le printemps est là. tous au...
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Responsable de la publication
Pierre Yves MOAL
Mairie :
Tél: 02.98.68.10.03
Fax: 02.98.68.46.23
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Visite de Mr Philippe Beuzelin, Sous-Préfet de Morlaix
L’espoir plus fort que le doute !
En cette période d’élection présidentielle, les citoyens se posent de nombreuses questions quant à l’avenir de notre pays : comment allons-nous résorber le chômage ? Comment allons-nous assurer l’éducation de nos enfants ? Comment le déficit budgétaire de l’Etat peut-il être réduit ? Comment allons-nous financer le système de santé, les retraites ? Quelle sera la place de l’agriculture dans la société ? Quel est l’avenir des communes rurales ? Quel sera l’avenir de l’Union Européenne ? Et l’on pourrait poursuivre encore la liste des interrogations…
Chaque électeur cherchera les réponses à ses interrogations, en fonction de ses priorités, dans les différents programmes des candidats. Mais une chose est certaine, l’ensemble des problématiques ne sera pas résolu d’un simple coup de baguette magique, ni par de simples promesses.
L’élection présidentielle doit être l’occasion d’un grand débat d’idées, et d’une confrontation des programmes. C’est cela qu’attendent les électeurs !
Le débat démocratique doit avoir lieu, les différentes sensibilités doivent s’exprimer, et en définitive c’est le peuple qui aura le dernier mot dans ce grand moment de la vie démocratique qu’est l’élection présidentielle.
Le printemps est là.
Tous au jardin
Sommaire
2- Etat Civil-Urbanisme
3- Vie municipale et
Communale
6- Vie économique
8- Témoignage 11- Vies des associations
13- Patrimoine
16- Infos pratiques
Mars 2017
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Il est important d’aller voter, car c’est le reflet de la santé de notre démocratie, n’oublions pas qu’au cours de notre histoire, nous nous sommes battus pour obtenir le droit de vote. N’oublions pas qu’aujourd’hui nous avons cette chance d’exprimer notre avis, ce n’est pas le cas partout !
Au niveau communal, nos préoccupations résident dans la place qui sera faite à l’espace rural, aux questions agricoles, et en particulier l’avenir des petites communes et des écoles rurales. Nous sommes aussi préoccupés par les baisses de dotations de l’Etat qui pénalisent de plus en plus le budget des communes, et par l’inégalité de traitement entre les communes rurales qui touchent de l’Etat 62 euros par habitant au titre de la Dotation Globale de Fonctionnement, contre 124 euros par habitant pour les grandes villes.
Nous sommes convaincus que le regroupement des communes n’est pas l’unique solution pour résoudre les déficits, et que la ruralité est un modèle qui peut éviter bien des problèmes de société que l’on retrouve dans les grandes villes. C’est pour cela que nous défendons l’avenir de notre école publique, et que nous réfléchissons sur la relance d’un commerce au bourg, de manière à conforter l’attractivité de notre commune.
Gardons notre optimisme, continuons à travailler pour faire valoir nos atouts, défendons les intérêts de notre commune, tout en recherchant des pistes de mutualisation intéressantes avec les communes voisines qui nous permettent d’améliorer la vie dans notre commune.
Pour mener à bien nos projets, il nous faut promouvoir notre commune et rechercher de multiples pistes de financement. La récente visite du Sous-Préfet de Morlaix, Monsieur Philippe Beuzelin, illustre cette volonté du conseil municipal d’aller de l’avant, de rechercher des financements de manière à pouvoir résoudre une problématique de sécurité routière soulevée par les riverains du bourg, et mener différents projets de revitalisation de notre commune.
Le Maire
Pierre-Yves Moal
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ETAT CIVIL
NAISSANCES :
Solal COTTON BOËTÉ le Pontic
Naé PARREAUX Roch Duff
URBANISME
SCI BARABATOYE 1 Park Braz 2 Construction d’une maison individuelle
CRENN Robert Locmélar Izella Construction d’un carport et mur de clôture
KERJEAN Bleuenn et QUEINNEC Sébastien Tréonvel Restructuration d’une maison et de ses annexes :
modification des surfaces
GOFF Marie-Thérèse 8, Loc Izella Remplacement vélux, fenêtres et d’une fenêtre par Une porte fenêtre
VANDENDRIESSCHE Jean-Pierre 19, Loc Uhella Remplacement d’une haie existante par une clôture aluminium, montée sur mur parpaing avec enduit gratté
GUEGUEN Coralie 6 Park Braz 2 Construction d’une maison individuelle
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URBANISME
LOTISSEMENT PARK BRAZ 2
La commercialisation des 6 lots du lotissement de Park Braz 2 suit son cours avec pour bilan à ce jour :
- 1 compromis de vente signé pour un 1er lot avec un permis de construire délivré le 16 Février
- Des compromis de vente sont signés pour 3 autres lots
Merci aux acquéreurs et futurs habitants de Locmélar.
Plus que 2 lots viabilisés à saisir au prix de 25 € / m2
Toutes les personnes intéressées par l’acquisition d’un terrain peuvent se renseigner auprès de Marie –Françoise DONVAL, adjointe à l’urbanisme au 06.75.54.89.60.
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FINISTERE HABITAT – (ex HABITAT 29)
Comme évoqué précédemment dans le Mélarig du mois de mars, HABITAT 29 devenu depuis
FINISTERE HABITAT nous a communiqué les esquisses (ci-dessous) du projet de construction dans le terrain
« Dolou » situé au cœur du bourg. Rattaché au Conseil Départemental du Finistère, FINISTERE
HABITAT, 2ème bailleur du Finistère, gère plus de 10 000 logements répartis sur l'ensemble du département.
Le projet de Locmélar porte sur la construction de 3 pavillons T3, plain pieds, implantés sur 3 lots
d’une surface totale de 1250 m2. FINISTERE HABITAT achète à la commune le terrain, finance la réalisation des
constructions et assure la gestion des locations. Il reste à la charge de la commune le financement de la voirie
d’accès aux logements en partie compensé par la vente du terrain. FINISTERE HABITAT programme le début
des travaux fin 2018 pour une mise en location en septembre 2019.
Il reste maintenant à réfléchir sur les aménagements complémentaires qui seront réalisés par la
commune sur le terrain restant -2350 m2- face à l’école : parking, aire de jeux, de détente ou de sport…
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SECURISATION DE L’ACCES NORD DU BOURG
L’équipe municipale avait inscrit dans son programme l’aménagement de l’accès nord du bourg. En effet, depuis de nombreuses années les riverains se plaignent de la vitesse excessive sur cette portion de la départementale 30a. Une campagne de mesures organisée l’an dernier a confirmé ce problème aussi bien dans le sens montant que descendant. De plus, la création de la deuxième tranche du lotissement de Park braz ne fait que renforcer le besoin.
La réalisation des études ainsi que le suivi des travaux ont été confiés à la société ING Concept de Landivisiau et à la société Oxalys Paysages de Locmélar.
Le premier objectif est bien de diminuer la vitesse des véhicules. Pour cela la route va être équipée de 3 chicanes avec un sens de circulation prioritaire alterné. Les études ont pris en compte les dimensions des véhicules agricoles afin de ne pas les pénaliser. Parallèlement, une circulation piétonne sera aménagée sur la partie gauche de la chaussée (sens descendant) et ce jusqu’à l’arrêt de bus situé à la sortie du bourg. L’éclairage public sera installé le long de ce trottoir.
Le projet est actuellement en phase d’études sur plan. Il doit obtenir l’aval des services départementaux, l’aménagement se faisant sur une route départementale. Parallèlement, la municipalité sollicite les différentes instances pour l’octroi de subventions.
VISITE DES ELUS AU BAR ASSOCIATIF DE BOTMEUR
Le vendredi 27 janvier, une délégation d’élus municipaux de Locmélar s’est rendue à Botmeur, répondant ainsi à l’invitation de cette municipalité. Lors de notre parcours avec l’ADESS concernant la création d’un commerce, la municipalité de Botmeur avait participé à notre dernière réunion. Il était donc intéressant de voir comment leur projet avait pris forme.
Le bar fonctionne donc sous un statut associatif. Pour consommer, il faut adhérer à l’association, moyennant une cotisation annuelle de un €uro. L’association compte plus de 250 adhérents. Le fonctionnement du bar est assuré par une cinquantaine de bénévoles. Le local est mis à disposition par Monts d’Arrée communauté. Cependant un prochain déménagement devrait avoir lieu vers un local communal. Le commerce est ouvert deux soirs par semaine, le jeudi et le vendredi. On y sert notamment une excellente bière brassée à La Feuillée. Les bénévoles favorisent bien entendu les circuits courts et organisent, ponctuellement et sur commande, des ventes de viandes, de légumes et produits divers. Une vente de pain est organisée une fois par semaine.
Après quelques mois d’’existence, l’expérience semble concluante. La situation financière est saine, le lien social est bien présent et l’ambiance que nous avons trouvée lors de notre visite était vraiment cordiale.
Merci donc à Botmeur pour son accueil et longue vie à leur association et à son commerce.
La délégation municipale ayant participé à la visite
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Syndicat Intercommunal des Eaux Locmélar-Saint Sauveur
Le cabinet Log-Hydro poursuit l’étude pour la
remise en route de façon pérenne de l’ancien captage de
Kernonen, et on peut espérer avoir l’autorisation définitive
d’exploiter cette ressource en eau supplémentaire pour
l’été prochain. Cela permettrait de compléter les
ressources actuelles du captage et du forage de Kersco qui
sont à la peine en période d’étiage.
Par ailleurs, un chemin d’accès au château d’eau de
Kernonen a été empierré, de manière à permettre aux
véhicules assurant l’entretien des installations d’y accéder
facilement. Les entreprises Le Bot et Joncour de Sizun ont
mené le chantier.
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Une cérémonie des vœux conviviale :
La traditionnelle cérémonie des vœux est l’occasion de retracer les grands évènements de l’année à Locmélar et de se projeter dans l’avenir.
Il a donc été rappelé l’investissement de la commune au niveau de l’urbanisme, avec la réalisation du lotissement de Park Braz II, et l’installation de panneaux de promotion de la commune. La réflexion avec Finistère Habitat avance, concernant la réalisation de logements locatifs sur le terrain Dolou. L’ensemble de ces investissements s’inscrit dans l’objectif de renforcer les effectifs de l’école en assurant ainsi sa pérennité.
Au niveau des travaux, il est à noter la réfection de la voirie entre Dirizinet et Kernonen d’une part, et après Kernonen d’autre part, réfection également du lavoir à Keriagu. De plus, la commune a assuré le suivi des travaux d’enfouissement de 7,3 kilomètres de ligne haute tension sur la commune, et des travaux de sécurisation du périmètre de protection de la station d’eau potable de Goasmoal.
Le dynamisme de l’ensemble des associations de la commune a été souligné, leur action contribuant au bien vivre ensemble. Il est à noter que le mobilier de la salle polyvalente a été renouvelé.
Le personnel communal a été remercié pour son implication au service de la population, ainsi que l’ensemble des services qui interviennent sur notre commune.
Les projets de l’année 2017 ont été abordés avec les travaux de sécurisation routière sur la RD 30A. La réflexion sur la remise en place d’un commerce se poursuit. Réflexion aussi sur les aménagements complémentaires qui seront à réaliser sur la surface restante du terrain Dolou.
La soirée s’est ensuite poursuivie de manière conviviale autour du verre de l’amitié, ce qui a permis à tous de poursuivre la discussion.
Création du chemin d’accès au château d’eau.
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Melarig a été reçu chez Roland CRENN (EARL des Millepertuis)
Melarig - Bonjour Roland, je voulais te demander pourquoi l’EARL des Millepertuis ? Roland - Bonjour à vous, j’ai choisi cette dénomination car elle change du « classique » et que ce sont de belles fleurs. Alors nous en avons planté. Des millepertuis, il y en a, c’est vrai, mais pas suffisamment.
Melarig - Je sais que tu es « né dedans » comme on dit, mais comment as-tu décidé d’être AGRICULTEUR avec un contexte parfois difficile ? Roland - Le fait d’exercer ce métier d’agriculteur, tout en préservant le patrimoine familial, me permet de travailler en plein air, au contact de la nature et des animaux et aussi d’être mon propre chef d’exploitation « multifonctions ». Je gère ainsi mon temps comme je l’entends. Dans les faits, je n’ai eu le déclic pour reprendre l’exploitation qu’assez tardivement.
Melarig - Peux-tu te présenter toi, ta famille et nous dire quel a été ton parcours ? Roland - J’ai 38 ans. Nelly et moi nous nous sommes mariés en 2007. Nous avons 3 garçons : Enzo 8 ans et nos jumeaux Léo et Lucas qui vont avoir 5 ans. Nelly travaille à l’extérieur et se charge du secrétariat et de la comptabilité de l’exploitation. J’ai été scolarisé bien sûr à l’école de LOCMELAR, puis au collège Saint-Joseph de Landivisiau. Ensuite, j’ai rejoint le lycée agricole privé du NIVOT à Lopérec, où après une seconde générale, j’ai obtenu mon BAC STAE (Sciences et technologies de l’agriculture et de l’environnement) puis mon BTS (Productions Animales).
Melarig - Donc tu es venu travailler avec tes parents immédiatement après ? Roland - Non pas du tout, j’ai travaillé pendant 4 ans au sein d’un service de remplacement où j’ai pu comparer les différentes façons de faire dans tous les types d’élevages. Ensuite, j’ai été embauché comme salarié en production laitière pendant 6 ans, à Ploudiry où j’étais chargé de la gestion du troupeau laitier. Ce travail a été pour moi très enrichissant. C’est une exploitation qui faisait, à l’époque déjà, elle-même son contrôle laitier et était très pointue au niveau technologique.
Melarig -Tu as repris l’exploitation, peux-tu nous raconter l’historique de ton installation ? Roland - Donc, début 2007, nous avons commencé à trois en GAEC : mes parents et moi. A cette époque, nous produisions du lait et de la viande bovine. Lorsque mon père a pris sa retraite, j’ai décidé d’arrêter l’élevage de la « Blonde d’Aquitaine » pour développer la production laitière. Mais ça n’a pas été une étape facile, car j’avais un peu l’impression de casser tout le travail effectué par mes parents depuis de longues années. De plus, il était hors de question, d’envoyer le troupeau à l’abattoir. C’était trop délicat et trop dur pour mes parents et pour moi. Nous avons eu la chance de trouver un exploitant de Locmelar pour nous reprendre tout le cheptel. Je suis seul aujourd’hui en EARL, depuis que ma mère a pris sa retraite en 2016. Avant qu’elle ne parte en retraite, j’ai été amené à réfléchir et à me poser quelques questions : – Main d’œuvre, comment faire ? – Les animaux, la traite, contrainte du quotidien ? – Problème des routes, accessibilité au pâturage, comment faire tout seul ? J’y ai trouvé 3 solutions : employer un salarié, – ou m’associer, – ou alors m’équiper d’un robot de traite La dernière solution est celle que j’ai choisie de par mon attrait aux nouvelles technologies mais surtout par rapport à son efficacité qui apporte une diminution de pénibilité et d’astreinte quotidienne 24 h/24 et 7 jours/7.
Melarig - Tu te retrouves donc seul pour toutes ces responsabilités et ce travail ? Roland - Très bonne question, responsable Oui ! Malgré tout je suis aidé : ma mère s’occupe toujours de l’élevage des veaux, mon père de la surveillance des animaux gestants qui sont en pâture. Nelly est capable de me seconder, si besoin. Je suis donc complètement rassuré de ce coté là. Alimentation et soins des animaux, paillage, nettoyage et entretien du matériel et des bâtiments, mise en place et suivi technique des cultures, mise en place et entretien des clôtures, préparation des commandes et suivi, dossiers techniques et une partie du secrétariat sont à ma charge.
Melarig - Combien de vaches laitières composent le troupeau ? Peux-tu nous présenter le robot ? Roland - Le troupeau se compose d’environ 75 laitières dont 65 en production et 10 gestantes. Il faut savoir que le robot est saturé avec 65 vaches. C’est son inconvénient. Au-delà, il faut 2 machines mais avec ce que tout cela sous-entend : plus de vaches, de terres, de cultures, et donc plus de travail.
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La traite est libre et volontaire : chaque vache fait ce qu’elle veut, quand elle veut, où elle veut au sein de l’étable. Pas de stress mais du bien-être. Le robot nettoie, trait, désinfecte les trayons et analyse le lait. L’hygiène est la base de la réussite. Les résultats sont satisfaisants en termes de qualité et de quantité de lait. De plus je veux ajouter que j’apprécie la souplesse que le robot apporte quant à l’organisation du travail en tenant compte des impératifs de la vie de famille des loisirs et des obligations extérieures. J’ai donc fait le choix de ne plus sortir les vaches au champ, un affouragement frais leur est apporté à l’étable. Je constate qu’elles sont beaucoup plus calmes.
Melarig - Justement, quelle nourriture apportes-tu au cheptel suivant les saisons ? Roland - Pour qu’un système robotisé marche bien, il faut que les vaches circulent dans l’étable. Il faut donc leur servir une alimentation équilibrée de manière pointilleuse. Chaque aliment est pesé régulièrement à savoir : - ensilage de maïs tous les jours de l’année - ensilage d’herbe - betteraves durant 5 /6 mois - colza ou herbe et trèfle suivant la période de récolte - minéral - sel à disposition - foin à volonté - propylène glycol si besoin. Le robot se charge de distribuer la complémentation azotée et énergétique en fonction des productions et des besoins individuels. La propreté de l’étable doit être rigoureuse. Pour avoir du lait sain, il faut des vaches propres et en bonne santé.
Melarig - Les agriculteurs sont-ils récompensés par le prix du lait actuellement ? Roland – Non ! Un agriculteur fait 70 heures par semaine. Il faut travailler autant pour gagner sa croûte et Il faut investir pour garder un système fonctionnel et compétitif, d’où des charges importantes. Comme dans toute entreprise, la gestion doit être rigoureuse. Pas le droit à l’erreur, chaque investissement doit être mûrement réfléchi.
Melarig - Les quotas laitiers ont été supprimés en 2015. Quelle décision pourrait prendre l’Europe et toute la filière laitière y compris les industriels et la grande distribution afin que le prix du lait fasse vivre le producteur ? Roland – Lorsqu’existaient les quotas, les prix étaient moins volatiles. Il faut désormais composer avec des prix en dents de scie, en étant vigilant et rigoureux quant au coût de production. Le prix de revient du litre de lait devrait être pris en compte lors de la fixation des prix par l’interprofession laitière, les grandes surfaces et les industriels. Il faut que le consommateur prenne conscience de la gravité de la situation. En effet, le litre de lait nous a été payé en 2016 à 30 centimes d’euro en moyenne. Il arrive en grande surface à 1€. Qui est le grand gagnant ? Il faut une meilleure répartition des marges entre tous les maillons de la filière et rapidement, car ils sont nombreux les exploitants qui jettent l’éponge en arrêtant leur activité. Les plus jeunes peinent à assurer la relève.
Melarig - On compte actuellement 90000 exploitations laitières en France. 3 à 4 % disparaissent chaque année du fait de la simple pyramide des âges. Des surfaces seront donc disponibles. A ton avis les agriculteurs vont-ils vouloir augmenter leur production ? Roland - C’est vrai, mais pour autant aucune terre ne reste vacante à cause des contraintes environnementales qui augmentent. La taille des fermes s’agrandit donc mais pour autant, il n’est pas certain que les agriculteurs veuillent produire plus. C’est toujours le même problème : produire plus, c’est bien mais c’est plus de travail et si la rémunération ne suit pas, c’est inutile. Ce ne sont pas forcément les plus grandes fermes qui dégagent le plus de revenus.
Melarig - Quel est ton avis sur les méga-fermes type « mille vaches » par rapport aux exploitations familiales ? Roland – Nos exploitations familiales n’ont rien à voir avec ce genre d’étable-entreprise. Mais je pense que nous nous dirigeons doucement vers des troupeaux de 100 à 150 vaches.
Melarig - Le robot ne va-t-il pas s’imposer à plus ou moins long terme dans les exploitations agricoles ? Roland - Personnellement, je pense effectivement que le robot va convaincre beaucoup de jeunes exploitants. Je voulais ajouter ceci, le tissu économique de la région est bel et bien lié à l’agriculture et j’espère qu’il le restera. Il n’y a pas de pays sans ses paysans. Et selon moi, l’installation des jeunes ne se fera que par la mise en place de systèmes robotisés qui automatisent les tâches. J’invite les personnes intéressées à venir découvrir un exemple des futurs systèmes laitiers de demain.
Melarig - Merci beaucoup Roland et Nelly de votre accueil chaleureux, il est normal que nous nous intéressions à l’agriculture car c’est le secteur économique le plus important de Locmélar. Bonne chance et réussite. De plus, nous espérons que l’un de vos enfants prendra le relais plus tard car nous aurons toujours besoin de producteurs de lait.
Et si la vache décidait elle-même du prix du litre de lait ?
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ASSOCIATIONS
PAROLES DE BENEVOLES
« Le bénévolat, c'est l'art de la gratuité du cœur, du geste et du temps » (Extrait d’un poème d’auteur inconnu)
Mélarig a souhaité donner la parole aux bénévoles qui s’investissent au travers
des différentes associations de la commune. Merci à Céline, Margaux, Nicole,
Bernard, Denis, Jean-Paul, Jean-Yves et Patrick de nous avoir consacré un peu de
leur temps pour ce témoignage.
Mélarig: Comment êtes-vous devenus bénévoles ? Qu’est ce qui fait qu’un jour on se dit j’ai envie d’être bénévole d’une association ?
Pour certains la question ne s’est même pas posée puisqu’ils ont toujours vu
leurs parents faire du bénévolat ; pour d’autres, devenir bénévole suit une logique de partage d’une
passion commune comme c’est le cas pour les cavaliers, la chasse…Parfois l’engagement n’est pas spontané
ou par passion puisque l’on devient bénévole suite à la demande de responsables d’associations qui sont
venus nous chercher.
Mélarig: Quel est votre but en tant que bénévoles ?
L’objectif est de donner un peu de son temps pour les autres sans que cela ne nous coûte quoi que ce
soit. Nous n’avons pas l’impression de perdre notre temps quand nous pouvons donner accès
gratuitement aux livres via la bibliothèque, quand nous permettons aux personnes partageant la même
passion de se retrouver autour d’un projet commun ou quand nous pouvons organiser des festivités sur la
commune pendant lesquels les habitants vont se retrouver pour échanger des moments de détente et de
convivialité…
Mélarig: Que vous apporte le bénévolat ?
Le bénévolat est une très bonne solution d’intégration dans la commune ; ceci permet de connaître
les gens plus rapidement. Au travers des activités des associations, nous avons plaisir à nous
regrouper, nous rencontrer, rendre service et ce dans une ambiance sympathique. Le bénévolat
contribue fortement à la vie sociale d’une commune autant pour les bénévoles que pour les habitants. Quelle
satisfaction de voir la réussite de ce qui a été organisé…C’est une expérience très enrichissante.
Mélarig: Quels sont les côtés négatifs du bénévole ?
Il y a des périodes où il faut composer le calendrier familial en fonction des activités de l’association ;
nous remercions d’ailleurs nos conjoints et familles pour leur compréhension. Nous sommes parfois
amenés à faire des tâches pas très passionnantes comme le débroussaillage des chemins, la vaisselle,
le ménage après les festivités… Nous pouvons parfois nous épuiser quand ce qui est mis en place ne
fonctionne pas soit par des conditions météo défavorables soit par un manque d’intérêt à ce qui a été
proposé…Nous sommes alors un peu déçus mais ces désagréments sont vites oubliés lorsque l’on est une
bonne équipe et que l’on partage de bons moments.
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Mélarig: Vous avez des exemples de ces bons moments ?
On se fait parfois des frayeurs comme lors du concert organisé par Locmélar Patrimoine où l'on craint
un moment que l'église ne puisse accueillir tous les spectateurs; ou comme lors d’un tournoi de foot
très pluvieux, il a fallu mettre des palettes autour de la buvette pour avoir les pieds au sec ; au final ce
sont des manifestations qui ont été très réussies. Ce sont aussi des moments d’émotion lorsque l’équipe de
bénévoles des Cavaliers, après avoir travaillé toute la journée à la réussite d’une journée de randonnée
équestre, assiste ensemble à la naissance d’un poulain. Pour le Comité des fêtes, ce sont les moments, après
avoir fini nos tâches, où l’on se pose tous ensemble pour partager un repas ou le verre de l’amitié.
Mélarig: Que diriez-vous aux personnes qui hésitent à devenir bénévoles ?
ILS SONT LES BIENVENUS AVEC NOUS. Ne craignez pas de vous faire piéger quand vous venez dans
une association, vous ne signez pas à vie. N’ayez pas peur non plus de venir dans une équipe qui vous
semble fermée parce que les personnes se connaissent depuis longtemps ; ces personnes ont elles
même poussé la porte d’une association une première fois avant d’arriver à ce niveau de relation
amicale….Alors osez ! Chacun peut apporter ce qu’il sait faire, donner un peu de son temps en fonction de ses
disponibilités et sans obligation d’engagement dans la durée. Soyez acteur de ce qui se passe dans votre
commune.
Mélarig: Votre mot de la fin ?
Les présidents des associations remercient tous les bénévoles
sans qui celles-ci n’existeraient pas et les bénévoles
remercient les présidents qui assument les tracasseries et les
responsabilités.
Mélarig tient également à remercier tous les bénévoles, toutes les associations et toutes les personnes qui contribuent, parfois dans l’ombre, à la vie de notre commune et ce dans la bonne humeur. «Ces gens qui, par souci du sort de leur prochain, prennent de leur temps pour tendre la main; ces êtres généreux, qui s'oublient et se dévouent, ne les cherchez pas loin. Ils sont parmi nous. »-(Extrait d’un poème d’auteur
inconnu)-
LES ASSOCIATIONS A LOCMELAR
CLUB DES RETRAITES
COMITÉ DES FÊTES
AMICALE LAIQUE
F.N.A.C.A.
BIBLIOTHEQUE
ASS LES CAVALIERS de LOCMELAR [email protected]
LOCMELAR PATRIMOINE [email protected]
SOCIETE DE CHASSE
ASSOCIATION DES PONGISTES
(T.T.E.L.L.) - [email protected]
Vous pouvez également vous renseigner en Mairie.
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Le C.C.A.S. rend visite à nos aînés :
Comme chaque année, les membres du Centre communal d’Action sociale rendent visite aux aînés de Locmélar dans les différentes maisons de retraite de la Région : cette année des visites ont donc été organisées à Lannouchen à Landivisiau, à Sizun, Plougonven et au Relecq-Kerhuon.
C’est l’occasion d’échanger sur la commune à laquelle les aînés sont restés très attachés, et la rencontre se termine par la remise d’un colis et du Melarig qui permet de se tenir informé de ce qui se passe à Locmélar !
A noter que pour 2017, le C.C.A.S. se transforme en commission communale d’action sociale, ce qui ne modifie en rien ses prérogatives, mais simplifie son fonctionnement au niveau administratif.
CONFERENCE SUR LE FRELON ASIATIQUE OU VESPA VELUTINA
Le 09 Février, c’est une assemblée clairsemée mais néanmoins très intéressée qui a assisté à la conférence d’information sur le frelon asiatique ou « vespa velutina » présentée par Denis Jaffré.
S’appuyant sur un diaporama richement documenté en photos et vidéos, il nous a informé sur le développement du frelon asiatique et a retracé le parcours de ce prédateur depuis son introduction en France. En quelques années, le pays a été envahi et il ne restait en 2016 qu’une dizaine de départements où le frelon n’était pas encore localisé.
Il progresse d‘environ 60 kilomètres par an et selon Denis, il est admis que ce fléau ne pourra pas être éradiqué. En pleine saison un nid contient de 1500 à 2000 individus adultes qui vont consommer une quantité d’abeilles correspondant à la population de 2 ruches.
Si un plan de lutte uniformisé n’est pas mis en place sur le territoire, le frelon va devenir un vrai danger pour la biodiversité mais aussi pour nous car il fait son nid n’importe où et souvent à proximité des habitations et parfois à faible hauteur.
Denis souhaite qu'un maximum de citoyens prenne conscience de ce danger. Il est persuadé que chacun de nous peut agir à son niveau en observant, en alertant et aussi en capturant ce frelon de manière très simple : avec un aspirateur portatif, avec une baguette enduite de glue, avec un bocal, de la vapeur d'eau, une raquette, mais surtout pas avec des produits toxiques comme les insecticides dont on ne mesure pas les effets induits sur l'environnement. Il est primordial de supprimer les reines au printemps (mai et juin) avant qu’elles ne fondent un nouveau nid.
Alors qu’il nous avait présenté l’an dernier son bac de capture préventive, Denis travaille actuellement sur la mise au point d’une version autonome de ce bac. Nous devrions en savoir plus dans les semaines à venir.
Vous souhaitez en savoir plus sur cette espèce, rendez-vous sur le site anti-frelon-asiatique.com
Pour des renseignements contactez [email protected]
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COMITE DES FETES
SOIREE DOMINOS ET BELOTE
Le samedi 28 janvier a eu lieu la traditionnelle
soirée Belote et Dominos. Nous avons pu partager
les gâteaux « fait maison » et surtout le désormais
incontournable vin chaud concocté par Carolle ; à
consommer bien sûr avec modération.
COCHON GRILLE
Puis le samedi 11 Février, 80 personnes ont pu partager un cochon grillé, préparé par BREIZH COCHON, dans
une ambiance festive, conviviale et familiale.
REPAS FRUITS DE MER
Le Comité des Fêtes vous propose le dimanche midi 9 Avril un repas Fruits
de Mer avec la participation de MARIE TROMATHIOU.
Uniquement sur réservations
Les réservations doivent se faire avant le 31 Mars au : 02.98.68.26.01
N’hésitez pas à nous rejoindre en tant que membre, vous êtes les bienvenus
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AMICALE LAIQUE
L'école de Locmélar organise une semaine d'initiation aux arts du
cirque du 12 au 16 juin. L'association « Balle à fond » de Quimper
montera son chapiteau et fera découvrir cet univers aux enfants de
l'école.
A l'issue de cette semaine, une représentation des enfants, ouverte à
tous, sera réalisée le vendredi 16 juin en début de soirée sous le
chapiteau.
Pour financer ce projet, l'amicale laïque organise le samedi 13 mai une
opération pizza (sur commande avec passage des parents dans les
quartiers), en collaboration avec Nathalie Gazé de l'atelier Pizza
(présente sur la place du bourg tous les lundi soir).
Enfin, la fête de l'école aura lieu le dimanche 02 juillet, un repas paëlla (sur réservation) sera proposé à midi.
TRI SELECTIF ET COMPOSTAGE
Le vendredi 10 février, l’école s’est rendue au centre de tri de Plouédern (Triglaz). Nous étions pour l’occasion accompagnés de Coralie Berthou, ambassadrice du tri à la CCPL.
Nous avons eu une visite guidée de l’usine. Les enfants ont pu comprendre et observer les nombreuses étapes de tri (arrivée des matières à recycler, tri en fonction de la matière) avant la transformation.
On leur a expliqué l’importance d’éviter les erreurs (objets dangereux)
La visite s’est achevée par des petits jeux de tri de matières à recycler.
Le vendredi 3 mars Coralie Berthou a livré et installé un composteur près de la cantine.
Cette démarche a pour but d'éveiller l'intérêt des enfants à leur environnement en triant au mieux les déchets de la cuisine afin de fabriquer son compost et de diminuer les quantités de déchets à incinérer.
Ils ont bien écouté les consignes qui consistent à :
- ne rien mettre en excès.
- maintenir une humidité suffisante.
- aérer le compost.
Heureusement ils savent qu'ils peuvent demander conseil à Marie-Anne et Alain pour que tout se passe bien.
A l'avenir les déchets deviendront compost, le compost terreau qui pourra enrichir le petit potager de l'école qui ne demande qu'à revivre
Un peu de théorie et quelques jeux sur le tri sélectif
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Le calvaire de Boscornou
Après celui du cimetière, le calvaire de Boscornou présente lui aussi un intérêt architectural, historique, social, patrimonial.
Au bord d'une prairie autrefois boisée, il s'élève à environ 6 m, sur trois degrés de schiste bleu foncé qui supportent un socle carré et un fût en granite. La croix en kersanton est à base conique, les fleurons des extrémités sont de forme carrée. Selon la tradition, le crucifix regarde vers l'ouest ; il est complété à l'est d'une Vierge à l'Enfant. Au sommet, aussi en kersanton, un dais à accolades surmonte le tout.
Ce monument élégant est aussi le reflet de son époque. Le style gothique de la décoration, l'anatomie du corps du Christ, le sourire, le déhanchement, les plis des vêtements de la Vierge, la position de l'Enfant nettement sur le côté de sa mère font qu'il est daté du XVe siècle.
A la base du crucifix, un blason rappelle le seigneur qui contrôlait ces terres et qui, peut-être avait ordonné les travaux. Il s'agit de la famille de Rosmadec. Dans cet écu on distingue clairement six bandes verticales. Quand le calvaire était peint, elles étaient alternativement blanches et bleues. On dit en langage des blasons que l'écu est "pallé d'argent et d'azur de six pièces".
Le socle est orné à la base d'une grande hache. Ce peut être le signe de la commémoration de la fin de lourds travaux de défrichement aux origines du village de Boscornou.
En effet, cet important hameau de Locmélar était alors isolé. Le plateau aux terres de bonne qualité en contrebas des landes du Ménez n'était pas relié à l'axe de communication d'aujourd'hui entre Roscoff et Quimper. La route départementale n'a été ouverte qu'après 1811 au XIXe siècle. La route principale de direction sud nord allait du Faou à Saint Pol par Sizun et Lampaul. C'est à partir de là que la partie agricole la plus riche de Locmélar a été mise en valeur.
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La famille de Rosmadec n'est pas d'origine locale. Elle a pu avoir de l'influence dans notre région par mariage, héritage, don ou achat. Quelques-uns de ses membres ont été particulièrement célèbres : Bertrand était évêque de Quimper à sa mort le7 février1445 Alain était vice-amiral de Bretagne, baron de Pont-Croix à son décès le 14 septembre 1613 Marc-Hyacinthe frère du marquis de Rosmadec, était chef d'escadre à sa mort à La Havane (Cuba) le 14 mai 1702.
Ce beau calvaire de Boscornou a été restauré à la fin des années 1980. Jean Guéguen en a rejointoyé les degrés de schiste. Grâce à des subventions obtenues par la commune, un sculpteur sur pierre du Morbihan en a redressé le fût, mais malencontreusement n'a pas replacé le dais de façon à abriter le crucifix et la Vierge à l'Enfant.
La parcelle de ce calvaire fait partie avec d'autres espaces cadastrés, de terres qui ont la particularité d'être d'un usage commun, d'au moins une partie des habitants de Boscornou.
Le cadastre de 1811 indique pour toutes les parties de la commune la répartition entre les terres labourables, les landes, les prés, les bois et les jardins. La partie de Boscornou était l'une des plus étendues ; un espace de Sizun appartenait, paraît-il, à la"kordennad" de Boscornou. Ce sera dans quelques temps, le sujet d'un autre article autour des calvaires.
(sources : Y. P. Castel, atlas des croix et calvaires du Finistère, cadastre de Locmélar, recherches personnelles)
Henri THERIN
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CALENDRIER DES MANIFESTATIONS
Dimanche 09 Avril Repas Fruits de Mer Comité des Fêtes
Samedi 22 Avril Chasse aux Oeufs Comité des Fêtes
Lundi 08 Mai Tournoi Tennis de Table
Lampaul Guimiliau Association des Pongistes
Samedi 13 Mai Opération Pizza Amicale Laïque
Dimanche 11 Juin Randonnées Association des Cavaliers
Du 11 au 17 Juin Semaine du Cirque Ecole
Samedi 17 Juin Fest-Noz Comité des Fêtes
Dimanche 02 Juillet Fête de l’Ecole Amicale Laïque
Dimanche 27 Août Marché du terroir Associations de Locmélar
Samedi 07 Octobre Fête de la bière
Lampaul Guimiliau Association des Pongistes
Samedi 25 Novembre Kig Ha Farz Amicale Laïque
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Achat de nouveaux livres pour la bibliothèque
Nous avons acheté de nombreux livres à la librairie L'ivresse des mots de Lampaul-Guimiliau.
Ci-dessous figure une liste non exhaustive de nos acquisitions :
Polars :
Le détour : A seulement 17 ans, Livvy Flinn est déjà romancière à succès, tout semble lui sourire jusqu'au jour où elle se fait enlever.
Personne n'a oublié : quand la mort d'un enfant fait resurgir les secrets d'un village.
Intimidation : un mensonge, une femme qui disparaît, une effrayante machination, l'un des derniers polars d'Harlan Coben.
Derrière les portes : Parfois, un mariage parfait cache un mensonge parfait. Et vous, connaissez-vous vraiment vos amis ?
Il reste la poussière : un roman noir, très noir, mais qui brille comme un diamant brut. Prix Landerneau du polar 2016.
Lettres mortes à Lannilis : Qui peut avoir assassiné le professeur de français du collège de Lannilis apprécié de tous ses collègues ?
Le disparu du Taureau : Le commandant de police Guillaume Le Fur enquête sur la disparition d'un étudiant qui s'est laissé enfermer tout une nuit au château du Taureau.
Romans :
L'or du lin : une grande saga familiale malouine au temps de l'âge d'or du lin, le dernier roman de Joël Raguénès.
L'école du Lac : dans l'entre-deux guerre, Garance, un jeune instituteur tombe sous le charme de la mère d'un de ses élèves dont la santé mentale suscite l'inquiétude.
La vie est facile ne t'inquiète pas : la suite de Les gens heureux lisent et boivent du café d'Agnès Martin-Lugand.
L'horizon à l'envers : un roman de Marc Lévy sur la vie, l'amour et la mort … parce qu'après plus rien n'est pareil.
Petit pays : avant Gabriel faisait les quatre cents coups avec ses copains dans leur coin de paradis, le Burundi; prix du roman Fnac 2016
Nous irons tous au paradis : L'auteur de Beignets de tomates vertes signe l'un de ses romans les plus drôles et les plus émouvants;
Ce que tient ta main droite t'appartient : un voyage réaliste jusqu'aux ruines d'Alep, au pays mal connu de l'embrigadement et de toutes les violences.
Le problème avec l'amour : bien que très éprise, Marion réagit maladroitement à la déclaration de l'homme qu'elle aime.
Article 353 du code pénal : septième roman de Tanguy Viel raconte le parcours de Martial Kermeur, quinquagénaire qui vient d'être arrêté par la police.
Danser au bord de l'abîme : Grégoire Delacourt raconte l'histoire d'Emma, quarante ans, mariée, trois enfants, heureuse, qui croise le regard d'un homme dans une brasserie.
Arrêt non demandé : roman de l'enfance racontant comment grandir peut faire mal aux os, aux cheveux ou à l'âme.
Peggy dans les phares : le roman de la passion entre Peggy Roche et Françoise Sagan durant 20 ans.
Les forêts profondes : une plongée dans le quotidien incertain de la Guinée face à l'épidémie d'Ebola.
L'herbe des nuits : le prix Nobel de littérature 2014 de Patrick Mondiano
L'excessive : l'histoire vraie d'une grande séductrice du XVIIIème siècle.
L'âme de la France: Max Gallo retrace la fresque de l'ancienne France des origines à 1799.
Le monde en stop : durant cinq ans, Ludovic Hubler va traverser 59 pas grâce à son pouce et plus de 1300 conducteurs, ce livre est son témoignage.
N'hésitez pas à venir découvrir ces nouveaux livres et tous les autres à la bibliothèque le samedi matin de
10h30 à 12h30.
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Horaires de la Mairie – Locmélar
Lundi de 9 heures à 12 heures
Du Mardi au Samedi de 8 heures à 12 heures
Horaires de la bibliothèque - Locmélar
Le samedi matin de 10 h 30 à 12 h 30 et le jeudi de 14 h à 17 heures
Horaires de la poste - Sizun
Lundi – Mardi – Vendredi : de 9 h 30 à 12 h 00 et de 14 h 30 à 16 h 00
Jeudi : de 14 h 30 à 16 h00- Samedi : de 9 h 30 à 12h00
Fermé le mercredi toute la journée et le Jeudi matin
Horaires de la déchèterie
Les horaires « hiver » (du 01 octobre au 31 Mars): Les horaires « été » (du 1er Avril au 30
septembre)
HIVER Déchèterie de Besmen et de Croas Cabellec
Lundi 9h00 12h00 13h30 18h00
Mardi 13h30 18h00
Mercredi 13h30 18h00
Jeudi
Vendredi 9h00 12h00 13h30 18h00
Samedi 9h00 12h00 13h30 18h00
Mélarig infos est une publication trimestrielle, conçue et réalisée par la commission extramunicipale dédiée à cet effet.
Toute personne intéressée est bien sûr, la bienvenue
Elle se compose des personnes suivantes :
¤ MOAL Pierre-Yves en charge de la commission
¤ OLLIVIER Joël
¤ DONVAL Marie-Françoise
¤ CADIOU Bruno
¤ DREVES Jean-Paul
¤ GUILLOU Jacqueline
ETE Déchèterie de Besmen et de Croas Cabellec
Lundi 9h00 12h00 14h00 18h30
Mardi 14h00 18h30
Mercredi 9h00 12h00 14h00 18h30
Jeudi
Vendredi 9h00 12h00 14h00 18h30
Samedi 9h00 12h00 14h00 18h30