journal of˜ ciel code code et de civil - siplast.fr · source : dtu 20.12/nf p 10.203. Élément...
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document technique
unifié
code
de la
construction
et de
l’habitation
DTU
Journal Officiel
Code Civil
construction et
habitation
CODECIVIL
lois et décrets
Aspects réglementaires
Aspects Réglementaires (normes, codes, règles, contraintes…) relatifs à l’étanchéité des toitures et terrasses
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Aspects réglementairesSommaire
Éléments porteurs 3
Réglementation incendie 4
Assurance incendie 8
Charges climatiques 10
Le classement FIT 14
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Éléments porteurs
ATTENTION : Les indications ci-après constituent un aide-mémoire bien sûr non exhaustif. Elles ne sauraient dispenser l’homme de l’art d’une connaissance complète des réglementations et des documents de référence, résultant de la consultation de leur texte intégral.
Éléments porteurs en maçonnerie
Source : DTU 20.12/NF P 10.203.
Élément porteur de type A
Élément porteur dont au moins la partie supérieure de la section résistante est réalisée en béton armé coulé en œuvre de façon continue sur l’ensemble de la surface.
Par exemple :les dalles pleines coulées en œuvre; les dalles confectionnées à partir de prédalles; les planchers à poutrelles (BA ou BP), entre-vous de coffrage et dalle de ré-partition complète coulée en œuvre; les planchers à bacs métalliques collaborants.
Élément porteur de type B
Élément porteur constitué d’éléments préfabriqués en béton armé ou précontraint posés jointifs, solidarisés par des armatures noyées dans un béton de liaison coulé en place.
Élément porteur de type C
Élément porteur constitué d’élément préfabriqués jointifs en matériaux de nature éventuellement différente, soli-darisés par des blocages en béton et/ou des chaînages transversaux en béton réalisés in situ.
Par exemple les planchers à poutrelles (BA ou BP) et entrevous porteurs en béton ou en terre cuite, sans dalle de répartition rapportée en béton coulé in situ.
Élément porteur de type D
Élément porteur réalisé à partir d’éléments préfabriqués en béton armé ou précontraint posés jointifs et solidarisés par des clefs continues en béton.
Sauf exception (certaines dalles alvéolées), les éléments ne sont pas complétés par une dalle rapportée en béton armé.
Par exemple : plancher formé de dalles alvéolées préfabriquées en béton armé ou précontraint, sans dalle collaborante rapportée en béton, plancher formé d’éléments en T ou en double T.
Ils doivent présenter une pente minimale de 1 %.
Nota : on appelle clef la partie du joint qui, par sa forme, permet de solidariser les éléments entre-eux, interdisant ainsi tout déplacement vertical (effet «touches de piano»).
Dalles de toiture en béton cellulaire autoclavé armé
Source : Conditions générales d’emploi des dalles de toiture en béton cellulaire autoclavé armé. Cahier du CSTB nº 2192 d’octobre 1987.
Ces dalles doivent être utilisées dans les limites et conformément aux dispositions de leurs Avis Techniques.
Elles peuvent convenir pour des toitures et toitures-terrasses (plates ou en pente), autoprotégées ou sous protection lourde, comportant des noues à pente nulle, des zones techniques (pente 7 %) et des chemins de circulation (pente 50 %), à l’exclusion des terrasses accessibles aux piétons ou aux véhicules.
Leur emploi est généralement limité à la réalisation de toitures de locaux à faible et moyenne hygrométrie (W/n 5 g/m³).
Pente minimale admise : 1 %.
L’emploi en climat de montagne est exclu (cf DTU 43.1/NF P 84.204).
Les joints d’abouts courants entre dalles, ainsi que les joints latéraux et d’abouts de dalles coïncidant avec les joints de la structure-support, doivent être pontés.
Éléments porteurs en tôles d’acier nervurées (tan)
Source : DTU 43.3/NF P 84.206.
Ils peuvent être en : tôles d’acier galvanisées (norme XP P 34.310); tôles d’acier revêtues en continu d’alliage de zinc-aluminium (95 % de zinc) (norme XP A 36.324); tôles d’acier conformes aux précédentes et prélaquées ou revêtues en continu d’un film organique (norme XP P 34.301).
Le choix des revêtements dépend notamment de la destination des locaux et en particulier de leur hygrométrie et de leur ambiance intérieure (cf DTU 43.3/NF P 84.206 - Annexe E).
Les TAN peuvent être à plages pleines ou perforées (ou «crevées») si on souhaite obtenir une correction acoustique du local couvert ; la perforation constitue toutefois un affaiblissement de la tenue mécanique des tôles, dont il doit être tenu compte dans le calcul des portées admissibles.
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Aspects réglementairesÉléments porteurs en bois et dérivés
Source : DTU 43.4/NF P 84.207.
Matériaux en bois massif
ÉpaisseurLargeur
minimale maximale
Pose dite «jointive»
frises 18 mm 80 mm 150 mm
planches 22 mm 120 mm 150 mm
Pose dite «bouvetée»
lames à plancher cf NF B 54.000 23 mm – 150 mm
planches bouvetées 23 mm – 150 mm
Les Documents Particuliers de Marché doivent préciser les essences choisies (cf vocabulaire défini dans la norme NF B 50.002) et les éventuelles exigences de traitement fongicide ou insecticide.
Matériaux en contreplaqué
Ils doivent être conformes à la norme NF B 54.161 (marquage «NF Extérieur CTB-X») et peuvent comporter des traitements complémentaires fongicides
ou insecticides ou être ignifugés si les Documents Particuliers de Marché l’exigent.
longueur : 3,15 m.
largeur : 1,55 mm.
épaisseur : 10 mm si les panneaux sont supportés sur les quatres côtés ; 12 mm si les rives perpendiculaires aux appuis ne sont pas supportées.
Matériaux en panneaux de particules (éléments ou dalles)
Ils doivent satisfaire aux normes NF B 54.100 et NF B 54.110, et aux prescriptions de la marque de qualité «CTB-H». Si les Documents Particuliers de Marché l’exigent, ils peuvent comporter un traitement complémentaire fongicide ou insecticide, voire être ignifugés.
épaisseur : 18 mm.
largeur : 1,25 m.
longueur : 2,70 m pour les dalles d’épaisseur comprise entre 18 et 25 mm ;� 3,10 m pour les dalles d’épaisseur 25 m ;� 3,10 m pour les éléments supports d’étanchéité semi- indépendante ;� 4,10 m pour les éléments supports d’isolants ou de systèmes d’étanchéité en indépendance.
Réglementation incendie
ATTENTION : Les indications ci-après constituent un aide-mémoire bien sûr non exhaustif. Elles ne sauraient dispenser l’homme de l’art d’une connaissance complète des réglementations et des documents de référence, résultant de la consultation de leur texte intégral. En outre, certains types de bâtiments peuvent être soumis à des règlementations particulières non répertoriées ci-après.
Principaux textes de référence
Classification des matériaux et définition des essais
Code de la Construction et de l’Habitation : Article R.121.1 à R.121.13 (ancien décret 57.1161 du 17 octobre 1957).
Arrêté du 30/06/83 modifié par l’Arrêté du 28/08/91.
Arrêté du 03/08/99 et ses annexes.
Bâtiments d’habitation
Code de la Construction et de l’Habitation : articles R.111.1 à R.111.19.
Arrêté du 31/01/86 modifié les 18/08/86 et 19/12/88.
ERP (Établissements Recevant du Public)
Code de la Construction et de l’Habitation : articles L.123.2 et R.123.1 à R.123.55.
Arrêté du 23/03/65 (complété ou modifié de nombreuses fois par la suite).
Arrêté du 25/06/80 (complété ou modifié de nombreuses fois par la suite).
IGH (Immeubles de Grande Hauteur)
Code de la Construction et de l’Habitation : articles R.122.1 à R.122.29, R.152.1 à R.152.3 (ancien
décret nº 67.1063 du 15/11/67 modifié par le décret du 15/06/76).
Arrêté du 18/10/77, modifié le 22/10/82 (abrogeant l’arrêté du 24/11/67 modifié le 15/12/70).
Locaux industriels et commerciaux et installations classées
Code du travail : articles L.231.1 à L.231.5-1 et articles R.232.12 à R.232.12-22.
Loi nº 76.663 du 19.07.76.
Décret nº 77.1133 du 21/09/77.
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Classification et essais de comportement au feu des matériaux
Le comportement au feu des matériaux et éléments est apprécié selon trois critères :
la réaction au feu; le comportement au feu (pour les toitures);la résistance au feu.
La réaction au feu
C’est l’aliment qu’un matériau peut apporter au feu et au développement de l’incendie. Ce critère permet de répartir les matériaux en cinq catégories d’après les modalités d’essai définies dans l’arrêté du 30 juin 1983, ces essais ne pouvant être effectués que par les laboratoires agréés.
Classification actuelle
Appellations antérieures
M0 incombustible
M1 combustible non inflammable
M2 combustible difficilement inflammable
M3 combustible moyennement inflammable
M4 combustible facilement inflammable
Le comportement au feu
Une classification complémentaire pour les toitures revêtues de matériaux classés M4, définie par l’Arrêté du 31 janvier 1986 indique les modalités d’essais des couvertures en matériaux combustibles par rapport au danger d’incendie résultant d’un feu extérieur, et permet d’attribuer un classement complémentaire T5, T15, T30 avec indice, 1, 2 ou 3, dont la définition est la suivante :
les couvertures propageant le feu en surface en un temps :
supérieur à 30 mn indice 1compris entre 10 et 30 mn indice 2inférieur à 10 mn indice 3
les couvertures se laissant traverser par le feu en un temps :
supérieur à 30 mn T30compris entre 15 et 30 mn T15compris entre 5 et 15 mn T5
La résistance au feu
Elle qualifie l’aptitude des éléments de construction à conserver leur rôle isolant au feu, durant le temps nécessaire à l’évacuation, au sauvetage et à la lutte contre l’incendie. Quatre critères sont pris en compte :
1) Résistance mécanique.
2) Étanchéité aux flammes et aux gaz chauds.
3) Isolation thermique - limitation de l’échauffement de la face non exposée.
4) Maintien de la fonction pour d’autres produits ou éléments de construction (ventilateurs, exutoires, etc.).
Les éléments de construction peuvent ainsi être classés, selon la satisfaction aux critères précédents :
SF (stable au feu) = critère 1 satisfait ;
PF (pare-flammes) = critère 2 satisfait (et en général critère 1 satisfait) ;
CF (coupe-feu) = critères 2, 3 satisfaits (et en général critère 1 satisfait).
Les durées de classement retenues sont : 1/4 h, 1/2 h, 3/4 h, 1 h, 1 h 1/2, 2 h, 3 h, 4 h, 6 h.
Exigences de la réglementation incendie concernant les couvertures
Remarque préliminaire
D’une manière générale, seul le classe-ment «réaction au feu» d’un matériau de couverture ou le «comportement au feu» d’un complexe d’étanchéité est actuellement pris en compte pour déterminer si celui-ci est utilisable sur tel type de local conformément à la réglementation incendie. Les exigences de «résistance au feu» n’interviennent qu’au niveau du support.
Bâtiments d’habitation (arrêté du 31/01/86)
Classification
Les bâtiments d’habitation sont classés comme suit du point de vue de la sécurité-incendie :
1ère famille : habitations individuelles isolées ou jumelées à un étage sur rez-de-chaussée, au plus; habitations individuelles à rez-de-chaussée groupées en bande.
Toutefois sont également classées en première famille les habitations individuelles à un étage sur rez-de-chaussée, groupées en bande, lorsque les structures de chaque habitation concourant à la stabilité du bâtiment sont indépendantes de celles de l’habitation contiguë.
2e famille : habitations individuelles isolées ou jumelées de plus d’un étage sur rez-de-chaussée; habitations individuelles à un étage sur rez-de-chaussée seulement, groupées en bande, lorsque les structures de chaque habitation concourant à la stabilité du bâtiment ne sont pas indépendantes des structures de l’habitation contiguë; habitations individuelles de plus d’un étage sur rez-de-chaussée groupées en bande; habitations collectives comportant au plus trois étages sur rez-de-chaussée.
Pour l’application des 1ère et 2e familles ci-dessus, sont considérées comme maisons individuelles les bâtiments d’habitation ne comportant pas de logements superposés ; les escaliers des bâtiments d’habitation collectifs de trois étages sur rez-de-chaussée, dont le plancher bas du logement le plus haut est à plus de huit mètres du sol, doivent être encloisonnés.
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Aspects réglementaires
3e famille :
Habitations dont le plancher bas du logement le plus haut est situé à vingt-huit mètres au plus au-dessus du sol utilement accessible aux engins des services de secours et de lutte contre l’incendie, parmi lesquelles on distingue :
3e famille A : habitations comportant au plus sept étages sur rez-de-chaussée, dans lesquelles la distance entre la porte palière de logement la plus éloignée et l’accès à l’escalier est au plus égale à sept mètres, et implantées de telle sorte qu’au rez-de-chaussée les accès aux escaliers soient atteints par la voie échelles ; 3e famille B : habitations ne satisfai-sant pas aux conditions précédentes.
Dans les communes dont les services de secours et de lutte contre l’incendie sont dotés d’échelles aériennes de hauteur suffisante, le maire peut décider que les bâtiments classés en 3e famille B, situés dans le secteur d’intervention desdites échelles, peuvent être soumis aux seules prescriptions fixées pour les bâtiments classés en 3e famille A. Dans ce cas la hauteur du plancher bas du logement le plus haut du bâtiment projeté doit correspondre à la hauteur susceptible d’être atteinte par les échelles, et chaque logement doit pouvoir être atteint soit directement soit par un parcours sûr.
4e famille :
Habitations dont le plancher bas du logement le plus haut est situé à plus de vingt-huit mètres et à cinquante mètres au plus au-dessus du niveau du sol utilement accessible aux engins des services publics de secours et de lutte contre l’incendie.
Nota : certains immeubles de 4e famille, contenant des locaux à usage autre qu’habitation, doivent être rangés dans la catégorie des IGH (cf ci-après).
Exigences en couverture (extrait de l’article 15)
Les revêtements M0, M1, M2, M3 peuvent être utilisés sans restriction en couverture, s’ils sont établis sur un support continu en matériau incombustible ou en panneau de bois ou assimilé classé par le CECMI.
Pour les revêtements M4, la classe à utiliser sera fonction du classement du bâtiment d’habitation :
1ère famille : T5, T15 ou T302e famille : T15 ou T303e et 4e familles : T30
L’indice de propagation de la couverture d’un immeuble se détermine selon le tableau ci-après, en fonction :
de la distance qui le sépare soit d’un immeuble voisin, soit de la limite de propriété ; de l’indice de propagation de la couverture de l’immeuble voisin.
Distance minimale
de 0 à 4 m
de 4 à 8 m de 8 à 12 m
Indice de l’immeuble voisin 1 2 1 3 2 1
Indice minimal recherché 1 1 2 1 2 3
Au-delà de douze mètres, toute couverture peut être utilisée sans restriction.
Les couvertures dont les revêtements sont classés en catégorie M0 à M3 sont assimilées à des couvertures d’indice 1.
Établissements recevant du public : ERP
Définition
Deux classements complémentaires sont utilisés pour définir les établissements qui rentrent dans cette catégorie et les normes incendie correspondantes :
Classement selon l’effectif du public : Article 19 du décret du 31 octobre 1973 1ère catégorie : au-dessus de 1.500 personnes ; 2e catégorie : de 701 à 1.500 personnes ; 3e catégorie : de 301 à 700 personnes ; 4e catégorie : 300 personnes et
au-dessous à l’exception des établis-sements compris dans la 5e catégorie ; 5e catégorie : établissements visés à l’article 14 du Décret nº 73.1007 du 31 octobre 1973, dans lesquels l’effectif du public n’atteint pas le chiffre minimum fixé par le règle-ment de sécurité pour chaque type d’exploitation. Classement selon le type d’établissement : Article GN1 du règlement de sécurité dans les ERP (Arrêté du 25/06/80 modifié)
L - salles d’auditions, de conféren-ces, de réunions, de spectacles ou à usage multiple ;
M - magasins de vente, centres commerciaux ;
N - restaurants et débits de boissons ; O - hôtels, pensions de famille ; P - salles de danse et salles de jeu ; R - établissements d’enseignement,
de colonies de vacances ; S - bibliothèques, centres de
documentation ; T - salles d’exposition ; U - établissements sanitaires ; V - établissements de cultes ; W - banques, bureaux, administrations ; X - établissements sportifs couverts ; Y - musées ; PA - établissements de plein air ; CTS - chapiteaux, tentes et structures ; SG - structures gonflables ; PS - parcs de stationnement couverts ; GA - gares ; OA - hôtels-restaurants d’altitude.
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Exigences en couverture : Article CO17 du règlement de sécurité dans les ERP
Nota : au-delà de 12 m entre l’établis-sement et le bâtiment voisin ou la limite de la parcelle voisine, aucune exigence n’est demandée pour la protection de la toiture par rapport à un feu extérieur.
La couverture doit être réalisée en res-pectant l’une des solutions suivantes :
en matériaux M0; en matériaux des catégories M1 à M3 posés sur support continu en bois ou agglomérés de fibres ou particules de bois ou en matériaux reconnus équivalents par le CECMI; en matériaux des catégories M1 à M3 non posés dans les conditions précédentes ou de la catégorie M4 : la couverture doit alors présenter les caractéristiques minimales de classe et d’indice de propagation fixées dans le tableau ci-dessous en fonction de la catégorie, de la destination de l’établissement et de la distance «d» entre ce dernier et le bâtiment voisin ou à défaut la limite de la parcelle voisine.
Immeuble de grande hauteur : IGH
Définition
Les immeubles sont dits de grande hauteur lorsque le plancher bas du dernier niveau est situé, par rapport au niveau du sol le plus haut utilisable par les engins des services publics de secours et de lutte contre l’incendie :
à plus de 50 m pour les immeubles d’habitation,
à plus de 28 m pour tous les autres immeubles,
les immeubles de bureaux étant divisés en deux catégories selon que leur hau-teur est comprise entre 28 et 50 m ou supérieure à 50 m.
Exigence en couverture (Article GH14)
Les matériaux superficiels en éléments légers combustibles pouvant s’arracher enflammés sont interdits ; donc les revêtements M0 pourront être admis.
En technique d’étanchéité classique, seule la toiture terrasse avec protection lourde pourra convenir, la chape ciment ou les gravillons rapportés en surface étant par eux-mêmes incombustibles.
Dans le cas de mitoyenneté, l’Article GH7 indique des dispositions complémentaires :
§ 1 : en application des Articles 2 et 9 du Décret, un immeuble de grande hauteur doit être isolé des constructions voisines par un mur ou une façade verticale coupe-feu de degré deux heures au moins sur toute sa hauteur ou par un volume de protection.
§ 2 : La limite latérale du volume de protection est constituée par une surface verticale située à 8 m au moins de tout point des façades de l’immeuble qui ne sont pas coupe-feu de degré deux heures au moins.
La limite inférieure du volume de protection est constituée soit par le sol, soit par des constructions ou parties de construction coupe-feu de degré deux heures au moins.
Établissements classés dangereux, insalubres ou incommodes, locaux industriels
Le classement est fonction des sources de nuisances et des dangers éventuels occasionnés par le type d’exploitation de l’établissement considéré.
Les établissements classés 1 et 2 sont soumis à autorisation préfectorale, les impératifs de sécurité étant donc définis au coup par coup.
Pour les établissements de 3e classe soumis à simple déclaration, certains arrêtés-type exigent des couvertures incombustibles quelquefois légères ou un plancher haut coupe-feu une heure.
Pour les établissements non classés, en dehors des prescriptions concernant la sécurité des travailleurs, ce sont en général des notions d’assurance qui interviennent dans la conception des ouvrages.
Catégorie et destination de l’établissement
Distance entre l’établissement et le bâtiment voisin ou la limite
de la parcelle voisine
d 8 m 8 m d 12 m
Établissements de 1ère catégorie et établissements de 2e, 3e et 4e catégories comportant par destination des locaux réservés au sommeil.
T30 Indice 1
T15 Indice 1
Établissements de 2e, 3e et 4e catégories ne comportant pas par destination de locaux réservés au sommeil.
T30 Indice 2
T15 Indice 2
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Aspects réglementairesAssurance incendie
ATTENTION : Les indications ci-après constituent un aide-mémoire bien sûr non exhaustif. Elles ne sauraient dispenser l’homme de l’Art d’une connaissance complète des documents de référence résultant de la consultation de leur texte intégral.
L’APSAD (Assemblée Plénière des Sociétés d’Assurance Dommages) a établi des classifications et des Cahiers de Spécifications servant de référence dans l’évaluation du risque incendie, et notamment pour les couvertures. Il est donc souhaitable de s’y référer pour la conception des ouvrages.
Classifications
Matériaux de construction
Ils sont classés selon trois catégories :matériaux durs;matériaux semi-légers;matériaux légers.
Cette classification est nominative à la différence de la réglementation incendie basée sur des résultats d’essais normalisés.
Bâtiments
Les bâtiments se classent d’après la nature de la construction de leurs murs extérieurs (risque) et d’après la nature de leur couverture (classe), en fonction du pourcentage de matériaux durs, semi-légers et légers utilisés.
Pour les couvertures, on distingue ainsi : 1ère classe : couverture comprenant plus de 90 % de matériaux durs. 2e classe : a) Couvertures en matériaux de toute nature, mais dans lesquels les maté-riaux légers n’excèdent pas 10 % (et
les matériaux durs n’excèdent pas 90 %). b) Couvertures en matériaux durs
et éléments de polyester armé ou en plaques de PVC répondant à certaines conditions (Cahier des Spécifications 4 PR/F). 3e classe : couvertures comprenant plus de 10 % de matériaux légers.
Cahiers des spécifications
Cahier CB2 : risques industriels
Il traite du cas particulier des toitures composées de supports rigides ligno-cellulosiques associés à des revête-ments souples continus ou discontinus.
Ce cahier édicte des règles qui définissent les caractéristiques minimales nécessaires aux couvertures de bâtiments composées de :
un support ligno-cellulosique rigide (bois, panneaux dérivés et assimilés) ; un matériau d’isolation thermique (éventuellement) ; un revêtement d’étanchéité souple
continu ou discontinu (feutres bitumés, bardeaux bitumés, etc.) de telle sorte
qu’elles correspondent à la catégorie des matériaux «semi-légers» dans le classement établi par l’APSAD.
Cahier CC2 : Couvertures isolantes en acier
Il établit les règles en vue de définir les caractéristiques auxquelles les toitures en tôles d’acier nervurées, comportant isolation thermique et étanchéité, doivent satisfaire pour correspondre à la catégorie «matériaux durs», et ainsi bénéficier des tarifs d’assurances correspondants.
Ces couvertures sont constituées des trois éléments suivants (de l’intérieur vers l’extérieur) :
un élément porteur métallique nervuré ; une couche d’isolant thermique incombustible ;un revêtement d’étanchéité.
Les spécifications du Cahier CC2 intéressent non seulement les travaux neufs mais également les travaux de réfection et de rénovation.
Pour les travaux neufs
Les spécifications du Cahier CC2 sont à rapprocher des dispositions du DTU 43.3 pour réaliser des toitures classées «matériaux durs».
Il en est ainsi pour les éléments porteurs en tôles d’acier nervurées
pleines ou perforées décrits dans le DTU 43.3.
Pour les pare-vapeur sur tôles perforées, le dispositif retenu dans le CC2 est celui décrit dans le DTU 43.3 (l’écran Ceceal de Siplast est cité).
Pour les travaux de rénovation
Le Cahier CC2 actuel part de l’hypothèse que les anciens travaux ont été réalisés conformément à l’ancien Cahier CC2 (édition de février 1968 et additif de 1970) c’est-à-dire, en particulier, que les isolants existants étaient du type panneaux de laine minérale ou panneaux de perlite cellulose.
Trois cas peuvent être envisagés : 1er cas : on enlève l’ancienne étanchéité et l’ancienne isolation. On refait alors ces parties d’ouvrages comme des travaux neufs, conformé-ment au Cahier CC2. 2e cas : on met en œuvre sur l’ancien revêtement d’étanchéité une nouvelle isolation thermique et un nouveau revêtement d’étanchéité, ces deux ouvrages étant conformes au Cahier CC2. 3e cas : on met en œuvre sur l’ancien revêtement d’étanchéité un nouveau matériau ou système d’étanchéité conforme aux dispositions du Cahier CC2. Ce dispositif est admis avec la réserve suivante :
si le nouveau matériau ou système d’étanchéité est classé M3 ou T30/1, c’est l’ensemble constitué par l’association des revêtements anciens et nouveaux qui doit satis-faire aux prescriptions du Cahier CC2 (en particulier classement M3 au plus, ou T30/1). Cette contrainte ne serait toutefois pas nécessaire dans les cas :de protection lourde; d’emploi de nouveau revêtement autoprotégé par feuille métallique réglementaire (Veral 50 S, Paradial S, Vercuivre S, Supradial A/G S, Verinox S).
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Pour en savoir plus :
APSAD 26 Bd Haussmann 75009 PARIS Tél : 01 42 47 90 00
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Aspects réglementairesCharges climatiques
ATTENTION : Les indications ci-après constituent un aide-mémoire bien sûr non exhaustif. Elles ne sauraient dispenser l’homme de l’art d’une connaissance complète des documents de référence (Normes, DTU, Règles professionnelles, etc.) résultant de la consultation de leur texte intégral.
Principaux documents de référence
NF P 06.001 : Base de calcul des constructions - charges d’exploitation des bâtiments.
DTU P 06.002 : Règles vent NV 65.
DTU P 06.006 : Règles N84 modifiées 95 - Actions de la neige sur les constructions ou son modificatif n°1 d’avril 2000.
Effet dû à la neige
La charge de neige sur le sol s° par
unité de surface est fonction de la localisation géographique et de l’altitude du lieu considéré. La carte ci-contre, établie à partir d’une exploitation statistique des séries climatologiques de hauteurs maximales annuelles de neige, distingue quatre régions 1, 2, 3 et 4. Les valeurs de charges indiquées ci-dessous tiennent compte des charges remarquables observées et d’une masse volumique de la neige de 150 kg/m³.
Zones dont l’altitude est 200 m
Les valeurs minimales de s° sont les
suivantes :Région 1 : s
° min = 0,45 kN/m²
Région 2 : s° min = 0,55 kN/m²
Région 3 : s° min = 0,65 kN/m²
Région 4 : s° min = 0,90 kN/m²
Nota : 1 kN 100 kg
Zones dont l’altitude est supérieure à 200 m
La valeur de s° est déterminée par
les lois de variations suivantes : pour 200 m h 500 m :
s° = s
° min + (0,15h - 30) 100
pour 500 m h 1000 m :
s° = s
° min + (0,3h - 105) 100
pour 1000 m h 2000 m :
s° = s
° min + (0,45h - 255) 100
avec h en m et so en kN/m².
Les valeurs de s° ainsi déterminées sont
des valeurs «plancher». Les conditions locales peuvent conduire, dans certains secteurs (vallées encaissées, certains massifs exposés), à des charges nette-ment supérieures à celles déterminées par les lois de variation ci-dessus.
Pour ces cas, la valeur de s° est
majorée, avec en principe un maximum
de 50 %, et précisée dans les Documents Particuliers de Marché.
Au-delà de 2 000 m, les Documents Particuliers de Marché doivent préciser la valeur de charge de neige à prendre en compte.
La charge de neige sur une toiture(s) dépend de la charge de neige sur le sol (s
°), d’un coefficient de forme (µ), et
d’une majoration éventuelle (s1) :
s = µ s° + s1
s1 tient compte de la difficulté d’évacuation des eaux de pluie en présence de neige dans les zones de faible pente (versants et noues).
La charge accidentelle de neige (sa) permet de tenir compte des chutes exceptionnelles de neige (neige seule ou neige et pluie consécutives).
Compte tenu des données météorologi-ques enregistrées, les régions de neige 1 et 2 ont été subdivisées en deux zones chacunes (1A et 1B, 2A et 2B) pour lesquelles la charge accidentelle de neige est différente.
Zones
1A 1B 2A 2B 3 4
s° a kN/m² - 1,00 1,00 1,35 1,35 1,80
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Neige - carte des charges de neige
1A
Zones de neige
1B
2A
2B
3
4
77
78
95
91
92 75 93 94
90
03
39
01 74
73
05
0406
83
2A
2B
13
30
34
11
09
12
81
31
64
65
8240
33
17
85
47
24
1687
23
19
46
32
4807
26
84
15 43
4269
63
71
5818
36
8679
55
54
57
67
68
88
25
70
52
51
44
56
29 22
35
27
214937
41
45 89
10
7253
61
28
62
59
08
50 14
76
80
6002
38
66
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Aspects réglementairesEffet dû au vent
On suppose toujours que la direction d’ensemble du vent est horizontale.
Les surfaces d’une construction exposées au vent sont dites «au vent» et les surfaces non exposées au vent sont dites «sous le vent».
Pour effectuer le calcul des sollicitations sur un élément, il faut procéder à la détermination des paramètres ci-dessous, comme précisé dans les règles NV 65 révisées en 1967, 1970, 1974 et 1975 :
pression dynamique q ;coefficient de pression c ;
catégorie de la construction ;
proportions de cette construction ;
action cq.
Les Règles NV65 ont bénéficié d’un modificatif n°2 en décembre 1999 relatif à la carte des zones de vent.
Pression dynamique q
Selon les régions définies sur la carte ci-contre et pour une altitude < 1 000 m :
Pression dynamique normale (daN/m²) Pression dynamique extrême (daN/m²)
Valeur de base
Zone 1 50 87,5
Zone 2 60 105
Zone 3 75 131
Zone 4 90 157,5
Les pressions sont influencées par la hauteur au-dessus du sol, le site (protégé, normal ou exposé) et éventuellement l’effet de masque dû à une autre construction.
Coefficient de pression (ou de succion) c
Le diagramme R-III-6 des Règles NV 65 donne un coefficient c en fonction de l’angle d’inclinaison a en degrés de la toiture et des rapports de dimensions.
Dans le cas d’une voûte, le diagramme R-III-7 des Règles NV 65 permet de déterminer le coefficient c en chaque point de cette voûte en fonction de l’inclinaison .
Le coefficient c est positif si l’élément est soumis à une pression «au vent» et négatif dans le cas où il est soumis à une succion «sous le vent».
L’action élémentaire unitaire p du vent est donnée par le produit cq :
cq 0 = succion,cq 0 = pression.
Actions locales du vent sur une toiture
Rives de la toiture :� 30° : coefficient de succion c double de celui appliqué au versant.� 40° : pas de succion supplémentaire à celle intéressant le versant.
30° 40° : interpolation entre les deux valeurs ci-dessus.
Angles de la toiture :� 30° : coefficient de succion c triple de celui appliqué au versant.� 40° : pas de succion supplémen-taire à celle intéressant le versant. 30° �� 40° : interpolation entre les 2 valeurs ci-dessus.
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Vent - carte des régions
Zone 1
Zone 2
Zone 3
Zone 4
77
78
95
91
92759394
90
03
39
01 74
73
05
0406
83
2A
2B
13
30
34
11
09
12
81
3164
65
8240
33
17
85
47
24
1687
23
19
46
32
4807
26
84
15 43
4269
63
71
5818
36
8679
55
54
57
67
68
88
25
70
52
51
44
56
29 22
35
27
214937
41
45 89
10
7253
61
28
62
59
08
50 14
76
80
6002
38
66
Cumul des charges climatiques
En fonction de l’élément porteur considéré, chaque DTU de la série 43 précise le mode de prise en compte des charges climatiques, en fonction notamment de la destination des toitures, de la configuration de la construction...
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Aspects réglementairesLe classement FIT
ATTENTION : les indications ci-après constituent un aide-mémoire bien sûr non exhaustif. Elles ne sauraient dispenser l’homme de l’Art d’une connaissance complète des documents de référence résultant de la consultation de leur texte intégral.
Référence : «Classement FIT des étanchéités de toitures» - Cahier du CSTB nº 2358 de Septembre 1989.
Qu’est-ce que le classement FIT ?
Le classement FIT (F comme Fatigue, I comme Indentation (poinçonnement), T comme Température) est un classe-ment performanciel des revêtements d’étanchéité de toitures de partie courante constitués d’une ou plusieurs couches assemblées pour assurer la fonction étanchéité.
Ce classement, basé sur des critères majeurs de comportement, ne se substitue pas aux Avis Techniques, mais les
complète dans le but d’aider les maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre à choisir des systèmes d’étanchéité adaptés aux sollicitations auxquelles ils seront soumis.
Nota : il ne s’applique pas actuellement aux revêtements fixés mécaniquement, et n’est pas attribué aux systèmes sous Cahier des Charges de Pose.
Établi pour des utilisations en France métropolitaine, il peut par extension s’appliquer aux pays européens dont les conditions climatiques sont reconnues comme analogues.
Le classement F de résistance à la fatigue
L’essai conventionnel, conforme aux Directives Générales UEAtc consiste à soumettre un revêtement d’étanchéité adhérant à un support fissuré, à des cy-cles de variation de largeur de fissure.
Il caractérise l’endurance du revêtement d’étanchéité aux mouvements alter-nés d’un support, y compris à basse température (jusqu’à - 20 °C), et après vieillissement.
Selon le degré d’endurance la lettre F du classement est affectée d’un indice croissant de 1 à 5 : F1 à F5.
Le classement I de résistance à l’indentation (poinçonnement)
Le revêtement d’étanchéité est soumis à deux séries d’essais :
poinçonnement statique (bille) cf. NF P 84.352 ; poinçonnement dynamique (poinçon) cf. NF P 84.353.
La combinaison des résultats de ces deux essais permet d’affecter la lettre I du classement d’un indice croissant de 1 à 5 : I1 à I5.
Le classement T de tenue à la température
L’essai conventionnel consiste à soumettre le revêtement d’étanchéité adhérant à un support incliné à 45 °, à une forte chaleur (jusqu’à + 90 °C), et à mesurer son glissement (ou son absence de glissement) sous l’effet de la chaleur.
Selon la tenue du revêtement d’étanchéité, la lettre T du classement sera affectée d’un indice croissant de 1 à 4 : T1 à T4.
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Le classement FIT minimal
Le tableau ci-dessous, établi par un groupe d’experts, indique par type d’utilisation de la toiture (accessibilité,
support, pente, protection) le classement FIT minimal auquel doit répondre le revêtement d’étanchéité : pour chacun des paramètres F, I, ou T,
l’indice de classement du revêtement doit être au moins égal à celui indiqué dans le tableau.
Support direct du revêtement
Pente (%)
Exploitation et usage de la toiture et type de protection
Inaccessible Accessible Accessible Technique
Piétonnier Véhicules Piétonnier Véhicules
Auto-protection (apparent)
(1)
Meuble (graviers)
(1)
Protection dure Protection directe
dalles sur plots
Protection directe par
couche drainante
Auto-protection (apparent)
Dure dalles sur graviers
(2)
Isolant thermique
0 F4.I2.T2(3)(4) F3.I3.T1 (5) F5.I4.T3 F3.I5.T1 F4.I4.T2 F3.I3.T2(5)
Plate F4.I2.T2(3)(4) F3.I3.T2(5) F4.I4.T2 F4.I4.T2 F5.I4.T3 F3.I5.T2 F4.I4.T2 F3.I3.T2(5)
Inclinée F4.I2.T2(6) F4.I4.T2(6)
Béton
0 F4.I2.T2 F3.I3.T1 F5.I4.T3 F3.I5.T1 F4.I4.T2 F3.I3.T2
Plate F4.I2.T2 F3.I3.T2 F4.I4.T2 F4.I4.T2 F5.I4.T3 F3.I5.T2 F4.I4.T2 F3.I3.T2
Inclinée F4.I2.T2 F4.I4.T2
Béton + Isol. inversée
0 F3.I3.T1 F3.I3.T2(2) F3.I5.T1 F3.I3.T1
Plate F3.I3.T2 F3.I3.T2 F3.I3.T2(2) F3.I5.T2 F3.I3.T2
Béton cellulaire
Plate F4.I2.T2 F3.I3.T2 F4.I4.T2 F3.I3.T2
Inclinée F4.I2.T2 F4.I4.T2
Bois et panneaux dérivés
Plate F4.I2.T2 F3.I3.T2 F4.I4.T2 F3.I3.T2
Inclinée F4.I2.T2(6) F4.I4.T2(6)
Ancien revêtement
0 F4.I2.T2 F3.I3.T2 F5.I4.T3 F3.I5.T1 F4.I4.T2 F3.I3.T2
Plate F4.I2.T2 F3.I3.T2 F4.I4.T2 F4.I4.T2 F5.I4.T3 F3.I5.T2 F4.I4.T2 F3.I3.T2
Inclinée F4.I2.T2(6) F4.I4.T2(6)
(1) Indice I porté à I3S pour les revêtements monocouches. (2) Indice I porté à I4 pour les revêtements monocouches. (3) Indice I porté à I3 pour laine minérale sur béton et béton cellulaire. (4) Indice I porté à I3 sur laine minérale de Rth 2 m².°C/W. (5) Indice I porté à I4 pour laine minérale sur béton et béton cellulaire et pour polystyrène expansé. (6) Indice T porté à T3 si Rth 2 m².°C.
Journal Officiel
construction et
habitation
Code Civillois et décrets
document technique
unifiéDTU
CODECIVIL
B4-3
3 |
01/0
7 |
R.C.
S. N
ante
rre
B 55
2 10
0 98
4
12, rue de la Renaissance 92184 Antony Cedex Tél. +33 (0)1 40 96 35 00 Fax. +33 (0)1 46 66 24 85 www.siplast.fr
Fascicule 12 - Édition 6