le prÉlude 1905. le premier dÉsastre du rÈgne de nicholas ii la guerre russo-japonaise ( 1904-05)...
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LE PRÉLUDE 1905
LE PREMIER DÉSASTRE DU RÈGNE DE NICHOLAS II La guerre russo-japonaise ( 1904-05) afin d’étendre l’empire en Asie
Le Japon la considéra comme la menace de leurs intérêts
La Russie avait le contrôle de la Corée et sur la Mandchourie
La Russie parcourut la série des défaites et Nicholas II démontra des incompétences d’un roi
LA GUERRE ENTRAÎNA LA DÉTÉRIORATION DES CONDITIONS Les paysans ( la famine, la mauvaise production)
Le prolétariat ( les maladies, la duré de travail, les accommodations)
Le ministre d’intérieur , Viacheslav Plehve , fut assassiné
LA RUSSIE : JANVIER 1905
La police était prête à tolérer les mouvements révolutionnaires secrets .
Le 3 janvier 1905 débute une grève aux usines après le licenciement de quatre ouvriers, membre de l'Union chapeautée par le prêtre Gueorgui Gapone.
La grève s'étendit à d'autres usines. Le 8 janvier, il y eut jusqu'à 200 000 grévistes. La quasi totalité des entreprises pétersbourgeoises étaient touchées.
Des revendications politiques voient le jour
LE DIMANCHE SANGLANT
Le dimanche 9 janvierjul./22 janvier1905grég., une foule considérable, évaluée par les témoins entre 50 000 et 100 000 personnes, ouvriers et habitants de Saint-Pétersbourg, participe à une marche pacifique (beaucoup sont venus avec leurs enfants) organisée par le prêtre orthodoxe Gueorgui Gapone convergeant vers le Palais d'Hiver, lieu de résidence de l'empereur au centre de Pétersbourg.
DIEU, PROTÈGE LE TSAR
Selon l'historien W. Berelowitch, les tirs éclatèrent avant que la foule ne parvienne à la place du Palais, en particulier, avant que la foule ne franchisse la Néva. Ce jour-là, cependant, la famille impériale n'est pas à Pétersbourg, mais à Tsarskoïe Selo.
Sur le parcours, beaucoup chantent, et la police précède même la manifestation, comme lors des processions religieuses; en plusieurs endroits du défilé, aucune force de police n'est visible.
LES LEÇONS DU DIMANCHE SANGLANT Le tsar n’était pas aimé par le peuple
La croissance désaffection des forces militaires.
Les marins du cuirasse Potemkine se mutinèrent
Les grèves se répandent partout
PAR SUIT
En Septembre 1905, La Russie a signé une paix humiliante avec le Japon.
Les soldats démobilisés , amers et humiliés.
Le soulèvement fut inévitable.
LA GRÈVE DE L’IMPRIMERIE DE MOSCOU Gagna les autres secteurs industriels avec une vitesse incroyable
La naissance des Soviets : les délégués pour représenter à un conseil central
Le chef des grèves à Moscou est Léon Trotski
Le chef des grèves à St. Pétersbourg est Vladimir Lénine
La grève paralysa la Russie
Suivie par la mutinerie navale à Cronstadt
Les garnisons de Vladivostok, Sébastopol et de Kiev se soulèvent.
LE MANIFESTE D’OCTOBRE
Une sorte de constitution est rédigée
Le parlement élu – Douma
Le Douma représenta la rupture entre l’autocratisme du tsar
Le Douma donna l’impression du pouvoir représentatif et démocratique
LES LEÇONS DE 1905 La Russie n’est pas prête pour la révolution.
Les doléances du peuple n’étaient pas suffisamment profondes pour justifier un état de tension et de constante agitation.
Le manifeste suffisait les intérêts des modérés qui voudraient les réformes mais pas le renversement du régime.
Les radicaux ne pouvaient plus continuer les rébellions car on na’avait plus de fondement
Le gouvernement regagne le contrôle
LES LEÇONS DE 1905
Le Soviet de Lénine De St. P fut dessus au mois de décembre et Trotski est jeté au prise.
Le soviet à Moscou dirigé par Lénine dura plusieurs mois et donna lieu à quelque batailles de rues violentes entre la police te les révolutionnaires.
LES LEÇONS DE 1905
La révolution a échoué mais
Ça démontra l’importance des Soviets.
Les Mencheviks et les Bolcheviks ont collaboré ensemble.
Les Mencheviks ont dominé la grève .
APRÈS LA GRÈVE
Les différences entre les Bolcheviks et les Mencheciks sont devenus plus profonds.
Les Bolcheviks voulurent la révolution
Les Mencheviks voulurent reporter jusqu’à la Russie fut devenue une grande nation industrielle. On adopta l’approche très passive après la grève de 1905
Les partisans de Lénine furent moins timorés.