÀ son front brillant de
Dmille feux
L’oiseau roi Ccouronné portait un di
Bamant bleu
De son Dbec, il a tou
Aché ma joue
EmDans ma main il a glis
Bsé son cou
GC’est alors que je l’ai
Dreconnu
Surgissant Cdu passé il m’était
Brevenu
Dis l’oiDseau, oh dis em
Amène-moi
EmRetournons au pays
Bd’autrefois
GComme avant dans mes rê
Dves d’enfant
Pour cueillir Cen tremblant des étoiles,
Bdes étoiles
Comme Ddans mes rê
Aves d’enfant
EmComme avant sur un nu
Bage blanc
GComme avant allumer
Dle soleil
Être faiCseur de pluie et faire
Bdes merveilles
L’aigle Dnoir dans un bruis
Asement
Emd’ailes
prit son vol pour regagBner le
Gciel,
Equatre plumes couleur
Bde la
F#mnuit,
une larme ou peut-être C#
un Arubis.
J’avais froid, il ne me Erestait rien.
L’oiseau m’aDvait laissée seule avec
C#
mon chagrin.
Un beau Djour ou peut-être
Aune nuit,
Emprès d’un lac, je m’étais
Bendormie.
GQuand soudain, semblant cre
Dver le ciel
et venant Cde nulle part surgit un
Baigle noir.
l’amérique Joe Dassin
GMes amis, je dois
Bmm’en aller.
Je Emn’ai plus qu’à jeter
Bmmes clés,
car Emelle m’attend depuis
Amque je suis né,
D7l’AmériqueGJ’abandonne sur
Bmmon chemin.
EmTant de choses que j’aim
Bmais bien.
CeEmla commence par un
Ampeu de chagrin,
D7l’Amérique
L’GAmérique, l’Amérique,
je Bmveux l’avoir et je l’
D7aurai.
L’GAmérique, l’Amérique,
si Bmc’est un rêve je
D7le saurai.
Tous les Emsifflets des trains,
tout’s les siDrènes des bateaux,
m’ont Am7chanté cent fois la chanson
D7de l’Eldorado,
Eml’Amérique.
GLes amis je vous
Bmdis ‘adieu’.
Je Emdevrais pleurer
Bmun peu.
ParEmdonnez-moi si je n’ai
Amdans les yeux,
D7que l’Amérique.GJe reviendrai je ne
Bmsais quand,
Emcousu d’or et bro
Bmdé d’argent.
EmOu sans un sous mais plus ri
Amche qu’avant,
D7de l’Amérique
REFRAINGL’Amérique, l’Amérique
Je veux Bml’avoir et je
D7l’aurai
GL’Amérique, L’Amérique (ter)
Si c’Bmest un rêve je
D7le saurai
Si c’est un rêve je le rêverai
Si c’est un rêve je veux rêGver.
l’âme des poètes Charles TrenetCharles Trenet
LongAtemps, longtemps, longtemps après que les po
Dbmètes ont
Ddispa
Bmru
E7leurs chan
Bmsons
E7courent en
Bmcore
E7 dans les
Arues.
La Afoule les chante un peu distraite en igno
Dbmrant le
Dnom d’l’au
Bmteur.
E7Sans sa
Bmvoir
E7pour qui bat
Bmtait
E7 leur
Acoeur.
A7Parfois on change un mot, une phrase,
Det quand on est à court d’idées
on B7fait la la la la la la
E7la la
Bmla la la
E7la.
LongAtemps, longtemps, longtemps après que les po
Dbmètes ont
Ddispa
Bmru
E7leurs chan
Bmsons
E7courent en
Bmcore
E7 dans les
Arues.
Un Ajour, peut-être, bien après moi.
Un jour on chanteE7ra cet
Bmair pour bercer un cha
E7grin
BmOu quelqu’heu
E7reux
E5des
Atin.
Fera-t-il vivre un vieux mendiant ou dormir A7un en
Dfant
F#7
TourBmnera-
E7t-il
EDIM
au F#mbord de l’eau
B7au printemps sur un
E7phono.
LongAtemps, longtemps, longtemps après que les po
Dbmètes ont
Ddispa
Bmru
E7leurs chan
Bmsons
E7courent en
Bmcore
E7 dans les
Arues.
Leur E7âme lé
Bmgère et
E7leurs chan
Bmsons qui
E7rendent
Bmgais, qui
E7rendent
Bmtristes
E7filles et gar
Açons,
A7 bour
Dgeois, ar
Bmtistes
E7ou vaga
Abonds.
l’assassin est toujours le jardinier •Frédérik Mey
MiAmnuit sonne au château de
DmDarkmoor, Sir
G7John lit la nécrolo
Cgie.
E7
On Amentend les hiboux dans le
Dmtour, les
E7serviteurs sont de sor
Amtie.
UA7ne porte grince et d’un seul bond, une
Dmombre s’élance sur Sir John,
et B7Sir John défunte soudain stupéfait en
E7emportant son horrible secret.
L’assasAsin était le jar
Ddinier, qui se
E7réjouit d’un nouveau
Acrime.
E7
L’assasAsin est toujours le jar
Ddinier, qui
E7néglige lilas, bleu
Aets et my
Dosotis
Apour se trou
E7ver une vic
Atime.
DeuxAmième bureau, troisième é
Dmtage, un
G7ascenseur reste coin
Ccé.
E7
L’aAmgent secret est à la
Dmplage, à Men
E7ton, en congés pay
Amés.
Mais A7en remontant la cage d’ascenceur, le
Dmmécanicien découvre avec frayeur
L’aB7gent secret gisant dans un coin obscur, au
E7lieu de bronzer sur la Côte d’Azur.
REFRAIN
L’auAmtre soir, le gardien du
Dmphare a é
G7té poussé dans le
Cport.
E7
On Amsoupçonne le chef de
Dmgare, sa
E7femme fréquentait le
Ammort.
A7D’autre part, la patronne du « Select » a
Dmvec ses gros pieds n’est pas moins suspecté,
AinB7si que son gendre qui louche et qui boit, ou
E7le marin anglais dont le frère est chinois.
REFRAIN
L’hériAmtier des biscuits Le
Dmmaître, ha
G7bite au vingt-deuxième é
Ctage.
E7
Il Amdort sans fermer sa fe
Dmnêtre, on
E7verra que c’est bien dom
Ammage.
Car A7un courant d’air vient gonfler les rideaux, un
Dmcanon luisant se braque dans son dos,
la feB7nêtre est ouverte, mais la porte est fermée et les
E7biscuits Lemaître n’ont plus d’héritier.
REFRAIN
Un Amhomme à la mine can
Dmdide, vê
G7tu d’un vieux tablier
Cvert,
E7
Amprépare des insecti
Dmcides au
E7fond du jardin, dans sa
Amserre.
EnA7suite, il aiguise en sifflotant l’é
Dmnorme sécateur taché de sang.
C’est en B7greffant ses roses qu’il s’est blessé hier et c’est
E7là que l’étrangle une main meurtrière.
L’assasAsin était le cui
Dsinier, et
E7la morale de la bal
Alade:
E7
L’assasAsin est toujours le cui
Dsinier, du
E7biftec haché,
des iAdées toutes
Dfaites, d’la
Amorale et
E7des préju
Agés.
l'effet papillon •BénabarBénabar
C Am(intro)
Si le Cbattement d’aile d’un papillon quel
Amque part au Cambodge
DéCclenche sur un autre continent le plus vi
Amolent des orages
Le Fchoix de quelques uns dans un bu
Amreau occidental
Bouleverse des Fmillions de destins surtout si le
Gbureau est ovale
Il n’y a Cque l’ourse blanc qui s’étonne que
Amsa banquise fonde
CÇa ne surprend plus personne de no
Amtre côté du monde
Quand le Ffinancier s’enrhume ce sont les
Amouvriers qui toussent
C’est très Floin la couche d’ozone mais c’est
Gd’ici qu’on la perce
CC’est l’effet papil
Amlon petites
Fcau
Gses, grandes consé
Cquences
CPourtant jolie comme expres
Amsion, petites
Fcho
Gses dégâts im
Cmenses
On l’apCpelle retour de flamme ou théo
Amrie des dominos
Un murCmure devient vacarme comme dit le
Amproverbe à propos
Si au Fsoleil tu t’endors, de bia
Amfine tu t’enduiras
Si tu met Fune claque au videur, courir
Gtrès vite tu devras
Si on Cse gave au resto c’est un
Amfait nous grossirons
Mais ça c’est Cl’effet cachalot, reve
Amnons à nos moutons (à nos papillons)
AlFlons faire un après midi aven
Amture extra conjugal
Puis le Fcoup de boule de son mari alors
Gsi ton nez te fait mal
CC’est l’effet papil
Amlon c’est nor
Fmal fallait
Gpas te faire chop
Cper
CSi par contre t’as mal au
Amfront ça veut
Fdire que c’est
Gtoi l’mari trom
Cpé
C Am C Am F Am F G(intermezzo)
Avec les Cbaleines on fabrique du rouge à
Amlèvres, des crèmes pour fille
Quand on aCchète ces cosmétiques c’est au har
Ampon qu’on se maquille
Si tu fais Fla tournée des bars demain tu
Amsais que tu auras du mal
Pour récuFpérer à 8h ton per
Gmis au tribunal
CC’est l’effet papil
Amlon petites
Fcau
Gses, grandes consé
Cquences
CPourtant jolie comme expres
Amsion, petites
Fcho
Gses dégâts im
Cmenses
Le papillon s’enDvole
Le papillon s’enBmvole
GTout
Abat de
Dl’aile
Le papillon s’envole
Le papillon s’enBmvole
GTout
Abat de
Dl’aile
l'encre de tes yeux •Francis CabrelFrancis Cabrel
E B C#m A E B E B C#m(intro)EPuisqu’on ne
Bvivra jamais
C#mtous les deux
APuisqu’on est fous, puis
Equ’on est seuls, puis
Bqu’ils sont si nombreux
EMême la
Bmorale parle
C#mpour eux
AJ’aimerais quand même te
Edire, tout ce que j’ai pu é
Bcrire
Je l’ai puisé à l’encre Ade tes yeux
EJe n’avais
Bpas vu que tu por
C#mtais des chaînes
AA trop vouloir te
Eregarder, j’en oubliais
Bles miennes
EOn rêvait
Bde Venise et de
C#mliberté‚
AJ’aimerais quand même te
Edire, tout ce que j’ai pu é
Bcrire
C’est ton sourire qui me l’a dicAté
E B C#m A E B E B C#m(intermezzo)
ETu viendras
Blongtemps marcher
C#mdans mes rêves
ATu viendras tou
Ejours du côté, où
Ble soleil se lève
EEt si malgré
Bça j’arrive à
C#mt’oublier
AJ’aimerais quand même te
Edire, tout ce que j’ai pu é
Bcrire
Aura longtemps le parfum Ades regrets
EPuisqu’on ne
Bvivra jamais
C#mtous les deux
APuisqu’on est fous, puis
Equ’on est seuls, puis
Bqu’ils sont si nombreux
EMême la
Bmorale parle
C#mpour eux
AJ’aimerais quand même te
Edire, tout ce que j’ai pu é
Bcrire
Je l’ai puisé à l’encre Ade tes yeux
L’équipe à Jojo •Claude Lemesle / Joe Dassin
C F C F(intro)CLulu vendait ses toiles, Jacquot plongeait dans un bis
Dmtro, Dédé goûtait les vins.
G
Moi, j’étais Dmfort au
Ghale et Jéjé
Dmlavait
Gles car
Creaux, Pierrot ne
Ab
faisait Grien
COn s’était fait les poches pour se payer un vieux ta
Dmcot, fleuri sur le ca
Gpot
Qui rêvait Dmde Pro
Gvence et qui mou
Dmrut à Fontaine
Cbleau
On allumait une cigaDmrette et tout s’allu
Gmait
Et c’était la Cfête, le Quatorze Juil
Amlet
Il n’y avait jaDmmais un copain de
Gtrop dans l’équipe à Jo
Cjo.
Y avait moins des nuits sans guiDmtare que des jours sans
Gpain
On partageait Ctout et on n’avait
Amrien
Qu’est-ce qu’on était Dmfou, qu’est-ce qu’on s’en fou
Gtait, qu’est-ce qu’on était
Cbien.
F C
COn louait pour des prunes, les quatre murs d’un vieux gre
Dmnier, tout près à s’écrou
Gler
Mais pour toute Dmune for
Gtune on n’aurait pas
Dmdéména
Cgé
REFRAINCLucien a mis les voiles, et Jacques s’est payé un bis
Dmtro où André boit de l’eau.
G
Je n’suis plus Dmfort au
Ghale, Roger in
Dmspecte
Gles im
Cpôts, Pierre cherche
Ab
du bouGlot
CJ’ai changé de guitare, mais j’ai gardé comme un ca
Dmdeau cet air qui me tient
Gchaud
Du fond de Dmla mé
Gmoire celui de l’é
Dmquipe à Jo
Cjo
REFRAIN
l’été indien Joe DassinPierre Delanoë & C.Lemesle ™ S.Cutugno & P.Losito & Pallavicini
Dm9Tu sais, je n’ai jamais été aus
Gmsi heureux que
A7ce matin là.
Dm9Nous marchions sur une plage
Gmun peu comme celle-
A7ci.
DmC’étais l’automne, un automne où il
Afaisait beau,
une saison qui n’D7existe que dans le Nord de l’Amérique.
GmLà-bas on l’appelle l’été Indien,Eb
mais c’était tout simplement le nôtre, avec ta Dmrobe longue,
tu ressemblais un peu à une aquaBDIM
relle de Marie Laurencin
et je me souE7viens, oui je me sou
A7viens très bien de ce que je t’ai dit ce matin là,
il y a un an, un siècle, une éternité.DmOn ira, où tu voudras quand
Atu voudras
D7et l’on s’aimera encore, lorsque l’amour
Gmsera mort.
Eb
Tout’ la vie sera pareille à Dmce matin
BDIM
aux couleurs de l’E7été Indien.
A7
Dm9Aujourd’hui je suis très loin de ce matin d’automne.GmEst-ce que j’existe encore pour toi,
A7je regarde cette vague
qui n’atteinDm9dra jamais la dune. Je suis comme
Gmelle, tu vois, comme elle.
Je reviens en A7arrière, comme elle, je me couche sur le sable
Dmet je me souviens, je me souviens des marées
Ahautes,
D7du soleil et du bonheur qui pas
Gmsaient sur la mer, il y a une éternité, un siècle, il y a un an.
REFRAIN
Dm9x
1II
2 3 4
BDIMx x o o
1 2
l’hymne à l’amour Édith Piaf ™ Marguerite Monnot
Le ciel Gbleu sur
B7nous peut s’écrou
Emler
et la Amterre
Am/Gpeut bien s’effon
Am7drer.
D7
Peu m’imGpor
B7te, si tu
Cm’aimes,
Cm6
je me Gmoque du
Cmonde
Emen
Am7tier.
D7
Tant qu’l’aGmour in
B7ondra mes ma
Emtins,
que mon Amcorps
Am/Gfrémira sous tes
Am7mains.
D7
Peu m’imGpor
B7te les pro
Cblèmes,
Cm6
mon aGmour, puis
Emque tu
Am7m’ai-
D7ai-
Gmes.
J’irais Emjusqu’au
B7bout du
Emmonde,
je me Cferais
Dteindre en
Gblonde,
si tu EDIM
me le demanB7dais.
J’irais Gdécro
Dcher la
Glune,
j’irai Emvoler
F#7la
Bfortune,
si tu F#m7me deman
B7dais.
Je reEmnierais
B7ma pa
Emtrie,
je reEmnierais
B7mes a
Emmis,
si tu EDIM
me le demanB7dais
On peut Ambien ri
Dre de
Gmoi,
Cje fe
Amrais n’im
Dporte
Emquoi,
si tu Amme le deman
Ddais
Si un jour la vie t’arrache à moi,
si tu meurs que tu sois loin de moi.
Que m’importe si tu m’aimes,
car moi je mourrai aussi.
Nous aurons pour nous l’éternité,
dans le bleu de toute l’immensité.
Dans le ciel plus de problèmes,
mon amour crois-tu qu’on s’aime ?
Dieu réunit ceux qui s’aiment.
l’important c’est la rose•
Louis Amade ™ Gilbert Bécaud
Toi qui Cmarches dans le
C7vent, seul dans
Fla trop grande
Cville,
avec Fle cafard tran
Cquille du pas
Bb
sant. G7
Toi qu’elle Ca laissé tom
C7ber, pour cou
Frir vers d’autres
Clunes,
pour couFrir d’autres for
Ctunes, l’impor
Bb
tant. G7
L’imporDmtant c’est la
G7rose, l’impor
Emtant c’est la
A7rose,
l’imporDmtant c’est la
G7rose, crois-
Cmoi.
G7
Toi qui Ccherches quelque ar
C7gent, pour te
Fboucler la se
Cmaine,
dans la Fville où tu pro
Cmènes ton bal
Bb
lant. G7
CascaCdeur soleil cou
C7chant, tu pas
Fses devant les
Cbanques,
si tu Fn’es que saltim
Cbanque, l’impor
Bb
tant. G7
REFRAIN
Toi peCtit que tes pa
C7rents ont lais
Fsé seul sur la
Cterre,
petit Foiseau sans lu
Cmière, sans prin
Bb
temps. G7
Dans ta Cveste de drap
C7blanc, il fait
Ffroid comme en Bo
Chème,
t’as le Fcoeur comme en ca
Crême et pour
Bb
tant. G7
REFRAIN
Toi pour Cqui donnant don
C7nant, j’ai chan
Fté ces quelques
Clignes,
comme Fpour te faire un
Csigne en pas
Bb
sant. G7
Dis à Cton tour mainte
C7nant, que la
Fvie n’a d’impor
Ctance,
que par Fune fleur qui
Cdanse sur le
Bb
temps. G7
REFRAIN
l’incendie à rio Sacha DistelMaurice Tézé © Gérard Gustin
FEn pleine nuit une sirène appelle au feu tous les pom
C7piers
et tout Rio qui se réveille, voit brûler l’usin’ de caFfé.
Il n’y a Cm6pas de temps à
D7perdre,
D9b
sinon tout l’quartier va brûGmler.
Bbm
Oui, mais Bbm6voi_
Flà,
pendant c’temps là à la caC7serne
on entends les pompiers criFer:
‘FQu’est-c’qu’on a fait des tu
C7yaux ?
Des lances et d’la grande éFchelle
Qu’est-c’qu’on E7a fait
AbDIM
des tuC7yaux?
Pas d’panique il nous les Ffaut.’
Mais l’incendie là-bas fait rage et le ciel est noir de fumée
et tous les gens dans les étages se dis’nt: ‘Mais que font les pompiers?’
Il n’y a Cm6pas de temps à
D7perdre,
D9b
sinon tout l’quartier va brûGmler.
Bbm
Oui, mais Bbm6voi_
Flà,
pendant c’temps là à la caC7serne
on entends les pompiers criFer:
REFRAIN
Au p’tit matin on le devine: tout le quartier avait brûlé.
Il ne restait que des ruines sur des centain’s de mètr’s carrés!
Quand tout à coup dans le jour blême
On vit accourir un pompier
Qui s’écria: ‘Je viens d’la part du capitaine
Vous dir’ de n’pas vous énerver.’
On a r’trouvé les tuyaux
Les lances et la grande échelle
Mais on est en panne d’auto
Et on cherch’ la manivelle
La la la la la la la
La la la la la la la la
la la la la la la la
La la la la la la la
l’oiseau et l’enfant Joe Gracy ™ Jean-Paul Cara
GmComme un en
Dmfant aus
Eb
yeux de luDmière,
Gmqui voit pas
Fser, au
F7loin, les oi
Bb
seaux,Eb
Comme l’oiseau Bb
blue surCmvolant la
Bb
terre Cmvois comme le
Gmmonde, le
Eb
monde est Dbeau.
GmBeau, ce ba
Dmteau dan
Eb
sant sur les Dvagues,
Gmivre de
Fvie, d’a
F7mour et de
Bb
vent.Eb
Belle, la chanBb
son naisCmsante des
Bb
vagues, Cmabandon
Gmnée au
Eb
sable Dblanc.
GmBlanc, l’inno
Dmcent, le
Eb
sang du poDète,
Gmqui, en chan
Ftant, in
F7vente l’a
Bb
mour.Eb
Pourque la Bb
vie s’haCmbille de
Bb
fête Cmet que la
Gmnuit se
Eb
change en Djour.
GmJour d’une
Dmvie où
Eb
l’aube se Dlève,
Gmpour réveil
Fler la
F7ville aux yeux
Bb
lourds.Eb
Où les maBb
tins efCmfeuillent les
Bb
rêvesCmpour nous don
Gmner un
Bb+
monde Dd’a
Gmmour.
GmL’a
Dmmour
Eb
c’est Dtoi,
Gml’a-
Fmour
F7c’est
Bb
moi,Eb
l’oiBb
seau Cmc’est
Bb
toi, Cml’en
Gmfant
Eb
c’est Dmoi.
GmMoi, je ne
Dmsuis qu’une
Eb
fille (qu’un homme) de Dl’ombre,
Gmqui voit bril
Fler l’é
F7toile du
Bb
soir.Eb
Toi, mon éBb
toile, qui Cmtisse ma
Bb
ronde, Cmviens allu
Gmmer mon
Eb
soleil Dnoir.
GmNoire la mi
Dmsére, les
Eb
hommes et la Dguerre,
Gmqui croient te
Fnir les
F7rênes du
Bb
temps.Eb
Pays d’aBb
mour n’a Cmpas de fron
Bb
tières Cmpour ceux qui
Gmont un
Eb
coeur d’enDfant.
GmComme un en
Dmfant aus
Eb
yeux de luDmière,
Gmqui voit pas
Fser, au
F7loin, les oi
Bb
seaux,Eb
Comme l’oiseau Bb
blue surCmvolant la
Bb
terre,Cmnous trouver
Gmons ce
Bb+
monde Dd’a
Gmmour.
REFRAIN
Bb+x x
1II
2 34
la ballade des gens heureux •Pierre Delanoë & Gérard Lenorman ™ Gérard Lenorman
FNotre vieille terre est une étoile où toi aussi tu
Gmbrilles un
C7peu.
GmJe viens te
C7chanter la bal
Flade,
Dmla bal
Gmlade des
C7gens heu
Freux.
GmJe viens te
C7chanter la bal
Flade,
Dmla bal
Gmlade des
C7gens heu
Freux.
FTu n’as pas de titre ni de grade, mais tu dis « tu » quand tu
Gmparles à
C7Dieu.
GmJe viens te
C7chanter la bal
Flade,
Dmla bal
Gmlade des
C7gens heu
Freux.
GmJe viens te
C7chanter la bal
Flade,
Dmla bal
Gmlade des
C7gens heu
Freux.
FJournaliste pour la premièr’ page, tu peux écrire tout ce
Gmque tu
C7veux.
GmJe t’offre un
C7titre formi
Fdable,
Dmla bal
Gmlade des
C7gens heu
Freux.
GmJe viens te
C7chanter la bal
Flade,
Dmla bal
Gmlade des
C7gens heu
Freux.
FToi qui a planté un arbre dans ton petit jardin
Gmde ban
C7lieu.
GmJe viens te
C7chanter la bal
Flade,
Dmla bal
Gmlade des
C7gens heu
Freux.
GmJe viens te
C7chanter la bal
Flade,
Dmla bal
Gmlade des
C7gens heu
Freux.
FIl s’endort et tu le regardes, c’est ton enfant, il te res
Gmsemble un
C7peu.
GmOn vient lui
C7chanter la bal
Flade,
Dmla bal
Gmlade des
C7gens heu
Freux.
GmOn vient lui
C7chanter la bal
Flade,
Dmla bal
Gmlade des
C7gens heu
Freux.
FToi la star du haut de te vague, descends vers nous, tu nous
Gmverras
C7mieux.
GmOn vient lui
C7chanter la bal
Flade,
Dmla bal
Gmlade des
C7gens heu
Freux.
GmOn vient lui
C7chanter la bal
Flade,
Dmla bal
Gmlade des
C7gens heu
Freux.
FRoi de la drague et de la rigolade, rouleur, flambeur ou gen
Gmtil petit
C7vieux.
GmOn vient lui
C7chanter la bal
Flade,
Dmla bal
Gmlade des
C7gens heu
Freux.
GmOn vient lui
C7chanter la bal
Flade,
Dmla bal
Gmlade des
C7gens heu
Freux.
FComme un coeur dans une cathédrale, comme un oiseau qui
Gmfait ce qu’il
C7peut.
GmTu viens de
C7chanter la bal
Flade,
Dmla bal
Gmlade des
C7gens heu
Freux.
GmTu viens de
C7chanter la bal
Flade,
Dmla bal
Gmlade des
C7gens heu
Freux.
la bande à bonnot Jean-Michel Rivat & Frank Thomas ™ Joe Dassin
Am F E7(intro)AmA la Societe Géné
F7rale
une auto deAmmarra et
F7dans la ter
E7reur
E7la
Ambande à Bonnot mit les
F7voiles,
F7Emportant
Amla sacoche du
F7garçon pa
E7yeur.
E7Dans la
A7De-Dion-Bouton qui cachait les voleurs,
A7Octave comp
Dmtait les gros billets et les valeurs
avec RayB7mond-la-Science les bandits en auto.
C’éE7tait la
F7bande à Bon
E7not.
Les Ambanques criaient ‘Mise
F7rables!’
F7quand s’éloig
Amnait le bruit du
F7puissant mo
E7teur.
E7Com
Amment rattrapper les cou
F7pables,
F7qui fuyaient
Amà toute allure à
F7trente-cinq à
E7l’heure.
E7Sur les
A7routes de France, hirondelles et gendarmes
A7étaient à leurs
Dmtrousses, étaient nuit et jour en alarme.
En casB7quette à visière, les bandits en auto.
C’éE7tait la
F7bande à Bon
E7not.
AMais Bonnot rêvait des palaces
et du ciel d’aDzur de Monte-Carlo.
En fait il vouBlait vite se ranger des voi
E7tures.
EMais
Amun beau matin la po
F7lice
F7encercla
Amla maison de
F7Jules Bon
E7not.
E7A Choi
Amsy, avec ses com
F7plices,
F7qui prenaient
Amdans sa chambre un
F7peu de re
E7pos.
Tout PaA7ris arriva à pied, en tram et en train
A7Avec des fu
Dmsils, des pistolets et des gourdins.
HurB7lant des balcons, les bandits en auto.
C’éE7tait la
F7bande à Bon
E7not.
Et Ammenottes aux mains.
Dm Am
TraAmgique destin.
Dm Am
AAmlors pour la dernière
F7course
on mit dans Amle fourgon la
F7bande
E7à Bon
Amnot.
la bohème Charles Aznavour
FmJe vous parle d’un temps, que les moins de vingt ans
ne peuvent pas conCmnaître. Montmartre en ce temps-
Fmlà
accrochait ses liCmlas jusque sous nos fenêtres.
Et si l’humble garFmni, qui nous servait de nid,
ne payait pas de Cmmine, c’est là qu’on s’est con
Fmnu,
moi qui criait faGmine et toi qui posait
Cmnue.
La boFmhème, la bo
Cmhème, ça voulait
Fmdire on
G7est heu
Cmreux.
La boFmhème, la bo
Cmhème, nous ne man
Fmgions qu’un
G7jour sur
Cmdeux.
FmDans les cafés voisins nous étions quelques-uns,
qui attendions la Cmgloire et bien que misé
Fmreux
avec le ventre Cmcreux. Nous ne cessions d’y croire
et quand quelque bisFmtro contre un bon repas chaud
nous prenait une Cmtoile, nous récitions des
Fmvers
groupés autour du Gpoêle en oubliant l’hi
Cmver.
La boFmhème, la bo
Cmhème, ça voulait
Fmdire tu
G7es jo
Cmlie.
La boFmhème, la bo
Cmhème et nous a
Fmvions tous
G7du gé
Cmnie.
FmSouvent il m’arrivait, devant mon chevalet,
de passer des nuits Cmblanches. Retouchant le des
Fmsin
de la ligne d’un Cmsein, du galbe d’une hanche.
Et ce n’est qu’au maFmtin, qu’on s’asseyait enfin,
devant un café-Cmcrême épuisés, mais ra
Fmvis.
Fallait-il que l’on Gs’aime et qu’on aime la
Cmvie.
La boFmhème, la bo
Cmhème, ça voulait
Fmdire on
G7a vingt
Cmans.
La boFmhème, la bo
Cmhème et nous vi
Fmvions de
G7l’air du
Cmtemps.
FmQuand au hasard des jours je m’en vais faire un tour
à mon ancienne aCmdresse. Je ne reconnais
Fmplus
ni les murs ni les Cmrues, qui ont vu ma jeunesse.
En haut d’un escaFmlier je cherche l’atelier,
dont plus rien ne subCmsiste dans son nouveau dé
Fmcor.
Montmartre semble Gtriste et les lilas sont
Cmmorts.
La boFmhème, la bo
Cmhème, on était
Fmjeune on
G7était
Cmfou.
La boFmhème, la bo
Cmhème, ça ne veut
Fmplus rien
G7dire du
Cmtout.
la carmagnole citoyen Birard 1792
Madam’ Véto avait promis (2×)
De faire égorger tout Paris (2×)
Mais le coup a manqué
Grâce à nos canonniers
Dansons la carmagnole
Vive le son vive le son !
Dansons la carmagnole
Vive le son du canon !
Monsieur Véto avait promis (2×)
D’être fidèle à son pays (2×)
Mais il a manqué
Ne faisons plus quartierREFRAIN
Antoinette avait résolu (2×)
De nous faire tomber sur le cu (2×)
Mais son coup a manqué,
Elle a le nez casséREFRAIN
Son mari se croyant vainqueur (2×)
Connaissait peu notre valeur (2×)
Va, Louis, gros paour,
Du temple dans la tourREFRAIN
Les suisses avaient promis (2×)
Qu’ils feraient feu sur nos amis (2×)
Mais comme ils ont sauté
Comme ils ont tous danséREFRAIN
Quand Antoinette vit la tour (2×)
Elle voulut faire demi-tour (2×)
Elle avait mal au cœur
De se voir sans honneurREFRAIN
Lorsque Louis vit fossoyer (2×)
A ceux qu’il voyait travailler (2×)
Il disait que pour peu
Il était dans ce lieuREFRAIN
Le patriote a pour amis (2×)
la chanson des vieux amants Jacques Brel ™ Jacques Brel & Gérard Jouannest
GmBien sûr, nous eûmes des o
D7rages, vingt ans d’amour, c’est l’amour
Gmfol.
Cm
GmMille fois tu pris ton ba
D7gage, milles fois je pris mon en
Gmvol.
F7
Bb
Et chaque meuble se souFvient
dans cette chambre Fmsans ber
Eb
ceau
des éclats des Ebmvieilles tem
Bb
pêEb
tes.Bb
plus rien ne ressemblait à Frien.
Tu avais perdu le goût de Ab
l’eau
et moi celui de la conDquête.
Mais, Gmmon amour, mon doux, mon tendre, mon merveil
Cmleux amour
D7de l’aube claire jusqu’à la
Cm7fin du jour,
je t’aime enCmcore tu sais je
EDIM D7t’aime.
GmMoi, je sais tout tes sorti
D7lèges, tu sais tous mes envoûte
Gmments.
Cm
GmTu m’as gardé de piège en
D7piège, je t’ai perdu de temps en
Gmtemps.
F7
Bb
Bien sûr tu pris quelques aFmants,
il fallait bien pasFmser le
Eb
temps,
il faut bien que le Ebmcorps e
Bb
xulEb
te.Bb
Finalement, finaleFment
il nous fallut bien du taAb
lent
pour être vieux sans être aDdultes.
REFRAINGmEt plus le temps nous fait cor
D7tège et plus le temps nous fait tour
Gmment.
Cm
GmMais n’est-ce pas le pire
D7piège, que vivre en paix pour des a
Gmmants.
F7
Bb
Bien sûr tu pleures un peu moins Ftôt,
je me déchire un Fmpeu plus
Eb
tard,
nous protégeons moins Ebmnos mis
Bb
tèEb
res.Bb
On laisse moins faire le haFsard,
on se méfie du fil de Ab
l’eau,
mais c’est toujours la tendre Dguerre.
REFRAIN
EDIMx x
1 23 4
la chansonnette•
Yves MontandJ. Dréjac ™ P. Gérard (Kurt Weil?)
CLa, la, la, mine de rien, la voilà qui revient, la chanson
G7nette.
Elle avait disparu le pavé de ma rue était tout Cbête.
Les refrains de Paris avaient G7pris l’maquis.
Les forains, l’orphéon, la chanCson d’Macky.
Mais on n’oublie jamais le flonflon qui vous met le C7coeur en
Ffête.
Quand le vieux musicien dans Fmle quartier
vient reCvoir les anciens faire
D7son métier.
Le puG7blic se souvient d’la chanson
Cnette,
G7tiens,
Ctiens!
CLes titis, les marquis, c’est parti, mon kiki, la chanson
G7nette.
A Presley fait du tort, car tous les transistors soudain s’arCrêtent.
Sous le ciel de Paris un acG7cordéon
joue la chanson d’Macky comme aCvant l’néon.
Cueilli par un flonflon un têtard en blouson C7d’un franc d’vio
Flette
va fleurir sa Bardot, car, malFmgré son aigle
au miClieu du dos, le
D7coeur est bon
et G7sous ses cheveux gris la chanson
Cnette,
G7sou
Crit!
CLa, la, la, hauts les coeurs, avec moi tous en choeur, la chanson
G7nette.
Et passons la monnaie en garçon qui connait la chansonCnette.
Il a fait sa moisson de reG7frains d’Paris.
Les forains, l’orphéon, la chanCson d’Macky.
Car on n’oublie jamais le flonflon qui vous met C7le coeur en
Ffête.
Il faut du temps, c’est vrai, Fmpour séparer
le bon Cgrain de l’ivraie pour
D7comparer,
mais on G7trouve un beau jour sa chanson
Cnette,
G7d’a
Cmour!
la complainte du laboureur Elmer Food Beat
AQuand elle m’a dit
F#mgars Louis,
Demmène-moi dans
Eles fleurs,
Aon f’ra des
F#mcochonneries
Dpour couvrir
Ele bruit du mo
Ateur.
Ouh! Elles ne résistent pas à mon monstrueux engin.
Quand il vibre sous leurs doigts, mon Dieu, quel vil’brequin.
La cruelle villageoise m’a laissé pour de bon.
Atteindre seul l’extase au milieu des sillons.
Ouh! Elle m’a laissé tomber comme une vulgaire pomme de terre,
mais je ne me laisse pas aller, j’appuie sur le starter.AEt je reste tout
Eseul
F#massis sur mon trac
Eteur.
AAu milieu
Edes labours je
F#mt’oublie mon a
Emour.
AEt je reste tout
Eseul
F#massis sur mon trac
Eteur.
AAu milieu
Edes labours je
F#mt’oublie mon a
Emour.
Quand elle est revenue je n’savais plus très bien
quoi faire de la charrue, le soc entre les mains.
Ouh! Je l’ai fait se coller contre le siège en skaï.
Puis je l’ai labourée au milieu des semailles.REFRAIN
la corrida Francis CabrelFrancis Cabrel
Dm(intro)
Depuis le Dmtemps que je patiente dans cette
Fchambre noire
J’entends qu’on Cs’amuse et qu’on chante au bout du
BbSUS2couloir.
Quelqu’un a Dmtouché le verrou et j’ai plong
Fe vers le grand jour
J’ai vu les Cfanfares, les barrieres et les gens
BbSUS2autour.
Dm F C BbSUS2
Dans les premiDmers moments j’ai cru qu’il fallait
Fseulement se defendre
Mais cette Cplace est sans issue, je commence a
BbSUS2comprendre.
Il ont refDmermé derrière moi, ils ont eu
Fpeur que je recule
Je vais bien Cfinir par l’avoir cette
BbSUS2danseuse ridicule.
Dm FEst-ce que ce monde est
Csérieux?
BbSUS2
Dm FEst-ce que ce monde est
Csérieux?
BbSUS2
AndalouDmsie je me souviens, les prairies
Fbordées de cactus.
Je ne vais pas tremCbler devant ce pantin, ce
BbSUS2minus!
Je vais l’attraper Dmlui et son chapeau, les faire tour
Fner comme un soleil
Ce soir la Cfemme du toréro dormira
BbSUS2sur ses deux oreilles.
Dm FEst-ce que ce monde est
Csérieux?
BbSUS2
Dm FEst-ce que ce monde est
Csérieux?
BbSUS2
BbSUS2J’en ai pour
C9suivi des fantômes, presque touché leurs
Dm balerines.
DSUS Dm
Ils ont frapBbSUS2pé fort dans mon cou pour que je
Am’incline.
ASUS A
Ils sortent BbSUS2d’ou ces acrobates,
C9 avec leurs costumes de pa
Dmpier?
DSUS Dm
Je n’ai jaBbSUS2mais appris a me battre contre des
C9poupées.
BbSUS2
Dm F C BbSUS2(intermezzo)
Sentir le Dmsable sous ma tête, c’est fou comme
Fça peut faire du bien
J’ai prié Cpour que tout s’arrête, Andalousie
BbSUS2je me souviens.
Je les entends Dmrire comme je râle, je les vois danser
Fcomme je succombe
Je ne pensais pas Cqu’on puisse autant s’amuser au
BbSUS2tour d’une tombe.
Dm FEst-ce que ce monde est
Csérieux?
BbSUS2
Dm FEst-ce que ce monde est
Csérieux?
BbSUS2
Si si hombre, baila baila
Hay que bailar de nuevo
Y mataremos otros
Otras vidas, otros toros
Y mataremos otros
Venga venga
Venga, venga a bailar....
Dm
1 1 1 1 1 1V
23 4
F
1 1 1 1 1 12
3 4
C7
1 1 1 1 1 1III
3 3 4
BbSUS2
1 1 1 1 1 1
3 3
la demoiselle de déshonneur Joe Dassin
C Em F G7(intro)CElle faisait le trottoir le long de l’église.CY’a bien des curés qui
A7prient dans la
Dmrue.
DmElle avait vingt ans de loyaux services.DmVingt ans de
G7grande vie et de p’tites ver
Ctus.
CMoi en ce temps-là j’allais à confesse.CTous les mercredi
C7à sept heures et
Fquart.
FJ’étais le der
Fmnier à parler de
Cfesses.
A7
A7Et si j’y pen
Dmsais c’é
G7tait par ha
Csard.
CMa demoi
Dmselle
G7de déshonneur.
C
A7Mon pre
Dmmier a
G7mour d’un quart
Cd’heure.
C Em F G7
Ce mercredi-là j’étais en avance.
J’avais deserté le cours de français.
Et j’allais me refaire une bonne conscience.
Quand j’ai entendu: ‘Tu viens mon biquet?’
Un coup d’oeil devant, un coup d’oeil derrière.
J’étais l’seul biquet à cent lieues autour.
Alors j’ai suivi en faisant ma prière.
J’voulais faire l’apôtre et j’ai fais l’amour.REFRAIN (2x)
Et c’est là bêtement dans cette chambre obscure.
Dans cette chambre sans joie, sans fleurs aux rideaux.
C’est là que j’ai reçu la première blessure.
Laissé mon enfance au porte-manteau.
On peut rêver mieux pour sa grande première.
De couchers de soleil ou de champs de muguets.
Moi je n’ai recolté que trois Notre-Père.
Deux minutes de remords, un zéro en français.REFRAIN
la fête Maurice Vidalin ™ Michel Fugain
E9+
Tiens tout a changé ce matin, je n’y comprends rien. C’est la Amfê-
A9SUS
te, la Amfê-
A9SUS
te.E9+
Jeunes et vieux, grands et petits, on est tous amis. C’est la Amfê-
A9SUS
te, la Amfê-
A9SUS
te.Dm7C’est comme un grand coup
G7de soleil,
CM7un vent de folie.
FM7
B7Rien n’est plus pareil,
E7aujour
Amd’hui.
E9+ Am E9+
Dm7Le monde mort et en
G7terré
CM7a ressuscité,
FM7
B7on peut respirer.
E7C’est la
Am E9+fê–––
Am E9+te, la
Am E9+fê–––
Am E9+te.
E9+
Plus de bruit, plus de fumée puisqu’on va tous à pied. C’est la Amfê-
A9SUS
te, la Amfê-
A9SUS
te.E9+
Le pain et le vin sont gratuits et les fleurs aussi. C’est la Amfê-
A9SUS
te, la Amfê-
A9SUS
te.Dm7C’est comme un grand coup
G7de soleil,
CM7un vent de folie.
FM7
B7Rien n’est plus pareil,
E7aujour
Amd’hui.
E9+ Am E9+
Dm7Depuis le temps qu’on
G7en rêvait
CM7et qu’on en crevait,
FM7
B7on peut respirer.
E7C’est la
Am E9+fê–––
Am E9+te, la
Am E9+fê–––
Am E9+te.
Dm7Merde que ma ville est belle
G7sans ces putains de camions,
plus de CM7gazoil mais du gazon jusque sur le goudron.
Dm7Merde que ma ville est belle
G7avec ses gosses
qui jouent qui riCM7golent et qui cassent tout, qui n’ont plus peur du loup
Dm9Et
AM7l’eau
Dm9c’est vraiment de
AM7l’eau
Dm9que l’on peut boire
AM7au creux
B7des ruis
E7seaux.
E9+
Venez danser ddans la rue, ce n’est plus défendu. C’est la Amfê-
A9SUS
te, la Amfê-
A9SUS
te.E9+
En vérité je vous dis c’est le paradis. C’est la Amfê-
A9SUS
te, la Amfê-
A9SUS
te.Dm7C’est comme un grand coup
G7de soleil,
CM7un vent de folie.
FM7
B7Rien n’est plus pareil,
E7aujour
Amd’hui.
E9+ Am E9+
Dm7On a les yeux écar
G7quillés
CM7sur la liberté
FM7
B7on peut respirer.
E7C’est la
Am E9+fê–––
Am E9+te, la
Am E9+fê–––
Am E9+te.
La Amfê-
A9SUS
te, fête. E9+
La Amfê-
A9SUS
te, fête. E9+
E9+o o o
21
3
A9SUSx o o o o x
CM7o o (o) (o)
23
FM7
1 1 1 1 1 12 3
4
Dm9x
1II
2 3 4
AM7o o o
23 4
Dm9/Ao o
23 4
B7x o
1 1 1 1IV
3
la fleur aux dents •Claude Lemesle ™ Joe Dassin
C F6 F#DIM G7 Am Dm7 G7 C(intro)
J’ai déG7pensé ma jeunesse comme une
Cpoignée de monaie.
J’ai Ffait un peu de tout, un peu par
Gtout sans savoir rien faire.
C
La fleur aux dents c’était Amtout ce que j’avais,
mais je G7savais bien que toutes les femmes du monde m’attendaient.
Il y a des Cfilles de ton
Frêve et celles
Gavec qui l’on
Cdort.
Il y a des Ffilles qu’on re
Ggrette et celles qui
Claissent des re
G7mords.
Il y a des Cfilles que l’on
Faime et celles qu’on
Gaurait pu ai
Cmer
et un Fjour il y a la
Gfemme qu’on atten
Cdait.
J’ai conG7nu des lits de camp bien plus
Cdoux qu’un oreiller
et Fdes festins de roi sur le
Gzinc d’un buffet de
Cgare.
J’ai connu bien des gens, je les Amai tous bien aimé,
mais dans G7leurs visages au fond je n’ai rien fait que te chercher.
REFRAIN
Un jour iG7ci l’autre là, un jour
Criche et l’autre pas.
J’avais Ffaim de tout voir de tout
Gsavoir, j’avais tellement à faire
C
à me tromper de chemin Amtant de fois.
J’ai quand G7même fini par trouver celui qui mène à toi.
REFRAIN
F6x
1 1 1 1 1III
3 4
la france de mon enfance•
Enrico Macias & Didier Barbelivien
La GFrance de mon en
Dfance, n’était
Empas en territoire de
BmFrance.
Perdue Cau so
Dleil, du cô
Bmté d’Al
Emger, c’est
Amelle, la
DFrance où je suis
Gné.
La GFrance de mon en
Dfance, juste a
Emvant son ère d’indépen
Bmdance.
Elle éCtait fra
Dgile, comme la
Bmliber
Emté, la
AmFrance,
Dcelle où je suis
Gné.
Le soEmleil n’était pas celui
Bmde Marseille, ma Pro
Emvince n’était pas ta Pro
Bmvence.
Je saAmvais dé
Bjà que rien n’é
B7tait pa
Emreil, et pour
Amtant, mon
Dcoeur était en
GFrance.
La GFrance de mon en
Dfance, mon
Empays, ma terre, ma préfé
Bmrence.
Avait Cune fron
Dtière, Médi
Bmterra
Emnée, c’est
Amelle, la
DFrance où je suis
Gné.
La GFrance de mon en
Dfance, n’avait
Empas tous ce murs de si
Bmlence.
Elle viCvait en
Dpaix sous les
Bmoli
Emviers, la
AmFrance,
Dcelle où je suis
Gné.
On aEmvait l’accent d’une ré
Bmgion lointaine, on é
Emtait perdu comme en Lor
Bmraine.
À l’éAmcole, on
Bapprenait la
B7diffé
Emrence, mais c’é
Amtait la
Dmême histoire de
GFrance.
La GFrance de mon en
Dfance, par a
Emmour, par désobéis
Bmsance.
Son préCnom é
Dtait un nom
Bmétran
Emger, c’est
Amelle, la
DFrance où je suis
Gné.
La GFrance de mon en
Dfance, moi je
Empleure encore de son ab
Bmsence.
Elle éCtait fran
Dçaise, on l’a
Bmoubli
Emé, la
AmFrance
Dcelle où je suis
Gné.
la grosse jocelyne Elmer Food Beat
Quand je vais secouer la grosse Jocelyne
je suis sûr de tout lui mettre dedans.
Je lui mets dans son p’tit volcan.
Oh, lala, oh! Q’est-ce qu’elle prend.
Moi je vais lui en mettre tell’ment
qu’elle en aura plein les dents.
la java bleu•
Géo Koger & Noël Renard ™ Vincent Scotto
Eb
C’est Bb7la java
Eb
bleu, Ab
la java la plus Eb
belle,Bb7celle qui ensor
G7cel
Cmle
F7et que l’on danse les
Bb7yeux dans les yeux,
Eb
au Bb7rythme joy
Eb
eux, Ab
quand les corps se conEb
fonC7dent,
Fmcomme elle au monde il n’y
Eb
en a pas C7deux,
F9c’est
Bb7la java
Eb
bleu.
Il Eb
est au bal musette un Bb7air rem
Eb
pli de douBb7ceur,
qui Eb
fait tourner les Gtê
Cmtes, qui
F7fait cha
Bb7virer les
Eb
coeurs.Bb7Tandis qu’on glisse
Eb
à petits pas, Bb7serrant celle qu’on aime dans ses
Eb
bras,Bb7tout bas l’on dit
Eb
dans un frisson, F7en écoutant jouer l’accordé
Bb7on.
REFRAIN
ChéEb
rie sous mon étreinte, je Bb7veux ser
Eb
rer plus Bb7fort.
Pour Eb
mieux garder l’emGprein
Cmte et
F7la cha
Bb7leur de ton
Eb
corps.Bb7Que de promesses,
Eb
que de serments, Bb7on se fait dans la folie d’un mo
Eb
ment.Bb7Mais ces serments
Eb
remplis d’amour, F7on sait qu’on ne les tiendra pas tou
Bb7jours.
REFRAIN
la javanaise •Serge Gainsbourg (1963)
J’aCM7voue j’en ai bavé pas vous, mon
G7amour,
aDm7vant d’avoir eu vent de
G7vous, mon
C6amour.
C7Ne vous dé
FM7plai
F6se,
F+/A+/C#+ Dm7
E7en dansant la Java
F6nai
Fse,
Fnous
CDIM
nous aiCmions
A7le temps
D9d’une chan
G7son.
À CM7votre avis qu’avons-nous vu de
G7l’amour
de Dm7vous à moi vous m’avez
G7eu, mon
C6amour.
REFRAIN
HéCM7las avril en vain me voue à
G7l’amour.
J’aDm7vais envie de voir en
G7vous cet
C6amour.
REFRAIN
La CM7vie ne vaut d’être vécue sans
G7amour,
mais Dm7c’est vous qui l’avez vou
G7lu, mon
C6amour.
REFRAIN
CM7
1 1 1 1 1 1III
23 4
C6o o
12 3
4
FM7
1 1 1 1 1 12 3
4
F6x
1 1 1 1 1III
3 4
F+/A+/C#+x o
12 3
4
D9o o o
12 3
la liste •Rose
Rose
Aller à un conBb
cert, repeindre ma chambre en vert
Boire de la vodEb
ka, aller chez IKEA
Mettre un décolleDm7té, louer un
Eb
meuble et puis tout massaBb
crer.
Pleurer pour un rien, acheter un chien
Faire semblant d’avoir mal et mettre les voiles
Fumer beaucoup trop, prendre le métro et te prendre en photo.
Jeter tout par les f’Gmnêtres
T’aimer de tout mon Eb
être
Je ne suis bonne qu’à Bb
ça
Est-ce que ça te Fm7dé__
Bb7çoit ?
J’ai rien trouvé Eb
d’mieux à faire
Et ça peut paraître bien Ebmordinaire
Mais c’est la Gmliste des choses que j’veux
Cmfaire avec
F7toi.
Te faire mourir de rire, aspirer tes sourires
M’enfermer tout le jour, écrire des mots d’amour
Boire mon café noir, me lever en retard, pleurer sur un trottoir.
Me serrer sur ton coeur, pardonner tes erreurs
Jouer de la guitare, danser sur un comptoir
Remplir un caddie, avoir une p’tite fille et passer mon permis.REFRAIN
Ha! Gmha!
Eb
ha! Bb
ha! Fm7ha!
Bb7Ha!
Je sais je suis trop naEb
ïve, de dresser la liste Ebmnon exhaustive
De toutes ces Gmchoses que je voudrais
Cmfaire avec
F7toi
T’embrasser partout, s’aimer quand on est soûl
Regarder les infos et fumer toujours trop
Éveiller tes soupçons, te demander pardon et te traiter de con.
Avoir un peu de ‘spleen‘, écouter Janis Joplin
Te regarder dormir, me regarder guérir
Faire du vélo à deux, se dire qu’on est heureux emmerder les envieux.
la madrague Brigitte BardotG. Bourgeois ™ J. M. Rivière
Am D G Em(intro)AmSur la
Dplage abandon
Gnée
Em
AmCoqui
Dllages et crusta
Gcés
Em
AmQui l’eut
Dcru déplore la
Gperte de l’é
Emté
AmQui de
Dpuis s’en est al
Glé.
AmOn a
Drangé les va
Gcances
Em
AmDans des
Dvalises en car
Gton
Em
AmEt c’est
Dtriste quand on
Gpense à la sai
Emson
AmDu so
Dleil et des chan
Gsons.
PourG7tant je sais bien l’année pro
Am7chaine
G7Tout refleurira, nous revien
Cdrons
DMais en attendant je suis en
Apei-
Emne
De quitAter la mer et ma mai
Dson.
AmLe mis
Dtral va s’habi
Gtuer
Em
AmA cou
Drir sans les voi
Gliers
Em
AmEt c’est
Ddans ma cheve
Glure ébourif
Emfée
AmQu’il va
Dle plus me man
Gquer
AmLe so
Dleil mon grand co
Gpain
Em
AmNe me
Dbrûl’ra que de
Gloin
Em
AmCroyant
Dque nous somm’s en
Gsemble un peu fâ
Emchés
AmD’être
Dtous deux sépa
Grés.
Le G7train m’emmènera vers l’au
Am7tomne
G7Retrouver la ville sous la
Cpluie
DMon chagrin ne sera pour per
Asonne
Je Ale garderai comm’un a
Dmi.
AmMais aux
Dpremiers jours d’é
Gté
Em
AmTous les
Dennuis oubli
Gés
Em
AmNous revien
Ddrons faire la
Gféte aux crusta
Emcés
Amde la
Dplage ensoleil
Glée,
Amde la
Dplage ensoleil
Glée...
la maladie d’amour Michel Sardou & Yves Dessca ™ Jacques Revaux
Eb Bb Cm Gm Ab Eb Bb Ab Eb Ab
(intro)
Elle Eb
court, elle Bb
court, la Cmmaladie d’a
Gmmour
dans Ab
le coeur des enEb
fants de sept à F7soixante dix-sept
Bb
ans. Bb7
Elle Eb
chante, elle Bb
chante, la Cmrivière inso
Gmlente,
qui Ab
unit dans son Eb
lit les cheveux Bb
blonds, les cheveux Ab
gris. Eb
Eb
Ell’fait chanter les Bb
hommes Cmet s’agrandir le
Gmmonde.
Ab
Ell’fait parfois soufEb
frir tout F7lelong d’une
Bb
vie. Bb7
Eb
Ell’fait pleurer les Bb
femmes, Cmell’fait crier dans
Gml’ombre,
Ab
mais le plus doulouEb
reux c’est quand on F7en gué
Bb
rit. Bb7
REFRAINEb
Ell’surprend l’écoBb
liére Cmsur les bancs d’une
Gmclasse
Ab
par le charme innoEb
cent d’un F7professeur d’an
Bb
glais. Bb7
Eb
Ell’foudroie dans la Bb
rue, Cmcet inconnu qui
Gmpasse
Ab
et qui n’oubliera Eb
plus ce parfum F7qui vo
Bb
lait. Bb7
REFRAIN
la maritza •Sylvie VartanPierre Delanoé ™ J. Renard (1968)
Dm Gm Gm A A7(intro)DmLa Maritza c’est ma rivière
Comme la Seine est la Gmtienne
Mais il n’y a que mon Cpère
Maintenant qui s’en souFvienne
QuelqueAfois...
A7
DmDe mes dix premières années
Il ne me reste plus Gmrien
Pas la plus pauvre pouCpée
Plus rien qu’un petit reFfrain
D’autreAfois...
A7
DmLa la la
Gmla lalala la
Clalala lala
Fla lalala la
Bb
lalala lala Gmla lalala la
Alalala la la la
Dmla lalalalala.
Dm7
DmLa la la
Gmla lalala la
Clalala lala
Fla lalala la
Bb
lalala lala Gmla lalala la
Alalala la la la
Dmlala.
DmTous les oiseaux de ma rivière
Nous chantaient la liberGmté
Moi je ne comprenais Cguère
Mais mon père lui saFvait
EcouAter...
A7
DmQuand l’horizon s’est fait trop noir
Tous les oiseaux sont parGmtis
Sur les chemins de l’esCpoir
Et nous, on les a suiFvis,
À PaAris...
A7
DmDe mes dix premières années (parlé)
Il ne reste plus rien...Gmrien (parlé)
Et pourtant les yeux ferCmés (chanté)
Moi j’entends mon père chanFter
Ce reAfrain...
A7
REFRAIN
la mer •Charles Trenet ™ Charles Trenet & Albert Lasry
C7La
Fmer
Dm Bb
qu’C7on voit dan
Fser
Dmle
Bb
long C7des golfes
Fclairs
A7 Dm
C7a des re
Fflets d’ar
Dmgent, la
Bb
mer, D7
Gmdes
Creflets
A7chan
Dmgeants
Bb
sous la G7plui
Ce.
C7La
Fmer
Dm Bb
C7au ciel d’é
Fté
Dmcon
Bb
fond C7ses blanc mou
Ftons
A7 Dm
C7avec les
Fanges si
Dmpurs, la
Bb
mer, D7
Gmber
Cgère
A7d’a
Dmzur
Bb
inGm7fi__
C7ni-i
Fe.
E7
VoAyez
F#m Bm
E7près des é
Atangs
F#mces
Bmgrands
E7roseaux mouil
Alés.
G7
VoCyez
Am Dm
G7ces oiseaux
Cblanc
Amet
Dmces
G7maisons rouil
Clées.
CDIM C7 Am
C7La
Fmer
Dm Bb
C7les aber
Fcés
Dmle
Bb
long C7des golfes
Fclairs
A7 Dm
C7et d’une chan
Fson d’a
Dmmour, la
Bb
mer D7
Gma
Cbercé
A7mon
Dmcoeur pour
Bb
la G7vi-
C7i_
Fe.
CDIMx x
1 23 4
la montagne •Jean Ferrat
GIls quittent un à un le
Empays pour s’en aller gagner leur
Gvie
loin de la terre où ils sont Emnés.
AmDepuis longtemps, ils en rê
D7vaient,
de la ville et de ses secrets, du formica et du ciGné.
Les vieux, ce n’était pas origiEmnal, quand ils s’essuyaient machi
Gnal
d’un revers de manche les Bmlèvres,
Cmais ils savaient tous à pro
D7pos
tuer la caille ou le perdreau et manger la tome de Gchèvre.
PourCtant,
D7que la montagne est
Bmbelle.
ComAmment peut-
D7on s’imagi
Gner,
G7
Cen voyant un vol d’hiron
Bmdelles,
Amque l’autom
D7ne vient d’arri
Gver
AGvec leurs mains dessous leurs
Emtêtes, ils avaient monté des mu
Grettes
jusqu’au sommet de la colEmline.
AmQu’importe les jours, les an
D7nées,
ils avaient tous l’âme bien née, noueuse comme un pied de Gvigne.
Les vignes, elles courent dans la foEmrêt, le vin ne sera plus ti
Gré,
c’était une horrible piBmquette,
Cmais il faisait des cente
D7naires
à ne plus savoir en faire, s’ils ne vous tournaient pas la Gtête.
REFRAINGDeux chèvres et quelques mou
Emtons, une année bonne et l’autre
Gnon
et sans vacances et sans sorEmties.
AmLes filles veulent aller au
D7bal,
il n’y a rien de plus normal, que de vouloir vivre sa Gvie.
Leur vie, ils seront flics ou fonctionEmnaires, de quoi attendre sans s’en
Gfaire,
que l’heure de la retraite Bmsonne.
CIl faut savoir, ce que l’on
D7aime
et rentrer dans son HLM, manger du poulet aux horGmones.
REFRAIN
la petite diligence Marc Fontenoy
Eb
Mon arrièr’Grand-CmMère
Fmm’a conté
Bb7l’histoire de son mari
Eb
age.
C’est un beau roCmman du
Fmtemps passé,
Bb7qui débuta par un beau voy
Eb
age.D7En ce temps là, pour
Gmaller loin, on
D7connaissait à
Gmpein’ le train.
Et F7l’on trouvait dé
Bb
jà bien beau, la voiCmture et
F7les che
Bb7veaux!
La peEb
tite diligence, sur les beaux chemins de France,
s’en alBb7lait en cahotant, voya
Eb
geurs toujours contents.
Il y avait un vieux notaire, un curé et son bréviaire,
une Bb7fille à marier, un monsieur très distin
Eb
gué.
Le noAb
taire dormait, le cuEb
ré priait, la bell’Bb7rougissait en si
Eb
lence.
Le monAb
sieur parlait et lui Eb
récitait des ronBb
deaux et F7des son
Bb7nets.
La peEb
tite diligence, sur les beaux chemins de France,
s’en alBb7lait en cahotant, par la plui et le beau
Eb
temps.
Lorsque les cheveaux péniblement avaient fait trent’ kilomètres,
à l’hostellerie du ‘Cheval Blanc’ on passait la nuit, pour s’en remettre.
Pour aller de Paris à Tours, il fallait bien au moins huit jours.
Evidemment ça donnait l’temps de s’connaître amplement.
La petite diligence, sur les beaux chemins de France,
s’en allait en cahotant, voyageurs toujours contents.
Lorsque la côte était dure, ils descendaient de voiture
et poussaient allègrement car c’était le règlement.
Le ciel était bleu et le beau monsieur faisait les doux yeux à la belle.
Tandis qu’le curé se disait: ‘ça y est! Ces deux-là j’vais les marier’.
La petite diligence, sur les beaux chemins de France,
arrivait enfin à Tours et c’est tout l’roman d’amour!
C’est toujours pareil en France, mis à part les diligences,
quand on veut se marier, il faut savoir voyager.
Il faut savoir voyager. Hue!
la philosophie - batucada Georges Moustaki
DC’est une jolie bande de joyeux fê
Gtards,
qui se Ccouchent à l’aurore et se lèvent très
Ftard,
ne penDmsant qu’à aimer ou jouer de la gui
Etare.
Ils Fn’ont dans la vie que cette philoso
Aphie
Nous aDmvons toute la vie pour nous amu
Aser
Nous avons toute la mort pour nous repoDmser
Nous aDmvons toute la vie pour nous amu
Aser
Nous avons toute la mort pour nous repoDmser
Ils ne font rien de plus que fêter chaque instant
Saluer la pleine lune, célébrer le printemps
Si bien qu’pour travailler ils n’ont plus guère le temps
Ils n’ont dans la vie que cette philosophieREFRAIN
Et je me reconnais en eux assez souvent
Comme eux je gaspille ma vie à tous les vents
Et je me dis qu’ils sont mes frères ou mes enfants
Ils n’ont dans la vie que cette philosophieREFRAIN
S’ils passent parmi vous, regardez-les bien vivre
Et comme eux soyez fous, et comme eux soyez ivres
Car leur seule folie, c’est vouloir être libres
Ils n’ont dans la vie que cette philosophieREFRAIN
Ils vieilliront aussi qu’ils restent ce qu’ils sont
Des viveurs d’utopie aux étranges façons
Des amants, des poètes, des faiseurs de chansons
Ils n’ont dans la vie que cette philosophieREFRAIN
la porte d’en arrière•
Kate & Anna McGarrigle - The McGarrigle Hour 1999Doris Léon Ménard
G G G G C C G G D D G(intro)
GMoi et la belle on avait été au bal.
On a passé dans tous les honky tonks,
On Ca revenu le lend’main matin,
Le Gjour était après s’casser
J’ai pasDsé dedans la porte d’en ar
Grière.
AGprès midi, moi j’étais au village
Et j’ m’ai soûlé que je pouvais p’us marcher.
Ils Cm’ont ramené back à la maison,
Y aGvait d’la compagnie, c’était du monde étranger.
J’ai pasDsé dedans la porte d’en ar
Grière.
G G G G C C G G D D G(intermezzo)
GMon vieux pére, et quand que j’ai arrivé
Il a essayé de changer mon idée.
J’ai Cpas écouté, non, j’avais trop la tête dure.
‘Un Gjour à venir, mon nèg, tu vas ’voir du r’gret.
T’as pasDsé dedans la porte d’en ar
Grière.’
G G G G C C G Gj’ai pas
Dsé, j’ai pas
Gsé
J’ai Geu un tas d’amis tant que j’avais d’ l’argent.
Asteur j’ai p’us d’argent mais ils voulont p’us m’voir
J’ai éCté dans l’village et moi, je m’ai mis dans le tracas.
La Gloi m’a ramassé, moi, j’su’ parti dans la prison.
On va pasDser dedans la porte d’en ar
Grière.
G G G G C C G Gj’ai pas
Dsé dedans la porte d’en ar
Grière
la puce et le pianiste•
Yves Duteil
Un Djour sur un pia
Gno, une
Apuce élu domi
Dcile,
Elle posa son sac à Gdos, ses af
Afaires de
Dville,
Elle aGvait beaucoup
B7voya
Emgé, beaucoup
Asauté, beaucoup pi
Dqué,
Et pour Gpas qu’on
B7ne la
Emvoie, sur une
Anoire elle s’instal
Dla.
Mais souDdain la lumière appa
Grut et des
Asons frappèrent son o
Dreille,
Une main lui marche desGsus, sa co
Alère fut sans pa
Dreille,
Elle suiGvit ses é
B7volu
Emtions, avec des
Ayeux pleins d’atten
Dtion,
Pour essaGyer de
B7grim
Emper sur la
Amain qui l’avait piéti
Dnée.
Lorsqu’enDfin elle y par
Gvint, elle affi
Ana son ai
Dguille
Et se mit à piquer la Gmain comme on
Adanse la qua
Ddrille,
Mais souGdain la main
B7s’agi
Emta, et son
Arythme s’accélé
Dra,
Et la Gpuce, tout
B7exci
Emtée, de plus
Abelle se mit à pi
Dquer.
Dans la douDleur et la démangeai
Gson, la
Amain se faisait plus ra
Dpide
Ne suivait plus la partiGtion et n’a
Avait plus aucun
Dguide,
Mais dans la Gsalle on ap
B7plaudis
Emsait sans devi
Aner que c’é
Dtait
GGrâce à une
B7puce tout exci
Emtée, que le
Ajazz était
Dné !
la romance de Paris Charles TrenetCharles Trenet
Ils s’aiAmaient depuis deux jours à
E7peine
Y a parfois du bonheur dans la Apeine
Mais deApuis qu’ils ét
Amaient amour
E7eux,
Leur destin n’était plus malheurAeux
E7
Ils viAvaient avec un rêve é
E7trange,
Et ce rêve était bleu comm’les Aanges,
Leur aAmour était
F#7un vrai prin
Bm7temps, oui !
Aussi Apur que leurs
E7tendres vingt
Aans
AC’est la romance de Pa
E7ris
Au coin des rues E7-5elle fleur
A6it,
AÇa met au coeur des
A7amour
Deux
Bm7Un peu de
E7rêve et de ciel
Ableu
ACe doux refrain de nos fau
E7bourgs
Parle si gentiCDIM
ment d’aA6mour
AQue tout le monde en
A7est é
D6pris:
Bm7C’est la ro
Amance
E7de Pa
Aris!
Que tout le A7monde en
A7-5est
D6épris:
Bm7C’est la ro
Amance
E7de Pa
Aris !
La banAlieue était leur vrai do
E7maine,
Ils partaient à la fin d’la seAmaine
Dans les Abois pour cueil
Amlir le mu
E7guet
Ou sur un bateau pour naviAguer
E7
Ils buAvaient aussi dans les guin
E7guettes
Le vin blanc qui fait tourner la Atête,
Et quand Ails se don
F#7naient un bai
Bm7ser,oui!
Tous les Acouples en dan
E7sant se di
Asaient:
REFRAIN
C’est iAci que s’arrêt’ mon his
E7toire,
Aurez-vous de la peine à me Acroire ?
Si j’vous Adis qu’ils s’ai
Ammèr’nt chaque
E7jour,
Qu’ils vieillir’nt avec leur tendre aAmour;
E7
Qu’ils fonAdèrent un’ famille admi
E7rable,
Et qu’ils eur’nt des enfants adoArables,
Qu’ils mouArur’nt genti
F#7ment, incon
Bm7nus, oui!
En parAtant comme
E7ils étaient ve
Anus
REFRAIN
la semaine prochaine Marc LavoineMarc Lavoine
AmAh, on ira, tu verras, la semaine pro
Cchaine
Sur les bords de la GSeine dans le Café Ver
Flaine.
Je vois la scène.
AmEt puis tu me souriras, la semaine pro
Cchaine
Dans ta veste de Glaine, si tu as de la
Fpeine.
Et s’il fait froid.DmLa Madeleine
Amet le Grand Palais
GJe te vois cou
Crir vers moi
DmTu seras mienne,
AmTu seras la même
FMais une
Eautre,
Fune autre,
E
Une autre à chaque Amfois.
AmQuand tu m’verras, tu verras, la semaine pro
Cchaine
J’aurai au bout d’une Gchaîne, une petite
Fcroix
Un peu ancienne.
AmAh, on ira, tu verras, la semaine pro
Cchaine
Sur les bords de la GSeine dans le Café Ver
Flaine.
Je vois la scène.
AmEt puis tu me souriras, la semaine pro
Cchaine
Dans ta veste de Glaine, si tu as de la
Fpeine.
Et s’il fait froid.REFRAIN
AmAh, on ira, tu verras, la semaine pro
Cchaine
Sur les bords de la GSeine dans le Café Ver
Flaine.
Je vois la scène.
Je reviendrai te chercher, la semaine prochaine
Dans l’eau de la fontaine où l’on s’est embrassé.
A perdre haleine.REFRAIN
Ah, je l’attends, je l’attends, la semaine prochaine.
Comme les autres semaines, j’adore que tu reviennes.
Je suis déjà là.
Oui je t’entends, je te vois, la semaine prochaine.
Chanter cette rengaine, comme mille sirènes.
Dans ta jolie voix.
REFRAIN (2×)
la tendresse Bourvil / Marie LaforetNoël Roux ™ Hubert Giraud
AbmOn peut vivre sans ri
Echesse,
F#
presque sans le Bsou
EDes seigneurs et des princesses,
Eb
y’en n’a plus beauAbmcoup
C#mMais vivre sans ten
Abmdresse,
C#mon ne le pourrait
Abmpas
ENon, non, non,
Bnon.
Eb
On ne le pourrait Abmpas
AbmOn peut vivre sans la
Egloire,
F#
qui ne prouve Brien
EÊtre inconnu dans l’histoire
Eb
et s’en trouver Abmbien
Mais C#mvivre sans ten
Abmdresse, il
C#mn’en est pas ques
Abmtion
ENon non non
Bnon, il
Eb
n’en est pas quesAbmtion
BQuelle douce fai
F#
blesseBQuel joli senti
F#
mentAbmCe besoin de ten
Eb
dresseAbmQui nous vient en nais
Eb
sant
VraiEb
ment vraiEb
ment vraiEb7ment
AbmLe travail est néces
Esaire,
F#
mais s’il faut resBter
EDes semaines sans rien faire,
Eb
eh bien, on s’y Abmfait
Mais C#mvivre sans ten
Abmdresse, le
C#mtemps vous paraît
Abmlong
ELong long long
Blong, le
Eb
temps vous parait Abmlong
AmDans le feu de la jeu
Fnesse
Gnaissent les plai
Csirs
FEt l’amour fait des prouesses
Epour nous éblou
Amir
E7Oui, mais sans la ten
Amdresse
E7l’amour ne serait
Amrien.
GNon, non, non,
Cnon.
E7L’amour ne serait
Amrien.
AmQuand la vie impitoy
Fable
Gvous tombe des
Csus
FOn est plus qu’un pauvre diable,
Ebroyé et dé
Amçu
E7Alors sans la ten
Amdresse d’un
E7coeur qui nous sou
Amtient
GNon, non, non,
Cnon. On
E7n’irait pas plus
Amloin
CUn enfant vous em
Gbrasse
CParce qu’on le rend heu
Greux
AmTous nos chagrins s’ef
Efacent
AmOn a les larmes aux
Eyeux
Mon EDieu mon
EDieu mon
E7Dieu
AmDans votre immense sa
Fgesse,
Gimmense fer
Cveur
FFaites donc pleuvoir sans cesse au
Efond de nos
Amcoeurs
E7Des torrents de ten
Amdresse
E7pour que règne l’a
Ammour
GRègne l’a
Cmour jus
E7qu’à la fin des
Amjours
la vie en rose Édith Piaf ™ Édith Piaf & L. Louiguy
A7Tes yeux
Dfont baisser les miens,
un B7rire qui
Emse perd sur sa bouche,
voiA7là le
Dportrait sans re
Am6touche
de l’homme B7auquel j’appar
A7tiens.
DQuand il me prend dans ses
DM7bras, il me parle tout
D6bas, je vois la vie en
Em7ro–
A7se.
Em7il me
A7dit des mots d’a
Em6mour, des
A7mots de tous les
Em7jours et
A7ça m’fait quelque
Bmcho
A7se.
DIl est rentré dans mon
DM7coeur, une part de bon
D6heur, dont je con
Em7nais la
Gcause.
Gm6C’est lui pour moi, moi par
Dlui dans la vie.
E7Il me l’a dit, l’a juré pour la
Bm7vi––
A7e
Det dès que je l’aper
DM7çois alors je sens en
Em7moi mon
A7coeur qui
Dbat.
A7Des nuits
Dd’amour à en mourir,
un B7grand bon
Emheur qui prend sa place,
les enA7nuis, les
Dchagrins s’ef
Am6facent.
Heureux, heuB7reux pour mon plai
A7sir.
REFRAIN
Am6o o
12 3 4
DM7(o) (o) o
1 2 3
D6o o
1 3
Em6o o o
2 3 4
Gm6
1 1 1 1 1 1III
2 3 4
le ciel, le soleil et la mer François Deguelt
Il y Dm7a le
G7ciel, le so
C6leil et la
Ammer.
Il y Dm7a le
G7ciel, le so
C6leil et la
Ammer.
AllonCgés sur la
Amplage, les che
Dm7veux dans les
G7yeux
et le Cnez dans le
Amsable, on est
Fbien tous les
E7deux.
C’est l’éAmté, les va
Fcances, oh mon
CDIM
dieu, quelle G7chance!
REFRAIN
Ma caCbane est en
Amplanches et le
Dm7lit n’est pas
G7grand.
Tous les Cjours, c’est di
Ammanche et nous
Fdormons long
E7temps.
à miAmdi, sur la
Fplage les a
CDIM
mis de notre G7âge
Chantent Dm7tous: le
G7ciel, le so
C6leil et la
Ammer.
Chantent Dm7tous: le
G7ciel, le so
C6leil et la
Ammer.
Et le Csoir tous en
Amsemble quand nous
Dm7allons dan
G7ser.
Un air Cqui te res
Amsemble vient tou
Fjours te cher
E7cher.
Il parAmle de va
Fcances et d’a
CDIM
mour et de G7chance.
En chanDm7tant: le
G7ciel, le so
C6leil et la
Ammer.
En chanDm7tant: le
G7ciel, le so
C6leil et la
Ammer.
Quelque Cpart en sep
Amtembre nous nous
Dm7retrouve
G7rons.
Et le Csoir dans ta
Amchambre nous
Frechante
E7rons.
Malgré Amle vent d’au
Ftomne et les
CDIM
pluies monoG7tones.
Nous auDm7rons le
G7ciel, le so
C6leil et la
Ammer.
Nous auDm7rons le
G7ciel, le so
C6leil et la
Ammer.
C6o o
12 3
4
CDIMx x
1 23 4
le chemin de papa Pierre Delanoë ™ Joe Dassin
Bbm Ab F# Fm Ebm Db CDIM F7(intro)BbmIl etait un peu poète et un peu vaga
Ebond,
E7Il n’avait jamais connu ni patrie, ni pa
Bbmtron.
Il venait de n’importe oû, alBb
lait aux quatre Dmvents,
Mais dedans sa rouBbmlotte nous
Eetions dix en
Bbmfants.
Et le soir, auGtour d’un feu de
Ccamp,
E
On réBbmvait d’une maison
Gblanche, en chan
Ctant:
Qu’il est long, qu’il est loin, ton cheGmin, papa,
C’est vraiG7ment fatigant d’aller
Coû tu vas!
Qu’il est long, qu’il est loin, ton cheGmin, papa,
Tu deG7vrais t’arréter dans ce
Ecoin!
Mais il ne nous ecoutait pas, et dès le petit jour
La famille reprenait son voyage au long cours.
A peine le temps pour notre mère de laver sa chemise -
Et le voilà reparti pour une nouvelle terre promise.
Et le soir, autour d’un feu de camp,
Elle révait d’une maison blanche, en chantant:REFRAIN
Et c’est ainsi que cahotant à travers les saisons,
C’est ainsi que regardant par-dessus l’horizon,
Sans même s’en apercevoir, not’ père nous a semés
Aux quatre coins du monde, comme des grains de blé.
Et quelque part au bout de l’univers
Roule encore la vieille roulotte de mon père:REFRAIN
le chène liège •Francis Cabrel
Francis Cabrel
Bb Gm Bb Gm(intro)
AdosBb
sé à un chéne liège, je descenGmdais quelques arpèges
En priant DmDieu ou Bouddha, que sais-je? Est-ce que tu
Eb
penses à nous un Fpeu?
DSUS D
Le monde est aux Bb
mains de stratèges, costumes Gmnoirs, cravates beiges,
turbans Dmblancs comme la neige, qui jouent de
Eb
bien drôles de Bb
jeux
Il y a Gmdans nos attelages des gens de rai
Eb
son, de courage,
Dans tous les Bb
camps, de tous les âges, dont le seul Frêve est d’être heureux.
On a dresBb
sé des cathédrales des flèches à touGmcher les étoiles
Dit des priDmères monumentales, qu’est-ce qu’on
Eb
pouvait faire de Bb
mieux?
Êtes-vous Bb
là? Êtes-vous proches? Ou trop Gmloin pour entendre nos cloches?
Gardez-vous les Dmmains dans les poches? Est-ce vos
Eb
larmes quand il Fpleut?
FSUS F
D’en haut de Bb
vos très blanches loges les voyez-Gmvous qui s’interrogent.
Millions de fourDmmis qui pataugent, la tête tour
Eb
née vers les Bb
cieux.
Sommes-nous Gmseuls dans cette histoire? Les seuls à
Eb
continuer à croire.
Regardons-Bb
nous vers le bon phare, où le ciel Fest-il vide et creux?
AdosBb
sé à un chêne liège, pris comme Gmdans les fils d’un piège.
Je descenDmdais quelques arpèges, je n’avais
Eb
rien trouvé de Bb
mieux. Gm Dm Eb Bb
Où êtes-Gmvous dans l’atmosphère? On vous at
Eb
tend on vous espère.
Mais c’est le Bb
doute et le mystère, que vous m’auFrez appris le mieux?
AdosBb
sé à un chêne liège. Gm
Je descenDmdais quelques arpèges par un a
Eb
près-midi pluBb
vieux. Gm
Je descenDmdais quelques arpèges par un a
Eb
près-midi pluBb
vieux.
le danseur de charleston •Jean-Pierre Moulin
EbmUn gentleman un peu
Bb7noir a une poul’ dans un
Ebmbar,
Eb7offrait champagne et ca
Abmviar et
Bb7entrouvrait sa mé
Ebmmoire.
Bb7
EbmCe gentleman dans son
Bb7frac disait: « Poupée, si je
Ebmclaque,
Eb7je veux que ce soit dans un
Abmlac, un
Bb7lac de cog
Eb
nac. »
Écoute-moi Eb
bien, j’avais trente Bb7ans.
Écoute-moi bien, j’étais tenEb
tant.
Je n’avais C7pas encor’ des
Fmdents
C7en
Fmor.
Les femm’s se F7battaient
Bb7pour m’approcher.
Regarde-moi Eb
bien, qu’est-c’que t’en Bb7penses?
Regarde-moi bien, tu m’trouv’s l’air Eb
rance?
Mais fallait C7fallait m’voir dan
Fmser le
C7Charle
Fmston
quand j’avais F7trente ans
Bb7à Cannes au Carl
Eb
ton.EbmCe gentleman un peu
Bb7noir a tout cassé dans le
Ebmbar,
Eb7puis a sorti ses dol
Abmlars et
Bb7distribué des pour
Ebmboires.
Bb7
EbmCe gentleman dans son
Bb7frac a dit: « Pianist’, v’la dix
Ebmsacs.
Eb7Jou’ les vieux airs sans entr’
Abmacte, eh!
Bb7joue en
Eb
vrac! »
Regarde-moi Eb
bien, gard’ la caBb7dence.
Regarde-moi bien, qu’est-c’que t’en Eb
penses?
Il fallait C7fallait m’voir dan
Fmser le
C7Charle
Fmston
quand j’avais F7trente ans
Bb7à Cannes au Carl
Eb
ton.
le dénicheur FréhelGilbert & Léon Agel © Léo Daniderff 1912
Elle Davait fait sa connais
A7sance
dans Emun bar, un
A7soir, simple
Dment.
Ce fut le hasard d’une A7danse,
qui le fit Emdeve
A7nir son a
Dmant.
Il avait de jolies maA7nières,
du Emtact et beau
A7coup d’instruc
Dtion,
sachant faire de bonnes afAfaires,
c’éBmtait là tout’
E7sa profes
Asion.
Comm’ Aelle avait
Emun peu d’ar
Agent,
ils s’ Emmirent en mé
A7nage tranquille
Dment.
On Dl’appelait le dénicheur,
il était ruB7sé comme une
Emfouine.
C’était un gars qu’avait du A7coeur
et qui dénichait des comDbines,
Il vivait comme un grand seigneur
et B7quand on rencontrait sa
Emdame,
on Grépétait
GDIM
sur toutes les Dgammes:
voiA7là la femme à déni
Dcheur.
Les combines ça dure, ce que ça dure.
La chance tourne et puis s’en va.
On perd le goût des aventures,
quand le noir vous suit pas à pas.
N’ayant plus confiance en lui-même,
un soir qu’il était sans un sou,
afin de résoudre le problème,
le dénicheur fit un sale coup.
Mais comme il rentrait au logis,
en pleurant son amie lui dit:
On Dt’appelait le dénicheur,
toi, qu’étais ruB7sé comme une
Emfouine.
Je croyais trouver le bonA7heur
près de toi, avec tes comDbines.
Adieu, c’est fini, pars sans peur,
je B7saurai souffrir et me
Emtaire.
MalGgré mon cha
GDIM
grin, je préDfère
aA7bandonner le déni
Dcheur.
le diner BénabarBénabar
BmJ’veux pas y aller à ce diner, j’ai pas l’moral j’suis fati
Ggué
Ils nous en voudront F#
pas, alors on y va Bmpas.
En plus faut qu’j’fasse un régime, ma chemise me bouGdine
J’ai l’air d’une chipolaF#
ta, je peux pas sortir comme Bmça.
BCa n’a rien à
Emvoir,
C#
j’les aime bien tes aF#mmis,
Emmais je veux pas les
Dvoir,
Aparce que j’ai pas envie.
On s’en Dfout, on y va pas, on a qu’à s’
F#mcacher sous les draps
On comBmmandera une pizza, toi,
Ala télé, et moi.
On Dappelle, on s’excuse, on impro
F#mvise, on trouve quelque chose.
On a qu’à Gdire à tes a
F#
mis, qu’on les aime Bmpas, et puis tant pis.
J’suis pas d’humeur, tout me déprime et il se trouve que par hasard
y’a un super bon film à la télé ce soir.
Un chef d’oeuvre du septième art, que je voudrais revoir,
un programme très engagé sur la police de Saint Tropez.
C’est une satyre sociale dont le personnage central
est joué par De Funès, en plus y’a des extraterrestres.CHORUS
On s’en Dfout on y va
F#mpas, on a qu’à
Bmse cacher
Asous les draps.
On command’Dra des piz
F#mzas,
Bmtoi, la té
Alé, et
Bmmoi.
J’ai des frissons, je me sens faible, je crois qu’je suis souffrant,
ce serait pas raisonnable, de sortir maintenant.
J préfère pas prendre de risque, c’est peut-être contagieux,
il vaut mieux que je reste, ça m’ennuie mais c’est mieux.
Tu me traites d’égoïste, comment ose tu dire ça ?
Moi qui suis malheureux et triste et j’ai même pas de home cinema.CHORUS
On s’en Dfout on y va
F#mpas, on a qu’à
Bmse cacher
Asous les draps.
On command’Dra des piz
F#mzas,
Bmtoi, la té
Alé, et
Bmmoi.
le gorille •
Georges BrassensGeorges Brassens
DC’est à travers de larges grilles, que les femelles du can
A7ton,
Contemplaient un puissant gorille, sans souci du qu’en-dira-t-Don,
Avec impudeur, ces commères lorgnaient même un endroit préA7cis,
Que, rigoureusement ma mère m’a défendu de nommer Dici...
Gare au goDri_
A7i_
Di_
A7il_
Dle!
Tout à coup, la prison bien close, où vivait le bel animal,
S’ouvre, on ne sait pourquoi, je suppose, qu’on avait du la fermer mal,
Le singe, en sortant de sa cage, dit ‘c’est aujourd’hui que je le perds!’
Il parlait de son pucelage, vous avez deviné, j’espère!
Le patron de la ménagerie criait, éperdu: ‘Nom de nom!
C’est assomant car le gorille n’a jamais connu de guenon!’
Dès que la féminine engeance sut que le singe était puceau,
Au lieu de profiter de la chance, elle fit feu des deux fuseaux!
Celles là même qui, naguère, le couvaient d’un oeil décidé,
Fuirent, prouvant qu’elles n’avaient guère de la suite dans les idées,
D’autant plus vaine était leur crainte, que le gorille est un luron
Supérieur à l’homme dans l’étreinte, bien des femmes vous le diront!
Tout le monde se précipite hors d’atteinte du singe en rute
Sauf une vielle décrépite et un jeune juge en bois brut,
Voyant que toutes se dérobent, le quadrumane accéléra
Son dandinement vers les robes de la vieille et du magistrat!
‘Bah ! soupirait la centenaire, qu’on puisse encore me désirer,
Ce serait extraordinaire, et, pour tout dire, inespéré!’
Le juge pensait, impassible, ‘Qu’on me prenne pour une guenon,
C’est complètement impossible...’ la suite lui prouva que non!
Supposez que l’un de vous puisse être, comme le singe, obligé de
Violer un juge ou une ancètre, lequel choisirait-il des deux?
Qu’une alternative pareille, un de ces quatres jours, m’échoie,
C’est, j’en suis convaicu, la vieille, qui sera l’objet de mon choix!
Mais, par malheur, si le gorille aux jeux de l’amour vaut son prix,
On sait qu’en revanche il ne brille ni par le goùt, ni par l’esprit.
Lors, au lieu d’opter pour la vieille, comme aurait fait n’importe qui,
Il saisit le juge à l’oreille et l’entraïna dans un maquis!
La suite serait délectable, malheureusement, je ne peux
Pas la dire, et c’est regrettable, ça nous aurait fait rire un peu.
Car le juge, au moment suprême, criait: ‘Maman!’, pleurait beaucoup,
Comme l’homme auquel, le jour même, il avait fait trancher le cou.
le loup, la biche et le chevalier •Maurice Pon ™ Henri Salvador
CUne chanson douce,
Dmque me chantait
G7ma ma
Cman,
Dm Em Dm
Cen suçant mon pouce,
Dmj’écoutais en
G7m’endor
Cmant.
Dm G
CCette chanson douce,
Dmje veux la chan
G7ter pour
Ctoi,
Dm Em Dm
Ccar ta peau est douce
Dmcomme la mous
G7se des
Cbois.
Ab
La petite biche est aux abois.
Dans le bois, se cache le Cloup,
Eb
ouh, Douh,
Db
ouh Couh !
Ab
Mais le brave chevalier passa.
Il prit la biche dans ses Cbras.
Bb7La,
A7la,
Ab7la,
G7la.
CLa petite biche,
Dmce sera toi,
G7si tu
Cveux.
Dm Em Dm
CLe loup, on s’en fiche,
Dmcontre lui, nous
G7serons
Cdeux.
Dm G
C#
une chanson douce, Ebmpour tous les pe
Ab7tits en
C#
fants.Ebm Fm Ebm
C#
Une chanson douce, Ebmque me chantait
Ab7ma ma
C#
man, AÔ le joli conte que voilà,
la biche, en femme, se chanC#
gea,Ela,
Eb
la, Dla,
C#
laAEt dans les bras du beau chevalier,
belle princesse elle est resC#
tée,B7à
Bb7tout
A7ja
Ab7mais.
C#
La jolie princesse Ebmavait tes jo
Ab7lis che
C#
veux, Ebm Fm Ebm
C#
la même caresse Ebmse lit au fond
Ab7de tes
C#
yeux. Ebm Ab
C#
Cette chanson douce, Ebmje veux la chan
Ab7ter aus
C#
si, Ebm Fm Ebm
C#
pour toi, ô ma douce, Ebmjusqu’à la fin
Ab7de ma
C#
vie, Ebmjusqu’à la fin
Ab7de ma
C#
vie. (n×)
le métèque Georges Moustaki
Bb
Avec ma geule de métèque de juif errant de pâtre grec et mes cheveux aux quatre F7vents.
Avec mes yeux tout delavés qui me donnent l’air de rêver moi qui ne rêve plus souBb
vent.
Avec mes mains de maraudeur de musicien et de rôdeur qui ont pillé tant de jarF7dins.
Eb
Avec ma bouche qui a Dmbu, qui a embrassé et mor
Cm7du sans jamais
F7assouvir sa
Bb
faim.
Bb
Avec ma geule de métèque de juif errant de pâtre grec de voleur et de vagaF7bond.
Avec ma peau qui s’est frottée au soleil de tous les étés et tous ce qui portait juBb
pon.
Avec mon coeur qui a su faire, souffrir autant qu’il a souffert sans pour cela faire d’hisF7toires.
Eb
Avec mon âme qui n’a Dmplus la moindre chance de sa
Cm7lut pour évi
F7ter le purga
Bb
toire.
Bb
Avec ma geule de métèque de juif errant de pâtre grec et mes cheveux aux quatre F7vents.
Je viendrai, ma douce captiv’, mon âme soeur, ma source de viv’, je viendrai boire tes vingt Bb
ans.
Et je serai prince du sang rêveur ou bien adolescent comme il te plaira de choiF7sir.
Eb
Et nous ferons de chaque Dmjour, toute une éternité d’a
Cm7mour que nous vi
F7vrons à en mou
Bb
rir. (2×)
le moribond Jacques BrelJacques Brel
GAdieu l’Emile je t’aimais bien, adieu l’Emile je t’aimais
Abien tu sais
On a chanté les Dmêmes
Gvins
On a chanté les mêmes Afilles
DOn a chanté les mêmes chag
Grins
Adieu l’Emile je vais mourir, c’est dur de mourir au prinAtemps tu sais
Mais je pars aux fleurs la Dpaix dans
Gl’âme
Car vu qu’t’es bon comme du pain Ablanc
DJe sais vu qu’tu tu prendras soin de ma
Gfemme
J’veux qu’on rit, j’veux qu’on danse. J’veux qu’on s’amus’ comme’ des Afous.
J’veux qu’on rit, j’veux qu’on danse, quand c’est qu’on m’metDtra dans l’
Gtrou.
Adieu curé je t’aimais bien, adieu curé je t’aimais bien tu sais
On était pas du même bord,
On était pas du mêm’ chemin
Mais on cherchait le même port
Adieu curé je vais mourir, c’est dur de mourir au printemps tu sais
Mais j’pars aux fleurs la paix dans l’âme
Car vu qu’t’étais son confident
Je sais qu’tu prendras soin d’ma femme.
REFRAIN
Adieu l’Antoine, j’t’aimais pas bien, adieu l’Antoine j’t’aimais pas bien tu sais
J’en crève de crever aujourd’hui
Alors que toi t’es bien vivant
Et mêm’ plus solid’ que l’ennui
Adieu l’Antoine je vais mourir, c’est dur de mourir au printemps tu sais
Mais j’pars aux fleurs la paix dans l’âme
Car vu que t’étais son amant
Je sais qu’tu prendras soin d’ma femme.
REFRAIN
Adieu ma femme je t’aimais bien, adieu ma femme je t’aimais bien tu sais
Mais je prends 1’ train pour le Bon Dieu
Je prends le train qu’est avant 1’ tien
Mais on prend tous le train qu’on peut
Adieu ma femme je vais mourir, c’est dur de mourir au printemps tu sais
Mais j’pars aux fleurs les yeux fermés ma femme
Car vu qu’j’les ai fermés souvent
Je sais qu’tu prendras soin d’mon âme.
REFRAIN
le petit bonhomme en mousse Patrick SébastienPatrick Boutot & Bertran Jordi
F7 F7 Bb Bb
(intro)
Le peBb
tit bonhomme en mousse,
qui s’élance et rate le plonCmgeoir,
c’est comme la chanson F7douce,
que chantait ta maman le Bb
soir.
La peBb
tite, petite marionnette,
qui s’étale et qui s’enCmtête,
c’est l’enfance qui reF7vient,
le soir où tu as du chaBb
grin.Bb
Quand ta vie se traîne,Cmquand t’as de la peine,F7quand personne t’aime,Bb
que t’as des problèmes,Bb
quand la vie est dure,Cmplus d’une aventure,F7rien que des blessures,Bb
vilaine figure.Bb
Ne pleure F7pas.
F7Ne t’en fais
Bb
pas.Bb
Regarde-F7moi
C7et n’oublie
F7pas.
REFRAIN
La la la la la...
le petit pain au chocolat •Joe Dassin
FTous les matins il achetait son p’tit pain au choco
Clat,
La boulangère lui souriait, il ne la regardait Fpas,
Et pourF7tant, elle etait belle,
les cliBb
ents ne voyaient qu’elle...BbmIl faut dire qu’elle
Fétait vraiment très croustil
Clante, autant que ses crois
Fsants.
F7
BbmEt elle rèvait, melanco
Flique, le soir dans sa bou
Ctique, à ce jeune homme dis
Ftant.
C#
F#
Il était myope, voilà tout, mais elle ne le savait C#
pas.
Il vivait dans un monde flou où les nuages volaient F#
pas.
Il ne voyait F#7pas, qu’elle etait belle,
il ne savait Bpas, qu’elle etait celle,
Bmque le destin
F#
lui envoyait à l’aveugC#
lette, pour faire son bonF#
heur...F#7
BmEt la fille qui n’était pas
F#
bète, acheta des luC#
nettes à l’elu de son F#
coeur.D
GDans l’odeur chaude des galettes et des baguettes et des ba
Dbas
Dans la boulangerie en fête un soir on les mariGa.
Toute en G7blanc - qu’elle etait belle!
Les cliCents ne voyaient qu’elle...
CmEt de leur uni
Gon sont nes des tas des petits
Dgosses, myopes comme pa
Gpa,
G7
CmGambadant parmi les bri
Goches, se remplissant les
Dpoches de p’tits pains au choco
Glat.
G D G(intermezzo)
Et pourG7tant, elle etait belle,
les cliCents ne voyaient qu’elle...
CmEt quand on y
Gpense, la vie est très bien
Dfaite: il suffit de si
Gpeu.
G7
CmD’une simple paire de lu
Gnettes pour accrocher deux
Dêtres et pour qu’ils soient heu
Greux.
le petit pont de bois•
Yves Duteil
D DDIM A7 D(intro)
Tu Dte souviens-tu du pont qu’on
Gtraversait na
Dguère
pour passer la rivière tout E7près de la mai
Ason.
Le B7petit pont de
Em7bois qui
A7ne tenait plus
Dguère
que Bm7par un grand mys
E7tère et deux piquets tout
A7droits.
D DDIM A7
Le Dpetit pont de bois qui
Gne tenait plus
Dguère
que Dpar un grand mystère et
A7deux piquets tout
Ddroits.
Si tu reviens par là tu verras la rivière
et j’ai refait en pierre le petit pont de bois
puis je l’ai recouvert de rondins de bois verts
pour rendre a la rivière son vieil air d’autrefois
puis je l’ai recouvert de rondins de bois verts
pour rendre a la rivière son vieil air d’autrefois
Elle suit depuis ce temps son cours imaginaire
car il ne pleut plus guère qu’une ou deux fois par an
mais dans ce coin de terre un petit pont bizarre
enjambe un nénuphar au millieu des fougères
mais dans ce coin de terre un petit pont bizarre
enjambe un nénuphar au millieu des fougères
pour Daller nulle part et pourtant j’en suis
Dfier
DDIM A7
Dla la la la .....
A7 D
le plastique c’est fantastique Elmer Food Beat
CBeng, beng, t’as le
Dmcoeur à l’envers
Cjuste avant de te rouler les
Dmmécaniques.
CTu sais que pour lui
Dmfaire l’affaire,
Cil vaudrait mieux sortir
Dmles élastiques.
Eb Bb Cm Bb Eb Bb C
Eb
Ouh Bb
hi Cmhou
Bb
hou Eb
(ter)Bb C
Beng, beng, les guibolles en compote,
lorsqui’il est temps de passer à l’action.
Petit lapin couvre-toi la carotte,
si tu sens qu’elle en a après tes rognons.
D’accord ce n’est pas réellement du gâteau,
mais la cellophane te préserve le morceau.
Surtout ne reviens pas sur ta décision,
tant pis si tu y perds de l’inclinaison.Bb
Bienv’nue au club et félicitations.Bb
Le plastique c’est Dmfantastique,
Eb
le caoutchouc super-Fdoux.
Bb
Nous l’affirmons sans Dmcomplexe,
Eb
nous sommes adeptes Fdu latex.
Bb
Le plastique c’est Dmfantastique,
Eb
le caoutchouc super-Fdoux.
Bb
Nous l’affirmons sans Dmcomplexe,
Eb
nous sommes adeptes Fdu latex.
Non, non, plus jamais les chocottes
de te choper la mort ou bien un mouflet.
Pas vaiment tout nu quand tu ôtes la culotte,
mais il vaut mieux ça que d’éternels regrets.
Plus la peine de fêter tous les lavabos,
chaque fois qu’une fille te rendra amour-fou.
Il suffit de t’enrober la libido
pour passer la nuit à lui faire le voyou.Bb
Bienv’nue au club, on est tous avec vous.
REFRAIN
Et puis ne serait-il pas un peu trop facile,
de faire la chose sans rien se mettre tout au bout.
Il nous semble aisé de n’être qu’érectile,
lorsque l’on peut être élégant de partout.
Entre nous:
REFRAIN
le portugais •Joe Dassin
Cm Gm7 Cm Gm7 Cm(intro)
ACmvec son
Gm7marteau pi
Cmqueur il
Gm7creuse le sil
Cmlon de la
Gm7route de de
Cmmain.
Eb
Il Bb7y met du
Eb
coeur. Le soBb7leil et le
Eb
gel sont éBb7crits sur ses
Eb
mains.
Le PortuAb
gais dans son cire tout Eb
rouge qui resFmsemble à un épouvan
G7tail.
As-tu Cmvu l’é
Gm7trange labou
Cmreur des prai
Gm7ries de bé
Cmton et des
Gm7champs de ro
Cmcailles.
Eb
Il faut en faire des voyages, il faut en faire du cheBb7min.
Ce n’est plus (que) dans son village qu’on peut gagner son Eb
pain.
Loin de son toit, de sa ville à cinq cents miles vers le Bb7nord.
Le soir dans un bidonville le Portugais s’enEb
dort.CmIl
Gm7est arri
Cmvé à la
Gm7gare d’Auster
Cmlitz voilà
Gm7deux ans dé
Cmjà.
Eb
Il Bb7n’a qu’une i
Eb
dée: gagner Bb7beaucoup d’ar
Eb
gent et reBb7tourner là-
Eb
bas.
Le PortuAb
gais dans son ciret tout Eb
rouge qui resFmsemble à un épouvan
G7tail.
CmIl
Gm7ne t’entends
Cmpas, il est
Gm7sur le che
Cmmin qui mène
Gm7au Portu
Cmgal.
REFRAIN
le sud Nino FerrerNino Ferrer
Eb
C’est un endroit qui resGmsemble à la Loui
Cmsiane,
Ab
à l’ItaEb
lie.
Il y a du linge etenGmdu sur la ter
Cmrasse
Ab
et c’est joEb
li.Ab
On dirait le Eb
Sud Eb7 Ab
Le temps dure longEb
temps Eb7 Ab
Et la vie sûreEb
ment G7 Cm
Plus d’un million d’anFnées
Bb
Ab
Et toujours en éEb
téEb
Y’a plein d’enfants qui se Gmroulent sur la pe
Cmlouse,
Ab
y’a plein de Eb
chiens.
Y’a même un chat, une torGmtue, des poissons
Cmrouges, il
Ab
ne manque Eb
rien.
REFRAINEb
Un jour ou l’autre, il fauGmdra qu’il y ait la
Cmguerre, on
Ab
le sait Eb
bien.
On n’aime pas ça, mais on ne Gmsait pas quoi
Cmfaire, on
Ab
dit c’est le desEb
tin.Ab
Tant pis pour le Eb
Sud Eb7 Ab
C’était pourtant Eb
bien Eb7 Ab
On aurait pu Eb
vivre G7 Cm
Plus d’un million d’anFnées
Bb
Ab
Et toujours en éEb
té
le temps de vivre Georges MoustakiGeorges Moustaki
ANous prend
Erons le
F#mtemps de
C#mvivre,
Dd’être
Alibres
Dmon a
Emour.
ASans pro
Ejets et sans
F#mhabi
C#mtudes,
Dnous pour
Arons rê
Dver notre
Evie
AViens je suis
Elà, je n’at
F#mtends que
C#mtoi.
DTout est pos
Asible,
Dtout est per
Emis?
AViens, é
Ecoute ces
F#mmots qui
C#mvibrent
Dsur les
Amurs du
Dmois de
Emai.
AIls nous
Edisent la
F#mcerti
C#mtude,
Dque tout
Apeut chan
Dger un
Ejour.
CHORUSANous prend
Erons le
F#mtemps de
C#mvivre,
Dd’être
Alibres
Dmon a
Emour.
ASans pro
Ejets et sans
F#mhabi
C#mtudes,
Dnous pour
Arons rê
Dver notre
Evie
le temps du muguet•
Francis Lemarque ™ Vassily Soloviev-Sedoï / Mikhaïl Matoussovski
AmIl est reve
Dmnu, le temps
E7du mu
Amguet
CComme un vieil a
Dmmi retrou
Evé
E7Il est
Amrevenu flâner le
Dmlong des quais
Jusqu’au Ambanc où je
E7t’atten
Amdais
Am7Et
Dmj’ai
E7vu
Amrefleurir
L’éclat de Dmton sourire
AujourE7d’hui plus beau que ja
Ammais
AmLe temps du mu
Dmguet ne du
E7re ja
Ammais
CPlus longtemps que
Dmle mois de
Emai
E7Quand tous
Amses bouquets déjà se
Dmront fanés
Pour nous Amdeux rien n’au
E7ra chan
Amgé
Am7Aus
Dmsi
E7bel
Amle qu’avant
Notre chanDmson d’amour
ChanteE7ra comme au premier
Amjour
AmIl s’en est al
Dmlé, le temps
E7du mu
Amguet
CComme un vieil a
Dmmi fati
Egué
E7Pour toute
Amune année, pour se faire
Dmoublier
En parAmtant il nous
E7a lais
Amsé
Am7Un
Dmpeu
E7de
Amson printemps
Un peu de Dmses vingt ans
Pour s’aiEmer, pour s’ai
E7mer long
Amtemps
le vin me saoule Nicolas Peyrac
D G A7 D G A7(intro)
Le vin me Dsaoule,
Gdonne
A7moi la
Dmain, mes
A7bras s’en
Droulent
Gautour
A7de tes
Dreins.
D7
Le vin m’emGporte
Em7vers d’au
A7tres che
Dmins, ferme la
Bmporte
Em7l’amour nous re
A7SUS
vient. A7
Le vin me Dbrûle,
Gje perds
A7la rai
Dson, le
A7temps re
Dcule,
Gil fuit
A7la mai
Dson.
D7
Le temps s’éGvade,
Em7il res
A7te tes
Dyeux, le temps s’at
Bmtarde,
Em7rien que pour nous
A7SUS
deux. A7
On Da toute la
G6nuit
A7et
Dtant que tu vou
Gdras, la
Dmoitié de la
Bm7vie pour s’ai
E7mer, toi et
A7moi.
Je Dm’appell’ le so
G6leil,
A7tu
Dt’appelles l’oi
Gseau, tu
Dnages dans le
Bmciel, je te
E7brûle la
A7SUS
peau. A7
REFRAIN
Et Ddans notre pri
G6son
A7fai
Dte de cris de
Gjoie, il
Dn’y a plus de sai
Bm7sons, plus de
E7peur, plus de
A7froid.
Et Ddans notre dé
G6sert
A7où
Dtout n’est que so
Gleil, il
Dn’y a plus qu’un é
Bmté qui nous
E7semble éter
A7SUS
nel. A7
REFRAIN
A7SUSo o
1 13 4
G6o o o o
23
les acadiens Michel Fugain & Le Big BazarMaurice Vidalin & Michel Fugain ™ Michel Fugain
GY’a dans le sud de la Louisiane et dans un coin du Cana
Dda
D7Des tas de gars, des tins de femmes
Dqui chant’nt dans la même langue que
Gtoi.
Mais quand ils font de la musique C7C’est celle de Rutus Thibodeau
GIls rêvent encor’ de l’A
F#
méFri
Eque
A7qu’avait rêvée leur grand-papa
qui pensait peu, qui D7pensait pas
GTous les Acadiens, toutes les Acadiennes
Vont sauter, Vont danser sur le vioDlon
Sont Américains, elles sont américaines
La faute à qui donc? La faute à NapoléGon.
Le coton c’est doux, c’est blanc, c’est chouette
Pour s’mette d’la crème sur les joues
Mais ceux qui en font la cueillette
Finiss’nt la journée sur les g’noux
Et puis s’en vont fair’ d’la musique
Comm’ cell’ de Rufus Thibodeaux
Pour oublier que l’Amérique
C’est plus celle de leur grand-papa
C’est bien chang‚ depuis c’temps-là
REFRAIN
Quand ils ont bossé six jours de suite
Pour une poignée d’dollars dévalués
Ils mont’nt dans la vieille Oldsmobile
Et fonc’nt dans la ville d’à côté
Pour écouter de la musique
Celle du grand Rufus Thibodeaux
Et pour repeupler l’Amérique
A la manière de grand-papa
Y’a plus qu’ ca qui ne change pas
REFRAIN
les cerises de monsieur clément •Michel Fugain
Michel Fugain
C Em Am C F G C(intro)
Un certain CClément,
FJean Bap
Ctiste,
qui habitait rue FSaint-Vin
Ccent,
voulant éEmcrire un
Em7compli
Emment,
trempa sa Dm7plume
A7dans le
Dmsang.
Qu’elles étaient Crouges
Amles ce
Emri_i
Cses,
que nous chanFtait Mon
Gsieur Clé
Cment.
C’était plus Cbeau qu’un
FÉvan
Cgile,
c’était des mots de Fmainte
Cnant,
mais il fauEmdrait que
Em7nos en
Emfants
n’attendent Dm7pas comme
A7on at
Dmtend,
qu’elles mûCrissent
Amles ce
Emri_i
Cses,
que nous chanFtait Mon
Gsieur Clé
Cment.
Bien Dm7sûr c’est diffi
Em7ci_i
A7le
de mouDm7rir quand on a vingt
Am7ans,
mais, Dm7pour quelques
Em7ceri_i
A7ses,
que Dm7ne ferait-on
G7au prin
Ctemps
De RépuCblique en
FRépu
Cblique,
toujours cocu, touFjours con
Ctent,
on applauEmdit les
Em7bons tru
Emands
au ventre Dm7rond, au
A7ventre
Dmblanc,
qui nous reCvendent
Amles ce
Emri_i
Cses,
qu’avait rêFvé Mon
G7sieur Clé
Cment
Tous les ponCtifes
Fdes É
Cglises,
tous les suiveurs de Frégi
Cments
voudront nous Emmanger
Em7tout vi
Emvant,
mais ils se Dm7casse
A7ront les
Dmdents
sur les noCyaux de
Amces ce
Emri_i
Cses
du verFger d’Mon
Gsieur Clé
Cment.
REFRAIN
les champs-elysées •Joe DassinPierre Delanoë ™ Mike Wilsh & Mike Deighan
C E7 Am C7 F C D7 G7 C(intro)
Je m’Cbaladais sur l’
E7avenue, le
Am7coeur ouvert à l’
C7inconnu.
J’aFvais envie de
Cdire bonjour à n’
D7importe
G7qui
N’imCporte qui et
E7ce fut toi, je t’ai
Amdit n’
C7importe quoi,
Il Fsuffisait de
Cte parler, pour t’
Dmappri
G7vois
Cer.
CAux
E7Champs-Élys
Amées,
C7
Faux
CChamps-Élys
D7ées.
G7
CAu soleil,
E7sous la pluie,
Amà midi ou
C7à minuit,
FIl y a tout ce que
Cvous voulez aux
DmChamps-
G7Élys
Cées.
Dm G7 C Am Dm G C
CTu m’as dit ‘J’ai
E7rendez-vous dans
Amun sous-sol
C7avec des fous,
Qui Fvivent la guitare
Cà la main, du
D7soir au ma
G7tin’.
AClors je t’ai ac
E7compagnée, on
Ama chanté, on
C7a dansé
Et l’Fon n’a même
Cpas pensé
Dmà s’em
G7brasser
C
REFRAINCHier soir deux
E7inconnus et
Amce matin sur
C7l’avenue,
Deux Famoureux tout
Cétourdis par
D7la longue
G7nuit.
Et Cde l’Étoile à
E7la Concorde, un
Amorchestre à
C7mille cordes,
Tous Fles oiseaux du
Cpoint du jour,
Dmchantent
G7l’armour
C
REFRAIN
les comédiens•
Jacques Plante ™ Charles Aznavour
GViens voir les comé
Emdiens, voir les musi
Cciens,
voir les magiD7ciens, qui arrivent.
GLes comédiens ont instal
Emlé leurs tréteaux.
Ils ont dresCsé leur estrade
et tendu D7des calicots.
GLes comédiens ont parcou
Emru les faubourgs.
Ils ont donCné la parade
à grand renD7fort de tambour.
GDevant l’église une rou
D7lotte peinte en vert
Emavec les
C7chaises d’un thé
D7âtre à ciel ouvert
Get derrière eux comme un cor
Emtège en folie
ils drainent C6tout le pays,
D7les comé
Gdiens.
REFRAINGSi vous voulez voir confon
Emdus les coquins
dans une hisCtoire un peu triste
où tout s’arD7range à la fin.
GSi vous aimez voir trem
Embler les amoureux,
vous lamenCter sur Baptiste
ou rire aD7vec les heureux,
GPoussez la toile et en
D7trez donc vous installer
Emsous les é
C7toiles, le ri
D7deau va se lever...
GQuand les trois coups reten
Emtissent dans la nuit
ils vont reC6naître à la vie,
D7les comé
Gdiens.
REFRAINGLes comédiens ont démon
Emté leurs tréteaux.
Ils ont ôCté leur estrade
et plié D7les calicots.
GIls laisseront au fond du
Emcoeur de chaqun
un peu de Cla sérénade
et du bonD7heur d’Arlequin.
GDemain matin quand le so
D7leil va se lever,
Emils seront
C7loin, et nous croi
D7rons avoir rêvé,
Gmais pour l’instant, ils traver
Emsent dans la nuit
d’autres vilC6lages endormis,
D7les comé
Gdiens.
REFRAIN (nx)
C6o o
12 3
4
les copains d’abord Georges Brassens
Non ce n’éDtait pas le radeau de la Méduse ce bateau
qu’on se le E7dis’ au fond des ports, dis’ au fond des ports
il naviGguait en Père Pénard sur la grand
F#
mare des caF#7nards
et s’app’lait Bmles copains d’a
E7bord, les co
A7pains d’a
Dbord.
Ses fluctuDat nec mergitur, c’était pas d’la littérature
n’en déE7plais’ au jeteur de sort au jeteur de sort
Son capiGtaine et ses mat’lots n’étaient pas des
F#
enfants d’saF#7lauds
mais des aBmmis franco de
E7port des co
A7pains d’a
Dbord.
C’étaient pas Ddes amis de luxe des petits castor et pollux
des gens de E7sodome et gomorrhe sodome et gomorrhe
c’étaient pas Gdes amis choisis par Mon
F#
taigne et la BoëF#7tie
sur le ventre ils Bmse tapaient
E7fort les co
A7pains d’a
Dbord.
C’étaient pas Ddes anges, non plus l’évangile ils l’avaient pas lu,
mais il s’aimaient E7tout’s voil’s dehors, tout’s voil’s dehors
Jean, Pierre, GPaul et compagnie, c’é
F#
tait leur seule litaF#7nie
leur créBmdo, leur confité
E7or aux co
A7pains d’a
Dbord
Au moindre Dcoup de Trafalgar, c’est l’amitié qui prenait l’quart
c’est elle qui E7leur montrait le nord, leur montrait le nord
et quand ils Gétaient en détresse qu’leurs bras lan
F#
çaient des SOF#7S
on aurait Bmdit des séma
E7phores les co
A7pains d’a
Dbord
Au rendez-Dvous des bons copains y’avait pas souvent de lapins
quand l’un d’entre E7eux manquait à bord c’est qu’il était mort
Oui, mais jaGmais, au grand jamais, son trou dans
F#
l’eau ne s’referF#7mait
cent ans aBmprès coquin de
E7sort il man
A7quait en
Dcore
Des bateaux Dj’en ai pris beaucoup, mais le seul qu’ai tenu le coup
qui n’ai jaE7mais viré de bord, mais viré de bord
naviGguait en père pénard sur la grand
F#
mare des caF#7nards
et s’appeBmlait les copains d’a
E7bord, les co
A7pains d’a
Dbord
Des bateaux Dj’en ai pris beaucoup, mais le seul qu’ai tenu le coup
qui n’ai jaE7mais viré de bord, mais viré de bord
naviGguait en père pénard sur la grand
F#
mare des caF#7nards
et s’appeBmlait les copains d’a
E7bord, les co
A7pains d’a
Dbord
... les coA7pains d’a
Dbord.
C7
les feuilles mortes •Yves Montand - Jacques Prévert ™ Joseph Kosma
EmOh! Je voudrais tant que tu te sou
F#7viennes
Amdes jours heureux où nous
B7étions a
Emmis.
BDIM
En ce temps-là, la vie E7était plus
Ambelle
Amet le soleil plus brû
CDIM
lant qu’aujourB7d’hui.
EmLes feuilles mortes se ramassent à la
F#7pelle, tu
Amvois, je n’ai
Bpas ou
Emblié.
DmLes feuilles mortes se ra
E7massent à la
Ampelle,
Amles souvenirs et les
F#7regrets aus
B7si.
Et Emle vent du Nord les em
GDIM
porB7te
Emdans la nuit
D7froide de l’ou
Gbli.
Tu Amvois, je n’ai pas ou
Emblié la chan
GDIM
son que tu me chanB7tais.
C’est une chanAmson
D7qui nous res
Gsemble toi qui m’ai
Ammais
B7et je t’ai
Emmais.
Et nous viAm7vions
D7tous deux en
Gsemble toi qui m’ai
Ammais,
B7moi qui t’ai
Emmais.
Mais la Bvie sépare ceux qui
Ems’aiment tout douce
Am7ment, sans
D7faire du
Gbruit
et la CDIM
mer efface sur le Emsable les
Apas
Amdes a
B7mants désu
Emnis.
EmLes feuilles mortes se ramassent à la
F#7pelle,
Amles souvenirs et les
B7regrets aus
Emsi.
BDIM
Mais mon amour silenE7cieux et fi
Amdèle
Amsourit toujours et re
CDIM
mercie la B7vie.
EmJe t’aimais tant, tu étais si jo
F#7lie, com
Amment veux-tu
Bque je t’ou
Emblie.
DmEn ce temps-là, la vie
E7était plus
Ambelle
Amet le soleil plus brû
F#7lant qu’aujour
B7d’hui.
Tu Emétait ma plus douce
GDIM
a––B7mie,
Emmais je n’ai que
D7faire des re
Ggrets.
Et Amla chanson que tu chan
Emtais, tou
GDIM
jours, toujours, je l’entenB7drai!
REFRAIN
BDIMx x o o
1 2
CDIMx x
1 23 4
GDIMx x
1 23 4
les filles •Garou
Jean-Jacques Goldman
Les Ffilles parlent des gar
Dmçons,
Bb
elles vont aux Ctoilettes à
Fdeux.
Ça feBb
ra pas une chanFson, une chanson
Bb
nette au Cmieux.
Les Ffilles mangent du choco
Dmlat,
Bb
elles ont trop Cchaud ou trop
Ffroid.
Bb
Ont mal au ventre, à la Ftête,
Cau coeur, elles vont mal en
Ffêtes.
Les Ffilles travaillent à l’é
Dmcole,
Bb
elles ont de Cbelles écri
Ftures.
Elles Bb
gardent des mots, des briFcoles dans des
Bb
vieilles boîtes à chausCsures.
Les Ffilles ont des sacs à
Dmmain, les
Bb
filles marchent les Cbras croi
Fsés.
Elles Bb
traînent dans les salles de Fbains, elles
Caiment les fleurs, les bé
Fbés.
Bb
Faut pas généraliCser.
Y’a sûreAmment plein d’excepti
Dmons.
Les étuBb
dier, les cerFner,
c’est mon creCdo, ma mis
Fsion.
Les Ffilles plient bien leurs af
Dmfaires,
Bb
elles jouent Crarement du tam
Fbour.
Elles s’éBb
nervent avec leurs Fmère, qu’elles rap
Bb
pellent chaque Cjour.
Les Ffilles nous font des re
Dmproches, trop
Bb
lent, trop presCsé, pas
Flà.
Oui, trop Bb
loin ou bien trop Fproche, ou pas as
Csez, pas comme
Fça.
REFRAIN
Les Gfilles font des confi
Emdences,
Celles ont
Dune amie d’en
Gfance.
CElles se chamaillent en é
Gquipe, se dis
Cpensent de gymnas
Dtique.
Les Gfilles on voudrait leur
Emplaire,
Cmais on
Dsait pas trop y
Gfaire.
C’est une Clongue étude, un
Gart, qu’on com
Dprend quand c’est trop
Gtard.
CHORUS (2×)CElles nous font pousser le
Dcoeur, les
Bmfilles rendent les hommes
Emmeilleurs.
Et Cplus elles font d’la poli
Gtique,
Dplus not’ monde est paci
Gfique.
les filles de mon pays •Enrico Macias, J. Claudric & P. Cour
CAh, qu’elles sont jo
Flies les filles de
Gmon
Cpays.
Lai lai lai Flai lalai
Glai lai lai lai
Clai.
COui, qu’elles sont jo
Flies les filles de
Gmon
Cpays.
Lai lai lai Flai lalai
Glai lai lai lai
Clai.
Dans leurs yeux brille le soleil des soirs d’été.
La mer y joue avec le ciel et les fait rêver.
Dès qu’elles ont seize ans,
le moindre tourment,
le moindre bonheur
fait battre leur coeur
REFRAIN
Quand un garçon leur fait la cour il sait déjà,
qu’il n’aura rien de leur amour la première fois.
Il doit s’engager,
il doit mériter
la main qu’il retient
déjà dans sa main.CCar elles sont les
Ffilles, les filles de
Gmon
Cpays
Lai lai lai Flai lalai
Glai lai lai lai
Clai.
CL’honneur de la fa
Fmille les filles de
Gmon
Cpays
Lai lai lai Flai lalai
Glai lai lai lai
Clai.
Celui qui sait se faire aimer sera heureux.
Elles n’ont plus rien à refuser à leurs amoureux.
Oui mais pour cela
il faut voir papa,
il faut voir mama,
une bague au doigt.
REFRAIN (2×)
les grands boulevards Yves MontandJacques Plante ™ Traditionnel russe, argmt: Léo Poll
Je Cne suis pas riche
G7à millions, je
G7suis tourneur chez
CCitroën.
J’peux Cpas m’payer des
G7distractions tous les jours de la
Cs’maine.
AusCmsi moi, j’ai mes
G7p’tit’s manies, qui
G7m’font plaisir et
Cmn’coûtent rien.
AinC7si, dès le tra
Fmvail fini, je
D7file entre la
G7port’ Saint-D’nis
et Ab
le Boul’vard des ItaGliens
G+
CJ’aim’ flâner sur les grands boul’vards. Y a
C6tant de choses, tant de choses, tant de choses à
G7voir.
G7On n’a qu’à choisir au hasard.
G7On s’fait des ampoules à zigzaguer parmi la
Cfoule.
CJ’aim’ les baraques et les bazars, les
C6étalages, les loteries et les camelots ba
G7vards.
G7Qui vous débitent leurs bobards.
G7Ça fait passer l’temps et l’on oublie son ca
Cfard.
Quand Cj’ai un’ gosse
G7à bécoter, l’pas
G7sag’ Brady est très
Cutile.
C’est Cchaud l’hiver et
G7frais l’été, c’est calme et c’est tran
Cquille.
Ou Cmbien tous deux on
G7va rêver, d’vant
G7les vitrines des
Cmmagazins.
choiC7sir, elle un’ robe
Fmimprimée et
D7moi un chouett’ cos
G7tum’ rayé
pour Ab
quand je ne s’rai plus sans Gun.
G+
CJ’aim’ flâner sur les grands boul’vards. Y a
C6tant de choses, tant de choses, tant de choses à
G7voir.
Y’a les cafés et leurs comptoirs et puis les terrasses où des p’tit’s femmes se prélassent
Moi, je préfère les Milk-Bars. Y a C6tant de choses, tant de choses, tant de choses à
G7boir.
Des trucs avec un’ paill’ dedans servis par un’ gosse avec un p’tit bonnet blanc.
CJ’aim’ flâner sur les grands boul’vards. Y a
C6tant de choses, tant de choses, tant de choses à
G7voir.
G7On y voit des grands jours d’espoir,
G7des jours de colère, qui font sortir le popu
Claire.
CLà vibre le coeur de Paris, tou
C6jours ardent, parfois frondeur avec ses chants, ses
G7cris.
G7Et de jolis moments d’histoire
G7sont écrits partout le long de nos grands boul’
Cvards.
CJ’aim’ flâner sur les grands boul’vards.
Les C6soirs d’été quand tout le monde aim’ bien se coucher
G7tard
G7On a des chanc’s d’apercevoir
G7deux yeux angéliques que l’ont suit jusqu’à Répu
Cblique
CPuis je retrouv’ mon p’tit hôtel, ma
C6chambre où la fenêtre donne sur un coin de
G7ciel
G7D’où me parviennent comme un appel, toutes les rumeurs, G7toutes les lueurs du monde enchanteur des grands boul’
G7vards.
C6x
1 1 1 1 1III
3 3 3 3
les moulins de mon coeur •Eddy Marnay ™ Michel Legrand
EmComme une pierre que l’on jette dans l’eau vive d’un ruis
B7seau
et qui laisse derrière elle des miliers de ronds dans Eml’eau.
Comme un manège de E7lune avec ses chevaux d’é
Am7toile.
Comme un anneau de SaD7turne, un ballon de carna
GM7val.
Comme le chemin de CM7ronde que font sans cesse les
F#m7-5heures.
Le voyage autour du B7monde d’un tournesol dans sa
EDIM
fleur
tu fais tourner de ton B7nom tous les moulins de mon
Emcoeur.
EmComme un echeveau de laine entre les mains d’un en
B7fant.
Ou les mots d’une rengaine pris dans les harpes du Emvent.
Comme un tourbillon de E7neige. Comme un vol de goé
Am7lands
sur des forets de NorD7vège, sur des moutons d’océ
GM7ans.
Comme le chemin de CM7ronde que font sans cesse les
F#m7-5heures.
Le voyage autour du B7monde d’un tournesol dans sa
EDIM
fleur.
Tu fais tourner de ton B7nom tous les moulins de mon
Emcoeur.
EmCe jour-là près de la source Dieu sait ce que tu m’as
Am7dit.
Mais l’été finit sa D7course, l’oiseau tomba de son
GM7nid.
Et voilà que sur le G7sable, nos pas s’effacent dé
CM7jà.
Et je suis seule à la F#7table qui résonne sous mes
Bmdoigts
comme un tambourin qui E7pleure sous les gouttes de la
Ampluie.
Comme les chansons qui D7meurent aussitôt qu’on les ou
GM7blie.
Et les feuilles de l’auCM7tomne rencontrent des ciels moins
F#m7-5bleus.
Et ton absence leur B7donne la couleur de tes che
Emveux.
Une pierre que l’on jette dans l’eau vive d’un ruisB7seau
et qui laisse derrière elle des miliers de ronds dans EDIM
l’eau.
Aux vents des quatre saiEmsons tu fais tourner de ton
B7nom, tous les moulins de mon
Emcoeur.
GM7o o o
2 13
CM7o o (o) (o)
23
F#m7-5x o
12 3 4
EDIMx x
1 23 4
les trois cloches Les compagnons de la chanson
CVillage au fond de la vallée, comme égaré, presque ignoré.
Voici qu’en la nuit étoiFlée un nouveau né nous est
Cdonné.
Jean-François Nicot il se Fnomme,
Dil est joufflu tendre et ro
Gsé.
CÀ l’Eglise, beau petit homme, de
Fmain tu seras bapti
Csé.
Une cloche sonne, Fsonne, sa voix d’écho en é
Ccho.
Dit au monde, qui s’étonne, c’est pour Jean-François NiFcot.
C’est pour acceuillir une Aâme, une fleur qui s’ouvre au
Dmjour.
À Bb
peine, à peine une Fflamme, encore faible, qui ré
Cclame
protection, tendresse, aFmour.
Village au fond de la vallée, loin des chemins, loin des humains.
Voici qu’après dix-neuf années coeur en émoi le Jean-François
prend pour femme la douce Élise, blanche comme fleur de pommier.
Devant Dieu dans la vieille Eglise, ce jour ils se sont mariés.
Toutes les cloches sonnent, sonnent, leurs voix d’écho en écho.
Merveilleusement couronnent la noce à François Nicot.
Un seul coeur, une seule âme, dit le prêtre et pour toujours
soyez une pure flamme, qui s’élève et qui proclame
la grandeur de votre amour.
Village au fond de la vallée, des jours, des nuits, le temps a fui.
Voici qu’en la nuit étoilée un coeur s’endort, François est mort.
Car toute chair est comme l’herbe, elle est comme la fleur des champs:
Epis fruits mûrs, bouquets et gerbes, hélas vont en se desséchant.
Une cloche sonne, sonne, elle chante dans le vent.
Obsédante et monotone elle redit aux vivants.
Ne tremblez pas coeurs fidèles, Dieu vous fera signe un jour.
Vous trouverez sous son aile avec la vie éternelle
l’éternité de l’amour.
ma liberté •Serge ReggianiGeorges Moustaki
AmMa liberté, long
Dmtemps je t’ai gar
Dm7dée,
Gcomme une perle
G7ra
Cre.
E7
AmMa liberté, c’est
Dmtoi qui m’a aidé
E7à larguer les amarres.
Am
CPour aller n’importe
Foù, pour aller jusqu’au
Cbout
des chemins de forE7tune.
AmPour cueillir en rê
Cvant une rose des
E7vents
sur un rayon de Amlune
AmMa liberté, de
Dmvant tes volon
Dm7tés,
Gmon âme était sou
G7mi
Cse.
E7
AmMa liberté, je
Dmt’avais tout donné,
E7ma dernière chemise.
Am
CEt combien j’ai souf
Ffert, pour pouvoir satis
Cfaire
toutes tes exiE7gences.
AmJ’ai changé de
Cpays, j’ai perdu mes a
E7mis,
pour gagner ta conAmfiance.
AmMa liberté, tu
Dmas su désar
Dm7mer
Gtoutes mes habi
G7tu
Cdes.
E7
AmMa liberté, toi
Dmqui m’a fait aimer,
E7même la solitude.
Am
CToi qui m’as fait sou
Frire, quand je voyais fi
Cnir
une belle avenE7ture.
AmToi qui m’as proté
Cgé, quand j’allais me ca
E7cher,
pour soigner mes blesAmsures.
AmMa liberté, pour
Dmtant je t’ai quit
Dm7tée,
Gune nuit de dé
G7cem
Cbre.
E7
AmJ’ai déserté les
Dmchemins écartés,
E7que nous suivions ensemble.
Am
CLorsque sans me mé
Ffier, les pieds et poings li
Cés,
je me suis laissé E7faire.
DmEt je t’ai trahi
Ampour une prison d’a
Gmour
et sa belle geôAmlière.
ma liberté de penser •Florent PagnyLionel Florence ™ Pascal Obispo
F#mQuitte à tout prendre, prenez mes gosses et la télé, ma brosse à dents, mon revol
Bmver
La voiture ça c’est déja fait avec les interdits bancaires.
Prenez ma femme, le canaF#mpé, le micro-ondes, le frigidaire
Et même jusqu’à ma vie privée, de toute façon à découEvert
Je peux bien vendr’ mon âme au F#mdiable
F#m7 Fm7 E
Avec lui on peut s’arranF#mger
F#m7 Fm7 E
Puisqu’ici tout est négoDciable.
Mais vous n’aurez Epas ma liberté de pen
F#mser
F#mPrenez mon lit, les disques d’or, ma bonne humeur,
Les p’tites cuillères, tout c’qu’à vos yeux a d’la vaBmleur
Et dont je n’ai plus rien à faire
Quitte à tout prendre n’oubliez F#mpas le shit planqué sous l’étagère
Tout c’qui est beau et compte pour moi, j’préfère qu’ça parte à l’abbé EPierre
J’peux donner mon corps à la sciF#mence
F#m7 Fm7 E
Si y a quelq’chose à préleF#mver
F#m7 Fm7 E
Et que ça vous donne bonne consDcience
Mais vous n’aurez Epas ma liberté de pen
F#mser, ma liberté de penser
F#m Bm F#m E(intermezzo)
J’peux vider mes poches sur la F#mtable
F#m7 Fm7 E
Ça fait longtemps qu’elles sont trouF#mées
F#m7 Fm7 E
Baisser mon froque j’en suis caDpable
Mais vous n’aurez Epas ma liberté de pen
F#mser
F#mQuitte à tout prendre et tout solder pour que vos p’tites affaires s’ar
Bmrangent
J’prends juste mon pyjama rayé, j’vous fais cadeau des oranges
Vous pouvez bien même tout garF#mder, j’emporterai rien en enfer
Quitte à tout prendre j’préfère y aller, si l’paradis vous est ofEfert
Hé
Je peux bien vendr’ mon âme au F#mdiable
F#m7 Fm7 E
Avec lui on peut s’arranF#mger
F#m7 Fm7 E
Puisqu’ici tout est négoDciable.
Mais vous n’aurez Epas, non, vous n’aurez pas ma liberté de pen
F#mser, ma liberté de penser
ma preference Julien ClercJean-Loup Dabadi ™ Julien Clerc
C C(intro)CJe le
Gm7sais, sa
A7façon d’être à moi parfois
Dmvous déplait
AuFmtour
G7d’elle et moi le si
Cmlence se fait
CmMais elle est
Ab
ma préféBb
rence à Bb7moi.
F#
Oui, je le sais, cet Abmair d’indiffé
Bb7rence qui est
EbmSa défense vous
Abmfait souvent of
Bb7fense
Mais F#
quand elle est parAbmmi mes amis
Bb7de faïence
EbmDe faïence, je
Abmsais sa défail
Bb7lance.
CJe le
Gm7sais, on
A7ne me croit pas fidèle à
Dmce qu’elle est
Et Fmdéjà vous par
G7lez d’elle à
Cml’imparfait
CmMais elle est
Ab
ma préféBb
rence à Bb7moi.
F#
Il faut le croire, moi Abmseul je sais quand
Bb7elle a froid.
EbmSes regards ne
Abmregardent que
Bb7moi
Par haF#
sard elle Abmaime mon incerti
Bb7tude
EbmPar hasard,
Abmj’aime sa soli
Bb7tude.
C Gm7 A7 Dm Fm G7 Cm Cm Ab Bb Bb7(intermezzo)F#
Il faut le croire, moi Abmseul je sais quand
Bb7elle a froid.
EbmSes regards ne
Abmregardent que
Bb7moi
Par haF#
sard elle Abmaime mon incerti
Bb7tude
EbmPar hasard,
Abmj’aime sa soli
Bb7tude.
CJe le
Gm7sais, sa
A7façon d’être à moi parfois
Dmvous déplait
AuFmtour
G7d’elle et moi le si
Cmlence se fait
CmMais elle est,
Ab
elle est ma Bb
chance à Bb7moi.
Ab
Ma préféBb
rence à Bb7moi.
Ab
Ma préféBb
rence à Bb7moi.
CLa la
Gm7la, la
A7lalalalalalala
Dmla lala
LaFmla
G7lalala la
Cmlalalalala
CLa lala
Ab
ma préféBb
rence à Bb7moi.
Ab
Ma préféBb
rence à Bb7moi.
Ab
Ma préféBb
rence à Bb7moi.
ma solitude REFAIRE !! Georges MoustakiGeorges Moustaki
Pour avoir si souvent dormi avec ma solitude
je m’en suis fait presqu’une amie, une douce habitude
elle ne me quitte pas d’un pas fidèle comme une hombre
elle m’a suivi ......... aux quatre coins du monde.
Non, je ne suis jamais seul avec ma solitude
Quand elle est au coeur de mon lit, elle prend toute la place
et nous passons de longues nuits tous les deux face à face
je ne sais vraiement pas jusqu’où ira cette complice
faudra-t-il que j’y prenne gout où que je réagisse.
REFRAIN
Pareil le géotant t’appris que j’ai versé des larmes
si parfois je la répudis jamais elle me desarme
et si je préfère l’amour d’une autre courtisane
elle sera à mon dernier jour, ma dernière compagne.
REFRAIN
maintenant je reviens•
Jean-Louis AubertJean-Louis Aubert
C C C Am7 Dm G(intro)CMaintenant
Am7je reviens
Dmà ce que j’ai tou
Gjours été
Je reCviens à
Ampieds, re
Dmviens en fé
Gvrier
CMaintenant
Am7je reviens
Dm(à) ce pourquoi
Gje suis fait
Je reCviens
Amchanter,
Dmest-ce bien
Gun métier?
Je reEmviens de
Am7tout.
Ce qui Dmn’est pas moi. Non,
ce n’éGtait pas moi.
Je reEmviens vers
Amvous
et je n’en Dmreviens pas
d’être Gtoujours là.
CMaintenant
Am7je reviens
Dm(à) ce que j’ai tou
Gjours été
Je reCviens
Ammouillé
Dmet même un
Gpeu ridé
CMaintenant
Am7je reviens à ce
Dmpourquoi
Gje suis fait
Je reCviens te
Amchercher, je re
Dmviens chan
Gter
REFRAINCMaintenant,
Am7 Dm G
Cmaintenant,
Am7 Dm G
Cmaintenant,
Am7 Dm G
Un Cpeu cabos
Amsé, mais je l’ai
Dmbien cher
Gché
Je reEmviens de
Am7tout
et Dmj’ai bien appris,
j’ai apGpris la vie.
Je reEmviens vers
Am7vous
et je Dmn’en reviens pas
d’être Gtoujours là.
Je reEmviens vers
Am7vous,
Non, Dmje n’en reviens pas
et Gtoi avec moi
CMaintenant
Am7je reviens, je re
Dmviens, re
Gviens à pieds.
ReCviens par les
Amsentiers, re
Dmviens en fé
Gvrier.
CMaintenant
Am7je reviens à ce
Dmque j’ai tou
Gjours aimé.
Je Creviens vers
Amtoi, je re
Dmviens te cher
Gcher.
C
maladie d’amour Henri SalvadorM. Lanjean & L. Soime ™ Henri Salvador & L. Soime
E7Maladie d’a
Amour, mala
B7die de la jeu
Enesse
si tu n’aimes que B7moi, reste tout près de
Emoi.
E7Oh, maladie d’a
Amour, mala
B7die de la jeu
Enesse
si tu n’aimes que Amoi, reste tout près de
B7moi.
Quand l’amour est peEtit, c’est joli, si jo
B7li,
mais quand il devient B7fort, méfiez-vous mes
Eamis.
Caché sous le feuilE7lage c’est comm’un serpent
Agris.
Oh, n’allez pas Equand il dort
B7surtout le
Eréveiller.
AN’allez pas
Ecar il mord,
B7si vous le
Eréveillez.
REFREIN
L’amour est tout peEtit, c’est joli, si jo
B7li,
mais quand il devient B7fort, c’est plus beau que
Ela vie.
J’irai e sous le feuilE7lage chercher le serpent
Agris.
Oh, car l’amour Ec’est la mort,
B7mais c’est aus
Esi la vie.
ACar l’amour
Ec’est la mort
B7et c’est le
Eparadie.
REFREINE B7 B7 E E7 A(intermezzo)
N’allez pas Equand il dort
B7surtout le
Eréveiller.
AN’allez pas
Ecar il mord,
B7si vous le
Eréveillez.
REFREIN
marina Jean Broussolle ™ Rocco Granata
L’aGmour n’est pas toujours ce que l’on pense
et quand on a le coeur plein d’impaD7tience
on sait très bien, très bien quand ça commence,
mais on oublie comment ça peut fiGnir!
MaGrina, Marina, Ma
D7rina, je sais qu’il est bon d’être ai
Gmé.
Mais n’va pas, ne vas pas MaD7rina courir au devant des bai
Gsers.
Sans être cerD7taine qu’on t’aime, qu’on
Gt’aime,
qu’on t’aime autant qu’toi D7même.
Oh, non, non, non, non, Gnon!
Si l’amour t’inD7vite, t’invite, t’in
Gvite
ne réponds pas de D7suite.
Oh, non, non, non, non, Gnon!
MaGrina, Marina, pe
D7tite, écoute la voix de ton
Gcoeur.
Mais n’va pas, ne vas pas trop D7vite courir au devant du bon
Gheur.
Ne va pas trop D7vite, trop vite, trop
Gvite
éffeuiller la margueD7rite.
Oh, non, non, non, non, Gnon!
Sois tendr’et coD7quette, coquette, co
Gquette,
mais n’perds jamais la D7tête.
Oh, non, non, non, non, Gnon!
méditerranée Raymond Vincy, Michel Lehman, Henri Wernert ™ Francis Lopez
Sous le cliEb
mat qui fait chanter tout le Midi,
sous le soleil qui fait mûrir les ritourBb7nelles,
dans tous les coins on se croirait au Paradis.
Près d’une mer toujours plu bleue, toujours plus FDIM
bel-Eb
le
et pour qu’elle Abmait dans sa beauté plu de dou
Eb
ceur,
mille jarF7dins lui font comme un collier de
Bb7fleurs...
Eb
MéditerraGmnée, aux îles
Ab
d’or ensoleilEb
léesFm7aux ri
Bb7vages
Eb
sans nuages, Dm6au ciel
D7enchan
Gmté.
D Bb7
Eb
MéditerraGmnée, c’est une
Ab
fée qui t’a donEb
néFm7ton dé
Bb7cor et
Eb
ta beauCmté:
Fm7Mé
Ab6di-
Bb7terra
Eb
née.
Au clair de la lune, entendez-vous dans le lointain,
comme un écho qui, sur les vagues, s’achemine?
Entendez-vous le gai refrain des tambourins
accompagné du trémolo des mandolines?
C’est la chanson qui vient bercer, toutes les nuit,
les amoureux du monde entier qu’elle a séduits.
REFRAIN
mes emmerdes •Charles Aznavour
J’ai travailClé des an
Enées sans ré
Ampit jour et
G7nuit.
Pour réusFsir, pour gra
C7vir le som
Dmmet.
En oubliFant bien sou
Event dans ma
Amcourse contre le
Fmtemps.
Mes aCmis, mes a
Gmours, mes em
Fmer
Cdes.
À corps perCdu, j’ai cou
Eru, assoif
Amfé, obsti
G7né,
vers l’horiFzon, l’illu
C7sion vers l’ab
Dmstrait.
En sacriFfiant c’est na
Evrant, je m’en ac
Amcuse à pré
Fmsent.
Mes aCmis, mes a
Gmours, mes em
Fmer
Cdes.
Mes amis c’était Fmtout en partage,
mes amours faisaient Dtrès, très bien l’amour.
Mes emmerdes étaient Dceux de notre âge
où l’argent, c’est dommage, éperonnait nos Gjours.
Pour être Cfier, je suis
Efier, entre
Amnous, je l’a
G7voue.
J’ai fait ma Fvie, mais
C7il y a un
DmMais.
Je donneFrais, ce que
Ej’ai, pour retrou
Amver, je l’ad
Fmmets.
Mes aCmis, mes a
Gmours, mes em
Fmer
Cdes.
Mes relaCtions vraiment
Esont haut pla
Amcées, déco
G7rées,
influents, bedonFnants, des gens
C7bien.
Dm
Ils sont séFrieux, mais près
Ed’eux, j’ai tou
Amjours le re
Fmgret de
mes aCmis, mes a
Gmours, mes em
Fmer
Cdes.
Mes amis étaient Fmplein d’insouciance,
mes amours avaient Dle corps brûlant.
Mes emmerdes aujourDd’hui, quand j’y pense,
avaient peu d’importance et c’était le bon Gtemps.
Les canuClars, les pé
Etards, les fo
Amlies, les or
G7gies.
Le jour du Fbac, le cog
C7nac, les re
Dmfrains.
Tout ce qui Ffait, je le
Esais, que je
Amn’oublierai ja
Fmmais.
Mes aCmis, mes a
Gmours, mes em
Fmer
Cdes.
milord Édith PiafGeorges Moustaki ™ M. Monnot
DAllez, venez, Milord, vous asseoir
Gà ma table.
Il fait si Dfroid, dehors. I
E7ci c’est confor
A7table.
Laissez-vous Dfaire, Milord et
D7prenez
Gbien vos aises,
Vos peines Dsur mon coeur et
E7vos pieds sur une
A7chaise.
Je vous conDnais, Milord. Vous n’m’avez
Gjamais vue.
Je ne suis qu’une Dfille du port, qu’une
A7ombre de la
Drue...
PourDmtant j’vous ai frô
Clé, quand
Dmvous passiez hi
Cer, vous n’étiez pas peu fier,
Dame ! Le Cciel vous comblait:
Bb
Votre foulard de soie
flottant sur vos épaules, vous aviez le beau rôle, on aurait dit le roi...
Vous Dmmarchiez en vainqueur au bras d’une demoi
Cselle.
Mon Bb
Dieu !... Qu’elle était Abelle... J’en ai
Bb
froid dans le coeur...
REFRAIN
Dire qu’il suffit parfois qu’il y ait un navire pour que tout se déchire,
quand le navire s’en va... Il emmenait avec lui
la douce aux yeux si tendres, qui n’a pas su comprendre, qu’elle brisait votre vie.
L’amour, ça fait pleurer, comme quoi l’existence ça vous donne toutes les chances
pour les reprendre après...DAllez, venez, Milord. Vous avez
Gl’air d’un môme!
Laissez-vous Dfaire, Milord,
E7venez dans mon roy
A7aume:
Je soigne Dles remords,
D7je chante
Gla romance,
je chante Gles milords, qui
E7n’ont pas eu de
A7chance!
Regardez-Dmoi, Milord, vous n’m’avez
Gjamais vue,
mais vous pleuDrez, Milord? Ça,
A7j’l’aurais jamais
Dcru.
mon amant de saint-jean•
Lucienne Delyle (1942) Edith Piaf / Charles Trenet / Patrick BruelLéon Agel ™ Emile Carrara
Je n’Dmsais pourquoi j’allais danser à Saint-
GmJean
A7au mu
Dmsette,
Mais il a suffi d’un seul baiGmser pour que mon
A7coeur soit prison
Dmnier.
DmComment ne pas perdre la tête, ser
Gmrée par des bras auda
Dmcieux ?
Car Gmon croit toujours aux
Dmdoux mots d’amour, quand
Gmils sont dits avec les
A7yeux.
DmMoi qui l’aimais tant, je le trouvais le plus
Gmbeau des Saint-
DmJean.
Bb6Je
Gmrestais gri
Dmsée sans volon
E/Bté
A7sous ses bai
Dmsers.
Gm A7
Sans plus Dmy reflechir j’lui donnai le meil
Gmleur
A7de mon
Dmêtre.
Beau parDmleur à chaque fois qu’il men
Gmtait, je le sa
A7vais mais je l’ai
Dmmais.
REFRAIN
Mais heDmlas à Saint-Jean comme ailleurs un ser
Gmment
A7n’est qu’un
Dmleurre .
J’étais folle de croire au bonGmheur et de vou
A7loir garder son
Dmcoeur.
ComDmment ne pas perdre la tête, ser
Gmrée par des bras auda
Dmcieux ?
Car Gmon croit toujours aux
Dmdoux mots d’amour, quand
Gmils sont dits avec les
A7yeux.
DmMoi qui l’aimais tant, mon bel a
Gmmour mon amant de Saint-
DmJean.
Bb6Il
Gmne m’aime
Dmplus, c’est du pas
E/Bsé,
A7n’en parlons
Dmplus.
Gm A7
DmMoi qui l’aimais tant, mon bel a
Gmmour mon amant de Saint-
DmJean.
Bb6Il
Gmne m’aime
Dmplus, c’est du pas
E/Bsé,
A7n’en parlons
Dmplus.
mon frère Maxime Le ForestierMaxime Le Forestier
AmToi le frère que je n’ai jamais
Dmeu
Sais-tu si tu avais véGcu
Ce que nous aurions fait enG7sem
Cble
EUn an après moi tu serais
Amné
Alors on ne se serait plus quitDmté
Comme deux aAmmis qui se res
Esemblent
AmOn aurait appris l’argot par
DmCoeur
J’aurais été ton profesGseur
A mon école buissonG7niè
Cre
ESûr qu’un jour on se serait bat
Amtu
Pour peu qu’alors on ait conDmnu
Ensemble la même preAmmiè
Ere
Mais tu n’es pas là
À qui la faute
Pas à mon père
Pas à ma mère
Tu aurais pu chanter cela
Toi le frère que je n’ai jamais eu
Si tu savais ce que j’ai bu
De mes chagrins en solitaire
Si tu ne m’avais pas fait faux-bond
Tu aurais fini mes chansons
Je t’aurais appris à en faire
Si la vie s’était comportée mieux
Elle aurait divisé en deux
Les paires de gants
Les paires de claques
Elle aurait sûrement partagé
Les mots d’amour et les pavés
Les filles et les coups de matraque
REFRAIN
Toi le frère que je n’aurai jamais
Je suis moins seul de t’avoir fait
Pour un instant pour une fille
Je t’ai dérangé tu me pardonnes
Ici quand tout vous abandonne
On se fabrique une famille
mon manège à moi•
Édith PiafJean Constantin ™ Norbert Glenzberg
Tu me fait tourner la Ctête
Mon manège à moi c’est G7toi
Je suis toujours à la fête
Quand tu me tiens dans tes Cbras
Je ferai le tour du monde
ça ne tournerait pas plus que G7ça
La terre n’est pas assez ronde
Pour m’étourdir autant que Ctoi.
Ah, c’qu’on est bien tous les Cdeux
Quand on est ensemble nous G7deux
Quelle vie on a tous les deux
Quand on s’aime comme nous Cdeux
On pourrait changer de planète
Tant que j’ai mon coeur près du G7tien
J’entends les flonflons de la fête
Et la terre n’y est pour Crien.
Ah oui, parlons-en de la Cterre!
Pour qui elle se prend la G7terre?
Ma parole y a qu’elle sur terre!
Y’a qu’elle pour faire tant de mysCtère
Mais pour nous y a pas de problème
Car c’est pour la vie qu’on G7s’aime
Et si y’avait pas de vie même
Nous on s’aimerait quand Cmême.
Car...
REFRAINCJe ferai le tour du monde
ça ne tournerait pas plus que G7ça
La terre n’est pas assez ronde,
mais mon manège à moi c’est Ctoi!
mon vieux Daniel GuichardJean Ferrat ™ M.Senlis, D.Guichard, J.Demarny & C.Assous
CDans son vieux pardessus râ
Ampé
Il s’en allait l’hiver, l’éEmté
Dans le petit matin friFleux, mon
Gvieux.
CY avait qu’un dimanche par se
Ammaine
Les autres jours, c’était la Emgraine
Qu’il allait gagner comme on Fpeut, mon
Cvieux.
L’été, on allait voir la Fmer, tu vois c’était pas la mi
Emsère.
C’était pas non plus l’paraDmdis, hé oui, tant
Epis.
C
CDans son vieux pardessus râ
Ampé
Il a pris pendant des anEmnées
L’même autobus de banFlieue, mon
Gvieux.
CL’soir en rentrant du bou
Amlot
Il s’asseyait sans dire un Emmot
Il était du genre silenFcieux, mon
Cvieux.
Les dimanches étaient monoFtones, on n’recevait jamais per
Emsonne
Ça n’le rendait pas malheuDmreux, je crois, mon
Evieux.
C
CDans son vieux pardessus râ
Ampé
Les jours de paye quand il renEmtrait
On l’entendait gueuler un Fpeu, mon
Gvieux.
CNous, on connaissait la chan
Amson
Tout y passait, bourgeois, paEmtrons,
La gauche, la droite, même le bon FDieu, avec mon
Cvieux.
Chez nous y avait pas la téFlé, c’est dehors que j’allais cher
Emcher
Pendant quelques heures l’évaDmsion, tu sais, c’est
Econ!
C
CDire que j’ai passé des an
Amnées
A côté de lui sans le r’garEmder
On a à peine ouvert les Fyeux, nous
Gdeux.
CJ’aurais pu c’était pas ma
Amlin
Faire avec lui un bout d’cheEmmin
Ça l’aurait p’t’-êt’ rendu heuFreux, mon
Cvieux.
CMais quand on a juste quinze
Amans
On n’a pas le coeur assez Emgrand
Pour y loger tout’s ces choses-Flà, tu
G
CMaintenant qu’il est loin d’i
Fmci
En pensant à tout ça, j’me Emdis
‘J’aim’rais bien qu’il soit près de Dmmoi’, Pa
Ampa...
mon village au bout du monde Joe Dassin
Le Eb
vent s’enFmgouf
Fm7 Bb
fre dans ma vaEb
lise Eb Dm Cm
et sur ma Fmrou
Fm7 Bb
te il y a des Eb
trous.
J’ai vu tant de Fmru-
Fm7 Bb
es, j’ai vu tant d’éEb
glises Eb Dm Cm
mais les plus Ab
belles éBb
taient chez Eb
nous.
Mon village est Eb
loin, à l’autre Fm7bout du
Bb
monde
et ma maiCm7son n’est plus
F7qu’une chan
Bb
son.
Commes les Fmnei
Fm7 Bb
ges, mes rêves Eb
fondent. Eb Dm Cm
Buvons, mes Ab
frères, Bb
les vagaEb
bonds.
Des Eb
CaraFmï––
Fm7 Bb
bes aux PhilipEb
pines Eb Dm Cm
j’ai trainé Fmma car
Fm7 Bb
casse un peu parEb
tout.
Mais les cheFmmi-
Fm7 Bb
ins, qui nous mènent à nos colEb
lines Eb Dm Cm
avaient des Ab
pierres douces Bb
à mes pieds Eb
nus.
Mes camaEb
rades à l’autre Fm7bout du
Bb
monde
c’est bien jusCm7tice,
F7m’ont oubli
Bb
é.
Je leur aFmdres
Fm7 Bb
se une coEb
lombe. Eb Dm Cm
Buvons, mes Ab
frères Bb
à leur sanEb
té.
Le Eb
vent s’enFmgouf
Fm7 Bb
fre dans ma vaEb
lise Eb Dm Cm
pourtant la Fmchan
Fm7 Bb
ce est souvent veEb
nue.
Elle est bien Fmbra
Fm7 Bb
ve, quoi qu’on en Eb
dise, Eb Dm Cm
mais il ne Ab
faut pas Bb
trop dormir desEb
sus.
La pauvreEb
té manque parFm7fois de
Bb
charme,
mais l’herbe est Cm7douce
F7aux malheu
Bb
reux.
Pas de disFmcou-
Fm7 Bb
ours et plus de Eb
larmes. Eb Dm Cm
Venez, mes Ab
frères Bb
me dire aEb
dieu.
nathalie•
Gilbert Bécaud
Am G Am G(Intro)AmLa place Rouge
Em7était
Amvide,
G
Amdevant moi mar
Dm6chait Natha
Amlie.
E7
Il aAmvait un
Dm6joli
Amnom mon guide,
FNatha
Clie.
E7
AmLa place Rouge
Em7était
Amblanche,
G
Amla neige
Dm6faisait un ta
Ampis
E7
et je Amsuivais
Dm6par ce
Amfroid dimanche,
FNatha
Clie
E7
CElle par
Dm7lait en
E7phrases sobres,
Cde la
Dm7révolu
E7tion d’octobre.
AmJe pensais dé
Ejà,
Cqu’après le
Dm7tombeau
E7de Lénine,
Con i
Dm7rait au ca
E7fé Pouchkine
Amboire
F7
Dm6un choco
E7lat.
AmLa place Rouge
Em7était
Amvide,
G
Amje lui pris
Dm6son bras elle a sou
Amri
E7
Il aAmvait des che
Dm6veux
Amblonds mon guide,
FNatha
Clie,
E7 Nathalie.
Am
AmDans sa
Cchambre à
G7l’universi
Cté
Gune bande d’étu
Cdiants l’atten
G7daient impatiem
Cment.
E7
On a Cri, on
G7a beaucoup par
Clé, ils
G7voulaient tout sa
Cvoir, Natha
G7lie tradui
Amsait.
Dm6Moscou
E7les plaines d’U
Amkraine et les Champs-Ély
Dm6sées, on
E7a tout mélan
Amgé et on
E7a chan
Amté.
Dm6Et puis,
E7ils ont débou
Amché en riant à l’a
Dm6vance du
E7champagne de
AmFrance et on
E7a dan
Amsé.
Dm6 E7 Am Dm6 Am E7 AmLa la la... (bis)
AmEt quand la chambre
Em7 fut
Amvide,
G
Amtous les a
Dm6mis étaient par
Amtis.
E7
Je suis Amresté
Dm6seul a
Amvec mon guide,
FNatha
Clie.
E7
CPlus ques
Dm7tion de
E7phrases sobres,
Cni de
Dm7révolu
E7tion d’octobre.
AmOn n’en était plus
E7là.
CFini le
Dm7tombeau
E7de Lénine,
Cle choco
Dm7lat de
E7chez Pouchkine.
AmC’était
F7loin
E7déjà.
AmQue ma vie me
Em7semble
Amvide,
G
Ammais je sais qu’un
Dm6jour à Pa
Amris.
E7
C’est moi Amqui lui
Dm6servi
Amrai de guide,
FNatha
Clie,
E7 Natha
Amlie.
Dm6 E7 Am Dm6 Am E7 AmLa la la... (bis)
Dm6o o o
13
naufragée du tendre (shipwrecked)•
Kate & Anna McGarrigle - Dancer with bruised knees 197? / French Record 1980Philippe Tatartcheff ™ Anna McGarrigle
CDans une glace
Am7transparente,
Cun reflet ne re
Fflètant
Fmrien.
ELorsque je t’ap
Ampelle,
Etu ne réponds
Ampas.
Dm7 G7 Dm7 G7
Quand je Csuis arri
Dm7vé
Tu n’éCtais déjà plus
Dm7là
Je me Csuis écrou
Dm7lé en pleu
Amrant
C’éDm7tait pas tellement
G7çà
Qui m’aCvait chavi
Dm7ré
Mais pour la première fois tu me manG7quais
Quand j’éCtais avec
Dm7toi
Que les Cjours étaient
Dm7longs
Mais les Cnuits étaient trop
Dm7courtes pour expri
Ammer
La tenDm7dresse et le be
G7soin
Que je Cressentais par
Dm7fois
De t’avoir auprès de moi te consoG7ler
Que c’est Cbête de te par
Dm7ler,
quand t’es pas Elà pour m’écou
Amter.
Que c’est Cbête de te par
Dm7ler,
quand t’es pas Elà pour m’écou
Amter.
Que de Cfois j’ai suppli
Dm7é
Le desCtin de m’accor
Dm7der
Un souCrire, une pa
Dm7role, une atten
Amtion
Combien de Dm7fois j’eus échan
G7gé
L’uniCvers très volon
Dm7tiers
Pour un seul de tes regards si inviG7tants
J’ai Cbien dû m’en al
Dm7ler
Je ne Cpouvais pas cé
Dm7der
À Cla mélancolie m’en
Dm7vahis
Amsant
Mais sans Dm7avoir d’autre inten
G7tion
Que Cde partir tout bête
Dm7ment
Et de masquer mon désarroi en me caG7chant
REFRAIN(2×)
on ira tous au paradis •Michel Polnareff & JL Dabadie
GOn ira
Ctous au para
Ddis, mêm’ moi.
GQu’on soit bé
Cni ou qu’on soit mau
Ddit, on ira.
GTout’les bonn’ soeurs
Cet tous les voleurs,
G
tout’les brebis Cet tous les bandits,
Gon ira
Ctous au para
Ddis.
GOn ira
Ctous au para
Ddis, mêm’ moi.
GQu’on soit bé
Cni ou qu’on soit mau
Ddit, on ira.
GAvec les saints
Cet les assassins
G
Les femmes du monde Cet puis les putains,
Gon ira
Ctous au para
Ddis.
Ne crois pas ce que les gens disent
C’est ton coeur qui est la seule église
Laiss’un peu de vague à ton âme
N’aie pas peur de la couleur des flammes de l’enfer
GOn ira
Ctous au para
Ddis, mêm’ moi.
GQu’on croie en
CDieu ou qu’on n’y croie
Dpas, on ira
GQu’on ait fait le bien
Cou bien le mal
G
On sera tous Cinvités au bal,
Gon ira
Ctous au para
Ddis.
GOn ira
Ctous au para
Ddis, mêm’ moi.
GQu’on croie en
CDieu ou qu’on n’y croie
Dpas, on ira
GAvec les chrétiens,
Cavec les païens
G
Et même les chiens Cet même les requins,
Gon ira
Ctous au para
Ddis.
1er couplet
GOn ira
Ctous au para
Ddis, mêm’ moi.
GQu’on soit bé
Cni ou qu’on soit mau
Ddit, on ira.
GTout’les ...
Cet puis ...
G
et puis ... Cet tous les ...
Gon ira
Ctous au para
Ddis.
1er couplet
Surtout Gmoi.
on laisse tous un jour Michel FugainMichel Fugain
On Glaisse tous un jourun peu de notre vie
sur une Dtable dans
Emle fond d’un ca
Amfé
sur une Dtable que
Gl’on n’oublie ja
Dmais.
On Glaisse tous un jour un peu de ses amis
tous les Dpoêtesve
Emnus se mettre au
Amchaud
sur la banDquette dans
Gun coin de bis
Dtrot.
On E7dit salut, on com
Ammande un demi
D7et on refait le
Gmonde,
E7mais le monde est si
Amgrand,
qu’il nous faut bien toute la Dnuit.
On Glaisse tous un jour un peu de nos amours
que l’on grifDfonne sur
Emla nappe en pa
Ampier
et qu’on biDchonne au
Gfond d’un cendri
Der.
Elle E7dit bonjour, on com
Ammande un demi
D7on lui promet le
Gmonde,
E7mais pour donner le
Ammonde,
il nous faut bien toute la Dnuit.
la la la la..
parce qu’on sait jamais Christophe MaéChristophe Maé
G D Em C(intro)EmTant de plaisirs faciles dans des puérils
Qui nous retienne vers le Cbas
EmPrêt a n’importe quel deal,
quand il faut mourir, on se met à tout Ccroire.
Parce qu’on sait jaGmais
D
On regarde vers le Emhaut
C
S’il y a un aGprès
D
Au moins sauver sa Empeau
C
Parce qu’on sait jaGmais
D
S’il y a un aEmprès.
C
EmOn est capable du pire, des mea culpa
De toutes les mauvaises Cfois
EmQui pourrait encore dire, qui est St-Thomas
Quand t’on heure arriv’Cra.
REFRAIN
Parce qu’on sait jaGmais, Parce qu’on sait ja
Dmais,
On regarde vers le Emhaut On regarde vers le
Chaut
S’il y a un aGprès
D
Au moins sauver sa Empeau
C
Parce qu’on sait jaGmais
D
S’il y a un aEmprès.
C
CEt alors on baisse les bras
pour venir se faire pardonDner,
Cd’y avoir crut tellement peu
et de vouloir se racheDter.
REFRAIN
Parce qu’on sait jaGmais, Parce qu’on sait ja
Dmais,
On regarde vers le Emhaut On regarde vers le
Chaut
S’il y a un aGprès
D
Au moins sauver sa Empeau
C
Parce qu’on sait jaGmais, Parce qu’on sait ja
Dmais,
On regarde vers le Emhaut On regarde vers le
Chaut
S’il y a un aGprès
D
Au moins sauver sa Empeau
C
S’il y a un aGprès
On regarde vers le haut
pas de boogie woogie Eddy Mitchell
Bb
Le pape a dit, que l’acte d’amour, Bb7sans être mari
Eb
é, est un pèBb
ché.
Cette nouvelle il me faut l’annonGmcer, à ma pa
C7roisse, je suis cu
Fré.
J’ai pris Bb
une dose de Bb7whiskey, Afin de
Eb
préparer mon serBb
mon,
Je n’ai pas fermé l’oeil Gmde la nuit, Je me
C7posait bien trop de ques
Ftions
Au petit maBb
tin dieu m’ai appaBb7ru, Et il m’a don
Eb
né la soluC7tion
AussiBb
tôt vers l’église Gmj’ai couru, Par
C7ler à mes fi
F7dèles sur ce
Bb
ton
Mes bien chers frères, FMes bien cheres soeurs, Reprenez avec moi tous en coeur
Mes bien chers frères, FMes bien cheres soeurs, Reprenez avec moi tous en coeur
Bb
Pas de boogie woogie avant de faire vos prières du soir.
Ne faites pas de boogie woogie avant de faire vos prières du Fsoir.
MainteBb
nant l’amour est deveBb7nu pêché mortelle, Ne
Eb
provoqués pas votre C7père eternel.
Bb
Pas de boogie woogie Favant vos prières du
Bb
soir. F
Puis j’ai Bb
réclamé le siBb7lence, Afin
Eb
d’observer les réacBb
tions
Sur certains visages de Gml’assistance, Se refle
C7taient surtout l’indigna
Ftion
Quant aux Bb
autres visibleBb7ment obtus, Sa
Eb
chant qu’ils n’avaient rien comC7pris
Bb
Ils me demandèrent de Gmfaire à nouveau,
C7l’sermon
F7du boogie
Bb
woogie
Mes bien chers frères, FMes bien cheres soeurs, Reprenez avec moi tous en coeur
CHORUS
MainteBb
nant tout est Bb7fait tout est dit,
Eb
mais mes fidèles sont parBb
tis
Dieu je reste seul dans Gmta maison, J’en ai
C7l’air mais le dire à quoi
Fbon
Si ton pape Bb
ma fait perdre Bb7la tête, J’i
Eb
rais tout droit tout droit en enC7fer
Bb
Mais j’essairai encore à Gmla messe de midi,
C7Le sermon
F7du boogie
Bb
woogie
Mes bien chers frères, FMes bien cheres soeurs, Reprenez avec moi tous en coeur
CHORUS (2×)
perrine Kate & Anna McGarrigletrad
PerEb
rine était serBb
vante, PerEb
rine était serBb
vanteEb
Chez Monsieur Cmle Cu
Eb
ré, Ab
digue donda donBb
daineAb
Chez Monsieur Eb
le Curé, Bb
digue donda donEb
dé
Son Eb
amant vient la Bb
voir, son Eb
amant vient la Bb
voirEb
Le soir aCmprès l’dî
Eb
ner, Ab
digue donda donBb
daineAb
Le soir aEb
près l’dîner, Bb
digue donda donEb
dé
PerEb
rine O ma PerBb
rine, PerEb
rine O ma PerBb
rineEb
Voudrais-tu Cmm’embras
Eb
ser
O Eb
grand nigaud qu’t’es Bb
bête, O Eb
grand nigaud qu’t’es Bb
bête,
ça Eb
s’prend sans se demander, Ab
digue donda donBb
daine
ça Ab
s’prend Eb
sans se demander, Bb
digue donda donEb
dé
VoiEb
là l’curé qui arBb
rive, voiEb
là l’curé qui arBb
rive
Où Eb
vas-tu Cmbien t’ca
Eb
cher, Ab
digue donda donBb
daine
Où Ab
vas-tu Eb
bien t’cacher, Bb
digue donda donEb
dé
Caches-Eb
toi donc dans la Bb
huche, caches-Eb
toi donc dans la Bb
huche
Il Eb
n’saura Cmpoint
Eb
t’trouver, Ab
digue donda donBb
daine
Il Ab
n’saura Eb
point t’trouver, Bb
digue donda donEb
dé
Il Eb
y resta six seBb
maines, il Eb
y resta six seBb
mainesEb
Elle Cml’avait
Eb
oublié, Ab
digue donda donBb
daineAb
Elle Eb
l’avait oublié, Bb
digue donda donEb
dé
Au Eb
bout de six seBb
maines, au Eb
bout de six seBb
mainesEb
Les rats l’aCmvaient man
Eb
gé...
Ils Eb
ont rongé son Bb
crâne, ils Eb
ont rongé son Bb
crâneEb
Et pis tous Cmles doigts
Eb
d’pieds, Ab
digue donda donBb
daineAb
Et pis tous Eb
les doigts d’pieds, Bb
digue donda donEb
dé
VoiEb
là la triste hisBb
toire, voiEb
là la triste hisBb
toireEb
D’un jeune homme Cmà mari
Eb
er
Qui alEb
lait trop voir les Bb
filles, qui alEb
lait trop voir les Bb
fillesEb
Le soir aCmprès l’dî
Eb
ner, Ab
digue donda donBb
daineAb
Le soir aEb
près l’dîner, Bb
digue donda donEb
dé
peut-être •Patrick FioriPatrick Fiori
Dm(intro)DmJ’ai changé de ville, 1000
Ffois changé de nom
Gm100 fois j’ai failli
Dmfinir dans les
Gmplumes et le gou
Cdron.
je Dmguette les signes, amants
Ftransits plus que bas
ma Gmvie c’est le jeu,
Dmles vices, les
Gmcartes et les faux je
Ctons.
Si Eb
je croise un prêtre, je mise Dmà fond sur les rouges,
uBb
ne mouche à Dmla fenêtre et
Gmc’est pas mon
Cjour.
DmEt peut-être
Amque
Dmpeut-être,
Ampeut-
Dmêtre
Bb
pas
MaGmdame for
Dmtune enfin
Bb
me prendra Cdans ses bras,
Dmet peut-être,
Amoui
Dmpeut-être
Amque
Dmcette
Bb
fois,Gmje ferai la
Dmune en tirant
Cau sort ou les
Dmrois
et Bb
qui verra Dmvivra 10
Cfois.
DmMa vie c’est la chance, mes
Fchateaux, des casinos.
GmC’est l’diable que je
Dmtente au poker,
Gmun peu les che
Cvaux.
DmChaque jour est neuf, je ne
Fvis que des débuts.
Des Gmmartins galants,
Dmcoups de bleufs, un peu
Gmd’embrouille au me
Cnu.
Si cette Eb
fille avance, je mise Dmtout chiffres impairs
si Bb
sa chaise se baDmlance, j’at
Gmtend la ri
Cvière.
DmEt peut-être
Amque
Dmpeut-être,
Ampeut-
Dmêtre
Bb
pas
MaGmdame for
Dmtune enfin
Bb
me prendra Cdans ses bras,
Dmet peut-être,
Amoui
Dmpeut-être
Amque
Dmcette
Bb
fois,Gmje ferai la
Dmune en tirant
Cau sort ou les
Dmrois
et Bb
qui verra Dmvivra Al
Cleluia.
C7o-oh
Dmet peut-être
Amque
Dmpeut-être,
Ammatin
Dmlà
Bb
bas,Gmcette fille
Dmbrune fera
Bb
semblant de Cme croire
Dmet peut-être
Amque
Dmpeut-être,
Amelle
Dmme sui
Bb
vra
au Gmclair de la
Dmlune, ami
Cpierrot je n’ai
Dmpas
paBb
ri perdu Dmt’es qu’un
Cparia.
Dmouh ouh ouh
Bb
ouh
MaGmdame for
Dmtune
Bb
te prendra Cdans tes bras
Dmouh ouh ouh
Bb
ouhGmpari per
Dmdu je
Bb
suis qu’un Cparia.
ouh ouh...
pour la vie Patrick BruelGérard Presgurvic
DOn est partis, c’était fin juin, s’est embras
Bmsés, serré la main.
Un pour Gtous et tous pour un et puis chac
ASUS
un a pris son Atrain.
DOn avait tous aussi peur, on s’est jur
Bmé la main sur l’coeur
Qu’on s’reverGrait avant 10 ans, on s’est re
ASUS
vus et maint’Anant
De temps F#men temps, on s’invite, même si,
Emsouvent, on s’évite
On s’dit, Gbien sûr, j’m’en souviens, mais on s’rap
Dpelle de
DSUS
moins en Dmoins
Ça n’nous a Bmpas rendus amers, on sait bien
Emqu’on n’peut rien y
Afaire
C’est la Dvie, c’est la
Bmvie
C’est la vie Gqui nous change et
Emqui dérange
Toutes nos ASUS
grandes idées sur Atout
C’est la Dvie, c’est la
Bmvie
C’est la vie Gqui décide et qui nous
Emfile des rides
Au coin des ASUS
yeux et du Acoeur
A quoi ça F#msert d’aller contre on perd
Emson temps
Et quand Gon r’garde à nos montres, tout à
ASUS
coup, on comAprend
Y’en a qui ont fait des enfants, y’en a d’autres qui ont dit ‘J’attends’
On a tous aimé des femmes, on s’est tous trouvé du charme
On est tous dev’nu quelqu’un dans son quartier ou plus loin
Bien sûr, on s’est perdus d’vue, mais on n’appelait pas ça ‘perdu’
On traités d’tous les noms, on s’est tombés dans les bras
On a pas osé dire ‘non’, on a dit ‘oui’ quand fallait pas
Ça n’nous a pas empêché de continuer à s’aimer
Pour la Dvie, pour la
Bmvie
Pour la vie Gqui nous change et
Emqui dérange
Toutes nos ASUS
p’tites idées sur Atout
Pour la Dvie, pour la
Bmvie
Pour la vie Gqui décide et qui nous
Emfile des rides
Au coin des ASUS
yeux et du Acoeur
Pas besoin de faire semblant, ça sert à rien
Chaque jour qui passe on apprend
Qu’on peut jouer sans être comédien
A quoi ça sert d’aller contre, ça sert à rien
Chaque jour qui passe on apprend
Qu’on suit tous le même chemin
pour moi la vie va commencer •Johnny HallydayJean-Jacques Debout
Eb
Pour moi la Ab6vie va commen
Eb
cer
En revenant dans ce paBb7ys
Eb7Là où le soleil et le
Ab
vent
Là où mes amis, mes paEb
rents
Avaient gardé mon coeur d’enAb
fant.Eb Ab Eb Bb7
Pour moi la vie va commencer
Et mon passé sort de l’oubli
Foulant le sol de ma prairie
Chevauchant avec mes amis
Pour moi la vie va commencer.Eb Ab Eb C7
FPour moi la
Bb6vie va commen
Fcer
Je peux voir descendre la C7nuit
F7Sans avoir peur d’etre sur
Bb
pris
Tandis qu’au loin comme un trouFpeau
Passe les ombres des cheBb
vaux.F C7
Pour moi la vie va commencer
Et sous le ciel de ce pays
Sans jamais connaitre l’ennui
Mes années passeront sans bruit
Entre le ciel et mes amisFPour moi la
Bb
vie va commencer.F Bb F
C7
FPour moi la
Bb
vie va commencer.F Bb F
C7
FPour moi la
Bb
vie va commencer.F Bb F
la Bb
vie va commencer
plaisir d’amour Nana MouskouriJean-Pierre Claris de Florian ™ Johann Paul Aegidius Martini 1775
PlaiFsir
Cd’a
Fmour ne
C7dure
Fqu’un mo
Cment,
ChaG7grin
C7d’a
Fmour
Cdu
Fre
Gmtoute la
Fvie.
J’ai Ftout
Bb
quitFté pour l’in
Bb
grate SylFvi_
C7i_
Fe,
G7El
Cle
A7me
Dmquitte et prend un
Cautre
Ga_
Cmant.
REFRAINFmTant que cette
Ceau coule
Fmra douce
Cment
Vers Fmce ruis
Eb7seau qui
Ab
borde Bbm / Db
la praiAb
riEb
e,Eb7Je t’aime
Ab
rai, Eb7me répétait Syl
Ab
vie.GDIM
L’eau coule enFmcore, elle
C7a chan
Fmgé pour
Fm/Ctant!
C
REFRAIN
prendre un enfant Yves Duteil
Eb
Prendre un enfant par la main pour l’emmener vers deBb7main.
Pour lui donner la confiance en son pas, prendre un enfant pour un Eb
roi.
Prendre un enfant dans ses bras Eb7et pour la première
Ab
foisFmsècher ses larmes en étouffant de
Eb
joie, Bb7prendre un enfant dans ses
Eb
bras.
Eb
Prendre un enfant par le coeur, pour soulager ses maBb7leurs,
tout doucement, sans parler, sans pudeur, prendre un enfant sur son Eb
coeur.
Prendre un enfant dans ses bras, Eb7mais pour la première
Ab
fois,Fmverser des larmes en étouffant de
Eb
joie, Bb7prendre un enfant contre
Eb
sois.
Dou doudou doudoudou
Eb
Prendre un enfant par la main et lui chanter des reBb7frains,
pour qu’il s’endorme à la tombée du jour, prendre un enfant par l’aEb
mour.
Prendre un enfant comme il vient Eb7et consoler ses cha
Ab
grins.FmVivre sa vie des années, puis sou
Eb
dain Bb7prendre un enfant par la
Eb
mainFmen regardant tout au bout du che
Eb
min, Bb7prendre un enfant pour le
Eb
sien.
quand il est mort le poète•
Louis Amade ™ Gilbert Bécaud
GQuand il est mort
GDIM
le poAmè--
D7te,
Quand il est mort le poGète,
tous ses aG7mis
Ctous ses a
Cmmis
Gtous ses a
A7mis pleu
D7raient.
GQuand il est mort
GDIM
le poAmè--
D7te,
Quand il est mort le poGète,
le monde enG7tier
Cle monde en
Cmtier
Gle monde en
A7tier
D7pleu
Graient.
C D7 G
GOn enterra
GDIM
son éAmtoi
D7le,
on enterra son éGtoile,
dans un grand G7champ
Cdans un grand
Cmchamp
Gdans un grand
A7champ de
D7blé.
GEt c’est pour ça
GDIM
que l’on Amtrou
D7ve,
Et c’est pour ça que l’on Gtrouve,
dans ce grand G7champ
Cdans ce grand
Cmchamp
Gdans ce grand
D7champ des bleu
Gets.
GDIMx x
1 23 4
quand le soleil dit bonjour aux montagnes Lucile StarLarry Vincent ™ Harry Peace
Quand le soCleil dit bon
Fjour aux mon
Ctagnes
et que Gla nuit ren
G7contre le
Cjour
je suis seule avec mes Frêves sur la mon
Ctagne.
Une Gvoix me rappelle tou
Cjours.
C7
L’éFcho que m’apporte la
Cchanson du vent,
me D7rappelle des souvenirs de
Gtoi.
Quand le soCleil dit bon
Fjour aux mon
Ctagnes
je suis Gseule et ne veut pen
G7ser qu’à
Ctoi.
When the Csun says Good
FDay to the
Cmountains
And the Gnight says Hel
G7lo to the
Cdawn
I’m alone with my Fdreams on the
Chilltop
I can Gstill hear his voice though he’s
Cgone
C7
I Fhear from my door the
Flove songs through the
Cwind
It D7brings back sweet
G7memories of
Cyou...
Cuando el Csol esta salu
Fdando las mon
Ctañas
Y la Gnoche en
G7cuentra el
Cdía
Estoy solo con mis Fsueños en la mon
Ctaña
Con una Gvoz que siempre me lla
Cmo
C7
El Fechoe me llevo la can
Cción del viento
D7Llena de recuerdos de
Gti
Cuando el Csol esta salu
Fdando las mon
Ctañas
Estoy Gsolo y pien
G7sando en
Cti
que reste-t-il de nos amours Charles TrenetCharles Trenet
Ce Cmsoir
Cm7
AbM7Le vent
Cmqui frappe à ma
Fmporte
Fm7
Dm5b
Me parle G7des amours
Cmmortes
Cm7
Am7Devant le
Ab7feu qui s’ é
Fmteint
G7
Ce Cmsoir
Cm7
Cm7C’est
Am7une chanson d’au
Bb
tomne BbM7
FmDans la
Fm7maison qui fris
CM7sonne
Am7Et je
Ab7pense aux jours loin
Fmtains
G7
A7/9Que reste-
Dm7t-il
G7de nos a
Dm7mours?
G7Que reste-
CM7t-il
Am7de ces beaux
CM7jours?
Am7Une pho
Dm7to,
Dm7/Gvieille pho
Dm6to
G7/9De ma jeu
Cnesse.
Em7-5
A7/9Que reste-
Dm7t-il
G7des billets
Dm7doux,
G7Des mois d’A
CM7vril,
Am7des rendez-
CM7vous?
Am7Un souve
Dm7nir
Dm7/Gqui me pour
Dm6suit
G7Sans
Gm7cesse.
C7/9
C11Bonheur fa
FM7né, cheveux au
Fm7vent
Bb9Baisers vo
Em7lés,
Gm6rêves mou
A7/9vants
Que reste-Dm7t-il de tout ce
D11la
D9Dites-le
G7moi!
Dm7/G
A7/9Un p’tit vil
Dm7lage,
G7un vieux clo
Dm7cher
G7Un pay
CM7sage
Am7si bien ca
CM7ché
Am7Et dans un nu
Dm7age, le cher vi
Dm7/Gsage
G7/9De mon pas
AbM7sé.
Fm6 CM7
Les Cmmots
Cm7
AbM7Les mots
Cmtendres qu’on mur
Fmmure
Fm7
Dm5b
Les caG7resses les plus
Cmpures
Cm7
Am7Les ser
Ab7ments au fond des
Fmbois
G7
Les Cmfleurs
Cm7
Cm7Qu’on
Am7retrouve dans un
Bb
livre BbM7
FmDont le
Fm7parfum vous en
CM7ivre
Am7Se sont
Ab7envolés pour
Fmquoi?
G7
REFRAIN
A7-9x
1 1 1 1 1VI
2 24
Dm6
1 1 1 1 1 1III
23 4
G7-9x
1 1 1 1 1IV
2 24
Em7-5x x
1 1VII
2 4
C7-9
1 1 1 1 1 1III
23 4
Gm6
1 1 1 1 1 1III
2 3 4
D9
1 1 1 1 1IV
2 2 3 4 4
Fm6
1 1 1 1 1 1
2 3 4
Fm6
1 1 1 1 1 1VI
23 4
retiens la nuit •Johnny Hallyday
C Am F G7(intro)
ReCtiens la
Amnuit pour nous
Fdeux jusqu’à la fin du
G7monde.
ReCtiens la
Amnuit pour nos
Fcoeurs dans sa course vaga
G7bonde.
Serres moi Cfort contre ton
Amcorps, il
Ffaut, qu’à l’heure des fo
Clies
le grand aAmmour raye le
Fjour et nous
D7fasse oublier la
G7vie.
ReCtiens la
Amnuit avec
Ftoi elle paraît si
G7belle.
ReCtiens la
Amnuit mon a
Fmour qu’elle devienne éter
G7nelle.
Pour le bonCheur de nos deux
Amcoeurs, ar
Frête le temps et les
Cheures,
je t’en supAmplie à l’infi
Fni, re
D7tiens la
G7nuit.
Ne me deFmande pas d’où me vient ma tris
Ctesse.
Ne me deFmande pas tu ne comprendrais
Cpas.
En découFvrant l’amour je frôle la dé
Ctresse.
En croD7yant le bonheur la peur entre en mes
G7joies.
ReCtiens la
Amnuit pour nous
Fdeux jusqu’à la fin du
G7monde.
ReCtiens la
Amnuit pour nos
Fcoeurs dans sa course vaga
G7bonde.
Serres moi Cfort contre ton
Amcorps, il
Ffaut, qu’à l’heure des fo
Clies
le grand aAmmour raye le
Fjour et nous
D7fasse oublier la
G7vie.
ReCtiens la
Amnuit avec
Ftoi elle paraît si
G7belle.
ReCtiens la
Amnuit mon a
Fmour qu’elle devienne éter
G7nelle.
Pour le bonCheur de nos deux
Amcoeurs, ar
Frête le temps et les
Cheures,
Je t’en supAmplie à l’infi
Fni, re
D7tiens la
G7nuit.
salade de fruits •Bourvil
Noël Roux ™ Armand Canfora & Noël Roux
Ta Bb
mère t’a donné comme préCm7nom
SaF7lade de fruits ah quel joli
Bb
nom
Au nom de tes ancêtres hawaCm7ïens
Il faut F7recon
Bb
naître que Cm7tu le
F7portes
Bb
bien.
SaBb
lade de fruits jolie jolie joF7lie
Tu plais à mon père, tu Bb
plais à ma mère
Salade de fruits jolie jolie jolie F7
Un Cmjour ou l’autr’il
F7faudra bien qu’on
Cmnous
F7ma
Bb
rie!Eb Eb Bb Bb F F7 Bb Bb7 Eb Eb Bb Bb F F F7 Bb
(instrumental)
PerBb
dus dans ta paillote au bord de Cm7l’eau
Y’a F7des ananas, y’a des noix de co
Bb
cos
J’en ai déjà goûté je n’en veux Cm7plus
Le fruit F7de ta
Bb
bouche seCm7rait le
F7bienve
Bb
nu.
REFRAIN
Je Bb
plongerai tout nu dans l’océCm7an
Pour F7te ramener des poissons d’ar
Bb
gent
Avec des coquillages lumiCm7neux
Oui, mais F7en re
Bb
vanche tu Cm7sais ce
F7que je
Bb
veux.
REFRAIN
On Bb
a donné chacun de tout son Cm7coeur
Ce F7qu’il y avait en nous de meil
Bb
leur
Au fond de ma paillote au bord de Cm7l’eau
Le palF7mier qui
Bb
bouge c’est Cm7un pe
F7tit ber
Bb
ceau.
SaBb
lade de fruits jolie jolie joF7lie
Tu plais à ton père, tu Bb
plais à ta mère
Salade de fruits jolie jolie jolie F7
C’est Cmtoi le fruit de
F7nos amours, bon
Cm7jour
F7pe
Bb
tit!Eb Eb Bb Bb F F7 Bb Bb7 Eb Eb Bb Bb F F F7 Bb
(instrumental)
salut les amoureux•
Joe DassinP Delano et R Dassin/J Dassin ™ Steve Goodman
C C(intro)CLes matins se
Gsuivent et se res
Csemblent,
Quand Aml’amour fait
Fplace au quoti
Cdien
On n’éCtait pas
Gfait pour vivre en
Csemble,
çà n’Amsuffit pas tou
Gjours s’aimer
Cbien
C’est Amdrôle, hier, on s’ennuyait et
Emc’est à peine si l’on trouvait,
Des Gmots pour se parler du mauvais
Dtemps.
Et Ammaintenant qu’il faut partir, on
Ema cent mille choses à dire,
Qui Gtiennent trop à
Fcoeur pour si
Gpeu de
Ctemps.
FOn s’est ai
Gmé comme on se
Cquitte,
Tout Amsimplement sans
Fpenser à de
Cmain,
G7A de
Cmain qui vient tou
Gjours un peu trop
Amvite,
D7
Aux aFdieux qui quelque
Gfois se passent un peu trop
Cbien.
COn fait c’qu’il
Gfaut, on tient nos
Crôles,
On Amse regarde, on
Frit, on crâne un
Cpeu,
On Ca toujours ou
Gblié quelque
Cchose,
C’est Ampas facile
Gde se dire a
Cdieu
Et-l’on-Amsait trop bien que tôt ou tard , de
Emmain peut-être ou même ce soir,
On Gva se dire que tout n’est pas per
Ddu,
De Amce roman inachevé, on
Emva se faire un conte de fées,
Mais Gon a passé
Fl’âge, on n’y
Gcroirait
Cplus.
REFRAINCRoméo, Ju
Gliette et tous les
Cautres,
Au Amfond de vos bou
Fquins dormez en
Cpaix,
CUne simple his
Gtoire comme la
Cnôtre,
Est Amde celles qu’on
Gécrira ja
Cmais
AlAmlons petite, il faut partir, lais
Emser ici nos souvenirs,
On Gva descendre ensemble si tu
Dveux,
Et Amquand elle va nous voir passer
Emla patronne du café,
GVa encore nous
Fdire "Sa
Glut les amou
Creux".
REFRAIN
sensualité Axelle RedAxelle Red
JaBmais je n’au
Ebmrais pensé...
B7
‘Tant besoin de Elui’
Em
Je Bme sens si envou
Ebmtée
B7
Que ma maman me Edit:
Emralentis
DéEbmsir ou a
Abmmour
Tu Gle sauras un
Ajour
J’aime j’aime Tes Byeux, j’aime
Ebmton odeur,
Etous tes gestes
F#
en douceur,Blentement
Ebmdirigés,
Esensuali
F#
té.BOh, stop
Ebmun instant,
Ej’aimerais que
F#
ce momentBFixe pour des
C#mtas d’années, ta
Esensuali
Bté.
Il paraît qu’après quelques temps
La passion s’affablit
Pas toujours apparemment
Et maman m’avait dit: ralentis
Désir ou amour
Tu le sauras un jour
REFRAIN
Je Abmte demande si
F#
simplement
Ne F#
fais pas semEblant
Je F#
t’aimerai enAb
core
Et encore
s’il suffisait d’aimer Céline DionJean-Jacques Goldman
F G A Gm Dm Eb FSUS F(intro)
Je Gmrève son vi
Dmsage je dé
Eb
cline son Bb
corps
Et Cm7puis je l’ima
Bb
gine habiEb
tant mon déFcor
J’auDrais tant à lui
Gmdire si
Fj’avais su par
Bb
ler
ComGDIM
ment lui faire Dmlire au fond de
Cmes pen
Fsées
Mais comGmment font ces
Dmautres à qui
Eb
tout réusBb
sit Cm7Qu’on me dise mes
Bb
fautes mes chiEb
mères ausFsi
Moi Dj’offrirais mon
Gmâme mon
Fcoeur et tout mon
Bb
temps
Mais GDIM
j’ai beau tout donDmner tout n’est pas
Csuffi
Fsant
FS’il suffi
Gmsait qu’on
Dms’aime, s’il
Eb
suffisait d’aiBb
mer
Si Cm7l’on changeait les
Bb
choses un peu, Eb
rien qu’en aimant donFSUS
nerFS’il suffi
Gmsait qu’on
Dms’aime, s’il
Eb
suffisait d’aiBb
mer
Je Cm7ferais de ce
Bb
monde un rève, une Eb
éterniBb
téF
J’ai du Gmsang dans mes
Dmsonges, un pé
Eb
tale séBb
chéCm7Quand des larmes me
Bb
rongent que Eb
d’autres ont verFsées
La Dvie n’est pas é
Gmtanche, mon
Fîle est sous le
Bb
vent
Les GDIM
portes laissent enDmtrer les cris même
Cen fer
Fmant
Dans un Gmjardin l’en
Dmfant, sur un
Eb
balcon des Bb
fleurs
Ma Cm7vie paisible où j’en
Bb
tends battre Eb
tous les Fcoeurs
Quand Dles nuages
Gmfoncent, pré
Fsage des mal
Bb
heurs
Quelles GDIM
armes réDmpondent aux pays
Cde nos
Fpeurs
REFRAINFS’il suffi
Gmsait qu’on
Dms’aime, s’il
Eb
suffisait d’aiBb
mer
Si Cm7l’on pouvait chan
Bb
ger les choses Eb
et tout recommenFSUS
cerFS’il suffi
Gmsait qu’on
Dms’aime, s’il
Eb
suffisait d’aiBb
mer
Nous Cm7ferrions de ce
Bb
rève un monde Eb
s’il suffisait d’aimerBb F Eb Bb Eb Bb F Eb Eb Bb Bb
si j’avais un marteau Vline Buggy & Claude François ™ Lee Hays & Pete Seeger
Si j’avais un marEb
teau, Cm Ab
je Bb7cognerais le
Eb
jour, Cm
Ab
je Bb7cognerais la
Eb
nuit, Cm Ab
j’y Bb7mettrais tout mon coeur.
Je bâtirais un’ Eb
ferme, un’ grange et un’ barCmrière
et j’y mettrais mon Ab
père, ma Eb
mère, mes Ab
frères et mes Eb
soeurs.Ab
Oh, ohBb7, ce serait le
Eb
bonheur.
Si j’avais une Eb
cloche, Cm Ab
je Bb7sonnerais le
Eb
jour, Cm
Ab
je Bb7sonnerais la
Eb
nuit, Cm Ab
j’y Bb7mettrais tout mon coeur.
Pour le travail à Eb
l’aube et le soir pour la Cmsoupe
j’la chant’rais à mon Ab
père, ma Eb
mère, mes Ab
frères et mes Eb
soeurs.Ab
Oh, ohBb7, ce serait le
Eb
bonheur.
Si j’avais un’ Eb
chanson, Cm Ab
je Bb7chanterais le
Eb
jour, Cm
Ab
je Bb7chanterais la
Eb
nuit, Cm Ab
j’y Bb7mettrais tout mon coeur.
En retournant la Eb
terre pour alléger nos Cmpeines
j’la chant’rais à mon Ab
père, ma Eb
mère, mes Ab
frères et mes Eb
soeurs.Ab
Oh, ohBb7, ce serait le
Eb
bonheur.
Si j’avais un marEb
teau, Cm Ab
et Bb7si j’avais un’
Eb
cloche, Cm
Ab
si Bb7j’avais un’ chan
Eb
son (à chanter), Cm Ab
je s’Bb7rais le plus heureux.
Je ne voudrais rien Eb
d’autre, qu’un marteau, une Cmcloche (et un’ chanson)
pour l’amour de mon Ab
père, ma Eb
mère, mes Ab
frères et mes Eb
soeurs.Ab
Oh, ohBb7, ce serait le
Eb
bonheur.
Ab
C’est Bb7l’marteau du cou
Eb
rage, c’est la cloche de la Cmliberté,
mais la chanson, c’est pour mon Ab
père, ma Eb
mère, mes Ab
frères et mes Eb
soeurs.Ab
Oh, ohBb7, ce serait le
Eb
bonheur Cm.
Ab
C’est Bb7ça, le vrai bon
Eb
heur. Cm
Ab
Si Bb7j’avais un mar
Eb
teau. Cm
Ab
Si Bb7j’avais un mar
Eb
teau.
si j'étais président •Gérard LenormanGérard Lenorman
Il était une Ab
fois, à l’entrée des arFmtistes
Un petit garçon Ab
blond, au regard un peu Bbmtriste
Il attendait de Eb
moi une phrase maBbmgique
Je lui dit simpleEb
ment: Si j’éEb7tais prési
Ab
dent.
Si j’étais présiAb
dent de la répuFmblique
Jamais plus un enAb
fant n’aurait de pensées Bbmtristes
Je nommerais bien Eb
sûr Mickey premier miBbmnistre
De mon gouverneEb
ment, si j’éEb7tais prési
Ab
dent.
Simplet à la culAb
ture me semble une éviFmdence
Tintin à la poAb
lice et Picsou aux fiBbmnances
Zorro à la jusEb
tice et Minnie à la Bbmdanse
Est-ce que tu s’rais conEb
tent, si j’éEb7tais prési
Ab
dent.
Tarzan serait miAb
nistre de l’écoloFmgie
Bécassine au comAb
merce, Maya à l’induBbmstrie
Je déclarerais puEb
bliques toutes les pâtisseBbmries
Opposition néEb
ant, si j’éEb7tais prési
Ab
dent.
Si j’étais présiAb
dent de la répuFmblique
J’écrirais mes disAb
cours en vers et en muBbmsique
Et les jours de conEb
seil, on irait en pique-Bbmnique
On f’rait des trucs marEb
rants, si j’éEb7tais prési
Ab
dent.
Je recevrais la Ab
nuit le corps diplomaFmtique
Dans une super disAb
co à l’ambiance atoBbmmique
On se ferait la Eb
guerre à grand coup de rythBbmmique
Rien n’s’rait comme aEb
vant, si j’éEb7tais prési
Ab
dent.
Aux bornes des fonAb
taines coul’rait de l’oranFmgeade
Coluche notre miAb
nistre de la rigoBbmlade
Impos’rait des maEb
nèges sur toutes les esplaBbmnades
On s’éclat’rait vraiEb
ment, si j’éEb7tais prési
Ab
dent.
Si t’étais présiAb
dent de la répuFmblique
Pour nous tes p’tits coAb
pains, ça s’rait super praBbmtique.
On pourrait rigoEb
ler et chahuter sans Bbmrisques
Ce serait le bon Eb
temps, si t’éEb7tais prési
Ab
dent.
J’s’rais jamais présiAb
dent de la répuFmblique
Vous les petits maAb
lins, vous êtes bien sympaBbmthiques
Mais n’comptez pas sur Eb
moi pour faire d’la poliBbmtique
Pas besoin d’être présiEb
dent pour aiEb7mer les en
Ab
fants.
si toi aussi tu m’abandonnes (High Noon) Max François & Henri Contet ™ Dimitri Tiomkin
Eb
Si toi aussi tu m’abandonnes, o mon uEb7nique amour
Ab Fm, toi!
Nul ne pourFm7ra plus
Bb7jamais
Eb
rien, Cmnon,
Grien
Bb7pour moi!
Eb
Si tu me quittes, plus personne ne comprenEb7dra mon désar
Ab
roi C7
Fmet je garderai
CDIM
ma soufEb
france Eb7
Ab
dans un siEb
lence Ab
sans espéEb
ranceAb
puisque ton Eb
coeur ne seFm7ra
Bb7plus
Eb
la!Ab
C’est la cruelle incertitude Eb
qui vient hanter ma solitude!Ab
Que deviendrai je dans la vie Eb
si tu me fuis?Ab
J’ai tant besoin de ta présence. Eb
Tu restes ma dernière chance.AbmSi tu t’en vas, j’aurai trop peur,
Eb
peur EDIM
de ne Fm7plus vivre une
Bb7heu
Bb+
re!Eb
Si toi aussi tu m’abandonnes, il ne me Eb7restera plus
Ab
rien. C7
FmPlus rien au monde et
CDIM
plus perEb
sonne. Eb7
Ab
Qui me comEb
prenne, Ab
qui me souEb
tienne,Ab
ou qui me Eb
donn’ simpleFm7ment
Bb7la
Eb
main! Fm7 Bb7
Eb
Si toi aussi tu m’abandonnes, o mon uEb7nique amour
Ab Fm, toi!
Nul ne pourFm7ra plus
Bb7jamais
Eb
rien, Cmnon,
Grien
Bb7pour moi!
Eb
Si tu me quittes, plus personne ne comprenEb7dra mon désar
Ab
roi C7
Fmet je garderai
CDIM
ma soufEb
france Eb7
Ab
dans un siEb
lence Ab
sans espéEb
ranceAb
puisque ton Eb
coeur ne seFm7ra
Bb7plus
Eb
la!Ab
C’est la cruelle incertitude Eb
qui vient hanter ma solitude!Ab
Que deviendrai je dans la vie Eb
si tu me fuis?Ab
J’ai tant besoin de ta présence. Eb
Tu restes ma dernière chance.AbmSi tu t’en vas, j’aurai trop peur,
Eb
peur EDIM
de ne Fm7plus vivre une
Bb7heu
Bb+
re!Eb
Si toi aussi tu m’abandonnes, il ne me Eb7restera plus
Ab
rien. C7
FmPlus rien au monde et
CDIM
plus perEb
sonne. Eb7
Ab
Qui me comEb
prenne, Ab
qui me souEb
tienne,Ab
ou qui me Eb
donn’ simpleFm7ment
Bb7la
Eb
main!
AtAb
tends! AtEb
tends! AtAb
tends! DeEb
main.
CDIMx x
1 23 4
EDIMx x
1 23 4
Bb+x x
1II
2 34
si on chantait•
Julie ClercÉtienne Roda-Gil ™ Julien Clerc
F G7 Bbm C7 F(intro)
La grande Fville mange la
G7ville.
La grande Bbmvie
C7mange la
Fvie.
A7Marie, si
Dm7belle,
G7Marie vais
Cselle,
A7Marie chan
Dmdelle,
G7plume d’hiron
Cdelle.
Eh C7eh eh eh.
Fleur sans colFline, pleurs en cui
G7sine.
Marie sans Bbmfard
C7
Bbmfleur de brouil
Clard.
Ah Bb
ah ah Amah ah
C9ah ah ah.
Si on chanFtait, si on chan
C7tait,
si on chanFtait, si on chan
F7tait,
eh eh eh Bb
eh la la la C7la,
si on chanFtait, la la la
D7la,
si on chanGmtait, la la la
C7la,
Marie diFvine, si
C7on chan
Ftait.
Si on chanFtait, si on chan
C7tait,
si on chanFtait, si on chan
F7tait,
eh eh eh Bb
eh la la la C7la,
si on chanFtait, la la la
D7la,
si on chanGmtait, la la la
C7la,
si on chanFtait,
Bb7eh
Feh.
Ce qui me Fpeine n’est pas
G7j’t’aime.
Le temps se Bbmlasse,
C7le coeur ef
Fface.
A7Parmi les
Dm7femmes,
G7pourquoi le
Ctaire,
A7celles qui
Dmt’ressemblent,
G7je les pré
Cfère.
Eh C7eh eh eh.
Marie diFvine, sans mousse
G7line.
dans ta cuiBbmsine
C7 je
Bbmt’ima
Cgine
Ih Bb
ih ih Amih ih
C9ih ih ih.
si tu t’appelles mélancolie Joe DassinPierre Delanoë & Claude Demesle ™ Shepstone & Dibbens
GSeule devant ta glace
Tu te vois Amtriste sans savoir pourquoi
Et tu ferais n’importe quoi
Pour Dne pas
D+
être à ta placeGSi tu t’appelles mélancolie
Si l’amour n’est plus qu’une habiAmtude
Ne me racontes pas ta D7vie
Je Cla con
Am7nais, ta soli
Dtu
D+
deGSi tu t’appelles mélancolie
On est fait pour l’oublier enAmsemble
Les chiens perdus, les incomD7pris
On Cles con
Am7naît, on leur res
Dsem
D+
ble
Et demain peut-être
Puisque tout peut arriver, n’importe où
Tu seras là, au rendez-vous
Et je saurai te reconnaître
REFRAIN
D+x x o
12 3
si tu vas à rio Dario MorenoJean Brousolle (F) Carvalinho & Julio Monteiro
CSi tu
Dm7vas
CDIM
à RiCo, n’oublie
CM7pas de mon
Dmter là-haut.
Dans un A7petit vil
Dmlage, caché sous
A7les fleurs sau
Dmvages.
Sur le G7versant d’un cô
Cteau.
CC’est à
Dm7Ma
CDIM
dureiCra, tu ver
CM7ras les ca
Dmriocas.
Sortir A7des maison
Dmnettes pour s’en al
A7ler à la
Dmfête.
À la G7fête des sam
Cbas.
Et tu verG7ras grimpant le long des col
Clines
des filG7les à la taille
C7fine
avancer à petits Fpas et les fan
Ffares
dans ce joyeux F7tinta
Cmarre emme
C6ner le
A7flot bi
D7zarre
des D7écoles de sam
G7bas.
CQui pré
Dm7parent
CDIM
le Cbal et s’en
CM7vont pour le
DmCarnaval
répéA7ter la ca
Dmdence de la plus
A7folles des
Dmdanses,
celle G7de Madurei
Cra.
CSi tu
Dm7vas
CDIM
à RiCo, n’oublie
CM7pas de mon
Dmter là-haut.
Dans un A7petit vil
Dmlage, caché sous
A7les fleurs sau
Dmvages.
Sur le G7versant d’un cô
Cteau.
CC’est à
Dm7Ma
CDIM
dureiCra, tu ver
CM7ras les ca
Dmriocas.
Sortir A7des maison
Dmnettes pour s’en al
A7ler à la
Dmfête.
À la G7fête des sam
Cbas.
Et tu verG7ras grimpant le long des col
Clines
des filG7les à la taille
C7fine
avancer à petits Fpas et les fan
Ffares
dans ce joyeux F7tinta
Cmarre emme
C6ner le
A7flot bi
D7zarre
des D7écoles de sam
G7bas.
CSi tu
Dm7vas
CDIM
à RiCo, n’oublie
CM7pas de mon
Dmter là-haut.
Dans un A7petit vil
Dmlage, caché sous
A7les fleurs sau
Dmvages.
Sur le G7versant d’un cô
Cteau.
siffler sur la colline •Joe Dassin
Elle m’a Ddit d’aller siffler là-
A7haut sur la colline,
de l’attendre avec un petit Dbouquet d’églantines.
J’ai cueilli des fleurs et j’ai A7sifflé tant que j’ai pu,
j’ai attendu, attendu, elle Dn’est jamais venue.
Zaï, zaï, zaï, F#7zaï, zaï, zaï, zaï,
Bmzaï zaï, zaï, zaï,
F#7zaï, zaï, zaï, zaï,
Bmzaï.
Je l’ai Bmvue près d’un laurier
Elle gardait Ases blanches brebis
Quand j’ai Emdemandé d’où venait
Sa peau Bmfraîche elle m’a dit:
‘C’est d’rouBmler dans la rosée,
qui rend les Abergères jolies.’
Mais quand Emj’ai dit qu’avec elle
Je voudrais Bmy rouler aussi, elle m’a
F#7dit:
REFRAIN
Oh Aoh oh
Bmoh. Oh
Aoh oh
Bmoh
REFRAIN
À la Bmfoire du village
Un jour je Alui ai soupiré
Que je vouEmdrais être une pomme
SuspenBmdue à un pommier
Et qu’à chaque Bmfois qu’elle passe
Elle vienne me Amordre dedans
Mais elle Emest passée, et tout en
Me montrant Bmses jolies dents, elle m’a
F#7dit:
REFRAIN
sous les ponts de paris Lucienne DelyleJ. Rodor ™ Vincent Scotto
Pour Fal
Cler
Fà Su
C7res
Fnes, ou
G7bien à
Gm7Cha
C7ren
Fton
Tout Fle
Clong
Fde la
C7Sei
Fne, on
G7passe
Gm7sous
C7les
Fponts
PenG7dant le jour, sui
Cvant son cours,
Tout G7Paris en bateau dé
Cfile, L’coeur
G7plein d’entrain, ça
Cva, ça vient,
Mais G7l’soir, lorsque tout dort tran
Cquille...
FSous les ponts de Paris, lorsque descend la
C7nuit,
Tout’ sortes de gueux se fauGDIM
filent en caDmchette
G7Et sont heureux de trouver une cou
C7chette.
FHôtel du courant d’air, où l’on ne paye pas
C7cher,
Gm7L’parfum et
Cl’eau c’est pour
Gm7rien, mon mar
Aquis,
Gm7sous les
Gm7-5ponts
Fde
C7Pa
Fris
A la sortie d’l’usine, Julot rencontr’ Nini
Ça va t-il la Rouquine, c’est la fête aujourd’hui.
Prends ce bouquet, quelqu’s brins d’muguet
C’est peu mais c’est tout’ ma fortune,
Viens avec moi, j’connais l’endroit
Où l’on craint même pas l’clair de luneFSous les ponts de Paris, lorsque descend la
C7nuit,
Comm’ il n’a pas d’quoi s’payer un’ chambrette
Un couple heureux vient s’aimer en cachette
Et les yeux dans les yeux, faisant des rêves bleus
Julot partag’ les baisers de Nini, Gm7sous les
Gm7-5ponts
Fde
C7Pa
Fris
Rongée par la misère, chassée de son logis
L’on voit une pauvre mère, avec ses trois petits
Sur leur chemin, sans feu ni pain
Ils subiront leur sort atroce, Bientôt la nuit la maman dit :
Enfin ils vont dormir mes gossesFSous les ponts de Paris, un’ mère et ses pe
C7tits
Viennent dormir là tout près de la Seine
Dans leur sommeil ils oublieront leur peine
Si l’on aidait un peu, tous les vrais miséreux
Plus de suicid’s ni de crim’s dans la nuit, Gm7sous les
Gm7-5ponts
Fde
C7Pa
Fris
Gm7-5x
1 1 1 1 1V
2 3 4
sur ton visage une larme •Lucky Blondo
Michel Jourdan ™ Lunero & Mogol (1962)
C Am Dm7(intro)G7Sur ton visage une
Clarme
Amvient de couler en si
Emlence
Fà l’instant où je t’ai
Cdit triste
Amment:
‘D7Je m’en vais de
G7main...’
G7Sur ton visage une
Clarme
Amet soudain je réa
Emlise?
Fque je ne pourrais de
Cmain te quit
Amter,
Dm7ni de
G7main, ni ja
Cmais.
Am Dm G7
CJe n’osais plus
Emcroire,
Fmque ce jour vien
Cdrait.
Tout Dm7près de
Gmoi, tu é
Ctais si
Amloin,
Fmmais tes
Gpleurs ont chan
Emgé ma
Amvie.
Une D7larme, une seule a suf
G7fi.
G7Sur ton visage une
Clarme.
AmJ’ai compris sans plus at
Emtendre,
Fque ton coeur brû
Clait autant que le
Ammien.
D7Depuis déjà bien long
G7temps.
REFRAING7Sur ton visage une
Clarme,
Amaussi douce qu’un ‘Je
Emt’aime’,
Fs’est fané pour laisser
Cplace à l’in
Amstant
au souD7rire de l’a
G7mour, de l’a
Cmour...
de Dmnotre
G7a
Cmour...
suzette Dany Brillant
AmLe jour où j’lai rencontrée
Dmdans une de ces soirées
E7J’ai même pas pu la r’garder,
B7tell’ment ses yeux me
E7brûlaient
AmAlors j’lui ai pris la main,
Dmles yeux, le corps et les seins
E7Elle me dit: ‘Fais moi du bien.’
B7Je lui dis: ‘Oui,
E7sans problème.’
AmDans sa chambre on est allé,
Dmsous les draps on s’est glissé
B7Il a fallu m’ranimer,
Dmdans ses yeux j’m’
E7étais noyé
AmElle se serre tout contre moi,
Dmje me crois au cinéma
E7Je me prends pour Gary Grant
B7et puis on é
E7teint la lampe
AmJ’ai perdu la tête, depuis que j’ai vu Su
E7zette
DmJe perds la raison, chaque
E7fois que j’vois Su
Amzon
AmJ’ai perdu la tête, depuis que j’ai vu Su
E7zette
DmJe perds la raison, chaque
E7fois que j’vois Su
Amzon
Dm G7
Je ne fais que l’embrasser, Ccette fille là me
Ffait rêver
DmElle a vraiment
E7quelque chose,
Amça lui vient sûr’
A7ment des roses
DmUn seul de
G7ses baisers
Cpeut suffire à
Fenflammer
B7Le coeur de l’humanité
Dmou les gars de
E7mon quartier
Elle a un p’tit goût d’orange, de miel et de chocolat
Elle adoucit mon errance, avant je n’existais pas
Toute la salive que j’use pour me donner de l’éclat
Elle a pas b’soin d’ça ma muse pour mettre le monde en émoi
L’amour et la vérité, l’ivresse et puis la beauté
Tout ce qu’en vain j’ai cherché dans ses yeux je l’ai trouvé
REFRAIN
Autour d’un p’tit café crème sur un des quais de la Seine
Dans le froid du matin blême un jour j’lui dirai que j’l’aime
On partira tous les deux vers un monde merveilleux
Le ciel sera tout orange, on sera deux petits anges
Dans une chambre au sixième, je lui dirai des poèmes
On s’aimera sans travailler, je peux car je suis fou à lier
Elle est celle que j’attendais depuis qu’j’ai quinze ans passés
C’est elle que j’imaginais dans mon lit quand j’m’ennuyais
Maintenant j’la suis partout plus fidèle qu’un toutou
Elle veut jamais s’arrêter, je sens bien que j’vais craquer
REFRAIN
sympathique Pink MartiniForbes & Lauderdale
Ma Fchambre a la forme d’une cage,
Le Bb
soleil passe son Cbras par la fe
Fnêtre.
Les Fchasseurs à ma porte comme les
Dmpetits soldats
Qui Cveulent
Gme pren
Cdre.
FJe ne veux pas
Bb
travailCler,
Fje ne veux pas
Bb
déjeuCner,
Fje veux
Aseulement
Dml’oubli
Bb
er et Fpuis
Cje
Ffume...
FDéjà j’ai connu le parfum de l’amour,Bb
un million de roses n’emCbaumerait pas au
Ftant.
FMaintenant une seule fleur
Dmdans mes entourages
Me Crend
Gma
Clade.
REFRAINBbmJe ne suis pas fière de
Fça,
Bbmcette vie qui veut me
Ftuer.
EC’est magnifique, être
Amsympathique,
Gmais je ne le connais
Cjamais.
REFRAIN
tant pis Roch VoisineRoch Voisine
Bm A G Bm A G(intro)
Et Bmsi, j’ai
Atort, de
Glire, dans tes
Dpensées
ou Emrien de
Cbeau, ne m’é
Bmchappe, à par
F#
toi.BmSeuls quelques
Asilences m’ef
Gfleurent en
F#
core,
quand je Bmdors, je
Gn’ai plus de
Draison d’ai
Amer.
Et Dtant pis,
Em si je me
D/F#
détruis. G
Et je fais le Bmtour, de tes
Bmmots, tes pro
Amesses et tes
Aenvies d’ail
Gleu-eurs
Em A
Et Dtant pis,
Em si tu m’in
D/F#
terdis G
d’être pour AbDIM
toi l’unique Gobjet du dé
Emsir.
AMême ob
Gscures
D/F# A D C
Et Bmfière, où
Anon,
Glà n’est pas la
Dquestion.
Et Emje n’attends
Crien, de tes
Bmombres, de tes ef
F#
forts.BmJ’ai pris au
Asoleil
Gle feu qui
F#
manque à ton Bmcorps
Et Gperdu ton
Dâme à l’hori
Azon.
REFRAINEmJe m’attends
Em/Dà tout, sauf à
Atoi
A/G
Je ne Dt’aurai
Ajamais que pour
Bmmoi
Am
Et quand j’y Gcrois ton coeur n’ose
Apas
Alors Dtant pis,
Em si je me
D/F#
détruis G
Et je fais le Bmtour de tes mots, tes pro
Amesses et tes envies d’ail
Gleu-eu-eurs
Em A
Et Dtant pis,
Em si tu m’in
D/F#
terdis G
D’être pour Bmtoi l’unique
Gobjet de ton dé
Emsir.
Je Areste
Gpur
D/F# A/E
malgré Dma blessure
G D/F# A/E D
temps de vivre Georges Moustaki
ANous pren
Edrons le
Dtemps de
Avivre d’
Dêtre
Alibre,
Dmon a
Emour.
ASans pro
Ejects et
Dsans habi
Atudes
Dnous pou
Arons rê
Dver notre
Evie.
AViens, je suis
Elà, je n’
Dattend que
Atoi,
Dtout est pos
Asible,
Dtout est per
Emit.
AViens, é
Ecoute ces
Dmots qui
Avibrent
Dsur les
Amurs du
Dmois de
Emai.
AIls nous
Edisent la
Dserti
Atude
Dque tout
Apeut chan
Dger un
Ejour.
REFRAINANous pren
Edrons le
Dtemps de
Avivre d’
Dêtre
Alibre,
Dmon a
Emour.
ASans pro
Ejects et
Dsans habi
Atudes
Dnous pou
Arons rê
Dver notre
Evie.
REFRAIN
this melody •Julien Clerc
Étienne Roda-Gil ™ Julien Clerc
Eb
This melody Ab
is a Gmmelo
Fmdy for
Eb
you.Eb
Cette mélodie, Ab
c’est l’oGmcéan
Fmentre
Eb
nous.Bbm7Cette mélodie
Eb7d’eau salée et de mé
Ab
lancolie,F7dans ton pays, elle revient parfoisBb
comme ça, voilà, comme ça.
Eb
Le vent d’ici Ab
fait voGmler tous
Fmnos oi
Eb
seaux.Eb
Les champs d’ici Ab
font c’qu’ils Gmpeuvent
Fmpour les trou
Eb
peaux.Bbm7Les gens d’ici,
Eb7qui connaîtront pas
Ab
d’autre vie,F7dans ce pays, dont les fruits sont si beauxBb
qu’on se contente des noyaux.Eb
This melody Ab
is a Gmmelo
Bb7dy for
Cmyou.
Eb
Les gens d’ici Ab
ne sont plus grands, plus fiers Gmou plus beaux.
Ab
Seul’ment, ils sont d’ici, les Eb
gens d’ici,Ab
comme cette méloEb
die.Eb
Tu es partie, Ab
mais ton Gmrêve
Fmreste au
Eb
chaud.Eb
Ce vieux soleil Ab
était Gmtrop fort
Fmpour ta
Eb
peau.Bbm7Cette mélodie,
Eb7qui reviendra parfois
Ab
dans ta vie.F7Cette mélodie, dans ta ville, s’est transformée
en Bb
plaie en pluie, that’s why.Eb
This melody Ab
is a Gmmelo
Bb7dy for
Cmyou.
CHORUS
tombe la neige •
Adamo
Tombe la Amneige, tu ne viendras pas ce
Dmsoir,
Tombe la neige, Eet mon coeur s’habille de
Amnoir.
Ce soyeux corDmtège, tout en larme
Amblanche,
L’oiseau sur la Ebranche pleure le sorti
Amlège.
Tu ne viendras pas ce Dmsoir, me crie mon déses
Ampoir,
Mais tombe la Eneige, impassible ma
Amnège
DmLa, la la
Amla, la la
Ela, la la
Amla.
DmHum Hum
Amhum, hum
Ehum, hum
Amhum.
Tombe la Amneige, tu ne viendras pas ce
Dmsoir
Tombe la neige, Etout est blanc de déses
Ampoir
Triste certiDmtude, le froid et l’ab
Amsence
Cet odieux siElence, blanche soli
Amtude
Tu ne viendras pas ce Dmsoir, me crie mon déses
Ampoir
Mais tombe la Eneige, impassible ma
Amnège
Mais tombe la Eneige, impassible ma
Amnège
DmLa, la la
Amla, la la
Ela, la la
Amla.
DmHum Hum
Amhum, hum
Ehum, hum
Amhum.
DmHum, Hum
Amhum.
tous les garçons Françoise Hardy ™ Françoise Hardy & Roger Samyn
CTous les garçons et les
Amfilles de mon âge se pro
Dm7mènent dans la rue deux par
G7deux.
CTous les garçons et les
Amfilles de mon âge savent
Dm7bien ce que c’est qu’être heu
G7reux.
Et les Cyeux dans les
Amyeux et la
Fmain dans la
G7main,
ils s’en Cvont amou
Amreux sans peur
Fdu lende
G7main.
Oui, mais Cmoi je vais
Amseule par les
Dm7rues l’âme en
G7peine.
Oui mais Cmoi je vais
Amseule car per
Dm7sonne
G7ne
Cm’aime.
C7
Mes Fjours
Ccomme mes
C7nuits
Fsont en tout points pa
Greils.
FSans joie et
Cplein d’ennuis
C7: per
Fsonn’ne murmure «Je t’aime»
Dm7à mon o
G7reille.
CTous les garçons et les
Amfilles de mon âge font en
Dm7semble des projets d’ave
G7nir.
CTous les garcons et les
Amfilles de mon âge savent
Dm7très bien ce qu’aimer veut
G7dire.
Et les Cyeux dans les
Amyeux et la
Fmain dans la
G7main,
ils s’en Cvont amou
Amreux sans peur
Fdu lende
G7main.
Oui, mais Cmoi je vais
Amseule par les
Dm7rues l’âme en
G7peine.
Oui mais Cmoi je vais
Amseule car per
Dm7sonne
G7ne
Cm’aime.
C7
Mes Fjours
Ccomme mes
C7nuits
Fsont en tout points pa
Greils.
FSans joie et
Cplein d’ennuis
C7. Oh,
Fquand donc pour moi brille
Dm7ra le so
G7leil?
CComme les garçons et les
Amfilles de mon âge connai
Dm7trai-je bientôt ce qu’est l’a
G7mour.
CComme les garçons et les
Amfilles de mon âge je m’ de
Dm7mande quand viendra le
G7jour
où les Cyeux dans ses
Amyeux et la
Fmain dans sa
G7main.
J’aurai Cle coeur heu
Amreux sans peur
Fdu lende
G7main.
Le jour Coù je n’au
Amrai plus du
Dm7tout l’âme en
G7peine.
Le jour Coù moi aus
Amsi j’aurai
Dm7quel
G7qu’un qui
Cm’aime.
C7
tout va changer •Michel Fugain 1973
Pierre Delanoë ™ Michel Fugain
CM7Tout va chan
Dm7ger
G7ce
CM7soir.
Dm7 Em7
On FM7prend un nou
B7veau dé
Empart.
Em7
La GDIM
neige a blanA7chi le
Dmmon
G7de.
Les enCM7fants sont
A+
pleins d’esDmpoir.
F G
CM7Tout va chan
Dm7ger
G7de
CM7main.
Dm7 Em7
Tu FM7n’as qu’à ou
B7vrir les
Emains.
E7
Pour GDIM
que de là-A7haut te
Dmtom
G7be en ra
CM7fales
UFM7ne pluie de ca
CM7deau
Sous FM7un torrent d’é
CM7toiles
DeFM7main il fera
CM7beau.
Dm7 Em7
CM7Tout va chan
Dm7ger
G7ce
CM7soir.
Dm7 Em7
SeFM7lon notre
B7bon vou
Emloir.
Em7
Les GDIM
rues seront A7des thé
Dmâtres
G7
On CM7jouera
A+
sur les trotDmtoirs.
F G
CM7Tout va chan
Dm7ger
G7de
CM7main.
Dm7 Em7
FM7D’hier, il ne
B7reste
Erien
E7
DeGDIM
main c’est le A7grand spec
Dmtac
G7le, qu’on al
CM7lume
Des milFM7lions de chan
CM7delles
Qu’on FM7change de cos
CM7tume
Ce FM7soir la vie est
CM7belle
Dm7
CM7 Dm7 G7 CM7 Dm7 Em7 FM7 B7 Em Em7 GDIM A7 Dm G7 CM7 A+ Dm F G(instrumental)CM7Tout a chan
Dm7gé
G7dé
CM7jà
Dm7 Em7
PenFM7dant qu’on chan
B7tait tout
Eça
E7
DeGDIM
main est veA7nu en
Dmdou
G7ce
Et la CM7course ne
FM7s’arrêtera
CM7pas
Pas FM7plus que la grande
CM7Ourse
Pas FM7plus que toi et
CM7moi.
A+
1 1 1 1 1 1V
2 34
un jour tu verras •Mouloudji & Georges Van Parys ™ Revil
Un Eb
jour tu verCmras on se
Fmrencontre
Bb
ra.
Quelque Eb
part, n’importe Cmoù, gui
Fmdés par le ha
Bb
sard.
Nous nous Eb
regardeCmrons et nous
Fmnous souri
Bb
rons
et la Eb
main dans la Cmmain par les
Fmrues nous
Bb
i-Eb
rons
Le Ebmtemps passe si
Abmvite, le
Db
soir cachera Ebmbien
nos Ebmcoeurs, ces deux vo
Abmleurs, qui gardent
Db
leurs bonEbmheurs.
Puis Ebmnous arrive
Abmrons sur
Db
une place Ebmgrise
où les paBb
vés seront Cmdoux à nos
Fmâmes
Bb
grises.
Il y Eb
aura un Cmbal, très
Fmpauvre et tres ba
Bb
nal,
sous un Eb
ciel plein de Cmbrume et de
Fmmélanco
Bb
lie.
Un aEb
veugle joueCmra de
Fml’orgue de barba
Bb
rie
Cet Eb
air pour nous seCmra le plus
Fmbeau, le plus
Bb
joEb
li
Puis je t’inEbmviterai,
Abmta taille je pren
Ebmdrai.
Nous danserons tranquille loin des gens de la ville.
Nous danserons l’amour, les yeux au fond des yeux.
Vers une fin du monde, vers une nuit profonde.
Un Eb
jour tu verCmras on se
Fmrencontre
Bb
ra.
Quelque Eb
part, n’importe Cmoù, gui
Fmdés par le ha
Bb
sard.
Nous nous Eb
regardeCmrons et nous
Fmnous souri
Bb
rons
et la Eb
main dans la Cmmain par les
Fmrues nous
Bb
i-Eb
rons
un mexicain Jacques Plante ™ Charles Aznavour
C7Un Mexicain basa
Fné
C7est allongé sur le
Fsol,
C7le sombrero sur le
Fnez, en guise, en guise, en guise,
en guise, en C7guise de para
Fsol.
Bb F C7 F Bb F C7
FIl n’est pas loin de midi, d’après le so
C7leil,
c’est formidable aujourd’hui ce que j’ai somFmeil,
Bb
l’existence est un problème à n’en plus fiFnir.
Chaque jour, chaque nuit, c’est le C7même: il vaut mieux dor
Fmir.
Bb
Rien que trouver à manger ce n’est pourtant Flà qu’un détail,
mais ça suffiC7rait à pousser un homme au tra
Fvail...
REFRAIN
J’ai une soif du tonnerre, il faudrait trouver
un gars pour jouer un verre en trois coups de dés
Je ne vois que des fauchés tout autour de moi
et d’ailleurs ils ont l’air de tricher aussi bien que moi
et pourtant j’ai le gosier comme du buvard, du buvard
ça m’arrangerait bougrement s’il pouvait pleuvoir...
REFRAIN
Voici venir Christobal, mon Dieu qu’il est fier!
C’est vrai qu’il n’est général que depuis hier.
Quand il aura terminé sa révolution
nous pourrons continuer tous les deux la conversation.
Il est mon meilleur ami, j’ai parié sur lui dix pesos
et s’il est battu, je n’ai plus qu’à leur dire Adios.
REFRAIN
On voit partout des soldats courant dans les rues
si vous ne vous garez pas, ils vous march’nt dessus
et le matin quel boucan, sacré nom de nom,
ce qu’ils sont énervants, agaçants avec leurs canons.
Ça devrait être interdit un chahut pareil
à midi quand il y a des gens sapristi qui ont tant sommeil...
REFRAINC7Un Mexicain basa
Fné
C7est allongé sur le
Fsol
C7le sombrero sur le
Fnez, en guise, en guise, en guise,
en guise, en C7guise de para
Fsol
Bb F C7 F
une belle histoire Pierre Delanoë ™ Michel Fugain
Am Dm G CM7 FM7 ESUS E7(intro)AmC’est un beau ro
Dmman c’est
Gune belle his
CM7toire,
FM7C’est une romance
ESUS
d’aujourd’hui. E
AmIl rentrait chez
Dmlui là-
Ghaut vers le brouil
CM7lard,
FM7elle déscendait dans
ESUS
le Midi, le EMidi.
AmIls se sont trou
Dmvés au
Gbord du che
CM7min
FM7sur l’autoroute des vacances, c’était sans doute un jour de chance.AmIls avaient le
Dmciel à
Gportée de
CM7mains
FM7un cadeau de la providence, alors pourquoi penser au lende
Emmain.
Dm7 Em7
AmIls se sont ca
Dmchés dans
Gun grand champ de
CM7blé,
FM7se laissant porter par
ESUS
le courant. E
AmSe sont racon
Dmtés leurs
Gvies qui commen
CM7çaient,
FM7ils n’étaient encor’ que
ESUS
des enfants, des Eenfants.
AmQui s’étaient trou
Dmvés au
Gbord du che
CM7min
FM7sur l’autoroute des vacances, c’était sans doute un jour de chance.AmQui cueillirent le
Dmciel au
Gcreux de leurs
CM7mains
FM7Comme on cueille la providence, refusant de penser au lende
Emmain.
Dm7 Em7
AmC’est un beau ro
Dmman c’est
Gune belle his
CM7toire,
FM7C’est une romance
ESUS
d’aujourd’hui. E
AmIl rentrait chez
Dmlui là-
Ghaut vers le brouil
CM7lard,
FM7elle déscendait dans
ESUS
le Midi, le EMidi.
AmIls se sont quit
Dmtés au
Gbord du ma
CM7tin
FM7sur l’autoroute des vacances, c’était fini le jour de chance.AmIls reprirent a
Dmlors cha
Gcun leur che
CM7min,
FM7saluèrent la providence en se faisant un signe de la
Emmain.
Dm7 Em7
AmIl rentra chez
Dmlui là-
Ghaut vers le brouil
CM7lard,
FM7elle est déscendue là-
ESUS
bas dans le EMidi, le Midi.
AmC’est un beau ro
Dmman c’est
Gune belle his
CM7toire,
FM7C’est une romance
ESUS
d’aujourd’hui. E A
CM7o o (o) (o)
23
FM7
1 1 1 1 1 12 3
4
ESUSo o o
1 2 3
une jolie fleur Georges Brassens
G A B B7 E A7 D(intro)DJamais sur terre il n’y
A7eut d’amoureux
plus aveugle que moi dans tous les Dâges,
Dmais faut
D7dire que je m’étais
Gcrevé les yeux
Gm6en regardant de trop près
A7son co
Drsage.
DUne jolie fleur dans une peau
A7d’vache,
une jolie vache déguisée en Dfleur,
qui fait la belle et qui B7vous
E7attache,
A7puis, qui vous mène par le bout du
Dcoeur.
Le ciel l’avait pourvue des mille appas,
qui vous font prendre feu dès qu’on y touche,
l’en avait tant que je ne savais pas,
ne savais plus où donner de la bouche.
REFRAIN
Elle n’avait pas de tête, elle n’avait pas
l’esprit beaucoup plus grand qu’un dé à coudre,
mais pour I’amour on ne demande pas
aux filles d’avoir inventé la poudre.
REFRAIN
Puis un jour elle a pris la clef des champs
en me laissant à l’âme un mal funeste,
et toutes les herbes de la Saint-Jean
n’ont pas pu me guérir de cette peste.
REFRAIN
Je lui en ai bien voulu mais, à présent,
j’ai plus de rancune et mon coeur lui pardonne Dd’avoir mis m
D7on coeur à
Gfeu et à sang
Gm6pour qu’il ne puisse plus servir
A7à per
Dsonne.
REFRAIN
puis, qui vous mène par le bout du Dcoeur.
G A7 D
une maison bleue •Maxime Le Forestier
C Em C(intro)EmC’est une maison
Gbleue, ados
Bmsée à la
Ccolline.
On y vient à Gpied, on ne frappe
Dpas.
Ceux qui vivent Dlà ont jeté la
Aclé.
EmOn se retrouve en
Gsemble a
Bmprès des années de
Croute
et on vient s’asGseoir autour du re
Dpas
Tout le monde est Dlà à 5 heure du
Asoir.
EmQuand San francis
Gco s’embrume
AQuand San francis
Cco s’allume
DSan francis
Bmco
Où êtes Emvous Lizzard et
GLuc,
APsylvia,
Cattendez-
Emmoi
EmNageant dans le brouil
Glard, enla
Bmcés roulant dans
Cl’herbe
On écouteGra Tom à la Gui
Dtare
Phil à la KéDna jusqu’à la nuit
Anoire
EmUn autre arrive
Gra pour nous
Bmdire des nou
Cvelles
D’un qui revienGdra dans un an ou
Ddeux
Puisqu’il est heuDreux on s’endormi
Ara.
EmQuand San francis
Gco se lève
AQuand San francis
Cco se lève
DSan francis
Bmco
Où êtes Emvous Lizzard et
GLuc,
APsylvia,
Cattendez-
Emmoi
EmC’est une maison
Gbleue, accro
Bmchée à ma mé
Cmoire
On y vient à Gpied, on ne frappe
Dpas.
Ceux qui vivent Dlà ont jeté la
Aclé.
PeuEmplée de cheveux
Glongs, de grands
Bmlits et de mu
Csique
Peuplée de luGmière et peuplée de
Dfous
Elle sera derDnière à rester de
About
EmSi San francis
Gco s’effrondre
ASi San francis
Cco s’effrondre
DSan francis
Bmco
Où êtes Emvous Lizzard et
GLuc,
APsylvia,
Cattendez-
Emmoi
voir un ami pleurer Jacques Brel
DBien sûr il y a les guerres d’lr
Bmlande
DEt les peuplades sans mu
Gsique
F#mBien sûr tout ce manque de
Atendre
Il n’y a A7plus d’Amé
Drique
Bien sûr l’argent n’a pas d’odeur
Mais pas d’odeur vous monte au nez
Bien sûr on marche sur les fleurs
Mais, mais voir un ami pleurer.
Bien sûr il y a nos défaites
Et puis la mort qui est tout au bout
Le corps incline déjà la tête
Etonné d’être encore debout
Bien sûr les femmes infidèles
Et les oiseaux assassinés
Bien sûr nos coeurs perdent leurs ailes
Mais, mais voir un ami pleurer.
Bien sûr ces villes épuisées
Par ces enfants de cinquante ans
Notre impuissance à les aider
Et nos amours qui ont mal aux dents
Bien sûr le temps qui va trop vite
Ces métros remplis de noyés
La vérité qui nous évite
Mais, mais voir un ami pleurer
Bien sûr nos miroirs sont intègres
Ni le courage d’être juif
Ni l’élégance d’être nègre
On se croit mèche, on n’est que suif
Et tous ces hommes qui sont nos frères
Tellement qu’on est plus étonné
Que par amour ils nous lacèrent
Mais, mais voir un ami pleurer
vous permettez, monsieur Adamo
CAujourd’hui c’est le bal des gens bien
Demoiselles que vous êtes joG7lies
Pas question de penser aux folies
Les folies sont affaires de vauCriens
COn n’oublie pas les belles manières
On demande au papa s’il perG7met
Et comme il se méfie des gourCmets
Il vous G7passe la muse
Clière
G7 C
Vous permetFtez Monsieur, que j’emprunte votre
Cfille
Et bien qu’il me souG7rit, je sens bien qu’il se mé
Cfie
Vous permetFtez Monsieur, nous promettons d’être
Csages
Comme vous l’étiez à notre G7âge, juste avant le mari
Cage
G7 C
Bien qu’un mètre environ nous sépare
Nous voguons par delà les violons
On doit dire entre nous on se marre
A les voir ajuster leur lorgnon
REFRAIN
Que d’amour dans nos mains qui s’étreignent
Que d’élans vers ton coeur dans le mien
Le regard des parents s’il retient
N’atteint pas la tendresse où l’on baigne
REFRAIN
y a d’la joie •Charles Trenet
Charles Trenet
Y a d’la Djoie, bonjour, bonjour les hiron
A7delles
Y a d’la Djoie dans le ciel par dessus le
Atoit
Y a d’la Djoie
D7et du so
Gleil dans les ru
FDIM
elles
Y a d’la Djoie par
Em7tout y a
A7d’la
Djoie.
A7
Tout le Djour, mon coeur bat, chavire, et chan
A7celle
C’est l’aDmour qui vient avec je ne sais
Aquoi
qu’est l’aDmour
D7bon
Gjour, bonjour les demoi
FDIM
selles
Y a d’la Djoie par
Em7tout y a
A7d’la
Djoie
D7Le
Ggris boulanger bat la pâte à pleins bras
D7Il
Gfait du bon pain, du pain si
Am7fin que j’ai faim
On D7voit le facteur qui s’envole là-bas
Comme A7un ange bleu portant ses
D7lettr’s au Bon Dieu
MiGracle sans nom à la station Javel.
D7
On Gvoit le métro qui sort
Am7de son tunnel
GriD7sé de ciel bleu de chansons et de fleurs
Il D7court vers le bois il court
Gà tout’ vapeur
Y a d’la Djoie la Tour-Eiffel part en bal
A7lade
Comme un’ Dfoll’, elle saut’ la Seine à pieds
Ajoints
Puis ell’ Ddit: ‘
D7Tant pis pour
Gmoi si j’suis ma
FDIM
lade
J’m’ennuyDais tout’
Em7seul’ dans
A7mon
Dcoin.’
A7
Y a d’la Djoie le percepteur met sa ja
A7quette
Plie bouDtique et dit d’un air très doux, très
Adoux
‘Bien l’bonDjour,
D7pour
Gaujourd’hui finie la
FDIM
quête
Gardez Dtout, Mes
Em7sieurs, gar
A7dez
Dtout.’
D7Mais sou
Gdain voilà je m’éveill’ dans mon lit
D7Donc
Gj’avais rêvé, oui, car
Am7le ciel est gris
Il D7faut se lever, se laver, se vêtir
Et A7ne plus chanter si l’on a
D7plus rien à dir’
Mais je Gcrois pourtant que ce rêve a du bon
D7
Car Gil m’a permis de
Am7faire une chanson
ChanD7son de printemps, chansonnette d’amour
ChanD7son de vingt ans, chan
Gson de toujours
REFRAIN
NIEUW NOUVEAUTITEL / TITRE TITEL / TITREmaintenant je reviens demain sera parfait l’encre de tes yeux la madrague la corrida peut-être elle habite ici ma préférence la tendresse la semaine prochaine la liste c’est dit comme toi l’effet papillon je reviens te chercher salut les amoureux si j’étais président l’accordéoniste la romance de paris aimer à perdre la raison parce qu’on sait jamais le petit bonhomme en mousse mon vieux sensualité à boire je pense à toi naufragéé du tendre (shipwrecked) blanche comme la neige la porte d’en arrière en filant ma quenouille cheminant à la ville perrine tant pis double enfance le sud j’ai tout oublié mon manège à moi y a d’la joie que reste-t-il de nos amours les filles si on chantait évidemment en cloque l’incendie à rio on laisse tous un jour le dénicheur salade de fruits chaque jour de plus les cerises de monsieur clément comme un soleil tout va changer
le temps de vivre pas de boogie woogie this melodie ce n’est rien le temps du muguet l’équipe à jojo les champs-élysées ma solitude ma liberté sous les ponts de paris si tu vas à rio la maritza il venait d’avoir 18 ans chanson pour l’auvergnat auprès de mon arbre les copains d’abord plaisir d’amour l’âme des poètes elle était si jolie à biciclette suzette pour la vie mon frère ma liberté de penser les grands boulevards le moribond j’m’voyais déjà en haut de l’affiche comme de bien entendu le gorille retiens la nuit chante comme si tu devais mourrir vous permettez, monsieur voir un ami pleurer une joli fleur un mexicain s’il suffisait d’aimer si tu t’appelles mélancholie quand le soleil dit bonjour milord méditerranée maladie d’amour l’hymne à l’amour les trois cloches las acadiens le chemin de papa l’amérique la bohème je n’airai pas le temps jardin extraordinaire il est cinq heures emmenez-moi douce france