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ASSEMBLÉE GÉNÉRALE LE 30 JANVIER 2010

À PARIS

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE LE 30 JANVIER 2010

À PARIS

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SOMMAIRE

Le Mot de la Présidente France Radenac ................................................................................ 4Editorial Stéphane Dauberville ................................................................................................ 5 VIE DE L’AAPO - VIE DES COMMISSIONS........................ 6 Compte-rendu du AGE du 27 septembre 2009........................................................................... 7 Compte-rendu du CA du 14 juin 2009 à Toulouse ...................................................................... 11 Compte-rendu du CA pré-AGE du 25 septembre 2009............................................................... 12 Compte-rendu du CA du 26 septembre 2009 post AGE ............................................................. 12 Compte-rendu du CA de l’AAPO (Régions Francophones) 14 et 15 novembre 2009................. 12 Compte-rendu du CA du 26 septembre 2009 post AGE ............................................................. 13 Communiqué du CA sur les faits en rapport avec nos conflits .................................................... 15 Actualité de l’AAPO par le CA..................................................................................................... 16 Vie Régionale Ile de France Matthieu Langeard ....................................................................... 17 AAPO et SFAP France Radenac et Michèle Guicharnaud ...................................................... 18 AAPO et SFAP droit de réponse Claudie Mothe........................................................................ 19 Bulletin d’Adhésion Membres en cours de certification finale ..................................................... 20 Bulletin d’Adhésion Membres praticiens confirmés..................................................................... 21 Bulletin d’Adhésion Membres associés....................................................................................... 22 Bulletin d’Adhésion Membres praticiens en cours de certification finale ..................................... 23

TRANSIMISSIONS ET PARTAGES .................................. 24 Quel pouvoir Claude Desmecht................................................................................................. 25 « Souffrir ou Aimer » un livre de C. Zürcher et J. Vaissac Stéphane Dauberville ..................... 26

PETITES ANNONCES .................................................... 27

ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE ET EXTRAORDINAIRE

Le Samedi 30 janvier 2010

De 9h30 à 13h et de 14h30 à 17h30

27 rue de l’Annonciation, 75016 PARISMetro : Passy ou La Muette

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Le 2 décembre 2009

Chers collègues de l’association d’AnalysePsycho-Organique

En tant que présidente, je partage avec vousnos perspectives pour 2010

Nous avons à vivre une situation*(voir en bas depage) qui est une occasion d’affirmer notre iden-tité et notre vitalité. Il y a des conflits certes,avec les autres instances de notre mouvement,liés à des problèmes de fond, auxquels nousavons eu raison de nous atteler, ce dont je suisabsolument persuadée, et il y a la difficulté ànous rencontrer dans un dialogue apaisé, diffi-culté dans laquelle nous avons notre part de res-ponsabilité.

Notre avenir dépend avant tout de notre capacitéà sortir de la confusion institutionnelle.Nous ne sommes pas obligés d’aller nous affron-ter au tribunal, comme certains le proposent, et jene retiens pas non plus l’option de la dissolutionqui a également été évoquée. Je privilégie uneautre voie, résolument différenciée, à laquelleje vous propose de réfléchir.Trouvons notre juste place, en nous appuyant surla base de nos statuts de 2008 et sur les orienta-tions prioritaires que vous avez exprimées, cellesde la vie professionnelle et de la créativité.Trouvons une issue, en toute indépendance, pouraffirmer notre identité d’association loi 1901 quiréunit des professionnels de l’APO, psychothéra-peutes et/ou superviseurs; et pour affirmer notrechoix de nouer librement des liens clairs, dansune exigence de transparence et de réciprocité,avec les institutions de l’APO, si elles le souhai-tent également.Dans ce but, et pour protéger notre élan de vie, leCA proposera à la prochaine AG de voter desmodifications de statuts qui installeront la liber-té au cœur de notre identité et de nos partena-riats. Et qui installeront également la libertéde définir nos catégories de membres adhé-rents qui ne concerneront que des profession-nels. En tant que membres électeurs de l’associa-

tion, vous aurez à exprimer si cette voie et sondispositif protecteur vous conviennent ou non.

Toutes les rencontres faites cette année au seinde l’association, en juin, en septembre, avec laCA2P, confirment l’attachement des membres àune vraie vie associative, à un vrai partage entrecollègues en APO. Cet attachement est lié à unvécu précieux, à nous de prendre les moyenspour qu’il puisse se vivre aussi au futur.Notre métier relève de l’art et donc d’une ren-contre intime de l’être avec sa discipline, il setransmet d’une façon « artisanale », par appren-tissage – partage – accompagnement -- recon-naissance. La vie associative selon la loi 1901(égalité entre tous les membres, démocratie, im-plication bénévole) est une forme sociale privilé-giée pour entretenir ce processus d’échanges, depassages et d’élaboration entre pairs. C’est pour-quoi sur la lancée de tout ce qui a déjà été vécude riche et de passionnant au sein de l’associa-tion, grâce aux commissions, aux colloques…continuons d’y apporter notre motivation, nostalents, notre créativité, et notre sens de la ci-toyenneté.L’heure est à la décision de vivre pleinement etlibrement l’objet de notre association.Je vous dis, ainsi que l’équipe du CA, « à bien-

tôt ».bien collégialement,France Radenac*Je vous demande de prendre un moment pourlire les textes d’information qui accompagnent ceMot de la Présidente. Entre membres du CA, de-puis l’AG de septembre, nous avons consacrébeaucoup de temps à réfléchir aux causes de no-tre malaise institutionnel, à chercher des issuesconstructives qui soient conformes à nos objec-tifs et aux principes des associations loi 1901.Nous avons consacré beaucoup de temps aussi

à rédiger nos textes, au cours de navettes nom-breuses par mails et téléphone, merci de donnervous aussi un peu de votre temps et de votre ré-flexion pour contribuer au débat et faire en sorteque la prochaine AG soit une réussite. Il y auracertainement en janvier prochain, des questions-réponses sur le site qui pourront compléter votreinformation.

Le Mot de la Presidente Par France Radenac

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Le Journal Interne de l’AA-PO se porte bien et il conti-

nue à informer et à faire le lien entre les adhé-rents, les commissions, le CA et la Présidente. Jevais tenter de faire le point sur le JI dans cet édi-torial.

Ligne éditoriale

Nous avons travaillé ces dernières années dansun esprit de concertation tout en gardant notreneutralité bienveillante face aux mutations denotre association. Nous sommes particulière-ment restés vigilantsà trouver un équili-bre entre les textesqui sont publiés dansle JI et les textes quisont publiés dans leforum et sur le siteInternet. Ce n’est pasparfait mais je penseque nous avons ainsipu éviter que les tex-tes trop polémiquesqui demandent desdroits de réponsestrop lourds ne viennent « plomber » le JI.Nous avons aussi commencé à envoyer directe-ment par email aux adhérents le JI sous la formede fichiers pdf. Cela nous a permis de vous pro-poser le JI avec 15 jours d’avance sur le momentoù vous le réceptionnez par la Poste. Car les dé-lais entre la date de clôture de réception des tex-tes et la date où vous recevez le JI dans votreboite aux lettres restent beaucoup trop longs.Pour vous donner un exemple, nous avons reçule dernier texte du CA le 10 janvier alors que ladate prévue était le 15 novembre. Bien entenducela pose un problème pour les personnes quiveulent passer des annonces et à l’équipe du JI.Nous n’arrivons pas encore à trouver un équili-bre entre trop de souplesse et trop de rigidité.

Equipe du JI

Depuis plusieurs années le JI a fonctionné avecune équipe de quatre personnes particulièrementdévouées à l’association puisque deux d’entre

elles cumulaient aussi un poste dans le CA. Jetiens en votre nom à les remercier pour leur pas-sion et leur bénévolat pendant ces dernières an-nées. Ainsi France Radenac nous a quitté lors-qu’elle a pris la présidence de l’association. Ellenous avait apporté pendant plusieurs années sarigueur, son sens de l’équilibre, sa générosité etson humanisme. Puis le départ de FrédériqueDouyère nous a privé d’une rédactrice précieusequi savait trouver le temps de relire les textes etde chasser les fautes d’orthographes. Et depuisquelques mois Isabelle Jacob a quitté l’équipe duJI pour mieux se consacrer au secrétariat du CA.

Elle était depuis desannées un des piliersdu JI puisqu’elle enassurait la rédaction etla mise en page pro-fessionnelle et somp-tueuse. Je tiens à lesremercier toutes troispour le temps et lapassion qu’elles ontmis à rédiger, mettreen forme et organisernotre Journal Interne.

Actuellement le JI fonctionne avec une seulepersonne donc autant dire qu’il fonctionne à mi-nima. Nous faisons donc appel aux membrespour nous rejoindre. Si vous êtes intéressé parune expérience au centre de la vie de l’associa-tion, si vous désirez vous exprimer et tenir uneligne éditorial, si vous désirez vivre l’expérienced’une équipe dans le plaisir… alors venez nousrejoindre !

Droits de réponse

Dans cette période de transformation et de muta-tion, nous avons été attentif au droit de réponse .Ainsi nous avons proposé à Paul Boyesen et àClaudie Mothe un droit de réponse. Seule cettedernière a décidé de l’utiliser et vous pourrezlire sa réponse à l’article du CA sur la SFAP.

Nous profitons de ce mois de janvier pour vousprésenter nos meilleurs vœux pour cette année2010 qui sera une année passionnante !

Éditorial du JI Par Stéphane Dauberville

Venez rejoindre l’équipe du JI !

Nous avons besoin

de vous !

Contactez Stéphane Dauberville

06.81.74.48.98 ou

journal.interne.aapo@free.fr

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Il est rappelé que cette 2e AGE (la 1re s'étant déroulée à Toulouse, sans quorum atteint) n'est pas assu-jettie au quorum. Les points de l'ordre du jour (qui doivent rester les mêmes que pour l'AGE de juin)pourront donc être discutés et votés. Nous sommes donc dans l'obligation de respecter l'ordre du jour,même s'il y a un décalage, du fait que le temps a passé.Cette journée est là pour sentir et décider ce que nous voulons faire ensemble, discuter, parler de nosdésirs, voter sur 2 ou 3 points, et décider de l'orientation de l'AGO de janvier 2010.Ces discussions répondent à la demande d'adhérents et à la demande du CA qui souhaite poser ses pro-blèmes. Un des premiers est le nombre de membres du CA : Il n'est pas possible de continuer à 7 car ilpourrait y avoir une contestation possible. S'il n'y a personne pour se présenter aujourd'hui, en atten-dant un changement, il faudra geler tout fonctionnement qui se réduira alors à une seule AG par an.Deux personnes de plus sont donc nécessaires.

23 présents et 30 pouvoirs, en début de séance.

COMPTE RENDU DE L’AGE DU 27 SEPTEMBRE 2009

POINT 1DÉSIGNATION DU PRÉSIDENT DESÉANCE, DU SECRÉTARIAT, ORGANISA-TION DES VOTES

La présidente de séance est Monique Michon-neau, le secrétariat est assuré par Muriel Guillardet Rosane Pader. Les scrutateurs de vote serontSonia Mangasarian et Isabelle Jacob (qui s’estproposée juste avant les votes).L’après midi, la présidente de séance est Domi-nique Gutbraut.

Avant de commencer l’ordre du jour, chacun desprésents s’exprime, pose ses questions et ses at-tentes et sa façon d’être attaché ou reconnaissantà l’association.

POINT 2LE FONCTIONNEMENT

Il repose essentiellement sur le plaisir à être en-semble. Si on se réfère au texte que MoniqueMichonneau avait préparé sur la dynamique so-ciale d’une association, on peut s'interroger surla pertinence des activités actuelles de l'associa-tion : le travail sur la loi quoique nécessaire est-il nourrissant ? Y a-t- il suffisamment d'activitésvitales ? On peut s'interroger sur le thème de lacommunication, outil d'influence, de douleursaussi.Si l'orientation principale est à poser, quelle se-rait-elle ? Le rôle et la position de chacun ne

sont-ils pas à clarifier ?Quel lien avons-nous avec notre environnementactuel ? Comment vivons-nous la privation pro-chaine du titre de psychothérapeute ? Quel effetindividuel et collectif cela a-t-il ? Quel lien tis-sons-nous avec les associations du même cou-rant ? Et avec les autres partenaires du champpsy ?

Le dialogue doit être important entre nous tous,et non pas seulement entre le CA et les adhé-rents.

POINT 3PRÉSENTATION DE L'ÉTAT DES LIEUXDE L'ASSOCIATION. QUESTIONS/RÉPONSES

Chacun en profite pour dire où il en est par rap-port aux conflits, aux incompréhensions...Voici les questions ou avis énoncés :

Par rapport aux conflits : voici des prises desposition individuellesEst nommé un sentiment de division entre laqualité professionnelle APO et l'incompréhen-sion de tous les conflits.Quelle est la source pour chacun de l’informa-

tion de l’évolution des conflits, à part les e-mails ?

Faut-il lister les conflits ? Est-ce juste ? Peut-êtrefaut-il hiérarchiser les problèmes : L'EFAPO etl'AAPO, ADIRE, créativité...

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Par rapport à EFAPO : Il faut savoir que lesconflits entre école et association sont très fré-quents. Ces partenaires sont différents de nousmais indispensables. C'est structurel de devoirfaire avec ce partenaire. Un travail de différen-ciation depuis quelques années a été importantmais ne doit pas aboutir à une rupture parce quese couper de la source va faire mourir l’associa-tion. Il faut négocier coûte que coûte. Il faut rap-peler que l’AAPO est née avant EFAPO, avecdes prérogatives particulières, avec un contenu.D'autres se demandent si la relation avec l'EFA-PO est si importante que cela. Perdre le lien avecEFAPO, est-ce que ça fait peur ? En effet, la sor-tie des matrices est longue, porteuse d’angoisse.Notre fondateur semble le seul à représenter l’A-PO. Peut-on s’autoriser à représenter nous-mêmes l’APO ?Le lien actuel entre EFAPO et AAPO s'incarnepar une médiation entre nos avocats demandéepar le CA de l’AAPO, à l’initiative de plusieursadhérents. Elle n'est pas aboutie jusqu’à ce jouret la règle de confidentialité ne permet pas d’enparler.Pour certains, la coupure avec l'EFAPO est quel-que chose de grave. Il n'y aura plus d'adhérentsbientôt. Est nommée une révolte contre l'annihi-lation, la destruction.Comment être proche des étudiants au-delà detous les conflits ?On parle beaucoup de différenciation entre lesdeux institutions. Mais il n'y a pas de socle so-lide. Dans les statuts, il faudrait créer un nouvelarticle protégeant les partenariats, avec toutes lesinstitutions (FF2P, EAPOA...), en en donnant lesconditions, les limites...Par rapport à ADIRE, nous avons la chanced'avoir sa représentante ici présente.Par rapport à EAPOA, une personne a crucomprendre que Paul proposait de changer lenom d'AAPO en EAPOA et ne voit pas pourquoinous le refuserions. Il lui est répondu que : Il fautrappeler que dans la vie associative il n'y a pasde statut européen mais seulement juridiquementnational. En fait, c'est la suppression de notreassociation qui était proposée.Par rapport au CA, il y a beaucoup d'attentes etla réponse du CA est : « Faites plutôt du travaildans le CA, posez-nous des questions plutôt quede nous envoyer des scuds ». Pour un membre larigidité semble primer dans le CA et cela devientstressant. Pour un autre : Qui peut avoir envied'aller dans le CA ? Il y a tant de désir de mortde la part du père fondateur...Au sein de notre mouvement, l'articulation du

dialogue et de la loi semble difficile. Il est de-mandé au CA moins de rigidité. Un désir pro-fond d'ouverture est nommé plusieurs fois.Dans notre mouvement, il semble que « sortirde, exister, au sens étymologique » soit com-pris à tort comme « critiquer ». Or, il s’agit d’unmouvement vital, sortir pour vivre, défusionnerpour évoluer… Il faut cesser de confondre cetélan vital avec un rejet des origines.Mais cela ne doit pas être aussi penser que c’est

à cause de l’autre qu’on n’y arrive pas. Il y abeaucoup de notions de jugement qui traînent :c’est toujours l’autre qui ne veut pas dialoguer.Si la relation a raté, n’en sommes-nous pas au-tant responsable que l’autre ? Certains courrierspar e-mail sont porteurs d'une charge importantecar ils ne s'inscrivent pas dans la relation. Ons'aperçoit vite que dans l’incarnation de la rela-tion, les charges se baissent d’elles-mêmes. Tra-vaillée en CDRM, l’éthique collégiale est trèsactuelle. Les e-mails, surtout la veille des AG oubien dans les quelques jours qui précèdent, sont-ils éthiques ? D'autant plus que l’intoxicationd’information est souvent massive, trop rapide,demandant du temps à intégrer.Peut-on s’engager aujourd’hui à ne plus nousjuger et nous critiquer ?Proposition de la création d’une commission dedéminage des conflits, commission de dialogues.Comment mettre en œuvre notre désir de dialo-gue ? avec Paul Boyesen, avec l’EFAPO, avecles commissions ?Il y a un malentendu depuis le début sur le rôlede l’association. Elle était vue dans un rôle sou-tenant mais non dialoguant. La légalisation desstatuts est venue à un moment important. Peut-être maintenant peut-on s’occuper d’autre chose.Michèle Guicharnaud, qui est l’actuelle prési-dente de la CDRM, indique qu’elle n’est tou-jours pas en possession des archives, qu’elle apourtant demandées à son prédécesseur.

POINT 4DÉFINITION ONTOLOGIQUE DE NOTREASSOCIATION : SON OBJECTIF - VOTESBrainstorming :Créativité ++++, dynamisme, réflexion, dialo-gue, ouverture, auto-protection, ternaire, + dedistance, ressourcement, loyauté, prise de dis-tance, instance de reconnaissance par les pairs,valeur, professionnalisation, visibilité, collégiali-té, résolution de conflits, EAPOA, formationcontinue, pouvoir et argent, éthique, APO, ap-propriation de tout cela dans notre propre mou-

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vement, lien, autonomie, libido, pardon, recon-naissance, règlement intérieur, bénévolat, tolé-rance, auto-analyse, différenciation des fonc-tions, juste place de chacun, corporation, trans-mission ? (statuts ?)

Cette association est-elle une association d’an-ciens étudiants ou de praticiens ? Il est rappeléque le mouvement d’autonomie de l'associationest là depuis le début. Lorsqu’il y (aura) a eu desconflits d’intérêt entre les deux instances, nousn’avons pas pris, à bras le corps, la mise en dia-logue avec les autres instances. Pourquoi d'ail-leurs toujours penser à EFAPO ? et EAPOA ?Mais peut-être pouvons-nous ensemble, au seinde notre seul mouvement, construire notre place,notre identité ?

Voulez-vous un mouvement déterminant quifasse sortir de la question des conflits ?

Il y aura toujours des conflits. C’est au CA decontenir cette histoire ?L’objectif serait le professionnel et la créativité :le livre, les Journées d’Etude, le colloque… Maisaussi pratiquer le politique. Pour ces deux ni-veaux (politique et professionnel), l’intérêt n’estpeut-être pas le même.

POINT 7ADIRE

Marie-Claude BOURGY : Depuis le veto posépar l’ancienne présidente sur un texte dans lep r o c h a i n A D I R E s u r l e t h è m e« TRANSMISSIONS », le texte attend l’impres-sion. Il y a un blocage, nous ne saurons rien dufait que le dossier est entre les mains des avo-cats. L’auteur n’a pas eu les raisons d’oppositionà son texte.

Mireille de LAPORTALIERE : j’ai envoyétous les éléments à Marie-Claude. J’ai lu et reluce texte et j’ai exprimé mes doutes, mes ques-tions à Marie-Claude, je n’ai pas pris une posi-tion facile, j’aurais pu laisser filer pour avoir lapaix. A l’issue d’un débat interne et pas agréa-ble, j’ai participé avec le CA à une réflexion surle contenu du texte, et le CA m’a dit qu’il soute-nait ma position : le texte est très intéressant,mais on ne peut pas le faire paraître tel quel dansle social. Marie-Claude a eu le mail exprimantnotre position. Nous avons proposé une procé-dure de médiation, Marie-Claude a récusé l’ob-

jectivité du CA. Nous en sommes à un statu quo.

Marie-Claude BOURGY: j’ai participé au blo-cage en ne signant pas l’ordre d’impression ; lecomité a été mis en porte à faux, l’auteur avaitsigné son bon à tirer ; Mireille, tu m’as demandédes corrections, j’ai demandé à l’auteur de modi-fier une phrase mais ensuite tu as donné le vetosur d’autres éléments du texte, je le ressenscomme déloyal, je n’ai pas compris ; pour moi ily avait autre chose derrière.

Yves BRAULT : j’ai lu l’article de JoëlleBOYESEN. Ce qui se passe pose, selon moi,deux problèmes :- La responsabilité éditoriale de la revueADIRE : le responsable de l’association est res-ponsable juridique,- Mais pour moi, cet article ne donne pas lieu àdes poursuites contre l’association ; la raison aun rapport avec le fond de l’article, et dans cecas, c’est à la responsable ADIRE de décider.Pour le CA ce n’est pas politiquement correct carJB parle de sa relation à PB, elle en parle de ma-nière pudique et sensible, elle est juste et c’estcela qui n’est pas politiquement correct. Dansl’histoire de la psychanalyse, on en a vu d’autres.

Michèle GUICHARNAUD :Comment les autres auteurs ont-ils été informésde la situation pour comprendre de quoi il s’agis-sait ? Pourquoi tout est gelé du coup ? Tout dia-logue a été interrompu et je ne sais pas ce quis’est passé. Nos statuts qui habilitent le CA et laprésidente à prendre des décisions en dernierrecours, comment se fait il que ces décisions nesoient pas acceptées par les autres. A quel mo-ment cela s’arrête ?

Marie-Claude BOURGY : les autres auteurs sesont interrogés pour certains et d’autres pas.

Suite à un conflit sur l’ordre de prise de paroles,Marie-Claude BOURGY quitte l’AG malgré lesdemandes des membres du CA et de certains ad-hérents qu’elle reste pour continuer la discus-sion.

PAUSE

REPRISE

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France RADENAC : je voudrais préciser cer-tains points sur le document que Marie-Claudenous a distribué en arrivant à l’AG et notammentsur l’avant dernier paragraphe qui entraine unecompréhension inexacte de la situation :« l’auteur n’a reçu que des atta-ques personnelles », tous les mails et textes quej’ai lus et envoyés par le CA à Joëlle Boyesen,tous portent sur le texte et non pas la personne.Le texte a fait l’objet d’un veto de la présidenteet du CA, Joëlle Boyesen n’a pas voulu de laproposition de médiation prise à l’initiative del’AAPO dans le cadre du règlement prévu par leRI.

PROPOSITION DE VOTE SUR CE QUI SUIT :Le texte sera imprimé, nous l’envoyons par cour-rier aux adhérents qui nous dirons ce qu’ils enpensent, pour faire du dialogue, pour faire de latransparence.La publication sera votée ou non en AG. Troispropositions : Accepté tel quel, transformé enreprenant certains éléments ou pas publié

Michèle GUICHARNAUD : comment se fait-il(la présidente est très exposée en tant que per-sonne) que les commissions de travail contestentlorsque le CA ou la présidente prend une déci-sion ?En tant que CA nous réfléchissons, avec un pointde vue différent de celui d’une commission. Lacommission n’a pas voulu rencontrer le CA,alors que le CA lui en a fait la proposition.

Mireille de LAPORTALIERE : c’est la ques-tion des différents espaces, on ne peut pas toutmettre sur la table partout ou tout le temps, cesont des temps qui respectent la confidentialité etla personne. De la place de président, on a desinformations sur tout un tas de choses. C’est uneplace de conscience, de réflexion et sur ce qui estdangereux et opportun. Il n’y a pas de problèmede personne entre nous deux, c’est une questioninstitutionnelle. Au moment où MCB est partiede cette AG nous avons vécu de la folie. Nousportons cette folie, est-ce une raison pour donnerle volant et les clés à cette folie ? J’ai l’espoird’une cohérence collective. Nous sommes dansune histoire lourde et nous devons prendre unautre cap. Prendre la mesure de la situation.

VOTE SUR LE TEXTE QUI SUIT :

Sous réserve de l’accord écrit de JB, nous vousproposons de faire parvenir ce texte original

par courrier postal à chaque membre de l’asso-ciation dans le but de soumettre la parution del’article au vote de la prochaine AG ?

Trois propositions :- Accepté tel quel,- Transformé en reprenant certains éléments- Ou pas publié

RESULTATS DES VOTES :OUI : 45 NON : 3 ABSTENTIONS : 6

POINT 6L’ASSOCIATION ET LE STATUT DE PSY-CHOTHÉRAPEUTE.

Souhaitez-vous qu’au vu de la situation juridi-que actuelle, que l’appellation suivante soitincluse : Psychanalyste professionnel, pra-ticien en Analyse Psycho-organique ?

Yves BRAULTLes associations de psychanalystes seront peunombreuses d’après un membre du SNPPSY,donc aucun intérêt à se faire appeler psychana-lyste.

Mireille de LAPORTALIERE : Nous avonsfait cette proposition car nous sommes une an-cienne association, Paul a pris la précautiond’inscrire le mot « psychanalyse » dans tout cequ’il a pu écrire, c’était pour ne pas se dire quel’on a oublié.Ce thème pourrait être reporté.Le Snppsy propose le titre de « thérapeute rela-tionnel ».

Avis d’autres membres :Si nous modifions notre titre nous allons êtretaxés d’opportunistes et cela va nous desservir.

Psy en mouvement : au cours de leur universitéd’été, ils nous ont précisé que dans la loi il n’estprévu aucune sanction si les personnes utilisentle titre, mais il y a un risque que les psycholo-gues poursuivent eux mêmes les psychothéra-peutes non reconnus par la loi.

LE VOTE sur la question du titre : souhaitez–vous que cette question soit reportée à la pro-chaine AG

RESULTATS DES VOTES :OUI : 45 NON : 3 ABSTENTIONS : 6

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POINT 8PROJET DE MODIFICATION DES STATUTSSELON PAUL BOYESEN

Des adhérents nous ont rappelé que Paul n’est pasadhérent cette année. En effet, Paul n’est pas adhé-rent cette année, il est président d’honneur, c’est-à-dire que selon le RI, il a une voix consultative.Nous ne sommes pas obligés de proposer ces amen-dements de statuts aux votes de l’AG.

VOTE SUR LA PROPOSITION :« Souhaitez-vous que nous mettions au vote del’AG de janvier 2010 les propositions de modifica-tions de Paul ? »

RESULTATS DES VOTES :OUI : 5 NON : 27 ABSTENTIONS : 22POINT 9PRÉSENTATION DES CANDIDATS AU CAET AUX COMMISSIONS - VOTES

Se présentent les deux membres cooptés par le CAau cours de l’AGE du 13 juin 2009, Marie-Dominique TERROT et Matthieu LANGEARD.Sonia MANGASARYAN, Angelo SAVASTA Mu-riel GUILLARD et Rosane PADER se présentent

également, ces trois derniers précisant qu’ils rejoi-gnent le CA jusqu’à la prochaine AG de janvier2010.

VOTES

Tous les candidats sont élus.FIN DE L’AGE.

NOMS VOTEPOUR

VOTECONTRE

VOTEABSTEN-

TION

Marie-DominiqueTERROT

51

MatthieuLANGEARD

50 1

SoniaMANGASA-

RYAN

51

AngeloSAVASTA

47 1 3

MurielGUILLARD

51

RosanePADER

42 9

CA du 14 juin 2009 à Toulouse9 rue du Languedoc

de 11h à 12h30

Présentes : Catherine Hirsch-Gerdolle, MichèleGuicharnaud, Mireille Peaudecerf-Deryckère,France Radenac.Excusées : Marie-Dominique Terrot, Isabelle Ja-cob.

Ordre du Jour :1) Débriefing de l'AGE.2) Préparation de l'AGE bis, compte tenu du délaide 15 jours pour convoquer une nouvelle assem-blée.3) Choix d'une nouvelle date, en tenant compted'un déplacement CDRM déjà programmé à Parisen septembre 09, en tenant compte de la majorité

des adhérents plus disponibles sur Paris, plus dis-ponibles pendant l’année scolaire que pendant lesvacances. Date choisie : 26 septembre 2009.La trésorière se charge de réserver au plus tôt unesalle, pour pouvoir faire la convocation.La présidente consulte l'avocat pour respecter lescontraintes de cette situation : le principe de lacooptation par le CA de membres intérimaires.En effet nous avons un CA en sous nombre, etPaul Boyesen a adressé un mail et des messagessur répondeur à la présidente pour signaler deserreurs dans le texte de ses propositions de statuts.Que devons nous faire ? Nos limites ? Compte-tenu que les erreurs ne viennent pas de nous.4) Un dossier CDRM à boucler par Michèle Gui-charnaud et un autre par Christian Morin.

Fin du CA à 12h30.

COMPTE RENDU DU CA DU 14 JUIN 2009

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CR du CA pré-AGE du vendredi 25 septem-bre 2009 à Paris

convoqué de 19h30 à 21h30 ; salle impossible àtrouver

Option prise sur un RV au bar de l’hôtel Lutetia.

Présentes : Catherine Hirsch-Gerdolle, IsabelleJacob, Mireille Peaudecerf, Marie-DominiqueT e r r o t , F r a n c e R a d e n a c .Excusés : Michèle Guicharnaud, Matthieu Lan-geard (qui a été coopté dans l’intervalle entrel’AG de juin et l’AG de septembre.

Ordre du jour :1) Préparation de l’AG : Le mot de la présidente,lecture et transformations. Option : se tournervers le présent, le désir et l’action, ce qui rassem-ble les adhérents.2) Réception des derniers courriers reçus : mailde M.-CL.Bourgy le matin même ; "liasse d’AG"de Paul Boyesen reçue par mail vers 17h, le soirmême. Menaces de mise en demeure, de quoiexactement ? À voir avec l’avocat.

Fin du CA à 22h.

COMPTE RENDU DU CA PRÉ-AGE DU 25 SEPTEMBRE 2009

A Paris de 18h30 à 19h30

Présents : Angelo Savasta, Catherine Hirsch-Gerdolle, Mireille Peaudecerf, Sonia Mangasa-ryan, Muriel Guillard, Rosane Pader, Marie-Dominique Terrot, Isabelle Jacob, France Rade-nac.Excusés : Michèle Guicharnaud, Matthieu Lan-geard.Muriel et Rosane nous quittent au bout d’unedemi-heure pour un avion.

1) Première approche pour faire connaissanceentre membres du CA, accueil des nouveauxélus.

2) Première répartition des rôles au sein du CA.À affiner et confirmer dans les semaines qui

viennent.3) Les dates des CA de mi-novembre et mi-mars,mi-juin : 14 et 15 novembre 2009, 30 janvier2010, 13 et 14 mars 2010, 12 et 13 juin 2010.

4) Les orientations du CA pour les mois à venir :A) tenir compte des souhaits exprimés

dans la réunion de juin à Toulouse et l’AGE deseptembre 2009, à savoir : dans les objectifs del’association, priorité donnée à la vie profession-nelle, aussi bien dans les réunions entre nous,dans la représentation professionnelle de la mé-thode ; et créativité.

B) clore la médiation pour reprendre ledialogue autrement.

Fin du CA à 19h45.

COMPTE RENDU DU CA DU 26 SEPTEMBRE 2009 POST AGE

COMPTE RENDU DU CA DU 26 SEPTEMBRE 2009 POST AGE

Présents : Angelo Savasta, Catherine Hirsch-Gerdolle, Mireille Peaudecerf, Sonia Mangasa-ryan, Muriel Guillard, Rosane Pader, Marie-Dominique Terrot, Isabelle Jacob, France Rade-nac.Excusés : Michèle Guicharnaud, Matthieu Lan-geard.Muriel et Rosane nous quittent au bout d’unedemi-heure pour un avion.1) Première approche pour faire connaissanceentre membres du CA, accueil des nouveauxélus.2) Première répartition des rôles au sein du CA.À affiner et confirmer dans les semaines quiviennent.

3) Les dates des CA de mi-novembre et mi-mars,mi-juin : 14 et 15 novembre 2009, 30 janvier2010, 13 et 14 mars 2010, 12 et 13 juin 2010.4) Les orientations du CA pour les mois à venir :

A) tenir compte des souhaits exprimésdans la réunion de juin à Toulouse et l’AGE deseptembre 2009, à savoir : dans les objectifs del’association, priorité donnée à la vie profession-nelle, aussi bien dans les réunions entre nous,dans la représentation professionnelle de la mé-thode ; et créativité.

B) clore la médiation pour reprendre ledialogue autrement.

Fin du CA à 19h45.

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CR DU CA DE L’AAPO (REGIONS FRANCOPHONES) DES 14 & 15 NOVEMBRE 2009

Convocation du CA le samedi 14 novembre 2009de 10h à 18h30 et le dimanche 15 novembre de9h30 à 15h

Maison Nicolas Barré, 83 rue de Sèvres - 75006 -PARISOrdre du jour

1/ Présents, absents, vérification des pouvoirs etordre du jour.2/ Rencontre avec la CA2P (commission d’agré-ment par les pairs), ex CT, pendant1h30 entre10h30 et 12h le samedi.3/ Mise en demeure de Maître Freu, avocat de P.Boyesen : recherche d’un « traité de paix » équita-ble entre l’AAPO et P. Boyesen.4/ Première médiation (pourparlers entre avocats),fin et objectifs ; procédures pour une seconde mé-diation, contacts avec la CNV (association de com-munication non violente).5/ Adire. Réponse de Joëlle Boyesen à la proposi-tion du CA.6/ Le point sur notre situation, répartition des tâ-ches au CA, éthique, collégialité.7/ La CDRM.8/ Les bulletins d’adhésion et annuaires.9/ Précisions concernant l’utilisation abusive deslistings par certains adhérents, sécurité et confiden-tialité des e-mails et des documents en pièce jointe.10/ Projets statutaires, RI.11/ Vie du mouvement.

POINT 1PRESENTS, ABSENTS, POUVOIRS ET ORDREDU JOUR

- Présents : France Radenac, Mireille Peaudecerf(à partir de 14h le samedi), Catherine Hirsch-Gerdolle, Isabelle Jacob, Michèle Guicharnaud (ledimanche), Rosane Pader (le samedi), Angelo Sa-vasta, Sonia Mangasaryan, Matthieu Langeard (ledimanche).- Absentes excusées : Muriel Guillard, Marie-Dominique Terrot.- Modification de l’ordre des points de l’ordre dujour.

POINT 2RENCONTRE AVEC LA CA2P

Suite à notre invitation, nous avons accueilli troisex-membres de la CA2P (Catherine Maggioli, Syl-vie Pourtier et Michel Lamballe) dans le but declarifier et de partager sur les malentendus qui ontentraîné la démission de la commission(changement de nom de la commission sansconcertation, mails restés sans réponse de la part

du CA, article refusé). Les échanges ont mis enévidence la difficulté de la place des représentantsentre les commissions et le CA. Les personnesprésentes ont insisté sur le fait qu’elles aimeraientretrouver dans l’association toute entière la grandesolidarité qui régnait au sein de leur commission etque le rôle de la CA2P était de travailler sur le sensde la profession et le sens de la transmission. Ellessoutiennent le CA dans la démarche de différencia-tion d’avec l’EFAPO, P. Boyesen et l’EAPOA :« S’émanciper du scolaire » est une formulationqui a été retenue, cette formule évoquant le dispo-sitif mis en place par l’EAP, pour l’obtention duCEP. L’esprit artisanal de la titularisation issue dela clinique en APO garde toute sa valeur, même sil’EAP propose une démarche de reconnaissance àtravers l’obtention du CEP. Elles sont d’accordpour que les nouvelles orientations de l’associationdonnent la priorité aux professionnels.

POINT 3RELATIONS AAPO/EFAPO

Informer encore plus clairement les adhérents dece qui se passe entre l’EFAPO et l’AAPO, pourprotéger ce qui fait la spécificité et l’histoire del’AAPO. Aller vers l’indépendance pour pouvoirconstruire des liens clairs d’interdépendance, danscertains domaines. Changer les statuts en fonctionde cela.Vote en faveur d’une assurance spéciale pourFrance Radenac, la présidente de l’association, etpour le CA tout entier.Vote : OUI à l’unanimitéVote pour répondre par courrier à la mise en de-meure de Maître Freu.Vote : NON à l’unanimitéNB : après avis pris auprès de l’avocat qui a esti-mé qu’il valait mieux répondre, une lettre a étérédigée et envoyée le 30 novembre, avec AR, à MeFreu.

POINT 4MEDIATION ENTRE AVOCATS

Fin de la médiation entre les deux parties accom-pagnées des avocats (Maître Freu pour P. Boyesenet Maître Gorrias pour l’AAPO) qui n’a pu aboutir.Nous avons clos la médiation par l’intermédiairedes avocats qui n’a permis aucun rapprochementdes points de vue. Cependant elle a permis d’éta-blir qu’il manquait des pièces justificatives pourrégler certains problèmes : contestation par PaulBoyesen des modifications de statuts votées en2008, et adhésion à l’EAPOA.Nous attirons l’attention des adhérents sur le faitqu’une vraie médiation présente un espace tiers,

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qui permet d’élaborer sur les tenants et aboutis-sants du conflit.

POINT 5ADIRE

Lecture d’une lettre d’invitation rédigée par Franceà l’intention de la commission Adire. Il est à noterque certains nouveaux membres du CA qui ne sontpas d’accord avec le veto, car ne le trouvent pasjustifié, proposent d’envisager la levée du veto.Cette proposition n’est pas retenue pour l’instant.Une rencontre avec la commission Adire est envi-sagée.Vote pour envoyer une lettre d’invitation à Adirepour une rencontre avec eux.Vote : OUI à l’unanimité

POINT 6LE POINT SUR LA SITUATION DE L’ASSO-CIATION

Lecture par France d’un courrier d’informationaux adhérents.Relecture et ajouts dans le compte-rendu de l’AGEde septembre.

POINT 7LA CDRM

Michèle Guicharnaud, présidente de cette commis-sion, nous présente la clôture de deux dossiers ensuspens depuis le mois de mai.Il est envisagé une révision du RI concernant lesattributions du CA en cas de médiation (mise enconformité du § 7-1 du RI de l’AAPO et du § 4-2-2-5 du RI de la CDRM).Il a été mentionné une inadéquation dans le faitque ce soit au président de la CDRM (qui est jugeet partie) d’envoyer les courriers.

POINT 8BULLETINS D’ADHESION ET ANNUAIRE

Il n’est mentionné nulle part qu’une des attribu-tions de l’association est de constituer un annuaire.C’est un service que le CA rend aux membres.Le bulletin d’adhésion permet d’entrer à l’AG etd’être électeur.Sous réserve de fournir les documents demandés(RCP : assurance responsabilité civile profes-sionnelle pour une activité de psychothérapie/etUrssaf ou autre document officiel : impôt, Cipav),l’adhésion permet de figurer dans l’annuaire pa-pier, Internet et de la FF2P, qui engage la respon-sabilité de l’association puisqu’il s’agit d’annuai-res professionnels.

POINT 9UTILISATION DES LISTINGSL’usage des listings de l’association est réservéaux besoins administratifs de l’association, leslistings ne sont pas destinés à l’usage privé desmembres. Attention, si vous ne respectez pas ceprincipe, un destinataire peut vous le reprocheret déposer plainte pour usage abusif. Veillezsurtout à ne pas utiliser de listes avec des nomsde personnes qui ne sont plus adhérentes.

POINT 10PROJETS STATUTAIRES

Intervention d’Angelo Savasta qui confirme saproposition d‘un amendement statutaire dont letexte a été mis sur le site depuis quelques semai-nes. Sa proposition est dans les règles, aussi, ellesera soumise aux votes des adhérents sous cetteforme ou modifiée en accord avec lui, pour tenircompte des projets statutaires du CA.Vote du Ca au sujet de la mise en place d’uneAGE :- Pour débattre et voter sur la proposition d’Angelod‘un amendement statutaire.- Pour débattre et voter sur les propositions du CAvisant à recentrer l’objet de l’association sur sadimension indépendante et professionnelle, sur laliberté des partenariats, (à revoir articles 1 et 2 et 5notamment).Vote : OUI à l’unanimité

POINT 11VIE DU MOUVEMENT

Matthieu Langeard fait une proposition concernantun axe d’élaboration à envisager par le CA et lesadhérents : une réflexion sur les questions de mé-diation, transmission et mythe fondateur.De mettre en place, un atelier avec un intervenantexterne sur le thème du mythe fondateur de cemouvement et la transmission, sous forme d’unetable ronde.Cette proposition qui intéresse les membres du CAest à étudier davantage.L’AG de janvier aura lieu dans un nouvel es-pace : 27 rue de l’Annonciation dans le 16e ar-rondissement de Paris (entre métro Passy etMuette).En ce qui concerne la vie régionale en Ile-de-France, un atelier d’échange animé par MatthieuLangeard (voir mails) et un projet de week-end à laPentecôte en Bretagne sont proposés.

FIN DU CA

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10 décembre 2009 ,ré-actualisé le 30 décembre2009

1) En ce qui concerne la médiation par l’inter-médiaire des avocats entre l’AAPO et l’EFAPO,nous sommes malheureusement obligés de vousfaire savoir que celle-ci n’a pas pu aboutir à unrapprochement des points de vue.Le nouveau CA envisageait une négociation di-recte avec Paul Boyesen. Mais avant même depouvoir se réunir, le CA a reçu deux mises endemeure de Paul Boyesen, sur deux points parti-culièrement importants à nos yeux :

- « Suggérant » à l’AAPO d’adhérer sous huitjours à l’EAPOA, faute de quoi l’AAPO nepourra plus utiliser le logo ni l’appellation.- Mettant en cause la validité des statuts votésen 2008, modifications votées par 102 votantssur 104 (voir le CR de cette AG dans le JI n°83mars 2008)… avec une menace de« dissolution » de l’association en se basant surles statuts précédents…

Les autres points de ces mises en demeureconcernaient des litiges sur l’histoire de l’as-sociation et le veto sur l’article d’ADIRE.

L’AAPO n’a pu obtenir de Paul Boyesen, parl’intermédiaire de son avocat, les pièces suivan-tes qui étayeraient ses demandes :- les documents certifiant l’existence de laFondation Boyesen et ses statuts.- les documents certifiant l’existence des ac-cords passés entre cette fondation et l’AAPO.Que penser de cette absence de documents ?

De même, nous n’avons pas les statuts officiels(+ leurs annexes) en français de l’EAPOA quinous permettraient de savoir avec exactitude ce àquoi l’AAPO pourrait adhérer pour éviter desproblèmes, déjà rencontrés, d’inadéquation avecl’esprit de la loi sur les associations en France.Nous avons des documents en hollandais. Nousconstatons, en les regardant, que le texte de 2007est différent de celui de 2008 (d’ailleurs les nu-méros d’enregistrement de l’EAPOA sont égale-ment différents). Pour nous, il y a quelque chose

qui n’est pas cohérent… Nous souhaiterions sa-voir quelle AG a voté ces statuts différents entre2007 et 2008 ? Compte-tenu que l’EAPOA n’apas eu d’existence légale entre novembre 2007 etjuin 2008… S’agit-il des statuts présentés àl’EAP vers 2000 ? Nous demandons le compte-rendu de cette AG et le récépissé de l’enregistre-ment à Utrecht des modifications, quelques do-cuments sur la trésorerie, sur les cotisations et laliste des adhérents.

En tant que membres du CA, responsablesdevant la loi de l’administration de l’AAPO,nous ne pouvons pas proposer aux adhérentsquoi que ce soit qui ne soit pas transparent.Selon l’esprit des associations loi 1901, nousne sommes pas obligés d’adhérer, nous avonsle droit d’examiner si ce choix est juste ou pas.

Par notre réponse aux mises en demeure nousavons réitéré nos demandes de documentsconcernant les statuts et concernant EAPOA. Etnous avons précisé, concernant l’adhésion àl’EAPOA, qu’il n’ y avait pas d’objection deprincipe, seulement la nécessité de documentspour pouvoir proposer un vote aux adhérents.

2) Nous entendons parfois des adhérents s’in-quiéter au sujet de la revue ADIRE et au sujetdu logo.La revue « appartient » à l’association depuis sacréation, l’AAPO l’a faite sienne lors du change-ment d’appellation en 1993… et en a déposé letitre auprès de l’INPI (Institut National de la Pro-priété Industrielle).Pour ce qui est du logo et de l’appellation, PaulBoyesen les a fait enregistrer récemment, égale-ment. Selon notre conseil juridique, ces enregis-trements ne nous sont pas opposables légale-ment, dans la mesure où l’association les utilisedepuis longtemps, antérieurement à leur enregis-trement. La loi prévoit que nous puissions conti-nuer à les utiliser.

3) Nous vous informons que l’EFAPO a mis enplace un dispositif pour accompagner les étu-diants jusqu’au CEP, dispositif qui reconnaîtentre autres comme superviseurs des personnes

Communiqué du CA sur les faits en rapport avec nos conflits

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qui ne sont pas accréditées par l’AAPO, maisreconnues exclusivement par l’EFAPO. Elle créeégalement une formation en deux ans au rôle desuperviseur, idée en soi intéressante, mais quin’a fait l’objet d’aucune concertation avec l’as-sociation. Nous constatons, à la lecture des docu-ments, que l’association ne tient plus le rôle deréférent déontologique comme par le passé. Laseule validation présentée est le CEP, il n’y aaucune mention de la reconnaissance par lespairs.

Ce dispositif consacre la rupture entre l’EFA-PO et l’AAPO, puisqu’elle en est écartée.

4)Nous avons reçu ce texte, le 9 décembre, de lapart de Sophie Garnier. Il est transcrit intégrale-ment :décisions du CA de EAPOA du 28/11/09« Le CA prend note que AAPO n’a pas à ce jourréglé sa cotisation due, et décide en accord avecles statuts art 6.2 que AAPO n’est plus membrede EAPOA à compter de ce jour »

« Suite au précédent vote, le CA considère queAAPO ne peut plus se réclamer de représenterl’Analyse Psycho-Organique en France. EAPOAconsidère que la représentativité de l’AnalysePsycho-Organique en France est vacante. »Ces décisions ont été communiquées lors de no-tre Assemblée générale tenue le 29 novembre2009, à Paris. Sophie Garnier, secrétaire géné-rale.

Nos remarques :Effectivement, AAPO n’adhère pas actuellementà EAPOA. En ce qui concerne la représentativitéde l’APO en France, il appartient à chacun despraticiens d’APO de déterminer à quel type dereprésentativité il souhaite se référer :- une représentativité reconnue par Paul Boye-sen,- une représentativité reconnue par ses pairs pra-ticiens de la psychothérapie en APO.Il sera possible d’en débattre à la prochaine AG.

Le CA de l’AAPO

Actualités de l’AAPO Par le CA

Notre «élan de vie »

Après la tenue de l’AGE de septembre, grâce àune équipe du CA largement renouvelée, nousavons pu reprendre une vie normale, après quel-ques mois en sous effectif. Aujourd’hui, noussommes onze membres du CA, avec l’envied’impulser des projets qui nous réunissent et quipeuvent susciter notre créativité :

1) Pour les adhérents de Paris/Ile de France,une rencontre-bistrot sur le thème du« collectif »a été gérée, le 5 décembre, parMatthieu Langeard (tél. : 06 82 56 05 12 -mail : m.langeard@gmail.com)

2) Un projet de « forum » : deux à trois jours àla Pentecôte 2010, en Bretagne ?Un mini colloque du même type a déjà eu lieu àla Pentecôte 2008 à Gruissan. Il a été très réussimalgré une préparation minimum, et avec unegrande implication des membres présents (voir leJI 84). Notre vie associative est au service de ce

genre d’événements qui nous ressourcent et nouspermettent d’incarner nos richesses et notre goûtd’être ensemble.Contact : Marc Lemut (tél. : 06 84 08 15 54 -mail : marc.lemut@free.fr)L’organisation se mettra en place dès la récep-tion de trente inscriptions.3) Nous avons pu rencontrer trois membres del’ex-CT (CA2P) et nous pouvons nous réjouir dela qualité de nos échanges et des perspectives quis’en dégagent. Nous les remercions d’être venusparfois de loin ! Pour nous cela en valait vrai-ment la peine !Nous avons accueilli les vécus des membres dela CA2P, leur attachement à la vie associative ettout le positif d’une approche qui privilégie lesens de notre métier et de la pratique APO.Nous avons pu également entendre les blessuresissues de malentendus avec le CA, de ce qui aété vécu comme de la « non disponibilité » decelui-ci, de sa non prise en compte de certainescommunications, générant des mouvements deretraits et finalement les démissions.En tant que membre de l’ex-CA, France Radenac

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prend sa part de coresponsabilité et précise que de lapart du CA, il n’y a pas eu de volonté de méconnaî-tre la CA2P ; un manque de vigilance et certaine-ment du stress provoqué par l’accumulation d’autresproblématiques, a pu brouiller la compréhension dece qui se passait. Cela est dommage et nous tâche-rons de faire autrement à l’avenir.

Dans ce même esprit, le CA va lancer une invitationà l’équipe d’Adire et souhaite trouver une date per-mettant une rencontre avant l’AG de janvier pro-chain.

Nos préoccupations

Les précédents CA qui se sont succédés ont ouvertla voie à une différenciation et à une indépendancede l’association avec toutes les difficultés dont vousavez pu avoir connaissance par l’intermédiaire des JIou de mails. Nous complétons votre informationpar un communiqué ci-joint, dont la lecture estutile pour comprendre nos propositions de solu-tion.Sachez que nous sommes bouleversés du caractèrecirculaire des malentendus et des conflits vécus par

notre association ; nous sommes également soucieuxquand nous vous entendons dire (comme dans lesdeux dernières AG) que vous « n’y comprenezrien », « que vous en avez assez ! », que vous nepouvez pas lire tous les comptes-rendus, faute detemps, que vous passez par des « blancs »… Toutceci, que nous vivons aussi parfois, est classique-ment la marque des malaises issus du double lien. Etc’est pour mettre un terme à ce mal-être que nousproposons de clarifier nos bases, c’est-à-dire nosstatuts, pour nous retrouver dans des frontières clai-res et centrées sur un objectif bien défini pour avan-cer en sécurité et sortir de la confusion.

D’ici la prochaine AG, le CA va réfléchir à des pro-positions de modifications qui seront vérifiées parun juriste et anticiper sur la reprise des activités descommissions, dès que cela sera possible et en accordavec votre désir.

Recevez les collégiales pensées de l’équipe du CA.Le 11décembre 2009

L'année 2009 a été notammentponctuée par deux rencontres.

En juin notre pique-niquetraditionnel sur la passe-relle en teck qui relie lemusée d'Orsay au Jardindes Tuileries. Dans uncadre somptueux et illu-miné, nous avons bien bu,bien mangé et bien ri.C'est toujours un momentoù le membre de l'AAPOen moi se ressource, s'ou-vre à de nouvelles ren-contres, et apprécie le lien

collégial qui donne du sens à son adhésion. Bref,c'est toujours pour moi une excellente soirée de plai-sirs mélangés.

En décembre a eu lieu une rencontre au café Noma-d's (75001 Paris) sur le thème : Que voulons-nous

faire ensemble ? Question qui nous été posée parFrance Radenac, notre présidente, lors de la dernièreAG. J'ai eu envie de prendre un temps préliminairepour jouer avec les mots : collectif, collectivité etcommunauté. Les déplier, les définir à la lumière denos expériences personnelles - passées et présentes -au sein de l'AAPO, à la lumière de nos besoins etdésirs concernant l'AAPO.

Ce moment m'a permis de me poser, d'écouter et departager. Mon appartenance passe alors par moncorps et par ma disponibilité, ce qui est évidementtrès fructueux. Ce que l'on fait ensemble est alorspour moi une évidence : du lien. Nous étions biendans ce café. Bien ensembles. Ce que nous voulonsfaire de notre association ? Une vraie association deprofessionnels APO, autonome, libre, à la place so-ciale claire. Nous souhaitons pouvoir échanger de lacollégialité et de la recherche. Echanger sur nos pra-tiques. Qu'elle puisse défendre nos intérêts, nous pro-téger.Matthieu Langeard - Vie régionale Ile de France

Vie Régionale Ile de France Par Matthieu Langeard

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Certains d’entre vous viennent de recevoirun courrier signé de Claudie Mothe leur pro-posant d’adhérer à une nouvelle associationd’Analyse Psycho-Organique : la S.F.A.P.

Nous vous rappelons que l’AAPO existe de-puis 1984, d’abord intitulée Association dePsychologie Biodynamique, elle a pris en1993, le nom d’Association d’Analyse Psy-cho-Organique. Légalement enregistrée, elleassume ses fonctions, auprès de ses adhé-rents et auprès des organismes avec lesquelselle a des liens de partenariat.

L’Association d’Analyse Psycho-Organiquea une valeur historique, une valeur intrinsè-que, d’une part par la réunion collégiale desprofessionnels formés à l’Analyse Psycho-Organique, d’autre part par l’expression àtravers les années d’une réflexion et d’unepratique psychothérapeutique en APO. Cecil’habilite à maintenir ses droits pour la repré-sentation de la méthode sous l’angle cliniqueet pour la représentation de ses profession-nels adhérents.

L’AAPO vit de l’engagement de ses adhé-rents ainsi que de leur choix conscient dela séparation nécessaire, qui fait d’euxune association de professionnels dans uneméthode et non un groupe d’anciens élè-ves de telle ou telle école. Nous rappelonsqu’en janvier 2008, ils ont voté de nou-veaux statuts à la quasi-unanimité des vo-tants. (voir le site et le JI de mars 2008)

Chacun de nous se trouve devant la situationsuivante :Continuer d’adhérer pour ceux qui sont en-gagés dans l’évolution de notre orientation,ou venir adhérer, par choix de cette orienta-tion.L’AAPO a exprimé un souci constant et

conscient de la nécessité du tiers, le tiersétant précisément pour nous, les règles quinous encadrent, celles des associations loi1901 (prise en compte de l’intérêt collectif,et égalité entre les membres) elles nous per-mettent, si elles sont respectées, de vivre nosbuts communs. Le tiers pour nous, c’est aus-si la conscience du ternaire et sa mise en pra-tique pour sortir de l‘unaire, du binaire versune coexistence respectée ; c’est aussi pren-dre ses responsabilités et les assumer .L’AAPO a posé des actes pour sortir desliens de dépendance existant entre les diver-ses institutions de l’Analyse Psycho-Organique, en affirmant que nous sommestous des professionnels adultes capables denous réunir dans une association différenciéeet dans le respect de l’enseignement reçu.

De cette position, nous pouvons choisir li-brement de créer des liens dans le champ denotre profession. Par définition, l’AAPO estl’espace spécifique qui accueille les profes-sionnels cliniciens en Analyse Psycho-Organique, y compris les praticiens en coursde certification finale s’ils font ce choix de ladifférenciation, en conscience.

Nous sommes à une étape particulière del’histoire de l’Association d’Analyse Psy-cho- Organique : l’affiliation est impossi-ble…C’est ce qu’affirme la réalité actuelleentre EAPOA et AAPO.

Un regard analytique posé sur cette situa-tion permet de voir que lorsqu’un engen-drement ne comporte pas, dans sa concep-tion même, la possibilité de différenciationentre le géniteur et l’engendré, alors inévi-tablement l’affiliation (et/ou la filiation)est empêchée.

En d’autres termes, si l’AAPO n’a pas été

AAPO et SFAP Par France Radenac et Michèle Guicharnaud

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Je rappelle, pour ceux qui semblent l’avoiroublié, que l’AAPO a suspendu son adhé-sion à l’EAPOA depuis quatre ou cinq ans,mettant en avant des justifications :« l’EAPOA n’a pas d’existence réelle»,« elle n’est plus enregistrée », « elle n’estplus fiable » et plus encore.

Le 29 novembre 2009, l’AG de l’EAPOAayant pris en compte, que depuis plusieursannées, l’AAPO en tant que membre n’avaitpas réglé ses cotisations pourtant dues, a dé-cidé selon l’Article 6.2 des statuts que de cefait l’AAPO n’était plus membre à partir de

ce jour.

« Un regard analytique posé sur cette si-tuation permet de voir que lorsqu’un en-gendrement ne comporte pas, dans saconception même, la possibilité de diffé-renciation entre le géniteur et l’engendré,alors inévitablement l’affiliation (et/ou laf i l i a t i o n ) e s t e m p ê c h é e . »

Je considère que l’empêchement de l’affi-liation concerne les deux partis AAPO etEFAPO, où l’AAPO est impliquée elle-même.

conçue, par ses fondateurs, avec son poten-tiel d’indépendance, et si elle est empêchéede vivre son indépendance, cela fait que leprocessus d’affiliation à l’EAPOA est empê-ché.Comment résonnons-nous à cet obstacle ?Quels sont nos critères pour créer un nou-veau choix d’expérience à partir de là ?

Le CA de l’Association d’Analyse-Psycho-Organique vous envoie vos bulletins d’adhé-sion et vos convocations pour la prochaine

AG, et c’est ensemble, c’est-à-dire tous ceuxqui seront réunis le 30 janvier prochain, quenous pourrons débattre et prendre les déci-sions propres à l’AAPO dans sa légitimité etpropres à défendre les intérêts et les butsqu’elle poursuit selon la conception que nousen avons.

France Radenac et Michèle Guicharnaud,Présidente et Vice-Présidente de l’Associa-tion d’Analyse Psycho-Organique, enconcertation avec les membres du CA.

AAPO et SFAP droit de Réponse

Par Claudie Mothe

ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE ET EXTRAORDINAIRE

Le Samedi 30 janvier 2010

De 9h30 à 13h et de 14h30 à 17h30

27 rue de l’Annonciation, 75016 PARISMetro : Passy ou La Muette

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Longtemps, les conflits internes de l’APOm’ont agacé et j’avoue que je m’en désinté-ressais. Aujourd’hui, je suis chagriné par latournure, que prennent les événements.

A un moment où le pouvoir politique noustue en nous excluant du PSF (Paysage Soi-gnant Français), allons-nous continuer denous entretuer ?De quoi s’agit-il au fond ? Ne s’agit-il pasd’abord et surtout de pouvoir ? Ah ce sur-moi, dont nous avons l’illusion de nous af-franchir en pesant sur l’autre ! Dirais-je quetout homme de pouvoir vit aux dépens decelui qui le subit ?

Ne pensez pas que je vive dans la nostalgiede ma formation à l’EFAPO, où par naïvetéexcessive sans doute, je croyais que « tout lemonde, il était beau, tout le monde, il étaitgentil ». Ni naïf, ni désabusé, aujourd’hui, jesuis confiant…la confiance est sûrement ceque m’a apporté de plus précieux ma théra-pie personnelle. Je remercie sincèrement ce-lui qui m’y a accompagné !Comme charité, confiance bien ordonnée

commence par soi-même ! et d’où nousvient-elle ? Quelle est la source de laconfiance en nous-même ?

Elle vient, me semble-t-il, du pouvoir quenous avons sur nous-mêmes. J’ose affirmerque plus nous avons de pouvoir sur nous-mêmes, moins nous avons besoin d’en avoirsur autrui.Et acquérir du pouvoir sur soi, n’est-ce pasl’objectif de toute psychothérapie ?

Notre société voit se développer deux mou-vements : la quête de spiritualité et le travails u r s o i , c o mm un é m e n t a p p e l é« développement personnel ». Je forme levœu que la psychologie s’ouvre davantage àla spiritualité. Je ne crois pas que la thérapiesoit effective, réelle sans elle. Je crois que laguérison est d’ordre spirituel, tout comme lepouvoir sur soi-même.

Et si pouvoir sur l’autre il y a, qu’il soit luiaussi spirituel, fait d’autorité respectueuse etstimulante !

Quel Pouvoir Par Claude DESMECHT

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Nos collègues Christine Zürcher et Jacques Vaissac viennent de nous adresser au JIun exemplaire de leur nouveau livre que nous tenons à vous présenter car il fait se-

lon moi vraiment le lien entre le corps, le cœur, la psyché et l’énergétique.

« Souffrir ou Aimer » Par Stéphane Dauberville

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PETITES ANNONCES

Pour toutes les rubriques suivantes (proposition de groupe, proposition d’atelier, petites annonces, proposition d’assistanat), le contenu de chaque annonce n’engage que la responsabilité de son auteur.

CONDITIONS REQUISES POUR TOUTE PROPOSITION D’ASSISTANAT

Toute proposition d’assistanat faite dans le Journal Interne doit être accompagnée de l’envoi à la CDRM d’un exemplaire du contrat d’assistanat qui fera apparaître une définition de la place d’assistant(e) en précisant : Lorsqu’il recevra une demande de publication d’annonce proposant une place d’assistant(e), le JI se tournera vers la CDRM pour savoir si le contrat a été déposé. Sinon, la CDRM se chargera de relancer la personne voulant offrir une place d’assistant(e).

♦ Ce qui est demandé à l’assistant ; ♦ Ce qui lui est apporté en matière de formation ; ♦ Le cadre de son intervention et sa durée ;

♦ Les conditions de désistement ; ♦ Le code déontologique de référence ; ♦ Les conditions matérielles et financières de sa participation.

Sur Toulouse:samedi 5 septembre samedi 7 novembre samedi 9 janvier samedi 6 mars samedi 8 mai

Sur Bordeaux:samedi 3 octobre samedi 5 décembre samedi 6 février samedi 3 avril samedi 5 juin

Séances individuelles de supervision sur Pau, Bordeaux et Toulouse: Tarif horaire: 55€

Contact: Martine Papinot au 06 88 74 21 04

2009-2010 SUPERVISION AVEC MARTINE PAPINOT

"La supervision est un temps de réflexion et de compréhension autour du processus du client dans ce qu'en transmet le psychothérapeute. C'est aussi un temps de régulation et un temps de partage avec le superviseur et les collègues lorsque la pratique se fait en groupe. Le psychothérapeute apporte sa conception de la psychothérapie ainsi que sa pratique professionnelle tant par rapport aux outils utilisés qu'à la méthode. Il tente d'élaborer son contre transfert thérapeutique en lien avec le transfert de son client, et d'en analyser la problématique".

Martine Papinot

Groupes de supervision en continu, de 3 à 5 personnes sur Toulouse et Bordeaux : Coût: 75€ /séance

Le samedi de 14h à 18h

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Merci de bien vouloir envoyer vos textes (fichiers word), vos illustrations (fichiers jpg),

vos œuvres et vos annonces pour le prochain numéro (n°89) du Journal Interne de l’AAPO

avant le 15 mars 2010

à l’adresse mail suivante : journal.interne.aapo@free.fr Stéphane DAUBERVILLE - 41 avenue Rapp - 75007 PARIS

Tél. : 06 81 74 48 98

« Le vrai soi a sa source dans la vie des tis-sus corporels et la sensation des fonctionsdu corps, le cœur qui bat, la respiration[…], la somme totale de la vivacité sensori-motrice.»D. W. Winnicott

GROUPE ANIME par

Isabelle JACOB et

Monique MICHONNEAU

Lieu du groupe :5bis rue Antoine Chantin, 75014 Paris

Dates pour 2010 :9 janvier, 13 février, 20 mars, 10 avril, 8 mai,12 juin, 18 septembre, 9 octobre, 6 novembre.

Tarif :75€ par séance.

Inscriptions :Monique Michonneau 06.15.44.28.71Isabelle Jacob : 06.22.29.73.86

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ASSOCIATION D’ANALYSE PSYCHO-ORGANIQUE Régions francophones

Siège social chez la PrésidenteFrance Radenac :7, rue du Moulin - 49380 THOUARCETél. : 02 41 88 73 00Site Internet : www.aapo.asso.frCourriel : flauver@club-internet.fr

Président d’honneur : Paul Boyesen

CONSEIL D’ADMINISTRATION

Présidente France Radenac

Vices-Présidents Michelle Guicharnaud………………………..

Trésorière Mireille Peaudecerf-Deryckere

Secrétaire Isabelle Jacob

Membres Michelle GuicharnaudCatherine Hirsch-GerdolleMarie-Dominique TerrotMatthieu LangeardAngelo SavastaMuriel GuillardRosane PadaerSonia Mangasaryan

Représentante du CA au JI ………………………..

Représentante du CAà la CDRM ……………………...

Représentante du CA à Adire ……………………...

Responsable Vie régionale ……………………...

Annuaire/adhésions ……………………...

Site Internet France Radenac

Représentante de l'AAPOà la FF2P Mireille de Laportalière

Représentante. du CAà la CRC ……………………...

Présidente de la Commission de Déontologie,Réflexion et Médiation (CDRM)Michèle Guicharnaud6, rue Léon Jouhaux64000 PAU

Président de la Commission d’Agrémentpar les Pairs (CA2P)……………………...

ADIREDirectrice de Publication France RadenacRédactrice en chef Marie-Claude BourgyDistribution Jeanne-Do. Billiotte

Président de la Commission de RechercheClinique (CRC)Paolo Malvarosa21, rue de Louvain - 34000 MONTPELLIER

ADHÉSION À L’AAPO

Pour une première adhésion, envoyer au secrétariat lespièces demandées selon le type d’adhésion, votre chè-que ainsi qu’une lettre manuscrite d’engagement à res-pecter le code de déontologie de l’AAPO.

Cotisations70 € si la formation est terminée depuis moins de 3 ans

110 € Membres adhérents160 € Membres titulaires190 € Membres superviseurs

À envoyer àMarie-Dominique Terrot34, Place Sylvain Dumon82400 AUVILLAR

MERCI D’ENVOYER VOS TEXTESSAISIS SUR FICHIER WORD

POUR LE PROCHAIN JOURNAL INTERNE

AVANT LE 15 MARS 2010 À :

journal.interne.aapo@free.fr

Stéphane DAUBERVILLE41 avenue Rapp, 75007 PARIS

Tél. : 06 81 74 48 98

JOURNAL INTERNE

Directrice de Publication : France Radenac

Comité de Rédaction :Stéphane Dauberville (coordination interne au JI)

Tirage : COPIDOC - TOULOUSE - N°ISSN 1274-3631