La Voie des Pierres

Dans la même collection :

Jacques Bonvin: Triskel, Pierre de Vie (1992).

Mégalithes, Lieux d'Energie (1995). La Forme et la Pierre (1997).

Dictionnaire Énergétique et Symbolique de l'Art Roman (1996/2002).

Jacques Bonvin, Raymond Montercy: Église Romane Chemin de Lumière (2001).

Alain Sendat : L'Ame énergétique (1997).

Paul Pétrino : Petit manuel de l'apprenti Dieu (1997).

Francis Lizon: Médecines Mystiques (1999).

Jean-François Bougard: Chartres ou les cathédrales du Nombre (2003).

Collectif : La Géobiologie et Vous (2004).

Du même auteur: Le Paysage crucifié (À paraître 2004)

Crédits photographiques : Couverture : Création François Gardette, Birdy.

Intérieur: Photos, dessins et documents: J.-L. & M.-C. Augay, F. Homiridis, C. Lornage, N. Pierre, J. Radix, H. Robert,

J.-C. Viricel, M. Degorgue, X (droits réservés).

@ Mosaïque 2004 Tous droits de traduction, reproduction et adaptation réservés pour tous pays.

ISBN 2-909507-13-0

Jean-Louis Augay

La Voie des Pierres

Mégalithisme au cœur des monts

du Lyonnais

ÉDITIONS

B.P. 310 - F 42314 Roanne Cedex Site web : www.mosaique.tm.fr

PRÉFACE DE LA SECONDE ÉDITION

E

n juillet 1988, je parcourais pour la premiè- re fois « la voie des Pierres » dans les monts du Lyonnais, à la suite de Jean-Louis Au- gay.

Dans une région qui, pour moi, n'était qu'une zone de passage, coincée entre les autoroutes et les in- dustries lourdes où je ne prenais jamais le temps de m'arrêter, je découvrais des trésors cachés, insoupçon- nés, que mon guide faisait apparaître des recoins de la campagne et des ombres de la forêt. Voyageur infati- gable, il me fit même terminer le voyage sous le fir- mament étoilé, au pied d'un dolmen oublié, caché dans les frondaisons propices d'un petit bois que nous explorâmes à la lumière d'une lampe torche !

Nous avions en commun cette passion des pierres que je commençais à regarder avec les yeux du cœur depuis mes choix de vie avec la géobiologie pour com- pagne. Elle m'a appris à reconnaître, accepter et pro- téger la Vie sous son aspect vibratoire. Je ne faisais là que découvrir un regard sur la nature, vieux comme l'humanité, mais que notre monde de production et de destruction industrielle cherche par tous les moyens à nous faire oublier. Les bois ne sont plus les refuges des Mystères mais des stères de bois en deve- nir et les Pierres ne valent guère mieux, car leurs pré- sences gargantuesques gênent les grosses machines destructrices du sol dans leurs courses à la production effrénée de céréales saturées d'engrais chimiques. J'ai personnellement vécu dans l'Allier, il y a un quelques d'années, la destruction d'un site mégalithique uni- que, dont la structure et l'organisation même po- saient des problèmes aux archéologues. Il n'y avait au- cun José Bové ce jour-là, pour assister au massacre or- dinaire, organisé par les gros tracteurs paysans qui dé- truisaient au nom de la production et des quotas eu- ropéens un site dont les mystères nous demeureront à jamais inconnus.

J'ai retrouvé dans le regard de Jean-Louis Augay sur les pierres vénérables des monts du Lyonnais cet attachement, qui de légendes en croyances rejoint une des sources les plus profondes de l'humanité.

La géobiologie et le Feng Shui lui ont permis de nous faire découvrir l'aspect énergétique des lieux. Mais c'est toujours un parcours où le monde d'en bas

— celui des légendes et des forces chtoniennes — s'unit à la lumière permanente des énergies cosmiques du monde d'en haut, qu'il nous permet d'appréhen- der dans les présences immobiles cachées au fond des Pierres des monts du Lyonnais.

Le lecteur attentif trouvera dans « la Voie des Pier- res » le moyen de contempler avec d'autres yeux, des sites qui appartiennent à l'aube des premiers temps et dont le message est toujours présent.

Jacques Bonvin

PRÉFACE

L

a parution de ce guide constitue à mes yeux, un événement très important pour une meilleure connaissance des Monts du Lyon- nais, non seulement leur espace géophysi-

que ainsi désigné sur les cartes mais encore leur popu- lation qui en aménage les sites et s'en laisse façonner au point que l'habitat et les modes de vie sont quel- que peu différents d'ailleurs.

Nouvel élément d'un « passeport pour une décou- verte » cette minutieuse étude s'inscrit dans une ligne déjà plus que centenaire des recherches géographi- ques, historiques, ethnologiques, sociologiques, sur ce territoire des montagnes lyonnaises, aux franges de l'Auvergne.

Découverte des populations ancestrales qui, à

l'aube des temps, ont su maîtriser les forces de la terre et du ciel se nouant dans ces contrées, pour se les ap- proprier et en tirer le meilleur bénéfice. Miroir des mythologies et des religions anciennes, ces roches dressées et ces lieux lithiques arrangés révèlent ici leur grande complicité avec l'homme du passé. Que leur prospection et leur observation puissent s'allier avec un infini respect comme on le ferait d'une grotte aux peintures rupestres ou d'une somptueuse cathédrale aujourd'hui désertée par ses fidèles.

Découverte des populations proches qui, aux temps historiques, ont investi ces mégalithes et ces ar- rangements de pierres pour bénéficier de leurs efflu- ves permanents en réactualisant à leur égard les dé- marches familiales et agraires qu'elles tenaient elles- mêmes d'un plus lointain passé. Rétrospective inat- tendue sur certaines expressions du sacré telles que nos aïeuls les ont imaginées et ritualisées, telles qu'el- les devraient nous pousser à la méditation sur la pla- ce de la transcendance dans nos vies quotidiennes. La toponymie — la désignation des lieux-dits — en por- te les traces innombrables et témoigne de la volonté des habitants, qu'ils soient de jadis ou de naguère, de faire en sorte que ces pierres fassent également partie intégrante de leur patrimoine le plus vivant et le plus significatif, héritées, protégées et transmises inviolées.

Découverte des populations actuelles dans leur identité la plus profonde, peut-être la plus secrète mais aussi la plus authentique. Si l'on sait l'écouter et l'interroger, on apprend que leur mémoire collective conserve, véhicule et transmet aujourd'hui les souve-

nirs millénaires reliés à ces présences lithiques, no- tamment les légendes, les mythes et les pratiques qui se rattachent aux pierres levées, posées, gravées, tail- lées, trouées ainsi qu'aux sources, dolmens, tables, chi rats, tumuli qui parsèment et peuplent le paysage ar- boré. Au-delà de leurs « baptêmes » ecclésiaux, par les croix incrustées dans la pierre et les chapelles dressées en des lieux insignes, cette mémoire collective d'au- jourd'hui évoque également les démarches druidiques ou soi-disant apostoliques qui ont marqué les origines de ces rochers et amoncellements mystérieux dont la puissance demeure efficace pour les familles et leurs domesticités. Cette mémoire collective mobilise en- core les vivants pour marcher sur les pas anciens vers les fontaines et les roches qui donnent la force, fina- lement vers les lieux des identifications les plus véri- diques et des ressourcements les plus féconds qui les intronisent dans la longue cohorte des anciens, tous ensemble en pèlerinage entre un alpha et un oméga tout aussi lointains, et déjà les introduisent au ciel sans cesser d'être de la terre.

Ainsi, la déprédation de l'un ou l'autre de ces lieux révélés et décrits ici, serait non seulement une attein- te au patrimoine d'une population particulière mais également une agression envers le patrimoine sacré de l'humanité errante dont les iconoclastes scientistes ou analphabètes ne sauraient pourtant se départir sans déjuger eux-mêmes. Pour s'en convaincre, il faudrait dire encore bien davantage sur les traits de comporte- ment et de caractère des populations locales marquées par leur environnement paysager autant qu'elles l'in-

vestissent, traits composites et multiformes, directe- ment observables ou plus subtiles qui ne sont pas sans surprendre des étrangers attentifs, même si d'autres non avertis n'y voient que banalités, vieilleries ou dé- viances ou au contraire estiment que les habitants de ces lieux ressemblent à n'importe quels autres.

Après tous les Cochard, Signerin, Vacher, Cabut, Bourne..., plus récemment les Valette, Pegaz, Jasse- rand, Bayard, Perret, et mes propres travaux sur l'his- toire locale puis la mémoire, les conduites sociales et l'éducation collectives des Monts du Lyonnais, il nous fait grand plaisir de saluer cette nouvelle étude : elle ne manquera pas d'en intéresser plus d'un qui trouve- ra réponses ou amorces de réponse à ses interrogations les plus personnelles.

Bref, il est heureux que des recherches se poursui- vent encore, renouvelant l'approche des Monts du Lyonnais, et qu'ainsi des filiations ou des cousinages s'établissent entre chercheurs pour une connaissance toujours plus fine de la réalité humaine aux mille vi- sages, incarnée ici d'une façon singulière.

Pierre Collin.

I N T R O D U C T I O N

L

es Monts du Lyonnais restaient une région inexplorée au niveau du mégalithisme. Ceci est certainement dû à l'esprit d'indépen- dance des habitants de ces collines dont

« l'étranger » franchit difficilement les frontières des villages. Mais comment imaginer ne pas s'intéresser à cette région proche de Lyon, capitale des Gaules, où les vestiges du passé sont abondants ; une terre protec- trice où de nombreuses peuplades ont dû se sédenta- riser aux époques des mégalithes et du druidisme.

Le paysage y est splendide en toute saison et nous ne pouvons qu'être charmés par ces collines aux for- mes douces s'écoulant des plus hauts sommets où se sont creusées d'harmonieuses vallées gorgées d'eau. Les configurations les plus variées exposent à notre

vue des fusions de formes et de couleurs des plus heu- reuses, et le promeneur est rapidement saisi d'une rare plénitude.

Malgré les erreurs des hommes, cette contrée nous cache encore plus de soixante « sites ». Les pentes inaccessibles et les chaos rocheux, comme des gar- diens indestructibles, ont pu repousser les machines les plus infernales. Ainsi furent protégés pendant des millénaires des arrangements de pierres les plus sur- prenants. La pierre n'est jamais seule; elle est souvent liée à des paysages insolites ; cela permet de découvrir les nombreuses facettes merveilleuses et cachées de cette région.

Souvent la pierre se dissimule dans les bosquets, et même au plus profond de nos forêts. Elle est souvent difficile à découvrir, car mousses et lichens poussent la discrétion jusqu'à les fondre dans une nature pres- que vierge.

Pierre aux multiples fonctions sacrées, elle rejoint la construction primitive du passé. Sa position origi- nale nous prouve que la main de l'homme est passée par là. S'opposant à la pesanteur, comme pour s'adres- ser au ciel, elle règne là encore sur les grands courants de la terre. Les peuples de l'aube des temps avaient une perception sur l'essence même des choses : une montagne, une forêt, un ruisseau, une roche... deve- naient une excuse pour invoquer l'esprit des divinités les plus variées.

Atmosphère étrange de ces lieux où profane et sa- cré peuvent de nouveau dialoguer. La pierre a su scel- ler à tout jamais les légendes des diverses mythologies

qui ont traversé le temps, nous reliant ainsi au mon- de de la féerie et du fantastique. Une cosmologie de la terre et du ciel apparaît à travers ces noms : Gargan- tua, Samson, les Fées, saint Martin... éveillent en nous des connaissances oubliées.

Les sciences anciennes et nouvelles, telles que le Feng Shui et la Géobiologie permettent une compré- hension des paysages et des lieux de culte de façon énergétique. Cela nous relie aux religions passées, ri- ches d'enseignement et de reconnaissance d'amour que l'homme portait aux forces spirituelles de la Ter- re et du Ciel. Cette connaissance subtile a permis de placer ces anciens lieux de culte sur les courants de la « vouivre » (Force tellurique). On peut ainsi suivre son parcours dans les moindres recoins de cette région !

C'est avec un grand étonnement que nous décou- vrons que les emplacements d'églises anciennes, les tours dans nos belles demeures du début du siècle continuent à faire office de menhirs des temps moder- nes: placées sur différents courants telluriques elles rayonnent d'énergie!

GÉNÉRALITÉS

L'Art ancien du Paysage

L

'Ancien ne considérait pas la valeur d'un paysage par son esthétisme lui amenant quelque impression émotionnelle, il savait en saisir l'essence qu'il considérait comme

un dessein de la divinité, là où les forces cosmiques ne pouvaient, chaque jour, qu'affirmer davantage l'ex- pression de nos paysages. Vu sous ce regard, le paysa- ge ne pouvait qu'être respecté. Il devenait Sacré et le mégalithisme a su s'imprégner de ces fusions énergé- tiques.

En orient, cet Art du paysage est toujours connu et pratiqué par le maître de Feng Shui (Vent et Eau), ce-

« Le Maître du Vent et de l'Eau osculte les dragons avant d'implanter l'édifice sacré. »

lui qui place la maison des vivants et des morts, ainsi que les édifices sacrés et tout bâtiment important. Il sait déceler la force des « veines du Dragon » circulant sur chaque forme du relief: Dragon d'eau par les ri- vières et les fleuves ou Dragon de terre avec ses cimes et ses cols... Il savait déceler leur caractère et leurs hu- meurs afin de ne pas éveiller les mauvais traits de leur personnalité... Il s'assurait de ne pas les troubler au cours de l'implantation de ses constructions.

Ce que recherchait l'Ancien, c'était aussi le maria- ge énergétique des veines du relief et de l'eau. Là où les rencontres se produisent, l'énergie de vie est forte et prospère. Là où les reliefs et les eaux se séparent, au- cune force ne peut s'établir... Telles étaient la connaissance et la sensibilité de l'Ancien dans l'occu- pation d'un site.

LES MONTS DU LYONNAIS 1/ Géologie.

E nsemble montagneux, prolongé à l'est par le plateau lyonnais, entre la vallée du Gier et du Furan au sud d'une part et celle de la Turdine au nord d'autre part. À l'est et à

l'ouest, le Val de Saône et la Plaine du Forez encadrent complètement ce district. Ce massif étendu (1 720 km2) présente une physionomie dissymétrique

Les Monts du Lyonnais font partie de la bordure orientale du Massif Central, pénéplaine fortement re- levée, basculée et faillée durant les temps tertiaires et plus ou moins disséquée depuis par l'érosion. Lorien- tation des reliefs (dragons de terre) et de leurs réseaux hydrographiques (dragons d'eau) varie selon leur di- rection. Une puissante série métamorphique plissée

LES TERRAINS CRISTALUNS DE

LA REGION LYONNAISE

suivant cette direction les constitue principalement. L'ouest tombe en pente douce sur le Forez, alors que le versant est lui, est plus abrupt.

La retombée orientale se fait en deux temps : il existe en effet un gradin intermédiaire dominant le Rhône, de cent à cent-cinquante mètres environ, pre- mière forme du Piémont rhodanien qui se poursuit plus au sud. Ce plateau lyonnais, fort entaillé et large de sept à huit kilomètres est dominé par une seconde surface atteignant neuf cents mètres et formant la plus grande pente des Monts du Lyonnais.

Dans l'ensemble le pays reste à un stade collinéen et les dragons les plus vigoureux se rencontrent plutôt à l'est où le mouvement alpin a été plus important. C'est aussi là que les traces de mégalithisme sont les plus fréquentes.

L'axe des Monts du Lyonnais (grâce à l'altération facile des gneiss migmatites à cordiérite qui en for- ment le sous-sol) est donné par une dépression occu- pée par une campagne vallonnée, drainée par notre dragon d'eau qui est la Coise et ses affluents.

Ce massif ancien est formé essentiellement de gra- nit, gneiss et micaschistes ; dans certaines dépressions tectoniques apparaissent quelques sédiments houil- lers, comme à sainte-Foy-l'Argentière. Ce matériel ancien explique la douceur des formes où s'alternent cuvette et massif compact.

2/ L'habit des dragons du relief Le taux du boisement du district reste faible

(10 %) ; les prairies naturelles ou artificielles l'empor- tent (50 %). Sur le versant est, sec et ensoleillé, règne le chêne pubescent, relayé vers le haut par le châtai- gnier; sur les hauteurs, le hêtre s'accommode bien de l'humidité avec quelques résineux plantés. Diverses landes à genêts et bruyères donnent au tapis végétal une physionomie particulièrement agréable par une texture douce.

Un réseau hydrographique du dragon d'eau, d'une grande variété d'expression, draine les sources et les précipitations vers la Loire, le Gier ou le Rhône. Nos reliefs les plus imposants appelés « Grand Ancêtre » dans la mythologie orientale protègent les vallons de leur imposante présence : le Crêt Malherbes (943 m) sur la commune de Marcenod, le Crêt des Loives (938 m) à Larajasse près de La Mure, le Signal de Saint-André-la-Côte (934 m) et bien d'autres où Jean

La vaLLée s ouvre aux Alpes.

Carte de principaux méridiens des monts du Lyonnais: Dragons d'Eau et de Terre.

Jean-Louis Augay

LAVOIE N °ES O , PIERRES Mégalithisme au coeur des Monts du Lyonnais - f1

C es t par une ouverture à l'art du Feng Shui et à la Géobiologie connue des anciens, que cette recherche sur le mégalithisme de cette région s'est effectuée. Pas à pas, nous comprenons que sept vallées sacrées, qui ont creusé et créé des paysages doux et harmonieux, cachent encore dans leurs bois, des pierres emplies de légendes et de mystères. De site en site, nous pénétrons des atmosphères qui nous imprègnent et nous transportent sur plusieurs milliers d'années en arrière. Nous approchons ainsi une tradition que l'on a pu croire oubliée, mais pourtant toujours présente. Les noms des lieux, dont l'origine nous semble perdue, cachent encore l'empreinte des dieux et des déesses des mythologies les plus lointaines. Cette promenade des sens, où le culte ancien éveille une partie de notre imaginaire, nous met en relation plus proche avec une « nature divinisée ». Peu à peu, on comprend cette région sous un autre aspect, on trouve des causes aux habitudes actuelles au travers de certaines croyances, au plus profond des villages et des campagnes. Redécouvrir enfin une forme d'harmonie entre le ciel, la terre et l'homme où le tout redevient vivant, par un « Souffle de l'Esprit » toujours présent. Jean Louis Augay est né dans cette région des Monts du Lyonnais et au cours de sa jeunesse l'a parcouru de long en large afin d'en étudier la faune et la flore. Devenu géobiologue, il a découvert l'aspect énergétique de ces lieux. Aussi, attiré par certains arrangements de pierres qui ne paraissaient pas être l'œuvre de la Nature seule, il a pu vérifier, par de nombreux tests, leurs positionnements sur les méridiens terrestres.

Prix: 18 € ISBN 2-909507-13-0

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