pacifica annonce le lancement de son contrat d’assurance des prairies en partenariat avec airbus...

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L’ASSURANCE DES PRAIRIES une démarche innovante pour la protection du revenu des éleveurs Point presse 18 mai 2015

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L’ASSURANCE DES PRAIRIES une démarche innovante

pour la protection du revenu des éleveurs

Point presse 18 mai 2015

L’ enjeu : protéger la production fourragère Pour les éleveurs : assurer la ration alimentaire de leur troupeau Pour les Pouvoirs publics : trouver une solution de protection adaptée et efficace

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Pacifica et Airbus Defence and Space : l’alliance de deux experts français Crédit Agricole : 1er partenaire financier de l’agriculture française Pacifica : un acteur dynamique et innovant de l’assurance agricole Airbus Defence and Space : un expert de la technologie satellitaire engagé en faveur

des problématiques agricoles Airbus Defence and Space : un accès à une constellation unique des satellites Airbus Defence and Space : une expertise reconnue de longue date dans le monde

agricole

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L’assurance des prairies, une démarche innovante pour protéger les revenus des éleveurs La création d’un nouvel indice : de l’image satellite à l’Indice de production

fourragère (IPF) Une offre Pacifica désormais disponible pour tous les éleveurs Une technologie au service de l’agriculture

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DOSSIER DE PRESSE MAI 2015

L’ENJEU : PROTÉGER LA PRODUCTION FOURRAGÈRE

3 DOSSIER DE PRESSE MAI 2015

POUR LES ÉLEVEURS : ASSURER LA RATION ALIMENTAIRE DE LEUR TROUPEAU

Les prairies représentent environ :

40% de la surface agricole utile française et sont au cœur de l’économie de l’élevage

La production herbagère est très sensible aux aléas climatiques. Une baisse de 30 % de fourrages peut représenter :

-18% de marge brute (enquête Institut de l’élevage 2000-2009),

-50 % du revenu pour l’exploitation,

4 DOSSIER DE PRESSE MAI 2015

Présentateur
Commentaires de présentation
Soit une SAU de 10 à 12 Mha (si l’on intègre les alpages, landes et parcours) A la base du fonctionnement du secteur laitier (Produit brut de 9 MdE) et viande bovine (Produit brut de 8,6 Md€) Enquête institut de l’Elevage sur différents systèmes types. Ce résultat s’applique pour un système dit « à l’herbe ». L’étude menée par le labo Céréopa d’AgrOParisTech a été faite sur l’outil PERFAGRO, outil de simulation d’un système d’élevage, qui permet de mesurer l’effet d’un paramètre (ici la production d’herbe) sur l’ensemble des indicateurs de l’exploitation Peut être reprendre le propos tenu lors de la conférence Agriculture et climat en février. La sécheresse est le phénomène affectant le plus la prodution. Les années 2003 2005 2010 2011 et 2012 sont les plus marquantes de la période (cf slide 4) L’éleveur ne peut pas ou ne veut pas toujours avoir des stocks de précaution importants. Le coût principal c’est le rachat d’aliments (foin, aliments de substitution et compléments alimentaires) réalisés dans des conditions de marché tendues

POUR LES ÉLEVEURS : ASSURER LA RATION ALIMENTAIRE DE LEUR TROUPEAU

‒ Un éleveur connaîtra plusieurs épisodes de sécheresse sévère au cours de sa carrière.

‒ La capacité à encaisser les chocs climatiques sur fourrages varie selon les exploitations car elle dépend du terroir, des variétés, mais aussi de la stratégie de stockage de l’éleveur.

‒ Le déficit de production d’herbe peut entrainer des coûts supplémentaires importants pour les éleveurs.

5 DOSSIER DE PRESSE MAI 2015

Présentateur
Commentaires de présentation
Soit une SAU de 10 à 12 Mha (si l’on intègre les alpages, landes et parcours) A la base du fonctionnement du secteur laitier (Produit brut de 9 MdE) et viande bovine (Produit brut de 8,6 Md€) Enquête institut de l’Elevage sur différents systèmes types. Ce résultat s’applique pour un système dit « à l’herbe ». L’étude menée par le labo Céréopa d’AgrOParisTech a été faite sur l’outil PERFAGRO, outil de simulation d’un système d’élevage, qui permet de mesurer l’effet d’un paramètre (ici la production d’herbe) sur l’ensemble des indicateurs de l’exploitation Peut être reprendre le propos tenu lors de la conférence Agriculture et climat en février. La sécheresse est le phénomène affectant le plus la prodution. Les années 2003 2005 2010 2011 et 2012 sont les plus marquantes de la période (cf slide 4) L’éleveur ne peut pas ou ne veut pas toujours avoir des stocks de précaution importants. Le coût principal c’est le rachat d’aliments (foin, aliments de substitution et compléments alimentaires) réalisés dans des conditions de marché tendues

POUR LES POUVOIRS PUBLICS : TROUVER UNE SOLUTION DE PROTECTION ADAPTÉE ET EFFICACE

‒ Améliorer la couverture des éleveurs face aux aléas climatiques par une assurance couvrant la production des prairies présente un triple avantage : • Pérenniser les exploitations, • Renforcer la compétitivité des filières d’élevage, • Contribuer à la maîtrise des budgets publics consacrés aux risques agricoles dans un

contexte de changement climatique. ‒ Aujourd’hui le FNGRA trouve ses limites auprès des exploitations diversifiées. ‒ Cette démarche s’inscrit dans une perspective de transition du régime public des

calamités agricoles vers les assurances privées : • En 2009, à l’occasion du bilan de santé de la PAC, le Ministère de l’agriculture a lancé

un appel aux assureurs. • Fin 2014, les Pouvoirs publics ont demandé aux assureurs de rassembler les

conditions nécessaires à la création d’une couverture des prairies à fin 2015.

6 DOSSIER DE PRESSE MAI 2015

Présentateur
Commentaires de présentation
Pérennisation car poursuite d’activité en cas de coup dur. Compétitivité car les acteurs en aval ou besoin d’exploitations solides et stables. De plus en externalisant leur risque vers l’assureur, les agriculteurs peuvent réduire une partie de leurs ha d’auto-assurance et consacrer ces surfaces à de la production. Les limites du Fngra Le double seuil déclencheur : 30% de perte sur la culture + 13% de perte sur le Caff total de l’exploitation. SI diversifiées , pas indemnisées. La limite d’indemnisation à 28% des pertes.

PACIFICA ET AIRBUS DEFENCE AND SPACE L’ALLIANCE DE DEUX EXPERTS FRANÇAIS

7 DOSSIER DE PRESSE MAI 2015

CRÉDIT AGRICOLE : 1ER PARTENAIRE FINANCIER DE L’AGRICULTURE FRANÇAISE

part de marché sur l'installation des

agriculteurs,

taux de pénétration global, faisant des

Caisses régionales de Crédit Agricole le

premier partenaire des agriculteurs

français.

(Source adéquation 2014)

des installations de jeunes agriculteurs

financées

de financement pour l’agriculture dont 3,6 mds € sur le

matériel

77% 85% 3/4 Plus de

7mds€

8 DOSSIER DE PRESSE MAI 2015

PACIFICA : UN ACTEUR INNOVANT ET DYNAMIQUE DE L’ASSURANCE AGRICOLE

‒ Pacifica, 2ème assureur agricole, est en permanence à l’écoute des besoins des professions agricoles.

‒ Pacifica est engagé depuis près de 15 ans dans la protection des revenus des agriculteurs avec, notamment, les « assurances climatiques du Crédit Agricole » : grêle, récoltes, forêts

‒ Constatant que les méthodes traditionnelles ne fonctionnent pas pour les prairies et que les indices existants sont peu adaptés à cette problématique, Pacifica a décidé d’investir dans la création d’un nouvel indice et a choisi Airbus Defence and Space pour l’accompagner.

9 DOSSIER DE PRESSE MAI 2015

AIRBUS DEFENCE AND SPACE : UN EXPERT DU SPATIAL ENGAGÉ EN FAVEUR DES PROBLÉMATIQUES AGRICOLES

• Geo-Intelligence

• SatComms

• Integrated Systems

• Secure Land Communications

Employés*: ~ 139 000 CA*: ~ 60,7 milliards €

Employés*: ~ 74 500 CA*: ~ 42 milliards €

Employés*: ~ 22 900 CA*: ~ 6.5 milliards €

Employés**: ~ 38 600 CA**: ~ 13 milliards € * en 2013

** estimation pour 2015

Intégration & Rebranding 2014

Space Systems I Military Aircraft I Communication, Intelligence & Security I Electronics

DOSSIER DE PRESSE MAI 2015 10 DOSSIER DE PRESSE MAI 2015

AIRBUS DEFENCE AND SPACE : UN ACCÈS À UNE CONSTELLATION UNIQUE DE SATELLITES

11

SPOT 6 SPOT 7

Pléiades 1B

Pléiades 1A

FORMOSAT-2

DEIMOS-1 DMC-2

TerraSAR-X TanDEM-X

PAZ

DOSSIER DE PRESSE MAI 2015 11

AIRBUS DEFENCE AND SPACE : UNE EXPERTISE RECONNUE DE LONGUE DATE DANS LE MONDE AGRICOLE…

Depuis 15 ans au service d’une agriculture de précision durable, pour les cultures de blé, colza et orge: • En partenariat avec Arvalis – Institut du Végétal • Conseils à l’échelle de la parcelle, pour ajuster les besoins en

intrants au plus juste • 15 000 abonnés sur 740 000 ha en 2015 (4 000 ha en 2002) • Plus de 120 000 tonnes d’engrais économisés

Permet d’évaluer le potentiel de maturité des grappes et de segmenter le vignoble selon le potentiel qualitatif des parcelles.

Service pour la gestion des cultures à

l’échelle de la parcelle, sous toutes

les latitudes.

(*) Ces deux services sont désormais commercialisés sous licence par la société TerraNIS

12 DOSSIER DE PRESSE MAI 2015

L’ASSURANCE DES PRAIRIES, UNE DÉMARCHE INNOVANTE POUR

LA PROTECTION DU REVENU DES ÉLEVEURS

13 DOSSIER DE PRESSE MAI 2015

36 100 communes

12 années d’archives

LA CRÉATION D’UN NOUVEL INDICE: DE L’IMAGE SATELLITE À L’INDICE DE PRODUCTION FOURRAGÈRE (IPF)

14 DOSSIER DE PRESSE MAI 2015

LA CRÉATION D’UN NOUVEL INDICE: DE L’IMAGE SATELLITE À L’INDICE DE PRODUCTION FOURRAGÈRE (IPF)

Traitement

Données d’entrée Images

satellites Bases de données d’occupation

du sol : CORINE Land Cover et RPG

(Registre Parcellaire Graphique)

Carte de fraction de couvert végétal (Fcover) pour chaque image

Evolution des couverts fourragers sur l’année

Désagrégation Niveaux de Fcover des fourrages

par commune et par date

Données de sortie Historique de production par commune

Indice de production

(variation par rapport à l’historique)

Ratio de l’IPF par rapport à

la référence multi-annuelle

15 DOSSIER DE PRESSE MAI 2015

CARTE DE FRANCE DES TAUX DE PERTE SUPÉRIEURS À 30% 12 ANS DE MESURES COMMUNE PAR COMMUNE

16

Présentateur
Commentaires de présentation
Cette carte est une première : la représentation des taux de pertes supérieurs à 30% mesurés à l’échelle de la commune Enseignements : La sécheresse peut avoir un effet systémique Toutes les régions peuvent être touchées

CARTE DE FRANCE DES TAUX DE PERTE (IPF/HISTORIQUE) AVRIL 2015

17

Présentateur
Commentaires de présentation
Cette carte est une première : la représentation des taux de pertes supérieurs à 30% mesurés à l’échelle de la commune Enseignements : La sécheresse peut avoir un effet systémique Toutes les régions peuvent être touchées

UNE OFFRE PACIFICA DESORMAIS DISPONIBLE POUR TOUS LES ÉLEVEURS

‒ Le contrat garantit le versement d’un capital en cas de déficit de production fourragère :

• Ce capital est défini par nature de récolte,

pour permettre à l’éleveur de racheter les aliments équivalents à la perte subie,

• L’éleveur est libre de choisir le niveau de capital assuré ainsi que le niveau de franchise, entre 10 et 50 %,

• La cotisation bénéficie des aides à

l’assurance et s’inscrit dans le futur dispositif des contrats socles.

18 DOSSIER DE PRESSE MAI 2015

Présentateur
Commentaires de présentation
Par exemple pour une prairie temporaire très productive, l’agriculteur choisira un capital de 7T x 150 €/T (valeur de substitution) = 1050 €/ha Une prairie permanente peu productive aura un capital de 4 x 150 = 600 € Un éleveur ayant de 6 mois à 1 an de stocks d’avance pourra se contenter d’une franchise 30 ou 40% Un éleveur avec peu de stocks et/ou un système intensif choisira une franchise 10 ou 20% Prairies permanentes 40 % des prairies ; prairies temporaires 40 % des prairies

UNE OFFRE PACIFICA DESORMAIS DISPONIBLE POUR TOUS LES ÉLEVEURS

‒ Les cultures assurables sont les prairies permanentes, les prairies temporaires

mais aussi les estives et les alpages. ‒ L’offre a démarré en test en 2013 : à ce jour plus de 300 éleveurs nous font

confiance et sont assurés. ‒ La souscription est ouverte dès le 15 juin 2015 pour la campagne 2016. ‒ Tout au long de la période de production des prairies, une service en ligne sur

pleinchamp.com permet aux clients de suivre l’évolution de l’indice de leur production fourragère.

19 DOSSIER DE PRESSE MAI 2015

Présentateur
Commentaires de présentation
Par exemple pour une prairie temporaire très productive, l’agriculteur choisira un capital de 7T x 150 €/T (valeur de substitution) = 1050 €/ha Une prairie permanente peu productive aura un capital de 4 x 150 = 600 € Un éleveur ayant de 6 mois à 1 an de stocks d’avance pourra se contenter d’une franchise 30 ou 40% Un éleveur avec peu de stocks et/ou un système intensif choisira une franchise 10 ou 20% Prairies permanentes 40 % des prairies ; prairies temporaires 40 % des prairies

Comment fonctionne le produit ?

Page 20

Souscription

Octobre N-1 31 janvier*

Information du client et règlement

C o n s u l t a t i o n d u t a u x d e p e r t e e n l i g n e

4. Croisement avec les données contrats

3. Calcul des taux de perte par commune

1. Calcul en routine de l’indice

0

0,1

0,2

0,3

0,4

0,5

0,6

0,7

22-janv. 13-mars 02-mai 21-juin 10-août 29-sept. 18-nov.

Indi

ce d

e té

lédé

tect

ion

Indice 2012

Indice 2007

Indice 2008

Indice 2009

moy. indice

2. Comparaison de l’indice de l’année avec l’indice moyen des années passées

Période de garantie

Page 20

Passage sur la même zone tous les 3 jours, puis constitution

d’une image composite par décade

Calcul de l’indemnité : I = Capital assuré

x (Déficit - Franchise)

19

UNE TECHNOLOGIE AU SERVICE DE TOUT UN MARCHÉ

‒ Le fonctionnement du produit et le bilan des trois années de pilote ont été largement partagés avec les Pouvoirs publics et la Profession agricole.

‒ Ces travaux ont également été partagés avec les grands réassureurs agricoles européens, qui confirment la qualité des travaux et le caractère innovant, au plan mondial, de cette offre.

‒ Dès l’automne 2015, l’indice de production fourragère à l’échelle des petites régions fourragères sera mis gracieusement à disposition du monde agricole par Pacifica et Airbus Defence and Space.

21 DOSSIER DE PRESSE MAI 2015

Lien Youtube : cliquez ici

22 DOSSIER DE PRESSE MAI 2015

Contacts presse Crédit Agricole Assurances Françoise Bololanik + 33 (0)1 57 72 46 83 / 06 25 13 73 98

Camille Langevin + 33 (0)1 57 72 73 36 / 06 23 35 60 28 [email protected]

Contact presse Airbus Defence and Space

Fabienne Grazzini +33 (0)5 62 19 41 19 / 06 76 08 39 72 [email protected]