linteraction septembre final - ordre des pharmaciens … solution à cette impasse en échangeant...

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Par Diane Lamarre, pharmacienne, M. Sc. Présidente de l’Ordre des pharmaciens du Québec L’entrée en vigueur d’une nouvelle loi s’accompagne généralement d’une période durant laquelle de nouvelles modalités de travail sont établies et de nouvelles balises sont mises en place. L’adoption du projet de loi 90 n’a pas fait exception à la règle. Depuis 2002, le Collège des médecins (CMQ), l’Ordre des infirmières et infirmiers (OIIQ) et l’Ordre des pharmaciens du Québec (OPQ) tentent de trouver une interprétation commune, cohérente avec les besoins de la population et la protection du public. Les activités visant l’ajustement des médicaments par les pharmaciens et les infirmières se situaient depuis au cœur d’un profond litige. L’Ordre a travaillé sur deux fronts : d’abord à s’assurer que l’ajustement par les pharmaciens soit pleinement reconnu et facilité, ensuite à dénouer l’impasse qui faisait obstruction à toute ouverture à l’endroit des pharmaciens. L’ajustement par les pharmaciens Sur le premier plan, de nombreuses démarches de représentation, dont plusieurs sont expliquées plus loin, ont été effectuées. Puisque les pharmaciens peuvent initier et ajuster la thérapie médicamenteuse, l’Ordre a rendu accessibles 14 ordonnances collectives visant à leur permettre de le faire pour plusieurs thérapies médicamenteuses selon une ordonnance médicale. Ces ordonnances portent, entre autres, sur l’ajustement de médicaments en cas d’asthme, de diabète ou de douleurs chroniques. Conformes aux exigences prévues par la règlementation, ces ordonnances peuvent devenir actives dès que vous en convenez avec les médecins avec lesquels vous travaillez. Plusieurs pharmaciens nous ont déjà signalé qu’ils avaient présenté ces ordonnances à des collègues médecins et qu’elles sont déjà en vigueur dans plusieurs milieux. De plus, un canevas vierge comportant toutes les exigences d’une ordonnance collective a été ajouté et permet à tous les médecins et pharmaciens travaillant ensemble de concevoir leurs propres ordonnances collectives adaptées à des situations cliniques locales. Toutes ces ordonnances sont disponibles depuis quelques semaines sur le site Web de l’Ordre (www.opq.org) et peuvent également vous être envoyées, au besoin, en version papier ou en format Word. Actualités LOI 90 : MISE À JOUR Suite à la page 2 SEPTEMBRE 2010 ACTUALITÉS page 1 Deux pharmaciens à l’honneur page 4 Un nouveau comité exécutif pour l’Ordre page 5 Une journée en mode solutions ! page 6 Rapport de l’IUGM sur l’approche adaptée pour la personne âgée en milieu hospitalier page 9 Diane Lamarre reçoit un doctorat honoris causa de l’Université Laval page 9 L’Ordre à votre rencontre page 10 Dernière heure page 10 Cote air santé page 11 Contraceptifs oraux combinés contenant de la drospirénone page 11 Semaine des professionnels page 32 AVIS page 11 CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR Info-Déonto page 12 Programme Alerte page 12 La déclaration des réclamations portant sur votre responsabilité professionnelle est désormais une obligation page 12 Médicaments périmés – soyons vigilants ! page 13 DES QUESTIONS, DES RÉPONSES Précisions quant aux ordonnances émises par un dentiste page 14 OFFRES D’EMPLOI page 15 ACTIVITÉS À VENIR page 32

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Par Diane Lamarre, pharmacienne, M. Sc.Présidente de l’Ordre des pharmaciens du Québec

L’entrée en vigueur d’une nouvelle loi s’accompagne généralement d’une période durant laquelle de nouvelles modalités de travail sont établies et de nouvelles balises sont mises en place. L’adoption du projet de loi 90 n’a pas fait exception à la règle.

Depuis 2002, le Collège des médecins (CMQ), l’Ordre des infirmières et infirmiers (OIIQ) et l’Ordre des pharmaciens du Québec (OPQ) tentent de trouver une interprétation commune, cohérente avec les besoins de la population et

la protection du public. Les activités visant l’ajustement des médicaments par les pharmaciens et les infirmières se situaient depuis au cœur d’un profond litige.

L’Ordre a travaillé sur deux fronts : d’abord à s’assurer que l’ajustement par les pharmaciens soit pleinement reconnu et facilité, ensuite à dénouer l’impasse qui faisait obstruction à toute ouverture à l’endroit des pharmaciens.

L’ajustement par les pharmaciens Sur le premier plan, de nombreuses démarches de représentation, dont plusieurs sont expliquées plus loin, ont été effectuées. Puisque les pharmaciens peuvent initier et ajuster la thérapie médicamenteuse, l’Ordre a rendu accessibles 14 ordonnances collectives visant à leur permettre de le faire pour plusieurs thérapies médicamenteuses selon une ordonnance médicale. Ces ordonnances portent, entre autres, sur l’ajustement de médicaments en cas d’asthme, de diabète ou de douleurs chroniques. Conformes aux exigences prévues par la règlementation, ces ordonnances peuvent devenir actives dès que vous en convenez avec les médecins avec lesquels vous travaillez. Plusieurs pharmaciens nous ont déjà signalé qu’ils avaient présenté ces ordonnances à des collègues médecins et qu’elles sont déjà en vigueur dans plusieurs milieux. De plus, un canevas vierge comportant toutes les exigences d’une ordonnance collective a été ajouté et permet à tous les médecins et pharmaciens travaillant ensemble de concevoir leurs propres ordonnances collectives adaptées à des situations cliniques locales. Toutes ces ordonnances sont disponibles depuis quelques semaines sur le site Web de l’Ordre (www.opq.org) et peuvent également vous être envoyées, au besoin, en version papier ou en format Word.

Actualités

LOI 90 : MISE À JOUR

Suite à la page 2

SEPTEMBRE 2010

ACTUALITÉS

page 1

Deux pharmaciens à l’honneur page 4

Un nouveau comité exécutif pour l’Ordre page 5

Une journée en mode solutions ! page 6

Rapport de l’IUGM sur l’approche adaptée pour la personne âgée en milieu hospitalier page 9

Diane Lamarre reçoit un doctorat honoris causa de l’Université Laval page 9

L’Ordre à votre rencontre page 10

Dernière heure page 10

Cote air santé page 11

Contraceptifs oraux combinés contenant de la drospirénone page 11

Semaine des professionnels page 32

AVIS page 11

CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR

Info-Déonto page 12

Programme Alerte page 12

La déclaration des réclamations portant sur votre responsabilité professionnelle est désormais une obligation page 12

Médicaments périmés – soyons vigilants ! page 13

DES QUESTIONS, DES RÉPONSES

Précisions quant aux ordonnances émises par un dentiste page 14

OFFRES D’EMPLOI page 15

ACTIVITÉS À VENIR page 32

L’INTERACTION | 2 | SEPTEMBRE 2010

... suite de l’éditorial

Actualités

L’ajustement par les infirmières

L’Ordre des pharmaciens du Québec a toujours reconnu le droit pour une infirmière d’ajuster un médicament qu’elle administre.

En ce qui concerne un médicament ajusté pour un patient ambulatoire, un comité de travail OPQ-OIIQ en était arrivé à une position conjointe après plus de deux ans de travail. Les conseils d’administration des deux ordres ont entériné cette prise de position à l’été 2007.

En 2008, l’OIIQ annulait unilatéralement cette entente et revendiquait, de concert avec le CMQ et la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ), le droit pour une infirmière d’ajuster les médicaments sans restriction. Même le ministère de la Justice, responsable de l’application des lois professionnelles, et l’Office des professions du Québec ne remettaient pas en cause cette revendication. L’Ordre se retrouvait ainsi politiquement isolé depuis 2008.

Dans la même veine, le CMQ adoptait une vision réductrice dans son interprétation du rôle du pharmacien, considérant qu’une évaluation préalable par une infirmière était le plus souvent obligatoire avant qu’un pharmacien puisse initier ou ajuster la thérapie médicamenteuse. Le contexte complètement désorganisé dans lequel les premières ordonnances collectives ajustées par les infirmières ont été acheminées aux pharmaciens communautaires comportait de nombreuses situations risquées quant à la sécurité du public. J’ai porté ces situations que vous m’avez transmises à l’attention de plusieurs décideurs politiques.

Parallèlement à cela, le ministre de la Santé venait jeter une douche froide sur les activités d’ajustement en anticoagulothérapie effectuées par les pharmaciens en refusant de les rémunérer en juin 2008 et, par la suite, en refusant toute ouverture à leur endroit sans une entente avec le CMQ et l’OIIQ.

Comment dénouer une telle impasse ?

L’Ordre des pharmaciens du Québec a tenté de trouver une solution à cette impasse en échangeant avec tous ces interlocuteurs depuis le début du litige. L’Ordre a reçu le support notamment de l’Association québécoise des pharmaciens propriétaires et de l’Association des bannières et des chaînes de pharmacie du Québec lors de ces négociations. Depuis l’année 2010, le MSSS collabore aux échanges.

C’est ainsi que l’Ordre a réussi à faire valoir au ministère, à l’OIIQ et au CMQ que les ordonnances collectives en milieu ambulatoire, telles que les pharmaciens les recevaient,

étaient inacceptables sur le plan de l’opérationnalisation des activités en pharmacie, et qu’elles multipliaient le nombre d’intervenants dans la gestion de la thérapie, dans certains cas, au détriment de la sécurité du patient. L’idée de la loi 90 n’était-elle pas d’alléger notre système de santé en contexte de pénurie de professionnels ? La multiplicité d’ordonnances collectives pour une même condition clinique dans un même lieu rendait la gestion de celles-ci complexe et risquée, ne tenant pas compte du contexte de travail du pharmacien.

Bien que cela semble évident à tout pharmacien, nous avons dû travailler à faire reconnaître l’habilité légale et les compétences des pharmaciens pour ajuster et initier la thérapie médicamenteuse. Certaines interventions médiatiques du CMQ en mars dernier allaient jusqu’à mettre en doute les compétences des pharmaciens pour ce faire.

Dans ce contexte, la réaction de l’Ordre a été ferme. Si des ouvertures étaient faites à l’endroit des infirmières, elles devaient aussi être confirmées à l’endroit des pharmaciens et devaient même être plus larges puisque l’ajustement de la thérapie médicamenteuse, tel que le décrit la Loi sur la pharmacie, englobe l’ajustement de tous les médicaments.

De ces négociations, l’Ordre des pharmaciens du Québec a réussi à faire accepter que des conditions essentielles à l’ajustement d’un médicament par une infirmière dans les milieux ambulatoires (ex. : groupes de médecine familiale (GMF) soient convenues par les trois ordres et le ministère.

Il est à noter que les pharmaciens peuvent actuellement et continuent de pouvoir procéder à tous les ajustements. Les conditions prévues ne visent que l’ajustement par les infirmières.

Ces conditions sont :que le pharmacien ait accès d’emblée, sans avoir à le demander, à l’ordonnance collective accompagnée du ou des protocoles auxquels elle réfère, le cas échéant ;que des ordonnances de référence soient prévues afin de limiter le nombre d’ordonnances collectives en circulation pour une même condition clinique. Leur dépôt sur un site Web est prévu ;que l’ajustement soit inscrit sur un formulaire de liaison comportant obligatoirement, entre autres, la donnée biologique ou physiologique sur laquelle l’infirmière s’est basée pour recommander l’ajustement.

Dans un premier temps, en lien particulièrement avec la mission des GMF, certains médicaments utilisés dans quatre conditions cliniques pourront faire l’objet d’un

L’INTERACTION | 3 | SEPTEMBRE 2010

L’interactionOrdre des pharmaciens du Québec

266, rue Notre-Dame Ouest, bur. 301

Montréal (Québec) H2Y 1T6

Tél. : 514-284-9588

Sans frais : 1-800-363-0324

COORDINATIONDorothée Philippon

Véronique Ardouin

Guylaine Bertrand

Jocelyn Binet

Danielle Boulais

Michel Caron

André Gravel

Diane Lamarre

Nathalie Tellier

Julie Villeneuve

Des commentaires ? Des questions [email protected]

Poste publication : 40008414

Dépôt légal, 3e trimestre 2010

Bibliothèque et Archives

nationales du Québec

Bibliothèque et Archives Canada

ISSN 1918-6789

Les articles de L’interaction ne peuvent être

reproduits sans l’autorisation de l’éditeur.

L’interaction est publié sur du papier

fait à 100 % de matières recyclées.

Actualités

ajustement par une infirmière. Ces conditions sont l’hypertension, le diabète, les dyslipidémies et l’anticoagulothérapie.

Une évaluation de la mise en œuvre est prévue 6 à 9 mois après le début de ces activités. Cette évaluation déterminera l’ajout de nouvelles conditions cliniques, s’il y a lieu.

La conclusion de l’entente stipule que « Le Collège des médecins du Québec, l’Ordre des infirmières et infirmiers du Québec et l’Ordre des pharmaciens du Québec ne s’opposeront pas et collaboreront à la mise en place des ordonnances collectives qui permettront aux infirmières d’ajuster des médicaments et aux pharmaciens d’ajuster la thérapie médicamenteuse. »

Un groupe de pilotage de mise en œuvre, dont les résultats des travaux sont attendus pour l’automne, verra à une opérationnalisation acceptable pour tous. Aucun représentant d’ordre professionnel n’est présent à ce comité constitué de trois personnes du MSSS, d’un membre de la Fédération des médecins spécialistes du Québec (FMSQ), d’un membre de la FMOQ, d’une directrice de soins infirmiers désignée par l’Association québécoise d’établissements de santé et de services sociaux (AQESSS) et de deux pharmaciens communautaires, messieurs Normand Bonin et Jean-François Morin.

Plusieurs médecins œuvrant auprès des patients préfèrent réserver le temps des infirmières à des activités où leurs compétences sont uniques. Les pharmaciens ne peuvent pas faire de test Pap ou de soins de plaies. Mais pour l’ajustement de la thérapie médicamenteuse, l’Ordre n’acceptera pas que l’on puisse réfuter l’indispensabilité des pharmaciens.

Depuis l’ouverture encadrée du Conseil d’administration de l’Ordre pour l’ajustement de certains médicaments par les infirmières, on note un assouplissement de la position du CMQ à l’endroit des pharmaciens. Alors qu’il y a quelques mois on ne parlait que de l’ajustement par les infirmières, le CMQ indiquait dans un récent communiqué qu’il montrait une grande ouverture envers les pharmaciens.

En lien avec son refus antérieur de rémunérer l’ajustement des anticoagulants par le pharmacien, le ministre nous a dit que ce n’était pas parce qu’il avait dit non un jour, qu’il dirait non toujours. L’Ordre poursuit également son travail pour la reconnaissance d’activités autonomes pour les pharmaciens à l’instar de certaines autres provinces, et il reçoit une écoute favorable.

Il est important et urgent que les pharmaciens prennent leur place et soient reconnus pour les activités d’ajustement. La valeur des services rendus au système de santé ne pourra être ignorée. C’est donc à nous de faire et de faire valoir.

Si le ministre veut libérer du temps pour les médecins dont notre système de santé a tant besoin, il doit agir afin de reconnaître aux pharmaciens la place qui leur revient. La population, les médias et de nombreux députés réclament cet apport du pharmacien. Les pharmaciens sont déjà formés, diplômés et répartis partout sur le territoire du Québec. Ils sont une force du système de santé. Les tenir à l’écart serait priver la population de services essentiels.

« Pour l’ajustement de la thérapie médicamenteuse, l’Ordre n’acceptera

pas que l’on puisse réfuter l’indispensabilité des pharmaciens. »

L’INTERACTION | 4 | SEPTEMBRE 2010

Actualités

L’assemblée générale annuelle du 9 juin a été l’occasion pour l’Ordre et le Conseil interprofessionnel du Québec (CIQ) de souligner l’excellence de deux pharmaciens, Jacques Turgeon et Hélène Blanchette, en leur décernant respectivement le prix Louis-Hébert et le Mérite du CIQ.

Jacques Turgeon reçoit le prix Louis-Hébert

L’Ordre a décerné le prix Louis-Hébert à M. Jacques Turgeon, pharmacien, pour son apport remarquable à la profession en sa qualité d’enseignant, d’auteur et de chercheur.

Titulaire d’un doctorat en métabolisme des médicaments de l’Université Laval, M. Turgeon a complété ses études par un post-doctorat à l’Université Vanderbilt à Nashville

M. Turgeon a été responsable pendant huit années de la recherche à l’Institut cardiologique de l’Hôpital Laval. À la tête du Centre de recherche du CHUM depuis 2007, il dirige l’un des plus importants centres de recherche francophones en santé en Amérique du Nord, comptant plus de 300 chercheurs et 1500 employés. À ce titre, il poursuit ses recherches dans le domaine de la détermination des facteurs pouvant expliquer la variabilité interindividuelle dans la réponse aux médicaments. M. Turgeon se consacre également avec cœur à la formation et à l’enseignement de la relève en rejoignant tour à tour les rangs des facultés de pharmacie et de médecine de l’Université Laval et de l’Université de Montréal. La qualité de son enseignement et de son dévouement envers ses étudiants seront salués à maintes reprises par l’entremise de prix d’excellence. De 2000 à 2005, alors doyen de la Faculté de pharmacie de l’Université de Montréal, il a contribué étroitement à la construction des pavillons Marcelle et Jean Coutu, offrant ainsi aux pharmaciens de demain des conditions idéales d’apprentissage.

DEUX PHARMACIENS À L’HONNEUR

Enfin, M. Turgeon a rédigé un grand nombre d’articles scientifiques, de chapitres de livres, de résumés de conférences, et il a animé plus de 400 conférences. À ce titre, il est un expert reconnu tant au Québec que sur le plan international. « Rares sont les médecins ou les pharmaciens qui n’ont pas assisté à une formation de M. Turgeon sur les interactions médicamenteuses », a tenu à souligner Diane Lamarre, lors de la remise de prix. « Tout en occupant des fonctions de haut niveau, M. Turgeon a toujours continué de se rendre disponible pour communiquer les dernières connaissances aux professionnels de la santé. Sa grande générosité auprès des professionnels du terrain mérite d’être soulignée ici. » La progression des connaissances dans le domaine pharmacologique a été très importante au cours des 15-20 dernières années. « Je me suis toujours investi pour qu’on puisse les rendre applicables », mentionnait-il dans le message vidéo diffusé à l’occasion. « C’est bien de publier et de découvrir des choses fantastiques mais l’objectif est de les rendre transférables et disponibles au pharmacien pour qui le monitoring des interactions médicamenteuses et les soins pharmaceutiques devraient être son pain et son beurre, et qui font en sorte qu’il est un joueur majeur dans l’établissement d’une pharmacothérapie optimale. »

Le prix Louis-Hébert est remis annuellement par l’Ordre des pharmaciens du Québec à l’un de ses membres, actuel ou antérieur, pour l’innovation dont il fait preuve, son engagement envers la prestation de soins pharmaceutiques de qualité, son rayonnement au sein de la profession, comme à l’extérieur du milieu de pratique, pour ses qualités personnelles, son intégrité, sa rigueur ainsi que pour ses standards éthiques élevés.

L’INTERACTION | 5 | SEPTEMBRE 2010

Comme le soulignait Mme Blanchette lors de la remise de son prix, « faire partie d’un ordre professionnel est un privilège. Le cadre législatif et réglementaire peut sembler lourd de prime abord. Mais même si la pratique de certains loisirs, la voile par exemple, comporte des contraintes, il n’empêche pas moins qu’on ressent une grande liberté lorsqu’on les pratique. Comme pharmacienne, ma compétence et la confiance que nous accordent mes patients font en sorte que je me sens libre, tous les jours où j’exerce ma profession. Et nous sommes responsables de chérir cette liberté pour le bien de nos patients. »

Le CIQ décerne chaque année le prix Mérite du CIQ pour rendre hommage à un professionnel s’étant démarqué principalement pour son implication dans le développement de l’Ordre, dans le domaine de la recherche, de l’enseignement ou pour sa contribution au rayonnement de la profession, soit au niveau provincial, national ou international.

L’Ordre tient à féliciter les deux lauréats pour leur distinction et leurs accomplissements bénéfiques à la profession de pharmacien, au système professionnel et à la société québécoise !

Mme Hélène Blanchette, pharmacienne, s’est vu remettre des mains du président du Conseil interprofessionnel du Québec (CIQ), M. Richard Gagnon, le prix Mérite du CIQ.

Membre de l’Ordre des pharmaciens du Québec depuis 1990, Mme Blanchette s’est impliquée pendant de nombreuses années dans les activités de l’Ordre à titre d’administratrice (entre 2001 et 2009) et de présidente de comités. En plus de ces activités, Mme Blanchette supervise, à titre de clinicienne associée à la Faculté de pharmacie de l’Université de Montréal, des étudiants

en pharmacie dans le cadre de leur stage de 4e année en milieu communautaire. Communicatrice de talent, Mme Blanchette a été rédactrice adjointe et rédactrice en chef de la revue Québec Pharmacie, un magazine spécialisé dont l’objectif est la formation continue des pharmaciens québécois. Maintenant responsable et auteur des chroniques « Passons aux actes » et « Quelques conseils sur… », elle est également membre du comité de rédaction. En plus de son implication au sein de Québec Pharmacie, elle signe un billet tous les mois pour le site Web Profession Santé, la référence en ligne des professionnels de la santé au Québec.

Actualités

Hélène Blanchette reçoit le Mérite du CIQ

!Le comité exécutif pour l’exercice 2010-2011 est constitué des administrateurs suivants :

Diane Lamarre, présidente

Stéphanie Mercier, vice-présidente (pharmacienne de la région Capitale-Nationale)

Stéphane Plante, administrateur (pharmacien de la région Bas-Saint-Laurent / Gaspésie / Îles-de-la-Madeleine)

Isabelle Tremblay, administratrice (pharmacienne de la région Saguenay–Lac-Saint-Jean et Côte-Nord)

Roland Larochelle, administrateur nommé par l’Office des professions du Québec

L’INTERACTION | 6 | SEPTEMBRE 2010

Plus tard, Claudine Laurier, professeure titulaire à la Faculté de pharmacie de l’Université de Montréal, a présenté un résumé des écrits et des recherches concernant l’impact du pharmacien sur l’usage optimal des médicaments. Malgré le fait que certaines répercussions soient plus difficiles à mettre en évidence, il en est ressorti que la somme des preuves confirme que les interventions du pharmacien ont une valeur ajoutée. La qualité des preuves mériterait d’être améliorée, notamment en ce qui a trait à l’efficience, et les bonnes preuves existantes mériteraient d’être diffusées ailleurs que dans le monde pharmaceutique. « Les preuves ne suffisent pas nécessairement à induire des changements », a souligné avec justesse Mme Laurier. Mais elles peuvent assurément aider !

De la visite de l’Alberta !

Après la pause du matin, un duo particulièrement apprécié a pris la parole. Carole Bouchard, directrice générale de l’Association nationale des organismes de réglementation en pharmacie, a présenté la situation qui prévaut au Canada, en ce qui concerne l’exercice de la pharmacie. On constate que plusieurs provinces ont amorcé ou déjà mis en œuvre des changements législatifs ou réglementaires permettant au pharmacien d’exercer de manière autonome de nouvelles activités, pour répondre aux besoins des patients.

Monique Lavoie, pharmacienne de Peace River, en Alberta, est venue témoigner de sa réalité de pharmacienne qui a vu ses condition d’exercice changer au cours des dernières années. Les participants ont beaucoup apprécié le côté très pratique de son intervention qui a permis de démontrer l’utilité pour les patients des nouvelles interventions du pharmacien, mais également de mettre en relief les avantages et les difficultés de leur mise en œuvre pour les professionnels de la santé.

Ensuite, un panel animé par Marie-Claude Lavallée et composé d’un trio multidisciplinaire (infirmière, médecin, pharmacien) et du président du Conseil pour la protection des malades, Me Paul Brunet, a échangé sur la place du pharmacien au sein du système de santé, et de ce qu’il pourrait apporter de plus. Nous avions ici affaire à quatre personnes convaincues de l’apport du pharmacien ;

Rares sont les journées où nous avons la chance de se pencher sur des solutions concrètes pouvant être mises en place au sein de notre système de santé. C’est pourtant ce à quoi se sont consacrées plus de 325 personnes – pharmaciens, étudiants, résidents en pharmacie et partenaires – le 9 juin dernier, dans le cadre du grand Rendez-vous organisé par l’Ordre sur le thème « Système de santé sous haute pression : le pharmacien, au cœur de la solution ! ». Et à entendre les propos des intervenants et des participants à l’événement : des solutions, il en existe !

Des ordonnances collectives remises à tous les participants

Dès l’ouverture de cette journée, l’Ordre a remis à tous les participants un cartable contenant 14 modèles d’ordonnances collectives d’initiation ou d’ajustement, et un modèle d’ordonnance individuelle d’ajustement (anticoagulothérapie). Vous trouverez ces modèles sur le site Web de l’Ordre au www.opq.org, dans la section « Services aux membres / Ordonnances collectives et outils pratiques de l’Ordre ».

Des conférenciers ont présenté un état de situation

Après la conférence d’ouverture de Diane Lamarre présentant les résultats de deux importants sondages (voir article de la page 8), deux conférences visaient à présenter un état de situation du système de santé.

À l’aide de nombreuses données comparant les situations du Canada et du Québec avec celles d’autres pays, le Dr Jean-Frédéric Lévesque, commissaire adjoint à la santé et au bien-être, est venu présenter deux messages principaux. D’abord, que la première ligne de soins présente des défis importants concernant l’accessibilité, la coordination et le soutien aux soins chroniques et que ces défis se reflètent dans un suivi du traitement pharmacologique peu systématisé.

Ensuite, le commissaire a souligné que « le manque d’accessibilité et d’outillage des cliniques de première ligne médicale interpellent le pharmacien dans un rôle complémentaire et une perspective interdisciplinaire des soins chroniques. »

Actualités

L’INTERACTION | 7 | SEPTEMBRE 2010

L’une, animée par Maude Blanchet, portait sur le bilan comparatif des médicaments, devenu une condition d’agrément pour les établissements de santé, un outil qui bénéficie à tous les professionnels du secteur ambulatoire et qui permet d’intervenir plus adéquatement auprès des patients. L’autre conférence, animée par Stéphane Côté, portait sur la clinique-réseau d’anticoagulothérapie développée

en Beauce et à laquelle de nombreuses pharmacies de la région participent.

Des vox pop et un mot de la fin de groupe !

Au cours de la journée, des vox pop de citoyens répondant à des questions sur le système de santé et sur le rôle du pharmacien ont été présentés. Ces interventions ont permis de rendre les propos des conférenciers et des panélistes encore plus concrets et d’illustrer les défis de notre système et leur complexité. De façon générale, les intervenants aux vox pop étaient d’avis que le pharmacien pouvait apporter une contribution encore plus importante, compte tenu de son accessibilité, de ses compétences et de son lien avec ses patients.

En mot de la fin, l’Ordre a donné la parole aux représentants des diverses associations de pharmaciens, aux doyens des universités ainsi qu’à deux étudiantes présentes à l’événement. Un élément est particulièrement ressorti : de telles rencontres sont à répéter plus d’une fois tous les dix ans ! Les membres de la profession doivent se rencontrer plus souvent et échanger, ensemble, sur les solutions à mettre en œuvre.

Il est temps de passer à l’action ! C’est le message lancé par la présidente de l’Ordre, en conclusion à cette journée riche en idées, riche en interventions, riche en solutions !

L’Ordre tient à remercier les membres du comité du programme pour leur participation à l’élaboration du programme de ce Rendez-vous.

toutes convenaient que celui-ci devrait être mieux intégré. Pourquoi n’est-ce pas déjà le cas et comment faire pour y arriver ? C’est sur ces questions et sur plusieurs autres que les panélistes sont intervenus. Ces interventions ont suscité nombre de questions parmi les participants.

Un après-midi en mode apprentissage

En après-midi, les participants ont pu assister à deux ateliers sur les quatre proposés. Celui portant sur les ordonnances collectives a été particulièrement populaire. À la présentation de Michel Caron portant sur les principaux éléments constituant une ordonnance

Gagnon, un pharmacien dans leur développement, dans sa région.

L’atelier sur le projet ProFil (Lyne Lalonde), tout comme celui portant sur l’UMF-GMF de la Cité-de-la-Santé de Laval (Dre Marie-Thérèse Fortin et Marie-Claude Vanier) ainsi que la présentation sur l’interdisciplinarité au profit des patients atteints de leucémie, de lymphome et de myélome (Martin Franco) ont tous été très appréciés des participants. Les présentations PowerPoint des ateliers sont disponibles sur le site Web de l’Ordre.

S’en sont suivies des présentations en plénière. La première, présentée par Marie-Anik Gagné, directrice politiques et recherches de l’Association des pharmaciens du Canada, portait sur le Plan directeur de la pharmacie (Blueprint), une initiative canadienne qui a débuté il y a maintenant cinq ans et qui démontre le contexte organisationnel et les conditions qui permettront de mettre en place les changements dans la pratique de la pharmacie. Ensuite, deux présentations ont été données sur autant d’initiatives porteuses.

Actualités

les présentations PowerPoint des conférenciers ;la présentation de la présidente (avec les résultats des sondages) ;les photos de l’événement ;les engagements des participants.

Visitez la section « Services aux membres ». L’information se trouve sur la page d’accueil.

SUR LE SITE WEB DE L’ORDRE, VOUS TROUVEREZ…

L’INTERACTION | 8 | SEPTEMBRE 2010

Actualités

Des statistiques encourageantes !

Dans sa présentation en introduction, Diane Lamarre a fait état de deux sondages, l’un réalisé auprès du grand public, et un autre réalisé auprès des pharmaciens. Voici quelques chiffres éloquents :

Sondage grand public (firme CROP)

99 % des répondants au sondage considèrent que le pharmacien représente un intervenant du domaine de la santé en qui ils peuvent avoir confiance.

Les pharmaciens d’établissement de santé arrivent bons premiers parmi les professionnels de la santé les mieux placés pour déceler les problèmes liés aux médicaments à l’hôpital. Les pharmaciens d’établissement ont été choisis par 45 % des répondants, les médecins par 41 %, les infirmières par 11 %.

63 % des répondants croient que la pratique du pharmacien d’hôpital peut être qualifiée de « spécialisée ». Vingt pour cent des personnes interrogées n’ont pas pu répondre à la question.

Au cours des 12 derniers mois, les répondants ont consulté en moyenne 9,6 fois un pharmacien en pharmacie. La durée moyenne des consultations était de 8,3 minutes.

92 % des répondants sont d’accord pour que les pharmaciens puissent renouveler ou prolonger temporairement des ordonnances.

89 % sont d’accord pour que les pharmaciens puissent initier une médication selon un plan de soins convenu avec le médecin.

79 % sont d’accord pour que les pharmaciens puissent ajuster la dose d’un médicament dans certains cas.

UN ENGAGEMENT PERSONNEL… POUR DE MEILLEURS SOINS !

Au cours de la journée, les participants à l’événement ont été invités à prendre un engagement personnel, contribuant ainsi à offrir de meilleurs soins à leurs patients. Au total, 37 engagements ont été formulés, tous plus différents, pertinents et intéressants les uns que les autres. Des exemples ? « Travailler à implanter certaines ordonnances collectives dans mon milieu », « Rencontrer les médecins du village pour discuter de la collaboration », « Débuter la mise sur pied de la délégation de la vérification contenant-contenu », « Remplir le formulaire d’histoire pharmacothérapeutique pour tous les nouveaux patients ».

Vous pouvez lire tous les engagements en vous rendant sur la page d’accueil de la section « Services aux membres » du site Web de l’Ordre.

Sondage auprès des pharmaciens (firme IPSOS Descarie, résultats préliminaires)

Un fort pourcentage de pharmaciens s’est dit « très intéressé » ou « assez intéressé » à réaliser certaines nouvelles activités :

prolonger des ordonnances de façon autonome : 95,3 %

initier une thérapie médicamenteuse sans ordonnance : 85,9 %

adapter une ordonnance : 93,3 %

procéder à la vaccination : 23,3 %

initier une thérapie pour des problèmes de santé mineurs : 93,6 %

effectuer une révision de la médication : - à domicile : 63,4 %- à la pharmacie : 86,5 %- à l’urgence : 56,4 %

effectuer une discussion de cas médecin pharmacien : 84,7 %

L’Ordre désire remercier les organismes et entreprises qui ont apporté leur soutien financier à ce grand Rendez-vous :

l’Association des bannières et des chaînes de pharmacie du Québec, ratiopharm, Elitis pharma, Jamp pharma, Astra Zeneca, Pfizer, Apotex, Sanofi Aventis, Mylan et Lilly.

L’INTERACTION | 9 | SEPTEMBRE 2010

Actualités

Dans un récent communiqué, l’Ordre a souligné l’excellence des recommandations formulées par l’équipe de chercheurs de l’Institut universitaire de gériatrie de Montréal (IUGM) portant sur de nouvelles pratiques afin de mieux traiter les personnes âgées. L’Ordre a mentionné souhaiter voir leur application dans les hôpitaux québécois dans les meilleurs délais.

Alors que le rapport rappelle avec justesse que 31,1 % des hospitalisations des personnes âgées fragiles sont liées à un problème associé aux médicaments et que 11 % à 59 % de ces problèmes sont jugés évitables, l’Ordre des pharmaciens a ajouté sa voix à celle des experts de

La médication des personnes âgées doit faire l’objet d’une plus grande surveillance

l’IUGM et a proposé la mise en place de trois mesures pour limiter ces impacts :

prévoir la présence d’un 1. pharmacien à l’urgence pour dresser un bilan de la médication ;

intégrer le pharmacien dans 2. les équipes de soins dans les hôpitaux, mais surtout dans les équipes de première ligne ;

implanter une révision de la 3. médication à domicile dans les 30 à 60 jours suivant le congé.

L’Ordre a également saisi l’occasion pour inviter les proches des personnes âgées vivant à domicile à apporter leur contribution en surveillant deux

Le 20 juin dernier, Diane Lamarre a reçu des mains du recteur de l’Université Laval, M. Denis Brière, un doctorat honorifique.

DIANE LAMARRE REÇOIT UN DOCTORAT HONORIS CAUSA

Photo : Université Laval / Marc Robitaille

Le doctorat d’honneur étant la plus haute distinction décernée par l’université, Mme Lamarre s’est dite particulièrement honorée et touchée d’être accueillie dans le très prestigieux cercle des docteurs honoris causa. C’est avec beaucoup d’émotion qu’elle a mentionné, lors de la remise de la distinction : « J’étais en Bosnie en juin 1998, trois ans après la fin d’une des guerres les plus meurtrières de l’humanité contemporaine envers les civils. Les pharmaciens que j’allais rencontrer avaient tous perdu quelqu’un de proche d’eux. Ils étaient Serbes orthodoxes, Croates catholi-ques, Bosniaques musulmans. Ils ont

signaux importants, soit l’apparition de nouveaux malaises depuis le changement de ses médicaments et l’arrêt de la prise de certains médicaments.

Vous pouvez prendre connaissance de l’intégralité du communiqué de l’Ordre, en consultant disponible sur le site Internet www.opq.org dans la section « Actualités ».

Pour consulter le rapport de l’IUGM, rendez-vous sur leur site Internet www.iugm.qc.ca dans la section « Documentation/Publications/Publications officielles ».

trouvé une cause commune : celle de PRENDRE SOIN des patients. Si au-delà des différences ethniques, religieuses et politiques, une cause commune, celle de prendre soin des patients, a réuni mes amis des Balkans, il semble qu’elle peut également donner un sens à chaque minute de notre travail. »

Le communiqué de l’Ordre publié à cette occasion est disponible sur le site Internet www.opq.org dans la section « Actualités ».

L’INTERACTION | 10 | SEPTEMBRE 2010

Actualités

Dès cet automne, Diane Lamarrre et Manon Lambert viendront à votre rencontre aux quatre coins du Québec pour faire le point sur les grands enjeux de la pharmacie et vous présenter les projets en cours à l’Ordre. Isabelle Tremblay, pharmacienne du Saguenay–Lac-St-Jean les accompagnera afin de

témoigner de son expérience de mise en place de deux ordonnances collectives dans sa région.

Pour tous les détails et pour vous inscrire, une invitation vous sera envoyée très prochainement. Surveillez votre courrier !

L’ORDRE À VOTRE RENCONTRETournée régionale d’information 2010 Dates des rencontres*

Carleton – 25 septembre (dans le cadre de la journée de formation organisée par les pharmaciens de la région)

Baie-Comeau – 4 octobre

Rimouski – 5 octobre

Drummondville – 7 octobre (AM)

Trois-Rivières – 7 octobre

Val d’Or – 12 octobre

Mont-Tremblant – 14 octobre

Sainte-Foy – 18 octobre

Saint-Georges-de-Beauce – 19 octobre

Bromont – 20 octobre (AM)

Montréal – 25 octobre

Gatineau – 26 octobre

Laval – 28 octobre (AM)

Jonquière – 2 novembre

Brossard – 15 novembre

* Si rien n’est indiqué, la rencontre se déroulera en soirée. Lorsque la mention « AM » apparaît, elle aura lieu à l’heure du petit-déjeuner.

!Les préparatifs pour notre prochaine tournée de formation intitulée La surveillance de la thérapie médicamenteuse et les analyses de laboratoire. Un impact positif sur le bien-être de vos patients vont bon train…Cette activité s’adressera à l’ensemble des pharmaciens du Québec. Au cours d’une journée complète de formation, vous réviserez les notions entourant l’utilisation des analyses de laboratoires courantes pour surveiller la thérapie médicamenteuse.

Vous êtes curieux ? Un dépliant d’information vous parviendra sous peu ! Surveillez votre courrier !

Lsimsca

DERNIÈRE HEURE

L’INTERACTION | 11 | SEPTEMBRE 2010

Afin d’aider les personnes vulnérables, notamment celles souffrant de problèmes respiratoires ou cardiaques, à protéger leur santé des effets à court terme de la pollution de l’air, le ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec met à leur disposition l’outil d’information Cote air santé

La Cote air santé (CAS) présente le niveau de risque pour la santé selon le niveau de pollution de l’air présent dans une région donnée. Sur une échelle facile à retenir, plus le chiffre est élevé, plus l’air est pollué, la CAS est calculée d’heure en heure et est disponible actuellement pour les résidents des régions urbaines de l’Île de Montréal, de Gatineau et de Québec.

La CAS propose trois services gratuits :

1) une ligne sans frais 24 heures sur 24 (1 866 688-3810) permettant de connaître à tout moment la valeur de la CAS et les recommandations de santé d’usage;

2) un service automatisé d’alertes téléphoniques avertissant les abonnés quand la CAS atteint un niveau de risque élevé pour la santé. Ces avis s’accompagnent de recommandations appropriées pour réduire les risques pour la santé;

3) un site Web www.coteairsante.qc.ca permettant de consulter à tout moment les valeurs observées et prévisionnelles de la CAS et d’obtenir des renseignements sur la santé et la pollution de l’air.

La CAS vient donc appuyer vos interventions quotidiennes auprès de votre clientèle de patients vulnérables. Elle permettra aussi de les sensibiliser quant aux impacts possibles de la mauvaise qualité de l’air sur leur santé.

Le MSSS propose un dépliant sur le programme CAS. Il est disponible sur son site Web www.msss.gouv.qc.ca. Il est possible de le retrouver en cliquant sur « Documentation », « Publications », et en faisant une recherche par mot-clé.

Actualités

Avis

AVIS DE RADIATION DU DROIT D’EXERCICE

Conformément à l’article 182.9 du Code des professions (L.R.Q., c. C-26), avis est donné par la présente que, le 29 juin 2010, le comité exécutif de l’Ordre des pharmaciens du Québec a résolu de radier du Tableau de l’Ordre des pharmaciens du Québec Mme Angela Bhattacharjee (membre numéro 205353) pour non-paiement de sa cotisation annuelle due à l’Ordre des pharmaciens pour l’année 2010-2011.

Cette radiation est en vigueur depuis le 30 juin 2010.

Montréal, ce 8 juillet 2010

Manon LambertDirectrice générale et secrétaire

Le comité d’experts en planning familial de l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) a récemment commenté deux études publiées dans le British Medical Journal au cours de l’été 2009, portant sur l’innocuité des contraceptifs oraux combinés contenant de la drospirénone.

Le rapport est disponible à l’adresse suivante : www.inspq.qc.ca/contraception.

CONTRACEPTIFS ORAUX

Le comité d’experts en planning familial de l’Institut national de santé publique du Québec commente deux études

Un outil d’information du MSSS à l’intention des personnes vulnérables

L’INTERACTION | 12 | SEPTEMBRE 2010

Ce que vous devez savoir

Question Un patient se présente à ma pharmacie avec une ordonnance de lomustine (Ceenu®) prescrivant une dose unique de 280 mg à prendre au coucher à une date précise. Ne tenant pas en inventaire ce médicament et le plus petit format d’acquisition auprès des grossistes pour du Ceenu® 40 mg

étant de 20 capsules, suis-je autorisé à vendre au patient le format complet de 20 capsules alors que 7 capsules sont nécessaires pour l’exécution de l’ordonnance ?

Réponse Non ! Les textes fédéraux encadrant la vente de médicaments, la Loi sur la pharmacie ainsi que le Code de déontologie des pharmaciens prévoient que vous n’y êtes pas autorisé, car vous ne pouvez pas fournir à un patient une quantité de médicaments supérieure à celle indiquée sur l’ordonnance par le prescripteur.

Visitez la section « Services aux membres / L’interaction / Ce que vous devez savoir », pour tous les détails.

Question Que devez-vous faire si vous soupçonnez un patient d’abuser de certains médicaments ?

Réponse Il importe tout d’abord d’avoir une discussion franche et ouverte avec le patient afin de bien établir la nature de la problématique.

Au besoin et sans que l’autorisation du patient ne soit requise, vous pouvez communiquer avec la responsable du programme Alerte, afin qu’elle fasse une enquête si nécessaire.

Si, au regard de l’échange avec le patient ou des résultats de l’enquête, il est déterminé qu’il serait indiqué que le patient choisisse une pharmacie et un médecin pour superviser la thérapie médicamenteuse, vous proposez alors au patient de signer un formulaire d’engagement.

PROGRAMME ALERTE

UNE OBLIGATIONTel que le prévoit le Code des professions, vous devez désormais informer l’Ordre de toute réclamation et déclaration de sinistre formulée auprès de votre assureur portant sur votre responsabilité professionnelle.

En effet, l’article 62.2 du code, disposition entrée en vigueur en octobre 2008, prévoit que « tout professionnel doit, selon les conditions et modalités déterminées par le Conseil d’administration, informer l’ordre dont il est membre de toute réclamation formulée contre lui auprès de son assureur à l’égard de sa responsabilité professionnelle et de toute déclaration de sinistre qu’il formule auprès de son assureur à cet égard. »

Lorsque vous recevez une requête introductive d’instance portant sur votre responsabilité professionnelle, vous devez dorénavant envoyer à la secrétaire de l’Ordre, Manon Lambert, une lettre l’informant de la situation, et joindre une copie de la requête, dans un délai de 30 jours à compter du moment où vous en avez eu connaissance. À titre d’exemple, si un patient vous poursuit en justice pour une erreur alléguée dans la préparation de ses médicaments, vous devez en informer l’Ordre. Par contre, il n’est pas

nécessaire de le faire si un patient ne fait que vous menacer de poursuites judiciaires ou s’il vous semble qu’une situation donnera lieu à des poursuites judiciaires en responsabilité professionnelle contre vous.

Une question spécifique sera également ajoutée à ce sujet dans la déclaration annuelle que vous devez remplir.

L’objectif de l’article 62.2 est de permettre à tout ordre professionnel de bénéficier d’informations essentielles quant à la pratique de ses membres, dans le but d’assurer la protection du public. L’Ordre devait, comme l’exige l’article 62.2, adopter une ligne de conduite claire pour permettre son application et a ainsi entamé un travail de réflexion pour déterminer les conditions et modalités d’application à retenir. Le Conseil d’administration a donc décidé, le 10 juin dernier, des conditions et modalités de mise en œuvre de cet article.

Pour toute question, vous pouvez communiquer avec Me Manon Bonnier, secrétaire générale adjointe, aux coordonnées habituelles de l’Ordre.

L’INTERACTION | 13 | SEPTEMBRE 2010

Afin d’assurer la qualité et l’intégrité des médicaments remis aux patients, que ce soit en exécution ou non d’une ordonnance, vous avez l’obligation selon le code de déontologie de ne pas « vendre, donner ou distribuer un médicament périmé ou un médicament inutilisé qui vous a été retourné par le patient, ni vendre des

échantillons de médicaments ». Par conséquent, nous portons à votre attention que pour prévenir d’éventuels problèmes à vos patients et afin de bien respecter votre obligation déontologique, il est essentiel de mettre en place des mécanismes de vérification des dates de péremption de chacun des médicaments sous votre contrôle et surveillance. Soyez vigilants !

Selon la norme 90-01 Actes visés à l’article 17 de la Loi sur la pharmacie pouvant être délégués à des classes de personnes autres que des pharmaciens, la vérification des dates de péremption des médicaments peut être déléguée. La mise en place et l’application d’une procédure de gestion des médicaments périmés permettront alors de déléguer cette tâche en toute sécurité, de remplir vos obligations professionnelles et de vous consacrer par ailleurs à vos activités cliniques. Bien sûr, vous devez également vous assurer de l’application de la procédure par tout le personnel concerné.

Aux fins de vous soutenir dans la rédaction d’une telle procédure, voici les éléments qu’elle devrait notamment inclure. La description détaillée de la tâche déléguée comprend notamment :

la liste de tous les endroits où l’on peut retrouver des médicaments (réfrigérateur, tablettes de réserve, présentoirs promotionnels, etc.) selon leur statut (annexe 1 : Pr, N, C, T\C, annexe 2, annexe 3 et hors annexe) ;la méthode privilégiée pour s’assurer que tous les médicaments en stock disponibles pour la vente ne sont pas périmés (cahier répertoriant tous les produits selon le mois de la date de péremption, le recours à un repère mnémotechnique, rondes et fréquence de vérification périodique, rotation et disposition des médicaments, etc.) ;le moment où le produit doit être retiré en fonction de sa nature (date de péremption atteinte, retrait anticipé, etc.) ;l’endroit où les produits doivent être entreposés lorsqu’ils sont retirés ;le mode de retour des produits périmés auprès des grossistes (stupéfiants, drogues contrôlées, substances ciblées, MVL, PSN, etc.) ;le mode de destruction des produits périmés en fonction de leur statut et le respect des normes environnementales ;le partage des tâches du personnel en fonction du statut et de l’emplacement spécifique des médicaments ;la formation ou l’orientation à donner au personnel pour exécuter cette tâche et respecter la procédure ;un registre du personnel formé et impliqué dans la tâche déléguée ;un programme de contrôle de la qualité permettant d’assurer le respect et l’application de la procédure. Il consiste à :o vérifier un échantillon prédéfini du travail effectué, et ce, pour chacune des étapes définies dans la procédure (identification, retrait, destruction du produit périmé) ;o compiler les anomalies détectées dans un registre pour en faire l’analyse et corriger la procédure.

Ce que vous devez savoir

L’INTERACTION | 14 | SEPTEMBRE 2010

Au Québec, le dentiste est autorisé à prescrire des médicaments dans le cadre de son exercice. Le Code de déontologie des dentistes précise que « le dentiste ne doit fournir un service ou prescrire une ordonnance que si ceux-ci sont requis au point de vue dentaire »1 incluant les médicaments qui supporteront son intervention (exemple : anesthésique, anxiolytique).

Rappelons que les spécialités reconnues en dentisterie sont la chirurgie buccale et maxillo-faciale, la dentisterie pédiatrique, l’endodontie, la médecine buccale, l’orthodontie, la parodontie, la prosthodontie, la santé dentaire communautaire,

la pathologie buccale et maxillo-faciale et la radiologie buccale et maxillo-faciale.

Même s’il n’existe pas de liste de médicaments délimitant ce qu’un dentiste peut prescrire, il convient de vous questionner, particulièrement lorsque les médicaments prescrits ne semblent pas liés à l’exercice du dentiste prescripteur. En cas de doute, vous pouvez vous entretenir avec le dentiste et vous assurer de la compatibilité de son intention thérapeutique avec son champ de compétence. Vous pouvez également discuter avec lui du profil médicamenteux de son patient afin d’orienter son choix thérapeutique en conséquence.

Des questions, des réponses

UN DENTISTE

1 Article 3.01.04. du Code de déontologie des dentistes ,2 Extrait du Règlement sur les normes relatives à la forme et au contenu des ordonnances verbales ou écrites faites par un dentiste.

En cas de divergence d’opinions, vous pouvez communiquer avec l’Ordre des dentistes du Québec (ODQ) afin de vous enquérir de sa position officielle. Entre autres, l’ODQ considère que la prescription de produits de cessation tabagique n’appartient pas au champ d’exercice du dentiste.

Voici les informations que le dentiste doit vous transmettre lors de l’émission d’une ordonnance, écrite ou verbale2 :

nom, adresse et téléphone (du dentiste) ;date de l’ordonnance ;identité du patient incluant son adresse ;signature (du dentiste) ;numéro de permis (du dentiste) ;s’il s’agit d’un médicament : nom, forme pharmaceutique, concentration, quantité ou durée du traitement, posologie et nombre de renouvellements autorisés ;pour une ordonnance renouvelable, sa période de validité.

Soulignons que le dentiste peut se procurer des médicaments pour son usage professionnel. Il devra cependant établir une ordonnance précisant la nature et la quantité des produits requis et portant la mention « pour usage professionnel », ou toute autre expression similaire. Dès lors, vous devez vous assurer que les besoins exprimés sont compatibles avec son exercice.

Enfin, rien n’interdit à un dentiste de prescrire des médicaments à un membre de sa famille ou à lui-même à condition que ceci soit en lien avec l’exercice de l’art dentaire et que le dentiste ait établi un diagnostic.

L’INTERACTION | 15 | SEPTEMBRE 2010

Offres d’emploi

Pharmacien(ne)s demandé(e)s

Conditions avantageusesPas de soirs, pas de fins de semaines

Pharmacie offrant des services spécialisés, destinés aux résidents de centres d’hébergements privés et publics. Postes disponibles à Laval et au Centre-Ville de MontréalTâches principales: validation des ordonnances, pharmacovigilance, analyse de dossiers et émission de directives et d’opinions, interventions cliniquessur le terrain et travail en multidisciplinarité (infirmières, médecins…), participation à des comités.

Exigences requises :Membre en règle de l’Ordre des Pharmaciens du Québec.Expérience pertinente dans le domaine des soins de longue durée (serait un atout).Intérêt et aptitudes à faire de la pharmacie clinique.Attirance pour les nouvelles technologies (dossier électronique intégré, ensacheuses…).« Leadership » et sens de l’organisation.

S.V.P. faire parvenir votre candidature ou vos demandes d’informations à l’attention de M. Michel Hamel Courriel : [email protected] | Télécopieur: 450.689.8002

L’INTERACTION | 16 | SEPTEMBRE 2010

Offres d’emploi

Les pharmacies Grégoire Arakelian situées dans les entrepôts Costco

Recherchent

PHARMACIENS DYNAMIQUES À TEMPS PLEIN OU PARTIEL

Vous désirez faire partie d’une équipe dynamique et mettre en pratique vos connaissances ? Vous voulez participer au développement de programmes professionnels ? Joignez-vous à notre équipe !

Pratique axée sur les soins pharmaceutiques et les suivis thérapeutiquesFrais encourus pour cours de formation continue payésAdhésion à Pharmacist’s LetterSalaire très concurrentielAssurances collectives assumées entièrement par le propriétaireProgramme de boni très intéressantCotisation OPQ et assurance-responsabilité payées

Nous offrons également un horaire très équilibré avec des heures d’ouverture agréables et un chevauchement de pharmaciens en semaine.

Lundi au vendredi : 10h à 20h30 Samedi : 9h à 18h

Dimanche : 10h à 17h

Contactez Grégoire Arakelian Succursales : Boisbriand, Brossard, Boucherville,Téléphone : 514-862-5768 Candiac, Gatineau, Laval, MontréalTélécopieur : 450-657-4373 Pointe-Claire, Québec, Terrebonne Gregoire.arakelian @costco.com Anjou et Sherbrooke (à venir)

Pour plus d’infos, visitez notre site Web : www.pharmaciesga.com

L’INTERACTION | 17 | SEPTEMBRE 2010

Offres d’emploi

Nous sommes actuellement à la recherche

d’un Pharmacien ou Pharmacienne-Chef

Le Centre universitaire de santé McGill (CUSM) est un établissement hospitalier bilingue voué à l’excellence dans la prestation de soins tertiaires généraux, de soins spécialisés et ultra-spécialisés. Le CUSM jouit en effet d’une réputation internationale tant pour l’excellence de ses soins spécialisés que pour la qualité de la recherche et de son enseignement clinique. Affilié de longue date à l’Université McGill, le CUSM, l’un des plus importants centres universitaires de santé au Canada, perpétue une longue tradition en tant que chef de file dans les différentes disciplines liées à la santé. Le CUSM vit présentement à l’heure de ses diverses phases d’aménagement dans ses différents sites, entre autres, la construction de nouvelles installations sur le campus Glen, l’agrandissement et la modernisation de l’Hôpital général de Montréal et de l’Hôpital de Lachine.

Par ailleurs, pour 3 années consécutives, le CUSM figure sur la liste des 15 meilleurs employeurs à Montréal, et cela, tel que paru dans les quotidiens Le Devoir et The Gazette. Le CUSM s’est également vu décerné le prix de Meilleurs employeurs pour les nouveaux arrivants au Canada et le prix des Employeurs les plus écolos au Canada.

Les membres de notre équipe de pharmacie profitent d’une occasion exceptionnelle en offrant des services pharmaceutiques orientés vers une approche d’innovation et d’interdisciplinarité dans plusieurs secteurs cliniques.

Mandat :

Sous l’autorité de la directrice des Services professionnels, la personne recherchée est responsable de la dispensation de tous les services pharmaceutiques conformément à la Loi sur les services de santé et les services sociaux du Québec. Cette personne est également responsable devant le CMDP du respect des règles d’utilisation et de la qualité de l’acte dispensé par les pharmaciens du département. Comme gestionnaire, elle est aussi responsable du développement d’une vision stratégique conforme à la mission et à la vision du CUSM et à ses activités cliniques prioritaires. Elle a enfin la responsabilité administrative et clinique de l’ensemble des activités du département de pharmacie, y compris l’enseignement et la recherche.

Exigences : Membre en règle de l’Ordre des pharmaciens du Québec BAC en pharmacie Maîtrise en pharmacie hospitalière ou l’équivalent Certificat en gestion ou l’équivalent serait un atout Expérience de cinq à sept années de la pratique clinique à titre de chef, d’adjoint ou de coordonnateur d’un département de pharmacie, de préférence dans centre hospitalier universitaire et incluant une expérience en enseignement et en recherche clinique

Veuillez soumettre votre curriculum vitae avant le 10 septembre 2010 à: Gina Rizzo, Adjointe à la directrice des ressources humaines, CUSM

2155 rue Guy, bureau 600 Montréal, Qc. H3H 2R9 Téléc. : 514-934-8541 ou

Soumettre par courrier électronique : [email protected]

L’INTERACTION | 18 | SEPTEMBRE 2010

Offres d’emploi

Pharmaciens propriétaires Villes Temps Personnes contacts

TéléphonesCourriel

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G. LEMAY & C. GIGUÈRE�����������

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GUY RAVENELLE ���������������� ���� � �

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JOCELYNE MERCIER ���� ��

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DANIELLE BRESCIANO ���$��+������� ���� � � $� �������� ��������

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MARIE NORMANDEAU ���$��������

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I. BOUCHARD & M. MORIN %��� ������������� ���� � � %�����%���� �����������

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GENEVIÈVE DUPERRON & ��� ������ ���� � �

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MICHEL FILLION ���� �6��������� ���� � � %��� �7 ��� ��� ����� �

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GINA ST-JACQUES %��9�"����� ���� � �

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SAMUEL ROY <� ���������� ���� � � ����� ����� ����� �������

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DIONNE & KOWTALUK ���<� ��������

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F. CHAMOUN & S. MARINIS &������������ ���� � 7����������� ����� � ���

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DOMINIQUE BIBOR ������*������� ���� � �

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L’INTERACTION | 19 | SEPTEMBRE 2010

Offres d’emploi

Le Centre de santé et de services sociaux du Haut-Saint-Maurice est un établissement situé à La Tuque (à 2 h 30 de Québec et de Chicoutimi et à 3 h de Montréal). La Tuque offre les mêmes avantages que la ville, mais en pleine nature! Vous pourrez pratiquer vos activités en plein air (ski alpin, ski de fond, raquette, motoneige, activités nautiques, chasse, pêche, vélo de montagne, etc.), le tout à quelques pas de la maison.

PHARMCIEN (NE) Poste permanent à temps complet

Vos mandats : En plus d’assumer les tâches régulières reliées à la pratique en établissement de santé et de services sociaux, vous assurerez le suivi de patients anticoagulés hospitalisés et en externe, avec l’aide du logiciel « Sui-vie Posologie ». Vous préparerez des traitements de chimiothérapie, et ce, avec le support des centres de référence en la matière. Afin d’assurer les services, en dehors des heures d’ouverture de la pharmacie, vous devrez assumer certaines périodes de garde (soir, nuit et fin de semaine). Le milieu de travail : Le CSSSHSM, un établissement multi vocationnel de 80 lits en soins longue durée et de 40 lits en soins de courte durée, vous offre un environnement de travail dynamique et entièrement rénové, en plus d’être doté d’un système automatisé d’ensacheuse pour les médicaments. Vous pourrez pratiquer et développer vos compétences dans les domaines suivants :

Urgence Psychiatrie Centre Mère-Enfant et pédiatrie Gériatrie active Médecine-chirurgie et soins optima Soins palliatifs Hébergement Médecine de jour

Vous serez appelé à travailler avec une autre pharmacienne, ainsi qu’une équipe de six (6) assistantes techniques en pharmacie.

Les exigences : Détenir un diplôme universitaire de premier cycle en pharmacie; Être membre de l’Ordre professionnel des pharmaciens du Québec.

Nous vous offrons un poste régulier à temps complet, dont le salaire annuel varie entre 66 226,85$ et 86 076,12$, selon vos expériences antérieures. De plus, vous serez admissible à une prime de recrutement majorant votre rémunération de 30% ainsi qu’à un forfait d’installation de 25 000$.

Ce poste vous

intéresse?

Vous pouvez nous faire parvenir votre curriculum vitae à l’adresse suivante, avant le 15 octobre 2010 :

Direction des services administratifs Centre de santé et de services sociaux du Haut St-Maurice

885, boulevard Ducharme La Tuque, Québec, G9X 3C1 Télécopieur (819) 523-2874

Courriel : [email protected]

Vous avez un intérêt pour des remplacements en tant que pharmacien dépanneur? Contactez-nous.

L’INTERACTION | 20 | SEPTEMBRE 2010

Offres d’emploi

Joignez-vous à l’équipe dynamique du CSSS d’Antoine-Labelle et venez partager avec nous tous les bienfaits d’un site enchanteur, situé au cœur des Hautes-Laurentides où santé et plein air vont de pair !

PHARMACIENSLe CSSS d’Antoine-Labelle est un établissement multivocationnel offrant un environnement de travail stimulant, dynamique dans l’une des régions les plus ensoleillées du Québec. La région est un véritable paradis pour les amateurs de nature : vélo, randonnée, pêche, sports nautiques ou de neige. La vie culturelle s’y exprime à travers le théâtre, les expositions, les tournéesde spectacles nationaux etc. Avec plus de plus de 1500 employés et médecins et un budget annuel de près de 82 millions de dollars nous offrons une large gamme de services généraux et des services spécialisés à la population de la MRC Antoine-Labelle (35,000 personnes), des services spécialisés hospitaliers en santé mentale et en néphrologie à toute la population des Laurentides et tertiaires à certaines clientèles d’autres régions du Québec. Il y aura implantation d’une unité de médecine familiale (UMF) à l’hôpital de Mont-Laurier au mois de juillet 2010. Notre établissement se situe sur deux sites soit Rivière-Rouge et Mont-Laurier situés respectivement à 180 et 240 km au nord de Montréal.

POSTES PERMANENTS À TEMPS COMPLET- 1 poste temps complet au centre de Rivière-Rouge - 1 poste temps complet à l’Hôpital de Mont-Laurier

Ports d’attache : Mont-Laurier et Rivière-Rouge

Spécificités et exigences : Sous l’autorité du chef du département de pharmacie, vous vous joindrez à une équipe de 5 pharmaciens pour assurer les soins pharmaceutiques à la clientèle. Il s’agit également de superviser et contrôler la distribution des médicaments (projet SARDM en voie d’installation) et de participer aux activités cliniques (oncologie, gériatrie active, psychiatrie, soins palliatifs, soins ambulatoires etc..) ainsi qu’à la garde selon les besoins. Nous vous offrons l’opportunité de vous impliquer dans le développement des activités du département.

Membre en règle de l’Ordre des pharmaciens du Québec. La maîtrise en pharmacie d'hôpital est un atout. AUTRES INFORMATIONS PERTINENTES

� Aide pour faciliter l’intégration dans la région telle que: contacts pour hébergement etc. ;� Nous sommes une région visée par le crédit d’impôt ( 8 000$ ) pour nouveau diplômé travaillant dans une

région ressource éloignée. Pour information, voir le site de revenu Québec www.revenu.gouv.qc.ca, dans la section « recherche ».

Conditions de travail: Selon les normes du M.S.S.S. – A.P.E.S. - Mesures administratives en vigueur.

Faire parvenir votre curriculum vitae le plus tôt possible au : Pour information vous pouvez communiquer avec

CSSS D’ANTOINE-LABELLE M. Robert Charrette, Chef du département de pharmacie Direction des ressources humaines (819) 275-2118 poste 34471525, rue L’Annonciation Nord, Rivière-Rouge QC J0T 1T0 Télécopieur : (819) 275-5946 Courriel : [email protected] Visitez notre site web : www.csssal.org

Nous souscrivons au principe de l’équité en matière d’emploi. Nous remercions tous les candidats de leur intérêt mais seules les personnes retenues feront l’objet d’un suivi.

L’INTERACTION | 21 | SEPTEMBRE 2010

Offres d’emploi

Des femmes et des hommes compétents au

service de la population

Le Centre de santé et de services sociaux d’Ahuntsic et Montréal-Nord regroupe les centres d’hébergement de Louvain, Laurendeau, Légaré et Paul-Lizotte, l’Hôpital Fleury et les CLSC d’Ahuntsic et de Montréal-Nord. Notre CSSS compte 2 295 employés et 171 médecins omnipraticiens et spécialistes; il dispose d’un budget de 149 millions de dollars. Cinquième en importance sur l’île de Montréal et 16e parmi les 95 réseaux locaux de services du Québec, il joue un rôle de mobilisateur auprès de son personnel, des médecins et des ressour-ces de son territoire. Le mieux-être de son personnel est aussi important que celui de ses usagers.

Joignez notre équipe pour une carrière en santé !

Si ce défi vous intéresse, veuillez communiquer avec Monsieur Michel Chaloux, chef du Département de pharmacie, au 514 384-2000, poste 5053, ou Madame Gaétane Poulin, conseillère cadre en dotation, au 514 384-2000, poste 7652. Vous pouvez acheminer votre curriculum vitae à :

Concours pharmacien CSSS d’Ahuntsic et Montréal-NordDirection des ressources humaines et du développement organisationnel Service de dotation 6500, boulevard Henri-Bourassa Est Montréal-Nord (Québec) H1G 5W9

Télécopieur : 514 327-0700 Courriel : [email protected]

Le CSSS d’Ahuntsic et Montréal-Nord souscrit au principe d’accès à l’égalité en emploi. L’utilisation du masculin ne sert qu’à alléger la lecture.

PHARMACIENMilieu hospitalier et hébergement

Nous avons beaucoup à vous offrir !

� Postes permanents, temps complet ou temps partiel � Horaire de jour seulement � Pratique valorisante au sein d’une équipe dynamique � Activités cliniques : nous planifions d’impliquer nos

pharmaciens aux équipes de soins des Services de l’urgence et de la médecine générale

Au sein d’une équipe composée de 10 pharmaciens et de plus de 15 assistants-techniques, vous travaillerez dans un environnement à dimension humaine où votre implication sera mise à contribution pour le mieux-être des usagers. Nous visons une utilisation efficiente de l’expertise du pharmacien dans les services et soins pharmaceutiques à la clientèle hospitalisée et hébergée.

À l’hôpital, l’équipe est particulièrement active dans les programmes de pharmacocinétique, de nutrition parentérale, d’anticoagulothérapie et de service centralisé d’addition aux solutés. Nous offrons la distribu-tion automatisée unidose et notre environnement est entièrement informatisé (GesphaRx version 8 de CGSI) et automatisé (Pacmed 500 SL). La garde est partagée équitablement entre les pharmaciens de l’hôpital, sur rotation de fin de semaine (1 sur 4).

En hébergement, vous participerez aux activités cliniques et aux acti-vités de distribution de médicaments. Des systèmes informatisés et automatisés sont en voie d’être implantés. Aucun service n’est offert dans nos centres d’hébergement la fin de semaine.

Les exigences� Baccalauréat en pharmacie � Maîtrise en pharmacie d’hôpital ou diplôme équivalent, un atout � Membre de l’Ordre des pharmaciens du Québec � Aptitudes pour le travail d’équipe et implication dans votre milieu � Esprit innovateur et créativité

Le salaire � Selon l’entente APES-MSSS � Rehaussement salarial en vertu des mesures incitatives du MSSS

L’INTERACTION | 22 | SEPTEMBRE 2010

Offres d’emploi

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L’INTERACTION | 23 | SEPTEMBRE 2010

Offres d’emploi

SERVIR

L’INTERACTION | 24 | SEPTEMBRE 2010

Offres d’emploi

L’INTERACTION | 25 | SEPTEMBRE 2010

Offres d’emploi

Ville Pharmaciens-propriétaires affiliés Temps Personne-ressource Téléphone ou courriel

plein partiel

SP09119AR

Acton Vale N. Jean, E. Bergeron et J. Perreault X X Nathalie Jean [email protected]

Uniprix 450-546-2522

Alma Mona Fortin X X Jacques Poupart [email protected]

Unipharm 514-725-1212

Beauharnois Ménard, Bélanger, Lambert & Riopel X X Jean-Philippe Lambert [email protected]

Uniprix 450-429-3004

Chandler Annie Thibeault X X Annie Thibeault [email protected]

Uniprix 418 689-3711

Coaticook Johanne Drolet X X Johanne Drolet [email protected]

Uniprix 819-849-1110

Cowansville Robert Mailly & Si Thanh Quan Nguyen X Simon Quan Nguyen [email protected]

Uniprix 450-263-2666

Drummondville Claude Hillinger X X Claude Hillinger [email protected]

Uniprix 819-472-3314

Drummondville P. Gilbert, D. Gobeil et P. Martel X X Patrick Martel [email protected]

Uniprix 819-477-3777

Huntingdon Geneviève Dion, Serge Durand & Associés X X Geneviève Dion [email protected]

Uniprix 450 264-5347

Joliette C. Doucet, C. Morin & G. Couillard X X Cynthia Morin ou Caroline Doucet [email protected]

Uniprix 450 759-1288

Joliette Caroline Talbot & Josée Falardeau X Josée Falardeau ou Caroline Talbot [email protected]

Clinique santé 450 755-2273

Laval Irène Zobolas X X Irène Zobolas 514 774-1557

Uniprix

Laval Gaétan Couillard X X Gaétan Couillard 450 621-4443

(Auteuil) Uniprix

Longueuil Claude Hillinger X X Claude Hillinger [email protected]

Uniprix 450-677-2876

Longueuil P. Bergeron, S. Jutras & M.-C. Fournier X X Sylvie Jutras [email protected]

Clinique santé 450 677-6366

Longueuil Stéphane Loyer X X Stéphane Loyer [email protected]

Uniprix 450 670-3500

2010-07-16

L’INTERACTION | 26 | SEPTEMBRE 2010

Offres d’emploi

Ville Pharmaciens-propriétaires affiliés Temps Personne-ressource Téléphone ou courriel

plein partiel

SP09119AR

Mirabel T.-U. Deschênes, S. Granger et M.-A. Pinel X Thomas-Ugo Deschenes [email protected]

Uniprix 450-432-1888

Montréal Anne Benguira X Anne Benguira 514 276-9353

Uniprix

Montréal Jocelyn Lacroix X X Emmanuelle Laferrière [email protected]

Uniprix 514 274-4441

Montréal Louise F. Paquette X X Jacques Poupart [email protected]

Uniprix 514-725-1212

Montréal Martin Duquette X X Martin Duquette [email protected]

Clinique santé 514-528-0877

Montréal Stéphane Fiset X X Stéphane Fiset [email protected]

Uniprix 514 927-5179

Montréal Thi Mong Thuy La X X Marie La [email protected]

(La Salle) Uniprix 514 365-0770

Montréal Sami Soltan X X Sami Soltan [email protected]

(Lachine) Unipharm 514-637-2304

Montréal Davy Chhuon et Thu Thuy Tran X X Davy Chhuon [email protected]

(Verdun) Uniprix 514-766-7721

Napierville Louise Gaboriault & Marie-Claude Émond X louise gaboriault [email protected]

Uniprix 450-245-3383

Québec Liliane Lavertu X Jacynthe Guérin [email protected]

Clinique santé 418 843-2661

Québec Louis & Denis Boissinot X X Denis Boissinot [email protected]

Clinique santé 418 681-0045

Québec Mario Fiset & Danielle Pelletier X X Danielle Pelletier [email protected]

Uniprix 418 529-2121

Québec Roger Caron X roger caron ou mario lafrance [email protected]

Uniprix 418 623-9811

Repentigny Jean-François Martel X X Jean-François Martel [email protected]

Uniprix 514 349-4899

Rigaud Ali Nassiri & Ramy Fahmy X X Ramy Fahmy 450-451-2234

Clinique santé 450-451-5370

2010-07-16

L’INTERACTION | 27 | SEPTEMBRE 2010

Offres d’emploi

Ville Pharmaciens-propriétaires affiliés Temps Personne-ressource Téléphone ou courriel

plein partiel

SP09119AR

Rimouski Diane Lepage X X Diane Lepage [email protected]

Uniprix 418-724-0813

Roberval Daniel Guay et Julie Beaupré X Daniel Guay ou Julie Beaupré [email protected]

Uniprix 418-275-4444

Saguenay C. Gaudreault, K. Girard & D. Perron X X Cathy Gaudreault [email protected]

(Chicoutimi) Uniprix 418-549-9544

Saint-André-Avellin Gaétan Couillard & Nathalie Mercier X X Nathalie Mercier [email protected]

Uniprix 819 428-1530

Saint-Constant Normand Bonin X X Jacques Poupart [email protected]

Uniprix 514-725-1212

Saint-Eustache Gaétan Couillard & Louis-Philippe Kassar X X Jean-François Hébert [email protected]

Uniprix 450-472-4800

Saint-Jean-sur-Richelieu Louise F. Paquette X X Robert Paquette [email protected]

Uniprix 450-348-3787

Saint-Jérôme S.Granger, M.A. Pinel, M. Halley & M. Leduc X X Martin Halley [email protected]

Uniprix 450-436-1101

Saint-Rémi Viviane Jbeili et Louise Chouinard X X Louise Chouinard [email protected]

Uniprix 450 454-3981 / 514 710-3981

Salaberry-de-Valleyfield Geneviève Dion et Phanthavy Douang-Boulom X X Guylaine Paradis [email protected]

Uniprix 4503712741

Shawinigan Pellerin G., Desbiens, Pellerin M. & Bureau X Guy Pellerin [email protected]

Uniprix 819-537-1869

Sherbrooke Chemika Mamodehoussen X X Chemika Mamode [email protected]

Uniprix 819 569-9251

Sherbrooke Pierre Aubé & Lynn Germain X X Lynn Germain [email protected]

Uniprix 819 569-6304

Trois-Rivières André Tremblay & Marc Dontigny X X Marc Dontigny [email protected]

Uniprix 819-386-4377

Val-d'Or Sylvie Prévost X X Sylvie Prévost [email protected]

Clinique santé 819 856-5565

2010-07-16

L’INTERACTION | 28 | SEPTEMBRE 2010

Offres d’emploi

L’INTERACTION | 29 | SEPTEMBRE 2010

Offres d’emploi

L’INTERACTION | 30 | SEPTEMBRE 2010

Offres d’emploi

L’INTERACTION | 31 | SEPTEMBRE 2010

Offres d’emploi

Automne 2010Tournée régionale d’informationTournée de formation sur La surveillance de la thérapie médicamenteuse et les analyses de laboratoireDes dépliants d’information vous seront envoyés sous peu.

PARTENAIRES23 septembre 2010Colloque Le suicide et les aînésAssociation québécoise de prévention du suicideTrois-Rivières www.aqps.info/aines

1er octobre 2010 (Montréal)29 octobre 2010 (Québec)Ateliers de formation sur les IPP et les AINSFMOQ et Conseil du médicamentwww.cdm.gouv.qc.ca

11 au 15 octobre 2010Semaine des professionnelsConseil interprofessionnel du QuébecMontréalwww.professions-quebec.org

21 et 22 octobre 2010Colloque sur l’anxiété et la dépressionUniversité McGill et Institut universitaire en santé mentale DouglasMontréalwww.douglas.qc.ca

12 et 13 novembre 2010

Congrès de l’AQPP

Ville de Québec

www.aqpp.qc.ca

Activités à venirActualités

11 AU 15 OCTOBRE 2010 SEMAINE DES PROFESSIONNELSSous les auspices du Conseil interprofessionnel du Québec (CIQ) se tiendra, du 11 au 15 octobre 2010, la Semaine des professionnels.

Les 45 ordres professionnels participent à cet événement unique qui souligne la contribution des 340 000 professionnels à la société québécoise.

Les activités prévues pour l’occasion sont les suivantes : campagne publicitaire sous la signature Un pro, c’est un pro !

l’Avenue des professions au Salon national de l’éducation (Place Bonaventure, Montréal, 13-15 octobre 2010)

conférence-débat public en collaboration avec l’Institut du Nouveau Monde (date à venir)

déjeuner-conférence en collaboration avec la Fédération des Chambres de commerce du Québec (date à venir).