l'enseignant du 78 113

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Section départementale des Yvelines BP 28, 78041 Guyancourt CEDEX Tel : 01 39 44 95 25 Fax : 01 39 44 97 76 Mél. : [email protected] Web : http://sections.se-unsa.org/78/ n° 113 / Février - Mars 2009 des Yvelines Le syndicalisme responsable n’est pas permis à tout le monde !

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Section départementale des Yvelines BP 28, 78041 Guyancourt CEDEX

Tel : 01 39 44 95 25 Fax : 01 39 44 97 76 Mél. : [email protected] Web : http://sections.se-unsa.org/78/

n° 113 / Février - Mars 2009

des Yvelines

Le syndicalisme responsable n’est pas permis à tout le monde !

Sommet social 18 février 2009 : confus et décevant !

2 n°113 • Février / Mars 2009 • l’enseignant

> POUR L’UNSA, les résultats du sommet social qui s’est tenu à l’Ély-sée le 18 février- alors même que le conflit en Guadeloupe connaissait sa première victime - sont extrêmement décevants. On aurait pu espérer tout d’abord que ce sommet livre une analyse cohérente et partagée de la crise économique la plus sévère depuis un siècle. Cet effort de pédagogie aurait eu le mérite, sinon de lever toutes les inquié-tudes, mais au moins de rendre un peu plus lisible pour nos concitoyens la crise que nous subissons. Il n’en n’a rien été. Au contraire, c’est une impression de grande confusion qui l’emporte. Pour l’UNSA, cette crise globale due à l’endettement excessif des ménages aux États-Unis découle du creuse-ment des inégalités et de l’appauvris-sement de nombreux salariés qui ont eu recours à l’endettement pour main-tenir leur consommation. Si la création de produits financiers toxiques par les banques a joué comme un accéléra-teur de crise, elle n’en constitue pas la cause première. Ce qui est au cœur de la crise ac-tuelle, c’est un régime de croissance déséquilibré au détriment des sala-riés ; c’est toute la question des iné-galités qu’il faut traiter. Comment s’entendre sur les mesures visant à remédier à cette crise si on diverge sur ses causes ? Autre grande absente de ce sommet : l’Europe ; comme si on s’était fait une raison

de l’impuissance européenne et du manque de coordination des plans de relance des divers États membres. Le sauve-qui-peut du plan français de soutien à l’automobile est symptomati-que de cet état d’esprit. Pour l’UNSA, il eût été indispensable de rappeler les nécessaires coordina-tions des politiques euro-péennes. L’UNSA s’engagera dans les actions et les mobilisa-tions prévues par la Confé-dération Européenne des Syndicats lors du deuxième trimestre 2009. Restent les mesures qui ont été annoncées à la suite du sommet social. Elles inter-viennent, faut-il le rappeler, après la forte journée de mobilisation du 29 janvier. Elles sont de deux ordres. Celles à effet différé d’abord. Elles portent la marque d’une grande improvisation et d’un certain bricolage. C’est le cas notamment de toutes les propositions qui concernent le partage de la valeur ajou-tée, l’égalité salariale hom-mes/femmes ou la représen-tativité dans les PME, l’infor-mation des salariés sur les aides publiques. Ces propositions de-vraient faire l’objet de négociations ultérieures. Il y a de fortes chances pour que peu d’entre elles aboutissent quand on connaît les difficultés à bou-cler tous les chantiers déjà ouverts et qui sont loin d’être achevés : retraites complémentaires, médecine du travail, pénibilité ainsi que les suites de la mo-dernisation du marché du travail. D’autres mesures sont d’application immédiate. Elles concernent les bais-ses d’impôts, l’allocation de rentrée scolaire. Ce catalogue de mesures disparates est notoirement insuffisant

pour relancer la consommation. Nous approuvons pleinement deux mesu-res : celle qui concerne une meilleure indemnisation du chômage partiel et celle relative à la création d’un fonds d’investissement social.

En revanche, nous déplorons que le Président de la République ne re-mette pas en cause les exonérations et la défiscalisation des heures sup-plémentaires qui coûtent 4 milliards d’euros par an à l’État ainsi que les 30.000 suppressions d’emplois pu-blics prévus en 2009. Pour l’UNSA, rien dans ces annonces ne vient invalider la décision d’organi-ser une journée de mobilisation le 19 mars prochain.

Alain OLIVE secrétaire général de l’UNSA

SOCIÉTÉ

Responsabilités, mais pas dans la facilité ! > LE PREMIER MINISTRE en personne a annoncé plusieurs mesures en matière éducative. Elles témoignent, dans tous les cas, de la force du mécontentement qui s’exprime depuis plusieurs mois à tous les niveaux du système éducatif. Si l’annonce du gel des suppressions de postes dans l’enseignement supérieur en 2010 et 2011 consti-tue une brèche dans la volonté de ne pas remplacer un départ en retraite sur deux, le maintien de la fermeture de 30 000 postes en 2009 se traduira irrémé-diablement par des suppressions de postes massives dans les écoles, les collèges et les lycées. Pourquoi des mesures du même ordre ne seraient pas pri-ses à tous les autres niveaux du système éduca-tif ? Le syndicalisme assume, dans ces temps de crise, ses responsabilités. La première mobilisation du 29 janvier avait apporté un cinglant démenti au président de la République sur la visibilité des grè-ves et des actions syndicales, mais elle avait aussi montré la capacité des syndi-cats à élaborer des propositions cohéren-tes. La réunion du 18 février 2009 qui s’est tenue à l’Elysée, malgré quelques inflexions, n’aura pas apaisé les inquiétu-des sur les conséquences des choix gou-

vernementaux. Les servi-ces publics et donc l’école restent à l’écart des priori-tés retenues. L’augmentation des salai-res qui relancerait la croissance est glo-balement esquivée. Les mesures arrê-tées sont, pour la plupart, des anticipa-tions de dépenses. Pour les organisa-

tions syndicales, les réponses ap-portées sont in-suffisantes. C’est pourquoi elles ont décidé de conti-nuer à maintenir la pression et d’appeler à une nouvelle mobilisa-tion le 19 mars. Dans ce contexte, plus que jamais, le SE-UNSA met en avant son mot d’or-dre pour résumer sa démarche : « s’opposer et pro-poser ». Nous sa-vons donc aussi nous opposer, et nous nous y em-ployons d’ailleurs beaucoup ces der-

niers temps. Mais il nous semble que cette opposition est d’autant plus forte qu’elle est compréhensible pour l’opinion. Même si ce n’est pas la facilité, nous de-vons en permanence déjouer la tentative de faire de tout opposant un opposant stérile.

Guyancourt, le 3 mars 2009 Marcel DUPUY

Secrétaire départemental

SOMMAIRE

4 et 5 : Mouvement

2 : Temps fort

9 : Réforme du lycée

L’édito

3 : L’édito

6 : RASED

7 : Carte scolaire

8 : Mutations inter

11 : Action

10 : Formation

3 n°113 • Février / Mars 2009 • l’enseignant

Ayez le bon reflexe : http://sections.se-unsa.org/78/

Pour être au top de l’actu :

Abonnez-vous à la lettre en ligne du SE-UNSA sur [email protected]

1er DEGRÉ

4 n°113 • Février / Mars 2009 • l’enseignant

Tout sur le mouvement ! 1/ Bref mode d’emploi…

La saisie des vœux : La saisie des vœux se fera du 25 mars au 7 avril minuit sur I-PROF (serveur SIAM) sur :

https://bv.ac-versailles.fr

Votre compte utilisateur = l’initiale de votre prénom accolée à votre nom, le tout en minuscules.

Votre mot de passe = par défaut, votre NUMEN. L’application SIAM permet : la consultation du livret de postes, la saisie des vœux, la consultation du projet de mouvement, la consultation des résultats du mouvement après la CAPD.

La procédure :

• Imprimez l’accusé de réception qui arrivera dans vo-tre messagerie personnelle I-PROF pour le 22 avril. • Vérifiez les vœux et le barème (ne rien ajouter ni barrer). • Renvoyez cet accusé dûment daté et signé en y por-tant les remarques ou contestations éventuelles avant le 4 mai (cachet de la poste faisant foi) à l’Inspection aca-démique, DIPER 2-Mouvement. Attention : pensez à joindre une enveloppe autocollante libellée à l’adresse personnelle (format A5 affranchie).

Les résultats :

Les résultats de la 1ère phase devraient être connus le 28 mai (date de la CAPD). Si vous n’avez rien obtenu lors de cette première phase, soit vous conservez votre poste actuel si vous y êtes nommés à TD, soit votre affectation à TP vous parviendra fin juin ou début juillet dans la majorité des cas. Certaines affectations ne sont communiquées qu’au moment de la rentrée…

Le SE-UNSA continue à revendiquer un deuxième réel mouvement avec publication

des postes qui restent à pourvoir avant la fin de l’année scolaire afin que les collègues puissent préparer leur rentrée dans les meilleures conditions possibles.

Les priorités :

Les enseignants concernés devront transmettre leur lettre de demande de priorité accompagnée des justificatifs pour le 7 avril. NB : n’oubliez pas d’envoyer sous format papier les an-nexes relatives aux demandes de priorité (ceci est à faire en plus de la saisie des vœux).

2/ Les « nouveautés » !!!:

Un numéro « INFO MOBILITE »mis en place par l’IA

Appeler à ce numéro vous offrira peut-être une relecture de la circulaire mais nous res-tons perplexes quant à la valeur d’analyse

stratégique de votre situation personnelle…). Des fiches annexes à envoyer au plus tard pour le 7

avril à l’IA et ce en parallèle de la saisie informatique des vœux. : Annexe 2 : demande de priorité d’affectation liée à des mesures de carte scolaire ou pour le maintien de zone d’éducation prioritaire ou pour une réintégration après un CLD, un détachement à l’étranger ou un congé parental Annexe 3 : demande de priorité au titre du handicap Annexe 4 : candidature sur poste particulier

Postes RASED stabilisés : les enseignants spéciali-

sés G ou E concernés par un transfert de poste vers un poste d’enseignant spécialisé stabilisé sur une école ou un groupe scolaire seront informés personnellement des conditions de leur transfert par un courrier.

30 vœux paramétrés (verrouillés par le Ministère) et

non plus 45. 6 vœux géographiques minimum et non plus 10 (voir

annexe 5) : ces vœux sont fortement conseillés pour les enseignants dont la participation au mouvement est obli-gatoire, en choisissant la nature du poste et une zone géographique particulière (à l’échelle d’une commune ou d’une circonscription).

Le nombre possible de vœux étant plus li-mité cette année, les délégués du personnel

ont obtenu un quota minimum de vœux géo-graphiques afin que ceux-ci ne portent pas préjudice au nombre global de vœux précis.

Parlons stratégie…

Vous êtes à titre définitif et vous souhaitez chan-ger d’affectation… : Indiquez vos vœux dans l’ordre de vos préféren-ces, jusqu’à 30 vœux maximum… Si vous n’obtenez pas satisfaction, vous resterez sur votre poste actuel.

Vous êtes à titre provisoire, sans poste ou PE2… : Vous pouvez formuler jusqu’à 30 vœux dont 6 vœux géographiques obligatoires. Si vous avez un petit barème, ciblez un secteur géographique assez élargi (plusieurs communes…) et utilisez vraiment la possi-bilité des 30 vœux en terminant à la fin de votre de-mande par les vœux géographiques. Veillez à lire attentivement l’annexe 5 de la circulaire qui explicite le principe des vœux géographiques.

1er DEGRÉ

5 n°113 • Février / Mars 2009 • l’enseignant

Ancienneté générale des services arrêtée au 31 août 2008 Maximum 40 points

Dans l’éducation nationale :

(Y compris les années de formation EN ou PE2 services de surveillance et d’enseignement)

1 point par an et 1/12ème de point par mois

Seuls les services validés sont pris en compte.

Dans la fonction publique : Maximum 5 points :

½ point par année complète Majoration de points pour enfants de moins de 20

ans, situation arrêtée au 31/12/08 Maximum 2 points

1 enfant = 1 pt

2 enfants = 1,5 pts 3 enfants et plus : 2 pts

Majoration de points pour la stabilité dans le der-

nier poste occupé à TD dans le département des Yveli-nes pour un poste de même nature*… Maximum 6 pts

1ère année = 0 pt 2ème année = 1 pt 3ème année = 4 pts 4ème année = 5 pts 5ème année = 6 pts

Majoration de points pour exercice en éducation

prioritaire dans le 78 Maximum 7 points

Les directeurs et les adjoints qui exercent en ZEP à titre provisoire ou à titre définitif sans interruption dans une

classe située en éducation prioritaire depuis 3 ans ainsi que les coordonnateurs et enseignants de soutien bénéfi-cient d’une majoration de 3 points et d’1 pt par an pour les 4ème, 5ème, 6ème et 7ème années.

3 ans = 3 pts 4 ans = 4 pts 5 ans = 5 pts 6 ans = 6 pts

7 ans et plus = 7 pts

Cette majoration de points a été maintenue grâce à la demande des délégués du per-

sonnel qui ont démontré le préjudice crée auprès de nos collègues en ZEP. Dans un premier temps, l’IA voulait en effet supprimer cette majoration en la fusionnant avec celle relative à l’exercice en zone violence.

Majoration de points pour exercice en zone violence*

Maximum 5 pts

Il faut, pour obtenir ces points, justifier de 5 ans de servi-ces continus minimum quel que soit le poste occupé. * situation examinée au 31/08/09 NB : En cas d’égalité de barème, les postulants sont dé-partagés par l’AGS puis par la date de naissance (année, mois, jour).

ATTENTION : le non respect de la procédure et/ou des délais entraînera l’annulation de votre participation au mouvement !

Si en revanche, vous souhaitez annuler, n’oubliez pas d’en-voyer une demande d’annulation écrite avant le 4 mai !

Emeline Bourcier

Besoins d’éclaircissements, de conseils stratégiques ? Des questions ?

Nous sommes à votre disposition alors n’hésitez pas à nous contacter :

au 01 39 44 95 25 au numéro spécial adhérents

sur [email protected]

Si vous êtes adhérents au SE-UNSA, demandez nous les statistiques par commune des mouvements 2006, 2007, 2008.

N’oubliez pas de transmettre au SE-UNSA la photocopie de votre fiche de contrôle d’accusé de réception ainsi que le double de votre dossier en cas notamment de de-

mande de priorité.

3/ Les éléments du barème :

> DEPUIS LE DÉBUT, le SE-UNSA considère que la conception ministérielle consistant à présenter les heures d’aide personnalisée, nouvellement instituées dans l’action des enseignants, comme utilement substituables aux ac-tions et compétences des personnels du RASED semble illusoire et, à terme, dommageable pour le bon fonctionne-ment de l’École. L’IA des Yvelines nous a dévoilé le 12 février quelques unes de ses intentions en la matière. Celui-ci a demandé aux IEN d’identifier une ou deux écoles par circonscription où la pré-sence d’un maître spécialisé E ou G serait utile au regard des difficultés. Les ZEP seraient, en priorité, concernées par la sédentarisation de deux postes. La détermination de (ou des) l’ensei-gnant(s) sédentarisé, membre du RA-SED de la circonscription, se fera selon la règle habituelle du mouvement au regard d’une mesure de carte scolaire : le dernier nommé dans le réseau, dé-partagé éventuellement au barème. Sans approuver la procédure, il est évi-dent que c’est le principe le plus équita-ble et le plus transparent. Il sera possi-ble aussi qu’un membre du réseau se porte volontaire à la place du dernier nommé… Le SE-UNSA a souhaité une lettre de cadrage, afin que les missions des enseignants en surnuméraire soient clairement identifiées. Cette note va être publiée rapidement, car les mesures de carte scolaire, pro-bablement désastreuses, sont en cours. Nous connaissons la déclinaison départementale propo-sée par l’IA, la mesure générale doit concerner 83 postes :

- 10 postes vacants suite à départ en retraite à la ren-trée 2009 seraient supprimés. Sur les 26 postes E ou G res-tés vacants et versés dans la brigade à la rentrée 2008, 18 seraient supprimés et enfin 14 postes occupés par des maî-tres de soutien seraient fermés pour arriver à 42 postes,

- 41 postes E ou G seront affectés en surnuméraire

dans une (ou deux en ZEP) école(s) par circonscription. Il est maintenant impératif de définir l’implantation des em-plois afin que les missions des enseignants spécialisés soient respectées et rapidement clarifiées. Ceux-ci doivent toujours être considérés comme membres du RASED et leur articulation doit être prévue avec le dispositif des Réseaux et son équipe plurielle de professionnels mobiles. Leurs mis-sions ne doivent pas être entendues sur du court terme. A notre demande, il y sera précisé entre autres que « la diversité des modes d'intervention de ces maîtres spéciali-sés doit être adaptée aux élèves qui en ont besoin. Tou-jours rattachés au réseau d’aide spécialisé, ils sont égale-

ment membres à part entière de l’équipe enseignante de l’école ou des écoles dans lesquelles ils exercent leurs mis-sions. » (voir l’intégralité du texte sur http:// www.sections.se-unsa.org/78/ Dans le cadre des réunions à venir, dé-partementales et nationales, le SE-UNSA continuera à défendre la professionnalité des enseignants spécialisés et la légitimité du dispositif RASED. Faut-il rappeler que c’est le SNI-PEGC (ancien SE-UNSA) qui a soutenu, seul en 1990, l’idée de la création des RASED, demandant des moyens suffisants pour permettre l’efficacité du dispositif. Il conti-nuera à le faire, avec d’autres syndicats aujourd’hui et c’est tant mieux ! Tout le

monde a le droit de se tromper, tout le monde a le droit de changer d’avis tant que c’est sincère ! Nous exigeons le maintien des aides spécialisées propo-sées par le dispositif des RASED et ses trois catégories de professionnels titulaires de diplômes spécifiques (maître E, rééducateur G et psychologue de l'éducation nationale) Nous exigeons toujours l'abandon de la suppression des 3000 postes.

Marcel DUPUY

RASED : où en est-on après le recul du ministre ?

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1er DEGRÉ

n°113 • Février / Mars 2009 • l’enseignant

30 avril : Postes adaptés, Temps partiels, Annulation des permutations

14 mai : Liste d’aptitude accès des instituteurs au corps de PE, Congés de formation professionnelle

28 mai : Résultats du mouvement 1er phase

4 juin : Inéat/Exeat

18 juin : Accès à la hors-classe des PE

7 juillet : Groupe de travail affectations à titre provisoire - 2ème phase

28 août : groupe de travail dernière phase d’ajustement mouvement à titre provisoire Il manque la date de la CAPD "départs en stages CAPA-SH 2009/2010" : nous questionnons l’IA à ce sujet...

Calendrier de gestion (CAPD)

BP 28 78041 GUYANCOURT CEDEX Tél : 01.39.44.95.25 Fax : 01.39.44.97.76

Mail : [email protected]

Le CTPD 1er phase carte scolaire se déroulera le 23 mars Retournez la fiche si possible avant le 22 mars

Fiche à retourner au SE-UNSA 78

SUIVI CARTE SCOLAIRE

ECOLE

Nom : Adresse : Code postal : Commune : Téléphone : Adresse mail : Circonscription : En RPI avec :

SITUATION ACTUELLE

Nombre de classes au total : ………….dont : • Maternelle : • Elémentaire : • Adaptation : • Enfants du voyage : • Autres ( à préciser) :

Nombre d’élèves hors spécialisés : • Prévisions Novembre 2007 : • Réajustements Mai 2008 : • Constats septembre 2008 : • Si écart, pourquoi ?

PRÉVISIONS D’EFFECTIFS POUR LA RENTRÉE

CARACTERISTIQUES PARTICULIERES DE VOTRE ECOLE

VOUS CRAIGNEZ UNE SUPPRESSION

Moyenne par classe après fermeture : • Y a-t-il un poste vacant dans l’école ? • Y aura-t-il un départ à la retraite en fin d’année ? • Si non, qui serait concerné par la fermeture ? • Une modification des secteurs scolaires est-elle envisa-gée ? • Prévoyez-vous de nouvelles inscriptions en cours d’année scolaire (lotissements, …) • Si vous prévoyez d’accueillir des élèves extérieurs à votre actuel secteur scolaire, précisez l’origine :

VOUS SOUHAITEZ UNE CREATION

• Moyenne par classe avant ouverture : • Liste d’attente (pour les maternelles) : 2 ans 3 ans 4 ans • Existe-t-il un local adapté pour une ouverture de classe ? • Si non, y-a-t-il possibilité d’aménagement ou de construction de locaux ? Position de la municipalité ?

FICHE REMPLIE PAR

Mme / M. :

Adjoint Directeur (trice)

TPS MS CP CE 2 CM 2 ADAPT

PS GS CE 1 CM 1 CLIN CLIS

Nombres d’élèves attendus à la rentrée : ………

Ecole en ZEP Intégration d’enfants handicapés Semaine particulière (mercredi)

Ecole en REP Projet d’accueil des 2 ans Charte ou CEL

Classes bilingues : ………. Effectifs : ………. Niveau(x) : ………. Fonctionnement : ……….

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2nd DEGRÉ

> LA PHASE INTRA-ACADÉMIQUE du mouvement débutera le mardi 24 mars 2009 à midi, date de l’ou-verture du serveur siam, pour s’ache-ver… au mieux fin août début sep-tembre 2009, avec l’affectation des TZR… Est-il encore nécessaire d’écrire qu’elle ne s’annonce pas sous les meilleurs auspices : destructions des emplois, inflation du nombre de me-sures de cartes scolaires, multiplica-tion des postes à complément de ser-vice, dégradation de la situation des TZR entre suppression de postes et affectation tardive parfois en dehors de leur zone de remplacement. Dans un tel contexte, il n’est pas raisonnable de se fier aux seuls conseils dispensés par les services rectoraux ! Pour mettre tous les atouts de votre côté, que vous soyez contraint de participer au mou-vement (stagiaires, retour de détachement, suppression de poste, etc.) ou pas, il vous faut respecter certaines précautions. N’attendez-pas le dernier moment et méfiez-vous des éternelles rumeurs et autres « tuyaux » invérifiables. La publication d’une liste tronquée de postes vacants sur Siam ne doit pas vous aveugler, ou pire encore vous amener à vous censurer. Tous les postes son susceptibles d’être va-cants. N’hésitez pas à prendre contact directe-ment avec les établissements et bien sur avec nos sections syndicales. Nous vous conseillerons pour la hié-rarchisation de vos vœux, leur cohé-rence géographique et pour les diffé-rentes bonifications auxquelles vous

avez droit. Cette mise en garde s’adresse no-tamment aux collègues entrant dans l’académie ou à ceux qui sont l’objet d’une mesure de carte scolaire. Pour les premiers, bien souvent, Ver-sailles n’est pas leur premier choix et il leur faut d’abord prendre la mesure de leur nouvelle académie. Leur ba-rème ne leur permet pas toujours d’envisager certaines affectations et c’est une véritable stratégie qu’ils doi-vent mettre en œuvre. Nous pouvons les aider à y parvenir.

Pour les seconds, nous leur dé-conseillons de se contenter des seuls vœux ou-vrant droit à la bonification de 1500 points. L’an dernier, les dé-convenues ont été nombreuses et plusieurs collè-gues n’ont pas été affectés sur le poste qu’ils sou-haitaient. Nous

r e c o m m a n d o n s d’ajouter d’autres vœux et d’augmen-ter ainsi les possibilités d’affectation. La mutation est un moment clef de la carrière des enseignants. La hiérar-chie de l’éducation nationale, non contente d’entretenir la pénurie de postes, a tenté de prouver cette an-née qu’elle pouvait assumer seule l’ensemble des opérations du mouve-ment 2009 et s’affranchir de l’exper-tise des élus du personnel. Hélas, preuve est faite de la vanité de cette posture au détriment des collègues qui ont eu à subir les tâtonnements du dispositif ministériel. La phase intra étant bien plus com-plexe que la phase inter, sans doute est-il plus raisonnable d’éviter toute improvisation en la matière.

Florent DUPREZ

Mouvement intra : prendre les choses en main dès aujourd’hui

n°113 • Février / Mars 2009 • l’enseignant

Le ministère a délibérément fait le choix de transmettre les informations de son projet de tableau de muta-tions dès le 23 février comme étant le résultat définitif alors que les com-missions se réunissent du 10 au 20 mars ! Cette politique décrite comme "qualitative de ressources humaines" n’est qu’une nouvelle attaque dégui-sée contre les personnels et leurs représentants pourtant élus avec une participation massive. L’objectif politique est clair :

- faire croire aux collègues que les syndicats sont inutiles en les appâ-tant avec un renseignement succinct sur votre affectation,

- limiter le rôle des élus du per-sonnel qui siègent dans ces commis-sions pour défendre la situation des candidats,

- réduire le suivi de chaque situa-tion personnelle de candidat à une mutation à une simple opération technique informatisée,

- pouvoir garder la maîtrise totale des tableaux de mutations y compris au travers de décisions arbitraires, que les personnels ne pourraient contester.

Les élus du SE-UNSA, malgré cette tentative du ministère tiendront fer-mement leur rôle de défense des personnels dans les commissions (CAPN ou FPMN) au cours desquel-les votre situation sera examinée. En effet, tous les ans, parce que les élus du personnel vérifient et contrô-lent les dossiers qui leur sont confiés, des erreurs sont détectées, ce qui amène à de nombreuses mo-difications par rapport au projet de l’administration qui n’est qu’un docu-ment préparatoire. Une pétition intersyndicale dénonce cette imposture. Vous avez pensé à la signer sur http://www.mutations2009.org/ ?

Le SE-UNSA dénonce l’imposture du ministère

Calendrier intra 2009

Saisie des vœux : du mardi 24 mars midi au mardi 7 avril midi

Dossiers mouvement spécifi-que académique : du 24 mars au 6 avril ;

Retour des dossiers priorité médicale : 6 avril ;

Retour des accusés de récep-tion : 9 avril ;

Affichage des barèmes provi-soires : à partir du 5 mai ;

Date limite de contestations des barèmes : 15 mai.

Quelle réforme pour le lycée ? Incohérence et dangerosité...

> AU COURS de l’entretien que lui a accordé le 3 mars Richard Descoings, nouveau pilote de la réforme du lycée, le SE-UNSA a réaffirmé le caractère indispensable d’une rénovation du lycée général et technologique. 35 ans après la réforme Haby, il est morale-ment, socialement et économiquement urgent de parachever la démocratisa-tion du système éducatif. Insuffisance du nom-bre de bacheliers généraux, lourd taux d’échec dans le su-périeur long des ba-cheliers technologi-ques, hiérarchie expli-cite et déséquilibre entre les voies et les séries, seconde de préorientation plutôt que de détermination… Le constat est connu, le statu quo impossible. L’importance des en-jeux, l’ampleur du chantier exigent un en-gagement politique fort et durable. Ni effets de manche, ni coups de menton, la réforme du lycée demandera plu-sieurs années et des moyens budgé-taires garantis dans la durée. Le SE-UNSA a rappelé ses revendi-cations pour une amélioration signifi-cative des conditions de vie, d’ap-prentissage et d’enseignement au lycée, parmi lesquelles :

Le lycée n'est pas le temps de la spécialisation mais d'une diversifica-tion raisonnée : après le couple école-collège formant le socle commun, le 2ème temps de l'éducation est mainte-nant pour une majorité de lycéens le couple lycée-BAC+2 et plus.

Le système des voies et des séries séparées a atteint ses limites : il doit être remplacé par une organisa-tion plus souple, autorisant des par-cours plus souples et plus personnali-sés.

Les enseignements technologi-ques doivent être confortés et acces-sibles à tous les élèves.

Une organisation modulaire

permettrait, par sa souplesse, d'at-teindre ces objectifs sans être syno-nyme d'un lycée à la carte : les rè-gles d'élaboration des parcours sont fixées et connues de tous.

L'organisation modulaire n'est pas compatible avec un groupe-classe stable : un groupe de réfé-rence de 10 à 15 élèves offre un an-

crage aux élèves. Il est pris en charge par un professeur référent (remplaçant le professeur princi-pal).

L ' a c c o m pa -gnement est essen-tiel : il doit faire partie de l'emploi du temps de tous les élèves et doit être inclus dans le service des en-seignants, tout comme le travail en équipe. Les COP et les équipes de vie scolaire doi-vent également être renforcés.

Le SE-UNSA a avancé plusieurs condi-tions pour que la réforme aboutisse :

Un engagement dans la durée avec une programmation pluri-annuelle des moyens de la rénova-tion : toutes les économies générées par la nouvelle organisation devront être réinvesties dans l'amélioration des conditions de vie et de travail des lycéens et des enseignants.

Un calendrier qui respecte les ins-tances de concertation et qui permet l'appropriation par les établissements de la réforme : pour le SE-UNSA, la mise en œuvre doit être programmée en se-conde à la rentrée 2011.

Le maintien d'un bac en partie à épreuves nationales et donnant accès à l'université.

Un accompagnement de la mise en œuvre de la réforme en formation continue et en formation initiale. Richard Descoings fera connaître ses préconisations dans un docu-ment en mai. A suivre…

Guillaume DESMAISON

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2nd DEGRÉ

...sont les deux mamelles de la politique gouvernementale en matière d'éduca-tion. Avec force de slogans mensongers et démagogiques, ce gouvernement n'a de cesse de détruire des emplois dans la fonction publique en organisant la pénu-rie des moyens et en imposant des heu-res supplémentaires à foison. Tels sont les ficelles toujours plus gros-ses du discours de nos gouvernants... Oui mais voilà, la réalité s'impose à tous : on fait disparaitre les emplois, mais pas les missions qui les rendent indispensables. Confirmation cinglante avec la création des médiateurs de réussite scolaire! On peut réduire les recrutements de CPE, d'assistantes sociales, d'infirmiè-res, tailler dans tous les budgets sociaux (planning familial...) ... on ne fait pas dis-paraître la difficulté scolaire, les élèves en détresse que nous côtoyons chaque jour. Hélas, la prise de conscience est bien superficielle. Prisonniers d'idéologie en crise, plutôt que de revenir sur les suppressions de postes, nos ministres créent une nou-velle catégorie d'emplois précaires : les médiateurs de réussite scolaire. Intitulé ronflant, recrutement nébuleux, formation incertaine ... le tout pour ac-complir des missions incommensura-bles ! N'en jetez plus … Une question se pose : quel est l'aspect le plus dangereux de cet inventaire ?

Le fait que nos ministres feignent d'ignorer que ces tâches sont accom-plies par des personnels recrutés et for-més pour ça ?!?

Le fait qu'ils créent un nouveau type de personnel, pour des missions qui relèvent d'un travail d'équipes stabili-sées ?!?

Le fait que ces médiateurs de réus-site scolaire seront recrutés "sous statut de contrat aidé" ?!? Vous êtes en diffi-culté ... alors vous allez vous occuper de la difficulté ! Ces questions, il est à parier que les responsables de cette initiative malheu-reuse ne se les sont pas posées. Est-ce surprenant ? Non quand la seule ligne de conduite c'est de paraître au cœur du barnum médiatique, peu importe que vos initiati-ves confinent au cynisme.

n°113 • Février / Mars 2009 • l’enseignant

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FORMATION

n°113 • Février / Mars 2009 • l’enseignant

Les IUFM dans l’action… aux côtés des universités Positions et revendications du SE-UNSA > LES CHOSES BOUGENT du côté de la formation des enseignants. Dans le sillage des actions conduites par les enseignants chercheurs, de nombreux IUFM sont dans l'action, au centre des débats, le projet de « mastérisation » de la formation envisagé par le gouver-nement. Le SE-UNSA a sur ce sujet des revendications claires :

- une formation professionnelle par alternance Dans le projet du gouvernement, les stages des étudiants dans les clas-ses sont sous-calibrés. En effet, il est prévu seulement 108 heures de stage en responsabilité durant l’an-née de Master2, trop peu pour une 1ère pratique professionnelle !

- le maintien des IUFM et de leurs antennes locales

- des contenus de concours plus professionnels Les contenus des épreuves des concours envisagés sont encore trop centrés sur la vérification des contenus disci-plinaires. Est-ce prioritairement cet aspect qui doit être évalué lors d’un concours de recrutement de futurs ensei-gnants ?

- des stages en alternance organisés et suivis par des formateurs qualifiés La place des formateurs d’IUFM et des formateurs de ter-rain n’est toujours pas, à ce jour, clairement définie dans l’université. Pourtant, leur présence est le gage d’une ré-elle formation professionnelle par alternance.

- des conditions matérielles décentes pour les étudiants Les annonces faites sur les bourses ou les emplois d’as-sistants pédagogiques sont insuffisantes ou inadaptées.

- une stagiarisation qui soit un véritable espace de for-mation Petite avancée sur cette question ? La stagiarisation après l’obtention du concours et du M2 était prévue à temps complet dans une classe, en totale responsabilité. Mais vers la fin février, le 1er ministre a demandé au ministre de

l’Education nationale de renforcer l’accompagnement des enseignants en début de carrière, par un temps de formation complémentaire pen-dant l’année de stage. Est-ce un premier pas vers une alternance durant l'année de stage ? Si cette mesure devait être adoptée, pour le SE-UNSA, de nombreuses questions doivent être précisées : Comment peut se traduire cette al-ternance ?

Quelle organisation sur le terrain ? Quel suivi des stagiaires ? Qui les prend en charge ? Quelles modalités d'évaluation ?

- une formation qui se poursuit au-delà de la titularisation Pour le SE-UNSA, une vraie négociation doit s’ouvrir et traiter de toutes ces questions afin de pouvoir sortir la for-mation des enseignants de l’impasse.

Stéphanie BOCQUIAULT-BOULAY

La lettre en ligne du SE-UNSA sur l'avenir

de la formation des enseignants

http://www.se-unsa.org:80/spip.php?article1083

Pour tout savoir sur l’actu de l’avenir de la formation, abonnez-vous à la lettre de diffusion « Avenir des IUFM », en remplissant le formulaire sur :

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ACTION

Les fédérations de l'Éducation FAEN, FERC-CGT, FNEC-FP-FO, FSU, SGEN-CFDT, Sud-Éducation, UNSA Éducation

se félicitent de la déclaration interprofessionnelle du 9 février 2009. Elles considèrent que les réponses apportées lors de l'intervention du Président de la République restent loin des attentes et des exigences portées par la mobilisation du 29 janvier 2009. Dans le domaine de l'éducation, malgré la puissance de la grève, aucune réponse nouvelle n'a été apportée aux revendications : le Président de la République a au contraire maintenu intégralement les suppressions de postes et les orientations contestées de sa politique et a caricaturé à la fois les revendications et la réalité, qu'il s'agisse de l'Université et de la Recherche ou des moyens consacrés à l'éducation. Dans le même temps les pressions sur les personnels et les tentatives de remise en cause du droit syndical se poursuivent.

C'est pourquoi les fédérations entendent s'inscrire pleinement dans la journée d'action du 19 mars et appellent les personnels à en assurer la réussite, notamment en préparant grèves et manifestations. Elles ap-pellent également à poursuivre les actions engagées et à prendre tou-tes les initiatives unitaires dans les départements et régions, en parti-culier à l'occasion des réunions des CTP, CDEN et CAEN.

Elles s'adressent solennellement au gouvernement : • pour que celui-ci renonce enfin à la totalité des suppressions de

postes dans les enseignements scolaires et supérieur ainsi qu'à Jeu-nesse et Sports ;

• pour qu'il réponde positivement et sans attendre à la mobilisation des personnels de l'enseigne-ment supérieur et de la recherche.

Communiqué Éducation

n°113 • Février / Mars 2009 • l’enseignant

> UN SONDAGE sur « les français et l’école » a été réalisé par l’IFOP pour Acteurs publics. Il montre un net rejet des suppressions d’emplois dans l’Education nationale : 63 % des français considèrent qu’elles affaiblissent le système éducatif français et seulement 31 % souscrivent à l’idée qu’en supprimant des postes dans l’Education nationale, on peut déga-ger des fonds pour améliorer la rémunération et les conditions de travail des enseignants. Les avis sont très partagés sur le report de la réforme de la seconde et des lycées : 50 % la désapprouvent et 47 % l’approuvent. Quant aux objectifs assignés à l’Ecole, les français établissent une hiérarchie très nette. La principale mis-sion assignée à l’Ecole est :

- Transmettre à chacun des savoirs fondamentaux et une bonne culture pour 40 % ;

- Permettre à chacun de trouver un emploi à la fin de la scolarité pour 26 % ;

- Assurer l’égalité des chances entre les élèves pour 19 % ;

- L’apprentissage de la citoyenneté et de la vie en société pour 11 % ;

- Favoriser l’épanouissement personnel pour 4%.

Ces enseignants, tous des fainéants ?

> LA SUBVENTION pour le conseil conjugal et familial inscrit dans la loi Neuwirth, attribuée au Planning familial, serait réduite de 42%. L’accueil, la formation, l’orientation sur la contraception, la fécondité et la sexualité ne pourront plus être assurés dans un tiers des départements. L’Etat avait confié au Planning Familial un rôle essentiel ; en le privant des moyens de l’as-sumer, c’est le droit à l’information et à l’éducation à la sexualité qu’il met en cause avec une disparition annoncée d’un tiers des associations départementales. Le SE-UNSA et l’’UNSA Education apporte son soutien au Planning fami-lial et appelle à signer la pétition lancée par ce mouvement. Signez la pétition sur http://www.planning-familial.org/petition-defense-loi-neuwirth/?petition=6

Ensemble, défendons le planning familial !

Cotisations 2008-2009

À retourner au SE-UNSA Yvelines - BP 28 - 78041 Guyancourt cedex

BBuulllleettiinn dd’’aaddhhééssiioonn

Nom : ..................................................................................... Prénom : ...............................................................................

Nom de jeune fille : ................................................................ Né(e) le : ..............................................................................

Adresse : .................................................................................................................................................................................

Commune : ............................................................................. Code postal : .......................................................................

Téléphone : ............................................................................. Portable : .............................................................................

Adresse mel : .........................................................................................................................................................................

Nouvel(le) adhérent(e) : �� Non �� Oui �� Actif �� Retraité(e)

ÉTABLISSEMENT (nom et adresse) : .....................................................................................................................................................

SITUATION : � Titulaire � Stagiaire �Détaché(e)-MAD � Temps complet� Temps partiel : ..........% � Autres cas (CLM, CLD, CFA,…) .................................

CATÉGORIE :

� IUFM � 1ère année � 2e année Catégorie (PE, PLC, PLP, CPE, PEPS) : ...................................................................................

� Premier degré � Professeur des écoles � Instituteur � Suppléant � Liste complémentaireSpécialité (directeur, Zil, ASH, EMF, etc.) ...............................................................................................................................................

� Second degré Discipline : ................................................................................................................................................................� Certifié(e) � PLP � Agrégé(e) � Bi-admissible � AE-CE � PEGC Section : .............................................. � Autre (préciser) : ................................ � Chargé(e) d’enseignement EPS � Professeur EPS� Conseiller(e) principal(e) d’éducation � COPsy �DCIO

�MI-SE � Vacataire � Contractuel� Assistant d’éducation � Auxiliaire de vie scolaire � Assistant pédagogique

Échelon : .......... Montant de la cotisation : ...................� Classe normale �Hors classe � Classe exceptionnelle

Mode de paiement : � Chèque � Paiement fractionné : � Première demande � Renouvellement

J’adhère au Syndicat des Enseignants-UNSA, date et signature : .....................................................

Les informations recueillies sont destinées au fichier syndical. Elles peuvent donner lieu à l’exercice du droit d’accès, conformément à la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l’Informatique, aux fichiers et aux libertés.

S SI IT TU U

A AT TI IO O

N N P P

E ER RS SO O

N NN N

E EL LL LE E

S SI IT TU U

A AT TI IO O

N N A A

D DM MI IN N

I IS ST TR R

A AT TI IV V

E EC CO O

T TI IS SA A

T TI IO ON N

1ère année étudiant 38 €2e année stagiaire 77 €Liste complémentaire 77 €

Pension inférieure à 1400 € 92 €Pension entre 1400 et 1850 € 112 €Pension supérieure à 1850 € 120 €

Retraités

Situations particulières

IUFM

Vacataire 38 €Contractuel 121 €

Temps partiel : au prorata du temps partielCPA : au prorata du salaireSuppléant 77 €

Disponibilité, congé parental 38 €

Montant de la cotisation.

Le montant de votre cotisation annuelle est proportionnel au salaire. Il est égal à 5,7 millièmes

de votre traitement annuel brut.La cotisation peut être versée en

une seule fois, par chèque adressé à votre sectiondépartementale. Elle peut également être réglée

en plusieurs fois par prélèvement fractionné sur votre compte bancaire ou postal.

S’opposer et proposer !

TitulaireCLASSE NORMALE 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11Instituteur 116 € 119 € 122 € 124 € 127 € 134 € 140 € 149 € 164 €Prof écoles, Certifié, COPsy, CPE, PLP, Prof EPS 126 € 132 € 140 € 149 € 157 € 169 € 180 € 195 € 209 €PEGC, CE d’EPS, AE-CE 125 € 132 € 138 € 146 € 153 € 162 € 172 €Bi-admissible 134 € 141 € 149 € 159 € 168 € 180 € 195 € 209 € 219 €Agrégé 152 € 165 € 176 € 189 € 202 € 218 € 233 € 249 € 261 €

É C H E L O N S

HORS CLASSE 01 02 03 04 05 06 07Prof écoles, Certifié, CPE, PLP, Prof EPS, DCIO 157 € 178 € 191 € 204 € 221 € 236 € 249 €Agrégé 209 € 221 € 233 € 249 € 261 € 291 €PEGC, CE D’EPS 145 € 153 € 162 € 171 € 195 € 209 €

CLASSE EXCEPTIONNELLE 01 02 03 04 05PEGC, CE D’EPS 195 € 211 € 221 € 236 € 249 €

MI-SE / Assistant d’éducation 69 €

Réduction d’impôt

66% du montant de votre cotisation