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Une soirée avec le recueil social #18 La lettre d’information du Samusocial de Paris le briefing SEPTEMBRE 2017 #18 DOSSIER Le Recueil social réalise environ 3 500 accompagnements chaque mois vers les CHU, auxquels viennent s’ajouter entre 320 et 350 personnes prises en charge quotidiennement à Jaurès et Chevaleret pour un accompagnement à la Boulangerie dans le cadre de la mission Atlas. Les maraudes se divisent en cinq services : l’équipe de jour de 4h45 à 12h45, le minibus de 6h30 à 14h30, le service mixte de 10h20 à 18h20, la petite nuit de 16h à minuit et la grande nuit de 22h15 à 6h15. DÉCEMBRE 2016 • #18 Reportage 3500 personnes prises en charge chaque mois Tous les jours de l’année, 24h sur 24, une soixantaine d’agents sillonnent les couloirs et les quais des métros pour aller à la rencontre de ses occupants. « Nous n’effectuons jamais exactement le même trajet pour donner une chance à de nouvelles personnes de monter dans le bus », explique Vincent. Lorsque nécessaire, les équipes effectuent un si- gnalement auprès du Service d’Appui Santé Mentale de Ste Anne, qui depuis 2016 dans le cadre d’une nouvelle procédure permet de déléguer un psychiatre sur place et mettre éventuellement en œuvre une hospitalisation sous contrainte. L’équipe de la « petite nuit » accompagne tous les soirs une soixantaine de personnes au CHAPSA, où des places lui sont réservées. Elle dispose également de quelques places à l’Arche d’avenir (La Mie de pain). À ces missions de maraudes et transport s’ajoute de- puis 2014 un accueil de jour à Charenton (cf. Briefing juin 2016). 17h00 : Greg, le chauffeur, vient de garer le bus du Recueil Gare de l’Est. Ses deux coéquipiers, Greg et Vincent, descendent ma- rauder dans la station. Vincent est membre permanent du Recueil, mis à disposition par le service sécurité. Avant d’entrer à la RATP, il a été pompier, puis policier à la police des chemins de fer. Greg, lui, a rejoint le Recueil il y a quelques mois. Il espère qu’il sera confirmé à ce poste qui lui convient mieux. « À la sécurité, on est la plupart du temps dans la confronta- tion, je me sens plus à l’aise dans le dialogue », confie-t-il. Quant au chauffeur, c’est un ancien. Il a rejoint le recueil dès les premières années. Machiniste, le métier lui plaisait peu, « trop ré- pétitif, et sans réel contact avec le public ; on se sent beaucoup plus utile ici qu’en condui- sant les gens à leur boulot ». Arrivés en station, Greg et Vincent arpentent les quais, saluent les habitués qu’ils croisent régulièrement et qui se lèvent à leur arrivée pour rejoindre le bus. Alors qu’ils discutent sur le quai avec un de leurs « clients », comme ils les nomment, une personne leur demande sur un ton agressif de s’éloigner. « Un toxicomane, indique Vincent. Pas la peine de discuter, on risquerait de l’énerver et de perturber la tran- quillité du quai ». « Bonjour, c’est la RATP. Si vous souhaitez quelque chose à manger, ou à boire, et être amené dans un centre d’héber- gement, il y a un bus à l’extérieur », indique Vincent à un homme au visage éteint, avachi sur un banc. Celui-ci lève un œil et hoche la tête en guise de refus. Le métro arrive. Vincent et Greg entrent dans une rame, direction République. Là, ils croisent le chemin de Patrick, un habitué avec lequel la conversation s’engage sur un ton convivial. « Où t’étais passé ? », demande Vincent. Patrick rigole et reste évasif. « Il est où le bus ? en haut ? ». « Non à Bastille », répond Greg. Pour des raisons de sécurité, le bus du Recueil ne stationne plus à République. « Mais comment on y va ? », demande Patrick. « On va prendre le métro ensemble ». « Ah ouais, ok ». L’idée semble amuser Patrick qui au fil ••• Créé en 1994, le Recueil social compte 67 personnes, dont une partie mise à dispo- sition pour six mois par les services (agents de sécurité ou agents d’exploitation). Nom- breux sont les agents volontaires, indique Houria SAMCHAOUI, coordinatrice relations interne/externe. Le processus de sélection comprend un entretien psychologique et un passage devant une commission. Tout nouveau recruté reçoit une formation de 15 jours. Il rejoint ensuite une équipe dans laquelle les anciens permettront une transmission de leur connaissance du terrain.

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Page 1: le briefingde Paris #18 - ongconseil.com · mission Atlas. Les maraudes se divisent en cinq services : l’équipe de jour de 4h45 à 12h45, Les maraudes se divisent en cinq services

Une soirée avec le recueil social

#18La lettre d’information du Samusocialde Parisle briefingSEPTEMBRE 2017 • #18

DOSSIER

● Le Recueil social réalise environ 3 500 accompagnements chaque mois vers les CHU, auxquels viennent s’ajouter entre 320 et 350 personnes prises en charge quotidiennement à Jaurès et Chevaleret pour un accompagnement à la Boulangerie dans le cadre de la mission Atlas. Les maraudes se divisent en cinq services : l’équipe de jour de 4h45 à 12h45, le minibus de 6h30 à 14h30, le service mixte de 10h20 à 18h20, la petite nuit de 16h à minuit et la grande nuit de 22h15 à 6h15.

DÉCEMBRE 2016 • #18

☛ Reportage

3500 personnes prises en charge chaque mois Tous les jours de l’année, 24h sur 24, une soixantaine d’agents sillonnent les couloirs et les quais des métros pour aller à la rencontre de ses occupants. « Nous n’e� ectuons jamais exactement le même trajet pour donner une chance à de nouvelles personnes de monter dans le bus », explique Vincent. Lorsque nécessaire, les équipes e� ectuent un si-gnalement auprès du Service d’Appui Santé Mentale de Ste Anne, qui depuis 2016 dans le cadre d’une nouvelle procédure permet de déléguer un psychiatre sur place et mettre éventuellement en œuvre une hospitalisation sous contrainte.L’équipe de la « petite nuit » accompagne tous les soirs une soixantaine de personnes au CHAPSA, où des places lui sont réservées. Elle dispose également de quelques places à l’Arche d’avenir (La Mie de pain). À ces missions de maraudes et transport s’ajoute de-puis 2014 un accueil de jour à Charenton (cf. Briefing juin 2016).

17h00 : Greg, le chauffeur, vient de garer le bus du Recueil Gare de l’Est. Ses deux coéquipiers, Greg et Vincent, descendent ma-rauder dans la station. Vincent est membre permanent du Recueil, mis à disposition par le service sécurité. Avant d’entrer à la RATP, il a été pompier, puis policier à la police des chemins de fer. Greg, lui, a rejoint le Recueil il y a quelques mois. Il espère qu’il sera confirmé à ce poste qui lui convient mieux. « À la sécurité, on est la plupart du temps dans la confronta-tion, je me sens plus à l’aise dans le dialogue », confie-t-il. Quant au chauffeur, c’est un ancien. Il a rejoint le recueil dès les premières années. Machiniste, le métier lui plaisait peu, « trop ré-pétitif, et sans réel contact avec le public ; on se sent beaucoup plus utile ici qu’en condui-sant les gens à leur boulot ». Arrivés en station, Greg et Vincent arpentent les quais, saluent les habitués qu’ils croisent régulièrement et qui se lèvent à leur arrivée pour rejoindre le bus. Alors qu’ils discutent sur le quai avec un de leurs « clients », comme ils

les nomment, une personne leur demande sur un ton agressif de s’éloigner. « Un toxicomane, indique Vincent. Pas la peine de discuter, on risquerait de l’énerver et de perturber la tran-quillité du quai ». « Bonjour, c’est la RATP. Si vous souhaitez quelque chose à manger, ou à boire, et être amené dans un centre d’héber-gement, il y a un bus à l’extérieur », indique Vincent à un homme au visage éteint, avachi sur un banc. Celui-ci lève un œil et hoche la tête en guise de refus. Le métro arrive. Vincent et Greg entrent dans une rame, direction République. Là, ils croisent le chemin de Patrick, un habitué avec lequel la conversation s’engage sur un ton convivial. « Où t’étais passé ? », demande Vincent. Patrick rigole et reste évasif. « Il est où le bus ? en haut ? ». « Non à Bastille », répond Greg. Pour des raisons de sécurité, le bus du Recueil ne stationne plus à République. « Mais comment on y va ? », demande Patrick. « On va prendre le métro ensemble ». « Ah ouais, ok ». L’idée semble amuser Patrick qui au fil •••

● Créé en 1994, le Recueil social compte 67 personnes, dont une partie mise à dispo-sition pour six mois par les services (agents de sécurité ou agents d’exploitation). Nom-breux sont les agents volontaires, indique Houria SAMCHAOUI, coordinatrice relations interne/externe. Le processus de sélection comprend un entretien psychologique et un passage devant une commission. Tout nouveau recruté reçoit une formation de 15 jours. Il rejoint ensuite une équipe dans laquelle les anciens permettront une transmission de leur connaissance du terrain.

Page 2: le briefingde Paris #18 - ongconseil.com · mission Atlas. Les maraudes se divisent en cinq services : l’équipe de jour de 4h45 à 12h45, Les maraudes se divisent en cinq services

☛ InterviewPatrick Henry Médecin, fondateur du Recueil social

En quelques mots, pou-vez-vous revenir sur les

origines du Recueil socialPatrick Henry : Il faut se repla-cer dans le contexte des années 80. Le code pénal réprime alors le vagabondage et la mendicité, charge à la police de réprimer, en surface comme dans le métro. Les personnes sans-abri ont alors en permanence affaire aux gardiens de la paix, qui les interpellent et les conduisent à Nanterre. À l’époque, le personnel de Nanterre est aussi composé de gardiens de la paix. Et dans le métro, intervient une BAPSA RATP, brigade composée de personnels RATP et de gardiens de la paix.

Les mauvais traitements physiques et psychologiques ne sont pas rares. À la consultation médicale que j’ouvre alors à Nanterre, une bonne partie de mon temps est consacrée à faire des rapports. Jusqu’à ce qu’en 1992, je parte créer le Recueil à la RATP. Pour la petite histoire, c’est Xavier Emmanuelli qui m’a remplacé à Nanterre. Pendant que je créais le Recueil social, lui créait le Samusocial de Paris. Mon objectif en arrivant à la RATP était de réformer le système d’inter-vention de l’intérieur. Une vraie ré-volution, qui passait par le respect des personnes, le rétablissement du dialogue et de la confiance. Autant dire qu’un changement culturel était nécessaire. Pour trouver des agents sereins et motivés parmi les équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur responsale hiérarchique puis par moi. Pour faire ce métier, il faut être solide psychologiquement, et tolé-rant. C’est une qualité essentielle. Des méthodes d’approche radicale-ment différentes ont été instituées. Et pour symboliser ce changement, les tenues ont été changées, passant

du bleu qui rappelait la police au beige.

Pourquoi le Recueil social est-il toujours resté affecté à la Direction de la Sécurité ? P.H. : C’est une bonne question. Il y a le poids de l’héritage, mais aus-si l’ambivalence qui perdure dans tous les esprits entre des objectifs humanitaires et des objectifs de sé-curité, de propreté, et de tranquilli-té. Dans les faits, les personnes sans-abri sont très rarement à l’origine de problèmes de sécurité. Ils en se-raient plutôt les victimes. « 29 % des SDF ont été victimes d’agression ou d’actes de violence alors que pour la même période ce n’est le cas que pour 3 % de la population générale vivant en logement ordinaire*… ». Mais leur comportement, leur simple vue même parfois dérange l’espace pu-blic. Il ne faut jamais oublier qu’il n’y a pas de conduite antisociale, les comportements obéissent à des stratégies de survie. Très nombreux sont ceux parmi nos « clients » qui tentent de survivre. Quand une per-sonne refuse de suivre une équipe, il peut s’agir pour elle d’une vraie question de survie. Ce n’est pas un hasard si la loi sur la légitime dé-fense autorise certains comporte-ments dès lors qu’ils rentrent dans ce cadre.

Sont-ils plus nombreux dans le métro ou la société est-elle deve-nue moins tolérante ?P.H. : Ce qui est sûr, c’est qu’il y en a beaucoup moins qu’il y a 20 ans ! Lorsque je suis arrivé au Recueil un recensement par les agents a dénombré 1 123 personnes en pé-riode hivernale. 8 ans plus tard, elles étaient 400. Et les plus ré-cents comptages en dénombrent environ 300. La différence, c’est que ceux qui restent sont ancrés, et donc très présents. Pour parve-nir à les sortir du métro, il faut du temps, beaucoup de temps, il faut discuter, pas 5 mn mais trois quarts d’heure, chaque jour, pour gagner leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-tives que l’on parviendra à les faire sortir et, peut-être, ne plus faire du métro un lieu d’errance.

N'est-ce pas un des objectifs du

tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que 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leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

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d’heure, chaque jour, pour gagner leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

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environ 300. La différence, c’est que ceux qui restent sont ancrés, et donc très présents. Pour parve-nir à les sortir du métro, il faut du temps, beaucoup de temps, il faut discuter, pas 5 mn mais trois quarts d’heure, chaque jour, pour gagner leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

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elles étaient 400. Et les plus ré-cents comptages en dénombrent environ 300. La différence, c’est que ceux qui restent sont ancrés, et donc très présents. Pour parve-nir à les sortir du métro, il faut du temps, beaucoup de temps, il faut discuter, pas 5 mn mais trois quarts d’heure, chaque jour, pour gagner leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

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dénombré 1 123 personnes en pé-riode hivernale. 8 ans plus tard, elles étaient 400. Et les plus ré-cents comptages en dénombrent environ 300. La différence, c’est que ceux qui restent sont ancrés, et donc très présents. Pour parve-nir à les sortir du métro, il faut du temps, beaucoup de temps, il faut discuter, pas 5 mn mais trois quarts d’heure, chaque jour, pour gagner leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

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Lorsque je suis arrivé au Recueil un recensement par les agents a dénombré 1 123 personnes en pé-riode hivernale. 8 ans plus tard, elles étaient 400. Et les plus ré-cents comptages en dénombrent environ 300. La différence, c’est que ceux qui restent sont ancrés, et donc très présents. Pour parve-nir à les sortir du métro, il faut du temps, beaucoup de temps, il faut discuter, pas 5 mn mais trois quarts d’heure, chaque jour, pour gagner leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

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Lorsque je suis arrivé au Recueil un recensement par les agents a dénombré 1 123 personnes en pé-riode hivernale. 8 ans plus tard, elles étaient 400. Et les plus ré-cents comptages en dénombrent environ 300. La différence, c’est que ceux qui restent sont ancrés, et donc très présents. Pour parve-nir à les sortir du métro, il faut du temps, beaucoup de temps, il faut discuter, pas 5 mn mais trois quarts d’heure, chaque jour, pour gagner leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-

Lorsque je suis arrivé au Recueil un recensement par les agents a dénombré 1 123 personnes en pé-riode hivernale. 8 ans plus tard, elles étaient 400. Et les plus ré-cents comptages en dénombrent environ 300. La différence, c’est que ceux qui restent sont ancrés, et donc très présents. Pour parve-nir à les sortir du métro, il faut du temps, beaucoup de temps, il faut discuter, pas 5 mn mais trois quarts d’heure, chaque jour, pour gagner leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-

a beaucoup moins qu’il y a 20 ans ! Lorsque je suis arrivé au Recueil un recensement par les agents a dénombré 1 123 personnes en pé-riode hivernale. 8 ans plus tard, elles étaient 400. Et les plus ré-cents comptages en dénombrent environ 300. La différence, c’est que ceux qui restent sont ancrés, et donc très présents. Pour parve-nir à les sortir du métro, il faut du temps, beaucoup de temps, il faut discuter, pas 5 mn mais trois quarts d’heure, chaque jour, pour gagner leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

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a beaucoup moins qu’il y a 20 ans !

adaptées à leurs capacités cogni-

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a beaucoup moins qu’il y a 20 ans ! Lorsque je suis arrivé au Recueil un recensement par les agents a dénombré 1 123 personnes en pé-riode hivernale. 8 ans plus tard, elles étaient 400. Et les plus ré-cents comptages en dénombrent environ 300. La différence, c’est que ceux qui restent sont ancrés, et donc très présents. Pour parve-nir à les sortir du métro, il faut du temps, beaucoup de temps, il faut discuter, pas 5 mn mais trois quarts d’heure, chaque jour, pour gagner leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-

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a beaucoup moins qu’il y a 20 ans ! Lorsque je suis arrivé au Recueil un recensement par les agents a dénombré 1 123 personnes en pé-riode hivernale. 8 ans plus tard, elles étaient 400. Et les plus ré-cents comptages en dénombrent environ 300. La différence, c’est que ceux qui restent sont ancrés, et donc très présents. Pour parve-nir à les sortir du métro, il faut du temps, beaucoup de temps, il faut discuter, pas 5 mn mais trois quarts d’heure, chaque jour, pour gagner leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

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a beaucoup moins qu’il y a 20 ans !

adaptées à leurs capacités cogni-

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a beaucoup moins qu’il y a 20 ans !

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a beaucoup moins qu’il y a 20 ans !

adaptées à leurs capacités cogni-

a beaucoup moins qu’il y a 20 ans ! Lorsque je suis arrivé au Recueil un recensement par les agents a dénombré 1 123 personnes en pé-riode hivernale. 8 ans plus tard, elles étaient 400. Et les plus ré-cents comptages en dénombrent environ 300. La différence, c’est que ceux qui restent sont ancrés, et donc très présents. Pour parve-nir à les sortir du métro, il faut du temps, beaucoup de temps, il faut discuter, pas 5 mn mais trois quarts d’heure, chaque jour, pour gagner leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

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Mon objectif en arrivant à la RATP

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cents comptages en dénombrent environ 300. La différence, c’est que ceux qui restent sont ancrés, et donc très présents. Pour parve-nir à les sortir du métro, il faut du temps, beaucoup de temps, il faut discuter, pas 5 mn mais trois quarts d’heure, chaque jour, pour gagner leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

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Mon objectif en arrivant à la RATP était de réformer le système d’inter-vention de l’intérieur. Une vraie ré-volution, qui passait par le respect

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était de réformer le système d’inter-vention de l’intérieur. Une vraie ré-volution, qui passait par le respect des personnes, le rétablissement du dialogue et de la confiance. Autant dire qu’un changement culturel

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et donc très présents. Pour parve-nir à les sortir du métro, il faut du temps, beaucoup de temps, il faut discuter, pas 5 mn mais trois quarts d’heure, chaque jour, pour gagner leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-

était de réformer le système d’inter-vention de l’intérieur. Une vraie ré-volution, qui passait par le respect des personnes, le rétablissement du dialogue et de la confiance. Autant dire qu’un changement culturel était nécessaire. Pour trouver des

nir à les sortir du métro, il faut du temps, beaucoup de temps, il faut discuter, pas 5 mn mais trois quarts d’heure, chaque jour, pour gagner leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

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adaptées à leurs capacités cogni-

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adaptées à leurs capacités cogni-

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adaptées à leurs capacités cogni-

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volution, qui passait par le respect

adaptées à leurs capacités cogni-

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volution, qui passait par le respect

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leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-

des personnes, le rétablissement du dialogue et de la confiance. Autant dire qu’un changement culturel était nécessaire. Pour trouver des agents sereins et motivés parmi les équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur

leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

des personnes, le rétablissement du

adaptées à leurs capacités cogni-

des personnes, le rétablissement du dialogue et de la confiance. Autant dire qu’un changement culturel était nécessaire. Pour trouver des agents sereins et motivés parmi les équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur

leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

des personnes, le rétablissement du dialogue et de la confiance. Autant dire qu’un changement culturel était nécessaire. Pour trouver des agents sereins et motivés parmi les équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur

leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

des personnes, le rétablissement du dialogue et de la confiance. Autant dire qu’un changement culturel était nécessaire. Pour trouver des agents sereins et motivés parmi les équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur

leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

des personnes, le rétablissement du dialogue et de la confiance. Autant dire qu’un changement culturel était nécessaire. Pour trouver des agents sereins et motivés parmi les équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur

leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-

des personnes, le rétablissement du dialogue et de la confiance. Autant dire qu’un changement culturel était nécessaire. Pour trouver des agents sereins et motivés parmi les équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur

leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme,

des personnes, le rétablissement du dialogue et de la confiance. Autant dire qu’un changement culturel était nécessaire. Pour trouver des agents sereins et motivés parmi les équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur

leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

des personnes, le rétablissement du des personnes, le rétablissement du des personnes, le rétablissement du des personnes, le rétablissement du dialogue et de la confiance. Autant dire qu’un changement culturel était nécessaire. Pour trouver des agents sereins et motivés parmi les équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur

leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme,

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leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

des personnes, le rétablissement du

adaptées à leurs capacités cogni-

dialogue et de la confiance. Autant dire qu’un changement culturel était nécessaire. Pour trouver des agents sereins et motivés parmi les équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur

sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

dialogue et de la confiance. Autant dire qu’un changement culturel était nécessaire. Pour trouver des agents sereins et motivés parmi les équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur

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dialogue et de la confiance. Autant dire qu’un changement culturel était nécessaire. Pour trouver des agents sereins et motivés parmi les équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur

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dialogue et de la confiance. Autant dire qu’un changement culturel était nécessaire. Pour trouver des agents sereins et motivés parmi les équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur

sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

dialogue et de la confiance. Autant

adaptées à leurs capacités cogni-

dialogue et de la confiance. Autant dire qu’un changement culturel était nécessaire. Pour trouver des agents sereins et motivés parmi les équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont

sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

dialogue et de la confiance. Autant dire qu’un changement culturel était nécessaire. Pour trouver des agents sereins et motivés parmi les équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont

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sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

dialogue et de la confiance. Autant

adaptées à leurs capacités cogni-

dire qu’un changement culturel était nécessaire. Pour trouver des agents sereins et motivés parmi les équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont

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dire qu’un changement culturel

adaptées à leurs capacités cogni-

dire qu’un changement culturel était nécessaire. Pour trouver des agents sereins et motivés parmi les équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont

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sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

dire qu’un changement culturel

adaptées à leurs capacités cogni-

était nécessaire. Pour trouver des agents sereins et motivés parmi les équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur

ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

était nécessaire. Pour trouver des agents sereins et motivés parmi les équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur

ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

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ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

était nécessaire. Pour trouver des agents sereins et motivés parmi les équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur

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ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

était nécessaire. Pour trouver des

adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-

était nécessaire. Pour trouver des agents sereins et motivés parmi les équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur

ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

était nécessaire. Pour trouver des agents sereins et motivés parmi les équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur

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était nécessaire. Pour trouver des

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ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

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ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

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ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme,

agents sereins et motivés parmi les équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur

ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-

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ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

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ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

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ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-

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ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-

agents sereins et motivés parmi les équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur

ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

agents sereins et motivés parmi les agents sereins et motivés parmi les équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur

ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

agents sereins et motivés parmi les équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur

ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

agents sereins et motivés parmi les

adaptées à leurs capacités cogni-

équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur responsale hiérarchique puis par ce qu’on leur propose. Ce n’est que

par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur responsale hiérarchique puis par ce qu’on leur propose. Ce n’est que

par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur responsale hiérarchique puis par ce qu’on leur propose. Ce n’est que

par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur responsale hiérarchique puis par ce qu’on leur propose. Ce n’est que

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par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

équipes, un système de recrute-équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur responsale hiérarchique puis par ce qu’on leur propose. Ce n’est que

par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

équipes, un système de recrute-

adaptées à leurs capacités cogni-

équipes, un système de recrute-

adaptées à leurs capacités cogni-

équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur responsale hiérarchique puis par ce qu’on leur propose. Ce n’est que

par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur responsale hiérarchique puis par ce qu’on leur propose. Ce n’est que

par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

équipes, un système de recrute-

adaptées à leurs capacités cogni-

équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur responsale hiérarchique puis par

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équipes, un système de recrute-équipes, un système de recrute-ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur responsale hiérarchique puis par

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par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

équipes, un système de recrute-

adaptées à leurs capacités cogni-

ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur responsale hiérarchique puis par

par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur responsale hiérarchique puis par

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ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur responsale hiérarchique puis par

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ment a été mis en place, permettant

adaptées à leurs capacités cogni-

ment a été mis en place, permettant de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur responsale hiérarchique puis par

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ment a été mis en place, permettant

adaptées à leurs capacités cogni-

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de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur responsale hiérarchique puis par

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de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur responsale hiérarchique puis par

par des actions sur le long terme,

de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur responsale hiérarchique puis par

par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur responsale hiérarchique puis par

par des actions sur le long terme,

de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur responsale hiérarchique puis par

par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur responsale hiérarchique puis par moi. Pour faire ce métier, il faut être par des actions sur le long terme,

adaptées à leurs capacités cogni-

de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur responsale hiérarchique puis par moi. Pour faire ce métier, il faut être par des actions sur le long terme,

adaptées à leurs capacités cogni-

de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur responsale hiérarchique puis par moi. Pour faire ce métier, il faut être par des actions sur le long terme,

adaptées à leurs capacités cogni-

de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur responsale hiérarchique puis par moi. Pour faire ce métier, il faut être par des actions sur le long terme,

adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-

de sélectionner les candidats en interne. Il est toujours en vigueur aujourd’hui. Les volontaires sont reçus par un psychologue, par leur responsale hiérarchique puis par moi. Pour faire ce métier, il faut être par des actions sur le long terme,

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centre d’accueil de Charenton ? P.H. : Tout à fait. Ce centre a été créé pour permettre aux ••• ••• équipes d’amener les personnes les plus problématiques, en partie pour pallier le rôle que tenaient auparavant les ESI. À leur créa-tion, ceux-ci constituaient un fan-tastique dispositif pour éviter que les personnes ne squattent dans le métro. Le Recueil y amenait ré-gulièrement des personnes, ce qui n’est plus autant le cas aujourd’hui. Petit à petit, les ESI se sont éloignés de ces missions. On a voulu imposer des cadres, avec par exemple des heures pour l’accueil, ce qui satis-fait à l’organisation interne mais ne correspond pas du tout aux besoins du terrain.Il y a aussi un effet mécanique propre à tout dispositif pensé pour les plus précaires : à plus ou moins longue échéance ceux-ci sont préemptés par la catégorie du des-sus. Pour qu’un dispositif reste dé-dié aux plus exclus, il faut une vraie volonté de le conserver en l’état, quitte à refuser que ceux pour qui il n’a pas été créé n’en bénéficient. Malheureusement, ceci va à l’en-contre de la politique du chiffre à la-quelle on est de plus en plus soumis. Les grands exclus sont de mauvais clients pour les statistiques. Trois grands exclus dans un lieu peuvent occuper tout l’espace, et toute une équipe. Si l’on veut vraiment s’oc-cuper de ces personnes, il faut l’ac-cepter, cela a un coût. En attendant, non seulement ils ne sont plus sur la place publique, et en plus on s’oc-cupe de personnes qui ont un réel besoin d’encadrement, d’accom-

pagnement. Le Centre d’accueil de Charenton, si l’on n’y prend pas garde, risque de prendre le même chemin que les ESI. Peu à peu, on y voit apparaître des personnes qui viennent profiter de certains services qu’elles pourraient trou-ver ailleurs. Ce sont là des défauts classiques pour des dispositifs qui fonctionnent depuis longtemps, qui impliquent de repenser régu-lièrement des axes de progrès.

Selon vous, quelles sont les évolutions nécessaires pour le Recueil ? P.H. : Ce qui importe avant toute chose, c’est que celui qui me succé-dera le jour où je déciderai de me reposer de 35 ans de grande exclu-sion connaisse véritablement le pu-blic pour qui le Recueil a été conçu. C’est essentiel pour les équipes, et crucial pour que le Recueil reste focalisé sur le public qu’il cible. Ce n’est qu’en travaillant avec empa-thie et avec une bonne connais-sance des publics que peuvent surgir les solutions. Le Recueil doit se concentrer sur les personnes les plus problématiques, et pour ce faire travailler en partenariat avec d’autres acteurs. Il y a la question des accueils permanents (où orien-ter les personnes), la question des personnes ayant des troubles psy, pour lesquelles nous avons entamé une collaboration avec Ste Anne mais qui reste à développer, la question du repérage des nouvelles personnes qui s’installent. Les gens arrivent en pensant le métro comme un refuge. Or rapidement, le lieu les engloutit.

En chiffres

3le briefing

••• du trajet ne rate pas une occasion de lancer une blague. « Je pourrais garder ma bière dans le bus ? », demande-t-il une fois dans la rame. « Non, tu le sais bien. Il faut que tu la finisses avant. Et parle pas si fort, y a des gens qui rentrent du boulot », répond Vincent. Dans les faits, Patrick finira sa bière à l’intérieur du bus. « Il y a une tolérance », reconnaît Vincent. Tant que le bus n’est pas plein, autant leur permettre de finir leur canette tranquillement. Mais ils ne doivent pas arriver ivres au CHAPSA, sous peine d’être refusés. « Les condi-tions d’accueil sont de plus en plus restrictives, enchaîne Greg (le chauf-feur). Plusieurs fois, des personnes se sont vues refuser l’accès au centre sous prétexte qu’elles boitaient, voire qu’elles étaient malvoyantes. Dans ces cas, nous n’avons pas d’autre choix que de les ra-mener et de passer le relais à la grande nuit qui les laisse dormir dans le bus jusqu’au matin ».

19h30, arrivée Place du Chatelet où une dizaine de personnes attendent le bus assis sur les marches du Théâtre de la Ville. Greg les accueille dans la bus en appelant la plupart par leur prénom. Poignée de main, un mot gentil pour chacun, Greg propose un thé, un café ou un sandwich à chacun. Une cinquantaine de sandwiches sont donnés tous les jours par la boutique Paul de la Gare de l’Est.

Pendant ce temps, Vincent note les noms sur sa tablette. « On est équipés depuis un an », indique-t-il. « On y consigne les noms des personnes, les prestations réalisées, les lieux visités et les effectifs recensés ». Un homme d’une soixantaine d’années s’approche du bus pour demander s’il peut monter. Greg l’informe de ce que le Recueil propose. Arrivé depuis peu à Paris, l’homme travaille dans une boulan-gerie dans une banlieue du Nord de Paris où il doit être à 5 heures. Être hébergé à Nanterre ne lui convient donc pas. Greg décide d’appeler La Mie de Pain pour sa-voir si l’homme peut y dormir et partir tôt le lendemain. L’association confirme qu’il n’y a aucun problème. L’homme préférera toutefois ne pas profiter de cette place, que Greg ira proposer à Patrick. Le temps de cette discussion, l’arrière du bus s’est rempli. Une vingtaine de personnes sont assises. Les rires vont bon train au milieu d’un florilège de conversations en toutes langues, russe, anglais, certains s’essaient en riant à l’italien, d’autres chatonnent quelques mots d’hindi. Parmi les invités de ce bus cosmopolite, Damo, mécanicien alba-nais, est arrivé trois semaines plus tôt pour trouver du travail, en vain. Son rêve, traverser la Manche pour rejoindre l’An-gleterre où vit sa famille. « Là-bas, c’est le paradis pour les Albanais, tout le monde trouve du travail ». « L’essentiel des per-sonnes que nous prenons en charge

sont maintenant des migrants, observe Greg. Certains viennent en France pour travailler, comme par exemple les Alba-nais, puis repartent au pays. D’autres se retrouvent sur le carreau. Le public a fortement évolué, le nombre de grands exclus a diminué ».

Farid et Georgi, eux, se sont rencon-trés à bord de ce même bus il y a un an. Cet Alsacien et ce chanteur kurde ont depuis développé une amitié forte, et ne manquent jamais la navette, même lorsque l’un d’entre eux a déjà un héber-gement, comme c’est le cas pour Farid ce soir-là. « Les équipes du recueil sont comme ça », dit-il en levant le pouce en signe d’assentiment et en énumérant en-suite le nom de tous les agents comme un poème appris par cœur. « Il s’occupent vraiment bien de nous, je leur suis très re-connaissant ». « Depuis que je suis au Re-cueil, note Greg, on a tout de même sorti une quarantaine de personnes de la rue, sans aucun appui d’associations, juste grâce à la mobilisation des collègues de la RATP. Quand l’un d’entre eux revient nous voir, bien habillé, avec un travail et un logement, on est fiers ».Après avoir accompagné Patrick à la Mie de pain, l’équipe rejoint la station Mau-bert Mutualité, où une vingtaine de per-sonnes les attendent. Le bus quasiment plein, le temps est venu de prendre la direction de Nanterre.

☛ Magalie Pierrefitte est responsable de projet chez ICADE Promotion et Philippe Ratajczak Directeur des travaux et des moyens généraux. Ils nous parlent de leur collaboration dans le cadre du projet de réhabilitation du bâtiment Babinski sur le site de Charles Foix, qui regroupera en 2018 les sites de Jean Rostand et d’Esquirol (Saint-Maurice).

Quand ont eu lieu vos premiers contacts ?Magalie Pierre-fitte : en décembre

2015, lorsque le Samusocial de Paris est venu nous présenter le projet de Charles Foix après qu’un contact ait été établi par la Direction du Mécénat. Notre Direction générale souhaitait se lancer dans le mé-cénat de compétences. Le projet a donc immédiatement eu un écho favorable et il est ainsi la première démarche de mécé-nat de compétence au sein d’Icade, signé le 21 juin 2016.Philippe Ratajczak : Nous étions à cette époque en pleine recherche de fi-nancements avec l’aide du club C3D (Col-lège des directeurs du développement durable). En nous adressant à Icade pour qu’ils nous accompagnent dans la maî-trise d’ouvrage, c’est un poste budgétaire important que nous n’avions ainsi plus à financer.

Comment ce partenariat a été ensuite accueilli en interne ?Magalie Pierrefitte : extrêmement bien. De nombreux salariés se sont portés volontaires. Icade s’implique pleinement au travers de sa mission d’assistance à maîtrise d’ouvrage sur les aspects tech-niques, juridiques et financiers, qui sont le cœur de métier du pôle Promotion Santé pilotant le projet. François Valentin, le Di-recteur de cette entité a donc chapeauté le projet, en s’associant les compétences des services marché et juridique. Toute cette équipe a accompagné le Samusocial de Paris jusqu’à l’obtention du permis de construire. Elle reste aujourd’hui en sou-tien pour le suivi des travaux. J’ai pour ma part eu la joie de rejoindre cette équipe motivée en février dernier.

Plus concrètement, comment accom-pagnez-vous la Direction des Travaux ?Magalie Pierrefitte : Dans tout projet, le maître d'ouvrage doit pouvoir s'appuyer sur une assistance tant pour le respect des procédures réglementaires

que pour la tenue des objectifs de coût et de délai. Notre partenariat consiste à ap-porter un soutien en matière de mise en place de contrats de prestation, de coor-dination de tous les prestataires, de suivi et de gestion administrative et financière. Philippe Ratajczak : Durant toute la durée du chantier, nous allons nous voir une fois par semaine pour les réu-nions de chantiers. Celles-ci ont débuté le 12 septembre 2017 et se termineront en juin 2018, au moment du déménage-ment des structures de Jean Rostand et d’Esquirol. Nous vérifions que le chantier avance correctement, que les prestations correspondent à celles que nous avons commandées et que le calendrier est res-pecté. Il y a un important travail de coor-

dination des prestataires. 14 entreprises différentes interviennent sur le site durant le chantier. Ce projet est très particulier pour le Samusocial de Paris puisque c’est la première fois qu’il maîtrise les travaux et l’aménagement. Les CHU Romain Rolland et Popincourt ont été livrés clés en main. Là, nous maîtrisons la commande. Cela va nous permettre d’avoir des lieux qui ré-pondent mieux à nos besoins, nous allons faire participer le maximum de salariés et d’hébergés aux choix. Les salariés vont pouvoir également suivre davantage l’état d’avancement des travaux (présentation du planning chantier), ils vont participer aux choix des prototypes de chambre (coloris, ameublement, équipements di-vers,...), des salles de bain, des salles de soins, et d’autres produits.

Quelle différence faites-vous entre une AMO avec le Samusocial de Paris et avec d’autres ?Magalie Pierrefitte : Nous sommes ici dans une démarche partenariale et non pas commerciale comme habituellement. Le travail réalisé est pourtant le même mais l’ambiance est quant à elle différente . Le contact avec les personnes du Samu-social de Paris est beaucoup plus convivial. Et l’on sent de leur part une reconnais-sance qui est à la fois agréable et valori-sante. Nous sommes heureux de pouvoir apporter notre aide à une noble cause. Philippe Ratajczak : Le fait de ne pas être dans un rapport de prestation mais réellement de partenariat change tout.

Pensez-vous qu’il y aura d’autres partenariats par la suite ?Magalie Pierrefitte : Notre nou-veau DG, Olivier Wigniolles, est très at-taché à la Responsabilité sociale et en-vironnementale et entend développer ce type de partenariat. Le 28 septembre dernier, dans le cadre d’une journée soli-darité, 40 salariés d’ICADE sont venus à Saint-Michel pour repeindre le niveau 1 et s’occuper des jardins. Cette opération sera reconduite chaque année. »

Chronologie du projet

21 JUIN 2016Signature convention ICADE

• 06 MARS 2017

Signature convention APHP•

03 AOUT 2017Obtention du permis de

construire •

SEPTEMBRE 2016Désignation architecte

•12 SEPTEMBRE 2017

Début des travaux•

VŒUX 2018 Présentation avancement

chantier•

DERNIER TRIMESTRE 2017 (salle de bain chambre :

prestataire ALTOR)Présentation des prototypes

•DÉBUT DU SECOND TRIMESTRE

2018Sélection prestataire de

déménagement

« Les grands exclus sont de mauvais clients pour les statistiques. »

2

INTERVIEW CROISÉE

2 000 PERSONNES SANS DOMICILE ACCOMPAGNÉES DANS LES ESI CHAQUE MOIS.

300 PERSONNES VIVRAIENT EN PERMANENCE DANS LE MÉTRO PARISIEN.

128PERSONNES/JOUR PRISES EN CHARGE TOUTES DESTINATIONS CONFONDUES PAR LE RECUEIL SOCIAL

DOSSIER

SEPTEMBRE 2017 • #18

« Les gens arrivent en pensant le métro comme un refuge. Or rapidement, le lieu les engloutit »

*INSEE focus N° 44 paru le 18/11/2015)

du bleu qui rappelait la police au

Pourquoi le Recueil social est-il toujours resté affecté à la Direction de la Sécurité ?

C’est une bonne question. Il y a le poids de l’héritage, mais aus-si l’ambivalence qui perdure dans tous les esprits entre des objectifs humanitaires et des objectifs de sé-curité, de propreté, et de tranquilli-té. Dans les faits, les personnes sans-abri sont très rarement à l’origine de problèmes de sécurité. Ils en se-raient plutôt les victimes. « 29 % des SDF ont été victimes d’agression ou d’actes de violence alors que pour la même période ce n’est le cas que pour 3 % de la population générale vivant en logement ordinaire*… ». Mais leur comportement, leur simple vue même parfois dérange l’espace pu-

Il ne faut jamais oublier qu’il n’y a pas de conduite antisociale, les comportements obéissent à des stratégies de survie. Très nombreux

« clients » qui tentent de survivre. Quand une per-sonne refuse de suivre une équipe, il peut s’agir pour elle d’une vraie question de survie. Ce n’est pas un hasard si la loi sur la légitime dé-fense autorise certains comporte-ments dès lors qu’ils rentrent dans

Sont-ils plus nombreux dans le métro ou la société est-elle deve-

Ce qui est sûr, c’est qu’il y en a beaucoup moins qu’il y a 20 ans ! Lorsque je suis arrivé au Recueil un recensement par les agents a dénombré 1 123 personnes en pé-riode hivernale. 8 ans plus tard, elles étaient 400. Et les plus ré-cents comptages en dénombrent environ 300. La différence, c’est que ceux qui restent sont ancrés, et donc très présents. Pour parve-nir à les sortir du métro, il faut du temps, beaucoup de temps, il faut discuter, pas 5 mn mais trois quarts d’heure, chaque jour, pour gagner leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-tives que l’on parviendra à les faire sortir et, peut-être, ne plus faire du métro un lieu d’errance.

N'est-ce pas un des objectifs du

tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire tives que l’on parviendra à les faire adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-adaptées à leurs capacités cogni-par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, adaptées à leurs capacités cogni-

ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme, ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme,

sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que par des actions sur le long terme,

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d’heure, chaque jour, pour gagner leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que

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discuter, pas 5 mn mais trois quarts d’heure, chaque jour, pour gagner leur confiance et ouvrir ainsi la pos-sibilité qu’elles acceptent de tester ce qu’on leur propose. Ce n’est que

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environ 300. La différence, c’est que ceux qui restent sont ancrés, et donc très présents. Pour parve-nir à les sortir du métro, il faut du temps, beaucoup de temps, il faut discuter, pas 5 mn mais trois quarts d’heure, chaque jour, pour gagner

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cents comptages en dénombrent environ 300. La différence, c’est que ceux qui restent sont ancrés, et donc très présents. Pour parve-nir à les sortir du métro, il faut du temps, beaucoup de temps, il faut discuter, pas 5 mn mais trois quarts

cents comptages en dénombrent environ 300. La différence, c’est que ceux qui restent sont ancrés, et donc très présents. Pour parve-nir à les sortir du métro, il faut du temps, beaucoup de temps, il faut discuter, pas 5 mn mais trois quarts

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elles étaient 400. Et les plus ré-cents comptages en dénombrent environ 300. La différence, c’est que ceux qui restent sont ancrés, et donc très présents. Pour parve-nir à les sortir du métro, il faut du temps, beaucoup de temps, il faut discuter, pas 5 mn mais trois quarts

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elles étaient 400. Et les plus ré-cents comptages en dénombrent environ 300. La différence, c’est que ceux qui restent sont ancrés, et donc très présents. Pour parve-nir à les sortir du métro, il faut du temps, beaucoup de temps, il faut discuter, pas 5 mn mais trois quarts

dénombré 1 123 personnes en pé-riode hivernale. 8 ans plus tard, elles étaient 400. Et les plus ré-cents comptages en dénombrent environ 300. La différence, c’est que ceux qui restent sont ancrés, et donc très présents. Pour parve-nir à les sortir du métro, il faut du temps, beaucoup de temps, il faut

dénombré 1 123 personnes en pé-riode hivernale. 8 ans plus tard, elles étaient 400. Et les plus ré-cents comptages en dénombrent environ 300. La différence, c’est que ceux qui restent sont ancrés, et donc très présents. Pour parve-nir à les sortir du métro, il faut du temps, beaucoup de temps, il faut

dénombré 1 123 personnes en pé-riode hivernale. 8 ans plus tard, elles étaient 400. Et les plus ré-cents comptages en dénombrent environ 300. La différence, c’est que ceux qui restent sont ancrés, et donc très présents. Pour parve-nir à les sortir du métro, il faut du temps, beaucoup de temps, il faut

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en pensant le métro Or rapidement, le lieu

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Page 3: le briefingde Paris #18 - ongconseil.com · mission Atlas. Les maraudes se divisent en cinq services : l’équipe de jour de 4h45 à 12h45, Les maraudes se divisent en cinq services

T E M O I G N A G E S

● Dans ce discret immeuble de la rue Simplon, 19 familles se sont installées durant l’été jusqu’au 31 mars. Une expérience de vie courte mais autonome dans de vrais appartements équipés pour préparer l’après. « Certaines familles n’avaient pas connu l’intimité depuis très longtemps. Le fait d’avoir les clés de chez soi, c’était fort », explique Marine Rousseau, référente du centre.

Fatoumata : « Ici on peut se faire à manger »

J’ai vécu dans le 20e pen-dant 9 ans. J’ai quitté l’ap-

partement pour suivre mon mari à Massy. Quand nous nous sommes séparés, il a fallu repartir de zéro. Je me suis retrouvée au CHU Jean Rostand. Là-bas il y avait parfois des histoires avec d’autres hé-bergés, la vie collective n’était-pas facile. Nous sommes arrivés à Simplon avec quatre autres familles du CHU ; on se connait bien, et les enfants sont copains. On se reçoit, on s’entraide quand on a besoin de quelque chose. Là je suis enceinte de sept mois il va donc falloir partir en décembre pour trouver un autre logement car nous serons six. Le problème quand on change, c’est que les enfants changent aussi d’école. Quand j’étais à Jean Rostand je faisais tous les jours le trajet d’Ivry jusqu’au 20e pour amener les enfants à l’école. »

Awa De la Normandie à la rue Simplon

J’ai vécu 10 dans l’Eure en Normandie avec mon pre-

mier mari, un blanc comme on dit chez nous, avec qui j’ai eu deux enfants. On vivait dans un petit village où la plupart des gens n’avaient jamais vu un noir de leur vie ! Un jour une grand-mère m’a arrêtée dans la rue pour me toucher la peau. Après ça nous sommes devenues amies, elle m’a fait découvrir le cidre et la tarte aux pommes ! Quand j’ai divor-

cé, je me suis débrouillée, j’ai pas mal bougé et puis je suis tom-bée enceinte. Ma grossesse était compliquée à cause du stress. J’ai accouché à 11 mois. Au CHU Jean Rostand, tout se passait bien grâce à monsieur Quentin. Il m’a permis d’aller chercher une de mes filles au pays ; je suis revenue avec elle. Mon mari actuel nous a aussi rejoints à Jean Rostand. Nous sommes restés huit mois en tout. Le personnel était très gentil, mais la nourriture ne nous plaisait pas, on avait tout le temps faim. »

« Quand on est arrivé c’était comme un rêve »

Quand on nous a dit qu’on allait nous loger à Simplon,

on n’y croyait pas. Je n’en dormais pas la nuit tellement j’étais exci-tée ! J’avais peur qu’ils changent d’avis. Quand on est arrivé, c’était génial, tout était déjà équipé. On a tellement bien dormi cette pre-mière nuit-là. J’ai quand même réveillé mon mari en plein milieu de la nuit pour m’assurer qu’on ne rêvait pas ! Ici on peut cuisiner, on est tranquille. J’adore faire la cuisine. Mon mari n’avait pas l’ha-bitude de manger la nourriture française donc évidemment il pré-fère maintenant. Ici, on rentre ou on sort comme on veut. On nous donne des habits gratuits, si on a des difficultés administratives on nous aide, moi je viens souvent dans l’espace collectif quand j’ai besoin. On a des chèques service de 6 euros pour faire à manger et un ticket pour la laverie une fois par semaine. »

5le briefing

UN ACCOMPAGNEMENT RÉGULIER ET ADAPTÉDans ce petit hôtel occupé depuis avril par 36 femmes en situation de grande précarité, trois travailleurs de l’EMIS se relaient pour être présents quasiment toute la semaine. « Sauf le vendredi, où toute l’équipe se réu-nit pour faire le point. Nous suivons cha-cun douze femmes. Elles savent ainsi qui est leur référent, elles ont nos numéros, et elles connaissent nos jours de présence à l’avance. Ça leur permet de s’organiser et de prévoir leur rendez-vous avec nous, ce qui est aussi une part importante dans le processus d’insertion. »

« Chaque semaine nous nous fi xons de nouveaux objectifs et nous faisons le point sur ce qui a été fait. » Et les résultats sont là. Thibault voit une progression « très positive » dans le cas de Myriam. Ce lundi, celle-ci doit se rendre à la banque le matin pour ouvrir un compte, et faire son curriculum vitae avec l’aide de Thibault. « On sent qu'elle a envie de se mobiliser afi n d'améliorer sa situation. »

DES MISSIONS DIVERSESEn tout, l’EMIS comprend cinq missions : l'évaluation des familles primo- arrivantes sur le dispositif 115, l'accompagne-ment social global de proximité des personnes hébergées par le dispositif 115 sans autre suivi social, la mission à l’hôtel

Bel' air ainsi que la mission sur l'hôtel Pa-latino réservé aux hommes migrants. La cinquième mission qui est en construc-tion concerne l'accompagnement des fa-milles migrantes primo arrivantes. Les missions sont réparties entre les neuf membres de l’équipe. De nouveaux tra-vailleurs sociaux devraient être recrutés pour renforcer les équipes.« L’objectif de l’accompagnement social

est de favoriser l’insertion sociale en amenant les personnes à développer une autonomie visant l'accès d'un cadre de vie adapté à leurs situations, indique Thibault. Les domaines d’in-terventions sont variés, de l’accès aux droits, l'accès à la santé, le volet administratif, la gestion budgétaire, l'accès au logement ainsi que la coordination de l'ensemble des acteurs autour de la problématique des personnes accompagnées. »

Vendredi 21 juillet, 86 enfants de 6 à 16 ans hébergés dans les hôtels d’Ile-de-France ont pu découvrir le terrain d’entrai-nement du PSG à Saint Germain-en-Laye pendant une journée et s’y entrainer.

RÊVE DE GOSSE« Ici c’est Pariiiiis ! » hurlent en cœur une foule d’enfants en tapant frénétiquement des mains. Au Camp des Loges, lieu d’entrainement de l’équipe du Paris-Saint-Germain, le spec-tacle est pour une fois dans les tribunes et pas sur le terrain. Invité à fouler pour une journée la même herbe que leurs idoles du ballon rond, 86 enfants venus de toute la région parisienne ont enfi lé leurs baskets et le maillot rouge aux couleurs de la fondation PSG pour se dépenser. Un rêve qui se réalise pour Jouay, 7 ans, grand fan du PSG et champion auto-proclamé dans la cour de récré « À l’école avec les copains, on gagne tous les jours ! » Le petit brun aux pieds aff utés par des séances quotidiennes d’entrainement court avec énergie et tente de se faire une place au milieu des plus

grands. Abdoulahmane, 6 ans, est lui aussi ravi de pouvoir s’adonner à son activité favorite sous le regard amusé de son père, venu l’accompagner : « J’adore jouer au foot, c’est ce que je préfère ! »

FRISBEE, ESCRIME … ET FOOT !Mais avant de pouvoir se lancer dans les matchs, les enfants doivent s’entrainer sérieusement. « La Fondation PSG contrai-rement à son nom n’entraine pas qu’au foot, nous proposons toutes sortes d’activités sportives » précise un des animateurs. Par petits groupes d’une dizaine d’enfants, les apprentis joueurs s’entrainent à jouer au frisbee, faire de l’escrime, ti-rer au but, courir dans des cerceaux ou encore jouer à la balle au prisonnier. Des jeux de précision et de vitesse dont ils se serviront ensuite pour s’aff ronter sous les encouragements d’un public enfl ammé. La journée se termine enfi n sur une note d’excitation avec la remise des prix et de lots de cadeaux surprise pour tous les enfants.

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L’EMIS à l’hôtel

● Dans l’hôtel Bel Air du 12e arrondissement, Myriam n’a littéralement qu’un pas à faire entre sa petite chambre et le bureau qu’occupe Thibault, Travailleur social à l’EMIS, l’Equipe Mobile d’Intervention Sociale. Une chance pour cette femme de 42 ans qui a connu pendant trois ans la rue et « le ping-pong administratif. On vous dit d’aller dans telle association, puis dans telle structure pour avoir tel papier. C’est la première fois que j’ai un travailleur social attitré qui s’occupe de moi régulièrement. »

● Dans le cadre de son programme « Mieux vivre à l’hôtel », le Samusocial de Paris organise des sorties durant l’été pour permettre aux enfants hébergés de sortir, jouer et s’épanouir.

RETOUR SUR

IN SITU

Les écoles se mobilisent pour le Samusocial de Paris

Journée au Camp des Loges pour 86 enfants hébergés à l’hôtel social

De nouvelles missions pour la maraude de jourDepuis le mois de mai, Emilie Baron et Camille Berault, infi r-mières de l’équipe de maraude de jour réalisent des consulta-tions hebdomadaires dans trois centres d’hébergement pari-siens : la Péniche du Cœur, le Lima 14 et la Mouzaïa.

« À notre mission historique qu’est la maraude se sont ajoutées des missions d’évaluation sanitaires. Le Samusocial de Paris étant une des seules maraudes médico-sociales à Paris, les partenaires font appel à lui lorsqu’ils ont besoin d’une éva-luation sanitaire. Nous travaillons aussi en relais des EMA lorsque les équipes n’ont pas pu régler la nuit une situation qu’elles jugent préoc-cupante. Enfin, nous pratiquons des veilles pour les personnes qui ont un besoin de suivi mais ne viennent pas en centres d’hébergement. »

DES GROSSESSES … « Les publics du LIMA 14, de la Mou-zaïa et de la Péniche du cœur sont très différents. Notre activité est donc très riche. »Au LIMA 14, structure provisoire de mise à l’abri gérée par l’association Coallia, 25 personnes sont héber-

gées chaque nuit. « Ici, le public se compose en grande majorité d’en-fants en bas âge et de femmes en-ceintes. » Dans une des chambres transformées en petit cabinet im-provisé, Emilie sort de son gros sac noir son matériel : des pansements, de quoi mesurer les constantes. « Je vérifie si les femmes ont eu un suivi au pays et en France. Il m’est arri-vé de rencontrer des femmes qui à 8 ou 9 mois n’étaient toujours pas suivies. » Les grossesses dans des si-tuations très précaires fragilisent les futures mamans, toutes se plaignent de maux de ventre. Ce jour-là, Emilie et Vanessa, l’assistante sociale du Lima, s’inquiètent pour une femme enceinte de cinq mois avec des sai-gnements. « Si elle reste dehors, cette dame risque de perdre son bébé ». Les deux professionnels décident de remonter en priorité ce cas au SIAO pour une prise en charge rapide.

… AUX BLESSURES À L’ARME BLANCHEAutre ambiance sur la péniche des Restos du Cœur le vendredi matin, où Emilie reçoit dans son petit cabi-net flottant une personne sou� rant des suites d’une récente blessure au couteau dans les côtes qui cicatrise mal. Emilie s’assure que le blessé a bien un suivi médical et récapitule avec lui les di� érents rendez-vous et soins à respecter durant la période de convalescence … « Nous sommes là avant tout pour accompagner vers le soin. Cela peut être aussi tout simplement aider à prendre rendez-vous, ou à remplir un dossier médical, expliquer un traitement, un diagnostic médical. »

« On sent qu'elle a envie de se mobiliser afin d'améliorer sa situation. »

« Ici, le public se compose en grande majorité d’enfants en bas âge et de femmes enceintes. »

REPORTAGE

UN LIEU, VU PAR

850 EUROS RÉCOLTÉS PAR DES COLLÉGIENSUne classe de cinquième du Collège Sainte Clothilde, dans le 12e arrondissement de Paris a décidé de récolter de l’argent pour le Samusocial de Paris dans le cadre d’un projet éduca-tif. Après une présentation d’une dizaine d’associations et organisations caritatives, c’est le Samusocial de Paris qui a été sélectionné par les élèves. Plusieurs semaines de mobi-lisation, avec vente de gâteaux, ont permis de récolter plus de 850 euros.

UN CAMION ENTIER DE DONS EN NATURE À l’école Jean Jaurès de Valenton, c’est une trentaine de sacs de vêtements, chaussures et jouets qui a été récoltée. « Le camion du Samusocial de Paris est venu chercher les sacs, il arrivait à peine à tout contenir ! » raconte Séverine, chargée de paie au siège. Cette maman d’un petit garçon de 8 ans est à l’origine de ce très bel élan de solidarité. « J’étais venue raconter mon métier au sein du Samusocial de Paris, et très vite les enfants se sont passionnés pour notre action ; ils posaient de très nombreuses questions sur les maraudes, les hôtels, le 115. Au fi nal je suis restée 2h30 à discuter avec eux ! » La professeure des écoles a décidé d’utiliser cet enthousiasme pour en faire une action de solidarité. « Toute l’école s’est mobilisée. » Cette première expérience de solidarité très positive devrait se poursuivre. « La maitresse m’a proposé d’organiser des collectes de don deux fois par an dès la rentrée. »

● La solidarité commence dès le plus jeune âge. La preuve avec ces deux écoles dont les élèves, sensibles à la grande exclusion, ont choisi de soutenir le Samusocial de Paris.

SEPTEMBRE 2017 • #18

En tout, l’EMIS comprend cinq missions : l'évaluation des familles primo- arrivantes sur le dispositif 115, l'accompagne-ment social global de proximité des personnes hébergées par le dispositif 115 sans autre suivi social, la mission à l’hôtel

Bel' air ainsi que la mission sur l'hôtel Pa-latino réservé aux hommes migrants. La cinquième mission qui est en construc-tion concerne l'accompagnement des fa-milles migrantes primo arrivantes. Les missions sont réparties entre les neuf membres de l’équipe. De nouveaux tra-vailleurs sociaux devraient être recrutés

« L’objectif de l’accompagnement social est de favoriser l’insertion sociale en amenant les personnes à développer une autonomie visant l'accès d'un cadre de vie

Les domaines d’in-terventions sont variés, de l’accès aux droits, l'accès à la santé, le volet administratif, la gestion budgétaire, l'accès au logement ainsi que la coordination de l'ensemble des acteurs autour de la

arrondissement, Myriam n’a littéralement qu’un pas à faire entre sa petite chambre et le bureau qu’occupe Thibault, Travailleur social à l’EMIS, l’Equipe Mobile d’Intervention Sociale. Une chance pour cette femme de 42 ans qui a

« le ping-pong administratif. On vous dit d’aller dans telle association, puis dans telle structure pour avoir tel papier. C’est la première fois que

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Dons de particuliers : déjà plus de 3 000 soutiens ! En mars dernier, le Samusocial de Pa-ris expérimentait le recrutement de do-nateurs dans la rue (street marketing) avec une organisation spécialisée dans ce métier, ONG Conseil. Le modèle, éprouvé depuis longtemps par de nom-breuses associations, consiste à recru-ter des soutiens réguliers et fi dèles. Pas de forcing donc, l’objectif des recru-teurs est de transformer des donateurs potentiels en donateurs eff ectifs. Bilan de la première vague : 540 do-nateurs réguliers recrutés en un peu plus de 1 000 heures de rue, avec un retour sur investissement attendu à horizon de 18 mois. Pour ne pas s’ar-rêter sur cette lancée, deux nouvelles

vagues ont donc été programmées durant l’été. Mi-septembre, alors que les équipes devaient encore eff ectuer quelques heures supplémentaires pour pallier les diffi cultés liées à une mau-vaise météo au mois d’août, les 2 000 donateurs réguliers étaient presque at-teints. Investissement dans des outils de gestion et stratégie de fi délisation devront suivre.

Parallèlement, afi n de développer le soutien fi nancier des particuliers, deux campagnes de communication seront lancées en novembre et en décembre. La première s’appuiera sur la situa-tion diffi cile des femmes sans-abri, la

seconde, à partir du 15 décembre, por-tera plus spécifi quement sur les dons, 50 % des dons annuels étant eff ectués sur cette courte période. Pour mener à bien ces nouvelles actions, Adrien Rousselet, chargé de projets digitaux, a rejoint le service communication début août. Une agence spécialisée dans le fundraising accompagnera désormais le Samusocial de Paris, à la fois sur le développement des dons et du mé-cénat d’entreprise. Cette stratégie de développement des ressources privées intégrera une réfl exion sur la création d’une Fondation, sujet plébiscité par les participants au Séminaire COCE de juin dernier. (cf Briefi ng Juillet)

Arrivée des tablettes numériques dans les EMA Après plusieurs phases test, les EMA vont être équipées de tablettes le 1er octobre 2017. « Ces tablettes vont faciliter le travail des maraudes. L’envoi automatique des signalements va permettre d’éviter la double saisie au niveau des évaluations papier puis celle liée à la base sur Osiris. L’équipe aura aussi accès à certaines notes sur les usagers, par exemple leur der-nier hébergement connu. Cela évitera d’avoir à appeler le coordinateur ou régulateur pour avoir ces informations. », se félicite Mickael Bastos, coordinateur référent EMA. Les tablettes apportent aussi des petits plus comme un logiciel de traduction inclus qui évite de devoir appeler le prestataire de traduction. « Durant le mois d’août, nous avons mis une équipe test sur chaque roulement. Toutes les équipes ont donc testé les tablettes, ce qui a permis de repérer certains dysfonctionnements, et d’apporter quelques améliorations avec le service informatique ». Une première formation a été mise en place lors des tests. Une formation par les tuteurs sera faite pour chaque nouvelle personne arrivant dans les EMA.

« De ZADIG à SHIRAZ » ☛ InterviewIsabelle Doury, chargée de mission SI/RH

Pourquoi ce changement de système ?Isabelle Doury : Zadig (le

logiciel actuel de Ressources humaines et de la Paie) a été créé en 2009. Aujourd’hui son ergonomie est jugé un peu vieillissante et la navigation peu intuitive.

Que va changer ce nouveau système pour les salariés du Samusocial de Paris ?I. D. : Ce changement de système est l’occa-sion de remettre à plat les règles qui étaient un peu opaques pout tout le monde. Nous allons réfléchir à la façon dont nous pour-rions redéfinir les cycles, le processus de validation des congés. Nous sommes en

train de réfléchir aussi à la possibilité de simplifier et d’homogénéiser les règles sur les horaires, le temps de repas …

Quelles sont les prochaines grandes étapes du projet ?I. D. : Nous allons lancer un sondage pour connaitre l’usage que font les agents de Zadig et leurs attentes par rapport au nou-veau système. Un appel d’offre a été lancé le 16 août pour trouver le futur prestataire qui paramétrera le nouveau système. Nous espérons signer avec ce prestataire d’ici la fin de l’année et pouvoir délivrer le sys-tème d’ici l’été 2018.

Le BEEP en pleine réorganisation ● Né en 2013 suite aux résultats de l’enquête ENFAMS pour aller à la rencontre des personnes hébergées à l’hôtel, le BEEP (Bus Espace Enfant Parents) va voir son intervention évoluer suite au retour d’expérience des trois années qui se sont écoulées.

PASSAGE À UN VÉHICULE PLUS LÉGERSi son aménagement permettait un accueil confortable des familles, à l’usage le bus s’est révélé complexe du fait de son encombrement : accès di� icile à certains hôtels, notamment à ceux sans parking. En outre, de nombreuses sollicita-tions sociales émanaient de familles ayant déjà un référent social. En revanche, avec une seule infirmière, son activité sanitaire était trop limitée.

UNE ÉQUIPE POUR MIEUX RÉPONDRE AUX BESOINSL’équipe du BEEP, composée désormais de deux infirmiers et trois volontaires en service civique qui intégreront la Mission Mieux Vivre à l’hôtel, e� ectuera des journées de 9h du lundi au jeudi, afin d’assurer une plus longue présence sur le terrain, et de compenser le temps de trajet. Son activité sera scindée entre des ateliers collectifs portant sur di� érentes thématiques (Risques do-mestiques et hygiène, Nutrition et alimentation, Trouver un professionnel de santé, Hygiène buc-co-dentaire, Prévention des IST) et les consulta-tions pour les familles qui nécessitent une orien-tation vers des professionnels de santé.

Mission interface : Vieillir hors la rue● Arrivé au Samusocial de Paris en janvier 2017 dans les EMA, Thomas Baude est aujourd’hui travailleur social interface. Son rôle : favoriser la sortie des dispositifs d’urgence, d'insertion et LHSS des personnes sans-abri vieillissantes, et constituer un plaidoyer pour faire évoluer la loi au béné� ce des personnes non encore éligibles (personnes en situation irrégulière, personnes sou� rant troubles spatio-temporels non encore admises dans les Unités de Vie Protégée...)

19 % DE PLUS DE 60 ANSLes plus de 60 ans représentent toutes institutions confondues 19 % du public des LHSS et des CHU, et un pourcentage nettement supérieur dans les structures du Samusocial de Paris. Vieillissement prématuré des personnes ayant des parcours de rue, méconnaissance des personnes sans domicile par le secteur médico-social,

part importante de personnes à droits administratifs incomplets bloquant toute recherche de solution : autant de diffi cultés qui contribuent à la stagna-tion des personnes dans l es structures d’hébergement pourtant inadaptées à la perte d’autonomie. Sur le modèle d’une action menée à Nantes depuis 9 ans, le Samusocial de Paris expéri-mente un accompagnement auprès des travailleurs sociaux et des per-sonnes sans-abri vieillissantes.

FACILITER LES LIENS ENTRE LES ACTEURSSon rôle principal, Thomas Baude le défi nit comme un rôle d’interface entre les principaux acteurs interve-nant auprès des personnes âgées et sans-abri : associations, CASVP, PSA, et réseaux d’accueil pour personnes âgées. Il intervient en identifi ant les personnes prises en charge concer-nées dans les fi les actives associatives, en appui aux travailleurs sociaux pour rechercher des solutions de sortie et clarifi er l’écheveau administratif pour faciliter l’accès aux structures de droit commun. « Il faut souvent faire du cas

par cas, observe Thomas, tant le sys-tème est complexe et parfois ubuesque ». Par exemple, des personnes de 60 ans peuvent accéder à un hébergement de type Résidence services ou EHPAD mais parallèlement l’aide sociale qui participe à fi nancer ces établissements pour les personnes précaires n’est dé-blocable qu’à partir de 65 ans. Certains travailleurs sociaux hésitent ainsi à faire la demande s’ils ne sont pas assu-rés de l’obtenir. À ces freins adminis-tratifs s’ajoutent parfois la réticence des personnes elles-mêmes. « L’État, avant de prendre en charge la personne, recherche les possibilités de solidarité familiale, et notamment les enfants, ce que de nombreuses personnes sans-abri refusent », indique Thomas.

ACCOMPAGNERThomas propose un accompagnement au montage de dossier, ainsi qu’un accompagnement de la personne en amont et en aval de sa prise en charge dans les structures pour personnes âgées. « Je ne me substitue pas au tra-vailleur social référent », précise-t-il. Sa position lui permet de lancer des

pistes, d’accompagner travailleurs so-ciaux et personnes concernées dans les visites de lieux de prise en charge pour casser des préjugés tenaces sur ces structures, puis les pistes une fois retenues de veiller à ce que l’intégra-tion se passe au mieux en inscrivant la personne dans son nouveau quo-tidien, en lui trouvant les ressources de proximité nécessaires. Le fait que la personne soit suivie par la Mission Interface participe à rassurer les per-sonnes qui statuent sur l’attribution des places en Résidence services et résidence appartement du CASVP.

SENSIBILISER LES PROFESSIONNELSLes personnes sans-abri souffrent souvent d’une piètre image auprès des personnels de structures pour personnes âgées, souvent par mécon-naissance, mais aussi par absence de formation des personnels. Les visites de structures sont une occasion pour casser cette image. Et pour améliorer la formation, nous envisageons de mettre en place un partenariat avec l’ANPA 75. Il s’agirait d’off rir une pre-

mière approche à la logique de Réduc-tion des risques et des dommages et donc sur une proposition de modali-té d’accueil de la personne souff rant d’addictions. Cette « mission interface » sera expé-rimentée jusqu’en mars 2018 dans 10 structures. Elle a déjà permis la ren-contre d’une quinzaine de structures pour personnes âgées, une dizaine de structures de 8 associations, une tren-taine de travailleurs sociaux ainsi que diff érents partenaires : psychologue, médecin, infirmier, protection juri-dique, diff érents acteurs du CASVP.

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Soumis à cette obligation, les LHSS doivent fi na-liser leur évaluation interne d’ici l’été 2018, et leur évaluation externe d’ici le printemps 2019. Structurée en 2 phases, une de co-construction de référentiel et une d’auto-évaluation, l’évalua-tion interne débutera dès l’automne. L’évaluation des LAM aura lieu quant à elle au cours de l’année 2019.

DÉFINIR UN RÉFÉRENTIEL D’ÉVALUATION 6 groupes de travail composés de représentants de tous les métiers (responsable, médecin, IDE, AS-AVS, agents de restauration-d’entretien-d’ac-cueil, animateur-bénévole-service civique, tra-vailleur social), des personnes accueillies et des services support vont être constitués d’ici la mi-octobre.Chaque groupe se réunira ensuite une journée durant afi n de construire le référentiel d’évalua-tion qui abordera les thèmes suivants : promotion de la qualité de vie, de l'autonomie, de la santé et de la participation sociale ; personnalisation de

l’accompagnement ; garantie des droits et parti-cipation des hébergés ; protection et prévention des risques inhérents à la situation de vulnérabi-lité des hébergés ; insertion et ouverture de l’éta-blissement sur son environnement, intégration des diff érentes ressources internes et externes ; et organisation interne de l'établissement.

1ER SEMESTRE 2018 : AUTO-ÉVALUATION Des groupes d’évaluation, dans chaque LHSS, évalueront leur structure sur la base du référen-tiel produit par ces groupes de travail et validé par le COPIL. Ils détermineront les documents support à mobiliser, établiront une cotation par action et formuleront des propositions d’amé-lioration. Un rapport d’évaluation – contenant un plan de préconisations – sera ensuite rédigé et, après validation par le COPIL, transmis à la tutelle (l’Agence Régionale de Santé d’Île-de-France), avant d’être décliné en programmes de travail pour chaque LHSS.  

LHSS : en route pour l’évaluation● Selon les lois du 2 janvier 2002 et du 21 juillet 2009, les établissements et services sociaux et médico-sociaux doivent procéder, à échéances déterminées, à des évaluations de leurs activités. Ces évaluations internes puis externes conditionnent le renouvellement de leur autorisation de fonctionnement.

le briefing

« Ils recrutent nos soutiens »● À 21 ans, après une licence d’égo/gestion, Lina a décidé de se consacrer au recrutement de donateurs dans la rue. En août, elle a e� ectué sa première mission pour le Samusocial de Paris.

Du Samusocial de Paris, je connaissais le 115 et l’action auprès des personnes sans-abri. Je suis heureuse de commencer par une cause qui

touche l’humain. Spontanément, beaucoup de gens expriment leur accord sur l’action du Samusocial de Paris. Je m’entends souvent répondre « C’est super ce que vous faites ! ». Après, évidemment, tout le monde ne souhaite pas donner… J’ai croi-sé une personne qui a participé aux premières maraudes en 1993, et quatre personnes qui s’en sont sorties grâce au 115

dont une dame qui avait été logée à l’hôtel lorsqu’elle était enceinte en 2015 et qui a maintenant trouvé un appartement. Un monsieur est spontanément venu vers moi à la Gare de Lyon pour me dire que le Samusocial de Paris lui avait trou-vé un logement et un emploi. Certaines personnes sans-abri viennent aussi parfois appuyer l’argumentation. Bien que ce soit compliqué de joindre le 115, disent-elles, le Samusocial de Paris fait ce qu’il peut, et son aide reste précieuse. »

« On ne cherche pas à transformer du plomb en or mais à trouver l’or »

Nous sommes dans la rue pour trouver les personnes qui ont envie de donner, et leur permettre de mettre cette envie en acte, indique Kiyann. Beaucoup de gens connaissent le Samu-

social de Paris, au moins de nom. La plupart évoquent spontanément le 115 et les maraudes. Beaucoup ont déjà vu un reportage télé. Ils connaissent en revanche moins le travail d’accompagnement hors de la rue. Or beaucoup de gens y sont très sensibles. »

« Faire de cette obligation légale une occasion d’échanges »

L’évaluation interne des LHSS re-présente bien plus que le simple respect d’une obligation légale,

c’est une occasion pour chacun – quel que soit son métier au sein de la structure – de livrer son vécu, d’ap-prendre des expériences des autres, de réinterroger des pratiques et de formuler des propositions. Je sou-haite que cette démarche favorise un échange libre, qu’elle soit un vecteur de valorisation du travail de tous les agents et de partage des valeurs du Samusocial de Paris. Ce travail collectif et partici-patif permettra ainsi d’identifier des axes d’amé-lioration, mais aussi de mettre en exergue les forces des équipes. Ce projet doit aussi nous permettre de franchir un cap en matière de représentation des personnes accueillies en LHSS. Pour ce faire, le Samusocial de Paris a fait appel à Jean-François Krzyzaniak – ancien de la rue, aujourd’hui consultant en poli-tiques sociales. Celui-ci, qui est déjà intervenu au

CHU Popincourt et à l’ESI –, va livrer son expé-rience, accompagner les personnes accueillies qui participeront aux groupes de travail et contribuer

à instaurer des groupes d’expression (type CVS) au sein des LHSS.

L’évaluation des LHSS et des LAM représente une vraie démarche de progrès, qui, à terme, a vocation à être étendue à l’ensemble des ac-tions du Samusocial de Paris. Celle-ci sera coordonnée par un Directeur Qualité que nous sommes en train de

recruter ; ce nouveau directeur, qui me sera di-rectement rattaché, aura notamment la mission de soutenir et d’accompagner les équipes pour mettre en œuvre une politique qualité et déve-lopper un système de gestion documentaire, veil-ler à la di� usion des bonnes pratiques et harmo-niser les outils relatifs aux droits fondamentaux des personnes accueillies. »

Christine Laconde, directrice générale

☛ L’interview étonnement de … Marion Baylet

● Passée par seize années au service psychiatrie de l’hôpital Maison Blanche, Marion Baylet est arrivée au mois de juillet à la tête du LHSS Saint-Michel. Elle nous livre ce qui l’a étonnée depuis son arrivée au Samusocial de Paris en juillet.

Une approche diffé-rente du soin« J’ai fait toute ma car-rière dans le sanitaire, c’est mon premier poste en médico-so-cial. Le plus intéressant pour moi c’est qu’il s’agit d’une toute autre

approche de la prise en charge. Ce ne sont pas non plus les mêmes objectifs de soins ou la même temporalité. À l’hôpital la pression sur les DMS (durées moyennes de séjour) est beaucoup plus forte. »

Une plus grande autonomie « Certains programmes seraient impossibles à mettre en place en milieu hospitalier. On n’est pas à la même étape du parcours de soin des patients. Les patients n’arrivent pas au Samu-social de Paris par hasard, ils sont passés par l’hôpital et ont été orientés par des médecins. Ici on peut imaginer des choses qui sortent du cadre hospitalier. Les choses sont moins forma-lisées par rapport à l’hôpital. »

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SEPTEMBRE 2017 • #18

Dons de particuliers : déjà plus de 3 000 soutiens !

seconde, à partir du 15 décembre, por-tera plus spécifi quement sur les dons, 50 % des dons annuels étant eff ectués sur cette courte période. Pour mener à bien ces nouvelles actions, Adrien Rousselet, chargé de projets digitaux, a rejoint le service communication début août. Une agence spécialisée dans le fundraising accompagnera désormais le Samusocial de Paris, à la fois sur le développement des dons et du mé-cénat d’entreprise. Cette stratégie de développement des ressources privées intégrera une réfl exion sur la création d’une Fondation, sujet plébiscité par les participants au Séminaire COCE de juin dernier. (cf Briefi ng Juillet)

est aujourd’hui travailleur social interface. Son rôle : favoriser la sortie des dispositifs d’urgence, d'insertion et LHSS des personnes sans-abri vieillissantes, et constituer un plaidoyer pour faire évoluer la loi au béné� ce des personnes non encore éligibles (personnes en situation irrégulière, personnes sou� rant troubles spatio-temporels non encore admises

mière approche à la logique de Réduc-tion des risques et des dommages et donc sur une proposition de modali-té d’accueil de la personne souff rant

« mission interface » sera expé-rimentée jusqu’en mars 2018 dans 10 structures. Elle a déjà permis la ren-contre d’une quinzaine de structures pour personnes âgées, une dizaine de structures de 8 associations, une tren-taine de travailleurs sociaux ainsi que diff érents partenaires : psychologue, médecin, infirmier, protection juri-dique, diff érents acteurs du CASVP.

« On ne cherche pas à transformer du plomb en or mais à trouver l’or »

Nous sommes dans la rue pour trouver les personnes qui ont envie de donner, et leur permettre de mettre cette envie en acte, indique Kiyann. Beaucoup de gens connaissent le Samu-

social de Paris, au moins de nom. La plupart évoquent spontanément le 115 et les maraudes. Beaucoup ont déjà vu un reportage télé. Ils connaissent en revanche moins le travail d’accompagnement hors de la rue. Or beaucoup de

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SEPTEMBRE 2017 • #18

8PORTRAIT MÉTIER

le briefing

CFDT

Une occasion ratée pour la modernisation des relations au travail !Plutôt que de faire le bilan des précédentes réformes sur le Code du travail, comme le demandait la CFDT, le gouvernement a choisi d’imposer les siennes. Sont en jeu :• Les régimes de prévoyance de branche.• La libération du contrat de chantier.• Le relèvement du seuil de déclenchement des plans sociaux.• Le référendum à la libre initiative de l’employeur.Lors de la consultation de ces derniers mois, la CFDT ne s’est pas conten-tée de travailler à limiter la dérégulation et la remise en causes des droits des salariés. Elle a aussi obtenu des avancés. En exemple : La hausse des indemnités légales de licenciement de 25 % ou la négociation de branche sur la qualité de l’emploi pour encadrer le recours aux contrats courts. Pour la CFDT, cette réforme aurait pu faire évoluer la culture du dialogue social et être une étape dans la sécurisation des parcours dans l'entreprise.

LE GOUVERNEMENT N’A PAS FAIT CE CHOIX.Il n’a pas entendu la CFDT, qui demandait un dialogue constructif, effi -cace, à arme égale, et a privilégié la fl exibilité au détriment de la justice sociale.À l’inverse, il a légitimé les attentes les plus conservatrices d’une partie d’un patronat qui ne comprend pas que le dialogue social est un atout pour l’entreprise en lui accordant :• Un pouvoir unilatéral renforcé. 6 millions de salariés de petites entre-

prises ne pourront pas obtenir de contrepartie lorsqu’un employeur voudra déroger au Code du travail.

• L’accompagnement des représentants du personnel par des experts sera limité et contraint.

Cette réforme aurait pu être l’occasion de moderniser le fonctionnement des entreprises par un meilleur partage de l’information avec les salariés et leurs représentants. C’est une occasion ratée d’amener le patronat à modifi er son approche et ses méthodes dans l’entreprise.

SUD SANTÉ-SOCIAUX

Vous avez dit « discrimination syndicale » ? Le CESE1 a récemment publié un avis2 concernant les discriminations syn-dicales en France, projetant des travaux à niveau également international et européen. Ce Conseil est une assemblée constitutionnelle qui participe à la vie démocratique du pays en élaborant notamment des recommanda-tions sur plan législatif et du droit social. Il se compose de représentants du patronat, des syndicats et d’associations.Dans cet avis il est fait un panorama intéressant de la réalité syndicale en France. L’analyse pointe par exemple le peu de renouvellement gé-nérationnel des représentants. À cela, plusieurs freins expliqueraient l’appréhension dont les français témoignent en général vis-à-vis de l’en-gagement syndical : peur de représailles, de non-avancement de carrière, isolement… Il est vrai que dans le quotidien il est très banal d’entendre dire « Si tu postules à un poste de cadre alors que tu es syndiqué, c’est perdu d’avance ! ». Pourtant, freiner la carrière d’un travailleur parce qu’il est syndiqué, est sanctionné sévèrement par la loi et l’employeur se met hors-la loi, et ceux qui laissent faire, des complices. Encore faut-il le prouver, qu’il y a eff ectivement discrimination. Or, cet avis du CESE alerte sur le peu de traçabilité, de visibilité, d’indicateurs et de chiff res statistiques pour l’identifi er. Le peu de travaux réalisés depuis quelques années, laisse entrevoir néanmoins des diff érences dans déroulement de carrière selon que l’on est représentant du personnel ou pas. L’une des recommanda-tions serait alors d’intégrer au DUERP3, cet aspect spécifi que de suivi de carrière des mandatés, le retour à leur poste une fois le mandat terminé et la valorisation des compétences acquises durant le mandat syndical. De même que diff érents travaux d’instituts comme SECAFI4, recommandent la prise en compte dans ce document unique, de la spécifi cité des RPS5 des représentants du personnel.

Le droit syndical est un droit fondamental qui doit être porté par des personnes. Encore faut-il que cette liberté paraisse chère aux yeux des citoyens !

1 Conseil Economique Social et Environnemental.2 Repérer, prévenir et lutter contre les discriminations syndicales, Lionel Marie et Jean-François Pilliard.3 Document Unique d’Evaluation des Risques Professionnels.4 Organisme de formation des représentants du personnel ; Les Représentants du personnel sont-ils protégés des risques psycho-sociaux ?, Juin 2015.5 Risque Psycho-Sociaux.

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Ouuum ! Ham ! Oum Ham ! Him ! Lorsqu’on traverse le hall d’entrée des LHSS Ridder-Plaisance en ce lundi ensoleillé, les cris qui jaillissent de la cour rappellent ceux d’une danse indienne. « Ouum ! » En cercle, bras en l’air, ce ne sont pourtant ni des Mohawks, ni des Hurons, ni des Apaches, qui chantent ce jour-là, mais des patients, souriants. Au milieu d’eux Christian : « maintenant vous allez adresser vos cris à quelqu’un, allez-y ! », invite Christian en montrant l’exemple. « Him ! » Chaque participant se tourne à son tour vers un résident, certains sourient, d’autres rient à pleine voix. Défoulement, amusement, bienveillance, sont les mots qui viennent à l’esprit à observer l’équipée finir la session de musicothéra-pie animée par Christian, musicothérapeute au LHSS des Lilas venu exception-nellement à Ridder-Plaisance entre deux contrats.

Interview ☛ ChristianEn quoi consiste la musicothérapie ? Christian : La musicothérapie s’adresse à tout le monde mais plus spécifiquement aux personnes en souf-france psychique. On distingue la mu-sicothérapie réceptive, qui consiste à proposer une écoute passive ou partici-pative, la musicothérapie active qui pro-pose de produire de la musique grâce à des instruments ou divers bruitages, et la relaxation psychomusicale. Elle se pratique individuellement ou collective-ment.

Quels sont ses objectifs ? C. : L’objectif principal avec les per-sonnes sans-abri est de travailler sur

l’estime de soi. Dans une séance de musicothérapie, on ne fait pas de pé-dagogie, on ne juge pas. C’est pourquoi on utilise beaucoup d’instruments exo-tiques, qui ne mettent pas les personnes en difficulté. Toute participation est bonne et valorisée. L’attitude qui pré-vaut est la bienveillance. Nous travail-lons également le « faire ensemble », la place de l’individualité dans le groupe, une façon d’appréhender l’isolement. Les séances permettent à la fois de rencontrer les autres mais aussi de se rencontrer soi-même. Elles sont aussi un exutoire et peuvent participer à réduire les tensions dans un lieu. Enfin, on y tra-vaille la motricité, notamment lors des activités de mouvement en miroir. C’est essentiel pour des personnes ayant des longs temps de rue. Certains ont de vrais problèmes de concentration,

des problèmes moteurs. En dehors des séances collectives, je propose aussi des sessions individuelles.

Qu’est-ce qui vous a amené à cette pratique ? C. : C’est après plusieurs années de conservatoire et un cursus en sciences sociales que j’ai découvert cette forme de psychothérapie associée à la mu-sique, mais plus globalement aux sons et au mouvement.

Pourquoi les échanges entre LHSS ? C. : Ils apportent de l’oxygène aux per-sonnes, et provoquent de nouvelles ren-contres, des échanges. Ils permettent ainsi de travailler l’ouverture et la so-ciabilité.

Les équipes ressentent-elles déjà les bénéfices de cet atelier ?C. : Oui, d’autant qu’elles sont égale-ment sollicitées pour participer aux séances, ce qui leur permet de mesurer l’ambiance et d’entrer dans d’autres rapports avec les personnes. La partici-pation des personnes témoigne de leur intérêt pour l’activité. Chacun en ressent les bénéfices. Je participe également aux réunions de liaison, ce qui nous permet d’échanger sur des patients. J’apporte une perspective différente.

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Christian, musicothérapeute

En photosL’ESI ET LE CHU POPINCOURT EN SÉJOUR À PORTBAIL. RETROUVEZ LE RÉCIT DU SÉJOUR ET LES PHOTOS SUR LE BLOG : https://esiportbail2017.wordpress.com

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