VOTRE SECURITE :NOTRE PRIORITE

LivRET DE foRMATion

PREVIP LPREVENTION D'EXCELLENCE

PREVIP LPREVENTION D'EXCELLENCE

PREVIP L PREVIP L

alerter

Répondre aux questions,qui seront posées par les secours.

MESSAGE D ’ALERTE• Se présenter,• Adresse du lieu de l’incendie,• Votre numéro de téléphone,• Les risques éventuels,• Le nombre de victime(s),• L’état de la (des) victime(s),• Préciser les premiers gestes et mesures effectués.

NE PAS RACCROCHER LE PREMIER ! !Attendre les instructions avant d’interrompre la communication.

Poste ou service de sécurité de l’entreprise.N° :______________________________

(à renseigner)

Le SAMU

ep i

formation

Prévention du risque ProfessionnelTel que nous l’avons évoqué, lors de votre formation, votre secteur d’activité, votre entreprise, votre poste de travail, présentent de nombreux risques. Ceux-ci, aujourd’hui recensés au sein du Document Unique d’évaluation des Risques Professionnels, permettent à l’employeur de mettre en place des actions de prévention.

LA pReMièRe Action doit êtRe StRUctUReLLeLocaux, matériels doivent répondre à la réglementation et aux normes en vigueur.

LA Seconde Action doit êtRe en diRection dU SALARiéMise à disposition d’Equipements de Protection Collectifs (E.P.C.) et Individuels (E.P.I.). Ces équipements doivent être adaptés au salarié et aux contraintes du poste de travail ; ils doivent en outre, être conformes à la réglementation et aux normes en vigueur. Ceux-ci doivent être renouvelés autant que de besoin.

LA tRoiSièMe Action doit êtRe poRtée SUR LA foRMAtionet/ou l’information du/des salarié(s). Ces formations peuvent être dédiées à la sécurité ou à l’adaptation au poste de travail, mais aussi avoir pour objet, l’intégration du salarié au sein même de protocoles particuliers. Ainsi, le salarié, est à même de rendre compte à sa hiérarchie, de tout problème lié à la sécurité de l’entreprise.

EnTREpRiSE

SALARiéCes trois points indissociables, permettent à chaque salarié, de devenir

un acteur de la prévention du risque professionnel, mais aussi, un ACteur de sA ProPre Prevention

© Reproduction interdite. Tous droits réservés. ISBN 978-2-320-00000-7. Dépot légal septembre 2010.

PROtégERAvant toute action, le Secouriste analyse la situation d’accident, afin de déterminer les dangers persistants. Ces derniers sont peut-être à l’origine de l’état de la victime, mais persistent et peuvent menacer le sauveteur, son environnement, et/ou la/les victime(s)

Identification du/des danger(s) persistant(s) :

Ecrasement Electrisation Intoxication Incendie/ Explosion

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protéger

© Reproduction interdite. Tous droits réservés. ISBN 978-2-320-00000-7. Dépot légal septembre 2010.

face à ces dangers, le secouriste, doit tout d’abord réaliser une action de protection :

Si la suppression du danger est rendue impossible, isoler la zone dangereuse de façon permanente et sans risque.

Quand cela est possible, et sans risque, supprimer le(s) danger(s) immédiatement, et de façon permanente.

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protéger

Coupure électrique Extinction incendie Coupuredes Fluides

Evacuationdu personnel

Périmètrede sécurité

Aération

Si la suppression du/des danger(s) et l’isolement de la zone dangereuse sont rendues impossibles, dégager d’urgence la victime en toute sécurité.

Si ces 3 actions sont impossibles, interdire l’accès à la zone dangereuse et alerter ou faire alerter les secours spécialisés.!

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protéger

ExAMINERAprès avoir réalisé la protection, le secouriste va aborder la victime afin de déterminer son état. De cet examen, très important, découleront une alerte efficace, et des gestes de premiers secours appropriés.

La victime saigne t’elle abondamment ?

La victime s’étouffe t’elle ?

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examiner

observer

Parler à la victime

Si la victime, ne répond pas*, respire-t-elle ?

Si la victime répond, se plaint-elle ?

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examiner

observer

parler

* Si la victime est sur le ventre, la mettre sur le dos

Après avoir évalué et constaté l’état de la victime, le sauveteur va déclencher l’alerte, en appelant ou en faisant appeler les secours internes ou externes, en fonction des procédures et des moyens prévus dans l’organisation des secours de l’entreprise.

QUi AppeLeR ?Les moyens de secours et les personnes prévus dans l’organisation des secours de l’entreprise.

fAIRE ALERtER

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alerter

alerter

Poste ou service de sécurité de l’entreprise. N° :_____________

(à renseigner)

Le SAMU (Service d’Aide Médicale d’Urgence) assure une écoute médicale urgente permanente, et déclenche la réponse la plus adaptée à l’état du patient, de l’écoute médicale, à l’envoi d’un SMUR

(Service Mobile d’Urgence et de Réanimation).

Les Sapeurs-pompiers

La Gendarmerie ou La police nationale pour tout problème de sécurité

ou d’ordre public.

numéro d’appel d’urgence unique européen, destiné aux étrangers circulant en France ou aux

Français circulant en Europe. Sur le territoire national, ce numéro abouti vers un centre de réception desappels du 15 ou du 18, selon les départements.

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alerter

Les numéros d’appel d’urgence sont gratuits, joignables à partir decabines téléphoniques, de postes fixes et de téléphones portables.

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alerter

Sur les autoroutes, voire certaines routes, des bornes d’appel sont disponibles. Elles permettent de vous localiser et sont reliées 24h/24h à un central téléphonique, apte à répondre à toutes les problématiques d’assistance.

alerter

Répondre aux questions,qui seront posées par les secours.

Un dialogue peut s’instaurer entre l’appelant et les services d’urgence.

MESSAGE D ’ALERTE• Se présenter,• Adresse du lieu de l’accident,• Votre numéro de téléphone,• La nature de l’accident,• Les risques éventuels,• Le nombre de victime(s),• L’état de la (des) victime(s),• Préciser les premiers gestes et mesures effectués.

!

NE PAS RACCROCHER LE PREMIER ! !Attendre les instructions avant d’interrompre la communication.

Dans tous les cas, au sein de votre entreprise, rendre compte à votre hiérarchie, afin d’organiser l’accès des secours, sur le lieu d’accident, au plus près de la victime.

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LA vICtIME SAIgNE AbONdAMMENt

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Résultat à atteindre :Arrêter le saignement

Après les phases de Protection et d’Examen, repérer l’origine du saignement ainsi que l’état de la plaie, et en l’absence de corps étranger :

secourirl

es

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es coMpReSSion de L’endRoit QUi SAiGne :

• Avec la paume de la main, protégée si possible,• Au moyen d’un «tampon relais» ; si celui-ci n’arrête pas

totalement le saignement, il sera complété par un deuxième tampon posé par-dessus le premier pour augmenter la compression.

>> en cas d’échec, reprendre la compression manuelle par-dessus les pansements compressifs.

dAnS Le MêMe teMpS, ALLonGeR, oU fAiRe ALLonGeR LA victiMe en poSition hoRizontALe.Surveiller l’efficacité de la technique utilisée et parler régulièrement à la victime. Couvrir la victime (sauf la plaie) et ne pas donner à boire.

CAS PARTICUlIERS!SAiGneMent de nez SpontAné:• Faire asseoir la victime, tête penchée en avant,• Lui demander de comprimer avec son doigt, la narine qui saigne, pendant 10 minutes.

pLAie QUi SAiGne ABondAMMent Avec Un coRpS etRAnGeR oU Une fRActURe oUveRte :• Appliquer les consignes définies préalablement par le médecin du travail ou données par le SAMU.

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Résultat à atteindre : Désobstruer les voies aériennes

Après avoir demandé à la victime si elle s’étouffait, en l’absence de réponse, cri, toux :

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LA vICtIME S’étOuffE

secourirl

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es AdULte et enfAnt :

• Donner jusqu’à 5 claques vigoureuses dans le dos,• Si inefficaces, réaliser jusqu’à 5 compressions abdominales,

selon la méthode décrite par HEIMLICH,• Si inefficaces, recommencer le cycle des claques dans le dos.

poUR Le noURRiSSon (MoinS de 1 An) :

• Donner jusqu’à 5 claques dans le dos,• Si inefficaces, réaliser jusqu’à 5 compressions thoraciques,• Si inefficaces, recommencer le cycle des claques dans le dos.• Après expulsion du corps étranger, placer la victime dans la position où elle se sent le mieux, la réconforter et demander un avis médical.

CAS PARTICUlIERS!dAnS Le cAS d’Une oBStRUction pARtieLLe deS voieS AéRienneS :• Mettre au repos,• Encourager la victime à tousser,• Demander un avis médical,• Surveiller la respiration.

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LA vICtIME NE RéPONd PAS,ELLE NE RESPIRE PAS

Résultats à atteindre :Mettre en œuvre une réanimation cardio-pulmonaire et, si nécessaire, réaliser en toute sécurité, une défibrillation automatisée externe.

Après les phases de Protection et d’Examen, et que :- la victime ne répond pas,- après avoir réalisé la libération des voies aériennes, il y a une absence de respiration :

ALERtER Ou fAIRE ALERtERLES SECOuRS Et RéCLAMER uN dAE*

*Défibrillateur Automatisé Externe16

secourir

*Défibrillateur Automatisé Externe

secourirle

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spoUR Un enfAnt (1 à 8 AnS) : • Pratiquer 5 insufflations initiales,• Réaliser 30 compressions thoraciques, à une ou deux mains,

sur la moitié inférieure du thorax, puis réaliser 2 insufflations,• Réaliser 5 cycles de RCP avant de mettre en oeuvre, le défibrillateur,

et suivre ses indications jusqu’à l’arrivée des secours.

poUR Un noURRiSSon (MoinS de 1 An) : • Pratiquer 5 insufflations initiales (bouche-à-bouche-et-nez),• Réaliser un cycle de 30 compressions thoraciques, à deux doigts,

la largeur d’un doigt au-dessous d’une ligne droite imaginaire réunissant les deux mamelons, et 2 insufflations.

• Recommencer ce cycle jusqu’à l’arrivée des secours.

Le DAE n’est jamais utilisé chez un nourrisson (moins d’1 an)

poUR Une victiMe AdULte• Réaliser 30 compressions thoraciques, au milieu du thorax,• Après avoir replacé la tête, réaliser 2 insufflations,• Mettre en œuvre dès que possible, le défibrillateur,

et suivre ses indications jusqu’à l’arrivée des secours.

dans tous les cas, et même en l’absence d’un défibrillateur, assurer la réanimation cardio-pulmonaire, en respectant les techniques, cycles et rythmes préconisés, jusqu’à l’arrivée des secours.!

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LA vICtIME NE RéPONd PAS,ELLE RESPIRE

Résultat à atteindre :Maintenir libres les voies aériennes d’une victime qui ne répond pas, en attendant l’arrivée des secours.

Après s’être assuré que la protection a été réalisée et que la victime ne répondait pas :

APPELER « à L’AIdE ! »

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secourir

LA feMMe enceinte :Toute femme enceinte est, par principe, allongée sur le coté gauche.

tRAUMAtiSé :En cas de lésion thoracique, du membre supérieur ou membre inférieur, la victime sera mise en PLS, de préférence, sur le coté atteint.

secourir

• ASSUReR iMMédiAteMent LA LiBeRté deS voieS AéRienneS :- Desserrer tout ce qui peut gêner la respiration (col, ceinture),- Basculer prudemment la tête de la victime en arrière et élever le menton

• AppRécieR LA ReSpiRAtion (pendant 10 secondes au plus)

• pLAceR LA victiMe en poSition LAtéRALe de SécURité >> Alerter ou fAire Alerter

• coUvRiR LA victiMe et SURveiLLeR SA ReSpiRAtion.

CAS PARTICUlIERS

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es

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!

LA victiMe pReSente deS convULSionS :Pendant la durée des convulsions, ne pas toucher la victime. A l’issue de celles-ci, et en présence de la respiration, la conduite à tenir est identique.

noURRiSSon et enfAnt :Conduite à tenir identique à celle de l’adulte.

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LA vICtIME SE PLAINt dE SENSAtIONS PéNIbLES Et/Ou PRéSENtE dES SIgNES ANORMAux

Résultats à atteindre :Observer, écouter, questionner, apprécier l’état de la victime et l’installer dans une position d’attente avant d’appeler le SAMU–Centre 15, en vue de prendre un avis médical.

MALAISE = MAL EtRE

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es ApRèS AvoiR conStAteR QU’Une peRSonne étAit victiMe d’Un MALAiSe:

QUeStionneR- « Avez-vous déjà présenté ce malaise ? »- « Depuis combien de temps, présentez vous ce malaise ? »- « Prenez-vous un traitement, des médicaments ? »- « Avez-vous été gravement malade ou récemment hospitalisé ? »

• Isoler la victime,• Mettre la victime au repos, dans la position où elle se sent le mieux. Si gêne respiratoire : en position demi-assise,• Couvrir, si besoin est, la victime,• Appeler le Centre 15, pour avis médical,• Surveiller la victime, la réconforter.

ACtIONS

écoUteRMaux de tête,Maux de ventre,Mal au Thorax,Chaud/Froid,Sensation de vertiges

à SA deMAnde, AideR LA victiMe :- A prendre du sucre,

- A prendre un médicament.21

oBSeRveRPâleurs,Sueurs,Tremblements,Agitation,Paralysie d’un côté,Anomalie de la parole

LA vICtIME SE PLAINt dE bRûLuRES

Résultat à atteindre :Eviter une aggravation de la brûlure

Supprimer le danger, ou soustraire la victime au danger, puis :

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secourirl

es

ge

st

es conStAteR LA BRûLURe :

BRûLURe theRMiQUe- Refroidir au plus tôt la brûlure,

- Arroser à l’eau froide du robinet, en laissant couler l’eau sans pression sur la brûlure, jusqu’à l’obtention d’un avis médical,

- Ne pas déshabiller la victime,

BRûLURe chiMiQUe- Arroser à l’eau froide du robinet, en laissant couler l’eau sans pression sur la brûlure, jusqu’à l’obtention d’un avis médical,

- Si un protocole particulier, relatif au dangers (produits acides, base) existe au sein de l’entreprise, appliquer le protocole,

- Déshabiller la victime, en s’étant protégé au préalable (gants, lunettes de protection, masque…),

CAS PARTICUlIERS!LA victiMe pRéSente UneBRûLURe d’oRiGine éLectRiQUe :- Mettre la victime au repos,- Demander un avis médical.

LA victiMe A inhALé oU inGéRé deS SUBStAnceS iRRitAnteS oU coRRoSiveS :- Placer la victime en position demi-assise,- Alerter ou faire alerter les secours.- Suivre scrupuleusement les consignes du médecin.

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LA vICtIME SE PLAINt d’uNE dOuLEuR EMPêCHANt d’EffECtuER CERtAINS MOuvEMENtSRésultat à atteindre :Ne pas mobiliser la victime

Après s’être assuré que la protection était réalisée et s’être aperçu que le victime se plaint au niveau d’un des membres supérieurs et/ou inférieurs:- d’une douleur vive,- de la difficulté de mobiliser le membre traumatisé,- d’un gonflement et/ou une déformation visible,

- ne pas mobiliser la victime,- demander à la victime de ne pas bouger,- Alerter ou faire alerter les secours,- Surveiller la victime.

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secourir

les

g

este

s

secourir

La victime a fait une chute, est étendue sur le sol, et se plaint au niveau du dos, de la nuque, de la tête, elle peut présenter :- un saignement d’oreille,- une déformation du crâne,- une plaie du cuir chevelu,- une douleur vive au niveau du dos,- une difficulté pour mobiliser ses membres

- ne pas mobiliser la victime,- demander à la victime de ne pas bouger,- Alerter ou faire alerter les secours,- immobiliser la tête, dans la position où elle se trouve, en permanence,

avec les deux mains placées de chaque coté de celle-ci,- Surveiller et parler à la victime.

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les

g

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s

LA vICtIME SE PLAINt Et PRESENtE uNE PLAIE QuI NE SAIgNE PAS AbONdAMMENt

Résultat à atteindre : Eviter toute aggravation de la plaie

- plaie au thorax : Respecter la position prise spontanément par la victime ou lui proposer une mise position demi-assise,- plaie à l’abdomen : Respecter la position prise spontanément par la victime ou lui proposer une mise position à plat dos, cuisses et genoux fléchis,- plaie à l’œil : Placer la victime à plat dos, tête calée. Demander à la victime de fermer les yeux.

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les

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este

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CAS PARTICUlIERS!pReSence d’Un coRpS etRAnGeR dAnS LA pLAie :• Laisser le corps étranger dans la plaie.

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ConteXte reGleMentAire

code pénALArticle 223-6 Quiconque pouvant empêcher par son action immédiate, sans risque pour lui ou pour les tiers, soit un crime, soit un délit contre l’intégrité corporelle de la personne s’abstient volontairement de le faire est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende. Sera puni des mêmes peines quiconque s’abstient volontairement de porter à une personne en péril l’assistance que, sans risque pour lui ou pour les tiers, il pouvait lui prêter soit par son action personnelle, soit en provoquant un secours.

code dU tRAvAiL Article R.4224-15Un membre du personnel reçoit la formation de secouriste nécessaire pour donner les premiers secours en cas d’urgence dans : 1° Chaque atelier où sont accomplis des travaux dangereux ; 2° Chaque chantier employant vingt travailleurs au moins pendant plus de quinze jours où sont réalisés des travaux dangereux.Les travailleurs ainsi formés ne peuvent remplacer les infirmiers.

ciRcULAiReS 289 cnSS dU 1eR jUin 1962 et 727 dU 2 octoBRe 1962

- Création du Certificat de sauvetage secourisme du travail,- Précision de la notion « disposer de secouristes en nombre suffisant » ; un pour dix salariés, et deux au moins par site.

Décret n° 2007-705 du 4 mai 2007 relatif à l’utilisation des défibrillateurs automatisés externes par des personnes non médecins et modifiant le code de la santé publique (dispositions réglementaires)(…)3° L’article R. 6311-15 est remplacé par les dispositions suivantes :

« Art. R. 6311-15. — Toute personne, même non médecin, est habilitée à utiliser un défibrillateur automatisé externe répondant aux caractéristiques définies à l’article R. 6311-14. »

BiBLioGRAphie :Circulaire CIR 150/2003 du 2/12/2003 et annexes, Circulaire CIR 53/2007 du 3/12/2007 et annexes, Les pictogrammes représentés en couverture, et des pages 3 à 25 sont la propriété et de source INRS. Référentiel National de Formation à l’U.E. PSC1, Référentiel Technique de Formation SST.

alerterPrévention du risque professionnel 2 Protéger 3Examiner 6Faire alerter 8La victime saigne abondamment 12La victime s’étouffe 14La victime ne répond pas, elle ne respire pas 16La victime ne répond pas, elle respire 18La victime se plaint de sensations pénibles et/ou présente des signes anormaux 20La victime se plaint de brûlures 22La victime se plaint d’une douleur empêchant d’effectuer certains mouvements 24La victime se plaint et présente une plaie qui ne saigne pas abondamment 26Contexte réglementaire 27

PREVIP LÉ D I T I O N S

PREVIP LÉ D I T I O N S

PREVIPOL Editions : 72, Avenue de Grande Bretagne 31300 TOULOUSEDirecteur de Publication : S. BOUZIAT - Référent Technique et Pédagogique : S. BOUZIAT

Conception graphique : A. BOUREE © Reproduction interdite. Tous droits réservés.Dépôt légal septembre 2010. 5 € TTC - PREVENT’ACT_SST_V1.1

www.previpol.frISBN 978-2-320-00000-7

collection

PREVENT'ACT