methodologie
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Enquête sur la contraception d’urgence. METHODOLOGIE Etude observationnelle, transversale, multicentrique réalisée en France métropolitaine. POPULATION Médecins gynécologues libéraux. COMITE SCIENTIFIQUE. Dr David SERFATY Société Française de Gynécologie. Dr Michèle SCHEFFLER - PowerPoint PPT PresentationTRANSCRIPT
METHODOLOGIEEtude observationnelle, transversale,
multicentrique réalisée en France métropolitaine
1
Enquête sur la contraception d’urgence
POPULATIONMédecins gynécologues libéraux
COMITE SCIENTIFIQUE
Dr Michèle SCHEFFLER Fédération Nationale des Collèges de Gynécologie
Médicale
2
Dr David SERFATYSociété Française de
Gynécologie
4152 questionnaires envoyés
520 questionnaires reçus (12,5%)
3
Qui sont les gynécologues qui ont participé à l'enquête ?
4
• Répartition géographique
• Age, sexe, mode d'exercice, spécialité
• Pratique de la contraception d'urgence
5
Répartition des centres par Région
XXXNombre de centres
Répartition géographique des réponses
• Ile de France : 25,1%• PACA : 9,85%• Aquitaine : 9,85• Rhône-Alpes : 7,92%• Nord Pas de Calais : 6,76%• Pays de Loire : 5,6%• Centre : 4,25%• Lorraine : 4,05%• Bretagne : 4,05%
• Basse- Normandie : 3,09%• Haute Normandie : 2,51%• Bourgogne : 1,93%• Poitou-Charentes : 1,54%• Alsace : 1,35%• Limousin : 1,35%• Auvergne : 1,16%• Languedoc, Picardie, Franche-
Comté, Champagne, DOM-TOM < 1%
6
• Age : 57 ans (médiane)• Femmes : 82%• Exercice libéral sans vacation ni à l’hôpital ni
dans un centre de planification : 64%• Gynécologues médicaux : 62%• Ancienneté d’exercice : 26 ans (médiane)
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• 250 patientes par mois (médiane)• Dont 40% suivies pour contraception• Prescription d’une contraception d’urgence
plusieurs fois par mois par près de 65% des gynécologues
• Contraception d’urgence orale préférée presque à 100%
• Plus de 85% des gynécologues rapportent que leurs patientes reconnaissent souvent avoir pris des risques de grossesse non désirées
8
Résultats de l'enquête Gynecur
9
Comment les gynécologues
se jugent-ils informés
sur la contraception d'urgence ?
10
Je pense que les gynécologues sont suffisamment informés sur la contraception d’urgence en général
11
93%OUI
12
Pourcentage Gynécologues
Je pense que les gynécologues sont suffisamment informés sur les différentes méthodes de contraception d'urgence
90,8%OUI
Je pense que les gynécologues ont les moyens d'informer les femmes sur la contraception d'urgence
13
Pourcentage Gynécologues
88,3%OUI
Comment les gynécologues
jugent-ils l'information des femmes
à propos de la contraception d'urgence ?
14
Je pense que les femmes savent identifier les situations les exposant à un risque de grossesse non prévue
15
Pourcentage Gynécologues
70%NON
Je pense que les femmes savent comment agir lorsqu'elles ont été exposées à un risque de grossesse non prévue
16
Pourcentage Gynécologues
83,3%NON
17
Pourcentage Gynécologues
Je pense que les femmes savent que la contraception d'urgence est disponible en pharmacie sans ordonnance
48,5%OUI
54,4%NON
18
Pourcentage Gynécologues
Je pense que les femmes sont suffisamment informées sur la contraception d'urgence
84,4%NON
Pour les gynécologues,
la pilule du lendemain, c'est ….
19
... une pilule utile dans ma pratique de la contraception
20
Pourcentage Gynécologues
94,1%OUI
... une pilule qui fait partie intégrante de ma consultation de contraception
21
Pourcentage Gynécologues
83,5%OUI
Dans quels cas les gynécologues informent-ils
systématiquement ou souvent
sur la contraception d’urgence ?
22
Pourcentage de gynécologues faisant de la prévention pour :
23
Attitudes des gynécologues
devant une demande de contraception d'urgence
24
Plus de 45% des gynécologues n’ont pas le temps de recevoir la patiente en urgence
25
Pourcentage Gynécologues
Que font les gynécologues lorsqu'ils n'ont pas le temps de recevoir une patiente qui demande une contraception d'urgence ?
26
Comparaison avec une enquête BVA menée auprès de
2415 femmes en 2012
Les femmes sont-elles du même avis que les gynécologues à propos de la contraception
d'urgence ?
27
La pilule du lendemain, c’est une pilule que les femmes prennent, lorsqu’elles sont responsables, pour éviter une grossesse non souhaitée
28
P = 0,18
OUI
La pilule du lendemain, c’est une pilule que les patientes ont honte de prendre
29
P<0,0001
NON
La pilule du lendemain, c’est une pilule qui peut révéler un comportement imprudent en contraception
30
P<0,001
OUI
La pilule du lendemain, c’est un vrai progrès pour les femmes
31
P<0,0001
OUI
Les perceptions des gynécologues et des femmes
à propos de la contraception d'urgence
sont très proches
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Importance du rôle du gynécologue en contraception d’urgence
33
CONCLUSION 1• La majorité des gynécologues interrogés :
– Sont bien informés sur la contraception d’urgence qu’ils prescrivent plusieurs fois par mois
– Ont à cœur leur rôle de prévention, en particulier dans les situations les plus risquées
– Quand ils ne peuvent pas recevoir une patiente exposée au risque de grossesse non désirée en urgence, ils faxent une ordonnance ou adressent la patiente dans une pharmacie
• Ils sont réservés :– sur la capacité des femmes à identifier une situation à risque– Sur leurs connaissances en matière de contraception d’urgence
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CONCLUSION 2• Dans l’étude BVA, les femmes plébiscitent le rôle de
prévention et d’information des gynécologues
• Les gynécologues ont donc un rôle essentiel à jouer pour faire progresser la prévention des grossesses non désirées
• En effet, aujourd’hui, seulement 20% des femmes en situation de risque de grossesse non désirée ont recours à la contraception d’urgence (étude BVA 2012)
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Pourcentage de gynécologues faisant de la prévention pour :