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Mise en place d’un serveur trixbox sur un domaine Kwartz Version 1.0 du 25 juin 2012 Lycée Polyvalent d’Artois, Noeux les Mines Adrien Bonnel
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Télécharger trixbox CE 2.8.0.4
Vous pouvez récupérer le fichier ISO via le site officiel : http://www.fonality.com/trixbox/
Cliquez ensuite, dans le menu du haut, sur le bouton « Downloads »
Cliquez sur le lien « trixbox CE 2.8.0.4 (Stable) », vous serez redirigé vers SourceForge afin de pouvoir
télécharger le fichier ISO.
Si vous souhaitez ensuite vérifier la somme de contrôle MD5, vous pouvez entre autres utiliser
CheckSum Tool, téléchargeable sur http://checksumtool.sourceforge.net/
Créer un support d’installation
Si vous souhaitez installer trixbox CE via un support d’installation, vous pouvez utiliser soit :
Un CD-R(W)
Une clé USB
Utiliser un CD-R(W)
Utiliser une clé USB
Si vous décidez d’effectuer une version virtualisée, vous n’aurez pas besoin d’utiliser ces méthodes.
Dans votre hyperviseur, VirtualBox dans notre cas, il est en effet possible de monter le fichier ISO.
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Installer le serveur
Démarrez la machine qui fera office de serveur, et insérez votre support d’installation.
Assurez-vous que le BIOS ou l’UEFI démarre bien sur le type de support que vous utilisez.
Voici le premier écran que vous devez normalement obtenir :
Appuyez sur la touche Entrée pour exécuter la procédure d’installation.
Vous allez voir les différents modules nécessaires à la détection du matériel se charger et s’exécuter.
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La première page que vous verrez vous proposera de définir le type de clavier utilisé.
Remontez la liste jusqu’à trouver « fr »
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Appuyez ensuite sur la flèche droite du pavé directionnel pour atteindre le bouton OK.
Ne vous inquiétez pas si votre souris ne fonctionne pas, c’est tout à fait normal ;-).
Appuyez sur la touche Entrée pour lancer « Anaconda ».
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La deuxième page vous demandera de configurer le fuseau horaire.
Appuyez sur la barre Espace pour cocher « System clock uses UTC ».
Puis accédez à la liste au-dessous en appuyant sur touche Tab.
Descendez jusqu’à trouver « Europe/Paris ».
Appuyez ensuite la touche droite du pavé directionnel pour atteindre le bouton OK.
Appuyez maintenant sur la touche Entrée afin de valider les informations.
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La troisième page va vous permettre de définir le mot de passe du compte « root ».
N’oubliez pas que ce compte dispose de tous les droits, donc veillez à ne pas utiliser un mot de passe
trop simpliste …
Une fois ceci fait, atteignez le bouton OK et appuyez sur la touche Entrée.
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« Anaconda » va maintenant se charger du reste :
Formater le disque dur
Installer les paquets nécessaires
Configurer GRUB
…
Vous remarquerez que le processus d’installation est relativement rapide.
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Dès que vous verrez que l’affichage bascule du bleu vers le noir, retirez votre support d’installation.
Le système va redémarrer incessamment sous peu …
Peu après, vous allez voir GRUB se lancer.
Le système sélectionné va se lancer automatiquement dans 5 secondes.
Sauf si vous utilisez un hyperviseur « Xen », il faudra toujours utiliser « trixbox-base ».
Ne vous en faites pas, elle est sélectionnée par défaut.
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« CentOS » va se lancer, puis ses « daemons ».
Pour la petite information, « CentOS » est une distribution GNU/Linux principalement destinées aux
serveurs, basée sur les sources de Red Hat Enterprise Linux (RHEL), disponible de manière libre et
gratuite. C’est donc une solution très fiable et très stable.
Le lancement peut s’avérer plus ou moins long, car il faut que « trixbox » continue son installation et
sa configuration.
Dès que vous verrez l’exécution du fichier 99_trixbox_firstboot_clean.sh, la fin de l’installation sera
imminente ;-).
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Une fois « trixbox » installé, vous verrez cet écran :
Notre serveur « trixbox » est maintenant installé.
Toutefois, il vaut mieux en profiter, avant de le mettre en service, pour le mettre à jour.
Pour plus de facilités, nous allons utiliser PuTTY vu que nous disposons d’OpenSSH.
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PuTTY
PuTTY est un émulateur de terminal doublé d'un client pour les protocoles SSH, Telnet, rlogin, et TCP brut. Il est écrit et maintenu principalement par Simon Tatham. C'est un logiciel libre distribué selon les termes de la licence MIT.
Lancez PuTTY.
Dans le champ Host Name (or IP address), saisissez l’adresse IP du serveur « trixbox ».
Puis dans le champ Saved Sessions, saisissez trixbox.
Dans l’arbre de gauche, cliquez sur Translation.
Le sélecteur Remote character set est positionné par défaut sur ISO-8859-1 : 1998 (Latin-1, West
Europe).
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Il est préférable de sélectionner UTF-8 pour éviter tout problème d’interopérabilité.
Ceci fait, cliquez sur Session dans l’arbre de gauche. Puis cliquez sur le bouton Save.
La session trixbox est maintenant enregistrée.
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Cliquez deux fois sur la ligne trixbox pour ouvrir une session sur le serveur.
Une alerte de sécurité s’affiche.
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Vous arrivez alors sur une fenêtre similaire à l’invite de commandes de Windows.
Saisissez root à la suite de « login as: », puis validez avec la touche Entrée.
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Saisissez ensuite votre mot de passe à la suite de « root@server_ip’s password: ».
Ne vous en faites pas si rien ne s’écrit, c’est normal.
Validez votre saisie en appuyant sur la touche Entrée.
Vous êtes maintenant aux commandes de votre serveur « trixbox ».
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Configuration du proxy Kwartz dans trixbox
Comme vous l’avez remarqué, la phase d’installation est relativement simpliste.
Toutefois, pour pouvoir mettre à jour notre serveur ou télécharger des paquets, il va falloir inscrire
les informations du proxy Kwartz dans Yum ainsi que dans le profil.
Pour commencer, on va modifier le fichier de configuration de Yum via vi.
Vous allez donc écrire ce qui suit dans PuTTY :
vi /etc/yum.conf
Appuyez ensuite sur la touche Entrée, pour voir le contenu du fichier.
Appuyez sur la touche i de votre clavier pour passer en mode insertion.
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Après la ligne plugins=1, appuyez sur la touche Entrée pour créer une nouvelle ligne, et saisissez :
proxy=http://server_address:3128/
Ceci fait, appuyez sur la touche Echap de votre clavier pour sortir du mode insertion, et saisissez :wq
Validez en appuyant sur la touche Entrée pour sauvegarder et sortir de l’éditeur.
Il faut maintenant falloir configurer les informations du proxy dans le profil.
Pour cela, saisissez ce qui suit et appuyez sur la touche Entrée pour valider.
vi ~/.bash_profile
A nouveau, appuyez sur la touche i de votre clavier pour passer en mode insertion.
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Allez jusqu’à unset USERNAME et appuyez sur la touche Entrée pour créer une nouvelle ligne.
Saisissez ce qui suit :
export http_proxy="http://server_address:3128/"
export ftp_proxy="ftp://server_address:3128/"
Ceci fait, appuyez sur la touche Echap de votre clavier pour sortir du mode insertion, et saisissez :wq
Validez en appuyant sur la touche Entrée pour sauvegarder et sortir de l’éditeur.
Maintenant que vous avez configuré les informations nécessaires, il faut redémarrer le système afin
d’être certain que tout soit pris en compte. Saisissez simplement reboot et appuyez sur la touche
Entrée pour valider l’action.
PuTTY va vous signaler une erreur. Logique vu que la session se clôture avec le redémarrage.
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Mise à jour de trixbox
Une fois « trixbox » redémarré, connectez-vous à nouveau en root via PuTTY.
Vous allez maintenant saisir la ligne qui suit, puis la valider :
wget http://dl.fedoraproject.org/pub/epel/5Client/i386/sipsak-0.9.6-
8.el5.i386.rpm
Faites de même pour celle-ci :
wget http://dl.fedoraproject.org/pub/epel/5Client/i386/c-ares-1.6.0-
2.el5.i386.rpm
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On va maintenant installer les deux paquets téléchargés en saisissant la commande qui suit, puis en
la validant :
rpm -Uhv sipsak-0.9.6-8.el5.i386.rpm c-ares-1.6.0-2.el5.i386.rpm
Pourquoi cette opération ? En fait, il s’avère y avoir un problème de dépendances dans « trixbox »
lorsqu’on lance le système de mise à jour via Yum. Cette méthode permet d’installer les
dépendances concernées afin de pouvoir ensuite Yum en toute tranquillité.
Puisqu’on parle de Yum, la première chose à faire est maintenant de le mettre à jour. Rien de plus
simple, il suffit de saisir ce qui suit, puis de valider :
yum update yum
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Appuyez sur la touche y de votre clavier et validez.
Comme on télécharge depuis un dépôt officiel, il faudra ensuite accepter la clé « GPG ».
Bien sûr, vous acceptez en appuyant sur la touche y à nouveau et validez ensuite.
La procédure de mise à jour va se lancer. Il vous suffit de patienter quelques secondes.
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Maintenant que Yum a été mis à jour, il faut mettre à jour l’ensemble du système et ses composants.
Rien de plus simple encore une fois, saisissez ce qui suit, puis validez :
yum update
Une fois le listing fait, appuyez sur la touche y de votre clavier et validez.
Comme vous pouvez le constater sur cette capture, Yum a détecté que 233 paquets doivent être mis
à jour et que 4 autres doivent être installés.
Comptez au moins 10 minutes pour que cette action puisse s’effectuer.
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Vous pourrez voir ensuite le téléchargement des différents paquets :
Arrivé à ce stade, le système se met à jour :
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Et maintenant, il supprime ce dont il n’a plus besoin :
Dès que l’opération est achevée, saisissez reboot et validez afin de redémarrer le système.
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Vous constaterez que nous n’avons pas changé de version du noyau :
Par contre, nous sommes passés à la version 5.8 de « CentOS » ;-).
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Installation de Fop2 (Flash Operator Panel 2)
« Fop2 » ajoute à « trixbox » un panneau détaillé des activités sur votre serveur PBX. Vous pourrez
voir les communications en cours, voir celles en attente, écouter un appel … Le détail de ses
fonctionnalités est consultable sur cette page : http://www.fop2.com/about.php
Ouvrez une session via PuTTY.
Saisissez la commande suivante, puis validez :
wget http://download2.fop2.com/fop2-2.26-centos5-i386.tgz
Une fois téléchargé, décompressez le « tarball » via la commande qui suit :
tar zxvf fop2-2.26-centos5-i386.tgz
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Entrez dans le répertoire en tapant la commande suivante :
cd fop2
Procédez maintenant à son installation, en lançant la commande ci-dessous :
make install
Ce processus est très rapide. Si vous voyez Done!, c’est qu’il s’est déjà installé ;-).
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Maintenant, il s’agit de désactiver « Fop1 », qui est déjà contenu dans « trixbox ».
Ouvrez le fichier amportal.conf via cette commande :
vi /etc/amportal.conf
Descendez jusqu’à cette ligne :
FOPRUN=true
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Passez en mode insertion en appuyant sur la touche i de votre clavier, puis remplacez true par
false.
Appuyez sur la touche Echap pour sortir du mode.
Tapez :wq puis la touche Entrée pour enregistrer et quitter le fichier.
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Pour arrêter son « daemon », saisissez cette commande :
/usr/sbin/amportal stop_fop
Pour améliorer l’intégration dans « FreePBX », vous allez exécuter la commande suivante :
/usr/local/fop2/generate_override_contexts.pl -write
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Vous allez maintenant configurer « trixbox » afin qu’il lance « Fop2 » à chaque redémarrage.
Pour cela, exécutez la commande qui suit :
vi /etc/rc.local
Descendez jusqu’à la dernière ligne, puis appuyez sur la touche i de votre clavier pour passer en
mode insertion.
Appuyez sur la touche Entrée pour créer une nouvelle ligne, et saisissez-y ceci :
/usr/local/fop2/fop2_server -d
Appuyez sur la touche Echap pour sortir du mode.
Tapez :wq puis appuyez sur la touche Entrée pour enregistrer et quitter le fichier.
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Maintenant que « Fop2 » est mis en place, il ne reste plus qu’à le lancer.
Pour se faire, exécutez la commande ci-dessous :
/etc/rc.d/init.d/fop2 start
Pour vérifier que « Fop2 » se lance bien à chaque démarrage de « trixbox », vous pouvez
éventuellement redémarrer le système.
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Accéder à l’interface graphique
Pour accéder à l’interface graphique de « trixbox », il vous suffit de saisir dans votre navigateur
l’adresse IP du serveur.
Cliquez en haut à droite sur le lien switch pour accéder à la partie administrative du serveur.
Une demande d’authentification va s’ouvrir.
En utilisateur, saisissez maint
En mot de passe, saisissez password
Cliquez ensuite sur le bouton OK
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On va se débarrasser définitivement de cette pop-up (sinon elle s’affichera à chaque fois que vous
accéderez à l’index de l’administration).
Cliquez sur sa croix pour la fermer. On va d’abord devoir renseigner à nouveau les informations du
proxy Kwartz, sinon il ne sera pas possible de procéder à l’enregistrement auprès de Fonality.
Depuis la barre de menu, rendez-vous dans Settings » General Settings
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Dans le champ SMTP Server, saisissez l’adresse IP du serveur Kwartz
Dans le champ Port, saisissez 3128
Validez les informations en cliquant sur le bouton Save.
Dans le menu du haut, allez maintenant dans Settings » Registration
Il va falloir enregistrer votre serveur « trixbox ». Remplissez les champs obligatoires (ils ont un
astérisque rouge * à leur droite).
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En bas du formulaire, vous verrez deux boutons. Assurez-vous que celui libellé Don’t ask me to
register again ait sa police de couleur rouge (cela signifie qu’il est activé).
Si ce n’est pas le cas, cliquez dessus.
Dès que vous aurez saisi les informations relatives à l’établissement, cliquez sur le bouton Submit
pour enregistrer votre version de « trixbox ».
A l’heure où j’écris cette documentation, il m’est impossible de m’enregistrer auprès de Fonality.
Si la situation perdure, je verrai pour expliquer comment désactiver cette pop-up via le code PHP.
J’ignore si c’est dû à Kwartz ou au pare-feu, mais il semblerait que plusieurs personnes sur Fonality
rencontrent le même souci.
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Créer un numéro de téléphone
Sous « trixbox », un numéro de téléphone est plus communément appelé extension.
Pour créer une extension donc, il faut aller dans PBX » PBX Settings
Dans la colonne de gauche, assurez-vous de bien être dans l’onglet Setup
Un peu plus bas, juste au-dessous de Basic, cliquez sur Extensions
Laissez la valeur Generic SIP Device dans le sélecteur, et cliquez sur le bouton Submit
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Trois champs vont nous intéresser :
User Extension : le numéro de téléphone de l’utilisateur
Display Name : le nom à afficher
Secret : le mot de passe de connexion
Pour l’exemple, vous allez créer une extension avec le numéro 100, son nom sera Sysadmin et son
mot de passe sera 1234.
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Dès que vous aurez renseigné les trois champs principaux, cliquez sur le bouton Submit.
Vous pouvez dès lors autant d’extensions que nécessaire.
Ceci fait, n’oubliez pas de cliquer sur le bouton orange Apply Configuration Changes.
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Cliquez sur le lien Continue with reload pour que l’ensemble de vos modifications soit pris en
compte.
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