la vie à l’arrière du front:

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La vie à l’arrière du front:

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Page 1: La vie à l’arrière du front:

La vie à l’arrière du front:

Page 2: La vie à l’arrière du front:

La population dite "à l’arrière", comporte tous ceux qui, tant militaires que civils, dans la guerre, ne prennent pas part aux opérations, il s’agit donc aussi bien des femmes, des vieillards, des enfants, des hommes politiques, etc… On oppose "l’arrière" au "front" sur lequel les combats ont lieu.

Page 3: La vie à l’arrière du front:

En 1914, un Français sur deux vit dans le monde rural. Les hommes sont partis au front et c’est aux femmes qu’il revient de prendre en charge les travaux des champs et les tâches quotidiennes. Elles doivent travailler en qualité d’infirmière pour soigner les soldats blessés qui arrivent par milliers du front, elles travaillent dans les usines d’armement, les scieries ou les chaudronneries, conduisant les tramways et les taxis, contrôlant les passagers du métro ou encore entretenant les moteurs et les wagons des trains.

Page 4: La vie à l’arrière du front:

À l’arrière, les femmes deviennent infirmières bénévoles et soignent les blessés français, puis

les blessés allemands.

Page 5: La vie à l’arrière du front:

En ville, on retrouve les femmes  dans les usines d’armement,

Des ouvrières dans une usine d’obus

Page 6: La vie à l’arrière du front:

Les femmes qui travaillent dans les usines sont appelées les « munitionnettes ». Elles fabriquent en 4 ans plus de 300 millions d’obus et 6 milliards de cartouches.

Page 7: La vie à l’arrière du front:
Page 8: La vie à l’arrière du front:

Dans les champs

LES VENDANGES DE 1914, Gravure et photographie

Page 9: La vie à l’arrière du front:

Photographie prise en 1917 dans l'OiseManque d'hommes pour les travaux agricoles, manque de chevaux également qui avaient été réquisitionnés pour la logistique

Page 10: La vie à l’arrière du front:

VIGILANCE Chargées de la surveillance des voies ferrées de la gare du

Nord, à Paris, ces trois femmes posent dans leur tout nouvel uniforme. L’une d’elles tient une corne de brume, pour alerter

les conducteurs de trains en cas de danger. 

Page 11: La vie à l’arrière du front:

Femme conduisant un tramway

Page 12: La vie à l’arrière du front:

SOLIDARITÉDans une usine (non localisée), des ouvrières fabriquent avec

application les casques des soldats envoyés sur le front. Certaines n’ont jamais soudé

de leur vie...

Page 13: La vie à l’arrière du front:

La vie est dure Le prix du pain connaît la plus forte hausse à Paris, entre 1917

et 1918. Il est multiplié par quatre à cette époque (soit 400%). Pour les populations de l’arrière, cette situation est très difficile.

le coût de la vie à Paris.

Page 14: La vie à l’arrière du front:

Bilan de cette guerre pour les femmes

Alors que le travail des femmes était mal perçu avant la guerre, tous ont salué cet incroyable engagement « pour la patrie ».

Une petite reconnaissance puisque contrairement au Royaume-Uni et à la Russie, qui ont autorisé les femmes à voter après cette guerre, la France ne leur a accordé ce droit qu’en 1944.

La Première Guerre mondiale a donc entraîné un immense bouleversement dans la vie des Français par la mobilisation suscitée et l’ampleur des pertes humaines