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Super Cérame absorbeCéramica Ouadrass P. 11

Casablanca aéronautique devient fournisseur de Sabca P. 11

N°974 - MERCREDI 2 OCTOBRE 2013 - 4 DHDIRECTEUR DE LA PUBLICATION: SAMIR CHAOUKI www.leseco.ma

L’ESSENTIEL

Ramid réagit à l’opposition des avocatsSuite au «refus» par l'Associationdes barreaux du Maroc de lanouvelle charte de la justice,Mustafa Ramid s'est fendu d'uncommuniqué virulent à l'égardde l'association, affirmant quecette ONG n'a fait part d'aucuneproposition ou contestationpendant l’élaboration de lacharte. P. 2

Un léger mieuxpour le créditbancaireLe rythme d’accroissement ducrédit bancaire affichait uneamélioration à fin août dernierde 2,6%. Pour BAM, «cette accé-lération du crédit bancaire, enaoût, s’explique essentiellementpar la hausse de 1,2% des facili-tés de trésorerie et de 1,4% descrédits aux promoteurs immo-biliers». P. 24

Sajid reçoitDelanoëÀ 6 mois de la fin de son man-dat de maire de Paris, BertrandDelanoë a été l'invité de Moha-med Sajid, hier mardi, qui lui arendu hommage pour le sou-tien qu’il lui a apporté. P. 21

Risma augmenteson capitalRisma élargit son tour de table.La société vient de porter soncapital social de 788,29 MDH à795,94 MDH, à travers l'émissionde 76.480 actions nouvellesémises au prix de 204 DH. P. 25

«LE PLUS GROS DE LA TEMPÊTE EST DERRIÈRE NOUS» P. 6-7

Rabat, capitale des maires du monde● Le sommet mondial des Cités et gouvernements locaux unis (CGLU) qui regroupe 1.000 villes de par le monde a démarré ses travaux hier à Rabat. Plusieursréunions de commissions et réunions de travail ont étéainsi tenues simultanément. P. 21

2013,ANNÉE DELA REPRISE POURL’ONDA P.10

Contre l’opacitéPar Samir Chaouki P. 2

INDICES BOURSE DES VALEURS DE CASABLANCADU 1ER OCTOBRE 2013

FTSE CSEMOROCCO 15

FTSE CSEMOROCCOALL-LIQUID

-0,69% -0,73%

MADEXFLOTTANT

MASIFLOTTANT

-1,41% -0,89%

Export, les produits maraîchers cartonnent P. 9

● La lettre de cadrage de la loi de Finances 2014 est enfin tombée ! Il était temps car nous sommes àmoins de 20 jours du délai légal de dépôt du projet de loi de Finances au Parlement. Le document donne

le ton sur l'impératif de rigueur, en fixant des enveloppes budgétaires maximales et en formalisant lesréformes nécessaires au rétablissement des équilibres macroéconomiques du royaume. Le délai de

consultation ministériel est fixé au 5 octobre. Revue d’effectifs des éléments phares.P. 3-4

L A L E T T R E D E CA D R AG EC O N F I R M E L A R I G U E U R

L O I D E F I N A N C E S

Driss Benhima,PDG de Royal Air Maroc

Dalil Guendouz, DG de l’ONDA.

LES ÉCO - MERCREDI 2 OCTOBRE 2013

Dernière minute

Les conseillers agricolesvoient le bout du tunnel Le nouveau statut des conseillersagricoles avance au sein du circuit del’adoption. Le projet de loi 62-12 a étédéposé hier à la Commission dessecteurs productifs en vue de sonadoption avant la fin 2013. Le nou-veau cadre se fixe comme objectifsde «professionnaliser l'activité d'enca-drement et préparer l'émergenced'un corps de vulgarisation et deconsulting opérationnel, et encoura-ger l'organisation des producteurs etdes filières de production», indique leprojet examiné par la Commissiondes secteurs productifs. La commis-sion chargée d'examiner les dossiersd'octroi et de retrait de l'autorisationd'exercice de conseiller agricole figu-rera parmi les points essentiels à ré-gler par la loi projetée.

L’AMITH nord tient sonassemblée électiveLa section nord de l’Association ma-rocaine de l’industrie textile-habille-ment (AMITH-ZN) garde son bu-reau. En effet, c’est Mohamed SaïdZniber qui a été choisi par ses pairspour un deuxième mandat, lundidernier lors de l’assemblée électivede l’association. Il sera épaulé par Mo-hamed Amine Sfiha. Dans leur pro-gramme, outre le maintien et le suivide la construction du siège del’AMITH-ZN, le binôme devra en finiravec la dépendance du marché es-pagnol et gagner la confiance desmarchés internationaux.

L’UE fixe ses prioritéspour l’UMAC'est en marge de la récente Assem-blée générale des Nations-Unies queles ministres des Affaires étrangèresdes pays de l'Union du MaghrebArabe, dont Saad-Eddine El Othmani,se sont entretenus avec le commis-saire en charge de l'élargissement etde la politique européenne de voisi-nage, Štefan Füle, sur la question del'intégration maghrébine. Ce sujettient à cœur aux Européens qui yvoient l'aboutissement de leur projetd'intégration méditerranéenne. Lesprochaines priorités de la coopérationUE-UMA ont été fixées au terme decette rencontre. Il s'agit notammentde relancer le dialogue politique et derenforcer la coopération en matièred'économie, de technologie et de sé-

curité. Des réunions techniques de-vraient se tenir durant les prochainessemaines à Bruxelles en vue de tra-duire ces intentions par des actionsconcrètes.

Un site de consultationpublique autourde l’éducationLe Conseil supérieur de l'enseignementvient de lancer un site de consultationconcernant la question de l'éducationau Maroc. Le portail (www.consulta-tion.cse.ma), disponible du 23 septem-bre au 15 octobre, permet aux citoyensde donner leur avis concernant la situa-tion actuelle et les perspectives du sys-tème national de l’éducation, de la for-mation et de la recherche scientifique.La synthèse des contributions servira àalimenter le travail d’évaluation de la dé-cennie de la Charte nationale de l’édu-cation-formation, mission que le sou-verain a confiée au Conseil dans sondiscours du 20 août dernier.

Atlanta représente enexclusivité Globus auMarocLa Compagnie d'assurances Atlantadevient membre à part entière de Glo-bus, le plus grand réseau panafricain

d'assurances, et le représente en exclu-sivité au Maroc. À travers 34 compa-gnies d'assurances africaines, le réseauGlobus est en mesure de proposer auxentreprises un service multilingue glo-balisé sur tout le continent africain.Ainsi, les multinationales présentesdans plusieurs pays africains peuventsouscrire aux produits d'assurancestout en bénéficiant de produits stan-dardisés et surtout, avoir un interlocu-teur unique dans tous les pays où ellessont implantées.

L’inauguration de ladeuxième ligne deproduction de Renault àTanger pour la semaineprochaineC’est au début de la semaine prochaineque le constructeur français Renault de-vrait concrétiser la montée en puis-sance de son usine de Tanger Mel-loussa. Il sera ainsi procédé, mardiprochain, à l’inauguration de sadeuxième ligne de production. Celle-civa porter sur une capacité de 30 véhi-cules produits par heure. L’objectifcomme annoncé récemment par leDG du groupe, Jacques Prost, est d’ac-compagner le lancement de la nou-velle version de Dacia Sandero, pourréaliser un total de 200.000 véhiculesproduits en 2014.

2

Les commissions parle-mentaires accomplis-sent un travail très inté-ressant, contrairement

aux stéréotypes ambiants. Dehauts fonctionnaires et des pa-trons de grandes entreprisespubliques y passent régulière-ment le grand oral. Tout estpassé au peigne fin. Situationcomptable, gouvernance, pro-cédure, marchés et même re-crutements. Hier, c'était au tourde l'ONDA de subir ce test detransparence, après un premierreport. C'est un exercice très at-tendu, après les scandales quiont éclaboussé cet office et lesmalheureuses péripéties quiont fait les choux gras de lapresse. Hier, cependant, toutcela n'était qu'un lointain souve-nir. Et pour cause, les états fi-nanciers audités, certifiés etprésentés aux parlementairesmarquaient un changement dementalité d'abord, mais surtoutde gouvernance. Les résultatsfinanciers satisfaisants et lebenchmarking d'accueil vis-à-vis d'autres opérateurs mon-diaux relève un niveau plusqu'acceptable. C'est pourquoicet exercice est bénéfique àplusieurs titres et permet de lavisibilité par rapport aux établis-sements publics, souvent vic-times de clichés, en dépit desefforts déployés par les nou-veaux gestionnaires. Les com-missions parlementaires ontdonc le mérite de faire émer-ger des compétences, d'impo-ser la transparence et de prô-ner la reddition des comptes.L'État a grandement besoind'ouvrir ses établissements àson opinion publique, à traversla presse et le Parlement. C'estla clé de voûte de la luttecontre l'opacité et la corruptionet c'est de bon augure. ●

Contrel’opacité

Samir ChaoukiDirecteur de publications.chaouki@leseco.ma

Ramid réagit à l'opposition des avocatsLa réaction du ministère de la Justice et des libertés suite au «refus» parl’association des barreaux du Maroc de la nouvelle charte de la justice aété rapide. Suite au sit-in de protestation devant son ministère, MustaphaRamid s’est fendu d’un communiqué virulent affirmant que cette ONG n’afait part d’aucune proposition ou contestation pendant l’élaboration de lacharte. Le ministre rappelle que le bâtonnier Hassan Wahbi, président del’association, était membre permanent de la haute instance chargée de laconception de cette réforme et qu’il n’a jamais présenté de doléances.Pour rappel, les points de vue du ministère de la Justice et de l’associationdes barreaux avaient divergé dès le début du dialogue national autour dela réforme, notamment sur la question du statut juridique de l'associationdes barreaux que certains voulaient convertir en «ordre des avocats».

Mustapha Ramid,ministre de la Justice

et des libertés.

MERCREDI 2 OCTOBRE 2013 - LES ÉCO 3

Événement

● La lettre de cadrage du projet de loi de finances 2014 donne le ton concernantl'impératif de rigueur budgétaire. Le document fixe des enveloppes budgétaires maximales et formalise les réformes nécessaires au rétablissement des équilibres macroéconomiques. Le délai de consultation ministériel est fixé au 5 octobre.

Benkirane annonce la couleurLoi de finances

La lettre de cadrage de la loi deFinances 2014 est enfin tom-bée ! Il était temps, car noussommes à moins de 20 jours

du délai légal de dépôt du projet de loide Finances au Parlement. Or, si le chefde gouvernement a pris tout son tempspour élaborer la lettre de cadrage, le do-cument est daté du 23 septembre der-nier, ce qui ne laisse que quelques joursà ces ministres pour répondre à celle-ci,cela en fixant le délai de consultationministériel au 5 octobre. En tout casdans le contenu, le document mis en

ligne hier après-midi sur le site de la pri-mature représente un tournant majeurdans les orientations économiques etfiscales du pays, confirmant l'impératifde rigueur budgétaire (lire Les ÉCO du27 septembre, leseco.ma). Plus encore,Abdelilah Benkirane n'y va pas par qua-tre chemins en demandant clairementque les propositions d'amendementprennent en compte la nécessité du ré-tablissement des équilibres macroéco-nomiques du royaume. Par ailleurs, les«enveloppes budgétaires maximales»ont d’ores et déjà été fixées et trans-

mises aux ministres. Des limites maxi-males qui prennent en compte, selon ledocument officiel, une limitation accruedes dépenses courantes, confirmant,encore une fois, l'impératif de rigueurbudgétaire. Une rigueur qui s’exprimeégalement dans la quasi-totalité desorientations adoptées dans le docu-ment. En effet, une série de réformesstructurelles ont été formalisées dans laLC. Objectif de croissance en baisse à4%, relèvement de l’âge des retraites, ré-forme fiscale, réforme du système decompensation… autant de principes

cruciaux, pour la première fois, officiel-lement formalisés dans un budget. Dé-cidément, en 2014, le Maroc sera unchantier de réformes à ciel ouvert. Tou-tefois, une question s'impose avecacuité : «Et le RNI dans tout cela ?» Eneffet, la lettre de cadrage a été envoyéeaux différents départements alorsmême que le flou persiste encoreconcernant la nomination officielle dela nouvelle équipe gouvernementale,actant l'entrée du RNI dans la majoritégouvernementale. Est-ce à dire quedans sa course contre la montre pourtenir les délais légaux, Benkirane achoisi sciemment de court-circuiterson futur allié ? Wait and see... ●

PAR OTHMANE ZAKARIA

o.zakaria@leseco.ma

LES ÉCO - MERCREDI 2 OCTOBRE 2013

Événement4

nique des lois de Finances (LOLF), lesprochaines le seront certainement. LaLC entérine en effet la réforme, et for-malise officiellement la nouvellestructuration du budget, qui reposeradorénavant sur les programmes et lesobjectifs. 4 ministères pilotes suivrontla nouvelle procédure en 2014.

Dépenses : l’État veutserrer la ceinture

Acquisition ou location de véhicule sujettes à autorisationBenkirane n’y va pas par quatre che-mins pour maîtriser les dépenses dugouvernement en matière d’achat oude location de véhicules. Il sommeses troupes à s’engager à ne pas ac-quérir ou louer de nouveaux véhi-cules sauf nécessité «justifiée» etdans ce cas là, son autorisation ex-press est nécessaire.

Gel des constructions administrativesParmi les mesures préconisées pourmaîtriser les dépenses de fonction-nement, le gouvernement appelle lesdépartements ministériels à renoncerà programmer de nouveaux bâti-ments ou de nouveaux logementsadministratifs tout en réduisant lesdépenses locatives.

Minimalisation des frais de déplacement À l’instar des voitures, le chef du gou-vernement part en croisade contreles déplacements à l’étranger. Pourcela, il appelle à la rationalisation desmissions à l’étranger et la limitationdes frais y afférant, au strict mini-mum.

Mutualisation des achats publicsLa réduction des coûts des achatspublics grâce à la mise en œuvre demesures contenues dans le nouveau

Fiscalité : la réforme fiscale en marche

Généralisation de la déductibilitéde la TVALa taxe sur la valeur ajoutée est aucœur de la réforme fiscale. D’ailleurs,les assises fiscales tenues en févrierdernier avaient conclu à l’urgence decette réforme. Selon les informationsfigurant sur la note de cadrage, legouvernement est bien décidé à en-tamer ce chantier en instaurant laneutralité de la TVA grâce à la généra-lisation du droit de déduction. L’amé-lioration des conditions et des délaisde remboursement de la TVA serontégalement au menu du PLF 2014.

L’exonération pour les grandsagriculteurs supprimée…Le gouvernement se conforme à ladécision royale de supprimer l’exoné-ration fiscale attribuée aux grandsagriculteurs. La petite et moyenneagriculture continuera quant à elled’en bénéficier. Cependant, le sus-pens perdure sur les critères de défi-nition des petits et moyens agricul-teurs. Ce suspens devrait prendre finavec le PLF 2014, qui en principe lè-vera le voile sur cet aspect.

…pas de nouvelles exonérations !La politique d’austérité se fait de plusen plus sentir, puisque le gouverne-ment informe qui de droit qu’aucunenouvelle exonération ne sera attri-buée au titre de l’année 2014. Enfin,sauf surprises. De plus, le gouverne-ment se fait un point d’honneur desupprimer graduellement toutes lesexonérations «inutiles» et de rationali-ser celles à maintenir.

Les taxes parafiscalesne sont plus tolérées Dans le cadre de l’opérationnalisationde la réforme fiscale, le gouverne-

ment a décidé de s’abstenir de lacréation des taxes parafiscales pourpréserver l’unité et l’harmonie du sys-tème fiscal.

Réformes : l’énormechantier de 2014

Retraites : CMR en urgence…Une réforme en deux étapes, voilàcomment compte procéder le gou-vernement de Benkirane : la premièrerépond à l’État d’urgence du régimedes pensions civiles de la Caisse ma-rocaine des retraites (CMR) à traversla révision de ses paramètres, notam-ment au niveau de l’âge de retraite etdu calcul des cotisations.

… le système ensuiteLa deuxième étape sera consacrée àla mise en œuvre de la réforme desrégimes de retraite dans sa globalité àtravers l’unification des régimes dusecteur public et semi-public dans unpôle public constitué de deux ré-gimes, l’un de base et l’autre complé-mentaire ainsi que la constitution d’unpôle privé qui couvre, en plus des sa-lariés du privé, la catégorie des non-salariés.

Système de compensation : uneréforme globale mais progressiveL’entrée en vigueur de l’indexationpartielle des prix des carburants li-quides constitue en effet la ported’entrée pour une refonte globale del’ensemble du système de compensa-tion et de redistribution des richesses.Une orientation entérinée dans cetteversion de la lettre de cadrage, qui in-siste également sur le caractère pro-gressif de la réforme.

LOLF : enfin un budget stratégiqueSi la loi des Finances 2014 n’est pasadoptée sous la nouvelle loi orga-

décret des marchés publics en ma-tière de mutualisation des besoins oude centralisation des achats.

Investissement : desmesures concrètes

La préférence nationale formalisée Bonne nouvelle pour les PME. Le gou-vernement promet d’activer les nou-velles mesures du décret sur les mar-chés publics, qui réserve 20% descommandes aux PME avec, en bonus,une application effective de la préfé-rence nationale.

Plus d’équité régionaleLe gouvernement compte continuer àmettre le paquet sur l’investissementpublic, avec plus d’équité dans la distri-bution des projets d’investissementsentre les régions. L’idée est de donner lapriorité aux projets déjà prêts et à lapoursuite des projets entamés.

L’investissement industriel à l’honneurPour le privé, le gouvernement prometplus d’encouragement des investisse-ments en particulier dans l’industrie, àtravers une simplification de l’accès ausoutien financier public et au foncier del’État. Il est question de la révision dusystème d’octroi de l’utilisation deszones industrielles et la simplificationdes procédures et l’amélioration desservices accordés aux investisseurs.

La création d’entreprise en ligne actéeConscient de l’importante de la déma-térialisation, le gouvernement consentenfin à mettre en place un système pourla création en ligne des entreprises. Ilopérationnalise, dans la foulée, la déma-térialisation des procédures d’obtentionde l’attestation de régularité fiscale. ●

PAR H.G, T.H ET O.Z

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LES ÉCO - MERCREDI 2 OCTOBRE 2013

Grand angle6

taxes dans leurs pays, croit savoirle pdg de la RAM. Très préoccupépar cet environnement concur-rentiel, il en appelle aussi à lacréation d’une «autorité de régu-lation», histoire de permettre àtout le monde de se battre à«armes égales».

Sacrifices du personnelEn dehors de cette concurrenceà «armes inégales», c’est la situa-tion sociale interne de cette com-pagnie, vieille de 55 ans, qui hantele sommeil de son pdg. Là aussi,Benhima n’hésite pas à parler demenace sur l’équilibre de son en-

treprise. «Si des aug-mentations intervien-nent au niveau de lamasse salariale, nouspouvons perdre rapide-ment tout ce qu’on agagné. La situation esttrès fragile». Encore unefois, il espère pouvoir

compter sur «les sacrifices dupersonnel» pour éviter une re-chute. Rien n’est moins sûr, maisle commandant en chef de lacompagnie nationale se dit opti-miste sur leur avenir collectif. «Leplus gros de la tempête est der-rière nous», pense-t-il, en évo-

quant les perspectives de la RAM.Benhima n’a peut-être pas tort.Malmenée dans le nord, la RAMest en train de se renforcer dansle sud et profite de la clarté du cielafricain. Ce marché «d’avenir» del’aviation mondiale représentedéjà 25% du chiffre d’affaires deRoyal Air Maroc, soit l’équivalentde son premier marché, à savoirles destinations françaises. ●

PAR OUMAR BALDÉo.balde@leseco.ma

● Deux ans après la signature d’un contrat-programme avec l’État, Royal Air Maroc est en train de réussirson nouvel envol. Toutefois, la compagnie aérienne nationale doit faire face à une rude concurrence menéepar les low-cost et des compagnies du Golfe.

RAM a tourné une page difficile

«L’année 2013 seraitcelle du retour à unrésultat net positif,néanmoins, la RAM

n’a pas encore quitté la zone deturbulences». C’est le «chef pi-lote» de la Royal Air Maroc qui ré-sume ainsi la situation que tra-verse la compagnie nationale.Après les difficultés de 2011, laRAM commence à reprendre dela hauteur, et le ciel se dégagepeu à peu, même si une averseorageuse peut encore obscurcirla vue à tout moment. «Notre ob-jectif, c’est d’arriver à une situationoù le développement et la crois-sance de la RAM soient stabilisés.C’est-à-dire que nous ne soyonsplus à la merci de la conjonctureou d’efforts particuliers et à vraidire, ce n’est pas encore le cas».Pour le moment, l’étape à franchirest celle du «redéveloppement»,qui passe par «une phase de sta-bilisation et d’amélioration de laqualité». Visiblement, cette étapecruciale de la restructuration estsereinement entamée. Elle faitsuite aux éprouvantes périodesde réduction de la flotte, d’arrêtde certaines lignes déficitaires,de réduction des effectifs, ou en-core d’externalisation de cer-taines activités non essentielles.Globalement, «cette démarcheséquencée» semble bien réussirà la RAM, qui entrevoit déjà sonprochain redécollage avec la ré-ception de dizaines d’appareils,dont des long-courriers, attendusdès fin 2014. Toutefois, quand lePDG de la RAM parle de dépen-dance à la «conjoncture» ou àdes «efforts particuliers», il fautcomprendre que ce retour se faitdans la douleur.

Désarmée faceà la concurrenceLa rude concurrence et des low-cost et des compagnies clas-siques fragilise encore les équili-bres fondamentaux de la RAM.D’ailleurs, Benhima le crie haut et

fort, sans complexe : «Nous souf-frons de la concurrence, et celle-ci menace l’avenir de la RAM». Enguise de parabole, l’hommecompare sa flotte à un «petit ba-teau sur une mer déchaînée».Entre la concurrence desgrandes compagnies du Golfe etcelle des low-cost européens, «laRAM est désarmée», constateBenhima, qui rappelle que sonentreprise est «engagée dansune activité et dans un pays oùl’on paie la TVA sur les moyens deproduction, et où l’impôt sur le re-venu atteint 45% du revenu glo-bal»… Comme solution, il invite

les pouvoirs publics à faire ungeste afin d’assouplir la «pressionfiscale», histoire d’égaler leschances avec les concurrentscar si les low-cost bénéficientd’incitations fiscales avanta-geuses, les compagnies du Golfesont exonérées de nombreuses

Le marché africainreprésente 25%du chiffre d’affairesglobal de RAM.

Transport aérien

Septembre 2011signature du contrat-programmeavec l’État avec pour objectif derelancer la compagnie au bord dela faillite

Décembre 2011cessions des parts de la RAM dansAtlas Hospitallity Morocco (AHM),et dans Matis Aerospace.

Début 2012poursuite de la politique de recen-trage sur le métier de base à tra-vers l’externalisation des activitésde formation, de handling et decatering.

Fin 2012la RAM réalise un résultat d’exploi-tation de 718 MDH, contre 500MDH en 2011, soit une améliora-tion de plus de 1,2 MMDH. «C’estle meilleur résultat depuis 15 ans»,fait savoir la compagnie.

2013Driss Benhima prévoit un «résultatnet positif».

DATES CLÉS

MERCREDI 2 OCTOBRE 2013 - LES ÉCO 7

Grand angle

Les ÉCO : Où en est la RAMaprès les périodes de turbu-lences de 2010 et 2011 ? Driss Benhima : Nous essayonsde faire les choses de manière sé-quencée. La première séquenceest derrière nous, c’est-à-dire la re-structuration du groupe par le biaisde la réduction de la flotte, l’arrêt decertaines lignes déficitaires, la ré-duction des effectifs, ainsi que l’ex-ternalisation de certaines activités…Tout cela est dépassé. Maintenantnous attaquons la phase de stabili-sation et d’amélioration de la qua-lité. Nous insistons beaucoup plussur la stabilisation de la qualité quesur la remise en cause des presta-tions parce que la qualité est déjàbonne. La dernière phase est celledu développement que nous al-lons atteindre grâce à l’arrivée denouveaux avions de capacitémoyenne de 100 places.

Quelles sont vos prévisions-pour 2013 ?L’année 2013 serait le retour à un ré-sultat net positif. Il nous reste en-core deux mois pour finir notreannée fiscale, mais je pense quec’est une année sauvée. Néan-moins, RAM n’a pas encore quitté lazone de turbulences. La concur-rence est toujours là.

Quelle est la nature de cetteconcurrence ? Le transport aérien européen esten surcapacité du fait de la criseéconomique européenne. Cettesurcapacité déborde sur les desti-nations des pays non européens,lesquels ont signé un open-skyavec l’Europe. Ceci fait que nousavons une quantité impression-nante d’avions qui viennent au-jourd’hui au Maroc et une offre quiconnaît une croissance assez forte.Il y a aussi le retour du tourisme qui

l’horizon ?En ce qui nous concerne, la pre-mière phase portant sur la réduc-tion des coûts internes, a été ache-vée. Toutefois, elle reste menacéepar les équilibres sociaux au sein deRAM. La prise de conscience dupersonnel de RAM de cette fragilitéest quelque chose de positif. Il nousfaut donc continuer à accepter defaire des sacrifices. L’autre solutiontouche à la pression fiscale. Nousne sommes pas à jeu égal avec nosconcurrents. Nous subissons unefiscalité qui est celle que subissentles entreprises marocaines, alorsque ce n’est pas le cas pour nosconcurrents. C’est très déséquilibré! Enfin, notre secteur ne disposepas d’autorité de régulation,comme c’est le cas par exempledans les télécoms.

Parlez-vous d’une régulationau niveau national ou interna-tional ?Les deux à la fois. Au niveau inter-national, il faut que la fiscalité soitla même pour tout le monde. Surle plan interne, il faut parvenir à lapossibilité de disposer d’une com-pagnie nationale forte et enmême temps d’une offre de trans-port bon marché pour le tourismeet les MRE. Si on ouvre trop, si ondonne des subventions aux low-cost, si on ne les met pas à égalitéavec les compagnies classiques,on risque d’assister à la fin d’unecompagnie nationale (ndlr, laRAM), et tout ce qu’elle représentecomme capacité de rayonne-ment national à l’étranger.

Ceci dit, êtes-vous optimistepour l’avenir de l’aviation, etsurtout de RAM ?Oui ! Je pense que le plus gros de latempête est derrière nous. Lecontrat-programme a bien clarifiéle rôle que RAM doit jouer dans letransport aérien. Il admet que RAMferme des lignes touristiqueslorsqu’elles ne sont pas rentables.Aussi, il admet que le réseau do-mestique soit subventionné, carnous n’avons plus d’avantages ad-ministratifs sur les lignes rentables.Nous n’avons pas de marchés surlesquels nous pouvons puiser pourcompenser les pertes sur d’autresmarchés. Ces clarifications qui sontadmises par le contrat-programmeconstituent le point essentiel du dé-veloppement de la RAM. ●

PROPOS RECCUEILLIS PARO.B

«Le plus gros de la tempêteest derrière nous»INTERVIEW

Driss Benhima,PDG de Royal Air Maroc

est un phénomène fort et qui inciteles compagnies européennes àmultiplier leurs dessertes sur leMaroc.

Comment RAM vit-elle cetteconcurrence, notamment celledes low-cost ? Il n’y a pas que les low-cost, lescompagnies classiques égale-ment nous concurrencent ! Néan-moins, la concurrence des low-cost est très dangereuse pour unecompagnie comme RAM. Leurmodèle est extrêmement agressif,puissant mais contestable. En pluselles bénéficient de soutiens pu-blics et d’incitations fiscales trèsavantageuses. Pourtant, noussommes dans la même arène. Leproblème c’est qu’on ne se bat pasà armes égales. De la même ma-nière, RAM ne se bat pas à armeségales avec les compagnies duGolfe qui ne paient aucun impôt.C’est dommage qu’il n’y ait pas deConseil international de la concur-rence qui permette de réguler letransport aérien.

À vous entendre parler, on sentque la RAM souffre de cesconcurrences…C’est clair que la RAM en souffre.Cette concurrence peut menacerl’avenir de la compagnie. Au-jourd’hui, dans beaucoup de paysles compagnies autonomes se fontrares. Iberia est maintenant mariéeà British Airways, Alitalia fait désor-mais partie de la sphère d’influence

d’Air France… L’Europe ne compteplus de compagnies moyennesnationales de la taille de RAM. Ellesont toutes été avalées par desmonstres (Air France-KLM, BritishAirways et Lufthansa). Cette situa-tion est un phénomène écono-mique très important. En ce mo-ment, on se pose la question desavoir comment allons-nous fairepour que RAM échappe à ce sort ?Nous parvenons pour le moment àtenir, grâce à l’aide de l’État maro-cain et grâce aux sacrifices du per-sonnel, mais il nous faut rapide-ment sortir de cette tempête.

Les acteurs du tourisme natio-nal sont pourtant favorables àune plus forte présence deslow-cost dans le ciel marocain.Qu’en dites-vous ? Je suis parfaitement d’accord aveccette nécessité. C’est par ailleurs laraison pour laquelle nous avons étécontraints d’abandonner une partiedes lignes touristiques que nousavions. Nous avons fermé 17 routesd’un seul coup en novembre 2011.Heureusement qu’il nous reste lehub de Casablanca pour attirer suf-fisamment de passagers entranten connexion et pour échapperainsi aux marchés de la concur-rence frontale. Je suis pour la venuedes compagnies aériennes et lesfacilités pour les low-cost, mais surdes destinations touristiques.

Que préconisez-vous commesolution afin de vous éclaircir

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«Nousparvenons pourle moment àtenir, grâce àl’aide de l’Étatmarocainet grâce auxsacrifices dupersonnel,mais il nous fautrapidementsortir de cettetempête».

LES ÉCO - MERCREDI 2 OCTOBRE 2013

Économie8

La politique industrielle en besoin de renouveau

Dans sa dernière lettre mensuelle, le CMC revient sur les limites de la politique industrielle marocaine. Le centre dirigé par Habib El Malki estimeque le secteur industriel continue de souffrir d’un certain nombre de contraintes qui grèvent sa compétitivité, notamment «la faiblesse du leader-ship entrepreneur, la faible disponibilité des matières premières, le coût prohibitif de l’énergie, le délicat accès au financement…». En parallèle, lapolitique industrielle a toujours reposé sur un fil conducteur qui faisait de l’investisseur la cible à séduire. «Or, celui-ci rechignait à assumer lesaléas du risque que recèle ce secteur au profit d’autres activités plus ouvertes à la spéculation, à l’exemple du bâtiment et de certains services…».Pour le CMC, la politique industrielle devrait plutôt continuer à orienter cet effort vers l’appel des investissements directs étrangers (IDE). «Des ef-forts considérables ont été déployés dans ce sens, mais les résultats peinent à suivre».

un allègement du besoin de finan-cement de l’économie».

La valeur ajoutée industrielle en baisseCette situation est moins due à larésilience du secteur industrielqu’aux bonnes performances dusecteur agricole cette année : Lavaleur ajoutée agricole en volumes’est accrue de 22,8% au lieu d'unebaisse de 9,5% enregistrée aumême trimestre de l’année précé-dente, alors que celle des activitésnon agricoles a été, en revanche,en ralentissement, avec une crois-sance de 2,5% au lieu de 4,5%.Cette situation offre un sursis àl’économie marocaine pour cetteannée en attendant les pluies decette fin d’année. Le danger estbien présent lorsqu’on constate lesfaibles performances de l’industrie.En effet, les chiffres du HCP mon-trent un important recul de la va-leur ajoutée du secteur secondaire.Celle-ci a enregistré une baisse de0,6% au lieu d’une hausse de 1,3%

Il suffit encore de bonnespluies pour nous rassurerquant à la conjoncture écono-mique dans notre pays. Après

la Direction des études et des pré-visions financières (DEPF) qui pré-dit des performances honorablespour la fin de l’année, les comptesnationaux du HCP viennentconfirmer cette tendance opti-miste pour le deuxième trimestre2013. La version du HCP montreune amélioration de la croissanceéconomique nationale au moisd’août 2013 par rapport à la mêmepériode en 2012, soutenue parti-culièrement par l’important re-bondissement de l’activité agri-cole. Le Produit intérieur brut aaffiché un accroissement de 5,1%en volume au lieu de 2,7% lamême période de l’année précé-dente. «Cette amélioration de l’ac-tivité conjuguée à l’accroissementnotable des revenus nets en pro-venance du reste du monde s’esttraduite par une augmentation durevenu national brut disponible et

durant la même période de l’annéeprécédente. Dans le détail, le BTPbroie du noir avec une valeur ajou-tée de l’activité qui a chuté de 4,6%au lieu d’une hausse de 3,5% uneannée auparavant. La régression aégalement concerné l’activité del’électricité et de l’eau qui a baisséde 0,9% au lieu d’une hausse de9% en 2012. Quant à l’industried’extraction, celle-ci a stagné aulieu d’une baisse de 5%. À ce titre,la dernière note de la DEPF sou-ligne notamment la stagnation dela production de l’OCP qui a affichéun ralentissement par rapport auxmois précédents. Ainsi, la produc-tion des dérivés de phosphate astagné à fin août 2013 après unehausse de 4,5% à fin juin 2013 et de2,8% à fin juillet 2013. Pour ce quiest des industries de transforma-tion, elles ont connu une légèrecroissance de 0,8% au lieu de 1,4%.

L’économie en sursisMalheureusement, les services nepourront pas sauver la mise. S’ils

L’industrie broie du noir au 2e trimestre

Conjoncture

● Les performances agricoles accordent un sursis à l’économie marocaine, surtout àson industrie qui a connu une déprime au mois d’août 2013 en comparaison avec celuide 2012. Une situation qui souligne encore une fois la nécessité de revoir la politiqueindustrielle du pays.

●●●

Selon le HCP,le Produitintérieur bruta affiché, auterme du2e trimestre2013, unaccroissementde 5,1% envolume au lieude 2,7% lamême périodede l’annéeprécédente.

ont affiché une hausse de 4,2%, ilsfont toutefois moins bien qu’en2012 où ils avaient affiché unehausse de 5,9%. En parallèle, lesdépenses de consommation fi-nale des ménages se sont ac-crues de 4% au lieu de 2,2% lamême période de l’année précé-dente, contribuant ainsi pour 2,3points à la croissance au lieu de 1,3point. La consommation finaledes administrations publiques apour sa part affiché une hausse de4,7% au lieu de 7,4%, contribuantde 0,8 point à la croissance. Enoutre, l’investissement brut (for-mation brute de capital fixe et va-riations de stocks) a enregistré unehausse de 2,4% au lieu de 4,6%une année auparavant. Globale-ment, la demande intérieure acontribué de 3,3 points à la crois-sance au lieu de 2,1 points. Une foisn’est pas coutume, les échangesextérieurs de biens et services ontdégagé une contribution positiveà la croissance de l’ordre de 1,8point au lieu d’une contributionnégative de 0,6 point le même tri-mestre de l’année précédente.Dans ce cadre, les exportations debiens et services ont affiché unehausse de 5,1% au lieu de 1% alorsque les importations ont diminuéde 0,6% au lieu d’une hausse de2,5%. Les chiffres de l’Office deschanges pour le mois d’aoûtconfirment le recul du déficit de labalance commerciale qui est plu-tôt dû au recul des importationsde 6,1 MMDH, plus important quecelui des exportations (-1,9MMDH).Au total, ces performances toussecteurs confondus ont pu main-tenir une croissance du PIB en vo-lume de 5,1% au lieu de 2,7%. Ellesse sont traduites en termes nomi-nal par une hausse de 6,9%, ce quidégage une augmentation du priximplicite du PIB de 1,8% en glisse-ment annuel. ●

PAR AYOUB NAÏMa.naim@leseco.ma

SOURCE : HCP

Secteur agricole 24.147 29.656 22,8Secteur non agricole 123.642 126.714 2,5Impôts sur les produits nets des subventions 21.663 22.176 2,4Produit intérieur brut en volume 170.138 178.737 5,1PIB hors agriculture en volume 145.002 148.590 2,5Produit intérieur brut en valeur 205.044 219.181 6,9

VALEURS AJOUTÉES PAR SECTEUR EN UNE ANNÉE (EN MDH)

2E TRIMESTRE 2012 2E TRIMESTRE 2013 GLISSEMENT ANNUEL (EN %)

Les exportations de produits maraîcherssont sur une courbe ascendante. C’est dumoins ce qui ressort des statistiques affé-

rentes à la campagne 2012-2013, arrêtée au 28août de cette année. Celles-ci font état d’uneaugmentation des quantités exportées de pri-meurs l'an dernier. Elles ont atteint 800.000tonnes, contre 754.000 tonnes lors de la précé-dente campagne, soit une augmentation d’en-viron 6%. Cette tendance à la hausse est essen-tiellement due aux exportations des légumesdivers qui ont augmenté de l’ordre de 18%. Cesderniers représentent 31% des exportations to-tales des produits maraîchers, avec la prédomi-nance du haricot (43%) et du poivron (24%), sui-vis de la courgette (14%) et du piment fort (4%).La région du Souss, qui produit annuellement 1,5million de tonnes de primeurs et concentre 82% des exportations nationales, a réalisé 660.000tonnes lors de la campagne 2012-2013 contre614.600 tonnes durant la campagne précé-dente. De ce fait, cette variation représente uneévolution de 7%. S’agissant des exportations detomates, elles ont également enregistré une lé-gère hausse d’environ 1%, soit 420.000 tonnescontre 415.000 tonnes durant la campagne pré-cédente. Le Souss a exporté à lui seul 406.700tonnes, soit 97% des exportations nationales entomates, enregistrant une hausse de 1% par rap-port à la compagne écoulée (402.400 t). Eneffet, les exportations de tomate ont été mar-quées par la prédominance de la tomate rondequi représente 64% de l’ensemble des exporta-tions des tomates, suivie de la tomate cerise(22%), la tomate cocktail (10%) et la tomategrappe (3%). Par variété, les produits de seg-mentation (tomate cerise, tomate cocktail, etc.)commencent à prendre de l’ampleur ces der-

● Les exportations de primeursont évolué de 6%, soit 800.000tonnes contre 754.000 lorsde la précédente campagne.Cette tendance à la hausseest essentiellement due auxexportations des légumes divers.

Export, les produits maraîchers cartonnentnières années. Ainsi, par rapport à la campagne2009-2010, la tomate cerise, la tomate cocktailet la tomate grappe ont connu respectivementune augmentation de l’ordre de 92%, 77% et23%, tandis que la tomate ronde n’a connuqu’une hausse de 20%. En ce qui concerne la

pomme de terre, les expéditions ont affiché unehausse de 46%, ce qui correspond à 25.860tonnes, contre 17.600 tonnes lors de la cam-pagne précédente. ●

DNC À AGADIR YASSINE SABERy.saber@leseco.ma

9MERCREDI 2 OCTOBRE 2013 - LES ÉCO

Économie

LES ÉCO - MERCREDI 2 OCTOBRE 2013

Économie10

300participants re-présentantl’écosystème de

l’aéronautique de 20 nationalitésdifférentes se sont donné rendez-vous à Casablanca, plus précisé-ment à l’Office des foires et des ex-positions, le temps d’uneconvention d’affaires internationalede grande envergure. Bombardier,Safran, Zodiac, Thales, UTC Aero-space Systems,… autant de grandsdonneurs d’ordre qui ont réponduprésent. C'est la preuve que leMaroc a réussi à développer aucours de ces dernières années unevéritable plateforme aéronautiqueet spatiale de qualité et dans desconditions de compétitivité inter-nationale. L’aéronautique maro-caine a incontestablement un belavenir devant elle. Au cours des dixprochaines années, l’industrie aéro-nautique installée au Maroc devraitgénérer près de 15.000 emplois.Cependant, il y a encore beaucoupde travail à faire et un long chemin

L’industrie aéronautique enconclave à Casablanca

à parcourir pour que le Marocpuisse s’imposer réellement et ga-gner une place confortable et de-venir incontournable dans la Sup-ply Chain aéronautique mondiale,notamment en matière de forma-tion. «Il nous faut redoubler d’effortspour doter nos jeunes d’une forma-tion solide et continuer à leur prodi-

du hub aéronautique sont posés.Les opérateurs affluent de plus enplus au Maroc et s’y installent. Au-jourd’hui, la base aéronautique ma-rocaine compte la présence deplus de 90 opérateurs de référenceinternationale et connaît une nou-velle phase dans son développe-ment, avec l’arrivée de nouveauxmétiers, ainsi que l’intégration detechnologies et de valeur ajoutée. Ils’agit là de l’une des raisons qui ontpoussé Maroc Export, Gimas etABE à organiser l’Aerospace Mee-ting, un événement B2B par excel-lence, en marge de l’inaugurationroyale de la plateforme industrielleMidParc. «Il ne s’agit pas d’un salonconventionnel, mais d’un espace despeed dating entre constructeurs,sous-traitants et fournisseurs», ex-plique Stéphane-Pierre Castet, pré-sident directeur général de BCI Ae-rospace, la division aéronautique,espace et défense d’Advanced Bu-siness Events, leader dans l’organi-sation de conventions d’affaires. Cedernier affirme que l’événementdepuis l’annonce de sa tenue à Ca-sablanca, a rencontré un intérêtconsidérable. Des rendez-vous d’af-faires ont eu lieu tout au long destrois jours de la tenue du meeting,dont ont découlé des promessesde partenariat et des contratsconcrets. ●

PAR IHSANNE ANDALOUSSI

La situation financière del’ONDA était hier au pro-gramme de la Commission

des finances au sein de la 1rechambre. L’Office semble exploi-ter les mesures arrêtées dans sonplan stratégique durant cetteannée 2013, très certainementcelle de la reprise. Sur les cinq der-nières années, le total des trans-ferts au budget de l’État a atteint3,11 MMDH, soit une moyenne de25% du chiffre d’affaires annuelmajoritairement réalisé par les re-devances aéroportuaires et cellesde survol. La politique d’incitationtarifaire adoptée en 2005 a per-mis pour sa part «aux aéroportstouristiques marocains de devenir

compétitifs par rapport à d’autresaéroports du bassin méditerra-néen, de même que la redevancede survol de l’espace marocain estaussi moins chère par rapport auxespaces européens», a indiquéDalil Guendouz, DG de l’ONDA,

devant les membres de la com-mission. Parmi les mesures pharesdécidées dans ce cadre figurel’exonération totale de toutes les

redevances aéroportuaires et dehandling pour le trafic domes-tique, ainsi que des réductions im-portantes qui couvrent les rede-vances (passagers, atterrissage,...). L’Office a aussi mis en place unnouveau règlement des marchés

pour améliorer son sys-tème de gouvernance.Cette réforme a étémenée parallèlement àl’entrée en vigueur d’unenouvelle procédure depaiement valable pourla traçabilité des fac-

tures et le suivi du paiement desfournisseurs. Pour le trafic passa-ger commercial, le mois d’août aenregistré une hausse de 20,4%.

Cet indicateur confirme la repriseenregistrée durant les huit pre-miers mois de l’année 2013, avecune hausse de 6,93%. Pour le tra-fic domestique, une évolution im-portante à deux chiffres a été en-registrée, de l'ordre de +46,4%durant le mois d’août 2013. Les au-tres données dévoilées devant lesmembres de la Commission desfinances montrent égalementque les parts des compagnies lowcost en termes du trafic ont enre-gistré une baisse de 7 points en2011 et 2012. «Cette baisse est dueà la régression du trafic des troisprincipales compagnies low costde l'aéroport Mohammed V», a ex-pliqué Guendouz devant les dé-putés. La donne semble changerau titre des huit premiers mois de2013 avec une légère hausse, pas-sant de 14% à 16% suite à une re-prise de leur trafic. ●

PAR YOUNÈS BENNAJAHy.bennajah@leseco.ma

L’ONDA en bonne forme● L’Office verse annuellement près du quart de son chiffre d’affaire à l’État. La baissedes redevances aéroportuaires reste la clé de la compétitivité des 15 aéroports.

guer cours et formations spéciali-santes», avance Zahra Maafiri, di-rectrice générale de Maroc Export.Aussi, il est question de créer lesconnexions nécessaires pour étof-fer, développer et enrichir le tissu in-dustriel marocain, tout en diversi-fiant la chaîne de métiers et despécialisations. Toutefois, les jalons

Pour l’ONDA,2013 est l’annéede la reprise.

● Plus de 300 participants de 20 pays différents ont répondu présent à l’AerospaceMeeting de Casablanca, qui clôturera ses travaux aujourd’hui.

11MERCREDI 2 OCTOBRE 2013 - LES ÉCO

Business

● C'est depuis les années 1960 que le groupe Super Cérame s’est positionné dans le segmentdu carrelage.

La filiale d’Ynna Holding conti-nue son plan de développe-ment en absorbant CeramicaOuadrass, une entreprise spé-

cialisée dans le carrelage mural. An-noncée récemment, l’acquisition a étéconclue sur base d’un montant quis’élève à 265 MDH, relatif à la transac-tion, mais qui servira aussi au dévelop-pement de la nouvelle filiale. En termesde parts de marché, cette dernière dé-tenait environ 6%, contre 47% détenuspar Super Cérame, ce qui porte lesparts de marché de cette dernière à

● La filiale du groupe Chaabi acquiert, pour 265 MDH, l’entreprise Ceramica Ouadrass et porte ainsi sa capacitéde production à 120.000 m².

Super Cérame s’aggrandit

53%, une position de leader incon-testé. En termes de perspectives dedéveloppement, cette opération per-mettra à la filiale d’Ynna Holding derenforcer sa présence dans le seg-ment du logement social. Au Maroc,ce sont environ 500.000 logementssociaux qui sont en cours de construc-tion, dont 20% sont situés dans la ré-gion de Tanger-Tétouan. «C’est uneréelle aubaine pour l’entreprise. Nonseulement nous n’étions pas présentsdans le nord du Maroc, mais nousn’avions pas les moyens de contrer l’en-

trée de produits européens dans cettepartie du pays. Cette acquisition nouspermettra d’accomplir ce double ob-jectif», affirme Fouad Benzakour, admi-nistrateur directeur général de SuperCérame. En outre, cette opération per-mettra au groupe de lever sa capacitéde production quotidienne de105.000 m² à 120.000 m². L’ensemblede l’activité étant orientée vers le mar-ché local. Actuellement, les exporta-tions de l’entreprise, surtout vers lespays de l’Afrique subsaharienne, nesont pas encore très développées. Or,cette activité commence petit à petit àprendre son envol, chose queconfirme Benzakour. «Pour l’année

C’est hier, en direct de l’Aero-space Meetings de Casa-blanca, que Casablanca aé-

ronautique filiale du groupe françaisAuvergne a finalisé un contrat avec leconstructeur belge Sabca. Ce der-nier cherchait un fournisseur localpour sa filiale marocaine ASM Aerocréée en 2012. La filiale marocaine dugroupe Auvergne devient ainsi lepremier fournisseur marocain d’ASMAero. Le contrat en questionconcerne la fabrication de pièces pri-

maires destinées au cône arrière del’Airbus A330. «Pour le moment, il nes’agit pas d’importants volumesparce que Sabca s’inscrit dans unelogique de test du marché», expliqueLaurent Guth, directeur général deCasablanca aéronautique. Et d’ajou-ter, «les six prochains mois serontconsacrés à l’évaluation du partena-riat afin de se lancer sur de nouvellesactivités à partir de 2014». ●

PAR HAYAT GHARBAOUIh.gharbaoui@leseco.ma

Casablanca aéronautiquedevient fournisseurde Sabca● À partir de 2014, les deux nouveaux partenairesambitionnent de lancer de nouvelles activités.

2014, nous avons actuellement un car-net de commande riche d’environ milleconteneurs destinés aux pays del’Afrique subsaharienne. Cette régionrevêt une grande importance pour nouset pour le secteur de la céramique ma-rocaine». En outre, parmi les troisbranches qui composent ce dernier, legroupe Super Cérame s’est positionnédepuis les années 1960 dans le seg-ment du carrelage. Avec le segmentdu sanitaire, et à l’opposé du segmentde la vaisselle, complètement disparu,les deux segments ont réussi à résisterà l’entrée des produits à bas prix. ●

PAR HICHAM AÏT ALMOUHh.almouh@leseco.ma

LES ÉCO - MERCREDI 2 OCTOBRE 2013

Agenda12

CETTE PAGE EST SPONSORISÉE PAR

Président Directeur Général & Directeur de la PublicationSamir Chaouki

RÉDACTION

Rédacteur en chef adjointAziz SaidiGrand ReporterMeriem AllamChef d’éditionNadia BenyourefJournalistesHicham Aït Al Mouh, Oumar Baldé, Hayat Gharbaoui, Aboubacar Yacouba Barma,Younes Bennajah, Tarik Hari, Ayoub Naim, Othmane Zakaria, Btissam Zejly

Cahier Épargne et Investissement (Lundi)Salima MarzakCahier Afrique (Mardi)Safall FallCahier PME (Jeudi)Houda SikaouiCahier Week-end (Vendredi)Jihane Bougrine

Responsable CorrespondantsJalal BaaziCorrespondants Mostafa Bentak (Rabat), Mohamed Ramdani (El Jadida),Yassine Saber (Agadir), Mustapha El Ahmadi (Marrakech),Youness Benzineb (Tanger-Tétouan), Amal Baba Ali (Madrid)

DÉPARTEMENT TECHNIQUE

Secrétaire Générale de RédactionFatima El OuafiDirecteur artistique (Conception graphique)Saïd MejjatRévisionHabib El Amrani, Bruno Van Eetvelde, Lamia BenessalahInfographistesAmine Zita, Siham El Moustakim, Abdeljalil Ahakki, Karim MouhyiPhotographeKarim Mdouari

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CoordinationNawal MaftouhJournalistesMehdi Lahdidi, Ihssane AndaloussiWebmasterAli Boumlal

DIRECTION COMMERCIALE & MARKETING

Directeur Commercial et MarketingHicham MekouarDirecteur Département AutomobileJalil BennaniCommunication & MarketingHind Idrissi Kaitouni

ADMINISTRATION

Directeur Administratif et financierYoussef KhizraneAchats et logistiqueFarida ChafikRessources humainesWidad El FakirAnnonces légalesYamina Kayal

ImprimerieMaroc SoirDistributionAl wasit PressDossier de presse035/2009ISSN 2028-795XDépôt légal2012 PE 0051Crédit photosMAP / AIC PRESS : aicpress1@gmail.com

Membre de la fédération marocaine des éditeurs de journaux (FMEJ)

LES ÉCO est édité par Horizon Press S.A.4, rue Adi-El-Haraki (ex-Calavon), ang. bd. Abdelmoumen,

2e étage - 20100Tél. : 0522 278 003 - Fax : 0522 221 907

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Conférencesur le dévéloppementde CasablancaDans le cadre des tables rondes,débats prévus par le 4ème

congrès des Cités et gouverne-ments locaux unis (CGLU) qui setient du 1er au 4 octobre, à Rabat,Lydec organise, mercredi 2 octo-bre, une conférence sur le thème«Gouvernance et modes de fi-nancement des projets de déve-loppement urbain dans le GrandCasablanca, pour une perfor-mance métier renforcée». L’ob-jectif est de présenter les enjeuxde développement de la la mé-tropole et les solutions adéqua-tres pour anticiper et accompa-gner son évolution.

Le 2 octobre, Casablanca.

Bensouda à la CFCIMNourdine Bensouda, trésorier gé-néral du Royaume, animera, jeudi3 octobre, à la Chambre françaisede commerce et d’industrie duMaroc (CFCIM) une conférencesur le thème «Les innovations desréformes des marchés publics».

Le 3 octobre, Casablanca.

5e édition des Journées doctorales en TICLe Pôle de compétences ensciences et technologies de l’in-formation et de la communica-tion (Pôle STIC) et le Laboratoiresystèmes de télécommunica-tions & ingénierie de la décision(LASTID) de la Faculté dessciences de Kénitra co-organi-sent, les 29 et 30 novembre 2013,la cinquième édition des Jour-

nées doctorales en technologiesde l'information et de la commu-nication (JDTIC'13) à la Facultédes sciences de l’université IbnTofail de Kénitra. Ce colloquedédié aux jeunes chercheursdoctorants marocains sera orga-nisé sous forme de sessions deprésentations orales et de ses-sions posters.

29 et 30 novembre 2013,Kénitra.

Anuga,les inscriptionslancéesLes petites ou moyennes entre-prises désireuses de promouvoirleurs produits alimentaires à l’in-ternational sont invitées à partici-per au salon Anuga, à Cologneen Allemagne, du 5 au 9 octobre.Pour l’inscription, il faut s’adresserau Centre marocain de promo-tion des exportations (CMPE).

Du 5 au 9 octobre,Cologne, Allemagne.

L’Oréal et L’Unesco célèbrent «Pour lesfemmes et la science»Pour la 7e année consécutive,L’Oréal Maroc et L’Unesco s’enga-gent à encourager, par unebourse de 50.000DH, 5 jeunesdoctorantes en 2e année dans lesdomaines de la biologie, de la chi-mie thérapeutique et de la chimieorganique. Les candidatures sontouvertes depuis le 1er septembreet le resteront jusqu' au 31 octobre2013 en ligne sur www.fwis.fr. LeJury se réunira en novembre pourdésigner les 10 meilleures candi-datures qui seront invitées à pré-senter oralement leurs re-cherches. Les cinq boursières

seront désignées à l’issue de cetentretien oral et recevront leursbourses en décembre 2013 lorsd’une cérémonie officielle.

Jusqu’au 31 octobre,www.fwis.fr

Séminaire«De la gouvernanceà la performance»Gouvernance Conseil organiseun séminaire sur le thème «De lagouvernance à la performance»,le 10 octobre, à l’hôtel Diwan-Rabat. Renseignements et ins-criptions à travers l’adresse : semi-naire@gouvernance-conseil.ma

Le 10 octobre,Rabat.

Imtiaz, la 2e édition2013 lancéeL’ANPME vient de lancer la 2e édi-tion 2013 du programme Imtiaz.Ce dispositif permet à l’entrepriseéligible de bénéficier d’unecontribution non remboursablede 20% du montant de l’investis-sement, plafonné à 5 millions deDH. La date de dépôt des candi-datures est fixée au 31 octobre.

Candidatures avantle 30 octobre.

Salon de l’optiqueLe salon international de l’optiqueau Maroc (Siom) aura lieu du 31octobre et 3 novembre, au palaisdes congrès de Marrakech. Auprogramme, les nouveautés enmatière d’optique et de lunetterie.

Du 31 octobre au 3 novembre,Palais des congrès,

Marrakech.

«Holcim awards»,les inscriptions lancéesLa 4e édition des «HolcimAwards», un des concours lesplus importants du secteur de laconstruction durable, est lancée.Les projets doivent être soumisavant le 24 mars 2014 sur le sitewww.holcimawards.org. Ouvertaux architectes, ingénieurs, chefsde projet, ce concours offre 2 M$au meilleur projet.

Jusqu’au 24 mars 2014,www.holcimawards.org.

LES ÉCO AUTO - MERCREDI 2 OCTOBRE 2013

AUTO

● Première prise en main de cette familiale dans sa version restylée.Des évolutions qui ne sont pas que cosmétiques, mais aussitechnologiques, comme l’adoption d’un système d’info-divertissementde dernière génération. P. 14

AUTO-ÉCHOS

Peugeot 2008, c’est pourbientôt p.15

MARCHÉ

Jeep, une nouvelle ère p.18

UTILITAIRE

Fénie Brossette voit grand p.19

HAUT DE GAMME

Ferrari Maroc, c’est parti p.20

Une mise à jour 2.0Opel Insignia

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LES ÉCO AUTO - MERCREDI 2 OCTOBRE 2013

Essai international

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Qu’il s’agisse de lahausse des prix descarburants ou de sespremières consé-

quences, parmi lesquels lagrogne des transporteurs… Toutcela était prévisible dès lors que legouvernement avait opté pour leretour du système d’indexation.Beaucoup ne sont pas contents,certains semblent indifférents,tandis que d’autres craignent laparalysie qu’entraînerait un dé-brayage prolongé des profession-nels du transport. D’autres encore-mais ils sont minoritaires- esti-ment que cette hausse des prix àla pompe est une bonne chose,une sorte de sacrifice populairelégitime sur l’autel de l’améliora-tion du solde budgétaire de l’État,à travers la réduction du déficit dela caisse de compensation. Verra-t-on moins de conduc-teurs sur nos routes ? Probable-ment pas. Les automobilistesemprunteront-ils un peu plus letramway ? Il y aussi une ques-tion que les importateurs auto-mobiles se posent: la voiture fi-nira-t-elle par devenir un luxe?C'est, encore une fois, peu pro-bable. En revanche, un paramè-tre risque fortement de chan-ger: le comportement desautomobilistes, à l’achat commeà l’usage. Désormais, on prendraplus le temps de se renseignersur les niveaux de consomma-tion d’une voiture. Peut-êtremême que les modèles hy-brides auront un peu plus lacote. Qui sait? Une chose estsûre: chaque automobilistepeut réellement contournercette hausse tarifaire des carbu-rants. Comment? En levant lepied droit et en respectanttoutes les bonnes règles del’éco-conduite. ●

Lever le pied

Jalil Bennanij.bennani@leseco.ma

BILLET

Une mise à jour 2.0Opel Insignia

● Première prise en main de cette familiale dans sa version restylée. Des évolutionsqui ne sont pas que cosmétiques, mais aussi technologiques, comme l’adoptiond’un système d’info-divertissement de dernière génération.

Cinq ans déjà ! L’Insignia pour-suit sa carrière, entamée en2008 et couronnée d’unequarantaine de récom-

penses internationales, ainsi que d’unjoli succès commercial avec plus de500.000 exemplaires déjà vendus.Pour entretenir cette demande, la fami-liale de la marque à l’éclair est logique-ment passée par la case restylage. Unemise à jour au sortir de laquelle l’Insigniaévolue aussi bien techniquement quesur le plan esthétique. Une vraie cure dejouvence.

Jeux de lumièresL’Insignia doit indéniablement son suc-cès à sa ligne. Lorsqu’elle était lancée,elle incarnait le nouveau style d’Opel,avec une architecture de coupé-berlineet des détails esthétiques inédits,comme cette fameuse nervure latéraleen forme de virgule. Des fondamentauxpréservés, selon la règle qui veut qu’«onne change pas une formule qui gagne».La nouvelle-venue adopte une calandreélargie et abaissée, un bouclier remo-delé et souligné de chrome sur lescôtés, ainsi que des projecteurs au gra-phisme revisité. Leurs nouvelles diodesinférieures confèrent un regard plusmarqué à cette allemande. À l’arrière, lesblocs de feux s’épaississent de haut enbas, recourent eux aussi à des LED et seséparent par un jonc chromé du plusbel effet. Au-delà de la cosmétologie,l’Insignia a surtout profité de son liftingpour adoucir certains angles et amélio-rer son coefficient aérodynamique. Ré-sultat : elle devient la berline la plus fluidedu monde avec un Cx de 0,25 !

Un cockpit revisitéSi «l’ancienne» Insignia était déjà appré-ciable par la qualité de son accueil, lanouvelle s’améliore encore plus à bord.Question présentation, exit les quatrecompteurs en puits et place à une ins-trumentation qui privilégie avant tout lalisibilité et la praticité, avec un écran cen-tral couleurs pouvant afficher 2 à 3 typo-graphies de compteurs. On note aussiun nouveau volant typé sport, des com-

mandes tactiles pour la clim’ auto bi-zone, ainsi qu’une console centrale sim-plifiée, grâce à l’adoption d’un écran tac-tile large (8’’) et multifonctions. C’estsurtout le cas du système Intellilink quipropose des fonctions d’info-divertisse-ment de dernière génération grâce àune connectivité poussée avec lessmartphones (météo, navigation 3D, ap-

plications multimédia). Le tout avec lapossibilité d’être commandé soit au vo-lant, soit par reconnaissance vocale soitencore, par un pavé tactile situé derrièrele levier de vitesses. Bonne nouvelle,cette innovation à même de comblerles cadres geeks figurera bien au cata-logue Opel de CFAO Motors Maroc.

Des moteurs plus efficientsAu Maroc, l’Insignia restylée arriveradans quelques semaines, d’ici la fin2013. En attendant, nous savons déjàque l’importateur va enrichir son équi-pement, avec entre autres choses à at-tendre, un module GPS avec cartogra-phie Maroc (actuellement à l’étude).Mécaniquement l’offre cylindrée/puis-sance restera inchangée, mais avec desmoteurs ayant subi des améliorationsconsidérables. C’est le cas du 2.0 litresCDTi qui, dans sa puissance de 140 che-vaux a vu sa consommation considéra-blement adoucie, pouvant même bais-ser jusqu’à 3,7 l/100 km ! C’est justementce bloc, qui constitue la version cœurde gamme (y compris au Maroc), aveclequel nous avons parcouru une bonnecentaine de kilomètres dans les envi-rons de Francfort. L’occasion d’apprécierson répondant, mais aussi de tester ànouveau la précision de conduite decette allemande, son toucher de routeet son nouveau confort de suspension,avec toujours une adhérence à touteépreuve. Explication : 60% des compo-sants de l’essieu arrière ont été modifiés,précise l’ingénierie d’Opel. Bref, ils sontforts ces Allemands ! ●

LES ÉCO AUTO - MERCREDI 2 OCTOBRE 2013

Auto-échos15

Les technologies BMW, expliquéespar Mehdi Bennani

Qui de mieux qu’unpilote de coursepour expliquer l’in-térêt du contenuhigh-tech et méca-nique influant sur lecomportement dy-namique d’une voi-

ture ? Voilà pourquoi Smeia, l’importateur de la marque à l’hélice,a fait appel au champion national, Mehdi Bennani, afin d’animerune rencontre avec la presse, placée sur le thème des technolo-gies intrinsèques à BMW. Cela a constitué l'occasion de passer enrevue tous les dispositifs actifs et passifs qui font qu’une BMW secomporte différemment d’une autre voiture et procure un réelplaisir de conduite. Cela va des fondamentaux de la marque etnotamment de la propulsion et la répartition optimale des masses(50/50), mais aussi d’innovations plus récentes, comme la récu-pération de l’énergie au freinage ou encore les volets d’air actifsqui améliorent le rendement aérodynamique. Bref, un sujet bienmaîtrisé par l’intéressé, qui a tenu à rappeler qu’il avait démarré sacarrière au volant d’une BMW.

Sopriam se prépare à lancer engrande pompe le Peugeot 2008. Sil’on sait déjà que ce modèle fera l’ob-jet d’une soirée mondaine, prévue le9 octobre et à laquelle serontconviées 1.200 personnes, on ap-prend surtout qu’il démarrera à untarif très agressif. En effet et selon nosinformations, le 2008 sera accessibleà partir de 175.000 DH dans sa ver-sion 1.4 HDI de 70 ch, avec dès le pre-mier niveau un équipement complet(ABS, ESP, double airbag, climatisa-tion, régulateur de vitesse…). Ledeuxième niveau, lui, sera animé parle moteur 1.6 HDI de 90 ch et seratout aussi compétitif, avec un tarif in-férieur à 200.000 DH.

CONFIDENTIEL1619

C’est le nombre de kilomètres qu’a réussi à parcourirune Ford Focus 1.0 litre EcoBoost avec un seul plein…d’essence ! Cela s’est passé en Scandinavie, où deuxNorvégiens ont réussi à parcourir la Norvège, la Fin-lande et la Suède durant 28 heures, avant de tomberen panne sèche. Leur 3 cylindres de 125 ch a enmoyenne avalé 3,3 l/100 km. Spécialistes de l’éco-conduite, Knut Wilthil et Henrik Borchgrevink avaientdéjà réussi un joli coup en 2011, en effectuant 2.161,5 kmavec un seul plein de gazole en Ford Mondeo 1.6 TDCi.

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Marché

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Jeep, une nouvelle ère● Lancement officiel de Jeep sous la houlette de Fiat group automobiles Maroc (FGAM).Forte d’un héritage légendaire et d’une légitimité de pionnier historique, cette marqueprofitera surtout d’une panoplie de services inédits en après-vente.

Dans l’histoire de Fiatgroup automobilesMaroc (FGAM), «il y auraun avant 23 septembre

2013 et un après 23 septembre2013». Ces mots, prononcés nonsans grande émotion, sont ceuxde Marco Tronchi (Pdg de FGAM)lors de la présentation à la pressenationale de la nouvelle gammeJeep. Une marque qui entre dés-ormais dans l’escarcelle de la fi-liale marocaine du groupe turi-nois et ceci conséquemment aurachat du groupe Chrysler parFiat. Signe de l’importance capi-tale que revêt la relance de cettemarque, la venue uniquementpour cette circonstance, de Jé-rôme Monce, le directeur desopérations dans la région EMEA(Europe Middle East & Africa) ausein du groupe Fiat.

Une gamme appelée à s’élargirAvant de présenter la nouvellestratégie étudiée pour Jeep, unfilm retraçant l’histoire de lamarque a été projeté, rappelantqu’elle a été le premier construc-teur de l’Histoire à avoir investi cesegment. Les images du débar-quement des Américains en Nor-mandie, durant la 2e guerre mon-diale, en Jeep, en sont la preuvela plus marquante et la plus indé-lébile. Aujourd’hui, la marque seporte plus que bien, puisqu’en 3ans, elle a augmenté ses ventesde 100%. Avec 701.625 véhiculesvendus en 2012, Jeep est, ni plusni moins, le numéro 1 mondial duSUV ! En attendant le lancementdu nouveau Cherokee (début2014), puis celui du Jeepster (fin2014), les trois principaux mo-dèles de la gamme assuraienttoujours des ventes en progres-sion durant 2012 et plus précisé-ment : +43% pour le Compass,+14% pour le Wrangler et +70%pour le Grand Cherokee. Trois vé-hicules dont les ventes au Marocsont condamnées à croître.D’abord parce qu’ils profitent

désormais de tarifs plus compé-titifs qu’auparavant (voir enca-dré). Ensuite et surtout parce quela nouvelle offre Jeep de FGAM afait l’objet de toute une stratégiebien étudiée.

Une stratégie à 3 piliersÀ commencer par le réseau devente. Histoire de séparer les fluxentre les différents profils declientèle, FGAM a revu la repré-sentation de ses marques à Ca-sablanca. Les gammes Fiat et FiatProfessional seront désormaisdistribuées par Italcar (Sidi Maâ-rouf), ainsi qu’un nouveau show-room sur le boulevard Abdel-

moumen. Quant au showroomdu Maarif, il sera exclusivementdédié aux marques premium dugroupe, à savoir Alfa Romeo, Lan-cia, Abarth et Jeep. Cette der-nière sera aussi présente dans lesshowrooms d’El Jadida et d’Aga-dir. Deuxième et principal pilierde cette stratégie, le serviceaprès-vente a visiblementconcentré toutes les attentionsdu management de FGAM.Outre la continuité du SAV pourles anciens propriétaires de Jeep,la rénovation des ateliers de SidiMaârouf, l’introduction d’un cen-tre d’appel (renseignement, RDV,réclamation), d’un service de na-

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Le 23septembreest entréofficiellementdans le gironde Fiat.

vettes (entre l’atelier de Sidi Maâ-rouf et le centre-ville), d’un ser-vice Mobility (assistance routière,prêt de voiture de courtoisie). Findu fin, la mise en place d’un ser-vice de conciergerie marque unepremière dans le marché pre-mium au Maroc (lire encadré).Quant au troisième pilier, il s’arti-cule autour de la communica-tion, mais au sens le plus largeavec comme objectif de fédérertoute une communauté. Dans lafoulée, s’inscrivent le lancementdu site www.jeep.ma, des ses-sions de pilotage Jeep Academy,puis surtout une forte présencesur les sites sociaux (Facebook,Twietter), histoire de rallier encoreplus d’adeptes. De ce fait, le nou-veau représentant de Jeep s’estdonné les moyens de ses ambi-tions. À ce titre, le patron deFGAM est on ne peut plus clair etréaliste : détenir 5% du marchénational dans ce segment (4x4 etSUV) d’ici 2016, soit 1.000 véhi-cules par an. À coup sûr, il feraplus ! ●

Conciergerie : Restez chez-vous, Jeep s’occupe de tout !

Dès la mi-octobre, Fiat Group Automobiles Maroc démarrera son service deconciergerie. Strictement dédié à la gamme Jeep (et exceptionnellementpour la Lancia Thema), cette nouvelle prestation constitue, à elle seule, unjoli pavé lancé dans la marre du marché premium. Et pour cause, les proprié-taires de Jeep n’auront plus à se déplacer, sauf s’ils le souhaitent vraiment,jusqu’en atelier pour effectuer l’entretien régulier ou toute autre interventiontechnique concernant leur véhicule. Concrètement, le client n’a qu’à appelerla conciergerie et demander à ce qu’un voiturier vienne récupérer son véhi-cule à son domicile ou sur son lieu de travail pour l’amener à l’atelier. Une foisle contrôle, l'entretien ou les réparations effectués, le véhicule est restituéau client. Facile, pratique et surtout, sans supplément de prix !

JEEP COMPASS Sport 4x2 315.000 DHLimited 4x2 350.000 DHLimited 4x4 385.000 DH

WRANGLERSport 2p 365.000 DHUnLtd Sahara 465.000 DH

GRAND CHEROKEELaredo 478.000 DHLimited 578.000 DHOverland 678.000 DH

TOUTES LES VERSIONS, TOUS LES PRIX (TTC)

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Utilitaires19

Fenie Brossette veut se positionnercomme un acteur majeur et incon-tournable sur le marché des poidslourds, des engins utilitaires et des

équipements industriels. Pour cela, cette filialedu groupe Somed a mis en place toute unestratégie visant à déployer son activité aussibien sur l’ensemble du territoire national quesur le plan régional, au niveau des pays subsa-hariens. Point d’orgue de cette vision, la nou-velle plateforme de distribution et de répara-tion de Tit Mellil a été inaugurée la semainedernière. Plutôt gigantesque, cette plateforme ne l’estpas seulement en apparence. Sur le papiercomme dans la réalité, elle occupe une super-ficie totale de 19.000 m², dont 1.400 m² sontoccupés par la partie atelier qui peut accueillirjusqu’à 14 poids lourds en même temps! Pourle reste, on recense un hall d’exposition de900 m², ainsi qu’un magasin de pièces de re-change de 650 m². Un bel écrin pour lesgammes nouvellement distribuées par FenieBrossette, à savoir New Holland Construction(engins de TP), Astra (camions de chantier),CIFA (équipements pour béton), Zoomlion(grues mobiles) ou encore Furukawa (enginsde forage). Sont également disponibles lesmarques historiquement représentées, no-tamment Metso (matériel pour les carrières)et Clark (chariots élévateurs). C'est là un beauportefeuille de marques, dont aucune neconcurrence l’autre. C’est ce qu’a assuré EricLeblanc, directeur général de Fenie Brossette,qui déclare: «nous sommes l’hypermarchédes professionnels des travaux publics». Deson côté, Marouane Tarafa, PDG de Somed, adonné un aperçu sur le déploiement africainde Fenie Brossette. Celle-ci, outre ses 5 suc-

cursales au Maroc, s’installera aussi en Côted’Ivoire (courant octobre), en Mauritanie (d’ici

la fin 2013) et au Sénégal (1er semestre 2014),le tout, en mettant l’accent sur le sens du ser-vice et l’attention portée aux clients. «Nous neproposons pas que des véhicules, nous of-frons des solutions», a déclaré dans ce sens leprésident. ●

Fenie Brossette voit grand● Inauguration d’une plateformede distribution multimarquesà Tit Mellil ayant nécessité uninvestissement de 25 MDH.

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Haut de gamme

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décoré de photographies de lé-gende, on y trouve aussi une se-conde salle abritant différents ar-ticles de personnalisation etnotamment des modèles desièges, de jantes ou de volants.Sur la longueur interne du show-room, d’autres articles commeles peaux de sellerie et les pla-quettes de nuancier (pour la car-rosserie) prolongent le cataloguede personnalisation. À l’étage sesituent des bureaux administra-tifs, tandis qu’à l’arrière un ateliera été dûment équipé pour «offriraux clients tout le support après-

Il y avait du beau monde encette soirée du 27 septembre2013, au 112 Boulevard MoulaySlimane à Casablanca. Pour

son cocktail d’inauguration, lepremier showroom officiel deFerrari au Maroc a accueilliquelque 300 convives, triés sur levolet. Parmi eux plusieurs Ferra-ristes, mais aussi et surtout unbon nombre de futurs clients po-tentiels pour la marque au chevalcabré. Une assistance reçuecomme il se doit, par AbdelhaqLaraki, président du conseil d’ad-ministration d’Univers Motors etEnrico Galliera, senior vice-prési-dent pour les ventes et le marke-ting chez Ferrari, ainsi que bienévidemment, Adil Douiri, prési-dent de Mutandis, le fonds d’in-vestissement auquel est affiliéUnivers Motors.

Un showroom aux normesAu sein de ce dernier groupe, lagamme Ferrari évolue dans uneentité dite Univers Motors Pre-mium. Séparation des flux oblige,cette distinction prend aussi laforme d’un mur, puisque cettepremière concession est mi-toyenne avec le showroomHonda. Habillée de l’ultime iden-tité visuelle de Ferrari, cette nou-velle représentation s’étend sur300 m2, dont une bonne partieest dédiée au showroom d’expo-sition. Outre un salon d’accueil

vente officiel Ferrari, effectué pardes techniciens expérimentés etrégulièrement formés à Mara-nello», lit-on sur un communiquéde presse d’UMP.

Toute la gamme ou presque…Pour ses débuts au Maroc, lagamme du cheval cabré s’est ex-posée quasiment au complet. Enattendant la 458 Speciale, que Fer-rari Maroc annonce pour «bien-tôt», les principaux modèles de lamarque sont là, prêts à être com-mandés. Il s’agit, par ordre de prix,de la California (V8 de 490 ch et505 Nm), de la 458 Italia (V8 de570 ch et 540 Nm), de la 458 Spi-der (V8 de 570 ch et 540 Nm), dela FF (V12 de 660 ch et 683 Nm) etde la F12berlinetta (V12 de 740 chet 690 Nm). Point commun entretous ces bolides, leurs perfor-mances de haute volée, avec unevitesse de pointe supérieure à 300km/h et le 0 à 100 km/h exécutéen moins de 4 secondes. Reste lemust de la gamme, à savoir LaFer-rari, un modèle élitiste, mais sur-tout, qui reste strictement réservéaux Ferraristes de la premièreheure, comme nous l’explique En-rico Galliera (lire ci-contre).

De modestes ambitionsde venteAvec des prix démarrant au-des-sus du double million de dirhams,les modèles de Ferrari ciblentclairement une clientèle (très) for-tunée. Du coup, se posent lesquestions de la rentabilité com-merciale d’une telle structure etau delà, de ses ambitions com-merciales. Si l’on ne peut répon-dre à la première interrogation, ilreste toutefois possible de pro-nostiquer des chiffres ou tout aumoins, évoquer ceux avancéspar le management d’UniversMotors. Celui-ci table sur unedouzaine d’unités en annéepleine (2014) et jusqu’à 20 à l’ho-rizon 2015. Difficile alors de dire sices objectifs sont réalistes oupas. Seul le temps nous le dira.●

Ferrari Maroc, c’est parti !● Casablanca. Inauguration de la première représentation officielle de la marqueau cheval cabré. Un showroom et un atelier qui répondent aux normes internationales.Le Maroc est le 61e pays accueillant officiellement ce prestigieux blason.

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Avec des prixdémarrantau-dessus dudouble millionde dirhams,les modèles deFerrari ciblentclairement uneclientèle (très)fortunée.

Les ÉCO : Qu’est-ce quia motivé Ferrari à êtrereprésenté au Maroc ?Enrico Galliera : Nous avons dé-couvert ici qu’il y avait une baseclients importante, avec une cen-taine de Ferrari. Du coup, nousavons jugé utile d’avoir un impor-tateur officiel au Maroc afin deproposer à tous les Ferraristesd’avoir un espace dédié à lamarque, de partager leur passionet surtout de disposer d’un ser-vice après-vente et d’une assis-tance de qualité.

Avez-vous fixé des objectifscommerciaux annuels pourFerrari Maroc ?Oui et non. Certes, il y a eu un bu-siness plan annuel par cet importa-teur pour rentabiliser les investisse-ments qu’il a faits. Ceci étant, nousserons dans un premier temps sur-tout regardants sur le service, plu-tôt que sur le nombre de véhiculesvendus. Notre principal objectif estsurtout d’élever encore plusl’image de la marque et assurerune qualité de service digne deson prestige et à la hauteur ducontenu technologique. Pournous, telles sont les bases du déve-loppement de Ferrari au Maroc.

Les clients marocains pour-ront-ils commander le fleuronde la marque, LaFerrari ?Bien sûr que oui. Sauf qu’il faudraremplir certains critères. En fait, lemodèle LaFerrari a été imaginé etconçu comme un cadeau de re-merciement à nos clients les plusfidèles. Autrement dit, avoir de l’ar-gent ne suffira pas pour comman-der une LaFerrari. Son acheteurdoit avoir une histoire et un par-cours avec notre marque. Il doitfaire montre, en quelque sorte,d’un joli «pedigree de ferrariste». ●

Enrico Galliera, Senior vice-président venteset marketing de Ferrari

Q/R

Ferrari California 2.200.000 DHFerrari 458 Italia 2.400.000 DHFerrari 458 Spider 2.600.000 DHFerrari FF 3.100.000 DHFerrari F12berlinetta 3.200.000 DH

PRIX OFFICIELS AU MAROC

● Experts internationaux, prix Nobel, responsables gouvernementaux sont réunispour dessiner les villes et la société de demain.

Le sommet mondial desCités et gouvernementslocaux unis (CGLU) qui re-groupe 1.000 villes de par

le monde a démarré ses travauxhier à Rabat. Plusieurs réunions decommissions et réunions de tra-vail ont été ainsi tenues simultané-ment. La veille, des réunions thé-matiques et des séminaires ontété organisés pour donner letempo à ce 4e congrès mondialde CGLU. Cette année, la théma-tique choisie «imaginer la société,construire la démocratie», colleassez parfaitement au contexteactuel marqué par les change-ments profonds que plusieurspays arabo-musulmans ontconnus, mais aussi par les bascu-lements économiques et finan-ciers qui continuent de peser surles sociétés occidentales. En toutcas, ce sont 3.500 participants,experts internationaux, responsa-bles gouvernementaux, prixNobel, représentants de multina-tionales qui vont échanger durantquatre jours à propos de l’évolu-

● Démarrage réussi des travaux de ce 4e congrès mondial des Cités et gouvernements locauxunis (CGLU). Le développement des centres urbains, après 2015, est au cœur des travaux.

Les maires du monde font le débatVilles de demain

tion que les villes connaissent.Parce qu'il est un sujet de débatpassionnant, le développementlocal en Afrique intéresse au plushaut point. Justement, c’est au ni-veau de ces villes africaines qui in-vestissent toujours dans les infra-structures que la croissance est àchercher. Dans cette perspective,les sujets liés à la décentralisation,

l'autonomie locale, la femme, lamigration et les villes intelligentesreprésentent une mine d’ord’échanges d’expertises et de sa-voir-faire. On débattra égalementdes moyens d’améliorer la qualitéde vie des habitants de la ville, dela solidarité entre les territoires etde la gestion de la diversité. L’onparlera surtout de l’après 2015,

date butoir des Objectifs du millé-naire pour le développement(OMD) et de la mise en place d’unnouvel agenda urbain dans lecadre de ce qu’on appelle «Habi-tat III». Il s'agit de la 3e conférencedes Nations Unies sur l’infrastruc-

ture et le développement urbaindurable, qui se tiendra en 2016. Enmarge du sommet des CGLU, unsalon de 10.000 m2 baptisé«Rabat Expo» a été mis en placesur l’esplanade située en face del’hôtel Sofitel Jardin des roses. Cesalon permettra aux collectivitéslocales, aux entreprises, aux so-ciétés de services, ainsi qu’auxopérateurs institutionnels interve-nant dans le développement desvilles d’exposer les savoir-faire,équipements et technologies. ●

PAR MOSTAFA BENTAK

m.bentak@leseco.ma

Àla veille du 4e Congrèsde l’organisation mon-diale «Cités et gouver-nements locaux unis»

(CGLU), Casablanca a rendu,hier mardi, un hommage à Ber-trand Delanoë, le maire de Pariset président du CGLU en fin demandat. «Si le Maroc accueille le4e Congrès de l'organisationmondiale, c’est à Delanoë quenous le devons», a précisé Mo-hamed Sajid, le maire de Casa-blanca. D’ailleurs ce dernier, lorsd’une rencontre avec la presse,n’a pas raté cette occasion pourprésenter ses chantiers réaliséset en cours pour Casablanca,devant plusieurs mairesd’Afrique (Tunis, Nouakchott,Brazzaville, Dakar) ainsi que lesélus de sa ville. Dans l’audience,Delanoë applaudissait. «Au boutdes dix ans que j’ai passé en tant

que maire de Paris, je ne peuxqu'être surpris et content duchangement qu’a connu la villede Casablanca», a-t-il insisté audébut de son allocution. Il fautsavoir que les deux maires seconnaissent assez bien. Ilss’étaient rencontrés au début dupremier mandat du maire pari-sien. D’ailleurs, Sajid est le tréso-rier de l’organisation des mairesfrancophones que Delanoë pré-side. Ils avaient aussi lié leursdeux villes d’un accord de coo-pération en 2004 dans lequel lapremière ligne du tramway et la

reconversion des anciens abat-toirs en espace dédié à la cul-ture étaient déjà évoquées. «Depuis la signature de ce parte-nariat, nous avons travaillé à tra-vers des échanges techniquesportant plusieurs chantierscomme le système de tramwayet les transports en commun engénéral, les infrastructures ur-baines et culturelles, surtout legrand théâtre de Casablanca»,explique Sajid. Pour Delanoë,malgré les différences, les deuxvilles ont beaucoup de défis encommun, auxquelles ce parte-

nariat bénéficie.«L’inclusion so-cial et le rassemblement des po-pulations, le développement du-rable, sont tous des défiscommun entre les villes dumonde au 21e siècle». L’atelierparisien de l’urbanisme soutientdepuis longtemps Casablancasur le volet technique de seschantiers. Cela est aussi valablepour les projets culturels de Ca-sablanca comme le grand théâ-tre de Casablanca. «Nous colla-borons aussi sur un projetcomplexe qui est celui de l’amé-nagement des anciens abattoirsde Casablanca, les artistes quiy opèrent sont un peu turbu-lents, mais il se trouve que les ar-tistes qui y opèrent sont très po-pulaires à Paris», a indiqué lemaire de Paris. ●

PAR MEHDI LAHDIDI

m.lahdidi@leseco.ma

Casa rend hommage à Delanoë● À 6 mois de la fin de son mandat de maire, Delanoë a été l'invité

de Sajid hier mardi et a eu droit à un hommage pour le soutiendont il a fait preuve à l'égard de son homologue casablancais...

Plus de 3.500participants sontau rendez-vous.

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Les villes deCasablanca et Paris sontliées depuis2004 par un accord de coopération.

21MERCREDI 2 OCTOBRE 2013 - LES ÉCO

Maroc

LES ÉCO - MERCREDI 2 OCTOBRE 2013

Finances24

Enfin! le crédit bancaire mon-tre des signes d’améliora-tion. En effet, le rythme d’ac-croissement du crédit

bancaire affiche une progression, àfin août, à 2,6% contre 2,2% en août2012. Pour BAM, «l’accélération ducrédit bancaire, en août, s’expliqueessentiellement par la hausse de1,2% des facilités de trésorerie et de1,4% des crédits aux promoteurs im-mobiliers». C’est ce qui ressort d’ail-leurs des dernières statistiques mo-nétaires du mois d'août 2013, quiviennent d’être publiées par Bank Al-

Maghrib. Cela dit, on est encore trèsloin de la croissance du crédit sur la-quelle table la Banque centrale d’icifin décembre. Lors du dernierconseil de Bank Al-Maghrib, tenu ennovembre dernier, Abdellatif Jouahri,gouverneur de la Banque centrale,avait anticipé une croissance du prêtbancaire qui devrait se situer, «selonles dernières données disponibles,aussi bien du côté offre que du côtédemande, autour de 4%». La pro-gression positive des crédits dédiésaux facilités de trésorerie et aux cré-dits aux promoteurs immobiliers aété en revanche accompagnée, lorsdu mois d’août, par un ralentisse-

Un léger mieux pour le crédit bancaire● Le rythme d’accroissement du crédit bancaire affiche une amélioration à fin août dernier à 2,6%.Pour BAM, «l’accélération du crédit bancaire, en août, s’explique essentiellement par la hausse de 1,2%des facilités de trésorerie et de 1,4% des crédits aux promoteurs immobiliers».

ment des prêts à la consommationde 2,9% à 2,4% et ceux destinés àl’équipement de 1,2% à 0,7% «en rela-tion avec la décélération des prêtsaccordés aux sociétés non finan-cières publiques de 13,2% à 6,2%»,commente Bank Al-Maghrib. In fine,l’encours du crédit est ressorti, autitre du mois d’août, à 723,92 MMDHcontre 705,66 MMDH enregistrés enaoût 2012, soit un raffermissementde 18,25 MDH sur une année glis-sante. Par agent économique, lesconcours alloués au secteur privéont accéléré de 1,2% à 2,5%, suite à lahausse de 1% des prêts accordésaux sociétés non financières privéesaprès une baisse de 1,6% en juillet, età la décélération de l’accroissementdes crédits destinés aux ménagesde 5,7% à 5%. Quant aux prêts accordés aux socié-tés non financières publiques, leurrythme de progression est revenude 21,8% à 13,3%. De leur côté, lescréances en souffrance se sont ag-gravées de 12,7% par rapport aumois d’août 2012 à 39,8 MMDH,fixant ainsi le taux de contentieux à5,5% contre 4,9% à fin décembre2012. ●

PAR BTISSAM ZEJLYb.zejly@leseco.ma

VARIATION ANNUELLE DES CRÉDITS BANCAIRES PAR OBJETÉCONOMIQUE TAUX DE CROISSANCE ANNUELS ( EN %)

-5

Août-11 Nov.-11 Févr.-12 Mai-12 Août-12 Nov.-12 Févr.-13 Mai-13 Août-13

-1

3

7

11

15

19

23

SOUR

CE :

BAM

■ Comptes débiteurs et crédits de trésorerie■ Crédits immobiliers■ Crédit bancaire■ Crédits à l'équipement■ Crédits à la consommation

L’encours de la dette exté-rieure publique à fin juin 2013s’est aggravé, depuis le début

de l’année, de 12,1 MMDH pour se si-tuer à 224,8 MMDH. C’est ce qui res-sort en partie du bulletin statistiquede la dette extérieure publique relatifau premier semestre 2013, publiépar la Direction du Trésor et des fi-nances extérieures (DTFE). La dette du Trésor s’est accrue de 5,6MMDH, tandis que celle relative auxétablissements publics (EEPs) s’estraffermie de 6,5 MMDH. Pour leur

part, les tirages sur emprunts exté-rieurs publics enregistrent un vo-lume de 22 MDH au premier semes-tre 2013, dont 6,4 MMDH au titre duproduit de l’émission sur le FMI de750 millions de dollars américainsréalisée en mai dernier, et 5,1 MMDHpour le financement des appuis auxréformes et projets du budget. S’yajoutent 10,5 MMDH qui s'inscriventdans le cadre de l’accompagnementde l’effort d’investissement des éta-blissements publics. ●

PAR B.Z.

La dette extérieure publiques’aggrave à 224,8 MMDH

AGROALIMENTAIRE / PRODUCTIONCOSUMAR 1 900,00 1 900,00 118 224 200,00 0 1 900,00 1 900,00LESIEUR CRISTAL - 100 0 - 0 - - CARTIER SAADA - 18,5 0 - 0 - - UNIMER - 189 0 - 0 - - CENTRALE LAITIERE - 1 433,00 0 - 0 - - DARI COUSPATE 590 590 4 2 360,00 1,64 590 590ASSURANCESATLANTA 57,01 57,25 3 132 178 986,66 -1,29 59 56,8CNIA SAADA 945 996 55 53 815,00 -0,3 996 945WAFA ASSURANCE - 2 887,00 0 - 0 - - AGMA LAHLOU-TAZI - 2 260,00 0 - 0 - - BANQUESATTIJARIWAFA BANK 317 317 2 471 783 314,50 0 317,05 317BMCE BANK 204,3 204 1 230 249 071,50 -0,49 204,3 202BMCI - 780 0 - 0 - - BCP 189 189 47 272 8 934 258,00 -0,16 189,25 188CDM - 572,4 0 - 0 - - CIH - 259 0 - 0 - - BÂTIMENT ET MATÉRIAUX DE CONSTRUCTIONCIMENTS DU MAROC - 650 0 - 0 - - HOLCIM ( Maroc ) - 1 413,00 0 - 0 - - LAFARGE CIMENTS - 960 0 - 0 - - SONASID 695 713 1 892 1 348 816,00 -0,27 713 695ALUMINIUM DU MAROC - 1 300,00 0 - 0 - - JET ALU MAROC SA 161 161 70 11 270,00 -3,01 161 161AFRIC INDUSTRIES SA 260 275,6 136 35 375,60 6 275,6 260MEDIACO MAROC - 27 0 - 0 - - BOISSONSOULMES - 860 0 - 0 - - BRASSERIES DU MAROC - 2 250,00 0 - 0 - - CHIMIESNEP 167,2 176,95 640 107 175,65 -0,03 176,95 167,15COLORADO 49,98 50,95 20 1 009,30 4,99 50,95 49,98MAGHREB OXYGENE - 128,05 0 - 0 - - SCE - 387 0 - 0 - - DISTRIBUTEURSAUTO HALL 74 74,5 1 356 100 844,00 0,68 74,5 74FENIE BROSSETTE - 116 0 - 0 - - LABEL VIE - 1 469,00 0 - 0 - - ENNAKL 34,63 35,69 260 8 981,58 2,91 35,69 34,48AUTO NEJMA - 1 281,00 0 - 0 - - STOKVIS NORD AFRIQUE 38,9 38,9 50 1 945,00 0 38,9 38,9FERTIMA - 130 0 - 0 - - REALIS. MECANIQUES 299,95 299,95 82 24 595,90 -1,98 299,95 299,95EQUIPEMENTS ELECTRONIQUES ET ELECTRIQUESNEXANS MAROC 131,1 131,1 1 131,1 0,85 131,1 131,1IMMOBILIERDOUJA PROM ADDOHA 45,25 45,2 31 331 1 419 317,12 -3,83 46,9 45,12ALLIANCES 412 412 36 14 800,00 0 412 410CGI 536 531 324 173 649,00 -0,93 536 531BALIMA - 136 0 - 0 - - INDUSTRIE PHARMACEUTIQUESOTHEMA - 1 239,00 0 - 0 - - PROMOPHARM S.A. 752 752 2 1 504,00 3,6 752 752INGÉNIERIES ET BIENS EQUIP INDUSTRIELSDELATTRE LEVIVIER MAROC 210 210 10 2 100,00 -0,94 210 210STROC INDUSTRIE 78,2 75,63 1 226 92 630,28 -5,43 78,2 75,18LOISIRS ET HÔTELSRISMA 225,1 237,95 582 131 003,10 2,19 237,95 225MATÉRIELS LOGICIELS ET SERVICES INFORMATIQUESDISWAY - 167,95 0 - 0 - - HPS - 400 0 - 0 - - IB MAROC.COM 106 106 5 530 6 106 106M2M Group - 212,65 0 - 0 - - MICRODATA 114 113,95 15 1 709,50 0,84 114 113,95S.M MONETIQUE 179,05 180 386 69 852,15 1,12 182 179,05INVOLYS 118 117 97 11 389,00 -2,5 118 117MINESMINIERE TOUISSIT 1 400,00 1 400,00 5 860 8 204 440,00 -3,38 1 411,00 1 400,00MANAGEM 1 202,00 1 202,00 20 24 040,00 -5,58 1 202,00 1 202,00SMI - 3 725,00 0 - 0 - - REBAB COMPANY - 197,4 0 - 0 - - PÉTROLE ET GAZAFRIQUIA GAZ - 1 679,00 0 - 0 - - SAMIR 247 248,5 157 38 971,30 -0,2 248,5 247SERVICES AUX COLLECTIVITÉSLYDEC 326,25 320 380 123 755,00 -4,48 326,25 320SOCIÉTÉS DE FINANCEMENT ET AUTRES ACTIVITÉSEQDOM - 1 800,00 0 - 0 - - SALAFIN 550 550 200 110 000,00 -0,9 550 550MAGHREBAIL - 856 0 - 0 - - MAROC LEASING - 408 0 - 0 - - TASLIF - 40 0 - 0 - - AXA CREDIT - 352,95 0 - 0 - - DIAC SALAF - 26,25 0 - 0 - - SOCIÉTÉS DE PORTEFEUILLES / HOLDINGSDELTA HOLDING S.A 26,48 26,38 1 367 35 404,00 1,46 26,48 24,8ZELLIDJA S.A - 345 0 - 0 - - SYLVICULTURE ET PAPIERMED PAPER 22,6 22,6 99 2 237,40 -3,83 22,6 22,6TÉLÉCOMMUNICATIONSITISSALAT AL-MAGHRIB 95,98 94 4 791 450 481,25 -1,05 95,98 94TRANSPORTCTM 207,75 207,75 85 17 658,75 -6 207,75 207,75TIMAR 366,9 366,9 1 366,9 5,73 366,9 366,9

MERCREDI 2 OCTOBRE 2013 - LES ÉCO

BoursePHYSIONOMIE MADVOLUME GLOBAL 202 455 388,54MARCHÉ CENTRAL 22 991 988,54MARCHÉ DE BLOCS 179 463 400,00CAPITALISATION 417 164 193 657,45

LA BOURSE À CASABLANCA ET DANS LE MONDE

PLUS FORTES HAUSSESAFRIC INDUSTRIES SA ..............6,00%IB MAROC.COM ........................6,00%TIMAR .......................................5,73%

0

PLUS FORTES BAISSESCTM ....................................... -6,00%MANAGEM ...............................-5,58%STROC INDUSTRIE ....................... -5,43

/

BOURSES ÉTRANGÈRES

4 CAC 40 4 190,50Performance quotidienne +1,14%

3 FOOTSIE 6 451,59Performance quotidienne -0,16%

4 NIKKEI 14 484,72Performance quotidienne +0,20%

4 DJIA 15 181,42Performance quotidienne +0,34%

4 NASDAQ 3 799,72Performance quotidienne +0,75%

INDICE CFGAU 01/10/2013 17,846.61 3 -0.66%

INDICES

MASIFLOTTANT

MADEXFLOTTANT

FTSE CSEMOROCCO 15

FTSE CSEMOROCCO ALL-LIQUID

COURS

VAR %

VAR 31/12

7 354,97

-0,89%

-6,43%

8 613,26

-0,69%

-7,97%

6 994,62

-0,73%

-8,14%

8 343,14

-1,41%

-13,27%

Risma augmente son capital à 795,94 MDHRisma élargit son tour de table. La société vientde porter son capital social de 788,29 MDH à795,94 MDH, à travers l'émission de 76.480 ac-tions nouvelles, d'une valeur nominale de 100DH, émises au prix de 204 DH, soit une primed'émission de 104 DH par action. La primed'émission relative à cette opération s'élève defacto à 7,95 MDH. C'est par ailleurs en date du 25septembre que le directoire, sur pouvoirs de l'as-semblée générale extraordinaire du 27 septem-bre, a constaté l'augmentation de capital sociald'un montant de 7,648 MDH par rembourse-ment d'une partie des obligations remboursa-bles arrivées à échéance le 24 septembre 2013.

Fogrim/Fogaloge, éssoufflement du rythme de progression des prêtsLes prêts Fogarim-Fogaloge enregistrent unnouvel essoufflement de leur rythme de pro-gression au titre du mois de juillet. L’encours cu-mulé agrégé de ces crédits affichait une appré-ciation de seulement 1,3% à 18,4 MMDH de juinà juillet 2013. Dans le détail, la production cumu-lée du Fogarim a avancé de près d'1% à 14,2MMDH pour l’acquisition de logements à hau-teur de 99%. Le taux d’intérêt moyen affecté auxopérations de crédits s'établissait à 6,14% aucours du mois de juillet. Pour sa part, l’encourscumulé du Fogaloge progresse de 2,6% par rap-port au mois de juin à 4,2 MDH. Le taux d’intérêtmoyen s'affiche à 5,8%. Du côté des perspec-tives, la tendance baissière des crédits Fogarim-Fogaloge devrait s'inscrire dans la durée.

En off

La Bourse de Casablanca clôture la séance dansle rouge. Le Masi a reculé de 0,69% à 8.613,26points. Le Madex a baissé de 0,73% à 6.994,62points. Les pertes annuelles des indices pharesde la place casablancaise se sont aggravées à7,97% pour le Masi et à 8,14% pour le Madex.Dans la foulée, la capitalisation est ressortie à 417MMDH. Au registre des plus fortes hausses dumarché, Afric Industries progresse de 6% à 275,6DH, IB Maroc avance de 6% à 106 DH et Timargagne 5,73% à 366,9 DH. À l'inverse, CTM baissede 6% à 207,75 DH, Managem lâche 5,58% à1.202 DH et Stroc Industrie laisse 5,43% à 75,63DH. Le volume des transactions est ressorti à202 MDH, dont 22 MDH enregistrés sur le mar-ché central des actions et 179 MDH affichés parle marché de bloc des actions. BCM et MinièreTouissit ont drainé chacune un volume de 8MDH. Addoha a enregistré de son côté un vo-lume de 1,4 MDH.

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Valeur Cours Ouverture Dernier Cours Qté. échangée Volume Variation en % + Haut jour + Bas jour

COTE DE LA BOURSE DE CASABLANCA (MARCHÉ CENTRAL) 1ER OCTOBRE 2013 SOURCE : BVC

25

L’essentielde la cote

LES ÉCO - MERCREDI 2 OCTOBRE 2013

Marchés26

Vers 10h.00 GMT, mardi 1er octobre, le barilde Brent de la mer du Nord pour livraisonen novembre valait 108,01 dollars sur l'In-

tercontinental Exchange (ICE) de Londres, enrecul de 36 cents par rapport à la clôture delundi. Dans les échanges électroniques sur leNew York Mercantile Exchange (Nymex), le barilde light sweet crude (WTI) pour la mêmeéchéance perdait 17 cents, à 102,16 dollars. Lerecul des cours du brut était notamment attri-buable à la paralysie de l'État fédéral américain,pour la première fois en presque 18 ans. Malgréd'intenses tractations et une soirée d'allers-re-tours entre le Sénat à majorité démocrate et laChambre des représentants dominée par les ré-publicains, aucun projet de loi de finances n'a puêtre adopté à temps pour le début de l'exercicebudgétaire 2014, qui a commencé à 0h.00mardi à Washington (4h.00 GMT). Par consé-quent, l'État fédéral américain a dû mettre auchômage technique des centaines de milliersde fonctionnaires. Le président américain BarackObama avait averti lundi qu'une paralysie fédé-rale aurait des conséquences économiques trèsréelles pour des gens dans la vraie vie, et tout desuite. La paralysie pourrait conduire à une baissede la demande de pétrole chez le premierconsommateur mondial de brut. ●

PAR I.A. AVEC AGENCES

Le brut accusele coup● Les prix du pétrole baissaientmardi en cours d’échangeseuropéens, affectés par laparalysie de l’État fédéralaméricain et le rapprochemententre l’Iran et les États-Unis.

MATIÈRES PREMIÈRES

MÉTAUX

CUIVRE (LONDRES) 3 MOIS 7 272,00 DOLLARS/TONNE

ALUMINIUM (LONDRES) 3 MOIS 1 834,50 DOLLARS/TONNE

NICKEL (LONDRES) 3 MOIS 14 700,00 DOLLARS/TONNE

PLOMB (LONDRES) 3 MOIS 2 167,00 DOLLARS/TONNE

ZINC (LONDRES) 3 MOIS 1 902,00 DOLLARS/TONNE

OR (LONDRES) 3 MOIS 1 300,00 DOLLARS/ONCE

DENRÉES

CACAO (NEW YORK) 2 210,00 DOLLARS/TONNE

CAFÉ (LONDRES) 1 960,00 DOLLARS/TONNE

COTON (NEW YORK) 91,280 CENTS/LB

BLÉ (PARIS) 182,000 EUROS/TONNE

PÉTROLE (LONDRES) 109,510 DOLLARS/BARIL

OPCVM HEBDOMADAIRE GESTIONNAIRE Droits maximum Valeur liquidative ÉVOLUTION DES VALEURS LIQUIDATIVES

Entrée Sortie 27/09/2013 1 an 2 ansdepuis début de l’année glissant glissants

3 ansglissants

OPCVM ACTIONS AD MOROCCAN EQUITY FUND AD CAPITAL 3,00% 3,00% 877,99 -2,72% -5,82% -19,96% -27,30%ATLAS AMBITION ATLAS CAPITAL MANAGEMENT 3,00% 1,50% 81,68 -4,45% -6,15% -19,90% -ATLAS PREMIUM ATLAS CAPITAL MANAGEMENT 3,00% 1,50% 296,32 -2,39% -3,51% -14,63% -11,94%ATLAS SELECTION ATLAS CAPITAL MANAGEMENT 3,00% 1,50% 101,87 - - - -FCP CAPITAL ACTIONS BMCE CAPITAL GESTION 1,00% 0,50% 106,97 -3,98% -4,87% -19,37% -21,67%FCP CAPITAL IMMOBILIER BMCE CAPITAL GESTION 2,00% 1,00% 934,21 -5,58% -9,42% -18,11% -19,44%FCP CAPITAL IMTIYAZ EXPANSION BMCE CAPITAL GESTION 2,00% 1,00% 33ˇ659,88 -2,56% -2,63% -18,27% -19,38%FCP CAPITAL INDICE BMCE CAPITAL GESTION 2,00% 1,00% 2ˇ114,52 -6,06% -7,69% -20,45% -23,08%FCP CAPITAL MAGHREB BMCE CAPITAL GESTION 2,00% 1,00% 2ˇ274,41 -2,95% -2,12% -25,80% -27,85%FCP CAPITAL PARTICIPATIONS BMCE CAPITAL GESTION 2,00% 1,00% 2ˇ963,14 2,70% 3,28% -14,30% -14,73%FCP CAPITAL SELECTION BMCE CAPITAL GESTION 1,00% 0,50% 119,65 -4,17% -4,07% -16,98% -19,81%MAROC VALEURS BMCE CAPITAL GESTION 2,00% 1,00% 3ˇ548,94 -4,93% -5,71% -22,72% -25,37%BMCI EPARGNE VALEURS BMCI ASSET MANAGEMENT 2,00% 0,75% 173,61 -3,51% -5,76% -17,14% -17,53%BMCI SELECTION ACTION CROISSANCE BMCI ASSET MANAGEMENT 0,20% 0,10% 9ˇ510,72 -3,32% -4,99% -15,68% -15,59%BMCI SELECTION ACTIONS DIVIDENDES BMCI ASSET MANAGEMENT 0,20% 0,10% 9ˇ501,12 -5,64% -7,25% -19,83% -18,87%CAM ACTIONS CAM GESTION 2,00% 1,50% 855,32 -1,89% -3,06% - -CAM STRATEGIE CDG CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 2ˇ667,41 -1,37% -2,24% -11,96% -1,99%CDG PERFORMANCE CDG CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 1ˇ579,86 -3,88% -5,12% -16,09% -16,36%CDG CROISSANCE CDG CAPITAL GESTION 1,00% 1,00% 4ˇ260,96 -2,22% -3,12% -13,73% -10,54%CIH ACTIONS CDG CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 969,31 -2,08% -4,25% -15,88% -14,45%FCP OPPORTUNITES CDG CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 973,44 -1,09% -2,04% -16,76% -12,29%CDG SMALL & MID CAP CDG CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 907,57 -0,70% -3,32% - -FCP CFG CONSTRUCTION CFG GESTION 3,00% 1,50% 65,67 -12,87% -16,86% -33,17% -42,69%CFG EMERGENCE CFG GESTION 0,85% 0,85% 30ˇ776,66 -0,35% -6,92% -21,02% -32,67%CFG PERFORMANCE CFG GESTION 0,85% 0,85% 485,53 -3,32% -5,55% -18,55% -21,87%CFG TRADER CFG GESTION 3,00% 3,00% 96,65 -0,06% - - -CFG VALEURS CFG GESTION 0,85% 0,85% 313,25 -5,37% -7,11% -21,77% -24,95%PATRIMOINE AVENIR CFG GESTION 3,00% 1,00% 401,84 -5,36% -7,89% -17,88% -6,12%RMA CAP DYNAMIQUE RMA CAPITAL 3,00% 3,00% 74ˇ866,05 1,55% 0,15% -11,48% -18,78%RMA CAP EQUITY MARKET RMA CAPITAL 0,00% 0,00% 101ˇ938,09 -2,75% -3,04% -15,23% -8,74%RMA CAP EXPANSION RMA CAPITAL 3,00% 3,00% 111ˇ611,81 2,66% 3,90% - -FCP IRGAM ACTIONS IRG ASSET MANAGEMENT 3,00% 1,50% 119,86 -2,39% -6,10% -18,11% -20,99%IRGAM STRATEGIE IRG ASSET MANAGEMENT 3,00% 1,50% 104,31 -0,01% -1,26% -27,58% -23,36%FCP MAROC INVESTISSEMENT MAROGEST 2,00% 0,60% 1ˇ668,19 -1,97% -6,61% -21,83% -29,37%FCP MAROC ACTIONS MAROGEST 2,00% 0,60% 1ˇ688,55 -2,37% -9,17% -26,17% -33,61%ORANGE SHARES SERENITY ORANGE ASSET MANAGEMENT 3,00% 3,00% 917,86 -5,22% -6,44% -18,57% -25,85%ALPHA DYNAMIC FUND RED MED ASSET MANAGEMENT 3,00% 1,50% 94,68 0,82% -0,96% -9,00% -AFG DYNAMIC FUND SOGECAPITAL GESTION 2,00% 1,50% 28ˇ422,62 -2,96% -3,93% -15,94% -15,37%SG ACTIONS PLUS SOGECAPITAL GESTION 2,00% 1,50% 288,63 -3,14% -4,33% -21,18% -22,18%SG EXPANSION SOGECAPITAL GESTION 2,00% 1,50% 26ˇ811,03 -2,92% -3,93% -17,13% -16,12%SG EPARGNE PLUS ACTIONS SOGECAPITAL GESTION 2,00% 1,50% 85,43 -3,91% -5,44% - -FCP AL BADIL CHAABI ASHOUM UPLINE CAPITAL MANAGEMENT 1,50% 1,50% 954,03 -0,48% -0,30% -17,50% -19,06%FCP ALISTITMAR CHAABI ACTIONS UPLINE CAPITAL MANAGEMENT 1,50% 1,00% 22ˇ764,97 1,83% -1,12% -15,44% -16,41%FCP AL IDDIKHAR CHAABI ACTIONS UPLINE CAPITAL MANAGEMENT 3,00% 1,50% 115,12 -1,90% -2,24% -17,26% -10,55%FCP KENZ ACTIONS UPLINE CAPITAL MANAGEMENT 1,50% 1,00% 332,65 3,53% 2,41% -11,08% -5,76%UPLINE ACTIONS UPLINE CAPITAL MANAGEMENT 2,00% 1,00% 2ˇ040,32 0,50% -1,41% -15,75% -15,94%UPLINE VALEURS PLUS UPLINE CAPITAL MANAGEMENT 3,00% 3,00% 1ˇ615,68 0,27% -0,85% -15,01% -10,98%EMERGENCE EQUITY FUND VALORIS MANAGEMENT 3,00% 1,50% 304,02 -3,26% -5,32% -16,28% -19,57%EMERGENCE PERFORMANCE VALORIS MANAGEMENT 3,00% 1,50% 3ˇ833,21 -4,05% -6,03% -13,00% -6,93%ATTAKAFOUL* WAFA GESTION 0,00% 0,00% 697,06 -5,16% -4,48% -13,49% -8,92%ATTIJARI ACTIONS WAFA GESTION 3,00% 1,50% 351,99 -5,56% -5,30% -16,30% -11,94%ATTIJARI AL MOUCHARAKA WAFA GESTION 3,00% 1,50% 445,72 -2,19% -3,89% -18,77% -16,33%ATTIJARI PATRIMOINE VALEURS WAFA GESTION 3,00% 1,50% 4ˇ855,99 -5,09% -4,96% -15,70% -10,75%CDM EXPANSION WAFA GESTION 1,50% 0,50% 2ˇ752,03 -5,02% -4,96% -16,24% -10,65%CDM PROFIL DYNAMISME WAFA GESTION 1,50% 0,50% 349,78 -3,43% -3,96% -15,55% -11,15%CMR ACTIONS WAFA GESTION 3,00% 1,50% 87ˇ475,79 -1,78% -1,92% - -PATRIMOINE ACTIONS WAFA GESTION 3,00% 1,50% 650,86 -6,52% -6,90% -18,49% -13,24%PATRIMOINE AL MOUSSAHAMA WAFA GESTION 3,00% 1,00% 394,78 -5,52% -5,83% -19,89% -23,80%PROFIL DYNAMIQUE WAFA GESTION 1,20% 0,50% 312,34 -4,89% -5,08% -13,71% -12,26%WG ACTIONS WAFA GESTION 0,00% 0,00% 495,06 -4,86% -6,29% -14,78% -23,53%WINEO ACTIONS WINEO GESTION 2,00% 1,50% 1ˇ330,69 -2,89% -1,86% -8,21% 9,24%OPCVM DIVERSIFIESATLAS DIVERSIFIE ATLAS CAPITAL MANAGEMENT 3,00% 1,50% 787,72 -10,28% -15,96% -18,07% -15,57%FCP CAPITAL BALANCE BMCE CAPITAL GESTION 2,00% 1,00% 2ˇ864,84 0,55% 1,69% -4,55% -4,07%FCP CAPITAL IMTIYAZ CROISSANCE BMCE CAPITAL GESTION 1,50% 0,75% 32ˇ248,88 -0,52% -0,49% -4,48% -1,28%FCP CAPITAL MULTI-GESTION BMCE CAPITAL GESTION 2,00% 1,00% 325,35 3,78% 4,79% 3,25% 7,22%FCP MEDERSAT.COM BMCE CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 459,54 -2,55% -1,77% -7,37% -8,37%BMCI EPARGNE CROISSANCE BMCI ASSET MANAGEMENT 1,25% 0,50% 104,26 -1,17% -2,16% -9,10% -12,00%BMCI SELECTION OPPORTUNITES BMCI ASSET MANAGEMENT 3,00% 1,50% 10ˇ452,01 2,14% 3,16% 2,97% -BMCI GESTION SERENITE BMCI ASSET MANAGEMENT 3,00% 1,50% 10ˇ154,10 -3,07% -3,48% -7,71% -CAM OPTIMUM CDG CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 2ˇ174,71 0,70% 0,68% -2,25% 7,21%CDG IZDIHAR CDG CAPITAL GESTION 0,30% 0,25% 2ˇ202,44 1,11% 1,17% -0,54% 1,50%CDG MULTIGESTION CDG CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 1ˇ166,83 1,10% 1,27% 0,12% 7,08%CDG PATRIMOINE CDG CAPITAL GESTION 1,00% 1,00% 3ˇ011,12 0,73% 0,60% -2,43% 1,81%CIH EPARGNE CDG CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 1ˇ093,49 0,64% 0,26% -3,58% -0,05%CIH PATRIMOINE CDG CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 1ˇ141,03 1,03% 1,12% -0,41% 6,46%FCP ALLOCATIONS CDG CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 1ˇ131,29 -0,21% -0,70% -5,57% -1,18%CFG CROISSANCE CFG GESTION 0,50% 0,50% 5ˇ272,18 1,72% 0,91% -5,95% -6,16%IRGAM ALLOCATION IRG ASSET MANAGEMENT 3,00% 1,50% 126,95 0,00% -0,99% -12,44% -2,52%SICAV MAROC CROISSANCE MAROGEST 2,00% 0,50% 2ˇ926,32 -1,57% -3,63% -12,09% -13,87%ORANGE EQUITY GROWTH ORANGE ASSET MANAGEMENT 3,00% 3,00% 1ˇ246,84 0,66% 0,61% 1,92% 7,67%AFG OPTIMAL FUND SOGECAPITAL GESTION 1,00% 0,75% 24ˇ937,17 -0,68% -1,22% -6,92% -5,17%SG PERSPECTIVES SOGECAPITAL GESTION 2,00% 1,50% 4ˇ300,69 -2,72% -3,15% -9,73% -9,53%AL ISTITMAR CHAABI DIVERSIFIE UPLINE CAPITAL MANAGEMENT 1,00% 0,00% 2ˇ726,55 -4,07% -6,22% -14,83% -14,95%FCP UPLINE OPPORTUNITES UPLINE CAPITAL MANAGEMENT 3,00% 3,00% 10ˇ110,17 1,59% 0,90% - -HORIZON EXPANSION UPLINE CAPITAL MANAGEMENT 3,00% 1,50% 25ˇ132,42 7,86% 7,50% 0,67% 4,69%EMERGENCE CROISSANCE VALORIS MANAGEMENT 3,00% 1,50% 2ˇ498,65 0,13% -0,45% -1,59% 0,37%EMERGENCE EQUILIBRE VALORIS MANAGEMENT 3,00% 1,50% 1ˇ208,35 0,84% 0,97% -0,37% 1,05%ATTIJARI DIVERSIFIE WAFA GESTION 3,00% 0,20% 364,11 -0,99% -0,99% -4,85% -1,50%ATTIJARI PATRIMOINE MULTIGESTION WAFA GESTION 3,00% 0,20% 2ˇ419,68 -2,70% -2,95% -9,47% -9,56%ATTIJARI SOLIDARITE WAFA GESTION 0,85% 0,25% 2ˇ765,47 -2,07% -2,34% -8,85% -4,72%ATTIJARI PATRIMOINE DIVERSIFIE WAFA GESTION 3,00% 1,50% 2ˇ953,07 -2,51% -2,81% -10,23% -7,07%CDM OPTIMUM WAFA GESTION 1,50% 0,50% 3ˇ449,77 -2,17% -2,31% -9,67% -5,28%CDM PROFIL EQUILIBRE WAFA GESTION 1,50% 0,25% 342,44 -2,13% -2,29% -8,70% -4,91%PATRIMOINE MULTIVALEURS WAFA GESTION 3,00% 1,50% 480,71 -4,54% -5,26% -13,31% 13,43%PROFIL HARMONIE WAFA GESTION 0,85% 0,25% 340,25 -1,98% -1,75% -7,70% -2,35%ATTIJARI SELECTION WAFA GESTION 3,00% 1,50% 314,52 -2,40% -2,57% -8,65% -8,08%UNIVERS DIVERSIFIE WAFA GESTION 3,00% 1,50% 971,14 1,68% 2,25% - -FCP RMA CAP DIVERSIFIE RMA ASSET MANAGEMENT 3,00% 3,00% 92,40 -1,27% -3,56% - -OPCVM OBLIGATIONS MOYEN ET LONG TERMEAD BONDS AD CAPITAL 1,00% 0,50% 1ˇ237,61 2,62% 4,78% 7,83% 11,95%ATLAS HARMONIE ATLAS CAPITAL MANAGEMENT 1,00% 0,50% 152,01 1,41% 1,16% 1,54% 5,39%ATLAS SERENITE ATLAS CAPITAL MANAGEMENT 1,00% 0,50% 105,93 2,17% 2,97% 5,27% -CAPITAL OBLIGATIONS PLUS BMCE CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 1ˇ316,77 2,73% 4,45% 7,66% 11,78%FCP CAPITAL IMTIYAZ SECURITE BMCE CAPITAL GESTION 1,00% 0,50% 19ˇ500,39 2,75% 3,27% 5,42% 9,81%FCP CAPITAL INSTITUTIONS BMCE CAPITAL GESTION 0,50% 0,25% 1ˇ704,81 1,86% 2,59% 4,05% 7,65%FCP CAPITAL PLUS BMCE CAPITAL GESTION 3,00% 3,00% 1ˇ127,83 3,22% 4,30% 8,25% -FCP CAPITAL RENDEMENT BMCE CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 1ˇ756,08 2,67% 3,59% 7,00% 10,90%FCP CAPITAL SERENITE BMCE CAPITAL GESTION 3,00% 3,00% 1ˇ092,51 2,67% 3,48% 5,99% -FCP CAPITAL TERME BMCE CAPITAL GESTION 1,00% 0,50% 132,94 3,96% 5,32% 8,32% 13,85%SICAVENIR BMCE CAPITAL GESTION 2,00% 1,00% 3ˇ248,74 2,59% 3,36% 5,61% 9,90%BMCI EPARGNE OBLIGATIONS BMCI ASSET MANAGEMENT 0,50% 0,25% 184,17 1,69% 2,10% 3,85% 7,41%BMCI SELECTION OBLI MOYEN TERME BMCI ASSET MANAGEMENT 3,00% 1,50% 13ˇ658,45 2,16% 2,97% 5,70% 9,33%BMCI SELECTION OBLI REVENUS BMCI ASSET MANAGEMENT 3,00% 1,50% 11ˇ696,29 2,41% 3,15% 5,42% 8,83%CAM OBLIGATIONS CAM GESTION 1,00% 0,50% 1ˇ023,84 1,17% 1,70% - -CAPITAL TRUST OBLIGATAIRE CAPITAL TRUST GESTION 2,00% 1,50% 1ˇ056,04 3,16% 4,13% - -CDG HORIZONS CDG CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 1ˇ472,91 2,86% 3,85% 6,27% 10,31%CDG OBLIG PREMIUM CDG CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 1ˇ160,65 2,72% 3,46% 5,65% 10,41%CDG OBLIG SELECTION CDG CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 1ˇ255,72 2,70% 3,47% 5,59% 10,35%CDG RENDEMENT CDG CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 1ˇ403,04 2,17% 3,09% 5,51% 10,31%CDG TAWFIR CDG CAPITAL GESTION 0,50% 0,00% 2ˇ169,36 2,49% 3,31% 5,61% 9,35%CIH OBLIGATIONS CDG CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 1ˇ134,78 2,68% 3,61% 6,35% 9,57%FCP SECURITE CDG CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 1ˇ187,35 2,59% 3,25% 5,72% 9,70%FONDS COMMUN DE PLACEMENT SOLIDARITE CDG CAPITAL GESTION 0,00% 1,50% 141,52 2,34% 3,17% 5,90% 9,35%CFG CORPORATE BONDS CFG GESTION 3,00% 1,50% 110,28 2,27% 2,98% 5,55% 9,75%

MERCREDI 2 OCTOBRE 2013 - LES ÉCO

Marchés27

L’euro avançait mardi 1er octobre face à undollar impacté par la paralysie de l’Étatfédéral américain due à l'impasse bud-

gétaire actuelle des États-Unis. Vers 5H GMT,l'euro valait 1,3550 dollar contre 1,3524 dollarlundi vers 21H GMT. La monnaie unique euro-péenne montait face à la devise japonaise, à133,02 yens contre 132,81 yens lundi. Le dollarbaissait légèrement face à la devise nippone, à98,18 yens contre 98,21 yens vendredi. La Mai-son Blanche a ordonné aux agences fédéralesaméricaines lundi peu avant minuit (4H GMT)de cesser leurs activités, le Congrès ayantéchoué à voter un budget avant l'heure limiteen raison de positions irréconciliables. Une fer-meture du gouvernement à l'exception desservices essentiels va affecter la qualité des ac-tifs américains et selon certaines prévisionspourrait contracter la croissance économiquedu pays de 0,3% à 0,5%. Le dollar risque depâtir de cet imbroglio politique car celui-ci des-sine la perspective d'un débat tout aussi diffi-cile sur le relèvement du plafond de la dette, àl'horizon du 17 octobre prochain, quand serontépuisées les mesures exceptionnelles de finan-cement du gouvernement. ● PAR I.A. AVEC AGENCES

L’euro progresseface au dollar

PAGE RÉALISÉE AVEC LA COLLABORATION DE

MARCHÉ DES OPCVM EN (MMDH)

27/09/2013 % ACTIF NET 20/09/2013 28/12/2012

ACTIONS 20,23 8,68% 19,84 20,44CONTRACTUELS 1,14 0,49% 1,16 1,22DIVERSIFIÉS 7,58 3,25% 7,51 7,71MONÉTAIRES 61,83 26,52% 62,91 71,44OBLIGATIONS COURT TERME 26,43 11,34% 26,20 25,22OBLIGATIONS MOYEN ET LONG TERME 115,94 49,73% 115,97 115,52TOTAL 233,15 100% 233,57 241,550

ADJUDICATION DES BONS DU TRÉSOR

24 SEPTEMBRE 2013 - RÈGLEMENT 30 SEPTEMBRE 2013

MATURITÉ EMISSION ECHÉANCE TAUX COUPURE COUPON COURU

NOMINAL (EN DH) (EN DH)

52 SEMAINES 09/09/13 08/12/14 4,00% 100.000 230,142 ANS 09/09/13 15/02/16 4,45% 100.000 256,0313 SEMAINES 30/12/13 30/12/13 - 100.000 -26 SEMAINES 30/09/13 31/03/14 - 100.000 -

DEVISES & TAUXDEVISES & TAUX

30 SEPTEMBRE 2013

COURS VIREMENT BILLETS DE BANQUE

30/09/2013 30/09/2013

DEVISES ACHAT VENTE ACHAT VENTE

1 DINAR KOWEITIEN 29.141 29.316 27.752 30.6741 DIRHAM E.A.U. 2.2441 2.2576 2.1383 2.36331 DOLLAR CANADIEN 8.0084 8.0565 7.6171 8.41891 DOLLAR U.S.A. 8.2426 8.2921 7.8539 8.68071 EURO 11.163 11.230 10.636 11.7561 FRANC SUISSE 9.1215 9.1763 8.6895 9.60411 LIVRE STERLING 13.315 13.395 12.656 13.9881 RIYAL SAOUDIEN 2.1979 2.2111 2.0942 2.3146100 COURONNES DANOISES 149.68 150.58 142.63 157.65100 COURONNES NORVEGIENNES 137.38 138.20 130.97 144.75100 COURONNES SUEDOISES 128.81 129.58 122.37 135.25100 YENS JAPONAIS 8.4349 8.4856 7.9942 8.8357

CFG RENDEMENT CFG GESTION 0,15% 0,15% 286,04 1,76% 2,58% 4,65% 8,38%FCP CFG PREVOYANCE CFG GESTION 3,00% 1,50% 102,31 -1,02% -1,61% -2,07% 0,02%RMA CAP OBLIGATIONS RMA CAPITAL 3,00% 3,00% 258ˇ864,49 0,43% -0,27% -0,39% 6,08%FCP IRGAM OBLIGATAIRE IRG ASSET MANAGEMENT 3,00% 1,50% 111,66 1,51% 1,81% 3,34% 7,09%OBLIGATAIRE PREMIUM IRG ASSET MANAGEMENT 3,00% 1,50% 107,62 -0,12% 0,45% 2,38% -FCP MAROC CREANCES MAROGEST 1,50% 0,30% 116,39 2,62% 3,61% 5,79% 9,24%FCP MAROC INSTITUTIONS MAROGEST 1,50% 0,30% 108,29 -1,95% -3,04% -1,85% 2,11%FCP MAROC OBLIGATIONS MAROGEST 1,50% 0,30% 2ˇ276,18 1,15% 1,20% 2,30% 5,59%ORANGE LT BOND ORANGE ASSET MANAGEMENT 1,00% 0,50% 1ˇ067,04 1,11% 1,22% 2,04% 4,83%ALPHA INCOME FUND RED MED ASSET MANAGEMENT 3,00% 1,50% 107,40 2,88% 3,73% 6,54% -AFG INCOME FUND SOGECAPITAL GESTION 1,00% 0,25% 14ˇ447,03 -1,16% -1,57% -3,17% -4,21%SG OPTIMAL OBLIG SOGECAPITAL GESTION 0,50% 0,10% 1ˇ215,30 1,08% 1,22% 2,73% 7,14%SG OBLIG PLUS SOGECAPITAL GESTION 0,50% 0,10% 31ˇ875,37 2,72% 3,49% 6,29% 9,99%ASSANAD CHAABI UPLINE CAPITAL MANAGEMENT 0,50% 0,20% 2ˇ594,37 1,79% 2,49% 4,22% 7,90%FCP AL IDDIKHAR CHAABI KASSIR AL MADA UPLINE CAPITAL MANAGEMENT 0,40% 0,20% 132,38 1,86% 2,45% 4,41% 8,44%FCP AL IDDIKHAR CHAABI MOUTAWASSIT AL MADA UPLINE CAPITAL MANAGEMENT 0,40% 0,20% 136,98 1,63% 2,16% 3,88% 8,14%FCP AL IDDIKHAR CHAABI TAWIL AL MADA UPLINE CAPITAL MANAGEMENT 0,40% 0,20% 140,37 1,51% 2,08% 3,78% 7,73%FCP UPLINE HORIZON UPLINE CAPITAL MANAGEMENT 3,00% 3,00% 10ˇ315,45 2,76% 2,95% - -FCP UPLINE OBLIG PLUS UPLINE CAPITAL MANAGEMENT 3,00% 3,00% 1ˇ049,12 1,72% 3,08% - -FCP KENZ OBLIGATIONS UPLINE CAPITAL MANAGEMENT 0,50% 0,20% 173,08 1,53% 1,84% 3,40% 7,48%UPLINE AVENIR UPLINE CAPITAL MANAGEMENT 3,00% 3,00% 1ˇ078,39 1,35% 1,57% -0,31% 3,83%UPLINE CAPITALISATION UPLINE CAPITAL MANAGEMENT 3,00% 3,00% 1ˇ105,22 0,14% -0,20% -0,09% 2,63%UPLINE RENDEMENT UPLINE CAPITAL MANAGEMENT 0,50% 0,25% 1ˇ813,55 1,29% 1,55% 2,80% 6,56%EMERGENCE CAPITAL VALORIS MANAGEMENT 3,00% 1,50% 1ˇ260,86 2,78% 4,56% 7,72% 12,03%EMERGENCE FUND VALORIS MANAGEMENT 3,00% 1,50% 1ˇ311,63 3,24% 4,20% 7,74% 12,40%ATTIJARI OBLIGATIONS WAFA GESTION 0,50% 0,00% 240,29 1,71% 2,15% 3,60% 6,38%ATTIJARI PATRIMOINE TAUX WAFA GESTION 0,50% 0,00% 2ˇ947,86 2,09% 2,74% 4,28% 7,24%EMERGENCE SERENITE VALORIS MANAGEMENT 1,00% 0,50% 1ˇ091,52 2,88% 3,63% 6,50% -ATTIJARI SECURITE WAFA GESTION 3,00% 1,50% 1ˇ598,90 1,93% 2,67% 4,70% 7,77%WG OBLIGATIONS WAFA GESTION 0,00% 0,00% 126,70 4,13% 5,14% 7,70% 4,70%CDM GENERATION WAFA GESTION 1,00% 1,50% 2ˇ425,56 2,33% 2,97% 4,75% 8,33%CDM PROFIL SERENITE WAFA GESTION 1,00% 0,25% 177,30 1,82% 2,25% 3,54% 7,08%OBLIFUTUR WAFA GESTION 1,00% 0,00% 107,14 2,27% 3,38% 5,13% 7,34%PATRIMOINE OBLIGATIONS WAFA GESTION 0,50% 0,00% 275,52 2,82% 3,90% 6,11% 9,85%PROFIL SERENITE WAFA GESTION 0,50% 0,00% 211,61 2,26% 2,87% 4,47% 7,37%WINEO OBLIG WINEO GESTION 0,50% 0,25% 1ˇ122,34 3,36% 4,25% 6,34% 9,57%INSTIOBLIGATIONS BMCI ASSET MANAGEMENT 3,00% 1,50% 1ˇ005,44 - - - -INSTIOBLIGATIONS ETAT BMCI ASSET MANAGEMENT 3,00% 1,50% 1ˇ005,44 - - - -AL BARID ISTITMAR CDG CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 100,84 - - - -OPCVM OBLIGATIONS COURT TERME (OCT)ATLAS EQUILIBRE ATLAS CAPITAL MANAGEMENT 0,50% 0,50% 108,10 3,24% 4,25% 7,42% -FCP MAROC RENDEMENT MAROGEST 0,00% 0,00% 174,55 3,07% 4,05% 8,09% 10,14%OBLIDYNAMIC WAFA GESTION 3,00% 1,50% 149,81 3,00% 4,09% 7,82% 12,12%CAP OBLIGATIONS WAFA GESTION 1,00% 0,00% 226,99 3,22% 4,33% 8,37% 12,89%FCP CAP INSTITUTIONS WAFA GESTION 0,10% 0,00% 480ˇ935,46 3,10% 4,15% 8,11% 12,55%OBLITOP WAFA GESTION 1,00% 0,00% 1ˇ634,00 3,25% 4,41% 8,78% 13,44%OPCVM MONETAIRESINSTIMONETAIRE BMCI ASSET MANAGEMENT 1,25% 0,50% 109,99 2,86% 3,76% 7,05% 10,54%OPCVM CONTRACTUELSFCP CAPITAL AMAN 7.5% EUROPE BMCE CAPITAL GESTION 50,00% 7,50% 1ˇ076,84 2,07% 2,82% 5,29% -FCP CAPITAL SUR BMCE CAPITAL GESTION 16,00% 8,00% 1ˇ012,22 -0,04% -0,05% -0,10% -5,66%CFG PERSPECTIVES PERF CFG GESTION 24,00% 8,00% 101,43 1,28% 1,96% - -CDG SERENITE GARANTIE CDG CAPITAL GESTION 3,25% 3,25% 1ˇ042,13 2,63% 3,54% - -CFG PERSPECTIVES CFG GESTION 16,00% 8,00% 1ˇ076,74 1,68% 1,99% 1,90% 4,31%SG CASH GARANTI SOGECAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 111ˇ495,03 1,90% 2,54% 5,25% 8,15%FCP UPLINE RENDEMENT PLUS UPLINE CAPITAL MANAGEMENT 0,00% 0,00% 10ˇ151,43 2,11% 1,99% - -FCP UPLINE CAPITAL GARANTI UPLINE CAPITAL MANAGEMENT 0,00% 0,00% 10ˇ257,36 1,84% 2,43% - -FCP ATTIJARI GOLD WAFA GESTION 2,00% 1,50% 728,07 -20,85% -27,19% - -CAPITAL GARANTI 2011 WAFA GESTION 3,00% 2,00% 1ˇ032,89 1,64% 2,22% 3,35% 4,31%

OPCVM HEBDOMADAIRE GESTIONNAIRE Droits maximum Valeur liquidative ÉVOLUTION DES VALEURS LIQUIDATIVES

Entrée Sortie 30/09/2013 3 mois 6 moisdepuis début de l’année glissant glissants

1 anglissants

OPCVM OBLIGATIONS COURT TERME FCP CAPITAL DYNAMIQUE BMCE CAPITAL GESTION 0,00% 0,00% 1ˇ701,86 3,11% 1,18% 2,30% 4,14%FCP CAPITAL IMTIYAZ LIQUIDITE BMCE CAPITAL GESTION 1,00% 0,50% 12ˇ931,97 3,34% 1,22% 2,36% 4,42%BMCI CASH BMCI ASSET MANAGEMENT 0,00% 0,00% 149,39 2,69% 1,02% 2,06% 3,61%BMCI TRESO PLUS BMCI ASSET MANAGEMENT 0,00% 0,00% 129,39 2,35% 0,85% 1,73% 3,18%CDG MONETAIRE PLUS CDG CAPITAL GESTION 0,50% 0,00% 1ˇ617,79 3,26% 1,15% 2,36% 4,29%CAM MONETAIRE PLUS CDG CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 1ˇ207,01 2,41% 0,88% 1,75% 3,13%FCP OBLIG CT CDG CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 1ˇ148,15 2,35% 0,86% 1,73% 3,06%CIH MONETAIRE PLUS CDG CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 1ˇ150,25 2,99% 1,06% 2,15% 3,95%CFG LIQUIDITE CFG GESTION 0,00% 0,00% 169,03 2,21% 0,88% 1,68% 3,01%IRGAM MONETAIRE PLUS IRG ASSET MANAGEMENT 3,00% 1,50% 107,71 3,09% 1,23% 2,42% 4,11%ORANGE FIXED INCOME ORANGE ASSET MANAGEMENT 0,50% 0,25% 1ˇ095,69 2,02% 0,83% 1,62% 2,74%AFG LIQUIDITY FUND SOGECAPITAL GESTION 0,00% 0,00% 13ˇ681,00 2,50% 0,96% 1,91% 3,36%SG COURT TERME OBLIG SOGECAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 1ˇ058,51 3,13% 1,16% 2,31% 4,18%SG TRESOR PLUS SOGECAPITAL GESTION 0,00% 0,00% 1ˇ506,83 3,02% 3,97% 7,55% 11,39%UPLINE OBLIG UPLINE CAPITAL MANAGEMENT 0,50% 0,25% 1ˇ503,15 1,87% 0,70% 1,44% 2,67%AL AMAL UPLINE CAPITAL MANAGEMENT 0,00% 0,00% 2ˇ253,31 3,19% 1,20% 2,33% 4,24%EMERGENCE BOND FUND VALORIS MANAGEMENT 0,00% 0,00% 1ˇ678,09 3,21% 1,18% 2,32% 4,28%CDM TRESOR PLUS WAFA GESTION 3,00% 1,50% 1ˇ246,39 3,13% 1,29% 2,38% 4,11%ATTIJARI MONETAIRE PLUS WAFA GESTION 0,00% 0,00% 169,09 2,79% 1,08% 2,14% 3,76%FCP CDM LIQUIDITES WAFA GESTION 3,00% 1,50% 30ˇ527,69 2,70% 1,09% 2,15% 3,62%CAPITAL TRUST OBLIG COURT TERME CAPITAL TRUST GESTION 2,00% 1,50% 1ˇ021,41 - 1,35% - -OPCVM MONETAIRESAD CASH AD CAPITAL 0,00% 0,00% 1ˇ117,76 2,96% 1,07% 2,09% 3,84%ATLAS CASH ATLAS CAPITAL MANAGEMENT 3,00% 3,00% 1ˇ182,49 2,97% 1,07% 2,09% 3,94%FCP CAPITAL MONETAIRE BMCE CAPITAL GESTION 1,00% 0,50% 1ˇ293,27 2,60% 0,88% 1,73% 3,44%FCP CAPITAL IMTIYAZ TRESORERIE BMCE CAPITAL GESTION 0,25% 0,25% 101ˇ756,21 - 1,15% - -IRAD BMCE CAPITAL GESTION 0,00% 0,00% 2ˇ003,69 2,90% 1,01% 1,99% 3,80%BMCI MONETAIRE PLUS BMCI ASSET MANAGEMENT 0,00% 0,00% 111ˇ412,04 2,69% 0,97% 1,91% 3,55%BMCI SELECTION TRESORERIE BMCI ASSET MANAGEMENT 0,00% 0,00% 112ˇ661,45 2,63% 0,93% 1,87% 3,46%INSTIMONETAIRE BMCI ASSET MANAGEMENT 1,25% 0,50% 110,02 2,89% 1,01% 2,04% -BMCI TRESO PLUS BMCI ASSET MANAGEMENT 0,00% 0,00% 129,39 2,35% 0,85% 1,73% 3,18%BMCI TRESORERIE BMCI ASSET MANAGEMENT 0,00% 0,00% 100ˇ376,21 2,22% 0,77% 1,52% 2,91%INTEGRA CASH BMCI ASSET MANAGEMENT 0,00% 0,00% 1ˇ051,78 2,65% 0,96% 1,90% 3,49%CAM MONETAIRE CAM GESTION 0,00% 0,00% 1ˇ052,89 2,60% 0,93% 1,79% 3,32%CAPITAL TRUST MONETAIRE CAPITAL TRUST GESTION 0,00% 0,00% 1ˇ057,64 3,17% 1,12% 2,22% 4,18%CAM CASH CDG CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 1ˇ218,92 2,44% 0,82% 1,69% 3,13%CDG TRESORERIE CDG CAPITAL GESTION 0,00% 0,00% 1ˇ636,36 3,03% 1,07% 2,08% 3,92%CDG CASH CDG CAPITAL GESTION 0,00% 0,00% 1ˇ725,83 2,76% 0,92% 1,85% 3,58%CIH CASH CDG CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 1ˇ147,22 2,86% 1,00% 1,97% 3,73%CIH TRESORERIE CDG CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 1ˇ131,19 2,34% 0,82% 1,59% 3,00%FCP LIQUIDITES CDG CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 2ˇ550,94 2,42% 0,84% 1,63% 2,58%CFG SECURITE CFG GESTION 0,00% 0,00% 1ˇ903,43 2,54% 0,93% 1,76% 3,33%FCP IRGAM MONETAIRE IRG ASSET MANAGEMENT 3,00% 1,50% 114,51 3,13% 1,17% 2,24% 4,13%FCP MAROGEST CASH MAROGEST 0,00% 0,00% 106,41 3,00% 1,11% 2,12% 3,92%MAROC LIQUIDITE MAROGEST 0,00% 0,00% 1ˇ392,13 3,12% 1,11% 2,20% 4,05%ORANGE PORTFOLIO LIQUIDITY ORANGE ASSET MANAGEMENT 0,00% 0,00% 1ˇ144,57 2,57% 0,87% 1,77% 3,28%ALPHA MONETAIRE RED MED ASSET MANAGEMENT 0,00% 0,00% 108,73 3,23% 1,17% 2,31% 4,24%AFG CASH MANAGEMENT SOGECAPITAL GESTION 2,00% 1,50% 13ˇ840,17 2,38% 0,84% 1,73% 3,16%SG CASH PLUS SOGECAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 12ˇ110,86 2,99% 1,06% 2,08% 4,01%SG VALEURS SOGECAPITAL GESTION 0,00% 0,00% 162ˇ512,01 2,62% 0,92% 1,84% 3,47%FCP ALISTITMAR CHAABI TRESORERIE UPLINE CAPITAL MANAGEMENT 0,00% 0,00% 451ˇ516,62 2,57% 0,88% 1,74% 3,46%FCP KENZ PLUS UPLINE CAPITAL MANAGEMENT 0,00% 0,00% 153,64 3,04% 1,10% 2,11% 3,99%UPLINE CASH UPLINE CAPITAL MANAGEMENT 0,00% 0,00% 17ˇ608,52 3,03% 1,12% 2,15% 3,96%UPLINE PERENNITE UPLINE CAPITAL MANAGEMENT 3,00% 3,00% 1ˇ205,16 3,11% 0,99% 2,12% 4,11%UPLINE TRESORERIE UPLINE CAPITAL MANAGEMENT 0,00% 0,00% 14ˇ798,09 2,99% 1,07% 2,11% 3,87%EMERGENCE MONEY MARKET FUND VALORIS MANAGEMENT 0,00% 0,00% 1ˇ524,26 3,25% 1,17% 2,28% 4,26%ATTIJARI TRESORERIE WAFA GESTION 0,00% 0,00% 4ˇ348,35 2,56% 0,91% 1,80% 3,42%CAP MONETAIRE PREMIERE WAFA GESTION 0,00% 0,00% 154ˇ124,13 2,82% 0,89% 1,93% 3,69%ATTIJARI MONETAIRE JOUR WAFA GESTION 0,00% 0,00% 192,54 2,27% 0,75% 1,48% 3,01%CDM CASH WAFA GESTION 0,00% 0,00% 4ˇ515,07 2,58% 0,94% 1,82% 3,39%CDM SECURITE PLUS WAFA GESTION 0,00% 0,00% 1ˇ613,58 2,41% 0,80% 1,59% 3,14%ATTIJARI LIQUIDITE WAFA GESTION 3,00% 3,00% 1ˇ219,11 2,55% 0,93% 1,72% 3,40%WINEO CASH WINEO GESTION 0,00% 0,00% 1ˇ128,90 2,77% 0,95% 1,94% 3,60%FCP RMA CAP TRESO PLUS RMA ASSET MANAGEMENT 0,00% 0,00% 105,79 2,72% 0,95% 4,24% 7,88%AL BARID TRESORERIE CDG CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 503,88 - - - -OPCVM CONTRACTUELSSG CASH GARANTI SOGECAPITAL GESTION 3,00% 1,50% 111ˇ518,20 1,92% 0,66% 1,26% 2,57%

consulter les numéros sui-vants : 05 24 38 69 02/68 Di-vision des marchés.MarrakechLe président de la CommuneUrbaine De Marrakech

A2089/13

Avis d’appel d’offresOFFICE NATIONAL DE L’ELECTRICITE ET DE L’EAU POTABLE(ONEE)BRANCHE EAU

DIRECTION REGIONALEDU SUDExtension de la stationde déminéralisation de Tagounite(Province de Zagora) –Lot Assistance tech-nique pour le suivi destravaux.AVIS D’APPEL D’OFFRESOUVERT NATIONAL N° 115 DR1/D/2013Séance publique

La Direction Régionale duSud de l’Office National del’Electricité et de l’Eau Pota-ble - Branche Eau (O.N.E.E -Branche Eau), sise à Agadirlance le présent appel d’of-fres qui concerne l’Extensionde la station de déminérali-sation de Tagounite (Pro-vince de Zagora) – LotAssistance technique pour lesuivi des travaux.Le délai d’exécution est deTreize (13) mois.Le montant du cautionne-ment provisoire est fixé à àQuinze Mille Dirhams(15.000,00 Dhs).Le dossier de consultationest à retirer aux adresses sui-vantes :• Bureau des marchés de laDirection Approvisionne-ment et Marchés de l'ONEE-Branche Eau.

6 Bis, Rue Patrice Lu-mumba. Rabat. Chellah.Tél : 05 37 72.12.81 – 05 3772.55.22 -Fax : 05 3773.13.55 – 05 37 72.65.33• Bureau d’ordre de la Direc-tion Régionale de Sud, Rue18 Novembre Q . I - Agadir.Tél : 05 28 84.20.77 – 05 2884.20.55 - Fax : 05 28 82.34.00Contre paiement d’un mon-tant non remboursable deQuatre Vingt Dirhams (80,00Dhs) et présentation dureçu de paiement mention-nant la référence de l’appeld’offres.Le paiement devra être fait

ROYAUME DU MAROC MINISTERE DE L’INTERIEUR WILAYA DE LA REGIONMARRAKECH TENSIFTAL HAOUZPREFECTURE DE MARRAKECHCOMMUNE URBAINEDE MARRAKECHSECRETARIAT GENERAL DIVISION DES MARCHESAVIS D’APPEL D’OF-FRES (séance publique)

Le 31 Octobre 2013 à 10heures, il sera procédé enséance publique dans lasalle de réunion à AV Moha-med VI- Marrakech, à l’ou-verture des plis relatif àl’appel d’offres de prixconcernant :Appel d’offres n°128/13 :Achat de camionnettes et decamions équipés en nacelles,le cautionnement provisoireest fixé à Cinquante Mille(50.000,00 DHS).Les dossiers d’appels d’offrespeuvent être retirés de la Di-vision des marchés de laCommune Urbaine de Marra-kech, à l’avenue, MohamedVI Marrakech, ils peuventêtre également téléchargés àpartir du portail des marchésde l’Etat : www.marchespu-blics.gov.maLe contenu ainsi que la pres-tation des dossiers desconcurrents doivent être conformes auxdispositions des articles 23et 28 du décret n°2-06-388du 16 moharrem 1428 (05février 2007) fixant lesconditions et les formes depassation des marchés del’Etat ainsi que certaines dis-positions relatives à leurcontrôle et à leur gestion.Les concurrents peuvent : • Soit déposer contre récé-pissé leurs plis dans la Divi-sion des marchés ;• Soit les envoyer par cour-rier recommandé avec ac-cusé de réception à ladivision précitée ;• Soit les remettre au Prési-dent de la commission d’ap-pel d’offres au début de laséance et avant l’ouverturedes plis ;Les pièces justificatives àfournir sont celles prévuespar l’article 23 du décret n°2-06-388 du 16 Muharram1428 (05 février2007)Pour plus d’information,

par versement ou virement àl’un des deux comptes sui-vants : • Pour les paiements à partirdu Maroc: Crédit Agricole duMaroc. Agence Entreprise,Place Gauguin – Agadir.Compte n°225010037900323651010187.• Pour les paiements del’étranger : Banque S.G.M.B.Succursale Souissi, Rabat-Compte N°:022810000150000602799023 (SWIFT : SGMBMAMC).Le dossier de consultationpeut également être consultésur le site Internet de l’ONEE-Branche Eau à l’adresse :http://achats-eau.onee.ma/Les offres, établies et présen-tées conformément aux pres-criptions du règlement de laconsultation, doivent parve-nir au Bureau d’Ordre de laDirection Régionale du Sudde l’ONEE-Branche Eau, Rue18 Novembre Quartier In-dustriel Agadir, au plus tardle Mercredi 23/10/2013 à12h00 ou être remises auPrésident de la commissiond’appel d’offres au début dela séance publique d’ouver-ture des plis. L’ouverture des plis aura lieule Jeudi 24/10/2013 à 9h00au siège de la Direction Ré-gionale du Sud de l’ONEE-Branche Eau à l’adresseprécitée.En cas d’envoi du dossier deconsultation par la poste àun candidat, sur sa demande,l’ONEE-Branche Eau n’estpas responsable d’un quel-conque problème lié à la ré-ception du dossier par ledestinataire.

A2077/13

OFFICE NATIONAL DE L’ELECTRICITE ET DE L’EAU POTABLE(ONEE-BRANCHE EAU)DIRECTION REGIONALEDU SUDEtude Générale de Production et Distri-bution des centres deBiougra, Sidi Bibi et Belfaa et - ProvinceChtouka Ait BahaAVIS D’APPEL D’OFFRESOUVERT NATIONAL N° 125 AM1/2/2013Séance publique

La Direction Régionale duSud de l’Office National del’Electricité et de l’Eau Pota-ble – Branche Eau (O.N.E.E–

Branche Eau), sise à Agadirlance le présent appel d’of-fres qui concerne l’ Etude Gé-nérale de Production etDistribution des centres deBiougra, Sidi Bibi et Belfaa et- Province Chtouka Ait Baha.Le délai d’exécution est deHuit (08) mois.Le montant du cautionne-ment provisoire est fixé àQuinze Mille Dirhams(15.000,00 DH).Le dossier de consultationest à retirer aux adresses sui-vantes :

- Bureau des marchés dela Direction Approvisionne-ment et Marchés de l'ONEE-Branche Eau

6 Bis, Rue Patrice Lu-mumba. Rabat. Chellah.Tél : 05.37.72.12.81 -

05.37.72.55.22 Fax : 05.37.73.13.55 -05.37.72.65.33- Bureau d’ordre de la Direc-

tion Régionale de Sud, Rue18 Novembre Q.I - AgadirTél : 05.28.84.20.77 -

05.28.84.20.55Fax : 05.28.82.34.00Contre paiement d’un mon-tant non remboursable deCent Dirhams (100,00 DH)et présentation du reçu depaiement mentionnant la ré-férence de l’appel d’offres.Le paiement devra être faitpar versement ou virement àl’un des deux comptes sui-vants : - Pour les paiements à partirdu Maroc: : C.N.C.A. AgenceGrands comptes – Rue AbouInane – Rabat - Compte N°:225810019506970651010831 Ou Crédit Agricole du Maroc.Agence Entreprise, PlaceGauguin – Agadir. Compten°225010037900323651010187.- Pour les paiements del’étranger : Banque S.G.M.B.Succursale Souissi, Rabat-Compte N°:022810000150000602799023 (SWIFT : SGMBMAMC).Le dossier de consultationpeut également être consultésur le site Internet del’ONEE-Branche Eau àl’adresse : http://achats-eau.onee.ma/Les offres, établies et présen-tées conformément aux pres-criptions du règlement de laconsultation, doivent parve-nir au Bureau d’Ordre de laDirection Régionale du Sudde l’ONEE-Branche Eau, Rue

18 Novembre Quartier In-dustriel Agadir, au plus tardle Mercredi 23/10/2013 à12h00 ou être remises auPrésident de la commissiond’appel d’offres au début dela séance publique d’ouver-ture des plis. L’ouverture des plis aura lieule Jeudi 24/10/2013 à 09h00au siège de la Direction Ré-gionale du Sud de l’ONEE-Branche Eau à l’adresseprécitée.En cas d’envoi du dossier deconsultation par la poste àun candidat, sur sa de-mande, l’ONEE-Branche Eaun’est pas responsable d’unquelconque problème lié à laréception du dossier par ledestinataire.

A2078/13

OFFICE NATIONAL DE L’ELECTRICITE ET DE L’EAU POTABLE(ONEE-BRANCHE EAU)DIRECTION REGIO-NALE DU SUDAEP du complexe solaire de Ouarzazate,du centre de Ghessateet douars avoisinants –lot : Contrôle techniquedes ouvrages de GénieCivil

N° 110 DR1/D/2013Séance publique

La Direction Régionale duSud de l’Office National del’Electricité et de l’Eau Pota-ble – Branche Eau (O.N.E.E–Branche Eau), sise à Agadirlance le présent appel d’of-fres qui concerne l’AEP ducomplexe solaire de Ouarza-zate, du centre de Ghessateet douars avoisinants – lot :Contrôle technique des ou-vrages de Génie Civil.Le délai d’exécution est liéau démarrage et réceptiondéfinitive des ouvrages deGénie Civil.Le montant du cautionne-ment provisoire est fixé àSept Mille Dirhams(7.000,00 DH).Le dossier de consultationest à retirer aux adresses sui-vantes :

- Bureau des marchés dela Direction Approvisionne-ment et Marchés de l'ONEE-Branche Eau6 Bis, Rue Patrice Lu-

mumba. Rabat. Chellah.Tél : 05.37.72.12.81 -

05.37.72.55.22 Fax : 05.37.73.13.55 -

05.37.72.65.33- Bureau d’ordre de la Direc-

tion Régionale de Sud, Rue18 Novembre Q.I - AgadirTél : 05.28.84.20.77 -

05.28.84.20.55 Fax : 05.28.82.34.00Contre paiement d’un mon-tant non remboursable deQuatre-vingt Dirhams(80,00 DH) et présentationdu reçu de paiement men-tionnant la référence de l’ap-pel d’offres.Le paiement devra être faitpar versement ou virement à l’un des deux comptes suivants : - Pour les paiements à partirdu Maroc: : C.N.C.A. AgenceGrands comptes – Rue AbouInane – Rabat - Compte N°:225810019506970651010831 Ou Crédit Agricole du Maroc.Agence Entreprise, PlaceGauguin – Agadir. Compten°225010037900323651010187.- Pour les paiements del’étranger : Banque S.G.M.B.Succursale Souissi, Rabat-Compte N°:022810000150000602799023 (SWIFT : SGMBMAMC).Le dossier de consultationpeut également être consultésur le site Internet del’ONEE-Branche Eau àl’adresse : http://achats-eau.onee.ma/Les offres, établies et présen-tées conformément aux pres-criptions du règlement de laconsultation, doivent parve-nir au Bureau d’Ordre de laDirection Régionale du Sudde l’ONEE-Branche Eau, Rue18 Novembre Quartier In-dustriel Agadir, au plus tardle Mercredi 23/10/2013 à12h00 ou être remises auPrésident de la commissiond’appel d’offres au début dela séance publique d’ouver-ture des plis. L’ouverture des plis aura lieule Jeudi 24/10/2013 à 09h00au siège de la Direction Ré-gionale du Sud de l’ONEE-Branche Eau à l’adresseprécitée.

En cas d’envoi du dossier deconsultation par la poste àun candidat, sur sa de-mande, l’ONEE-Branche Eaun’est pas responsable d’unquelconque problème lié à laréception du dossier par ledestinataire.

A2079/13

LES ÉCO - MERCREDI 2 OCTOBRE 2013

Annonces légales28

DH) et présentation du reçude paiement mentionnant laréférence de l’appel d’offres.Le paiement devra être faitpar versement ou virement àl’un des deux comptes sui-vants : - Pour les paiements à partirdu Maroc: : C.N.C.A. AgenceGrands comptes – Rue AbouInane – Rabat - Compte N°:225810019506970651010831 Ou Crédit Agricole du Maroc.Agence Entreprise, PlaceGauguin – Agadir. Compten°225010037900323651010187.- Pour les paiements del’étranger : Banque S.G.M.B.Succursale Souissi, Rabat-Compte N°:022810000150000602799023 (SWIFT : SGMBMAMC).Le dossier de consultationpeut également être consultésur le site Internet del’ONEE-Branche Eau àl’adresse : http://achats-eau.onee.ma/Les offres, établies et présen-tées conformément aux pres-criptions du règlement de laconsultation, doivent parve-nir au Bureau d’Ordre de laDirection Régionale du Sudde l’ONEE-Branche Eau, Rue18 Novembre Quartier In-dustriel Agadir, au plus tardle Mercredi 23/10/2013 à12h00 ou être remises auPrésident de la commissiond’appel d’offres au début dela séance publique d’ouver-ture des plis. L’ouverture des plis aura lieule Jeudi 24/10/2013 à 09h00au siège de la Direction Ré-gionale du Sud de l’ONEE-Branche Eau à l’adresseprécitée.

En cas d’envoi du dossier deconsultation par la poste àun candidat, sur sa de-mande, l’ONEE-Branche Eaun’est pas responsable d’unquelconque problème lié à laréception du dossier par ledestinataire.

A2080/13

OFFICE NATIONAL DE L’ELECTRICITE ET DE L’EAU POTABLE(ONEE-BRANCHE EAU)DIRECTION REGIO-NALE DU SUDAlimentation en eau potable des douars dela région d’Ait Milk (Province de ChtoukaAit Baha) Lot : Conduites de distribution 3AVIS D’APPEL D’OF-FRES OUVERT NATIO-NAL N° 126 DR1/D/2013Séance publique

La Direction Régionale duSud de l’Office National del’Electricité et de l’Eau Pota-ble – Branche Eau (O.N.E.E–Branche Eau), sise à Agadirlance le présent appel d’of-fres qui concerne l’Alimenta-tion en eau potable desdouars de la région d’AitMilk (Province de ChtoukaAit Baha) – Lot : Conduites de distribu-tion 3.Le délai d’exécution est deSept (07) mois.Le montant du cautionne-ment provisoire est fixé àSoixante Mille Dirhams(60.000,00 DH).Le dossier de consultationest à retirer aux adresses sui-vantes :

- Bureau des marchés dela Direction Approvisionne-ment et Marchés de l'ONEE-Branche Eau

6 Bis, Rue Patrice Lu-mumba. Rabat. Chellah.Tél : 05.37.72.12.81 -

05.37.72.55.22 Fax : 05.37.73.13.55 -05.37.72.65.33

- Bureau d’ordre de la Di-rection Régionale de Sud,Rue 18 Novembre Q.I - AgadirTél : 05.28.84.20.77 -

05.28.84.20.55 Fax : 05.28.82.34.00

Contre paiement d’un mon-tant non remboursable deCent Vingt Dirhams (120,00

OFFICE NATIONAL DE L’ELECTRICITE ET DE L’EAU POTABLE(ONEE-BRANCHE EAU)DIRECTION REGIO-NALE DU SUDAEP du complexe so-laire (MASEN) et com-mune de Guessat etdouars avoisinants, lot1: Conduites (adductiondu réservoir 25000 m3de la ville d’Ouarzazatejusqu’au carrefour d’ac-cès au complexe solaireau niveau de la RN10).AVIS D’APPEL D’OFFRES OUVERT NATIONAL N° 127 AM1/4/2013Séance publique

La Direction Régionale duSud de l’Office National del’Electricité et de l’Eau Pota-ble – Branche Eau (O.N.E.E–Branche Eau), sise à Agadirlance le présent appel d’of-fres qui concerne l’AEP ducomplexe solaire (MASEN) etcommune de Guessat etdouars avoisinants, lot1 :Conduites (adduction du ré-servoir 25000 m3 de la villed’Ouarzazate jusqu’au carre-four d’accès au complexe so-laire au niveau de la RN10).Le délai d’exécution est deOnze (11) mois.Le montant du cautionne-ment provisoire est fixé àQuatre Cent Cinquante MilleDirhams (450.000,00 DH).Le dossier de consultationest à retirer aux adresses suivantes :

- Bureau des marchés dela Direction Approvisionne-ment et Marchés de l'ONEE-Branche Eau

6 Bis, Rue Patrice Lu-mumba. Rabat. Chellah.Tél : 05.37.72.12.81 -

05.37.72.55.22 Fax : 05.37.73.13.55 -05.37.72.65.33- Bureau d’ordre de la Direc-tion Régionale de Sud, Rue18 Novembre Q.IAgadirTél : 05.28.84.20.77 -

05.28.84.20.55

Fax : 05.28.82.34.00Contre paiement d’un mon-tant non remboursable deCent Quarante Dirhams(140,00 DH) et présentationdu reçu de paiement men-tionnant la référence de l’ap-pel d’offres.Le paiement devra être faitpar versement ou virement àl’un des deux comptes sui-vants : - Pour les paiements à partirdu Maroc: : C.N.C.A. AgenceGrands comptes – Rue AbouInane – Rabat - Compte N°:225810019506970651010831 Ou Crédit Agricole du Maroc.Agence Entreprise, PlaceGauguin – Agadir. Compten°225010037900323651010187.- Pour les paiements del’étranger : Banque S.G.M.B.Succursale Souissi, Rabat-Compte N°:022810000150000602799023 (SWIFT : SGMBMAMC).Le dossier de consultationpeut également être consultésur le site Internet del’ONEE-Branche Eau àl’adresse : http://achats-eau.onee.ma/Les offres, établies et présen-tées conformément aux pres-criptions du règlement de laconsultation, doivent parve-nir au Bureau d’Ordre de laDirection Régionale du Sudde l’ONEE-Branche Eau, Rue18 Novembre Quartier In-dustriel Agadir, au plus tardle Mercredi 23/10/2013 à12h00 ou être remises auPrésident de la commissiond’appel d’offres au début dela séance publique d’ouver-ture des plis. L’ouverture des plis aura lieule Jeudi 24/10/2013 à 09h00au siège de la Direction Ré-gionale du Sud de l’ONEE-Branche Eau à l’adresseprécitée.En cas d’envoi du dossier deconsultation par la poste àun candidat, sur sa de-mande, l’ONEE-Branche Eaun’est pas responsable d’un

quelconque problème lié à laréception du dossier par ledestinataire.

A2081/13

OFFICE NATIONAL DE L’ELECTRICITE ET DE L’EAU POTABLE(ONEE-BRANCHE EAU)DIRECTION REGIO-NALE DU SUDALIMENTATION EN EAUPOTABLE DE 75DOUARS DE LA REGIOND’AIT BAHA A PARTIRDU BARRAGE AHLSOUSS DEUXIÈMETRANCHE (PROVINCEDE CHTOUKA AÏTBAHA). LOT 5 : EQUIPEMENTAVIS D’APPEL D’OF-FRES OUVERT NATIO-NAL N° 128 DR1/D/2013Séance publique

La Direction Régionale duSud de l’Office National del’Electricité et de l’Eau Pota-ble – Branche Eau (O.N.E.E–Branche Eau), sise à Agadirlance le présent appel d’of-fres qui concerne l’AEP DELA 2ème TRANCHE de 75DOUARS DE LA REGIOND’AIT BAHA A PARTIR DUBARRAGE AHL SOUSSDEUXIÈME TRANCHE (PRO-VINCE DE CHTOUKA AÏTBAHA). LOT 5 : EQUIPE-MENT.Le financement du projets’inscrit dans le cadre de laconvention entre l’ONEE-Branche Eau et la Coopéra-tion Technique Belge (CTB).Le délai d’exécution est deSept (07) mois.Le montant du cautionne-ment provisoire est fixé àSoixante Mille Dirhams(60.000,00 DH).Le dossier de consultationest à retirer aux adresses sui-vantes :

- Bureau des marchés dela Direction Approvisionne-ment et Marchés de l'ONEE-Branche Eau

6 Bis, Rue Patrice Lu-mumba. Rabat. Chellah.

Tél : 05.37.72.12.81 -05.37.72.55.22 Fax : 05.37.73.13.55 -05.37.72.65.33- Bureau d’ordre de la Direc-

tion Régionale de Sud, Rue18 Novembre Q.I - AgadirTél : 05.28.84.20.77 -

05.28.84.20.55 Fax : 05.28.82.34.00Contre paiement d’un mon-tant non remboursable deCent Quatre Vingt dix Di-rhams (190,00 DH) et pré-sentation du reçu depaiement mentionnant la ré-férence de l’appel d’offres.Le paiement devra être faitpar versement ou virement àl’un des deux comptes suivants : - Pour les paiements à partirdu Maroc: C.N.C.A. AgenceGrands comptes – Rue AbouInane – Rabat - Compte N°:225810019506970651010831 Ou Crédit Agricole du Maroc.Agence Entreprise, PlaceGauguin – Agadir. Compten°225010037900323651010187.- Pour les paiements del’étranger : Banque S.G.M.B.Succursale Souissi, Rabat-Compte N°:022810000150000602799023 (SWIFT : SGMBMAMC).Le dossier de consultationpeut également être consultésur le site Internet del’ONEE-Branche Eau àl’adresse : http://achats-eau.onee.ma/Une visite des lieux forte-ment recommandée est pré-vue le 10/10/2013 à 10h00au centre Ait Baha.Les offres, établies et présen-tées conformément aux pres-criptions du règlement de laconsultation, doivent parve-nir au Bureau d’Ordre de laDirection Régionale du Sudde l’ONEE-Branche Eau, Rue18 Novembre Quartier In-dustriel Agadir, au plus tardle Mercredi 23/10/2013 à12h00 ou être remises auPrésident de la commissiond’appel d’offres au début de

MERCREDI 2 OCTOBRE 2013 - LES ÉCO

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FIDUCIAIRE BELFORTConseil de sociétés,étude Financières, Travaux comptables, juridiques et Fiscaux.Bd Yacoub El MansourRue Haj Jilali el OufirRDC n° 16 Mâarif Extension CasablancaTél : 0522.98.73.43 /0522.98.08.01WWW.fiduciarebel-fort.maSOCIETE «FASHIONCARDINAL NORTHAFRICA» SARL AUSociété a responsabi-lité limitée, au capital de 100.000,00 DHS Siège social : 95, RUEMESK ELLILE QUARTIERBEAUSEJOUR CASABLANCA

la séance publique d’ouver-ture des plis. L’ouverture des plis aura lieule Jeudi 24/10/2013 à 09h00au siège de la Direction Ré-gionale du Sud de l’ONEE-Branche Eau à l’adresseprécitée.En cas d’envoi du dossier deconsultation par la poste àun candidat, sur sa de-mande, l’ONEE-Branche Eaun’est pas responsable d’unquelconque problème lié à laréception du dossier par ledestinataire.

A2082/13

MEILLEUR CONSEIL «SARL»AV MLY ABDELLAH N°2BIS 2 EME ETAGETINGHIR OUARZAZATE05.24.83.90/06.61.54.04.90

Aux termes de procès verbalà l’Assemblée Général Extra-ordinaire datée a Tinghir le04/06/2013, la sociétéSAJAW « SARL » décidé de :-La cession des parts de MrSIDI MOHAMED JAOUHARI400 parts à Mr MOULAY ELHASSAN SAAID 400 parts.- Nommé Mr MOULAY ELHASSAN SAAID en qualitégérant de la Sté SAJAW

Aux termes d’un procès-ver-bal de la décision des asso-ciés du 25/09/2013, de ladite FASHION CARDINALNORTH AFRICA SARL AU ontdécidé ce qui suit :-Cession des parts sociales :- Monsieur SAID MAKHLOUFIcède les huit PARTS (8parts) sociales qu’il possèdeà Monsieur HICHAM ZAIMWADGHIRI, né le 03 Octobre1974, de nationalité Maro-caine, demeurant à 16 Ruede la Durance Polo Casa-blanca, titulaire de la CINnuméro BE659131 valablejusqu’au 23/12/2014.- Monsieur ABDERRAHIMMAKHLOUFI cède les NEUFCENT QUATRE VINGT DOUZEPARTS (992 parts) socialesqu’il possède à Monsieur HI-CHAM ZAIM WADGHIRI, néle 03 Octobre 1974, de natio-nalité Marocaine, demeurantà 16 Rue de la Durance PoloCasablanca, titulaire de laCIN numéro BE659131 vala-ble jusqu’au 23/12/2014.- Nomination d’un nouveaugérant Mr. HICHAM ZAIMWADGHIRI.- Démission du Gérant Mr.SAID MAKHLOUFI et l’asso-cie Mr. ABDERRAHIM MAKH-LOUFIMISE A JOUR DES STATUTS.

Modification de l’article 06,07, 14,16 des statuts de la so-ciété.Le dépôt légal, a été effectuéau greffe du tribunal de com-merce de Casablanca le30/09/2013 sous numéro532262.

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FIDUCIAIRE BELFORTBD YACOUB EL MAN-SOUR, RUE ISHAKIBNOU HANINE IMM. N°17 MAARIF EXTENSION -CASABLANCA

TEL : 05.22.98.73.43FAX : 05.22.99.35.90Constitution de la société «PRIDE CA-NADA HOLDING-MAROC» PCHM SARL

Aux termes d’un acte S.S.Pétabli en date du09/09/2013, il a été consti-tué une société à responsabi-lité limitée, ayant lescaractéristiques suivantes :DENOMINATION SOCIAL est:«PRIDE CANADA HOLDING-MAROC» PCHM SARL. OBJET DE LA SOCIETE : GES-TION DE SERVICES (IMMI-GRATION), CONSEIL DEGESTION.

SIÈGE SOCIAL : TWIN CEN-TER TOUR OUEST ANG BDZERKTOUNI ET ALMASSIRAETG 16 CASABLANCA.REGISTRE DE COMMERCE :N° 288909.DURÉE DE LA SOCIETE : Ladurée de la société est fixée à99 ans, à compter de sa Constitution définitive.GERANCE : La société est ad-ministrée par Monsieur SOS-SOULO COMLAN CONSTANTen qualité de gérant.CAPITAL SOCIAL : Le capitalsocial est ainsi fixé à lasomme de 10.000 DHS (DIXMILLE DIRHAMS) et diviséen 100 « CENT » parts so-ciales de 100 DHS « CENTSDIRHAMS » chacune.Le dépôt légal est effectué augreffe du tribunal de com-merce de Casablanca le30/09/2013 sous le numéro532213.

Pour extrait et mention A2092/13

WWW.TYCONSUL-TING.MA«SOMAREG SARL»Société Marocaine deRaffinage et de Régéné-ration «SOMAREG»SOCIETE A RESPONSA-BILITE LIMITEE AU CAPITAL DE

150.000 DIRHAMS SIEGE SOCIAL : CHEMIN DES DAHLIASQUARTIER BEAUSITECASABLANCAIF 1640056RC CASABLANCA38821 TRANSFERT DE SIEGESOCIAL DECISION DES ASSOCIES EN DATE DU 28 MAI 2013

1) Aux termes d'une délibé-ration en date du 28 Mai2013, les associés de la so-ciété susvisée ont décidé detransférer à compter du 1erjuin 2013, le siège social :

• qui était à Bd Oukba BnouNafia, N° 313- Casablanca, àl’adresse suivante : Chemindes Dahlias, Quartier Beau-site, Casablanca et de modi-fier corrélativement l'article4 des statuts.2) Le dépôt légal de la déci-sion des associés a été effec-tué au greffe du tribunal deCasablanca en date du 23septembre 2013 sous le nu-méro 00531690.Pour avis, le représentantlégal,La Gérance

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LES ÉCO - MERCREDI 2 OCTOBRE 2013

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Le théâtre est au cœur du pro-gramme de la Villa des arts cethiver. En effet, «Lectures théâ-trales» est le titre générique

d'un ensemble de lectures proposéespar la compagnie l’Aparté. Elles se ca-ractérisent par un dispositif très simple(3 comédiens maximum) et par leurfréquence, une fois par mois. Lesmises en espace se construisent tou-jours à partir d'un texte contemporainfrançais ou de l'adaptation d’un ou-vrage étranger en français. Le texte estlu. Le livre est toujours présent. La voixse met au service du texte. La compa-gnie intègre dans ses différents projetsdes artistes de toutes nationalités vi-

vant et travaillant au Maroc, ainsi quedes artistes en résidence dans une vo-lonté d’échange et de pluralité multi-culturelle. Pour la première partie, quidoit avoir lieu le 10 octobre, Eric Cuve-lier, Pascale Rousseau, Thomas Sa-gnard et Claire Staub présenteront «LeDieu du Carnage» de Yasmina Reza.Cette pièce de théâtre nous conduitdoucement jusqu’à un coup de théâ-tre. Deux couples se voient pour la pre-mière fois chez celui des deux dont lefils a été blessé par le fils de l’autre cou-ple, avec un bâton, au cours d’une al-tercation dans un square tranquille. Aufil des échanges dans un climat degrande tolérance apparente, dans une

sorte de mise en scène du refoule-ment, il y a eu manifestation de vio-lence mais cela n’est pas grave. Un bar-rage est érigé au moyen de bouquetsde fleurs, de clafoutis, et d'une volontécommune de ne pas faire de vagues,mais on sent que chacun des protago-nistes est habité par un carnage in-time. La deuxième lecture, intitulée«Théâtre sans animaux» de Jean-Mi-chel Ribes, est ’une pièce relevant del'absurde, composée de 8 saynètes.Pascale Rousseau et Thomas Sagnardde la compagnie l'Aparté joueront, lorsde cette lecture à la Villa des Arts deCasablanca, trois de ces saynètes :«Monique», «Bronches» et «Tragédie».

Enfin, «Marie-Antoinette, correspon-dance (1770-1793)» d’Evelyne Lever, luepar Géraldine Hedelin sera ccompa-gnée au chant par Vera Dhedin et aupiano par Ciprian Eloi. Ces lettres éclai-rent la personnalité de la dernière reineet révèlent par quel cheminement lacompagne de Louis XVI, d'abord sen-timentale, frivole et dépourvue d'expé-rience, manipulée par sa famille autri-chienne, se jettera dans l'actionpolitique...Trois lectures, trois dates,trois mois différents pour un seul etmême plaisir, celui de voir l’art vivant,qui l'on disait mort, «revivre»… ●

PAR JIHANE BOUGRINEj.bougrine@leseco.ma