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Numéro 05Mai 2017

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DIECI est désormais chez elle à Sotchi, le circuit situé sur les rives de la mer Noire qui a accueilli dimanche 30 avril le Grand Prix de Russie rempor-té malheureusement (nous avons une confession à faire... nous supportons Ferrari...) par Bottas sur Mercedes, devant les Ferrari de Vettel et Raikkonen.Le circuit de Sotchi est l’un des plus longs du championnat (presque 6 ki-lomètres), avec ceux de Spa-Francorchamps, Baku et Silverstone, et ser-pente au milieu des installations futuristes construites à l’occasion des Jeux Olympiques de 2014, comme le Bolshoy Ice Dome ou le Fisht Olimpic Sta-dium, des édifices qui caractérisent la ligne d’horizon du circuit.Mais cette année, les couleurs Jaune et Noire des engins DIECI (en charge du service de remorquage et de secours) flotteront également sur le circuit. En effet, 12 engins (10 Zeus 37.7 et 2 Dedalus 30.7) ont été envoyés à Sotchi. Ils ont tous été peints avec une nouvelle livrée bicolore (spécialement créée pour l’occasion) qui n’a rien à envier aux couleurs des voitures de Formule 1.

encore présente a

Les engins sont gérés par TES GROUP, l’un des revendeurs officiels DIECI en Russie, qui fournit également l’équipe de 16 personnes (14 opérateurs et 2 techniciens de service) qui accompagnent les « Track Marshals » le long du circuit, placés à des endroits stratégiques et prêts à intervenir. Le circuit de Sotchi se compose de 12 virages à gauche pour seulement 6 virages à droite (certains ayant un rayon de 90 °) avec des vibreurs extérieurs très hauts qui sollicitent particulièrement les pneus, les freins et les surfaces aérodyna-miques, sans parler du dos des pilotes ! Si aux caractéristiques du circuit vient d’ajouter la bataille entre Ferrari et Mercedes en tête du classement, les probabilités d’intervention augmentent ! Et ce fut le cas. Durant les essais, les équipes de remorquage ont effectué quelques interventions de routine. Mais la course a mis à l’épreuve toute l’efficacité, la réactivité et la rapidité des hommes et des engins. Après un départ fulgurant de Bottas, les deux Ferrari ont pris en chasse la Mercedes, suives par le reste du groupe.

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Dans le deuxième virage, la Haas pilotée par le français Grosjean a touché la Renault de Palmer : les deux voitures ont ainsi fini leur course contre les barrières. Aucun dommage pour les deux pilotes (si ce n’est la fierté), mais l’incident a nécessité la sortie de la Safety Car et la suspension momentanée de la course. En une dizaine de minutes, le Zeus 37.7, placé dans la voie d’évacuation à la sortie du virage, a attelé et enlevé les deux voitures, tandis que les Marshals retiraient les fragments sur la piste. En visionnant la vidéo, on ne peut que remarquer le sang-froid et l’efficacité des opérateurs qui, en très peu de temps et malgré l’agitation du moment, ont permis la reprise de la course.Si récupérer la Renault n’a pas posé de problèmes particuliers, car elle se trouvait juste devant la voie d’évacuation, le remorquage de la Haas fut plus problématique, car celle-ci était adossée aux barrières le long de la ligne droi-te et dangereusement proche des voitures encore en piste qui zigzaguaient afin de garder leurs pneus à température. Mais grâce à Zeus et au profession-nalisme de l’équipe, ce problème fut lui aussi résolu en quelques secondes.Sotchi n’accueille pas seulement la Formule 1 : l’équipe de TES GROUP re-stera à Sotchi durant toute la saison 2017 et sera présente lors de toutes les autres activités organisées sur le circuit, comme les courses de Formule 3, de Formule 4, d’Endurance et de Power Cars, pour n’en citer que quelques-unes. Une preuve supplémentaire de la passion pour les moteurs qui unit DIECI et l’univers multicolore des courses.

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Le 30 juillet prochain se déroulera le Grand Prix de Hongrie, onzième course du Championnat du Monde de Formule 1 2017.La course, qui aura lieu sur le circuit du Hungaroring, aux portes de Buda-pest, est considérée depuis toujours par le public et les pilotes comme l’une des plus difficiles en raison de la chaleur qui accompagne habituellement cet événement et du tracé tortueux qui présente peu de zones de dépassement, augmentant ainsi le stress pour les voitures et les pilotes. La nature pous-siéreuse du terrain et la faible utilisation du circuit pendant l’année viennent compliquer les choses et ont rendu ces dernières années le circuit célèbre pour ses nombreux incidents. Des incidents qui sont la plupart du temps spectaculaires, mais sans conséquence pour les pilotes, si on exclut le dra-matique accident de Felipe Massa en 2009 : pendant les essais de qualifica-tion, un ressort s’est détaché de la voiture de Barrichello, qui le précédait, et a touché son casque à 280 km/h, causant à Felipe Massa de graves blessures

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qui le contraignirent à se tenir éloigné des circuits pendant un an. Un circuit « difficile » où sécurité et prévention occupent une place de choix dans l’organisation des événements. C’est pourquoi, grâce à Verbis Kft (un des revendeurs officiels DIECI en Hongrie), deux engins DIECI (un Agri Plus 40.7VS et un Agri Star 37.7) feront partie cette année de l’équipe de secours et de remorquage à l’occasion du GP de Hongrie. À la différence d’autres circuits où le remorquage des voitures est directement géré par les organisa-teurs, au Hungaroring, le service est confié à une association extérieure : les engins lui sont fournis d’année en année à titre gratuit et à des fins promotion-nelles. Déjà en 2015, Peto Vilmos, titulaire de Verbis, avait mis à disposition un Agri Max et un Agri Pivot, utilisés à l’occasion du Grand Prix de Hongrie, mais également lors du WTCC (le Championnat du Monde Tourisme) et d’au-tres événements organisés sur le tracé hongrois.Cette année encore, Monsieur Vilmos conduira en personne les engins et

sera épaulé par son collègue Lajos Kiss : un binôme réuni par la même pas-sion et par des années d’expérience sur les circuits hongrois. Une passion qui nécessite de se tenir informé des continuels changements concernant les règlements, les protocoles d’intervention, mais aussi les innovations tech-niques des voitures qui, selon les données fournies par la FIA (Fédération Internationale de l’Automobile), ont une vitesse moyenne dans les virages de plus de 40 %, une donnée en apparence peu significative, mais qui a des conséquences sur toute l’organisation des courses et des secours.Rendez-vous le 30 juillet pour voir nos voitures en action, les Rouges et les Rouges et Noires!

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Jerez de La Frontera, Le Mans, puis le Mugello, Barcelone, Assen et ainsi de suite pour tout le reste de la saison MotoGP 2017 : voici les prochaines étapes de travail de Samson 75.10, un des engins de pointe de la production d’élévateurs télescopiques industriels DIECI.Un engin de série caractérisé par des qualités de puissance, de force, de vitesse et de précision de mouvement... Mais, à la différence des autres Samson, celui-là est bleu ! En effet, la machine fait partie de l’Équipe de MotoGP SUZUKI ECSTAR et revêt la même couleur que les motos d’Andrea Iannone et d’Alex Rins, les pilotes de l’équipe.Le Samson suivra la « caravane » de l’équipe dans ses différents déplacements sur les circuits du monde et sera utilisé pour le chargement et le décharge-ment des motos et du matériel. Les 5 opérateurs de l’équipe chargés de la machine ont suivi une formation donnée par DIECI afin d’obtenir le permis les autorisant à manœuvrer l’engin. En effet, dans le cadre des Services Après-Vente offerts à sa clientèle, DIECI organise en moyenne deux formations par mois, impliquant 200 personnes par an, dont 70 % provenant de l’étranger.La MotoGP est la catégorie reine pour les motos de course : sans fausse modestie, il nous semble évident que, pour se déplacer autour du monde, l’équipe SUZUKI ECSTAR ait choisi un engin qui représente le meilleur des élévateurs télescopiques !

entre en

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Et à Jerez, le Samson a immédiatement été mis à contribution.En plus du déchargement du matériel nécessaire aux courses (les motos, les trains de pneus, le carburant, l’huile, etc.), l’engin a été utilisé pour le montage du nouveau paddock de l’équipe Suzuki. La structure se compose de deux remorques et de trois containers équipés qui comprennent l’atelier mobile, la télémétrie, une salle de réunion, les chambres des pilotes et un espace détente avec véranda au second étage de la structure, où les techniciens et les invités peuvent regarder les courses. Grâce au Samson, il n’a fallu que 5 heures aux techniciens pour le montage de la structure qui était prête pour les essais de qualification!

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Le NEC de Birmingham est le plus grand espace d’exposition d’Angleterre : plus de 20 000 m² accueillent chaque année 160 salons et expositions, avec un volu-me de plus de 5 millions de visiteurs. Chaque année, le NEC accueille l’Autosport International, la plus grande manifestation MotorSport d’Europe, où plus de 600 entreprises provenant du monde entier présentent le meilleur de leur production à des dizaines de milliers de visiteurs. Le NEC est également le lieu où les passionnés peuvent découvrir les voitures de leurs rêves, rencontrer leurs favoris et assister à des courses et des démonstrations en live. Un pays des merveilles où certaines fois les rêves impossibles pour la majeure partie des personnes peuvent se réaliser. Ce fut le cas pour l’édition 2016 : L’équipe Williams Martini Racing a décidé d’exposer au NEC son Motorhome (celui qu’elle utilise depuis 2014 pour tous les Grands Prix européens et qui est généralement inaccessible) et de l’ouvrir aux visiteurs pendant toute la durée de la manifestation. Motorhome est sans aucun doute une appellation réductrice car il s’agit d’une structure préfabriquée modulaire haute de 8 mètres, dotée de toutes les installations dignes d’un véritable bâtiment (eau courante, gaz, climatisation, WiFi, w.c. et douches...). En plus des bureaux de Frank et Claire Wil-liams, elle accueille différentes salles de réunion, une cuisine équipée, un bar très fourni (où l’on sert bien sûr un Martini fait dans les règles de l’art...) et les logements personnels des pilotes, Felipe Massa et Lance Stroll. Pour le transport du Motorho-me au NEC (et de manière générale quand l’équipe se déplace entre les différents Grands Prix européens), 12 semi-remorques ont été nécessaires : 10 pour les mo-dules qui composent la structure, un pour son contenu, et un contenant l’Hercules 190.10 essentiel au montage. La structure du Motorhome est entièrement câblée et dispose de connexions hydrauliques et électriques et de tout le nécessaire pour

Un pour le

Motorhome

qu’il soit immédiatement habitable et pour que tous les systèmes fonctionnent ra-pidement. Pour le bon fonctionnement de ces derniers, il faut encastrer avec le plus grand soin les modules et c’est ici qu’entre en jeu notre 190.10 : engin conçu pour des « travaux lourds », l’Hercules ne possède pas seulement des « muscles », représentés par ses 129 kW de puissance, mais également la précision et la délicatesse fondamentales à l’alignement parfait des différents composants, des caractéristiques qui facilitent et accélèrent un travail autrement long et complexe. La vidéo avec les phases de montage est disponible sur YouTube et sur notre page Facebook (link: https://www.facebook.com/DieciItaly).Et qui sait si à la fin, ils se sont concédé un Martini...

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Rédacteurs: Roberto Bigliardi et Michele Becchi