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@NishaEditions
NishaÉditions&OlyTL
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Pariàtrois
Avecmesmeilleursamis,MoïseetJonathan,nousformonsuntriosoudédepuislaterminale.Àlafac,nous étions si fusionnels et complices que nous suscitions des rumeurs, comme dans le film Deuxgarçons, une fille, trois possibilités. En réalité, il n’y a jamais eu de relations sexuelles à trois dansnotrebande.Nousnousadorons,nousentendonsàmerveille…etnousengueulonstelsdeschiffonniers.Maispourlesexe,c’estchacunpoursoi.
Aujourd’hui,noussommesdestrentenairesépanouis,dynamiquesetlibres.
Ilyaquatrejours,nousavonsfêténotrepremiermillion.Notreentreprised’événementielnecessedegrandir. Nous avons enchaîné les shooters en nous remémorant nos débuts, anecdotes et péripétiescomprises. Jonathan a alors eu l’une de ses idées brillantes : un pari où le gagnant domineraitsexuellementlesdeuxperdants.
Ehoui!L’idéealcooliséelaplus«géniale»del’histoire!Enfin,çaresteàvoir…
***
–Vousregrettezdem’avoirsous-estimée?jubilé-jequatrejoursplustard.
J’arpente le salon.Mes amis sont sur le canapé, persuadésque jemedégonflerai souspeu. Jen’enmènepaslarge,néanmoinsj’appréciedeprendrel’ascendantsureux,neserait-cequementalement.Leslaissercroirequemoi,leursuperpoteSofia,suisauxcommandesdeleursbraguettes…Mêmesijesuisdésormaisassezlucidepourréaliserlafoliedenotrepari.
J’avale d’une traite le contenu pétillant de ma flûte. Les bulles légères me grisent moins que mescompagnons.Oui,ilsmetroublentautantquecettesituationtendueetinéditeentrenous.
Ilsselajouentcanonsintimidants.Jelesconnais:jedécèleleursastucesdeséducteursensérie.Ilsattendentquejemerétractepoursemoqueretprendreledessus.
Ça,c’esthorsdequestion.J’aigagnéleursoumission,jecompteenprofiterunpeu.Ceseraeuxoumoi.L’occasionesttropjouissive,non?
–Turegrettes,toi,mec?–Absolumentpas.
Ilscancanentsansciller.Ilssonttropconfiants,cen’estpasbonpourmoi.Vuquenousnousracontonstout, je sais qu’ils ontparticipé àdes soiréesSM. Ils sontplus àpropensiondominantequedominée,domptantdessoumiseslorsdesorgies.Jenetienspasdutoutàm’enremettreàeux,aussicanonssoient-ils.Jetendsmonverre.
–Sers-moi,Jo.–Tut’ycroistropmabelle,s’exclame-t-il,amusé,ens’emparantdelabouteille.–Ohoui!Vousm’appartenez.Vousn’imaginezpascequivasepasser,mens-jeavecunsourireétudié.–Non.Tun’imaginespasdansquoitufoustesjolispieds,maSofia,rebonditMoïse.
Il tapote sa canette de Coca. S’il voulait dérégler ma température, ma respiration et mon rythmecardiaque, il obtient le triogagnant. Je simuleunequasimaîtrisedemoi, soutiens son regard sombre.Pour la première fois, j’ai l’impression d’y voir une nuance étrangère, un warning déstabilisant.Néanmoins,jelebrave.
–Moïse,vadoncchercherlecolisdansmachambre.
Il sourit sans bouger, se demande si je bluffe. C’est évidemment le cas et je suis ravie d’avoirretravaillémapokerface.Moïsehésite,désarçonné.
–J’yvais,abdique-t-il.
Jeleregardepartir.Ilaunculd’enfer!Jen’aijamaisosél’imaginerentenued’Adam.Sesmusclesroulant sous cette peau noire et nue que je palperais…Ce soir, cette idée non censuréeme brûle lesjoues.Une rasadedechampagneet je tendsànouveauma flûte. Je constateque Jomedétaillede sessplendidesyeuxverts.Labrûluredemespommettesseravive.
–Encore,mapuce?Tuenaurasautantquetuvoudras,tusais?
Jonathanadoptesatactique«sexeetambiguïté».Monintonationestaffectéelorsquejeluiréponds.
–J’enveuxbeaucoupplus,Jo.
Il humidifie ses lèvres. Petit sourire. Ses pupilles se dilatent. Des frissons en cascade. Chocémotionnel.
Joaenviedemoi.Monmeilleuramiaenviedemoi!
Ébranlée,jebalaiemeslèvresdelalangue.Illesfixesansgêne.C’esteffrayant,nousnenoussommesjamaisregardésdelasorte.Jusqu’auboutiste,émoustilléeparcedélire,jedéboutonnemaveste.
–Jo,appelle-moiMadame.
Sessourcilss’arquentsouslasurprise.
–Sansblague?–Oui,tuesmonsoumis.
Del’électricitévolettedansl’air.J’aiterriblementchaud.J’enlèvemaveste.Mapetiterobenoireensimilicuiresttrèsajustée,échancréeenVavecunvoilagefinsurmesseins.Jonathans’attardesurmestétonsvisiblesautravers.Maculotteesttrempée.Jeposeleverrefraiscontremonfront.Moïserevientavec un panier, qu’il pose devant nous. Le duo se consulte sans parler. L’atmosphère se réchauffedavantage.Leurcommunicationnonverbalemaisérotiqueagitsurmalibido.
–Desemplettes,mapuce…Oups,pardon…Madame?s’enquiertJo,aussitôtinterrogéduregardparMoïse.NousdevonsnousadressezrespectueusementàMadameSofia.–Non?Vraiment?
Mongrandblackàfossettespasselamainsursonmenton,trahissantsonamusement.Jemepenchedefaçonprovocante,récupèremonfouetflambantneuf.J’aidévalisélaboutiqueetrougienchoisissantlesarticles.Dansmavoiture,j’aiensuitehésitéentrefairedemi-tourettoutrendre,ouavoirlescojonesdetenirtêteàmesétalons.Maintenantj’ensuisfière,constatantl’effetdematenuedeDomina
1,maposture
etmesmunitionssurlerécalcitrant.Moïseamortitsonriredansunetouxnerveuse.
–SoumisMo,adoptel’humilitéàmonégardoutudégusteras.
Montonsévèredemaîtressed’écoleassombritbizarrementsesiris.Bienqu’ils’entêteàêtreunmâleindomptable,jeletrouble.Ilcommenceàmevoirautrement.
–Tusaisquoi?Jenedemandequ’àdéguster,Sofia,balance-t-ilavecimpolitesse,expressioncanailleensussubliméeparseslèvresourlées.
Déstabilisée,jemetouchelecou.
Quandlethermostats’est-ildéréglédanscetappart?
–Je tedégusteoù,quandetcomme tuveux,miss, insiste-t-il alorsque j’ai lebecclouéet les sensaffolés.
JetournemonattentionsurJo,dontlafiguremanifesteundésirviolentteintéderaillerie.
OK,àquoijouent-ils?Est-ceunecombinepréparéeàl’avancedepuisleurdéfaiteaupub,l’autresoir?Parsolidaritémasculine,ilss’allientafinquejedéclareforfait?
Mon petit doigt me marmonne que si je faiblis, ils me démonteront comme une pièce montée auchocolat : le plan à trois aura lieu dans tous les cas. C’estmoi qui ai gagné le droit de le gérer. Jem’approcheducanapéetsomme:
–Posemaflûte,jeveuxlabouteille,Jo.–OK,Madame,s’exécutemonbrunenfrottantsabarbenaissante.
Monaudacenousstimule.
Me soumettre ou les dominer ? Ils sontDEUX, quandmême ! C’est la situation la plus calientejamaisexpérimentéedemonexistence.
Jepeuxpercevoirleuraviditésedéployerautouretsurmoi.Ilsdélaissentnotrefameuxfiltreamicalpourmedétailler.Jem’empourpre,medésaltèreaugoulot.Aufuretàmesure,jemesensplusfemme,pluspuissante,belleetdésirable.Silencieux,ilsnesontplusperplexes,maisenattente.Souriant,jenotelesentrejambesdéformés.
–Boxersinconfortables,mesgarçons?Enlevez-les!–Quoi?questionnent-ils,incrédules.
Jeprendsdel’assurance.
–Déshabillez-vous,mesjoujoux…Hâtedevoirl’effetquejevousprocureet,surtout,commentvousêtesmontés.
Unpetitrirem’échappe.Ilsn’enreviennentpasquej’aiepudébiteruncommentairepareil.Jem’épatepersonnellement.Jeboisunenouvellegorgéepuisclaqueuncoupdefouetsurl’unetl’autre.
–Allezhop!Onobéit!–Sofiatu…–Ma-da-me!Moïse ce seraMadame oumon divertissement sera de te botter le postérieur…Toi
aussi,Jonathan.–Maisjen’aipaspolémiqué,moi!sedéfendcedernieravecunairfaussementinnocent.–Traître!lecharrieMoïsequidéboutonnesachemisebleue.
Plusill’ouvreetplusjeperdsdemasuperbe.Sontorsen’arienàenvieràceluid’unsportifdehaut
niveauoud’unmannequinpoursous-vêtements.Ilextirpelespansdesonjeans,défaitledernierboutonenmefixant.
–Alorsjedoist’appelerMadame?répète-t-ilentombantlehaut.
Il s’attaque à son pantalon. Une pudeur mal placée me pousse à détourner momentanément monattentionsurJo.
Erreurfatale,saturationdusystème,bugimminent!
Jo,quiétaitenjeansetT-shirt,enadéjàterminéoupresque.Ledernierrempart,sonboxer,descendlelongde seshanches. Il est lui aussi à couper le souffle avec ses tablettesprêtes à êtredégustées sansmodération.Latignasseenbataille,levertravageurdesesprunelles…
–Cetitrederespecttedéplaît,Mo?
Montonestéraillé.LesinfimestroussurlesjouesdeMoïseréapparaissent.Ilsaisitlatélécommandedomotiquepour tamiser la lumière,puisnousmetCesariaEvoriadont lavoixchaudeet enveloppanteinstaureuneatmosphèreencoreplussensuelle.Ensuite,Mosedébarrasseenunefoisdesonpantalonetdecequ’ilyavaitendessous.
Oh.L’anaconda!
Jedéglutisenneledévisageant…pasdanslesyeux.
–Devrais-jetedonnerduMadamequandtugémirasaurythmedemesbalancements?
Maisqueleffrontésexy,punaise!Ilasortisonatoutmajeur–OK,plusquemajeur–etilsedélectedemaréaction?
J’afficheuneassurancedefaçadeetaffirme.
–Jemeserviraiàmaguisedetesattributspendantquetumediras«avecgrandplaisir,Madame».
Ilrit.Ilestàtomber.
Jesuisforte,heinquejelesuis?
Jem’endésintéressepourmerendrecomptequemonJonathanpossèdeaussiunsacréarmementdanssadoucetoisonpubienne.
Aïe!MevoilàdominatricededeuxmecsgâtésparMèreNature.
Ilssecongratuleraientsijevenaisàflancher.Ilsontl’avantagedunombre,delaforcephysique,maisc’esttoutdemêmemoiquiaimisleurspénisdanscetétat!
JerejoinsJo,luioffremonchampagnequ’ilboitàlabouteille.Jelecaresseaveclemanchedemonfouetsanssourciller.
–Boisencore.
Ilrecommenceaveclesourire.
–Gentilgarçon.Tuasméritétonpremiercadeau.
Jeretourneaupanier.Jeposecequejetienspourychercherlesdeuxcockrings2enboulesdemétal
enrobés de silicone. Je reviens à Jonathan, empoigne son sexe. Il frémit. Sesmains frôlentmes brasdénudés, hésitent un instant à aller ailleurs – rien qu’un instant, car elles remontent à ma nuque,m’amenantàsonvisagepourunbaiserassoiffé.
Jelemasturbelentementenm’abandonnantànotrepremieréchange.Savergeentremesdoigts,jeluienfilelejouet.Matêteentresespaumes,ilm’embrasseengeignant.
Noussommesofficiellementplusquedesmeilleursamis,maintenant.
CettepenséeestrenforcéeparlecorpsfermedeMoïsequis’aplatitcontremesfessesetmondos.Ilme couvre de baisers là où l’accès lui est possible. J’ahane sur la langue habile de Jo.Quatremainsparcourentmapeau.Avecinsistance,Moïsefinitparpivotermatêtesurlecôtéetm’embrasse.J’ouvrelaboucheetl’accueilleentrefrissonsetvaguesdechaleur.JomemangelesseinsetMoïseleslèvres.Jetienstoujourslesexedel’unportantlecercledebijouquej’aienrouléàsagarde.JechercheMo,trouvesonmembreérigéquejecajoledanslalongueur.
–TuesincroyableSof…Madame,confessecelui-cidansunrâle.
Je lesrepoussedoucement.Cettecapitulationest l’inaugurationdenotresoirée : ilsconsententàmelaisserlesdominer.C’estfou!Jesuishumide,mestétonspointent.
–Merci,SoumisMo.IlmanquetonornementrondcommesurSoumisJo,ainsiquevoscolliers.
Mon ton est méconnaissable. Je contemple l’instrument dont le rôle est de maintenir, renforcerl’érectionetretarderl’éjaculation.Moïsel’enfile:jefermelaboucledescolliersetlestiensenlaisse.
–Vousêtesparés.Maintenant,pourmeplaire,agenouillez-vousettendezvospaumesouvertes.
Je me prends au jeu : j’adore ! Les choses me viennent naturellement, à eux aussi, car aucun neproteste. Ils sont à terre, face àmoi, et j’ai l’impression euphorisante d’être leur reine. Je retiremesstilettospourêtreplusàl’aise.Ilssont«apprivoisés».Jefarfouilledansmesaccessoires,récupèrelaroueàpicsàdeuxrangs.Ilsseconcertentpuismesourientd’unairsalace.
–Tuvasnousfairemal,Madame?–Jenesaispasencore,répliqué-jeunbrinmachiavélique.
Je roule l’objet sur mon bras. Il pique un peu, incommodant sans blesser. Je les rejoins dans madémarche la plus féline.Mes jambes nues s’exhibent sous ma robemi-cuisse. Leur angle de vue estintéressant. Je glisse l’endroit non piquant de l’instrument sur leurs poignets, leurs torses, leurs cous.J’attrape les épisde Jo, enfonce l’objetdans sabouche.Moïsenousobserve, la respirationerratique.Moncœurtachycarde.J’ôtelemétaldelabouchedeJopourlelapersousleuririshypnotisés.
–Quidevousdeuxauraleprivilègedemelécher?–J’adorerais,confieMo.
Jesimuleunefellationlangoureuse,enfournelemanchequeJoamouilléentremeslèvres.
–Tuesdiabolique,tulesais,ça?reprend-t-il.
Il effleure ma jambe. Chamboulée, je fournis un effort surhumain pour ne pas stopper ce jeu dedomination, les laissermeprendre, surtout lorsquemonautre jambeest butinéepar Jo. Ils sont àmespieds.Entrecaressesetmordillements,ilsmefontchavirer.
–Lesgarçons…non.–Si…S’ilteplaît.–Tuvoiscommenoussommesexcitésàcausedetoi?s’unissent-ilspourmeconvaincre.
J’introduisleboutlissedelaroueentreleslèvresdeMoïseafinqu’ilsuceàsontour.
–Mesdominésseraient-ilsentraindeseplaindre?
Monsourireindolentlesnargue.Jemesersenfindespicsaucreuxdeleurspaumes.L’ustensileroulesurlapeaucacaodeMoïse,quiserrelamâchoire,lesyeuxrivéssurmoi.Toutcequ’ildésiremefaireydéfiledélicieusement.Jetitillelafaceinternedesonavant-bras.Ilnebronchepas,seulesarespirationirrégulièretrahissantsonexcitation.AutourdeJo,dontlapeaubronzéesubitlemêmesort.Stoïque,ilme
brûle de ses yeux verts pailletés d’or. Je pose l’outil de torture. Je tire leurs laisses, intime d’un tonrauque:
–Mangez-moi,lesgarçons.Rendez-moifolle.
Ilsnesefontpasprier.Leursdoigtssèmentdescaressessurmesjambes.Leursmainsmepétrissent,remontent,descendent.Jenesuisplusqueplaintesétouffées.Labouchedel’uneffleurel’arrièredemesgenoux, carré infiniment sensible.L’autre sillonne leszonesdécouvertesparma robequi se retrousse.Lessensationssontmultipliées.Deuxlanguesmeparcourentcôtépileetface.Deuxpairesdelèvresmegrisentavechabileté,s’écartantpourmemordiller.Quatremainsmeréduisentàdesgémissementsplussoutenus.
–Vousêtesextra…–C’esttoiquiesextra…–Etonaimeraitbeaucouptebaiser,Madame.
Lesmotsbaiseretmadameassociésdanscettephrase«polie»fontpalpitermonécrinintime.Jenepeuxqu’accepter.
–Accordé.
Liquéfiéeetfébrile,jechancelle.Desbrassolidesmeportent.Jodemandeànotreamidenousamenerchampagne,glaçonsetaccessoires.Jeplongemonnezdanssoncou.Sonodeuretsonafter-shavemefontplaner.Nousatteignonsmachambre.Ilmefaitasseoirsurmonlitet,penchésurmoi,ilquémande:
–Puis-jet’embrasser?–Encoreaccordé,beaugosse.
Son baiser est impatient, alléchant. J’entends Moïse déposer son chargement et nous rejoindre. Ilcaressemescheveux,attendquejetournelatêteverslui.Jereçoisunbaiserpossessifquim’étourdit.Àdeux,ilsmedélestentdemeshabits.Jen’aiqu’uncollierdeperlesnoirespourparure.Moabandonnemeslèvresmarquéesparleurdésircommun.IlregardeJoetcommente:
–Qu’est-cequ’elleestbelle.–Etqu’est-cequej’aienvied’elle!Pastoi,mec?
Moïse sourit sans rien ajouter.Son langage corporel parle pour lui.Leurspénis encerclés de cocksringssontmajestueuxettendus.Jem’enquiersenlesmatantsansvergogne:
–Quimegoûteenpremier?
–C’esttoiquichoisis,Madame,rétorquemonsuperbeMoenmassantsonsexe.
Ilestirrésistible.Jocaresseleboutdusienetmefixeavecadoration.
Ilssontàmoi.C’estdingue!CessuperbesmâlessedévouentpourMONplaisir!
–Jo,tut’occupesduhautetMo,dubas.Faites-moigrimperauxrideaux.–Àvosordres,Madame,acquiescent-ilsavecundemi-sourirelubrique.
Mes jambesdemeurentpar terre,mes fesses auborddu lit.Mon ténébreuxamiau regardémeraudebascule le reste de mon corps sur les oreillers. À califourchon sur moi, il me comble d’attentionsindescriptibles. Mon visage, mon cou et mes seins deviennent son terrain de jeu. Quant à Moïse, ômiséricorde!Ilmaintientmescuissesouvertes,medévoresanstarder.SescoupsdelanguessonttelslescoupsdepinceaudePicasso:del’art,uneexplosiondecouleursetdesensationsintenses.Jejappe,râle,crie,leurdiscombiencesontdesvirtuoses.Puisj’enperdsmesmotsetexplosesousleurspalais.J’aiàpeineletempsderedescendredemonnuagequejevoledanslesbrasmusclésdeMoïse.Ilestdéboutetmetient.Mesjambesl’entourentinstinctivementtandisqu’ilpasselamainentrenousetdirigesavergecontrel’entréedemaféminité.Ilmesoulèveparlesfesses,m’empalesurlui.
–Ah!nousplaignons-nousàl’unissonfaceàcettepénétrationsoudaineetprofonde.–Encoremeilleurequecequej’imaginais,répond-ilenmeguidantsavammentdansundouxcoït.–C’esttropbon…
Mesmurmuresn’ontplusniqueuenitête,carJos’invitedansnotredanseprimitive.Ilembrassemondos,manuque,malaxemonfessier.Ilmepréparepourpouvoirmeprendredesoncôté.Moïseralentitsacadenceafindepermettreànotreamidepoursuivre.Jonathanintroduitundoigtenmoi.Ilbougeavecdélicatesse.C’estpirelorsque,petitàpetit,illeremplaceparsonpénis.Jepousseuncrid’extase.Jeconnaissaisséparémentlapénétrationvaginaleetanale.Lesdeuxexercéesensimultaném’achèvent.
–Lesgars…Jevous…adore!–Ont’adoreencoreplus,Madame,clameJonathan.
Sescoupsdebutoirlascifss’accordentàlaperfectionàceuxdeMoïse.Ilsbutinentmonépidermeenmelabourantdemouvementslentsetprofonds.Leurssenteursetsonsgutturauxsemêlent.Onauraitdûcommencer cela dès la fac, bon sang !Une seconde vague de jouissanceme faitme contracter autourd’eux.Ilsmereposentàjenesaisquelmoment,carMoïseesttoujoursenmoi.Ilmetaquine,au-dessusdemoncorpsensueur.
–Nousavonsdesanneauxetbandonsàmortpourtoi.Celavadurertrèslongtemps.
J’empoigne sa laisse : il ressortpourmieux s’enfoncer enmoi. Ilme fixe,me laminedansungeste
ampleetrépétitif.Seshanchesvontetviennent.Jeplane.Ilseretire,cèdelaplaceàJo.Celui-cientredansmesabyssestièdes.Ilentrembledebonheur.Effectuantdespompessurmoi,enmoi,ils’interromptpourmecouvrirdebaisersavides.Joaugmenteletempo,Moïsesetoucheennousobservant.Jemesensdésirée,centredeleurunivers.Jovaplusvite.Monbas-ventresesoulèveàsarencontre.Noushaletons.Ilm’inonde.Un dernier baiser et il roule sur le côté.Moïse reprend son poste. Il glisse. Les sons etfragrancesnousfontdisjoncterd’extase.L’accélérationdescoupsdereinsbrutauxdeMoïseengendreunorgasmeépoustouflant.Àsontour,ilserépand.Savoirqu’ilssontvenusenmoiprolongemonplaisir.
–Waouh!C’estlepiedd’êtretonesclavesexuel.Onenredemande,Madame,chuchoteMoïse.
Alanguie,jedemande:
–Onestquoi,maintenant?Amisavecbénéfices?–Turesterasnotre«Maîtresse»,situleveuxbien…Madame.
Jo me donne un baiser empreint d’une telle douceur que j’en frémis, tandis que Moïse mordille,embrassemonépaule.
«Jesuisunepetiteveinarde»medis-je,éreintéeetcombléeentreeuxdeux.
Collection«Nisha’sSecret»
Obsessionsinsoumises,Mael–AngelArekin
Obsessionsinsoumises,Rory&Max–AngelArekin
Obsessionsinsoumises,Yano–AngelArekin
Àpleinesmains,Elsa–EvadeKerlan
Dévorerduregard,Milia–EvadeKerlan
Irrésistible,Natalia–EvadeKerlan
Semettreauparfum,Josh–EvadeKerlan
Frissonsdenuit–CindyLucas
Joueaveclefeu–CindyLucas
Pactesensuel–CindyLucas
Ungoûtd’interdit–CindyLucas
Déclencheurdeplaisir–TwinyB.
L’artiste–TwinyB.
Orgasmesnocturnes–TwinyB.
Plaisirsmasqués–TwinyB.
Pariàtrois–OlyTL
Collection«DiamantNoir»
Lachute,saisons1et2–TwinyB.
Nerougispas–Lanabellia
Nefermepastaporte–Lanabellia
Play&Burn–FannyCooper
Alia,lesvoleursdel’ombre–SophieAuger
Betrayed–SophieAuger
Collection«CrushStory»
Shine&Disgrace—ZoéLenoir
LoveonProcess–Rachel
HollywoodenIrlande–ElisiaBlade
Séduire&Conquérir–ElisiaBlade
Journald’ungentlemansaisons1et2–EvadeKerlan
Legoûtduthé,celuiduventsaisons1et2–EveBorelli
Auteure:OlyTL
Suiviéditorial:MarieGallet
NishaEditions
Cognac-la-Forêt
N°Siret51078346700044
N°ISSN24932450