plate-forme d’échange sommaire d’informations dans le

FI 9 - 19 novembre 2002 ndash page 1

ECOLE POLYTECHNIQUEFEDERALE DE LAUSANNE

suite en page 7

Plate-forme drsquoeacutechangedrsquoinformations dans le domaine

de projets humanitairesStefan Huumlsemann Universiteacute de Fribourg

huesemann_stefanyahoocom

ne multitude drsquoorganisationshumanitaires internationales tententdrsquoameacuteliorer les conditions de vie despersonnes pauvres dans le monde Lacoordination de projets de deacuteveloppe-ment humanitaire entre organisationsest importante afin drsquoaugmenter lrsquoeffi-caciteacute de lrsquoaide Pour coordonner cesprojets il faut acceacuteder agrave des informa-tions qui se trouvent dans des systegravemesdrsquoinformations de donateurs institu-tionnels (par exemple la Banque Mon-diale ou le Deacutepartement du Deacutevelop-pement et de la Coopeacuteration Suisse) etdrsquoorganisations humanitaires (commela Croix Rouge ou Caritas) Ces systegrave-mes sont autonomes et peuvent ecirctretregraves heacuteteacuterogegravenes

Standards pourlrsquoeacutechange drsquoinformations

Une eacutetude de marcheacute sur les systegrave-mes drsquoinformations accessibles par leWeb a montreacute que jusqursquoagrave preacutesent ilest difficile de trouver des informationsdeacutetailleacutees sur des projets humanitaires(Huesemann 2001) Ces informationssont neacutecessaires pour coordonner desactiviteacutes et pour permettre un appren-tissage au niveau de lrsquoorganisation(organisational learning) Un des pro-

blegravemes se trouve au niveau de lrsquoeacutechangedrsquoinformations entre les stakeholders Ilnrsquoy a pas de standard pour lrsquoeacutechangeeacutelectronique de rapports et drsquoeacutevalua-tions de projets humanitaires

Dans le cadre de ce travail de doc-torat un concept et un prototype onteacuteteacute conccedilus afin de permettre lrsquoeacutechangedrsquoinformations structureacutees entre dessystegravemes drsquoinformations autonomes etheacuteteacuterogegravenes La plate-forme est baseacuteesur Internet et porte le nomDevelopment Information ExchangeSystem (DIES) Lrsquoeacutechange dans le DIESse fait par des documents XML (Ex-tensible Stylesheet Language) (W3CXML 1998) La structure des docu-ments est deacutefinie avec des XMLSchemas Les deux scheacutemas Internatio-nal Development Markup Language(IDML) et idmlReporting sont utiliseacutesIDML est un standard eacutemergeant pourlrsquoeacutechange drsquoinformations geacuteneacuterales surdes projets humanitaires (IDML2000) IdmlReporting est une exten-sion de IDML proposeacutee par lrsquoauteurpermettant de structurer des rapportset des eacutevaluations de projets(Huesemann 2002b) Prochaines parutions

deacutelai reacutedaction parution

10 281102 1712021 060103 210103

SommaireFI 92002

Plate-forme drsquoeacutechange drsquoinforma-tions dans le domaine de projetshumanitairesStefan Huumlsemann 1sic-info 2Accegraves au reacuteseau pour les hocirctesJacques Virchaux 2Cellule AFS agrave lrsquoEPFLFelipe Valenz 3Confeacuterence Steltor 2002Franck Perrot 6Linux et la programmationtemps-reacuteelRaphaeumll Arrigoni ampFiorenzo Gamba 9Portable Batch Systemun standard pour lrsquoEcole Jean-Michel Chenais ampTrach-Minh Tran 11Web services passe-moi le selPierre Crevoisier 13Creacuteation drsquoun modegravele personna-liseacute dans PowerPointJacqueline Frey 15Programme des cours 17Distribution drsquoordinateursportables aux eacutetudiants delrsquoEIVDRoland Calinon ampHenri Roumlthlisberger 19Calendrier 20


Flash informatiqueLes articles ne reflegravetent que lrsquoopinion de leurs auteurs Toutereproduction mecircme partielle nrsquoest autoriseacutee qursquoavec lrsquoac-cord de la reacutedaction et des auteursReacutedacteur en chef Jacqueline Dousson fiepflch

Mise en page amp graphismeAppoline Raposo de Barbosa

Comiteacute de reacutedaction Omar Abou Khaled Jean-DanielBonjour Nicolas Bouche MilanCrvcanin Pierre Kuonen JacquesMenu Elaine Mc Murray PhilippePichon Franccedilois Roulet ChristopheSalzmann amp Jacques Virchaux

Impression Atelier de Reprographie EPFLTirage 4000 exemplaires

Adresse Web httpsicepflchpublicationsAdresse SIC-SA EPFL CP 121

CH-1015 LausanneTeacuteleacutephone +41 21 69 32246 amp 32247

sic-infoAllo crsquoest Le flash informatique quivous parlehellip

Abonnement eacutelectroniqueVous pouvez si vous le deacutesirez recevoir chaque mois par

courrier eacutelectronique le sommaire du Flash informatique avecune pointeur sur la version en ligne Pour cela il vous suffitpour vous inscrire drsquoenvoyer un message quelconque agrave

fi-subscribelistesepflchLe logiciel geacuterant la liste vous renverra un message pour

vous demander de confirmer lrsquoinscription Nrsquoheacutesitez pas agravefaire connaicirctre ce nouveau service autour de vous

ElargissementSigne drsquoouverture de notre revue agrave nos partenaires uni-

versitaires et Hautes Ecoles romandes vous trouverez dansce numeacutero les principaux reacutesultats drsquoune thegravese soutenue agravelrsquoUniversiteacute de Fribourg une expeacuterience de distribution deportables aux eacutetudiants de lrsquoEcole drsquoIngeacutenieurs drsquoYverdon etun article sur la programmation temps-reacuteeacutel en Linux quinous vient de lrsquoEcole drsquoIngeacutenieurs et drsquoArchitectes de Fri-bourg

Crsquoest nous lrsquoespeacuterons le deacutebut drsquoune longue collabora-tion

JacquelineDoussonepflch SIC

Arriveacutees agrave la section exploitation du SIC

Suite au deacutepart quasi simultaneacute de 2 collaborateurs (pu-pitreuse et stagiaire) ce printemps et agrave larriveacutee de M Denis

Aguet leacutequipe qui gegravere la salle machineet les peacuteripheacuteriques a fonctionneacute enmode restreint cet eacuteteacute Pour la compleacute-ter nous avons accueilli M JonathanSonnard le 1er octobre Jonathan estengageacute en tant que stagiaire opeacuterateur-pupitreur pour une anneacutee

Il peut ecirctre atteint comme ses collegrave-gues au no 021 69 322 04

Le 1er novembre nous avons eacutega-lement accueilli M Aristide Boisseauingeacutenieur INSA (Rennes) qui prenden charge en tant quadministrateur duservice la mise en place et le suivi dusystegraveme global de back-up baseacute sur lesproduits Veritas (teacutel 021 69 322 30)Felipe Valenz fonctionnera commeremplaccedilant pour ce service alors queA Boisseau fera de mecircme pour le ser-vice de fichiers AFS geacutereacute par Felipe

Nous souhaitons la bienvenue agrave ces deux nouveaux col-legravegues et espeacuterons que leur nouvelle responsabiliteacute leur ap-portera satisfaction et sera fructueuse

MichelJauninepflch SIC

Accegraves au reacuteseaupour les hocirctes

JacquesVirchauxepflch SIC

Deacutesormais les hocirctes de lrsquoEPFL ndashqursquoils soient professeursinviteacutes stagiaires de passage ou participants agrave un congregraves ouagrave une confeacuterencendash peuvent obtenir un accegraves au reacuteseau sansavoir de numeacutero SCIPER attribueacute

Si lrsquoaccegraves libre-service au reacuteseau est deacutejagrave bien connu parle biais du client VPN et de lrsquoauthentification GASPAR ilne peut ecirctre utiliseacute que par les personnes ayant eacuteteacute identi-fieacutees avec une carte CAMIPRO Pour des eacutetudiants ou lepersonnel qui fait un seacutejour drsquoune certaine dureacutee cela nepose guegravere de difficulteacutes Cependant il en va autrement pourles hocirctes de passage

Deux nouveaux types drsquoaccegraves sont deacutesormais disponi-bles accegraves de type inviteacute avec le client VPN pour garantir la

confidentialiteacute des communications (90 jours maxi-mum)

accegraves de type congregravesconfeacuterence sans client VPN per-mettant lrsquoaccegraves agrave Internet sans aucune confidentialiteacute(7 jours maximum)Ces deux accegraves ne permettent drsquoutiliser qursquoInternet mais

pas lrsquoIntranet ni les ressources auxquelles ont droit les mem-bres de lrsquoEPFL (distribution de logiciels par exemple) Leurdureacutee est volontairement limiteacutee dans le temps

Lrsquooutil de gestion disponible sur la page httpnetworkepflchaliseguesthtml permet aux personnes auto-riseacutees drsquoouvrir et modifier les accegraves temporaires pour leurshocirctes Pour pouvoir utiliser cet outil (service Accegraves VPN) ilfaut srsquoadresser agrave son administrateur GASPAR drsquouniteacute (pourle connaicirctre voir la page drsquoaide httpgasparepflchnetcenterhelpmainhelphtm)


Cellule AFS agrave lrsquoEPFL(A single shared name space for all users from all machines)

FelipeValenzepflch SIC

Introduction

Le travail sur un ordinateur implique entre autres lacreacuteation et manipulation de fichiers Les informations (don-neacutees) ne peuvent pas continuellement ecirctre stockeacutees dans lameacutemoire de lrsquoordinateur ainsi les donneacutees doivent ecirctre ac-cessibles en tout temps les file-systems existent pour cela

Nous pouvons parler de deux types de file-systems lesplus connus dans le monde universitaire UFS (Unix FileSystem) et NFS (Network File System)

UFS est le file-system standard local pour les machinesUnix ce file-system est accessible directement depuis la ma-chine

NFS est le file-system distribueacute stockeacute dans un serveurde fichiers Pour acceacuteder agrave ce file-system on doit le montersur votre machine

Andrew File System (AFS)

AFS est un systegraveme drsquoarchivage distribueacute qui fait penseragrave NFS mais avec beaucoup de diffeacuterences et qui permet lrsquouti-lisation de donneacutees situeacutees physiquement dans des machi-nes diffeacuterentes comme si elles eacutetaient toutes reacuteunies dansune seule uniteacute de stockage tout en gardant un controcirclerigoureux sur la seacutecuriteacute du systegraveme baseacute sur lrsquoapplicationKerberos De cette faccedilon AFS met en œuvre une seacuterie drsquouni-teacutes de stockage qui sont deacutefinies sur chaque machine sous laforme drsquoun reacutepertoire commun nommeacute afs

Andrew fut le nom du projet de recherche du CentreTechnologique de lrsquoUniversiteacute Carnegie-Mellon (CMU) agravePittsburgh (Pennsylvania) en honneur aux fondateurs decette Universiteacute (httpwwwcmuedu)

Lrsquoentreprise Transarc Corporation fut creacuteeacutee pour qursquoAFSdevienne un produit commercial Le nom Andrew fut aban-donneacute pour devenir simplement AFS pour indiquer qursquoildeacutepassait la recherche drsquoorigine et qursquoil commenccedilait agrave ecirctresupporteacute Transarc Corporation devint IBM Pittsburgh Labs(httpwwwtransarccom) suite agrave son rachat IBM diffusele code-source du produit AFS et fait une copie pour lacommunauteacute de deacuteveloppement et maintenance drsquoAFSOpenAFS est neacute

OpenAFS (httpwwwopenafsorg) est disponible pourles plates-formes Unix Linux Windows et MacOS

Le projet de serveur de fichiers baseacute AFS a eacuteteacute lanceacute dansnotre Ecole dans le cadre du projet IT2001 et agrave la demandedrsquoune large fraction de la communauteacute universitaire Ce projetdoit permettre aux eacutetudiants de lrsquoEPFL drsquoacceacuteder de faccedilon seacute-curiseacutee et performante agrave leur home-directory depuis nrsquoimporteougrave sur le campus de lrsquoEPFL et eacutegalement depuis lrsquoexteacuterieurCela permettra aux administrateurs IT drsquoeacuteviter de creacuteer deshome-directories locaux pour les eacutetudiants si les besoins ne deacute-passent pas lrsquoordre de 250 MB Il permet aussi le partage defichiers entre groupes drsquoutilisateurs et doit ecirctre accessible de toutesles plates-formes supporteacutees agrave lrsquoEPFL

Kerberos

Kerberos est un protocole drsquoauthentificationsur le reacuteseau Il fournit une forte seacutecuriteacute pourdes applications serveur-client gracircce agrave uncryptage secret par cleacutes Kerberos est disponiblesur plusieurs produits commerciaux

Internet nrsquoest pas un service sucircr et ses proto-coles de communication de base nrsquooffrent aucuneseacutecuriteacute (des outils performants pour renifler lereacuteseau existent ) Les applications qui envoientdes passwords non crypteacutes par le reacuteseau sont tregravesvulneacuterables Lrsquoexistence de firewalls ne reacutesoutpas les problegravemes occasionneacutes par des hackerset quelques-uns pourraient se trouver dans lesite mecircme proteacutegeacute par le firewall

Athena Project


Kerberos fut creacuteeacute par le MIT (Massachusetts Institute ofTechnology) agrave Cambridge (httpwwwmitedu) dans le ca-dre du projet Athena (httpWebmiteduisathena) en reacute-ponse aux problegravemes de seacutecuriteacute Crsquoest une solution pourla seacutecuriteacute de transfert des informations par le reacuteseau avecses outils drsquoauthentification et un cryptage fort

Kerberos maintient en plus un controcircle sur les proces-sus en octroyant des tickets (tokens) pour qursquoils puissentecirctre exeacutecuteacutes

Serveur de fichiers

CREDENTIALS

TICKET

Session key encrypted wsecret

Authentification server

Session key encrypted wpassword

TICKET


Loginrequest

Client File serverpassword Secret

Copies of all thepasswords secrets

Dans ce systegraveme il y a drsquoun cocircteacute un serveur et de lrsquoautreun client La communication entre serveur et client estauthentifieacutee et seacutecuriseacutee

Terminologie

Token (ticket jeton)correspond agrave la permission du service donneacute parKerberos Un token permet lrsquoutilisation des fichiers AFS

Cell (cellule cage)crsquoest un groupe de serveurs et clients AFS Exempleepflch cernch ethzch zurichibmch mathematik-cipuni-stuttgartde athenamitedu ictptriesteititcauthgr ificuves hellip

Volume (volume espace)de la mecircme faccedilon qursquoUnix divise le disque en partitionsAFS divise ses espaces en volumes qui sont les endroitsde stockage des donneacutees

Home Directory (directoire de base)crsquoest le volume ougrave se trouvent les donneacutees de lrsquoutilisa-teur Par convention le home-directory AFS de lrsquoutilisa-teur est afscell-nameuser-homeExemple afsictptriesteitgalilei

Mount Point (point de montage)dans lrsquoarborescence des directoires ces directoires sontagrave vrai dire des liens pour les diffeacuterents volumes Exem-ple un cd galileicoso parcourt un mount point vers levolume afsitcptriesteitgalileicoso

Architecture

Lrsquoeacuteleacutement majeur drsquoAFS est la cellule (cell) Une celluleconstitue un domaine administratif drsquoautoriteacute Chaque cel-lule a sa propre liste drsquoutilisateurs groupes et administra-teurs de systegraveme ce qui implique qursquoun utilisateur drsquounecellule nrsquoexiste pas dans une autre cellule

Chaque cellule est constitueacutee de volumes Un volumeest une collection de fichiers et directoires qui sont groupeacutesavec un nom Votre home-directory est un volume nommeacuteuserusername (par exemple uservalenz)

Le volume qui correspond agrave afs se nomme rootafs Cedirectoire afs contient les mount-points de la racine pourchaque cellule (dans notre cas epflchrootcell)

Si vous faites un ls afs vous verrez les directoires descellules AFS

Les cellules peuvent ecirctre locales (dans le mecircme LAN)ou ailleurs dans le monde

Avec AFS on peut acceacuteder agrave tous les file-systems sousafs avec les commandes Unix connues telles que cd cprm mv vi etc Toute lrsquoarborescence afs est consideacutereacuteecomme une arborescence locale et vous travaillez comme sivous eacutetiez sur votre machine locale

Avantages

Cache ManagerLe client AFS exploite le Cache Manager qui maintient

les informations sur lrsquoidentiteacute des utilisateurs connecteacutes agravela machine fait la gestion des donneacutees au nom de lrsquoutilisa-teur et conserve les fichiers reacutecupeacutereacutes sur le disque local

Situation drsquoindeacutependanceAu contraire de NFS qui fait usage de etcfilesystems

(etcfstab du client) pour monter comme directoire localun file-system drsquoune autre machine (dans le reacuteseau) AFS lemonte sur le serveur Ceci est un grand avantage du fait demettre agrave disposition un espace (file-system) indeacutependantPour mieux comprendre cet avantage voici un exemplesupposons deux serveurs et 50 clients Avec NFS il faudraitchanger le fichier etcfstab sur les 50 machines clientes etlaisser le home off-line pendant que vous le montez sur lesserveurs Avec AFS il faut simplement monter le volumeAFS (des serveurs) qui contient le home de la machinecliente

Dynamisme de la celluleUne cellule AFS peut grandir dynamiquement ajouter

de nouveaux serveurs de fichiers devient simple en cas debesoin pour pouvoir reacutepondre aux demandes des utilisa-teurs

Faciliteacute drsquoutilisationLrsquoaccegraves aux fichiers du serveur devient beaucoup plus

simple que par NFS il suffit drsquoaller dans votre directoirelocal afs Vous nrsquoavez plus besoin de garder des copies lo-cales de vos fichiers laissez agrave AFS le travail drsquoacceacuteder et decacher les fichiers lorsque vous en aurez besoin

Cellule AFS agrave lrsquoEPFL


Seacutecuriteacute de haut niveauTout drsquoabord AFS fait usage de Kerberos pour lrsquoauthen-

tification de lrsquoutilisateur Cela signifie que le password ne circule pas sur le reacuteseau en clair le password encrypteacute nrsquoa plus besoin drsquoecirctre visible AFS utilise une double authentification du serveur et

du clientEnsuite AFS utilise les Access Control Lists (ACLs) pour

geacuterer le niveau des accegraves des utilisateurs agrave leurs propres reacute-pertoires

Copies de seacutecuriteacuteLes fichiers AFS sont stockeacutes dans les volumes Ces vo-

lumes reacutesident sur les disques du serveur de fichiers AFSLes volumes avec les donneacutees sont reacutepliqueacutes read-only surdrsquoautres serveurs Le Cache Manager (dans la machine clientede lrsquoutilisateur) fera usage drsquoun volume reacutepliqueacute si un ser-veur est inaccessible agrave cause drsquoune panne ou de problegravemede reacuteseau

Protocole de communication optimiseacuteLe protocole de communication AFS est optimiseacute pour

les reacuteseaux agrave grande eacutechelle

Faciliteacute drsquoadministrationLes administrateurs de serveurs AFS peuvent faire la

gestion de leur serveur depuis nrsquoimporte quelle machinecliente AFS (le login au serveur de fichier nrsquoest pas neacuteces-saire)

Soliditeacute en cas de crashLe Cache Manager garde des copies locales des fichiers

utiliseacutes Ainsi en cas de crash du serveur de fichiers AFS lesfichiers sont toujours accessibles (mais la mise agrave jour de fi-chiers ne sera possible que lorsque le serveur deviendra agravenouveau opeacuterationnel)

Cellule epflch et Serveur-fichiers afs1

Serveur DB kd1

Serveur de fichiers afs1

Volume NameID NumberLocation - Server - Partition()

VLDB

1 4 7

2

3

56

Client AFS

Le Cache Manager1 extrait le nom du volume associeacute au point-montage2 fait la requecircte dinformation sur lemplacement du volume3 reccediloit linformation sur lemplacement du volume4 met linformation de lemplacement du volume dans le cache5 fait la requecircte du fichier6 reccediloit le fichier7 met le fichier dans le cache

La cellule AFS epflch est neacutee le 28 mai 2002 Elle a eacuteteacuteinitialiseacutee par un premier serveur de fichiers afs1 avec sabase de donneacutees Kerberos principale kd1et ses deux reacutepli-ques de seacutecuriteacute kd2 et kd3 Le premier ticket drsquoauthentifi-


cation (token) a eacuteteacute donneacute agrave son administrateur adminepflch est devenue la cinquiegraveme cellule AFS en Suisse (apregravescernch ethzch ibmch et psich) Notre serveur de fichierset ses 3 bases des donneacutees sont supporteacutes par 4 machinesSun NetraT1 et par un A1000 avec 280 GB (rack de dis-ques Raid)

Validation sur le serveur de fichiers afs1

Toute demande de validation pour le serveur de fichiersafs1 doit ecirctre faite agrave travers le service Gaspar (httpgasparepflch) Dans lrsquoeacutetat actuel la validation est limiteacutee agravecertains eacutetudiants et aux gestionnaires de ces eacutetudiants Leservice AFS sera eacutelargi ulteacuterieurement

Home-Directory de lrsquoutilisateur EPFL

Lrsquousager EPFL valideacute sur le serveur afs1 trouvera sonhome-directory sous la forme afsepflchusersxxuser-nameougrave x est la premiegravere lettre de son user-name Exemple lrsquoutili-sateur gabrielamistral trouve son home-directory dans afsepflchusersggabrielamistral Pour la petite histoire (httpwwwnetsrqcom~dboismistralhtml)

epflch users

b t v z

todorov valenz

afs1

Client AFS

etc afs

Client AFS

etc afs

Client AFS Client AFS

Serveurs AFS

afs1

etc afs etc afs

Clients AFS

Lrsquoinstallation de lrsquoapplication cliente pour AFS pour les4 plates-formes Linux MacOS Solaris et Windows est ex-pliqueacutee agrave lrsquoURL httpsicepflchSEAFS

VPN et AFS

Lrsquoutilisateur qui voudra acceacuteder agrave la cellule epflch et sonserveur de fichiers AFS depuis un accegraves libre-service ou horsde lrsquoEcole doit preacuteceacutedemment avoir ouvert le tunnel seacutecu-riseacute VPN (httpnetworkepflchvpn) pour se connecter aureacuteseau EPNET

Je tiens agrave remercier mes collegravegues Krassimir Todorov delrsquoEPFLSIC et Erwin Broschinski de lrsquoETHZSystemdienstepour leur aide preacutecieuse lors de la mise en place de ceprojet


es 19 et 20 septembre 2002 a eu lieu agrave Montreacuteal laconfeacuterence des utilisateurs du calendrier partageacute Steltor reacute-cemment acheteacute par Oracle Concurrent du produitExchange de Microsoft et du groupware Lotus lrsquoEPFL aacheteacute il y a quelques mois 50 licences utilisateurs de ce pro-duit afin drsquoen tester les fonctionnaliteacutes Etant donneacute la neacute-cessaire complexiteacute de lrsquoinfrastructure informatique drsquounegrande eacutecole comme lrsquoEPFL (multi-plates-formes proto-coles standards largement deacuteployeacutes tels qursquoIMAP LDAP)Steltor est apparu rapidement comme le produit agrave mecircme dereacutepondre agrave nos attentes Ce nrsquoest pas un hasard si Steltor estlargement utiliseacute dans les grandes universiteacutes drsquoAmeacuterique duNord comme le MIT Ce nrsquoest eacutegalement pas un hasard siExchange est boudeacute par ces mecircme universiteacutes car cela re-mettrait en cause leur propre histoire informatique laquellerepose comme nous massivement sur des produits stan-dard et ouverts Les clients des produits Steltor preacutesents agravecette confeacuterence confirmeront ce point de vue mettant ainsien garde Oracle

Rachat de Steltor par Oracle

Oracle pense que le calendrier Steltor est le meilleur pro-duit du marcheacute et qursquoil constitue le coeur technologique drsquounmarcheacute tregraves porteur Pratiquement tous les employeacutes deSteltor ont inteacutegreacute Oracle et resteront baseacutes agrave Montreacuteal Leprincipal inconveacutenient de ce rachat est que les clients aurontcertainement moins drsquoinfluence sur le devenir du produitEn contrepartie le produit beacuteneacuteficiera du support drsquouneentreprise beaucoup plus solide de lrsquoaccegraves aux technologiesde celle-ci et gagnera probablement en visibiliteacute agrave long terme

Collaboration Suite (CS)

CS est un ensemble de logiciels (ou groupware) structu-reacutes deacutedieacute agrave la collaboration eacutelectronique Chacune des appli-cations (composants) citeacutees ci-dessous pourra ecirctre installeacuteeou non A partir de la version 2 toutes srsquoappuieront sur lrsquoin-frastructure Oracle Neacuteanmoins et bien que les dirigeantsdrsquoOracle ne mrsquoont pas paru tregraves clair sur les points suivantsil semble acquis que OpenLDAP iPlanet Directory et Active Directory se-

ront supporteacutes dans la version 2 et pourront ecirctre syn-chroniseacutes avec OID (Oracle Internet Directory)

de nombreux serveurs IMAP seront supporteacutes dont ceuxdrsquoiPlanet de Microsoft Exchange de Lotus de Cyrus etde lrsquoUniversiteacute de Washington

Confeacuterence Steltor 2002compte-rendu des 19 et 20 septembre

FranckPerrotepflch SIC

Composants de CS

1 Accegraves clients natifs outlook (Windows seulement) Web (le

lookampfeel peut ecirctre personnaliseacute pour srsquointeacutegrer dans unportail) wireless (accegraves au calendrier depuis un mobilesupportant WAP ou iMode signalisation de modifica-tion par SMS) voixfax voice assistant instantmessaging (chat)

10 langues supporteacutees Calendar Sync (PDA) Palm for Mac PalmPocket PC

pour Windows Calendar SDK Java bindings Calendar API deacuteveloppement possible de nouvelles in-

terfaces configurables gracircce agrave un ensemble de fonctionsC utilisant lrsquoAPI ou au travers drsquoXML et de SOAP enutilisant les Web services Ceci permet drsquointeacutegrer le ca-lendrier dans un portail (e-pfl) Les langages utiliseacutes peu-vent ecirctre C C++ VB ou Java

2 Applications Calendrier Email (IMAP4 POP3 SSL MIME

ESMTP) Search (text index) Voicemail Files (serveurde fichiers Web FTP NFS SMB AFP) Webconferencing collaboration (iMeeting desktopworkgroup)

3 Infrastructure Application server OID (LDAPv3) Security

SGBDWeb services CS API

Remarques importantes

Le serveur deacutetient toutes les informations dans une basede donneacutees Chaque client se connecte au serveur opti-misation fiabiliteacute performance accegraves au calendrier entemps reacuteel ce qui nrsquoest pas le cas avec Exchange Le faitque tout se trouve dans une base de donneacutees offre demultiple avantages pas de reacuteplication au niveau desclients modification accessible instantaneacutement pas dedeacutelai drsquoattente Administration simplifieacutee cluster pos-sible pour plus de fiabiliteacute

Sur Unix 20rsquo000 utilisateurs possible sur un seul ser-veur (beaucoup plus qursquoExchange)

Administration via le Web ou agrave lrsquoaide de scripts pourdes tacircches automatiques

3 sortes de compte client utilisateur ressources (ex sallede confeacuterence projecteurs) eacuteveacutenement (informations di-verses)


Clients vraiment multi-plates-formes natifs (WindowsMac Motif Linux Solaris HP-UX AIX) outlook Web(Apache FastCGI permettant une connexion persistanteavec le serveur) depuis un mobile avec un micro-buti-neur (GPRS XML) SMS et synchronisation synchro-nisation PDA API

Tous les services (calendrier Email to-do lists notes)de CS sont accessibles depuis une interface commune

Le SGBD inclus agrave CS ne peut ecirctre utiliseacute ailleurs

Perspectives

De mon point de vue CS est probablement un tregraves bonproduit Il srsquoappuie sur des standards largement utiliseacutes agrave lrsquoEPFL La connexion entre CS et notre propre infrastructure

(serveur IMAP OpenLDAP Gaspar) semble possible Lrsquoaccegraves srsquoeffectue depuis pratiquement nrsquoimporte quelle

plate-forme du PC au mobile en passant par le PDA etle Web

Il est sans doute supeacuterieur aux produits concurrents Il devrait pouvoir srsquointeacutegrer relativement facilement dans

le portail e-pfl (API java) Agrave cocircteacute du calendrier plusieurs composants de CS peu-

vent vraiment nous inteacuteresser en particulier le serveurde fichiers (Files) et le partage de desktop ou documents(iMeeting)

Il est probable que les conseacutequences induites (coucircts qursquoen-traicircneraient lrsquoabandon de logiciels ouverts gratuits) delrsquointeacutegration de CS agrave lrsquoEPFL soient beaucoup moins lour-des agrave supporter que celle des produits concurrents

RoadmapSeptembre 2002

Steltor Corporate time (calendrier partageacute actuellementen test agrave lrsquoEPFL) amp Collaboration Suite V1

Deacutebut 2003Oracle Calendar et Collaboration Suite V2 (Oraclecalendar est la partie calendrier de CS V2 installeacute enstandalone)

Deacutebut 2004Collaboration Suite V3 (le calendrier ne peut plus ecirctreinstalleacute en standalone)

Conclusions

Le deacuteploiement drsquoun groupware de cette envergure im-plique neacutecessairement une eacutetude approfondie La difficulteacutemajeure reste la question de son inteacutegration dans une infras-tructure ouverte comme la nocirctre Si lrsquoEPFL souhaite pour-suivre lrsquoexpeacuterience il faudra eacutetudier la version drsquoOracle (CSversion 2) preacutevue en 2003

Il est agrave noter que lrsquointeacutegration de CS agrave lrsquoEPFL nrsquoest pas agraveprendre agrave la leacutegegravere eacutetant donneacutee lrsquoampleur des outils agrave dis-position du support ineacutevitable agrave donner aux utilisateurs delrsquoadministration CS pourrait devenir agrave terme si lrsquoEPFL deacute-cidait de lrsquoutiliser agrave grande eacutechelle (eacutetudiants) une nou-velle plate-forme logicielle critique agrave part entiegravere Il faudraiten outre preacutevoir des cours drsquoutilisation pour chacun des com-posants utiliseacutes

Il ne faut pas voir CS comme un nouvel outil secon-daire mais reacuteellement comme une nouvelle plate-forme fa-cilitant la collaboration interne laquelle pourrait devenir agravelong terme essentielle Que Microsoft Lotus Oracle et Suninvestissent agrave ce point sur ce nouveau marcheacute prouve srsquoil estencore besoin que ce type de produits deviendra agrave nrsquoen pasdouter essentiel et critique dans un proche avenir commelrsquoa eacuteteacute la bataille sur les butineurs il nrsquoy a pas si longtempsReste agrave veacuterifier lrsquoimportance de lrsquointeacuterecirct des utilisateurs delrsquoEPFL pour ce type drsquooutil

suite de la premiegravere page

Plate-forme drsquoeacutechange drsquoinformations dans le domaine de projets humanitaires

Architecture du DevelopmentInformation Exchange System (DIES)

La figure 1 (en page 8) montre lrsquoarchitecture et le fonc-tionnement du DIES

Le systegraveme drsquoeacutechange fonctionne de la maniegravere suivante(les numeacuteros se reacutefegraverent au graphique)(1) Une personne ou un systegraveme drsquoinformation se connecte

au DIES par le Web(2) Le DIES identifie lrsquoutilisateur et ses droits drsquoaccegraves agrave lrsquoaide

drsquoune base de donneacutees (BD) Lrsquoutilisateur choisit parmiles documents et les feuilles de style (Extensible StylesheetLanguage XSL) agrave sa disposition

(3) Le DIES prend contact par Internet avec les systegravemesdes fournisseurs drsquoinformations sur lesquels se trouventles documents et feuilles de style seacutelectionneacutes

(4) Les systegravemes connecteacutes renvoient les informations auDIES dans le format XML

(5) Selon les droits drsquoaccegraves et le format choisi le documentXML est transformeacute et formateacute (XSL Transform et XSLFormating Objects)

(6) Le reacutesultat est envoyeacute agrave lrsquoutilisateur Il est par exemplepossible de geacuteneacuterer des pages HTML des documentsPDF ou de nouveau du XML

(7) Selon le format le document peut ensuite ecirctre importeacutede maniegravere automatiseacutee dans le systegraveme du demandeurdrsquoinformations en utilisant un processeur XML

Quand un fournisseur drsquoinformations veut mettre agrave dis-position de nouveaux documents agrave certains membres duDIES il doit enregistrer lrsquoURL (Unique Resource Locator) surla plate-forme Le document ne doit pas forceacutement existerphysiquement agrave cette URL Il peut aussi ecirctre geacuteneacutereacute au mo-

Confeacuterence Steltor 2002


ment de la requecircte du DIES par un wrapper (enveloppe)crsquoest-agrave-dire un geacuteneacuterateur XML qui a eacuteteacute programmeacute pourun systegraveme de gestion de projets par exemple

ConclusionsIl est important de remarquer que les documents XML

et les feuilles de style XSL ne sont pas dupliqueacutes dans leDIES Seule la reacutefeacuterence aux documents est sauvegardeacutee dansla base de donneacutees sous forme drsquoune URL Ainsi le contenuet le formatage des documents sont seacutepareacutes et teacuteleacutechargeacutes aumoment de la demande de lrsquoutilisateur Lrsquoaccegraves aux systegravemessous-jacents peut ecirctre limiteacute au DIES afin drsquoeacuteviter que lesinformations soient vues par des tiers non-autoriseacutes

Le concept du DIES permet de reacutealiser un systegraveme drsquoin-formations faiblement coupleacute (anglais loosely coupled) Lrsquoar-chitecture correspond agrave lrsquoapproche mediator-wrapper(Papakonstantinou Gupta amp Haas 1998 Thiran 2001) Lessystegravemes relieacutes doivent uniquement avoir un wrapper qui

produit des documents XML du type IDML ouidmlReporting Une base de donneacutees pour la gestion drsquoin-formations sur les projets humanitaires agrave eacutegalement eacuteteacute reacutea-liseacutee en coopeacuteration avec la Banque Mondiale (WorldBank2002) et le Development Gateway (DG 2001) Le systegravemesrsquoappelle AIDA PC et possegravede un wrapper pour lrsquoimporta-tion et lrsquoexportation de documents IDML (Huesemann2002c) Ainsi AIDA PC peut servir de fournisseur drsquoinfor-mations pour le DIES qui fonctionne comme mediator

Le DIES peut ameacuteliorer la coordination entre organisa-tions humanitaires gracircce agrave la possibiliteacute de relier divers sys-tegravemes drsquoinformations Il permet aussi aux participants deprojets humanitaires drsquoeacuteviter de commettre des erreurs enutilisant les expeacuteriences faites dans drsquoautres projets documen-teacutes dans les rapports et eacutevaluations disponibles par le DIES

Plus drsquoinformations sur ce travail de doctorat sont dis-ponibles sous (Huesemann 2002a)

Bibliographie

DG (2001) Homepage Development Gatewayhttpwwwdevelopmentgatewayorg (662002)Development Gateway (DG)

Huesemann S (2001) Web-basierte Informationssysteme alsHerausforderung In VM - Fachzeitschrift fuumlr Verbands-und Nonprofit-Management Vol 22001 S 34-41

Huesemann S (2002a) Homepage Dissertation StefanHuumlsemann httpiiufpc06unifrchHuesemannDiss(1102002)

Huesemann S (2002b) idmlReporting Documentationhttpiiufpc06unifrchschemasidmlreportingidmlReporting_documentationidmlReporting_documentationhtml (1102002)

Huesemann S (2002c) Information Exchange BetweenHumanitarian Organizations Using the XML SchemaIDML In Journal of the Association for InformationSystems (JAIS) Vol 3 Juni 2002 S 1-26

IDML (2000) International Development Markup Languagehttpwwwidmlinitiativeorg (12122000) IDMLInitiative

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Thiran P (2001) Extraction of Reusable Components InDonneacutees Heacuteteacuterogegravenes sur le Web Interopeacuterabiliteacute Feacutedeacute-ration de soruces heacuteteacuterogegravenes et Bases de donneacutees Seacutemi-naire du 3egraveme cycle romand drsquoinformatique Ecole Poly-technique Feacutedeacuterale Lausanne (EPFL) Lausanne Suisse

W3CXML (1998) Specification of XML Standardhttpwwww3orgXML (582002) WWW Con-sortium (W3C)

WorldBank (2002) Homepage World Bankhttpwwwworldbankorg (562002) World Bank


Fournisseur dinfos

Wrapper (geacuteneacuterateur XML)

BDFichier Formats

divers

Fournisseur dinformationsp ex organisation humanitaire

Wrapper (processeur XML)

BDFichier Formats

divers

Demandeur dinformationsp ex donateur institutionnel

demandeur dinfos

Fluxdinformations

Systegravemes indeacutependants

Fournisseurdemandeur dinfos

DIESWWW Serveur

DBXSLTXSL-FO

1

7

7

62 5

3

4

Fig 1 Architecture du Development Information Exchange System


Introduction

Dans lrsquoindustrie informatique il existe de nombreux sys-tegravemes drsquoexploitation temps-reacuteel qui sont vendus par les en-treprises agrave travers diffeacuterents modes de distributions et de li-cences Aujourdrsquohui avec le monde de lrsquoopen source et plusparticuliegraverement avec Linux et son impleacutementation drsquointer-face de programmation de IEEE POSIX1 il est possibledrsquoeacutecrire des applications temps-reacuteel pour des systegravemes em-barqueacutes sans avoir recours agrave un systegraveme drsquoexploitation pro-prieacutetaire Linux procure de formidables possibiliteacutes dans laprogrammation temps-reacuteel mais il contient eacutegalement cer-taines limites

Nous allons donc explorer le fonctionnement de Linuxface aux caracteacuteristiques et aux exigences de la programma-tion temps-reacuteel dont nous nrsquoaborderons que la partielogicielle Une application simple une chaicircne de fabricationde wagons-jouets en couleurs illustrera nos propos Danscette chaicircne les wagons doivent ecirctre aiguilleacutes dans diffeacuteren-tes directions en fonction de leur couleur

Cet article est baseacute sur la version du noyau Linux 24-18

Linux et les caracteacuteristiques duSystegraveme temps-reacuteel

Un systegraveme est dit temps-reacuteel srsquoil est capable de reacutepon-dre agrave temps et tout le temps agrave un eacuteveacutenement exteacuterieur dansun intervalle temporel deacutefini Dans un systegraveme temps-reacuteelaucun deacutepassement du temps drsquointervalle deacutefini nrsquoest accep-table car les conseacutequences drsquoun dysfonctionnement peuventecirctre dramatiques Par exemple la surchauffe drsquoun reacuteacteurnucleacuteaire peut entraicircner de graves conseacutequences si il nrsquoestpas deacutetecteacute dans le temps deacutefini Cependant un systegravemetemps-reacuteel nrsquoest pas obligatoirement un systegraveme rapide Linuxprouve qursquoil peut ecirctre un systegraveme drsquoexploitation efficace etsucircr dans ce domaine

Le systegraveme temps-reacuteel reacutesulte de la combinaison de ma-teacuteriels drsquoun systegraveme drsquoexploitation et drsquoapplications Enfinun systegraveme temps-reacuteel doit aussi ecirctre capable drsquoexeacutecuter destacircches dans des temps preacutecis et ceci de maniegravere peacuteriodiqueou non-peacuteriodique

Exemple Aiguillage de wagons

Dans un centre de triage les wagons qui sortent drsquouneusine de peinture sont automatiquement aiguilleacutes dans dif-feacuterentes directions en fonction de leur couleur

Linuxet la programmation temps-reacuteel

Raphaeumll Arrigoni rarrigonilynuxtrainingcom httpwwwlynuxtrainingcomamp FiorenzoGambaeifch EIF-Teacuteleacutecommunications

La contrainte de temps lieacutee au systegraveme temps-reacuteel sup-pose que le wagon sortant de lrsquousine de peinture soit dansun premier temps deacutetecteacute par le capteur Le systegraveme doitdans un second temps lire sa couleur et prendre une deacuteci-sion sur lrsquoaiguillage avant que le wagon nrsquoarrive dessus Danscet exemple le systegraveme doit toujours ecirctre plus rapide que ladureacutee de trajet du wagon du capteur agrave lrsquoaiguillage

UsineUsine

CapteurCapteur

SystegravemeLinux

SystegravemeLinux

AiguilleurAiguilleur

Si le seul travail du systegraveme est de geacuterer la sortie des wa-gons il est plus facile de garantir un temps de reacuteponse Ce-pendant en reacutealiteacute de tels systegravemes gegraverent plusieurs eacuteveacutene-ments exteacuterieurs et de multiples applications sont en exeacutecu-tion agrave des niveaux de prioriteacutes diffeacuterents

Deacutetection et seacutequence drsquoexeacutecution

Dans un systegraveme temps reacuteel il est neacutecessaire drsquoidentifiertout le code qui va ecirctre exeacutecuteacute entre la deacutetection de lrsquoeacuteveacutene-ment exteacuterieur et lrsquoaction

Dans notre exemple la deacutetection des wagons ainsi quecelle de la couleur peuvent se faire agrave lrsquoaide drsquoun capteur quigeacutenegravere une interruption pour chaque wagon qui passe Lrsquoin-formation est ensuite dirigeacutee dans lrsquoapplication qui prend ladeacutecision neacutecessaire pour lrsquoaiguillage du wagon

Codeapplications

Code systegravemedexploitation(Linux)

Hardware

Interfacegraphique Analyse Deacutecision Impression

DriverCapteur

DriverAiguilleur

Interruption(Detection wagon)

Commande delaiguillage

Drsquoune part la gestion des interruptions et lrsquoaccegraves mateacute-riel dans un systegraveme se font au moyen du code dans lrsquoespacenoyau Drsquoautre part la gestion des eacuteveacutenements se fait danslrsquoespace utilisateur qui peut ecirctre une application


Dans le design drsquoun systegraveme temps-reacuteel il est importantque le programmeur identifie les chemins critiques qui sontdes seacutequences de code qui ont besoin drsquoecirctre exeacutecuteacutees afinde reacutepondre agrave un eacuteveacutenement exteacuterieur Les chemins criti-ques peuvent se croiser et ont souvent des niveaux de priori-teacutes diffeacuterents

Temps de reacuteponse

Lors de la deacutetection drsquoune interruption le code se trou-vant sur le chemin critique doit pouvoir ecirctre exeacutecuteacute agrave saplus haute prioriteacute

Avec Linux et sa librairie pthread il est possible de pou-voir utiliser le processeur agrave plein reacutegime et drsquoarrecircter touteautre tacircche agrave lrsquoexception des routines drsquointerruption afin dereacutepondre agrave un eacuteveacutenement exteacuterieur

Le temps de reacuteponse se situe donc dans lrsquoexeacutecution detoutes les parties de code ainsi que dans drsquoautres activiteacutes quipeuvent avoir un impact sur la situation Il peut srsquoagir de code critique partageacute par des threads de diffeacuterentes prio-

riteacutes exeacutecution drsquoautres routines drsquointerruption appels systegraveme par drsquoautres threads

Ces derniers points peuvent avoir des conseacutequences gra-ves dans un systegraveme temps-reacuteel srsquoils ne sont pas pris en con-sideacuteration et nous allons voir comment Linux reacuteagit dansces domaines

Code critique partageacute

Preacutecisons que Linux est un systegraveme drsquoexploitation multithreads Un thread est lrsquoentiteacute la plus petite qui est exeacutecuteacuteesur le processeur par lrsquoordanceur Chaque thread pourra ecirctreexeacutecuteacute par le noyau en fonction drsquoun algorithme qui prenden compte la prioriteacute du thread et son intervalle de tempsdrsquoexeacutecution

Chaque thread peut exeacutecuter des fonctions Le problegravemesurvient lorsqursquoune fonction peut ecirctre exeacutecuteacutee simultaneacute-ment par 2 threads de faccedilon interlaceacutee La fonction peut alorsavoir des comportements diffeacuterents Pour eacuteviter des conseacute-quences facirccheuses les fonctions doivent ecirctre seacuterialiseacutees enutilisant des verrous du standard POSIX1

Dans un systegraveme temps-reacuteel il est important drsquoutiliserdes verrous avec lrsquoheacuteritage de prioriteacute ou agrave plafond afin drsquoeacutevi-ter des situations drsquoinversion de prioriteacute

Une situation drsquoinversion de prioriteacute survient lorsque un thread agrave basse prioriteacute commence agrave exeacutecuter du code

critique un deuxiegraveme thread agrave haute prioriteacute veut exeacutecuter la

mecircme fonction mais il reste bloqueacute agrave lrsquoentreacutee du codecritique parce que le verrou est verrouilleacute

un troisiegraveme thread de moyenne prioriteacute exeacutecute unefonction pour un temps indeacutetermineacute

Dans cette situation le thread de haute prioriteacute est blo-queacute sur le verrou parce que le thread de moyenne prioriteacute esten exeacutecution et empecircche le thread de basse prioriteacute de finirlrsquoexeacutecution du code critique

Dans lrsquoimpleacutementation de POSIX1 sur Linux ces meacute-canismes de prioriteacute drsquoinversion ou agrave plafond ne sont agrave lrsquoheureactuelle pas impleacutementeacutes Linux est donc limiteacute dans ce do-maine

Dans le design de votre systegraveme il est impeacuteratifdrsquoidentifier le code qui risque drsquoecirctre partageacute par des threads agravediffeacuterentes prioriteacutes et si possible de le dupliquer

Exeacutecution drsquoautres routines drsquointerruption

Le travail principal de lrsquoordonnanceur consiste agrave choisiren fonction drsquoun algorithme le thread qui peut ecirctre exeacutecuteacutesur le processeur Les entiteacutes qui peuvent ecirctre exeacutecuteacutees sanslrsquoaccord de lrsquoordonnanceur sont uniquement celles relativesaux routines drsquointerruptions qui vont avoir un impact directsur le temps de reacuteponse du systegraveme

En geacuteneacuteral les routines drsquointerruptions sur Linux sonttregraves courtes Le code se trouve dans une autre entiteacute qui peutecirctre une tasklet ou un bottom-half geacutereacutee en fonction drsquouneprioriteacute par lrsquoordanceur

Les appels systegravemes sont exeacutecuteacutes dans le contexte duthread qui fait lrsquoappel

Dans la personnalisation de Linux et de ses modules ilest impeacuteratif de connaicirctre drsquoune part les deacutetails des diffeacute-rents modules installeacutes et drsquoautre part lrsquoimpleacutementation desroutines drsquointerruption notamment leur temps de reacuteponseet de cadences maximum drsquoexeacutecution Cela eacutevite des surpri-ses sur les temps de reacuteponse du systegraveme temps-reacuteel

Appels systegravemes

Par deacutefaut le noyau de Linux 24 nrsquoest pas preacuteemptifUn thread qui fait un appel systegraveme non-bloquant devra at-tendre le retour de lrsquoappel afin de permettre lrsquoexeacutecution duthread suivant Cette contrainte peut rajouter des temps in-deacutefinis au temps de reacuteponse

Aujourdrsquohui le fait que le Linux ne soit pas preacuteemptifdans lrsquoespace noyau constitue une lacune facirccheuse lorsqursquoilest utiliseacute dans un systegraveme temps-reacuteel Cependant des tra-vaux sont en cours pour le rendre preacuteemptif et dans la ver-sion du noyau 25 tous les appels systegravemes devraient ecirctre reacute-entrants

Conclusion

A lrsquoheure actuelle Linux est tregraves utiliseacute dans le mondedes systegravemes embarqueacutes Il reste neacuteanmoins discret dans ce-lui du temps-reacuteel car il nrsquoa pas encore gagneacute la confiance desindustriels Ces derniers preacutefegraverent utiliser des variantes deLinux ou encore des systegravemes proprieacutetaires exempts des la-cunes qui handicapent Linux dans ce domaine

Le systegraveme drsquoexploitation Linux demeure donc un petitconcurrent dans la programmation temps-reacuteel mais atten-dons nous agrave ce que cette situation change tregraves vite-)

Linux et la programmation temps-reacuteel


Genegravese des systegravemes de gestion batch

Tout serveur de calcul centraliseacute ou pas se doit de dis-poser drsquoun logiciel permettant drsquoorganiser lrsquoexeacutecution de tousles travaux soumis en machine par tous ses utilisateurs

Lorsqursquoun utilisateur demande au serveur drsquoeffectuer unecertaine tacircche il le fait en soumettant un travail (job) sousforme drsquoune requecircte quantitativement exprimeacutee en termesde ressources meacutemoire temps de calcul nombre de proces-seurs espace de stockage Certaines ressources peuvent eacutega-lement srsquoexprimer aussi en termes de services possibiliteacutesdrsquoarchivage logiciels speacutecifiques calculs en temps reacuteeacutel oudeacutedieacute conservation des donneacutees etc

La palette de services qursquoun serveur de calcul met agrave dis-position des usagers est donc theacuteoriquement vaste et varieacuteetoutefois lrsquoessentiel de sa fonction est de permettre drsquoaccep-ter des travaux dont les 3 ressources principales (meacutemoirenombre de processeurs temps de calcul) sont bien deacutefinieset drsquoorganiser lrsquoexeacutecution de ces travaux selon des critegraverestels que rapiditeacute drsquoexeacutecution attente minimale de retour deservice optimisation de la machine partage eacutequitable desressources entre tous les usagers

Les fabricants de gros serveurs (tels que les ordinateursde Cray Research) ont vite compris qursquoil leur fallait mettre agravedisposition de leurs clients un logiciel reacutepondant agrave ces be-soins Crsquoest ainsi que degraves les anneacutees 1970-1980 sont appa-rues les premiegraveres versions du logiciel bien connu NQS (pourNetwork Queueing System) censeacute rendre accessible aux usa-gers de faccedilon commode des ressources caracteacuteriseacutees par leureacutenormiteacute et leur cherteacute et dont il eacutetait important drsquoen ren-tabiliser lrsquousage eu eacutegard aux investissements importantsconsentis

Ce logiciel eacutecrit par la compagnie Sterling SoftwareCorporation en collaboration avec la NASA aux Etats-Unisa tourneacute pendant des anneacutees sur les plus grands ordinateursde la planegravete A lrsquoEPFL le systegraveme NQS a rendu drsquoeacuteminentsservices sur toute la gamme des serveurs Cray Reseach dontelle a disposeacute et ceci de faccedilon relativement simple tant queceux-ci pouvaient ecirctre geacutereacutes selon la meacutethode traditionnelledite time-sharing

Lrsquoapparition pendant les anneacutees 1990 sur le marcheacute denouvelles architectures drsquoordinateurs (machines multi-pro-cesseurs heacuteteacuterogegravenes ou non agrave meacutemoires distribueacuteeshellip )ont montreacute les limites des possibiliteacutes de gestion de NQSpreacutevu agrave lrsquoorigine pour des ordinateurs comprenant peu deprocesseurs et une meacutemoire commune unique

Tel a eacuteteacute notamment le cas avec lrsquoinstallation agrave lrsquoEPFLdu premier gros ordinateur parallegravele agrave 256 processeurs T3Dde la compagnie Cray Research Lrsquoinstallation avait ceci departiculier que le gestionnaire de travaux NQS ne tournaitpar sur cet ordinateur lui-mecircme mais sur une frontale tradi-

tionnelle de la mecircme compagnie Les problegravemes nouveauxde gestion sont vite apparus mais leur reacutesolution par desmeacutethodes de substitution a eacuteteacute longue et compliqueacutee agrave met-tre en œuvre en raison de lrsquoincapaciteacute de NQS agrave traiter nati-vement les problegravemes speacutecifiques agrave ce nouveau type de ser-veurs space-sharing (en raison des pheacutenomegravenes de fragmen-tation des ressources notamment)

Neacutecessiteacute drsquoadapter les systegravemes degestion batch aux nouvellesarchitectures

En raison de la neacutecessiteacute drsquoobtenir des ressources en HPCde plus en plus importantes et agrave des prix abordables lrsquoarchi-tecture parallegravele srsquoest deacuteveloppeacutee en force pour aboutir agrave dessystegravemes composeacutes agrave partir drsquoeacuteleacutements indeacutependants stan-dardiseacutes interconnecteacutes par un reacuteseau traditionnel Ainsi sontapparues les premiegraveres machines de type Beowulf et autresserveurs assembleacutes agrave partir drsquoeacuteleacutements simples directementdisponibles sur le marcheacute et ayant abouti agrave des configura-tion telles que les grappes de PCs Parallegravelement sont appa-rus degraves le deacutebut des anneacutees 90 les nouveaux systegravemes de ges-tion de travaux censeacutes pouvoir traiter correctement les pro-blegravemes speacutecifiques agrave ces nouvelles architectures parallegraveles etdistribueacutees

Premiegraveres expeacuteriences

Un pas important pour lrsquoEPFL a eacuteteacute franchi lors des pre-miegraveres anneacutees du projet Swiss-TX qui a vu la mise en placeau SIC drsquoun premier cluster deacutenommeacute T1 composeacute de 32nœuds bi-processeurs de chacun 1 Gbyte de meacutemoire com-mune et les premiegraveres tentatives drsquoexploitation drsquoune tellemachine avec des logiciels approprieacutes ayant des faciliteacutes eacutequi-valentes agrave celles de NQS mais mieux adapteacutes agrave ce nouveautype drsquoarchitecture Parmi plusieurs possibiliteacutes le logicielCodine deacuteveloppeacute par la socieacuteteacute Gridware a eacuteteacute seacutelectionneacuteinstalleacute puis exploiteacute avec un succegraves relatif sur le T1 mais cequi a neacuteanmoins permis drsquoadministrer les travaux des usagersselon certains critegraveres drsquoassignation des ressources et de priori-teacutes (apregraves avoir tenteacute de passer par LSF dans une 1egravere phase)

Les possibiliteacutes de ce systegraveme se sont agrave lrsquousage reacuteveacuteleacuteesinsuffisantes comparativement agrave celles de NQS qui mecircmesrsquoil est inadapteacute agrave tourner sur les machines laquo clusters raquo offraitun reacutepertoire de commandes et de fonctionnaliteacutes beaucoupplus eacutetoffeacute Le choix srsquoest donc tourneacute vers drsquoautres solu-tions mieux adapteacutees parmi lesquelles PBS Et ce drsquoautantplus que NQS mecircme avec une administration compleacutemen-taire quelque peu peacutenible et compliqueacutee pouvait encore ecirctre

Portable Batch Systemun standard pour lrsquoEcole

Jean-MichelChenaisepflch amp Trach-MinhTranepflch SIC


utiliseacute sur lrsquoordinateur parallegravele Eridan drsquoune maniegravere relati-vement efficace SGI ayant repris le produit NQS pour sespropres systegravemes mais ne le supportant plus depuis plusieursanneacutees

Mise en place de PBS sur Eridan

Parmi les solutions possibles PBS (httpwwwopenpbsorg) apparaissait comme la plus naturelle pos-sible et ce pour diffeacuterentes raisons parmi lesquelles les sui-vantes peuvent ecirctre citeacutees PBS a eacuteteacute deacuteveloppeacute par la mecircme eacutequipe de concepteurs

que NQS (ou plutocirct leurs successeurs) issus drsquoun groupede deacuteveloppeurs prestigieux issus de la NASA AmesResearch Center et de Lawrence Livermore NationalLaboratory En fait les contributions des diffeacuterentes ins-titutions de la recherche ameacutericaine sont multiples maissont toutes issues des grands centres disposant de tregravesgros serveurs parallegraveles donc les mieux placeacutees pour ladeacutefinition des speacutecifications drsquoun nouveau gestionnaireuniversel de travaux batch

PBS dispose drsquoune syntaxe et drsquoune philosophie drsquoutilisa-tion tregraves proche sinon identique agrave celle de NQS minimi-sant ainsi lrsquoimpact sur les usagers en cas de migration

PBS comme sont nom lrsquoindique (Portable Batch System)est un produit eacutecrit pour satisfaire les critegraveres deportabiliteacute suivi au plus pregraves des normes reconnues (nor-mes Posix) favorisant donc son installation sur unegamme eacutetendue de machines et de systegravemes pour autantque ces machines suivent elles-mecircmes ces normes) Depar ce fait ce logiciel est par deacutefinition auto-contenu cequi signifie qursquoil est conccedilu de faccedilon agrave reacuteduire au strictminimum ses interfeacuterence avec le kernel de lrsquoOS qui lesupporte avec lequel PBS ne dialogue qursquoavec un nom-bre restreint de system calls Crsquoest ainsi que parmi la listedes systegravemes officiellement supporteacutes on peut citerSUNSolaris SGIIRIX DEC AlphaTru64

PBS existe en 2 versions OpenPBS disponible gratuitement sur le Web per-mettant son installation et son exploitation sur des con-figurations couramment constitueacutees par exemple de grap-pes de stations ou de PCs (cluster Beowulf tournantsous Linux) Cette version est ouverte agrave un forum dediscussions public regroupant dans le monde lrsquoensem-ble de ses usagers PBSPro Cette version professionnelle requiert lrsquoob-tention drsquoune licence payante dans les milieux indus-triels mais qui peut ecirctre gratuite pour les sites acadeacutemi-ques Pour cette version un contrat de support peut ecirctreconclu avec le distributeur pour un prix modique (moinsde 2000- par anneacutee) Pour ces 2 versions les sources du code sont disponi-bles

Dans le cas drsquoEridan la version PBSPro est bien inteacutegreacuteeagrave lrsquoOS IRIX de Silicon Graphics dont il utilise plusieursfeatures internes (comme ULDB) et permet de reacutesoudre cer-tains problegravemes induits par la speacutecificiteacute de son architectureSMP-NUMA crsquoest ainsi que lrsquoexploitation des cpusets de-vrait eacuteviter le pheacutenomegravene de dispersion des performances(non reproductibiliteacute des temps de calcul) parfois gecircnants

et mal ressentis par les usagers Par ailleurs et de faccedilon geacuteneacute-rale la version PBSPro incorpore tout un ensemble de faci-liteacutes modernes et requises pour lrsquoexploitation efficace de grossystegravemes quel que soit leur mode drsquoexploitation (au niveaudu scheduling des jobs en particulier)

La mise en place de PBS sur Eridan srsquoest deacuterouleacutee enplusieurs eacutetapes neacutegociation degraves deacutecembre 2001 avec le distributeur

Veridian System (reconnaissance de lrsquoEPFL comme siteacadeacutemique ce qui a pris tout de mecircme quelques semai-nes) en vue de lrsquoobtention drsquoune licence gratuite pourPBSPro conjointement agrave la conclusion drsquoun contrat desupport (incluant le droit aux reacutevisions notamment)

premiers tests drsquoinstallation et de fonctionnaliteacute sur Eri-dan avec plusieurs releases de PBSPro 5 pendant la pre-miegravere moitieacute de 2002 ces tests ont pu se faire directe-ment sur Eridan sans difficulteacute particuliegravere et tout enassurant la production normale des jobs avec NQS carles 2 produits NQS et PBS peuvent coexister simultaneacute-ment sur une mecircme machine

degraves octobre 2002 premiers tests semi-publics de la ver-sion PBSPro522 avec possibiliteacute laisseacutee aux utilisateursde choisir le serveur batch (NQS ou PBS sans neacutecessiteacutepour les usagers de convertir leurs scripts) au momentde la soumission de leurs travaux Au moment drsquoeacutecrireces lignes la quasi-totaliteacute des usagers drsquoEridan est pas-seacutee au nouveau systegraveme

agrave court terme finalisation de la migration des usagersdevant conduire agrave lrsquoabandon de NQS conjointement agravela redeacutefinition des environnements utilisateur et la miseen place des proceacutedures automatiques drsquoexploitationreacuteviseacutees pour la circonstance

agrave plus long terme (deacutebut deacutecembre) mise en place descpusets

reacute-actualisation de la documentation Une informationplus speacutecifique de lrsquoutilisation de PBS sur Eridan est preacute-vue pour un prochain article du FI

Conclusions

En conclusion PBS se reacutevegravele ecirctre un produit tout agrave faitinteacuteressant stable fiable et solide parfaitement adapteacute auxnouvelles architectures reacutecentes (cluster) et de plus ce quine gacircte rien quasiment gratuit pour lrsquoEcole La versionOpenPBS a eacuteteacute installeacutee avec succegraves sur plusieurs configura-tions dans diffeacuterentes parties de lrsquoEcole citons la grappe desquelques 24 PCs qui a eacuteteacute installeacutee avec lrsquoaide du SIC auLaboratoire drsquoIngeacutenierie Numeacuterique (LINISESTI) en tregravespeu de temps (cf httpsicepflchpublicationsFI02fi-6-26-2-page1html) et qui tourne agrave satisfaction depuis plusieursmois Gracircce agrave la faciliteacute de lrsquoinstallation et la souplesse drsquoad-ministration de ces configurations PBS a toutes les raisonsde constituer une plate-forme standard agrave lrsquoEcole pour la ges-tion de ses serveurs de toute nature agrave lrsquoEPFL De plus PBSpeut fonctionner en reacuteseau et peut servir de base agrave la mise enplace drsquoun service type GRID agrave lrsquoEcole regroupant lrsquoensem-ble des clusters qui srsquoy trouvent configureacutes La porte est doncouverte pour une palette de deacuteveloppements informatiquespossibles lrsquoavenir dira srsquoils se concreacutetiseront

Portable Batch System un standard pour lrsquoEcole


rsquoeacuteteacute a eacuteteacute chaudhellip Crsquoeacutetait au mois de juillet dernieret la torpeur de la saison aurait pu nous rendre indiffeacuterentsaux annonces importantes Apregraves Google Amazon annon-ccedilait la publication de ses propres API Soap pour acceacuteder agraveses volumineuses bases de donneacutees

Drsquoaucuns hausseront les eacutepaules en srsquointerrogeant sur lrsquoin-teacuterecirct agrave lancer des requecirctes sur les serveurs drsquoAmazon Fonda-mentalement aucun Mais ce serait faire peu de cas du ca-ractegravere embleacutematique de lrsquoannonce que de lrsquoabandonner ainsisans un examen un peu plus approfondi

Drsquoabord parce qursquoAmazon nrsquoest pas un acteur neacutegligea-ble des marcheacutes du livre et des produits multimeacutedias En-suite parce qursquoau-delagrave des jargons dont on use pour eacuteloi-gner le commun des mortels de leurs usages les Web servicessont drsquoun abord relativement simple Enfin la porte ouvertesur les contenus de ce geacuteant de la distribution en ligne est unextraordinaire pied de nez agrave tous ceux ndash et ils sont encorenombreux ndash qui pensent et conccediloivent leur capital docu-mentaire comme un coffre-fort inexpugnable plus quecomme une richesse agrave partagerhellip

Remplacez le masque drsquoAmazon par le profil de grandesbibliothegraveques de centres de documentation voire de servi-ces dont vous ecirctes aujourdrsquohui quotidiennement les usagerset vous mesurerez lrsquointeacuterecirct de la question

Nous allons ici poursuivre la reacuteflexion entameacutee par Fran-cis Lapique dans le Flash Info du mois dernier (httpsicepflchpublicationsFI02fi-8-28-2-page1html) Notreperspective sera ici sans doute moins technique et nous nousconcentrerons sur le parti pris de la faciliteacute drsquoaccegraves

Un Web service crsquoest quoiEn termes simples ce qui caracteacuterise un tel service peut

ecirctre ainsi deacutefini il srsquoagit drsquoune application accessible via les protocoles

reacuteseau actuels cette application est destineacutee agrave exeacutecuter des tacircches speacuteci-

fiques et agrave communiquer avec drsquoautres applications dis-ponibles ailleurs sur le reacuteseau

son interface (la maniegravere dont chaque application se parleenvoie et reccediloit des messages) est standardiseacutee et ouverte

les messages sont codeacutes au format XML (ExtensibleMarkup Language)

un Web service peut ecirctre deacuteveloppeacute dans nrsquoimporte quellangage et sur nrsquoimporte quelle plate-formeNous aborderons ici deux types XML-RPC et SOAP et

les exemples seront deacuteveloppeacutes en PHP Mais il existe denombreuses impleacutementations de ces technologies Perl Py-thon CC++ Java Net Rebol etc1

Un client Soap basique

Pour illustrer la simpliciteacute nous allons rapidement met-tre en place un premier client SOAP (pour les deacutefinitions jevous renvoie agrave lrsquoarticle preacuteciteacute) en reprenant lrsquoexempledrsquoAmazon

Vous nrsquoavez aucune connaissance de SOAP Pour lrsquoheurecela nrsquoa pas drsquoimportance Nous allons utiliser le mateacuterielmis agrave disposition sur le net par Jeff Barr sous la forme drsquouneinterface PHP pour Amazon (httpwwwvertexdevcompia)

Avant de commencer teacuteleacutechargez la librairie NuSOAP(httpdietrichganx4comnusoap) et la classeAmazonSearchphp (httpwwwsyndic8com~jeffAmazonSearchphp) Sur votre serveur Web de test creacuteez unreacutepertoire amazon et placez votre reacutecolte agrave lrsquointeacuterieur Creacuteezmaintenant le fichier indexphp suivant2

Web services passe-moi le selPierreCrevoisierepflch e-pfl

1 Nous avons plus de reacutefeacuterences en xml-rpc si une impleacutementation particuliegravere vous inteacuteresse consultez la liste (httpwwwxmlrpccomdirectory1568implementations) accessible sur le site xmplrpccom et un tutoriel (httpxmlrpc-csourceforgenetxmlrpc-howtoxmlrpc-howtohtml) assez complet sur sourceforgenet

2 Les scripts mentionneacutes sont eacutegalement disponibles ici httpsicepflchpublicationsFI02fi-9-2soapzip et httpsicepflchpublicationsFI02fi-9-2xmlrpczip

ltphp Create search form echo ltFORM METHOD=rsquoPOSTrsquogtnecho laquoChercher un auteur ltINPUT TYPE=rsquoTEXTrsquo

NAME=rsquokeywordrsquogtnecho ltFORMgtn

if (empty($keyword)) Load object definition require_once(laquoAmazonSearchphp)

Set developer token $token = lsquoD2ED5GR7A6RZ7Yrsquo

Create search object $search = new AmazonSearch($token)

Perform Search using DoAuthorSearch method$results = $search-gtDoAuthorSearch($keyword)

Display result echo ltTABLE border=rsquo1gtnforeach($results as $item) echo ltTR valign=rsquotoprsquogtn while (list($k$val) = each($item)) while (list($key$value) = each($val)) echo ltTDgt if (is_array($value)) foreach($value as $tmp)

echo $tmp ampnbsp elseif (eregi(laquoimage$value)) echo

ltIMG SRC=rsquo $value lsquogt else echo $value echo ltTDgtn echo ltTRgtnecho ltTABLEgtn

gt


Voilagrave votre premier client SOAP est precirct (voir fig1) Ilest encore tregraves eacuteleacutementaire et il meacuteritera quelques ameacuteliora-tionshellip

Neacuteanmoins vous avez mis cinq minutes pour le mettreen place Je vous laisserai maintenant modifier lrsquoaffichagedes reacutesultats selon vos besoins explorer la classeAmazonSearch pour voir comment tournent les pistons ouappeler drsquoautres meacutethodes En voici la liste

bull DoKeywordSearch($Keyword $Type = lsquolitersquo$Category = lsquobooksrsquo $Max = DEFAULT_MAX)

bull DoBrowseNodeSearch($BrowseNode $Type =lsquolitersquo $Category = lsquobooksrsquo$Max = DEFAULT_MAX)

bull DoAuthorSearch($Author $Type = lsquolitersquo$Category = lsquobooksrsquo $Max = DEFAULT_MAX)

bull DoASINSearch($ASIN $Type = lsquolitersquo)bull DoUPCSearch($UPC $Type = lsquolitersquo

$Category = lsquomusicrsquo)bull DoManufacturerSearch($Manufacturer $Type =

lsquolitersquo $Category = lsquobooksrsquo$Max = DEFAULT_MAX)

bull DoActorSearch($Actor $Type = lsquolitersquo$Category = lsquodvdrsquo $Max = DEFAULT_MAX)

bull DoDirectorSearch($Director $Type = lsquolitersquo$Category = lsquodvdrsquo $Max = DEFAULT_MAX)

A noter que seul le premier argument est neacutecessaire lorsde lrsquoappel

SOAP vs XML-RPC

Jusqursquoagrave preacutesent il nrsquoa pas eacuteteacute neacutecessaire de connaicirctre lessecrets de SOAP pour lrsquoutiliser Si votre ambition vous porteagrave la mise en place drsquoun serveur il faudra cette fois retrousserles manches Pour ceux et celles qui souhaitent deacutemarrer endouceur il existe une voie plus simple que SOAP il srsquoagitdrsquoXML-RPC lanceacute par Userland Software en avril 98 et quirepose sur XML et le protocole RPC (Remote ProcedureCalling)

La diffeacuterence Le principe est le mecircme que pour SOAPsauf que les speacutecifications de lrsquoun srsquoaffichent en 1500 motscelles de lrsquoautres en 11rsquo000hellip SOAP est devenu un standarddu W3C XML-RPC est plus restreint dans sa porteacutee maisil est fortement soutenu par la communauteacute Open SourceSi un choix srsquoimpose en fonction de lrsquoeacutechelle de deacuteploiementde vos applications futures XML-RPC peut ecirctre consideacutereacutecomme tout agrave fait suffisant pour une premiegravere approche

Un serveur xml-rpc

Je vous encourage agrave vous arrecircter sur SitePoint (httpwwwwebmasterbasecomarticlephppid=0ampaid=827) poury deacutecouvrir un excellent tutoriel permettant drsquoinstaller aiseacute-ment un couple client-server en XML-RPC3 Lrsquoexemple per-met au client de demander au serveur une liste de news etdrsquoafficher ensuite lrsquointeacutegraliteacute du contenu du texte seacutelec-tionneacute La figure 2 vous montre les processus enclencheacutes parle serveur

Figure 2 ndash ➊ une connexion agrave la base de donneacutees➋ lrsquoinclusion drsquoune impleacutementation xml-rpc en lrsquooccurrencekd_xmlrpcphp (deacuteveloppeacutee par Keith hellip) ➌ lrsquoinclusion de

lrsquoapi du serveur contenant lrsquoensemble des meacutethodes disponibles(dans lrsquoexemple deux meacutethodes sont impleacutementeacutees getNewsListet viewNewsItem) ➍ lrsquoappel agrave la meacutethode XMLRPC_parse()permettant de transformer le message XML reccedilu par le clienten variables PHP ➎ la seacutelection de la meacutethode appeleacutee par leclient ➏ le controcircle des paramegravetres envoyeacutes avec la meacutethode

➐ enfin si tout va bien le traitement de la requecircte

Web services passe-moi le sel

3 Build your own Web Service with PHP and XML-RPC par Harry Fueck

Figure 1


Du cocircteacute du client on remarquera certains eacuteleacutements-cleacuteslui permettant de dialoguer aiseacutement avec le serveur lrsquoinclusion de la mecircme impleacutementation xml-rpc

(kd_xmlrpcphp toujours) lrsquourl du serveur deacutecoupeacute en deux variables le nom de

domaine (ci-apregraves $site) et le path drsquoaccegraves au script ($lo-cation)


Creacuteation drsquoun modegravele personnaliseacutedans PowerPoint

Jacqueline Frey freyarobasquech

i les modegraveles fournis avec les diffeacuterentes versions dePowerPoint nous ont permis depuis des anneacutees de reacutealiseren un temps record une preacutesentation attrayante (selon lemodegravele choisi eacutevidemment) il vient un moment ougrave le deacutesirde reacutealiser de nos petites mains notre propre modegravele nouseacutetreint Voici donc eacutetape par eacutetape comment srsquoy prendrehellip

Creacuteation drsquoun nouveau document etapplication drsquoun modegravele standard

Tout drsquoabord ouvrez PowerPointhellipet ouvrez un nou-veau document avec par exemple une liste agrave puces

appliquez nrsquoimporte quel modegravele (ideacutealement le modegravelele plus proche de celui que vous souhaitez creacuteer) proposeacutepar PowerPoint Pour cela allez dans le menu Format gtAppliquer un modegravele de conception et validezEn effet pour pouvoir beacuteneacuteficier drsquoun masque de page

de titre ET drsquoun masque de diapositives nous sommes obli-geacutes drsquoappliquer un modegravele de conception Si nous utilisonsle modegravele par deacutefaut nous nrsquoavons agrave disposition qursquoun seulmasque celui des diapositives Nrsquooublions pas que crsquoest agravelrsquoaide des masques que PowerPoint fait la distinction entre la1egravere diapositive et les suivanteshellip

Modification des masques

Masque des diapositives

Attention il est important de ne pas saisir de texte dans lemasque des diapositives car celui-ci se reporterait sur tou-tes les diapositives de votre preacutesentation Ne le faites que sicela est souhaitable

parameters $query_info[lsquolimitrsquo] = 10 limit display$query_info[lsquoorderrsquo] = laquoauthor order the results by

XMLRPC_prepare works on an array and converts it toXML-RPC parameters list($success $response) = XMLRPC_request(

$site$locationlsquonewsgetNewsListrsquoarray(XMLRPC_prepare($query_info)lsquoHarryFsXMLRPCClientrsquo))

Et si tout se passe bien () le client pourra afficher les reacutesultats

if ($success) $count = 0while ( list ( $key $val ) = each ( $response ) ) echo $response[$count][lsquotitlersquo] $response[$count]

[lsquoauthorrsquo] ltbrgt$count++

Nous nrsquoentrerons pas ici dans les deacutetails du script clientmais il est inteacuteressant de voir comment lrsquoappel agrave la meacutethodegetNewsList est traiteacute

Au-delagrave du survol

Cet espace nrsquoest pas destineacute agrave assurerlrsquoexhaustiviteacute Lrsquointention est ici de montrer que lrsquoac-cegraves agrave ces technologies tregraves tendance sur le Web nrsquoestpas reacuteserveacute agrave lrsquoeacutelite du deacuteveloppement Ce quicompte aujourdrsquohui crsquoest drsquoaccompagner une mu-tation informatique

Hier encore la coheacuterence nrsquoeacutetait vue qursquoagrave tra-vers de grands projets dont les initiateurs devaienttout maicirctriser de lrsquoarchitecture au code source desclefs drsquoaccegraves au serveurs jusqursquoau contenuhellipAujourdrsquohui ndash agrave la lumiegravere des eacutechecs des projetscentralisateurs - nous sommes peut-ecirctre entreacutes danslrsquoegravere de la biodiversiteacute informatique enfin recon-nue comme une reacutealiteacute agrave (re)construire et non plusseulement dans sa pesanteur

Il y a sans doute une veacuteritable strateacutegie drsquoap-proche des Web services agrave mettre en place au coursdes mois qui viennent Nous en parlerons dans unprochain article


Creacuteation drsquoun modegravele personnaliseacute dans PowerPoint

Allez dans le menu Affichage gt Masque gt Masque desdiapositivesAfin de modifier en une seule opeacuteration la police par

deacutefaut de tous les objets texte (titres listes agrave puces zones detexte textes contenus dans des formes automatiques hellip) cliquez sur une des zones de texte contenues dans le

masque allez dans le menu Format gt Remplacer la police choisissez la police que vous preacutefeacuterez et validez

supprimez agrave lrsquoaide de la touche Delete les eacuteleacutements gra-phiques que vous ne souhaitez pas conserver Si ceux-cisont groupeacutes et que vous souhaitez les dissocier allez dans le menu Dessin (en bas agrave gauche de la barredrsquooutils Dessin) et choisissez la commande Dissocier deacuteseacutelectionnez tous les eacuteleacutements et ne re-seacutelection-nez que ceux que vous souhaitez manipuler

proceacutedez ensuite agrave drsquoautres changements par exemple inseacuterez le logo de lrsquoEPFL agrave lrsquoaide du menu Insertion gt

Image gt agrave partir du fichier modifiez lrsquoapparence des puces en vous positionnant sur

le paragraphe souhaiteacute puis allez dans le menu Formatgt Puces et numeacuteros) Reacutepeacutetez cette opeacuteration pour cha-cun des paragraphes dont vous voulez modifier les pu-ces

modifiez eacuteventuellement lrsquoalignement du titre agrave lrsquoaidedes boutons drsquoalignement de paragraphes

appliquez un autre fond de couleur agrave lrsquoaide du menuFormat gt Arriegravere-plan et appliquez-partout

Modification du masque de titre

Une fois les changements effectueacutes sur le masque des dia-positives il ne vous reste plus qursquoagrave modifier le masque dutitre Pour cela restez dans le masque des diapositives et appuyez sur la

touche Page Down ou utilisez lrsquoascenseur vertical afindrsquoafficher le masque de titre Remarquez que la police etlrsquoarriegravere-plan ont deacutejagrave eacuteteacute mis agrave jour

apportez les modifications de votre choix sur ce masque(alignement du titre couleur du texte etchellip)

Creacuteation drsquoun jeu de couleurs associeacuteau modegravele

Pour creacuteer un jeu de couleurs reprenant par exemple lescouleurs du logo de lrsquoentreprise restez dans le masque et allez dans le menu Format gt Jeu

de couleurs des diapositives dans lrsquoonglet Standard supprimez les jeux de couleurs

qui ne vous inteacuteressent pas et gardez celui qui est le plusproche de celui souhaiteacute

cliquez ensuite sur lrsquoonglet Personnaliseacute et agrave lrsquoaide descases de couleur changez la couleur de chacun des eacuteleacute-ments (arriegravere-plan textes et traits ombres etc) en cli-quant sur le bouton Changer de couleur

ajoutez ensuite votre jeu personnaliseacute au Jeu standard etterminez en Appliquant partout

Enregistrement du modegravele personnaliseacute

Restez dans le masque et ouvrez le menu Fichier gt Enre-gistrer sous

modifiez le type de fichier en choisissant Modegravele deconceptionpot

acceptez de preacutefeacuterence lrsquoenregistrement de votre modegraveledans le dossier Modegraveles ou choisissez eacuteventuellement unautre dossier de sauvegarde

donnez un nom agrave votre modegravele et cliquez sur Enregis-trer

pour appliquer par la suite votre modegravele personnaliseacuteallez dans Format gt Appliquer un modegravele de concep-tion Si vous avez enregistreacute le fichier dans le dossierModegravele celui-ci apparaicirct dans la liste


Programme des coursorganiseacutes par le Service informatique central de lrsquoEPFL

Ces cours sont ouverts agrave tous membres ou non de lrsquoEPFLPour le personnel de lrsquoEPFL le SIC se charge des frais de cours

Les descriptifs des cours sont sur Internet httpsicepflchformation

CONDITIONS DrsquoINSCRIPTIONEn cas drsquoempecircchement agrave suivre le(s) cours lrsquoeacutelegraveve avertira le Service informatique central au minimum une semaine agrave

lrsquoavance (sauf cas exceptionnel) faute de quoi le SIC se reacuteserve le droit de facturer agrave son uniteacute les frais occasionneacutes pour le coursUne confirmation parviendra agrave lrsquoeacutelegraveve environ deux semaines avant le(s) cours Srsquoil est deacutejagrave complet lrsquoeacutelegraveve sera informeacute de

suite et son nom placeacute en liste drsquoattente Degraves qursquoun cours identique sera fixeacute il recevra un nouveau formulaire drsquoinscriptionLe SIC se reacuteserve le droit drsquoannuler un cours si le nombre minimum de 4 participants nrsquoest pas atteint ou pour des raisons

indeacutependantes de sa volonteacute Aucune compensation ne sera due par le SIC

INTRODUCTION AU POSTE DE TRAVAIL

OS Nom du cours N˚ 12 jour(s) Date(s) Horaire

Mac Macintosh votre machine en pratique 02-0457 1 04122002 1330 - 1700

Win Outlook Express messagerie et News 02-0460 1 10122002 1330 - 1700

Win Windows 2000 votre machine en pratique 02-0461 1 16122002 0830 - 1200

ACQUISITION ET TRAITEMENT DE DONNEacuteES


Win LabVIEW DAQ 02-0258 4 12 amp 13122002 0830 - 1700

Win LabVIEW Vision IMAQ 02-0409 4 09 amp 10122002 0830 - 1700

BASE DE DONNEacuteES


Win Access 2-avanceacute 02-0477 4 02 05 09 amp 12122002 1330 - 1700

Mac FileMaker Pro 4-creacuteation drsquoune base de donneacutees 02-0435 3 20 21 amp 27112002 0830 - 1200

Win FileMaker Pro atelier drsquoexercices 02-0437 1 25112002 0830 - 1200

Mac FileMaker Pro scripts et boutons 02-0436 1 02122002 1330 - 1700

EacuteDITION


Mac FrameMaker 1-mise en forme 02-0497 3 28112002 0830 - 1200amp 05 amp 11122002 1330 - 1700

Mac FrameMaker 2-livre et EndNote 02-0498 1 12122002 1330 - 1700

Win Word images et colonnes 02-0447 1 26112002 0830 - 1200

Win Word longs documents 02-0448 1 29112002 0830 - 1200

Win Word modegraveles et publipostage (mailing) 02-0451 1 10122002 0830 - 1200

Win Word outils 02-0450 1 06122002 0830 - 1200

Renseignements(les matins des lu me amp ve)DanieleGonzalezepflch 02169 353 14Fax 02169 322 20

Renseignements(tous les matins)

JosianeScalfoepflch 02169 322 44

Fax 02169 322 20


Formulaire drsquoinscription en derniegravere page

Win Word styles 02-0441 1 19112002 0830 - 1200

Win Word tableaux 02-0449 1 03122002 1330 - 1700

OUTLOOK


Win Outlook 2000 atelier drsquoexercices 02-0465 1 04122002 1330 - 1700

PREacuteSENTATION

OS Nom du cours N˚ 12 jour(s) Date(s Horaire

Win PowerPoint introduction 02-0438 1 25112002 1330 - 1700

Win PowerPoint les preacutesentations 02-0439 2 02 amp 03122002 0830 - 1200

PROGRAMMATION


Linux Langage C++ 02-0321 10 09 au 13122002 0830 - 1700

SYSTEgraveME

OS Nom du cours Ndeg 12 jour(s) Date(s) Horaire

Linux Linux deacutebutant 02-0500 6 03 au 05122002 0830 - 1700

Win Windows 2000 administration 02-0488 6 27 au 29112002 0830 - 1700

Win Windows 2000 configurations clients et serveurs 02-0486 4 20 amp 21112002 0830 - 1700

Win Windows 2000 deacutepannage 02-0487 2 25112002 0830 - 1200

Win Windows 2000 prise en charge drsquoune 02-0489 8 02122002 1330 - 1700infrastructure reacuteseau 03 au 05122002 0830 - 1700

amp 06122002 0830 - 1200

TABLEUR


Win Excel 1-introduction 02-0453 1 26112002 1330 - 1700

Mac Excel base de donneacutees 02-0464 2 2911 amp 03122002 0830 - 1200

Mac Excel graphiques 02-0415 1 20112002 1330 - 1700

WWW - WEB


Mac Dreamweaver atelier 02-0426 1 22112002 0830 - 1200

Mac Dreamweaver avanceacute 02-0419 2 09 amp 10122002 0830 - 1200

Mac Fireworks creacuteation drsquoeacuteleacutements graphiques 02-0425 2 09 amp 10122002 1330 - 1700

Mac GoLive atelier drsquoexercices 02-0495 1 03122002 1330 - 1700

Mac GoLive avanceacute 02-0422 2 04 amp 05122002 0830 - 1200

Formation


rsquoEacutecole drsquoingeacutenieurs du canton de Vaud (EIVD) vientde deacutemarrer une expeacuterience pilote consistant agrave distribuerdes ordinateurs portables aux eacutetudiants de quelques classesEn tout 175 ordinateurs ont eacuteteacute commandeacutes pour les eacutetu-diants de 1egravere anneacutee du Deacutepartement COMEM+ et ceux de2egraveme anneacutee du Deacutepartement E+I orientation Logiciel Lrsquoob-jectif principal est de faciliter lrsquoapprentissage en permettantaux eacutetudiants drsquoutiliser leurportable non seulement pen-dant les laboratoires mais aussipendant les cours (deacutemonstra-tions didacticiel) ainsi qursquoagrave lamaison Mais cela permet ausside reacutesoudre le problegraveme demanque de laboratoires parrapport au nombre croissantdrsquoeacutetudiants sans sacrifier dessalles de cours

le financementLe financement est assureacute

agrave 50 par lrsquoeacutecole et agrave 50 parles eacutetudiants concerneacutes enajoutant le montant agrave lrsquoeacutecolage Cette maniegravere de proceacutederrend le portable accessible agrave tous (750-anneacutee) un fonds estpreacutevu pour les eacutetudiants ayant des difficulteacutes financiegraveres Uncontrat de location-vente (leasing) assure que lrsquoeacutetudiant nedevient proprieacutetaire qursquoagrave la fin de ses eacutetudes Pour lrsquoeacutecolecela implique un investissement annuel mais qui est com-penseacute en grande partie par les eacuteconomies reacutealiseacutees sur leshabituels renouvellements de salles informatiques

LrsquoinfrastructureEn ce qui concerne lrsquoinfrastructure il a fallu mettre agrave dis-

position des salles avec un cacircblage en reacuteseau et un projecteurvideacuteo pour lrsquoenseignant qui vient aussi avec son portable Afindeacuteviter les vols un systegraveme de verrouillage par cadenas per-met aux eacutetudiants de fixer leur portable agrave leur table

Le reacuteseauEn ce qui concerne lrsquointerconnexion des portables un

reacuteseau cacircbleacute de 100Mbits (CISCO GigaEthernet) a eacuteteacute pri-vileacutegieacute agrave cause des performances supeacuterieures par rapport agraveun reacuteseau sans fil qui est 100 fois plus lent Il permettra sansautre drsquoutiliser des logiciels disponibles sur des serveurs avecdes licences flottantes conduisant aussi agrave des eacuteconomies subs-tantielles Un reacuteseau sans fil est neacuteanmoins preacutevu dans le

Hall des bacirctiments de la route de Cheseaux ainsi que dans laCafeacuteteacuteria et les salles de deacutetente offert par Swisscom maisfactureacute aux usagers par lrsquointermeacutediaire de leur teacuteleacutephoneportable En outre lrsquoEIVD preacutevoit de mettre agrave dispositiondiffeacuterents modegraveles de cartes pour les reacuteseaux sans fil allantde la simple carte aux normes 80211 aux cartes GPRS

La maintenancePour la maintenance de

tous ces portables les eacutetudiantsont eacuteteacute formeacutes en 3 jours pourpouvoir reacutegeacuteneacuterer tous les logi-ciels (y compris le systegraveme drsquoex-ploitation Windows XP) agrave par-tir drsquoun DVD que le service in-formatique de lrsquoEIVD a preacutepareacuteagrave leur intention Ils ont aussi eacuteteacuteformeacutes pour installer Linux(Suse 80) en dual boot sur unepartition de leur disque dur

LrsquoenseignemementPour lrsquoenseignement de lrsquoinformatique cela change la

maniegravere drsquoenseigner Au lieu de faire des transparents et deles mettre agrave jour annuellement lrsquoenseignant peut projeterles transparents en couleur reacutealiseacutes rapidement avecPowerPoint Il peut faire des deacutemonstrations de program-mes et demander aux eacutetudiants drsquoeffectuer des essais durantles cours Pour les laboratoires il y a moins de changementsMais les eacutetudiants sont deacutejagrave mieux preacutepareacutes agrave lrsquoenvironne-ment et sont capables de reacutealiser des laboratoires plus inteacute-ressants

Les reacutesultatsApregraves deux semaines drsquoexpeacuteriences les reacutesultats sont en-

courageants Les eacutetudiants sont satisfaits et il nrsquoy a pas eu deproblegraveme notable Le projet sera suivi par lrsquoenvoi peacuteriodiquede questionnaires drsquoeacutevaluation qui seront traiteacutes par SurveyorManager une application speacutecialiseacutee pour le controcircle qua-liteacute des eacutetudes

NDLR A lrsquoEPFL une expeacuterience pilote Laptop a eacuteteacute lan-ceacutee cet automne avec 70 portables pour les eacutetudiants en3egraveme anneacutee de Geacutenie meacutecanique Dans le prochain nu-meacutero un article vous deacutecrira comment se sont passeacutees lespremiegraveres semaines de cette expeacuterience

Distribution drsquoordinateurs portablesaux eacutetudiants de lrsquoEIVD

Roland Calinon amp Henri Roumlthlisberger EIVD

FI 9 - 19 novembre 2002 ndash page 20 ISSN 1420-7192

CalendrierJE 211102 1415 Salle Confeacuterences SIC PolyPC mdash Groupe des utilisateurs de PC

Ch Zufferey +41 21 69 34598 courriel ChristianZuffereyepflchInfo sur httppclineepflchpcgrphomehtm

LU 021202 1715 IN202 Seacuteminaire IampC ndash Dr HongJiang Zhang Microsoft Research BeijingInfo sur httpicepflchpage6879html

ME 041202 1000 Salle Confeacuterences SIC Confeacuterence des WebmastersE Mc Murray +41 21 69 35672 courriel ElaineMcMurrayepflchInfo sur httpwwwmyepflchatelier

LU 091202 1715 IN202 Seacuteminaire IampC ndash Dr Evangelos S Eleftheriou IBM Zuumlrich Research Lab ndash TheMillepede a MEMS-based Scanning-Probe Data-Storage SystemsInfo sur httpicepflchpage10967html

MA 101202 0845 Salle Polyvalente SIC Comiteacute de reacutedaction du FIJ Dousson +41 21 69 32246 courriel JacquelineDoussonepflch

MA 101202 1615 Salle Wavre Direction informatique strateacutegiqueJ-Cl Berney +41 21 69 32590 courriel jean-claudeberneyepflch

LU 161202 1715 IN202 Seacuteminaire IampC ndash Prof Friedemann Mattern ETH Zurich ndash UbiquitousComputing - From Smart Devices to Smart Everyday ObjectsInfo sur httpicepflchpage10942html

JE 191202 1415 Salle Confeacuterences SIC PolyPC mdash Groupe des utilisateurs de PCCh Zufferey +41 21 69 34598 courriel ChristianZuffereyepflchInfo sur httppclineepflchpcgrphomehtm

INSCRIPTION POUR LES COURS ORGANISEacuteS PAR LE SICA retourner agrave Josiane Scalfo ou agrave Daniegravele Gonzalez SIC-EPFL CP 121 1015 Lausanne

Je soussigneacute(e) Nom Preacutenom

Teacutel E-Mail Fonction

Institut Deacutept Adresse

mrsquoengage agrave suivre le(s) cours dans son (leur) inteacutegraliteacute et agrave respecter lrsquohoraire selon les conditions drsquoinscription

Nom du cours Ndeg du cours Ndeg cours de remplacement Date du cours

Pour les cours systegraveme Windows 2000 choix du support de cours en franccedilais en anglais

Date Signature

Autorisation du chef hieacuterarchique (nom lisible et signature)

Inteacuterecirct et souhait pour drsquoautres coursDescription ou titre des cours que je souhaite voir organiser par le SIC


Flash informatiqueLes articles ne reflegravetent que lrsquoopinion de leurs auteurs Toutereproduction mecircme partielle nrsquoest autoriseacutee qursquoavec lrsquoac-cord de la reacutedaction et des auteursReacutedacteur en chef Jacqueline Dousson fiepflch

Mise en page amp graphismeAppoline Raposo de Barbosa

Comiteacute de reacutedaction Omar Abou Khaled Jean-DanielBonjour Nicolas Bouche MilanCrvcanin Pierre Kuonen JacquesMenu Elaine Mc Murray PhilippePichon Franccedilois Roulet ChristopheSalzmann amp Jacques Virchaux

Impression Atelier de Reprographie EPFLTirage 4000 exemplaires

Adresse Web httpsicepflchpublicationsAdresse SIC-SA EPFL CP 121

CH-1015 LausanneTeacuteleacutephone +41 21 69 32246 amp 32247

sic-infoAllo crsquoest Le flash informatique quivous parlehellip

Abonnement eacutelectroniqueVous pouvez si vous le deacutesirez recevoir chaque mois par

courrier eacutelectronique le sommaire du Flash informatique avecune pointeur sur la version en ligne Pour cela il vous suffitpour vous inscrire drsquoenvoyer un message quelconque agrave

fi-subscribelistesepflchLe logiciel geacuterant la liste vous renverra un message pour

vous demander de confirmer lrsquoinscription Nrsquoheacutesitez pas agravefaire connaicirctre ce nouveau service autour de vous

ElargissementSigne drsquoouverture de notre revue agrave nos partenaires uni-

versitaires et Hautes Ecoles romandes vous trouverez dansce numeacutero les principaux reacutesultats drsquoune thegravese soutenue agravelrsquoUniversiteacute de Fribourg une expeacuterience de distribution deportables aux eacutetudiants de lrsquoEcole drsquoIngeacutenieurs drsquoYverdon etun article sur la programmation temps-reacuteeacutel en Linux quinous vient de lrsquoEcole drsquoIngeacutenieurs et drsquoArchitectes de Fri-bourg

Crsquoest nous lrsquoespeacuterons le deacutebut drsquoune longue collabora-tion

JacquelineDoussonepflch SIC

Arriveacutees agrave la section exploitation du SIC

Suite au deacutepart quasi simultaneacute de 2 collaborateurs (pu-pitreuse et stagiaire) ce printemps et agrave larriveacutee de M Denis

Aguet leacutequipe qui gegravere la salle machineet les peacuteripheacuteriques a fonctionneacute enmode restreint cet eacuteteacute Pour la compleacute-ter nous avons accueilli M JonathanSonnard le 1er octobre Jonathan estengageacute en tant que stagiaire opeacuterateur-pupitreur pour une anneacutee

Il peut ecirctre atteint comme ses collegrave-gues au no 021 69 322 04

Le 1er novembre nous avons eacutega-lement accueilli M Aristide Boisseauingeacutenieur INSA (Rennes) qui prenden charge en tant quadministrateur duservice la mise en place et le suivi dusystegraveme global de back-up baseacute sur lesproduits Veritas (teacutel 021 69 322 30)Felipe Valenz fonctionnera commeremplaccedilant pour ce service alors queA Boisseau fera de mecircme pour le ser-vice de fichiers AFS geacutereacute par Felipe

Nous souhaitons la bienvenue agrave ces deux nouveaux col-legravegues et espeacuterons que leur nouvelle responsabiliteacute leur ap-portera satisfaction et sera fructueuse

MichelJauninepflch SIC

Accegraves au reacuteseaupour les hocirctes

JacquesVirchauxepflch SIC

Deacutesormais les hocirctes de lrsquoEPFL ndashqursquoils soient professeursinviteacutes stagiaires de passage ou participants agrave un congregraves ouagrave une confeacuterencendash peuvent obtenir un accegraves au reacuteseau sansavoir de numeacutero SCIPER attribueacute

Si lrsquoaccegraves libre-service au reacuteseau est deacutejagrave bien connu parle biais du client VPN et de lrsquoauthentification GASPAR ilne peut ecirctre utiliseacute que par les personnes ayant eacuteteacute identi-fieacutees avec une carte CAMIPRO Pour des eacutetudiants ou lepersonnel qui fait un seacutejour drsquoune certaine dureacutee cela nepose guegravere de difficulteacutes Cependant il en va autrement pourles hocirctes de passage

Deux nouveaux types drsquoaccegraves sont deacutesormais disponi-bles accegraves de type inviteacute avec le client VPN pour garantir la

confidentialiteacute des communications (90 jours maxi-mum)

accegraves de type congregravesconfeacuterence sans client VPN per-mettant lrsquoaccegraves agrave Internet sans aucune confidentialiteacute(7 jours maximum)Ces deux accegraves ne permettent drsquoutiliser qursquoInternet mais

pas lrsquoIntranet ni les ressources auxquelles ont droit les mem-bres de lrsquoEPFL (distribution de logiciels par exemple) Leurdureacutee est volontairement limiteacutee dans le temps

Lrsquooutil de gestion disponible sur la page httpnetworkepflchaliseguesthtml permet aux personnes auto-riseacutees drsquoouvrir et modifier les accegraves temporaires pour leurshocirctes Pour pouvoir utiliser cet outil (service Accegraves VPN) ilfaut srsquoadresser agrave son administrateur GASPAR drsquouniteacute (pourle connaicirctre voir la page drsquoaide httpgasparepflchnetcenterhelpmainhelphtm)




Introduction











Kerberos



Athena Project




Serveur de fichiers

CREDENTIALS

TICKET




TICKET


Loginrequest




Terminologie






Architecture







Avantages
























Serveur DB kd1



VLDB

1 4 7

2

3

56

Client AFS









epflch users

b t v z

todorov valenz

afs1

Client AFS

etc afs

Client AFS

etc afs


Serveurs AFS

afs1

etc afs etc afs

Clients AFS


VPN et AFS













Composants de CS



















Perspectives












Conclusions


























Bibliographie












Fournisseur dinfos


BDFichier Formats

divers



BDFichier Formats

divers


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Fluxdinformations



DIESWWW Serveur

DBXSLTXSL-FO

1

7

7

62 5

3

4



Introduction












UsineUsine

CapteurCapteur

SystegravemeLinux

SystegravemeLinux






Codeapplications


Hardware


DriverCapteur

DriverAiguilleur































Conclusion






































Conclusions

































gt













SOAP vs XML-RPC



Un serveur xml-rpc







Figure 1













































































EacuteDITION







Win Word outils 02-0450 1 06122002 0830 - 1200




Fax 02169 322 20



Win Word styles 02-0441 1 19112002 0830 - 1200


OUTLOOK



PREacuteSENTATION




PROGRAMMATION



SYSTEgraveME







amp 06122002 0830 - 1200

TABLEUR





WWW - WEB







Formation




































Date Signature






Introduction











Kerberos



Athena Project




Serveur de fichiers

CREDENTIALS

TICKET




TICKET


Loginrequest




Terminologie






Architecture







Avantages
























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1

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3

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Introduction












UsineUsine

CapteurCapteur

SystegravemeLinux

SystegravemeLinux






Codeapplications


Hardware


DriverCapteur

DriverAiguilleur































Conclusion






































Conclusions

































gt













SOAP vs XML-RPC



Un serveur xml-rpc







Figure 1













































































EacuteDITION







Win Word outils 02-0450 1 06122002 0830 - 1200




Fax 02169 322 20



Win Word styles 02-0441 1 19112002 0830 - 1200


OUTLOOK



PREacuteSENTATION




PROGRAMMATION



SYSTEgraveME







amp 06122002 0830 - 1200

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WWW - WEB







Formation




































Date Signature






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Hardware


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SOAP vs XML-RPC



Un serveur xml-rpc







Figure 1













































































EacuteDITION







Win Word outils 02-0450 1 06122002 0830 - 1200




Fax 02169 322 20



Win Word styles 02-0441 1 19112002 0830 - 1200


OUTLOOK



PREacuteSENTATION




PROGRAMMATION



SYSTEgraveME







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Hardware


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SOAP vs XML-RPC



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EacuteDITION







Win Word outils 02-0450 1 06122002 0830 - 1200




Fax 02169 322 20



Win Word styles 02-0441 1 19112002 0830 - 1200


OUTLOOK



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SYSTEgraveME







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SOAP vs XML-RPC



Un serveur xml-rpc







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Win Word outils 02-0450 1 06122002 0830 - 1200




Fax 02169 322 20



Win Word styles 02-0441 1 19112002 0830 - 1200


OUTLOOK



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Win Word outils 02-0450 1 06122002 0830 - 1200




Fax 02169 322 20



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Hardware


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DriverAiguilleur































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Conclusions

































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SOAP vs XML-RPC



Un serveur xml-rpc







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Win Word outils 02-0450 1 06122002 0830 - 1200




Fax 02169 322 20



Win Word styles 02-0441 1 19112002 0830 - 1200


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PREacuteSENTATION




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SYSTEgraveME







amp 06122002 0830 - 1200

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Introduction












UsineUsine

CapteurCapteur

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Hardware


DriverCapteur

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SOAP vs XML-RPC



Un serveur xml-rpc







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Win Word outils 02-0450 1 06122002 0830 - 1200




Fax 02169 322 20



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Win Word outils 02-0450 1 06122002 0830 - 1200




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Win Word outils 02-0450 1 06122002 0830 - 1200




Fax 02169 322 20



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Win Word outils 02-0450 1 06122002 0830 - 1200




Fax 02169 322 20



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