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ANGLO-AWtifl)ÔAN SeCf lON Le n u m é r o r 25 Cputimes.
LE LITTORAL FCRTOKÉ ROBAUDY, Fonda teu r
JOURNAL LITTERAIRE ORGANE DES STAllUflS HIVERNALES ... a.. H ^ ' H T ' C . " ™ ! ! '^'"^,1,.^ ...
ET MONDAIN DE CANNES ET DE L'ARRONDISSEMENT DE GRASSE ' el Léffal«. les Aris de» Tribunaus de Commerce, Aden de Société, Veotea de Fonda de Commerce, '•te, **- ^- ^""" *••
A B O N N E M E N T S
} Carinea. Dépa r t emen t s " • " *'"."*•' 1 l imi t rophes 12 fr. 6 i r 1 Autres Dépar tements . 14 - '> • • Union Postule 25 • 13 •
A N N O N C E S ' ' " * "
Echos ( 1 " page) 12 fr. £lhronique de la Mode 6 -Chron. Locale et Régional", fl • Après Chronique B • Réclames (3° page) 4 « Annonces (4* page) 2 50 Annonces Légales 1 5 0 Petites Annonces . 1 »
D'UNE SEMAINE A L'AUTRE
poi te tout 1-̂ l deuiK ptnf)(li(|iii billoniianlf di s JUSqiriUI |ir | dfS Mur K II Ml
tte fin d o d o l i i e qui nous a p l iable
(Stil \ln ii\ que la cigale, nous
II i\ni ]ii pn nous o l M r le loisir de ^isji i l lcr iiolrt.' été dans la prodiga i i t t feiucreuse de chansons s tr identes ma i s nous nous trouvons quand ni tuie •iiu\ premières morsures de la bise, p lus dépourvus que jamais ." C'est qu' i l nous
I il lu obéir à une loi nouvelle et por ter 1 un ^'uichet des économies qui nous |Mi lissaient d ' a u t a n t plus minces pour i E ia t qu 'el les étaient pour nous gonflées de rêves prodigieux. Chacun a ba m a n i t i e ;bUt ac tompl i i ( e ^^este et il est fort probable que ce souf. les moins ri clies qui l 'ont accommodé d 'une de^in voiture plus insouciante .
Le geste est fait. Il ne it!p
reste plus innus et SI
p|i;ii;ii[iv ini pclil quel-Hlf )
i l l<
iKiiis m MH"*tiiîinis |)iis l'i's journées |[ IICIH'S OÙ, pour iuuter la Nature , nous iiniis sommes dépouillés.
\.c lableau des changes est là pour ( i l i r l i iser notre espoir, ma lg ré tout ce que racontent les moins informés, qui sont habituel lement les plus loquaces | Rien plus , nous consentons à oubliei i pour quelques jou r s la hausse contra-1 dictoire de nos éléments de p i tance p o u r 1 ne p lus entrevoir q u ' u n tassement subit , ' discipliné et prochain . Alors, p a r avance nous soignons la sa ignante pla ie de la c lisse a u \ économies avec des appl ications de ce baume incomparable que p jodui t in lassablement notre facile con~ ri 'piiiin d 'un aveiuf heureux, .^vouons i]!i(' le tiihir csi le h iiips le plus orné de lins (•(iiijii,L;;iiM)ns, Xuiis savons le parer , (•'• rnliir, des mule huuières qui ne sont -;iiis doute que les reflets de notre ima-'-•iiiiiiHin féconde, m a t s q u i ont pou r t an t U lalciit de créer une ombre fidèle et in-
vbiL!.sis.sab]e et de conserver toujours eiitie nous et nos projets une dis tance suffisamment respectable pour nous eni-péchei', d 'en contrôler l ' i r réal i té . Gardons nos illu-sions et cont inuons.
Nous n ' avons J ama i s autant ,besoin de cfctte -richesse spiri tuelle que dans cette
nuelie que nous allons promenade auiu, .e| i ir,Hln- v,T>
l.^irus.
l'ji f i i iaissi i i i l 1 (liiiis le riiuelière sniiiiyes des chosf
ipii dissimule de> le irnleuieut des
iiM"lIni','e''!L"\l!H
I oml)ie d un mausnli < \l us mu \(in Ions Lioue smfout qu il n i i m Mucun de nous de f ane lim^ii i i Miie ce pèler inage, de lenoti i M sse nos gestes pieux, et n M I
hesoiii de cette illusion supr \oi i que la mor t nous est encore t u s lointaine. Et c 'est sous le charme de ce sortilège que nous reprendrons le chemin du retour , qu 'en sor tant du champ SdCié les fleurs nous pa ra î t ron t plus éc la tantes , que l ' a i r nous sera plus léger et que même un ciel sombre nous fera rêver au soleil.
Pour avoir pensé tout cela nous n ' en serons pas déshonorés et nos Morts n 'en auront pa s mpins recueilli un s a g e i a pirle de notre sincérité fugitive iccoin modée de la rmes , de sanglots et tU souvenirs respectueux.
Nous honorons nos défunts avec df ^ qual i tés et des défauts dont ils n 'on t pa s perdu le souvenir s ' i ls sont capables de nous voir
Ce qui est cer ta in , c 'est que nous de manderons à ceux qui sont par t i s , quelles que soient nos convictions, de nous soutenir , de nous aider , de nous défen (he et n s i n p u i s imploies auront leui pu IHK N I l i s i lmu dans les su i sau t s dp ti lin II _i I p \ i e u \ proverbe ' Ahlc-ini, II- •.ifl l ' a idera ! » n ' e s t qui In funiuiJc iliHi (d lexe qui veut, quand nous demaiiuons quelque chose, que nous mett ions tout .en œuvre pour l 'ac complir iiar nous-mêmes. Et c 'est peut-clti I i i i i t i l l t n n ixpl icat ion des nom bu 1 1 11 i|iiijliiliens
Mais rv'. di^iirssions ue nous empé-( )H ni |i IS il( ( misi i \ e i le culte ^es dis pai'iis. A cet effet, nous souhai tons de toutes nos forces que ne t a rde plus d pa ra î t r e le monument du souvenir aux morts de la guerre . Il faut que les dernières difficultés pécuniaires , qui sont à la- base de ces échéances toujours reculées, t rouvent un terme dans une en-t r ' a ide à laquelle la ville ne se refusera pas . S'il reste nue explication à formuler, un point obscur à. élucider, qu 'on le fasse au p lus tôt et pu is que 'es der-uieis détai ls soient réglés une fois pour toutes, car huit années sont écoulées bientôt et nous deviendrions impardonnables aux yeux de tous et plus par t i culièrement de nos hôtes.
U nous p a r a î t enfin t rès na ture l , dans cette chronique cannoise de nous asso-
choses, nous voulons c
iiis horribles sous bienfaisantes et
lions croire en la a is une mémoire
iiuns : nous voulons croire à t'hc (ILS \ c r t u s , autrefois méconnues ii';s morts étaient des vivants c ii'iiis, et qui tout à coup ont su:
ÉCHOS M O N D A I N S
Nous app renons avec plaisii- les fian-eaiUes de Mlle Suzanne Crépeaux, la c h a r m a n t e flUe de M m e veuve Crépeaux et sœur de M" Félix Crépeaux, notaire, avec M. P ier re Vern in , ingénieur-chimiste à la maison Roure-Ber t rand fils, 1,1's (le .M. Vernin, ai;fien maire de \Ci i r r , (Mfiricr de là Légiou d ' honneur .
,\(p^ f ' I i r i ta t ions et nos mei l leurs
Nous a p p r e n o n s avec p k i s i r les fiançailles de M. André Merle, fils de M. J. Merle, Undns l r i e l bien connu de notre viHe, r u r r M I I P \ lar=i ier i te Millot, fille de M. II. .Mill"l, in^jiecteur de l'.^ssis-tance i.nhln|iii ' i: ,\li»'im, petite-fille de leu M. Henri Me,yiiadier, .juge de paix h Antibes, et de M m e Meynadier-Las-
Nos r "illeu
Le prince et la pfî'ncesse Chris t ian de Hess'e sont ar r ivés à l 'hôtel Gönnet, en amendant leur installation en leur villa Mar iposa .
. Sont également descendus à l l iùte l ( ionnet : M. Charles Lee et famille, de New-York ; M r et Mrs I .E .K. Boyd el Miss M. Boyd, de Londres ; Mrs J.-B. Anderson, de New-York ; The Misses Saunde r s , de Londres ; M r et Mrs H.-S. Leaning, Mrs Mac Lane Bowdoin el fa-niille. des FJats-nriis : comte de I^outo-
off
iVl. sont de l'clour
Mme Kostio de W a r k o w s k a est notre liote.
Mme Bonnefoy-Lejean est arr ivée er sa villa Le Coteau, quar t ie r des "V'aller-
Mr VV. Or; et sa famille ont iur villa La Gava
•epr!
Slumeipiililé de proliler r s uini.s il(
Keunl, om •' I 'i""' U"li'e Ml:e. u..-Ire r r u - i - . cl ,,111 ;i su lui In in ier rc
,!.• . (,• r \ / , u r .. (lin est huMi le plu- I ,,ii; ilile adapté à n o l r e rive ill. I , .1 1 qui a su le lancei ,; , : ..I . irr comuie l 'cxpressiou
p,i.i .-],uiih|iu lie eliarnies infinis.
fja comtesse Keller est arr ivée villa Les Anémones .
Le Rév. E d w a r d et Mrs Miller ,soni il la villa Georgette, au Cannet .
Mr et Mrs Payne se sont installés ii la villa des P ins , a,u Cannel .
Ladv Yiile est arr ivée de Londres el s'est réinstallée en sa villa Estérel-Ter-rasse, roule de Pégomas.
Mrs Laidlow, de Dublin, M', et Mme René Gavet, de Bordeaux ; Mme et Mlle Révei l lon-Dumas, de Par i s ; M. et M m e Serr igny, sont nos hôtes.
No;is avons appr i s avec peine le décès de M m e Paul Ricolfi, mère de notre ami , M. H u m b e r t Ricolfi, avocat, député des Alpes-Mari t imes, et du Dr François Ricolfi.
F e m m e de vieille t radi t ion 'liçoise, fille du regret té mai re et conseiller général de Contes, M '̂ .Jean Allardi , aim a n t son pays où elle était aimée et est imée de tous,- la défunte était veuve de M Paul Ricolfi, qu i avait laissé à ses flls le p lus bel héritage d ' honneu r et de droi ture .
Ses obsèques, célébrées à Contes, ont donné lieu à une émouvante manifestation de sympath ie à l 'égard des flls de la regret tée défunte el de tous les membres des familles endeuillées.
Nous pr ions M. I-Iumberl Ricolfi, le Dr François Ricolfl et leurs familles d 'agréer l ' express ion ' émue de nos condoléances les p lus attr istées.
TAXE DE SEJOUR. La perception de la taxe de séjour
commencera le 1er novembre . En cou-séquence, les )jropriétaires, principau.^ locataires et gérants de villas ou d 'appar tements meublés , ainsi que toutes personnes louant des chambres nieu-hlées au mois , ä la saison ou à l 'année, devront se présenter , comme les années précédentes, au bureau de la taxe de séjour à l'Hôtel de Ville, à l'effet de faire leur déclarat ion.
LA TOUSSAINT
rinr/r à rE,,Nsr q,n
Chi- 1,1, I
n cùt peul-ctrL pas les-qïialitt
i ilr jiction loiif
S mrpn^Cb df l i ns alors qiie si l
>mmc'i -plw! hi lit itri selon n
•vt-ëlre à. être tru
'"}:'':. •illinr ni
Comme de coutume, les Associations locales nées de la guer re : Veuves, Ascendants , Orphel ins, Muti lés et Réformés n" 1, Pr i sonniers de Guerre, Association Républ icaine des Anciens Com-Ijattants se r end ron t en cortège, le ICi-novembre, au cimetière du Granri-.ia= déposer une couronne au carré du Soii-vehir França i s .
Cette cérémonie a pour effet de ra|i,-peler à la ' mémoire des vivants- le =a-crifice que sure^it s ' imposer les s'Iorieux mor ts de la Guerre , p o u r main te ra r notre pays dans son intégri té terr i \ ' r i ;dG •̂ t éviter toute emprise étrangèi 'e. qm aura i t mis notre France sous une scrvi-Aide out rageante .
Comme les années précédentes, le ^ui-lèse pa r t i r a à 14 h. 30, de la cour de la
Il est du devoir de tous les m t u i b r e s I.' res diverses Associations d'aL-^sister
iinlireux à 'cet te cérémonie, ponr i)ien • ri.ii\-i'r notre a t tachement à la mémoi-
• ''.r nos chers mor ts pour la France .
Les Allocations Familiales à Cannes
Nous avons annoncé en ju in leni ier , l 'organisat ion d 'un service d 'al locations familiales pa rmi les commerçants ' et industr iels et la oréation d ' une caisse de compensat ion qui en est le corollaire obligé.
Nous sommes heureux de faire ron-nai tre que ce service est entré en r^n.-. t ionnement dès juillet dern ier et -i im, depuis lors, donner la mesure di -nn incc/ntestable ut i l i té .
Dès le début , des adiH-i.-n- i!'i|...i tantes e t ' nombreuses nul .1 " i - <• ••• ces de la nouvelle Mi^'.nii-.i' ••• l 'i Caisse de compensat ion fiL-jInln' ' ' I IM-I-lement p lus de qua t re mill ions de salaires et d is t r ibue des allocations à p lus ce cent soixante-dix enfants . Des adhésions nouvelles et précieuses sont '.rès prochaines .
•Par les soins de la Caisse, les allocations sont versées chaque mois , directement entre, les ma ins des mères de famil les. La Caisse de compensat ion ne bornera pas son activité à 'ce seul servie? et se propose de créer b iê iV' t des services non moins impor tan t s , t endan t îl la protect ion efficace de la famille ouvrière ' et que seule, une colleTctivité peut assurer .
Les bienfaits de cette action sociale sont évidents et nous ne pouvons ou 'en-gager v ivement tous les pa t rons et employeurs à. quelque catégorie qu ' i l s ap-par t iénneni , à atpiérer à cette organisation.
Tous renseignements désirables sont du reste t enus à la disposition des intéressés. Il leur suffira de s 'adresser, d'écrire ou téléphoner au secrétariat permanen t : l i , n i e Macé, Cannes. Télé-
iii iMiiHH sy\i)i<\M.i': DUS riiii-l'Uir.ri'lS IMMOiULIliRKS DV r.l.V-
yOiV DE c ANNES. Les membres adhérents pour ron t se
procurer au siège du syndicat , 2, rue Montaigne, aux pr ix réservés aux sociétaires :
1" Le t rai té complet de la loi du 3Ü juin t'J26, su r » L a propr ié té commer-ri;Llo >i • 2° des exemplai res de la loi ...iiiinen'tée du 1er avril 1926 ; 3" des ,; ,cncls de reçus à souche de 100 fenil-
IC't̂ ,
LES AMIS DE CANNES I' used d 'adminis t ra t ion des
'i> t lannes >. s'est r éun i récem-111 la présidence de M. Fahre ,
LK tout d abord- décidé d ' inter-.uprès de M. Charles Brun , pour
Amis de Cannes », agissant mil lût de toute la Cote li 'Azur,
I I sentes à la Commission m-I M pour la protection des pay-I d u t de Trévise a été désigné i i i \n d Par is , les travau.-v de la ssum y défendre les intérêts de
( n imrticulier et de toute la CôLe
du mdan t M i l 111. idopt te l ' idée d 'ouvr i r un
I NI ill '1 de p r ix parmi les élèves supér ieures des établisse-
I I II ( ïgnement de Cannes, Ce I 1 ttc(_t[uera sous la forme d'u-
I il dion française! Le sujet à II II 1 la composit ion du ju ry , la liste
It s p i i \ et le r è s l emen t du concours se-II iit publiés p rocha inement .
M. t''nt)rp a soumis au Conseil l ' idée I INI ' I t( manifestation d 'Ar t Proven-il il {.cirait de reprendre ; en la dé-
\i l i ippint la formale de l 'Exposition di s Arts Décoratifs, à Par i s , mais uni-qnenient en ce qui concerne notre ar t K -,ionàl. La quest ion, en raison de son importance, sera examinée à nouveau au Mjiiib des prochaines séances, .•\ucune deiision n a été prise par le Conseil, mais d 'ores et déjà M. Fabre SP met t ra 1 II r appor t avec la municipal i té pour lin demander son avis sur une manifes-n l i o n de cette envergure , que la mun i -( ipal i té , le Syndicat d ' Ini t ia t ive, îe Comité des Fêtes, le Syndicat dn Gom-metce et de l ' Indust r ie , le Syndicat des Hôteliers, le Syndicat des Horticulteurs, les « Amis de Cannes » et tout g roupement intéressé, pour ra i en t conduire au succès en collaborant étroitement , chacun dans leurs a t t r ibut ions respectives, qui seraient à fixer d 'une manière ex t rêmement .précise- M. Om-lal, au cas où l 'idée exposée |I;M' V. Va-
bre serait re tenue et mise à cx^'inl propose de faire coïncider cetli^ rxpn-i-tfon avec l 'Exposition Horticole de lO:.'-:, présentée sous une forme p ins appm-priée aux circonstances.
M. Goldman a proposé ensuite an Conseil d ' invi ter les représentants des g i a u d s j o u r n a u x anglais à venir passer quelques jours à Cannes au début de ia saison d'été. La publici té que Jes écrivains autorisés feront en favenr de notre pays Tété, contr ibuera puissamment au développement de Cannes-Bams de Mer. Cette idée est adoptée à l 'unanimité . M. Goldman fera toutes les démarches nécessaires. Il sera demandé au ba ron .Meyronne t de Saint-Mare, président de la Commission des fêtes, absent k cette séance, de faire établir p a r sa Commission le p r o g r a m m e de séjour des journal is tes anglais à C,;iiiiii's, ai collaboration avec la Mniii-n-i lM- I-Syndicat d ' Ini t iat ive, le Connl. .i' • !•" tes, le Syndicat des Hôteliers, !• .-• ml' cat du Commerce et de l'Hld^l^i• K
M . ' G o l d m a n , prés ident df l.i ' 'nm-ndssion technique, a dés igm-MM h -ini-'s'.ipr de Montant et Stable, aivhi | , , - l i - iiniir ii;i", iiillci-au plan d'aligne-, , , ., ,1, 1,1 . ill J.' Cannes. M. le doc-{,.,11 i,,i , 1 . 1 1 | . rr inier adjoint, ayant 11,, Il , .uni ,ucL'plL;r ta coHaboratiou dr i, mission technique des » 'Amis
I,Il liiiilt- 'séance. M.. Cbesneau, con-ill. I- !i.r[inique, a demandé que le Con-
. ,1 . ii..'iu> le vœu que les pouvoirs pu-I, M -̂ iMiL tontes les démarches néces--an. -̂ [iniir arr iver r ap idement il l'élec-trifk-ation de la ligne de chemin de fer desservant la Côte d 'Azur , ce aui permet t ra de recouvrir la par t ie de voie ferrée t raversant l 'agglomérat ion centrale de la ville de-Cannes,
UNE NOUVELLE CLINIQUE A CANNES
Demain s 'ouvr i ra à Cannes, boulevard Carnot, la Clinique Beau-Soleil. C'est la maison de santé impor tan te qui manqua i t à notre ville. , -
Les chambres confortables, avec eau chaude, eau froide et salles de bain , le groupe de salles d 'opérat ions et de stéri l isation, tout à fait modernes , l ' installation rad iographique , la radiuinll ié-railie, assureront aux malades et aux opérés le bien-être et la sécurité.
Le service chirurgical sera assuré par MM. le docteur Fresson, ancien interne des hôpi taux de Par i s , m e m b r e de la Société Nationale de Chirurgie ; le doc-Icur .louffray, ancien interne des hôpi-laiix .1.- Lyon ; le docteur Le .femtel, . l i i ini interne des hôpi taux de Par is ,
nieuil.re .le la Société Nationale de Chirurgie . Le service médical et celui d'ac-couchemènl seront ouverts à tous les médecins .
Nous nous félicitons de cette innovation et nous souhai tons à la fois bienvenue et succès à cette maison de cm'e et d 'opérat ions où nos hôtes et les habitants de notre région trouveront, avec le réconfort matériel et moral , les soins
phis ilévoués.
i:oniilé de Cannes Bains-de-iUer
Le Comité de Cannes-Bains de Mer s'est réuni récemment sous la présidence de M. F . Bret.
Le prés ident communique à ses collègues les comptes de gestion de l 'exercice écoulé, qui sont :
Recelles
Subvent ion 'municipale 5.000 fr. Subvent ion du Syndicat d 'Ini
tiative -.". Ô.OOO »
Total des recettes. . . . 10.000 fr.
i;inls illiiotrés, o.CA\ 65 •iiaiix.i 3.801 .> .•s broL-hures.. : W 85 fnurs de la fê-'
Tntal des dépenses. . . 0,800 50
Reliquat en caisse i99 50
IJCS comptes de gestion sont approu-
M. Bret fait pa r t des sollicitations qu ' i l a reçues de nombreux commerçants d e m a n d a n t que le Comité de Cannes Bains-de-Mer soit élargi et comprenne des membres cotisants.
Cette -suggestion a été dictée uar le siH-i'ès de la saison écoulée, dont les I < iiM-iix résultats peuvent et doivent
M. tSrel ajoute que les promoteurs de, \r idoe out offert des cotisations im-
1,0 président , es t imant que le Comité l'-l une émanat ion du Syndicat d 'Initiative et de l 'Association Commerciale et Industr iel le , a tenu à soumettre cette question à l ' approbat ion de ces deux groupements avant de la présenter à ses collègues.
Les membres du Comité approuvent c(-tte t ransformat ion et après un échange de vues sur le processus à suivre pour réaliser ce projet, donnent mandat à leur prés ident de faire .appel à tous les citoyens qui voudront bien apporter leur concours an nouveau groupement .
Afin de donner h nos saisons d 'été un essor complet, ie Comité estime que l ' appoint d ' un Casino est indispensable.
Après un échange d 'observat ions, le Comité, p renan t exemple -nr r \ - - . . . i a -tiun Commerciale et Indu- M. •''.•• .|iii ,i r écemment étudié cette ij.n • •-• . m. i le vœu q u ' u n Casino I'MII.'I • | r la saison prochaine .
Et, afin de ne gêner en r ien les décisions du Conseil mubicipal , le Comité décide de ne p rémuise r aufim projet.
Ce vœu est apjuMuvr ,t IHiiaiiiuiité, à l 'exception de M Kram-, -M'I - 'abst ient .
Le Comité ^oiil,.iMi' .•.' 'l.'in 'iil la réalisation rapide d 'un pri-jil d 'assainissement des plagesi
M. Bret remercie les membres du Comité de leur eoHaboraiion, et tout part icul ièrement MM, Andrau e t -Pons .
Le Comité tout entier s'associe à ces remerciements .
BANQUE DE CANNES
Comité du Boulevard Carnot
On uque u n e délégation, présidée p a r M. Kd-
n md Fer ra rv , s 'est r endue samedi der-nei i U heures , à la mair ie , et e étt •Gçue par .le Docteur Gazagnai'-e pre-
I l 1( 1 Icrata qui ont été présentée
CANNES Ce numéro du LITTORAL,
a été envoyé à 4.50C lecteurs, par les Commerçants de Cannes dont les noms suivent :
AUX DAMES DE FRANCE.
AUX GALERIES de la CROISETTE
A LA MENAGERE
BONNiARD & C
Etablissements Maxime FIOUPOU.
Grands Magasins BOKA.
HOTELS CARLTON. MAJESTIC,
PROVENCE. Direction Générale H..RÜHL.
Maison ROUFF.
Voir leurs Annonces aux
pages 3 et 4.
nts che. I ( 1 nstruire u n trot toir ;
lu l^elit-.liias, du côté des rochers , de U n u ni ( Ju chemin route de Gras-
I I tsi ilici rel iant les deux rues : ['lacer une bouche d ' incendie el
iiiip fcnUiiK a c j te du portail d 'entrée In poste des pompiers ;
i Recharger et goudronner l 'avenne Saint-Jean, la rue du ll-Novem.bre et I lue Pierre-Puget
Réparer , au boulevard Carnot, le ' trottoir endommagé , en t r e le n" i et le
11 P ia u \ d isques rouges sur le
I milieu du pont Carnot, le sens unique à droite
7" Interdire aux auto-écoles de faire leur apprentissage dans les rues trop fréquentées avoisinant le boulevard Carnot ; É
8" Créer un poste de, police au Pala is de Justice pour assurer l 'ordre t rop souvent troublé pendant la nu^t et pour réglementer , le jour, la circulation des autos ;
9" Paver les voies du t r amway , du ^ pont Carnot à la place Vauban , an moment où on opérera le bi tnUthage ;
10" Répare r le trottoir démoli p a r la Compagnie d 'Eclairage Electrique, eu face du n - 1, rue Léopold-Bucquet ;
11" Placer trois becs de gaz dans le chemin vicinal des Vallergues, du pont de l 'avenue Saint-Jean à. la traverse Beaulieu, placer une p laque pour le nom et couvrir le vallon qui longe ce chemin ;
12° Remplacer les lampes électriques bculevard Carnot, en face la rue Mozart, la rue des Anémones et en face de
pro de
ON DEMANDE jeune personne anglaise ou américaine, connaissant le français, pour collaborer au journal .
S 'adresser 24, rue Hoche, Le LiitoniL
— » K « —
E c o l e M u n i c i p a l e d e M u s i q u e
d e C a n n e s
Aim/w •l9::i6-1027 La rentrée des classes s 'étant effectué'j
d imanche dernier, le classement des élèves (anciens et nouveaux) a donné le classement suivant :
4 classes de piano pour 20 élèves 4 — de violon pour 24 >' 1 — de violoncelle pour . 3 " 1 — de clarinette pour . . . 5 » 1 — de flûte pour 2 » 1 •— de piston pour 3 >> 1 — de chant pour t̂ " 1 — de-solfège début 18 »
Soit au total 83 élèves Devant le nombre croissant des éle
vons, le directeur a fait appel à des professeurs très dévoués à l 'a r t musical et a fait accepter p a r le comité-directeur, eri plus des professeurs actuels, MM. jjeclerg Maurice, 1er p r ix du Conservatoire de Roubaix, comme professeur de piano ; M. Odero, comme professeur de vioioncelle ; M. de Coriolis, comme professeur de clarinet te .
SERVICE DE NETTOIEMENT. l)r|Miis jeudi , le service d'Enlèvement
.1 ..i iiii-rs ménagères dans les qnar-,:. r I ,i|M-ès, a lien trois fois par sein,i les mard i , j eud i et samedi , l'après-midi :
1" Quart ier Un ' Four-à-Chaux, compr is entre l 'avenue du Peti t-Juas et l 'octroi ^ u Fonr-à-Ghaux ;
2" Route de Grasse, entre l 'octroi du Pûur-à-Chaux et la fontaine Alice-Blacke ;
3" Ancienne route de Grasse, de la fontaine Alice-Blacke à l 'avenue des Vallergues.-
ON VENDRA DES CHAUSSURES LE DEMANCHE.
Le Syndicat informe lefe intéressés que la vente des chaussures sera, pai dérogation municipale , autorisée au-iouT'iriiiii dirnanelie, ainsi que les deur dernier^ d imanches de décembre .
SVNDICAT DES PATRONS HOU-CRERS.
Le Syndicat des pa t rons bouchers et charcut iers de la ville de Cannes informe le public que la fermeture d 'hiver dans les boucheries devant i.'omniencer ie premier d imanche d-à novenxbi'e, les niagnsins seront ouverts au jourd 'hu
de ceL