ORDRE SOUVERAIN

DU TEMPLE DE JERUSALEM

France

Septembre 2019 - Bulletin n°31

www.ostj.frostjfrance@orange.fr

Page 1 : Sommaire

Page 2 : Petite pensée du jour

Page 2 à 5 : Le mot du Grand-Maître sur la Magie Egyptienne

(sous la dictée de Feu notre Frère ROBERT N.)

Page 6 à 7 : Nouvelles des Commanderies et des Maisons duTemple

Page 7 à 11 ORMUZ, l’Abbaye d’Orval ou du Prieuré de Sion

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PENSEE DU JOUR

VIVRE AU PRESENT EST LA CLE DU BONHEUR. LOIN DES PERPETUELLES COGITATIONS DU MENTAL,QUI NOUS EMPECHENT D’APPRECIER CHAQUE INSTANT COMME IL VIENT.

SORTONS DU CYCLE HEUREUX, MALHEUREUX POUR TROUVER UN ETAT DE SERENITE ET DE BIEN-ETRE INTERIEUR, ET ENFIN REGARDER LE MONDE TEL QU’IL EST, ICI ET MAINTENANT

« LE BONHEUR QUI PROVIENT DE L’EXTERIEUR N’EST JAMAIS PROFOND. NOUS AVONS EN NOUS-MEMES LE PÖTENTIEL POUR ETRE HEUREUX, SANS CONDITION. »

LE MOT DU GRAND MAITRE

Si vous permettez mes Sœurs et mes Frères, j’aimerais aujourd’hui vous dire deux motssur la magie Egyptienne, en espérant que ceux-ci vous donneront l’envie d’y répondre

A noter que ce travail a été possible grâce aux documents que m’avaient transmis notreFrère ROBERT dans son dernier envoi

Derrière les mystérieux hiéroglyphes et les petites statuettes, se cache tout un mondeimpénétrable au profane : le monde de la magie Egyptienne. En Voici quelques clés

Dans la conscience Egyptienne de la divinité, le lien entre religion et magie est trèsétroit. Il s’agit d’un lien hautement initiatique (fondé sur la transmission des forcescosmiques de la divinité à l’homme) ou bien nettement inférieur (la divinité devient unsimple esprit, invoqué ou menacé). Le prêtre Egyptien était avant tout un magicien : ilpouvait par le geste et la parole, manipuler et canaliser des énergies subtiles. Le rôledu Pharaon, intermédiaire entre le peuple et Dieu, était également d’essence magique.La vie même de l’Egypte, sa puissance et sa liberté dépendaient, selon l’ancienneidéologie, des connaissances et des pratiques du clergé.

Dans « la maison de vie », le Temple initiatique par excellence, étaient conservés lestextes magiques et religieux considérés comme des émanations du Dieu Rè : leurfonction consistait à maintenir le Dieu en vie et à abattre tous ses ennemis.

La pyramide de Khéops, que l’on a longtemps cru être un tombeau, était sans doute uncentre d’initiation. Le néophyte (littéralement « nouveau né ») venait y vivre, après unelongue préparation fondée sur le silence, la méditation et l’isolement, une espèce dedédoublement, comparable à celui des protochrétiens, lorsqu’ils se préparaient aubaptême en restant longtemps immergés dans l’eau. Ptah affirme justement : « j’aitrouvé la magie dans mon cœur…. » Ces Ecoles de magie ont été le foyer de beaucoupde personnalités anciennes : Platon, Pythagore, Hérodote, sans parler de Moïse et deJésus lui même.

En effet, des sources assez fiables révèlent que Jésus, pendant les années qui ne sontpas relatées dans les Evangiles avait été initié et avait suivi un « apprentissage » dansplusieurs parties du Monde dont, chez les Esseniens ou les Prêtres Egyptiens,dépositaires de l’ancienne sagesse ésotérique œuvraient. Il se serait rendu ensuite surplace, en Egypte.

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L’institution des mystères en Egypte représentait une démocratisation du privilègeinitiatique. On recherchait une immortalité consciente, libre du cycle automatique de laréincarnation. Les mystères d’Isis, influencés par les courants africains etméditerranéens, faisaient partie de ce contexte : ils étaient en effet destinés à fournir àl’initié, au moyen de la symbologie des sarcophages, de l’immersion dans les eaux duNil et du démembrement, l’intégration de toutes les possibilités humaines dissociées etla réinsertion dans le courant cosmique perdu à la naissance. Isis représentait la forced’attraction qui reconstruit les personnalités dissociées, grâce à des techniquesspéciales : ce nouvel équilibre des forces permettait à l’initié d’acquérir la vraieconnaissance et le pouvoir de résurrection. Pendant l’initiation, le néophyte secouchait dans un sarcophage et plongé dans un sommeil hypnotique, sortait de soncorps : ceci permettait aux magiciens qui pratiquaient ces mystères, de fortifier leurakh, l’essence spirituelle perfectionnée et immortelle.

Les rapports que les Egyptiens entretiennent avec la divinité et la nature sontessentiellement d’essence magique. L’homme qui a traversé de dures épreuves etatteint la connaissance suprême devient alors directement connecté aux Dieux mêmes.Il est le centre de l’Univers et il peut le dominer avec l’énergie de la pensée et de laparole. Malgré les limites et les difficultés d’accès à un monde magique perdu, où semêlent des formes de pensées, des rituels et des divinités disparues, la magie esttoujours présente. Alors que l’homme religieux demande, accepte, croit, l’hommemagique veut, cherche, crée, en se servant de la connaissance pour acquérir despouvoirs surhumains. La pensée se concrétise en suivant le chemin subtil de l’analogieet du symbole : par le biais du rituel, de la parole prononcée, évocatrice, elle construitla réalité en partant de l’image.

Cela ne serait pas possible s’il n’existait d’imperceptibles correspondances entre le planmatériel et le plan subtil. En d’autres termes, sans similitude il n’y aurait pas de magie,comme cela apparaît dans les sept lois de Thoth Hermès, texte fondamental de la magieancienne et moderne, gravé sur des Tables d’Emeraude et retrouvé, d’après la tradition,en Egypte même. Voici ce que nous rapporte ce texte : « le tout est esprit, l’univers estle Mental. Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, ce qui est en bas est commece qui est en haut. Rien n’est immobile. Tout bouge, tout vibre. Tout est double : chaquechose possède deux pôles, deux extrêmes. Ce qui est pareil et ce qui est différent ont lamême signification. Les pôles opposés ont une même nature mais différents degrés. Lesextrêmes se touchent. Toutes les vérités ne sont que des demi-vérités. Tous lesparadoxes peuvent se concilier. Tout passe à l’intérieur et à l’extérieur Chaque chose asa durée, tout évolue, puis dégénère. L’oscillation de la pendule se manifeste en toutechose. L’ampleur de l’oscillation à droite correspond à l’ampleur de l’oscillation àgauche. Le rythme est constant. Chaque chose à un effet, chaque effet est déterminépar une cause. Chaque chose se déroule selon la loi.

Le sort n’est qu’une appellation d’une loi que l’on n’a pas comprise. Il existe denombreux aspects de la causalité, mais aucun d’eux n’échappe à la loi. Toute chose à ungenre, toute chose possède des éléments masculins et féminins. Le genre se manifesteà tous les niveaux. Il existe une correspondance entre l’élément solide, concret etl’élément subtil. On ne peut donc nier, à la lumière de ce texte, la contributionégyptienne à l’alchimie et à l’occultisme occidental.

Selon une maxime égyptienne, Ré créa la magie pour défendre les hommes du mauvaissort. Les Egyptiens considéraient que leur monde était peuplé de forces dont il fallaitgagner les faveurs.

La maladie, la folie, la mort sont provoquées par des entités maléfiques, les bai que l’oncherche à anéantir. Un univers dynamique, imprégné d’énergie active, est le lieud’action d’un grand protagoniste : l’homme.

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Cette énergie, appelée héka, envahit surtout le corps des dieux. La divinité représenteun champs de force, un tourbillon que l’homme, cependant, peut devancer et vaincrepar la puissance de son savoir. La demande d’aide, les louanges, sont souventremplacées par une affirmation de la présence et de l’action divine mais même si celaparaît insuffisant, l’homme arrive à affirmer ouvertement et pleinement sa suprématie.Il va jusqu’à menacer les dieux de leur faire subir le même mauvais sort qu’eux, s’ils nerespectent pas la volonté de l’opérateur.

Ainsi les buts de la magie en Egypte apparaissent clairement pouvoir sur les choses,victoire sur les dieux, garantie d’une vie éternelle et heureuse dans l’au-delà.Cependant même en Egypte, malgré la définition de magie en tant qu’interventionactive de l’homme sur le cosmos, le corpus des finalités, des méthodes et destechniques est partagé par une ligne de séparation parfois un peu floue.

Il existe une magie théurgique, entièrement fondée sur l’évocation et le pouvoir du sonet il existe une magie naturelle, fondée sur des philtres, des rituels, des amulettes,selon le principe primordial de la similitude et du contact. Il existe une magie solaired’initiation visant uniquement la connaissance suprême et l’évolution de l’esprit. Ilexiste également une magie plus terrestre qui en passant par des nuances progressivespeut atteindre le « noir ». Celle-ci à pour but de satisfaire les besoins et les passions del’homme commun : santé, pouvoir, richesse….. Amour.

Une magie fondée sur l’autodomination et sur les techniques de l’extase et du silenceressemble dans sa substance aux techniques du yoga et du zen. On peut égalementrajouter une magie tantrique qui célèbre le culte de la fée cosmique Hathor, Une magiede la transformation, l’alchimie qui, en utilisant des procédés particuliers, tels que laputréfaction, la digestion, la transmutation produit le roi des métaux, l’or à partir duplus vil d’entre eux, le plomb en purifiant progressivement ses composants. Il sembleque l’alchimie égyptienne s’occupait surtout de fabriquer une poudre noire, symbolemystique du corps d’Osiris, dotée de vertus magique et de pouvoirs sur tous lesmétaux. Le terme même d’alchimie de l’arabe al-kimia, semble dériver de khemeia, l’artde la poudre noire, issue à son tour de khemit, le nom égyptien de l’Egypte ancienne.Les anciennes lois égyptiennes de la magie existent encore. Elles nous permettent decomprendre et d’interpréter les règles de l’univers, de les seconder, de les dévier, de lesannuler.

Le rituel magique égyptien se déroule selon deux axes principaux : l’image et la parole.L’image parfois renforcée par un objet ou un fragment du corps de la personne surlaquelle on veut agir, imite le traditionnel voult, ou image de cire baptisée avec de l’eaubénite, que presque tout le monde connaît sous le terme général de sortilège.

Les deux sortes de sortilèges qui utilisent le plus souvent le support de l’image sont lessortilèges d’Amour et sortilèges de Mort : tous les deux sont des moyens magiques trèsforts, très durs et dangereux : en effet leur pouvoir, coercitif ou destructif selon le cas,agit directement sur le corps subtil et l’objet et peut se retourner contre l’opérateur enentraînant de très graves conséquences. Dans l’Egypte antique, la magie du voult avaitun caractère essentiellement religieux et exécrant : on brûlait l’image d’Apopi, lemonstre dévoreur de Ré, sur un feu d’herbes, en mélangeant les restes à desexcréments. On déchiquetait et torturait les simulacres de l’ennemi au moyen d’objetspointus et de couteaux, on crachait sur eux, on les piétinait ou bien on les enterraitdans des tombes, afin que les cadavres qui s’y trouvaient, en se putréfiant lescontaminent. En outre, pour que l’œuvre magique fut efficace, il fallait absolumentgraver le nom de la personne ensorcelée sur son corps.

Cependant, l’image peut également être utilisée à des fins positives : un exempleintéressant est celui de l’œuf en argile, considéré comme un symbole de vie et de

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fécondité et utilisé comme corps subsidiaire, pour obtenir des effets thérapeutiques oubénéfiques. Le corps subsidiaire n’était pas un sortilège ni une image de l’ennemi, maisplutôt une aide magique catalysant la volonté du magicien. Parfois au lieu des imagesen cire ou en argile, on utilisait des poissons enveloppés dans du papyrus où étaitinscrit le but de l’opération et le nom de la personne concernée.

Bien que l’on se servit volontiers d’images, d’amulettes, de philtres, de potionsmagiques et d’autres objets, le pivot de la magie était en Egypte, le nom, la formule. Leson en tant que vibration et énergie peut agir sur le plan subtil et sur le plan matériel,composés d’atomes chargés positivement où négativement, associés de façonirrégulière mais dotés d’une force intrinsèque.

On dit qu’au moyen du son les anciens prêtres pouvaient soulever de très lourdespierres, ensorceler et même tuer. Le son séduit le serpent, envoûte le fauve, excite ouendort. La force magique du mantra permet au sadhu indien de s’élèver du sol ou dematérialiser des objets. Le son est un support pour l’opérateur. Il guide les formes de sapensée dans la bonne direction. Dans le domaine de la magie, il existe des motsétranges, mystérieux, appelés « mots de puissance » car ils possèdent le pouvoir delibérer les énergies nécessaires à l’accomplissement de l’acte magique. Ce sont desmots qui guérissent, ressuscitent, donnent l’immortalité, animent ce qui est inanimé oùcontribuent à la connaissance de l’avenir.

Des mots perdus, incompréhensibles et intraduisibles. Des mots qui ne répondent pason ne les prononce pas d’une certaine façon, avec une certaine prononciation et unecertaine intonation. Des mots introuvables pour nous. C’est peut être la raison pourlaquelle l’homme contemporain ne connaît plus les dieux et que les dieux ne luiobéissent plus.

Hypothèses, peut être, diront certains ou fruit de l’imagination : pourtant tous lestextes anciens de quelques origines qu’ils soient témoignent de l’existence de faitsmagiques inimaginables comme s’il s’agissait de faits banals et quotidiens. Ceciexplique l’importance du nom dans l’antiquité. Manipuler le nom signifie s’emparer del’essence de son propriétaire. Celui qui révèle son nom devient vulnérable : celui quiconnaît le nom d’un démon où d’un dieu peut l’obliger à suivre sa volonté. Le sontransforme l’image en réalité, il est créateur, faiseur de vie. Celui qui possède le nom vitéternellement, jusqu’au moment où le nom est détruit : mais lorsque le nom est maudit,il n’y a plus de salut.

En Egypte il existait des rituels particuliers pour faire éclore et fleurir le nom et d’autrespour le faire disparaître, l’effacer. Le nom est indispensable pour vivre : pour que l’êtrepuisse continuer d’exister après la mort et participer au jugement dernier, il faut que lenom soit connu et prononcé par les hommes sur terre, et par les dieux dans l’au-delà.

La parole magique a un rôle très important dans l’au-delà, car elle représente uneréserve et une aide contre les dangers : il suffit de l’écrire, de la graver, pour qu’elleproduise un effet. Sous cette lumière, le Livre des Morts peut être considéré comme unesérie de paroles magiques dotées d’un pouvoir intrinsèque, de même que la Bible ou leCoran pour les cabalistes.

Thoth et Isis furent les créateurs de la parole magique : ils l’identifièrent à laconnaissance et s’en servirent pour aider et sauver de façon magique d’autres divinités,en les ressuscitant.

Cette foi dans le pouvoir du son et de la formule était tellement forte en Egypte, que lesaspirants à la magie, avec la permission du Pharaon, se promenaient dans lescimetières et essayaient de trouver des formulaires d’anciens magiciens enterrés aveceux. Ou alors, ils essayaient de contacter, selon différentes techniques, les esprits des

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trépassés ou des dispensateurs de formules magiques. La Maison de Vie était l’école laplus recherchée : c’était une sorte d’université obligatoire pour ceux qui voulait s’initierà la haute magie. C’est dans son enceinte que l’on prononçait plusieurs fois par jour lesformules permettant à l’Egypte de rester toujours forte et victorieuse.

Cette Maison se composait d’un édifice sans plafond, de façon à donner libre accès auSoleil, donneur de vie et de connaissance. Seul le sancta sanctorum central, réceptacledu grand secret, connu uniquement Par le grand Prêtre était protégé par des branches.Le respect du secret qui accompagne toutes les pratiques magiques et occultes, estfondamental. Révéler les choses secrètes signifie leur ôter de l’importance et les priverde leur valeur et, par conséquent, les perdre.

Mais ce n’est pas tout. En Egypte le papyrus Salt 825 affirme que celui qui révèle àautrui les secrets les plus importants meurt de façon subite et par étouffement : lemouvement cosmique doit se faire en silence, sans difficulté. Les prototypes desamulettes et des textes sacrés étaient conservés dans la Maison de Vie. Les premiersformulaires magiques écrits sont les textes des pyramides, adressés à l’immortalité duPharaon (ancien empire) : ensuite nous trouvons le livre des Deux Voies, destiné àsurmonter les dangers de l’éternité (moyen empire) et le Livre des Enfers, qui décrit levoyage dans l’au-delà, accompli chaque nuit par Ré, et sa renaissance à l’aube, dans leventre de Nout, la grande initiatrice : c’est un livre qui offre au lecteur la connaissancedont il à besoin pour atteindre son but.

Par conséquent et pour finir, je dirais que le mot « connaissance » en Egypte commedans l’ére du Verseau, est toujours la clé pour ouvrir toutes les portes. Le Livre desMorts, enfin est un recueil de formules et de sortilèges permettant d’affronter lesobstacles et les épreuves que rencontrent non seulement les morts, mais aussi lesvivants : il était donc très utilisé dans toutes les opérations de magie égyptiennes.

NOUVELLES DES COMMANDERIES ET DES MAISONS DU TEMPLE DE L’OSTJ France

Mes Sœurs et mes Frères,

Voici un compte rendu des événements survenus au sein de l’OSTJ France au cours de cet été

o Invites par notre Frère PIERRE MAJORAL par ailleurs Chancelier Magistral de l’OSTJ France nous nous sommes rendus en délégation dans les Pyrénées Orientales du 26

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au 30 juin 2019 afin d’assister aux Manifestations Médiévales organisées par notre Frère Bruno PARENT Chevalier et Commandeur de la Maison du Temple de Catalogne et par son Ami LUC, homme ayant lui aussi des qualités de cœur remarquables.

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Lors de cette manifestation festive et médiévale, que nous avions déjà eu l’occasionde visiter l’année passée pour leur première édition accompagné d’une importantedélégation de notre Commanderie « A LA LUMIERE DE L’AUBE » dirigé par sonCommandeur notre Frère Chevalier André BESNARD, nous avons eu l’occasion et leplaisir de rencontrer de belles personnes conscientes de l’importance de notreHistoire, de nos Origines et de notre devoir de transmissions.

Toujours concernant cette Commanderie, nous avons eu le Bonheur d’apprendre le mariage denotre adorable Sœur MARIE-LAURE avec son compagnon MIKE

Au nom de l’Ordre Souverain du Temple de Jérusalem au grand complet, Nous leur souhaitons nosMEILLEURS VŒUX DE BONHEUR ET DE SANTE.

Au début Juillet, nous avons été reçu par notre Frère et Ami JANSEN Emile, Commandeur de laMaison du Temple du Plateau du Larzac, une terre forte d’Histoire, qui envisage trèsprochainement de créer une Commanderie Traditionnelle dans un lieu à définir compte tenu del’étendu du dit Plateau, et de la multitude des sites ayant appartenus à l’Ordre du Temple.

Il nous a servi de guide dans les principaux lieux Templiers du Larzac, La Couvertoirade, Sainte-Eulalie de Cernon, la Cavalerie, le Viala du Pas de Jaux et Saint Jean d’Alcas et encore une fois, nousle remercions

Début Aout, après Nous être rendu aux Saintes Maries de la Mer, à l’invitation de notre SœurCARMEN LOPEZ, il a été décidé la création de la Maison du Temple située en Camargue, dont lenom reste à définir, mais elle devrait s’intituler : SARA LA KALI.

Notre Frère Alain LE QUERE Commandeur de la Maison du Temple Région BRETAGNE et COTED’ARMOR, retenu par des obligations tant professionnelles que profanes, nous rassure sur lesrecherches effectuées en Terre de Bretagne sur les origines bretonnes de la « VIERGE MARIE ».Légende ou réalité ou légende et réalité ? Courage mon Frère et Ami prends ton temps !!!

Nos Frères MEYER Joseph, et Wolfgang SWARST respectivement Commandeurs des Maisons duTemple de la Région d’Alsace-Lorraine et de la Forêt Noire, en vacances en Italie, au pied de la

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Principauté de Séborga nous ont reçus dans leurs lieux de résidence et nous avons longuement pucomparer les rituels en France et en Allemagne. Là aussi de nombreux échanges empruntsd’amours et de fraternité.

Après ces très bonnes nouvelles, il nous reste, Mes Sœurs et mes Frères à vous annoncer unetriste nouvelle,

Notre Frère ROBERT N. Haut Dignitaire, occupant les fonctions de Grand Archiviste a été rappeléauprès des hautes instances Divines. Du Grand Créateur de notre Monde, Il nous manquera. Sagentillesse, son humilité, son engagement au sein de notre Ordre, les documents de grandesvaleurs qu’il nous a transmis dont la plupart proviennent de son enracinement au sein de diversOrdres des Gens du Voyage alimenteront encore longtemps nos Bulletins.

ROBERT MERCI POUR TOUT, TU SERAS TOUJOURS DANS NOS CŒURS ET NOUS SAVONS QUE DE LAHAUT, TU NOUS AIDERAS TOUJOURS A ATTEINDRE NOTRE BUT SUR LES CHEMINS TANTCULTURELS QUE SPIRITUELS

ORMUZ, l’abbaye d’Orval ou du Prieuré de Sion

Tracet présenté par notre Frère Chevalier JEAN LUC W

Commandeur du

« Cercle de l’Obsidienne d’Isis »

Et Frère Jean « Chevalier de Bois le Comte »

De la Commanderie « A LA LUMIERE DE L’AUBE »

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L’on peut dire sans se tromper que ce lieu fait partie des plus hauts lieux spirituelsdu Moyen-Âge. Il se trouve dans l’actuelle Belgique.

C’est au XIIe siècle et sur la demande de Bernard de Clairvaux qu’elle fut fondée.

Durant environ neuf cents années d’existence, elle a reçu un grand nombre devisiteurs et, notamment, parmi les plus prestigieux puisque Michel de Notre-Dame(Nostradamus) et Saint Malachie en ont fait partie. Ces deux prophètes, l’un commel’autre, très célèbres y ont séjourné assez longuement. Cette abbaye mystérieuse sembleêtre le centre de bien des mystères. Il est tout à fait possible de penser que ce lieu fut uneplaque tournante primordiale à y voir les initiés de très haut rang qui y sont venus pour desraisons qui ne sont pas toujours bien claires, et aussi, il ne faut pas l’ignorer non plus, pours’y réfugier.

C’est en l’an 1070 qu’une toute petite communauté d’immigrés et de moines venusd’Italie y sont venus, environ une quarantaine, pour établir un petit couvent très modesteaffublé d’une église dans le Comté de Chiny, à environ vingt-cinq kilomètres de Stenay.Cette terre était une donation de Madame de Bouillon, Duchesse Mathilde.

Cette petite communauté avait un comportement très étrange, en ce sens qu’ilsétaient des adeptes de la pensée d’un homme dont le nom était Ursus. D’une manière trèssecrète, ils suivaient l’enseignement spirituel et ésotérique de Saint Jean. Ce petit “ club ”s’identifiait lui-même sous le nom du “ Cercle de Hiéron ”. Leur pratique était fort loind’être orthodoxe à une époque où toute pensée dissidente à celle de l’Eglise Romaineétait, d’une façon ou d’une autre, criminellement hérétique. Laquelle Église Romaine lescondamna immédiatement, bien entendu, à la “ Damnatio Memoriae ”. Cette damnatiomemoriae était une procédure cruelle qui consistait à effacer absolument toute trace demémoire, quelle qu’en soit la nature, de ce qui n’est pas acceptable par l’Église Romaine.Cette façon de faire était déjà connue puisque dans la Rome antique, elle était utilisée et,bien avait elle, dans l’Égypte antique aussi. La damnatio memoriae est une condamnationsans appel à effacer toute forme de mémoire de façon post mortem. On condamnait àl’oubli définitif en faisant en sorte que plus jamais il ne puisse être possible d’en retrouverune trace quelconque. Le Vatican utilisa bien plus d’une fois cette condamnation, nonseulement en ce qui concerne l’abbaye d’Orval, mais aussi en ce qui concerne l’Ordre duTemple, tout comme une femme parvenue à se faire élire pape et qui se prénommaitJeanne. Les vierges noires en ont fait aussi les frais. Et c’est justement parce que l’abbayed’Orval et son histoire a subi une telle condamnation qu’il est très difficile de retrouver sonexistence. Très difficile, sans aucun doute, mais pas impossible.

En 1076, la Dame de Stenay, ou Mathilde, Marquise de Toscane, et l’épouse deGodefroi le Bossu, duc de la basse Lotharingie (ou basse-Lorraine), était la tante, puis lamère adoptive d’un Godefroi de Boulogne, dit Godefroi de Bouillon, celui-là même qui, unpeu plus tard, fut élu roi de Jérusalem. Si ce n’est qu’un détail, il est très intéressant etimportant pour toute personne d’esprit templier.

Elle venait de se retrouver veuve, son mari tué par des tueurs à gage, alors qu’à sontour son fils venait d’avoir un accident sur un lac gelé. C’est à la suite de cette tragédie

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qu’elle prit la décision, on le suppose, de se retirer du siècle (se retirer du monde) pouraller se réfugier auprès de ces moines italiens regroupés autour d’un ermite répondant aunom d’Ursus.

La légende raconte qu’un jour, en se promenant près d’une rivière et à la suite d’ungeste brusque et maladroit, son alliance glissa de son doigt pour venir tomber dans l’eau.La Dame se mit aussitôt à prier, prise dans la douleur de la perte de cet anneau si cher àson cœur. Elle pria si fort la Vierge que son vœu fut exaucé sous la forme d’un poisson quilui rapporta son anneau du fond de la rivière. En reprenant possession de son anneau, ellese serait écriée “ Voici l’Or que je cherchais. Heureuse soit la vallée qui me l’a rendu. Quedésormais elle s’appelle le Val de l’Or ”.

Et c’est à partir de ce moment que le nom de ce lieu est devenu Orval et que sur sesarmoiries, un poisson surmonté d’un anneau d’or s’y trouve.

Mais qu’est-ce que ces moines italiens étaient venus chercher à Orval ?

En dépit de cet acharnement quelque peu rageur, l’Église Romaine n’est pasparvenue à tout effacer. D’autant moins qu’il n’est pas possible d’effacer ce qui setransmet très secrètement, justement pour éviter ce genre de condamnation. En effet,quelques documents retrouvés dans des endroits secrets, à l’intérieur de quelquescouvents, attendaient l’heure de refaire surface pour enseigner et former un ermiterépondant au nom de Pierre, dans la forêt des Ardennes, lequel prit en charge un peu plustard la formation du jeune Godefroi de Boulogne, ou Godefroi de Bouillon.

Pourquoi lui et pas un autre ?

Tout simplement parce qu’il était le dernier représentant d’une lignée royale, celle demérovingiens, détentrice de biens des secrets pouvant mettre à mal l’Église Romaine,raison pour laquelle cette même Église cessa de protéger cette lignée mérovingienne etaida à la détrôner au profit des carolingiens.

Et puis, assez soudainement, Pierre l’ermite et les moines disparurent sans laisser detrace, ni que l’on sache pourquoi, mais on peut très bien s’imaginer que ce fut pour s’enaller rejoindre la Terre-Sainte. On ne peut que se l’imaginer car la plus grande partie desdocuments qui nous font défauts ont été brulés lors de la révolution française, par lesrévolutionnaires. Il est beaucoup plus que probable que ces documents auraient pu nousen apprendre beaucoup plus sur les origines de l’Ordre du Temple, ainsi que les raisons desa création.

Néanmoins, tous les documents non pas été détruits par le feu et quelques-uns ontété sauvés. Grâce à eux, il semble bien que l’Ordre du Temple se soit créé grâce à la fusionde deux communautés Johannites (qui pratique l’enseignement de Saint Jean) d’origineméditerranéenne, dont l’une des deux passa par Orval.

C’est vers 1131-1132 que cette abbaye d’Orval commença à prendre une certaineimportance avec l’arrivée des moines cisterciens venant de l’abbaye de Cîteaux en partie,et de celle des Trois-Fontaines en plus grosse partie. Ces moines accompagnaient un abbéqui deviendra très célèbre et passa dans la postérité, puisqu’il s’agit de Bernard deClairvaux qui fit tant pour l’Ordre du Temple. L’oncle de Bernard de Clairvaux était Andréde Montbard, l’un des neufs chevaliers originels et l’un de ceux qui furent Grand-Maître del’Ordre du Temple.

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Nous sommes en 1099 et c’est la victoire de cette première croisade lancée troisannées plus tôt à Clermont par le pape Urbain II. Jérusalem est aux mains des croisés etGodefroi de Bouillon se voit offrir en remerciement le royaume de Jérusalem. Un certainnombre d’hommes se rassemblent sous la forme d’une sorte de conclave et dont le chefest un calabrais, tout comme les moines d’Orval. Godefroi de Bouillon, qui était un hommetrès puissant mais resté fort simple, refusa ce trône pour n’accepter que le titre dedéfenseur du Saint-Sépulcre. Le titre de roi de Jérusalem fut accepté par son frèreBaudouin II, après la mort de Godefroi de Bouillon en 1100. Et c’est à sa demande que, surle mont Sion, fut construite une abbaye qui abritera l’Ordre éponyme, c’est-à-dire l’Ordredu Prieuré de Sion.

Cet Ordre est le gardien et le garant de certains secrets puissants. Godefroi deBouillon, dernier de la lignée des mérovingiens, serait aussi un descendant de la lignée duroi David et de la tribu des Benjamins.

Serait-ce la raison originelle de la revenue en Terre-Sainte de cette lignée,accompagnée des moines soldats que l’on ne tarda plus à nommer les “ BlancsManteaux ”.

Lorsqu’ils y revinrent, on leurs octroya pour s’établir les anciennes écuries du palaisdu roi Salomon, non loin du Temple de Salomon dont il ne subsistait plus que des ruines, etqui n’était rien d’autre que le Temple du roi Hérode avant d’être celui de Salomon. Cetendroit se situe, actuellement, juste à côté de la mosquée al-Aqsa.

Lors de son premier voyage en Terre-Sainte, et à l’occasion de la construction del’église Sainte Marie dans la vallée de Josaphat, Godefroi de Bouillon fit la connaissance dequelques religieux appartenant à une secte, celle des “ Sages de la Lumière ”. Ormus (ouOrmessius) était un prêtre séraphique qui avait été converti au christianisme par SaintMarc, à Alexandrie en 46.

Un enseignement traditionnel ésotérique s’était créé en Égypte, au sein duquel leségyptiens, les juifs, les arabes, les perses, les esséniens, des mages et des prophètes seretrouvaient. Ils avaient pour emblème une croix rouge. Il est probable que cettecommunauté ait existé encore bien avant et soit peut-être à l’origine des manuscrits de lamer Morte, ou les manuscrits de Qumram, et que Jésus ait pu avoir connaissance de cesmanuscrits qui auraient peut-être encore, influencé son enseignement.

Les neufs chevaliers originels, dont Godefroi de Bouillon avant eux, ont eu à cœurd’apprendre à bien connaître les “ Sages de la Lumière ” et d’apprendre d’eux. Leurenseignement était issu de l’enseignement traditionnel égyptien, essénien, juif, et plusencore. Et c’est bien là que le mot religion prend tout son sens (religere en latin) et quisignifie “ relier ”. Les Sages de la Lumière étaient ouverts à toutes les formesd’enseignements et de traditions, quelle qu’en soit la forme et la direction, ce que l’apôtreJean a continué de professer, au contraire de ce que l’apôtre Pierre a fait.

Lorsque Jésus professait autour du lac de Tibériade, était-ce pour abandonner lesvieux carcans et réunir les enseignements spirituels permettant de s’affranchir de toutereligion, ce que l’apôtre Jean a tenté de continuer après lui ?

Et quant à l’Ordre si discret du Prieuré de Sion, ou d’Ormuz, dans son domainespirituel, son but est-il d’être le gardien de cet enseignement, en attendant le jour où il

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pourra de nouveau être professé parmi le plus grand nombre, sans les diktats de quelquesreligieux et autres politiciens en mal de domination du monde ?

Son influence doit forcément être suffisante pour avoir provoqué la création del’Ordre du Temple, poussé les papes à forcer les croisades, derrières lesquelles croisadespouvaient se cacher un tout petit nombre dans le but de créer une unité mondiale,humaniste et spirituelle, aidé des grands du monde tels que des rois, des reines, des ducset toute la noblesse, dont la chevalerie franque en était le fer de lance. Cet Ordre était toutà fait conscient de sa ligné davidique. Parmi leurs ancêtres se trouvaient Hugues de Razèset Isabelle de Rhedae (Rhedae = Rennes-le-Château qui se trouve sur le Comté de Razès).

Pour mettre ce plan à exécution, et avec l’aide d’Hugues de Payns, premier desChevaliers de l’Ordre du Temple et premier Grand-Maître qui épouse une Saint-Clair (dontla lignée est davidique elle aussi), pour mettre son épée, selon la tradition, au Service d’unésotérisme initiatique libérateur.

Godefroi de Bouillon est mort d’une flèche en 1100 durant le siège de Saint Jeand’Acre, selon l’Église Romaine, mais aurait plutôt été empoisonné selon les arabes qui,quant à eux, étaient bel et bien sur place. Encore une fois l’infernale damnatio memoriaedu Vatican permet d’afficher une mort glorieuse à un homme qui ne cherchaitcertainement pas à la défendre, ce qui lui permet de ramener dans son giron lesdissidents.

Durant approximativement quatre-vingts ans, l’Ordre du Temple et l’Ordre du Prieuréde Sion évoluèrent côte à côte et eurent communément les mêmes Grands-Maîtres. C’esten 1188 que l’Ordre du Prieuré de Sion a ajouté à son nom celui d’Ormuz, ou d’Ormesius.

Par la suite, la perte de Jérusalem est entièrement due à L’un de ses derniers Grands-Maîtres, Gérard de Ridefort, honteux personnage ayant mené à sa perte l’Ordre du Templetout en ayant provoqué la mort de bien de ses moines soldats, pour ne faire qu’assouvirune vengeance tout à fait personnelle.

L’Ordre du Prieuré de Sion a dû quitter la Terre-Sainte pour revenir en France. Il estprobable que ce soit à partir de ce retour en France qu’il y a pu avoir comme uneséparation entre l’Ordre du Temple et lui, sauf si les deux travaillent toujours de concertmais le font si discrètement qu’il n’est pas possible d’en dire plus long.

En définitive et ce qu’il faut comprendre, c’est que d’une façon globale, l’Ordre duTemple est formé de deux cercles, un extérieur et un autre beaucoup plus discret etintérieur. L’extérieur est, d’une certaine façon, un peu le bras armé de l’intérieur, lequelest le porte-drapeau d’un courant gnostique pour lequel l’Église Romaine a tout mis enœuvre pour le faire disparaître.

Les neuf premières années durant lesquelles les neuf premiers chevaliers originels sesont trouvés en Terre-Sainte, nos anciens aux Blancs-Manteaux ont mis à jour desdocuments pouvant attester la continuation de la lignée de David, comme celle deBenjamin, ce qui implique nécessairement que Jésus a été uni à une femme qui lui a donnéun ou plusieurs enfants. Il était donc totalement faux de le diviniser, de faire de sacompagne une prostituée, et de dire de lui qu’il est le fils de Dieu alors qu’il est celui del’homme, tout simplement. Un tel procédé démontre tout simplement que cette Égliseenseigne le mensonge plutôt que Dieu.

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Sa compagne, elle aussi était de lignée royale et, grâce à elle, lui permettait deréunir les douze tribus, ce qui invalidait la pérennité romaine en Palestine et devenaitdangereuse politiquement parlant, pour l’envahisseur, mais aussi peut-être autant pour lesprêtres lévites. Jésus ainsi uni à Mariamne Mygdal-Eder devenait le roi-prêtre, dominant depar son titre absolument tous les autres et méritant le titre de Iesus Nazarenus RexIudaeorum (INRI), ou encore Jésus Roi des Juifs. Ce qui sous-entend que la lignée desmérovingiens descendait sans aucun doute des benjamites.

L’on comprend à quel point il devenait incontournable, pour l’Église Romaine, de touttenter pour détruire l’Ordre du Temple et l’Ordre du Prieuré de Sion, ce qu’elle n’est pasvraiment parvenue à faire puisqu’on en entend encore parler. Non compté le fait qu’il n’y aqu’elle pour prétendre que c’est bien Jésus qui s’est trouvé sur la croix et non un autre.Une telle affirmation lui permettait librement de diviniser Jésus tout en mettant fin à sonrègne, même si ce n’est pas lui qui s’est retrouvé crucifié.

Quid de la vérité ?

La route est encore longue mais personne ne nous a jamais dit qu’elle ne connaitraitpas la fin.

Tels les Sages de la Lumière, avançons, continuons, faisons-nous confiance au seinde la fraternité blanche.

Pour celles et ceux qui ont des oreilles pour entendre et des yeux pour voir.

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