nexus 10 - sept oct 2000 - excitotoxines (complet)

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    NEXUS N 101

    Edito 2

    excitotoxines 3Aspartame et glutamate ajouts dans les

    produits alimentaires transforms provo-

    quent la dgnrescence du systme ner-

    veux.

    Actualits censures

    13Les informations que les mdias ont occul-tes en 1999.

    Homopathie : cest linformation qui

    soigne ?

    22Comment Homopathie et Radionique

    transmettent des frquences dnergie

    spciques pour parvenir la gurison.

    Regard critique

    34Nouvelles technologies, sant, liberts,

    alimentation, les dernires abrrations au

    service de l inhumanit.

    Relation entre autisme et vaccin

    R.O.R.

    39

    J.F.K. trop curieux des O.V.NI.

    42Ce que cache la toute puissante

    C.I.A.En tant que responsable du contre-espion-

    nage amricain de 1953 1974, J.J.

    Angleton tait le gardien dun des secrets

    les mieux gards de la plante.

    Ces sons inaudibles mais destructeurs

    53

    Pendant la guerre froide, les recherches duDr gavreau mirent en vidence les effets

    des sons basse-frquences, inaudibles

    mais dvastateurs.

    RUBRIQUE LIVRES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

    63

    NEXUSD MOAN SARL NEXUS MAGAZINE

    anne 2 - N10 - sept/octobre 2000LES CHEYROUX - 24580 PLAZAC

    SOMMAIRE

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    Osez l'ino !

    j le numro 10 de l'dition ranaise de Nexus ! Et pour l'occa-sion un nouveau look pour que la lecture vous soit plus agrable.Que vaudrait une inormation sans le plaisir ? L'esprit de la revue,

    lui, reste le mme : "Oser l'ino" en est toujours le principe directeurpour vous emmener au-del de la "pense unique", et devient mmevisible sur la couverture.Inormation ; un concept qui, au demeurant, constitue le l conducteur

    de ce numro. D'ailleurs qu'est-ce que "l'inormation" si ce n'est, d'unpoint de vue ultime, la nature mme de la ralit que nous vivons ?Ce principe est bel et bien appliqu avec succs entre autres depuis quel-ques dcennies par les homopathes et naturopathes qui parviennent soigner les causes des dsordres physiques par la simple transmissiond'un signal vibratoire, mme distance, n'en dplaise l'industrie dumdicament.L'alimentation elle aussi reprsente une inormation essentielle que nousdonnons notre corps. Quel teneur prend-elle lorsque nous ingronsdes produits de plus en plus transorms et loigns de la nature ? Notredossier vous ore les conclusions d'tudes approondies sur les eets,

    malheureusement autres que gustatis, de ces additis alimentaires quinous envahissent insidieusement.Problmes d'inormation poss nos organismes par l'injection de cer-tains vaccins, auxquels le psychisme ragit en se coupant de tout nou-veau risque d'intrusion, rendant l'tre autistique.Toujours l'inormation qui se trouve au coeur des enjeux de pouvoir,essentielle au contrle de la conscience des populations, manipule etcensure par les mdias, comme l'illustrent la vingtaine de dpches dontvous n'avez pas pu prendre connaissance en 1999, mais qu'un comitd'universitaires amricains experts en communication a tenu publier.Souvent l'inormation retenue et cache se trouve au centre des vne-ments les plus cruciaux de ce sicle qui s'achve, comme l'assassinat d'un

    Prsident des tats-Unis, JFK, qui souhaita simplement plus de transpa-rence sur un sujet qui justement, regarde les changes probables entresnotre bonne vieille plante et le reste de l'univers.Encore de l'inormation, et de la puissance de ses eets directs sur lamatire, lorsqu'elle prend la orme de sons inaudibles mais extraordinai-rement dvastateurs, comme le dmontrrent les recherches secrtesmenes par la France dans les annes soixante.Vous inormer sur tous ces sujets, c'est tenter de vous clairer sur lemonde, pour mieux connatre, mieux comprendre et nalement mieuxaccepter et mme embrasser cette ralit de la vie...et nous donner ainsila meilleure chance de la transormer !

    David

    NEXUS N 10 - septembre 2000

    NEXUS N 10 2

    d

    NEXUS MAGAZINEAnne 2 - N 10

    SEPTEMBRE/OCTOBRE 2000

    DIT PARditions MOAN,

    DIRECTRICE DE PUBLICATIONMarie-Hlne COURTAT

    DITRICEAnne GIVAUDAN

    CONSEILLER SCIENTIFIQUEAntoine ACHRAM

    CONSEILLER TECHNIQUEJean-Louis GUASCO

    RDACTEURDavid Dennery

    PHOTOGRAPHIE DE COUVERTUREDavid Dennery

    ILLUSTRATIONSDessins : Phil Sommerville

    Guy Nicola Jean-Jacques Colin

    MAQUETTE INTRIEUR ET COUVERTURELe Semeur dimages : Gilles Malgonne

    IMPRIMEURSAGRAFIC, S.L., Pza Urquinaona, 14 - 7e, 3e

    08010 Barcelone (Espagne)

    DISTRIBUTION FRANCEN.M.P.P.

    BUREAU CENTRALPO Box 30, Mapleton, Qld 4560, Australie

    Tl. : (07) 5442 9280 - Fax : (07) 5442 9381e-mail : [email protected]

    BUREAU DE NOUVELLE-ZLANDEPO Box 226, Russell, Bay of Islands.

    Tl. : +64 (0)9 403 8196e-mail : [email protected]

    BUREAU DES TATS-UNISPO Box 177, Kempton, IL 60946-0177

    Tl. : (815) 253 6464 - Fax : (815) 253 6454e-mail : [email protected]

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    RH19 1BG - Tl. : +44 (0)1342 322854Fax : +44 (0)1342 324574

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    Pays-Bas Tl. : +31 (0)321 380558Fax : +31 (0)321 318892e-mail : [email protected]

    DCLARATION DE RAISON DTREConscient que lhumanit traverse une importante

    priode de transformation, NEXUS sefforce de four-nir des informa-tions difciles dnicher an daider

    les gens traverser ces temps. NEXUS nest ratta-ch aucune idologie religieuse, philosophique ou

    politique, non plus qu une organisation.

    AUTORISATION DE REPRODUCTIONLa reproduction et la dissmination de linformationcontenue dans NEXUS sont activement encoura-

    ges-; nanmoins, toute personne prise en tirer unavantage nancier sans notre accord exprs aura

    en rendre compte.NEXUS nest aucunement responsable de la

    teneur des articles et annonces qui sont sous laseule responsabilit de leurs auteurs. Pour tout

    problme de sant, les lecteurs sont invits pren-dre lavis dun mdecin.

    IMPRIM SUR PAPIER RECYCL100%

    BLANCHI SANS CHLORE

    DITORIAL

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    NEXUS N 103

    e plus en plus de clinicienset de scientiques impor-

    tants sont convaincusquun groupe de composs appe-ls excitotoxines joue un rlecrucial dans le dveloppement deplusieurs troubles neurologiques,dont les migraines, les attaques,les inections, un dveloppementneural anormal, certains trou-bles endocriniens, les troublesneuropsychiatriques, les dicul-ts dapprentissage des enants,la dmence associe au sida, laviolence pisodique, la borrlio-se de Lyme, lencphalopathiehpatique, des types spciquesdobsit, et surtout les maladiesneurodgnratives telles que lasclrose latrale amyotrophique(ALS), les maladies de Parkinson,dAlzheimer et dHuntington ainsique la dgnrescence olivopon-

    tocrbelleuse. 1Ces dix dernires annes, on

    a accumul une norme quantitde preuves la ois cliniques etexprimentales qui soutiennentce principe de base2.Pourtant, la FDA (Food and DrugAdministration) reuse toujours dereconnatre le danger immdiat et

    long-terme que prsente pourle public lajout autoris dansles aliments de plusieurs excito-

    cit complte, cest--dire que lesexcitotoxines agissent en syner-gie. Par ailleurs, les excitotoxinessous orme liquide, comme cellesque lon trouve dans les soupes,les sauces au jus de viande et lesboissons non alcoolises bassescalories, sont plus toxiques quecelles que lon ajoute aux alimentssolides ; cest parce quelles sontabsorbes plus rapidement etatteignent des taux plus levsdans le sang.

    On devrait aussi se rendrecompte que les consquences deces additis alimentaires appe-ls excitotoxines ne sont pas engnral dramatiques. Certainsindividus peuvent tre particuli-rement sensibles et dvelopper

    de graves symptmes et mmemourir brutalement dune irri-tabilit cardiaque, mais le plussouvent les eets sont subtils etse dveloppent sur une longuepriode de temps. Tandis que lesadditis alimentaires comme leglutamate de sodium et laspar-tame ne sont probablement pasdes causes directes de maladiesneurodgnratives comme ladmence dAlzheimer, la mala-die de Parkinson ou lALS, ils

    peuvent trs bien acclrer cestroubles et certainement aggra-ver leur pathologie - commenous le verrons. Peut-tre quechez de nombreuses personnesayant une propension naturelle dvelopper lune de ces maladies

    excitotoxines

    Les additifs les accumulent !

    d

    Daprs de nombreuses tudes les excitotoxines,

    telles que laspartame, contenues dans tous les

    produits alimentaires transforms, provoquent la

    dgnrescence du systme nerveux.

    Premire publication dansMEDICAL SENTINEL(vol. 4, n6, nov-dc 1999)PO Box 13648Macon, GA 31208-3648, USATlphone : +1 (912) 757 9873Site Internet : www.haciendapub.com

    Par Russell L. Blaylock,Docteur en mdecine

    (1999)

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    ces troubles ne se dclareraientjamais sils elles ne sexposaientpas de ortes quantits dexcito-toxines vhicules par les aliments.Certaines personnes pourraientjuste sourir dune orme att-nue de la maladie, si elles ne

    sexposaient pas ces substan-ces. De mme, les excitotoxinesvhicules par les aliments peu-vent tre nocives pour ceux quisourent dattaques, de lsionscrbrales et pour les sropositis,et on ne devrait certainement pasen utiliser dans une structure hos-pitalire.

    LA DSINFORMATIONDE LA FDA

    En juillet 1995, la Fdrationdes Socits Amricaines pour laBiologie Exprimentale (FASEB)a men une tude dcisive pour laFDA sur la question de la scuritdu glutamate de sodium.8 LaFDA a crit un rsum trs trom-peur du rapport dans lequel elle

    laissait entendre que, sau pourles asthmatiques, les chercheursde la FASEB avaient trouv que leglutamate de sodium ne prsen-tait aucun risque. Mais, en ait, cenest pas du tout ce que disait lerapport.

    Jai rsum, en dtail, mescritiques de cette tromperie large-ment diuse de la FDA dans ldi-

    tion de poche revue et corrige demon livre, Excitotoxins : TheTaste that Kills (Les Excitotoxines: le got qui tue), en analysantexactement ce que ce rapportdisait et ne disait pas.9 Par exem-ple, il na jamais dit que le gluta-mate de sodium naggravait pasles maladies neurodgnratives.Ce quil disait, ctait quil nexis-tait aucune tude montrant untel lien ; plus prcisment, quepersonne navait ralis dtude,positive ou ngative, pour voir

    sil y avait un lien. Cest toute ladirence.

    Malheureusement pour le con-sommateur, les grosses socitsde lindustrie alimentaire conti-nuent non seulement dajouterdu glutamate de sodium dans

    nos aliments mais elles vont en

    plus trs loin pour masquer cesadditis nocis. Par exemple, ellesemploient des termes tels queprotine vgtale hydrolyse,protine vgtale, bre pro-tique, phytoprotine hydroly-se, extrait de protine de soja,

    casinate, extrait de levureet arme naturel. Nous savonspar exprience que quand cesexcitotoxines charges de releverle got sajoutent les unes auxautres, elles deviennent bien plustoxiques que prises individuelle-ment.10 En ait, les excitotoxines des taux pas encore nocispeuvent tre pleinement toxiques

    pour certaines cellules bien pr-cises du cerveau lorsquelles sontassocies. Je vois souvent dans

    les rayons des supermarchs desaliments transorms, en particu-lier des aliments surgels ou desaliments de rgime, qui contien-nent, deux, trois ou mme quatretypes dexcitotoxines.

    Nous savons aussi, comme on

    la dj arm, que les excito-

    toxines sous orme liquide sontbeaucoup plus toxiques que cellessous orme solide parce quel-les sont absorbes rapidement etatteignent une concentration le-ve dans le sang. Ceci signie quede nombreuses soupes, sauces et

    jus de viande vendus dans le com-merce et contenant du glutamatede sodium sont trs dangereuxpour lquilibre du systme ner-veux, et ceux qui sourent dundes troubles mentionns plushaut ou qui ont un risque impor-tant den dvelopper un devraienttout particulirement les viter.Les gens atteints de cancers ou

    prsentant un risque importantde cancer devraient galement lesviter, en raison de la gnration

    NEXUS N 10 4

    QUE SONT LES EXCITOTOXINES ?

    Ce sont des substances, en gnral des acides amins, qui ra-gissent avec certains rcepteurs prcis du cerveau dune faon

    telle que cela entrane la destruction de certains types de neuro-

    nes. Le glutamate est lune des excitotoxines les plus connues.

    Le glutamate de sodium, cest le sel du glutamate. Cet acideamin est un neurotransmetteur naturel du cerveau. En fait, cestle neurotransmetteur le plus souvent utilis par le cerveau. Les

    dfenseurs du glutamate de sodium et de laspartame deman-

    dent souvent comment une substance qui est naturellement

    utilise par le cerveau pourrait tre nocive. Cest parce que le

    glutamate, en tant que neurotransmetteur, nexiste dans le liqui-de extracellulaire qu des taux trs faibles - pas plus de 8 12(M (micromoles/litre). Quand la concentration de ce transmetteurdpasse ce niveau, les neurones commencent tre excites defaon anormale. A des concentrations plus leves, les cellulessubissent un processus spcial de mort cellulaire diffre connu

    sous le nom dexcitotoxicit ; cest dire, quelles sont excitesjusqu leur destruction.

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    de radicaux libres associe laperoxydation des lipides.11

    En cas de sclrose latraleamyotrophique (ALS), nous savonsque la consommation de viande

    rouge, en particulier du glutamatede sodium lui-mme, peut leverle glutamate du sang de aon

    signicative jusqu des taux bienplus hauts que ceux que lon voitchez la population ordinaire. 12On na pas ralis dtudes simi-laires, daprs ce que je sais, sur

    des patients atteints de la maladiede Parkinson ou de la maladiedAlzheimer. Mais, en rgle gn-

    rale, je suggrerais certainementaux personnes atteintes de luneou lautre de ces maladies dviterles aliments contenant du gluta-mate de sodium ainsi que la vian-de rouge, le romage et la purede tomates, ces aliments tant

    tous rputs pour contenir de or-tes quantits de glutamate.13

    On doit se rappeler que cestla molcule de glutamate quiest toxique dans le glutamatede sodium. Le glutamate est unacide amin naturel qui se trouveen plus ou moins grande quantitdans de nombreux aliments. Ceuxqui arment que le glutamate de

    sodium ne prsente aucun dangerse servent de ce ait pour leurdense. Mais le coupable cestle glutamate libre. Le glutamateli, que lon trouve naturellementdans les aliments, est moins dan-

    gereux parce quil est dgradlentement et absorb par lintes-

    tin de aon tre utilis par lestissus, les muscles en particulier,avant que les taux toxiques nesoient atteints. Par consquent,une tomate entire est moins dan-gereuse quune pure de tomate.La seule exception cela, commeon la dit, daprs ce que lon saitpour linstant, cest dans le casde lALS. Par ailleurs, la tomate

    contient plusieurs antioxydantspuissants connus pour neutraliserla toxicit du glutamate.

    Ironie du sort, ces

    additifs alimentaires

    ne servent absolu-

    ment pas conserverles aliments ou pro-

    tger leur intgrit ;

    ils sont tous utiliss

    pour modifer le got

    des aliments.

    NEXUS N 105

    LA DECOUVERTE DES EXCITOTOXINES

    En 1957, deux internes en ophtalmologie, Lucas et Newhouse, menaient uneexprience sur des souris an dtudier un trouble oculaire particulier.

    3 Au cours de cette exprience, ils ontnourri des bbs souris avec du glutamate de sodium et ont dcouvert que tous

    prsentaient une destruction gnrale de la couche nerveuse interne de la rtine.

    On a aussi observ une destruction similaire chez les souris adultes, mais pas

    aussi grave que sur les bbs. Les rsultats de leur exprience ont t publis

    dans Archives of Ophtalmology et on les a trs vite oublis. Durant les 10 annes

    prcdant ce rapport, on a ajout de grandes quantits de glutamate de sodium

    non seulement dans les aliments pour adultes mais aussi dans les aliments pour

    bbs, des doses gales celles donnes aux animaux de laboratoire.Puis, en 1969, le Docteur John Olney, neuroscientique et neuropathologiste

    du dpartement de psychiatrie de lUniversit Washington St Louis, a rpt

    lexprience de Lucas et Newhouse.4 Sonlaborantin a remarqu que les bbs souris qui avaient t exposs au glutamate

    de sodium taient vraiment obses et courts sur pattes. Un examen plus pouss

    a aussi rvl des organes hypoplastiques, par exemple lhypophyse, la thyrode

    et les surrnales, ainsi quun dysfonctionnement du systme reproducteur. Dun

    point de vue physiologique, elles prsentaient de multiples dciences endocri-

    niennes, comme la TSH, lhormone de croissance, les LH, FSH et ACTH. Lorsquele Docteur Olney a examin le cerveau des animaux, il a dcouvert de lgres

    lsions du noyau de larcuate ainsi quune destruction plus grave dautres noyaux

    hypothalamiques.

    Depuis cette premire observation, le glutamate de sodium et autres substan-

    ces excitantes sont devenus des outils classiques pour tudier le fonctionnement

    de lhypothalamus. De rcentes tudes ont montr que le glutamate est le neuro-

    transmetteur le plus important de lhypothalamus.5 Des tudes ultrieures ontindiqu que les lsions provoques par le glutamate de sodium taient beaucoup

    plus tendues, touchant lhippocampe, les organes circumventriculaires, le locus

    ceruleus, lamygdale, le systme limbique, le subthalamus et le striatum.6 Des tudes molculaires plus rcentes ont mis jour en dtail le mcanismedune telle destruction. 7

    Un peu plus tt, on a observ que quand des neutrons in vitro taient exposs

    au glutamate et ensuite nettoys, les cellules apparaissaient parfaitement norma-

    les pendant environ une heure, temps au bout duquel elles taient rapidement

    victimes de la mort cellulaire. On a dcouvert que lorsque le calcium tait retir du

    milieu, les cellules restaient en vie.Des tudes ultrieures ont montr que le glutamate et dautres acides amins

    excitants sattachent une famille bien prcise de rcepteurs (NMDA, kainate,AMPA et mtabotrophiques) qui, leur tour, soit directement soit indirectement,ouvrent le canal du calcium sur la membrane cellulaire du neurone, laissant entrer

    le calcium dans la cellule. Si on ne le contrle pas, ce calcium va provoquer unecascade de ractions, dont une gnration de radicaux libres, une production

    deicosanodes et une peroxydation des lipides, qui dtruiront la cellule. Avec

    cette stimulation provoque par le calcium, le neurone sexcite de faon consi-

    drable, dchargeant ses impulsions de faon rptitive jusquau point de mort

    cellulaire, do le nom d excitotoxine. Lactivation du canal du calcium via les

    rcepteurs de type NMDA implique aussi dautres rcepteurs de la membrane telsque ceux du zinc, du magnsium, de la phencyclidine et de la glycine.

    Dans de nombreux troubles lis lexcitotoxicit, la source du glutamate et

    de laspartate est endogne. Nous savons que lorsque les cellules du cerveausont endommages, elles librent de grandes quantits de glutamate issues des

    astrocytes environnantes, et ce glutamate peut en plus endommager les cellules

    normales des neurones voisins. Cest ce quil semble se passer lors des attaques

    et des traumatismes crniens. Mais, les excitotoxines vhicules par les alimentspeuvent aggraver de faon signicative cette accumulation de toxines.

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    La protine vgtale hydro-lyse est un additi alimentairecourant et elle peut contenir aumoins deux excitotoxines : leglutamate et lacide cystique. Laprotine vgtale hydrolyse estabrique par un procd chimi-

    que qui dcompose dlibrment

    la structure de la protine duvgtal pour librer le glutamateainsi que laspartate, une autreexcitotoxine. Cette substancepoudreuse, marron, est

    utilise pour relever legot des aliments, enparticulier des plats deviande, des soupes et dessauces. Bien que certainsabricants daliments di-ttiques aient essay deaire accepter lide quece rehausseur de got estentirement naturel etsans danger parce quil

    est abriqu partir deplantes, ce nest pas vrai.Cest la mme substan-ce que celle ajoute auxaliments transorms.Lexprience a montrque lon peut provoquerles mmes lsions cr-brales en utilisant la pro-tine vgtale hydrolyse

    quen utilisant le gluta-mate de sodium ou las-partate. 14

    On dcouvre de plus en plusdexcitotoxines, dont plusieurs serencontrent naturellement. Parexemple, la L-cystine est uneexcitotoxine trs puissante. Onlajoute actuellement certainspains et on la vend dans les

    magasins dittiques en tant quecomplment. Lhomocystine, undriv mtabolique, est aussi uneexcitotoxine.15 Fait intressant,on a rcemment montr que destaux levs dhomocystine dansle sang taient un signe majeur, sice nest le signe majeur, des mala-dies cardio-vasculaires et des atta-ques. Tout aussi intressante est la

    dcouverte selon laquelle des tauxlevs dhomocystine sont aussien cause dans des troubles dudveloppement neurologique, enparticulier dans lanencphalie etle dysraphisme spinal (anomaliesdu tube neural). 16 (Onpense quil existe un mcanismedaction protecteur associ luti-

    lisation prnatale des vitaminesB12, B6 et de olates lorsquonles utilise ensemble.) Reste voirsi leet toxique relve de lexci-totoxicit ou sil est d quelqueautre mcanisme. Sil est li lexcitotoxicit, alors les tus

    seraient aussi en danger causedu glutamate, de laspartate (unepartie de la molcule daspar-tame) et des autres excitotoxines.Rcemment, plusieurs tudes ontdcouvert que tous les patientssourant de la maladie dAlzheimerqui avaient t examins prsen-taient des taux levs dhomocys-tine. 17

    Une tude intressante adcouvert que les personnesatteintes de la maladie dAlzhei-mer prsentent aussi une destruc-tion tendue des cellules de leurganglions rtiniens. 18Fait intressant, cela correspond la zone qui tait touche lorsqueLucas et Newhouse ont dcouvert

    lexcitotoxicit du gluta-

    mate de sodium. Tandisque cela ne prouve pasque le glutamate ali-mentaire et autres exci-totoxines provoquentou aggravent la mala-die dAlzheimer, celaconstitue une preuveindirecte de taille. Uneois que lon a analystoutes les inormations

    connues sur les additisalimentaires excitants,il est dicile de justierla dcision de la FDAde continuer dapprou-ver lusage rpandu deces additis.

    LES EFFETS DESRADICAUX

    LIBRES TOXIQUES

    Il est intressant de

    Nous savons par

    exprience que quand

    ces excitotoxines

    charges de relever

    le got sajoutent les

    unes aux autres, elles

    deviennent bien plus

    toxiques que prises

    individuellement.

    NEXUS N 10 6

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    toxines telles que le gluta-mate de sodium, la protinevgtale hydrolyse et las-partame. La quantit de cesneurotoxines ajoute dansnos aliments a considrable-ment augment depuis leur

    introduction. Par exemple,depuis 1948, la quantit deglutamate de sodium ajouteaux aliments a doubl tousles dix ans. En 1972, onen ajoutait 262000 tonnesmtriques dans les aliments.On a consomm plus de800 millions de livres das-partame dans divers pro-

    duits depuis que cet additi at autoris. Ironie du sort,ces additis alimentaires neservent absolument pas conserver les aliments ou protger leur intgrit ; ilssont tous utiliss pour modi-er le got des aliments.On se sert du glutamatede sodium, de la protine

    vgtale hydrolyse et desarmes naturels pour rele-ver le got des aliments,tandis que laspartame estun dulcorant articiel.

    Ces toxines (excitotoxi-nes) ne sont pas juste pr-sentes dans quelques ali-ments, mais, plus exacte-ment, dans presque tous lesaliments transorms. Dans

    de nombreux cas, on lesy ajoute sous des ormesdguises, telles que les ar-mes articiels, les pices,lextrait de levure, la breprotique, lextrait de pro-tine de soja, etc. Par exp-rience, nous savons quelorsque lon donne desanimaux des quantits dex-

    citotoxines peu toxiques endoses spares, on trouvechez ces animaux une toxi-

    noter quun grand nombre desmaladies neurologiques associes un dommage excitotoxique sontaussi associes des accumula-tion de radicaux libres toxiques etde produits destructeurs issus deloxydation des lipides. 19

    Par exemple, on a dcouvert quele cerveau des patients atteints dela maladie dAlzheimer contenaitdes concentrations leves deproduits issus de la peroxydationdes lipides et des preuves duneaccumulation de radicaux libres etde leurs dommages.

    20,21,22

    Dans le cas de la maladie de

    Parkinson, nous savons que lundes premiers changements estla perte de lun des systmes dedense antioxydants essentiels,le glutathion, de la part des neu-rones du systme du striatum eten particulier dans la substancegrise. 23 Cest ce noyauqui est le premier touch dans cetrouble. A cela sajoute une accu-

    mulation de er libre, qui est lundes gnrateurs de radicaux libresles plus puissants jamais connus.24 Lune des concentrations deer les plus leves du corps setrouve dans le globus pallidus etla substance grise. Les neuronesse trouvant dans cette derniresont particulirement vulnra-bles au stress oxydant parce quele mtabolisme catabolique du

    transmetteur, la dopamine, peutprocder la cration de radi-caux libres trs puissants ; cest--dire quil peut sauto-oxyder enperoxyde, qui est normalementdsintoxiqu par le glutathion.Comme nous lavons vu, la pertedu glutathion dans la substancegrise est lune des premires d-ciences observes dans la maladie

    de Parkinson. En prsence deconcentrations leves de er libre,le peroxyde est transorm en

    NEXUS N 107

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    sur son rcepteur via un mca-

    nisme doxyde nitrique. 32 Unestimulation excessive du rcepteurdu glutamate peut provoquer uneaccumulation de direntes esp-ces dazote ractives, entranantla gnration de plusieurs esp-ces de dangereux radicaux libres,dont la peroxynitrite. Il y a de plusen plus de preuves que, du moinsen partie, cest comme cela quun

    excs de glutamate endommageles cellules nerveuses.33 Dans de multiples tudes, ona dmontr un lien troit entrelexcitotoxicit et la gnration deradicaux libres.34, 35, 36, 37

    Dautres tudes ont montrque certains pilleurs de radicauxlibres (antioxydants) russissent stopper la destruction excitotoxi-

    que des neurones. Par exemple,la vitamine E est connue pourneutraliser compltement la toxi-cit du glutamate in vitro.38On ne sait pas si elle est aussi

    ecace in vivo. Mais il est intres-sant de voir, la lumire de cer-taines observations rcentes, quela vitamine E, associe dautresvitamines antioxydantes, ralen-tit la progression de la maladiedAlzheimer et semblerait aussirduire le taux davance dun

    un radical libre dangereux et trspuissant, lhydroxyde. Comme leradical hydroxyde se diuse danstoute la cellule, on assiste ladestruction des composants lipi-diques de la cellule - processusappel la peroxydation des lipi-

    des. Tout aussi importante estla gnration du puissant radicalde peroxynitrite, qui sest avrcauser de graves dommages dansles protines cellulaires et lADN,tant mitochondrial que nuclaire.25

    A laide dun analyseur demasse microsonde laser, deschercheurs ont dcouvert que

    laccumulation de er dans lamaladie de Parkinson se localiseprincipalement dans les granulesde neuromlanine (ce qui donneau noyau sa couleur noire).26Dautres tudes ont montr

    quil y a une accumulation spec-taculaire daluminium lintrieurde ces granules. 27Trs probablement, laluminium

    dplace le er li, librant du erlibre hautement racti. On saitque mme de aibles concentra-tions de sels daluminium peuventaugmenter la peroxydation deslipides provoque par le er depresque un chelon. De plus,linusion directe de er dans lenoyau de la substance grise chezdes rongeurs peut entraner unsyndrome parkinsonien et une

    baisse de la dopamine suivantla dose. De rcentes tudes indi-quent que les individus atteints dela maladie de Parkinson ont aussiun mtabolisme du er dcient.28

    Une autre dcouverte antrieuresur la maladie de Parkinson, cestla rduction des enzymes comple-xes I lintrieur des mitochon-

    dries de ce noyau.29 On sait bien que les enzymescomplexes I sont particulirement

    sensibles aux dommages des radi-

    caux libres. Ces enzymes jouentun rle crucial dans la productiondnergie cellulaire. Comme nousle verrons, lorsque lnergie cellu-laire diminue, leet toxique desacides amins excitants augmentede aon dramatique.

    Dans le cas de lALS, il y ade plus en plus de preuves quedes dommages similaires dus aux

    radicaux libres, trs probablementprovoqus par des concentrationstoxiques dexcitotoxines, jouentun rle majeur dans cette mala-die. 30 Plusieurs tudesont dmontr une accumulationde produits issus de la peroxy-dation des lipides dans la moellepinire des victimes de lALS,ainsi quune accumulation de er.31

    On sait que le glutamate agit

    NEXUS N 10 8

    Il y a de plus en plus de preu-ves que, du moins en

    partie, cest comme celaquun excs de glutamateendommage les cellules ner-veuses Dans de multiples

    tudes, on admontr un lien troit entrelexcitotoxicit et la gnra-tion de radicaux libres

    34,35,36,37

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    sous-groupe de la maladie deParkinson.

    Dans ltude Datatop sur le-et de lalpha-tocophrol seul, onna constat aucun ralentissementdans la progression de la maladie.Le problme de cette

    tude cest la aibledose qui a t utiliseet le ait que le DL-alpha-tocophrol utilisest connu pour avoir unpotentiel antioxydantbien inrieur celuidu D-alpha-tocophrol.Stanley Fahn a trouvquune association de

    D-alpha-tocophrol etdacide ascorbique ortes doses ralentissaitde deux ans et demi laprogression de la mala-die. 39 Le tocotri-nol peut prsenter desavantages encore plusgrands, surtout quandon lassocie dautres

    antioxydants. Il existedes preuves cliniques,dont mes propresobservations, que lavitamine E, surtout sousla orme de D-alpha-tocophrol, ralentitaussi la progression delALS. Je mettrais engarde sur le ait que cest associsque les antioxydants onction-

    nent le mieux, et que lorsquonles utilise sparment ils peu-vent avoir des eets contraires etnastes. Cest--dire que, lorsqueles antioxydants, tels que lacideascorbique et lalpha-tocophrol,soxydent eux-mmes - commedans le cas de lacide dhydroas-corbique - ils nont plus deetprotecteur, mais agissent plutt

    comme des radicaux libres eux-mmes. La mme chose est vraiepour lalpha-tocophrol. 40

    Une ois encore, on devrait serendre compte quune stimulationexcessive du glutamate provoquedes ractions en chane qui sus-citent leur tour la gnrationdun grand nombre despces de

    radicaux libres, tant sous la ormedazote que doxygne. On a

    montr que ces radicaux libresendommageaient les protinescellulaires (produits carbonylesprotiques) et lADN. Le dom-mage de lADN le plus immdiatse porte sur lADN mitochondrial,qui contrle lextraction des pro-tines lintrieur de cette celluleparticulire et de ses descendan-tes, provoquant des changements

    trs proonds dans la productiondnergie cellulaire. On supposequau moins certaines des mala-

    dies neurodgnratives, la mala-die de Parkinson en particulier,sont aectes de cette aon.41 Une accumulation chroniquede radicaux libres entranerait unediminution de la rserve onction-

    nelle de vitamines, de

    minraux, denzymeset de composs duthiol antioxydantsindispensables pourprotger les neuro-nes. Un stress chroni-que non soulag, uneinection chronique,des toxines et desmtaux gnrateurs

    de radicaux libres, etdes enzymes rpara-teurs dADN aaiblisne ont quaggraverces dommages.

    Nous savons quilexiste quatre sourcesendognes principa-les doxydants :

    Ceux qui sont

    produits de aonnaturelle par lemtabolisme arobiedu glucose.

    1- Ceux qui sontproduits au cours delattaque cellulairephagocytaire sur lesbactries, les virus et

    les parasites, surtout en cas din-ections chroniques.

    2- Ceux qui sont produits aucours de la dgradation des aci-des gras et dautres molculesqui produisent comme driv delH3O2. (Ceci est important dansle stress, qui sest avr aug-menter de aon signicative lesquantits de radicaux libres dansle cerveau.)

    4- Les oxydants produits au

    cours de la dgradation des toxi-nes naturelles. Et, comme nouslavons vu, lune des sources

    NEXUS N 109

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    endognes principales de radicauxlibres cest lexposition des tissusau er libre, surtout en prsencedascorbate. Malheureusement,le er est un minral ortementencourag par lindustrie de lasant, et on en rajoute souvent

    dans de nombreux aliments, sur-tout dans le pain et dans lesptes. Le cuivre est aussi unpuissant gnrateur de radicauxlibres et il sest avr lev dansla substance grise du cerveau despersonnes atteintes de la maladiede Parkinson. 42

    Ce que toutes ces tudesont montr, cest un liendirect entre lexcitotoxicitet la gnration de radicauxlibres dans de multiplesmaladies et troubles tels queles attaques, les traumatismes

    crniens, les inections viraleset les maladies neurodgn-ratives.

    Fait intressant, on a montrque les radicaux libres emp-chaient aussi labsorption du glu-tamate par les astrocytes, ce quiaugmenterait de aon signica-

    tive les quantits de glutamate lextrieur des cellules.43Ceci cre un cercle vicieux qui

    multipliera tout dommage et dys-onctionnement conscutis dessystmes neurophysiologiques,comme la plasticit.

    A suivre

    NEXUS N 10 10

    Note de lditeur

    Cet article est reproduit avec laimable autorisation du Docteur Russell Blaylock. Il a t publi pour la premire

    fois dans Medical Sentinel (vol. 4, n6, nov-dc 1999), le journal bimensuel de lAssociation des Mdecins

    et des Chirurgiens Amricains (AAPS) (Hacienda Publishing, Inc., PO Box 13648, Macon, GA 31208-

    3648, USA, tl (912) 757 9873, fax (912) 757 9725, e-mail HYPERLINK "mailto:[email protected]"

    [email protected], site Internet www.haciendapub.com

    NOTES DE FIN1 Ikonomidou, C. et Turski, L. , Glutamate in Neurodegenerative Disorders (Le Glutamate dans les trou-bles neurodgnrateurs), dans Stone, T.W. (ed.), CNS Neurotransmitters and Neuromodulators : Glutamate, (Neurotransmetteurs et neuromodulateurs CNS : le glutamate) CRC Press, Boca Raton, 1995, p. 253-272.

    2 Whetsell, W.O. et Shapira, N.A., Biology o Disease. Neuroexcitation, excitotoxicity and human neurologicaldisease (La Biologie de la maladie. Neuroexcitation, excitotoxicit et maladies neurologiques chez lhomme), Lab.Invest. 68 : 372-387, 1993.

    3 Lucas, D.R. et Newhouse, J.P., The toxic eect o sodium L-glutamate on the inner layer o the retina (Leettoxique du L-glutamate de sodium sur la couche interne de la rtine), Arch. Ophtalmol. 58 : 193-201, 1957.

    4 Olney, J.W., Brain lesions, obesity, and other disturbances in mice treated with monosodium glutamate (Lsionscrbrales, obsit et autres troubles chez des souris nourries au glutamate de sodium), Science 165 :719-721,1969.

    5 Pol,A.N.V., Wuarin, J.-P et Dudek, E., Glutamate, the dominant excitatory transmitter in neuroendocrine regulation (LeGlutamate, le principal transmetteur excitant dans la rgulation neuroendocrine), Science 250 :1276-1278, 1990.

    6 Coyle, J.T. et al., Excitatory Amino Acid Neurotoxins : Selectivity, Specicity, and Mechanisms o Action (Lesneurotoxines ou acides amins excitants : slectivit, spcicit et mcanismes daction), Neurosci. Research Bull.19(4), 1981.

    7 Blackstone, C.D. et Huganir, R.L., Molecular Structure oGlutamate Receptor Channels (La Structure molculaire des canaux rcepteurs du glutamate), dans Stone T.W. (ed.),CNS Neurotransmitters and Neuromodulators : Glutamate, CRC Press, Boca Raton, 1995, p. 53-67.

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    NEXUS N 1011

    8Analysis o Adverse Reactions to Monosodium Glutamate (MSG) (Analyse des ractions indsirables au glutamate

    de sodium), Lie Sciences Research Oce, FASEB, juillet 1995.Blaylock, R.L., Excitotoxins : The Taste That Kills (Les Excitotoxines : le got qui tue), Health Press, Santa Fe,

    1997, p.248-254.

    10 Olney, J.W., Glutamate : a neurotoxic transmitter (Le Glutamate : un transmetteur neurotoxique), J. ChildNeurol. 4 :218-226, 1989.

    11

    Choudhary, P., Malik, V.B. et al., Studies on the eect o monosodium glutamate on hepatic microsomal lipidperoxidation, calcium, ascorbic acid and glutathione and its dependent enzymes in adult male mice (Etudes sur leetdu glutamate de sodium sur la peroxydation microsomale hpathique des lipides, le calcium, lacide ascorbique et leglutathion et les enzymes qui en dpendent chez des souris adultes mles), Toxicol. Lett. 89 : 71-76, 1996.

    12 Plaitakis, A. et Caroscio, J.T., Abnormal glutamate metabolism in amyotrophic lateral sclerosis (Le mtabolismeanormal du glutamate dans la sclrose latrale amyotrophique), Ann. Neuro. 22 : 575-579, 1987.

    13 Blaylock, R.L., Neurodegeneration and aging o the central nervous system : Prevention and treatment by phy-tochemicals and metabolic nutrients (La neurodgnrescence et le vieillissement du systme nerveux central : pr-vention et traitement par des mdicaments base de plantes et des nutriments mtaboliques), Integrative Med. 1 :117-133, 1998.14 Olney, J.W., Excitotoxic ood additives : unctional teratological aspects (Les additis alimentaires excitotoxiques :aspects tratologiques onctionnels), Prog. Brain Res. 18 : 283-294, 1988.

    15 Parsons, R.B., Waring, R.H. et al., In vitro eect o the cysteine metabolites homocysteic acid, homocysteine andcysteic acid upon neuronal cell lines (Eet in vitro de lacide homocystique des mtabolites de la cystine, de lho-mocystine et de lacide cystique sur les couches cellulaires des neurones) , Neurotoxicology 19 : 599-603, 1998.

    16 Esskes, T.K., Neural tube deects, vitamins and homocysteine (Anomalies du tube neural, vitamines et homocys-tine), Eur. J. Pediatr. 157 (Suppl 2) : S139-S141, 1998.

    17 McCaddon, A., Daves, G. et al., Total serum homocysteine in senile dementia o Alzheimer type(Lhomocystine totale du srum dans la dmence snile de type Alzheimer) , J. Geriatr. Psychiatry 13 : 235-239,1998.

    18 Banks, J.C. et al, Retinal pathology in Alzheimers disease. I. Ganglion cell loss in oveal/paraoveal retina (LaPathologie de la rtine dans la maladie dAlzheimer. I. La perte des cellules ganglionnaires dans la rtine ovale/para-

    ovale) , Neurobiol. Aging 17 : 377-384, 1996.19 Onanow, C. W., A radical hypothesis or neurodegeneration (Une hypothse radicale sur la neurodgnres-cence), Trends in Neurosci. 16 : 439-444, 1993.

    20 Aisen, P. S. et Davis, K.L., Infammatory mechanisms in Alzheimers disease : implications or therapy (LesMcanismes infammatoires dans la maladie dAlzheimer : les implications pour la thrapie), Am. J. Psych. 151 :1105-1113, 1994.

    21 Murphey, T., Parikh, A. et al., Arachidonic acid metabolism in glutamate neurotoxicity (Le Mtabolisme de laci-de arachidonique dans la neurotoxicit du glutamate), Ann. NY Acad. Sci. 559 : 474-477, 1989.

    22 Smith, M.A., Richey, P.I. et al., Widespread peroxynitrite-mediated damage in Alzheimers disease (Les domma-ges courants dus la peroxynitrite dans la maladie dAlzheimer), J. Neurosci. 17 : 2653-2657, 1997.

    23Jenner, P. et al., Oxidative stress as a cause o nigral cell death in Parkinsons disease and incidental Lewy bodydisease (Le Stress oxydant comme cause de la mort des cellules de la substance grise dans la maladie de Parkinson et

    la maladie accidentelle de Lewy), Ann. Neurol. 32 :282-287, 1992.

    24 Griths, P.D. et Crossman, A.R., Distribution o iron in the basal ganglion and neocortex in Parkinsons diseaseand Alzheimers disease (La rpartition du er dans la ganglion basal et le nocortex dans les maladies de Parkinsonet dAlzheimer), Dementia 2 : 61-65, 1993.

    25 Bolanos, J.P., Almeida, A. et al., Nitric oxide-mediated mitochondrial damage in the brain : mechanisms andimplications or neurodegenerative diseases (Les lsions mitochondriales du cerveau dues loxyde nitrique : mca-nismes et implications pour les maladies neurodgnratives), J. Neurochem. 68 : 2227-2240, 1997.

    26 Dexter, D.T. et al., Increased iron content in post-mortem Parkinsonian brain (Dcouverte dune orte teneur ener lors de lautopsie dun cerveau dune victime de la maladie de Parkinson), Lancet ii :219-220, 1987.

    27 Hirsch, E.C., Brandel, J. P. et al., Iron and aluminium increase in the substantia nigra o patients withParkinsons disease : an X-ray microanalysis, (Une augmentation en er et en aluminium dans la substance grise depatients atteints de la maladie de Parkinson : une microanalyse aux rayons X) J. Neurochem. 56 : 446-451, 1991.

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    NEXUS N 10 12

    28 Logroscino, G., Marder, K., Graziano, J. et al., Altered systemic iron metabolism in Parkinsons disease (Unmtabolisme systmique du er altr dans la maladie de Parkinson), Neurology 49 :714-717, 1997.29 Schapira, A.H.V. et al., Mitochondrial complex I deciency in Parkinsons disease (La dcience du complexemitochondrial I dans la maladie de Parkinson), J. Neurochem. 54 : 823-827, 1990.

    30 Bergenson, C., Oxidative stress : Its role in the pathogenesis o amyotrophic lateral sclerosis (Le Stress oxydant :son rle dans la pathogense de la sclrose latrale amyotrophique), Neurol. Sci. 129 :81-84, 1995.31 Gerlach, M., Ben-Shachar, D. et al., Altered brain metabolism o iron as a cause o neurodegenerative diseases(Un mtabolisme crbral du er altr comme cause des maladies neurodgnratives), J. Neurochem. 63 :793-

    807, 1994.32 Dawson, V.L., Dawson, T.M. et al., Mechanisms o nitric oxide-mediated neurotoxicity in primary brain cultures(Les Mcanismes de la neurotoxicit due loxyde nitrique dans des cultures crbrales primaires), J. Neurosci. 13 :2651-2661, 1993. 33 Williams, L.R., Oxidative stress, age-relatedneurodegeneration, and the potential or neurotrophic treatment (Le Stress oxydant, la neurodgnrescence snileet le potentiel pour un traitement neurotrophique), Cerebrovasc. Brain Metab. Rev. 7 :55-73, 1995.

    34 Domenico, E., Pellegrini-Giampietro et al., Excitatory amino acid release and ree radical ormation may coo-perate in the genesis o ischemia-induced neuronal damage (La Libration dacides amins excitants et la ormationde radicaux libres peuvent cooprer dans la gense des dommages dus une ischmie subis par les neurones), J.Neurosci. 10 : 1035-1041, 1990.

    35 Mundy, W.R., Freudenrich, T.M. et Kodavanti, P.R., Aluminium potentiates glutamate-induced calcium accumula-tion and iron-induced oxygen ree radical ormation in primary neuronal cultures (LAluminium potentialise laccumu-lation de calcium due au glutamate et la ormation de radicaux libres doxygne due au er dans les cultures primairesdes neurones), Mol. Chem. Neuropathol. 32 : 41-57, 1997.

    36 Aarala, J.T., Loikkanen, J.J. et al., Lead amplies glutamate-induced oxidative stress (Le Plomb amplie le stressoxydant d au glutamate), Free Radical Biol. Med. 19 : 689-693, 1995.

    37 Lipton, S.A. et Nicotera, P., Calcium, ree radicals and excitotoxines in neuronal apoptosis (Le Calcium, les radi-caux libres et les excitotoxines dans lapoptose des neurones), Cell Calcium 23 : 165-171, 1998.

    38 Murphey, T.H. et al., Immature cortical neurons are uniquely sensitive to glutamate toxicity by inhibition o cys-tine uptake (Les Neurones corticales immatures ne sont sensibles la toxicit du glutamate que par linhibition delabsorption de la cystine), J. FASEB 6 : 1624-1633, 1990.

    39 Fahn, S., A pilot trial o high-dose alpha-tocopherol and ascorbate in early Parkinsons disease (Une Expriencepilote dune orte dose dalpha-tocophrol et dascorbate au dbut de la maladie de Parkinson) , Ann. Neurol. 32 :S128-S132, 1992.

    40 Niki, E., Interactions o ascorbate and alpha-tocopherol (Les Interactions de lascorbate et de lalpha-tocoph-rol), Third Conerence o Vitamin C, Burns, E.T. (ed.), Ann. NY Acad. Sci. 498 : 186-199, 1987.

    41 Beal, M.F., Hyman, B.T. and Koroschetz, W., Do deects in mitochondrial energy metabolism underlie the patho-logy o neurodegenerative diseases ? (Les carences du mtabolisme de lnergie mitochondriale sont-elles la basede la pathologie des maladies neurodgnratives ?), Trends in Neurosci. 16 : 125-131, 1993.

    42 Pall, H.S., Blake, D.R. et al., Raised cerebrospinal fuid copper concentration in Parkinsons disease (Une orteconcentration de cuivre dans le liquide crbro-spinal dans la maladie de Parkinson), Lancet Aug 1 : 238-241, 1987.

    43 Sorg, O., Horn, T.F. et al., Inhibition o astrocyte glutamate uptake by reactive oxygen species : role o antioxi-dant enzymes (Linhibition de labsorption du glutamate par les astrocytes par des espces doxygne ractives : lerle des enzymes antioxydants), Mol. Med. 7 : 431-440, 1997.

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    Slectionn

    esparlecomitd

    evotede

    ProjectCe

    nsored,vo

    icileshistoires

    dactualit

    lesplusim

    portantesd

    elan-

    nederni

    re,quiaura

    ientd fai

    regrand

    bruit,mais

    nelontpa

    sfait.

    Lquipe de Project CensoreddelUniversit dtat de Sonoma apubli sa dernire liste des his-toires dactualit les plus impor-

    tantes et les plus secrtes des Etats-Unis - comme elle le aitdepuis les 24 dernires annes. Etudiants en journalisme etpersonnel des mdias ont tri plusieurs milliers dhistoires de n1998 jusqu 1999, et en ont slectionn 500 pour que la acul-t et les experts du milieu journalistique les valuent. La Censuredes Mdias a ensuite tudi la manire dont les 200 histoires lesplus intressantes avaient t traites par les courants dominantsde la couverture mdiatique nationale, et un vote collecti nal detous les participants (tudiants, personnels des mdias et mem-bres du corps enseignant de la acult) a eu lieu dbut novembre1999. Finalement, les juges nationaux de Project Censored

    ont class les 25 histoires les plus intressantes.

    Nous avons selectionn 16 dentre elles pour NEXUS France, ennous basant sur lintrt quelles reprsentaient pour le lectoratranais, et sur le silence des medias europens sur ces sujets.

    ACTUALITS CENSURES

    13

    ACTUALITSCENSURESACTUALITS

    CENSURESACTUALITSCENSUR

    CENSURES

    ACTUALITS

    CENSURESACTUALITSCENSURES

    ACTUALI

    ACTUALITSCENSURESACTUALITS

    CENSURESACTUALITSCENSUR

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    14

    Villages Kurdesdtruits par les armes

    amricaines.En 1995, le gouvernement

    Clinton a reconnu que le gouver-nement Turc utilisait des armesamricaines pour des oprationsmilitaires nationales au coursdesquelles les droits de lhommetaient bafous. En effet, laTurquie a vacu, ras et brlde force plus de 3000 villageskurdes au cours des 10 derniresannes. La plupart des atrocits,qui ont cot la vie plus de40.000 personnes, ont eu lieupendant le premier mandat de

    Clinton.En tant quallie des Etats-Unis par lintermdiaire delOTAN, la Turquie reoit desarmes amricaines venant dedouzaines de compagnies dontHughes, Boeing, Raytheon etGeneral Dynamics. Malgr unrapport horriant dAmnestyInternational sur les violen-ces abusives, le Ministre desAffaires trangres a pass desmarchs sur les armes avec laTurquie.

    La guerre en Turquie repr-sente aujourdhui la plusgrosse utilisation darmesamricaines de combat dansle mondeSource : Kevin McKeirnan (kevinmck@sil-

    com.com), The Bulletin of Atomic Scientists,

    mars / avril 1999.

    Pirates de lespace.Le Trait de lEspace de 1967 interdit le dploiement

    darmes spatiales de destruction de masse. Rcemment, le

    Congrs des tats-Unis a ignor la ncessit dun tel traitet approuv le dveloppement du programme dArmes Commande Spatiale de lArme Amricaine. Ce changement

    soudain de point de vue concide avec labsence totale de toute

    comptition venant des gouvernements trangers, et laug-mentation de la capacit des tats-Unis utiliser la surveillan-ce par satellite de faon efcace lors de campagnes militaires.Le systme pro-pos est destin

    tendre le con-trle de lespace

    bien au-del deslimites cosmi-ques de latmos-

    phre terrestre.An dempcherle dploiement

    des satellites

    des pays ennemis, le Pentagone sest bien avanc dans larecherche et le dveloppement dun programme darmes

    antisatellites.

    Le retour dun systme darmes Star Wars est voqupar le Gnral Joseph Ashly, Commandant en Chef duCommandement de lEspace des tats-Unis : Cest politi-

    quement dlicat mais cela va arriver ; nous allons nous battre

    depuis lespace et dans lespace.

    Proccupe par lventualit dune contamination nuclai-

    re de latmosphre due la destruction de satellites, lAgenceSpatiale Europenne a vivement conseill aux tats-Unis

    dutiliser lnergie solaire pour alimenter les modules de com-

    mande spatiale militaire.Sources : Karl Grossman ([email protected]), US Violates WorldLaw to Militarize Space, Earth Island Journal, hiver / printemps 1999 ; Bruce

    K. Gagnon ([email protected]), Pyramids to the Heavens, Toward

    Freedom, septembre / octobre 1999.

    Animaux en manuvrePeople for the Ethical Treatment of Animals (PETA) (Association en Faveur du Traitement thique des

    Animaux) estime que plus de 10.000 animaux, dont des poulets, des lapins et des chvres, sont utiliss cha-que anne dans des installations militaires partout dans le pays pour des stages de formation.

    Techniques de Survie apprend aux soldats chasser, tuer, cuisiner et manger les animaux apprivoiss.Transports jusquaux terrains dentranement par camion, les soldats mettent en scne lembuscade dun

    camion plein danimaux, et relchent, chassent, capturent et tuent les animaux. Ils sont supposs caresser lelapin pour le calmer, puis lassommer -mais les lapins ne meurent pas toujours du premier coup.

    Deux bases de lArme de lAir Amricaine ont utilis elles seules plus de 1.500 lapins par an pour uncot de plus de 10.000 dollars, et selon un rapport du Ministre de la Dfense datant de 1997, lArme de lAirtue plus de lapins lors de ses cours de techniques de survie que ne le fait le Ministre de la Dfense danstoutes ses structures de recherche runies.Source : DArcy Kemnitz ([email protected]), Irrational Rations : Animals Used in Military Training, The AnimalsAgenda,juillet / aot 1999.

    LA POLITIQUE DE DFENSE AMRICAINE

    CTUALITSCENSURE

    SACTUALIT

    SCENSURE

    SACTUALITSCENSURE

    ENSURE

    SACTUALIT

    SCENSURE

    SACTUALITSCENSURES

    ACTUALIT

    CTUALITSCENSURE

    SACTUALIT

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    SACTUALITSCENSURE

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    Fragilit psychologique pourlarmement nuclaire

    Des individus mentalement instables pourraient manu-

    vrer des dispositifs nuclaires amricains. Une procdurede slection sur dossier appele Programme de Fiabilit

    du Personnel (PRP), mise en place aprs un dsastre frlen 1959, est suppose garantir que seuls des individuscomptents, quilibrs et dignes de conance ont accs larsenal nuclaire de lAmrique.

    Le PRP se droule en deux tapes qui consistent en

    une slection initiale et une surveillance aprs acceptation.La slection inclue un bilan mdical superciel, un examendu dossier du candidat et une vrication de ses antc-

    dents professionnels, scolaires et personnels. Nanmoins,aucun test psychologique classique nest effectu, et unMarine expuls du PRP a dclar que le grand alcoolismeet la dpression ntaient pas pris en compte. Il est arriv

    que des individus soient toujours en possession de leur

    laissez-passer PRP alors quils taient en prison pourcondamnation pour crime. Et dans plusieurs cas, despersonnes acceptes par le PRP se sont suicides ou ont

    commis des meurtres, agressions, viols et autres crimessrieux, mettant en vidence un tat mental dsquilibr

    dans leur vie passe et prsente.Source : Ken Silverstein ([email protected]), Positive Attitude Toward NuclearWeapons Duty, Mother Jones, novembre 1998.

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    Confrenceinternationale de

    la paix la Hague :les USA rticents.

    La Confrence de lAppel la Paix de La Hague (HAP), quisest tenue aux Pays-Bas en mai

    1999, a tabli un ProgrammeGlobal pour la paix dans le

    monde au vingt et unime sicle.10.000 activistes en faveur de la

    paix, des prix Nobel de la Paixet des clbrits venus dune

    centaine de pays se sont runis

    durant 4 jours an dexprimer

    leurs suggestions sur la faonde rendre la paix internationale

    possible.

    Une campagne lance laconfrence, le Rseau dActionInternationale contre les Armes

    Portatives (IANSA), est destine encourager la lutte contre lesventes et les transports darmes.

    Se rfrant au fait que les tats-

    Unis ont vendu pour 119 milliardsde dollars darmes (quelques 45% du total mondial) de 1989

    1996, Pierre Sane dAmnes-ty International a dclar laconfrence que les Etats-Unis

    taient en train de devenir lar-

    senal du monde.

    Le Programme Global de La

    Hague appelle la reconnais-sance et au renforcement des

    dcisions de la Cour Mondialeapprouves par plus de 150pays, mais les Etats-Unis sontrticents se soumettre cette

    juridiction internationale.Un projet long terme enga-

    g la confrence est ActionGlobale pour Prvenir la Guerre.

    Son but est dtablir une coalition

    dorganisations qui construira un

    corps permanent dONG, de par-ticuliers et, ventuellement, degouvernements, pour soutenir lapaix dans le monde.Source : Robin Lloyd ([email protected]), United for Peace, Toward

    Freedom, juillet 1999.

    LA POLITIQUE DE DFENSE AMRICAINE

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    FMI et Banque Mondiale : des prts empoisonns.Le Fonds Montaire International (FMI) et la Banque Mondiale ont t les pre -

    miers contribuer aux tensions conomiques des Balkans qui ont entran ladissolution de la Yougoslavie. Des documents librs du sceau du secret depuis1984 rvlent quune directive de la Scurit Nationale des Etats-Unis, intitule La

    Politique des Etats-Unis envers la Yougoslavie, a tabli une politique de dstabili-sation du gouvernement Yougoslave.

    Au dbut des annes 1980, la Banque Mondiale et le FMI ont accord des prts lex-Yougoslavie supposs rparer la misre conomique de la rgion. Les prtsde ces deux organismes incluaient une restructuration macro-conomique sous

    mandat qui, plutt que daider, a en fait dtruit le secteur industriel et dmantelltat-providence. En 1990, le FMI et la Banque Mondiale ont dlivr une nouvelleoffre daide nancire qui ncessitait dautres rductions durables des dpen-ses par le gouvernement fdral. Limplication du FMI et de la Banque Mondialea engendr lappauvrissement de la population, qui son tour a engendr haine,

    confusion et division.Source : Michael Chossudovsky, Banking on the Balkans, THIS, juillet / ao t 1999.

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    MISE EN SCNE DE LA GUERRE DES BALKANS

    Main basse sur leptrole de la Mer Caspienne

    la suite du succs de lOTAN dans les conits militaires de Bosnie et du Kosovo, les paysmembres de lOTAN se sont vus offrir des opportunits politiques et conomiques pour participer lexploitation dimportantes ressources minires dans les Balkans.

    De plus, conformment laccord ofciellement sign ennovembre dernier par le Prsident

    Clinton et les prsidents de quatre

    pays cls de la rgion Caspienne,des socits multinationales de

    lOuest sont maintenant bien pla-

    ces pour avoir accs lindustrie

    lucrative de rafnage du ptrolequi est ncessaire en bout de pipe-line. Les voies proposes pour les

    gazoducs et les oloducs dtourneront le ptrole et le gaz de la rgion de la Mer Caspienne pourles amener vers des terminaux soit mditerranens soit dEurope de lEst pour exportation vers

    les pays de lOuest, vitant ainsi les intrts rivaux de la Russie ou de lIran.Le succs du rtablissement de la prsence militaire de lOTAN dans les Balkans a permis au

    Pentagone de raliser lun de ses buts, qui tait exprim dans un document divulgu datant de1992, savoir, garder lOTAN comme instrument principal des intrts de la scurit de lOuestet sen servir comme canal dinuence pour faciliter la participation des Etats-Unis aux affaireseuropennes.Sources : Diana Johnstone ([email protected]), The Role of Caspian Sea Oil in the Balkan Conict, Women

    Against Military Madness, novembre 1998, et Sonoma County Peace Press, avril / mai 1999 ; Sara Flounders ([email protected]), Kosovo : Its About the Mines, Because People Matter, mai / juin 1999, rdition de Workers World, 30 juillet 1998 ; PratapChatterjee ([email protected]), Caspian Pipe Dreams, The San Francisco Bay Guardian, 16 dcembre 1999.

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    LUCK bonne cole.Depuis le dbut des annes 1990, lAllemagne et les Etats-Unis ont collabor pour

    participer au dveloppement et lentranement de lArme de Libration du Kosovo(UCK) dans le but dlibr de dstabiliser un gouvernement socialiste centralis en

    Yougoslavie. Un soutien secret de larme rebelle du Kosovo a t tabli par leffortcommun de la CIA et du Bundesnachrichtendienst (BND) dAllemagne.

    Depuis le milieu des annes 1990, une poigne de fournisseurs darmement oude compagnies militaires prives du Pentagone apportent leur soutien lUCK. Lun

    de ces fournisseurs est la Sarl Military Professional Resources (MPRI), qui emploieplus de 400 personnes et a accs aux curriculum vitae de milliers de spcialistes

    militaires amricains.

    Il y a galement dissimulation de lapplication de la loi et des acti-vits militaires par des compagnies comme Dyncorp et Science

    Application International Corporation (SAIC). Lun des instruc-

    teurs de police des Nations Unies de Dyncorp a t bless

    par des soldats proindonsiens de la milice du Timor

    Est durant la vague de violence qui a balay le ter-

    ritoire aprs le rfrendum. Dautres, apportantdes services de police au Kosovo occup

    par lOTAN, ont t attaqus lafois par les groupes de miliciens

    Serbes et Albanais.Source : Wayne Madsen([email protected]),

    Mercenaries in Kosovo : The

    US Connection to the

    KLA, The Progressive,ao t 1999.

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    MISE EN SCNE DE LA GUERRE DES BALKANS

    CommentlOTAN dclan-ch la guerre deYougoslavie

    Les tats-Unis et lOTAN ont fait pres-sion pour que la guerre avec la Yougoslavieclate en demandant loccupation militaire tota-le du pays comme condition de non bombarde-ment. Belgrade na pas pu accepter lultimatum endeux temps de Rambouillet provenant des tats-Unis, nonseulement parce quil sagissait dun plan peine voil visant dtacher le Kosovo de la Serbie, mais galement parce quilcontenait des dispositions encore pires que la perte de cette pro-vince historique - des dispositions quaucun pays souverain du mondene pourrait accepter. Les mdias dominants nont pas rapport le fait quequand la Serbie a rejet le trait, elle a aussi adopt une rsolution dclarantsa volont de ngocier lautogestion du Kosovo.

    Pendant des mois, le gouvernement Serbe a propos de ngocier. Des qui-pes gouvernementales de haut niveau ont effectu de nombreux dplacements Pristina pour y tenir des entretiens avec Ibrahim Rugova et dautres Albanaisethniques non violents. Les Albanais ont refus de ngocier, de peur daller contrele mouvement rebelle montant, lArme de Libration du Kosovo (UCK), qui taithostile tout compromis et prte assassiner les tratres qui ngociaient avec lesSerbes.Sources : Jason Vest ([email protected]), The Real Rambouillet, The Village Voice, 18 mai 1999 ; Seth Ackerman,

    Redening Diplomacy, Extra, juillet / ao t 1999 et What Was the War For ?, In These Times, 8 ao t 1999 ; Diana Johnstone

    ([email protected]), Hawks and Eagles : Greater NATOies to Aid of Greater Albania, Covert Action Quarterly,

    printemps-t 1999 ; Amy Goodman (animatrice), Democracy Now, Pacica Radio Network, 23 avril 1999, www.Pacica.org.

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    MISE EN SCNE DE LA GUERRE DES BALKANS

    Le gnocide avant-guerre au Kosovo : un coup mont.

    Selon le New York Times, cest le 20 janvier 1999 qui a marqu un tour-

    nant dans la dcision de lOTAN de faire la guerre la Yougoslavie, lors -que le diplomate amricain William Walker a fait dcouvrir un groupe dereporters un soi-disant massacre par les Serbes de quelques 45 Albanais Racak, au Kosovo. Cette histoire a fait la une internationale et a t par lasuite utilise pour justier les bombardements de lOTAN.

    Le jour prcdant le massacre, la police Serbe a chang des coups defeu avec des rebelles de lUCK, ce qui a t lm par une quipe de tlvi-sion de lAP. la n de la journe, le village tait dsert. William Walker est

    arriv midi avec dautres journalistes et a exprim la presse mondialeson indignation devant un gnocide.

    Lhistoire de Walker reste douteuse. Ce qui est troublant, a remarqu lecorrespondant de guerre Renaud Girard, cest que les images lmes parles journalistes de lAP sont en totale contradiction avec les accusations de

    Walker. Par la suite, les experts lgistes Bilorusses et Finlandais nont paspu conrmer quun massacre avait effectivement eu lieu Racak.Sources : Mark Cook ([email protected]), William Walker : Man with a Mission, Covert Action Quarterly, printemps / t 1999

    ; Sam Smith ([email protected]), My Multinational Entity, Right or Wrong, The Progressive Review, juin 1999 ; Pablo Ordaz,

    Spanish police and forensic experts have not found proof of genocide in the north of Kosovo, El Pais, 23 septembre 1999.

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    Banquise radioactive.Il y a 30 ans, Amchitka, en Alaska, a t lesite de trois essais nuclaires souterrains

    importants, dont lexplosion nuclaire la pluspuissante jamais provoque par les tats-Unis. Bien que le Commissariat lnergieAtomique et le Pentagone aient afrm que les sites dessai pourraient contenir sansrisque les radiations mises par les explosions durant des milliers dannes, des recher-ches indpendantes menes par Greenpeace et les derniers documents rvls par le

    Ministre de lnergie montrent que les essais dAmchitka ont commenc fuir pratique-ment tout de suite.

    Lexplosion a rompu la crote terrestre, aspirant un ruisseau et le transformant en unaquifre tout nouveau - mais radioactif. Des lments et des gaz hautement radioactifssont sortis ots des puits dessai effondrs, ont inltr les eaux souterraines, et se sont

    frays un chemin jusquaux mares et aux ruisseaux, et jusqu la Mer de Bring.Sources : Alexander Cockburn ([email protected]) et Jeffrey St Clair ([email protected]), Aftermath of Amchitka,

    Counterpunch, t 1999, Terrain, automne 1999 ; Jeffrey St Clair, Thirty Years After : The Legacy of Americas Largest NuclearTest, In These Times, 8 ao t 1999.

    Le jeu dchecde la banque mondiale

    La Banque Mondiale nance de grandstravaux de construction de barrages, mais nefait pas grand-chose pour aider les millions

    de personnes dplaces qui sont forces de

    dmnager. Un rcent rapport du dpartement

    dvaluation des oprations de la banque mon-

    diale (OED) montre lchec de la Banque dans

    la mise en application de sa propre politique

    de repeuplement. Les donnes disponibles les

    plus rcentes indiquent que 1,9 million de per-sonnes sont dplaces par des projets du dos-

    sier actuel de la Banque, et que ces nombresne cessent daugmenter.

    Lun des plus grands problmes soulevs parles auteurs du rapport de lOED est lincapacit

    de la Banque rtablir les revenus des per-sonnes replaces. Le rapport recommande la Banque de sloigner de sa politique actuelle

    qui consiste offrir une terre en remplacementde la terre perdue cause des travaux. En ra-lit, les personnes replaces perdent la meilleu-re terre de la rgion -la terre de valle uviale-qui est remplace par la terre la pire qui soitalentours, parce que cest tout ce qui reste.Source : Lori Pottinger ([email protected]), World Banks Record

    on Resettlement Remains Troublesome, World Rivers Review,

    dcembre 1998.

    EN VRAC

    Plutoniumpour la maa russe.

    Le Non-Proliferation Trust (NPT) (Trust

    de Non Prolifration) bas Washingtonpropose que les USA vendent des dchetsnuclaires la Russie. Le plan du NPTferait de la Russie la dcharge mondialedes dchets nuclaires, incluant le pluto-nium issu des armes nuclaires. Le par-tenaire du NPT dans cette tentative estMinAtom, le Ministre lnergie Atomiquede la Russie.

    Le NPT est dirig par Daniel Murphy(ancien directeur adjoint de la CIA),Bruce Demars (ancien chef du program-me nuclaire de la Marine Amricaine) etWilliam Webster (ancien directeur de laCIA et du FBI). Bien que le NPT soit tablicomme un organisme but non lucratif,ses dirigeants sont prts tirer dnormesprots du conseil et de la sous-traitance.Sur la liste des sous-traitants potentiels setrouve Halter Marine, Gulfport, dans ltatdu Mississipi -une socit avec laquellele Snateur Amricain Trent Lott entretientdes liens troits.

    Yevgeny Adamov, le directeur deMinAtom, estime que cette opration pour-

    rait tre la plus lucrative de la Russie etrapporter 150 milliards de dollars amri-cains. On prtend aussi que MinAtom esten liaison avec des fonctionnaires dtatcorrompus et la Maa russe.Sources : Jeffrey St Clair ([email protected]), Hot

    Property, Cold Cash : The Plan to Turn Russia into the

    Worlds Nuclear Waste Dump, In These Times, 17 octobre

    1999 ; Jeffrey St Clair et Alexander Cockburn (alexan-

    der [email protected]), The MinAtom Conspiracy,

    Counterpunch, vol. 6, n 16, 16-30 septembre 1999.

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    RECHERCHE MDICALE, PROFIT

    DABORD !Les socits pharmaceutiques multinationales orientent leur recherche etleur dveloppement vers des mdicaments de grande envergure et renta-

    bles comme le Viagra au lieu de mettre au point des remdes pour soignerdes maladies qui peuvent tre mortelles dans des pays plus pauvres. Le

    Viagra a par exemple rapport plus dun milliard de dollars dans sa premireanne. Bien que les reprsentants de la Recherche Pharmaceutique et des

    Fabricants de Produits Pharmaceutiques dAmrique afrment que des fondssoient consacrs lradication des maladies tropicales, ni eux ni les entrepri-

    ses particulires ne souhaitent fournir de statistiques.La recherche sur les maladies tropicales du Tiers-Monde laisse dsirer.Un mdicament rcent et efcace pour la maladie du sommeil africaine at retir de la production, et des remdes plus anciens ne sont dsormaisplus disponibles en raison de leur inutilit aux Etats-Unis. Le SIDA quant luicontinue de recevoir la plus grande attention dans le Tiers-Monde, principale-ment parce que cette maladie reste galement une menace pour le Premier

    Monde.Depuis la publication de cette histoire, Mdecins Sans Frontires a reu lePrix Nobel et annonc le lancement dune campagne internationale destine

    accrotre laccs aux mdicaments cls.Source : Ken Silverstein ([email protected]), Millions for Viagra, Pennies for the Poor, The

    Nation, 19 juillet 1999.

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    USA : volet clossur lactualit internationale

    La couverture mdiatique des infor-mations trangres par lindustriedes mdias amricains afche unetendance la baisse continue, mal-gr le dsir vident du public am-

    ricain davoir plus dinformations

    internationales.

    Les sondages rvlent que laplupart des amricains se fient

    la tlvision pour les informa-tions nationales et internatio-

    nales. Malheureusement, la cou-verture des informations trangresassure par le rseau principal nest

    actuellement que de 7 12 % eten baisse - contraste marqu par

    rapport aux 40 % Dans la pressecrite, la couverture de ltranger estgalement en baisse sur les mar-

    chs de linformation des grandes

    rgions urbaines. Un exemple signi-

    catif est la chute de la couverturedu Star dIndianapolis qui est passede 12.954 centimtres-colonnes surune priode de 30 jours en novem-

    bre 1977 2.972 centimtres-colon-nes en 1997 - soit une diminution de77 % en deux dcennies.

    En dpit dun examen critique

    fait par le Projet pour lExcellen-

    ce dans le Journalisme et dune

    campagne soutenue mene par la

    Socit Amricaine des diteurs deJournaux, les diteurs du marchprincipal semblent continuer seconcentrer sur la production dun

    rgime journalistique constitu din-

    formations criminelles, de comm-rages sur les clbrits et de sujets

    lgers pour essayer de gagner plus

    de parts de march et une augmen-

    tation des marges bnciaires.Source : Peter Arnett (parnett348@aol), Good-bye

    World, American Journalism Review, novembre1998.

    Le peuple de Dieu

    lONUUne dlgation spciale du Vatican

    (Le Saint-Sige) tient aux Nations Uniesune place plus puissante que tout autreOrganisation Non Gouvernementale (ONG),jouissant du mme statut que la Suisse poli-tiquement neutre.

    Le Saint-Sige dclare reprsenter latotalit du peuple de Dieu, et fait la pro-motion de son programme en menaant dese retirer des 300.000 centres de soins

    mdicaux quil possde dans le monde, siles Nations Unies essaient dobliger lun deces centres offrir des services en faveurde lavortement et de la contraception. Cettemenace cre une situation de prise en otagedes pays les plus pauvres qui sen remettent lglise pour tre soulags de la pauvretet avoir accs aux services mdicaux debase.

    La campagne de changement du sige at lance pour protester contre le pouvoirdu Vatican. Frances Kissling, prsidente descatholiques en faveur du libre choix, deman-de : Pourquoi une entit ne reprsentantque 44 hectares despace de bureaux etdattractions touristiques au milieu de Rome,avec un ensemble dhabitants qui exclue lesfemmes et les enfants, devrait-elle avoir saplace la table o les gouvernements la-borent les politiques ? Si le Vatican est untat, dit-elle, alors EuroDisney mrite uneplace au Conseil de Scurit.

    Lopposition de lglise a empch lesmembres des Nations Unies responsablesdu maintien de la paix de distribuer la pilule

    du lendemain RU486 aux victimes de violsau Kosovo.Source : Laura Flanders ([email protected]), Giving the Vatican the

    Boot, Ms. Magazine, octobre / novembre 1999.

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    a radionique a t cre par le Dr Albert Abrams(1863-1924), originaire de San Francisco,sous le nom de ERA Electronic Reactions

    o Abrams [ractions lectroniques d'Abrams].Mdecin traditionnel hautement quali la carrireglorieuse et dot d'une ortune personnelle, Abramsput poursuivre ses recherches sans avoir trouverun nancement extrieur. Comme Hahnemann,

    le crateur de l'homopathie, c'tait un matre enmatire d'observation, un inlassable exprimenta-teur et un homme toujours en qute de vrit des

    qualits grce auxquel-les il t des dcouvertesqui malheureusement luiapportrent l'opprobe dela part du corps mdi-cal de l'poque. Commetoute personnalit remar-

    quable, il avait galementde grandes capacits dejugement.

    La principale dcou-verte d'Abrams ut la sui-vante : dans certainesconditions, le systmenerveux humain ragit

    l'nergie d'lments extrieurs comme par exempledes personnes porteuses d'une maladie, des chan-tillons de tissus malades, etc. Cette raction se tra-duit par un rfexe musculaire que l'on remarque enappuyant sur la paroi abdominale. De plus, Abramsdcouvrit qu'en passant une baguette de verrede part et d'autre de l'abdomen, on pouvait aussilocaliser le point de rponse. Direntes maladiesproduisent des ractions dans direntes partiesde l'abdomen, et, comme le remarqua Abrams "desmdicaments dilution homopathique peuventtre dtects et identis par le simple rfexe de

    l'estomac", suggrant ainsi une mthode unique dediagnostic.

    Puis il commena mettre au point une techni-

    NEXUS N 10 22

    UN SIGNAL VIBRATOIRE

    SUFFIT-IL POUR SOIGNERLes sciences sotriques permettent de com-

    prendre comment la radionique et lhomopathie

    peuvent transmettre des frquences dnergie

    spcifques pour parvenir la gurison.

    PO Box 93Wilmslow, Cheshire SK9 5FF,Royaume UniFax : +44 (0) 1625 549809E-mail : [email protected] : www.nicko.com

    Par Nick Franks 2000

    IntroductionDans les derniers numros de The Homoeopath, plusieurs rfrences ont t faites laradiesthsie L'article de Nicolas Biggins, "Off with the Fairies" [les fes n'existent pas](numro 73, printemps 1999), dcrit parfaitement comment il a appris utiliser le pendulepour obtenir de meilleurs rsultats Avant celui-ci, les lecteurs ont peut-tre t surpris dedcouvrir que seul Edward Whitmont pour tester son remde en caressant d'une baguettede verre l'abdomen de son patient, attendant une raction quiconfirmerait son choix (voir l'hommage de Dana Ullman, N72,hiver 1999)Depuis ses dbuts il y a environ 100 ans, la science relative-

    ment obscure de la radionique (radio + (lectro)nique) a utilisdiffrentes techniques de radiesthsie2, non seulement pourdtecter des maladies mais galement pour identifier et appli-quer les thrapies appropries Les remdes homopathiques sont beaucoup utiliss enradionique, et certaines personnalits importantes (telles que John Damonte) dans le dve-loppement actuel de l'homopathie en Grande-Bretagne pratiquaient galement la radioni-que Dans cet article, je vais donner un bref aperu de ce qu'est la radionique et de quellefaon cette technique peut aider un traitement homopathique ; j'expliquerai galement ceque sont ces remdes et comment ils fonctionnent

    Il faut analyser le normal pour pouvoir faire

    la diffrence entre le normalet l'anormal.

    Dr Ruth Drown

    L

    HISTORIQUE

    HOMOPATHIE

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    que qui consistait placer une personne (que l'onappellera "Sujet"), l'abdomen nu, en srie avec unpatient, c'est--dire reli par un cble attach auront du sujet. Il pouvait ensuite tablir un diagnos-tic en tentant de retrouver chez le sujet sain lesrponses aux maladies du patient. Abrams dcou-vrit plus tard que certaines maladies produisaient

    des ractions dans les mmes groupes de muscles,anantissant ainsi compltement sa thorie, jusqu'ce qu'il eut l'ide de placer un potentiomtre variable(c--d un contrle rotati comme le bouton volumed'une chane hi-) au milieu du cble reliant le sujetau patient. A chaque maladie correspondait uneposition de rglage dirente sur le potentiomtre,permettant ainsi de diagnostiquer une large gammede maladies.

    Puis Abrams dcouvrit qu'il pouvait parvenir

    exactement la mme chose en prlevant un chan-tillon de sang sur le patient ; puis, plus tard, qu'ilpouvait travailler distance avec l'chantillon dupatient plac ct de la ligne tlphonique; destests urent eectus des distances de plus de 800kilomtres. Puis il se rendit compte qu'il pouvait tra-vailler sans aucun lien entre lui et l'chantillon, mais une distance n'excdant pas 2 kilomtres.

    Le Dr Ruth Drown (1892-1963), chiroprac-teur installe Hollywood, avait apparemment eul'occasion de travailler dans la clinique d'Abramslorsqu'elle tait jeune et elle dcida de dvelopperses mthodes. D'aprs mes lectures, elle tait ga-lement une personne remarquable. Probablementen raison de ses succs et de son reus de marcherdroit, les institutions mdicales la perscutrent telpoint qu'il y eut procs et mme une courte peined'emprisonnement. En ait, suite au procs Drown

    de 1951, il est toujours illgal, je crois, de pratiquerla radionique aux Etats Unis.

    Drown transorma l'appareil en un systme com-

    pact qui donnait une plus grande fexibilit et unegamme plus importante. L'chantillon de sang dupatient ut plac dans un petit rcipient l'intrieurde l'appareil. Elle remplaa l'abdomen du sujet parune petite membrane en caoutchouc ; on passaitl'index sur cette membrane pendant qu'on ajustaitles potentiomtres, et quand on avait trouv le bonrglage quand l'ensemble des circuits s'quilibrait,indiquant une rsonance ou rponse au mdecin le doigt se "collait" sur la membrane 4. Ses nou-veaux concepts, comprenant des potentiomtres ensrie, permirent galement la cration de squences

    plus longues de valeurs numriques, lui permettantde dresser un tableau couvrant une grande partiedes structures du corps humain, de nombreux typesde maladies, des poisons et des toxines, ainsi queplusieurs autres acteurs incluant les acteurs mo-tionnels.

    Drown essaya de dnir des structures paraites,de mesurer le degr de dviation partir de la per-ection puis de rectier tout dsquilibre ou daut.Ainsi, de aon trs simple, elle parvint un taux de

    48 pour le oie ; cela devait tre rentr dans l'appa-reil et la dviation partir de zro teste 5. Toutelecture signicative indiquait un problme soit au

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    C'est partir de l savoir la ractionde rexe musculaire un stimulus d'unenergie extrieure, la substitution d'unchantillon prlev sur le patient pourle patient lui-mme, la cration d'unevaleur unique reprsentant une maladieou autre acteur nergtique, et la possibi-lit de travailler distance que naquit laradionique telle que nous la connaissonsaujourd'hui 3.

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    niveau du oie soit ailleurs dans le corps qui aectaitle oie. Sa mthode principale de traitement consis-tait restituer le taux "parait" au niveau de la partiemalade du patient, soit avecdes cbles, soit distance denouvelles cellules tant cres,elles taient donc saines et

    pouvaient remplacer les struc-tures malades. D'aprs lesrenseignements disponibles,elle revendiqua de nombreuxsuccs. Elle donna galementla priorit au traitement du systme endocrinien et,comme la radionique est un systme de traitementsur le plan dynamique.Ce qui est important est l'utilisation par Drownde la technique du traitement distance quelle

    que soit la distance et ce partout dans le monde dans "l'mission radionique". La prsence dupatient n'tait plus ncessaire. Soit dit en passant,le terme "mission" est descripti mais probable-ment inappropri, tant donn qu'aucune techno-logie de radio ou de tlvision n'est implique. Quelque soit le mcanisme, il ne ait aucun doute dansmon esprit que le traitement distance marche,

    Drown s'intressait galement aux recherches sotriques, notamment la cabale (ou kabbale) quientre autre essaie d'expliquer la structure sous-jacente de la ralit au moyen des relations entre les nom-bres et c'est pourquoi elle essaya de trouver un sens aux taux radioniques par le biais de l'interprtationcabalistique. Quel qu'en soit le rsultat,elle pensait ga-lement que l'nergie passait de l'univers dans le corps

    humain via le cerveau, et qu'une bonne rpartition decette nergie tait essentielle au bon onctionnement; en d'autres termes, on s'loignait de la conceptionpurement physique de la sant et de la maladie.Toutcomme Kent, infuenc par Swedenborg, dvia le centred'intrt du diagnostic homopathique vers le plan men-tal et motionnel et le royaume de la prescription toutepuissante dmatrialisant ainsi l'homopathie la lignede pense sotrique de Drown t un norme progrsgrce au travail de David Tansley et de Malcolm Rae (qui malheureusement moururent trs jeunes) 6. Ils

    accomplirent une grande partie de leur travail au Royaume Uni entre 1965 et 1985.Tansley, qui tait chiropracteur, avait tudi pendant de nombreuses annes les crits d'Alice Bailey

    LA DIMENSION SUBTILEDE LA RADIONIQUE

    qu'il s'agisse de remdes homopathiques, de tauxradioniques (du type de Drown) ou de tout autreacteur nergtique ou vibrationnel qui est considr

    comme de la radionique et quiest bnque au patient. Lasubstance elle-mme ne peuttre communique, du moins

    pas encore que je sache; sinonnous serions dans le domainede la tlportation ou transertde matire, clbre technologieutilise dans Star Trek.

    Il semblerait de nos jours que pratiquement toutpeut tre reprsent par un taux radionique, sansoublier bien sr le Materia Medica. En principe, il estmme possible de trouver des taux pour des remdesque nous n'avons pas encore ou qui sont trop dange-

    reux manipuler, comme les substances radioactives.Le systme de Malcolm Rae possde environ 24 000taux qui sont reprsents sous la orme de cartes etqui comprennent tout le systme de mridiens d'acu-poncture ainsi que de nombreux produits chimiques,mdicaments, onctions organiques de l'homme, con-cepts ayurvediques et I Ching, etc.

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    elle pensait galement que

    l'nergie passait de l'univers dansle corps humain via le cerveau, etqu'une bonne rpartition de cettenergie tait essentielle au bononctionnement ; en d'autres ter-mes, on s'loignait de la concep-tion purement physique de la santet de la maladie.

    Ce qui est important est l'utilisa-tion par Drown de la techniquedu traitement distance quelleque soit la distance et ce partoutdans le monde dans "l'mis-sion radionique".

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    (1880-1949) et s'inspira normment de ses concepts d'anatomie et de psychologie sotriques en pr-sentant un nouveau systme de diagnostic qui loignait l'analyse radionique du plan matriel des onctionsorganiques et de la pathologie en aveur d'une causalit au sein du corps nergtique (ou imperceptible)humain.

    Bailey et lanatomie subtile du corps humain.

    Le travail de Bailey7, tir de diverses tradi-

    tions orientales et intgr dans une nouvelleorme, est beaucoup trop vaste pour tenterde le dcrire ici ; c'est pourquoi je ne donne-rai ici qu'un aperu de ce qui se rapporte laradionique. J'ajouterai que, les annes passant,plusieurs de ces concepts sont devenus tout ait banals, mais l'poque o ces livres ont tcrits (1919-1949) ils devaient apparatre toutaussi obscures que les tnbres.

    Bailey proposa un modle de ralit (supr-me) comprenant sept plans nergtiques, cha-cun possdant ses ormes concomitantes de conscience. Chaque plan est compos de sept sous-plans dequalit et de nesse croissantes, le tout se ondant dans un continuum. Chacun de ces plans se maniestegalement en nous sous la orme d'un corps nergtique, comme par exemple le corps thr, le corpsastral, etc.

    En bre, le septime plan est le Physique, qui lui-mme est subdivis en physique solide, puis en liqui-des, en gaz et pour nir en quatre niveaux suprieurs de matire thrique. C'est l'nergie (prana) du planthr qui vitalise la orme physique. Tansley dclare que les "miasmes" rsident dans le corpsthrique et que lorsqu'ils sont activs par un stimulus appropri (mortel) ils vont altrerl'nergie atteignant le corps physique, avec pour rsultats ceux dcrits longuement par Hahnemann.

    (Hahnemann passa 12 ans essayer de comprendre pourquoi la maladie chronique existe, et nit par enconclure qu'il devait y avoir des troubles sous-jacents qui interraient avec la orce vitale, produisant ainsiles symptmes de maladies chroniques. Ces miasmes peuvent tre hrditaires ou acquis). Je ais gale-ment remarquer que l'nergie est rpartie dans le corps thrique grce un systme de passages appelsnadis, et on peut penser que ces derniers, leur tour, s'extriorisent en tant que systme nerveux8.

    Le sixime plan est l'Astral (ou l'Emotionnel) c'est--dire le sige des motions, du dsir et de l'illusion,et galement, avec l'Ethrique, le lieu d'origine d'un grand nombre de maladies. Le cinquime plan estle Manasique (ou Mental), le plan de l'esprit, qui va de la connaissance concrte et rationnelle au niveau

    de ses sous-plans inrieurs laconnaissance spirituelle au niveau

    de ses sous-plans suprieurs.Pour les besoins de cet article,il n'est pas ncessaire de parlerdes quatre plans suprieurs leBuddhique (Intuition), l'Atmique(Spirituel), le Monadique et leLogoque9 tant donn qu'ils ne

    sont pas concerns par la maladie. Tansley parle d'eux en employant le terme de "moi transpersonnel"(ou peut-tre "me"), et je pense que vous pouvez les considrer comme l'tre essentiel d'une personne,alors que les vhicules inrieurs sont le devenir d'une personne l'objecti le plus proond de la vie tant

    d'aligner la dtermination de l'me sur celle de la personnalit.Le point de rencontre entre le moi transpersonnel et la personnalit est l'go suprieur ou corps causal.C'est le vhicule que l'on trouve dans le plan Mental, par lequel l'individu manieste son but dans l'existence.

    "Dans un corps sain, la orce vitale spirituelle (auto-

    cratie) qui anime l'organisme matriel (dynamis), gou-verne sans aucune restriction de manire ce quenotre esprit rationnel intrieur puisse librement profterde cet instrument vivant et sain pour les plus hautsbesoins de notre existence".

    Bailey proposa un modle de ralit(suprme) comprenant sept plans nerg-tiques, chacun possdant ses ormes con-comitantes de conscience. Chaque plan estcompos de sept sous-plans de qualit et defnesse croissantes, le tout se ondant dansun continuum. Chacun de ces plans se mani-este galement en nous sous la orme d'uncorps nergtique, comme par exemple lecorps thrique, le corps astral, etc.

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    Il s'agit l'origine de riction10 rsultant du confit entre les dirents objectis du moi suprieur et du moiinrieur crant la maladie et donc la plupart 11 des maladies de l'humanit.

    Comparons ce concept avec le 9 du livre d'Hahnemann Organon : "Dans un corps sain, la orce vitalespirituelle (autocratie) qui anime l'organisme matriel (dynamis), gouverne sans aucune restriction demanire ce que notre esprit rationnel intrieur puisse librement proter de cet instrument vivant et sainpour les plus hauts besoins de notre existence".

    Sans rentrer dans les dtails, nous pouvons envisager que la radionique et l'homopathie partagent unconcept globalement similaire de la nature de la sant humaine.

    Les chakras reoivent et dispatchent lnergie.

    Ancrs dans les corps subtils se trouvent un ce