les ruines du futur

7/23/2019 Les Ruines du futur

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Y SURDZÉ

LES RUINES DU FUTUR[1979)

PRÉCÉDÉ DECIRCONSTANCES

PARHUBERT ONKA

SEN�S6R_m•l I M ·



VERISSEMENS ES DENS DU ERMINA t

ES ÊTRES BIPOLAIRES, INVERSION-ÉPRESSIONS,

L'ÉVENTREMENT ES APPAREILS, TOPOGRAPHIES

IFFORMES, RÉSEAX EN PANNE : ÉMERGENCE ES

MONSTRES, PNEMATIQUE E LA IFFORMITÉ,

LAPESANTER POVOIR LE POUVOIR MIEES

PISSANCES AHRIES, PITS E POUVOIR, SIGNES

ASSASSINS, N NAVIRE SANS ÉQIPAGE, LE POVOIR

EN CREX, LA SPHÈRE BRISÉE, FIR. ENCORE,

NAFRAGES E LA PISSANCE SIPHONS VORACES

OOSIÉ u CIRCITS INTÉGRÉS, QELLE EA SOS

EA?, ATRACTION·ASPIRATIONS, LE POVOIR SAUVÉ

ES EAX, ÉTANCHÉITÉ, IRRÉPARABE NATIS L

CRISE CRISE H COPURE O ÉCOMPOSITION,

CASCAES ENTROPIQUES, DERRIÈRE LE MIROIR :

LE MIROIR, LES ÉCONOMIES MICMAC, SONARS

CRITIQUES, CAMPMARCHANISEJE ISSOUIONS

LIQIATIONS, ÉTATSOLIE ET BALAYAGE, RINES

INESTRCTIBES, BIFFETON N ONSTRE CROCH?,

GHETTO ET SILICIM : GÉRER L'IMPRETÉ, CANCER

OMESTIQE LE MEURRE DlS S PUS SIMPE

APPAREI LES SAGES RÉITS RIEN :

BIGBANG, LA GUERRE STENSILAIRE, LA VIOLENCE

EN KIT, L'ANÉANTISSEMENT ES OBJETS, RRAL

LRBAIN TRANSHMANCE E LA FÉROCITÉ IMPLO

SIVE, LE SIGNIFIANT TOMBEA OUVERT, L'ÉCHEC

INSTRIEL, MICROPROCESSEUR : LE ISSIENT ET



LA PCE ÉLECTRONIQE, ES APPÉTITS ÉLECTRISÉS,

N OMPTER E PCES, EXTRAVASATION FÉERIQE,

GRAINS SAGE ET ISSASION GAAXIE

NUREMBERG n BOMBARER ET/O PÉRIR, LA

OBLECOMMANE LOBJETÉLECTRONIQEINCRE

VABLE? EI VÉHICUE DE MOR IMPOSIVE

BON SAGE E LA FORTIFICATION, N CHEVAL NE

VILLE N TEXTE, CORPS E PIERRE O ÉCRITRE?

A TRAVERS 'NE "CHOSE BIEN ÉTRANGE LE STRIP

TEASE TAILLER, LŒIL MORNE TÉLESCOPAGES

NSISOSION DU CRUE ESTINATIONS

PLVÉRISÉES ART E LA MÉMOIRE, RAMPEMENTS,

AVEGLEMENT, SAGE ET "RÉ-SAGE, BÊTE E FER

ÉFILEMENT, MAVAIS SOVENIRS, LAMPLIFICATION

CREL N DI (GESION 2 ENOSCOPIES,

LA PRÉCIPITATION N NARCISSE ÉCLECTRONICIEN

IMUAIONS SANS PERSPECIVE CAPTIVER

RAVIR MACHINATIONS ÉNERGÉTIQES, ÉCLIPSES

ET TROS NOIRS, LÉNERGIE EN CRISE ZOOM ET

ASYNCHRONIE ÉBUEUSES SYNQUES w LES

ÉCHARGES E SIGNES, MIXAGE ES TEMPORALITÉS,

CONSOMMER SA FIN, ES GRMEAX INSENSÉS

CONTR6LES MAILLÉS, LE POVOIR ISSOL, LA

SSPENSION SIMLACRE LA SIMLATION

ÉAMORPHOSES VIEILLIR FACE A MIROIR,

VAMPIRE ET ÉRÈGLEMENT, CHASSÉ! ORAGE SUR

'OCÉAN A PUIE SUR E DÉSER



CIRCONANCESPAR

HUBER ON

ve Sourdz herheur ban e inrépe jouiandune renommée proe a · e Ruine du uur pendan année oanedixhui Ipropoa aor on manuc pa ou à ai dan é n eque nou e puberon

aux direeur de oeion e aux ieur e vi pei à pee poe e erme euyan de reu nimbé dune hoiié aez nee Commen e jeune <<ommunieur 1 éruen ééphonie ravaian ur e ehnoie de poine de/éeronique e de a ommuniion avaii pu ommere

une mahne inae prévoyan un hoon une oe den de /inoaon une ore duopie de açon à a oiheuique e ae hypoaique e abyae Tou euxde /apooéique ehnooique ore de doeur Foamoue eux ique bouonnan ur /inhumanié de e ehnooie reuren d aire onane à eui qui ava pro

puer e c nouveaux moyen ehnique à mme demodir proondémen non e eue habiude de e onioyen mai e ondemen de oéé en mme emp quepeindre e beau radi de epoir e de onéquenebeau ai de nuane e qui u peure e pire en une

époque où queque rand prre aux éooie déqueene viipendaien aveue à oue modeié inexorabe e qui advenai inéuabemen i ne audra paaendre r onemp pour que e ybeanhrope erme

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au même ordre symbolique, vu ainsi les «Ruines du futurdéveloppent une vision mosaïque de la conséquence des gestes inmes et de leurs lieux symboliques

Qu'avonsnous vécu depuis l'ann soixantedixneuf(date de la première édition)? Nous ommes passés d'uneménce de /'électronue à une «subjuguation , à un aveu

glement, consécuti au dé�rement inélucble d'un nouvelÊtre. Biement la ménce aait dans le sens des tenantsdu Progrès (notion qui se trouve avoir été bien bousculédepuis, alo que /'électronue, elle, a été bien bouscunt. . ),ils voyaient là un nouveau système de contention, cette

dénce se faisait au nom d'une de l'homme souant,aléné et en�rmé qui travailai pour acquér sa berté, etlorsque celeci se prole ele n'apparaî pas dans la formeattendue, alo ee n'est pas rewnnue. ctue (radile),dé obsolète à l'poque, aveugle au phénomène grandissant, n 1éclairat plus en rien les nouveaux avènements du

«mode de production, ele s 'occupait des vieles lunes etdes viees revenditions dont la radicaté datait du débutdes anns soante, wmme le dit si bien ngue fançaise«elle s'occupait pour cacher sa vacuit, nsensible à cette«chose" électronique qui exisit sans être vue ou seulement

entr'aperçue au travers de ltres grotesques aujourd'huimême nous n 'avons toujours pas de pens (radile) sur cesujet permetnt d'approcher les événements és à la «présence indéniable de l'électron inique envahissant. Silencede /'analyse, extaticité face aux «machines" électroniques,acceptations béates des réseaux de communication en tout

genre, silence de la pensée, béatitude résignée quimportel'acception est aujourd'hui tole et sans retenue, par contrele silence de réexion sur les conséquences sur le socius etl'indivu est tout aussi tota Cela est très inquiétnt, r cesilence laisse régner les idés anciennes comme celleci

«toute peine mérite salaire, son contraire est vrai et désobgeant, et si la peine, c'estàdire l'exercice du corps et salotion rémunée sous la forme du salaire, n'existait pluset que s'ensuit l'inutilté de l'exercice du corps dont la lo

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tion perdure mais plus du tout selon !'ordre de sourance

et de la contention (le travai mais suivant celui de la navi-tion on gsse on ne force plus le monde ne serail pasautre Règne toujours les mauvaises consences façonnéespar le mythe industel du dixneuvième siècle. Le chômage('électronique en serai responsable . . . ) reste !'utime bastionde l'éologie industeuse où ne ren faire serait une hontealors que ce n'est qu'une nséquence heureuse du destin del'induste pilste; le temps enn éé devrait or despossibilités plutôt que des regrets ou des interdictions de plusces nouveles machines œuvrent tout aussi bien du côté technique que du côté artistique l'ndéteination technique et

spatial de l'outil est de la plus haute importance pour lefutu Il y a de forte chance pour que nous ne soyons plusà poste» ce qui n'i pas sans remettre en question utela mécanique du contrôle de l'homme aujourd'hui nouspouvons comprendre la menace bndie par les Huxley etconsos d'un contrôle absolu par le Grand Ordinateu chezeux le meileur des Mondes» était celui de la sourancemusculaire et intelectuelle et non pas une déance duGrand totalitariste il ne prévoyait que l'abandon del'thique de l'eort c'est l'inverse chez Zamtine qu luiVenant u oid» montre qu'audelà du contrôle par la

Grande utopie aolée et tolisante le raisonnement indivi-duel é à une raison colective et à une vision du futur nequitte jamais l'humain même au pire moment.

On comprendra que ce qui m'a conceé dans cesRuines» d'Yves Stourdzé c'est la volonté développée decomprendre ce qui advenat alors qu'au moment où il évait ce n 'éit encore qu'une possibité comme s 'i ne voulait pas séparer l'invention la découvee et la ré#exion leprocessus et ses conséquences poser ce qui adviendracomme ce qui est advenu foe ultime de l'utopie Resterale contenu l'nigmatique du titre Les Ruines du futur».

S'ajoute une exigence essentiee qui m'ava suit dèsla première lecture de ce texte sur lequel ean Baudllardavait attiré notre attention celle dune ériture : vouloir

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résoudre l'insolvable en l'évant et non se venger du mondeen l'évailant Érire omme, toutes propoions gards,Flaubert, herhant la langue pure en la gueulant, en l'en

gueulant (qui sait?) pour qu'ee se rebi, ou omme Cénese salissant pour pouvoir montrer la saleté qu'est l'homme,il en puait orporelement, il s'est avili l'espt et il a pris lerisque de n'être qu'un salopard. h malheureusementpour nous malgré tout le talent d'Yves e n'est là pas duGustave ni du Ferdinand mais il se trouve sur ette route/à e n'ai amais parlé de ela ave Stourdzé, alors qu'à/'époque e le pensais dé). Cette éture rebuta, sans

doute, les éditions en sienes humaines, ar ele posait unsoupçon sur toute évotion positive ou négative, sur touteonsidération sientiste, dans laquelle nous errons enoreauourd'hui dans sa pire forme, l'impliation politique

Ce vre t souvent onsé omme une assez vntetique de linstauration du ybe d plus nanthrope 1alors qu' s'agissait plutôt de l'nverse, si l'on y regarde deplus près. Le style eohé, l'usage répétit des suspensionsnon pour laisser otter le sens mais pour le louer au mot età l'idée an que nous nous retrouvions aontés à un diresans pouvoir y éhappe suspension, interotion et ex

mation autant de manière de radiser le leteur en l'obli geant à onser ses propres intentions et non ees du narrateur (voir de l'évan, hez Stourdzé la suspension des . où >1 en début de hapitre, indique le manque de tempspour pouvoir tout dire le propos est bousulé omme s' yavait urgene Le style est elui d'un eune homme pressé, sa vitesse l'inaait dans les ux qui l'inspiient à tousles sens du terme Sur ette question du style et de !'érturenous eûmes tous deux des rappos touentés, r d'un ôtéStourdzé ayant rahé le moreau ne voula plus y reveniret moi qui y plongeais, à fore de le lire en le omposant

(à l'poque en ligneblo en plomb..) et de le rere pour leorge e poussais Yves à radiaser l'ture et don, ile fond puisque les deux étaient indissolublement lés; enmême temps e maontis aux pauvres idées ambiantes

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ur e uet qui nauraient pa à lépoque u être réelement

opérante ou uante pour inéhir la réexion deStourdzé I me falait poer au point de compétence !crivain on ne auit aer audelà e avai que oblgeaile eune homme preé à aeoi ]ignorai que ouvrailà une réelle poibilté quYve utilia au maximum; il

«réécvit» le vre alor qu éit ompoé Nou paâmede heure à reprendre le t de correction quil mappoait avec une régularité de métronome à ontenayouBoi I fut compoé entièrement deux foi Lorque e reliauourdhui le texte e ne regrette rien Lobet et ingulier(Yve ne le redoubla dailleur pa) ignore y a un

exemple Quimpoe I ne mimporte que me convictionNo édtion ont rerdé la réédition parce qu «falait

une préface reituant le choe dan un contexte, qui auraitparlé du développement cyberélectronique, de ce domaineoù le obet deviennent caduc dè leur apparition, où on

ny invente plu en, où lon peectionne uniquement Per onne nayant pouruivi ce type dexploration peronnenéta autoée à le préente et pui, uou il ny a plude contexte, donc la préface, la face avant la gure, etdevenue inutile On nou a aui dit que «lcture éit trèmarquée par on époque», quun vre ente le moment dan

lequel il fut commi net en rien un inconvénient aucontraire peutêtre? À voir comment il era accueii?« on époque ce ne fut pa merveileux, dailleur le uccè relatif de on ouvrage atteignit Stourdzé qui marquale up Notre miion net pa dobler qui que ce oit mai

eulement de mettre à la dipoition de eprit le produitde lept Ce que nou (re)faion auourdhui Nul ne noua aidé nancrement à faire reurgir ce livre quaucuneur na récmé à corp et à c Cet peutêtre pour ceque nou avon auourdhui envie de le voir (re)parare Rete à epéer que le en contenu dan cet ouvrage trou

ve une écoute et modira queue peu notre électronuemoment

éver 1998

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À Ma-Nà quu a

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AVERISSEMENS

ous nous promenons aujourd'hu dans lesrunes de notre avenr. Gsent pêlemêle sur le solporeux des solels fragments des étoles mortes etdes lunes aophées. Nous dambulons mélancol-quement. Parm les usages roullés et les myrades de

sgnes dcomposés Partout traînent de grandscadavres thorques et des corps grotesques parceque sans mtes n frontres Dans ce panoramadésertque et surcharg peu peu nous ne recon-nassons plus ren : les vents du smulacre se sontlevés ls composent et décomposent des gures

excenques pus pnant les horloges ls mxentles temporlts . espace lumême se courbe et serabat. Voc que soudan des parcules nntsmaless'enent dmesurment et absorbent le panoramatout ener pendant que d'autres consuctons

gantes elles se rtractent jusqu' se condenser end'nmes suctures Se réécssant en d' rrssbles« ous nors »

Ans ce monde de sgnes d'où lnerge pro-gressvement sest enfue connaît ben d'extrava-gantes pulsatons. Mas y scruter de plus prs l

s'agt d'nsoltes conguratons d'absorpton : desformes atacves gnérant des séducons et des atrances Des dologes dentes.

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,

y a l tout un jeu de passons mas de passonsprodutes par des conformaons voraces. Partout desavdts. Et en retour des dvdements. Des njecons!

Ans traversonsnous aveugls un ther où seprolent la geson des ananssements et le jeu des

annuaons. Les espces cves qu s'anment toutalentour sembent ben êe les ombres portes de ladissuasion

Au cœur de cet espace qu se dvole sans pers-pecve n f les boussoles s'affoent les gyroscopes

se dtraquent et es compas ne servent pus ren.Les cartes manquent de ce tetore qu s'enfut et nulrepre nule rfrence ne se asse apprhender L�spolarts se sont dssoutes

D'alleurs toutes mmores semblent dnve-ment perdues comme s elles avaent t sases et

egloutes par es rseaux de atement. langueelemême se racte pour se condenser en ogoma-che bnare Et la douleur leconque se module surdeux tons.

Marchonsnous mantenant parm les dcombres

de noe futur? Plutôt au sen de noe propre corpspar le bas d'une ndne radoscopePus es temps se troubent et es ajectores se

dssocent. Les pouvors s'mettentAlors dbutent d'exavagants recoupements se

xent d'tonnantes reaons ansversales.

Audel ou en deç des puts de pouvor commencent volger des nues asyntaxques s'nventent des assocatons momentanes se mettent enbranle une multude de dssdences le scnllementgnrals des mcroprocessus les rpulsons ds

connuesLe pouvor c ne s'exerce plus que par mutaonrseau et clgntemen est anst ene navette spatale et mcroprocesseur. Il fonde sa pussance sur

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son absence même. Comme s'l parvenat rabate

son ombre tout alentour.Noe parcours est ds lors totalement désorenté

Sans soubassement, n pont de ute, abasourd parles éclats et les sdératons. Rav par les attractonsvoraces.

l ne nous reste plus qu' nventer la smulaonde noe propre démarche.

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LES DENS DU ERMINAL

lon renconre dun côé la mnausaon, lemcroprocesseu0 e les manpulaons enzymaques de laure la navee spaale, la bombe àneurons où lon vo que, dans lenredeux,nous crculons à âons, pendan que s élaborendes mémores ecves, banques e bases de donns, e que s éabssen les réseaux nerconnecés don les ermnaux, comme aun de bouchesaves, renouen avec le modèle ancen des voracés e des appés . où ln dsngue paou ds

groupes qu s 'alomèren, pus renouen avc unpassé nsole, fasan leu des passons ransver-sales, des spéccés passagères e des socks desgnes orphelns. où lon sas que reproduresgn désomas créer drecemen des nes, desdébrs, des éclas e des nusances.. où !onconsae alo le mage des emporalés, lnsa-bé des cos . e où lon se me à parcour larchéologe comme un hème de scencecon

En nironnou avec le noton d e régulationet d'harmone. Écrabouller le vage ouriant d unPetit Chaperon rouge an problme . . achever ce

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condenss dqulbre bats qu sefforcent de recou

vrr dun suare blanchâe le champ de lconome :le lat peut êe renvers par Perrette . . se dgager dela terreur que lgrnement mcanque des conceptsengendre : adeu veaux vaches cochons . . . et qutter lardt dsertque qumpose cette perspectve

où alteavement mons que ce sot concurrenellement lÉtat et la Lbre Eneprse parvennent xer les formes harmonques. Cts Radeuses oùsapasent les turbulences Mas ces vagues maîtrses sont de cartonpâte. Et le dcor dcolor lasseapparaître une trame troue. La mare des sgnes

nors.Gommons donc cette paron toute thâale des

rôles prncpaux : captal aval Ét se gent alorstels dancens automates roulls lhorzon. Subssteseulement un oudroement de sgnes restes paro

dques de S ncomprhensbles.Avec quo dsormas sndque une drecon?Somme toute en suvant encore e Pet Poucet. Il

suft pour proposer une orentaton de ponctuer lechemn demprentes : calloux blancs

Hansel et Gretel auss

Ces ponts qu balsent un ajet : sgnes pour lemons efcaces . Sauf être mangs par dmprvsbles volales

La catastrophe le dsase se joue c toutener comme une perte de sens. lnstant où les

mettes se substuant aux calloux sur elles sabattent les oseaux. Cestdre lorsquenent en jeu desappts.

Sentonsnous cec : que tout objet dj se convert en sgnes et que ceuxc se rdusent des mettesleconques; ce sont les bts : 0 1 0 1 0 1 0 1 0 1 0

1 0 1 lnnVers où se prcptent ces cohortes rsduelles?

ombentelles lnstar du Pett Poucet ou de

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Hanse de Gee affées épedues débusséessu e eu excenue e eu teminal celu ù cela sce u 'ge vace ?

Esce le emna exus de Hanse e Geel les-uels décuven ue musvles pues adsessn auan de sucees e de duceus ? Cmme spa exavagance ues clôues exéeues puvaen êe mangées Avae es pas exees. Jusu' l'nsn ù sug abupemen la sce Désan sn u déve les enfan

Vc ue e chemnemen ben mdulé le déve

ppemen ben empéé a démache ben p-gammée se cncu en culdesac la fs mangémangean. Sauan d'éues en éguans ePe Chapen uge mbe su un s ez lachevllee e.

. . . Les dens du teminal pus éngmaues uecees de la me.

u seven als es plans e les bnes sles seaux dévaeus en avalen les epes es es messages emnen leu péple au chevede gandsmes : «Que vus avez de gandes

dens . . »? De calux . en mees . . de mees . . en masns . de sucee . . en sce . . se fe un gaphedes eunemens une lcalsan des effndements : es bes de 'engussemen

DES !RES BIPOAIRES

Ce sn ces chausseapes ces us u dans'écnme sn masués de elle se ue sus ahuete de la nme ndusele pusse se eue

ndénmen la pcessn des calux e desmees des usages e des vaeus En agan desêes bplaes. n peu la façn dn fncnne'acl dénaué. sav pa pducn d'un

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double répulsf; un double ndgérable qu nterdt

de bore et partant de parcper l'alégresse ou 'angosse de l'vresse.

oute cette machnaon qu progresse par dédoublement neualsaon du verge répulson et sus-penson du vde nous la reouvons son corps

défendant dans l'économe ndusee sot pararculaons ou ansmssons elle opre ben mascomme par délégaon en basant Mezzovoce Il fau-dra attendre l'unvers électronque pour qu'ele sedéploe. Sans ntermédare sans médaton labombe neuons.

Pourtant l est un uquage qu la fos retarde etannonce l'économe électronque c'est la mse enscne de la Dernre Instance Ce scoop usé forcedavor tant serv. Proposon euphorque en formede happyend théorque . où se dssmule l'unvers

glacé du sans appel. Le grand slence tout auss benqu'une tontruante clameur ans se détecte lenveau décsf Le soce. Le ever métaphorque mparabe l'nsnce dénve En vérté le sansrecours l'mmoblsaon du gel Sa contagon le zo absolu.

INVERSION·DPRESSIOS

Glacé parce qu'l s'agt d'un leu polare Pontnodal de gravon et de frod. Leu des clefs aussOù l'homme des passes rgne ncondonnellement.

Fgure du Porer de Nut. Projecon ente le tempspassé et le temps venr sunte l'nsolte d'une ren-cone d'une dssdence d'une varaon 'essenel?qu'on ne pusse passer dans les deux sens Et qu'une convesse 'ateaf en connu. De 'enfer nune sortat. N du labyrnthe Sauf subterfuge c'est

cela qu'aujourd'hu reconstue le semconducteu.Retenons donc que hors l'économe morbonde

émerge le vsage de l'rréversble Sot l'effet du gel

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Mil neuf cent vingtneuf nivers inversé, espacecrique proprement la Grande Dépression. nehistore circule. Dont le protagoniste cenal reste unportier de nuit veillant dans le hall d'un gratteciel.Chaque fois qu'un voyageur arrive, le porer de nuitavant de proposer une chambre et un étage, posel'habituelle queson : « C'est pour vous reposer surle lit ou pour vous eter par la fenêe? » F sleeping umping

Estce que l'économie ne aite pas des échangesdans un tel lieu demi clos ? Maison close? is

Œcnmie Maison de passes ?Le bordel ou le temple révélant ceci qu'ilest bien Dernire Instance : lieu original où se fonde,se précipite et se reconstue la Monnaie Vivante.

Demain, auourd'hui dé? Le erminal sphrede clôture et d'accéléraon : le Passage de l'alter-naf au continu du signe la chair, du caillou lamiette Sur fond de catasophe de précipitaon, dechute D'avalement Les oiseaux électroniques affamés s'élvent ds la tombée de la nut. Demain, les«bits» ds l'aurore

Imaginons alors la Dere Instance comme uneimpossible rencone oncon de deux séries qui,bien que répulsives, se oignent. Dans l'intensité et leparadoxe De l'exténuaton ou de la dissuasionEmpire des rencones improbables. eu du bombar-dement des parcules. Des accélérations inouïes.Pêlemêle le maîe et lesclave enlacés ; la peste leansistor; New York éteinte; les cycloons Partouts'inventent des émulsions catasophiques. Des onc-ons qui sont autant de désastes Seule l'économieclassique grotesque continue d'invoquer sous

cette pullulaon critique des obectifs ou des sou-bassements. Lesquels soutiendraient ou supporte-raient. Ficon socle inasucture qui fonde; hori-zon qui ate. Bref phare et fondation Au lieu d'y

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reconnaîe le travail involutifdu vide la dclnason etla chute rrsstblement la rhapsode des nversons thore dsormas s tant est quelle otteencore un peu ne sera plu que de catastrophe voc. .

.. Quel dplacement quelle pchenette auss

tnue sotelle engendre lcroulement dun dcetenu pourtant pour solde? Charlot dj dans LesTemps Modees sempare dune cale mnuscule etprovoque nstantanment leffondrement dun ggantesque bâment

Pour reouver voe chemn passez donc du

callou la mette. Brève varaon. Asse cependantpour vous jeter tout cru dans les bras des ogresavdes. Satges prlleuses des sotopes

leconque du pouvor passe dj par la geson de lalatore catasophque. Fulgurance et rso

nance des mouvements nntsmaux n leconpeut mete le feu toute la plane Et la Franceenère tombe en panne

Rapt. Enlèvement Dtouement. Changer uneparcule dorbte ou dtouer un avon : tlcommande de lnme. om Pouce et le Pet Poucet par

tout crstallss Courants presque nuls rampementsnsoupçonns et qu subtement samplent

Dsormas SENCE. . on ÉU

Du terreau nor de lconome du socal benquassol et amend les ardners du pouvor voent

stupfats surgr des varts dfformes Lesquellessrent se dploent se conactent. Doù en retourle rêve cologste : en revenr la santet despècenaturelle. En pure perte Car dj se dssmnent seractent et se dffusent les germes de catasopheQue ceuxc soent placs dans les rubrques au fond

rassurantes de laccdent du sabotage de la panneou du hasard ny change ren. ne nouvelle naturenouïe pousse qu se substtue aux mcanques

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ndustrees. 'econque du pouvor se branchesur cette ore renouvee : en queque sorte une ec-ocutre de a monsuost.

Du X sce et de a thermodynamque certansavaent n par apprendre que es machnes n'taentpas sans rapport avec e dsase enopque.

'EREME DES APPAREIS

Eh ben a aveugante des appares sgne' venement de eur carter Is gsent, rous . Mas

de eur protecton dchquete s'pandent es uxmuformes d'une subsnce, dont d'aucuns dsaentnagure qu'ee tat du trava vvant dran par escoaguatons de capta mort. Soupçon peutêefond.

Car ce ux ngmaque aujourd'hu se dsperse.

e e «rayonnement» d'une catasophe.Et e « pouvor » avant d'chouer en queque

muse Grvn de 'avenr tente d'exorcser cesfutes ; ançant pour ce fre ses veux des : cono-mstes pus ou mons dcats et jeunes arpenteurs

sucturastes . Mas ce futr d'enetemps, s n'ontau fond ren en dre. Dj coue ene es appendces ansparents des gsonnares du smuacre.

C'est qu' ondue, traverse, obque, rtrogrademême s'passssant parfos en de vagues formestoujours gmes ; cees qu dj s'taent nvtes

sans pravs, au fesn de 'conome. « Stagaon» .Chmres perturbant 'ordre et e sece mpeccabede a reproducon arge.

En zgzag : a Peste, a Bee au Bos dormant, aBombe neuons.

Les changes ottent, es vaeurs ondoent, e ser-pent se dte. Fragments donc, sparaon d'organeset aggunaons de rencone nvesssements passagers : myrade de dbrs qu tournoent sans an

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cage le Docteu Fankenstein ne availle plus assezvite dans des toubillons qui se constuent éphémes, autou dappaeils depuis longtemps calciés.

OPOGRAPHIES DIFFORMES

botanique paadoxale des métamophoses segeffe désomais su léconomie classique expiante.Des malfomatons toublantes distendent

le champ ente des échanges. Des bousouuesétonnantes taaudent les systmes out disposif decommandement tout modle de contôle se

nécose plus de tanspaence plus de solidaitésaonnelles au mieux des coulors d'ndences Commencent de lamentables glissades ente étenduesbueaucatiques et champs de signes satués Deplace en place : le gel oganisaonnel et des désets

opaques.nives déchos de edondance de satuation en même temps quensablé : cen est fait de la foisimplette en la limpidité des oganisaons ! l ne leueste plus qu sombe. moins de emodele leupilotage. Ente les diffomités les tumeus les

faillites un guidage classique ped tout sens. l sagitplutôt de simule des contactions défensives degénée des éclatements damoce des involuonsde coutcicuite le teps linéaie. Pou cela encoefautil applique «échogaphie» aux conguaons

bueaucaques et établi les cates instantanées duéseau des failles des ossatues gées des aggloméats de signes vides ou issants. Le long des axes degavitaon pa l intemédiaie des chanes intestelles les mutations pouaient bien se faye leuvoie. De telle sote quau modle mécanque ou élec

tique de la ansmission et du changement se substue une topogaphie elaviste des invesions Jeudes crcuts pécisément désnérés

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Sou cee lume, qu et c choc et but po-dut lmte e gnale une géogaphe alvéolae, deone de dfféenaon de doublehélce . . . enn .le ou no

RSEAU EN PANNE : MERGECE DES MONSRES

Ic peutêe equent en ponllé le poceu fulguant pa lequel e génent ou plutôt edégénent le tuaon datacon nduent leapaton, e font le cône davdté, npent

enn le «put de puance» état gelé - « odtate »? - en getaton ydécante Le zoom qu le dévole ntecepte dabodlmmenté de epace émologque pa quo lepouvo déologque, dont l et lhéte, étatnague donné le conôle en pae ou le monopoleen totalté Monant vo qul ont ben le anc-tuae névalgque où le gne pa vague uc-ceve vennent échoue et e égénée En un jeude pulaon, dmpulon et de bouffée MaxRome, Feud Mocou.. lépcente de ce can-

on. Pu la foêt métalque de émetteu.Cependant létat gelé et lumême dun auteode le ux gnalétque ny ont plu n totale-ment encadé totalement oenté ne at nullement dune poducon en connu, dune gaonautomatque. En en lépanchement ndén dunebleue

PNEUMAIQUE DE i DIFFORMI

Au conae, y dévole tout de go labopon

et le abattement u de pôle aléatoe de paquetde gnaux ; lequel paaent épande et e coa-gule au haad de coutccut Au leu geonne peut plu êe n de dénombement n de épa

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on; par «ici, tout se rit du recensement, de la mobi-

lisaone cantonneraitil alors, le «pouvoir», dans les

pacelimite de la régénération de la monstruosité,dans un jeu tortueux avec les «objets actals»? Unepneumaque de la difformité en guise de polique?

En son fond, une marche à descendre dans a pré-cipion par laquelle se livre latacon, le ounoir, la trbulence exceponnelle dun espace daccréon la puissance en creux : de dissuasion.

Là enn où la coalecence défait les nœuds classiqes du pouvoir et provoque une irrésistible

dépression tourbillonnaire.Fusion et effondrement en cascade des niveaux

dénergie Ponctés de parcules ravissantes, charmées

APEEU DU POUVOIR

Désormais au du ravissement ittéra dune teleperspective entièrement brouillée les espacesantérieurs, et surtout la forteresse indusielle, émer gent telles des ruines pathéques. valeur savoue

aors irrémédiablement ho dusae Ballottée dansdes ux qui ne cherchent nullement à se sbiliserautour de moules énergéques Aucun équilibreautorégulé, en dénitive, ne se dégage. eules des vacuoles dordre ottent Des cristaux épars de CL

CUL Par intermittence. Mais il y a plus étrange : lagure du pouvoir, en nt quelle est dé, ne sest pastotalement résorbée

Alors? alors pas de dégénérescence, du moins ausens classique. Pas plus de laïcisaon technocraquedu pouvoir. Non : plutôt inversion! Le pouvoir. Le

voici distendu et rabattu à léchele de la société en-ère. Il est devenu en somme le climat du social.Agissant par enveloppement et précipitations. Bref

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il assume lecès de dépolariation : n de la tesionene pôes opposés Écroulement de toute poaritédont secitait la macinaon par laquelle le pouoirrait sa substance Puis effodrement de énergé-tique qui supportait le tout Partout seffacent lesduaités se dispersent les opposions se désntègrent

les riaités duelles e hamp ocl e déporie Compromis istorique coeistence pacique lutte declasse utte de blocs au ou

on plus lappareillage éergétique et ses deusources mais /'éher des déries et des effondremen

localisés on plus lérection dun isage centralopposé à son double la mutude quelle déisage liait le jeu des accéléraons et celui des téléscopages.es accidents et leurs corollaires en termes démoon de stupéfacon

Poétique cruele ou gai saoir (cest selon) des

parcules soit : des surgissements et des éanouissements De la tension mais au sens strict commeénerement précisément comme apeanteu Doncbien lombre partout présente. Mais nullement cellequi ordonne et coordone car sous leffet de sa dif-

fusion par dépolarisaon la puissance sinerse : elledeient le paradoe et le scandale de lantigraita-on sociétale.

Et le pouoir sil subsiste ce ne peut plus êtrecomme arcitecture de relaité.

Rien nenraye plus dès ors les écrouements

locau la cinéque des corrupons eforescencedes aspiraons gagne. Geson subminimale et mii-ordonnacement

Tous azimuts germient les espaces aopiés etse concoctent des pôles fugaces datacon de fas-

cinaon as : la canalisaon moderniste des énergieset des signes prend n. ouest de lénergie et dusigne comme à louest du temps soure le proces-sus daccréon Désintégrant la polarité de soubas

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semen onsiuie e opposion isrèe ene

sine e énerie En son lieu e plae aien unesémiurie fouroyane, exure un mixe enesine e énerie inersés Pfui

Pour faire arrae à ee renone, pour louerete inersion, mulples son les pes e reylae

proposés ous ayan pour oaion e réénérersine e éneréue, e les ynamiser en leur inje-an proje e ojeif Bref limier le o élero- niue es assions, riser la sémiurie implosie,réinsérer ses élémens éléères à linérieur u parksysémiue

Seulemen oilà le péllemen implosif ne pro-ui auune susane sale, auun élémen e jon-ion susepile e ouer le rôle e suppor ou eermes ans es éanes apes à sauoonsolie

Non es os aléaoires nalimenen ue es

appés insananés ans es émusionnemenséneries inersées e e sines aafsès lors la sempieelle naete nre éonomie

e iéoloie, l'aller e reour aran ene nieaux esens peren oue pernene

œil lassiue s emue e le rouillar enai le

panopon es ue l'espae se or e se meen à irer les plasmas insales, les pièes, les iesSaéies e mise à sa

ar la oalesene aire néessairemen sansu'il y ai e erme ou e n par rééissemen ou

réaon, omme en un reux oraeinjeon e la ifformié pren le pas sur lanrae lassiue e la onformié Quan? ès ue

les espaes son raaillés par es épuisemens, esonenraions, lesuels n'insufen plus maisessoufen éposan en reour 'éonnanes ares

implosies BgBng émuliplié Peaux e arinuissonnanes où lémoon se onense, se éprimePuis ans e «iilà ou jeu e sine se susue à

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ou aue Peu mpore. E don e favoren de dfférenaon exrême; an réula auun. Aureue d'amler l'éourdemen de la répéon à lanee de a dnon C'e égal. Car e gne à'inar de l'énerge e oua en parule déonaneénergie inverée mnuule ou gganeue pu de

puiance Tel le raère de oue alle u rblen le ol unare Panoramue don ur l'nole dedépreon de avdié e de aaon aprane.

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LE POOIR EN MEES

M l'on vot ben que le pouvor est mpussant.. et que pourtant, par redoublement,élatement, fute et attraton, l parvent paradoalement à mposer sa propre pussane neutralsée . . où l'on pressent dès lors l'mportanede la séduton et de l'attrane dans le fontonnement d'un pouvor en reu qu sdère, rav etdépme

PUISCES URIESot le pouvor est mpussant. Tel qul se lasse

appréhender chez les Urubus et alleurs. Ans serévèle la coméde du pouvor. Pouvor mpussant,c'estàdre pouvor enfermer dans sa propre pussance. Enèrement clos. côture du pouvor e protège, l est vra. Mas lemprsonne auss. Ansenchâssé, le pouvor agonse Mas d'une mortmpussante. Elle auss prse en écharpe par sespropres lmtes Quelque chose comme un espacegé. Dsonsle statué. Dès lors que la pussance

devent dole, ele se condense en un dsposf qu la valorse et la dssout. Elle st absolument présente ettout autant rrémédiablement perdue.

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Cette forme q enferme et annle le povor ce n'est ren d'atre qe l'magere d povor. D'où l'nterdt majer ne brcolez pas d'mages de vosdex.

Le povor se réacte et se perd dans les contorsde ce je représenta q lmpose et le dépose

ns voyant les Hellènes offrr des présents axdex Héraclte dsat «Ils prent les mages desdex comme s elles entendaent, alors q'elles

n'entendent pas comme s elles donnaent o ex geaent qand eles ne donnent n'exigent

Imagnons néanmons n povor conacté résstant sa propre déperdon Un povor rayonnantq se refserat la pécaon

Une qeson désormas et ne sele : «Qelle sse? »

Vsblement l'overtre s'oe telle la clef majere

a povor q prétend l'exercce.Porte o nterstice, pe mporte sot le povor

sépand sot absorbe. Dans tos les cas : éuementEt donc de l'ntérer o de l'extérer Voc l'amb valence terroriste d povor : Atacon. Réplson

PUS DE POUVOIR

Aspreratl? Tracé canalsater. se forme npts de povor se conste n dsposf atacf

Et d'abord en ne arctectre palatiale tot

entère consacrée l'absorpton : constrction crétose petêe Le labyrnte

Dégolnade sans retene ea, rne, sang,excréments, alments, mas ass mpôts, lmère,écrtre rssellent. Ps se dsspent dans l'épasserd sol. A cœr d'ne sprale

Enn les jenes gens Menés par les navrescondts jsq'a Cene A d'êe évenés Par lestareax ax cornes sacrées

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n palas Ne serace pas ouours un collec

eur Cesdre u égou vlle conue lespace déprmé. cé chan

epleure Orenée el un pus u enaîne Tou c nes ue dran Chaue élévaon ne projee sonsens ue par la révélaon où elle savère SC

e labyrnhe cesse aussô dêre une éngme hozonle. se dévoile sysème vercal de succon :décvés enelacées; imploson

Il sesu cec ue la sucure avoue e sonnclnason e sa voracé

enjeu c lépasseur E la pussance u gî

dans la vacué du creux Doù ensue cee cohorederds e de dsposons pour résser la séducon la eaon Ren de pre ue la chue Vocdonc la naure horrée par la présence du vde

éonard de nc « ne subsse aucun vde ene

la ere e lar Ans, uconue a d ul sy poudu vde a a un se dscours. Avec le plen se comble dès lors émoon dépres

ie Se vole la mondre séducon Oubleraon aucene des conguraons lépasseur éngmauedu aureau E la bêe méallue creusée smulacre

nécessare la copulaon S cela éa undue-ra un el renemen Snon lero de lespace laby-rhen Parce ul consue la aducon graphiuede lAmour du Pouvor E en lgrane lappé depussance Sus alors larcheconue daaconQul so déu ce dagramme de la pussancedabsorpon E ue cesse le scandale par leuel lepouvor se déclare séducon E donc érene rré

versbleCes ue dans ce espace voué la dsparo

ren néchappe lengloussemen la pussance sy

adu en maducaons e ndgesons nceseusesE ou cocour en cee cé esne la conce-aon dsspace

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auf Thésée. ui échappe à la précipiaon. ès lors quil senfui Au moyen dun , dun elèvemen e dun meure

SES ASSSINS

En revanche le Minoaure défai isparu, démoné, le corps dévoraeur. E sinaugure un nouvelordre meurier.

ordre des signeseu du signe. abord la fuie la fuie rendue

possible grâce à la marque qui se dérouleeu du signe.) Ensuie le reour. Ou, par subsiuon de voiles, la mor du ère comme aconnée àdisance

Voici venir le emps des signes assassinsci, à lheure du dépar, érange renconre E

Freud e Mose, e Thésée, le labyrinhe pour décorChassé de Vienne oujours la vile naale. Assaillipar une queson lancinane : ui es Moïse? Oui qui esil, le Mare de lexil? Homme de la séducon Ou homme de lérpon. eau qui senouvre

ou le volcan.Esce asse de dire que «le ieu des volcans éiou indiqué pour remplacer la grande diviniémère»? mère soumise. ui dirige une fuie?

Commen libérer des parcules marginales?E la chronologie neselle pas seulemen ici un

masque? Lequel dissimule la roublane fusion demodulaions variées e réversibles du pouvoirimplosives ou explosives

U NAVIRE SAS ÉQUIPAGE

Car quel quil soi par dissipaon ou concenaon, inspiraon ou expiraon, socialisaon ou capialisaion, le sens du parcours névie pas à la puis

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nce de connîe éuement tétne nnu

on lhorzon comme en on cœur le ouvor

confond ece bureucrue de l comotonet lunformté de étendue déerue

coutez e lnte dreée Œde t

do ouveer encore ce y, l vut meux rénerur le homme ue ur e déert : uetce uunremrt n défeneur un nvre n éue?

An unce embruetee terme enun veu fntôme u condut en on fond lnnulon remrt n nvre

Lé Pondéré Imunt Le ouvor néche rore one fo dérore et tr

ue, l dérve uu e conttuer Puance enupen.

r ortonnou u otult extrme u

nce dun ouvor munt uen ertl?Poé de orte, e dévole un éne normArdu u cour ou u déchffrement toorhe rojecve de l unce uendue u lumlement

on ombre ortée.

E POUVOIR E CEUX

ue ouvor donc ue ceu du reet et ceu de l bureucre mme?

Un ouvor étré, extéroré é et u r

vent, mlré on nnulon moer mrmer Cet ue e reet rovoue une tenon détermnnte : morce de orté

Un pouvo en ceuxUn jeu demrente.n dénve e ouvor du doube. Unouvor

dédoublé n mror Voc lrtce Rome rerdeContnnole. Auute conteme Auute commemereur fer fce u Ponfe. ccdent lrent

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Nw York à Lningra Washingon à Mosco Pis-sanc hypnosé obl rgarNos navons pas ncor ni n msrr ls

ffs fac à fac lÉ la sociéé civil. Formxêm la polarisaon

Mais qlq fascinan qn soi lsag, i

sonsl l miroir la pissanc n sf pas à lxrcic pouoir elé

Mêm ans sa vrsion mornisé sophisqé à savoir l binair généralisé

Car c srai compr sans la mis à mor po

voir Oblir l chf immolé Emprr épcé parss proprs cnrions violnc ici bris l miroir la pissanc.L miliair échapp à la biparion povoir

Placé op a cn l mnac. Casé ax conns, s corromp A cn, éi l cn, à la péri

phéri il vin à son or la périphéri provoq lavnr xcniq s sécssions.

onc, avc l grrir rois rms éjà Glissmn ialcq rilogi la pissanc.

Parcors xénan povoir Prmièr saon

R : copr obl n répliq. Jérsa lm céls Jérsalm rrs À lAssmblé six orrspon l Colloq lÉ glis ScrrRaphaël Ci rr Mais éà c paron nn pas povoir por sxrcr oi s xprimr Lobl li of pê n prmir balbmn.

Mais li f pls s séris, s scansions. Brf, mlipl. évisagons Carpaccio. L povoir sarcbo sr son obl L ragon Mais c graon ns rn possibl, présn, concrè, q par lamoncllmn ébris, rss, ochs

rochsÉ

cla xr écaé la pissancpovoir voici q l éoblmn n p pls lconnir l connr. L mlpl avin onc. lichlAng l rprésn ans son Jgmn r

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Nouvele pusaon le pouvoir se disperse s'in

ves Ça! proessio; l'énuméraon des marrsLe règne même de la différene Rien ne onvienmieux à une propédeuque de a variane que la ds-seton Rassemblemen e onenraion du polyéisme de la dissembane de la variaon Des ag

mens onenrés de sens Proeée sur le orpspropre Par le biais de la pelliule suppliiée Sedéouvre ainsi le n réseau de la passion La vio

lene se dissémine Elle irrigue

i SPHE BSEAlors se reuse un réseau onave (absurde? Se

forge une avié Un espae de onenon. Un reiquaire. C'es lui qui rassembe Car un réseau n'esamais qu'une forme anaisaie un insrumen

de passage de ansiion l fau mieux il fau lecreux impore peu quele saégie le onsue Crue

ou enfonemen barrage ou ana Éèvemen ouafissemen la submerson éle e réseau elle révèle la puissane de la disibuon anaisée Lorsqu'elle

se méamorpose en ravage nourriierLe Nil ouours reommenéPouvoir non plus de la spère mais d'un espae

reux e ouver Sympôme? onavié n'eselerien d'aue que e pouvoir spérique ané? Le

navre.Coupure médiane déisive il ne manque qu'une voile E le gobe de la puissane se dédouble en nefs.Tenons alors pour fondamena que le pouvoir appareille. Que l'are se mee en branle. Fin de laspère dès qu'une parole es proférée Dès qu'un

vaisseau prend le largeParler pour la puissane 'es s'enouvrir E déà

'es iruler Sans es navires sans les disours que

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connatronsnos d povor? Navres de mer o navres de terre chars. O. ' en seratl? Sansémergence de l'extérer? Sans proecon vers extérer. . . n povor mpssant Toors n povor sans expédon n'est pls d povor; tot stene plaqe d'enregsement.

Or les navres sont des cavtés de pssance. ls lapropagent sans la corrompre, c'estàdre sans q'elles'annle Cragnons ces ncléoles de volence qpevent traverser les terrtores sans êe dssots.Songeons à des nefs q ne se dsloqeraent pas à

des bâments q naccosteraent amas à des archessomses à n déplacement sans arrêt.Ne aversentls pas noe mémore et noe ave

nr, ces nals q ne pevent aborder? S'épsantselement de ler problémaqe décomposton.Ces navres sr terre ce ne sont pls des chars! Non.

Ce sont les vlles es ports ntérers, des havresarcels Alexandres dssémnées. Copes longdnales également.

Crex qe délmtent les rempar Mas se remplssentelles qe déjà elles se corrompent, fson-

nen Restentelles verges q'elles dégénèren et sccombent.Volà la cté q s'enferme, q s'amarre. Mas elle

ass échoe dans a reconson de cete sphér-cté vane.

FUIR ENCORE

Psqe Hélène s'enft. A crépscle n navre lève l'ancre. À l'orent Troe. vlle maesse,telle ne conqe vers laqelle le navre verse ... la

sédcton. Qe cette pssance en germnaon soten n de compte annhlée Brsée. Q'elle sotdéte. Q'estce donc q consommera ce ravage?Snon la sphère même habtacle clos. Le cheval de

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Troie. Cette guraon archaïque du ouoir. Ici de

retour. mmobile À distance de la ille. La déantImuissant encore il est rai. Il ne eut rien.Amorhe Figé éié, aralysé (ironie).

Fixe Annulé désamorcé que seraitil ce coursierde bois sil ne séduisait as? Si la séducon ne ar enait à lébranler de lextérieur? Ne linoduisait à lintérieur? Et quici la shère imlose dans la illequelle rase cette forme seconde de la uissance.Reanche de la shère? dernière eutêe. Remlacée aussitôt ar le modèle dun habicle se délaçant au gré des atactions. Lesquelles se disersent

en agues irrésistibles Aant que dinenter labombe orbitale!

UFGES DE L PUISSCE

Tels glisseront dès lors les naires énigmaquestous ortant e leurs ancs largent, le rêe le soldat lesclae (le calcul) Proageant léidémie.

Oserionsnous une suosion? Un ouoir ar enant à lintuion de sa rore exténuaon Quelleattente dès lors? Quelle rerésenon aussi? omen

ter les sacrices, gérer les illes mortes. Géner les exilsDès que les naires étrangers accostent un telouoir est déà anéan. Pas de résisnce mais asdaccetation non lus Nul renoncement Mais

leffacement et la dissolution dune uissance qui nentend as assurer sa surie en entrant dans lecycle des échanges » Il ny a as de lace ourdeux extérieurs Car le ouoir ici, est déjà de nature éangère

Donc as de redoublement ni de fantoche. Plusde doublecommande. Ni soumission ni séducon

uissance safrme irréagable. En exirant.Naufrage de la uissance? Bien autre chose. Le

ouoir admet ici sa rore exaagance. Le remier

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coup poré de l'exérieur le ransperce e le défai.ou cargo lui es faal.Mais préféran le déliemen à la réponse ne

s'opposeil pas radicalemen à la survie puréée?

Un corps par làmême échappan à la ansac-

on.oque? Non pas.ar que seraien alors insurrecons e soulève

mens? Acions qui amboien e se consumen.ans espoir esil di.

Parce que le seul mode d'expression de repré-senaon d'un pouvoir conrain à l'agonie pourresurgir se gerai en un arc de puissance : Posione opposion verse e coneverse. Non

ommen peuxu préendre que le ran esieux à même que personne d'écraser ses ennemis

quand il sai qu'il a pour ennemis ous ses sujes equ'il es impossible de les mere à mor ou de lesemprisonner ous car sur qui régneraiil alors? »Hiéron cone Jones.

La dialecque n'a de place qu'en ce lieu : épar- gner.

Le pouvoir poré par les navires esce le bouoirde la polarié? La puissance même de la différence. puissance pulvérisée e diffusée. Or la puissanced'éclaemen de déonaon se circonscri : la guerre

l'insurrecon le sacrice. oi l'mée le Peuple le

Prêe. rois gures émergen; mpeato le ibun leponife hacun des rois paricipe d'un mode decoupure. hacun d'ene eux campe à une issue. puissance ici connaî ois pores. rois pons oisusages. rois momens de la violence. rois formesd'expression.

u'elles s'équilibren qu'elles se combaen peuimpore. Il sied seulemen qu'émerge cycliquemen le masque de l'unique.

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Qe savonsnos de l'niqe? Q'il est à li sel

le sort des trois maîtres en exerie de la issane Mais l'étant, il est assi le sige de la réversibilité l égalise, il homogénéise les aets meriersl est niqe et il est trile l rétend ds lors à laréversion généralisée César et Christ

César et Christ ongration d'absoron asein même des éléments élatés de la issaneMode d'aréon hé dans n esae olarisé

Siide olletif ar emoisonnement (Laissez venir à moi les ets enfants)

SIPHONS VOCES

Voii qe ommene la gestion sélérate dessédons mltiformes, des énergies négativesAttrations assionnées 'esae se onstelle de

sihons voraes l se fait orex Ainsi se xent lesaits éanges d desote imérial Cette frénésie demertres, e goût d sang, ette roliféraon dsetale sanglant Ces aages ne onvergent q'àn sel bt faonner la aillarité soiale Le sabledes arnes : les x de ser, de sang, de serme ris

sellent Pis diffsentLes arnes sont bien des ônes de ovoir Des

onqes Des olleters Nos ne ovons en doter ls rassemblent la olaon ls la onenent lie ar lie Navires de l'agonie ensablés dans la ité

Srgissent les ombattants, les animax, les mar-rs Hrlement; ar les sages de la mort se arta gent à novea en ois aires N'este as le soldatdans le gladiater, l'insrreon lébéienne dans

l'éron des faves, et le ritel d rêtre dans lesarie des marrs Ainsi l'arne se saisitelle loa

lement d ile je d mereesae ne srfae meble n tégment dis

ensater l'englossement disersé et réar Pls

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aucun pont protégé. Le réseau des attractons enserre l'ensemble du terrtore mpéral.Voyez ucrèce «e rappeera mantenant ce que

j'a déà exposé, à savor comben tous les corps sontporeux.»

Cette porosté, dès lors, ne nous étonnons plusqu'elle s 'offre en éplogue à l'épdéme qu ravage.

« C'est un soufe mortel qu ads sur la terre deCécrops répandt la mort dans les campagnes, deschemns déserts, vda la vlle de ses ctoens. Venudu fond de lÉgypte où l état né, après une longue

course à travers les ars et les planes ottantes. eéau s'abatt sur le peuple de Pandon tout enter ;tout alors en foule état lvré à la malade et à lamort»

Ans des conques d'aspraton ouent l'espacesocal façonnent les corps ndvduels

«À lntéreur du corps, tout état embrasé jus-quaux os, une amme brûlat dans lestomaccomme au fon dune forge es uns plongeaentleurs membres brûlants de èvre das l'eau glacéedes rvères et se jetaent tout nus dans leurs ondes ;

d'aues, en grand nombre, tombèrent a tête a premère au fond des puts vers lesquels ls s'étaent aî-nés la bouche ouverte. »

Ans es humeurs sonteles absorbées, refouéeset répares

Ans s'afche la pussance du vde

À amphthéâe fat donc pendant la crypte. Entaraudant les profondeurs urbanes, le peuple chréen s'afrme meux que le peuple roman, le maîede latacon des passons. «Sur le sang des marrssélève l'églse . »

Mas s léglse s'élève, c'est comme double extérorsé des catacombes. Chrst meux que César régtles crculaons souterranes. Posson régsseur descourants aquaques

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ers qelles desnaons aareillent ces nefs de

ierre?Un cors niqe émietté. Dont chaqe arcelle

vat or le tot Fragment de ain oron de vinIngrédients de latacon h! oi miettes de la gravitaon. Condensés dabsoron.

Attrait éclaté. Déression de ovoir. Doncconcené de ovoir Point datacon de conf-sion et de anssbstanaon.

Totestlà!Tot assion sédction cors fractonnés

atacons émiettées Atant de gres d même à

savoir la réciitaonÉnergie inverse Non de lsion de ossée de

roet Mas d'absoron datrance de sbordinaon denglossement de sédcon abjecondonc en germe la déolarisaon et comme en ro

ongement a issance énigmatqe de a coaes-cence atacve.

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POROSÉS

la poosité se éèle stuctue tout aussi bienachaque qu 'industiele . . et où l'on découeaec inquiétude que !'électicité éalise l'ancienpojet de saisi attie et faie ibe des cops misen sée . . et où l'on n 'oubiea pas de taese

alos les chais de isite l'intieu du Chealde Toie, les uines du Labyinthe et celles de]oneston la sse du Minotaue et l'épaedu Nautilus .

Sl est une guraton avec laquelle le ondendustreux renoue c'est en celle de la porostécharnelle Il y a là une ntuton d'portance Carsouasseent de toute achnaon

Porosté Mas cadrée dans des espaces qu l'nsancent et la découpent : lencerclent Volà la cou-pure. Pus l'encadreent polarsaon ene foreet contenu.

Le pouvor des ltes s'afre donc souverane-

ent. Machne élecque Manufacture Machne deMarly Naon. Par 'encaseent s'effectue sansdétour Il est teps pour la capllarté de sexercerdans des espaces délés

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Ans se econstue et se égénèe e modèe d'un

capta copoe soums à nuence des aspiations.

CIRCUIS tGRS

Èe futue en même temps que e d'aen

sstème éecque c tout se éèe ten non d'unseu tenant mas d'une même sodaté onduatoe

cté épucane anmée possédée d'une passon dentique cops unque ant Bsant esmtes aattant es onèes potée pa une age de

udté Et dans e même temps mposon d'un codeunfome. O cet appaeage potque cette potque de a poasaton a oc déjà depus ongtemps exposée en cha et en os.

en n' manque dans es expéences eatées pa

Haüsen en 1 748.N 'aé n a machne 'soant n sutout escops aïques et sexués homme ette au cenedu eau ant une exémté d'aod un eccésastque qu toune a manee dont a pognéecommunque son mouement de otaon à une

sphèe en ee potée du goe es peds d'unhomme etenu en 'a hozontaement à 'ade dens de soe qu 'soent

Donc es peds touchant e goe 'éeccté dotes aese attende a man dote tendue à a

ette. Pus passe à un enfant qu deout su ungâteau de ésne pésente sa man gauche audessusd'un guédon où de nes amees d'o sont déposées dans une coupee pene e couant passetque es paettes atées pa es dogts éecsés s'pécptent

Peuton magne epésentaton de cops puspoeux pus conducteu? a fos maon méda-teu ntemédae

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Expérience cpitle ses orgnismes soumis r-ciellement ux eets tcfs prégurent lensembledes mchines modernistes Et quel résultt Puisquel noon d sympathie svère expérimentlementcogulée Effet dun pln Certes Mis lequel

Cr en même temps se cche et se dévoile un

projet scienque et obscène, à svoir mete à nuun réseu dinérires chrnels propices à l propgon des séducons Fvorbles ux nsferts Ensonge les Soviets plus lélecicité

Autre espce que celui de l diffusion signlé

tique, de l production comploteuse des équiv-lences ue espce que celui de circulon Misretour msqué de lengloussement du métl fonduisge stupént entrevu pr Weber Le bnquiermnipulteur de signes, cest dbord le bptisteimmergé dns leu lutte cone lbsorpon

Oui L curiosité des cvités intérieures demeurnt liguillon des voyeurs et dinstibles ffmésoyage a centre de la terre. oyge u centre de lin-conscient oyge u centre de l mrchndiseDébliement de Mycènes de Troie, de Cnossos

Mise à jour de l force de vil, des pulsions ngtmile liees sos les mers «À toute vpeur à vers lboue et le sng » nérires mulormes pour dépsser les diverses topiques de l polrité

QUELLE U SOUS U Exhumon des bsfonds urbins Mis en cet

endroit 'ngoisse insolite des soubssements divulgués : ville morte

ille défunte ille nocturne lle éteinte ille

ruinée ille défite Cr, de même quune fois lmrchndise démontée, il ne subsiste nul résidu slvteur de même l ville déconstruite rien ne lrelève Et pourtnt

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Carage Hroshma Berln? Plus de rese?

Le panorama du «raval mor» Quelle coupure?Car lurban connaî auss la cauérsaon Doù lasraége de dssuasion comme soluon ermnale lhorreur sur les vlles nermnablemen La vr-caon

Ces dre queles ne pourron êe n sousac-ves n oanes encore mons érecves Seulemenrasées ncore une fos avers la sphère suspendue la terreur la brûlure du gel

Pourn dès labord ne oeele pas sans sombrer? Quel esquf c? Une nef la vlle

Dans le même emps navre en marche e bâ-men ancré unan nmemen deux formes maî-esses auefos opposées

mons qul n a eu mmémoralemen processon de lune laue nre le naufrage eéchouemen se sera nlé un erme médan laoason la mer plénude arde du Jardn Zen

oue vague es c dalecque poreuse)Doù un ccle vlle nvagnée ve plae ve

exhbée So le emps modulan engloussemensuspenson élévaon

Vol pourquo le navre en eu dobe urbanParce que lun e laue son prs dans la même urbulence que par hposse la cénef sapparene espace ou ener n son fond ques la erre?Snon une « Île porée par leau sans savor sur quopora leau »

Vol donc lessenel une eau évoquée en des-sous même de leau Une mer sous la mer Une vllesous la vlle? Donc des subsras dé sévelleldée d un nérare qu sera descene dun par-cours qu sera progresson dans lnéroré

Or lorgne une ssure nme suf en n-mer le désr c le acé unque dune lèvre«oue la erre ava une seule lèvre » olne)

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À peine déignée cette dépreion, la voici ob-uée par interpréon par lédicaon : la angueet le monument Effacement atégique de l ouverture Aemblage progreif délément imple anque l œuvre puie advenr. l e dirent « Péionde la tee, cuion de bque et la brque leur devint

pierre, a boue morer; et e drent bâonnouune ville et une tour dont la tête oit dan le ciel. »

eu facinant de la progreion et puiance demétaphore irréverible

Mai à on tour, lédice chavire et le conuc-

teur divié e éparent retournement Naufrage.Quetce donc qui e outrait? Netce padan une ézarde inme que e joue e detin dela ville? Le tracé dun bord La ouacon dunupport.

Et pourquoi nou afer dè labord que la terre

e diout en un langage ? En une forme codée ? Enune infraucture en quelque orte?

«oute la terre avait une eule lèvre (cetàdireun eul angage, et un eul parlé ou dcour. »

Pour fonder un « ol » Un upport

a10 ASPIRATIONS

Ce qui nou nargue ici ce net pa tant a vieacendante que la ville engloutie La cité commepoée ou le lèvre.

La ville inverée La ville ouacente La villeoutraitée Donc recouverte

Cet pourquoi le detin de Schliemann oudEvan rencontre celui de Marx ou de Freud.Gratter écorce, fouiler enn decendre pour mete

à our 'âge de la tragraphie commenceMai le ville engouffrée ne ont rien moinquune variété particulière de ruine quil convien-drait dexhumer

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es sont es indices dune conjonction arcu-

ière de a uissance 'avidité d'un esace unio-aire.

Dune uissance erdue; uis reouvée : e ou-voir de 'atacon.

À rorement arer, i s agit bien à de formes

infeaes. Ou mieux d'incinaison Vaeur d'usage,et inconscient; vies enfouies Métahores de 'asiraon. n rêve faire 'économie des suorts

Come i n'est as dexi innocent, i n'est as desagrahie candide ; es èvres de a terre indiquentbien une faie et dès ors une descente.

Que souçon agitait Éicure : a décinaison desatomes : de a réciitaon à 'imosion

t quee aberration si faait n'entendre ardéacement qu'une circuaon terrese I y a aussiun grahe du arcours urbain qui n'est rien d'autre

quune cabase.t des véhcues qui suivent des routes descendantes

Peuton entendre ceci comme attrance? Oumieux comme ppé

La vie se referme ainsi comme gardienne d'une

cité en creux « Dans es fouies de Babyone, on aretrouvé une ete aque d'or tenue ar des chaî-nettes, qui avait servi de sceé à un cercuei roya ;cette aque éit mbrée dune grande orte de vierotégée de chaque côté ar une tour. »

t es èvres de a terre comme des ortes de avie refermées.

Néanmoins ees s'ouvrentt commencent es descentesS'afrme une hydrograhie de a erte. Liquides

absorbés. Cours d'eau Larmes

«Nerga ouvrit e ou quicommunique avec esenfers 'esrit d'nkidu, comme un soufe sort desenfers . . . Dismoi a oi du monde souterrain que tu

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onnais Non e ne e a diai pas . Si e e disais . .J e e veai 'asseoi pou pleue sans évesion. Pou le moins un nauage.O ou s'abîme, sauf une ahe e eux qui su

viven e don es desendans déiden 'éeiond'une ou.

Déluge/navie/vile.Les pulsaions du pouvoi ne seaienelles pas

désomais onfomes à e yele d'absopon, ville oane, vile élevéenoe qu'une ve éngmaque pouai bien es

e omme suspendue hos de es méamophoses la ié sphéiqueSi e pouvoi vibe e s'aompi pa e biais d'un

inéaie de e ode C'es qu'i es à la fois dispaion e ésugene

Disposif osilan.

Où qu'i aile, d'où qu'il vienne, il s'engage dansl'exuoie de la séduon Aaon Éupon. Deuxviles Une qui ondense, apialise e onene.Une qui essaime.

umeu poliféane e mposion.

Ou bien à eme es deux en une onguaonubaine oisée péniude vide Jadin de gavie.

IR S

Appaiion nouvelle du navie. n an qu'il es

bien une eneine un eux Au ieu du naufagele gissemen e la suvie Sagon abandonné au de l'eau an qu'i s'y noie. Puis sauvé pa e puiseud'eau. Moïse, e Cyus, e Romuus, e Robinsonous fondaeus Comme éhappés. Resapés de a

puissane d'engloussemen. Sauvés, ils désignen eils aen. Les maîes du signe Ils subjuguen Ilssubmegen. Plus d, Nosfeau Un vaisseau fanôme pese

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Œie encre Parce ue lui aui abannné et

uil a à érir Abrbé ar la terre arie Or le vicivictrieux terraant le Shinx Déchirant le crinfrme e la crréité affamée faite e mrceauxTête et ein e femme tre e chien ueue eerent griffe e lin aile ieau et ar le lèvre

vix humaine Aini en etil u cr haramineuxt lénigme uelle reae le cr encre crhmme an e anfrman. Quel aemblagefrme nc un cr? Cr ui ne euventrénre et ar là même e érbent et nc ntévré vué à labence e cntur

Or Œie emare e la ville n franchit lefrtican Une fi le cr agrégaf et raieuxu Shinx fracaé (Cnfuin e arenté et villeeférée

Une fi la uen e n cr réglée Ceci et

lhmme Wittgentein «S tu sas que 'est là une mannus t'ardns tut le reste Quel rete?

CH

a ville e ttain ne eut lu êe ne era

lu cette ville chute Nn un cr ilu Maiun eace étanche

Nn un incete e léaieur. Ni le taureau ai-rain au cene e larène ui crever le yeux et lerenre atellite caf.

lle e ttain elle nu avn euexe le territire nt n fuit évré ar lelaie leau ui uvre et ne ubmerge a le ainnn levé leace lat le urt e lécriture letable e la li Stratégie u lan eûne et égnement

nn la eucn e tut cr atrant e ureau airain émietté t lérecn u tabernacleQuarer cenal et vie une ville ambulante.

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Voc a ct des ottasons S efforceratee deperdurer en senracant dans un tertore quee nemanquera pont de fare subsster vocaton de asupot du dpacement (queque part a monae,unverse e msse) sur passeur charnee(usage et e cops mom)

Et donc se ressasse nconvenance dune prgnaon qu nen nt pas : dun dpacement nterm-nabe Cestàdre quest barre une ndne descente.

Descartes ne remontet pas une fos e fond du

doute attentEt Magean revent.Ct donc des revenus Garante des poarts

LRRu LUS

Satge de ottason dee dnvement noussavons peu À pene a sentonsnous, dans e cam-pement, a ote unvers des changes ct desmouvements exogames

Quant à a premère a voc dsparue.

Fnes es cts voraces Supprme a prcpta-on des humeurs Annh e eu cena dnspraon.

Sauf à consdrer Jrusaem, Constantnope,Rome .

'heure est aux ves de ottason; ve mar

chande Épcenes de ccuaons mufomes Dunpôe à aue

Qutter a ve sasssan, chapper à a pussancecoaescente avant de a supprmer : fute dcareFute de Ddae Fute de Marx, fute de Freud. Fute

de nventeur : care Ddae ae, a voe ct du mouvement a pare e avec ex. Etex avec nvenon

S denent par a fute, en un même ogogrphe

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omade et exil. lles coloiales, villes migatesgieus et voluoaies.

Ue fois les villes dabsopo daites : soit u-salem e atteite puis abadoe Et Costa-ople pedue Et Rome ecosuite baoque. Alosla ville divea New Amstedam. SaitPtesboug

No plus ville suscitate où la passio d'atacose aduit e apts et dtouemets) Mais la cit oùl'exi touve à la fois so teme et so paouissemet das l'icessat doulemet quimpose letexte. loi thoie Liovao. Plus à l'Ouestecoe

C'est ici que se popage u ode fomidable'impositio du cocept. Su tout, patout c'estàdie l'ecademet des cops pa des dsiga-os.

Dsomais la ville ? U poit de fuite. aboutisse

ment d'u pacous la textue mythique de l'.Et celle du dbaquemet. U pôle ulmeOeste chouat à Athèes. Et Œdipe E, le

Deutoome «Tu spaeas ois viles . . . u tabias des outes, tu diviseas e ois paes le teitoie.Il e sea aisi a que tous les meuies puisset

s efui das ces villes » vile poit de fuite Poit de covegece des

liges, villes eaissates. E fod souvet seulemetdes vesges, comme si l'paisseu visuelle se cofodait avec ue estauatio de 'aque. La pespec

ve. 'histoie Le ompe'œiRège même de laatomie la chai se dvoieeveloppe chaele. Rodeu des cops,pofodeu des chemis. Puis covegece à a ville.

Le fugif coaîait ue Desao l ' chappeait pas, lui o plus, à la polait Il aiveait.

Et si cette desato 'tait qu'u leue ? Uefacette de cette imageie sauvage qui costue lepouvoi sous fome squameuse et foe?

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La cité érigée en ut et arrivée se dérobe à sontour. Suteruge unitaire. el le sujet» telle la mar-chandise. Comme eux aujourd'hui elle sévaore.

ville, à l'instar du ouvoir, susiste dès lors entermes de modulaons Puissance diorme. Modesdes ansosions. Viraons éleconiques.

La diormité s'avoue à comme moyen d'êtreurain. eu de seudoodes. Et non articulationsstructurées. eau énigmaque ne reose as sousl'eau.

Les liquides ici s'entremêlent. Les ôles se

conondentÉvidemment le Naulus tome en anne.

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LA CRISE E CRISE

lon dcouvre, avec quelque perplext, quela noton de cse, ele auss, se dobe. . . où !onsaperot omben les nstruments lassquesdanalyse sont mousss et les supports tho-ques vermoulus. . où lon n par reconnaîre

qu l n y a ren à attendre de la cse, n salut nrdempton . et qu ne reste qu à apprendre àploter des enns htrocltes au sen de trousnors»

Dns les snuostés des dscours sur l crse sedéveloppe une tendnce presque forcenée à l présenter comme une flure ntee une dsjoncon quprvendrt soudnement à re surfce.

L théore économque en générl et l penséemrste en prtculer, ftent vec le retour de lcrse les reouvlles ene dsoncon et explosonrédemptrce sur le pont d'venr Voe pr lquelles'engoufe tout un cortège de stéréopes dbordl condcon reouve une vté nouvelle l crse

lu ssure corps et expresson Ensute les nfrsuc-tures se prent à nouveu de leur mystéreuse prédomnnce Le feu d'rce métphorque lncé pr

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les med condu à rechercher dans les éfonds deléconome la clef du dérglemen des mécansmessupercels. crse perpéue alors les res denfer-memen par un reour nque vers l néroré. Il enrésule un ree de oue excenrcé. dsoncon cee crse nane nérorse les cons e les

dépose dans les enalles de lnasucure. Le a-val de lexérorié se vo conver en acvé du sou-erran e la menace barbare de la pérphére esconurée sous forme dennem inéreur. héore sefa ans en ascenseur Les ermes peuven changer

la marce rese denque s de lexéreur devapondre la délvrance, alors la rédempon es poséecomme age de lnéreur, porée par des forcesnernes Ds lors la crse renouvelle la fanasmagore des insances sousacenes où se amen la peree le salu Il sensu cec la crculaon do man-

feser la valeur nnsque de ce qu se propage,snon les ensons vendraen dévoler e ahr la cor-rupon que léchange fa subr aux usages sans.

La crse es alors procs d exracon elle sous-ra les valeurs nnocenes de leurs gangues per

verses E le héorcen se prend pour un daman-are

COUPURE OU DCOMPOSITIO

Pouran à examner de plus prs ce noyau dan

gélsme que la crse délvre l semble ben quau avers de la coupure la coupure seule ansparaî. l nya ren daue dans la crse que la crse ellemêmeArrê e mor Ce que le eune Marx énonça en fa-san de lndgen prvé de ou le seul poreur du

dro universel. u exprme en ee la désgnaon dumsérable comme déeneur de dros absolus surlélémen mor, en loccurrence le bos snon uneinconesble aon ene lespace cadavérque e le

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déuement? Il y a une inspiraon profonde qui dis

socie radicalement deux conguraons Dans la géo-graphie de lune, le développement, lexpansion produisent un continuum où la propriété revienlégitimement à celui qui anche, découpe et abat;dans laue, au conaire, ce sont la décomposion,

la puéacon internes qui déterminent une are danslaquelle la purulence ouvre des droits sans appelsdeux sortes de crises en quelque sorte Car si lepauvre glane la mort, le propriétaire, lui, taille etanche

Nestce pas dire là la liaison fondamentale ene

pouvoir et crise? le pouvoir s écartelant entre ladouble tension de la crise et de limpuissance Lepouvoir ouve alors son emplacement au sein dunprocès de démembrement, les crses devenant les ins-truments qui permettent de brser les résistances

Dans ce cas, il n es t pas trop fort dafrmer que lepouvoir luimême est crise, mouvement crique Ils instaure dans lordre brutal de la coupure Refusantde sancrer à l intérieur de limites territoriales, prisdans la turbulence dun mouvement de coupures etdannulaons, les appareils de pouvoir se dénissent

par les déséquilibres quils entranent, les champsdésagrégafs quils induisent et les crises quils pro-voquent

Doù le conesens, par ailleurs agique, qui voitdans la crise lamorce dun processus de dégénéres-

cence du pouvoir u conaire, la crise constue unrévélateur privilégié des afnités qui se ssent enepouvoir et démembrement Le pouvoir cest aussi lepouvoir en miettes Oubliant cela, inquisiteurs outhurféraires de la crise la présentent soit comme uneaggravaon, soit comme une thérapeuque des états

parasitaires, comme si, à linstar de son archétpemédical, elle révélait des formes pathologiques Oula crise brillerait de léclat dun scalpel apte à ancher

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le exroiane indéirable. Ou la rie e donne-rat à vivre omme un a de vre tonique. Fonindéniment reproduite qui fait à la foi de la riel'apogée d'une infeon et le ommenement d'uneautériaon de plaie qui e ont ouverte au ande orp oiaux

SDES ENTROPIQUES

opographie orporelle qui fait bon marhé de latexture morbide dont ont ompoé le appareil de

pouvoir Lier la rie à un dérglement maladif de lairulaon, 'et oublier le jeu perver de aadeenopique qui avere tout ytme de puianeQuelle que oient la nee et la omplexté del'édie qui diibue et régularie la ommuniaonet le éhange, il n'et pa poible de onearrerdénivement la logique de la perte de la défeonet de la dégénéreene erte le onéquene enont diimulée derrire le petale de l'automa-on D'où l'importane primordiale de la mie enplae de ux analié et autorégulé ar 'et par

le biai de grand appareillage automaque que ejoue la on de la délté panne eule en dévoilele leurre omme l'aident

Mai le pouvoir en on fond ne peut 'entendrean trahion » : 'et dan le réeau alvéolaire deinident et de upture dan la ombinaion defaille et de oupure que 'eaine le dipoif oiginal du pouvoir impuiant.

uniaon de l'epae par la diéminaon dela puiane 'effore de rendre aduque le dintion entre entre et périphérie. onjuration de

édentaire pour nier la menae de nomade auxonn Pournt la irulaon erraque ne diparatpa, elle parat gagner de l'intérieur l'inmité de la irulaton ambivalene du proeu ritque tent

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alor en ceci l extériorité imortée net a rivée

de létrangeté quelle ortait ; celleci contnue onrocè en bouculant le limite intee oudaine-ment urannée Doù ce dilocation brutale quioèrent lintérieur de ucture qui emblaientindéniment gée D'où lagonie de centre»

Doù ce déreion au en de anctuare que loncroyait inviolable'extérieur refoulé ene donc en force et la too-

logie déuète qu tentat de verrouler éotement letracé infra et uertructurel connaît d excenique bouleverement

DERRIÈRE LE MIROIR : LE MIROIR

crie ellemême tombe en lambeaux la théo-rie fait effort our en raiécer létoffe tentant de

imuler la erdurance dune caualité ociale auecond niveau La crie eut alor tenir au choix lerôle de dérèglement nfernal ou de myque rédem-ice elle e camoue en nument de rofondeurvenant brier le effet de miroir de la urface

Tro cou ideau

Toute mythologie critque» otule ainilexitence ou la croûte menongère dun niveau deréalité occulte cre rénove érodiquement le di-oif Elle le ravaude en rooant que lavènementde lintériorité refoulée uccède la dictature dune

urface aveugle crie aini théâaliée garant laoibilité de alternave elle fait ciner ou leréeau omeur de igne arbiaire le miroitementde référent olide À ce eu la crie tombe elleaui en mette

crie ene en crie arce que le rocè crique

qui a ermi la mie en lace dun como de igneubtitable ne eut laier longtem ubiterlilluion de la référence Le ueructure enaî

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nent es nfrasctres dans er chte Lorsqe cesdex champs sont ans prs dans n mme move-ment de dssocaton, qe 'économe potqe dsgne désagrège 'économe poqe et qe a vaerd'échange pervertt a vaer d'sage, a noton decrse se dssot. 'est por tter cone sa propre

crse, qe a crse se réfge dans e gron de 'écono-me. Ee ove à n derner refge, s'appyant srne fo commne en 'efcacté de a dernère nstance, sot 'me arce procédrer.

Mas cet ase s'écroe égaement parce qe a

crse n'est pas seement crse des contens masass perte des références Sodanement, a vaerrévèe son je arbare : e détement gagne es sanctares théorqes beson, nfrastrctres prodcon De a vaer ne srvvent qe es dépacementsnattends, es ottements, es nvesssements ponc-

tes La sphère de a vaer sembe se tendre et sedstendre, mposer, exposer sans q' sot possbed'entraver 'érpon des smacres. Tote 'arch-tectre poare s'effondre

LES CONOMIES MICMC

Désormas 'économe, e de réncaaon a-donne por 'ectopame de a crse, cesse d'e eboc référente par exceence A contrare, ee semétamorphose en n espace propce à a permta-

on des contens, à a déformaon des formes et àa dégénérescence des références.

D'où e spectace mpressonnant de 'naonDans es anneax de tote sprae naonnste se t'ampcaon sans retene des formes creses aors

mme qe s'effondrent es référents.Ic s' effecte a joncon entre craté et crse ets'effondrent en retor es mageres énantes à basede régaton et dhoméostase. Les crses parent e

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angage de la mo inecée. Mais ce angage s'es po-

ondémen ansomé pace que la mo ellemêmeconnaî a cise ne s'agi pus du spece de amisèe absoue elle qu'ele a hané des siècles duan'unives de l' expoiaon.

cise en cise nous pale d'aues mos pace

qu'ee es l'inemédiaie dèe des omes nouveesde pouvoi Non pas la mo que e capial concuaipa excès de dépossession, pace qu'aos à 'agonies'associe paadoxalemen e sau e suplus desacice engende des iens indissoubles ene lesacicaeu e la vicime. E de a vioence comme

cise pouvai nae a édemponDe cea dans la cise acuee i ne peu pus êe

quesion qu'anachoniquemen Les cicuis auomaques, es ux de cicuaon dévoien a poduc-ion comme simuace Le specacle des appaeis

bise dénivemen a ascinaion aveuge qu' exeçai 'espace de a poducon. l ny a même pus demo possible ca c'es 'impossibiié du vivan quise ouve posée

'es alos que ou semble se oue dans 'espaceneualisé de a cicuaon, eu de epoducon abso

lue o s'expose néanmoins le isque de a upue, de'inciden. Ne voion pas qu'en conepoin, le ééen poduc es écaé à amais d'un e espace accidenel n'es plus le linéamen d'une cise qui se aiesa voie, mais 'insumen pa lequel la puissance

onne avan de pouvoi se epoduie en se dispesanUnives du p sysème du isque, jeu des mani

puaons généques mo es alos exclusion. Excusion de a mo

ellemême Pus de sacice pa exploion mais pa

ees muiomes . Dès los l'acciden se déai deson caacèe accidene e a cise s'eonde. cisene mime plus à gande échee ce que 'exosion de

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la plusalue réalsat dans lnmté déjà la prolé-raon des actés terares ndquat une are dosétaent peu à peu retrées les pulsatons crtquespropres à la producton. Zone de lartce de laente et du smulacre o lapparel consomme duaal déjà annulé. orme exême de la domnaon

et proprement ornale pusquelle renonce à lllu-son même de lulté. Soure lère earante du pardu jeu.

505 CRQUES

ns, à ben y rearder, la crse met en cause sapropre producon. En conepare, elle délre unepussance nne de suesons. Lorsque sa propremytholoe se oue brsée. Dabord parce que secorrompt le schème de loransaton centralsée

ensute parce que la démulplcaton des neauxdordre leur enheêement paralysent les modèlestradtonnels ncapables de rendre compte des pulsaons snulères de ssus relaonnels o lordre sedssout par plaques, se rétracte et se cramponne.

Do le désr de are surr un dscours qu rendratansparentes ces morpholoes amorphes que par-courent des contractons crtques les crses apparassent comme des satées normaes .

«Sonars socaux proetant à lntéreur desmasses opaques ces ondulaons ssmques qu détec

tent le champ de lles par lequel la pussance pour-rat se ramer. À mons que les édces nstables nese décomposent sous le coup de tels ébranlementsaant que daor lré le sens de leur conuraonoutestlà

udelà de la crse des relaons nquéntes com-mencent à éclore les espaces témonent de ansormaons radcales de leur conuraon. Sous cou-ert de acnaons sur la bureaucrae, le blocae et

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le hangement, se ame lémergene dn pan-

rama qi prrait bien êe nsté despaes mrtspiqetés de avités semmagasine et sannle delénergie; prdtins rûtées à lintérier des-qelles se dépsent des ptenalités qi ne parvien-nent pas à séler anénmie »1 l anti

Œdipe », la nnbataille», atant de symptômes qeles thémaqes astres de lrganisan, de linstn et de lénmie nt fait ler temps riseassi Pare qe les litanies lgbres de la stre d de ne snt pas parvenes à remplaer leréférent déh mrt d de le de de la mrt

selle le desn de la référene ! n enterre lae,sans rers Cest le répsle des appareils. LeM.U imphe d MC

Assitôt se fndent et se nfndent, se xta-psent et senhevêent des pressins thériqes

et des appareils pratiqes, des trblenes et destmltes, des plaentas nrriiers et des nées pré-daries S instare le e inqiétant des variatinsdntensité, des tensins diérenelles Ainsi sanimele résea d pvir » : émietté, miniatrisé élaté.Transistrisé»

Dans les replis de la rise se dessinent dndes réseax et des appareils ax ntrs trblants et dabrd ne génératin drganisatinset datmatismes segmentés et mmtés . Srtede ristax feilletés qi ne raindraient pls leseffets de lérsin Este qe le apital » se dispersant, ne négie pls ave le travail » ? l ledisst Pire, il lexplse Ave la rise émergentds lrs des sédimentatins rganisatinnelles qiréinsrent pertes fites aidents vire sab-tage dans des arhitetres de e . Organisa-

tins rétilées dn Figratin nvelle de lapissane à la fis élatée et internnetée.Pvir sbtil pare qe medium intermédiaire,

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relais et milie À l'intersection des câbles et dessatellites, des réseax et des terminax, d physiqe et d biologiqe.

CMP·MRCHADISE·JEU

D'où ne redistribon des instances gestion-naires cestàdire n réaménagement des territoiresoù se distribe la morbidité Réorganisation desormes d'encadrement, des disposis disciplinaires.Car les concenaons prodcves se délitent : baisse

tendanciee de rentabiité de a craté indsiele combinaison des espaces de la «prodcon» et dela persécon telle qe l'illsèren nazisme et sta-linisme, se métamorphosa nagère en société deconsommation. Glissement de territoire les marchandises opèrent por n temps l'hypostase déci-

sive de la morbidité : l'obet se décompose comme lebois mort.

Sa si lincendie ravage les incendiaires. Exassi pevent alors trancher, se déoncer . 'atomobile, le médicament.. Il st. Cette myriade

d'écatements, cette consommation qi se etconsme, cette atogeson voilée de la violence, le«povoir» ne pet 'enrayer Dès ors, à a thermo-dynamiqe sociale d xrxe siècle, se sbstite neéleconiqe de la pissance x écatements régio-nax, s'opposent les médiations ansversales, à

l'énegie la strctre à l'sage le signe À la criseniqe, la crise en lambeax À la révolon, le satdes pces éleconiqes.

ote distribtion de la pissance oscille alorsselon des temporalités désordonnées de telle sote

qe les ordonnancements ne pevent êe qe pas-sagers sctre n'est donc pls l'arme ecace etlégitime de la pissance La plvérlence des codesl'en empêche Réglation et éqilibre ne sont pls

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que les suares théorques qu recouvrent pudque-

ment le corps embaumé de la crseTrava du potene champ de déséqubre cris-

tallsaton par zone crtique reet et annulation panople du pouvor» rhapsode acenée dffuseexcentrque. De tels conglomérats dmpussance

chevauchant es lmtes classques échappent auxnomenclatures adonnelles Leur fonconnementet leur ossature dfformes semblent terorser lessuets terrtoaux les cops déologques les stéréo-pes polques. Fxés usqualors sur le fantasme dela centralté les corps socaux les espaces écono-

mques les terrtores voent pondre avec efo lesformes dsloquées qu prégurent leur propredémembrement

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DISSOLUIONS

l'on décèle que la lle est mons un emplement de matéux obustes1 que le leu où s1n-noent et s 'expémentent les fomes d'annulaton et de lquaton . où n détecte que gela le st pojete les unes dans aen où on enconte, ottant dans cet espace delqudaton1 ache et le ode génétquei tousdeux s 1eoçant d1mpose la cton qu 1l sutd1un este mnmum pou happe à l'annulaton . . où n magne oé sabotant son pope

bâtment.

QUIDATIOS

Et si limaginaire de la ville se tendait ator dthème de la vile déite? Un parcors symoliqeoù la ville sépise, ne démarche où elle sanéant.

Comprendraiton miex alors limminence dneanville éleconiqe, cestàdire linstaraon dnéther nonlie où tote cenalité dénive se dis-

sodrait Par éclatement o isséminaon?Grosset écrit es Mongols prirent la ville(Pékin) massacrèrent les haitants, pillèrent les maisons, pis y mirent le fe a destrcon dra n

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mois », et de conclure «Les nomades ne concevaient

pas ce qu'ils pouvaient faire d'une grande ville, lamanère de l'uliser pour la consolidaon et l' extension de leur pouvoir »

puissance s'inscrit dans ce fantasme limite deliquider la ville. Il y a d'éanges connexions ene ce

désir de liquidaon, à la fois violence desucice etliquidité nourricière, et l'imaginaire de la ville « 'ailivré les villes aux ammes e les ai démolies, e lesai déuites, 'en ai fait des ruines et des décombres,je leur ai imposé le joug pesant de ma dominaon. »

D'abod avec la ville se gent et se coagulent les

ux en déplacements Citéstemples, citéspalais,placeforte. La ville est arrêt et retenue. Au centrecampe dès lors le thème de la focaon là se sai-sit une circulaon domesquée.

nstance déroutante, monumentale qui barre son

chemin à la uidité retouement de la circulaondestuctrice 'onde catastrophique se mue en sitegé.

ci prend corps la gure de l'immobilité la villeest alors citadelle où échoue le voyageur 'arpenteurne franchira jamais les murailles du château, il ne

pénéera pas dans la cité interditeSanctuaire imprenable.Donc espace défendu, espace de référence. La

révolte est désormais désir d'effraction : «Ils ontdéchifé les manuscrits de l'enceinte sacrée . péné

tré dans les lieux sacrés arraché le voile de laconnaissance magique » ville immobile, la ville inviolable, la ville irré

versible, c'estàdire la cité de la limite celle qui nonseulement ne laisse pas ener, mais repousse.

Comme des Zygurats et des Pyramides capara-

çonnées de céramique et de faence qui reètent lesoleil et protègent la masse architecturale des intempéries. Le creux recouvert, et masqué

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vlle repoussor en quelque sorte vllemrorqu réécht Galere des glaces extérorsée. om-beaux de la Mésopome et de la valée du Nl masauss Manhattan la Défense .

Cette vlle forte cette vlle d e la lmte e t de lasécurté l'magnare s'y repère auss selon un auetracé comme son «double» duquel nous pouvonsd'abord retenr l'exemple de Sodome et GomorrheLa cté s'y sast comme le réseau de la crculatonperverse out s'y déplace et s'y troque tout s'yéchange

Commutaton générale ou équvalent généralpeu mporte Seules parlent la «réversblté» et laporosté Aucun élément ne peut échapper à'échange. Au ux traversant la cté qu se déversed'amont en aval se substue l'arborescent réseau dela récprocté

D'où ce réct canonque par lequel les voyageursvenus de l'extéreur sont asségés dans la mason deLoth l ne peut e queson d'soler des éangersà l'ntéreur de la vlle de les conserver pour sonpropre prot « Ils sont nôes » réclame la foule t

de refuser toute compensaon l'argent n la vrgnté des lles de Loth ne feront l'affare.Car en son fond c'est de monnaement human

dont l s'agt d'un marché des passons dont nul nepeut s'exclure. Auss les chemns qu mènent à la vllesontls des chemins qu condusent à l'échange mas

un échange qu apparaît dans la vle sacrlège commepervers parce qu'l dssout la captalsaton t renn'est plus nsupportable au pouvor. Qu'l se cacheou non sous les ats ques de la dvnté Malédcton sur les vlles mpes qu parvennent à

s'afrmr comme support de « séres passonnées » À nouveau la desucton s'abat sur la vllet sous ses orpeaux archaques nous reouvons

le desn du ars communard Làmme où s'enra

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cine le doble imaginaie de la béaon fesve et de

la épession déchaînée.Reste en sspens la qeson d dépat» itte

ton la ville insgée o la ville somise, o acontaie la cité ne constitetelle pas la ge deliévesibilité dn pacos ?

Petête la famille de Loth pavientelle àséchappe de odome Mais à qel pix? Le pix qepaie la femme de Loth. lle qi se etonant seove à linstant métamophosée en state

hSODE E YECe egad lme en aièe, cette attiance ié-

pessible et nalement cette vie qi se déplace et seefse sodain à liévesibilité de la fite, qesignientils? Dans cet amas de sel, ne voyonsnos

pas se pole le vsage d capil? Ca cette mot qise saisit d vif, cette machine qi vient bloqe la ciclaon vivante po la ge en n bloc met, qest-elle, sinon le capital même pégé? Mais n capi-tal» qe nos pessentons encoe à peine : celi qifonctionne comme rrê et é so dans le e d

bygssi dex images de la ville se déposent et se

sédimentent : l ne de la xité, de linteption,be de la otication et de la paalysie, l ate dela ciclation intime, de la consommation et de la

évesibilité. êt s image et/o balayage élec-oniqe.los à linsta de la placefote o de la citadelle

se spepose a acé de lespace oé le lacis destnnels d des caves, des labyinthes et des catacombes, enn des canalisaons et des égots 'im-

mobilité de la ville otiée est comme batte enbèche pa le ésea des soteains Deièe le cla-vie, le ésea.

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À l' iage triophante du onjon répond celleobscure des Oubliettes. ésorais à la cité ferée,protégée, fortiée, s'adjoint la ville poreuse, percéede cavités ulples, inlée de courants intérieursEspaces dès lors abivalents où s'accouplent l'enracineent sédentaire et le déplaceent noade.

Reprise de la oublante union, d'abord au cene dufoyer puis ensuite de la cité e, de Herys et deHesa À l'iuabilité, la xité et la peranence»vient s'associer le coerce gracieux» .

Ainsi la ville apparaîtelle coe une ansacon

innterropue ene deux fores ; c'est pourquoi elles'apparente éoiteent à l'ordre du récit Non dansle sens trivial où elle se donnerait à lire à ceux quil'habitent Mais parce qu'à l 'exeple du récit, de laonnaie, ou ieux du asque dans la icroélectronique, elle brutalise siultanéent l'ordre du

déplaceent et celui de la ité pour les nir en uneéulsion instable.

Retenons la cruauté qui lie la ville au récit, et ce,nulleent par accident. l en est de l ville coe dela valeur onétaire, elle viole deux espaces, elle

évene deux codes, accouplant l'arrt et le déplaceent C'est dire sa fragilitéEn téoignent les villes ortes. Les villes effon

drées, rasées, détruites La ville n'est ainsi qu'unesuperposion de ruines Un dépôt par vagues suc-cessives d'espaces déconsuits puis rebâs. Aussi la

cité couvetelle toujours son double, téoignetelletoujours dans son inité de sa propre . l y a del'anville dans la ville e.

RUES DERUBLES

C'est cette connivence que refuse l'iaginaire dela donaon À croire que l'espace despoque entà s'afrer à la fois fondeent, inaugurn et tota

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lté C'estàdre proprement ndéracnable. Fantas

magore qu s'afche de tout temps dans la consucon prolférante des Tours mages d'un espace colonsé dans sa hauteur même Pâle con d'éterntéVerrou cf pour qu'l sot à tout amas mpossblede bâr audessus

Cene de vlles hérssé de grattecel reouvantl'nspraon qu présde tout autant à l'érecon de laBabel archaïque qu'à celle des «Monades urbanes»de scencecon

Vlles qu se refusent à leur double, c'estàdre àleur mot. En fasant surgr des «vlles nouvelles » par

vendraton à expulser de l'magnare de la cté lesdépôts funérares qu constuent son soubassement?Car l'arrogance du Pouvor se dévole lorsqu'l rêve deves estctblesels ces proets sous par Speer àHter plans de monuments qu devaent à amas

témogner de la permanence de leur fondateur. euréroson état donc prévue, maîsée De runes qune seraent amas des runes C'est dre qu'elles nepouraent servr de fondements aux vlles futures

Cette vlle despoque, cette vlle sans double, qus'efforce de gommer la réversblté qu'elle porte dans

ses ancs, c 'est une cté qu censure sa propre géo-graphe morbde, qu lexclut vers sa pérphére lfaut se pencher sur les processons funèbres qu dansde telles ctés solent des espaces soullés pour lesexclure les concener les extener

Car dans la vlle despoque réapparaît ben ledouble morbde, mas canalsé par une aue topographe, exprmé par le bas d'un aue code.

Sont en eu les acés du ghetto et ceux du campde concenaon magnare qu produt le Châauprodut auss la Colone péntenare.

Voc que s'mpose à nouveau l'mage de Méo-pols cone les techncens domnateurs de la vllehaute se révoltent les esclaves relégués dans les bas

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fnds Mas l'nsurrecn de la vlle basse s'étent dèsque les maîes uvrent les vannes par lesquelles seprécpte le ux lqude usqu'alrs maîsé.

Prémnn? ctn? certes nn l y aura avecl'hstre du nazsme tut un buleversement del'magnare des vlles Émergera un nuveau crps

urban que sllnnernt les parades et les délésenns ce crps urban pur le crps de l'écrt, de lamrtcatn et de la mtrsan l'espace de lavlle est surface la dmnatn s'exerce par lesceau qu s'y mprme D', seln la prfndeur de

l'entalle la plancan u le bmbardement.

BIE·T U MOE CROCHU

« "Au cmbat les gars, leur dse, biz le monstrecrochu par une èche, un éclar, ls sélancèrent dans

la nut Le désr d'acn maîsé à cntrecœur,nhbé par les appels à l'rdre et à la dscplne éma-nant des chefs, uvat enn à se dnner lbre cursLes nuts suvantes se passèrent dans un délre Lesadversares senrent tut sute qu'l se passat

quelque chse dans la vlle, ls uvrrent les yeux denuvelles crx gammées surgrent, tut ausstôt bar-rées par nus. Une cureuse guérlla éclata dans lavlle»

Dmner la vlle st y nscrre sn chfe Vcreprésentée l'autrté suverane. racer, peu mpr

le cntenu Meux le vautl nsensé. Le sgne est pré-sence t la présence sgne de puvr La vlle fas-cs nnve ce que la cnsmman reprendra à sncmpte, et la publcté, et les media . . . le bmbarde-ment.

Stratége qu s'exaspère dans le pretplancateur ypstase de la marque nure déme-surée du tatuage . . . nsgnants dès lrs les débatssur les cntenus u sur les usages, car c'est la prcé

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dure signaléque seule qui porte en elle la sucture

de la dominaon Comment ignorer qu'avec lenazisme se met en place un espace où la gestion dela mort et de l'écriture constue le disposif capital?t la mthologie de la pureté de la souillure peutsans peine retrouver son lit ancien vouant au sup

plice les agents de léparpilement de la dispersion etde l'éclatement les porteurs de germes qui décomposent la cité Tziganes juifs militants apatrides . .

ville dès lors se présente comme un leu exemplaire de lrréversible. n son cene s'accomplissentles sentences de lhistoire Tribunal puis lieu d' exé

cuton xhumons laéropage devant lequel restecomparaît. jusce qui anche sinstalle au cenede la cité Avant que ne s'établisse le rituel dexécuton À l'ombre du ibunal urbain ce sont les filiations qui sont brisées la parenté les liens maili

néairese conat forme où se glisse le ppo de fore l'irréversibilté de la dépendance et de l'attachement auPère sert de soubassement à l'insuraon de la Citérepliée sur son cene

GH SICIUM GRER IMPUR

À la cité puriée fait pendant l'espace immondede la périphérie et de l'intersce où se déploie l'acvité morbide space que des rites évoquent an de

le neualiser. Tels ceux qui circonscrivent au cenede la cité grecque un champ touours en friche»equel nous dit Vernant représente au cœur del'espace humanisé de la ville la "terre sauvage surlaquelle l'homme ne peut sous peine de sacrilègeporter la main» .

S 'insure ainsi un long processus de démonet denfermement au avers dune violence urbainequis'efforce d'isoler et de rassembler ce qui foisonne

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et contamine prolifère et diémine Léproerie ethôpitax aile et cor de miracle hetto Laqetion cenale d paraite La ville et ici propé-deqe à ne atéie de impreté Le cancer lamicroéleconiqe : oit érer le effet (paradoxaxde limplantation dn corp éaner r n « corp

propre»Déormai la ville émere bien comme la re

de la cenaliaon et de laccmlaton mai de lacenaliaon et de laccmlaon de forme morbide

Doù le nafrae irréible dne aiie de lrbain comme ytème de ae.Saf à conidérer le ae comme de re

No ny povon rien : la ville ordonnance de pra-qe acricielle avance de ritel dépiementcoordonne de acte de conommaon.

Ure et épiement ont en on cene Même ile bûcher le échafad et le place de rève ontdéplacé à la périphérie o forme daccident in-tonnel

Doù cette rencone étonnante entre la ville et

lindialiaon Énime a fond inolble tant qele mode de prodcon de la craté indielle neovait pa a place dan la maice qi oranie le-pace rbain Une parenté occlte aocie déormaimachine et objet de conommaon à la ville Ce ontle éément dn même code le lete d même

alphabet même arcaon à la férocité ntancede tranacon de corp intance de tranaconet donc epace de copre de délimitation et derépartiton Le el droit imprecriptble delhomme démni afrme le jene Marx ont cex

qil détient r le boi mort il ny arait libéra-on et réveribilité qe là element où la péfac-on efface le droit qe la piance et arroée enanchant dan le vif ville libre en conéqence

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pourrt donc toujours un peu. En revanche, cette cté

qu exclut et extene au avers la cour des mracleset le ghetto, cette vlle qu se veut audelà du cyclede lépusement et de la dégénérescence, tenonslapour la vlle rréversble, cauchemar nsensé de lapussance

Une fos ms en place lentrelacs du réseaudéqupements, nstauré lespace sans falle dunearchtecture du reet et du renvo, la cté entre encorrespondance avec le système des objets et laeprésentaton dun pouvor cybernéque, surfacepole, espace plen, enveloppement sans ssure

rame des smulacres la surface des sgnes urbansse veut naltérable vlle se veut éleconque

Se déclenche pourtant le cycle de la punon Sematéralsent les speces de lnsécurté et de la polluon. Accdents, malades, pannes, blocages, sabo-

tages, paralyses naon

mort que l on croyatarrachée à lurban dffuse à nouveau Elle snstalledans les nterstces et se prole sous les trats de lacrse . . de la délnquance et de lattentat

Volà donc rendu caduc le processus par lequellurban pavenat à maîser, dssper, rejeter le mort

vers la pérphére. Fne la vlle domnace arculéesur son cene Fns les cenes qu garantssaentcvement à coup de suctures déqupements ln-altérablté du code qu devat en fonder la pérennté

R MEQUE

Cest pourquo snvente progressvement unmodèle spaal régénéré qu prétend maîser lusureen enkystant

«Le système urban dans son ensemble, écrvent

les nateurs de la «vlle archpel » ou « oropole »,dot représenter un ordre, alors que ses plus petescomposantes dovent à lnverse représenter un

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désordr » L désordr la dégénérscnc n sraintdonc plus ni au cn ni à la périphéri mais répars sous form d pts unités cllulairs à l'ntériurdu tissu urbain Glissmnt du fantasm d la charpnt ossus vrs un conguration biologiquCst oublir la dynamiqu proliférant ds méta-

stass Cst rêvr dun cancr domsquPhas nouvll d limaginair urbain : lurbain

impossibl dun vill ondulatoir Après l long avail d désossmnt d la périphéri par l cn td' évnmnt dans la cté mêm ds zons soulés

s mt n plac l résau ds différncs t ds opposions nts myriad ds signs déchaés

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LE MEURTRE DANS SONPLUS SIMPLE APPAREIL

M !'on dcoue aec stupeu un uniescoube qui n 'est ni tablement celui des usagesni celui des signes mais l'unies de la dissuasion où l'on epèe que les usages sont deenus les lieu piilgis de stockage de la fo

cit implosie où l'on se faiea sa oie dansune oe dtonante : bombes à neutons, automobiles, bac où l'on conclua que cet uniesstupant sest fagment, oant à chacun lesames de l'implosion où l'on pessentia quese oue une couse conte la monte ente le pou-

oi cental neutalis et les usages dispesspou ponde à une question saisissante : comment peuton ge lgitimement sa popen?.

ES USAGES RéDUITS À RIE BIGBAG

magios l pir ou l plus cocass la bipola-rité rabattu t dissout U imms dépotoir ucamp d ruis. Lamorc du muséograpi

gééralisé . Et là, sur ctt grèv au si dsbrouillards, ds turbulcs t ds apsaturs poussés par qulqus ostalgis ou soupços amu

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é qe n n retrnin Qetin pareence interdite q'en etil de Sdme ne idéte? t qe avant même dêe gé en ne ta-te par cette cntractin apirante cepble degeler en n intant tt mvement le regard pieêe impreinné par le rete de age décmp-

é e retetil d Big-Bang? Se dévilerait nrmament édlcré de pvir le dérlementaccéléré dne machnan émiqe Bre n pla-nétarim de igne

Sa qe tt ceci bitement 'éteint À la place

Bis d fnd t le age rergient Dan linat-tend Raynnent rme de candalePi e caglant il égrènent n prcein

Mai attentin Il ne reemblent pl gère axage ain tel qe la mdernité la révlnle avaient annncé et prmi Il préentent ne

ctre denrlement atr de ler prpre perte c'et de ler prpre detrctin q'il parlentCmme le nd cmiqe chante ne catatrpheiniale

Le age exitent bien mai cmme arrêt

de mrt Se cmprend dè lr le den de la emmede Lth lle a v elle e cndene et elle e ge Àcet égard le age nt de Sel cneater et ignedannlan l vivent it ma tel de animaxavage à l'aût Cet prqi tte ville etptenellement celle de animax déchané

Detin déjà claiqe de lexténatin at-mbile médicament Demain la machinerie bilgiqe era tt entière cnacrée a prced extinctin la rénéie de maniplatin géné-tiqe

Mai pr n temp a centre d ritel marchand 'accmplit encre n age en mmemdéré de évaniement accident délabre-ment txiqe empinnement

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GUERRE UESIE

guerre ustensilaire nous plae sous le eu desusages Feu en dénive asse peu nourri et non sanslibéralisme puisqu'il est touours possible de hoisir

le mode de geson des «miroanéanssements» l n'empêhe l'usage omme ondensé desut omme moléule soiale détenant l'énergie deonentration qu'il enhaîne l'usage don devientpeste manipuler. Des ra des misses des enmesdangereusement gloutons 'extravagant au total

que la proliération des usages rende aduques lessutures de onôle étaque. desuon miniatrisée auourd'hui AC Coodant le essort dupouvoir Le privant du monopole de la éroité pardisséminaon de harges implosives. 'eneu pour la

dominaton militaire de deman nterdire la diu-sion des granules implosives en reener l'eetuaon sur des disposis lassiques ; mais peine perdueSau inventer des prgrammains nuvs

VIOLENCE E nCar une ansormaon radiale a it basuler le

sstème son insu le plaçant en posion de déliquesene le monde insumenl l'univers anodinet neuoïde de la onsommaon s'est ansmué enespae pervers de la geson démulpliée briolagede ondensés implosis Partout pulvérisés des instruments d'annulaon.

Une simple igarette en umée et s'ahe le paradoxe d'une prise en harge personnalisée et mniaturisée d'une violene qui ravage Ave de surroît le

harme d'une parite innoene.Et l'univers délétère d'une gestion riminellequitte ses leux aniens d'assignation. Du amp de

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la prison, de lhôpital général elle séparpille dans lachair prétendument innocente des objets de consom-maon. Au BigBang nazi et stalinien répond en échola pulvérulence marchande puis éleconique Aue-ment plus ardue à saisir et à démonter. éparpille-ment enopique des microprocesseurs.

Et donc une fois les usages réduits en miettes ilconvient de revenir aux usages mêmes et par unmouvement régressif, inattendu, dexaminer lappareillage par lequel était censée se jouer leur liquida-tion. out alentour les machines sémioques. Lesimprimantes du signe. Le réel réduit à un tabulateur.

Ce déferlement signalétique, ce ballet effrénééblouissant de signaux, nestil pas tout simplement nterdit, feu rouge? Défense de scruter les usages, etde manœuvrer les molécules détonantes Dire que ledeuil des usages semblait dénitif et que leur tom-

beau sucturaliste devait sceller leur desn ! Atten-on, lusagevampire a les dents longues. Le specequi sagite ici brille dun étrange reet. Celui de sapropre agonie. Dépression et atacn. Et la réhabilitaon des usages se double dune desucon plusbrutale Car ici lusage ne peut plus être neutralisé il émet en quelque sorte. Et cette radioactivitésignale la présence dun foer dépressif, dune énergie de concentration elle témoigne du risque per-manent dimplosion. dissociation de toute unitélogique.

Ainsi les engins trahissent leur propre textureinterne. Soit le choc les disloque, soit ils se consument.

ÉISSEME DES OBJES

oilà ce qui sincae dans le desn exaordinairede lautomobile objets par excellence, au cene dudisposif rulant de la consommaon. Donc objet de

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mort, ag mêm d mr Atl d la modté,

dton parfo, ma ncor fatl l'ntndr a nrtl avor l d acrc Dè lor l' ctaond l'ag réal dan t par l'accdnt 'accdnt révèl non n arraon nattnd ma laogq ntrn, l n d'n ag nfo o l

gn D l qlq cho comm n panq qporrat n 'ê mparé d apparl d povor car la von d'n ag avoant nn a propr vértégrotq, avor q'l n't q dcon, oat l'ét c q n contat l oamnt : lagon d la volnc concnav.

L mond nmntal donn alor commnvr d édcton rtal ar d'n mortatogtonnar q camo o l décor dl'accdnt Unvr prêt dparaîtr parc q lapparl dvnnnt l pport où oq la vo-

lnc. Par l'accè t ncor aé a mr : tlq'l donn ar dan l'r. Et portant c'tc q fond t o l'hmanté mêm dmond nhman dan la prodcon t mlplccédané conommator : car n dç d mon-naag d marchand ffct l démmr-mnt t donc la rconnaanc d corp t dag. C't ct ag mêm d la mort a travrd ot q concèd por n tmp n hmantéplal c q métamorphora p p nmlaton élctronq. Hmanté trol q

prént la fo o la form maî d la copr o o cll mnr d la péfaconC't dan la pécon q réd la clé d l'n

vr agonant d machn énrgéq Parcq'avc lénrg opèr n mort latnt, n déntégraon potnll q n q momntanémntpnd nt par advnr. C collon c éclatmnt l'éqvalnc dan a théâalaon oform d nméra 'fforc d l maqllr; mmant

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une sorte dtet signalque. Les usages dtonanet mourants ouveraient leur salut dans la sarabandedes valeurs dans la mesure mme où les valeurs sem-blent enjamber la dcomposion en saullant, impas-sibles, dobjet morbond en objet agonisant.

Il y a dans l'usage implosif une innovation

majeure avec laquelle aut de plus en plus compter.t d'abord en ceci que la producon met de fait à ladisposion de la collecvit sous le mode soit majeurde la coupure, soit mineur de la pufacon, des ins-uments et des instances de consommaon liquida-

trice. Alors mme que la disposition de la plupartd'ene eux se ouvait adionnellement aux mainsdu despote.

n visàvis la PANN gnrale des rseaux et!'AMN

DU RURAL À URBAIN

TRANSHUMANCE DE LA FÉROCITÉ IMPLOSIVE

Le dclic ? 'est l'ouverture, depus le e sicle,d'un espace original de liquidaon. Non que la mort

n'ait pas t djà le fait dun droit d'usage dans descommunauts limites Sur les animaux, les vg-taux, sur les fœtus et les nouveauns . e qui estnouveau, cest la fbricaon dun unvers arciel oùs'accomplissent la dsintgraon, le dmembrementet le meure. t c' est cette machinaon qui autorise

la transhumance des transactions perverses aban-donnant les ones rurales pour s'investir dans unespace machinique

t rien probablement ne serait coprhensibledans le processus oublant que fut l'indusialisaon

sans tenir compte de ce dplacement du jeu de ladsagrgaon ar dans les campagnes se ralisait aumieux une geson sourde et inme de la dcompo-sion. Le rural restait le lieu privilgi dune rencone

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maîisée avec les mulples facettes de la morbidité

Là paradoxalement sorigine la version troublantedes phsiocrates désignant la terre comme sourceunique de la chesse Cest pourquoi il faut entendreterre au sens despace de la cauté de léradicaonPuisque dabord la nature reproduit Et ce produt

justement le laboureur peut le faucher et ceciindéniment l a là en quelque sorte des invesssements qui relèvent dun imaginaire de lavorte-ment. Croissance interrompue liée au meure périodique Or cest ce jeu qui conste en dénive larichesse Voilà pourquoi lindsie naissante est reje-

tée dans le mépris. Nestelle pas que transformations? La faiblesse de ce modèle? gnorer que desvariaons de forme pouvaient aussi conduire à desdéchirements à des coupures Dans ce cas larichesse industrielle nest plus ce qui se propose en

équilibre ou en excès mais bien par défaut Commele naturel » lindustriel na dexcédent que sa des-ucton Dès lors les ansformaons machiniquesdeviennent aussi terres denrichissement dont lesproduits loin dêe stables nauront dautre destinaon que leur décomposion. 'unives machinique

va connae également la putréfaction il devientconsommable

Ainsi les tansferts vers les nécropoles industrielles deviennentils possibles puisque la gestionimplosive peut se réalser au sein de ces espaces nou-

veaux l n a plus de bêtes à abate de végétaux àcouper denfants à exposer les machinaons éner-géques viennent tenir ces rôles

LE SIGF A OMBU OUVER

réhabilitation de lusage cestàdire sonacceptaon. Mais comme signiant morbide ridiculise en son fond même toute larchitecture fondée sur

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des « articulaons et lhorion qui le fonde la bipolarité. Car le signiant dès lors quil roule à tombeau ouvert ou se onsume ostensiblement ne selaisse plus enfermer dans un statut de subsat. Il sedéplace bien plutôt. Parce que sa foncon est bien deliquidation. Quelle que soit la position de ce

signiant prétendument neuoïde choisie dansléchelle des niveaux arculés il faut réduire les u-lités concrètes les raboter un risque intense dim-plosion. Ainsi sappréhende le rôle normaf et il fautbien le dire désespéré de léquivalent réduire les u-

lités concrètes les raboter les absaire suspendreun instant londe dimplosion. Mais sexplique également la charge desucice que condense lulité.

Cest pourquoi tout est fait pour que cet usagemenaçant reste suspendu comme légitimation for-melle quil reste surtout absent quil ne s effectue

pas Ce nest pas là aue chose que produire une frcd dissuasin tus azimuts Cestàdire coaguler la des-tuction sans en faire usage puisque leffectuaonréduirait en miettes le sens même de la menace denuser Il faut donc refouler les supports

Éange réacvaon du Golem endormi la producon seraitelle sans ouissance si elle nétait des-ucon renouvelée du produit? Chaque soir Robote te détruis. Mais touours avec cette menace sus-pendue (excitation suprême) que le produit lui-même ne sempare de mon corps et ne le mette en

pièces. Quune lete manque .Nature hommes machines signes plusieurs

opons resient possibles quant à lespace qui devaitservir de support décisif aux calculs cruels de la perversité Aussi un insnt la nature le machinsme la

pasannerie le signe furentils en balance équilibreidllique des pouvoirs camoue logiquement de biensombres proets qui ne parviendront à se réaliser quàla lumière acérée de la loi; lordre raonnel sinstaure

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comme un coupere e les eux sadens ne seron

que broulles eu égard à ascéque répresson quele pouvor formalsé exercera sur la socéé cvle.Mas dans le même emps où le monopole de lacruaué la concenaon de la perverson semblensafrmer comme un mouvemen empéueux dépas

san, e de lon, les formes anéreures de la domna-on, la geson de la mor « vulgare » paraî se déplacer Dans les aggloméraons se ame une nouvellegenèse nduselle de la férocé.

Ans se consue le mode spécque dagr de lacruaué nduselle, selon la forme e la exure que

les machnes en révoluon mprmeron à la morbdé Le jeu avec la cruaué anse dans la relaonene produceurs e apparels avan de rayonnervers lhaba, la vlle, lécole, lhôpa. Pus de seméabolser, mnaursan les effes mplosfs dans

les obes de consommaon. Pus la cruaué débor-dera lespace réservé au « pouvor du cenre » pourbombarder des sphères enères de la socalé Annulan les effes de polarsaon : Loogeson.

LÉCHEC INDURIELouvre pouran le règne des organsaons

ndusrelles . De cellesc ren ne peu êe d snonquelles gèren la cruaué énergéque, quelles oenun subsa délmé au aval du morbde, quelles

son les cusnes où la cruaué es barremen cusson des maères e des corps nsnce donc de an-sacon e de ansformaon, cesàdre nsance decoupure e de décocon. E donc enave dannulaon par sérlsaon Le procès du numérare foullec le réel dans le mondre de ses recons de elle sore

qul semblera ne plus se présener que comme unvase ossuare codé, une sucure more, une na-srucure pérée. Paseursan le mondre an

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mlule Et pourtt omme ssues du veumorture des formes dvgtes veet vsteret espe fossle et se propget dges o-os De là es rmees fhes es tourbllosde moe es drogues sssstes es soulèvemets ttedus r le gls dustrel est ps

ue msse ss flle ss frtuosts est uemort poreuse e quelque sorte Ds les lvolesdesquelles veet se her des ppts meurssouvet perdus u se de formes estes et vouspr l suture où ls exeret leurs musules

tlets à ue potelt ss ssue l emphe est là tout u trvl mrosopque et souterrdtos et de relos st luvers bureu-rque le perfort p u rseu de odesohumorstque de rsstes pssves dttrtsmes Bref e germe lsurreo dssdete des

mroproesseurs

MKPRESSEURS :

DISSIDE E PUCE LElQUE

et espe tere prel à ue rhteture tro-glodyte à l fos msse poreuse et rseu de lby-rthes qu se roset et setreroset devet lforme prope ux vestssemets lolss uxbrlemets sourds et ux mhos tesesorps sttu ds les boursouures duquel se ter

ret les pssos tmes As lespe orgs-oel et mhque dot l texture rgde et gleprsst e devor e que le eu de l strt bso-lue souvre ux vesssemets e reostut umleu prope ux tests Au se de es oes

que lo pourrt rore e domposo se rvetet des formes dto sovet rdlemet des grphes ldests de prours Alorsmme que les mgmhes pures et sques

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parassent se sostrare à de telles orrosonsRevanhe en vérté des mroproesss

sq' s'éaborent progressvement es boe-versements d'ne életronqe de la passonLaqelle génre, par ne stpéante asynhrone, lvvaté de a résstane, de la dssdene rende pos

sbe par a mse en plae de mronvers, systmesde l'ntmté qe sllonne n nroyable enhevêe-ment de parors pontés d'événements et de sdé-rations mneres Unvers onené q se rétrateen vaoles aptes à averser le désert brearaqeMse en plae des «pes » éeonqes ondensantsr er spatiaté mnatre n énorme povor deal

DES PPn LEaRISS

apparellage de povor, même paralysé et vde,(srtot paralysé et vde?) serat tétansé pare qà'ombre d'n vaste o nor tf pet se dépoyerne mtde de sédons, d'atats? À noveatot semble ben se oer dans a onsommationmltforme, dans 'éetrsation des appétts dans'extaon des atats Ces papons adentellesCes orps malades q s 'nfatent démesrément prolfératon des max s remdes préptantl'naon des atranes

Ans dans le même temps où les apparels de

povor peanent ler arasse pole à la lmteespae rban enrement nkeé o orps déoogqe sans ane ssre apparente, snsre pro-gressvement n résea élaté de fermenons, et sexe n plllement d'appéts sovent nmes

Lesqes n'ont ren à redoter dretement desappareages géants q par ler monmentaltémême se sont orbés sr exmêmes Qelle errerde penser alors le e de la dérson arvée et de a

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mulpliaon ds ans omm l nfomntpotnl d la mahini d pouvoi. Comm sil yavait ompnsaon automaqu . u onai sin-nov ii un ju d déélion du pouvoi. Comm silsétait pu à pu vidé d substan pa abattmntt annulaon d ss pôls.

insi a miniatuisaon ds implosions, la disséminaon ds aidnts, la hapsodi ds bloagsou ds sabotags innitésimaux autoisnt ungouillmnt dappéts, d passions difféntills,dagglutinmnts ionstantils. ui sabitnt à

lintéiu mêm du panoama oûté. puissan,alos, doit s modl. Pafois sous la pssiond'un ditatu xniqu il sagit d fai utout putéfation, d péipit haqu attan,bf d dévs lnsmbl ds appéts. Cst pou-quoi s fabiquait un ésau d péipitaon pivilé

gié ahipl d la mot, foviai du duil. Exa-tmnt la onntation. Mis n œuv pa unéngétiqu d la pulsation v ss ègls t ssminus smblabls à s mahs dohs quisandnt ls nés t ls dépats ds K Cadns

dngloutissmnt

U DOMEUR DE PUCES

D quoi sagitil alos ? D lxsudaon d pouvoi. appét intn qui n onstitu lssn s

pott à lxtéiu t s solidi n un ésau dat-tation, d onntation t dxtmination Unpuissan paniqu dont ls élémnts dissoiés snfuint

i, il y a un adéquaon n usu (xécuin) t

valu (annuain) Et nont n ls mahinsthniinns t ls appaillags d pouvoi tousdux évélant lu ambion d monopos ls sutus dataon, d gé la mot.

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Enn télescopage ene à nouveau les schémas

de la modernité et les vieux assemblages despo-ques Car rien ne prégure mieux l'ordre de la liqui-daon éleconique que les anciennes conguraonsdespoques celleslà mêmes dont l'autorité se ondait sur le jeu des liquidités Mais là aussi il ne sut

pas que l'irrigaon autorse l'eorescence d'une mul-tude de dérivaons sur lesquelles peuvent se bran-cher une diversité d'appendices locaux, pour que lapuissance s'exerce. exavasaon reste absolumentnécessaire ci la crue. Non la disibuon réglée d'unliquide comme épine dorsale de la puissance mais

l'onde engloutssante et annulatrice Parce qu' ainsis'annule toute spécicité se perd le tracé des dé-tournements Seacent les graphes particuliers. Etse ruinent les cheminements précaires. Un billionde dollars pour ouver un dompteur de puces

éleconiques.Ainsi peut se onde tut appendice local dans lagure du pouvoir monopolisé condition que du local» il en demeure Tout est là outes les limitesintees à la ormulaon indusielle du pouvoir despoque à savoir que l'annulaon ne peut êe que

parelle Sous peine d'annulaon du pouvoir mêmeD'o cette situaon paradoxale : si le pouvoir n'usepas de la crue annulaice il est gagné par la paralysie Mais constuetil un ou noir» un déversoirs'il ne sait en limiter les eets et donc les neualiser

il s'accule à sa propre perte. Dilemme neualité ouannulaon. N'estce pas cela même que la marchandise nous donnait à gérer dans l'espace inme de laconsommaon Du bon usage de l'objet marchandou de son implosion que choisir » Fuir

Avec le retour de l'usage mais compis comme

microusage de l'mplosion s'estompe alors la cond'une neualité de la consommaon Le disposi dela valeur qui s'eorçait de neualiser l'usage implo

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sf, par un renvo au jeu manaque des équvalenes,se ouve à son tour onfondu

EVIO FeERIQUE

on que les dées ruels de l'équvalent géné-ralsé ne soent rendues déntvement mpossbles.Pouvor du sgne, forme extrême de l'annulaton,don rtuel du pouvor dont émerge la néessté »des réseaux globaux omme garane de l'ordre de larulaon, de la ansmutaon, des nvesssements

parulersMas ette téâalsaon, ette orrespondae,e aval absolu du ode ne paennent plus à neu-tralser ntégralement la presson de lataonmplosve de l'usage. 'usage s'extrpe ors de sonsaropage sgnaléque Reprenant les détours magnares de la réaonvampre, l ressurgt terrble-ment ataf alors même qu'l parassat dénve-ment nérosé. Résurreton qu ne peut êtennoente En n prenant pas garde les évoatonsnases qu s'efforent de revtalser dans l' usage »

'nnoene pevere ene es mans de 'éange rsquent fort de réanmer des proessus pour eux, nat-tendus 'estàdre le ondensé d'mplosonsenfoues dans le terreau sgnaéque l'usage nfuseun potenel d'annulaon détonant.

se onste un ou nor entendu au sens dap-parel asprant, qu se substue au fantasme pram-dal, se met en plae une manere propre à provoquer les mpulsons désntégratres S'nvente unréseau de dranage qu satbue la apaté de fareonverger une mrade de pulsaons morbdes en un

réseau durable Or, par une revane nattendue,lunvers des nsuments et des ustensles offre denouveau au premer venu les armes orrosves del'usage morbde.

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GS DUSAGE ET DSSUSO

urleque le uage ce anmaux domequé,ce prétexte au développement dérant de gneont at retour. Ce « ren duage > et revenu Rédu

mcrocopque peutêe ma la puance de déto-naon qu gt dan une parcule d'uage e rt de atalle. Revance de l'nme. Et c'et ce etouementaant qu et auourd'u le ond de toute « a-tége éleconque » Il 'agt de NS C SCS

MPSFS, de SMU U USAG. re de SSUA

Dnventer une geon ubmnmale.Cette domnaon aux anpode de la puance

claque le mate déorma annule popementon eclave pour le préerver par avance de toutrque de bacule réale une puance an up-

port donc rrenverable Et e réale an l'mage quparaat proprement nmagnable du PU

ABSU le PU SU ÉS volence totalede la NN-BA

À ce eu u e bloque. D'où la néceté de laÉÉGUAN; ma cec déà et une aue tore.

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LA GIE NUREMBERG

/ on upend le innocent manipulateude igne à inente un condené de déµagation le nucléaie inutiable, auf ou fomede menace qui plane où / on gliea pai c

monde de uage upendu . . où lon upenda le atucieu pocédé pa lequel la de-tuction et mintuée et détouée pa le ua ge où lon e demande i la ue et bien laie . . i on choiit bien ente conduie et boie . dan le fumée e t le cende qui e mélangent

on econnaa limploion apiée à plein pou-mon où on e coulea ente le eet multi-fome et a d'une poléation de pôle dedetuction minime et iéeible

BOMBARDER E/OU P�RR

La chae atomiue se famente ne omeexplose. Hioshima et Naasaki sont asées Villesfonues : avec le nuae aioacf ui sélève s'effite

la loomachie mythiue e la « pouction » salvaice La néuleuse «Nueme » est née et évoileson sens Fascisme et stalinisme se voient iciconfonus en un même ojet. Quelle couption

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inodit donc le ncléaire? Qel déplacement dans

la corégrapie morbide permet sodainementd'apercevoir l'nité de la partton? D 'abord et srtot la marchande se présente sans fard atomes'offre comme la marcandise par excellenceConstant et extoire Éqilibre intee et désn-

tégraon Sos les pans de la dialecqe pompese,laqelle s'efforçait de rendre soriante la valerd'sage se distnge maintenant la panoplie de lavaler uure C'est cette valer d'épisement qeporte en son avers la marcandise l'anime et ladynamise C'est cette valer d'sre encore qi

s'idente à la carge destrctrice qi gît dansl'sage Désormais tot discors prêtant ax obetsle povoir de satisfaire par le biais de l'sage, desbesoins, n'est qe sermons nafs o intéressés, les-qels font bon marcé d concentré de morbidité

établi dans l'sage mêmeNe nos y ompons pas : l'sage est le masqesoriant par leqel se tavestissent les traits de ladégradaon et d bombardement

Par qels détors la geston de la morbiditésociale estelle parvene à s'incrster dans l'obje

marcand? Car enn le corps social offrait amere d'aes sanctuares à la fois mons lmtés etmoins éoits

Ici la marcandise est l'abossement d'n inéraire por le moins boleversé Car dans la longe

marce de l'implosion vers la nécropole marcan-dise, d'aes alternaves se sont bien présentées

LA DOUBLE-COMMANDE

N'en arionsnos por preve qe l'Allemagne

nazie o la Rssie stalinienne qe ce serait assez dans les dex cas la prodcon ne s'entend qe doubée d'n résea qi gère la craté Pls clairement

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encore la concenaon nduselle ne se comprendque anque dune concenaon morbde.Cest pourquo les «crses» des annes trente

nssent par « parler» la lanue dune polart cruelleMsère et deloppement.

Remse en ordre dune conome crmonelleretalsant des conuraons morbdes » Prores-sement la nbuleuse Nurember se met en place.

Plen emplo? Inaton juule autant drereconsttuer es oes daccès à la cruaut. u totalsucturer les formes où sapplque la dsntraon

Dès lors un soupçon ou une certtude, comme lplara la plancaon ent subrepcement poser lesacs suscepbles dtablr une nouelle conomedes prestaons morbdes. Comment se mprendre àprsent sur ces plans qu renforcent et dspersent lesblocaes, projettent sur le corps socal un let dans

les malles desquelles tout sempêe et senfonceratà teme dans la paralyse s une machnere arcellene leur fournssat le secours des prothèses or cesprothèses ne sont ren mons que les dsposfs esonnares de lextnuaon, les anneaux de tesse où

sexpment le bombardementSans un jeu froce qu xe les lmtes spaales delextermnaon, en tablt les rèles et les modalts,la plancaon scalle et t En sote que dnrdes ares propces à la dcomposton et à laonedeent coextensf à la producton. Mas les

plancateurs ne font pas c œure tolement neue.À y rearder de plus près une telle poltque restedabord celle de toute ndustralsaon lespace deatement de la dcomposon se dplace de la cam-pane ers la lle, de la terre et du fumer ers le

chaner et lusneDplacement capl. Conenonsen lorsque lacoupure, la dcomposon, lradcaon ne sappl-quent plus à lanmal ou au tal, mas que la

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machnaon morbde e toe tot enre ver n

novel epace bâ de tote pce.Lepace expérmental de laccélératon et de

chocIl en rélte cec qe le talnme et le acme

vont orr de epace morbde rénové De pol-

qe novelle de geton déntégratrce. Do lame en place dne novelle cartographe orgnaleÎlot o archpel, camp o réea ce ont là lecompoant dne géographe q dtrbe etcondene la mort, la crtalle r le terrtore, lenonçant dan lépaer de conoraon ocale,

cltrele, relgee, exelleDngant p décopant le mort d v oc

donc la atége d doble morbde conter nemodalté pécqe de la doble commande. Unedécope ntee d povor geonnare Une dar

che. Dpot dont la vocaton erat de garantrcoûte qe coûte la lqéacton Qetce à dre?Snon qe la écrté dn corp de povor organéen conn nécete le manten, qel qen ot leprx, dn réea qde q le avere. on Bran ete ée, Hmmler et e SS

D lor le breacrae modee ne porraentben nêe qécorce percele et anecdoqe volant le orme pre par ce «aval général» de lqé-acon dont no nappréhendon qe le plaonragmentare externe O, le movement de

déverement daborpon et de bombardement, c,no échappent parellementProceon cérémonelle, donc monnae, pro-

c, erpent dont le ondlaon on ant deortpor mantenr n ét moen de dté. Rergent le thme de lrrgaton, de la crclaton, de

lécolement De la blereCe q narge alor, ce q dérange, netce pa

la pécain?

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Désormas se dsuent les rôles ene les maîesde lespace péé et ceux de lespace lale Partageoù se dessnent à la os lossature ronante du plan etle dspos plus ou mons dscret de épurain

Mas la doulecommande» nest pas smpleuxtaposon Cest pourquo les eets du plan pour

raent en navor ren de commun avec la logquentee à ce deer Mas se donner comme la résulnte en surce des ménim décnruci�. Omreportée dune dépresson sur la plantude » du terr-tore À terme tout se loque Sauve qu peut Déré-

guler ou pérr

OBJEÉLECROQUECREVBLE Les apparels dans leur mortalté erraque provo-

quent une nterrogaon nsupportale prégurant

lordre mque dun pouvor éleconque à venrDont lessence serat : sopposer à lusure de la cr-

culaon Doù ce retour à des relaons vrgnales A-mort Acrculant communcaon sans rsquesÉange renversement lapparel énergéque dans

son unvers spécque ouvrat la voe à de sasssantesperspecves en sortant de la sphère de la compen-saon autorse toute ason tout dépacemen, touttélescopage ce qu revent à dre que sévanout la loelemême, et que se dépose entre toute man lacondute du pouvor en oant la ansgresson des

lmtes Il sut dune économe qu perd ans de vuele code ormel des échanges et ne compense plus leeu des pertes qu saccélère Tout se peut Meuresqu saccomplssent dans lusure meures qu se réa-lsent dans laccdentel et losolescence partout

snstalle le rtuel de la dépradaon et de la persécu-on Cette agone de la marchandse volà lexutorepar lequel se décharge une mrade de désrs granu-lares qu ségaent en perversons ntésmales

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Mas ass ces mplosons décenées fadratl

es payer? t rénodre es reaons socaes à ntérer dne économe morbde où la valer snscrra dans es reps de a cpabté. jossance dela commtaton des marchandses doblées parcelles de ler destcton snscrratelle a cente

dn magnare normaf? scène marchande où seeprésente le e monsex et fascnant de l évalence de la consommaon sans retene n revensélogneratelle avec la de lndse? Ne lassante des remords. À sa place : dntochables élecons? t de novelles loteres » élecobologes.

Cest e lépsement mprègne la sphère desobjets l concède à tos n povor destrctf ncondensé dabsorpton. n mtant les apparelsmécanes comme elle sacre les marchandses lasocété cve sempare des prérogaves de État gls

sement engendrant ne ntense nsécrté lorselobet mert et e ses membres éparplés teentAlors samorce le aval de del por exrper

hors nvers machne lélément de provocaon neaser la marchandse nealser la vlle. apparellage le pet par n smlacre de rénseon dans le

règne anmal. a crclaon alors reprodt laboresement le cycle vl ot se vet bologe et dégradable éanmons le déchet perdre et cette résstancenète mort bologe de lobet ne le dsloepas vrament épave demere nsolble. t semble

ne pas connaîe de n elle otte morcelée.Ans a carcasse assée por compte resteteleen sspens menaçante. nstare la hantse ddéchet poant.

Le mere de lobjet se paye ans ès che. Datant en sosman sétablssent les atomasmes

se velent ncorpbles. machnere éleco-ne atoreprodcve commence à prodre necontemplaon fascnée. Joer avec les élecons.

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PET fHICULE DE MORT IMPSE

• l'on supnd d'ncoybls dou-mns d èl du ju slon qull l pouonu l dssuson, conôl monn ldscon mplos . où l'on ds objs sobs d pès. où l'on dssqu l'obj

d'mploson dmocqu p clnc 'u-omobl . où l'on s pnch su ls jcosà ombu ou où l'on ou K nllu mund n chun .

Tenons la voiture pour le seul obet local Si·obet ocal y a. sobservent es restes, régénérésil est vra dune consommation partielle : lusagedun territoire restreint. Le condensé dune organi-

saton régonae Espace ramassé sur uimêmeauto? Ou la coagulaon enn réussie du fantasmelocal. mise en acte dune polarsaon. Sans automobie, le « cenal » naurat pas connu de répondantpolaire. Ni expérmenté un modèle fondamental : le

guidage.Retenons dabord de lautomobile son caractèremnéral formation despèces nouvelles dont lerythme de producon est assuré par un code entiè

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remen exérer Donc enèremen sées par des

normes sgnaéqesE poran a sen de ces « errores » sm

acres d'obe oca se amen des saéges corrosves des sres nédes

' esce à dre non qe par son éroson

même e oca cee ocaon anasmagorqeere dans es enreacs srcres de a pssancendsee se dévre sbemen d rôe q avaéé o d'abord dévo de savor servr de conepon forme de poson aernave à ' émergenced cena

Dans ne ee graon e oca es convé àjoer e à ne joer q'ne paron sembabe àcee où s'essoe a «vaer d'sage» Dans emagma des marchandses même éca préendmen nérer même occaon ee donc

dans n e de renvos dans ne poqe d m-ror Condon d'exsence specrae d cenra Lavore révèe qe 'écaremen enre pôes rsqeaccdeneemen de se dssper Avec 'ao a cen-aé e e oca se réacen dans n même espacede coson

C'es porqo nos commençons à sopçonner'mposre de a cenraé E a ravers desconscons pyramdaes à dsnger des congra-ons por e mons écaées por ne pas dre desscres véreses

Qeson de pon d'observaon e cena porra ben n'êre q'ee d'opqe Anamorphosepon de e où es gnes de orce se jxaposen ese cononden E dans ce espace gra e ocaven garanr e benondé de 'éagemen des pansrend égme a perspecve Ans dans 'épasser

d'n rompe'œ s'assre a conssance d'nereprésenaon cenasée

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DU 0 UGE DE L FOIFIIO

Dsormais l'automobile est convie à jouer cejeu de pôle priphrique eet de code pourraitondire vatar insigniant du local; sau à se prendre

au jeu c'estàdire à se protger s 'enermer ou seorer

Ballard crit : « utour de moi l'habitacle scintillait comme l'antre d'un magicien s'assombrissait ou prenait de l 'clat à mesure que je prome

nais mon regard es cadrans irradiaient ma peaude leurs aiguilles lumineuses et de leurs chires a carapace d u tableau d e bord l e tablier inclinles lignes mtalliques de l'autoradio et du cendrier m'apparaissaient comme les pièces rutilantesd'un retable J'prouvais le sentiment que ces

objets points vers moi cherchaient à prendremon corps dans l 'treinte gomtrique et stylised'une machine hypercrbrale » .

Nouvelle placeorte. oici qui indispose les disposis rvulsis du pouvoir archaque c'est que les

conditons d'exstence même du local doivent êednivement arrêtes par le code de disibuon dela puissance

Reste nanmoins suspendue la menace d'arase-ment gnralis Foin de toutes ormes locales Tout ce qui se mouvait sur la terre prit tant les

oiseaux que le bil et les animaux tout ce qui rampait sur la terre et tous les hommes Tout ce quiavait respiration soue de vie dans les narines etqui tait sur la terre sèche mourut ous les êes quitaient sur la ace de la terre urent extermins

depuis l'homme jusqu'au btail et aux reples et auxoiseaux du ciel ils urent extermins de la terre Ilne resta que No et ce qui tait avec lui dansarche. »

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Claire satégie de la puissance dabsorpon : un

objet local nme est bien épargné un naire Sauémais parce quil est le jouet des ots. mage deadépendance Nef nue agitée balottée enaînée deetérieur Le local ne seraitil toéré que drossé parla puissance déchaînée ? Cest bien ce que laissent

entendre les odyssées nautquest sil était besoin dune conrmaon nous laouerions dans e dénouement qui concut laenture des rescapés du déluge orsquis osentconstruire Babe nraciner le local dans lérectiondune tour fomidable dé maeur puissance ne

sy ompe pas qui déuit a citadele et disperse lesconstructeurs Comme si dans le déluge commedans ééaon du bâment maestueu ce qui étaiten jeu céit le dé de lunipolaté inacceptabe tnon acceptée.

Pour e pouoir en tant qui sappuie sur uneconguration polaire le local ne peut senracinerpuissamment Le territoire doit rester uide D oùimportance des naires des tours atteées desmachnes de guee. Troupes en mouement otllesqui se déplacent portant dans leur anc la conjonc

on du « oca et du « cenal » territoire reseint occupé dans sa plénitude organisaon disciplinaireGalères machineries d ordre et de producton Dereproducon de la polarité

Fer de lance alors de lepansion du pouoir Les

naires sont des mtes détonants t les rages oùils abordent seffondrent comme les espaces sédentaires se sont craquelés sous les raz de maréenomades

Subsistent ou émergent des dépôts constufs denouelles organisaons locaes eceniques au gré

des mouances coonisaton déportaton eimgraon . .

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U CHEVAL. UE VILLE U E

cruon un inan la dynamique inaugurale parlaquelle e poe e e déui lobe local. E dabordroie

Dan le corp à corp où la oupe en mouvemen renconre la cié orée appréhende ceci :limpoibilié pour la circulaion guerrière de circonvenir obe local enraciné E le mouvemen nipar connaîe la paralyie il enkye il e oilie.

Cyce que eu un imulacre perme de rompre.Duquel nou reendron quil e le monumen quipeu êre mû. n cheval de boi inere mai quipeu e acer. Condenaon de limmobilié e dumouvemen. Carcae gée mai habée Chevaldené à la coure mai par conucon en arrê Orle voilà poué il inrodui il pénère Cee neecrèe perore le déene de la ve enouvere. Delexérieur il e paé à linérieur. Epace proeceurau ein de lepace proeceur Il ne lui ree quàouvrir pour libérer a charge deucive eu de

miroir eu de renvoi phèr dan un phèr, révolu-on dan une révoluon

CORPS DE PERRE OU DCUE Le local diparaî ahi par on double Il nen

ubie ren Don ace E déà reen «nhomme a péri on cadavre e ombé en ruine oue conemporain on ou erre Mai on lvre aipaer on ouvenir de bouche en bouche n aceécri e plu ule quune maion en pierre que de

chapelle à lOcciden mieux quun châeau bienondé quune pierre monumenale au emple. »Le local ne eraiil déà plu quune variéé décri

ure ? u une endance cripurale pécique ?

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Quune différence dans le protocole des signes ? ne

fois les corps meuris et consumés un compte rendude linquision

Ne perdons pas de vue que lécriure se déroulemais aussi quelle se conserve et sarchive. écriturecette double articulaon, ne seraitce pas elle ce

« cheval de Troie » ? tension polaire liée à la remé-moraon ene le passé de la cité de Priam et le présent du x de Homère.

Liquidaon du corps de pierre précipitaon dela placeforte en signes en quelque sorte le chemininverse du nucléaire où les formules se métabolisent

en puissance de déagraon, rasent la ville. i la citése dissout dans le texte t la sémioque avoue biensa nature absorbante avidité et séduction. Ce nestplus Troie qui séduit Hélène cest lécriture qui ravitTroie Doù moins des ruines quun dépôt implosif

au sein de lécriure. Pourtant ce verge, qu enelacent les signes est lui aussi comme suspendu sedéroulant ene deux pôles qui en boent la conden-sation desucrice : début et n du récit Passé etfutur entre lesquels se déroule le présent ctif delécriure

Queson énigmaque du cene. À lintérieur ducheval répond l intérieur de la ville à lintérieur delobjet lintérieur de lécriture. Se donne à voir unespace invaginé se dévoile une géographie intimeLa topographie du local reouve ici celle du corps

Le pouvoir ottant safrme dès lors par la maisedes voies qui conduisent à lintériorité corporelle.« Chose bien éange » : sans elle pas de polarité pasde tension pas de puissance.

AU VERS DUNE "CHOSE BIEN NGrSigmund Freud écrit : «Le vieux Brce doit

mavoir imposé une tâche quelconque t, chs bn

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érang, cette tche coite da la préparao de lapare iférieure de mo corp, bai et ambe evoi cette pare de mo corp devat moi, commeda la alle de dieco . . . Le bai et vidé, o levoit tôt d'e haut, tatôt d'e ba, le deux apecte mêlet O aperçoit de groe tubéroité couleur

chair (qui me rappellet da le rêve même dehémorrode) . Alor e fu de ouveau e poeio de me ambe, et e u urà ravr vi.

raverée du cop, pui averée de la ville. Récittouour recommecé ue e paetil doc à l'i

térieur du Cheval? À l'itérieur de roie? À l'itérieurd'ue molécule? Que e paetil à l'itérieur ducorp ? Mai d'u corp luimême audeda d'uaue corp

« Je me ui demadé uqu'où me ambe meporterotelle ecore? Da « SHE , l'aveture it

aii la femmeguide au lieu de rapporter pour elle-même et pour le aue l'immortalité, ouve la mortda u myiu u cnra

Cocluio d'u iéraire par l'abme ou le bra-ier? imploio du cee

moumet immobile, le moumet e mou-vemet le défait Mai pour u temp eulemetUe foi roie détuite, le Achée iet auipar mouri Su ubi riez le texte et voulibérerez l'éergie de uccio

Da ce rêve d'habiter, de traverer o propre

corp, de dioudre le limite qui éparet l' exté-riorité de l'itérieur, qu'e etil du reort eeel?

«Dio d'abord le poit de départ du rêve (celuide la dieco de o propre corp. C'et ue viiteà Madame Louie N qui da le rêve aita à mo

travail Elle me dit prêtemoi u livre. Je lui propo-ai « She » . Elle m'iterrompit e coai ce livreN'atu rie de toi? No, me propre œuvreimmortelle e ot pa ecore écrite »

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Donc sans anspercement du corps pas décri-

ure Et sans écriture point de maîise du temps . Pasd immoralité » . Pas de prise sur les ruines du futur

Ce parcours ui condui à la maison de bois cetobjet local primif ce berceau doit signier à termele cercueil donc le tombeau Ce ui se déuit l écri

ture le conserve Et chaue desucon ainsi comptabilisée porte le témoignage dune survie : celle delenregisement l ny a pas dissoluon. l y a polarité : arc : vaetvient Sauf à considérer ueluesappéts incompressibles

Ne voiton pas maintenant les formes par les

uelles lautomobile mime et restue cette logiueparadoxale? La mort dune créature nconnue sétaitinscrite dans la voiture en longues aces iangu-laires son identé disparue sexprimait dans le lan-gage géoméiue du véhicule. »

rajectoire donc ui exrpe de lobjet local la problématiue dun corps double cette maison debois » : tombeau ue lon averse . Sarcophage.

Jai été en effet dans un tombeau mais cétait untombeau éusue ouvert près dOrvieto une éoitechambre avec le long des murs deux bancs de pierre

sur lesuels on avait posé deux sueletes dhommesadultes intérieur de la maison de bois du rêve ressemble à ce tombeau à la seule différence ue le boisa remplacé la pierre. Le rêve semble dire : "sil fautue tu sois dans la tombe au moins ue ce soit dans

ce tombeau étrusue. l ansforme au moyen decette substitution la perspecve la plus ste enchose enviable »

Choix du cercueil choix de sa mort à travers lamaison de bois » . Chox dun lnceul métallisé à avers lautomoble

e pense aux accdens des psychopathes accidents peu plausibles accomplis dans le dégoût desoi et le ressenment; méchantes collisions mulples

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mss au pont dans ds voturs volés sur lauto-rout l sor n mployés fagués J pns auxaccdnts nsnsés ds ménagèrs nurasthénqusrnant d lnsttut prophylactqu t s jtant surds voturs garés dans ds rus d banlu. Jpns aux accdnts ds schzophrèns xctés hur-tant d front ds camonntts d blanchssrvnant just d calr dans un ru à sns unqu àcux d manaqus déprssfs broyés lors dnulsdmtours sur ls brtlls daccès aux autoroutsà cux d paranoaqus malchancux prcutant. . .

L local? L voc qu roul à tombau ouvrt.

LE PWE DU LLEU

Posons à ct ndrot la quson ds clôturs . Qus passtl à lntérur d cs carapacs avantqulls n dvnnnt ds carcasss fossls ? Qu souvtl scllé dans cs ntournurs dacr? Dèslors lntrrogaon s port éangmnt sur clu qupar profsson a chos un ds prmrs, l aval dscontours l tallur.

Ou Qu délmtnt ls mans du tallur? répons? voc qu sonn éangmnt «ulté du aval du tallur n consst pas n

c qul fat ds habts . Mas dabl qunsrrntalors ssus t couturs? «utlté du traval dutallur répétonsl n consst pas n c qul fatds habts . . . mas n c qul produt un corps ansparnt d valur Kar Marx) .

Afrmaon scabrus ! Qu dévol ou cach nfft a ansparnc d c corps étrang ? ll dumatérau cnsé protégr t volr? Ou cll du corps

qul dssmul? Lun t lautr probablmnt latransparnc d lhabt révélant la tansparnc ducorps. Mas ctt tanslucdté lcncus st toutautant mror.

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« Por povor s' ncorporer dans n tel mror de

valer, l fat qe le traval d taller ne rete l-même ren qe sa proprété de traval hman»K M)

Ans la lmte perdelle de son opacté Pls elleest à a os mror et mror sans tan Me ansl-

cde et mle reet. ncorporaon et crsl. Le stattmême d corps obet local protégé et délmté sccombe c a e éclaté des rééchssements Sc-combe à la polarté et ax rayons X.

l y a là obscénté et voyersme Œ concpscent de l'observater q dévêt la réalté Sptease

théorqe les bandelettes d tabernacle, ne à nemnesement enlevées, dévolent le vde de lerconten. erge donc d'n précpce q ne pet pasencore se anchr sans faie app sr d'aes corps;et d'abord sr le sen propre, l'enfance localté r-

née qe nos aons ober dégradaon dneénerge enclose.Enn nos arrvâmes à ne pette mason en

bos a bot de laqelle se trovat ne fenêtreoverte le gde me déposa et mt dex planches,q étaent là totes prêtes, sr l'accodor de la

fenêtre, etant ans n pont sr l'abîme ql allatfranchr por sor. Aors, 'es réelement per pormes ambes Mas, a le de anchr l'abîme commee m'attendas à le fare, e vs, étends sr les bancs,le long des paros de la cabane dux hommes

adltes, et à côté dux, dex enfants endorms.C'état comme s on devat passer, non pas sr esplanches mas sr ces dux enfnts.»

Mophologe daphane de l'obet local Rempartsde reets À la fos transparent et opaqe Percer àl'ade dn smlacre. Lmême reet d move-

ment mmoble Pénéant par effracon mplosanten qelqe sorte. Et sore tot ass éngmatqe précpce q'n corps sspend enambe. Corps

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enfann sembletil Son propre corps oublié? Unehorde d'atomes primitifs? Le charpentier quiconfectionne les chevaux de bois et le tailleur quitaille et coud les habits se tiennent d'énigmaquespropos

Mais tous deux ne se fondentils pas désormaisdans l'acvité du mécanicien et du carrossier? au-tomobile ? Habit de tôle cheval dacier ? Plutôt navire de l'intérieur. aventure d'un «centre en désin-tégraon » la cenale nucléaire

Mais aussi cercueil cristallin « orps ansparent

de valeur» enn advenu «Autour des deux véhiculesaccidentés, des gens s'étaient groupés en silence etnous observaient d'un air grave, absorbé . Unhomme âgé vêt d'un imperméable ansparent s'estattaqué en hésitant à la portire arrire de ma voiture Une jeune femme munie d'une couverture

écossaise a penché son visage vers ma glace et m'aregardé, les lvres pincées comme on regarde uncorps exposé dans une cercueil ouvert »

LŒIL MORE'est cet œil qui poursuit lobjet loca linventel'institue le traque Dans l'asile du XIXe sicle biensûr Mais aussi dans l'usine et œil expérimenl àla fois moné et caché Un œil exemplaire : celui deMayo à la Western lecic Usine de lampes usne

de la lumire articielle usine de pupilles incandescentes L'œil s'y glisse . t l'œil nit par régner enmaîe Dans les plis du regard se xent des groupes,se coagule de la libido s'accélre la producvité Ànouveau s'invente l'objet local Groupe de base s'il

faut le nommer.Mais ce locallà aussi nous n'en saurons rien sansconnaîe la manire dont s'y aite le mouvementci, le local le groupe qui émerge favorise le

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déroulement plus rpde des mrchndses, lccélé

ron de leur roon culon du locl sur l cir-cultion des mrchndses Rêve de fer du cptlMs l est dutres brnchements possbles. Songeons à l cvlere de Mkno, vllge pysn enmrche Songeons u n blndé de Trotsky Obet

locl cone obet locl et vctore du derner omphe de lrche rmée de l cenlté Songeonsux lgnes forées et ux dvisons blndées ormesvrées dun locl militrsé Sot fortement retn-ché, sot mouvement rpde Jusquu développe-ment ulme pr lequel le pouvor se reconnît sous

l forme dun « objet locl » en mouvnce perpétuelle,hors dttente xcentrque sousmrn nucléreou chrge orbtle

Le stelte, voc lhypostse de lobjet locl Plusdutonome ou de dépendnce, ms un réseu sns

lequel l engn se voltilse utonome comme ldestrucon se donnent là comme potenlté Œlvoyeur tournnt nlssblement Désintégron vir-tuelle, ndénment? suspendue

Ce sont les los du vrtuel et celles du regrd qugssent c t vec elles, lordre du smulcre obser

von et démonson, utnt de gures renouve-lées de l volence

Crrefour où se rencontre bentt lutomoble,rche mntursée, stellite « démocrque » Émet-tement de l dssuson cette myrde dobets

locux nvtelle ps pour foncon de xer l féro-cté? De l neutlser? n ses leux et plce lconsommton des dfférences et l rythmque delobsolescence tennent le hut du pvé Locl désoms élément ndfférent cse quelconque dnslordre et l xnome? t donc l geson de lordre

et de l sécurtébtt redondnt en quelque sorte les pè-ces dsposées sur léchquer dun prkng ren

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voent à la dsposon des habtaons. rstes su-tures Mornes orrespondanes dans la dualté.Quadrllage du «neutre À mons ue ne surgsse un adent déroutant n ndent de par-ours

�LESCOPES

Crssements nattendus automoble soudane-ment révèle la marhandse nest usée abuséCorps transparent de valeur? Certes mas dont la

ansparene est ben ouble ne fos ansperéesles nases pelules de léhange ou de lusage sub-sste la relaton dabus Ce branhement féroeuopérat lépusement du produteur à la mar-handse le vo restué. Mal exorsé déborde detoutes parts Il déferle pseudopodes dadents et

de pannes. Emboutellages forenés arambolagesmoraons hromées gaspillage énergéue angosse rrépressble du nuléare

obet exhalant sa harge desuve duse unedéonernte ataon «Appué one le parapet

ontemplat les véhules adentés dans la rue Obets ntégrés onsommés pare uls déom-posent déonsusent et ludent Ben sûr est lele de lnende u se renouvele. e onduteurreprend à son ompte le rtuel de lnendare masen n de parours l reste au sen du foer. Sur son

sège ne énelle de moteur ne peutelle mete lefeu à toute la plane?

Imagnons à et endrot Noé ouvrant lumêmeune brèhe dans son arhe. e pouvor adtonnelde la dualté nauratl pas de e fat perdu tout

pont dappu toute possblté dexere?Présumons ue ustement le loal sot un espaeu peut enore s sabrdr En onepont snventeune topue protetre de lnaltérable un espae

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délocalisé unversel; une classe sans leu des usages

sans une hstore qu serat la n de lhstore Poétique gnfugée propre au chefs allogènes ou authéorcens de el reouver sous es ats atacfs de la de lhstore le prol nsolite dune sucture dabsorpton générasée

Jouant avec lespace pacé ndustrel : le ocalinsulaire ; lîle de De Foe ou celle de Ballard territoreverge Ne cachons pas lmpact des soats danslmagnare du local Ils survennent touours audétour dun accdent dune épdéme dun ncendeou dun naufrage Parfos dune révoluon Retrou

vant nspraon poare audeà même de lengoussement

Émergence en n dun parcours dun localabsous de toute morbdté tands que succomberatespace de départ.

«N le son quon eut de purier la vlle n la pré-cauton de ny asser entrer aucune maade n esprères et les processons publques daues règlements très sages ne purent nous [ . ] garantr»Boccace) Il faut donc un refuge !

À île de Robnson font pendant la peste pus

ncende de Londres Mas l en sera des obets nsuaires purés comme de tout aue obet local Repriseu auss dans la turbulence des accdents et desmorcaons mprévus elles ces «varété » localesproduts de nduse qu se dlatent snfatuent et

sombrent «tanc » « Normande » « Zeppen » . . auto par cone propose une espèce mneuresblsée manable et donc dssénable un îot deoca à a dsposon de tous. Concuson dun procès de déracnement démgration de Localécaté et assuet. À mons quun geste malencon

eu ne venne à son tour lanéanr

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TSIORITIODU CRUL

•'on dabu dans ds uns qu sont dsantcpatons d'an. où 'on nout subptcnt ds anau qu ssbnt · à s 'ypnd au futus spècs ctonqus. .o ù a donn t a sas s 'ant co s

fos caps d'attacton t d'can . . où'on ncont ds banqus d donns t dssau oacs . . où 'on pssnt d'obspsts ctonqus t d'nfas pds dsns. . .

ne qestion petêtre celle e l a séctioncoextensive ax viles estce onc qi portesovre? Se reerme? ne ville ne boche?

Doù liée e éclivité comme si tot habitacletot raisonnement tote écritre y glissait sûre-ment

rrésistible atrance.N'estil pas tot n temps où les villes sont e

escente. Et où les éplacements sont e glis-saes?Cités avalement Villes absorption Absorp

on.

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Comment aduire ette aspiraon sur un espae

plat? Comment disperser lataon sur la plaitude? xer la perspeveDé l'expédon vers roie est une mise en pers

peve, la onstuon d'un aiseau Et la perspetive omme obe mltaire devent un rét À son

terme une ité E= m

2•Non n' a pas d'anville Résignonsnousl'antiville est la ville même Mais a vile en tantqu'elle se situe la n d'un parours. Et que e parours est pontué de sidéraons e soin, onseilleVi qu'i n' ait pas un seul endroit plat où l'on ne

déouvre l'empreinte de pas sanglants »Figurer une bataille Ou dessiner un déluge La

question serait alors produire des ruines Sans sesouier d'étapes intermédiaires i le arnage semoque des bons usages.

Fixer la déhéane Ou la générer. Queson d'optque. Le avail même du mror té se souentd'un double miroir un qui enregistre et assuett'autre qui onene et inendie (laser

Captiver, maintenir auster autour des reetsévanesents un traé qui les immobilise Chambre

obsure de la mémoire Caméra silenieuse. Banquesde données

Ou au ontraire reeter et onentrer De tellesorte que l'inandesene se saisisse du point xén miroir sauve Srause Mais «Hélène quand elle

se regardait dans son miroir et voait la éssure desrides que l'âge avait insrites sur son visage, sedemandait en pleurant pourquoi elle ut deux oisenlevée».

DESINATIONS PULVÉRISÉES'image produite la n d'un parours ne nous

apprendrait don rien sur l'histoire omme enlève

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ment et comme apt? Et la généalogie? Pas plus Lephaaon Psammétcus ne til pas cheche et lessouces du Nil et celles du langage?

Modèle intempoel de l'expéimentation quedeux enfants noueaunés soient mis hos de la illeQu'un ege s'en chage sans amais se faieconnaîte d'eux Et qu'il note les pemies mots quiseont pononcés . u milieu du toupeau ici, sousl'empise de la faim, ce fut bék Comme bék enphygien oulait die pain les gammaiiens nentcette langue pou l'oigine de toutes les aues

Solidaité ente achéologue et émologisteMete à nu des cités dispaues, étali l'inéaie desangues. Et a cuiosité oulante du despote quantaux souces et aux oigines Comment descendedans les nes et dans les langages? ec eineg dans les ris premières minutes de l'unies

Un ouli les animaux. Le ê des moutons. Nonseulement la paole des êtes mas leu fo intéieuDe la chai ou des os. Le ouche de chouangseupenche pou un itinéaie du ide. Un gaphe desintestices Mais Pométhée offe, lui, deux œufs

econsttués à upite L'un empli de chai lauted'os Disncon d'impotance Composion chanelle ou stuctuale ? L'essentiel étant de se gaded'oui Que la ote este close

Scelle pa un mioi la mémoie. Et enfeme laille dans des empats. Se mée de Pandoe et ducheal de oie Sinteoge su la cité en ceux. Etsu les pacules de ien» : les neuinos

Peutêe n'estl pas de déplacement sans eondissements Sans étapes excitaties sans stationsamplicatices Passion et coisade. S'achèeaient

elles qu'un détou miaculeux les tanspote à noueau; en aant Cest pouquoi il n'y a pas de anspot innocent. (Coupue Cession d'un doit.Posaquement : moui un peu.

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I reste à dessiner un graphe des emportements

une géographie des transports Or nous sentonsuun te inéraire n'est ni inéaire ni connu Maissuccession de dépressions et d'écats Et pus saisis-sant encore : suspens et absorpon.

Homère naugure 'écriture par un moment dar

rêt ne suspension vie nestce pas à terme cesparcours disconnus ui échouent Sur un ieuOr cette convergence en un pont de fuite est pro-

prement diapidaon CaageFin du récit anéanssementne mémoire seue demeure ue seraitee

cette cité ui survit Amas de ruines Pérennité duntexte Et coup décat

U DE i MMDE

Mais a mémoire aussi est dépacements Parmies décombres Ponctués, harceés inérare sidérantFxité par commoon. Prosaon. Le discours ui seconsuit en séuences stupéantes Bocage etséducon pare donc Socrate en marchant Et subordonne

aenssements et secousses Stases et émoons vie ici s'oppose au dérouement historiue auruisseement dun temps mouu , ee soffrecomme dépositaire des chocs Machination amoureuse. Cycoon des passions

Mais ee se donne en desnaon échappée desmétamorphoses À a n dun cyce oià pouruoiee se gage si souvent comme gure deière d'unephysue Comme concusion à a nature des choses.Les campagnes se dissovant à a ongue en vies Etes vies en instance à assiéger puisue producon

prétendument deière. Cenes censés ivrer es insuments magiues (ou es reiues fonconnees) dea puissance.

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Et poutant 'est une vlle pulvésée u snlleà lhozon es appéts e pouvo telle, thènes,telle Thèbes, pestféées, en éplogue au hemne-ment e Luèe et 'pe Enn toute vlle auou'hu ssuaée » . Déà vtée pa la haleu v-tuelle es engns atomues

uss es unes fautl se étoune elles netémognent plus omme aes un passé à eons-tue, n omme enée en maèe un pussant ave-n u touveat ans les vestges le soubassementonstuf e toute fonaon. Je vous salue, unes

soltaes, tombeaux san, mus sleneux . . Com-ben ules leçons, e éexons touhantes ou fosn'offezvous pas à l'espt u sat vous onsulte. »

Les unes sont ésomas tout aute hose l' exee mméat une pouton u fat bonmahé e la pogesson hstoue. S en paaît-

l, ne evat éhappe à la pouon, 'est e pouton uneuse ont pésentement l s'agt Voon ven le temps es bombes à neutons. C'estpouuo les foulles touhent à leu n. Mêmelosue la mémoe sample, s'hypetophe, a

alos elle event aalement napte à émêle lestaes passées es lnéaments anpateus. C'estuelle est lttéalement sasssement.

Mas l y a avantage : lattente en ettemémoe u se poette en avant, la péptatonaspate u l'anme, povouent un mxage es

tempoaltés tout favose ès los la mutan nstantanée e uelue pout ue e sot en sonombe unée .

À la moblsaon, à la éuson, se substue lasase Une tele poéue engene la spaon es

onnées, tout autant ue leu pésene obsesson-nelle. Règne e la vtualté la valeu aoutée estvaleu soustate. Les unes sont on ben éso-mas aven.

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Rdau n conséqunc sur l allt suranné

où dux concptsétoils (l sign t lénrgisaguichaint t s rpoussaint ritullmnt.

Ni lusag ni la valur, pas plus la maèr qu lsign; mais la rémannc dun produit n tant quilst déà ruiné. Comprndraton dès lors qu tout

satégi à vnir sinscrit au cœur d ctt prolémaqu ruinus?u lusag sévanouit au prot d lusur t qu

la progrssion t l chminmnt cumulaf s com-munt n dissipaon L gouvrnmnt d lavnirst un gouvmnt du u

mmédiatmnt dux concpclfs sévapornt l point d fuit t la clf d voût. Puis la vill proprmnt s défait

MPEMES

Donc ls ruins ouaint Lur rôl?Mimr un trrau urain antériur à la vill.

écors par lsquls s produit la pruv quavant laité la cité sul sétndait Ls vstigs soffrntcomm un ssu fondatur. L gag dun histoir .

assuranc dun pérnnité. con dun immor-talité

Cs ruins n sont pas ds ruins, mais ds fondmnts. charpnt dun architctur l souassmnt dun corps urain Finalmnt ction d

Rnaissanc Bos n omplœil dun actoirrconstual.Et si la cité runé n s livrait nullmnt dans ls-

pac du vstig ? Mais dans l graph d chmin-mnt dun chnill?

En 1585 l grand vicair d Valnc n faitil pas

citr ls chnils dvant lui lur don un procururpour s défndr, t nalmnt ls condamn à quit-tr l diocès?

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En en Auvergne le uge d'un canon nerécidiveil pas en faisan plaider conadicoiremenla cause des chenilles e en leur enoignan nalemende se reirer dans un pe errain pour «y nir leurmisérable vie » ?

Dès l 'origine un serpen dion s e glisse e perurbe l'ordre qui banalise le errioire. Le serpencomme rampemen inersel

L'hisoire des villes ? Film besial qui proee ladélimiaion des lieux d'assignaion de réserve.ui crisallise une géographie des bannissemens .

Expulsion e inlaon. Ce son les ras séduis enfoule que le oueur de Flûe condui audelà de laville pour les noyer. Puis les enans. Enre l'inérieur e l'exérieur la pacicaon s'accompliraiellenécessairemen par l'argen? Le ra 'enan ele dû.

Roman des déecions urbaines Songeons àEmpédocle hors les murs Commen l'aeindre ànouveau l'arer le séduire? Rien n'y fi semble+il E émerge le volcan comme «ville » . Cié de proecion e d'englouissemen Puisque c'es dans

l'Ea que l'exclu se précipie.Thèbes qui s'ouvre pour Œdipe l'absorbe e 'ex-pulse les yeux crevés. Cycle de l'aveuglemen Nonsans rappor avec l'urbain.

VEU6LEMSoudain ving mille aveugles relégués usquelà

dans l'hôpial Dani el Azhar du Caire se répandendans les rues e errorisen la ville « On se souvienencore dans cee capiale de la révole de ces mal

heureux qui causèren un désordre épouvanable. »Se souvienon par conre mieux du combaorganisé à Paris en 142 ene quae aveugles munisde gourdins e un porc?

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Expulsion des chenilles, irruption des aveugles,

grognement des porcs. Grouillement instable Ne seconjuretil pas? Ne se xetil pas lorsque la ville sesait surplombée par un corps somptueux quilécrase et la soutient Entende Dinocrate larchitecte proposant à lexandre de sculpter le mon

thos à son image Dans une main le Macédonientiendrait une ville de dix mille âmes dans lautreun bassin où conueraient tous les torrents de lamontagne

Estce asse? Sinon évoquons Rhodes Lesnavires qui glissent ene les jambes écartées du

Colosse rganes géniux suspendus audessus desmâtures La ville comme noyée par un appareilmonumental qui la domine our Eiffel tutélaire. Fuji-Yama, Vésuve, Ea, Empire State Building, SacréCur mportetil que les retenues soien ou non

arcielles? Barrage ou volcan. Rupture de charge ouemblement de terre?ncendie Épidémie consumaon et trem

blementLe emblement la dérision des corps xes. im-

mobilité, la puissance gée soudain réduites en

cendres ou en miettes . nde de choc, ou démolionplaniée? Déboulonnage des statues.

USAGE E "R-USAGE

près lusage il reste à épioguer sur le doubleusage. réuisaon. queson des ruines ént moins désormais de

mise à bas que dinterdit sur e réemploi Questcedonc qui signe cette destructon irréversible Cetteannulaon des maéraux? Les peres défates ou le

sel jeté à profusion sur le sol de Carthage? (Lastupéante radioacvité)

u encore précisément le retour des animaux?

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Qeston sore es btes ns l vlleComme à lorgne es lnges o commencement es ctés. Qe font les nmx ns l cté ,«Agste vt cotme, mme en ehors esors e spectcle, sl rrvt qon eût trnsportéà Rome qelqe nml crex et mértnt trev, e le présenter peple à ttre extrornre,en nmporte qel le, pr exemple, n rhnocérosns lencente es électons, n tgre sr nescène, n serpent e cnqnte coées evntl plce es élecons. » es nmx spectcle, les

nmx lment, les nmx évstters, lesnmx évorés Éléphnts et rts sège ePrs Irrpton nsolte ns l vlle e reptles,e srens et e mmmfères (l révolton génétqe).

«On crot qe Néron vt formé ne fole e

proets [ . .] ncener Rome et lcher cone le peplees btes féroces, por renre le svetge plsfcle. »

Bsmrck volt bombrer Prs, Molkte syrefst préférnt ffmer l cptle. ébt m

pornce e Chnceler e fer songetl qn repsnmx excenqes conste n préle névtble à l nsrrecon rbne Flsh sr n grollement e vers , ns l brbqe es mtelots Pmin

mgnre es vlles sségées, 1347 le Khn e

Kptchk cee l colone génose e Crmée Ms lpeste sbt sbtement sr les ssllnts Il ne restepls lrtllere mongole q ctplter escvres e solts pestférés à lntérer es remprts

Qe proeter à lntérer ne cté q serépne, corroe, brûle et corrompe fmne ole bombrement es fex grégeos o les rmersBombes H o bombes à neons

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BTES DE FER

a Grosse Bertha 'ère s'ouvre des androïdesmétallurgiques qui enent en collision avec les villes.Tels des animaux monsueux Plus tard, V, V2, mis

siles âchers de bombes comme aunt de volalesbalourds.Toute une zoologie des animaux dangereux pour

les villes se dessine à nouveau. es poissons les rats,les oiseaux. Étude et reproducon du mouvement etdes carapaces protecices. Glissements sousmarns,

rampements ou vols Retour mécanique de l 'anima-lité. Submersibles, nks, avions. Revanche? Commel'inusion, sous couvert des conits, d'une besaltéexclue puis déchaînée.

Animaux quittant l'Arche comme ils sortiraient

d'une forteresse volante. Revanche enn des che-nilles : guerre bactériologique Déagraon zoolo-gique donc Retouement d'espèces. es villesdécouvrent les animaux chassés Einstein et vonBraun. Boum

Début du siècle on se presse de toute part dans

un vilage de l'Aude. C'est que dans une clairière voisine les gens rassemblés sont sujets depuis peu à desvisions. Que voientis donc dans les nuages ? Jeanned'Arc surtout qui pleure devant la cathédrale deReims en ammes Puis des trains à l'intérieur des-

quels s'aperçoivent d'énigmaques formes noiresaffublées de groins de porcs ? Visions ou prévisionsaveugles?

Puisque dès 191 les «visionnaires» verrontdéler, grandeur nature, les convois de Sénégalais,masque à gaz au visage qui montent vers la capitale

de la Champagne incendiée.a destruction, l 'émergence de l' anti »ville la

cité corrompue des animaux Et à travers les bêtes

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oubles lirrupo de formes iversées coloiséeseues à disace. Rêve de Sige?Quarier des méèques quarier des esclaves

quarer des idios . heos. Il es poura des villesdo les aimaux so des seigeurs. E des cerescosacrés à lagiao des aomes.

La Crocodilopolis dHérodoe. Là la ville e serefuse pas à se livrer effroéme cié davalemeagréga de crocodiles la geso des aacos parlusage de labyrihes. Pour démoer que la sucuraio du chemieme es redue impossible :

ces la ville ellemême qui absorbe e se ourriLes bêes so alors peuêe superféaoires . Eleurs mchoires redodaes . Ta la cié safrmedisposiif de déoureme e darace. De maducao. ville des mors e des aimaux Cele desdéesses mères e des serpes. Plus ard les lazares

e les méageries Les cages. Les zoos.Délimiaos cofuses : les poissos das les

caacombes les ras das les égous les abaoirs leshalles les marchés Les gibes à la lisière des villesLes paysas maieus audehors Les baues

Les digues les barrages. Arer e dissoudre

DÉFILEMEN

Quelle mémoire segedre das ladmiisaodes ciés aimales ?

Que reseil de ces délés déléphas de cerfsde bubales dauruches de chameaux de brebisdÉhiopie de cerfs blacs des Ides des léopardsdes pahères des oces des ours blacs e des liosde grade aille? Car e Arago du ecore e 80

la vie sauve davoir voyagé avec l e lio malade quele dey dAlger evoyai à Napoléo E les méropoles auourdhui peuveelles oublier les PahèresNoires e les Idies Méropoliais ? Sufil pour

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mposer sur l'espace roman la grffe de la domes-

caon de lasser succomber par mllers les anmauxdans les crques u se confondent avec l'esclaveou le marr. Stratége probablement nsufsantepour pasteurser l'magnare des ctés. La mémoredu délement ne ft pas oubler l'annulaon en ép-

logue au parcours Robnson foua la recette ansl'ouvrage qu relate ses aventures Lequel précède dedeux ans le «Journal de l'année de la peste » Rapportd'mmédateté ene le nauage et Londres sllonnéepar les rats et dévorée par les puces. Avant d'êe sauvée par l'ncende.

Il est temps qu'un bâment apparelle et coulean que Crusoë reconstue une écnm pqu dusau; sur les cendres d'une cté pesférée. Le ressortde cette mécanque salvace : la domescaon an-male se métamorphosant en colonsaon

Il s 'agt de rendre la cté marchande ndescbleen solant les éléments reproducteurs fondamentauxet en les gnfgeant À la vlle morbonde exsangueenammée mas pas seulement à cette ctélà masauss à celle dont la santé se soutenat de la proces-son et des meures besaux se subste la con

d'un urban pasteursé Électré Aveuglement cal-culé pusque s'y ouble le sens de tout parcours dumons depus Homère; à savor qu'à son terme sedévole une vlle dont la défense est pure fente pus-qu'elle est vouée à la desucon En son fond la vlle

serat percéeUn cheval creux face à une cté. es anmauxdans une arche Les esclaves à fond de cales Lesconvos de détenus. On y revent toujours . . . Ictoutes les vlles sont Carthage et dovent êedéutes Toutes les vlles sont Troe et se lvrent

d'ellesmêmes à l'anmal éangement mmoble qucampe devant l'encente Toutes les forcaons sontdes lgnes Magnot Tou tes les vlles sont exandre

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Rme ù les besaux fnt rruptn. Dmestquésu déchaînés Jullet 1977 état dt un témn newyrkas « la nut des anmaux»

Ans cmment smagner lespace ù déambu-lent Auguste Nérn u la Garde Nanale US ? Unevle? Un ensemble de bâments de mnuments de

ves de crculan? Vre Un espace de cnfusndes espèces de précptans desucces.

MAUVAS SOUVENRS

Un espace de prpagatn de pétllement de lapassn et de la fércté mémre de la pussanceest c exactement cataclysme equel se veut mmé-mral. Déagran dnt lnde jamas ne sapaseu ne sétent. ar enn Smnde nexercetl pasle premer lart de la mémre sur les décmbres

dune masn écrulée ? Inspran denque à cellede agula « déplrant la malchance de sn épqueparce quelle nétat marquée par aucune catasphepublque le prncpat dAuguste ayant eu pur lllus-trer le désastre de Varrus celu de Tbère lécrule-

ment de lamphthéâe de Fdènes tands que le senétat menacé de lubl du fat de sa prspérté et lsuhatat à tut nstant un massacre de ses arméesune famne une peste des ncendes un cataclysmequelcnque » Rme serat alrs mns un amncellement de runes glreuses que le acé mpssble

à resttuer par lequel se superpsent des fantasesmutantes qu s ffrent cmme supprts cruels à lamémre urbane. e puvr dans la vlle mns ungraphe quune dvagan Dnt l ne reste à la lmteque lrdnnancement décusu dune jussance.

e passage en des lcalsans exavagantes Pur-ratn dre des cndensans? «Vyant avec quellefaclté les deys dsparassaent je (Arag) ds unjur à un janssare : Avec cette perspecve devant

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les yeux consentiiezvous à ête dey? Oui sans

doute éponditil vous paaissez ne compte pouien le plaisi de faie tout ce quon veut ne fûtcequun seul jou » Tout compte fait mieux vaut êesavant

ussi des uines fautil dénivement se détou

ne et efuse toute achéologie qui nous les poposesous fome de fades taces : celles dun passé àeconstue

AMPLIFICATION DU CRUEL

ien de plus systémaque et mensonge que celaCa les uines ne sont que des poducons ancipaices Elles ne sont pas des ésidus mais des poduitspojecfs

Dans un jeu damplicaons auquel léconomie

nentend ien À la desucon inme coespondentdes mulaons dispopoonnées Se déplaçant despèce en espèce de matéau en matéiau de place enplace Un exemple? Sil en fut

Tenez u cous dun fesn public un esclaveayant détaché une lamelle dagent Caligula le liva

séance tenante au boueau avec ode de lui coupeles mains de les suspende à son cou su sa poitineet de le faie cicule pami les goupes de convivespécédé dun éciteau indiquant le motif du châtiment»

Poduie de la dégadation : joue avec la mémoie Passe dune dépedition inme à unemutilation pa agandissement de lacte initialuoudhui » un bon tansisto suft Demain »un éseau fea mieux encoe Et la ville se saisitdès los comme champ de uines pasemé dédices

électoniques qui autoisent des connexios étonnantes mpliant et/ou miniatuisant Dissolvantou ésonnant

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La cité s rconnat pourtant iéorialntdans c résau élconiqu d la passion parc quds événnts ins sidèrnt puis soudainntapliés s propagnt Qu ds déplacnts vrginux s originnt dans ds stupéfacons localisés.Onds du rbondissnt où ds tractoirs

innobrabls s déroulnt, t s'indiffèrnt. Sauf àntrr n phas. Spass dont laplitud décrot,ou qui, subitnt, s aplint Mouvnts apurés, xcités ds aniaux élctrisés. Dosticationprovisoir. Cont dès lors accptr un généalo

gi d l'urbain qui n'xhu qu ds axs d jonction, ds points d rpèr, d fuit, t donc dsliits t ds hiérarchis, ds plans t ds chinnts, t s laissr brnr par un stratigraphi quiorganis ls ruins n fonction d'un chronologihoogèn, postulant au durant un tps scandé

par un horlog étalon? À tout prndr, ls ruinssubsistnt, ais co ls jux paradoxaux dan-cipation du futur

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IN) DI) (GEION)

_ !'on sut l chmnmnt 'ns nss . . . t où !'on tou s s, s sptons où l'on ut ntlmnt su spptts c ls tus stfs t ls syntss'mpnt s lmnts qu'ls mosnt où

l'on s pn à suspct !'uns lctonqu'o s mos nos ston, tnspot nt t 'noussmnt.

épderme lécrtre resterontls encore long-temps (le peventls dllers?) ces coffresfortsnvlnérbles q protégeent qelqes obscrstrîtres ? Qelqes condenelles vlers ? D rb-res rclons Ic n ss ps n nérre de

trnston Sésme ovreto. Ntrellement obsret secret prtot se dérolent l polqe et l éro-sme de nson Qel progrmme ! Dont l forcede sggeson résdt en cec qe nos nppréen-dons qe le débt et l n Pr qo l nson esttoors dérobde Prx de lorgsme et d comm

nsme. Doù ces éternels recommencements cesRenssnces noïes ces novelles plosopesPor obler les nérres nmes les sbls détors.

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Polarté sortlège sous forme de tenson entrebouche et anus On ene par la Révoluon o sortpar le Goulag Côté jardn côté cour

Zone donc nappée dobscurté où ene la sourceet lembouchure se déploent les cartes du tendre oude la férocté que savonsnous de cela et de ces géo-

graphes rtuelles qu sefforcent de balser lescontours de ces fores nconnues le see lamenttels des véhcules prvlégés pour nodure et navguer Vecteur des ntérortés

Opéra bouffe pas de deu passon contradc

tore du polare et de lavdté pusque se télescopentlmagnare dune communicaon dgesve enepôles et celu de laspraton : lengloutssementatacf

Crculaton des lqudes et des humeurs par unréseau capllare qu dsbue et répartt ou par

concenaon condensaon lqudaon et enn vdede lntérorté.

Car l reste ben un suspens : et en lgrane dessuctures équlbrées des parcules neualsées desénerges ntenses proprement stupéantes dssua-

dées est vra mas pourtant présentes ; aces éng-maques dancens darchaïques procès deconacon aptes à déposer dans les conguratonsnmes des pussances dnverson. Le nucléare.

Le see et la polque peuvent sentendre en leurmanère supercelle navette et vaetvent en guse

de rencone et décartement ene deu pôles ? Nonls souvrent à la précptaon et lntérorté corpo-relle sert de prétete lle est un recours à la pus-sance en suspens; celle du vde. Sot : labsence. t lasoustracton Sur les runes praques cannbales :

mas sous formes projectves Le creu des corps etleur nvagnaon comme séducon et atacton lsagt ben de ravr d ndure un rêve d nsprer desnversons

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Mas au leu de l'atral lassque de l'atrane etde la pénéaton, en guse de molsaon ou dex-taton à la plae des transgressons ordnares ouexeponnelles par quo en dénve se renforentla polarté et ses ortèges dvers s'nventent des exté-nuaons des dssoluons Cgarettes et automoles

adentées déjà. À terme les ansports ologquesEnetemps sanner et éhographe évental d'unepoographe éleonque Aujourd'hu aluanteDésormas à déouvrr velle pulson sooso-pque le relef le relef enore. Convere un nstanten mahnaton dromosopque l'œl derrère le

parerse et fae au taleau de ord. Tout elasahève dans la fasnaon endosopque Cona-epon et avortement.

a rulaton à l'ntéreur du orps . Propédeu-tque à leur lqudaton Comme l'ndque déjà la

fumée de garette foyer mplosf premer desnendes endosopques. Vor et don annuler :déure.

ENDOSCOPIES

Des ésors? Audelà des portes peute.Mas e ne sont plus des dépôts plaés en des

anques métaphorques e sont des harges mplo-sves. u ne peuvent plus ser de gage N de réfé-renel

Éange onôle des épes renouvelé. Par quo seonstue une géographe essenelle. Non elle ren-dant ompte du déplaement des aravanes ou desnavres mas elle des nérares à l'ntéreur des su-stanes Don en le povre et la annelle. Masansmuées en alphaet endosopque En sgnes

norporales.'életronque du pouvor n'aandonne pas les

traés almentares au ontrare le transport olo

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ique est à l'oe u jou Vecteu et écepteu Plane? Sone Lespace es appétits tel qu'il ominait l'inte

me inusiel, sous fome e systme lobal econsommaon, se métamophose en poblémaquees anspots. Les anspots, là, ne sont plus e po

pulsion, mais e ciculaon inspiée enjeu pou untemps sea 'intéioité, 'injecon, via la éactaonet la sousacon 'où la evenicaon 'une libeisposion u cops, non pas en nt qu'il s'aanitet se epouit, mais pécisément à taves ce pa

quoi il se sousait et s'invese : conacepon, avotement, euthanasie. queson sousacve à temeamplie les manipulaons énéques. D'où une eson en poinllés es vies, es pleins intéieus llese évoile subepcement ans l'impéialisme cinématoaphique triomphant e la ponoaphie et

s'exaspe ans la paque es stupéants Philosophie u rip. Mais se polent ici sutout, sous l'anoin manteau e la méicalité, les insuments multifomes es invesions puis pojecon es topoloiesintenes. ciculaon enzymaque.

Les imainaies u mane ouveont pa ce biaisleu iecte éalisation. Compositions, encontes,télescopaes, inifféenciation e la suface à lapofoneu. À l'ancien tavail e la table se substituent une éleconique et une bioloie e l'inmitéconactée

Stupéfactions 'invesion se évle enn au taves es enophines le cops en son pol éclamesa popension à se stupée luimême. Se énoueainsi l'afnité pofone qui unissait laboatoiealchimique et chambe e totue. Puis ceuxci à

une cuisine Goût e la pice etiée, 'un espacefemé, atance es insuments, ési e pece lessufaces, e paveni aux ansmutaons intéieuesSans oublie le ituel qui péce, accompane et

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tmigne des actes Minue cde frme juridique,

bref langage.est dans cette asphère d'alambics et de cr-

nues d'appareils à bryer les mtaux et les chairs desystèmes d 'enregisement mulfrmes de tubes àdistiller les uides de gnraices à reprduire les

ux et les passins que se prpare banalit l'espacede la science et de la technque. Mais peutêe plus la gastrnmie du puvir nt les nciens semaient tant.

Exprimentateur burreau et cuisinier fciantdes espaces ferms. es places dlimites. Ce par

qui la fermeture se livre cmme cnditin essentielle pur prduire des aveux. Pur que matière etchair parlent. Mais ce tassement cette cncenanne divent pas aveugler. Il s'agit mns d'un panp-ticn que d'un cycln Prpdeutique au bm-

bardement Mins le prblème de la fuite interditeque celui d'un impact quasi impssible Pur lequelil aut rassembler des myriades de precles inmessur un bectif tnu Redndance de l'idlgieRpn acharne du même sus des visages dif-frents angages istpiques Petes varians. Et

tujurs le ferique bmbardement accumulandes rôts et des capitaux. apider apider la femmeadultère. uire par clatement l'lment sr del'rbite blige

Il y a une tnnante rencntre entre le bmbar

dement et laspiran. Cmme si le prcès par lequelse ralise l'absrpn se radicalisait en fusins nig-maques prduits d'insupçnnables prjecnsa pssessn ici est vritablement dsintgran. apssessin ici n'est ren d'aue qu'avalement Purcela elle s'afrme bien diablique Et avec un certain

bnheur. nc beaucup est à revir car le muve-ment par lequel l'exprimentatin rclte etcncentre la pssessin par laquelle le technicien

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xe e possède, sembln bâ un édice qui sbiliseou empisonne Bef l clôue pp comme lcoupue (épisémologique), elle lenée en mèede linmié celle de l science.

Ce nes poun que commencemen Sufcedune ubulence cive p quoi se jouen lesmchinons inees es vlemens es gvions

Cee vse mée du enfememen, ce énomevil de concenon, les voici, nesce ps ésolus dns unives indusiel. Se coguln dns les

ppeils e les pocédues, s exsin dns les veuxde l mièe e des chis illes, usines pisons,hôpiux, siles, écoles, colonies pénienies uene lon ps di énmoins cee vse méepoui bien nêe que pssge : e ces édices oùDieu égi e domine, ces pâles conguions dedéchiffemen e dexploion ne conse quunension ves des ppés uemen plus igus. Unebiologie e une éleconique dévidn linéioié

LA PtCIPnAO D'U ACISSE LEaOCIEy viil ps un ensemble dfniés ene legmmiien e le oonnie?

Goû de lenchnemen logique e ségie deschnes. Clé du exe e nspence du lieu desuveillnce E en deçà : le quesonnemen commefond commun. quesion se donnn commeMU du éci e de l cuué.

uvn des séquences où se pécipien deséponses Plisi de louvete S giil dun pece-men de linéioié, dune voie dns lopque, dune

queson comme inomission? Dune pssion defoce? euêe Mis limpon nesce ps pluô l genèse dun éln pécipiif, dune pssiondbsopon? Moins chiecte sque du me

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qu mpose sa logque pa le quesoeme e

assev pa les époses, que laaio Le quesoeme se ive alos dsposf passoé E asp-a f Au ses où l soppose à la dssémao. l esue des pemèes pussaes de oeaio edaspao Ces pouquo, s deèe le boueau

se ahe le gammae, deèe le gammae seahe auss le géogaphe des dépessos Mse emouveme due opogape des sges mouvas.Laquelle déploe dabod so éseau déoulemeVolà la aso pou laquelle e ea de ou espaedespoque saoe la poosé Espae poeux de

ulao qu sappaee u mome à u déve-so ee pôles (pussaes hydaulques) Semblaehaîe les ux déveme Exode e géode,ae des os, déplaeme de maiœuve, as-humae de populao Soèes ou peuples, d-

vdus ou ehes Poessus de pèges e de gue-apes Das lequel l y a be des dépas e desavées. Mas das lequel auss dépas e arivées sedévole au de hausseapes E où les ouveues so des alles e les oupues des vdes

Poua l y a eoe des débus es des

abîmes, pae que des s so supposées des quesos pépaes pae que des époses so a-pées La ouveaué sea : ue pépao saspôles, des quesos sas époses, ou des éposesà ulle queso Le poessus davaleme : d ques-

oeme e du é même sas queso dsous. Toe sefode, sas aaeu Eselledéue dalleus? es plus d«usage que sa desuo a lieu Toe es dssuadée ou smplemel e sag plus de poe ue queloque aeeMême s la desuo e es lahèveme Mas de

SUSN So : la mo aee au se des ésqu, dsbua des pos odaux omme aua deboes, le log du paous, peme à laao

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de iruler d'aspiraon en aspiraon Bref une sériequi reste bien une série nore Mais il faut se débarrasser de ette perspeve où le ponllé ataf serten quelque sorte de prétexte de smulant en un motde suspense Ce sont es vides mieux que les quesons et les réponses mieux que le jeu des rebondis

sements qui arriment non à une polarté toujoursrenouvelée la produton du texte mais à un saisissement et à une aptaon silenieuse Saisissementet aptation quindiquent désormais le terme générique de NNÉ et le poessus global de SAS.

esquels transitent par es temps hahés et esleux émiettés omme forme même de lalimenaond'un système déroulement et d' inversion Ce nesont plus alors les bornages les points darrivée et dedépart qui polarisent l'atenon mais les intersespar quoi sinnovent des durées de gonement de

dilataon offertes ellesmêmes à la ondensaon età la onaon

Disours bien sûr de la dissuasion nuléaire Undébut une n? Tout ou rien Tout ela est balayéCest la de la gymnasque muslée des quesons

et des réponses de la rhétorique lassique De l'unitéd'ation despae et de temps Ce à quo déjàmènent l'arrestaon omme queson sans réponsepuis lexterminaon et lépuraon

Geson à venir des temps morts Cest pourquoi il y aurait beauoup à apprendre

de e emps méprisé que d'auuns bapsent tempsde la reproduon simple Queste don que etemps antiipateur propie à une suspensionindénie dont se soustrait par avane toute mutation? Et e texte sans hangement? Car ii la fuite

désntégraie est plaée dretement sous la lumièrela plus rue Pouvoir impuissant? Soiété ontreÉtat? eualisaon tous azimuts?

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SIMUIONS NSPERSPEE

M lon plane ae le oeau déoaeudénee e de ne où on enone deélpe e de nane bnhe où on ompendque de op uhaé de ne epen oùlon ne à la oaé de ue e où lone pépae à lel quand le mémoe on au où on enone u le dépa de aya,de éoluonnae e de neneu où l'on'apeço, u le pon d'embaquemen, qu' n ya plu aujoud'hu n hoon n pon de fue npepee où l'on dée pou pa l ne

ee plu qu à éalemen, mou un peu

Dabod l y a le Pett Poucet, ensute l y auraMoïse, enn Freud, Marx, Watson dBM. et lesaues.

Cest que dans lespace du smulacre sera sou-ent queston dobjets matérels produts, pusdéchus, sauf à êre remplacés par quelques sgneséthérés, metes aalées par les oseaux

ra dre, inconscent, réoluon et ordnateursont lrés aux olales déorateurs (les oseaux, lesmssles).

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Et losqu'il sagit de eoue une diecon adéquate, de s'appuye su une histoie, de elee desaces enolés les epes signaléques

Alos allons, faisons un Dieu qui march dvannus ca ce Moïse cet homme qui nous a fait sodu pays d'Égypte nous ne saons pas ce qu'il est

deenu»?

PIVER RAVIR

Consuie un appael qui indique une diecon,

une machineie qui pécde ; une syntaxe du déoulement une mécanique qui aance Une boussole.Le jeu du simulace ici le jeu des appaeillage Capte la diinté. inoduie dans un disposif Puis lamette en banle. En dénitie, oiente Soit enquelque sote, pvr ravr Les énegies moices

ne peuent ds los se disngue des conguaonssémiotques La gammaie généatie ejoint laepoducon élagie la plusalue s'impose commefoce moice Ou comme moteu fomel De là celong taail péliminaie pou xe des stuctues

maîesses, en spécie l'odonnancement en dénila topogaphie antcipation qui se ésume en unrgard méancqu su les étoiles. Constellatons,c'estàdie géoméie signaléque celleslà mêmesqui ofent l'accs aux nomes de oon, puis à aes la loi des pacous, aux postulats su les éolu

ons.Mais ce qui compte ici, dans le pojet indusiel,c'est moins la contemplaon des suctues asalesque le poet démenel den pr nrg, den soustaie la puissance De métamophose la connaissance des modes de ansfomation en pouoi Dedégue les machnaons sémiociennes le tempsscandé en calendie, la mémoie constuée d'obites,la connaissance pésumée des phases de déeloppe

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met et plus eore la PN pour les fodre

e appareillages éergéques Porté par la oaissae d'u déroulemet historique qui autorise labaalsato ste de l'Aeir et pa u saor desorps qui 'offre omme proet que le reoi à lagrille aalytque du passé Et e par péiato,

grâe aux ordiateurs, de toutes mémoires, lesquellesau aers des programmes orgaiset d'rréersiblesehaîemets.

Voilà Commet résoudre l'éergie tout etièredas u graphe? 'absorber das u labyrthe,la métaboliser das u rébus? Et ojoitemet

déuire l'eure éigmaque C'estàdre substuerle pla à l 'épaisseur arquoise des hairs ? L « itérieur» due Vahe Sarée, l' « itérieur » d'ue moléule.

As s' mmoblise prosaïquemet le orps dupaet et ia la ame du disours se délire l'hstoireaue Le reux mploson de l1nnsent1 mploson desatomes.

Aisi égalemet s'exere la furie prémoitoire deMose abattre le simulare d'airai, lirer le « eaud'or» aux ammes Et surtout e mélager les

edres à l'eau a de produire ue « ere » que lepeuple sera oait de boireu este que ela? Sio redre la hair soluble

e l'iediat. Trasformer l'arhiteture haellee parules élémetaires et do géérer u alphabet. Mais u alphabet ioporable : la lague de ladomiao Déroulemet de simulares statuaireet syllabaire. esseel das le système de simulatio géérale propre à la « moderté » résde à peuprès e ei qu'u mode de simulare doit éessaremet pour s'aomplir exoriser, bate, déuire

u ssu de simulare atérieur Pour bérer sa hargedesuie et puis esuite se l'assoier omme usigiat à u sigié. Veau d'airai émietté, idole

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consum, t, n conpont, l'avènmnt ds com-plxs sgnaltqus Moïs s'avanc, l lvr laman drrèr lu, ls scrbs Ls maîtrs du sgndtonant. Ls smocrats.

MCHAIOS ERGIUES

Pourtant cla srat nsufsant s l'èr ndusllnavat fourn ds corps nn apts ncarnr nt-gralmnt ds syntaxs, t dvorr ds alphabts.Synthès rndu possbl par la rncon ntr

machnaons vrtulls t fabrcaton d'ngns Prot qu prnd corps lorsqu ds automats crculnt,ds canards mcanqus dgèrnt, ds têts d fr parlnt. Car cs apparllags matrls n font paradoxalmnt qu coagulr ds nlacs vrtuls. C'stqu'ls xnt ls noons d dupion n mêm tmpsqu d'xcuon D l nanmons un rsqu d paro-d Lnamnt d'un problmaqu nsolnt d lasmulaton gnrals l doubl lassant tanspa-ra son vd dsuctur

Pascal J t conur . . d n pas ugr d vr

tabls ognaux par ls poducons mpafats d latmrt t d l'gnoranc ds ouvrrs. » P pour lsmodèls À l'aub d la smulaon gnrals, l's-pac matrl » du smulacr ncros la am pr-cdnt d smulacrs. Non sans hurts, n grncmnts La transfuson du vd mplosf st unopraon dlcat

Pascal ncor n homm st t par la tm-pêt dans un îl nconnu dont ls habtants tantn pn d ouvr lur ro qu s'tat prdu Ayantbaucoup d rssmblanc t d corps t d vsag

avc l ro, l st prs pour lu, t rconnu pour cttqualt par tout l pupl . . . » Mmor d l'ordrsoudan nglout. Amns Ps, duplcata. Masalors où st la machn vrtull t son doubl mat

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iel « ue diiezvous de ce homme qui auai ééfai oi a eeu du eule, s'il venai à oublie ellemen sa condion nauelle qu'il s 'imaginâ que ceoyaume ui éai dû, qu'i le méiai e qu'il luiaaenai de doi »

acuaon ene deux cos n'es donc as ici

sans dange losque le ee coucicuie lemodèle C'es ouquoi il y a un scandale des machnaons viuelles, un cecle vicieux de la simulaonui semble s'éeinde ou saaise dans les ês nomalisans du «fdback» Sauf à considée le fdback liéalemen comme un aé qui se eou

neai su luimême Avec cee alimenaion eneou, ces le cos qui se dévoe luimême Canceen quelque soe

E sans cesse : manducaion aéi desmachines consommaice de gain comme le

canad de Vaucanson ou de données comme lesodinaeus ese à 'œuve Mais au ieu d'êeenue en esec, cee faim se oage ou d'abodclandesinemen a le bias de machines viueesocculées : simulaes idéologiques aux onaliésvaiées qui énèen e meuissen la chai

sociale Sucue d 'englouissemen cémaoiesaffamés Tous Nois Des oiseaux, e des oges Cade elles machinaons son imivemen ombrsoées E d'abod en ceci que la édicaon meuièe es celle des éclises C'es l'ombe des signes

qui fae C'es cee ojecon obscue qui gued'abod l'annulaon d'un ou noi

CLIPSES ET TROUS 05

Jeu d'ombes e d'obscuiés, de saisies e den

glouissemens que écisémen exloen si malMax e Feud E mieux euêe Evans e Schiemann losqu'ils découven Toie e e abyinhe

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Exhumer des structures ensevelies ourquoi?our dessiner à parr des ruines les schmes despoques qui détermineront l'avenir. Et ains établir unesyntaxe universelle; exactement : onder le uturFouiller et planier

Et pourtant tout est ouble dans cette archéologie du savoir; et déjà cette prétenton à exhiber lesressorts sucturels qui uniraient prétendument vesges et villes inconscient et corps inasuctures etsupersuctures

ruine éclaireraitelle la cité comme le signiant

le signié et le réseau souterrain les résurgences desurace ? Ficon mais toujours recommencée qui liela Fondaon à l'Empire

Ficon estce à dire simulaon? Non; au mieuxici ombres chinoises. arce que la solidarité qui unitces sates n'est nullement le ait de mécansmes intérieurs de magnétismes et d'attractions mais auconaire la dérivaon d'ombres portées.

Encore une ois ce sont les éclipses qui donnentraison pouvoir , aux maîes du calendrier.

C'est pourquoi une généalogie des mutualités

intimes ou une sagraphie des couches et desdépôts ompent et simulent une ormidable mécanque interne, là où des agglomérats ne ouvent leursens que dans les projecons d'ombres extees. D'oùla oublante complicité ene les miroitemen de l'inconscient et les chatoiements de la valeur d'usage

Bien sr il y a une cle à tout ceci et elle se ouvebanalement dans le « ompel'œil » c'estàdire dansla planicaon du regard Dans le simulacre de perspetive.

Travesr la platude soit invesr le plan d'une

oisime dimension Et imaginer imager undéplacement intérieur Un parcours en proondeurUne mécanique inme e regard peut s'avancer. uiaussi ui surtout.

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Sinoduire ; cest ainsi que l œi connaît Gissant

de lan en lan de couche en couche. Cette énéation icturale conduit à un seuil ou à une limitecelle du simulacre à même où la trame de signesrend en comte la queson de léaisseur Voici lecors du San Sebasan de Mantegna aversé non de

èches mais de regards. Et ce cheminement de lœilà avers les chairs nestce as lui qui constue unfacteur sagittal dagonie? Une roédeuque à lengloussement sur un esace lan

ui conduit à sentir ceci à eine advenusléaisseur lane ou le cors numérique tous deux

concrétions aradoxales exirentOr ce qui s avance audelà même de lindusia

isaon cest l'irrésisibe digiasaion des cors ; lavertissement est clair lavènement du numérique neeut sentendre que sur fond dexterminaon coro-

relle eu combiné du signe et de lévanouissementSigne du tems les mones molles ici se dissolventPressentie déjà dans la sérialisation concentra-

tionnaire Puisque sy anticiaient exérimentalement la numérisaon la concenaon et lextermi-naon

LtER6E E CRISE

Progressivement les machines hysiques les disositifs énergétiques disaraissent; ainsi que leurs

efuents les organisaons vouées temorairementà agglomérer et à raonaliser les forces de travailElles avouent enn leur fonconnement chaoque etrévèlent leur inefcacité caricieuse Se survivent-elles? que simulées articiellement ar injectionexterne ou onçonnement interne ou encore cou

lage. Mais en déit de ces théraeutiques de fortune la con dune rogression saluire ne arvientlus à simoser Comme il serait aisé de ne voir ici

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que les néluctables effets de la basse tendancelle dutaux de prot! Et réconfortant de conserver l'magnaton d'une mécanque défectueuse certes masrécupérable; une fos remplacés les organes ou lesrouages usés

Non la fallte des organsaons la mse en crculaon de processus dématéralsés le congédement de l'énergéque humane et enn l'nvesssement sur des automatsmes et des sgnalétquesdvulguent un panorama auement perurbateur yscntllent les agglomérats numéques les logcels

ene aues) les machnaons vrtuelles les réseauxpeutêe) les énerges nversées les données Ennles suctures d'absorpon

Auement dt mécanque et thermodynamqueont fat leur temps et les apparels énergétques sedévolent processus et moments parels : en sommedes parenthèses

es machnaons vruelles ossature de la smulaon, vennent pendre le elas reouvant en par-te par alleurs l'nspraton des formes prénduselles De telles machnaons sont d'attracton de

séducon dabsorponCar l n'y a pas usure ntee dégadaon enope mas ben mse en cause et naufrage de l'essenel usque sont attents les ponts de fute qugarantssaent dans le cadre des perspectves undéroulement sans enaves

Scandale parce que s cette géomée nduselles'effondre s'écroule également toute conguratoncrstallsant des asceaux engns organsmes et pou-vors

Alleurs émergent des sémoques réculées des

mdia, des réseaux des dstrbutons d'énergesnverseson donc du paysage marxste où opéraent des

équvalences se renconent des émulsonnements

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des rojecons, des mnarsaons, des agrands

semens, des zooms. l ne sag ls de rodre,d'arcer des échanges sr des sages d'accocherde noyax ncorrbles, mas de se enr dans descongraons de dlaemen e de rérécssemen,dans des mallages éclaés, anssorsés, lqéés

Voc les ordonnancemens, les osons, le esrcré des abscsses e des ordonnées, ords,snon volalsés ar des conracons e des dsen-sons.

Donc des rédcons e des hyerboles E desrééons le même ndénmen modlé en « bs » .

Mémorsé en n esace nnésmal o rojeésynchronqemen e nversellemen Mcroché-saellsé

ZOOM E YCHROE

Pls d'avancée, de rogresson. De as en arrère,s en avan Mas des dsensons, des os, deszooms. Sodan lère de la smlaon s'évelle srdes lasmas dfformes, des blocs nmérqes, desréseax commés, des mémores blleses asers

e mcrorocessers.E les qesons lancnanes sosjacenes à l'ar-

checonqe classqe d smlacre se reosenMas alors sans ernence : qel axe s'offre ororener ces agrégas ? Qelle synaxe les ordonne ?

Qelle srcre les nnerve? Enn, qelle lngs-qe les rég?Ah ! Rerover des ons de fe ! dener les

clefs de voûe ! Exravagance : ls fon défa ! l nesen rove as dans ces cohores sgnaléqesq'anmen des movemens erraqes, séclafs,

q nvesssen de srrenans sancares ons-an des grahes nconnes e déconceranes Neenan ls come des coûs de délacemen se

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rant des ajets imsés, des vies bligatires. Cris-tallisant au cnaire des axes éhémères des intsde cncenan cnjncturels, des rythmes ansi-tires

Ces ulsatins amrhes le lng des réseauxulvérisent les cadences et les temralités rres

aux simulacres anciens des éuivalences'écnmie en erd sn latin car c'est l'éra

tin déterminante de la rductin ui se truveainsi déglinguée le tems unifrme laisse la lace àdes temralités différenelles e avail, le cail

la technlgie la marchandise n'agnisent lus ensynchrnie. Au cntraire, sans cmmunin leursmrts indécemment se distinguent Et deviennentincmables

Bits ui meurent à eine générés Centralesnucléaires ui n'en nirnt as d'agniser. Cnsuc-

ns d'éternité chabitant avec des accidentsstuéants.

Bref la destrucbilité différenciée des surtse simulacre caital d'un esacetems unifrme

se dissut dnc sus l'inuence irrésisble des dis-

crdances, des incmatibilités des différencesDéuacan accélérée du avail, bslescence dessavirfaire et des techniues Accélératin, décélératin de l'innvatin ui terrie tute lgistiued'alican

Et dnc des embalements cextensifs à des gels

des stagnatins et des ramements unis à desinans, des envls. Des stagatins ui laissentl'écnmie classiue interdite

Cmme ils snt lin et l'esace et le tems uni-frmes, et la tiue récnfrtante de l'incnscient,

et celle de la marchandise es vici démanbulés . Car i l n'y a lus ur lesmaintenir la cn d'arculatins mnumentales ui u'en rêve une linguisue mièvre et arce

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qu'écatent es unives démupiés es simuaons

es diffacons qui endent caduques une patitionou une diaecque égée du simuace Ni doue tinité Pas pus de suéaité que de suéaté, desynthèse à adveni que de dichotomie oiginaie àexpie onc pas de éféenes maeus qui vien

daient gaan une amatue, un soutènement, unedesnaon et un etou in de tout cet atai suc-tuant.

achitectonique asque et distendue de a simuaon sans pespecve émege et ne connaît pas defontièe cef de voûte et point de fuite audeà

desquees sétendait a ee Pomise des Réféences des gaanes et des assuances assuancen'est pus quun conat anaisé pa eque e matéie accidenté est empacé pa des signes compensateus.

es imites ici sont des simuatons aussi. esnéueuses asyntaxiques.

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NiBULEUSES A·SYAlUES

•l'on non, à l'nsa ds saus, dsnus asynus où l'on ompnd qu'llson abandonns pa ls sau où !'onappnd qu'lls son ls ms nouls dsuns, qu'lls papn d l'uns dsdbs où l'on ul dans un h dans lqull pouo ssn s adusn n oom où l'on squ à ou nsan d sub ls sd'un onnaon ou d'un duson nandus où l'on pass du mo au mao dans

ds dhmns ds mplosons où l'onobs un Ch supêm, un dssdn unmopossu où l'on s'no su qus ou là ona du, mnaus

ar cne sélèvent exaspérantes des nébuleusesasyntaxiques Ovni lanaiers bien que passésd'abrd inaperçus ne puvaitn pas en supçnner'envl? uisquavec la cnstun des réseaux les

mda seuls se uvèrent en état de métabliser leslanues : Mdum sMssa cmme n dit. han-ement maeur naturelement : que les md sient lesdiscurs buleverse déjà. Mais y a plus.

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Car que deviee les coeus? Ouliés e

somme comme si par le surivesisseme desquicailleries de rasmissio u espoir avai éécaressé celui de rerouve là les srucures arduesdu récoor. Il empêche que caimii des di-usios sigaléiques séchappère mais orphe-

lies morphes. De elles éuleuses asy-axiques (puisque la syaxe seuls les meia laxe) cosue des magmas do la aure e lesees passe ecore pour érageés Essaimsexceiques au avers des écras ivesssa desespaces sociaux des errioires le corps malade la

amille lécole quils paraisse désosser démemrer ou éoer e aurager

Ce es rie de mois que lordre orhogoal dela duplicao de lechaîeme de la plaicaoqui es ici déposé Par ces zérures isigiaes.

E quelque sore la «produco mais ici hyperproduco ou hypoproduco coviedraie mieux- un champ e une Eèreme suuré ragmeépulvérisé ruie comme projeco du fuur aisaeio ces vesges e seraie plus les garasdue orgaisao aérieure des simulacres E doc

i des idices des races ais des ruies qui edésigeraie rie qui e sarculeraie sur rie. esmiees déiveme magées par les oiseaux. Desoiseaux ases Nesce pas dire le crépuscule mêmedu simulacre? Puisqul e pavie même plus à su

siser comme lécume due polique.

LES DtCHR&ES DE SIGNES

E quil disparaî quad advie la simulao.Ces quavec la sulao gééralisée il e peu

plus y avoir de représeo. ême diorme ou dis-ordue Le rompelœil a ai so emps il savouee lulme hommage cose à la ouepuissace

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d'u œl avisé Plus de Sa Sebasa aversé plus deregard e reour sur l'mage défomée du pee; plusd'auopora das u miror covexe

e corps supplcé du marr pas plus que celumarrisé du ableau i la oe mulée par la orsosubile des aamorphoses e pourro désormascoer la ouepussace de l'ordre du regard œls'effre e larmes e débrs auss l y a déhe

Ces ordures semble be êre le propre desébuleuses asyaxques Pas de aslao possbleee la lague d'orge la scure de produco

la syaxe de géérao e le résdu pollué Commes par prélèveme ou déacheme s'opéra ueapohéose des déus

Voc la polique des relques qu s'effodree de re Ce qu fa beaucoup Car les rogurese peuve plus servr de préexe 'amése desdépôs prmfs rue déveme les baquersque fure le prêe le marxise e le psychaalyse

mpossble de recosre sur des fragmes que so pas des dces ou des reses as des « producos dreces C'es pourquo le faas produc-

if umême ce dsposf à géérer dscrèemedes reliques s'esompe fce à l'uivers amorphe oùse décharge le résduel

Voc ce qu se ouve c rems e cause l'hor-zo où les liges se forme e fasceau le po defuso qu perme de prévor s que la mémorequ les garassa cele qu assoca rue à oédsparue mas recosuable Sa Sebasia emourra plus le dos collé à ue coloe ruée

ME DES EMPORA*SOr les ébuleuses asyaxiques les éhers desmulao so des rues d'aver E doc assass-e le emps du dérouleme Avec ces déches se

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dtoent pvson et mmoe se dsoquent es

soussements gmes de toute poduconCe fut soupçonn vec es noons de temps

hstoques dffentes, de cyces de coute ouongue due? En tout cs s cette nteogtonpput ee fut vte ye p scsson ope

ene synchone et dchone Coupue cutston des pus efcces pou empêche de ss'ngme des temps synchones

C'est que synchone constue e fntsme de toutepussnce Le despote eouve s' 'vts pedue) c 'mon du thocen uncteu

L toutepussnce suthene comme êt sue temps Temps suspendu Écpse Rvge synchonque (smuce d'cpse) Avec AssuusQu'u même nsnt en tout pont de 'Empe ceuxà soent ms à mot

L synchone nvestt ncessement e smuce dns mesue où pussnce êve de sonexecce (sous e Msque pus ou mons vetueux etustèe du suctusme)

Ee e qude e cpte e xe en un et mthodque sous es ts du mo d'od noe pe

me mîe dst Vnc Le c à ce 'encdement Le pn Ms voc que ce qudgepodut une dsoncton cptnt à son pot unecouche seuement Lssnt dsoms e chmp eà 'envo des nueuses syntxques

COSOMM S Fi

Ans en est de soct de consommtonEs de socts tottes stnonzes c envsàvs de espce de poducton sonne un

the qu n'est pus ceu de desucon de suetspoques ou etnques ms des oets eneu decette mooge des mchndses? Ee s'fme

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comme fondement modenste de toute simulaonaod il nest as innocent que la consommaonse éveile suctuée comme un langage s los laglose eut adveni glissant avec voluté le long descoesondances signaléques Cest que les énegiesne isquent lus de oule uisque les aéts lesfaims sont étendument ésoés su le eillis dusystme de consommation Comme la ofondeulavait été écédemment su la toile du eine

Retou aaemment nexugnale du tems ui-fome des équivalences des unités disctes des a

culaons en cascades En fit iomhe de comédielhaet mose de la consommaon secondevaiante de la numéisaon généalisée tele quellesalique à la divesité des esaces et des chams.Max I.M Feud? Pas encoe mme si la ogessionsemle omhale des machnes sémoques es dis-

osifs dencodage. Machne de Tung tous azimuts.Rien néchae à la signaléque uveselle. Tous

les chemins sont onctués de cailloux lancs uisde miettes ivent toutefois les oiseaux.

DES &RUMU SEStS

O des segments séciques soudan shyeo-lisent Les liasons codées sont suitement omueses amaes anchées voitue sutout lannonce a le allet sacciel où elle se manifeste insument

de utue daccident déclatementMais à mieux la ale nestce as là le lot de

toute machandise? Se déchant des enaves sémio-ques et a imlosion coution détonationexotant le simulace en foncon duquel elle a été

oduite à savoi mime sa oe exténuaon vesles cos voyeus euxmmes Les coomant lesdéchant en etou sinon en étosion oque. Ici :lassassinat du eine dans un mioi convexe

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Il fut donc en conveni l'megence de nues a-

smioques n'est pas un lâche de mièves volales Une fois les miettes de pan manges l e Pet Poucettombe su l'Oge ous etouvons au bout ducompte cuieusement des appts on : Tout n'estpas consomm Auement dit les constellatons a

syntaxiques petubent inniment les stuctuescodes qui ptendaient les maîise dnivementsans faiblesse ni intesce À tot

Et donc les statgies qui s'amocent commeautant danticipatons ou de ponses laves auxoubles asyntaxiques ne peuvent oublie la faillite

iniale des modèles sucuaux de maintenance

CORLES MALLS

C'est pouquoi s'innovent des inteventions

modulaies des maillages souples des hizomesdes mulsons enn des manipulations en temesd'hype et d'hypopoducon Pojecon d'un sujetinme qui s'hypebolise pa le biais des media.Attentat su un fagment insigniant du seau ; quidès los se pojette dans une epoducon giganto

machique Moins la epoducon que le zooma guee que le dtounement d'engins en vol espacules ainsi zoomes s'enent ou se conactenteu temps intee se mtamophose Elles devien-nent edevables d'un nouveau seau Ou ben

gession invese Miniatuisaon Isolement paducon D'un côt la pojecon plantaie via sa-tellites de l'aute la photoimpession su l'espacepustuleux des micopocesseus

Deux seaux mais dans un cas hypebolique etdans l'aue suconcen Mico et macopoduit

D'où une satge qu neualse toute nege nese fant plus qu'au jeu des signicaons pano-plie instumentale espant peutête son salut pa

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maipulao terroriste u ses Mais 'u ses isumetal risoire, excessivemet rar puisquecelui e la oulisao. De l'aulao e l'usageAuemet it, le focoemet est ici propremetl'absece e foctioemet et le « bo usage », laeutralisa e l'usage a bataille 'est amaisqu'ue «obataille».

Il e coule ue iffreciato e l'espaceee plages criques et plages e passage, ue isibuo moulaire es ressources et e l'absolueobligao e se teir à u coe smoque as

paret aux protagoistes. omiao (mais estce as so egeremet traitioel ou à as ue cote fatasmagorique mal taile? e s'ete plus ès lors qu'etermes e aiage et e submiimal

C'est pourquoi le pouvoir sous le visage pyramial 'u cee, s'afrme sas puissace. revacel'eure est veue 'ue polique es rseaux C'estque le rticul oue sur es frqueces iimetplus peretes Dès l'istat où l'espace est parcouru e iaspora asytaxique

Ce eu? À savoir l'itgrao sytque, la mulcommae, la subso ise e aues,bie teu es critères aitioels e pouvoir'ot ici plus roit e cit Impossible e reprer ueistace privilgie U poit e fuite, ue clef evoûte (i cyce roaf, pas e roue, pierre maîesseet es textes iciffrables [coex] et es citsumriques, et e ouble alpabet. t ue pluritemporalit. t la grao itee es exils.

LE POUVOIR DISSOLUt quelle motio si l'istace u pouvoir ellemême se ouvait prse as ue rive asyxique.Das ce cas il faurait cosirer l'tourissat a

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vail des scibes, des scipes, des jises comme

ne enave désespéée) d'enacinemen, d' encodage de la pissance, de mainenance on pas do comme ne idéologie expessive O n sim-lace mensonge ; mais comme aan d'aês, d'a-êés se donnan po foncion e vocaon de

péie, en l'enegisan, n pocès de déivaonExacemen n poin de fie insable C'esà-die ne opiqe de dissolion L'ineface où lasce o enièe modelée pa ce poin gage-gagee dispaa Telle la pissance ici se pésenecoe émlsion insable À la mese d'ne sociéé

bisée isq'a poin de fie se econsen lesjex de la dissolon

: q'en fil, q'en esil, hos chonologie, dcle de la pesonnalié?

De ce simlace de la pissance aocaiqe

o enèe nealisée pa l'appaeil qi la conse e o enièe disponible s le poin de fie oùelle campe Enn os les chemins mènen à cepoin, c'esàdie : Rome Mais « Rome n'es plsdans Rome, elle es oe où je sis » l fada pe àpe s'en convaince, le povoi s'offe ainsi dans

d'incessanes méamophoses l es o saf neinsance péiée Mais il pe êe cela assi Ole povoi odinaie n'es qe la clef de voûe géo-méiqe des congaions possibles D'où l'impoance d déba s le géocenisme o lhélio-cenisme, les obies ciclaies o ovales, lessphèes, le socialisme dans n sel pays, l' inenaonalisme, la saégie de on o elle de mlpli-caion des foyes ao il n'es qesion qe depoins d'appi oilà qi e s clai Un poin pivilé-gié e n levie po qe s'afme le solèvemen d

mondeToepissance d poin d'appi, oepissance d poin de fie, oepissance d'ne géo

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mie de la cnvergence i y a une desnan, unen, un crpuscule Mais lrsque liseau de Minerveprend sn essr, ù se prcipitetil sur les mietteslaisses par le Pet Pucet Trp tard Car si l ner-gie du sulèvement dprit, et celle du dpacementaussi, cest que lnergtque est en vie de dcm-

psitn Les ntins quelle prduisait naguère servèent frmes specales Mais à dfaut de Max ude Freud, purratn faire ses eux avec es smi-crates Prbablement pas en ne va plus la smi-que se uve prise à sn tur dans un tat de dla-

brement à peine plus enviable

L SUSPESID

DU SMULACRE A L SIMULIO

Car enn en passant dune mythgie à une

mysque n na fit que substuer une grille dana-lyse à une autre Que lincnscient et les marchandises sient sucturs cmme un angage mythique u nn , après avr t nmms cristauxde frce de avail, ne fait que cnserver un schma

disbuf et arcu ù e puvir gmique restela gure dcisive Or le système de simulan, celuide la nnbataille, de la nnprducn u du nn-dveppement est un système ù la langue na quàdre sa prpre extnuan, et ù le fncnnementse dit dindiquer sa suspensin

Alrs se dcuvre la frme anachrnque du smu-lacre Max, Freud et les aues dans la mesure ù est une raducton, ù il est leffectuan, la anscrip-n, la reprsentan Une parle même trdue udistrdue) qui rend cmpte ui rend des cmptes

simuan, elle, est tut aue parce quelle estannulan de tute effectuan Absence de lexercice suspensin

Frce de dissuasin

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l faut ponter c le jeu entèrement renouvelé

dombres portées quune telle topque du suspensprojette

Les groupes asyntaxques émergent sot lés parune grammare plus archaïque, groupes régonaux,sot portés par des conguraons enèrement org

nales Agglomérat sujets Prélevant les spéccaons qu les constuent dans un brcolage arbareClasse dâge ou/et sexe, défalquant des déologes,des fragments exotques, hstorques Apachesurbans Une résonance peutêtre avec le balsmeexplque pour certans lattrat en retour exercé par

les socétés prmves Référenel asé à ahres sucturaons pyramdales avaent pour voca

ton de produre des sujets socaux, pus des objetsconsommables par commutaton Hé ben, cela afall auss, l y a détachement, comme une peau qu

se décollerat de sa sucture osseuse et se ouveratexcentrée En suspenson Conarement à unevson fonconnalste qu propose un modèle dntégraton mécanque et donc une économe où lesprojets, les mages, les condonnements et les sucres séqulbrent et s encastrent (Encore une fos

lespace socal est c tout enter uqué comme untableau) Se jouent les modulaons du suspens ,des nébuleuses asyntaxques sont générées là ellesvolgent, séchouent et ne ouvent pas de leuxnaturels dancrage

Que serat alors une satége normave? Celle dela technéonque tsser des ames, constuer desréseaux. Ne pas magner le pouvor pussant parpussances dnterventon : pur smulacre usé quecec Mas lancper dabord comme smulatonDoù la mse en place dun trells propce à des

déploements vrtuels satége de Pénélope Sansle retour dUlysse

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MÉAMORPHOSES

- lo e oe

Donc il n'y aurait mêm plus c simulacr détrminant qu'st l tmps d l'attnt mais reroviede mémorphoe

Puzl qu travrsnt cafard châtau colonipénitnair Palais d'éé ou d'hivr Ds brums dsscalirs u loin la muraill d Chin. u toal : ds

ruins Ds ffondrmns. Ds catasophs. mémorphos parl ls tmps nmêlés . u d métaphors uant d confusions Tout st làMais proprmnt disséminé. Et pas sulmnt éclatémais prs dans ds échangs qui s rint d tout économ d ou dialcqu d ou poiqe d im

cre.À ct égard l simulacr indusil rfoulait agrs

sivmnt ls métamorphoss vc lui iomph unproblématiqu cll ds piègs Et d'abord dspiègs à rgard Chausstrap tromp l'œil u

croistu voir lorsqu tu contmpls un marchandis? la valur? l'équtt? T voilà déjà trompéCci s un oculaon d avail Pouran opaquRin d moins Rin d plus

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Dégradées sous le rège classique de la dissec-

o et du simulacre les temporalités mulormesCar lituio des histoires éclatées coduit à perce-voir des corps isbles dot la costuo commela dissoluo apparedrot à des temps dispersésOvide comme Russel. Et Dick aussi.

o seulemet le temps deviet rela, mais lescorps coaisset des modes de destructio dié-retiels, des ormes de recoaissace trasitoires Traectoires isbles doc que celles du chasseur, dela jeue lle ou du cer; portés vers les déormaos,portés vers leurs méamorphoses Selo des rythmes

à eux seuls pareils ; parcours e des temps icompa-rables Élecoique de la passio. (Actéo Myrrha)

Les mémorphoses seraietelles la presciece dela reaivité géérae ? t la relativité géérale de leuraccomplissemet?

Rie de plus réti à l'histoire. Rie de plus iac-cessible à la mémoire e t qu'elle est par habitudele souveir du déroulemet. ie de plus résist àl'aveir

VIEILL FACE U MOLes mémorphoses sot des rémiisceces para

doxales des temps mêlés. expressio due écoo-mie où ces temps vibret sur les corps, ses ormula-os et ses asormaos Se matérialiset e des

chairs capricieuses Parcules déagetéOr les villes sot ces chairs relatives Le chevalvide recoe la machie destructrice et le miroirstockeur e visage d'Héle, vieilli reété.

Estce à cet istat par vieillissemet queluicatio deviet possible? Et l'histoire? ar

dépit? ou ressemet, lassitude. Que le tempscoule doc Mais das u ardi où y a deau quede pierre

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Un miroir apparat qui stabiliserait les images une image Une femme âgeDes miettes de pain que ne mangeraient pas les

oiseaux es becs arrêts par un Verre es reets sontindigestes t le Pet Poucet quant à lui, ne risquerait plus de se perdre l a dsormais en main unecarte t ce miroir xe) de tout trajet au lieu de seprêter aux clats vanescents devient l'auxiliaire dusble

Ainsi ce miroir rîre insinue la mmoire uniired'une main le discours qui s'ordonne de l'aue les

images qui impressionnent ClicclacAuement dit le ux syntaxique le reet ordonns'arculent sur des prlèvements de lieux des fragments d'espace Des venements

N'estce pas là aussi ce qui est en eu dans le pas-sage de l'idogramme à la notation alphabtique ?Mais attenon à la rsurrecon des images

Cit iconographe ville alphabque

VAMPIRE ET DÉÉGLEMET

es prtenons autocraques du miroir c'estàdire la geson norme des simulacres ixes stablescanoniss Cette geson bute cone un lment mar-ginal qui l'enave et la caricature les vampires cesagents des mutaons charnelles ne sont sourcesd'aucun reet Alerte lorsque le Double disparat

Cest pourquoi les vampires aiment les villes e vampire tmoigne comme vesges des mta

morphoses Rien de moins structuraliste ni lesbonnes manières de ble ni la disncon ene le cruet le cuit le sang seulement et au avers l'lment

sanguin, la nourriture et la faim toute autre choseque la cuisine signalqueCondens dans l'paisseur des villes tapi au sein

de leur conomie morose le vampire attend ; la char

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humaine en tant qu'elle n'est pas qu'un reet la

séduon 'atrane le rapt les enfantses illes sont les faorites des métamorphosesElles témognent en leur pro même des temps

singuliers. Elles se dérèglentes despotes n'aiment pas de telles illes. ls se

ruent ers elles. Pour les hâer les araser.Brûler les illes les inendier les pulériser leséleoniser.

ille ii se moque de l'uniersel; et d'une his-toire unique. Elle présente dans sa stratiationmême la marque du multple du relatf Elle est

omme ansparente aux métamorphoses .

CHASS�

enons l'art de la mémore omme une domes-

aon de la besalité urbaine le aail impitoyablede l'arpenteur sur les leux.Solidariser un parours un déplaement à une

syntaxe rhétorique à un disours Déambuler depièe en pièe ene les guéridons et les tables s'approher des lits entre l'agonisant le médein le

sariateur et le notaire et ne rer de ette géogra-phie morbide que les oordonnées néessaires à labonne marhe d'un énoné éange.

Qu'importent les morts au banquet si Simonideou IB.M. peuent ouer leur nom et plae Quim

porte le sang lorsque la taxinomie triomphe. Etpourtant les métamorphoses disent autre hose que temps et orps préipités préleés hors desnormes de rangement sont plaés dans des turbu-lenes énigmaques Il suft que Myrrha désire sonpère qu'Atéon déisage Diane . et tout se re-

toue. première ansformée en arbre 'aue en erf

sèe qui pleure la hair en pâture

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à encore les vies; impériles insolentes puischssées déuites rvgées ui dir les temporlités propres ux villes? eluilà reouver les mod-iés et les nsprences des métmorphoses

Or ceci e temps impérieux de l mémoire nenveut plus issiper l ville lge Globl puis ité

Éleconiquee chevl de Troie échoue dns un musée ou

dns une bibliothque ire? dns un livre emindns un réseu commuté

e temps qui ne connît que le dérouement ce

temps nest ps celui des villes'est celui qui u contrire les submerge c'estle temps des déluges Ainsi Vinci terminetil sesconseis ux peintres pr descripton dun uxrvgeur Suve qui peut le temps diluvien seul estporteur dune ronlité impérieuse cele du dérou-

lement e ronnel est ici inondon à lquele rienne prvient à résister

Tout sombre Suf .Or ne prendriton ps vooners ce ux univer-

sel pour celui de l mémoire? t l'Ache ne seritelle

ps l grille minimle des relons permutbles lsémioque condensée et pourquoi ps le code généque minimum?

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ORAGE SUR OCÉAN,LA PLUIE SUR LE DÉSER

Il leut Cachn ou tyhon eu mote mul-tude et comlexté oae su l'océan la lue su ledéset Tonade et maée de snes nos éneedélabée us la ussance de détonaon nfusant en

cohotes de acules banalsées Quelle mélancole alos Voe quel déseso!Sans Éasseu sans Oent sans Suot

Et outant au de ces acous oementdésabusés qu se découvent autant d'émédablesdéoutes ! PON0ATON DES RAVSSEMENTS. Au é

d'mévsbles encones de chocs aléatoes Bef!'M JUBiIO U TÉLESCOPAGE.

Voc l'Oe et la Soce la Tou Infenale et laGande Panne Tout s'étent un nstant Pus se al-lume et vaclle encoe

ascnaon des vbaons et mae oscllatoe la délectaon nouïe des mésesAns s'évanoutl le Gand Pojet à l'oée

duquel lensemble des acés se devat de condueComme s'l s'état en somme éclaté dans la découvete momtue des Pets Sos

Il n'y aua donc lus de n de Céuscule etatant lus d'oseau de Mneve

Ou lutôt s : mas le loud volale deus lon

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temps déjà, et maintenant pur tujurs, plane. D'unvl insensé Sus les aits paradxaux des engins dedissuasin

Inule dès lrs d'attendre sn essr Plus de salut Et sus l'mbre indénie de ses ailes le egard

aveuglé ne parvient à saisi ue lamnceement dérisire des énergies inertes et des signes annulés

De ui s'agitil désrmais des mémrphsesDes variatins innitésimales . Des jeux exuis pardéplacements inmes Réacn et inversin.

ue de rires alrs par saccades et déagratins

Changer d'rbites et de frmes accélérer et ralen.Glisser le lng d'avalanches minuscules Ou géantes.Se fndre et s'échapper Régressins et surires enrafales

Charmes du fnduenchanéEt ce passé ui se prjette dans l'avenir cette

cnfusin éturdissante, ui, du futur mme pésente déjà les ruines, uinspiretil sinn lannncede vluptés bliues par curbure et rabattementPar calcul et sustracn Par pulsatns Oui : desjeux inédits. Au fnd, à l 'instant mme ù l'espace

tut entier bascue pur s' enguf&er en une aspiratin avide l'étnnement d'une multude de variatins, de distrsins et de dés. Les vagues et lesdunes, cmme autant de plissements et de retadsirniues.

Ainsi, de biais, face à la mbilisatin, à lattrac

tin, à l'absrptin vaces le sudain dun détachement, l'instantané d'une inversin. Mins ladérive u la fuite ue la dévian. tanspsin métaphre. e zigzag.

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T

CCOSCES DE HUBER O

EISSEMES

LES DES DU EML. où l'on encone 'n côé la mnaaon, le

mcoocee, e le manon enymaqe;e l'ae la navee ale, la bombe à neon ..où l'on vo qe, an l'eneex, no cclon àon, enan qe 'élaboen e mémoe colecve, banqe e bae e onnée, e qe 'ében le éeax neconnecé on le emnax,

comme aan e boche ave, enoen avec lemole ancen e voacé e e aé . où l'onnge ao e goe q 'alomen, enoen avec n aé noe, faan le e aon anveale, e éccé aage e eock e gne ohen . où l'on a qe eoe gne éoma cée ecemen e ne,

e éb, e écla e e nance . . où l'oncone alo le mxage e emoalé, l'nabée co e où l'on e me à aco l'achéologecmme n hme e cencecon ...

LE POUVOIR E MIEms

. où l'on vo ben qe le ovo e man . eqe oan, a eoblemen, éclaemen, fe eaacon, l aven aaoxalemen à moe aoe ance nealée ... où lon een

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lo l'imponce de la sution et de l'attirance dansle fonctionnement d'un pouvoir en creux qui sère,ravit et dépme . .

POROSITts. où la porosité se révèle structure tout aussi bien

archaïque qu 'industelle et où l'on découvre avecinquiétude que l'électricité réalise l'ancien projet desaisir, attirer et faire vibrer des corps mis en sée ... etoù l'on n'oubliera pas de traverser alors les chairs . . de visiter l'intéeur du Cheval de Troie, les uines duLabynthe, la rcasse du Minoaure et l'épave duNautilus .

i CRISE E CRISE

. où l'on déouvre, avec quelque perplexité, que lanotion de cse, ele aussi, se dobe . . . où l'on s'aperçoit ombien les instments cssues d'analyse sontémoussés et les supports théorques vermoulus . . où

l'on nit par rennaître qu' n'y a n à attendre dela cse, ni salut ni rédemption . et qu'1 ne reste qu'àapprendre à piloter des engins hétoclits au sein des trous noirs " . .

DISSOLUTIONS.. où l'on décèle que la vie est moins un empilement

de matéiaux robustes que le lieu où s 'innovent ets'expémentent les ormes d'annulation et de liquidation . où l'on détecte que gérer la vile, c'est projeter les ines dans l'avenir. où l'on renontre, otntdans cet espace de luation, l'arche et le code génétique; tous deux s 'eorçant d'imposer la ction qu '

sut d'un reste minimum pour éhapper à l'annulation où l'on imagine Noé sabotant son proprebâtiment. . .

LE MEURRE DAS SO PLUS SIMPLE APPAREIL .. où l'on déouvre avec stupeur un unive urbe quin'est ni véritablement celui des usages ni celui des

signes, mais l'univers de la dissuasion . . . où l'on repèreque les usages sont devenus les lieux pivilégiés destockage de la féocité implosive .. où l'on se aierasa voie ns une ore détonante : bombes atomues,

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bobes à neutrons, autoobles, taba.. où l'on

onlura que et uners stupéant s'est fragenté,oant à aun les ares de l'ploson . où l'onpressentra que se oue une ourse ontre la ontreentre le pouor entral neutralsé et les usagers dspeés pour répondre à une queston sasssante ent peut-on géer légteent sa propre n ?

A GAAXIE UREMBERG... où l'on surprend les nnoents anpulateurs desgnes à nenter un ondensé de déagraton lenulre . nutlsable sauf sous sa fore de enaequ plane . . où l'on gssera pa e onde des usagers suspendus . . . où l'on surprendra les astueuproédés par lesquels la destuton est natuséeet détouée par les usagers .. où l'on se deande sla ue est ben e.. s on os ben entre ondureet bore ... dans les fuées et les endres qu se éngent on reonnara l'ploson asprée à plens pouons .. où on se oulera entre les eets ultfores

et aés d'une prlfératon de pôles de destutonsnes et rréersbles . . .

PET V�HICUE D E A MORT IMPOSIVE.. où l'on surprend d'nroyables détoueents dela règle du eu selon laquele le pouor neutre, a ladssuason, ontrôle et onnae la destruton plose . . où l'agone des obets sera obserée de près. . .o ù l'on dsséquera l'obet d'ploson déoratquepar eeene l'autooble . où l'on se penerasur les traetores à tobeau ouert et où l'onretrouera r en eur et Sgund en rgen .

TSISTORISATIO DU CRUE. où l'on déabule dans des runes qu sont desantpatons d'aenr... où l'on nou·t subrepteentdes anau qu resseblent à s'y éprendre aufutures espèes életronques . . où donnée et la sase s'arent oe les fores aptales d'attraton et d'éange .. où l'on renontre des banques dedonnées aes et des réseau oraes .. où l'on pressent d'orles pestes életronques et d'nfealesépdées de sgnes. .

93

99

113

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() (D) GE10) 128 où l'on suit le cheminement d'énegies invesées . . .e t où l'on etouve des avés des aspiations oùl'on bute inévitablement su des appétits .. ici lestubes digestifs et les syntaes s 'empaent desaliments qu'ils mébolisent.. où l'on se pend à sus

pecte l'unives électonique d'o des modes énovés de digestion, de tanspot intee et d'évanouissement. . .

SMULOS SS PESPEE 136... où l'on plane avec les oiseau dévoateus d'énegie et de signes . où l'on enonte des éclipses et des

naines blanches. où l'on compend que des copssuchagés de signes epient.. où l'on s'initie à lavoacité des stuctues et l'on se pépae à l'eilquand les mémoies sont satuées . . où l'on encontesu le dépat des Mayas, des évolutionnaies et desinventeus . où l'on s'apeçot, su le pont d'emba

quement, qu' n'y a plus aujoud'hui ni hoizon nipoint de fuite ni pespective où l'on déce si poupati il ne este plus qu'à, littéalement, moui unpeu. . .

ULEUSES ·SYTAUES 147.. où l'on enconte, à l'insta des sauteelles, des

nuées asyniques où l'on compend qu'eles sontabandonnées pa les éseau. où l'on appendqu'elles sont les fomes enouvelées des uinesqu'eles paticipent de l'unives des débs . où l'oncicule dans un éthe dans lequel le pouvoi et laésisnce se taduisent en zoom ...où l'on sque à tout

insnt de subi les ets d'une concentation ou d'unediusion inattendues . où l'on passe du mico aumaco dans des dhiements et des implosions. . oùl'on obseve un Chef supême un dissident et unmicopocesseu, et où l'on s'inteoge su ce qui setouve là ontacté, éduit, mintué. . .

MTMOPHOSES où tout se bouie

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'OGE SU 'O, PLUE SU LE DSET 162

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Cet ouvage a été composé en

stempelscheidleromain et tac ghfle block

Créaon typogaphqueJeanne-Maie Sens

&Hubert Tonka

I a été achevé d'impmeen Fance en octobre 1998

su les pesses de'impimeie Le Govic

à SanHeban (Fance).Façonné pa SMRà Muzac Fance.

épôt légal : 4' ms

ens Tonka • 2, u du Faubougdumpl

7500 as (Fanc)



Un des premiers grands textes sur lesbonheurs et les abîmes de lnformatue.Sans réelle mse en garde mas d'uneparoe toutefois prononcée, Yves Stourdzénous avertit dés les premières pages ue

"nous nous promenons aujourdhui dans les runes de notre avenr.. "où on rencontre dun côté la mniaturisaton, lemicro-processeur et les manpulateursenzmatlues ; de lautre a navette spatiale, la bombe à neutrons .. où lon voltue, dans lentredeux, nous circulons à

tâtons, pendant ue sélaborent desmémores collelves, banues et basesde données, et ue sétablssent lesréseaux nterconneés dont les terminaux, comme autant de bouches avides,renouent avec le modèle ancien des voracités et des appétits... où lon distngue

partout des groupes ul sagglomèrent,pus renouent avec un passé Insolte, faisant leurs des passions transversales, desspécifcités passagères et des stocks desgnes orphelns... où lon sast uereprodure signfe désormais créer directement des ruines, des débrs, des éclats

t d ù l t t l

les ruines du futur

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