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Journal officiel de la Commune de La Sarraz no 16 de juin 2014

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Page 1: Le Sarrazin no 16 2014

LE SARRAZIN

JOuRnAL OFFICIEL DE LA COMMunE DE LA SARRAzno 16 JuIn 2014 Tous ménages

réDACtIon Et PubLICItéDialimoRoute de Ferreyres 19Case postale 501315 La SarrazTél. [email protected]

IMPrESSIonImprimerie de La SarrazRue du Chêne 4 - 1315 La [email protected]

PArutIonSJuin - Septembre - Décembre - Mars

ImpressumEDItEur rESPonSAbLEMunicipalité de La SarrazMunICIPAL rESPonSAbLEJean-François MeylanréDACtEur En ChEFRoger Simon-Vermot

LE SARRAZINAu 1er juillet, La Sarraz ne seraplus qu’un beau et bon souvenirpour le pasteur David Frey-mond qui s’en va à Pully. Et ceaprès six ans d’un ministèreriche en rencontres chaleu-reuses et de collaborations fruc-tueuses, tant avec le Conseil deParoisse ou les paroissiens,qu’avec les autorités de notrecommune. Entretien avec unhomme de bien.

Votre première rencontre avec les Sarrazins, c’était le 1er août 2008 où vousavez prononcé le discours de la Fête nationale dans le parc du château. Puisvous avez accompli votre tâche dans notre bourg et ses environs à la satis-faction des quelque 2 700 protestants que cette région recense. Qu’est-ce quia motivé votre départ de La Sarraz ?Ce qui motive mon départ est prioritairement le fait que j'occupeactuellement deux postes à 50%: l'un au sein de la paroisse de La Sar-raz, l'autre dans une charge de coordinateur de 10 paroisses de larégion Gros-de-Vaud - Venoge et des aumôneries de jeunesse etd'EMS, ainsi que des 22 collègues qui les desservent. Gestion de tra-vail, missions communes, repourvues de postes, absences maladie,conseil régional, assemblée régionale : toute une organisation qui cou-vre un territoire qui va de Denezy à Mont-la-Ville... et qui reste untravail très administratif, peu pastoral. J'ai besoin de retrouver un plein-temps en paroisse, ce que je pourrai faire à Pully. Ensuite, je désiraisfranchir cette étape avant que mes enfants, Jean-Baptiste, 8 ans, etEléonore, 3 ans, ne soient trop attachés à La Sarraz, que ce soit par lesamis ou l’école.

Qu’est-ce que vous aurez principalement retenu de votre « séjour »à La Sarraz ?Je dois dire que j’ai vécu ici de très belles années de ministère dansune communauté paroissiale jeune, vivante, avec des responsables qua-dragénaires comme moi avec qui j’ai eu plaisir à travailler. J’ai trouvéune paroisse capable de bouger, d’accord de faire des cultes sortant del’ordinaire. Et aussi peu d’esprits chagrins ou passéistes, favorisant ainsiune certaine audace, le travail en équipe et en amitié. M’étant parti-culièrement occupé du secteur de l’enfance, j’ai beaucoup apprécié lesavoir-faire et les compétences des monitrices du culte de l’enfant, ainsique l’ouverture d’esprit des cinq autres communes (Eclépens, Orny,

Pompaples, Ferreyres et Chevilly) dépendant de mon ministère. J’aieu à cœur d’avoir de bonnes relations avec les municipalités et lessociétés locales, mettant un point d’honneur à répondre autant quefaire se pouvait à leurs invitations.Et plus personnellement, qu’avez-vous acquis durant ces six ans ?J’ai pu développer les outils que j’ai acquis lors de mon premier posteà Crassier, sur la Côte vaudoise, une commune de quelques centainesd’habitants où je suis resté 10 ans, et les mettre à profit pour la com-munauté. Ici, je n’étais plus le jeune pasteur, on m’a d’emblée faitconfiance. J’ai pu m’enraciner dans ma théologie, ma spiritualité etdécouvrir mon identité pastorale profonde dans un dialogue intimeavec mes paroissiens. Aujourd’hui on n’hésite pas à contester les théo-ries du pasteur et parfois on m’a remis en question. J’ai pris tout celatrès positivement, ce qui m’a permis d’enrichir mon bagage profes-sionnel. Au cœur de la vie et de la mort, le pasteur se doit d’être àl’écoute de ses fidèles et particulièrement lors de funérailles, momentspropices à la rencontre et au partage.Qu’allez-vous le plus regretter en quittant la Sarraz ?Certainement les amitiés que j’ai pu nouer ici et, naturellement, lesparoissiens que j’ai accompagnés et parfois soutenus. Egalement leConseil de Paroisse, les diacres et les pasteurs avec lesquels j’ai colla-boré et qui furent un véritable soutien dans ma démarche pastorale. J’aiaimé vivre dans cette maison de la cure, au cœur de la ville, au cœur dela vie des gens., même si mon attachement va plutôt aux personnesqu’aux immeubles, je n’oublierai pas ce lieu où ma famille a vécu heu-reuse.Vous allez donc vous déplacer au bord du Léman pour reprendre un poste à100 % dans une commune, Pully-Paudex, comptant 16 000 habitants. Celareprésente-t-il une sorte de challenge pour vous ?On peut dire ça car il faudra repartir de zéro, s’approprier les habi-tudes locales. J’occuperai l’un des deux postes et demi de cette paroisseet vais m’occuper plus spécialement des familles et de la prise en chargedes adolescents dans leur catéchèse. Je me réjouis de ce changement,j’aime bien les nouveaux défis.Comment va se passer votre succession ?Il n’est pas certain que l’on trouvera tout de suite un remplaçant. Sicette situation se présente, il faudra compter sur un courageux pasteurretraité pour assurer la transition. Pour ma part, je convie les Sarrazinsle dimanche 22 juin à 10 heures au temple, pour un culte d’adieu, quisera suivi d’un apéritif et d’un repas au château.

Au revoir Monsieur le Pasteur!

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Qu’il soit généré par des aboiements in-tempestifs et répétés, une télévision auvolume trop élevé ou des conversationstrop animées, le bruit demeure l’une desprincipales sources de conflits entre voi-sins. Sans compter le tapage nocturne qui,lui, concerne les émissions sonores gê-nantes intervenant entre 22 heures et6h30 du matin.L’ordre et la tranquillité publics sont régispar la loi, ainsi que par le règlement depolice communal. Voici quelques extraitsde ce dernier concernant La Sarraz :Art. 15 – Est interdit tout acte de natureà troubler l’ordre et la tranquillité publics.Sont notamment compris dans cette in-terdiction les querelles, les batteries, lescris, les chants trop bruyants ou obscènes,l’ivresse, les attroupements tumultueuxou gênant la circulation, les coups de feuou pétards, l’usage abusif de véhicules àmoteur à proximité des habitations.Art. 19 – Il est interdit de faire du bruitsans nécessité. Chacun est tenu de pren-dre les précautions requises par les cir-constances pour éviter de troubler la tran-quillité ou le repos d’autrui. Pour luttercontre le bruit excessif, la Municipalité estcompétente pour soumettre à restrictionl’usage des appareils trop bruyants.Elle peut exiger la pose d’installations oud’appareils spéciaux, dont elle prescrit letype, pour rendre les machines, appareilsou moteurs moins bruyants.Art. 20 – Il est interdit de troubler la tran-

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Luttons contre le bruit…

quillité et le repos publics par l’emploid’appareils ou d’instruments sonores.Après 22 heures et avant 6h30, l’emploid’instruments de musique ou d’appareilsdiffuseurs de sons n’est permis que dansles habitations et pour autant que le bruitne puisse être perçu de l’extérieur.Art. 21 – Il est interdit d’essayer de régleret d’utiliser abusivement des moteurs devéhicules à l’intérieur de la localité. L’em-ploi de tondeuses à gazon et autres enginsde jardinage bruyants est interdit entre 20heures et 7 heures, ainsi que pendant lesjours de repos publics.Art. 22 – Tout bruit de nature à troublerle repos et la tranquillité d’autrui et toustravaux intérieurs ou extérieurs bruyantssont interdits entre 22 heures et 6h30,ainsi que pendant les jours de repos pu-blics.Si des excès sont dénoncés à l'adminis-tration communale ou au no 021 644 4444 (police cantonale), amendes et contra-ventions peuvent être appliquées.

Nouvelles mesuressur l’énergieA partir de ce 1er juillet, la loi vaudoise surl’énergie entrera en vigueur avec les obligationssuivantes pour qui désire construire :1. Pour les nouveaux bâtiments, obligation decouvrir au moins 20% des besoins d’électricité,dans des conditions normales d’utilisation, parune énergie renouvelable.2. Pour les nouvelles installations de ventila-tion de confort, obligation de couvrir au moinsla moitié de la consommation d’électricité parune énergie renouvelable ou d’utiliser unesource entièrement renouvelable.3. Pour les nouveaux bâtiments ou les exten-sions, les installations de chauffage au mazoutou au charbon ne peuvent couvrir plus de 60%des besoins de chaleur admissibles pour lechauffage.4. Pour les nouveaux bâtiments, possibilité desatisfaire à l’obligation de couvrir 30% de laproduction d’eau chaude sanitaire avec du boisque pour des chaudières d’une puissance supé-rieure à 70 kW et hors des zones soumises àimmissions excessives.Tous les bâtiments recevant un permis deconstruire à partir du 1er juillet 2014 devrontdonc répondre à ces exigences.

Fabienne Baseia, collaboratrice de l ’Office duTourisme, nous propose un petit historique desbâtiments et curiosités de notre bourg.

LE JAquEMArtLa construction de cette chapelle fut déci-dée par François Ier de La Sarraz en 1360et sera consacrée vers 1370. Elle a été éri-gée en dehors des murs de fortification duchâteau et devait servir à la population dubourg afin que celle-ci n’ait plus besoind’aller jusqu’à Orny où se trouvait l’égliseparoissiale. François Ier désirait ainsi éviterque les populations ne se déplacent afinque les épidémies de peste ne puissent serépandre (1347 : grande épidémie de pestenoire en Europe, un quart de la populationeuropéenne est morte lors de celle-ci).D’ailleurs, cette chapelle est dédiée à SaintAntoine-le-Grand, saint guérisseur que

● Le Hêtre sera sauvé!Si l’un des Hêtres et le Robinier situés au nord-ouest du parc du château ont été abattus, iln’en est pas de même du Hêtre faisant face aucafé Belle Hélène dont l’analyse tomogra-phique (procédé de radiographie) s’est révéléeplutôt positive. L’arbre étant considéré sain, ilne sera donc pas coupé mais subira un traite-ment vitaminé en même temps qu’un élagagedrastique de ses branches jugées dangereuses.

● Commerces du ChêneBien que la rue du Chêne soit fermée à la cir-culation jusqu'à fin juillet pour cause de travaux(sauf cas d’exception), ses commerces restent enactivité. Ainsi en est-il de la Banque Raiffeisen,de l’imprimerie, du magasin de fleurs, du garageet de la station-service qui lui est associée, demême que le salon de coiffure.

La Sarrazet sa petite histoire

CFF: cartes journalièreslast minuteSi pour le jour même, des cartes journalièressont encore disponibles, ces dernières sontmises en vente au guichet de l'administra-tion communale (pas de réservation possi-ble) :– le lundi, mercredi et vendredi à Fr. 10.–

en vente dès 13h30– le mardi et jeudi à Fr. 20.–

en vente dès 7h45 jusqu'à 11h.Renseignements auprès de la bourse com-munale au 021 866 02 24

Adaptation des prix et de la gestionde P+railLes tarifs n’ayant pas été modifiés depuis denombreuses années, les barèmes P+Rail se-ront, dès ce 1er juin, augmentés comme suit :Carte journalière Fr. 5.–Abonnement mensuel Fr. 50.–Abonnement annuel Fr. 500.–Tarif à l’heure, achat à l’horodateur.

un des principaux objectifs P+Rail consisteà offrir des places de stationnement le plusprès possible du domicile de l’utilisateur.

l’on invoquait entre autres contre la peste. Cette chapelle est surtout connue pour sonmonument funéraire dédié à François Ier deLa Sarraz. Ce cénotaphe (tombeau vide) atrès probablement été érigé à la demandede ses petits-enfants, à la fin du XIVe siè-cle. François Ier y est représenté mort, lecorps attaqué par des vers, des crapauds luidévorant le visage et les parties génitales.

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être reçu au sein d’une famille à l’étranger,quoique cette réciprocité n’aille pas de soi, lenombre de places disponibles étant assez fluc-tuant.une vingtaine d’étudiants étrangers cherchentactuellement une famille d’accueil en Suisseromande pour l’année scolaire débutant en

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Le principe est assez simple : demander les for-mulaires nécessaires au moyen d’Internet* oupar téléphone, le lundi et le jeudi entre 9h et17h, au 026 466 11 11 pour avoir la possibilitéd’accueillir un ou une étudiante de 15 à 18 anschez soi durant un an. YFu (Youth For un-derstanding) est une organisation d’échangeinterculturel à but non lucratif qui permet, de-puis déjà 50 ans, à des étudiants suisses d’allerdécouvrir une nouvelle culture, et offrant lapossibilité à des étudiants étrangers de venir sefamiliariser avec la fondue, le Léman ou le châ-teau de La Sarraz.A l’école comme un autreLes jeunes accueillis en Suisse romande doiventêtre au bénéfice d’au moins deux ans d’ap-prentissage de la langue française afin de pou-voir communiquer un tant soi peu avec leurshôtes. Toutefois, le but de ces échanges est plu-tôt d’ordre culturel, les étudiants étrangers ap-prenant ainsi les us et coutumes de la Suisse etnos ressortissants ceux des pays où ils seront ac-cueillis.La sélection des candidats se fait sur le terri-toire d’origine par YFu, qui compte une tren-taine de pays d’échanges avec la Suisse sur lesquelque soixante où l’organisation est repré-sentée dans le monde. Outre une enquête demoralité, la motivation et des connaissancesde base dans la langue du pays souhaité sontexigées. Ensuite, le ou la jeune étudiant(e) ar-rivera à ses frais dans sa famille d’accueil qui leou la reçoit sur la base du bénévolat. YFu l’ins-crira à l’école adéquate la plus proche du do-micile de celle-ci, dans une classe normale oùl’étudiant(e) suivra le programme au même ti-tre que ses camarades.Comme un membre de la familleLa famille d’accueil lui réservera une chambreou en fera partager une avec l’un de ses enfantsdu même sexe que l’invité(e), qui prendra sesrepas avec ses hôtes et participera à leurs acti-vités et loisirs comme un membre à part entière.La fourniture d’argent de poche pour des sor-ties ou activités particulières telles que le sportpar exemple, est du ressort des parents de l’étu-diant(e).Généralement, ces séjours durent le temps del’année scolaire, soit d’août à juin de l’année sui-vante. Chaque étudiant placé a un parrain ouune marraine le temps de son stage, en principeun ou une jeune de 19-20 ans ayant expéri-menté ces échanges. Toute famille aussi ac-cueillant un(e) étudiant(e) est en relation avecune personne de contact attribuée faisant par-tie de l’association YFu afin d’être appuyée encas de conflit relationnel ou simplement pourdes questions pratiques. Parfois, un an peutparaître lourd pour une famille désirant tentercette expérience passionnante. Alors, d’ententeavec son contact, l’étudiant peut être reçu dansd’autres familles de la même ville, de façon à ypouvoir poursuivre sa formation scolaire. Maisbien sûr, l’idéal reste le placement pour un ancomplet.

Recherche familles d’accueilIl n’est pas toujours possible de partir à l’étranger afin de découvrir le monde. Mais en tant quefamille d’accueil d’un étudiant ou d’une étudiante YFu, vous avez l’opportunité de pénétrerune nouvelle culture directement de chez vous !

LE SARRAZIN

HORIZONTALEMENT1. Quincaillerie marine2. Fléchirait 3. Contrôlera la cargaison4. Echine. Fétiches 5. Tréfilées. Coin réputé 6. Vraiment grandes.On en fit tout un plat pour un héritage 7. Buts de promenades en mer.Appel à l'aide 8. C’est bien placé pour le clerc. Acarien du fromage.Sigle de société 9. Personnel. Renfort de oui. Plan porteur pourdéjauger 10. Mère de Minos. Monarques slaves

VERTICALEMENTA. Classicisme étroit B. Peintre français. EmplacementC. Tracées à la mainD. Beau parleur.Particulièrement court.Eu l’autorisationE. Exécuteurs stipendiés.Cuistot du matelotF. Voisins de l'équerre.Pièce de soutienG. Mer bretonne.Sigle républicainH. Etat allemand.Puissant dégagementI. Tapis de sol. Parfumde sucetteJ. Partie d'usine.Note pour le chœurK. Petits miroirs bienabrégés L. Qui vonten s’élargissant. Plan-chette d'imprimeur

Mots croisésSolutions en p. 14

Vingt places à trouverA noter que le fait de recevoir un étudiantétranger ne favorise pas automatiquement unéchange au premier sens du terme. Autrementdit, si X est accueilli dans la famille de Y, ce der-nier n’ira pas forcément dans celle de X. Maisil pourra cependant faire une demande pour

Accueilllir une ou un étudiant : quel bonheur pour toute la famille !août. Si vous êtes intéressé à en recevoir ou quevous ayez, dans votre entourage, des personnessusceptibles d’accéder à leur désir, les adressesci-dessous vous fourniront tous les renseigne-ments désirés.________*www.yfu.ch - Mail : [email protected].

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tine décorée de La Sarraz pour le ban-quet officiel, suivi des discours, de la re-mise des prix, le tout ponctué d’inter-ventions musicales, tandis qu’un repaspuis un bal aux sons de l’orchestreChampagne clôturera cette journée forttard dans la nuit.Dernier jour de ces festivités, le lundiest traditionnellement réservé à l’appeldes tireurs, à 10h au Bourg-de-Jougne,avant la parade en ville avec les demoi-selles d’honneur et l’Echo du Maure-mont, cortège dont le but final sera ànouveau la cantine communale pourpartager le déjeuner concocté par la fa-mille Porchet, les enfants pouvants’adonner à différents jeux comme lacourse aux sacs, ou encore profiter detours gratuits offerts par les forains surles carrousels. En soirée, la remise dudrapeau figure au menu, drapeau qui,vraisemblablement, participera là à sadernière Abbaye, étant passablementusé puisqu’il date de 1953.Fruit d’un travail de plus d’un an, cetteAbbaye, dont l’organisation n’aurait pasété possible sans le soutien indéfectible

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les personnes travaillant le samedi puis-sent participer au classement.Pour les autres, le programme débu-tera le 12 juillet avec, de 7h30 à 16h, letir des adultes et des enfants, au stand.En fin de journée, cortège en villejusqu’à non pas au château, occupé parun grand mariage, mais sur la place duTemple où aura lieu, vers 19h, le cou-ronnement. Pour la circonstance, laGrand-Rue sera fermée au trafic rou-tier. Participent au défilé, les membresde l’Abbaye, bien sûr, mais aussi la fan-fare l’Echo du Mauremont, la Fanfared’Echallens, les Diabolos (Tamboursde Cossonay), les Jeunesses de La Sar-raz et environs, le Cercle portugais etles sociétés locales. Ensuite, souper à lacantine et bal avec l’orchestre Cham-pagne et ses danseuses, tandis que lesenfants profiteront des attractions fo-raines.

LE SARRAZIN

Remontantpour cer-taines auMoyen Age(Milicebourgeoisede Grand-cour, 1381),les abbayes-sociétés sontdes associa-tions volon-taires (de tir àl’arc, puis àl’arquebuse et au fusil) qui offraient desprestations paramilitaires (maintien del’ordre public et défense des terres). Du-rant l’Ancien Régime, Berne les a fa-vorisées, y voyant une institution desplus utiles, et le peuple les appréciè-rent, leurs fêtes étant une des rares oc-casions de s’amuser et de danser. LeXIXe siècle voit les abbayes s’adapter àl’époque et la seconde moitié du XXe

siècle consacrer le passage de l’exercicemilitaire à une compétition sportive,qui se veut fraternelle et patriotique.nouvel abbé-président, Denis Rey-mond entend souligner le travail de lapopulation sarrazine et des villages en-vironnants, dont l’engagement pourcette fête est toujours remarquable.Que ce soit les dames de Pompaplesréalisant les roses en papier pour la can-tine, les bénévoles sarrazins et d’ail-leurs préparant les décorations à sus-pendre aux couronnes, les cueilleurs debuis ou les « sapiniers » qui vont cher-cher le mardi précédant la fête les coni-fères offerts depuis 1898 par la com-mune de Juriens, sans compter lesentreprises mandatées chargées de l’or-nement des fontaines, tous sont animésd’un bel esprit de communion festif.

Couronnement Place du templeProvenant – outre de La Sarraz –d’Eclépens, Orny, Pompaples, Fer-reyres, Moiry, Dizy, Chevilly et Lus-sery-Villars, les membres de notre Ab-baye seront déjà mis à contribution ledimanche précédant la fête, avec le tiranticipé. Celui-ci est organisé afin que

Du 12 au 14 juillet, place à l’Abbaye!Moment de convivialité, de fête et de tradition vaudoise, l’Abbaye des Cara-biniers de La Sarraz a été fondée en 1803. tous les deux ans, c’est l’occasion pourses quelque 360 adhérents de se mesurer au tir dans un climat plutôt bon en-fant, mais surtout de festoyer durant trois jours dans les rues décorées de la citéou sous la cantine.

D. Reymond, abbé-président

A chaque édition de l ’Abbaye, les enfants sont également de la fête...

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hommage au voisinLe dimanche matin, rendez-vous auBourg-de-Jougne pour prendre le busen direction d’Eclépens où le culte sedéroulera dans les jardins du château deM. Georges de Coulon. une manièrepour l’Abbaye de rendre hommage au1200e anniversaire de la commune voi-sine. Retour en cortège jusqu’à la can-

de très nombreux bénévoles et des au-torités sarrazines, est placée sous lesigne du Mundial ! Hop les Suisses !________Si vous souhaitez participer à la cueillettedu buis et à la confection des couronnes decette Abbaye, il vous suffit de vous présen-ter à la cantine des bords de la Venoge les5 ou 6 juillet, dès 9 h du matin.

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JuIn 2014 7LE SARRAZIN

Contrairement aux autres régions du canton,le district de Morges n’a pas une structure ré-gionale unique en charge du tourisme. Il com-porte, en effet, deux associations touristiques :celle de Morges région tourisme et celle del’office du tourisme « Venoge Milieu duMonde » basée au château de La Sarraz. un to-tal de 45 communes sont membres de l’uneou l’autre de ces associations, voire des deux, ety cotisent annuellement.Sur le plan régional, cette situation est au-jourd’hui confuse et inefficace. On y trouve 2 of-fices du tourisme ne couvrant pas l’ensemble duterritoire, nécessitant 2 responsables, 2 prési-dents, 2 comptabilités et 2 comités. Cela en-traîne 2 démarches parallèles, un éparpillementdes forces et des moyens, des stratégies peuconcertées et mal coordonnées, des moyens decommunication et de promotion insuffisants,tout cela débouchant sur une identité touristiquerégionale peu claire.Aussi les communes concernées se sont-ellesvues proposer par l’ARCAM un projet de réor-ganisation visant à clarifier, coordonner et sim-plifier les structures actuelles et leur fonction-nement pour en améliorer l’efficience etpermettre un véritable essor de l’activité touris-tique sur l’ensemble du périmètre du district.*Ce projet va dans le sens de la politique canto-nale et a été accueilli comme un «modèle à sui-vre » par le Département de l’Economie duCanton de Vaud.De nombreux avantagesLe principe de cette réorganisation touristiquerégionale a pour objectifs de faire du tourismeun vrai levier de développement économique etde création d’emploi ; de mettre en valeur toutesles richesses de la région et accroître la notoriétédu territoire ; d’attirer une clientèle plus large etplus diversifiée, et cela tout au long de l’année ;de développer et de moderniser l’offre en susci-tant et en soutenant la création de nouveauxprojets.Dans les faits, en remplacement des deux asso-ciations actuelles, il est proposé d’en créer unenouvelle couvrant l’entier du district. une nou-velle organisation où l’office du tourisme régio-

nal sera en charge de la promotion d’une seuledestination : le district de Morges, et coordon-nera les actions à mener avec les moyens dispo-nibles. Les offices du tourisme locaux, sous la di-rection de l’office régional, seront, quant à eux,chargés de l’accueil, de l’information et de l’ani-mation locale.Travailler ensemble, prendre en compte tout leterritoire du district, se projeter dans le temps etmiser sur un développement pragmatiqueconstituent les axes principaux de cette réorga-nisation. Cela exigera un travail très concret quisera piloté par une structure unique permettantun suivi et une évaluation des actions et desprojets.

Le nerf de la guerreLe financement de ce nouvel organe sera répartientre les différents acteurs du tourisme. Lescommunes du district soutiennent l’office dutourisme régional à hauteur de 3 francs par ha-bitant et par an, quel que soit le nombre d’officesdu tourisme locaux (points « i »). Les privés par-ticiperont au travers de leurs cotisations et desprestations qui leurs seront proposées. Lesclients/visiteurs complètent l’apport financierpar le biais de la taxe de séjour. Il est à noter queles communes accueillant, comme La Sarraz,un office du tourisme local, le subventionnentindépendamment, comme cela est la cas au-jourd’hui.Ce projet rencontre l’adhésion de quasimenttoutes les communes du district. La Commis-sion Tourisme du canton, puis le Comité del’ARCAM l’ont validé le 9 septembre 2013.L’échéance donnée aux Conseils législatifs descommunes est fixée en ce début d’été. Celui deLa Sarraz l’a adopté début mai à l’unanimité,comprenant bien que cette proposition est uneopportunité pour le district auquel elle appar-tient de clarifier, coordonner et simplifier lesstructures actuelles qui ne donnaient guère sa-tisfaction.________*Le rapport technique de ce projet peut êtreconsulté à l’adresse suivante : http://www.ar-cam-vd.ch/promotion-economique/economie-touristique

Vers une réorganisation du tourisme

Les cambrioleursont un talent fou!Ce matin, je me suis approché de ma voi-ture côté passager pour y déposer mon por-table sur le siège avant. Comme j’allais ou-vrir la portière, j’ai remarqué un petit troujuste en dessous de la poignée. A bien y ré-fléchir, j’ai cru voir de quoi il s’agissait. J’aidemandé à un ami carrossier s’il avait eu àréparer des véhicules avec ce genre de trous.«Oui, j’en ai vu souvent. Le voleur place unpoinçon juste sous la poignée de la por-tière, pratique un trou, accède au levier etouvre la porte comme s’il avait utilisé uneclé. Pas d’alarme, ni vitre brisée et rien d’au-tre endommagé. »J’ai alors contacté mon assureur et lui aiexpliqué que j’étais surpris qu’ils n’aient pasemporté mon GPS ou autres biens. Et voilàoù cela se complique !«Oh non, me dit l'assureur, ils sont plussubtils que ça. Ils examinent votre GPSpour voir où se trouve votre résidence en re-cherchant «maison». Ou bien, ils trouventvotre adresse sur votre certificat d’assuranceou tout autre document dans votre boîte àgants. Alors ils savent quel véhicule vousconduisez, connaissent votre adresse, se ren-dent à votre résidence et, si votre véhiculen’est pas là, présument que vous n’y êtes paset en profitent pour vous cambrioler.»

Souvent ils vont même jusqu’à laisser sa-coche et portefeuille dans votre véhicule etne prennent qu'une carte de crédit pour nepas attirer votre attention. Quand vous vousen apercevez, ils ont déjà eu tout le tempsnécessaire pour l'utiliser... Ils ont même lacourtoisie de refermer les portières.Alors, faites le tour de votre véhicule pério-diquement, surtout si vous avez stationnédans des centres commerciaux ou sur d'au-tres grands parkings. Et lorsque vous quit-tez votre voiture emportez avec vous sa-coche, portefeuille, cartes de crédit,téléphone portable, etc. Vous devez être trèsvigilant pour remarquer ce genre de trou,particulièrement côté passager, car vousn’avez pas souvent l’habitude de regarder dece côté-là !

Voici une photo du trou fait par le poinçon sous laserrure de votre voiture.

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Futurs travaux au Pont de la

Connaissez-vous votre bourg ? ConcoursOù se trouve ce sympathique cuisinier ?Réponse à faire parvenir jusqu’au jusqu’au 15 juillet 2014 à :Rédaction du SARRAzIn, Dialimo, CP 50, 1315 La Sarraz

Le ou la gagnant(e) du tirage au sort parmi les bonnes réponsesrecevra un bon d’achat de Fr. 50.– à faire valoir au Marché La Ciboulette, à Orny

L’escalier faisant l’objet du concours de mars est situéentre la rue des Terreaux et la Grand-Rue, à côté de la Maison de Commune.Gagne un bon d’achat de Fr. 50.– à échanger aux caves du Château d’Eclépens :M. noé Léderrey, à La Sarraz

Situé au début de la route de Ferreyres, le Pont dela Tannerie, dont la première version a été érigéeen 1887, exige une réfection de certains de ses élé-ments. un crédit de 87000 fr. a été accepté, pource faire, par le Conseil communal. Mais le coût decet assainissement incombant à notre communes’avère être le résultat d’une histoire quelque peutortueuse de la part du Canton. Petit rappel.Le 15 juin 2005, le chef du Département des in-frastructures de l’Etat de Vaud a notifié à la com-mune de La Sarraz sa décision de lui transférer letronçon de route cantonale en traversée de loca-lité qui englobait le Pont de la Tannerie. Lestermes exacts étaient : «Cet ouvrage contrôlé parun bureau d’ingénieurs supporte un trafic 40 t, ilvous est transféré en l’état ». Lors de ce transfert,aucun dossier d’ouvrage n’a été transmis à la com-mune de La Sarraz, pas plus qu’une instructionconcernant la surveillance, la maintenance et l’en-tretien d’un tel ouvrage d’art. De plus, aucun«état des lieux» n’a été effectué lors du transfert,ce qui est contraire à la pratique entre privés et ad-ministrations.

Va et vient entre Commune et CantonA la mi-juin 2009, la Commune a observé que desjoints sortaient d’environ dix centimètres au ni-veau du trottoir. A cette époque, le coût des tra-vaux de réparation de ces joints de chaussée a étédevisé à 135000 francs. La Municipalité a solli-cité l’Etat de Vaud pour qu’il lui remette le rap-port de contrôle du bureau d’ingénieur men-tionné dans la décision du 15 juin 2005. A lalecture de celui-ci, reçu courant 2009, il appa-raissait que pour que l’ouvrage soit totalementconforme, il était recommandé le renforcementdes raidisseurs par l’ajout d’une tôle soudée. Coût :16000 fr. En outre, dans la partie consacrée auxcalculs, le rapport indiquait que la structure étaitsous-dimensionnée par rapport aux normes 2003mais que les appuis, observés à la jumelle, sem-blaient en bon état.La Municipalité a donc demandé des explica-tions complémentaires au Département des in-frastructures qui a répondu que : «En l’état, l’ou-vrage n’est pas entièrement conforme pour lepassage d’un trafic 40t, raison pour laquelle un lé-

ger renforcement est préconisédans les conclusions du rapport.Dès la mise en œuvre de ce ren-forcement, l’ouvrage sera sans res-triction conforme au trafic 40 t ».La Commune a réagi en deman-dant que le renforcement de cepont soit donc pris en charge par leCanton. L’Etat a répondu qu’il aprocédé à une nouvelle expertisede l’ouvrage afin de déterminerformellement sa capacité portanteet que cette nouvelle expertise« confirme les informations trans-mises par le SR en 2005, contrai-rement à ce que nous vous indi-quions dans notre courrier du 16décembre 2009, imprécision dontvous voudrez bien nous excuser ».Après avoir constaté que le nou-veau rapport d’expertise du 25 fé-vrier 2010 évoqué par l’Etat deVaud se fonde exclusivement surles données du rapport de 2005, etque ses auteurs n’ont procédé à au-cune inspection du pont, si bienque leur travail a exclusivementconsisté à refaire les calculs consi-gnés dans le rapport de 2005, lacommune de la Sarraz s’est adres-sée à Madame Salomé IsabelleDaïna, avocate.une demande a été déposée devant le Juge dePaix du district de Morges pour une expertisehors procès pour déterminer les défauts affectantle Pont de la Tannerie, identifier la cause et indi-quer les mesures propres à les réparer ainsi queleur coût.

Des frais pour rienEn outre, cette expertise devait aussi établir si lescauses de ces défauts pouvaient être détectéeslors du transfert du pont de la part de l’Etat deVaud et si, alors, les mesures propres à les réparerauraient été moins onéreuses. En septembre 2013,après une série d’expertises partielles, accompa-gnées par une gestion du dossier déplorable avec

des temps très longs de la part de la Justice dePaix, un rapport final a été déposé auprès de celle-ci par l’expert M. A. Hirt. Ce deuxième rapportreprend le premier en y apportant les modifica-tions et compléments devenus possibles suite àl’inspection détaillée effectuée par la HEIG-VD.Malheureusement pour notre commune, au vudes réponses apportées au motif que le pont a étéremis en l’état après des frais engendrés par les dé-marches juridiques et expertises entre le5.08.2010 et le 30.01.2014 se montant à environ50000 fr., la Municipalité a décidé d’abandonnerla procédure engagée contre l’Etat.Aujourd’hui, selon le rapport de l’expert Pr Dr

M. A. Hirt, les travaux suivants sont à prévoir :

8 JuIn 2014 LE SARRAZIN

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JuIn 2014 9LE SARRAZIN

1er Aoûtà La SarrazComme chaque année, notrecommune convie ses habitantsà fêter ensemble notre fête na-tionale. Le programme débu-tera par un brunch au château dès 10 heures (réser-vation en téléphonant au 021 866 64 23) suivi d’unevisite du bourg dès 14 heures. A 19 heures, une as-siette (10 fr. pour les adultes, 6 fr. pour les enfants)sera servie à chacun dans le parc du château où auralieu la partie officielle de la manifestation. Celle-cicommencera dès 19h45 par la lecture du Pacte de1291, suivie de l’allocution de notre Syndique RosaMischler et du message des Eglises, le tout ponctuéd’intermèdes musicaux interprétés par la fanfarel’Echo du Mauremont.Dès 21 heures, départ en cortège et lampions pourle Mormonnet où une verrée sera offerte par laCommune. Les feux individuels pourront être tiréssur un emplacement réservé. Ensuite, comme il sedoit, aura lieu le grand feu d’artifice qui clôtureracomme de coutume cette commémoration patrio-tique. La Municipalité remercie d’ores et déjà tousceux qui contribuent à faire de cette journée une fête,à commencer par nos employés communaux, lespompiers et, bien sûr, la population qui année aprèsannée répond à ce rendez-vous avec beaucoup d’en-thousiasme.

Fidèle au poste depuis bientôt dix ansTirer les feux du 1er Août à La Sarraz, EmmanuelPanchaud en a pris la sympathique habitude. Cet an-cien habitant de notre bourg, exilé depuis plus de dixans en Valais, ne manquerait cet événement pourrien au monde. Depuis une douzaine d’années, il aremplacé Jean-Michel Bonzon, qui l’a formé. Iléprouve toujours le même plaisir. « J’arrive vers lesonze heures du matin au Mormonnet où m’attendmon aide, Ludovic, ainsi que tous ceux qui, pour une

raison ou une autre, ont envie de partager un mo-ment de convivialité avec nous. On fait une grillade,on boit un verre puis, vers les 14 heures, on se metau travail. La préparation des feux exige le respect decertaines règles, ne serait-ce que pour éviter qu’unefusée ne parte dans le public. Il faut faire les raccor-dements électriques et de poudre, vérifier la stabilitédu terrain, définir le rayon des différents tirs, toutcela s’apprend lors de cours annuels où l’on teste éga-lement les nouveaux produits. Depuis cette année, laloi nous oblige à passer un permis de tir, ce que jeviens d’obtenir. Celame permet de tirer desfusées jusqu’à 75 mmde diamètre. un autreexamen, d’une semainecelui-là, autorise sondétenteur à officier lorsde grands feux d’arti-fice comme les Fêtes deGenève par exemple.Mais pour l’instant, « jeme contente du pre-mier » précise-t-il.Même si l’on ne verra pas de sitôt des feux compa-rables à ceux des grandes villes, c’est tout de mêmeune somme se situant entre 2500 et 3500 francs quenotre commune alloue à la Société de Développe-ment pour l’achat du matériel nécessaire à cette il-lumination du 1er août d’une durée de 15 à 20 mi-nutes. Jusqu’ici, Monsieur Panchaud n’a pas eu àdéplorer d’annulation pour cause de pluie. Il ne restequ’à espérer qu’il en soit de même cette année, lesSarrazins et leurs amis appréciant bien l’esprit departage régnant sur le Mormonnet ce soir-là.

a Tannerie

E. Panchaud, artificier

Agenda des manifestationsJuIn

1-30 Château : Exposition «Les Helvètes du Mormont…»1-30 Musée du cheval : Exposition «Le cheval et le vin»7 Cantine d’Eclépens : Marché artisanal et folklorique12 Cantine d’Eclépens - 12h : Repas de soutien du FC La Sarraz-Eclépens14 Cantine d’Eclépens : Journée officielle du 1200e anniversaire d’Eclépens19 Club des aînés - Gare de La Sarraz - 10h30 : Petite sortie au lac de Bret

et dîner à son restaurant. Ensuite, visite du zoo de ServionJuILLEt

1-31 Château : Exposition «Les Helvètes au Mormont»1-31 Musée du cheval : Exposition «Le cheval et le vin»16-20 Plaine d’Eclépens : Giron des Jeunesses du Pied du Jura31 Château de La Sarraz - 18h30 : rencontre Ferreyres-Eclépens

apéritif offert par la commune de La SarrazAoût

1-31 Château : Exposition «Les Helvètes au Mormont»1-31 Musée du cheval : Exposition «Le cheval et le vin»

SEPtEMbrE13 Château d’Eclépens - 11h : Caves ouvertes et Marché du terroir

Envoyez vos manifestations à la rédaction, nous les annoncerons dans la mesure du possible.

Eclépenset Ferreyresau château

Fêtant chacune cette année leurs 1200 ans d’exis-tence, les communes d’Eclépens et de Ferreyresont décidé de se rencontrer le jeudi 31 juillet auchâteau de La Sarraz.Les habitants de notre bourg sont chaleureusementconviés à cette manifestation qui, sans nul doute, seraempreinte d’un esprit amical et convivial. Les po-pulations des deux villages jubilaires arriveront àpied au château, par des itinéraires hors des cheminsbattus. Eclépens passera par la Rapille, Gondoux etle chemin des Vignes, tandis que Ferreyres traverserala forêt par le chemin des Morts, pour arriver àSaint-Loup, la piscine et le parc de notre monumenthistorique.Vers 19 heures, l’Echo du Mauremont accueilleratout le monde en musique, avant que, une demi-heure plus tard, la partie officielle ne débute.S’y exprimeront Madame Rosa Mischler, notre syn-dique, ceux des villages en fête : Messieurs ClaudeDutoit et Alain Viret, ainsi que Madame le PréfetAndrea Arn.Suivront un échange de cadeaux et l’apéro en mu-sique, avant l’ouverture des bars installés sur la pe-louse pour l’occasion.

Feux interditsLes déchets naturels doivent être prioritaire-ment traités par la filière du compostage. Ilsdoivent être acheminés dans un centre de col-lecte adapté, (déchetterie) ou compostés surplace. Les feux de jardin sont interdits sur le ter-ritoire communal. Toutefois, les feux pour lesgrillades familiales restent autorisés.

• un plan de contrôle (inspection périodique) etun programme de maintenance du pont devraientêtre établi. Ils auraient dû être préparés par l’Etatde Vaud pour le transfert de l’ouvrage à la Com-mune.• Le joint de trottoir avait subi un dégât impor-tant et avait nécessité une intervention de laCommune (surface en béton pour éviter leschutes des piétons). De plus, il devrait être réparérapidement.• Les bordures du pont, qui assurent le scellementdes poteaux des garde-corps, ont subi des dégâtsdus au gel, et doivent être réparés rapidement.• Les joints de chaussée présentent une usureimportante mais qui peut être qualifiée de nor-male après 39 ans de service. Toutefois, leur rem-placement devrait être envisagé à moyen terme.• Vu l’âge des appuis, il est recommandé decontrôler périodiquement leur état lors de fu-tures inspections de l’ouvrage.• Des mesures de conservation de l’ouvrage de-vraient être envisagées pour éviter une progressionrapide des dégradations.• Les parties supérieures des angles des murs dela culée côté Ferreyres présentent des déplace-ments et des inclinaisons. De plus, le remblaiderrière cette culée a subi d’importants tasse-ments, provoquant des déformations de la chaus-sée. Etant donné que ce remblai est quasi inac-cessible, un effort important sera nécessaire pouridentifier les causes de ces dégâts et y remédier.A la lecture de ces diverses constatations et affir-mations, considérant qu’il n’y a jamais eu de tra-vaux d’entretien exécutés par le Canton, la Mu-nicipalité juge aujourd’hui indispensable uneremise en état globale du pont.

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JuIn 2014 11LE SARRAZIN

D’une surfaceau sol d’unecentaine dem2, haute de3,50 m jusqu’àl’épais tapis demousse qui larecouvre, lasalle sarrazineaura l’aspectd’une sorte degrotte, aux pa-rois et plafondde laquelleplusieurs par-cours colorésseront dispo-sés, ponctuésde prises di-verses. Le jeu consiste à se servir de cesdernières pour évoluer dans l’espace augré des itinéraires proposés. Pas besoinde corde, ni de matériel spécial, de simplesbaskets ou des pantoufles en cuir fin suffi-sent pour pratiquer ce sport en toute sé-curité.L’idée émane d’un groupe de grimpeursde la région désireux de pouvoir disposerd’un outil adapté à ses besoins. Car si lapratique de l’escalade est agréable et ac-cessible sur la falaise de Saint-Loup enété, il n’en est pas de même durant lamauvaise saison. Et tant qu’à faire, cettesalle pourra être également dédiée à lajeunesse, aux écoliers et aux familles quine connaissent pas encore ce magnifiqueexercice physique, que ce soit pour des rai-sons d’infrastructures ou encore finan-cières.Soutien de la MunicipalitéLe bloc est un type d’escalade qui se pra-tique aussi bien à l’extérieur sur des struc-tures rocheuses naturelles, qu’à l’intérieursur des structures artificielles. Il est ca-ractérisé par la faible hauteur à grimperqui ne dépasse guère quelques mètres etpermet donc de retomber au sol avec unrisque réduit.L’association Venga Bloc, récemmentcréée à La Sarraz et initiatrice du projet,est à but non lucratif et compte s’autofi-nancer par le biais de ses membres quipaieront une cotisation annuelle afin decouvrir les frais liés à l’utilisation de lasalle. Elle mise aussi sur des aides finan-cières privées ou publiques, du sponsoringet un coup de pouce de la commune quia décidé de soutenir cette entreprise en lui

attribuant, dans un premier temps, unesomme de 5000 francs. L’objectif avouéde Venga Bloc d’offrir un espace qui pro-meuve les comportements sains tout enproposant de créer des liens sociaux entreles différents acteurs à travers ces activitésa séduit la Municipalité. Les grimpeursconfirmés de la région pourront ainsi par-

L’escalade à la portée de tousbon pour le corps, bon pour la tête, gravir des parois est un sport complet quicompte de plus en plus d’adeptes. L’une des raisons de cet engouement est à recher-cher dans l’apparition de salles de bloc, un type d’escalade qui se pratique, sans dan-ger, sur des structures artificielles. un projet d’une telle salle est en cours à l’ancienneusine Girardet, dans le quartier artisanal des Condémines.

Le mur du cimetièreva être refaitPenchant dangereusement, (actuelle-ment, son inclinaison affiche 8°), le murdu cimetière longeant le chemin agri-cole AF devra être démoli et recons-truit. Menaçant de s’écrouler sur lestombes à son pied, cette partie souffredes passages des engins agricoles deve-nus de plus en plus lourds. Construit aubeau temps des chars à traction ani-male, ce mur a passé d’un rôle de pro-tection de la paix des morts à celui demur de soutènement, le chemin étantenviron 50 cm plus haut que le niveaudu sol à l’intérieur. Celui-ci exerce unepression qui fait de plus en plus pen-cher l’édifice, l’entier de l’effort de com-pression se portant sur l’intérieur côtécimetière. Aussi le Conseil communala-t-il accepté un crédit d’investisse-ment de 50000 francs pour remettre cemur en état. Cela passera par la réalisa-tion d’une véritable fondation afind’ériger un nouveau mur après démoli-tion de l’ancien. La poussée due au tra-

fic agricole sera de ce fait retenue, ga-rantissant ainsi la durabilité de la nou-velle réalisation. D’une longueur de 45m, la reconstruction exigera un volumede maçonnerie de 44 m3 et autant pourla fouille. De plus, sur toute la longueur,le raccordement avec le chemin sera re-pris, assurant une plus grande durabilitéà l'ouvrage, l’aspect général actuel étant,quant à lui, conservé selon le projet.

faire un entraînement soutenu et de qua-lité, tandis que les débutants auront lachance de côtoyer des gens expérimentésqui leur permettront de s’initier à ce sportet de progresser. L’accès sera bien sûr éga-lement ouvert aux familles, des espacesadaptés aux enfants étant aussi prévus.une affaire sérieuseMembres d’une équipe pluridisciplinaire,les sept personnes formant le comité del’association proviennent d'horizons di-vers. On y trouve un biologiste, deux ar-chitectes, un animateur socioculturel, uneétudiante en médecine, un menuisier etune graphiste.Engagées bénévolement à la mise en placedu projet, ces personnes ont des compé-tences variées, propres à le mener à bien.«En plus de l’aspect sportif de l’escalade,dit l’une d’elles, je trouve important depouvoir créer un lieu de vie qui puisseréunir des gens de différents horizons.une salle de bloc à La Sarraz est un ex-cellent moyen de concevoir une plate-forme de rencontres et d’échanges pour leshabitants de la région».Construite en bois et démontable, lastructure d’escalade a été récupérée dansun ancien local du canton où était prati-qué ce sport. Ce qui, ajouté aux diversescompétences du comité de Venga Bloc,diminuera sérieusement les frais d’instal-lation. La salle serait ouverte chaque jour,y compris le week-end, les horaires étantencore à définir.

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JuIn 2014 13

Economie contre écologie ? Bien difficilede trancher, tant les arguments des uns etdes autres se défendent. Depuis 1953, la ci-menterie d’Eclépens, qui emploie quelque140 personnes, produit annuellement800000 tonnes de ciment sur les 4,4 mil-lions aujourd’hui nécessaires aux construc-tions du pays, et fabriquées dans les six ci-menteries réparties sur le territoirenational.Les chantiers, que ce soit en matière de lo-gements, de réalisation ou d’entretien desinfrastructures routières ou ferroviaires, enhôpitaux, bâtiments administratifs ouécoles, demandent une poursuite de l’ex-ploitation, si bien que, pour faire face à lademande à long terme, l’entreprise Holcim,dont le permis d’exploiter actuel courtjusqu’en 2021, ambitionnait de tirer partide la partie sommitale du Mormont, richeen calcaire, et ce jusqu’en 2050.

Des chantiers à la pelleC’était sans compter avec les amoureux dela nature pour qui ce secteur constitue uneréserve à préserver. Figurant à l’inventairecantonal des monuments et des sites(IMnS), ainsi qu’à celui de l’IFP (Inven-taire des paysages, sites et monumentsd’importance nationale), ce lieu recèle uneflore et une faune jugées exceptionnelles,que les milieux écologiques et une partie dela population environnante ne sont pasprêts à sacrifier. D’où la création, il y a en-viron un an, d’une association pour la sau-vegarde du Mormont (ASM), bien décidéeà se battre pour limiter, tant que faire sepeut, le grignotement de la colline.Le CEVA à Genève, la gare de Lausanne,

LE SARRAZIN

le goulet d’étranglement de Crissier et ledéveloppement du barrage d’Emosson,pour ne citer que les plus importants, sontdes enjeux majeurs dépendant de la pro-duction de ciment à Eclépens.La proximité de la cimenterie d'Eclépensavec des chantiers potentiels influe favora-blement sur le coût des transports et lesnuisances associées. De plus, la cimenteriebénéficie d'une liaison ferroviaire permet-tant des livraisons à grande distance dansde bonnes conditions économiques et en-vironnementales.

Arguments pour un plan bAussi, en attendant la décision de laConfédération d’accorder ou pas une mo-

dification de l’IFPpour exploiter lesommet, la cimen-terie a-t-elle prévud’étendre son exca-vation sur le terri-toire sarrazin, sur leplateau de la Bi-rette, une surfacequi lui appartient,située à l’ouest de lacarrière actuelle etplanifiée pour uneexploitation de soncalcaire il y aquinze ans déjà se-lon le Plan d’Affec-

tation Cantonal (PAC) et le Plan directeurdes carrières (PDCAr). Les limites de l’ex-traction ont été déterminées sur la based’études sur les vibrations, des mesures deprotection paysagères étant, par ailleurs,déjà en place depuis 1999 afin de réduirel’impact visuel du site. Essentiellement for-mée de parcelles agricoles, la Birette necontiendrait pas de richesses naturellesparticulières. L’extraction de son calcaires’inscrirait donc dans le prolongement lo-gique de l’exploitation actuelle et devraits’étendre sur huit ans.Bien que le canton de Vaud étudie les pos-sibilités de stocker les deux millions de m3

annuels de matériaux propres générés parles chantiers en cours, l'éventuel comble-ment ne pourra débuter dans le cadre duPAC en vigueur, celui-ci ne le permettantpas dans la carrière du Mormont.Ainsi, le projet de comblement accompa-gnera la mise à jour du PAC dans un se-cond temps, vraisemblablement aux alen-tours de 2020. Cette réserve de stockage esten effet stratégique pour le Canton et lavolonté de lancer un comblement est bienprésente.Quoi qu’il en soit, la mise à l’enquête parle Canton de l’exploitation de la Birettedevrait être déposée d’ici la fin de cette an-née. Le dialogue est engagé entre exploi-tants de la carrière et les organismes deprotection de la nature. Le bon sens de-vrait l’emporter.

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Le Mormont: entre le marteau et l’enclumeSujet sensible s’il en est, l’extension de la carrière du Mormont divise les habitants de la région. Certains y voient unegrave atteinte au paysage, tandis que d’autres apprécient les postes de travail offerts ainsi par la cimenterie holcim SA.

En ligne continue, l ’exploitation actuelle, prévue jusqu’en 2021 et, en traitillé, le projet de la Birette,8,5 ha dont 1,2 ha de forêts, le reste étant formé de terrains agricoles.

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14 JuIn 2014

Son premier président fut le sarrazin Pierre Mé-traux, secondé au secrétariat par Louis Segess-mann, d’Eclépens. Aidés par Jean-Paul Pignat,

doyen de la so-ciété, GeorgesThilo, Albert Du-four, Jean-Phi-lippe Schindler,Roland Joliquin, etquelques autres, ilsont construit àmoindres frais leurstand en bordurede forêt, la profes-sion ou l’em-ployeur de chacuny contribuant demanière désinté-ressée.

Au début, des cibarres étaient chargés de marquerles points obtenus sur les deux cibles à 50 mètres,équipées par la suite d’un système à portique per-mettant de ramener la cible vers le tireur, la série decoups terminée. Système qui, plus tard, sera appli-qué aux cinq autres cibles, à 25 mètres celles-ci. Letir sportif met l'accent sur le calme et la concen-tration, le respect des autres et de son matériel, va-leurs à l'opposé de la violence.

Pour tous les âgesSi la plupart des membresde la société proviennentde La Sarraz, on en compteaussi dans les communesenvironnantes et même àDomdidier, Commugny,Prilly ou Pully, « expatriés »restés fidèles à ce coin dePays de Vaud. Deux repré-sentantes, dont la plusjeune du groupe (26 ans), yapportent une présence fé-minine, le doyen, avec sesnonante printemps, con-servant, quant à lui, bonpied bon œil. Ce largeéventail de personnalitésdiverses favorise un fort es-prit d’amitié, le banquier côtoyant le technicien demaintenance, le cuisinier le conducteur de loco-motive. Assez stable, l’effectif se renouvelle d’annéeen année, les départs étant compensés par les arri-vées de jeunes intéressés par le tir sportif.Réunis par une même passion, la majorité ayant étésous-officier ou officier de notre armée, les tireurssarrazins utilisent les calibres autorisés, à savoirceux répondant aux normes ISSF ou aux armesd’ordonnance (tir autorisé dans des calibres jusqu'à9 mm ou 38 spécial), la préférence allant plutôt auxarmes privées aujourd’hui. Chacun et chacunevient au stand muni de sa propre arme de poing, lesmunitions étant fournies sur place, ce qui permetde les contrôler. Disposant, d’autre part, d'instruc-teurs brevetés, la société offre à ses nouveaux mem-bres l'occasion de se familiariser avec le maniementd’un pistolet et d'acquérir, par ce biais, les auto-

matismes indispensables à la pratique d'un tir spor-tif de qualité.

une activité très variéeLa motivation dans ce sport n’est, bien sûr, pas detransformer les membres de la société en super flicdes séries télé, mais simplement d’améliorer sesperformances, cultiver l’esprit de compétition et leplaisir d’être ensemble entre personnes pratiquantle même hobby. Les entraînements ont lieu lesmercredis, samedis et dimanches de mai à octobre,selon des horaires bien définis et accessibles sur In-ternet.*Durant la saison, chaque tireur du club peut par-ticiper à un concours interne au cours duquel lespoints obtenus sont inscrits sur un carnet de standet comptabilisés pour désigner à la fin de l’année leroi du tir. La société prend également part aux tirscantonaux, y récoltant régulièrement des médailles,ainsi qu’aux tirs militaires au stand de La Sarraz etaux tirs en campagne qui ont lieu à celui de l’Isle.

hommage aux pionniersAvec les projets nationaux de réduire, voire sup-primer les effectifs militaires, le souci de la péren-nité de ce sport commence à se faire un chemindans les esprits. A cela s’ajoutent les nuisances so-nores qu’il peut engendrer si elles ne sont pas maî-

trisées dans la mesure du possible. Placé dans unezone bien à l’écart des habitations, avec des ciblespositionnées sur une butte naturelle en bordure desbois, le stand de la Société de Tir au Pistolet de LaSarraz démontre que ses initiateurs ont eu à cœur,déjà, de limiter les impacts négatifs au maximum.Aussi les tireurs au pistolet sarrazins voient-ilsl’avenir avec une certaine sérénité. La fréquentationest bonne, les familles participent en nombre auxrepas organisés lors du Tir à l’arme surprise (le 28juin) et à celui du Tir de clôture (le 1er novembre),et l’équipe en place peut se réjouir, année après an-née, de voir de nouveaux adhérents, jeunes pour laplupart, rejoindre ses rangs. Que demander de plus?________Si vous êtes intéressé(e) :Claude Gmünder, président, tél. 079 655 62 44.*Lien Internet : www.tiraupistolet.ch

En plein dans la cible !Après le tennis et le golf, le tir sportif au pistolet est le troisième sport individuel pratiqué dansle monde. Fondée en 1952, la Société de tir au pistolet de La Sarraz compte aujourd’hui unequarantaine de membres. Mixte, d’une moyenne d’âges de 45 ans, son activité se déroule austand des Condémines, situé juste après la brocante de ce quartier artisanal.

LE SARRAZIN

A C C A S T I L L A G E C O U R B E R A I T V A R R A I S O N N E R A D O S R I D O L E S E T I R E E S S I T E M V A S T E S E R S I L E S A H A R D S I S C I R O N S A M E D A F O I L I E U R O P E T S A R S

DéchetterieSamedi 9h à 11h45Mercredidu 1er mars au 31 oct. 16h à 18h301er nov. au 28 février 14h à 16h30

Entreprises et agriculteurs :Mercredi et vendredi 11h à 11h45

Déchets vertsCOMPOSTIÈRE DE LA VENOGELundi au vendredi 8h à 18h non-stopSamedi 1er mars au 31 oct. 10h à 15h

AdministrationcommunaleSecrétariat municipalBourse communaleOuverture des guichets :Lundi 13h30 à 16h30Mardi 7h45 à 11hMercredi 13h30 à 18hJeudi 7h45 à 11hVendredi 13h30 à 16h30ou par téléphone :de 9h à 11h et de 14h à 16hAdministration communaleTél. 021 866 02 20

Pharmacie de gardeCentrale des médecinset médecins-dentistesTél. 0848 133 133Vétérinaire de gardeVotre vétérinaire vous renseignera.

Numéros d’urgencePolice 117Sapeurs-pompiers 118Ambulance 144Intoxications 145REGA 1414

Urgence AIEM (réseau d’eau)Tél. 079 485 62 05En cas de non-réponse 079 857 93 81

En cas de fuite d’eau 079 471 35 41

Claude Gmünder, président