lycee des metiers la salle - saint nicolas · seconde. tout au long des trois années de bac pro,...
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Le réseau des établissements lasal-
liens compte un million d’élèves
répartis dans 90 pays du monde. Il
est particulièrement présent dans
l’Enseignement Supérieur, avec des
Universités de prestige, aux Etats
Unis, en Amérique du Sud, aux Phi-
lippines, à Hong-Kong… En Fran-
ce, la dimension post-bac est en
train d’être valorisée au travers d’un
label, le « Campus La Salle », que
l’établissement d’Issy-les-
Moulineaux, La Salle-Saint Nicolas,
a pu décrocher en juillet dernier et
qu’il développe au niveau du Grand
Paris avec deux autres instituts éga-
lement titulaires de cette norme
nationale: La Salle-Passy –Buzenval
de Rueil-Malmaison et l’ISFEC La
Salle-Mounier de Paris.
A l’heure où les bacheliers
professionnels peuvent pour-
suivre en BTS après l’obten-
tion de leur diplôme, cette
volonté des responsables d’Issy
-les-Moulineaux d’inscrire
leurs formations d’enseigne-
ment supérieur au plus haut
niveau de qualité possible
constitue un véritable engage-
ment envers leurs étudiants et
les entreprises qui les accueil-
lent. Adil Falah, chef d’équipe
Peugeot à Boulogne-
Billancourt, fondateur avec
d’autres professionnels, des
professeurs, des responsables
et des élèves, du Conseil de la
Profession de La Salle-Saint
Nicolas, a d’emblée validé la
démarche en insistant sur la
place particulière des BTS dans
les entreprises. « Quand ils arri-
vent en stage, nous avons une attente
forte envers ces jeunes étudiants : il
est indispensable qu’ils maitrisent les
techniques basiques de la profession,
mais aussi qu’ils soient à l’aise avec
le diagnostic qui constituera le fonde-
ment de leur métier ».
C’est donc bien dans une dé-
marche de qualité que Steve
Pierre, responsable du Cam-
pus, et Emmanuel Ode, res-
ponsable de l’UFA AFORPA
qui en fait partie, organisent la
vie même au sein de cette nou-
velle structure. « Actuellement,
nous aidons les étudiants du lycée
comme les apprentis, à mettre en
place une association autonome qui
leur donnera un espace pour prendre
des initiatives et des responsabilités,
une sorte de mini-entreprise. C’est
indispensable pour qu’ils trouvent
ensuite la place qu’en attendent les
chefs d’entreprise au sein de leurs
organisations. » Dès cette année,
les BTS Technico-
Commerciaux ont souhaité
mettre en œuvre une conféren-
ce grand public sur « L'évolution
des technologies associés à la relation
client» qui s’est révélée d’un très
bon niveau. « Toute l’équipe péda-
gogique et les étudiants peuvent être
fiers de ce projet qui a permis à
chacun de s’impliquer à sa hauteur
en réalisant un vrai travail d’équipe.
Confortés et rassurés, ils se disent
tous prêts à reconduire de nouveaux
projets » (Steve Pierre).
D’autre part, la visite du salon
de Genève a été organisée pour
la 2ème année consécutive à
l’intention des BTS Après Ven-
te Automobile 1ère année pour
développer les compétences de
communication liées à leur
référentiel professionnel.
« Cette visite leur permet de traiter
des informations récoltées dans un
salon professionnel à l’étranger et de
définir ses principales caractéristiques
en comparaison avec le mondial de
l’Automobile de Paris » ( Emma-
nuel Ode).
Cette action s’inscrit aussi dans
le projet d’établissement ayant
pour but d’ouvrir les jeunes au
monde extérieur pour contri-
SAINT NICOLAS DECROCHE LE LABEL
NATIONAL « CAMPUS LA SALLE » POUR SES BTS
buer à une meilleure insertion
sociétale.
VERS UN ESPACE
ETUDIANT
Le directeur de l’établissement,
Michel Quinton, n’est pas en
reste : « La dynamique est positive,
nous allons donc aller plus loin en
2016-2017. Nous allons dédier aux
étudiants un espace spécifique au sein
de l’école, qui leur donnera à la fois
plus d’espace de liberté tout en leur
demandant plus d’investissement.
C’est ainsi qu’à côté des savoir-faire
pour lesquels notre établissement a
d’ores et déjà fait ses preuves, nous
allons mettre l’accent sur les savoir-
être qui sont clairement attendus à
bac+2 par les employeurs.. »
C’est tout le sens du label Cam-
pus La Salle que d’imposer à ses
détenteurs une démarche sans
faille afin de permettre aux étu-
diants ayant bénéficié de leurs
formations de s’insérer positive-
ment, efficacement et durable-
ment dans les entreprises qui les
intègreront.
Sommaire :
• SAINT NICOLAS DECROCHE LE LABEL
NATIONAL « CAMPUS LA SALLE »
POUR SES BTS.
• LES BAC PRO MAINTENANCE AUTO-
MOBILE TROIS SEMAINES EN ENTRE-
PRISE EN IRLANDE .
• LE CONSEIL DE LA PROFESSION EST
NE LE 11 MAI DERNIER - POUR RE-
LIER ENTREPRISES, JEUNES ET FOR-
MATIONS…
• L’ACADEMIE PROFESSIONNELLE
VERRA LE JOUR LE 1er SEPTEMBRE :
« UN TURBO POUR LA QUALITE DE LA
FORMATION ET LA MOTIVATION DES
JEUNES»
• LE KARTING TRANSFIGURE LA 3EME
PREPAPRO
LES ACTUALITES
DE LA SECTION AUTO
LYCEE DES METIERS LA SALLE - SAINT NICOLAS 19 rue Victor Hugo - 92130 Issy-les-Moulineaux Tél: 01.41.46.15.15 Mai 2016
Guillaume Fournier, BTS 1ère année, au salon de Genève.
« J’ai pris conscience de mes capacités en Irlande. Avant de partir, j’étais stressé, persuadé que je n’arriverai pas à me débrouiller seul dans une entre-
prise étrangère pendant trois semaines, d’autant que mon anglais n’était pas formidable… » Ainsi aime à s’exprimer Valerian Coudol ancien
élève de Bac Pro du lycée actuellement en 2ème année BTS AVA en apprentissage, à Saint Nicolas. Cela fait maintenant 11
années, qu’avec l’aide financière de l’ANFA et la Région , les élèves de Première Bac Pro Maintenance des Véhicules, section
européenne, s’en vont travailler dans des garages de la région de Cork (Irlande).
Christophe Simon, le Directeur Délégué aux Formations Professionnelles et Techniques (le nouveau titre des Chefs de Tra-
vaux), et Jean-Marc Dellinger, le Directeur des Etudes du Lycée Professionnel, expliquent pourquoi ils ont mis place le projet :
« Nous sommes convaincus que les futurs techniciens automobiles doivent atteindre un plus haut niveau de compétences. La technicité des véhicules se
développe largement vers l’électronique et l’informatique : avoir une bonne maîtrise de l’an-
glais ne peut être qu’un atout. Nous vivons aussi dans une économie mondialisée, où les
utilisateurs automobiles se déplacent à travers tous pays et où le marché de l’emploi s’inter-
nationalise : être bilingue est, là encore, un atout supplémentaire pour l’employabilité.
Les mobilités permettent
ainsi de donner confiance
à nos élèves en leurs
capacités et leur font
prendre conscience de la
réalité de l’Union Euro-
péenne ».
La préparation du
stage et son déroulé puis son exploitation sont maintenant bien rôdés.
Ils suivent les étapes suivantes : « Nos élèves choisissent le cursus Euro dès la
seconde. Tout au long des trois années de Bac Pro, ils suivent des cours co-animés
par un enseignant des matières professionnelles et un enseignant d’anglais. L’objectif
est triple : apprendre du vocabulaire technique, perfectionner la grammaire anglaise
et surtout prendre la parole et s’exprimer en anglais ».
La troisième année, les
élèves partent seuls pour
une période de trois se-
maines : une semaine en
Ecole de langue et deux
semaines en entreprise. Ils
sont hébergés en familles
d’accueil, les enseignants
ne sont présents que sur
trois étapes : La présenta-
tion des familles et de
l’école, l’accueil en entre-
prise et l’évaluation du
stage.
Enfin, lors de l’examen
final, les élèves passent un oral en anglais supplémentaire et s’ils ob-
tiennent 10/20 à l’épreuve, ils sont titulaires du Bac Professionnel
Maintenance Automobile Mention Européenne.
Les résultats ont été à la hauteur des espérances comme le montrent les
témoignages ci-contre et l’équipe est bien décidée à continuer l’expé-
rience en 2017.
LES BAC PRO MAINTENANCE AUTOMOBILE TROIS
SEMAINES EN ENTREPRISE EN IRLANDE :
« APPRENDRE A FAIRE FACE ! »
Ils ont dit M. Peter Keegan, garagiste à Keary’s : « Cette année j’avais en charge deux stagiaires Dorian et Thibault qui se sont très bien intégrés car ils ont tous deux un bon niveau d’an-glais, ce qui a facilité les échanges avec le personnel et donc la réali-sation des tâches professionnelles en a été simplifiée »
Mme Gorgon, professeur-accompagnateur (Enseignement Géné-ral) : « Ce fut pour les élèves un grand moment, à plus d’un titre, que ce séjour à Cork. Voyager seuls, sans leurs parents, prendre l’avion, vivre au sein d’une famille irlandaise et enfin travailler dans un gara-ge en se confrontant à un mode légèrement différent de ce qu’ils ont pu observer dans des stages en France».
M Perthuis, professeur-accompagnateur (Enseignement profession-
nel, réalisant des cours en anglais) : «Lors de l’évaluation finale, j’ai
pu remarquer cette année que les tuteurs, concernant l’investisse-
ment et le niveau d’anglais de chacun des stagiaires, étaient enthou-
siasmés par cette promotion. Ce groupe d’élèves a fait preuve de
sérieux et de solidarité J’ai donc passé un agréable séjour en leur
compagnie »
Thibault, élève de Term Bac Pro : « Ces trois semaines de stage sont d’abord une grande chance de progresser en anglais puisque la pre-mière semaine se passe dans une école de langue; et cette école per-met de rencontrer une grande diversité : il y a des élèves du monde entier qui viennent à Cork pour étudier. Comme à Paris, on entend du chinois, de l’italien, de l’espagnol, etc. L’ambiance est jeune, dé-contractée. Cette semaine de cours de langue nous a aidés à nous habituer à l’accent irlandais; ce qui nous a permis de mieux nous débrouiller pendant le stage en entreprise. Les trois semaines en famille d’accueil nous ont obligés à nous confronter à l’anglais et nous ont habitués à un autre rythme. On dîne plus tôt qu’en France , à 18h. Et puis les Irlandais sont plus accueillants dans les rues qu’en France ».
Dorian, élève de Term Bac Pro : « c’est « une bonne expérience aussi bien personnelle que professionnelle. La vie en entreprise est plus calme qu’en France. Le temps de travail est plus court : 32 heures par semaine et trois jours de repos hebdomadaires. Et puis nous avons vécu la grande fête irlandaise, la St Patrick’s. Nous avons goû-té les breakfast irlandais, copieux et délicieux. Nous avons goûté quelques bières. L’ambiance des pubs est très sympa. Aujourd’hui un stage à l’étranger est un vrai plus. Obtenir une mention euro permet à son CV de se distinguer du lot. Et cela rend le cours de géographie et d’histoire plus concret (la France et l’Union européenne, l’idée d’Europe). N’oublions pas que nous sommes avant tout des Européens… »
Après l’atelier, rendez-vous à l’Irish Pub pour
les futurs bacheliers
Guillaume Daniel, avec son maître de stage à Cork
(Irlande)
Page 2 LES ACTUALITES DE LA SECTION AUTO
LE CONSEIL DE LA PROFESSION EST NE LE 11 MAI DERNIER
POUR RELIER ENTREPRISES, JEUNES ET FORMATIONS…
Qui sont les jeunes d’aujourd’hui qui se lan-
cent dans la maintenance automobile ? Par
quoi sont-ils passionnés ? Comment les entre-
prises sont-elles prêtes à les insérer en pre-
nant en compte les contraintes d’un marché
hyper-concurrentiel mais aussi les attentes de
ceux qui seront les cadres de demain ? Com-
ment la formation peut elle efficacement faire
le lien entre ces deux pôles, ce qui constitue
un enjeu national mais dont les réponses
ne pourront être que locales, de terrain ?
C’est tout simplement pour créer un espa-
ce de rencontre et d’échange entre tous les
partenaires concernés par ces questions
que le lycée La Salle-Saint
Nicolas a fondé le 11 mai
dernier son conseil de la
Profession. L’ensemble des
problématiques n’a bien sûr
pas pu y être traité d’emblée,
mais tous les participants se
sont félicités de la naissance
de la structure qui imposera
des échanges réguliers, au moins annuels,
en toute simplicité, mais aussi en toute
franchise, un moyen pour construire des
plans de formation efficaces et créer du
lien entre tous les acteurs de la maintenan-
ce automobile. La première prise de
contact fut très positive, enrichie d’un ex-
posé sur l’évolution qu’imposeront les
normes écologiques relatives au gaz carbo-
nique, exposé réalisé par M. Fessard, repré-
sentant du GNFA (Groupement National
pour la Formation Automobile).
Pour M. Dellinger, responsable du Lycée
Professionnel, « ce fut une rencontre très cons-
tructive. Mettre directement en relation les profes-
sionnels et la formation nous amènera incontesta-
blement à faire évoluer nos pratiques ».
Ils ont dit M. Guillaume Le Roux , garagiste, chef d’entreprise :
« Ne nous fixons aucune limite à ce Conseil de la Profession. Nous avons des actions prioritaires à mener pour améliorer le savoir-faire
des jeunes en formation et aussi développer leur ambition. »
M. Adil Falah, chef d’équipe d’une concession :
« Je pense que nos contacts au sein de ce Conseil permettront une amélioration technique des élèves. »
M. Cyril Wolff, professeur,
« Ce type de rencontre pourrait nous amener à refondre nos méthodes et nos supports de formation afin de répondre encore mieux aux besoins de la Profession. »
M. Steve Perthuis, professeur,
« En action prioritaire du Conseil, je verrais bien retravailler le livret de stage avec les professionnels afin de mieux définir leurs attentes. »
M. Geoffroy Duyne, représentant des élèves :
« Ce Conseil devrait permettre d’approfondir les explications sur les activités en entreprise avant le début du stage. »
M. Allain Entaime, représentant des élèves :
« Je souhaite que nous discutions avec les professionnels de la durée des stages et aussi approfondir leurs attentes en termes de niveau de diplômes. »
Page 3 LES ACTUALITES DE LA SECTION AUTO
PROCHAIN CONSEIL
DE LA PROFESSION :
Mardi 27 septembre de 10h30 à 12hMardi 27 septembre de 10h30 à 12h
Si vous souhaitez participer, contacter
Mme Gouban, secrétaire de direction,
tél : 01.41.46.15.18
Depuis plusieurs années, existe une Académie de football au sein de La Salle-Saint Nicolas qui apporte un véritable plus en termes de motiva-
tion des jeunes, de cohésion des équipes et au bout du compte, de qualité de la formation. Le lycée professionnel a donc décidé de s’inspirer de
l’expérience et a préparé tout au long de l’année 2015-2016, avec l’ensemble des professeurs et formateurs, la mise en place de l’Académie Pro-
fessionnelle qui a vocation à intégrer l’ensemble des lycéens professionnels dans un supplément de formation portant à la fois sur les contenus,
la mobilisation des énergies, la prise d’initiative, la capacité de travailler en équipe. Monsieur Simon, DDFPT, et Monsieur Boudiaf, professeur,
nous en disent un peu plus :
« Les trois axes d’amélioration retenus dans le cadre de l’Académie Professionnelle sont : 1) Savoir communiquer – à l’écrit et à
l’oral – en français comme en anglais. 2) Réaliser des interventions professionnelles spécifiques au projet (mais transversales au
métier), avec l’exigence de qualité. 3) Acquérir le savoir-être indispensable à une bonne inser-
tion professionnelle, en commençant par les périodes de formation en entreprise.
L’Académie Professionnelle se déclinera suivant quatre axes : Euro - Motocycle
(Acquisition de compétences techniques liées à la moto), Euro – 205 Africa Raid
(Préparation d’une 205 pour participer à la course du 205 Africa Raid), Euro - Alternative Energy Racing (Etude et optimisa-
tion d’un Twizy pour la compétition), Euro – 4L Trophy (Préparation d’une 4L pour participer à la course 4L Trophy) ».
…L’ACADEMIE PROFESSIONNELLE VERRA LE JOUR LE 1er
SEPTEMBRE : « UN TURBO POUR LA QUALITE DE LA
FORMATION ET LA MOTIVATION DES JEUNES»
La Troisième PrépaProfessionnelle accueille traditionnellement des élèves qui commencent à saturer de l’Enseignement Général en
fin de collège et qui vont découvrir dès avant leur entrée en lycée ce que peut être la voie professionnelle. Cette année, les résultats
des jeunes de la filière au sein de Saint Nicolas sont particulièrement performants. Est-ce un hasard si, justement cette année, les pro-
fesseurs ont développé un projet qui a mobilisé au plus haut point les élèves, autour du karting ?
Madame Brozyna, le professeur principal, nous résume le déroulement de
cette activité bien particulière qui s’est conclue le 19 mai dernier sur le cir-
cuit de Trappes, le Beltoise Racing Kart :
« Le mois de septembre a débuté avec l’achat de quatre karts : 2 de 2 temps de 90cm³ et
de 100 cm³ puis 2 autres de 4 temps de 390 cm³.
Durant les mois d’Octobre et Novembre, nous avons fait le diagnostic des quatre karts,
nous avons contrôlé les trains roulants, les moteurs etc… afin de déterminer les achats
des pièces dont nous avions besoin pour les
remettre en état.
En décembre nous avons donc commandé ces pièces. Le début de la remise en état des moteurs des Karts a donc
pu commencer en Janvier. Le reste de l’année, nous avons donc changé les roulements, les pistons, plusieurs pièces
sur chacun des karts puis effectué le parallélisme, la transmission finale, la mise au point des moteurs et enfin
nous avons terminé en remettant en état la carrosserie.
Ce projet a pris fin l’après-midi du 19 mai, en testant nos karts sur piste.
Nous avons commencé par régler nos karts puis avant de commencer nos séances de conduite, nous avons pris un
petit pique-nique tous ensemble !!!
Le commissaire de course nous a expliqué des techniques de conduite mais aussi la tenue à avoir lors des cour-
ses : le respect, la sécurité… ».
LES FORMATIONS AUTOMOBILES A LA SALLE-SAINT NICOLAS D’ISSY-LES-MOULINEAUX
Lycée des Métiers de la Maintenance
Une unité de formation par apprentissage (UFA de l’AFORPA) est intégrée au sein de l’établissement.
CAP Maintenance des Véhicules (Lycée et UFA)
CAP Réparation des Carrosseries (UFA)
Baccalauréat professionnel Maintenance des Véhicules (Lycée et UFA)
Baccalauréat professionnel Réparation des Carrosseries (UFA)
BTS Technico-commercial (Lycée)
BTS Après Vente Automobile (UFA)
19 rue Victor Hugo – 92130 Issy-les-Moulineaux - www.st-nicolas.org
Tél: 01.41.46.15.15 - [email protected]
LE KARTING TRANSFIGURE LA 3EME PREPAPRO
Ils ont dit Sébastien Mention, responsable éducatif : « Nous avons vécu une après-midi exceptionnelle avec des jeunes très motivés qui se sont donnés à fond et qui ont fait
l’admiration de tous »
Frank, le directeur de course : « J’ai eu des jeunes à l’écoute des règles et qui ont eu un comportement exemplaire »
Vincent Malzac, professeur en Génie Mécanique : « Cette journée a été particulièrement gratifiante aussi
bien pour les élèves que pour nous, les enseignants, car c’est l’aboutissement d’un projet dans lequel les jeunes se sont
pleinement investis. Ce type de projet crée une cohésion et une dynamique de groupe qui participe à l ‘épanouissement
des élèves »
Hugo, élève : « C’est cool, on s’est bien amusés et en plus on apprend la sécurité routière »
Abel, élève : « C’est la première fois que j’en fais et je trouve ça super ! »
Louis, élève : « Trop bien ! En plus on a la piste que pour nous ! »
Léo, élève : « Les projets de 3PP c’est TOP, on est contents car ils aboutissent tous ! »
Yohan, élève : « Enfin les tests après toutes ces heures de travail en mécanique sur le projet. Nous sommes fiers du résultat ! »