le savoir nager et les programmes en eps au collège · pourquoi pas de travail / exigence sur le...
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STAGE FPC EPS - NATATION -Le savoir nager
et les programmes en EPS au collège
Montélimar, mai 2010
Jean Marc Oziol : collège Ville La Grand (74)[email protected]
Sylvie Slimani : UFRAPS Grenoble (38)[email protected]
Suite à la construction du corps flottant
(quel test retenu : (1er degré collège + extraits du sauv'nage)?)
Vers la « natation de vitesse »(corps propulseur)
Vers « la natation longue »(corps projectile)
Le comportement attendu à la fin de cette étape :
nageur qui démarre du mur en coulée ventrale, tête rentrée et bras devant en flèche, glisse sur
environ 5m sans faire de mouvement, puis enchaine par des tours de bras alternés lentement en maintenant la tête rentrée
(situation classique : les 6 coups de bras en VRI (= voies respiratoires immergées)), puis s'arrête
de nager pour respirer (vague maintien sur place ou bien se met sur le dos)
Les déplacements sont alors limités aux capacités d'apnée du nageur.
ATTENTION : ne JAMAIS jouer sur le dépassement des limites :
« nager le plus loin possible sans respirer »
Les perspectives qui s'ouvrent alors :prolonger ce déplacement, notamment en permettant les échanges respiratoires, en
fonction d'un but particulier qui sera alors à définir :
- pour nager longtemps- pour nager vite
La natation longue(niveau 1 de compétence)(cf programmes collège)
À partir d'un départ plongé ou dans l'eau, réaliser, sur une durée de 6', la meilleure performance
possible, en nage ventrale et dorsale, en optimisant l'équilibre, la respiration et les phases
de coulée
Situation de référence proposée :6' sans arrêt, départ dans l'eau :
en alternant des distances en crawl (minimum 25m) avec des distances en dos crawlé
(maximum 25m)
(Rmq : situation assez proche du niv2 :- départ « commandé » ne veut pas dire « plongé »- le temps est doublé, mais ceci ne double pas la
difficulté (quand on tient 6' majoritairement en crawl, onpeut tenir 12' assez rapidement)
- valorisation du crawl explicite (quels autres modes denages ?)
- « tirer bénéfice des virages » ne veut pas dire « culbute »
Pourquoi pas de travail / exigence sur le plongeon ?
Optimiser le temps de pratique effective disponible en le centrant sur la transformation
des « parties nagées » ... et du seul changement de direction dans la nage (travail
de la coulée)
Passer d'une « entrée dans l'eau par la tête » (étape 5 du corps flottant) à un « plongeon
départ », permettant un gain significatif de perf, nécessite du temps
Pourquoi le crawl et le dos crawlé ?
Parce que ce sont les techniques les plus efficaces par rapport à la recherche de
performance sur la durée.
La nage que les élèves utilisent n'est pas de la brasse (qui est une nage de vitesse avec de très
fortes exigences réglementaires -> donc seulement quand on fait une « compétition »)
Si on part de leur représentation spontanée (« je tiens mieux dans cette nage qu'en crawl »), il
faut en tenir compte jusqu'au bout :
Il faudrait alors, dans le cycle d'enseignement, viser à améliorer la brasse du point de vue de
son efficacité sur la durée (ce qui est une aberration technique) (voire envisager les
aspects non réglementaires), ... tout en visant, en parallèle, la construction d'un crawl plus
économique (un peu sur le mode « faites moi confiance, vous ne voyez pas l'intérêt
maintenant de travailler le crawl, mais vous me remercierez plus tard »)
Conclusion :
Il vaut mieux ne pas permettre la « brasse » car :- l'invalider prend du temps ... et on en manque.- la travailler techniquement est difficile ... et il y a
déjà assez de difficultés
Il semble plus intéressant de confronter d'entrée de jeu l'élève à la remise en cause de sa
motricité spontanée (que cette nage ventrale simultanée de sustentation laisse toujours
possible (alors que le crawl, non)
Cette « brasse » est en effet organisée selon
- un regard à l'horizontal- des bras sustentateurs (à la verticale des
épaules)- une tête maintenue hors de l'eau
- une propulsion assurée par les jambes - un corps à l'oblique
- une vitesse de déplacement moyenne à faible
Le problème posé à la classe devient donc :Il faut chercher à tenir une « grande » distance en
crawl , puis se reposer en dos
Comment s'y prendre alors pour que ce crawl (et le dos) soit moins fatigant ?
Ou dit autrement : pourquoi ce crawl (et ce dos) est actuellement si fatigant ?
(Tout ce qui est proposé ici peut être transféré au dos crawlé)
« ... c'est la même chose, sauf que c'est dans l'autre sens ... »
(on pourra en discuter)
Réponses spontanées pour le crawl :
Parce qu'on manque d'airParce qu'on ne sait pas respirer
(Parce qu'on est parti trop vite)
Les faire tester (respirer autant que vous voulez, aussi souvent que vous le souhaitez en
maintenant la tête hors de l'eau (crawl water polo))
et confronter leur mise en oeuvre avec le degré de réussite dans la situation de référence (tenir en
crawl)
Comment les amener à prendre en charge le « bon » problème technique ?
(= pour ne pas se fatiguer en crawl, il faut se mettre, puis se maintenir, même quand on
respire) à plat
Le problème à résoudre n'est pas un problème de respiration, mais un problème de diminution des
RESISTANCES
- l'observation des pairs (démarche avec post-it)- les tâches contrastées
- l'aménagement du milieu (tout matériel rajouté au milieu aquatique, placé pour obtenir
systématiquement le comportement attendu) (ici = être à plat)
- l'observation des pairs (démarche avec post-it)- les tâches contrastées
- l'aménagement du milieu (tout matériel rajouté au milieu aquatique, placé pour obtenir
systématiquement le comportement attendu) (ici = être à plat)
Au tableau, contre une vitre ...
Échelle des perfs
10m
15m
25m.
...
100m
Observation de la position du corps
- l'observation des pairs (démarche avec post-it)- les tâches contrastées
- l'aménagement du milieu (tout matériel rajouté au milieu aquatique, placé pour obtenir
systématiquement le comportement attendu) (ici = être à plat)
?????
Il est difficile de demander à un élève de 6è de nager une fois à plat et une fois à l'oblique (2
positions contrastées) pour voir les effets sur la fatigue causée ...
- l'observation des pairs (démarche avec post-it)- les tâches contrastées
- l'aménagement du milieu (tout matériel rajouté au milieu aquatique, placé pour obtenir
systématiquement le comportement attendu) (ici = être à plat)
Nager en crawl avec un pull buoy (sans aucune consigne sur la phase VRE) pour constater qu'on se sent mieux glisser, qu'on est moins
fatigué
(alors que rien n'a été modifié/amélioré concernant les problèmes respiratoires).
Constat : on se fatigue moins quand on est à plat, ceux qui réussissent le mieux sont les plus à
plat
Le problème devient alors :
Comment faire pour se mettre à plat ?(puisque la natation = se déplacer sans aide à la
flottaison, donc le pull buoy est maintenant supprimé)
La solution « jambes » n'est pas la plus pertinente :
- couteuse énergétiquement- moins déterminante que la position de la tête
Comment invalider cette représentation erronée ?
-> la laisser vivre à fond... avec du crawl water polo !
Donc, à partir de maintenant toutes les tâches à venir auront comme consignes communes :
- nage lente = tourner les bras doucement (car recherche d'économie)
- battements légers (car on vient d'invalider cette solution)
La « solution tête »
tâche contrastée :
crawl water polo / crawl 6 coups de bras, menton poitrine
Rappel : dans les 2 cas : tourner les bras doucement
Pour chaque modalité : faire observer et mettre en relation :
- quand ma tête est ... alors mon corps est ...
Quand ma tête est sortie, mon corps est oblique (« mes pieds coulent »)
Quand ma tête est rentrée, mon corps est plus à plat
Observation des pairs :
Comment est placée la tête de ceux qui sont le plus à plat, de ceux qui sont le plus obliques ?
Aménagement du milieu
(pour obtenir « tête rentrée »)Nager en crawl avec pain de ceinture coincé entre
le menton et le cou (sur 6 coups de bras tournés lentement)
(rappel : seule la phase de VRI est actuellement concernée, elle est donc à répéter)
Et faire observer les effets de la position de la tête sur la position du corps
Comme la nage ne consiste pas à se contenter de faire la planche, mais qu'il faut avancer grâce à
des actions cycliques des bras : - retour relâché (ne pas « trainer » en arrière)
- allongement (« déploiement ») du bras en fin de retour aérien et engagement de l'épaule vers l'avant avant de commencer à agir sur l'eau
Observation des pairs(--) : il est difficile pour un élève de diagnostiquer un allongement du bras/engagement de l'épaule
marqué, faible, ...
Aménagement du milieu??
La formulation du problème évolue vers :
Pour me METTRE à plat le plus possible (pour moins me fatiguer en crawl), tant que je ne
respire pas, il faut déjà que je rentre la tête et que j'allonge les bras devant (et ceci d'autant
plus que mes jambes sont denses)
Des situations « d'application »
= situation où il est demandé de mettre en oeuvre, d'appliquer, les solutions qui ont été trouvées
comme efficaces
Nager le crawl en tournant les bras doucement (6 coups de bras en VRI), avec un battement léger,
en rentrant la tête et en allongeant les bras devant avant d'agir sur l'eau
- image du marionnettiste, du compas, du coup d'épée- avancer « par la nuque », menton contre poitrine
- regarder au fond / regarder ses battements par en dessous
À l'issue des 6 coups de bras, prendre de l'air (VRE) ... comme on peut (par exemple en se mettant sur le dos).
Puis recommencer
Si réussite :
Le problème devient :Je sais me METTRE à plat en phase VRI
Il faut maintenant que je construise les moyens de m'y MAINTENIR, même quand j'inspire (phase
VRE)
... parce que je constate que mes pieds coulent au moment de VRE
Donner du sens à la nécessité de transformer les modalités respiratoires qui sont actuellement
inadéquates.Le nageur a constaté l'intérêt de se mettre à plat
(en terme de fatigue et de glisse).Transformer sa façon de prendre de l'air devient
maintenant nécessaire pour lui, pour se maintenir à plat.
Donc, si réussite aux situations d'application :
Vers la construction de modalités de prise d'air les moins perturbantes possible par rapport à
l'équilibre construit en VRI.
(rappel : il faut tête rentrée et bras qui allongent)
Une remarque (en passant) :La prise en charge de la résolution des
« problèmes respiratoires » n'intervient donc que maintenant
DEBAT ????
Sur l'objet d'enseignement choisi :
Un procédé économique d'équilibration(et non pas la résolution des problèmes
respiratoires)
En effet, un nageur peut très bien « savoir respirer » :
- souffler dans l'eau- prendre de l'air en tournant la tête
Et pourtant continuer à être fatigué lors de la répétition de longueurs en crawl
- parce qu'en VRI, il n'est pas parfaitement à plat :La face peut être immergée, mais la tête pas suffisamment rentrée par rapport à la densité
des jambes- parce que le battement est trop important (il reste sur la représentation qu'on s'équilibre par
les jambes- parce que les bras appuient vers la bas
(sustentation), ce qui crée du tangage
Et si échec, lors des situations d'application ?
(le nageur ne se met pas à plat, même en VRI)
-> quelles hypothèses peut-on faire ?
Pas de difficultés structurelles ?-> à faire essayer à sec
Des difficultés à se rendre compte (contrôle moteur) de
- où est sa tête par rapport à la surface de l'eau- comment sont ses bras pendant le retour aérien
et notamment lors de la fin
Pour transformer les modalités de contrôle du degré d'immersion de la
tête- amener le nageur à rechercher la sensation
pertinente(manipulation à sec) : étirement des muscles de la
nuque
- lui faire confronter son évaluation de cette sensation quand il nage avec l'observation d'un
pair(fiche n°1)
Pour transformer les modalités de contrôle du degré d'allongement des
bras- amener le nageur à rechercher la sensation
pertinente(manipulation à sec) :
relâchement du retour aériendéploiement du brasengagement de l'épaule (étirement du grand dorsal)
- lui faire confronter son évaluation de cette sensation quand il nage avec l'observation d'un
pair(fiche n°1)
Importance, en natation, de :- limiter l'utilisation exclusive de la vue comme
canal permettant de contrôler les gestes en natation
- construire puis renforcer et enfin affiner l'utilisation du canal proprioceptif (même et peut
être surtout chez des non experts)
Ceci rend centrale l'utilisation des observateurs : (cf programme collège)
Ce sont eux qui vont permettre (par le retour qu'ils font aux nageurs après leurs essais et l'analyse de ces essais) la construction de modalités de
contrôle du geste plus justes.
Beaucoup de tâches et nage « yeux fermés »
-> attention à ce que le nageur de retombe pas dans des problèmes directionnels
Si les problèmes structuraux sont évacuésSi les difficultés liées au contrôle moteur ont été travaillées
Il peut rester le cas de nageurs, qui se rendent compte que leur tête est redressée, que leurs bras n'allongent pas ... mais qui, malgré les
répétitions, n'arrivent toujours pas à mettre en oeuvre les solutions efficaces
« c'est plus fort qu'eux »« ils ne peuvent pas faire autrement »
Si les bras ne peuvent pas allonger devant, c'est qu'ils sont occupés à autre chose :
-> appuyer vers le bas... pour soulever la tête
Si la tête ne peut être immergée convenablement, c'est que le nageur a besoin de la redresser.
-> Pourquoi le nageur a t-il besoin de maintenir la tête soulevée ?
Aspects affectifs liés à la peur ...
- du remplissage ?- du contact de l'eau sur le visage, sur les yeux ?- de la sensation d'enfermement, d'oppression
quand la face est entourée d'eau ?
Comment vérifier cette hypothèse ?
Un comportement typique :Nageur qui a le regard qui « tire » vers le mur en
face
Une situation « pour voir » :Nager en crawl en fermant les yeux quand la face
est émergée
Des situations de transformation :
- observer une piscine et VOIR les repèresdisponibles
- la nage en « aveugle » (cf situation pour voir)- les slaloms- le poisson pilote
Ensuite, même si les bras n'ont « théoriquement » plus besoin d'appuyer, ils sont maintenant
habitués à le faire :-> il faut supprimer la fonction sustentatrice des
bras en VRI (c'est à dire, même quand je ne cherche pas à inspirer)
(fiche n°2)
À ce stade, nous venons de finir d'envisager le cas de l'échec dans les situations d'application :
Le nageur ne parvenait pas à rentrer la tête et/ou à allonger les bras, en VRI.
Nous revenons alors au cas du nageur qui avait réussi (ou qui commence à mieux réussir
maintenant) dans ces situations d'application et qui doit maintenant envisager la phase de VRE
Donc, si réussite aux situations d'application :
Vers la construction de modalités de prise d'air les moins perturbantes possible par rapport à
l'équilibre construit en VRI.
(rappel : il faut tête rentrée et bras qui allongent)
La transformation des modalités respiratoires :
Une formeUne durée
Une fréquence
De la phase VRE
les moins perturbantes possibles par rapport à la mise à plat construite en VRI
Rappels
Forme
Durée
Fréquence
La rotation de ¼ de tour (pas de redressement/soulèvement, pas de « respiration au plafond »)
La plus brève possible (tout en se remplissant suffisamment d'air)
Meilleur compromis entre : assez souvent et ... pas trop souvent
(idéal = 3 tps)
Choix de rentrer par le problème de la forme :
Construire la rotation de ¼ de tour comme unique moyen de faire émerger les VR tout en
maintenant le degré d'immersion de la tête construit en VRI.
Pourquoi ?
À nouveau pour donner du sens aux transformations envisagées :
Ce qui organise à ce stade le groupe de nageur c'est de maintenir ce qui a été construit en VRI.La position de la tête a été reconnue comme déterminante. On part donc de ce constat et on
l'applique à VRE.
Il faut que la tête reste immergée (pour rester à plat), mais il faut en même temps que ma bouche
passe au dessus de la surface (pour pouvoir prendre de l'air)
La seule solution est de tourner la tête sur le côté (et de ne pas la soulever/redresser)
Cf le ballon avec visage dessiné
Rappels
Forme
Durée
Fréquence
La rotation de ¼ de tour (pas de redressement/soulèvement, pas de « respiration au plafond »)
La plus brève possible (tout en se remplissant suffisamment d'air)
Meilleur compromis entre : assez souvent et ... pas trop souvent
(idéal = 3 tps)
La transformation à opérer est donc :
Construire la rotation de ¼ de tour de la tête pour faire émerger les voies respiratoires
Les pistes de situations de transformation :
- supprimer la fonction sustentatrice des bras en VRE (qui entrainerait du redressement)
(reprendre fiche 2 en augmentant fréquence respiratoire)
- construire la rotation (au début, de tout le corps)
- construire la dissociation entre la rotation de la tête et celle des épaules
(fiche 3)
Rappels
Forme
Durée
Fréquence
La rotation de ¼ de tour (pas de redressement/soulèvement, pas de « respiration au plafond »)
La plus brève possible (tout en se remplissant suffisamment d'air)
Meilleur compromis entre : assez souvent et ... pas trop souvent
(idéal = 3 tps)
Analyse du comportement qui traduit une inspiration trop longue
3 cas :
- le nageur agrandit la phase de VRE, dans l'espace Avant, pour allonger dans le temps
- idem mais vers le Haut (« inspiration au plafond »)
- arrêt dans la rotation des bras avec petits balayages des mains
Toujours la même explication :
Le nageur n'ayant pas finit de souffler en VRI, le termine en VRE, avant de pouvoir reprendre à
nouveau de l'air. VRE va donc être plus longue, car elle inclut 2
actions : finir d'expirer + inspirer
Les points à transformer, sujets à discussion :
- l'apnée de précaution- les moyens de l'expiration aquatique complète (
« expiration continue et progressive » vs « blocage inspiratoire et expiration dynamique et
forte à la fin »)- les indicateurs de la présence +/- marquée de
cette apnée de précaution
(Fiche n°4)
- quel nageur voulons nous former ? (quellepratique sociale de référence : joggingaquatique, savoir gérer sa vie physique ...
- le temps imparti pour le faire- quelle « prise en compte / travail » sur les
représentations des élèves :activité énergétique vs activité de glisseentrer par le défi (vitesse) vs entrer par l'épreuve
(durée)- la motivation des élèves- le sens des transformations demandées
Les situations de transformation doivent :
Permettre de construire des moyens pour nager plus vite
Ce qui valide les moyens trouvés est que le nageur doit objectivement se déplacer plus vite (différence significative du temps)
Permettre de construire des moyens pour moins se fatiguer
Ce qui valide les moyens trouvés est que le nageur doit objectivement être moins fatigué (il doit tenir significativement plus loin ou plus longtemps)
« la même chose, sauf que c'est l'inverse » ???
- problème d'une nage à reculons (nouvelles difficultés directionnelles)
- problème de l'eau dans le nez (difficulté au niveau de l'expiration nasale)
- problème de la sustentation en position dorsale