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LES QUÉBÉCOIS ET L’ALCOOL 2007

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  • LES QUÉBÉCOIS ET L’ALCOOL2007

  • TABLE DES MATIÈRES

    INTRODUCTION 1

    SOMMAIRE DES RÉSULTATS 4

    ANALYSE DE RÉSULTATS 7

    1. Habitudes de consommation d'alcool 7

    2. Perception de l'évolution de la consommation personnelle 11

    3. Perception de la consommation d'alcool au Québec 13

    4. Sensibilisation à la modération 15

    5. Attitudes à l'égard de la consommation d'alcool dansdiverses circonstances 17

    6. Opinions et préjugés sur l'alcool 18

    7. Alcool et conduite automobile 22

    8. Publicité sur la modération 24

    8.1 Identification des commanditaires 24

    8.2 Notoriété du slogan d'Éduc'alcool 25

    8.3 Éduc'alcool 27

    8.4 Motivations de l'industrie à s'impliquer dansdes campagne sur la modération 28

    9. Champs d'intérêt reliés à l'alcool 29

    MÉTHODOLOGIE 31

    PROFIL DES RÉPONDANTS 32

    QUESTIONNAIRE 33

  • 1

    INTRODUCTIONCe qui frappe le plus dans les résultats de l'enquête de 2007 sur les Québécois et l'alcool, c'est d'abordla très grande stabilité des réponses cinq ans après l'enquête précédente. La consolidation des attitudeset des opinions est telle que nous observons souvent des résultats parfaitement identiques à ceux de 2002ou, encore, se situant à l'intérieur de la marge d'erreur notamment sur le plan de l'acceptabilité socialede l'alcool, des circonstances de consommation et même des opinions et attitudes de nos concitoyens.

    Certes, les habitudes de consommation évoluent. Il y a toujours plus de huit Québécois sur dix qui consommentde l'alcool, mais le vin consolide sa position de boisson la plus fréquemment consommée et ce par le plusgrand nombre : les trois-quarts des Québécois l'apprécient. La bière stagne quand elle ne baisse paslégèrement – quoique prisée par les deux tiers de nos concitoyens – alors que l'on observe une remontéedes spiritueux que consomme aujourd'hui un Québécois sur deux.

    Mais ce qui est le plus rassurant dans les données que révèle cette enquête, c'est que les Québécois ont,dans l'ensemble, fort bien intégré la consommation d'alcool dans leur quotidien, qu'un certain modèle deconsommation d'alcool fait désormais sereinement partie de leur mode de vie et qu'ils sont de plus en plussensibilisés aux divers aspects de sa consommation.

    LA MODÉRATION : UNE VALEUR INTÉGRÉE

    Nous pouvons naturellement nous réjouir de constater que le slogan d'Éduc'alcool, La modération a bienmeilleur goût, trône encore au zénith de la notoriété. Que la quasi-totalité des Québécois francophones et queplus de huit non francophones sur dix le connaissent est sans doute très impressionnant. Mais c'est davantageson intégration dans la pratique et dans la vraie vie qui constitue la bonne nouvelle de cette enquête.

    De fait, nous ne pouvons que nous féliciter de constater que la consommation moyenne des Québécoisest d'un peu plus de quatre verres standard par semaine et que l'on consomme en moyenne deux verreset demi par occasion de consommation. Ce niveau correspond exactement à la définition que les Québécoisdonnent à la notion de modération : 2,5 verres en moyenne par occasion. Et, ce n'est certainement pas unecoïncidence, elle correspond aussi au nombre de verres d'alcool à partir desquels ils estiment qu'il devientcriminel de conduire un véhicule automobile. C'est d'une cohérence frappante.

    Nous pouvons aussi nous réjouir de constater que pour la très grande majorité des Québécois, la consommationd'alcool se fait dans des lieux et dans des cadres de consommation modérée : chez des amis, à la maisonou au restaurant. Quant aux circonstances de consommation, elles sont aussi rassurantes : célébrer unévénement heureux, accompagnement lors des repas, association à la détente; une consommation convivialeplutôt que dépendante. Le fait que trois Québécois sur dix consomment seuls, une hausse de 10 pointsen quinze ans, serait davantage attribuable à l'augmentation des personnes vivant seules qu'à une con-sommation problématique.

    D'ailleurs, les Québécois ne semblent pas avoir plus de problèmes liés à leur consommation d'alcool qu'ily a cinq ans. La plupart des indicateurs sont très stables à cet égard.

  • UNE VIGILANCE NÉCESSAIRE, DES PROBLÈMES RÉELS

    Toutes ces bonnes nouvelles ne doivent cependant pas nous faire perdre de vue le fait que la vigilances'impose et qu'elle est plus que jamais nécessaire. En effet, nous ne pouvons pas être indifférents au faitque les indicateurs de consommation sont à la hausse même si, dans la plupart des cas, ils sont bien endeça des seuils à risques.

    La moitié des Québécois consomme de l'alcool une fois par semaine ou plus. Le pourcentage de consommateursqui boivent quotidiennement a doublé en cinq ans.

    Nous ne pouvons pas demeurer insensibles au fait que, même s'ils sont une petite minorité, 7 % des Québécoisconsomment plus de cinq verres par occasion au moins une fois par semaine et, ce qui est très inquiétant, 3 %d'entre eux boivent plus de huit verres par occasion de consommation au moins une fois par semaine. Noussommes là clairement dans les seuils de consommation problématique, excessive, voire dangereuse. Il im-porte plus que jamais de faire valoir que la modération est une règle qui ne souffre pas d'exception etque prendre un coup, ne serait-ce qu'une fois, c'est prendre un coup de trop.

    On ne peut pas non plus être indifférent au fait que près de 7 % des conducteurs québécois admettentavoir conduit un véhicule avec un taux d'alcoolémie supérieur à la limite légale.

    Par ailleurs, nous pouvons certes nous réjouir du fait que la quasi-totalité des Québécois connaît lesrecommandations d?Éduc’alcool aux femmes enceintes : s’abstenir de consommer de l’alcool à partirdu moment où l’on choisit de devenir enceinte et durant la grossesse. Cependant, c’est sans doute parceque les preuves scientifiques irréfutables n’existent pas à ce sujet qu’une majorité de Québécois penseque la consommation occasionnelle d’alcool comporte peu ou pas de risques pour le fœtus. Il n’est doncpas étonnant que près du tiers des Québécois considère acceptable qu’une femme enceinte consommeoccasionnellement de l’alcool durant sa grossesse.

    DES PROJETS QUI S'IMPOSENT

    L'enquête sur les Québécois et l'alcool nous donne donc des indications importantes sur le chemin quenous avons encore à parcourir. Ainsi, s'il est clair qu'Éduc'alcool devra sous peu mener une nouvelle campagnede sensibilisation sur la grossesse et l'alcool, il est tout aussi clair qu'elle sera menée dans le respect del'intelligence des femmes et certes pas en tentant de provoquer des pressions de leur entourage. Les donnéesde l'enquête sont sans appel à cet égard. Aussi, Éduc'alcool invitera les femmes enceintes et celles quiont l'intention de le devenir à s'abstenir de consommer de l'alcool et leur entourage à respecter ce choix.

    Une autre leçon de ce sondage est qu'il ne faut pas baisser la garde ni abandonner le terrain de lasensibilisation. Ainsi, il n'est pas réjouissant de constater qu'il n'y a plus que quatre Québécois sur dixqui savent qu'il y a autant d'alcool dans un verre de bière que dans un verre de vin ou un un verre despiritueux. Ils étaient 53 % il y a cinq ans. Nous avons effacé une partie des progrès effectués dans lescinq années précédentes alors que nous étions 28 % à le savoir en 1996. L'explication est simple : aucours des cinq dernières années, nous avons peu traité de ce thème. Les résultats nous le rappellent clairement.

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  • 3

    Enfin, les Québécois nous ont dit clairement sur quels sujets nous devrions les renseigner davantage : l'alcoolet la santé demeurent en tête de leurs préoccupations. Nous poursuivrons donc dans cette voie notammenten publiant de nouvelles monographies sur les niveaux de consommation à faible risque pour la santé.

    Les Québécois nous ont aussi fait part de leurs besoins concrets. Ils souhaitent consommer de l'alcool, maisils veulent aussi que nous continuions à les aider à bien boire. Nous répondrons donc à ces besoins enleur donnant des informations pratiques : comment parler d'alcool avec les enfants, la responsabilité deshôtes lorsqu'ils reçoivent des invités à la maison, des tucs et conseils pour mieux boire, des outils pourmesurer le taux d'alcoolémie, la quantité d'alcool que l'on peut consommer avant de conduire. En unmot, les Québécois nous demandent de continuer à les responsabiliser par rapport à leur consommationd'alcool.

    UNE CRÉDIBILITÉ RÉJOUISSANTE ET ENGAGEANTE

    Cette mission de responsabilisation, Éduc'alcool est bien placé pour la poursuivre. On ne nous en voudrapas de conclure sans souligner, avec une certaine satisfaction et sans la moindre prétention, le taux de crédi-bilité d'Éduc'alcool qui atteint un sommet de 82 %, un gain de 8 points depuis cinq ans sur un taux déjàenviable. Et l'on retiendra aussi que les adolescents, qu'Éduc'alcool a accompagnés depuis l'enfance surles bancs de l'école, sont quasi-unanimes (98%) à le considérer comme un organisme crédible.

    Au-delà des chiffres, cette donnée est à la fois réjouissante et engageante. Elle constitue indiscutablementune belle reconnaissance du travail que nous avons accompli et une responsabilité tout aussi indiscutableenvers ce qu'il nous reste à accomplir de façon à ce que les Québécois améliorent encore leur relation àl'alcool et soient plus que jamais convaincus que la modération a bien meilleur goût.

    Le conseil d'administration d'Éduc'alcool

    Mai 2007

  • SOMMAIRE DES RÉSULTATSLes résultats de l'étude s'appuient sur 1 104 entrevues téléphoniques effectuées par CROP du 19 févrierau 5 mars 2007 auprès d'un échantillon représentatif de la population québécoise âgée de 15 ans et pluset apte à s'exprimer en français ou en anglais. La marge d'erreur est estimée à 3 % pour les résultats portantsur l'ensemble des répondants.

    À moins d'indication contraire, ces faits saillants portent sur l'ensemble des répondants, francophones etanglophones âgés de 15 ans et plus.

    CONSOMMATION

    • En excluant les « autres boissons » (cidres, coolers, porto, etc.), une nouvelle catégorie introduite en2007, au moins huit Québécois âgés de 15 ans et plus sur dix (82 %) consomment de l'alcool : 25 %en consomment plus d'une fois par semaine, 21 %, une fois par semaine et 36 %, à l'occasion; 18 %n'en consomment jamais.

    • En tenant compte de cette nouvelle catégorie, la proportion des consommateurs de boissons alcooliquesdemeure sensiblement la même (83 %) et se répartit comme suit : 26 % en consomment plus d'une foispar semaine, 21 %, une fois par semaine et 36 %, à l'occasion; 17 % n'en consomment jamais.

    • Le taux de consommateurs selon les catégories de boissons se présente de la manière suivante : vin :73 %; bière : 64 %; boissons fortes (spiritueux) : 48 % et les autres boissons : 39 %.

    • Comme observé en 2002, le vin est encore la boisson qui est consommée le plus régulièrementcontrairement aux années 1990 où c'était la bière qui détenait ce titre. De nos jours, plus du tiers desfrancophones de 18 ans et plus (35 %) consomment du vin une fois ou plus par semaine, une hausseconsidérable depuis 1991 (13 %).

    • En moyenne, les Québécois consomment 4,1 verres d'alcool par semaine.

    • Au cours des douze derniers mois, la moitié des Québécois (50 %) ont bu au moins une fois cinqconsommations ou plus en une même occasion tandis que le quart (25 %) en ont bu huit ou plus.

    • Au cours de la dernière année, les endroits où l'on a consommé le plus fréquemment sont la maison(60 %) et chez des amis ou des membres de la famille (17 %).

    • Les principales circonstances menant à la consommation d'alcool sont la célébration d'un événementheureux (94 %), à l'occasion d'un repas au restaurant (78 %) ou d'un repas à la maison (77 %).

    • Au cours des douze derniers mois, moins d'un consommateur sur dix (8 %) a senti que sa consommationd'alcool nuisait à sa santé physique.

    • Près de la moitié (45 %) de l'ensemble des Québécois estiment que la consommation d'alcool auQuébec est stable, alors que 39 % pensent qu'elle augmente; seulement 6 % la croient en baisse.

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  • 5

    OPINIONS ET ATTITUDES

    • Environ sept répondants sur dix (69 %) pensent que les Québécois sont plus sensibilisés qu'il y a cinqans à une consommation modérée et équilibrée d'alcool. Notons qu'ils étaient 76 % il y a cinq ansà partager cette perception. Précisons qu'ils attribuent cette plus grande sensibilisation aux médiaset à la publicité sur la modération (58 %).

    • Comme par le passé, neuf Québécois sur dix sont d'accord avec la consommation d'alcool lors d'unesoirée entre amis (91 %), pour souligner un événement heureux (90 %) ou lors d'un souper à la maison(87 %). Cependant, la consommation d'alcool pour se dégêner en public (21 %) ou pour oublier sesproblèmes (9 %) obtient l'accord d'une faible proportion de répondants.

    • Les opinions suivantes : « une cigarette est plus nocive qu'un verre d'alcool » (72 %), « l'alcool estune drogue » (67 %) et « pris modérément, l'alcool est bon pour la santé » (66 %) récoltent l'accordd'environ sept Québécois sur dix.

    • Seulement 41 % des Québécois savent qu'un verre normal de bière, de vin ou de spiritueux contientle même taux d'alcool comparativement à 53 % en 2002.

    • Les Québécois considèrent qu'une consommation modérée d'alcool équivaut en moyenne à 2,5consommations au cours d'une même occasion.

    • La majorité des Québécois (52 %) estiment que la consommation occasionnelle d'alcool par unefemme enceinte comporte peu (40 %) ou pas (12 %) de risques pour la santé du fœtus.

    • En matière de consommation d'alcool, la responsabilité d'éduquer et d'informer les enfants revientprincipalement aux parents, selon 92 % des personnes sondées.

    • Selon les Québécois, les principaux problèmes reliés à la consommation abusive d’alcool sont les problèmesde santé (28 %), l'alcoolisme et la dépendance (22 %), les relations familiales (22 %), les accidentsde la route (16 %), les problèmes financiers (16 %) ainsi que les relations amicales et sociales (16 %).

    L'ALCOOL ET LA CONDUITE AUTOMOBILE

    • La population québécoise considère comme criminel le fait de conduire après avoir abusé de l'alcool(76 %) et non celui de conduire après avoir pris un verre (21 %).

    • Environ six Québécois sur dix (61 %) estiment que la loi actuelle limitant à 80 mg/100 ml (.08 g/l)le taux d'alcoolémie dans le sang pour conduire une automobile est juste assez sévère. Cependant,la moitié (51 %) des répondants se disent favorables à ce qu'on baisse cette limite légale à 0 mg tandisque 48 % s'y opposent.

    • En moyenne, les Québécois estiment à 2,4 le nombre de verres d'alcool à partir duquel il est criminelde conduire un véhicule automobile.

  • • Parmi les conducteurs de véhicules automobiles sondés (85 %), la moitié (47 %) affirment qu'il leurest arrivé de conduire un véhicule automobile après avoir pris de l'alcool à l'intérieur de la limitepermise par la loi. Mentionnons que près d'un conducteur sur dix (7 %) admet avoir conduit quandsa consommation dépassait cette limite.

    LA PUBLICITÉ SUR LA MODÉRATION

    • Près de neuf Québécois sur dix (85 %) connaissent le slogan « La modération a bien meilleur goût »;chez les adultes francophones la proportion atteint 94 %. Spontanément, 13 % des Québécois associentle slogan à Éduc'alcool et 25 % à la SAQ.

    • Près de la moitié des Québécois (48 %) pensent que le slogan « La modération a bien meilleur goût »contribue à ce que les gens, lorsqu'ils consomment de l'alcool, le fassent avec équilibre et modération.

    • On observe une nette progression de la proportion des gens qui affirment avoir déjà entendu parlerd'Éduc'alcool; cette progression est passée de 60 % à 75 % en cinq ans.

    • Plus de huit Québécois sur dix (82 %) considèrent Éduc'alcool comme un organisme très ou assezcrédible, un progrès de 8 points par rapport à 2002. Cette proportion s'élève à 84 % chez lesconsommateurs d'alcool et à 98 % chez les adolescents.

    • Selon les répondants, les principaux motifs de l'industrie pour investir dans des campagnes publicitairessur la modération sont : les accidents de la route (24 %), éduquer les gens et prévenir les abus (21 %)et la conscience sociale (11 %).

    • Dans le cadre d'une campagne d'éducation populaire sur l'alcool, les Québécois s’intéressentparticulièrement à des sujets tels que l'éducation des enfants en matière de consommation d'alcool(73 %), l'alcool et la santé (71 %) et la quantité d'alcool que l'on peut boire sans courir de risquespour sa santé (68 %).

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    ANALYSE DES RÉSULTATS1. HABITUDES DE CONSOMMATION D'ALCOOL

    Les résultats de l'étude menée du 19 février au 5 mars 2007 indiquent que 83 % des Québécois francophones,âgés de 18 ans ou plus, consomment des boissons alcooliques. Lorsqu'on tient compte de la nouvelle caté-gorie «autres boissons» (cidres, coolers, porto, etc.), introduite en 2007, le pourcentage de consommateurss'élève à 84 %.

    Comme l'illustre le tableau ci-dessous, la proportion de francophones adultes qui consomment de l'alcool« une fois par semaine ou plus » continue d'augmenter, se chiffrant aujourd'hui à 48 % comparativementà 46 % en 2002, à 38 % en 1996 et à 29 % en 1991. Encore une fois, si l'on inclut la nouvelle catégorie« autres boissons », ce pourcentage passe à 49 %.

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    Comme observé en 2002, le vin est encore la boisson qui est consommée le plus régulièrement contrairementaux années 1990 où c'était la bière qui détenait ce titre. De nos jours, plus du tiers des francophones de 18 anset plus (35 %) consomment du vin une fois ou plus par semaine, une hausse considérable depuis 1991 (13 %).

    On constate que les hommes consomment plus souvent que les femmes : plus de la moitié des répondantsmasculins (59 %) disent consommer des boissons alcooliques une fois par semaine ou plus comparativementà 39 % chez leurs consœurs.

    En moyenne, les consommateurs québécois boivent environ quatre consommations hebdomadairement.Les résultats de l'étude indiquent que ce nombre est nettement supérieur chez les consommateurs réguliers(6,5) que chez les consommateurs occasionnels (0,8) dont plus de la moitié de ces derniers (57 %) consommentmoins d'un verre par semaine

    Les consommateurs d'alcool boivent en moyenne 2,5 consommations les jours où ils consomment de l'alcool.On observe que les consommateurs réguliers en boivent généralement en plus grande quantité (2,7) queceux qui ne boivent qu'occasionnellement (2,3). Deux consommateurs réguliers sur dix (20 %) consommentquatre consommations ou plus par occasion alors que cette proportion se chiffre à un peu plus d'unconsommateur sur dix (13 %) chez les consommateurs occasionnels.

  • D'autre part, on constate que la moitié des répondants (50 %) affirment avoir consommé plus de cinqconsommations dans une même occasion au cours des douze derniers mois. Sur la même période, unrépondant sur quatre (25 %) affirme quant à lui qu'il lui est arrivé d'en consommer huit ou plus.

    La majorité des Québécois consomment souvent ou à l'occasion de l'alcool chez des amis (80 %), à la maison(74 %) ou au restaurant (62 %). Comme par le passé, les endroits tels que les bars (33 %) et les discothèques(18 %) sont les moins liés à la consommation fréquente d'alcool. Finalement, on observe qu'une minoritédes Québécois sondés (9 %) consomment de l'alcool en jouant à des jeux de hasard.

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  • Le foyer est l'endroit privilégié par la majorité des Québécois pour consommer des boissons alcooliques.En effet, six consommateurs d'alcool sur dix (60 %) disent consommer le plus fréquemment à la maison(58 % en 2002).

    Ensuite, c'est le domicile d'amis ou de parents qui est choisi par les consommateurs d'alcool (17 %), suivià égalité des bars et des restaurants (9 %). Enfin, c'est dans les discothèques (2 %) que l'on consommele moins souvent.

    Comme en 2002, les résultats de l'étude démontrent que les consommateurs occasionnels sont plus nombreuxà consommer fréquemment chez des amis ou des parents (27 %) et au restaurant (12 %) que les consommateursréguliers (10 % et 6 % respectivement). En revanche, ils sont moins nombreux à mentionner la maisoncomme lieu de consommation (45 % par rapport à 72 % pour les consommateurs réguliers).

    La quasi-totalité des francophones âgés de 18 ans et plus affirment qu'il leur arrive de consommer de l'alcoolpour célébrer un événement heureux (93 %) tandis qu'environ huit francophones de 18 ans et plus sur dixmentionnent en consommer en prenant un repas au restaurant (80 %) ou à la maison (79 %).

    Depuis mars 2002, la proportion de répondants qui consomment de l'alcool pour célébrer un événementheureux connaît une hausse significative de 89 % à 93 %. On constate également que la proportion desrépondants consommant seuls connaît une tendance à la hausse depuis 1991 (de 19 % à 30 %).

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  • Les résultats démontrent que moins d'un consommateur d'alcool sur dix (8 %) a senti, au cours des douzederniers mois, que sa consommation d'alcool a nui à sa santé physique.

    Des proportions plus faibles de répondants affirment, quant à eux, que leur consommation a eu un impactnégatif sur leur situation financière (3 %), sur leur attitude envers la vie (3 %), sur leur travail ou leursétudes (2 %), sur leurs relations avec leurs proches (amis : 2 %; conjoint(e) : 2 %; vie familiale : 2 %) etleurs enfants (1 %). Notons que les consommateurs réguliers sont plus susceptibles que les consommateursoccasionnels de signaler les effets néfastes de leur comportement par rapport à l'alcool.

    2. PERCEPTION DE L'ÉVOLUTION DE LA CONSOMMATION PERSONNELLE

    Environ six adultes francophones sur dix (59 %) affirment que leur consommation d'alcool n’a pas changépar rapport à il y a cinq ans tandis que le quart (26 %) disent que leur consommation d'alcool a diminué.En ce qui concerne la proportion de répondants qui disent boire plus, elle a diminué de 3 points par rapportà 2002, passant de 17% à 14 %.

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  • Comme par le passé, les adolescents de 15 à 17 ans (45 %) et les jeunes adultes âgés de 18 à 34 ans(27 %) sont les plus nombreux à affirmer qu'ils consomment plus d'alcool qu'il y a cinq ans.

    L'âge (en hausse à 22 %), les changements d'habitude (17 %), l'évolution du goût (en hausse à 15 %) etla santé (en baisse à 13 %) sont les principaux motifs cités par les francophones interrogés qui disent consommermoins d'alcool comparativement à il y a cinq ans. Le choix de vie personnel (11 %) et les responsabilitésfamiliales (10 %) sont moins souvent invoqués qu'en 2002.

    Pami les francophones qui jugent que leur consommation d'alcool a augmenté depuis cinq ans, 22 % le justifientpar l'envie de se divertir et de s'amuser entre amis,19 % par l'âge, 13 % par le fait de disposer de plusd'occasions de consommer et 12 % par une meilleure connaissance et appréciation de l'alcool. Demanière moins importante, l'évolution des goûts (7 %), le fait d'avoir plus d'argent à dépenser (7 %) etla détente (6 %) ont été cités par un nombre tout de même considérable de répondants.

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  • 3. PERCEPTION DE LA CONSOMMATION D'ALCOOL AU QUÉBEC

    Quatre francophones âgés de 18 ans et plus sur dix (40 %) croient que la consommation de boissons alcooliquesest en hausse au Québec.

    Cependant, plus de quatre francophones sur dix (44 %) sont persuadés que la consommation d'alcool estdemeurée stable; il s'agit d'une hausse significative de 9 points par rapport à l'édition précédente. Précisonsque dans les sondages antérieurs, la question portait sur les ventes d'alcool et qu'un bon nombre derépondants (17 % en 2002) disaient ignorer la réponse.

    L'étude révèle que ce sont les femmes (45 %) et les non-consommateurs (48 %) qui pensent le plus que laconsommation d'alcool augmente au Québec.

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  • Les raisons invoquées par les francophones pour justifier leur conviction que la consommation au Québeca baissé sont la sévérité de la loi automobile (34 %), la nouvelle loi anti-tabac dans les lieux publics (18 %)et la publicité sur la modération (12 %). Signalons que la proportion de répondants ayant mentionné lasévérité de la loi automobile a diminué de 21 points depuis 2002.

    Parmi les francophones qui pensent que la consommation d'alcool au Québec a augmenté, on attribuela hausse au besoin d'évasion occasionné par le stress ou la déprime (16 %), à une consommation plusimportante chez les jeunes (15 %) et à la popularité croissante des vins (14 %).

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  • 4. SENSIBILISATION À LA MODÉRATION

    Près des trois quarts des francophones de 18 ans et plus (72 %) considèrent que les Québécois sont plussensibilisés qu'il y a cinq ans à une consommation modérée et équilibrée d'alcool. Notons qu'il s'agit d'unebaisse significative de 5 points par rapport à 2002 (de 77 % à 72 %).

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  • On observe que les répondants disposant d'un revenu égal ou supérieur à 60 000 $ (75 %) ainsi queles répondants vivant à l'extérieur de Montréal (72 %) sont plus nombreux à croire que les gens sont davantagesensibilisés qu'il y a cinq ans. Par ailleurs, cette opinion quant à la sensibilisation à une consommationmodérée et équilibrée est plus répandue chez les consommateurs d'alcool (73 %) que chez les non-consommateurs (50 %) et l’est également plus chez les conducteurs automobiles (71 %) que chez les non-conducteurs (56 %).

    Les médias et la publicité continuent de jouer un rôle prépondérant dans la sensibilisation des Québécoispar rapport à une consommation modérée d'alcool. En effet, plusieurs des principaux facteurs invoquésy sont reliés : les médias et la publicité sur la modération (62 %), la publicité sur l'alcool au volant (4 %)ainsi que les campagnes d'Éduc'alcool (3 %). Une meilleure connaissance du public sur le sujet (7 %),les accidents routiers (6 %) et la sévérité de la loi automobile (6 %) influencent aussi la sensibilisation dela population à une consommation modérée et équilibrée d'alcool.

    Comme dans l'étude de 2002, plus de la moitié des consommateurs d'alcool ont affirmé lire souvent (27 %)ou à l'occasion (26 %) les informations inscrites sur les étiquettes des bouteilles d'alcool et de bière tandisque près de la moitié des consommateurs ne les lisent que rarement (18 %) ou jamais (28 %).

    Par ailleurs, près de six consommateurs d'alcool sur dix (59 %) croient que le fait d'apposer un texte demise en garde sur les bouteilles n'influencerait pas du tout leur niveau de consommation d'alcool. Il est ànoter qu'il s'agit d'une baisse significative de 11 points par rapport à 2002.

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    5. ATTITUDES À L'ÉGARD DE LA CONSOMMATION D'ALCOOL DANS DIVERSESCIRCONSTANCES

    Environ neuf francophones sur dix expriment leur accord avec la consommation d'alcool au cours d'unesoirée entre amis (91 %), pour célébrer un événement heureux (90 %) ou pour un souper à la maison (87 %).Ces données sont pratiquement identiques à celles observées en 2002.

    Il est intéressant de souligner que l'appui à la consommation d'alcool dans sept circonstances sur huit esttoujours plus élevé chez les consommateurs d'alcool que chez les non-consommateurs sauf « pour oublierses problèmes », circonstance qui ne reçoit l'appui que d'une infime minorité, consommatrice ou non.

  • 6. OPINIONS ET PRÉJUGÉS SUR L'ALCOOL

    Sept adultes francophones sur dix sont d'accord pour dire qu'« une cigarette est plus nocive qu'un verred'alcool » (71 %). Une proportion similaire (68 %) est observée concernant le taux d'appui à l'opinionque « pris modérément, l'alcool est bon pour la santé ». Il s'agit de résultats semblables à ceux obtenusen 2002.

    Depuis la dernière édition, on constate une hausse légère, mais non significative, de la proportion derépondants en accord avec les énoncés suivants : « l'alcool est une drogue » (66 %) et « la plupart desgens sont capables de boire sans abuser » (63 %).

    Comme observé en 2002, environ six répondants sur dix (59 %) estiment que « l'alcool procure du plaisir »et, encore une fois, le tiers des francophones (32 %) considèrent que « même pris modérément, l'alcoolnuit à la santé ».

    On constate à nouveau que les consommateurs de boissons alcooliques sont plus nombreux que ceux quine consomment pas à se montrer positifs à l'égard de l'alcool et ce, pour chacune des opinions soumisesà leur évaluation.

    La proportion de Québécois sachant qu'un verre de bière, un verre de vin et un verre de spiritueux contiennenttous les trois la même quantité d'alcool a baissé significativement de 12 points depuis la réalisation dela dernière étude (de 53 % à 41 %). Les groupes les mieux informés sont les mêmes qu'en 2002. Toute-fois, on constate qu'ils le sont dans des proportions moindres comparativement à la dernière étude. Ils'agit des hommes (de 59 % à 47 %), des répondants de l'extérieur de Montréal (de 58 % à 45 %), des con-sommateurs d'alcool (de 56 % à 44 %) et des conducteurs automobiles (de 56 % à 45 %). Également, lesplus scolarisés (47 %) et les mieux nantis (48 %) font partie des répondants les mieux informés.

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    À l’instar de toutes les études précédentes, le verre d'une once et demie de spiritueux demeure la consommationcitée par le plus grand nombre de répondants (30 %) comme contenant le plus d'alcool. Il s'agit d'unehausse significative de 5 points comparativement à 2002. Les jeunes de 15 à 17 ans (44 %) et les non-conducteurs (39 %) font partie des groupes les moins bien informés à cet égard.

    En moyenne, les Québécois considèrent qu'une consommation modérée d'alcool correspond à 2,5 ver-res de boissons alcooliques. Comme par le passé, le nombre de verres attribués à une consommation mod-érée est plus élevé chez les consommateurs réguliers (2,7), les 15 à 17 ans (3,1), les 18 à 34 ans (2,7)et les gens ayant un revenu de 60 000 $ ou plus (2,7).

    Par contre, on observe un nombre moyen de verres associé à une consommation modérée plus faible chezles Québécois âgés de 55 ans et plus (2,2), les retraités (2,1) ainsi que chez les non-consommateurs (2,0).

    En ce qui a trait à la consommation d'alcool pendant la grossesse, une très forte majorité (91 %) des répon-dants savent qu'il est recommandé pour une femme enceinte de s'abstenir complètement, un progrès de3 points par rapport à 2002. Comme par le passé, cette position est plus marquée chez les femmes (93%) que chez les hommes (88 %).

  • Aussi, sept répondants sur dix (71 %) trouvent inacceptable qu'une femme enceinte consomme de l'alcoolet ce, même modérément. Il s'agit principalement des non-francophones (82 %), des gens qui ne consommentpas (81 %) et des retraités (77 %). Contrairement à l'édition 2002, ce sont les répondants habitant en région(73 %) qui trouvent ce comportement encore plus inacceptable plutôt que les Montréalais (68 %).

    Par ailleurs, la majorité des Québécois (52 %) estiment que le fait de consommer de l'alcool à l'occasionne comporte aucun risque (12 %) ou un risque faible (40 %) pour la santé du fœtus. On remarque queles hommes (56 %) et les consommateurs (54 %) sont davantage en accord avec cette idée comparativementaux femmes (47 %) et aux non-consommateurs (40 %).

    Enfin, la moitié des femmes (50 %) pensent que le fait d'« avoir de l'information complète et objective surla question » pourrait le mieux les convaincre de ne pas consommer pendant la grossesse.

    Comme dans les sondages antérieurs, on croit majoritairement (92 %) que l'éducation des enfants enmatière de consommation d'alcool revient principalement à leurs parents.

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    Ainsi, la majorité (58 %) des Québécois se disent tout à fait ou plutôt en accord avec le fait que les parentsinitient leurs adolescents à la consommation d'alcool. Signalons que cette proportion est plus importantechez les consommateurs réguliers (71 %) que chez les consommateurs occasionnels (51 %) ou les non-consommateurs (30 %).

    Les jeunes de 15 à 17 ans (81 %), les 18 à 34 ans (68 %), les hommes (63 %), les plus scolarisés (64 %)et les mieux nantis (67 %) font partie des autres sous-groupes les plus en faveur d'un tel comportement.

    Selon les Québécois, la consommation abusive d'alcool peut entraîner les principaux problèmes suivants: les problèmes de santé (28 %), l'alcoolisme (22 %), les difficultés familiales (22 %), les risques d'accidentsroutiers (16 %), les problèmes financiers (16 %) ainsi que les difficultés sociales et amicales (16 %).

    Différents problèmes d'ordre psychologique tels que les problèmes de comportement (14 %), les problèmespsychologiques (12 %), la perte d'estime de soi (4 %) sont aussi associés par les répondants à uneconsommation abusive.

    L'absentéisme au travail (11 %), l'affaiblissement des facultés (6 %), les problèmes personnels (5 %), lafuite de la réalité (4 %), la solitude et l'ennui (3 %) sont également d'autres problèmes qui sont reliés àune consommation abusive.

  • Bien que la violence soit souvent considérée comme un problème lié à la consommation abusive d'alcool,elle n'a cependant pas été mentionnée ici aussi souvent que lors du dernier sondage. En effet, seulement9 % (comparativement à 18 % en 2002) ont cité la violence en général et 5 % ont nommé la violenceconjugale et familiale (comparativement à 26 % en 2002).

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    7. ALCOOL ET CONDUITE AUTOMOBILE

    Comme observé en 2002, les trois quarts des francophones de 18 ans et plus (75 %) considèrent que« conduire après avoir abusé de l'alcool » est criminel tandis que deux personnes sur dix (21 %) trouventqu'il est criminel de « conduire après avoir pris un verre d'alcool ».

    Comme par le passé, les non-consommateurs d'alcool sont plus intransigeants (36 %) que les consommateurs(18 %) par rapport à la conduite après avoir pris un seul verre d'alcool.

    La proportion des francophones de 18 ans ou plus qui trouvent la loi actuelle limitant à 80 mg/100 ml (.08g/l) le maximum d'alcool permis dans le sang « juste assez sévère » (61 %) a augmenté significativementde 8 points depuis la dernière étude (53 %). Par ailleurs, la proportion des adultes francophones qui consid-èrent la loi actuelle « pas assez sévère » a diminué de 4 points depuis mars 2002, passant de 37 % à33 %.

    L'opinion des francophones à l'égard de la mise en application d'une loi restreignant à 0 mg la limite d'alcooldans le sang pour conduire un véhicule automobile est partagée : 52 % y sont favorables alors que 48 %y sont défavorables.

  • Les avis demeurent divisés parmi les consommateurs (45 %) et les conducteurs (49 %) contrairement auxnon-consommateurs (77 %) et non-conducteurs (60 %) qui sont majoritairement en faveur de la mise enapplication de la « tolérance zéro ». Les femmes (57 %) et les retraités (61 %) font également partie dessous-groupes favorisant l'adoption d'une telle réglementation.

    La moyenne de consommations prises avant de conduire, considérée comme un acte criminel par lesQuébécois est de 2,4 verres. Notons que les jeunes de 15 à 17 ans évaluent à trois consommations (3,2)le nombre de verres d'alcool que l'on peut consommer avant que la conduite d'un véhicule soit considéréecomme criminelle.

    Près de neuf Québécois sur dix (85 %) disent conduire eux-mêmes un véhicule automobile. Parmi cesderniers, la moitié (47 %) affirment qu'il leur est arrivé, au cours de la dernière année, de conduire unvéhicule automobile après avoir pris de l'alcool à l'intérieur de la limite permise par la loi. Toujours aucours de la dernière année, le sondage indique que 7 % des conducteurs affirment avoir conduit unvéhicule automobile quand leur consommation dépassait la limite permise par la loi.

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    8. LA PUBLICITÉ SUR LA MODÉRATION

    8.1 Identification des commanditaires

    Encore cette année, nous avons voulu savoir à qui ou à quels organismes le public associait les campagnespublicitaires incitant les gens qui consomment de l'alcool à le faire avec jugement et modération. Les répondantspouvaient nommer un ou des commanditaires qu'ils associaient spontanément à ce genre de publicité.

    La proportion de francophones, âgés de 18 ans et plus, ayant mentionné Éduc'alcool a augmentéconsidérablement et de manière significative depuis 2002, passant de 6 % à 15 %.

    Parmi les commanditaires les plus souvent cités chez les francophones, on trouve d'abord des organismespublics : le gouvernement (33 %), la Société des alcools du Québec (26 %), la Société de l'assuranceautomobile du Québec (21 %), puis Éduc'alcool (15 %). Ensuite, les répondants ont nommé spontanémentles brasseurs sans plus de précision (5 %) ainsi que les fabricants d'alcool (3 %). Précisons que l'associationentre les brasseurs et les messages publicitaires continue de diminuer de manière significative, passantde 27 % des mentions en 1996 à 13 % en 2002 et à 5 % en mars 2007.

    8.2 Notoriété du slogan d'Éduc'alcool

    Les francophones de 18 ans et plus ont mentionné spontanément « La modération a bien meilleur goût »d'Éduc'alcool (40 %) puis, loin derrière, « L'alcool au volant, c'est criminel » (8 %) comme slogans rattachésaux campagnes publicitaires sur la modération. On constate que ces deux slogans sont les plus mention-nés depuis 1991, le second étant en baisse constante.

  • Nous avons interrogé les répondants qui n'ont pas pu nommer spontanément le slogan d'Éduc'alcool afinde savoir s'ils avaient vu, lu ou entendu le slogan « La modération a bien meilleur goût », ce que nous appelonsla notoriété assistée : 54 % ont répondu par l'affirmative, ce qui permet de déterminer la notoriété totaledu slogan à 94 % chez les adultes francophones.

    Les avis sont partagés quant à la contribution d'un slogan comme « La modération a bien meilleur goût» au moment de la consommation : 47 % des francophones croient aux vertus persuasives du slogan tan-dis que 49 % en doutent.

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    8.3 Éduc'alcool

    La présente étude confirme, encore une fois, que la quasi-totalité des adultes francophones (94 %) connais-sent le slogan « La modération a bien meilleur goût ». De plus, la proportion de répondants identifiant Éduc'al-cool comme un organisme associé au slogan a connu une hausse significative de 7 points depuis 2002 (de 5% à 12 %) tandis que la Société des alcools du Québec, qui utilise et diffuse largement le slogan, a connuune baisse significative de 7 points (de 37 % à 30 %) pendant la même période de temps. Pour ce quiest du gouvernement et de la Société de l'assurance automobile du Québec, ils passent derrière Éduc'alcoolen ce qui a trait à l'association au slogan avec 9 % chacun.

  • Les trois quarts (75 %) des francophones de 18 ans et plus interrogés affirment avoir déjà entendu parlerd'Éduc'alcool comparativement à 60 % lors de la dernière étude. Il s'agit d'une hausse significative de15 points. Entre les deux sondages, la proportion de l'ensemble des Québécois ayant entendu parlerd'Éduc'alcool est passée de 57 % à 68 %.

    On constate que la notoriété d'Éduc'alcool est plus élevée chez les mieux nantis (83 %), les 18-34 ans(79 %), les 35-54 ans (74 %), les étudiants (78 %) et chez les personnes plus scolarisées (73 %). Éduc'alcoolest aussi plus connu des francophones (77 %), des gens demeurant à l'extérieur de Montréal (73 %) etdes consommateurs d'alcool (72 %) que des non-francophones (22 %), des Montréalais (62 % et desnon-consommateurs (45 %).

    Plus de huit personnes sur dix (82 %) voient Éduc'alcool comme un organisme très ou assez crédible, cecireprésente une hausse significative de 8 points par rapport à la dernière étude (de 74 % à 82 %).

    Ce sont les adolescents de 15 à 17 ans (98 %) et les consommateurs d'alcool (84 %) qui considèrent leplus Éduc'alcool comme un organisme crédible.

    8.4 Motivations de l'industrie à s'impliquer dans des campagnes sur la modération

    Plus de la moitié des adultes francophones (56 %) affirment avoir remarqué le slogan « La modération abien meilleur goût » d'Éduc'alcool sur un ou des supports publicitaires : sacs de la SAQ, imprimés, affiches,pubs télé, etc. Il s'agit d'une hausse significative de 7 points par rapport à la dernière étude.

    Près de la moitié des répondants francophones âgés de 18 ans et plus pensent que l'industrie de l'alcoolinvestit dans des campagnes sur la modération dans un but social : éduquer les gens et prévenir les abus(22 %), conscience sociale (11 %), souci de la santé des gens (8 %), combattre l'alcoolisme (3 %) ou combat-tre la violence (2 %).

    Aussi, le quart des francophones (25 %) ont mentionné les accidents de la route comme raison principaled'investir dans les campagnes sur la modération.

    Dans une moindre mesure, d'autres pensent plutôt que l'industrie s'implique dans de telles campagnes parsouci de son image (9 %), parce que la loi l'y oblige (8 %), pour augmenter ses ventes (7 %) ou pour seprotéger contre d'éventuelles poursuites (6 %).

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  • 30

    9. CHAMPS D'INTÉRÊT RELIÉS À L'ALCOOL

    Dans le cadre d'une campagne d'éducation populaire sur l'alcool, « comment éduquer les enfants ausujet de l'alcool » (72 %), « l'alcool et la santé » (70 %) et « la quantité d'alcool que l'on peut boire sanscourir de risques pour sa santé » (68 %) sont des thèmes faisant partie des premiers sujets d'intérêts desfrancophones de plus de 18 ans sondés.

    Les étudiants (62 %) et les consommateurs (53 %) se montrent particulièrement intéressés à connaître destrucs et conseils pour mieux boire.

    Notons que les conducteurs sont intéressés, entre autres, à en apprendre davantage sur leur responsabilitéenvers leurs invités quand ils reçoivent (68 %) et sur des outils pour mieux évaluer leur taux d'alcoolémie(63 %); précisons que 71 % des moins de 35 ans manifestent de l'intérêt pour ce dernier sujet.

    « L'alcool et la grossesse » intéresse une majorité (56 %) de Québécois, particulièrement les 15-17 ans(82 %) et les 18-34 ans (72 %). Signalons que les femmes sont un peu plus portées que les hommes (35 %par rapport à 27 %) à se dire « très intéressées » par le sujet.

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    MÉTHODOLOGIELes résultats du sondage reposent sur 1 104 entrevues téléphoniques effectuées du 19 février au 5 mars2007. Le questionnaire comprenait environ 90 informations et la durée moyenne des entrevues com-plétées oscillait autour de 18 minutes.

    Les répondants ont été choisis à l'aide d'une grille de sélection aléatoire parmi les personnes de 15 anset plus résidant dans les ménages sélectionnés et aptes à répondre aux questions en français ou en anglais.Aucune substitution de ménage ou de personne n'était permise. L'échantillon de ménages a été tiré selonla méthode « probabiliste » des listes publiées des abonnés du téléphone de l'ensemble du Québec.

    Les entrevues ont été réalisées à partir du centre d'appels de CROP àMontréal. La provenance des répondantsse distribue comme suit : Montréal métro : 529; ailleurs en province : 575.

    Lors de leur compilation, les résultats furent pondérés sur la base des estimations démographiques de juillet2006 afin de refléter la distribution de la population du Québec selon le sexe, l'âge et la région de résidencedes répondants. De plus, les ratios linguistiques de 2001 ont été appliqués aux cellules de pondération de2006 afin de tenir compte de la langue parlée à la maison.

    D'un point de vue statistique, un échantillon de cette taille (n=1 104) est précis à 3 points près, 19 foissur 20. Rappelons que la marge d'erreur augmente lorsque les résultats portent sur des sous-groupes del'échantillon.

    Il est important de mentionner que depuis 2002, des répondants non francophones et des adolescents de15 à 17 ans ont été sondés. Par conséquent, les tableaux inclus dans ce rapport présentent les résultatsobtenus cette année sur la base totale mais aussi sur la base des francophones âgés de 18 ans et plus etce, afin de permettre la comparaison avec les résultats antérieurs à l'édition 2002.

    Claude GauthierVice-président, CROP

  • PROFIL DES RÉPONDANTS

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    QUESTIONNAIRE

    1. Selon vous, la consommation d'alcool (bières, vins, spiritueux) est-elle en hausse, en baisse ou stable,au Québec?

    Total 18 + Fr.n=1 104 n=990

    % %Hausse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39 40Baisse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 6Stable . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45 44NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10 9

    2. À quoi surtout attribuez-vous cette de la consommation d'alcool?Total

    Baisse Haussen= 69 n=440% %

    Accessibilité : points de vente, occasions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 7Augmentation de la consommation en général . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 6Besoin d'évasion(stress/solitude/dépression etc.) . . . . . . . . . . . . . . . 0 14Consommation chez les jeunes (plus tôt et/ou davantage) . . . . . . . . . 3 18Coût de l'alcool, prix . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 --Coût de la vie en général . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 0Davantage de produits à bon marché . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 2Éducation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8 1Loi automobile plus sévère . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31 1Plus de réunions sociales/ de divertissements . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 4Plus d'argent à dépenser . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 1Popularité croissante des vins . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 13Préoccupation de santé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 --Publicité sur la modération . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 --Publicité, marketing . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 9Spéciaux de la SAQ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 1Taxes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 0Loi anti-tabac / interdiction de fumer . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16 --Autre (précisez) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8 7NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 14

  • 3. Dites-moi si vous êtes tout à fait d'accord, plutôt d'accord, plutôt en désaccord ou tout à fait en désac-cord avec la consommation d'alcool (bière, vin, spiritueux), DANS LES CIRCONSTANCES SUIVANTES :

    Total 18 + Fr.n=1 104 n=990

    a) Pour un souper à la maison% %

    Tout à fait d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38 39Plutôt d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49 49Plutôt en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 7Tout à fait en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 5NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . -- --

    b) Pour une soirée entre amis% %

    Tout à fait d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44 44Plutôt d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47 46Plutôt en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 5Tout à fait en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 4NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1

    c) Pour atteindre une légère sensation de bien-être% %

    Tout à fait d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 10Plutôt d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28 27Plutôt en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28 28Tout à fait en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34 34NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1

    d) Pour célébrer un événement heureux% %

    Tout à fait d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49 47Plutôt d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41 43Plutôt en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 5Tout à fait en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 4NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1

    e) Pour oublier ses problèmes% %

    Tout à fait d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 2Plutôt d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 5Plutôt en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16 17Tout à fait en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 74 75NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . -- --

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    Total 18 + Fr.n=1 104 n=990

    f) Pour se détendre après le travail% %

    Tout à fait d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16 15Plutôt d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42 42Plutôt en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23 24Tout à fait en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18 18NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1

    g) Pour un repas au restaurant le midi% %

    Tout à fait d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 11Plutôt d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29 26Plutôt en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32 33Tout à fait en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26 28NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1

    h) Pour se dégêner en public% %

    Tout à fait d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 5Plutôt d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16 16Plutôt en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30 31Tout à fait en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48 48NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1

    4. Avez-vous déjà consommé de la bière, du vin, des boissons fortes spiritueux) ou d'autres boissonsalcooliques (cooler, cidre, porto, etc.)?

    Total 18 + Fr.n=1 104 n=990

    % %Oui . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 94 94Non . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 5Refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . -- --

    5. Au cours des 12 DERNIERS MOIS, avez-vous consommé de la bière, du vin, des boissons fortes oud'autres boissons alcooliques?

    Total 18 + Fr.n=1 045 n=941

    % %Oui . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 89 89Non . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 11Refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 0

  • 5a. Quelle est la principale raison POUR LAQUELLE VOUS AVEZ CESSÉ DE BOIRE?

    Totaln=115%

    Âge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2Campagnes de modération . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0Changement d'habitude (sort moins/travaille plus) . . . . . . . . . . . . . . 5Choix de vie, personnel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13Coût/prix . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1Loi plus sévère (automobile) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0Problème d'alcool (alcoolisme) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11Question de goût, les goûts changent . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14Responsabilités familiales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4Santé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23Sensibilisation aux méfaits de l'alcool . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3Grossesse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8Autre (précisez) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5

    6. Diriez-vous que VOUS consommez aujourd'hui PLUS, MOINS ou NI PLUS NI MOINS d'alcool (bières,vins, spiritueux) qu'il y a cinq ans?

    Total 18 + Fr.n=930 n=838% %

    Moins . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30 31Plus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18 16Ni plus ni moins . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51 52Ne buvait pas il y a 5 ans . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 1NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 0

    7. Quelle est la principale raison pour laquelle vous consommez moins d'alcool maintenant?

    Total 18 + Fr.n=279 n=261

    Âge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23 22Campagnes de modération . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . -- --Changement d'habitude (sort moins/travaille plus) . . . . . . . . . . . . . . 17 17Choix de vie, personnel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10 11Coût/prix . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 2Loi plus sévère (automobile) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1Problème d'alcool (alcoolisme) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1Question de goût, les goûts changent . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15 15Responsabilités familiales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 10Santé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13 13Sensibilisation aux méfaits de l'alcool . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 4Grossesse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1Autre (précisez) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 3NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 2

    36

  • 37

    8. Quelle est la principale raison pour laquelle vous consommez davantage d'alcool maintenant?

    Total 18 + Fr.n=157 n=130% %

    Âge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23 19Amusement/ divertissement/ amis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23 22Choix de vie, personnel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 3Coût/prix (moins cher, spéciaux) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 0Meilleure connaissance/ appréciation des vins . . . . . . . . . . . . . . . . . 10 12Mieux informé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 0Par habitude . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 2Plus d'argent à dépenser . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 7Plus de choix . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1Plus d'occasions de consommer . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 13Problème d'alcool, dépendance, alcoolisme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1Question de goût, les goûts changent . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 7Relaxation/ détente . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 6Sensibilisation aux bienfaits de l'alcool . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1Autre (précisez) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 4NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 3

    9. Au cours des 12 derniers mois, quelle a été, en moyenne, la fréquence de votre consommation de bois-sons alcooliques?

    Total 18 + Fr.n=930 n=838% %

    Chaque jour . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8 74 à 6 fois par semaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 82 à 3 fois par semaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23 231 fois par semaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20 202 à 3 fois par mois . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15 151 fois par mois ou moins? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28 26Refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 0

    10. Combien de consommations alcooliques prenez-vous habituellement les jours où vous consommez del'alcool?

    Total 18 + Fr.n=930 n=838% %

    1 consommation ou moins . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29 282 ou 3 consommations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54 544 ou 5 consommations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 116 ou 7 consommations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 38 consommations ou moins . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 3NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1

  • 11. Consommez-vous les boissons alcooliques suivantes plus d'une fois par semaine, environ une fois parsemaine, à l'occasion ou jamais?

    Total 18 + Fr.n=1 104 n=990

    a) Bière% %

    Plus d'une fois par semaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13 14Environ une fois par semaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14 14À l'occasion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37 37Jamais . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36 35NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . -- --

    b) Vin% %

    Plus d'une fois par semaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15 16Environ une fois par semaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18 19À l'occasion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40 41Jamais . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27 25NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 0

    c) Boissons fortes (spiritueux)% %

    Plus d'une fois par semaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 2Environ une fois par semaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 5À l'occasion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41 41Jamais . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52 52NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . -- --

    d) Autres boissons (cidres, coolers, porto, etc.)% %

    Plus d'une fois par semaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1Environ une fois par semaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 2À l'occasion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35 36Jamais . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 61 60NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 0

    12. Au cours de la dernière année, vous est-il arrivé souvent, à l'occasion, rarement ou jamais de consommerde l'alcool...

    Total 18 + Fr.n=930 n=838% %

    a) À la maison?

    Souvent . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35 37À l'occasion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39 38Rarement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19 19Jamais . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 6NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 0

    38

  • 39

    12. Au cours de la dernière année, vous est-il arrivé souvent, à l'occasion, rarement ou jamais de consommerde l'alcool...

    Total 18 + Fr.n=930 n=838

    b) Au restaurant?% %

    Souvent . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16 17À l'occasion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46 47Rarement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21 21Jamais . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17 14NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . -- --

    c) Dans un bar?% %

    Souvent . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14 14À l'occasion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19 20Rarement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15 15Jamais . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52 50NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . -- --

    d) Dans une discothèque?% %

    Souvent . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 9À l'occasion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 9Rarement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 12Jamais . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69 69NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . -- --

    e) Chez des amis?% %

    Souvent . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19 20À l'occasion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 62 60Rarement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 12Jamais . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8 7NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . -- --

    f) En jouant à des jeux de hasard (loterie vidéo, poker, cartes, bingo, casino, etc.)?

    % %Souvent . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 3À l'occasion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 7Rarement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 7Jamais . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 83 84NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . -- --

  • 13. A quel endroit consommez-vous le plus fréquemment de l'alcool?

    Total 18 + Fr.n=930 n=838% %

    À la maison . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60 63Au restaurant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 9Dans un bar . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 10Dans une discothèque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 2Chez des amis ou parents . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17 14Ailleurs (précisez) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 1NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . -- --

    14. Vous arrive-t-il de consommer de l'alcool (bières, vins, spiritueux) dans les circonstances suivantes :

    Total 18 + Fr.n=921 n=833

    a) En prenant un repas à la maison% %

    Oui . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 77 79Non . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22 21NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . -- --

    b) En prenant un repas au restaurant% %

    Oui . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 78 80Non . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22 20NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 0

    c) Seul(e)% %

    Oui . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29 30Non . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 71 70NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 0

    d) Pour célébrer un événement heureux

    % %Oui . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 94 93Non . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 7NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 0

    e) Pour vous détendre% %

    Oui . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47 48Non . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53 52NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . -- --

    40

  • 41

    15. Au cours des douze derniers mois, combien de fois avez-vous pris cinq consommations ou plus DANSUNE MEME OCCASION?

    Total 18 + Fr.n=930 n=838% %

    Jamais . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50 51Moins d'une fois par mois . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27 271 fois par mois . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10 92 à 3 fois par mois . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 61 fois par semaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 32 à 3 fois par semaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 3Tous les jours ou presque tous les jours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . -- 1NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . -- --

    16. Au cours des douze derniers mois, combien de fois avez-vous pris huit consommations ou plus DANSUNE MEME OCCASION?

    Total 18 + Fr.n=453 n=402% %

    Jamais . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52 51Moins d'une fois par mois . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29 311 fois par mois . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8 82 à 3 fois par mois . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 51 fois par semaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 32 à 3 fois par semaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1Tous les jours ou presque tous les jours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . -- 1

    17. Habituellement, combien de consommations prenez-vous par semaine?

    Total 18 + Fr.n=930 n=838% %

    Aucune . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26 251 à 5 consommations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49 506 à 10 consommations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13 14Plus de 10 consommations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 9NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 2

    18. Au cours des 12 derniers mois, vous est-il déjà arrivé de sentir que votre consommation nuisait...

    Total 18 + Fr.n=930 n=838

    a) À vos relations avec vos ami(e)s ou à votre vie sociale?% %

    Oui . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 2Non . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 98 98NSP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . -- --Refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 0

  • Total 18 + Fr.n=930 n=838

    b) À votre santé physique?% %

    Oui . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8 8Non . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 92 92NSP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . -- --Refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 0

    c) À votre attitude envers la vie?% %

    Oui . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 3Non . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 96 96NSP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . -- --Refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 0

    d) À votre conjoint(e)/à votre partenaire?% %

    Oui . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 2Non . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 90 91Non applicable (pas de partenaire) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8 7NSP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 0Refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 0

    e) À votre (vos) enfant(s)?% %

    Oui . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1Non . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 82 85Non applicable (n'a pas d'enfant) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17 14NSP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 0Refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . -- --

    f) À votre vie familiale?% %

    Oui . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 2Non . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 96 95Non applicable (vit seul) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 3NSP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 0Refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 0

    g) À votre travail, à vos études ou à vos possibilités d'emploi?% %

    Oui . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 2Non . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 93 93Non applicable . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 5NSP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 0Refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 0

    42

  • 43

    Total 18 + Fr.n=930 n=838

    h) À votre situation financière?% %

    Oui . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 3Non . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 97 97NSP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 0Refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 0

    19. Vous arrive-t-il souvent, à l'occasion, rarement ou jamais de lire les informations inscrites sur les étiquettesdes bouteilles d'alcool (bière, vin, spiritueux)?

    Total 18 + Fr.n=930 n=838% %

    Souvent . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27 28À l'occasion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26 26Rarement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18 18Jamais . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28 28NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . -- --

    20. Si un texte ou une étiquette de mise en garde était apposé sur les bouteilles d'alcool, croyez-vous quecela influencerait beaucoup, assez, un peu ou pas du tout votre niveau de consommation d'alcool?

    Total 18 + Fr.n=930 n=838% %

    Beaucoup . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 5Assez . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 8Un peu . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25 24Pas du tout . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59 62NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1

    21. Dites-moi si vous êtes tout à fait d'accord, plutôt d'accord, plutôt en désaccord ou tout à fait en désaccordavec les affirmations suivantes :

    Total 18 + Fr.n=1 104 n=990

    a) Une cigarette est plus nocive qu'un verre d'alcool% %

    Tout à fait d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48 47Plutôt d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24 25Plutôt en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 11Tout à fait en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8 8NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 10

  • Total 18 + Fr.n=1 104 n=990

    b) Pris modérément l'alcool est bon pour la santé% %

    Tout à fait d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27 29Plutôt d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39 40Plutôt en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21 20Tout à fait en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10 10NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 2

    c) L'alcool est une drogue% %

    Tout à fait d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36 35Plutôt d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30 31Plutôt en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19 20Tout à fait en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13 14NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1

    d) L'alcool procure du plaisir% %

    Tout à fait d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19 18Plutôt d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42 42Plutôt en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21 22Tout à fait en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16 17NSP/Refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 2

    e) La plupart des gens sont capables de boire sans abuser% %

    Tout à fait d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23 21Plutôt d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41 42Plutôt en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21 21Tout à fait en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13 13NSP/Refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 3

    f) Même pris modérément, l'alcool nuit à la santé% %

    Tout à fait d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14 13Plutôt d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20 18Plutôt en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40 41Tout à fait en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23 24NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 2

    44

  • 45

    22. Personnellement, jusqu'à combien de verres considérez-vous qu'une consommation d'alcool estmodérée?

    Total 18 + Fr.n=1 104 n=990

    % %Aucun . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . - -1 verre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13 132 verres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40 393 verres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27 284 verres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 65 verres ou plus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 4Cela dépend . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13 8NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 1

    23a. À votre connaissance, qu'est-ce qui est recommandé pour une femme enceinte en matière de consomma-tion d'alcool pendant sa grossesse?

    Total 18 + Fr.n=1 104 n=990

    % %Consommer la même quantité d'alcool qu'avant d'être enceinte . . . . . 0 0Modérer sa consommation d'alcool . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 9S'abstenir de boire de l'alcool . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 91 91NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 --

    23b. Personnellement, trouvez-vous acceptable ou inacceptable qu'une femme enceinte consommemodérémentde l'alcool, à l'occasion, pendant sa grossesse?

    Total 18 + Fr.n=1 104 n=990

    % %Acceptable . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28 29Inacceptable . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 71 70NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1

    23c. Diriez-vous que prendre un verre à l'occasion pendant sa grossesse...

    Total 18 + Fr.n=1 104 n=990

    % %Nuit certainement à la santé du fœtus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16 15Comporte un risque important . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29 29Comporte un risque faible . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40 41Ou ne comporte aucun risque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 11NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 4

  • 23d. Femmes seulement : Personnellement, si vous étiez enceinte, qu'est-ce qui pourrait le mieux vousconvaincre de ne pas consommer d'alcool pendant votre grossesse :

    Total 18 + Fr.n=597 n=542% %

    Avoir de l'information complète et objective sur la question . . . . . . . 50 49Avoir de l'information portant uniquement sur les dangerspotentiels . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20 21Rendre la consommation d'alcool pendant la grossessesocialement inacceptable . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14 14Amener votre entourage à exercer une pression sur vous afinde ne pas consommer d'alcool . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 4Aucune de ces réponses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8 8NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 4

    24. Selon vous, quels sont les principaux problèmes liés à la consommation abusive d'alcool?

    Total 18 + Fr.n=1 104 n=990

    % %Alcool au volant/accidents routiers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16 17Alcoolisme/dépendance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22 21Affaiblissement des facultés/ irresponsabilité . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 7Difficultés relationnelles (amicales, sociales) . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16 17Difficultés relations familiales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22 23Fuite de la réalité, évasion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 4Perte de l'estime de soi/perte de confiance en soi . . . . . . . . . . . . . 4 4Problèmes au travail : absentéisme/manque de productivité/perte d'emploi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 10Problèmes de comportement/perte de contrôle . . . . . . . . . . . . . . . 14 15Problèmes de santé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28 27Problèmes financiers/pauvreté . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16 16Problèmes personnels . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 6Problèmes psychologiques/émotifs/affectifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 12Solitude/ennui . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 3Violence en général . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 10Violence conjugale/familiale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 5Autres (préciser) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 3NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 4

    46

  • 47

    25a. D'après vous, à qui revient principalement la responsabilité d'éduquer et d'informer les enfants ausujet de la consommation d'alcool et des problèmes qui découlent d'une consommation abusive?

    Total 18 + Fr.n=1 104 n=990

    % %Les parents . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 92 93L'école . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 2Les ami(e)s . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 0L'expérience personnelle (la vie) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . -- --La société en général . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1Le gouvernement en général . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1L'industrie de l'alcool . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1Autre (préciser) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1

    25b. Dans quelle mesure êtes-vous d'accord ou en désaccord avec le fait que les parents initient leursadolescents à la consommation modérée d'alcool, en leur en servant un verre, sous surveillance, àl'occasion d'un repas par exemple?

    Total 18 + Fr.n=1 104 n=990

    % %Tout à fait d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24 22Plutôt d'accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34 34Plutôt en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19 20Ou tout à fait en désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23 23NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1

    26. Diriez-vous que les Québécois sont PLUS sensibilisés ou MOINS sensibilisés qu'il y a cinq ans àune consommation modérée et équilibrée d'alcool?

    Total 18 + Fr.n=1 104 n=990

    % %Plus sensibilisés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69 72Moins sensibilisés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 10Ni plus ni moins . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 11NSP/refus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8 7

    27. À quoi ou à qui attribuez-vous cette plus grande sensibilisation?

    Total 18 + Fr.n=779 n=714% %

    Accidents routiers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 6Campagnes d'Éduc'alcool . . . . . . . . . . . . .