Portfolio

FAUSSURIERFlavien

ENSAG 2012/2013

Sommaire:

1- Le Projet

2- Experiences

4-Dimension Culturelle

3-Dimension Artistique

5-Interet Personnel

- Stage Ouvrier: Gregoire Paccoud/CraTerre Rehabilitation d’une maison en Pisé

- Stage en Agence: Agence Bernard Rivolier Architecte DPLG (Mably (42))

- MD Agencement / Sassenage (38)- Agence Cocoon / Sassenage (38)

- Photographie: présentation de travaux personnels

- Travail Photo: Flux Liquide/Anne Chatelut

- Graphisme : présentation de travaux divers

- Présentation de Photos de différents voyages

- Matière/Matériaux- Envelope- Lumière/Cadrage

Master 1Echange internationalArgentine

Licence 3

Licence 2

Licence 1

Stages

Emplois

- Projet de Pôle Culturel / Studio COMBES- Passerelle Pietonne / Creativité et conception- Habitat Individuelle / Projet et Forme- Décors scénique / Conception d’espaces scéniques- Parc / Conception du paysage

- Chai Vinicole / Studio Guy DEPOLLIER- Librairie/Atelier d’Artiste et de Sérigraphie / Studio Gilles MARTY

- Conception / Studio Jean-Pierre DURAND- Conception / Patrice DOAT

- Halle de Marché / Studio Les (5) sens- Pépinière d’entreprise / Studio Les (5) sens- Réhabilitation d’un moulin / Studio Les (5) sens

Le Projet

Projet Pôle Culturel / Studio COMBES

Ce projet est celui que j’ai réalisé lors de mon premier semestre de master 1 que j’ai effectué en Argentine. Il m’a surtout permis de découvrir une autre manière de conce-voir l’architecture, de prendre du recul face à mon enseignement français et à ma vision de l’architecture. C’est un projet par groupe de 4, j’étais accompagné de deux étudiants en architectures argentins et un étudiant en paysagisme allemand.

Le sujet était de concevoir un pôle culturel alliant un musée, un cinéma, un théâtre, une tour de bureau et un espace de res-tauration. Les enjeux principaux étaient de désenclaver les flux de véhicules, de créer un espace parc, et d’agrandir le centre attractif de la ville de Tucuman (Argentine). Le total réunissant ainsi 16 000m2 construis. La par-celle est située proche du centre économique de la ville de Tucuman, sur un espace laissé libre pour le passage des trains. Aujourd’hui, seul un train par semaine circule sur ces voies en n’empreintes plus que l’accès jusqu’à la gare, laissant libre un très large espace au cœur de la ville. La ville est, à l’image des villes américaine, quadrillée, le site occupe 2 blocs de largeur par 4 blocs de longueurs et est coupé en deux par une grande avenue et un pont.

La plus grande difficulté de ce projet ne fut pas l’immensité du programme, mais le travail avec des argentins. Nos visions très éloignées de l’architecture ne rendaient pas le dialogue évident. La barrière de la langue a pour ma part, été très vite oublié.

La méthode de travail:J’ai été extrêmement surpris par le déroulement du studio en

Argentine. Une fois le site et le programme présentés, il a fallu définir une forme au projet, sans passer par la moindre phase d’analyse. C’est seu-lement après trois semaines de travail sur la forme du projet, qu’il a été demandé d’effectuer une analyse du site, mais pas dans l’optique de justifier nos choix formels, simplement pour «posséder» une analyse. Par la suite, il a fallut «faire rentrer» le programme dans les formes produites, mais sans jamais travailler à des échelles plus précises que le 500ème.

J’ai été quelque peu perturbé par cette méthode de travail, mais je m’aperçois que cela m’a énormément apporté d’une manière inat-tendue. En effet, cet enseignement m’a permis de mettre en relief ce qui compose un processus créatif, la ligne de conduite de la conception architecturale. De plus, ce défi m’a enrichi sur ma vision de l’architecture, sur ce qui me plait en architecture. Effectivement, l’enseignement argen-tin est fortement orienté sur la forme en architecture, avec très peu de justification des choix architecturaux ou même de travail en plan. Les étudiants y sont bercés par les réalisations de Frank O. Gehry ou Zaha Hadid, certes esthétiques mais auquel je n’accroche que peu. Ce qui m’a conforté dans ma vision de l’architecture, aux formes radicales, et où la forme seule ne compte pas.

Le projet proposé par mon groupe consistait à orienter les édi-fices autour d’un centre vivant. Tout en accordant une grande impor-tance à la partie parc qui se créer, et en le faisant pénétrer à l’intérieur du centre. L’idée principale du projet était la topographie artificielle, concept qui s’applique autant aux édifices, qu’aux espaces exterieurs. Les flux véhicules sont désenclavés par l’apparition d’un tunnel (permis grace à la topographie artificielle) et à l’apparition de deux nouvelles rues.

Nous nous sommes répartie les taches, j’étais en charge de la partie comprenant les cinémas et le théâtre ainsi qu’au dernier moment de la partie du musée (s’implantant dans une ancienne usine électrique) et du patio de comida (espace de restauration). Une grande partie du travail en effet.

C’est à partir de ce moment la que j’ai compris l’intérêt de leur méthode, et que j’ai réussi à me faire plaisir architecturalement. Certes les formes de toitures étaient déjà définies, il m’a donc fallu créer l’intérieur. Cela m’a permis de jouer entre les espaces couvert, fermé, partiellement couvert, et ainsi de faire rentrer la nature, la lumière, l’usager dans ces grands volumes vide. Je ne suis pas deve-nue un adepte de leurs méthodes, bien au contraire, mais j’ai su tirer partie de cet enseignement pour m’extraire des contraintes et tout de même avancer. Cela m’a grandement apporté, tant au niveau du travail en groupe, que de la compréhension d’un autre systeme de penser. Meme si architecturalement, je pense que notre projet proposé ne tiens pas vraiment la route, et est plein de défaut, jai su le faire évoluer afin qu’il corresponde à l’esthétique demandée.

Projet Passerelle Pietonne / Creativité et conception

LEFEBVRE Margot / FAUSSURIER Flavien

Al principio nos parecio que una pasarela no es sola-mente un lugar para caminar o crusar un via, pero que existe una significado diferente. Una pasarela puede tambien esta un lugar de vida, un lugar para estar. Donde la gente puede encontrarse, comer, fumar o trabajar.

Entonses, con esta observación quieremos disenar un proyecto que mescla los dos utilisaciones principal de una pasarela: cruzar y estar.

No conocemos muy bien la region de San Miguel de Tucuman, y las diferentes via, calle, o quebrada que necesi-tan una pasarela. Pero en nuestro facultad hemos observado que todos los lugarr para estar son al nivel del parque, del terreno. Todos los taller, o clase no tienen lugar mas cerca para la vivienda de los estudientes o de los profesores. Ade-mas, una de nuestra observacion es que el nivel que tiene el mas de vida, de actividad es tambien el nivel el mas lejo del parque: el quarto. Con estas observaciones, llegamos a la conclusión de que sería interesante de disenar un proyecto a este nivel, el quarto, y de este manera creer este lugar de estar que falta ahora.

Creatividad y Diseño

F.A.U. / Tucuman / 23.11.2012 / Arqs. Patricia Rodriguez Anido

Bandas Plegadas:

Pasarela del quarto nivel / FAU

El concepto de este proyecto es de jugar con un sistema de bandas plegadas y forman de esta manera lugar para estar. De este manera vemos aparecer bancos, mesas, zona verde de vegetacion.

La trama permite de definir una zonificacion de zona para estar, de lugar de circulacion, y tambien algunos lugar para trabajar, hacer una pausa, encontrarse,... Este pasarela que fue orginalmente un lugar con una funcion unica de circulacion y acceso se transforme para convertirse en lugar para estar, para vivir. Este proyecto, le hemos diseñado para la pasarela de quarto nivel, pero podemos aplicarlo a los otras pasarela, y tambien este language puede entrar en la facultad, y crear lugar de estar adentro de ella. Las bandas pueden entrar en los coridor, formar bancos, asientas, mesas como al exterior. Pero puede tambien transformarse en panel de exi-bicion, o tablón de anuncios. Este concepto puede estar aplicado a mucho lugar, lo que permite su language.

Plano Quarto Piso - 1/100eme

Corte AA’ - 1/100

A A’

N

Le cours «Creatividad y Diseno» est un cours théorie sur l’origine de la créativité appliqué à l’architecture et à d’autre. Cet enseignement intègre une partie pratique, sous forme d’un TD, ou le but est d’appliqué l’enseignement en créant un pro-jet, tout en expliquant l’origine de celui ci. J’ai été positivement étonné par ce cours. J’ai trouvé l’approche intéressante, en partant d’un tout autre milieu que l’architecture, pour montrer la créativité qui réside en chacun et tenté d’expliquer son origine.

Pour la partie TD, nous devions imaginer une passerelle, en définir son utilisation, son lieu, et surtout expliquer d’ou viens l’idée de cette passerelle. Moi et ma partenaire de travail avons choisi de sortir de la définition première d’une passe-relle qui est de conduire d’un point à un autre, et de faire une passerelle de vie et de verdure. La passerelle s’éloigne ainsi de la vocation simple qu’on lui applique habituellement pour répondre à un besoin, cette idée découle du choix de notre site. Nous avons choisi le site de la faculté d’architecture de Tucuman, composé d’un bloc de salles de cours et d’un bloc de service en commun avec d’autres facultés reliées par des passerelles purement transitoire. La faculté n’offrant aucun espace de vie, de repos aux étudiants et professeurs en dehors du parc au pied des blocs, nous avons choisi d’imagi-ner une passerelle qui allierait la vocation de transport, avec une réponse au manque d’espace de repos, de pause des étudiants.

La forme du projet résulte de la nécessité de ce proté-ger du soleil dans cette région du monde ainsi que d’un travail sur la bande pliée en architecture, créant ainsi un trame. De cette trame découle les bancs, tables, ombrages et espaces de verdures.

Projet Habitat Individuelle / Projet et FormeLe cours de «Proyecto y Forma» était un cours composé de

plusieurs phases. La première aurait pu ce nommer «culture architec-turale», elle consistait en l’étude des projets de pavillons des archi-tectes majeures ayant marqués l’histoire. Nous avons eu a étudié la villa Savoye de Le Corbusier, ce qui n’allait pas nous apporter beau-coup, l’ayant déjà étudier plusieurs fois dans nos premières années d’études en architecture. Mais l’objectif n’était pas de mettre en valeur les enseignements de Le Corbusier dans notre étude, au travers la mise en valeur des 5 points de l’architecture moderne, mais bien au contraire de reproduire le plus fidèlement la villa Savoye. Cette partie ne nous a pas vraiment passionné.

La seconde phase de ce cours était une phase projectuelle. Il nous fallait imaginer une maison individuelle, le reste du programme était à définir. Mon groupe et moi avons fais le choix de concevoir une maison-atelier, pour un artiste vivant à l’écart de la ville. Cette maison devait être minimale, évolutive et flexible. De plus, nous avons choisi de travailler sur le thème transparence/translucide.

Nous avons choisi d’implanter le projet dans une montagne surplombant la ville de Tucuman, un lieu verdoyant dans une partie en pente afin d’insérer la maison dans la montagne. Deux grands murs de refend soutienne la toiture ainsi qu’un ensemble de poteaux disposé alternativement sur une trame de 2X2.

Sur les poteaux viennent se fixer des panneaux rotatifs trans-parent ou translucide de couleur qui, à l’aide de roulements à billes, permettent de faire évoluer la maison en fonction des moments de la journée ou de son utilisation. Il est vrai, de cette manière la maison se transforme en chambre pour la nuit, en espace de travail, ou en salle d’exposition.

Ce projet nous a permis de relever le défi du travail sur l’évolu-tivité, et ainsi faire vivre notre projet, l’imaginer plus tard pour travailler sa flexibilité, imaginer comment l’agrandir si le besoin en est, créer d’autre espaces,... Cet enseignement a donné une notion temporaire à notre projet, lui donnant ainsi une vie, il se doit d’évoluer avec son utilisateur.

Projet décors théatral / Conception d’espaces scéniquesL’enseignement «Diseno de espacio escenico» est surement le plus

étonnant des cours que j’ai eu l’occasion de suivre dans mon cursus d’étu-diant en architecture. Depuis longtemps passionné de théâtre, pouvoir allié l’architecture au théâtre fut pour moi une expérience enrichissante. Au niveau architectural, ce cours a vraiment été passionnant, nous avons étu-dié la morphologie de différents théâtres, puis on nous a familiarisé avec les notions de story-board, et finalement nous avons eu des cours de culture du cinéma dans l’œil de l’architecte, appliqué plus particulièrement aux décors, à l’espace scénique.

Nous avons mené de front une phase de TD appliqué au diffé-rentes étapes du cours: création d’un story-board d’une œuvre, imaginer une réinterprétation, créer un décors,...

Nous avions tout d’abord été invité à voir la pièce Tosca au théâtre San Martin à Tucuman, et l’objectif final de l’enseignement était de créer un nouveau décor pour réinterpréter à notre manière cet opéra. Nous avons choisi de créer un module simple qu’il suffirait de déplacer-re-tourner afin de changer de décors (comme on peux le voir ci à gauche). Chacune des faces correspond à un des actes de l’opéra et représente respectivement l’église du premier acte, le bureau-cabinet du second, et le fort du troisième. De plus ce module est conçu afin que les déplacement des acteurs et leur principales actions soit favoriser: suicide du haut du fort, scène masqué au second plan, cachette invisible de la scène mais pas du spectateur,...

Cet enseignement était extrêmement intéressant à mes yeux, il m’a permis d’ouvrir un peu plus le monde de l’architecture, de dévoiler son ap-plication à bien d’autres milieux. Etre familier à la mise en scène s’applique tant à l’espace scénique qu’à la conception architecturale, que faut t’il montrer ou pas? Qu’est ce qui attire l’œil du publique, comment occuper l’espace,...

Projet de Parc / Conception du PaysageMargot LEFEBVRE BUILLETFlavien FAUSSURIER Transición

F.A.U / Tucuman / Diseno del Paisaje / 26.10.2012Arquitecto Oscar CHELELA

Este proyecto es un conjunto de jardín, de naturaleza diferente, organizada para crear una transición entre el mundo mineral y vegetal. Constitue de tres jardines principales. Tomando las huel-las del pasado y creando nuevas oportunidades.

El primer, muy mineral, compuesta de mármol negro, hormigón liso y cuanca de agua. Este jardin cree un espacio libre para la circulación, visual y peatonal. Se trata de las zonas más al Sul, cerca de las facultades. Permite la creacion de puntos de encuentro, un lugar para vivir para los estu-diantes.

El segundo, más al norte, es un parque con una natural dominado. El hombre es al origen de este terreno. Los caminos, las topografías artificiales, el anfiteatro. Es un lugar de calma y reuniones a través de zonas verdes.

El tercero, el mas al Sur, cerca de la avenida Rocca, es una fauna natural, una Naturaleza Sal-vaje. Naturaleza se reafirma, los caminos se vuelven pista, la hierba es alta, el suelo está lleno de hojas muertas. A la manera de los jardines en movimientos de Gilles Clément, el tercer jardín nace, vivi y evolua.

Referancias:Jardin 1: Mineral

Jardin 2: Naturaleza Controlada

Jardin 3: Naturaleza Salvaje

Caserne de Bonnes - GrenobleFranceJacqueline Osty

Jardin Mandala - Gilles Clément

Jardin en Mivimiento - Gilles Clément

Jardin de Métis - Quebec

Costa AA’

A2

A2

Anfiteatro

Topografia Artificial / Mirador

Le cours «Diseno del Paisaje», dispensé à la faculté d’architecture de Tucuman, nous a relativement étonné. Effectivement, après une phase histoire du paysage très condensé, on nous a présenté les différents types de mobilier et de plante présent dans les parcs urbains, puis il nous a directement été demandé de réaliser un projet de parc dans la partie réserve naturelle du parc de la faculté.

Nous nous sommes essayé à la conception d’un parc, ce qui me conforte dans l’idée que le projet en architecture doit être directement pensé en commun avec le projet du parc l’entourant. Cet enseignement m’a permis de me rendre compte de la réalité de création d’un espace de verdure, tout en gardant en tête les notions de transit piéton, d’aménagement, d’intimité urbaine.

Nous n’avons pas pu suivre ce cours jusqu’à la fin, les séances de td tombant en même temps qu’un autre de nos enseignements, mais ce cours m’a permis de découvrir les bases de la concep-tion paysagiste et ainsi me donner le vocabulaire et les outils afin de dialoguer avec ce milieu dans le futur.

Projet Chai Vinicole / Studio Guy DEPOLLIER

Flavien Faussurier / Mercredi 30 Mai 2012 / Studio DepollierCoupe Détail Longitudinale échelle 1/20 ème

Flavien Faussurier / Mercredi 30 Mai 2012 / Studio Depollier

Chai à Vin / Bastille/ Grenoble

Plan Masse 1/500 ème

Plan RDC 1/200 ème

Trâme

Structure Longitudinale

Séparation Espaces

Structure verticale

Espaces

Lors du second semestre de troisième année, j’ai intégré le studio dirigé par Guy Depollier. Le projet était un chai vinicole sur les flans de la Bastille de Grenoble. Ce projet intégrait une grande phase d’analyse, afin de justifier son emplacement, l’un des points importants lorsque l’on intervient sur un espace comme celui de la bastille, zone d’histoire, image d’une ville. Le projet se devait d’allié une partie ouverte au public, de présentation, d’exposi-tion et de dégustation, l’image du bâtiment, et une partie privé pour la fabrication, l’élaboration et le stockage du vin. Le programme comprenait aussi de petits logements d’appoints. L’objective de ce travail, était de pousser la conception et les détails le plus loin possible, ainsi que le coté constructif du projet.

Ma proposition de projet s’implante juste au dessus du premier rempart, il s’aligne à ce rempart. C’est pour moi un espace transitoire entre la ville et le sommet, son accès est facile grâce au chemin pompier et surplombe tout de même la ville, tout en restant à échelle humaine. L’alignement sur le rempart permet de marquer ce rem-part, la toiture épaisse créer le dialogue entre les deux volumes. L’édifice cherche à s’effacer face à la montagne, il se masque derrière le rempart. Le bâtiment est en retrait par rapport au rempart, seul la toiture s’aligne, créant ainsi un espace couvert devant le rempart, un promontoire un point de vue sur la ville.

Le bâtiment est composé d’une toiture caisson épaisse, filtrant la lumière, sous laquelle viens se créer un volume en longueur allant du plus publique jusqu’au plus privé. La toiture est percée par des volumes permettant l’apport de lumière vive à l’intérieur de l’édifice, ces blocs lumineux intègrent les appartement, accessible par le niveau supérieur du cheminement pompier. La structure caisson de la toiture est en bois, et repose à l’aide de platine sur des murs sandwichs au Rdc, permettant ainsi une grande portée et une entrée de lumière douce, filtrée.

L’espace d’accueil, image du projet et une pièce largement ouverte, traversé par des failles lumineuse, baignée d’une lumière douce avec vu sur Grenoble et sur l’espace cave du bâtiment, l’espace le plus intégrer dans la montagne, pour profiter des qualités d’inerties de la montagne.

Projet Le Pli / Studio Gilles MARTY

L’enseignement de studio de Gilles Marty, est à mes yeux et avec le recul nécessaire, l’enseignement qui m’a le plus marqué au cours de mon cursus à l’école d’architecture. Il m’a enrichi tant au niveau de la méthode de travail, ou de conception, que dans ma vision de l’architecture. En effet Gilles Marty au travers ses cours riches en références m’a apporté cette énergie débordante vouée à l’architecture. Cette vision de la conception architecturale alliant les besoins à l’esthétisme.Le semestre que j’ai effectué avec Gilles Marty m’a fais découvrir une nouvelle méthode de concep-tion par la métaphore. Au travers une définition des volontés architecturales du futur projet, au travers des axes de travails et des références riches et variées.Les principes mis en avant par cet enseignement sont la hiérarchisations des systèmes (enveloppes / structures / espaces), la conception par la méta-phore et les effets, ... Ces points sont devenu mes atouts et me permettent de m’épanouir dans mes projets, en ayant analysé ce qui n’allait pas aupa-ravant.Ce semestre m’a aussi permis de comprendre pourquoi ma relation aux références architecturales n’était pas bonne, je n’osait pas trop m’inspirer de peur de copier, alors qu’il suffit de transposer un sys-tème à un autre programme, ou édifice, ce n’est pas du copiage mais de l’utilisation d’une «technique».

Hiérarchisation des différents systemes et principes architecturaux du projet:parcs jardin, plateux et circulations interieures, circulations exterieures et terrasses, envelope.

Présentation du projet:Systeme de plateau definisant des demis étages de 60m2 chacun acceuilant chacun

une fonction du batiment.Intimisation du batiment avec l’élévation en hauteur.

Systeme de circulation exterieur créant des points de vues variés, et reliant des terrasses exterieurs.

Envelope coque, à l’image d’un feuillage, edifice objet, publicité, véritable oeuvre d’art, Image de mouvement du plie, qui part du parc, monte sur la façade, forme la toiture et

redescend sur le jardin. Créant ainsi le jardin, les façades et la toiture.De l’intérieur, ces façades crées un rythme, un mouvement.

Structurellement, ces façades sont en bétons banchés, et sont donc autoporteuse (sys-teme de coque hyperstatique), les plateaux intérieurs sont portés par des poutres pré-

contraintes fixé en largeur de la structure.

Réalisation de montages 3D photoréaliste

L o g i c i e l s :S k e t c h U pA r c h i c a dA r t l a n t i sP h o t o s h o p

Ce projet consiste en la conception d’une halle de marché couvert sur un emplacement situé. La parcelle en question est la place St Bruno, derrière la gare de Grenoble., cette place est connue pour son marché extérieur qui occupe toute la surface de la place. En dehors des horaires de marché, cette place est composée d’un parking et d’un parc. Ce projet doit donc prendre en compte l’utilisation habituelle de cet espace, et ne pas la détruire. D’autre points sont à no-ter: l’orientation, l’accès, le caractère «pu-blique» du bâtiment, et le bâtit environnent.

Le partit prix de ce projet et son implantation au Nord, afin de recevoir un maximum de soleil- s’aligner sur la rue au nord pour créer une véritable rue passante- concevoir une structure rythmée qui défi-nie les espaces fermé/ouvert, publique/privé.- conserver l’axe piéton transversal- créer un véritable parvis devant l’église

Projet Halle de Marché / Studio Les (5) Sens

Ce projet consiste en la restructuration d’une ferme. Les objectifs primordiaux étant de «s’adapter» à un site déjà existant. Faire part à l’existant tout en détruisant une partie de celui ci, et en y ajoutant des constructions nouvelles. La difficulté principale étant de faire le lien entre les deux typologies de bâtie, lien physique mais aussi lien de fonctionnalité. Le bâtit existant étant une ferme, il nous fallait repenser les bâtiments pour leur nouvelles utilisations: un foyer, une pépinière d’entreprise, avec des salles de réunion, des espaces de bureaux, des salles de détentes, un espaces d’accueil, un amphithéâtre, un espace Bar.Ces types d’espaces ne sont pas facilement transpo-sable dans un espaces de fermes, de granges ou les sur-faces sont relativement petites et les ouvertures faibles.De plus les chemins d’accès doivent être modifiés, il faut donc repenser une nouvelle arrivée sur le site, site très rural par ailleurs, ou l’apparition d’un bâtiment moderne pour-rait «gâcher» les paysage, ou tout au moins faire taches.

Le partie prix de ce projet et de ne conserver qu’une des trois ailes du corps de ferme, et de venir l’enjamber avec une construction neuve, tout en longueur, relative-ment imposante pour ce paysage, et ainsi recréer une ligne d’horizons. La zone d’accueil créer une ouverture sur le paysage environnant, la circulation intérieure est guidé par un mur filaire et une colonne d’ascension.

Projet Pépinière d’entreprises / Studio Les (5) Sens

Réhabilitation d’un MoulinSt Barthélemy de Beaurepaire

Site RéelPrendre en compte l’existant,

répondre au attente d’un client réel

Etude de site.

M a t i è r e sM a t é r i a u xC o u l e u r sT e x t u r e sL u m i è r e s

Projet Réhabilitation Moulin / Studio Les (5) Sens

Réhabilitation d’un MoulinSt Barthélemy de Beaurepaire ( 38 )

Création d’une toiture en pente recouvrant la partie Nord du Moulin ainsi qu’une continuité à l’Est.

Arrase de la partie Sud du moulin à 70cm, création d’une terrasse plein Sud, avec un véritable panorama sur le paysage.

La partie Nord du Moulin va quand à elle etre mise Horsd’air grace à un systeme de menuiserie installé à l’intérieur de l’arrase et s’élevant jusqu’à la nouvelle toiture.

L’intérieur de cette partie va voir renettre un niveau avec une mézannine acceuillant les bureaux des associations et un espaces bibliothèque.

Le RDC sera réservé à l’acceuil, la salle de réunion et l’espace bar, scene et détente, ouvert sur la terrasse. Un espace pédégogique vitré montrant le fonction-

nement du moulin y sera aussi ajouté.Un deuxieme bloc sera construit sous la toiture pour répondre au moulin et créer

une véritbavle barriere visuel, fendu uniquement par le rief.Cet espace sera déstiné à l’acceuil des scolaire: salle hors-sac, salle de classe,

sanitaire,...Ainsi qu’à l’observation de la faune et la flore grace à de large ouverture, en cas

de temps pluvieux. L’ensemble du projet agrémenté par un jardin botanique au Nord, relativement

emprunté. Le Sud sera quand à lui déstiiné à l’observation, à la sérénité grace à la terrasse.

Projet 4 espaces / Studio Jean Pierre DURAND

Création d’un pavillon individuel sur la base d’une forme simple. C’est lors de cet exercice la que j’ai découvert mon intérêt pour les réalisation de Mies Van Der Rohe. Ce travail sur la forme sans contraintes me paraît, encore aujourd’hui très intéressant. Je m’aperçois avec le recul de l’imprécision de mon projet mais il reflète déjà une partie de ce qui me plait encore aujourd’hui en archi-tecture: le radicalisme, le travail sur le plan, le jeu des formes, l’organisation spatiale.

Ecole

Conception d’une école primaire ou maternelle

Principe de Trame

Une Element simple se repette afin de former l’ensemble

Projet école / Studio Jean Pierre DURAND

Réaliser une école primaire grâce au travail sur la trame et les proportions. Allier un système constructif à une organisation afin de créer le plein, le vide, l’ouvert. Cheminement de la lumière. Ce projet est le premier qui m’a marqué dans mes études d’architecture, car il cherche dès à présent à répondre au besoin d’une école, tout en appliquant une solution constructive. Le jeu des contraintes, comment allié les deux, pour organiser l’espace.

Projet Bibliothèque / Studio Jean Pierre DURANDCe projet est celui d’un partiel

de conception, une épreuve chrono-métré. Il nous fallait imaginer l’extension d’une bibliothèque, l’organisation de celle ci autour d’un patio. L’une des contraintes était le mur extérieur plein, l’apport de lumière devait donc ce créer par l’intérieur. Ce projet m’avait plu car il nous fallait, dans un temps appartie, imaginer toute la concep-tion d’un édifice, imaginer tout ce qu’il nécessitait, organiser les espaces, penser directement aux lumières, aux intimités, au flux. La forme de mon projet découle de la forme de l’existant, de la continuation d’ancienne ligne, et de la création d’une trame.

Projet Masse-Ossature / Studio Patrice DOAT

Outre la sensibilisation à la repré-sentation en architecture, et au processus créatif (origine du projet,...), l’enseignement de Patrice Doat est surtout une initiation à la dimension sensible de l’architecture. On cherche à y développer la capacité à faire ressentir des sentiments à travers l’archi-tecture. L’exercice masse ossature en est un bon exemple, on cherche à créer deux ambiances, un volume blanc, froid, lourd, et relativement haut, l’homme s’y sentirait enfermé. La structure bois est quand à elle suspendu à celle ci, tel un nit, l’ajourement du bardage laisse entrer une lumière cha-leureuse. C’est aussi notre rencontre avec les matériaux de l’architecture, et la lumière. Mes projets de l’époque sont pour moi invraisemblable aujourd’hui, mais ils sont à l’origine de ma compréhension actuelle de l’architecture.

Experiences

Travail en Agence Agence MD Agencement3 rue du Drac

38360 SassenageAu cours du premier semestre de l’année 2011/2012 mon emploi du temps de cours étant peu chargé à cause de mes redoublements, j’ai eu l’occasion de me confronter au travail en agence sur une pé-riode relativement conséquente. En effet sur quatre mois de temps j’ai exercé le métier d’architecte au sein de l’agence MD Agencement à Sassenage grâce au contrat Cutch. C’est une petite agence qui effectue les travaux elles même afin de remettre des projet clefs en mains aux clients.Mon rôle dans cette petite entreprise était relative-ment vaste, de la prise en charge du client, jusqu’aux réu-nions de chantier. Je devais exercé tout les métiers de l’architecte et parfois plus (graphisme, chiffrages, etc.) .La proximité avec l’atelier de construction et avec les chantiers a été pour moi extrêmement instructif, car j’étais en quelque sorte «lâché dans le grand bain» relativement seul avec pour objectifs de mener les projets de bout en bout. A chaque questionnements il m’était facile de questionner les ouvriers sur tout les sujets: dimensionnements, mise en œuvre, ...Cet emploi m’a permis d’enrichir mon langage de la construc-tion, de me rendre vraiment compte de l’application de mes choix, et d’avoir à faire face à toutes les contraintes de la réalité.L’agence n’effectue que des réhabilitations et des construc-tions de moins de 150m² du fait qu’elle ne comporte pas d’architecte, j’étais le seul protagoniste de la conception à la réalisation avec le patron Pierre Garcia, qui n’est en aucun cas architecte. Ce qui m’a permis de découvrir une nouvelle facette de la construction, celle sans architectes.Une expérience très enrichissante malgré le manque d’attractivité de certain projet à mes yeux.

Travail en Agence Agence CocoonSabrina Baïetto architecte DPLG

9 rue de la république38360 Sassenage

J’ai trouvé cet emploi grâce à Cutch, ce qui m’as per-mis de travailler aux mois de Juin et Juillet dernier. L’agence Cocoon n’est pas une agence d’archi, mais une agence d’architecture d’intérieur, avec comme principal et unique protagoniste Sabrine Baïetto , une jeune archi-tecte DPLG diplômé à l’ENSAG il y a quelque année.Ayant toujours préféré l’architecture d’intérieur elle s’est décidé à monter son agence seule il y a plusieurs années.Cette expérience nouvelle pour moi m’as permis d’être confron-té à un tout nouveau type de projet pour moi, des petits voir très petits projets, de l’aménagement, de l’agencement,...Bien que je n’ai aucune envie d’en faire mon mé-tier j’ai trouvé intéressant de me confronter à cet «autre» monde souvent renié par les architectes.Le fait que Sabrina soit architecte m’as rassu-ré et permis de mieux ouvrir les yeux sur ce milieu, Cet emploi m’a aussi apporté quelques notions d’échelle, en particulier pour le mobilier et les espaces de passages.Le fait que Sabrina travaille habituellement seule m’a per-mis de rencontrer les clients, de discuter avec eux de leur projet, de leur perception, et de leur ressenti. Une expérience dont j’ai su tirer profit pour mon métier futur.

Stage en Agence Agence Bernard RivolierArchitecte DPLG

1 place de Verdun42300 MablyCe stage était mon tout premier contact avec

le monde de l’agence d’architecture, un moment très attendu mais aussi très craint, en effet j’ai effectué ce stage dans une agence proche du logement de mes parents, lieu ou il est rare de trouver de «bonne» architecture, et ne connaissant pas vraiment l’agence à l’avance j’avais quelques appréhensions de ne travailler que sur du lotissement ce qui ne m’inté-ressait absolument pas. J’ai été immédiatement rassuré lorsque Bernard Ri-volier m’a présenté l’agence et les projets. C’est encore aujourd’hui la plus grosse agence pour laquelle j’ai travaillé, avec huit employés perma-nents et plus d’une dizaine de projet en cours. Cette expérience m’a permis de me familiariser avec le travail d’équipe, les phases du projet jusqu’à sa construction, la relation avec les clients, les bureaux d’études, et les administrations.C’est surement l’expérience en agence qui m’a été le plus bénéfique à ce jour. De plus ce stage m’a entrainer sur un emploi d’un mois et demi dans cette même agence juste à la suite de mon stage. Une expé-rience inestimable pour un jeune étudiant.

Stage Ouvrier Grégoire Paccoud auto-entrepreneur/ CraTerre

L’enseignement de Patrice Doat m’ayant toujours passionné mais n’ayant jamais eu la chance de me rendre aux grands ateliers de l’Isle d’Abeau, il m’est paru logique de demander à Patrice et à Craterre s’ils ne proposaient pas des stages dans le milieu de l’architecture de Terre auquel je m’intéressait.Patrice m’a ainsi présenté Grégoire Paccoud architecte et au-to-entreprenneur qui débutait le chantier de la maison de sa tante dans les environs de Macon. Il m’a proposé de venir pas-sé deux semaines sur le chantier durant mes vacances d’avril. C’est un gros chantier qui nous attendais, avec la déconstruc-tion partielle d’une ancienne habitation et grange en pisé, et la reconstruction de celle ci en trois matériaux: des murs en terre crues pisées, une ossatures bois à l’étage, et une extension en ossature bois et mur en pailles compressée.Un projet très lourd réalisé principalement à l’aide de bénévoles.L’accueil y a été formidable et le stage très instruc-tif. Il a même fais naitre une nouvelle passion pour l’architecture en terre cru, et le travail de celle-ci.Tout au long de ce stage nous avons appris différentes techniques de la construction, acquis un vocabulaire en relation, et décou-vert de nombreuses informations, capacités du matériau terre crue.Il nous a aussi fais découvrir les aléas du chantier, la sécurité nécessaire et les outils de mise en œuvre, qui nous permettrons d’aguerrir notre vision de l’architecture. Et ce dans le but de rendre réalisable nos projets, nos futurs bâtiments, nos futurs chantiers.

Stage Ouvrier Grégoire Paccoud auto-entrepreneur/ CraTerre

Ce stage m’a surtout permis de me familiariser avec le maté-riau terre. Un matériaux extrêmement riche, modelable, facile à mettre en œuvre et présent pratiquement partout sur la planète.Nous y avons appris les techniques de construc-tions en terre crues: le pisage, le coffrage, com-ment faire des briques, les dosages, les mortiers, ...Nous avons découvert les capacités de ce matériaux, qui est en passe de renaitre, car écologique et écono-mique ( il fais partie des matériaux de proximités n’importe ou qu’on soit, il est naturelle, et n’as pas à être importer).Ce stage m’a fais m’intéresser encore plus à l’architecture de terre et découvrir des réalisation de Rick Joy ou Martin Rauch par exemple.J’aimerais avoir à nouveau l’occasion de faire un stage dans l’architecture de terre, afin d’améliorer mes connaissances dans ce domaine, et pouvoir justifier ainsi l’utilisation de ce matériau, de ces techniques dans mes projets. Et qui sais peu etre avoir l’occasion de réaliser un de ces projets avec une agence.

Participations à des concours(travail personnel) en partenariat avec Loris Vidalprofesseur referent: S. Sadoux

Concours ArtUrbain 2011

Participations à des concours(travail personnel) en partenariat avec Margot Lefebvre Buillet Concours IFB 42 2013

Stratégie Thermique

S N

Eté

Hiver

Zoning

500

2 00

0

IMPLANTATION AU SITE :

Le site se situe sur les hauteurs de St Etienne, au niveau du quartier de Montplaisir. Cette coline qui surplombe la ville au Sud Est est visible en tout points de St Etienne. Ce qui lui procure les capacités d’être le devenir visuel de la ville, tout comme pouvait l’être la tour de Montreynaud il y a peu, en inscrivant clairement le caratère dyna-mique et la volontée novatrice de la ville de St Etienne. Le site présente des qualités tels qu’une bonne exposition et orientation solaire, et une vue panoramique sur l’en-semble des vallées environantes, ainsi que sur le Pilat et les monts du Forez. Le projet s’implante sur la partie Nord Ouest du site, s’intercallant entre les batiments actuelles de l’ENISE et la ville. Il vient s’insérer de manière à créer une nouvelle distribution des espaces au sein de l’école, ouverte sur le monde contrairement à sa mono-orientation actuelle, centrée sur son acceuil.

Le batiment en lui même suit les points cardinaux, permetant une meilleur différenciation des façades, afin de maximiser l’impact thermique de chacune. En effet, la façade Sud est en dents de scie, donc fortement ombrée afin de minimiser l’effet du soleil en été. La façade Nord quand à elle est beaucoup plus lisse, et largement ouverte, profitant ainsi du lumière douce et abondante et d’une vue panoramique sur toute la ville de Saint-Etienne. De chacunes de ses fenêtres nous pourrons observer les deux coeurs de St Etienne :

- Le cours Fauriel traversant le centre historique. - Le stade Geoffroy Guichard.L’iplantation au Nord-Ouest du site permet en outre d’aménager des espaces exterieur interressanr autour de

l’ENISE, tel que l’actuel près en jachère. Le transformant en espace de parc aménagé. Ou les étudiants pourront venir profiter du soleil et de la vue sur St Etienne. De plus nous observons qu’il existe un parking et une route qui déservent la tour, permetant un accès direct à celle ci.

Il est prévu d’aménagé une petite place avec des cheminements piétonniers au sud de la tour pour intégrer la route et le parking.

CONCEPT:

La tour Pré-Vert est régie par un concept très simple: un module unique et orienté (5X3X20) reproduit et empilé. Cette idée remonte du jeu connu de tous, le Kapla. C’est l’idée même que l’on se fait de la tour en bois. A la manière de ce jeux les modules s’emplilent alternativemenet dans un sens ou dans l’autre. Certains emplacements sont laissés libre afin d’adpter chacune des façades à son orientation : qualité d’espace, qualité écologique et de vue.

En effet chacune façade est plus où mois ouverte et plus où moins ombré en fonction de son orientation afin d’optimiser les apports solaires et fonction de ses besoins.

La structure primaire alliant bois et béton, permet la stabilité du bâtiment. A l’intérieur de cette structure viennent s’assembler les espaces de sevice et de distributions : toilettes, vide sanitaire, passage de flux, escaliers et ascensseurs. Sur celle-ci viens s’allier une structure secondaire entièrement en bois supppor-tants les planchers. Cette ensemble est partiellement préconstruit et n’a plus qu’a être assemblé et fixé à la structure primaire. Les mus extérieurs de la tour vont, dans la même idée, être préconstruit en atelier, pour optimiser les capa-cités thermique de ceux-ci, ainsi que le temps de fabrication de la tour et les coups de construction.

Les murs, n’entravent pas dans l’aspect structurelle de la tour, permettent la morphotolgie de la façade en dent de scie, ce qui entraine une diversifi-cation des espaces et une dynamique visuelle. De plus cette édifice est ainsi dotté d’une grande modularité et évolutivité. Permettant dans un futur plus lointain, une réorganisation voir une réafectation des locaux.

La conception architecturale est donc ici au service de l’écologie et de la qualité des espaces et volumes proposés.

STRATEGIE THERMIQUE ET ECOLOGIQUE :

Le jeu des façades, alternants plein et vide, murs et vitrages,découle de la stratégie thermique de cet édifice. En effet, la façade Sud est, en comparaison à la façade Nord, beaucoup plus en «dent de scie» afin d’y créer un om-brage naturel couvrant un maximum de surface en été, et de favoriser l’ entrée des apports lumière solaire (ressource gratuite et illimitée) en hiver.

La façade Nord bénéficie d’un traite-ment beaucoup plus lisse et largement ouvert, profitant ainsi d’une lumière douce et uniforme.

Hormis la structure primaire à l’intérieur de l’édifice ou les poteaux sont en béton (du fait des grandes hauteurs à supporter), l’edifice est entièrrement constitué de bois. La structure secondaire, en contact avec l’exterieur, étant ainsi en bois, réduit considérablement les effets de ponts thermiques qu’auraient engen-dré tout autre type de structure. Le bois est donc ici le matériau idéal d’une architecture écoligique. Les murs en bois préconstruit en atelier per-mettent non seulement d’enfendrer une réduc-tions des coups de construction et de mise en oeuvre, mais aussi une optimisation des performances isolantes de ceux ci. Ce qui est permis par exemple grace à l’utilisation de matériaux isolants à base de produits recy-clés, tel que la sciure de bois.

L’utilisation du bois en structure, en fa-çade et en parement permet d’optimiser la stratégie thermique du projet, ce qui est occasioné par la performance de filières locales, limitant ainsi les effets néfastes des longs transports. Démarche qui s’inscrit dans la volontés écologique du projet. Le concept du module unique et orienté, formé de murs pleins a pour but de permettre l’instalation de grandes surfaces de panneaux photovoltaiques afin de subvenir aux besoins de l’édifice. Ce processus s’allie à un système de récupération de eaux (sous les callebotis des terrasses, afin d’alimenter les services ne nécéssitants pas d’eau potable: chasse d’eau, lavage des sols.) et à un ensemble de pompes à chaleurs et des vitrages à faible émissions. Ce qui témoigne de la volonté novatrice du projet à limiter son impact sur l’envirronement.

Le projet s’inscrit dans une démarche réfléchie de devellopement durable et écologique de l’archi-tecture.

AMENAGEMENT, ORGANISATION :

Le concept de l’édifice lui permet d’obtenir un plan carré répondant à une trâme de 5X5. Cette trâme est à la fois structurelle et régie les espaces. La structure porteuse est au centre de l’édifice à l’interieur de laquelle se créer un noyau dur, central. On y trouve les espaces de services (toilettes, trans-ports de flux,...) et de distributions (escaliers, assenceurs et couloirs). Cette zonification horizontale per-met une distribution des espaces tout autour à la manière d’un plan libre. Ce qui permet une grande modularité du projet et, si besoin est, une évolutivité de celui ci avec le temps (changement de voca-tion, de programme,...).

A cette zonification horizontale s’allie une zonification verticale des espaces, en fonction de leur vocation utilitaire. En effet, juste au dessus du hall d’acceuil se trouve la partie bureau, administration, base de notre société. Juste au dessus, la zone d’enseignement, ascencion vers la connaisance. L’étu-diant bénéficie des meilleurs conditions pour y accéder. Un amphithéatre et une bibliothèque y sont même conçu. Encore à des niveaux supérieurs, les espaces de récéptions, d’acceuil évenementiel ou d’exposition, image direct de l’école sur l’étudiant, la ville, le monde. Le dernier étage fais place à un esapce observatoire, une ouverture sur le monde qui l’entoure. C’est l’image positive projeté par l’edifice, qui reflette celle de l’école, de la ville et du bois au monde envir-ronent. Avec une vue panoramique imprenable su Saint Etienne, les monts du Forez, le Pilat ou encore le stade-Geoffroy Guichard. Ce lieu devient le point de lecture et d’interprétation de la ville.

LA TOUR Pré-Vert.Tour en bois de grande hauteurPRIX D’ARCHITECTURE -4ÈME SESSION 2012-2013Inter Forêt -Bois 42

Observatoire / Caféteria

Espace de Receptions

Espaces d’enseignement

Bibliothèque

Amphithéatre

Espaces de Bureaux

Acceuil

PLAN MASSE 1/1000

MAQUETTE CONCEPTUELLE

DETAIL CONSTRUCTIF 1/50

PLAN TYPE Salle D’ENSEIGNEMENT

PLAN RDC

PLAN TYPE BUREAU

PLAN BIBLIOTHEQUE

PLANS 1/100

PLAN OBSERVATOIRECOUPE AA 1/200ELEVATION SUD 1/200

DimensionArtistique

Photographie( travail personnel )

Place Notre DameGrenoble

El Forum/Herzog et De MeuronBarcelona

Montée de la BastilleGrenoble

Photographie ( travail personnel )

Photographie ( travail personnel )

Grenoble sous la neige

Photographie( travail personnel )

Photographie( travail personnel )

Shanghai / Exposition Universelle Sept. 2010

Photographie( travail personnel )

M a t i è r e s / M a t é r i a u x / C o u l e u r s / V i e / H i s t o i r e

DimensionCulturelle

Voyage

« Rien ne développe l’intelligence comme les voyages. »Emile Zola

Au cours de mes études d’architectures j’ai eu la chance de beaucoup voyager, et chacun de mes voyages n’a fais que m’enrichir et enrichir ma vision de l’architecture, du monde.Chaque rencontre, chaque découverte, chaque dé-paysement, chaque culture rencontrée me fait vivre.Le voyage n’est pas pour moi un simple moyen de s’évader, c’est une manière de décou-vrir le monde, de me découvrir moi-même.Je suis un amoureux du voyage pour ces rai-sons la, ce sont elles qui m’incitent à par-tir. Et qui me font revenir, plus vivant à chaque fois.

Ma vision de l’architecture, tout comme ma vision de la vie, évolue à chaque découverte. Quoi de mieux pour découvrir de s’immerger complètement dans un autre pays que le sien. L’année d’échanges internatio-naux est l’occasion parfaite de vivre cette immersion, avec en plus, la possibilité de continuer l’apprentis-sage de l’Architecture avec l’œil d’un pays nouveau.

Cette année d’échange est pour moi l’oc-casion rêvée d’allier Voyage et Architec-ture, je compte bien en profiter pleinement.

Argentine 2012

Partir vivre un an en échange international est une expérience extra-ordinaire, partir aussi loin de chez soi encore plus. Avoir vécu déjà six mois en Argentine a bouleversé ma vision du monde et de l’architecture. J’ai aussi la chance d’énormément voyager en Amérique du sud et de découvrir des paysages, des manières de vivre extrêmement différentes. Je ne suis actuellement qu’à la moitié de mon année ici, mais je m’en sent déjà grandement changé. On prend beaucoup de recul sur la vie d’européen, sur notre manière de voir le monde, et de penser l’architec-ture. J’ai pu par exemple m’apercevoir de la place des coutumes dans la conception architecturale, mais aussi celle de la disposition géogra-phique, la protection du soleil et de sa chaleur, comme la recherche d’espace extérieur dans sa maison, patio,...

Los Angeles 2011

Partir vivre le rêve américain seul avec son vélo et son sac.Plus de deux mois de gigantisme, de découvertes, de rencontres, mais aussi de galères devenue aujourd’hui d’excellents souvenirs.Le meilleur moyen de découvrir, de s’immerger, c’est de partir seul, mais c’est aussi la manière la plus difficile.Le bonheur n’est réel que lorsqu’il est partagé»(Into the wild)

Shanghai 2010Chine

Shanghai/ Expo Universelle 2010 Chine

Flavien Faussurierfaussurierflavien@gmail.com

le pont de Presles42 260 Bully

tel: 06.87.23.45.14

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