ldln n°117

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  • 5/13/2018 LDLN n117

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    M Y S T E R IE U X O B J E T S C E L E S T E S E T P R O B L E M E S C O N N E X E S----- -

    Le N: 3 F.

    P R E S D E P IA N E L L O ( C o r s e )PHOTOGRAPHI,i: . PRISEEN JUILLET 1970PAR M. FRANCESCHI(Voir page 8)

    AVRIL 1972 N 117 - is" ANNEE

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    LUMIERE ,SDANS LA NUll(GROUPEMENT INTERNATIONALDE RECHERCHES)

    COMITE DE REDACTIONF. LAGARDER. VEILLITHCONSEILLERS TECHNIQUES (Problemes M.O.C.)Rene HARDY, Docteu r s-sciencesAime MICHEL

    UN lO'UR LEVI: !l'eelitorial ci-dessous aete redige avant le tres heureux evenement constitue par I'emission televisee du

    24 mars, de 21 :30 a 23:00 (2 E chaine), au cours de I!aquelle nos leeteurs ont pu voit" et entendre Aime MICHEL(notre c:onseiller technique), nos collaborateurs Rene OlllER, Michel MONNERIE et mol-meme. Auparavant, debutmars, une grande menace plahaitsur c:ette emissi,on, qui riscfuait de s'achever par une tr'[bune - qui aurait jugeIe probleme sans qu'rl nous soit, 'possible de repondre. Devant cette serieuse even't ilialite, nous avions decide dedemander Ie retraH de nos interviews. II en est nisulte une modification totale de la situation. Notre point de vueaenfin pu s'exptimer. le temps des negat,eors obstines parai,t revelu et une prise de conscience s'amerce. C'estune victoire de nos idees!Les lecteurs de LDLN se sont poses bien desques-

    tions an sujet de Ia suppressioncle la,sequence corrsa-.",ree aux M.O,C. qui devait passer Ie 28 janvier 1972dans I'emission Le Troisierne 'CEil (2echaine).

    Malgre mes retice,nces et ne me faisant eucuneillus ion sur Ie sort d'une nouvelle interview, une equipede l'-ORl'F est 'len:ue aLI Chambon courant jariJVier. Celafait plusieurs fols en quelques anhees ; fin 1969, menami Lagarde s'etant deplace pour l'occasion, a subiavec mol deux [ournees entieres d'lnterview, pour unresultat quasi nul (quelque,s minutes a ( { 'Tele MidiIe 24-2-71, soit qnatorze mois plus tard l),De leurcote', rrres collaborateurs A.ime Michel, Michel Mon-ner le et Rene Oilier, ont ete egalement intervlewespour cette emission du 28-1-72.

    Ayant conscience au fait veritablement sGClnapleux,et inow'l, Glue Q@puis que l'on parle des M,O.r;. per-lG i1M n'aencore pu falre cpnnartre d'une fa~Q_[ldetail-le8le. point de vue soucouaiste a la TV, et lesbases sur lesquelles reposent la .eert itude qu'll y a unprobleme 'reel et de premiere importance, j'avClis pre-pare UF ) court texte destine a remplacer l'Interviewtradtttonnelle. l.'eccerd ayant pu se realiser sur I'en-registrement de ce texte, avec Ie prcducteur M. Lacas-sin, aucune c;>bjeet'ion de ma part n'eut lieu, ni pourune breve interview avec quelques questions, ni pourde nbmbreuses pr ises de vue de dessins ou photospar us dans notre revue.

    C'sst sans surprise que quelques heures aMa'ntI'emlssion du Troisierne CEil , j'ai ete IPrev~nl.Jtelephoniquernent par Ie secretariat de Mme J. Bau-drier, que la sequence etait suppr irnee (et remise a unedate indeterrnlnee }, pour deux raisons:1) lie Hujet M..O.E. fai$ait trop serieux a cote cries au-

    tres, 'traifes auuours de I'emission,2 ~ La longueur de cette emissionaurait depasse de

    1/4 d'heure Ie temps lmpartl, et9(lt donne qu'iln'a pas ete posslble de redulre davantage la se-quence sur ,Ies M"O,C. sans Iui faire perdre de sonirlheret.Sur le premier p0int j'ai ete absolument d'eccord..

    mais je n'al pu m'empecher de dire Alors, vous pas-sez ce qui n'est pas serieux, et V0US laissez de cotece qui l'est l , Le second point par art sans valeur ;en .eHe:t, chacul9 Jii'eu,t ccnstater que souvent I'horalreprevu r1'est pas rre'specte, pares que telle GU teHe emts-sion cfete inopinement prolonqee (notarnment lors dejeux, debats, catch, etc.): Voici le texte que j!ai tenua faire enregistrer, a la place de. I'Interview habltuelle :

    " y a plus de vingt arts maintenant que l'on par ledes M,O.C., et depuis lorsLa polemique- n'a jamaiscesse a leur sujet. II serait temps, semble-t-il, .queceux qui nient Ie phenornene, etudient le volurnlneuxdossier qui existe, et les decouvertes Faites, plutot quede se contenter d'un juqernent a priori, qui ne reposesur rien. Quiconque n'a pas8tud[e a , fond Ie problemsdes M.O,C.,- J(]'aauwne qualification particuliere pourernettre une opinion sensee, quel que ~9jt son bagageihtellectuel i. bien entendu,la culture scientiflque estun atout lors d'une telle vetude . Gener-alament, il estde coutume de demander l'avis des as tronornes surce sujet, ce qui consrltue une erreur, car :

    1) Ce nest pas dans ,I'es~a~e astronomique, parmi[es ple netes et etoiles, que se situe Ie rrrenomene, maisdans l'atmosohsrs terrestra et les cas vraiment di-gnes .d'un vif interet se situent tous au sol ou a pro,xim ite dece Iu,i-c i .:

    2) Les astronornes qui dennent 'leur opinion senttoujours des hegateurs, qui n'ont pas etudie la ques-tion et ignorent les diverses recherches eHectuees jus-qu'ici ; ceux d'entre eux, infiniment minor ltaires. quise sent donnes la paine de consacrer beaucoup de tempsa I'etude de ce problerne, preferent g.arcller leurs con-elusions pour eux, et eels pour des raisons assezccmprehenslbles : ces concluslons rejoiqnerrt lnvarla-blernent celles de quiconque a pu se livrer a l'examenattentif du dossier.

    Qui salt , par exe.mple, que plus de T 500 cas obser-ves au solont ete .reper',~or';ies a travers Ie monde,souvent apres enquete minutleusez AUK U.S.A. , unequlnzaine de cas datter+lssages ont ete denombrsspour la seule annee 1897, dans la presse de l'epoque,done ,il un moment a u la psychcse des ~ouc0upes etaitinexistante.

    Qui connal't la decouverte du chercheur fran

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    PE TIT CATALOGUE CH IL IE N(1)(avec I'autorisation de M. Petrovitsch, fondateur

    de I'ex-revue: ({UFO-C.HILE - Traduction: D. Trcutenaere )

    SYMBOLES UTILISES - objet pose au solo objet pres du sol, ou a basse altitude- objet dans I'eau ou au-dessus rs basse altitudeun, ou plusieurs etres observes

    Les heures sont lndiquees alnsi : 22:30 slgnifie 22 heures 30 minutes.T - traceS

    Le Professeur Gabriel Av.ial, Directeur de l'Obser-vatoire EI Intiernillo nous a fait parvenir l'lnfor-matloh suivante sur une observation du ciel nocturnecomprise dans le programme d'etude du sclntil lernentde l'atrnosphere :

    Depuis octobre 1967 les techniciens qui etudientles radiations cosmiques depuis I 'observatoire lnfier-nillo ant assiste a une serie de phenomenes luml-neux qui se doivent d'etre expliques ( ... ).. Par exemple,des objets qui ressemblent a des etoiles, dont lamagnitude serait comprise entre 0 et 1, ont ete obser-ve:s, se mouvant et s'arriHant dans l'espace,

    Quelques photographies, prises pendant lappar i-tion de ces foyers lurnineux, montrent de petits an-neaux de difraction de Fresnel.

    L'observatoire appartient a la Faculte des Scien-ces Physiques et Mathematiques de l'Unlverslte du Chi-li. II est sltue a 4.343 m d'altitude, dans 11'1.Corclllleredes Andes, a 33 10' de latitude sud et 700 17' de Ion-gitude ouest,

    Des photographies, entre autres, ont ete prises Ie17 mai 1968 a 1;35 GMT. l.'hypothese de meteoritessemble devoir etre exclue, vu les caracter lst iques ducherninernent : departs et arrets,

    A la suite de ces evenements, l'Office Meteorolo-gique du Chili, dependant de la Direction aeronautiquedu Ministere de la Defense, a annonce. la creation d'ungroupe d'etude sur les OVNI. II commence a fonctlon-ner Ie 9 juillet 19'68, et a confectionne un formulaired'apres un modele fourni par l'Univer site du Colorado.Des formulaires de ce type ont ete distribues jusqu'auxdifferents observatoires chiliens, depuis Arica et l'llede Paques [usqu'e l'Antarctique. La Societe Scient ifiquedu Chili a egalery1ent fait part de la creation d'unecommission chargee de letude du phenomena OVNI.

    (Sources : M. P. Petrowitsch - UFO-CHILE n? 5,juillet 1968).

    N.D.l,..R. - Nous situons I'observatoire de {( EI In-fiernillo a 95 km au NO de BAVIC et a s o km auNO de Santiago, et a 17 km dela frontiers argentine(d'apres carte au 1/500.000, document fourni par M.Baragiola, Argentine).

    o1) 29 jui'llet 1968. CAUQUENES. 35 58' S, 72" 21' O.

    M_ Gerard Cortes, inspecteur de l'Ecole poly tech-nique, observa pendaht 20' avec des ele'vles Ie lentdeplacernent d'un objet ovale tres brillant lancent deseclairs de couleur. M . Mario Luna et d'autres temoinsont 'YU un disque volant arqente et avant merne qu'feut disparu, deux autres objets sent venus evoluer au-dessus deux avant de dispara7tre.o2) Dans cette merne region, d'etranqes phenomenes sesent produits, largement cornmsntes par la presse.

    Fin juin 1968 Oscar Munos arrivait en voiture a. la cote dite La Nariz sur la route de' Pelluhue aCauquenes. Une legere explosion, Ie moteur sarrete,les Iurn ieres s'etelqnent , II descend de voltu re, s'eloi-gne de quelques metres et volt soudain les phares serallumer et son vehicule remontant seul la cote. Lavoiture sarreta toute seule un peu plus loin et M.Munos eut quelques difficultes pour la faire rep.artir.

    La meme rnesaventure arriva a Enrique Gonzalezau meme endroit avec son poids lou rd. Le moteursar reta brusquement, et avant quitte Ie vehicule avecses deux aides, il Ie vit repartir seul, sortir de la route,manceuvrer quelques instants pour finalement s'arre-ter.

    Ces deux cas lllustrent une Serle de faits semble-bles alnsi que lattestent 'Ies ternoiqnaqes suivants: Ie23-6-1968, MM. Alejandro Medel, 25 ans, professeuret fonctiormalra de Radio-Maule, Jose Mussa, Juan Mu-noz, Hipolito Salda.go. Le 14-7-1968, M, Maria Pena.Le 23-6-1968, MM. Gregorio Valdes, Eduardo Valdeset Mme Blanca Becerra.

    Le docteur Jose Sanhueza et Mario Sanhueza.Plusieurs personnes voyageant dans cette zone ont

    rernarque a diverses reprises des objets brillants sedeplacant a vive allure. Une dame, qui a dernandelanonymat, et deux autres personnes voyageant avecelle ont vu une enorme sphere bleutee, brillante, al'Instanr rneme au elles franchissaient la cote LaNariz .

    II faut signaler un autre phenomene singulier quia eu lieu dans cette merne zone au debut juillet d~cette rneme annee 1968. Nous semmes en hiver et la

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    temperature oscllle vers 9. La population ressentlt unetorte hausse de temperature qui attelqnit. 26. Cetteonde de chaleur dura toute la journee. provoqua parendroit des pal1iques, la chaleur et line odeur de brOleeHrayant les gens, ainsi que ce fait etrange: lespee hers fleurlrent en quelques heures. Les faits ontete publies clans la presse,o3) 17 mai 1968, a 8:45. VALPARAISO. 32 02' 5,

    71 38 O.Un groupe d'habirants du quartier Playa Ancha ob-serva un objet volant allonge, br lllan] intensemenr, etqui fit diverses evolutions' avant de dlsparaitre. Unautre ternoln Jepvis une colline aux environs relatale meme phenomene, precisant que l'objet etait aplatiet chanqeait souvent d'allure.

    ( < < La Nacion , du 18-5-1968).-) 17 mai 1968, vets 19:010, sur Ie canal marltime deCHACAO. Approximativement 4 P 48' 5, 73 30' O.Revenant de l'l'le de Chiloe en ferry-boat sur Iecanal de Chaeao, M. Fermin Marticorera, archirecte,observa un objet lumineux qui modif'ia sa vitesse, s'ar-reta, changea de direction et disparut en faisant unecourbe vets Ie nord, Ii fut observe par tous ceux quieta lent su r 1< \:passerelle.

    o5) 6 juin 1968, a 20:00. PUNTA ARENAS. 5'3 09' 5,

    70 55' O.Un objet ressernblant a une soucoupe volante futapercu pOlr les pilotesTiviroli et Guardave de Aero-

    llneas Argenti'ne au moment bu ilsat'ferrissaient sur)a piste nb 25 de J'aeroport. II leur parut tue I'objet sesituait entre 1.500 et 1.800 m d'altitude, falsant desvirages a 90. Les virages leur ont paru contreles etils ont 1 0 1 certitude qu'ilne pouvalt s'agir d'un objet.identifiable. Plusieurs personnes, venant de Puerto Na-tales, G ot declare avoir observe Ie phenomena. LuizOuezada, voyageant en taxi, Ie conducteur Jose Marin,deux fonctlonnaires d'une entreprise maritime, Guil-lermo Gaila'rdo et. un autre employe, ont deGiare avoirvu trels objets. Les couleurs, declare Quezada, etaiehttrss fortes et lumlneuses. On pouvait observer un rou-ge, Un Vert et un blanc intensif. L'un se deplacait en zig-zaget deux etaient entoures d'une scrte d'aunaolega-zeuse.(A paru emilemel1t dans EI Mercuro , Santiaqo ).o6) 10 j uin 196:8', a . . 10:00. LA UNION.4V' 17' S,

    73 05' O.Gbnzalo Carr ascovclt un curieux nuage }Y - ejecrireune courbe ascendante. Cette etranqe courbe, qul etaitd'abord continue, devint intermittente, plus tard Ie({huage bifurqua et alia se=per dre dans Ie del. ( La Prensa d'Orsono du 11-6 et La Tercera du 14-6-68).

    .17) _Fih [uln 1968. Autour des salines d'ATACAMA,.

    2,30 28' Sf. 6813' O.Altitude: environ 2.500 m (lac sale).Vn' etrcll19~ rravi re spati aI a ete ap.er:~u dans diverseslccalites de ['lnterieur : f'eine, Socaire, Tocenao, Chi-

    10poSG, Tllomonte, sernant la cra in te chez les habitants.

    Une delegation de ces habitants est allee a CalarnapGUF en rendre compte eux autor ites ,

    l.'enqin, qui se pose en divers lieux, est dirige partrois etres habrlles d'etrange facon, Faisant fuir les pa-cifiques paysans ils s'Introduisent dans les malsonsaccaparant de menu,s objets. . ,Les habitants ont observe I'engin a plusieurs repri-ses: il reste. suspendu dans I'espace quelque tempssans bruit, puis il descend en emetrant un bruit infer-

    nal, crachant des flammes, soulevant un grand nuage.ae poussiere dans les marais salants ou il se pose depreferet1'[e.Les Forces A e r iennes Chiliennes indiquent : ({ 1 1 n'ya ancun avlon, aucun helicoptere qui soh autoriseaoperer dans cette zone .[. La Estrella del Norte d'Antofagasta au 26-6-1968 ) .

    o8) 7 juillet 1968, vers l'O!:OO, Cordill~re des Andes.

    ~3' 10' 5, 70 OS' O.Ricardo Cruzat Rodriguez, comrnercant, en excur-

    sion en montaqne, vit un etrange objet alors qu'il ar-rivai t sur un petit plateau au pied du mont Coehoco.Sur@issant du cote de l'Argentine, entre les monts deOuernpo et Ie massif de Plomo, une sorfe de nuee luiaoparut: rEil,e erait a,llongee et je laoonfondis audebut avec I'un de ces aviom qui lalssent sur leurpassage une trainee de furnee. Sa position ,etait verti-cale, mars je la visensuite se placer en "osition horl-zontale. C'est alors gue je pus observer une sorte d'en-gin cle forme lentlculalre, et lorsqu'il passe devent Iesoleil il brilla d'une far;:on extraordlnalre. lise dirigeavers Santiago: sa vltesse deva,itetre cells d'un satel-lite, (apparente j, Un fait attira monattention : la peti-te nuee n'etalt pas unie au disque, elle Ie suivait, a 1 < ; 1me me vltesse et la rnerne stabf lite. Mon observationdura a pev pres 10', ce fut pour moi tellernent extra-ordlhalre que je fis - en vain - des signesa cetet ranqe objet .

    ( < < La Nacion de Santiago du 8-7-61'1).o9) 10 juiHet 1968, a 20:55. QUILICOS et LOS COIPOS

    (prevlnee de CURICe). 34 59' 5,71 14'0.Cinq persennes observerent un corps lurnineux quitraversait Ie del de I'est vers Ie sud-ouest, en trajec-toire ceurbe descendants. Soudain, d'une allure fan-ta.Mj~qwe, il disparut a l'hor izon, au-dessus de's rnonts

    de la G:6te, en emettant des lueurs multicolores de'far;:on lnterrnittente.( < < L a Prensa )} de Curico, 6-8'-68),

    :010) 12 [uillet 1968, a 19:30. PALQUIBUDIS. 34" 59' 5,71 34' O.

    Atilio Munoz Araveria, Aden Silva et sept aut-respersottrtes observerenf un OVNI qui fit son apparitiona l'est, descendlt yers eux et resta Immobile quelquesmlneres. II centinua ensuite son chemin vers la Cordil-lere avec d'etranqes ondulations e~ sorte de zig-z~g,Di);( minutes plus tard, un second objet apparut', sem-blable en reus points au premier" avec les memesondu.lations, lachant par sa eirconferance des lurnieresmulticolores qui illuminaientla nuit, -

    ({ { " "a P re ns a de Curlee, 3-8-68).5 . -

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    o11 )22 juillet 1968( a 19:55. MAJADILLAS. 34 52'S,

    71 11' environs.Au bord du Tleuve Mataguitos un et~ange objet

    rouge vlf, orange par moment, fut observe, ernettantdes lueurs o~ahgees, par Miguel A. Pa lm a ZunigaetSergio Carrasco, voyageant en voiture en direction deCur leo.

    (( La Prensa de Curlee, 6-8-68).

    o12) 17 [uillet 1968. CUESTA La Nariz .. 35 58' 'S,72 21' O.D'apres la revue Flash de nouvelles experiencesetranqes auralent lieu auxclepens d'un camionneur sur

    la cote de La Nariz (voir ces nO 2).-3) 20 juille~ 1968, a 12:15. ILE MOCHA. 38 21' 5,73 55' O. .Cas considere par l'Office Meteofologique comme

    I'un des plus ser ieux qu'il a lt eu a etudier depuis sadeclslen de creer une eomrnlsslon OVNI. L'isla Mochaest a 75 km au SE de BAVIC.Le j uge RobeTto Larronde et son vepouse Teresaetaient alles conduire Ie pilote Gerald Ezquerre au ter-rain el'eviat ion Los Chinos et revenaient a leurdomicile, distant de 1 krn, lorsqu'l!s enrendlrent unbruit provenant de la piste.

    La premiere chose a laquelle nous pensarnes, de-clara Ie juge, fut que lavion d'Ezquerre, qui venait departir, revenait se poser sur 1'lle. Notre surprlse futindescriptible quand nous nous somrnes apercus queIe bruit provenait d'un objet aplati, tres brlllant, d'unelumiere blanchatre. Nous I'avons observe 10 minutesa peu pres, mais comme il restait en I'air, immobile,nous avonsnornrnence a comprendre de quoi il pouvaits'agir ... 11 seloigna soudain ver s la mer, a une allurevraiment incroyable, infiniment superleure a celie d'unevlon, et disparut en quelques secondes. C'est seule-ment plus terd, quand lerchitecte Ceml!c Lobes vintchez nous et nous demanda : Vous lavez vue la sou-coupe volante ? que nous pumes savoir de quoi ils'agissait.... ,

    Orfelina Varela, epouse d'un ingenieut des Chan-tiers Maritimes, relate:

    Apres Ie depart de l'avlon d'Ezquerre, sur Ie pasde la porte, je vis un objet brillant qui passait eu-dessus de l'l'le, en direction de I"auest, et qui s'arnhaa un ou deux km plus loin a l'endrolt O U atterri.ssentles avions. En Ie voyant briller a ce point, [al eu peurat jal pense qu'un malheur etalt arrive. L'engin avaltune forme ronde brillante, et il resta suspendu enl'air au moins un quart d'heure. Par le bruit qu'Ilemetralt, [e me rendls compte qu'Il ne pouvait s'aqlrd'un avion, II rests en I'air au-dessus de la mer, facea la piste, a une hauteur de 50 m, II prit soudain unelumtnosite si -intense qu'elle me fit mal aux yewx,ets'eloiqna r apidernent, beaucoup plus vite qu'un avionAvant rd e s'eloiqner il fit .des rnouvernentsccmrne 5 " ; 1flottalt dans l'alr. II etalt trap eloigne de moi poutque je puisse calculer sa tatlle ... .

    Fernando Gonzalez, qui trsvalllalt a la constructiond'un gymnase de l'lIe, declare :

    . Alors que nous etions en train 'de travalllervnousnous semmes rendus compte de la presence de rob-jet, parce qu'}] est reste immobile un long moment.

    Ensuite 1 1 s~avan. 33 27' S, 70" 27' G.Pres du mont Manquehue, on a observe Ie vol de

    plusieur s objets produisant des etincelles lumineuseser de grosses volutes de [umee. Les Forces AeriennesChi liennes om declare qu'il pourrait s'agir de refletsdu soleil sur un quelconque avion, affirmant en mernetemps qu'elles navaient eu ccnnarssance d'aucun vold'avion dans cette zone a l'heure de l'observatlorr (con-firme par les divers bureaux s'occupant -du trafic ae-rien). Les temoins. quant a eux, habitant a prcxlmlte

    6-

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    CH ILI-:" . , . . ,

    Or,UFO'

    ~ L a ~ " , ~ q : t 0 ~ ~ o- : fOotosi

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    1968 ~6,~ -,--'~--" . . . . - , . - . / '(;:i'' ' ' f

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    de i'aeroGlr0me de L9C:a~tjl]Q " > ) , f am}!fa t j i s e$ avecles evii'ls, aHitJ'nenl que fEls objet's etaient j? l l i IsTeuTsefqu'i I nes'a0it J9asGl'pvions.Le 25 jutllet 19~8, le'je'urmer'iile o u se prdwisitune ftlsil"laoed'etres "el!(tr,a-;i'el'r:es,tres"aOla,.varria -(AI'

    gemine) on aFtiye a l'ap,Ggee des oose:fvatio!1Js cr'rilf,en"nes de teHe 'plleriode.(A soiv:l'e.)

    - , BRE:SIL,'"o f~. ~.::-".- I. f

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    EGI' IELLE

    chorbon

    "pe frate'6. 9,a2: ne rure l~h:l:1i'w'r@

    ! \ I 'O ,U Q L 'I E ,l - P A S D E N O U S F A IR E P A R V E N I RTaus LES RAPPORTSDONT v o w s eouvEzSANCE_ MERel !

    [ )'OBSE .RV 4T IONSAVOIR CONNAIS

    -7

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    OBSERVAliONS ET PHOTO EN CORSE(Voir photographie touverture premiere page)

    M. Franceschi. photographe, se promenait en Corse,dans la premiere quinzaine de juillet 1970, pres duvillage de Pianello, canton de Moita, dont les coordon-m'ies sont approximativement: 420 14' N et 9 27' O.

    Voici ce que j'ai pu observer, ecr lt-ll : J'apercois un objet qui se deplacait a une allure

    assez rapide et requliere, environ celie d'un avion apistons, de droite 8 gauche en regardant la photo, etce qui m'a frappe, sans bruit. Sa couleur erait metal!i-que. Puis il a dlsparu brusquement.

    J'ai pu prendre une photo avec un appareil Reflexavec un objectif 135 mm, sur pellicule Plus X Kodakau 250' a F. 8. J'ai precede 8 un agrandissement del'ebjet, je vous envoie Ie resultat ,

    N.D.L.R. - Les inscriptions sur I'agrandissementetaient inver sees, ce qui laisserait supposer que Ie de-

    placement de droite 8 gauche ,Ie serait egalement, etcest ce qui semble resulter de l'exarnen de I'objet.Nous indiquons ci-dessous l'interpretatlon que nousdon nons de lobjet.

    II semblerait que I'objet etait assez proche, comptetenu du flou de I'objet pris au 2S0e, vitesse d'exposl-tion qui semble bien ne pas avoir ete suffisante pourobtenir la nettete suffisante.

    Trois agrandissements ont ete realises par M. Bu-j ardet, photographe professionnel a Agen, et nous avonsadresse ,Ie neqatif ,8 notre expert qualifle en fin d"ana-lyse.

    EXPERTISE.Elle repond aux remarques de M. Bujardet sur ru ndeveloppernent 8 grain fin et aux notres sur un com-

    positage destine a effacer Ie grain visible, ainsi qu'anotre hypothese de forme., En ce qui concerns Ie developpernent du film qui

    eut pretendurnent du etre 8 grain fin (et qui l'est, etme me ultra-fin, ce que revele l'examen ) , je dis etj'affirme qu'un tel develeppement ne fait rien gagneren nettete. D'abcrd parce que I'image de I'objet a descontours intr lnsequement flous sur Ie film, ce qui tientnon au gra,in mais au mouvement de l'objet et even-tuellement a sa nature physique (?), Deuxio, parceque, meme en cas d'image nette, un revelateur grainfin nauqmente jamais la quantite d'Inforrnatlons, ildonne une image plus aqresble 8 regarder et c'est tout(la plupart des photographes non scientifiques ignorentce detail ). Seul ,Ie compositage augmente I'information,mais je ne crois pas au campasitage d'une ima.je nfois sur elle-rneme (avec decalaqes minimes a chaquefois au hasard ): Seul Ie compositage de n images diffe-rentes du merne objet est efficace, mais c'est inappli-cable si Ie sujet bouge d'une pose a l'autre,

    Ceci dit, la photo est-elle authentique ? Appa-remment oui, quasi certainement merna. Car l'exarnen

    -8-

    Hypothese de formed'apres un calquedi rectsur agrandissement(effectue parF. Lagarde)

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    du neqati] revele que robjet, at) plutot son image; estr.adicalement different de ce que fournirait solt un de -faut de pellicule, soit l'ornbre portee par une poussleresur Ie film 8 la prise de vue ou 1 1 I'agrahdissement,soit enfin un defaut de developpernent local, QU uneirreqular lte de sechaqe locale. La-dessus je suis forme].

    II s'agit done tres sOrement d'un UFO, ce qUi E:0r-robore l'observation visuelle du temoin. Quant a direI~ sens au mouvernent je pense corrrme vous d'a.prhI'aspect de limaqe, mais ce genre de raiSOfl'nement est-il va lable ?J'e i lave '8 nouveau et seche proprement Ie bout depellicule, malheureusement tres raye et pas de manfait ,

    TeJle est la reponse de notre expert 8 I'ex a men duhirn-

    CON,elUSION.Solqnez partlculterement taus vos cjiches en les

    plscant dans des enveloppes transparentes, er maniez-les avec beaucoup de precautions. De tels cliches sontdes documents precieux, Nous repetons aux amateursqui pensent avoir ptis des photos interessentes quenoussofnmes 8 leur disposition pour develepper gra-cieusement leur film, avec tout Ie soin desirable, pardes professlonnels. dent c'est Ie n:etier.

    Notre expert nous pardonnera en preclsant quenous n'evons [arnais pense qu'un compositage aeG lememo image 1 1 fois deJ'llagee pmJ-Vait augmel1te.r [a net-tete. Nous pe[1S0nS, Rqf experience, que dans Ie 'lla;s C1.eforts agrandissemenl~,le cOfY1Qositage .perJllet de jllluerles points noirs refJrE~_sentant Ie grain et de presenterainsi une photo plus faG:ile a interpreter en aecerrtvantrnleux les differences d'eciairement sans en aitererI'al;lthentidte. Gela n;~joute _r[en, n'auqmente p'as la net-tete, n'indique den cie plus a I'expert, mars rena lareproduction jllus agreab'le 8 examiner pour Ie' f'jrofane,et I'expf lcation d'uhe; lnterpsetetlon plus fatilerne[1tcomprehensible memesi ce n'est qu'une hypothese.Pour no us qui publions des cliches cela revet uhe eer-tai ne importance.

    De M. Franc:e~c:hi tCiujours:Dans ce merne vil,lage, Ie 26-9-69, j'ai pu asslster 8

    un autre phenomene eh compagnie de plusieurs autrespersonnes,Vers 18:00 est apparue soudalnemenr, au-clessus

    d'une montagne ento!dr"nt :Ie village, une K rosseetoile qui sest appr,acl1lee lentement, j;'!uis s!es~ i~mchilisee.

    A notre gr.al"1c;18fo-nnement elle se mit a faire desmanceuvres, tant6tde ya-et-vie'nt, tantot sa posiflonetait immobile. NQllS avons pu l'observer a la longue-vue, ma Iheu reusernent de portee assez reduite.

    Elle a d'abord eu la couleur et l'aspect d'u:ne tresgrosse etoile. Puis en se rapprochant elles est devenuej aune et roug.e, suivqnt ses orientations par rapf>ort ausoleil, ensuite nous ay~>n~ remarque sa couleu_r metalli.ql,ie ainsi que les leitails indlques sur le croquts,

    La chose est I'estee.envi ron une bonne heure et adtsperu subltement en f:aisantune ,especed'ec!air.

    E;lle a reapparu veu m;eme endrclr' Js lende.I1'lCilinsol r vers 19 :00 peng9,nt cinq ml nutes. Je n'ava is, pasrnalheureusernent d'apfl'

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    Atterris'sage ,a Mulhouse (Haut-Rhin)Enquete d e J.P. SCHIRCH

    Joel Schewettzer, de Mulhouse-Riedisheim et son ca-mar ade (qu! a demande I'anonymat) avalerrt ee soir-Iarendu visite 'a une ernie demeurant dans le s faufuourgset rentr alent a leur domicile vel's 23:00.

    Le lieu d'ou ils venaient est situe' sur une col lineculminant a 283 rn., d'ou ['on domine Mulhouse. Ladescents est assez rapide et, avant d'atteindre les voiesde chemin de fer, s'etertd un grand pre en cuvette, en-toure-de malsons recentes [e dominant, sauf cite E O Ules champs setendent jusqu'a [a vaste foret de LOlHardt.

    La nuit etait assez noire, dans la SOiree un orageavait eolate, Ie temps etait lourd, degros nuages noirspassalent dans Ie ciel, la lune ne paraissalt pas eclair'erla nature (couchee ou sur Ie point de l'etre et jeune de:3 jours).

    Nos deux [eunes gens descendaient par un vaguesentier en bordure du pre, lorsqu'Ils apercurent versIe NE une l'urniers au loin. Elle avait l'apparence d'uneJampe eleetriqoe se trouvantloln d'eux. Elle semblait ser epprocher, ce qul les intrigua, e.t ils se mirent 'a , l'ob-server.

    Ene etait tres claire, dlserit-ils, comme un Hashelectronlque, et donnait l'irnpresslon de tourbillonner,tout ense r approchant de plus en plus vers eux. Hieprenait a present .la forme d'un dlsque. D'apres lestemo'ignages recueillis par M. Schlrch, ee dlsque auraiteu une face plane, l'autre bombee, et l'avance se fai"salt plus ou moins perperrdlculalrement a cette faceplane sttuee dans lesens de l'avencement.

    L'objet descendai t en arr lvant vers les deux temoins,et se trouvaitbiel 'l to.ta 1 8 vertlcale du pr~,et a unehauteur de 15 m environ a ce Ju'ils jugerent. A cemoment, il ar-reta s.a marche en aV@l"lt, resta sur place2 . a 3 secondes, sa lutninosite 'parut alors failDlir (sans.d'ailleurs ne jamais disparaitre de touteJe duree del'observation). Les deux temoins voyaient parfaitementcette lumiere qui leur parut tres blanche, et remer-querent que Ie sol etalt eclaire dessous car ils parve-naient a distinguer I'herbe du pre.

    "Durant son stationnement, I'objet executa une rna -nceuvre de rstournement :. 1 0 1 Face plane s'inclina pourse tourner vets Ie sol, et a partir de ce moment Iedisqua se presentait S0US la forme d'un segment spheri-que, II dormait tres bien l'Impresslon de tourner surlui-meme tres r.apidement, cornme une toupie. On voyaitla lurniere situee au-dessus de ['engln, et celle-ci don-nait une. aoparence declignotement : les temoins n'ontpu expliquer la cause de ce ciignotement.

    Apres ces quelques secondes d'arret, l'objet se mita deseendre sur Ie sol. La manceuvre g'effectuait treslenteilient et la descents se faisa'it vertiealemern. Lesol etaita present bien eclairs et I'objet l'I'lit 3 ou 4secondes avant dattelndre Ie 'sol: aueun meuvementparticulier n'aete observe au cours de cette descerrte.A aueun moment Ies temoins rr 'ehtendlrent Ie moirrdrebruit, et les chiens pourrant hombreux ~lUX alentours 1 ' : 1 8 -se manifesterent pas par leurs aboiements.

    Les deux amis qui s'etaie,,,rt assis au cours de leurobservation, etaient un peu apeures, pres de s'enfuir,lorsqu'ils virent I'objet arrete dans sa descente resterstationhaire a 2S metres d'eux, La Iu.minosite

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    jour's [res lenternerrt, ~t reprir p~ llda nt que lques in s ta n ts1 :6 p@sitio 'fl G ju 'il o c s : C I , J ' P < ; l [ ' t aVii!l'l'l' , ! adl i l i$cr~nte, a 15 1Tl,a u -des s us iu so l, lafae8 plane faisal'lt face O I L ) se] , IIse feml ' f ensuite & teurbillonner r e t parrit lerrtemerrt,LOl l i Jmi~re ~cI~lir,a Ie s ol o ormm e a ~ G na rri ve ~, ('(e st~ a -d ire f ai bl em er cl t, ef iSeJa de moins en rnotns a mesure vIe: son elE'li[!1l'lem.ent,01"1 yoya H le s. :1 s'((rbscuroira mesure.

    Enfin derrHei" moU'v'e/"t;1en.t , il parth a une. Iresg 'rande vltesse, presque a ] 'hori2'Oht'ale, et lQLU . s ' e v a -nou it .cla ns la nu it.

    L'OBJETOnsait peu cle cnos,esur lUi' en plus' de ceo quia e ' t e dit. II re s s amble a urra calotte spMr ique s'

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    Les traces de 30 em, comme Ie H, etaie'nt formesspar de l'herbe ecrasee,aplatieet wuchepresque auniveau du sol. Elles apparaissaient encore assez hettesen septembre et Ie H ressort biefl sur les photos. Lestrols rends etaient ecartes Ie 4,2 - .s,l et 5,5 metres.

    Voir le croqwis qui en a ete fait.Remarques a posteriori.

    Les deux [eunes gens ne rernarqusrent ri:ende par-ticulier dautre qUe, cet engln. On pe,u.t se demanderpourquoi, dans un lieu aussl peuple, cerne de nom-breuses malsons, presque en pleine ville, aucun autreterno!n nes'est rnanifeste. C'est une remarque que l'onfait frequemrnent. 1 ,1 est possible quaIes circonstances'ne se solent pas pretees a une alarms par t lculiere.L'engin na fait aucun bruit, .il est venu assez tard :21 :30 environ, apres un oreqe, peu de gens en faitn'avaient les. yeux tournes vers I'exterieur durant lacourte sequence de temps pendant laquelle I.'engin sestmanlfeste,

    Les conditions d'observation n'etaient pas non plusI.es memes que celles des. temoins, et combien de ceuxqui auraient pu voir aur aient eule courage de ,~(endrepublique leur observation ?

    Les enqueteurs nexpllquent pas non plus la causeexacte des traces relevees , Si l'eng,iA en est blarr a l'crt-gll'1e, ii leur ,est impossible de savoir a quoi ocr respond'l'ernpreinte de 6,20 m de disrrretre

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    N" 117 15' ANNEE-LIRE ENPAGE-,\1 PAGES SUPPLEMENTAIRES DE

    A - RJ;ALITE D'E LA c;ULTUREB!OLOGIQUE, par Je,an L U M I E R E S~~~~,HI~c~n:~eg::~e.~iren:::~ _ - - _

    ~ ..'e t>lu~: IF;,Adresse:

    $( LES PINS ~)43 LE CHAM,BON

    SUR-LiGNONFond" r , I.. :~:!I~~T:.> ,PROBLEMES HUMAINS, RESPECT DES LOIS DE LA VIE

    SPlRlTUALlTE, PROBLEMES COSMIQUES, ETUDE DE b'INSOLITE~ - LE CAS DE CRE'MATION

    O'ARCIS-SUR-AUBE (J~u-tie);

    AVRIL 1972

    o - LE CENTRE NATIONALD'ESSAIS SPATIAUX. DANS LA NUllIi - INFORMATI,ONS - COUR.

    RIER,Aider I'etre humain sur les divers plans de son existence, rechercher et mettre enrelief de prec! euses, verites souvent meconnues, tels sont les buts, de cette revue.

    Cherchez et VOUS trouverez JeSUS

    R'EALITE:DE LA CU LTU RE BIO LO G IQU ELa culture biologique continue a faire. parler d'elledans tons les milieuxagricoles et les defe,l'lseurs del'agronomie chimique, classique, se deehainent les unsapres les autres pour tenter d'entraver sa progression.Recemment des articles malveillants ont ete publiespar bon nombre de journaux agricoles reionaux. IIs"agit 'Ia d'une rnanceuvre de retardernent qui ne peutrnasquer l'echeance finale. L'echeance finale, c'est Tadispar ition complete et radicale desfumures artificiel-les, azote, potasse, des ameridernents calcaires et despest.icides de synthase. Elle est une conditions absoluede ,Ia survie de notre espece et l'un des points dedepart de lalutte contre 103pollotlcn. l'une des basesde I'a protection de 1 . < ; 1 nature, theme de l'annee finls-sante,C e qu'il faut. remarquer dans toutes les clitiquesdes aqrcnomes officlels, c'est I'LJTlifQrmit~ dans I'igno-ra nee de-G principes fcndarnentaux e la vie .. fo!.ldt';:uneces nomnies de science ne semble avoir cornpr!s Ce

    qu'est la plenitude de la vie, sa magnificence. Aucunne paratt connaltre I,eprincipe de Claude Bernard: Le microbe n'est rieh, c'sst Ie terrain qui comp-

    te , et personne d'entre eux f:re s'attachee develop-per Ia vitalite Ole ce terraiFl , pour faire definltl-vement et vlc tor leusement echec eu parasitisme.Dans les deneg'ations de 'eesscientifiques !'lldi de-

    vr aient etre bien inforrnes. il y a toujours une rnecon-nal ssance, calculee ou non, sur les points essentielsqui sent a la blase de netre me't,b-ode de travail._Le dernier article paru dans ce sens r arnene la

    culture biologiquea I'emploi du fumier et d'alquesmarines qui sent designees sows Ie nom de maeri.L'auteur oublie que Ie fumier de [errne tel qUE) lesal"limalJx Ie derment dans les ~tal;J,les, est f')a~hogenepar natore en raison de sa surcharge en ammonlaque,produl] d'excretion, mlneraux capables d'accelerer lacroissance, peut-etre, mais eu detriment de 1 8 resis-tance_

    La fumure organique Glue no us ernplovons est toutautre chose. el]e a exactement les propr ietes inversesau fumier de ferme : au lieu d'etre une matiere de-gradante pour la vie, le compost est une matiere en-rrchissante, vitalisante et Qui

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    raison et aussl parce que I'algue [oue lJfl role dereequilibre. Ie' calcium cesse de jouer son r61e d'en-crassemen t.. Nous Ie repetons parce que, d'abord, il est apporteen tres petites quantites et que, deuxlemement, Iellthotharnne reequilibreur a la propriete de l'eau demer: rernettre en ordre l 'ass tmtler lon des mlneraux. IIsuffit, pour s'enconvaincre, d'observer la veqetationde cultures de plantes cakifuges present ant initiale-ment des degats de chlorose (carence en fer) et quisont gueris de cet te chlorose par des apports foliairesen doses bien etudiees de lithotharnne calmagol H .

    On peut faire d'autres constatatlons sur l'efficscltedu lithothamne calmagol sur les etres vivants, aussibien SUr les vegetaux que sur les anlrnaux. Chez lesveqet aux : cicatr isation des plaies, de coupes, de talonsde bouture, de plaies de tailles, etc ... Chez les anl-maux, cicatrisation des plaies, des contusions, desmuqueuses irr itees et quer lson de troubles digestifs,chez les herbivores en oar tlcu Iier, et amel lora tion con-siderable de I'assimilation des aliments.

    Chez les animaux d'elevaqe, I'emploi de cette alquecomme condiment dans I'alimentation a une repercus-sion immediate, c'est la desodor lsatlon des dejections,ce qui se manifeste tres vite dans l'amelioretlon deI'ambiance de letable et se traduit aussl par les ame-liorations de la quallte du fumier.

    L'importam:e du lithothamneDone, Ie lithotamne est avant tout un reequillbreur,

    un element stimulant des fonctions vitales, d'assiml-lation, de protection centre les maladies en general etc'est aussi un activateur de I'asslmllatlon de eet ele-ment indispensable qu'est Ie phosphore. Mais dans unproqrarnme de culture biologique, 'les besoins desreeoltes 'en phosphore sent sans commune mesureavec ceux qu 'af f irme. I'agronomie .chimique. Les besoir: reels d'une recolte de cereales sont de I'ordre de30 a 40 unites de P2 05 et une partie de ces besoinsest deja satlsfaite par les restitutions de matleres ve-qetales au sol sous la forme de fumures orqanlques,etc ...

    Une autre partie est apportee tres vralsemblable-ment par les tr ansmutatione biologiques. Notons quel'enonce meme des transmutations biologiques par Ieprofesseur Kervran a provoque de violents rernous alAcademie d'Agric.ulture.

    Une autre fraction du phosphore necessaire auxrecoltes et aux enlmaux ainsi qu's I'homme, est ap-portee par notre fumure avec !'algue phosphatee, pre-paration reallsee avec precaution per un Iproyage in-time dans lequel on evite soigneusement t.out echauf-fement qui: pourrait detruire les echanges possibles deI'algue avec leau, l'eau etant un' e'iement fondamental.de la vie. Un element dans lequel saccumule l'enerqiesolaire, c'est Ie cas de I'eau de mer, I'energie lnclusedans les . roches, c'est Ie cas de l'eau de source.

    ***Tous les aqronomes classiques so'l1t persuades de lanecessl te de mineraliser route 19 matiere organique;nous sommes au contralne persuades qu'une grandepartie de 'la matiere organique lntervient dans l'assl-milation avant ce stade de mineralisation' qui ri'estpeut-etro bien qu'un pis-aller. II nous est dlt que lesmicro-org.anisms ont besoln .de phosphore; c'est vrai,mais err quantite leqere et a condition que ce phos-phore -ne soit pas gene par la presence des resldus de

    la vie et c'est malheureusement Ie cas pour les com-poses miner eux de l'szote, cest aussi le cas pour lapotasse.

    Quant au soufre, nous semmes bien d'accord surson utilite chez les etres vivants puisqu'il fait partiede toutes les molecules des proteines : mals que lesagronomes classiques se rassurent, Ie soufre existeenabondance dans toute fumure organique et, d'autrepart, I'activite rnicroblenne semble etre en mesurede donner naissance a cet element, toujours par Ie pro-cessus des transmutations biologiques!

    ***Dans l'enurneretlon des elements necessaires auxmicro-organismes, l'un d'eux est souvent ornis et c'estpourtant un element cle, c'est Ie .maqnesiurn. Ne pasoublier que ,Ia chlorophylle, c'est du magnesium, etque I'assi:milation de l'enerqie solaire est donc 'Iiee ala presence du magnesium dans la chlorephylle. Dela me me fac;:on, I'activite des animaux, leur actlvltemusculaire et tous les phenomenes vivants du mondehumain, cette enerqie vitele ne peut etre liberee dansIe muscle animal que par I'intervention ae fermentsmaqnesiens. ***L'apport de phosphore sur d'immenses territoiresa certalnement eteune bonne chose dans l'ensemble,mals cet apport se trouve depuis 50 ans considere-blement associe a I'emploi de la potasse et des en-grais azotes miner aux.

    Affirmer que les engrais n'influent pas sur la santeest une erreur dont leg consequences sont tragiquespour I'avenir de notre espece, C'est I'une des erreursles plus grossieres de I'agronomie et de la sciencetout entiere d'avoir trouve dans la fumure organiqueun element d'excretlon cornme la potasse et de I'avoirpris pour un element dit fertillsant. L'aqrenornle clas-slque ne pas compr is ou n'a pas voulu tenlr comptedu fait que la potasse est un antagoniste du magne-sium (1) et l'absorption de potasse provoque unecarence massive en magnesium. Ne pas Ie dire c'estignor.er .les t,ravaux de Delbet, membre de l'Acadernlede Medecine, et d'un autre medecin francais, Ie .doc-teur Neveu, qui ont reussl a guerir des maladiesaussi graves que ,Ia diphter le et la pollomyelite exclu-sivement par la simple cure de chlorure de magne-sium.Nocivite du N P K

    Ne pas dire que la potasse-est un element contr airea La vitalite, c'est assurner la responsabrlite de la de-cheance de nos aliments, c'est aceepter I'invective queIe professeur Del bet lanc;:ait au monde scientifique :

    Avoir rendu nefaste Ie bon pain de France, voi,laune chef-d'eeuvre d'actlon negative auquel je ne puispenser sans indignation .

    Voila. ce ql!Je continue a faire laqronornie classique.II faut dire' qu''epres les travaux de Delbet, be-au-

    coup plus recernment, des analyses ont ete faitessur des vegetaux sains compares euxmemes variatesde veqetaux contamines par tel ou tel parasite: tave-hire, puceron, etc .. , piet ln sur cereales et, dans tousles cas, i'l s'est confirrne que Ie vegetal saint gueri dela maladie par la pratique d'une culture biologique,ce vegetal avait une , composition enrichie en maqne-slum et attenuee en potasse.: et, au contraire, Ie vege-tal malade, Ie Fruit ou la feuille; avait une teneur enmaqnesie affaiblie et une teneur en potasse surchar-gee.

    '.- .B

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    Aal.il9uer cW X s,6url.s engr \i l is l'qmeli.er~Hon ~e IqYit i l . l i~~, GieSE i !!Jnorer Ie f(Sle fQ nC ilqm enta l du phospho-re , .. e lem el'lt G le v ita lite , s 'oppos a il lt a h)xe lem ents dede.ge.ner .esCehG8: azote i'1'lihenal, po ta ss 8@ t. ch~ ux ,c 'e stigFlo'rer lesGaratferes degeliera t if s de l'ezote mlneral,de La pctasse et m e La c h a u x q u i sent lou~ troIs: desak:q1 ins, dies elementis .r:>hysiejUameiit u Itra-.Iegel's dansleur struture ihtim e .. ITs ne r reUverH JUe commurrlquerU,ne per.te de dens ire des , recoltes , la rragiliteet Iemanque de resistance ,lUX rna ladiesef lui faereursclimat iques .

    At trLbuer l'ElmeliGratjon ~ e lal0ng'evite a I 'emploides enmiGj 'ueet G j e r i O i eY l 5 01 ':, a VeC- iJn e swr i f mathema-t is e ~ ), I'lf) .petJt ceht!evoLr IqlJela vi'e sOi ' t cap . abLe c:l'epe-retd a ns des .c:on.i!liTiOl'ls toutes difM:rentes ce que le$I9hys- i t leFls I'e--alisel'lt avet : : ul'1e q~bau

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    LE CENTRE NATIONAL D 'ESSA IS SPATIAUXLe Centre National d'Essais Spatiaux, division {( Bal-

    Ions d'Alre-sur-Adcur, est Ie seul de ce type en Eu-rope.

    Son but est de four n'ir un moyen de transpor t enal t i tude du materiel experimental et soient if ique desdivers orqanisrnes 'juile solllcitent.

    Ainsi, si vous deslrez faire des rnesures de tausordres (a ir, solei I" etc ... ) vous vous adresseriez auC.N.E.S. et, pour la modique sornrne de 30.000 francsactuels, on vous fournirait I,es ballons, les equjpements.Ie az et irait VOI,JS recuperer votre charge ~ l'alded'un petit avian.

    Je pense quecet exemple donne une Tdee assezprecise du role du C.N.E.S.

    lis tr anspor tent des Icharges allant de 300 a 1.000'kilogrammes.

    1 1 5 travalllent dans des altitudes assez hautes. Enmovenne de 5 a 10 rrrlllibars (35.550 rn a 30.750 rn )mais ils vent parfois jusqua 2,5 mb (40.000 rn envi-ron) .

    Le ,C.N.E.S. emplele d.eux sortes d.e ballens: lesspheriques et les tetreedr iques.

    Les spheriques, sont le s mains employes. 1 1 5 ent uneforme naturelle, uneqeutte d'eau a -Jienvers.

    Les tetraedriques sont de deux sortes : les auxiliai-res etl,es principaux. Dans la eafegorie des tetraedrt-ques on emploie des ballons d'une eepsclte allant de25.000 a 550.000 m3 sulvant l'usaqe. A partir de~50.,000 rn3 on ajoute un second ballon dit auxili-aire dont Ie role est de seulever la charge de terre(pourJ'ernpecher de trainer au 5 ( 1 ) avant Ie Hicher duballon principal. II est presque entlerement gonfle ausol (a l'hvdroqene ). ce qui lui donne sa forme tetrae-dr ique des Ie depart. On Ie libere a environ 850 mb(1.S0Q m ) par I 'explosion d'un boulon special ..Le ballon principal, lui, n'est presque pas ganfle ausol (juste un peu pour quil monte), ce (jl:.li lui donnecette forme Flasque, Au fur et a mesure de son ascen-sion, La pression atrnospherlque diminuant, I'hydrogenequ'il contient se dilate et tend a luifaire prendre saforme normale, tetraedr lque, 'forme qu'iln'atteindrapleinement que vers les hauteurs rneximales.

    A sa suite u entraine les divers eJements de I'ex-perience. lis liberent Ie ballon par boulon explosifavant qu'il ne sorte du territoire national et l'experien-ce descend tranqulllernent en .parachute. La recuper a-tion .s'effectue par des equipes speclalisees par voleroutiere et aerlenne.1 1 5 effectuent frequernment des lancements de nuit.Mais leurs ballens ne soi1t jamais eclaires.

    Ces iexperiences sont suivies par les radars ,ae. Bor-deaux, Mont-cle-Marsa'n et Narbonne ..Constitution des. ballons '. .

    lis sont iiaits d'un nyien specialent'ii~r:ementtra!rs.lucide de 25 microns d'epaisseur.

    II sont tres brillants et dans lair S8 comportentsouverrt comme des prismes. lis peuvent d

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    Le cas de CremationfGUS le s jG.um'tiuxie jul-M on't faif :etat de' ee dra~

    me, -a vant enrra'7he fa mort fl-at onfuma.tiefl d u clb nci u;c:"telk :de Ia ,vOitUI'l9:'.- Frar:r(;e.S01r , 'Ie 1 ' 0 , juin,ecriMaitqu~ lavoitur.e du mort aefJ Qn5lee pa r des fla'l'l 'Imes(. a n 0'rm a .i es et Ie 12 [uln, seus 'Ia i;iA'at.LJr.eCle e n .G ! Jl Fre a u, p 'a ra i' SS 'a it '1ne .e ;n GlJu lH e s@m rn aire . 1 .1 appaFf:e,-f)ai-t a f}C'ltrec:o.lIal:>orat.8;wf et ami J. . Tyr;qll:re:. L~ V(il1ituree '$t e~ulp.~e de c;ein tute;s des~c:'urn~et; de p~~!7esa : tJ t i -broll! iII a r~ L O n nele.re[)Jertf a e (C@ 'n s,w mrn e e nco re e twn& flanlme ge2(') emde haw ! 51 9 'i ':lit entre res j arnbes. Seuls. !e C ' r a i " l g ) ,SOlJS - rGlrme dE!ss;:)IJ,e .le;tte,.a p~itrine ca rbQ t1 1 se ~ e. e t I'ab-dm;en euxentrelltes V:'isJl9lesii'nt encore fa dles .~ :dls-ti l1gurir. Les \ ! lS ~ e's b r< ;ls ' e ' t 'ClIes j 'al11\~e's g ) s . e l 1 : t Sidr Iep,arqyet, ! & r Q M s e t e ! lf 'l et it s r n@ t ' c ! al !! x. L< )" p lu p :a r -t se -ronl ,difficaem~nt recuffler:a_P.leset tOI')1li!er@nt- sp r leso l, m ela nges ay met,a lfofllllU de ,,~ v()it.w~El'.Q . i : J r ,e ;eup:ere divers obJets

    En :part i:cU'!ier- U n e m$n tre -l Dra ce r~L e@m RJe.t:emetltibrQ .le e, m ats qrJi l a i s se apen:;ev0.il' Ilafra~e~es aig

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    On sign.~le,que la vicj ime presurnee porte rdes dentsrecouver-tes de metal a la ll'1~khoireinferLetJre et unemedaille en or au cou. II sera impossible de faire etatde ces elements pour .l'Identtflcatlon du corps, du faitque tout ce qui et ait meralllque a cet emplacementest fondu.

    Les Iieu){Tout aussl etrenqes ClJ,ueles vconstatat lons faites, et

    sur lesquelles je reviendrai, sent les lieux au Ia voiturea ete retrouvee.La region d'Arcis-sur-Aube est assez peu boisee. Bien

    que l'on ait fait etat de l'averrture survenue a unpresque homonyrne, M. Reveille, en 1954, et pour la-quelle j'aifait personnellement une enquete, la foretc1e l'Orient est a 40 km au S des lieux de I'incident,et non a 20 com me il a ete indiRu.

    Au N d'Arcis, urre petite forer s'Mend 'au sommetde la cote de Saint-Bernard, surtout. a I'E, peu etenduea 1'0 au e,lle forme, un bois dit . Le Bulsson de laReine , sur une corne qui s'etend a 1 krn seulernentde . la N. 77.

    Su r cette cote Sa int-Bernard, a 4 km d'Arcis (al tl-tude 96 rn ) est un dos d'ahe (a,ltitude 143 rn ) d'o8se detache Vn trea jnauvais chemin de terre argileusetassee, comportant de nornbreuses forrdr ieres et se diri-geant vert 1'0. 'En volture on Ie parcour t difficile-ment, au risque de voir la caisse toucher Ie sol. II. des-sert des champs si tues pluji loin. C'estce chemin quia ,ete ernprunte par Ie vehicule lncendie.

    Sur une centaine de metres on trouve sur Ie gau-che des champs, a droite [e bois. Sur sa lisiere onrernarque des laies ou layons qui peuvent eventuelle-rnent perrnetrre Ie passage d'une voiture et c'est dansIe deuxieme,8 lOG m de la R.N. 77, que la voitures'engagea, tournant ~ droiteapres un parcours de17 m, pour s'Irnrnobrllser il l 7 rn du tournant. Elle

    .;a.: :

    ~ , '"ri-a : . . '":;;, < I I '""- "'MdR . dJ,ojo'M'~

    (J)+'~0'

    champs

    -~IICJ) ~:\ ~ .~' - - - - - - - - - - - - - e - ~ .

    '-- "jI , ~.J/: i ; jnampaPlan de F Lagarde

    se trouvalt a la hauteur de deux epicea~ emerqeantd'url'f@urreie, -broussailles et- de petits arbres feuil ..Ius.

    C'est un eridroit isole. desert, assez dlfficile aatteindre (relatlvetnent ). tres rarement frequente, ouIe dneme s'est [cue.

    Leosconclusions ,officielles. L'instruction a conclu au sui

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    Cela pourralt trouver wne explication pour Ie siege0CCUpe par la vjctime Giant Ie polds du corp.s auralt puprovoquer la torsion des montants, mais cette expli-cation n'existe pas pour Ie siege vide, dans la mernesituation. .

    A men avis il ne serait pas impossible que la tem-perature 'lit pu atrelndee ralus de 1.200 durant untemps assez bref et qu'elle ait dimlnue ensuite quandla voiture continuair de brirler. Je suls arrive a cetteconclusion en remarq.uant que la temperature de fusiondes meraux fendus d'alliaqe divers est de l'ordre de700 a 800, mais que la plupart des parties fondues sesituent netterrrent 8 l'exter ieur. Pour atteindre cettetemperature Ie lenq de la portiere, sous Ie vehicule. ausous son pour tour, il a Fallu qu'elle soit beaucoup plus

    LEGENDE COMMUNE AUX DEUX PHOTOSAV avantA R arr iere:o f fusionI carter embrayaqeII carter moteurIII bette de vi tesseIV trompette ..V pot _d'achappem;mtVI radiateurVII reservoj;r essenceVIII embrayageIX ; pa r tie ip ] i.eex "parallellsme detruitXlarrachement

    importante a lTnter leur. II n'est pas impossible qu'elleait atteint le double de cette valeur, et on comprendalors que les montants des dossiers aient pu plier sousleu r propre masse.

    D'apres les renseiqnernents fourriis par" la Societedes Glaces de Saint-Gobaih,la temperature a [aquel!edoit etre soumise la pate de verre pour subir Ie ramol-llssement necessa+re ~ I'insuflation de I.'air qui la trans-formers en. verre Secur it , est de 650 . 1. 1 en estainsi pour Ie pare-br lse et les glaces dlverses. Maispour obtenir [e point de fusion de ces glaees, iI fautdepasser 1.000. .

    Le carter Cl'embrayage,en aluminium, a une tempe.ratu re de fusion de 6006.

    Par centre, et ceei pour eviter les accidents quela fusion des soudures pourrait causer, Ie reservoird'essence comporte des soudures q1:Jiresisteflt 8 plusde ] :200, egale a celle du vilebrequ!n et des arbres durnoteur.

    Au vu de ces renseiqnements nest tout ,8 fait com-prehenslble que les soudures du reservoir aient tenualors que Ie carter d'embrayage e it fendu. On peutpenser done que Is temperature, darts la region dumoteur, ait ete comprise entre (SOD et 1.200 . Mais ilfaut considerer deux choses:1) Ie carter de I'ei'nbrayage n'est pas situe au memeeridrolt que Ie reservoir,

    2) ce ~arter se trouvait assez pres du 5'01 et de cefait il a e l l ! ) etre suffisamment aere. Ainsi, la tempera-ture de l'Incendre etalt certainement moins forte a cetendroit ql!Jlaiileurs. S'il est totalement fQndu, c'est queS C I tercnperatu,refut de l'cr dee de LOOO ~t CII..:I'ilpou-vait r~gner _ a l'int~rje(Jr de la. voiture une temper aturebeaucoup plus elevee.

    II me paralt normal que cette temperature ne sesoit pas rnainterrue tres longtemps, car dans une hypo-these contraire les plantes qui entouraient l'emplace-ment de, la voi ture auraient beaucoup plus souffertq.ue j.e ne I'ai constate. Les branches ties arbres avoi-sinant Ie passeqe ont seules souffer t. Ouelques-unesseulernent sorrt seches au point de neplus revivre, lesautrss reprendronb. D'autre part, I'herbe 'lux. alentoursimrnedlats n'a: souffert que superfleiel lement. II n'enaurait pas et de merne S I une haute temperatures'etalt maintenue.

    Reste le reeervcrr d'essence. II est relie au cotegsuche de I.a carrosser ie par un tube qui se deboltelors d'un incendie: l'essence fuse slor s par l'espaceI~isse libre. Mais Ie reservoir=compor te lui-meme dessoudures.

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    une intention deliberee, et ces precautions apparels-sent bien superflues 'pour I.m suicide ) qui a utilisedes moyeris aussi efficaces pour se detrulre.

    Alors on pense au crime. Les motifs possibles invo-ques n'ont pas ,ete retenus par les enqueteur s, et ilsemble bien qui!s ne reposent sur aucune base serieuse.

    La these du suicide ne paralt etre egalementque la conclusion do dilemme qui' s'est pose aux en-queteurs et ne satisfait pas pleinement les esprits, te-moin notre collaborateur, aucune preuve satisfaisantene semble avolr ete avancee.

    Nous conclurons que cette cremation na pas eteelucidee et que les motifs, comme les circonstances,sont toujours un mvstere,

    INFORMATIONSEXTRAITES DE L'ERE D'AQUARIUS (R~vue)

    Un de nos lecteurs, par ticullerement, avait des pro-blernes touch ant les cou rants tell u riques (tra ites dansIe n :2 de l'Ere d'Aquarius). M. G. Thieux, de la Com-pagnie Gener ale de Geophysique, a bien vou!u nousfaire parvenir de nombreux renseignements sur ce pro-blerne. Nous repr6duisons cl-dessous les pr incipaux pas-sages de ses lett res :

    Les courants tellurlques - en fait electro-tellu-riques- sont des deplacements d'ions dans tout Iesol de . 1 0 1 nlanete, Leur sens, leur direction sont connuset mesures t ant dans I'hemlsphere N que S. Entre deuxpoints du sol distants dau rnoins 500 m on peut enre-gistrer a partir de deux electrodes impolarisables plan-tees en terre et mesurer la difference de potentiel desdits courants grace a un galvanometre. La totalite desaccidents geologiques peuvent etre deceles par l'etudede ces courants (failles, ahticlinaux, synclinaux, etc ... ).

    L'origine deces courants est solaire, leur per iodiciteest de 27 [ours pour l'intenslte maxi d'emission (riena faire avec Ie contact de faille, ni a voir a ce niveaupour leur formation). Le seul lien qui existe entre lescours d'eau, les circulations korstiques et les courantstelluriques est que ceux-ci ont tendance a canaliser les ions soit dans Ie sens de leur ecoulernent , solt acon tre-sens.

    1 1 existe une correlation magnetique et telluriquequi est connue, calculee, mesuree et dont les variationspeuvent etre est imees, Mais plus encore la gravitationest en correlation avec Ie magnetisme terrestre dansses trois composants : horizontale, verticale et Ie champtotal varient avec les positions de la lune et du soleil(ceci mesure aussl).

    Enfin I'action au niveau des cel lules vivantes parI'ensemble des composants tellurique, maqnet ique, gra-vitique, integre a l'Ionisat lon variable de l'air et auxpositions gesimetriques spatiales du soleil, de la luneet des planetes est, elle, constatable, tant par les an-ciens (Rituel chinois, du Chen Li, 13" siecle avant J.-c.ou Vitrure, T er siecle avant J.-C. en parlent), que patles modernes (Travaux de geochimie par l'etude desplantes pour savoir ce qui se trouve dans Ie sous-sol :voir ce qui se fait en URSS et aux USA).

    L'action de tout ceci sur Ie comportement des indi-vidus et des groupe sociaux depasse Ie niveau de l'ar ti -cle, mais il est possible de Ie dernontrer scientifique-ment.

    Enfin prenez une carte de France au T/1.000.000'geologiqu~, superposez a la meme eehelle la carte ma-gnetique du champ total sur laquelle une carte dureseau hydroqraphlque sera reportee, examlnez avecun esprit de synthese roujeurs a la me me eC[:helle parsuperposition la carte qravimetr ique Bougner D 2, 3et comparez avec tous les centres du paleolithique, duneolit ique, de I'ar-t parietal, etc ... corisultez la toralitedes oeuvres du prehlstor ien Leroi-Gourhon et une sur-prise vous attend ...

    VOtlS pouvez consulter les ouvrages suivants : Ra-diations cosmotelluriques ~) par Ie Docteur Peyre. - . Etude sur I.es influences cosmiques , par AlfredLambert et Ie Docteur Pietre Creuze. -- La Terre .etNous , - L'Oscillation cellulaire . - ({Contribu-tion a l'Etiologie du Cancer , par Georges Lakovsky.

    N.D.L.R. - Nous navons pas fait cette etude parmanque de temps, mais nous ser ions heureux quunlecteur la fasse pour nous et IlOUS fasse part de la ...surprise.

    ANNON-CELecteur LDLN/ recherche numeros anterleurs a mai1968 + nurneros de fevrier 1969 et octobre 1969.

    Faire offre a O. GUIBERT, aux bans soins de LDLN.COURRIER

    Je viens de lire votre article : A propos dugrand coup qui m'a si vivement interesse que je nepuis mempecher de vous communiquer mes reflexions.

    Est-ce que les recherches effectuees par les AHe-mands pendant l'occupation dans la region de Montse-gur telles que les relate n.otamment Saint-Lour dansson remarquable ouvrage: Nouveaux Cathares pourMontsegur, ne concerneraient-elles pas plutot 1 ' ArborMirabilis que Ie tresor secret des Cathares? l.'unnempecherait d'ailleurs pas l'autre. L'auteur laisseentendre que quelque chose aurait ete retrouve, pouretre presqueaussit6t reperdu, helas ! Sans doute parceque les hommes ne sont pas encore dignes de ce sa-voir. G. HERICAUL T

    Ouatre ans deja que je suis abonne a votre re-vue, et je ne peux rri'empecher de benir Ie jour OUjai contr acte cet abonnement. Car grace a LDLN, j'aipu f.aire la connaissance de jeunes, qui, comme moiont les memes idees; ces jeunes qui malnteoant sontdevenus mes amis les plus chers.

    Je nai eu que rarement I'occaslon de corr espon-dre. avec vous ,mais ne creyez :pas que je sois inactifet passif pour cela ; depuis 3 ans je rn'occupe de latres difficile tache de convaincre les gens par la parole,ce qui est apparemrnent moins spectaculaire sur uncertain plan mais beaucoup plus profond, peurvu queIe peu de gens que je persuade fassent v e u x aussicomme mol, dans. Ie me me sens que LDLN.

    D. JULLIA Je profite du debut de l'annee pour vous feli-

    citer pour l'objectivite de LDLN, sa probite, et pourI'effort que vous realisez. Je ne doute pas que celarepresents bien des peines. Comm" abonne, je vousternoiqne ma gratitude, ainsi qu'~ vos collaborateurs.Puissent ces quelques lignes venues a vous de Belgique,vous donner chaud au cceur.

    P. WESSELS

    - H--

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    ges. Aucun bruit, pas de chanqernent de couleur.Toutes nos felicitations ~ Mile Maihle guT a eu la

    presence d'espr lt de prendre un croquls d e son obser-vation au fur et a mesure qu'elle se deroulait.

    Comme flour Ie cas precedent, Gendarmes et PoliceIe l'Alr onteu la gentillesse de nous montrer leursrapports, qui ne font que confirmer les faits.

    - Hypothese du ballon-sonde :Renseign'emerltspris au Centre meteo de Trappes,

    qui iii effectue deux lances ce27 tevfier 1970.Premier lance :- a 12:00 TU. Vent de8 Ii 12 m/s.r u e a a 8.000 m. Vent Nord.

    de 10,000 a 16.000 m. Vent Ouest.0e 16,000 a 27.800 (plafond). Vent Est

    ce qui, en aucun cas, ne peut arnener ce ballon 'dartsla region de Beauvais.Deuxierne Lance:- a 18:00 T.U. "7ent 8 a 12 m/s.

    de 0 a 10.000 m. VerJ:t NO-E.de 10.(')00 a 20.000 m. Vent NO.

    ce qui excJuf, vu l'heurs et Ie vent, I'hypoth,es'e peuprobable du ballen etant donne que Treppes est leseul Centre de lancee pour Ie nord de la France.

    II est a noter que Trappes neus a donne un ten-se'ignemerH tres precis concernant les lances de bal-Ions. Si leciel est clair et de'gage (ciel bleu ) les enve-loppes de ballons sont blanches.

    Par contra, si Ie ciel est couvert, les ballons sentrouges. II est utile de signaler ce fait t res importantconcernant cl'eventuelles oontroverses ballons.-OVNIS.

    N.O.LR. - Le soleil se couche a I'larisal 3:29,heure locale et, COJ11me va Ie souligner M. LesbrosdensI'enqusta suivente, il est bien possible, sinon pro-bable, que nous avons la a:ussiaHaire a un phenn-mime de reflexion atrnospherique (voir dessln qui 110USest epparu eloquent).Treisleme observatio,n: HOIS-AUBERT - SENANTES .

    Pour I'a complete comprehension du comportement,du ternoln principal, M. Toutain, veterinairea Son-geons, conseiller general de raise, il est utile desiqnaler que ce derriler a deja ete Ie ternoin d'urrphe-nornene qui sera relate ulrerleurernent.

    Le 25 janvier 1971, a 16:45 locale environ, M ..Toutain se rendait en visiteen ernpruntant la D 167,en compagnie de Mile Cantrel Jacqueline, quipilotaitI'a, voirure (cette derniere, sa cousine, habite chez M.Mar'c Toutaln a Sonqeons )', A environ quelques cen-talnes de metres de Bois-Aubert, l'attentlon de M .. Tou-tain fut attires par un objet etrange sitve sur ladroite de la route (a 1'0, entre Epluque et Villers-sur-Auchy) assez haut dans Ie ciel, il en fit part a laconductr ice qui ,arreta Ie vehicule et tous deux des-cendirent.

    l.'objet ayaH la forme d'une roue creneiee d'undlarnetr e apparent sensiblernent superieur' a celui duS0lei I.

    II etalt anlrne d'un mouvement de rotation de ladroite vers la gauche avec des reflets rou.ge-orange.Sa lurniers etait tres intense.

    L'ohiet, gardant Ia rrrerne lntenslte lumineuse, tour-na alors en sens inverse et pr it des reflets verts. Excep-te 5es rotations, I'objet Mait s'tr ictement Tmrnobl'le,

    Pour eviter toutecontroverse, M. Toutain s'en aliachercher M. Lefevre, cultivateur a Bols-Auberr, quitravalllalt dans son shamp a proximite, Ce dernler

    conili rma les faits ( nous ne I'svons pas entendu): Lestrois temoins qul suivaient toujours l'evolutlon du phe-nQmene a,Fretere/:lt elors la premiere voiture quI S9presents, celLe deMo Raymond Elie, cultlvateur a Gros-court. Ils constaterent ainsi, a quatre, ,I"ohservation.

    Aux dires des deux premiers ties seuls que nousayahs enrerrdus )Ie ciel 'etai.t parfaitement degage etseul un nuage ordlnaire ~) (terme du temcin ) et I1nseul vlnt occulter Ie pherrorrrene, et definitlvement. Letout avait dura 15 minutes environ.

    Les ,t~moi'ns ont ressent l plusleurs [ours les effetsde l'Intensite lurnineuse extraordinaIre de I'objet et,en pa~ticulier, Mile Cantrel.

    Nous avons, oornme pour les aufres cas, eu enmains les rapports de Gendarmerie et de I,a Police del'Air , Ces derniens n'apportent rien a la presents 'en-quete.

    Les temoins quesrionnes ovec insistanee Ie [eurvdeI'enquete et requestlonnes par telephone quelquesjours plus tard ont, a chaque fois, e t e forrnels surdeux points : .

    19 Le ciel etait partf@itemen,t degage. I20 A aucun moment les temoins nont vu Ie soleil.Cependant, sans mettre en doute la bonne foi destemoins, I'a suite de I'enquete ne rrous a pas permis

    de confirrner ces deux faits.En effet, d"apres la rneteo de la base aer ienne d.eCreil, Ie del a environ 16:00 locale etait Ie sulvant :Temps couvert par:

    2!'t!, a 400 metres2/Sa 700 metresl/H a 9 000 rnetres.

    Le vent 200" S.-S.O. 6 m/ s,D'apres la meteo Gle la region par rsienne Narda

    Orly, les conelltlons Sur Beauvais et sa region etaientles sulvantss a 16:45 10G@le:

    5/S de cumulus ia 400 metres,3/8 d'alto-c.(}l'Aulusa [3000 metres.Veht. die 200' S.S.O. 6 a 8 m/s.La visibiJite etait environ de 10000 metres.L'Observetoife de Parisn0us a conflrme que Iesoleil, ee 25 janvier 1971, 5'e couchait a 16:35, ternps

    universe].Nous evens pu, pour notre part, eHectuer un cal-

    cui, mais Ie lieu exact de l'observation peut tres bien,par sonalIitude et par sa configuration, jotier unrole tres 'important dans le fait que les temoins n'ontpas vu I.e solei I.

    Toutefois, ll est a hater qu'une heure avant soncoucher, Ie soleil est tres r arerrrerrt muge .... jamaisvert, !

    Nou$ avons rencontre chez les gendarmes une par-faite cooperatlo pour tous -ces cas grou[les aI:Jx alen-tours de Sonqeons. Pour Ie dernier , certains repre-sentants de 1 0 1 Gendarmerie ernirenr l'hypothese dusolei! coucherrt.; Nous evens dcnc 'pose Ie ,probleme.

    II ne nous a pas semble utile de, verffier I'hVp@",these du ballorr-sonde, car la force du vent - 6 a8 m/s - aurOIitautam.atiquement mis en rneavernerrtl'objet de Sonqeons (s.'il s'etait agit d'un ballon). Or,les temoins sent formels, l'objet rests parfaitementimmobile pendant 15 minutes, Qu'a:nt, au solell. ..Cpl1UI1!,!,ntaireJ :Apres eonsultatiorfcle .M.Monnerie, notre astrono-me cohsei l, ie suis en mesure de dire que sl durant

    1 , 4 - -

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    PRES DE SAINT-CLAUDE ,(Jur'a) ~Ie19-9-1970,(Obs'ervationset phot,os)

    t~A. ,~D'a~re"s cestr'tiis tei');jeirns iI ~sJ iljf l]poss.ibJe 9lJe ,C~b t , u n ' e e .t

    -.~.IlI...R. ,- N.ot i ' ;e09naJ9~;l '1a t '~u 'f f i$. ussoh ' G c f t l 'a f'aH l'enqu:et8 I'IOUS ecrit aihl! : ... 1'00se.)'vatieiiJ 8 .5 1: OSG 'w i le par' Ies temoins Go,Al- 'm e LfM$p,here em u i lc l is G j w O l vL l defa'oe a . l1J .onl!sHus.et t",es JuiJ:Jineux. La , f aee , es:t de couleur non A'Qrno;geheear ' e.llej@al'C!it tour.nel1"._ Les Mmo'in,s ne S , ( ! H l 1 J pas tf18$.'d'gC'Go~d ;5ur laeouleur obser:v~~;. M . TOIHa , i n , Mel leCa'lltrel, M. L . : e f e Y F e la volent rOlJge-o,r,Elnge. Pe,li"Idant unlnstant elle est \ / . l r - t e , HOUf\' di t M .. Lefe,vre,La IlJmi~.re eta'Lt tres ,puissante, pOlsqlJe M. Lefev~ead(J' mettF~' 58:S mains' d ,8V01 'n t , s e s ' )Zeux pQ.ur, pet i ta p;etit ,s'ha.bituer a l~obse ,~v,er .M. Toutain s'est plaint'el1sl4ite t;j'C)\;'dii'"mal < ; lUX ye lJx pertdar;ft,toute lasol..ree,Io/il.le Cantts! penqa nt 2. jO\)fS. Lestl$'rneins esti l1 ')entse ~ dime'hsions aKlgulaires a un e fols et dem] a 2 IoisIe itliametfe do soL~ i I. IJ ~taiJ ehl1i ron 8 30 " :au-desslfs ,de l 'hori iZQh, dans Ia direction < : : I : e G ourna .. il est. lrn-'p(jssible de si tuer ni sa dis tance , nf SaS dime;ns 'iotls , .faute a ' ,autres temlins 'pla

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    tres visiblement a une allure requliere en directionde 1'0, par aissant tres eloiqne. Malgre ses jumelles,M. Cuaz ne put distinguer aucun detail precis.II eut alors la presence d'esprit de. courir chercherun appareil photo muni d'un tele-objectif de 200 mm,et put prendre du jardin trois cliches avec des tempsde pose differents. Cornme I'objet dans son deplace-

    merit menac;:ait d'etre masque par la toiture d'une mal-son voisine, M. Cuaz manta au .premier etaqe au ileut encore ,Ie temps de prendre un quatrierne cliche.Mais I'objet dans sa course se rapprochai t de plus enplus de l'horizon et a 19:20 il disparaissait, cache parles hauteurs du cote de Pratz.M. Cuaz a eu I'impression, conflrmee par I'examendes divers cliches pris, que si l'objet paraissait suivreune tr a jecto f re rectiligne, il oscll+alt sur cette direction,rejoignant en cela Ie premier groupe de temoins.

    DISCUS'SIONCe he pouvait etre un astre. Le deplaeernent rela-tivement lent de I'objet etalt cependant nettement per-c;:u durant un laps. de temps assez court. Aucun astrene peut donner l'lrnpression de se deplacer a cette

    vitesse.l.'etude des cliches permet d'evaluer la vitesse dudeplacernent angulaire de l'objet, notamment sur celuiou la pose a dure 6 secondes, a u ce deplacernent estrnesurable.II a ete pris sur un film 24x36 mm avec l:Jn tele-object if de 200 mm qui donne un champ de go sur 12.36 mill = 12, 1 = 3 mm et 1 mm = clone 20'.Sur la pellicule etudiee qui est de 5 fois I"agrandisse-ment lineaire de la photo directe Ie millimetre ne vau-dra plus que 4 minutes. Or, sur ce cliche, Ie deplace-ment mesurable est de 2 mm 58. Si nous tenonscompte de I'epaisseur de I'objet = a 0 mm 47, Ie

    deplacement reel est reduit a 2,11 mm. A 4 minutespar mm, Ie deplacernent angulaire pendant les 6 secon-des de la pose a done ete de 8' 44/100. On .deduitun deplacernent horeire de 84 24' Ce calcul, memeapproximatif, confirme bien I'impression des temoins:il ne s'agit hi d'une etoile, ni d'une planete,Mais il reste la confusion avec un ballon-sonde.Aucun element determinant dans Ie comportement n'estreleve permettant de rejeter cette hypothese. De plusnous semmes dans les limites au coucher du solei!(18:40 locales) et I'on sait qu'a cette heure les B.-S.eclaires par Ie soleil sont part icullerement visibles.Gener alernent cependant ils sont d'abord vus tresblancs, puis [aunes de plus en plus cuivres, rcuqes en-fin avant de dispar aitre. Dans cette observation au con-traire I'objet est apparu dabord rougeMre et j auneensuite, ce qui n'est pas un comportement habltuel,Les renseignements meteoroloqiques recuei IIis ap-portent d'autres arguments. L'objet observe passait de-vant les cirrus a 8000 metres et se trouvait occultepar des nuages bas vers 6.000 metres d'altitude. IIse dirigeait sensiblement versI'O, peut-etra me me versIe NO. On a appris quau-dessus de 3.500 metres Ievent soufflait a 10 ou 15 nceuds vers Ie N et s'ilsetalt agi d'un B.-S. il aurait eu Ie vent par Ie traversa 90 sur sa tr ajectelre. II y a beaucoup de probahilitespour qu'il ne s'agisse pas d'un bailon-sonde.Si nous no us en tenonse I'epaisseur mesuree sur Iecliche: OA7 mm, a 20' par mm, nous pouvons prendre2 minutes environ comme representant I'epaisseur ap-

    L'OEUET AGR,ANDI

    proxirnative reelle angulaire de I'objet. La position deI'objet entre deux couches de nuaqes, respectivementvers 8.000 et 6.000 metres peut etre prise a 7.000 me-tres environ. Le calcul donne 2 metres d'epalsseur {oude hauteur) environ, ce qui est insuffisant pour unB.-S. mais tres acceptable pour un MOC.Malgre I'incertitude qui plane sur toutes les obser-vations en altitude de ce type, nous pouvons en con-clure qu'Il y a de fortes chances que M. Cuaz ait pho-toqr aphle un MOe. 1.1et ait helas trop haur pour entirer des enseignements, mais peut fort bien servir itdes recoupements si celui-ci est descendu plus bas end'autres lieux dur-ant cette meme soiree.

    16 -

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    ENQUETE A AVON(Se ine~e t -Ma rne )(Effectuee p'al' MM. Alain SENe"E et Claude COPINl

    Compte ren.du d'u ne curleuse observatton, f O ) ltepa x M..Jean,Marle Philip, dans]a nuH du 16 .au 17 jLJin1967; il Avo:r) ($ePhe~et;-Marhe)J yerS 2:3:30:

    Ce raf;Jport, etaf;lU en 'touts objectiwite pa r l'auteurllJeme de 1'@QservatiQn, a eter@w13'il li par MM. Alain$enee It c;laf)~e Copin, qU I,endem,ain dlj RhEin.omene;Recitf ' i! i t pa.r Ie t~n1oi!1 : J'eta ;is occu pe dans tria dlambre quand, tout a

    cG)up, eo roeg. ,ardant eh direction Gle la.enetr"e, 'si.tueeaV N geogra:phi'que, U'be I;ueur rouje,. a faible altitude,i;jtti'ra mo.n at ten;t ielh .

    Cette, nuit-I~ Ie deJh'etqil p~ra t i quemen t Piils ato'il.e.L.a l;AOS~ aViait une forme {'qppelant celle .de

    I'etoile de mer, [e retllg.e n'e1?ai ' t tou t 0l!a pord que tresfl l.ie,plJis i l s e fit de f1 llu s e n plu s -vif, ceql:li rend lt le seG:lntowF'S de cette e;tnmru.e afDpari t ion bE!al,fCOwp plusnets, Je c;;.rjstiiltai a 'l l!s s i~ !i le ce ~ t;~ ({ G ) ho $~ , arre$ aVQir@tte in t Sij ~Qw['e,I;J'r11')[1)]ws 'live, re?tg b i n . Qerta , in temps,eflviren 10 fl1inutes, ' j' f! 'I ITIQPHe, sans GJu 'aUCElJ ,n fait nese fDredui~:@,

    SOil alititude s e s itu ert enitl'e 3'00 eo t 40'0 frfIetres a u -des sus dw S0[ (maJ~eLJreldsemehE I,e te ,moin h',a [il,asfilulIlOUS preciser ce qui IU'i avaitermis, a ce momel

    Des.~in de F . Laga rde

    DORc, l'irit.ensiH~ ae la eouleur Ii: , Ains i s 'e~pliqLJa i't M . 0.~oIDin.

    Dan~ la synthese d [e s on recH; M . J.-M . PAl1i~ (JIit: Ie r .uge deYIt'H encore plu s p~He avantQ~ disfilaraitree em ple t6rm enr, pre S6ju e instantaneme)1t. De la meme rrra-niere que l",rs

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    Une Histoire AncienneNous l'avlons publiee dans Ie n 61 d'aout-septern-

    bre 1963: UN MOC S.UIT LA VOITURE D'UN Cl:JLTI-VATEUR SUR PLUS O'UN KILOMETRE.

    Saint-Omer, Ie 4-8-60. - Trois habitants du Pas-de-Calais declarent avoir vu une sou coupe volante.

    Les faits remontent a mardi dernier peu apres mi-nuit. Daniel Hiot, 26 ans, cultivateur au hameau deDifques a Morhinghem, quittait Ie domicile de sonbeau-perc a Moulle pour revenir chez lui en volture,prenant une petite route de campagne.II vit une etr anqe lueur pourpre qui I'intrigua. Pour-

    suivant se route, un peu plus loin il rencontra Iernyster leux engin, a 2 metres au-dessus du sol, larged'environ 4 metres, dont il distingua mal l'epaisseur,dent Ie ventre circulaire rouge eclalr ait la route.

    M. Daniel Hiot dut freiner, puis lorsque I'engin sedeplaca de quelques 15 metres sur la qauche, il repar-tit sans demander son reste. A 3 metres du sol, lasoucoupe regia alors son allure sur celie de lavoiture et la suivit pendant plus d'un km [usqu'a l'en-tree du village. L'engin et alt silencieux, ne degageaitni furnee, ni etincelles et disparut subitement a l'entreeau hamcau . M. Hiot reveille ses parents, et a pied ilspar_!irent voir les lieux, mais ne virent plus rien.

    Deux autres personnes ont confirrne Ie ternolqnaqede M, Hiot: son epouse Anne-Marie qui se trouvaitavec lui dans la voiture et qui ajoute qu'elle distinguaune forme humaine coif fant la soucoupe et, d'autrepart; son beau-pare, M. Rifflard, de Moulle, qui en lesreconduisant a sa voiture lui avait rnontre la boulerouge dans Ie ciel dans la direction qu'j-[ devait pren-dre.

    Notre aimable correspondant, qui nous dernandeI'anonymat, ecr lt : voici la copie d'tme declaration ecr l-te faite peu de temps apres par Ie ternoln lui-merne :

    Dans la nuit du lor au 2 aoOt 1960, il etalt 01:30.Nous venions de passer la soiree a Moulle et nOlJS

    : ; ; ; ; ; ~ = : : = . = = : .s : :_ :: :::ENQUETE A AVON

    (Suite de 1 0 1 page 18) C la chose concernee,10 C est rouge pale et devient, progres,siveme,nt,rouge vif.

    (( C ne change pas de dimensions et reste irnmo-bile.2 D ( { C est rouge vif et reste 10 minutes sans change'r

    d'etat.3D C est rouge vif et devlent, prOg'ressivement,rouge pale. .

    Au contraire du 1 C double ses dimensions etest sujet a de's fremissernents.

    4 C , alternativement, se retracte et se contractspendant une duree de 20 a 25 minutes.a) ( C se contracte : Ie rouge devient plus vif.b) C retrouve sa plus grande dimension et Ie

    rouge reprend sa paleur initiale.5 C disparait ...

    Le rouge devient encore plus pale avant de dispa-raitre cornpletemenr, presque intantanement. De lame me maniere lorsque que l'on ferme un interrup-teur d'electrlclte.N.D.L.R. - On pense naturellement a un pheno-

    .rnene naturel, OU artificiel (projecteur non decele),

    rejeumeallions repartir chez nGUS en Dauphine. Mon beau-parenous fit remarquer une lueur dans Ie lointain, lueurrouqeatre et imprecise qui nous fit penser a un Incen-die au village voisin. Nous partimes alors ne pensantplus a cet te lueur. A la sortie de Moulle, ma femmeme dit tout a coup: Regarde 1 ; ; 1 boule de feu! }) Jelui repondis : Tais-toi, c'est la lune , mais en con-duisant je me suis imrnediatement rendu compte queje me trornpais. En eHet, cela se deplacait; etait rougeframboise, un peu comme Ie soleil couchant, et avait 1 0 1forme d'une ellipse a axe vertical. II nous semblait quecela devait passer bien derriere n0US, quand tout acoup changeant de direction cela vint tres rapidementvel'S nOlJS et nousayant rejoints, trever sa la route enoblique, a 3 au 4 metres devant la voiture, a moins de2 metres du sol, passa entre deux arbres, vint seranger a notre gauche, bien a notre hauteur, a unedizaine de metres de !:lOUS et nous accompagna ainsipendant pres d'un km.

    Cela svait 5 au 6 metres de large, semblait peut-etre plat, mais d'epaisseur difficilement appreciable, nefaisait aucun bruit, ne lancait pas d'etincelies et evo-luait avec une tres grande aisance; uneIumlere rouge,vive, rayonnait d'une sorte de demi-sphere plus grandequ'une roue de voiture a cheval, et situee a la bassde l'enqln.

    J'avais ete oblige de freiner brusquement quandl'eJ'1g,in avait traverse 1 9 route; apres avoir retrogradede vitesse [e repar t ls Ie plus rapidement possible, en-core ebloui et tres efforaye du voisinage, pendant qUErna femme, litteralement affolee, s'accrochait a monbras.

    En arrivant aux premieres maisons du hameau, l'en-gin s'ecarta quelque peu, puis disparut, non pas ins-tentanement, mais sembla s'eteindre tres rapidementde bas en haut, comme s'll s'etalt brusquement voileen commencant par Ie bas. Plus tard, dans la nuit, [erevins plusieurs fois au bord des champs mais je nevis plus rien.

    Signe: Daniel Hiot, cultivateur a Morhinghem(Pas-de-Ca Iais ).

    Notre correspondent' signa Ie les divergences entreI'artide de Ouest-France du 5-8-00 et Ie recit directdu temoin. Nous n'epilog,uerons pas sur ce theme, Iecas est general, mais nous sommes heureux de pou-voir publier Ie temoiqnaqe direct.

    Notre correspondant signale que M. Hiot est decededeux ans environ apres sa mvsterieuse rencontre, d'unzona parait-il, solt a I'age de 28 ans. Depuis sa femmene veut plus en entendre parler.

    Bien que je ne sois pas un convaincu de 1 0 1 relation Geologie-MOC , ecrlt-ll encore, les lieux de l'obser-vation se situent a proxirnlte immediate d'importantesnappes aquiferes. Un reservoir d'eau est sltue au som-met du Mont Watten : butte-ternoin qcl semble ternol-gner de ,I'a-ncienne expansion d'un revers de cote.

    (La geologie et les failles ne constituent qu'unehypothese de recherches comme tant d'autres : les sour-ces thermales par exernple, et ont Ie merits de consti-tuer des reperes fixes sur Ie terrain. Seule une etudefine perrnettra de degager Ie oourcentage ~ee: de :arelation, a condition que ces elements scient releves,Morhinghem ipal" exernple, sur la carte peu detaillee

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    4 - 1802: ,Ie trois m~t:s allemand Freya, quittantManzanilla (Cuba) pour Ie Chili, fut retrouve17 jours plus tard, demate en partie sans per-sonne a bordo l.'ancre pendait encore a lecu-bier; aucun mauvais temps sigl'lale.

    5 - 19 Hl: I,e ravitailleur Cyclops, part! de La Bar-bade avec 309 personnes a bord, disparut sanslaisser de traces,1925: Ie cargo Cotopaxi, de Charleston a LaHavane, s'evancult.;

    7 1926 : Ie Suduffco, parti de Port-Newark, dlspa-rut avec ses 29 hommes.

    8 1932 :Ie brick John-and-Mary fut trouve a 50rnil les a u S des Ber rnudes , voiles fer lees , coquefr aichemerrt peinte, sans une ame a bordo

    9 - fin 1 ~35: Ie Dahama est trouve au larqe desBermudes, sans equipaqe, les claires-voies de-foneees, les malts tr stnant dans I'eau.,10- fin 1939: Ie cargo cubain Rubicon fut trouve aulC!rge de la Floride, vide. Bateau en exc;ellerHetat,toutesles affaires de I'equipage etaient abordo Seul un chien vivait a bord.

    1] - fevrier 1940: on decouvre Ie Glorle-Collte deSt-Vincent, a 200 milles au S de Mobile, dansIe golfe au Mexique, vide. Tout etait en ordre..Rien n'indiquait la oause de l'a,bC!ndorl.

    12 5-12-1945: cinq Avenger torpilleurs TBM partis de Fort-Lauderdale en patrouille de rou-tine disparaissent a rnolns de 160 milles en mervers I'E. Leur avartt-dernier message: Toutest de traver-s ... etrarige. Nous ne sommes sOnsd'aucune direction. Meme I'ocean ne paralE pascornrne il devrait etire - il semble que ... furent les dernlers mots entendus.

    13 - Quelques minutes plus tard, un gros. hvdravlone : Martin, Mariner , partit a leur recherchesvec 13 homrnes a bord et du mater-iel de SaU-vetage. Vingt minutes' apres il ne repondit plusaux appels et disparut a son tour sans laisserde traces ".Ma1.gre de puissants movens rnis en ceuvre, f 'l0r~te-aviorrs Salomonsavec 30 apparells, 21 ba-tegux,300 avions, dont des brltannlques, desqroupes terrestres, etc ... pas la plus petite epa-ve ne fut decouverte, la mer ne livra aucun in-dice.

    l4 I ~47: une supe'fforteresse USA dispar ait sanslaisser de traces a 150 km des Berrnudes.

    15 janvier 1948: Ie Star-Tiger, encrme ({ TudorIV, sevanoui t a 400 milles au NE des Ber-mudes.

    16 - mars' 1948 : Ie Iameux jockey AI Snyder, parti ala peche a Sandy Key, avec deux arnis, surdes hauts-fonds, n'en revinrent jam.als. Un mil-lier d'hommes, une centaine de bateaux, un diri-geable, un helicoptere, par ticlperent en vain auxrecherches, malgr~ une prime de 15.000 dollarsa qui les retrouver alt morts ou vifs.17 - decejnbre 1948: un DC 3 pprti de San-Juanyers la Flor ide avec 32 passaqers a bord, arri-vant a moins de 80 km au S de Miami, et se

    LE TRIANGLE DE LA MORTSeixante-dix navires disparus corps et bien sans

    laisser aucune trace, depuis une dizaine dannees, sansavoir emls un SOS et sans que l'on sache ce qui leur estarrive, cela defie toute logique disent les Lloyds a Land res en 1971.

    S'il s'etart a@i .de petits chalutiers, Sans materielradio, il n'y aurait pas de rnystere, mais la plupartetaient des navires modernes, bien equipes, et lesrecherches aer lerines tres souvent entrepr ises-ri'ont ja-mais perrnls de de~eler Ie moindre bout d'epave, ni lamolndre tache d'hulle.

    " est vrai ausst que la vie saccelsre, les moyensde transport s'Intenslflerrt, et que deux cents mortschaqoe week-end sur les routes deviennent mcnnaiecourante, Faisant la' une durant deux [our s, et o.n remer ca cinq [ours apres.

    Peut-etre y a-t-il un parallels a faire, exceptionfaite toutefols de cas etr anges, dont nous vous evensdeja entretenu, d'autrss ou Ie bsteau est retrouve enbon etat, mais vide de S8S occupants, dans une per icde0 ' 6 1 atJ('lCjn orage n'et!Jit signale.

    Une serje de catastrophes anciennes et recentes,aerlennes et navales, inexpllquees; ant attire l'attentionsur une zone de I'ocean Atlantique sltuee entre les I:lesdes Bermudes et Ie continent 'amer.icain. On lui a don-ne Ie mOt:! de T~ian9le d e 1 < 1 :M'oft ,

    he livre de Vincent Gaddis Les Vrals. Mysteresde la Mer , publie aux Editions France-Empire ,dont nous recommandons la lecture car il nous a per-sonnellernent passionne, public, entre 0 1 I:) tres, un cha-pitre oorrsacrs a"lx lncldents dllf!s ette z:one.Nousavions dans Ie temps publie !01l'Je.lgues cas provenantde sources' diverses, mais nous nous servirons de sonlivre pour tacher de. situer sur une carte exacte (sche-ma extrait de l 'Atlas Universalis les catastrophesque cet auteur men:tionne.

    Ci-dessous la nomenclature de's faits cor respondantaux 28 numeros figuran~ sur I.e dessin et classes par'ordre chronoloqique.I - 1854: la goelette Bella, dispar ltion totale sans

    indication d~ lleu (non portee sur Ie dessinfavte de l 'erl;;eignements).

    2 -1840: lac Rosalie, navire fran

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    preparant a I'atterrissage, sevanoult subitement.Des recherches poussees n'ont donne aucun re-sultat, malqre que les eaux peu profondes deces par aqes permettent une bonne vlsibllite desfonds (voir n" 16).

    18 - janvier 1949 : ce fut au. tour de l'Ariel (simi-laire du Star-Tiger, voir 15) qui decolla des Ber-mudas pour la Jamarqus (4 h de vol ). 40 mi-min.utes apres on recevait un message: ({ Toutva bien et puis plus rien, on nele revit ia-mais plus. Un effort sans precedent ::I ete entre-pris pour retrouver I'indice Ie plus mince: 2porte-avions, 3 croiseurs legers, 6 destroyers, Iecuirasse Jama"ique dirigea une partie des recher-ches avec 1 croiseur, 4 destroyers, plusieurs be-timents auxiliaires, Ie 5' Groupe aerien de sau-vetage prit I'air, des navires de commerce sedetour nerent de leur route, les Britanniques en-voyerent des bateaux et d'autres avions ... Ce futen vain, pas [a plus legere trace ne fut deceleesur la mer ,

    19 - mars 1950: un Globemaster se rendant enIrlande, disparutau N du triangle . Aucuneindication precise de lieu.

    20 - j uin 1950: Ie Sandra part de Savannah pour IeVenezuela. II passe devant Jacksonville, Sainte-Augustine, suivant une route extremernent fre-quentee et on n'entend plus parler de lui.

    21 - janvier 1953: un ({ York)} brltannlque, avec6 hernrrres d'equipaqe et 33 passagers, s'evanoultau N du triangle , volant versla Jamaique.

    II disparul apres que l'on eut percu un SOSs an s autre explication.22 - octobre 1954: un ({ Super-Constellation dis-

    parut au N du ({ triangle . II possedait deuxemetteur s, aucun appel ne fut percu.

    23 - septembre 1955: on trouve Ie yacht Connema-ra IV ebandonne a 400 milles au SeO des Ber-r nudes .

    24 novsmbre 195dJ.: un bombardier de la marineUSA disparut dans les memes conditions que 22.

    25 janvier 1962 : un tanker KB 50 decolle de Lan-gley pour la Vir.ginie. On percoit peu apres dessignaux tres faibles, et il disparut dans Ie neant.

    26 - fevrier 1963: parti de Beaumont (Texas) avec39 hommes d'equipaqe, Ie petrolier Marine-Sul-phur disparut apres un message de routine recudularge de Dry-Tortugas dans Ie golfe du Mexi-que.

    27 - j ui llet 196.3: Ie Sno'Boy, bateau de peche de19 m, parti de Kingston (Jama"lque) pour unI10t, Cay, a 80 milles au SoE, disparut sansepave.

    28 - 28 aoOt 1963: deux Strato-Tanker quadrimo-teurs KC 135 partent de Miami avec 11 hommesd'equipaqe. lis se slqnalerent a 800 milles au NEde Miami et 300 milles a I'E des Bermudes.Puis, plus rien.

    Cette liste n'est pas exhaustive et news avons dejas iqnale des faits analoques publiee par les journauxdepuis 1963. Elle ne constitue qu'un catalogue destine

    @@@@, ' \. \. \:::: :::: ::::

    1,~1 j.csL 'tLon ce La ju.upar t des sw.Lons etb a - t e a u x es-t a n e e r - t e d . n e p u r m a n q u e d ' L n d d c e z L o npr-ec t e e. Gelles mar-quee pnr un ? ec t 't z-esvague.

    '...~~".;PUERTO.Rl tO

    Dessin de F. Lagarde

    - 20 -.

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    I

    L.OBS.ER.YAl ION B,ASEDElOUTE SC IENCEpar F .. LAGARDE .

    II se=ait va in de ra ppeler cette i ,d ee rou te e 'lem en-tai res inous ' , rre constatlons qLJ'~ i'obs erv a tioh d~ sM .G . .C . certains esprits conforrntstes d:enient tout in te-ret. Les M.o,C. ont fort a l eurs yeux !1Ie ne pa s se P r e -ter a des experierroes de la bofil to irre , Ie tort dene pa sse pres en ter P.O U T' etn :! a na lys es et dlsseques.

    NoDs nous demandcns d 'a ill ;e .u rs e n nou sm etta fltdans la f ; > ~ i 1 i U des . piJo tes ~ }s i nous aurions Ie co ura gea ' al i r; Je r notre Iiberte, sinoh notre vie, pou r per"m eHf'.e a une hUl ' r i ahi tearr ieree de satIsfalre Sa curio-s ite . II 'ncus s em ble 'qu :e la gra nde f;n a jotT fe d'enrre Musre:PGl:[;l,dntir pa r ls mig 'Gl t iVe. Nous 'he p.ouvonspa s leu re n 'v oL JI: Q i~ d e le ul ": atti tu d e.

    Gependa t l t iJ a .(JI"C lit e te t~ oJJv ed :a l1 s ['(Ie c c l e SpitZ'-berg, une soucoupe volarrte ehtjere, Le colonel suedo! sG ernod Da mby'l, che] de la comm is s ioh d 'enque"te , d< lnsune in terv iew a ccorojee au Stu tt ja rt'e"r T agebl,a tt Ie 4septernbre 1955 a a ffirm e que I'engin n'est pa s d'or]-gine terrestre. La commissfon eNd" i e < ~ ceFlllj iJes decou-vertes sensetionnelles e t res erV e poor Ie morn:entses C0(1.dU5.iohs. Nous ayahs h 3 une fYie(emartressec&pClble de s 'a tis fa ire bea ucoU ilJ d e curi 'Q sHe. En avon s -nous entendu pa rle r d eplj'is ? A qui e tiil ie ht re se t- ve esces d ec ou v ert'e 's S eF ls 8" .t io rm e lle s ? Q u' st devsnue cettesoucoupe ?Nou 'S v O Y t ' ; r n , s bi"en qued 'une man iere aud 'uhe qo tre on se moque deiilQ 'U s ef que 5i qve lquecomrrrjs s fon cO r)m tlt qLJelque verife elle hQu.sne SJfCjj am" i s l ivi '4~,fI ne f l lDUi reste plus , il l tous eeUx 9LJi ne fon 't paspartie des pri~iJe!'li~s'r qu e l's.bserliaHoA p:ufe e t s:r!rfl-I'll@ pour a ce ea ei 't .~ ia y8rire. NelS savanfs ne somt '[:lasmieux a is [3 o.s es qu ele s 8 As or0 ir, 'l 'a ir8 s@Gm f Yl, e neus,........... '...~.. .... . . "; . : _ : : :::.: .::::ajel i tn i ter cetre ;cone ' d 'indde)hts . L a redeo" que lesdeifa il~ i, ltlt 'e res s en t es t prie qes e r.eporte t a I 'ouyraged te . N O I :l's ra ppe lo l"1 's les f3r i . :r :H: ;, i JYiW l

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    ! ":H E U R E U S E M O D I F r C A T IO N D U D E -T E C T E U R A A IG U ll lE A IM A N T E El.e Docteur Hardy nous fait part d'une ameliora-tion du detecteur a aiguille aimanree.Dans ce type de detecteur, il existe deux systemes :celui qui est base sur des contacts electriques. etce-lui qui fonctionne par cellule photo-electr ique.Un problerne se posait dans ces deux systemes :

    celui de la detection d'une cornposante vert icale, pro-voquant une deviation de I'aiguille dans Ie sens ver-tical, et qui n'etalt pas enreqistree par lescontactsou par lacellule photo-electrique.Le premier avait ete resolu par nos amis qui ontrernplace les contacts later aux par une lunette per-cee dans un laiton qui enregistre toutes les deviations:voir+eroquls ..Le deuxierne c'est M. Hardy qui proposela solu-tion, dont nous donnons. une description