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Pour fêter le passage des 160.000 fans de la page

Facebook « Sources d’Optimisme et

Réflexions Positives », j’ai le plaisir de vous offrir ce cadeau pour vous remercier

de votre fidélité !

Amicalement,

Michel Poulaert

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© Michel Poulaert, 2012

Site internet : www.sourcedoptimisme.com

Facebook : www.facebook.com/Sourcedoptimisme

Courriel : contact@sourcedoptimisme.org

Éditions : Carbonnier-Quillateau Colette 4 Rue Bel Air 40100 Dax

Tél : 05 58 74 10 56 ISBN : 9782918090236

Siret : 315 236 927 000 28

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Site : http://www.Carbonnier-Quillateau.fr Courriel : colette.quillateau@wanadoo.fr

Photo de la couverture : Shutterstock, ©Maribell

Tous droits de reproduction et de traduction, réservés pour tous pays.

ISBN 978-2-918090-25-0

LE BONHEUR C’EST…

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AVANT-PROPOS Il faut tellement peu de choses pour se sentir heureux. Le bonheur repose sur des notions tellement simples qu’il nous semble que les « essentiels du bonheur » sont insignifiants, noyés par des va-leurs dictées par notre société ultra-consumériste, fixée sur la prestation et des signes extérieurs de statuts et de réussite. Parfois, marquer un temps d’arrêt et (re)chercher la sim-plicité s’avère salutaire pour (re)trouver de l’énergie ou un soup-çon d’espoir qui nourrissent notre avancée. Il faut parfois tellement peu de choses pour nous tirer vers le

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haut : un mot gentil, un regard, une main sur l’épaule, un souvenir, un compliment,… C’est en partant de ce principe que l’idée de ce livre m’est venue. Le bonheur c’est… « Trois petits points » parce que le bonheur, c’est tellement de petits riens. Selon notre réceptivité, ou nos états d’esprit, notre situation sociale, fami-liale ou physique, nous pouvons re-connaître tout ce qui rend heureux. Il n’y pas de liste exhaustive, de re-cette miracle lié à des techniques, des méthodes ou à des « secrets ». Alors que certains font l’apologie de « secrets du succès » répondant à des formules et des « stratégies mentales » particulières, d’autres en-core pensent qu’il s’agit d’une ques-tion d’« ondes astrales », de « main divine », ou d’ « énergies positives », alors que pour certains c’est une question d’ « étoile favorable ». Peu importe pourvu que cela pousse en avant pourvu que cela soit une vérité pour vous et que cela vous apporte motivation et inspiration. Je fais par-tie de ces gens qui sont convaincus

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que, même si l’on peut effectivement trouver plusieurs vérités qui mènent au bien-être, il s’agit avant tout d’un état d’esprit, d’une attitude, d’une vi-sion du monde qui vous entoure, sans négliger bien entendu les fac-teurs du hasard qui enrichissent une vie lorsque nous savons accueillir ces inattendus. Il existe autant de che-mins qu’il y a de personnalités et de perceptions ! Peu importe les outils, la méthodologie et le travail exercés, pourvu que cela porte ses fruits ! Le bonheur se construit comme une chaîne : les chaînons mis bout à bout construisent notre perception du bien-être, notre chaîne solide du bonheur. La vie est ainsi faite : elle est la somme de tous ces petits bon-heurs en passant par des grands moments de la vie qui la rend si belle. Ce livre est un recueil des meilleures pensées quotidiennes publiées sur Facebook. Lorsqu’en 2008 j’ai eu l’idée de créer la page « Source d’Optimisme et de Réflexions Posi-tives », j’étais dans la volonté de

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partager avec le lecteur tout ce qui avait contribué à construire mon propre bonheur ou celui de mes proches. Mon désir était de publier des pensées positives, motivantes, couleurs d’espoir et d’optimisme, comme on partage naturellement un sourire dans l’espoir qu’il contamine celui qui le reçoit. Même si on ne vous le rend pas, peu importe, vous continuez à le partager, c’est en vous. J’ai la profonde assurance qu’il en est de même avec l’optimisme et l’enthousiasme. Cette conviction est payante ! Jamais je n’osais espérer toucher autant de gens avec cette humble initiative qui touche, au jour où ce livre est publié, plus de 150.000 internautes sont abonnés à la page, sans compter tous les lec-teurs quotidien du blog « sourcedop-timisme.com » ! Visiblement la for-mule fait mouche et répond à un be-soin criant de pensées motivantes et réconfortantes, de nouvelles, de vi-sions positives, d’articles et histoires enthousiasmantes et valorisantes qui réchauffent l’âme et le cœur, pous-

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sant à la réflexion. Au milieu de toutes ces mauvaises nouvelles, tout reste possible, oui il y a des gens qui se sentent heureux ! Le bonheur est aussi lié à un esprit optimiste. Etre optimiste ce n’est pas être insensible aux événements, aux drames, aux désastres de la vie et du monde, c’est appréhender la vie avec une vision constructive emprunte d’espoir qu’il est possible d’en faire quelque chose de positif, d’en tirer des leçons, de trouver sa voie et donner un sens à son existence, même si la vie semble indiquer un chemin qui n’était pas prévu. Pour eux, peu importe le chemin, ils arri-vent à apprécier le voyage, même s’il est chaotique. Un retour à la simplicité est inévi-table pour trouver plus de sérénité, de paix intérieure. C’est dans cet état d’esprit que j’écris ce livre : des phrases courtes dans un langage simple, traversant allègrement tous les domaines de vie, car existe-t-il

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des domaines plus importants que les autres ? Le bien-être est lui aussi lié à l’équilibre en toutes choses. On ne peut pas se contenter de parler que d’Amour, de famille ou que de travail ou de relaxation : nous avons besoin de tous ces domaines de vie pour se sentir accompli ou pour le moins épanoui. On ne peut pas réellement et honnêtement se sentir épanoui en se noyant dans un seul domaine. Ces excès sont souvent les symptômes d’un autre manque qu’on essaye de refouler par compensation, par pro-curation. Le succès professionnel, par exemple, ne compensera jamais l’échec au foyer. C’est pourquoi, vous trouverez des pensées qui touchent tous les do-maines de la vie que vous pouvez lire comme bon vous semble : dans l’ordre, le désordre, en prenant une page au hasard. Il n’y a pas de chro-nologie, ni d’ordre répondant à une logique. Vous pouvez ouvrir ce livre tous les jours ou une fois de temps

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en temps, peu importe, pourvu que le contenu nourrisse votre en-vie/besoin de vous sentir motivé ou positif. Comme pour la vie, nous ne maîtrisons pas tout, les choses nous « tombent » parfois dessus. Eh bien, il se peut que vous ouvriez un beau jour cet ouvrage au hasard et que vous tombiez sur une page qui, ce jour là, vous apportera une réponse ou un encouragement pour mieux avancer ! Les textes n’ont pas pour but premier de vous apporter des solutions à vos questions, ce n’est pas la prétention de ce livre. Si elles le font, vous au-rez gagné encore plus ! Vous com-prendrez qu’en quelques lignes, un sujet ne peut pas être traité en pro-fondeur, néanmoins, ces petites phrases ont pour objectif de vivifier votre esprit, vous encourager à la ré-flexion, à voir peut-être un souci, un blocage sous un autre angle, à favo-riser la certitude que vous avez en vous des capacités à réagir de façon créative face aux événements de la

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vie. Elles ne forment qu’un point de départ à la réflexion et d’encouragement à aller plus loin ou justement à se lancer. Au travers des pages, vous pourrez trouver des pistes qui vous conduiront vers vos solutions, vos prises de consciences et vos interprétations indispensables à votre changement ou à une amélio-ration de votre bien-être. Au fond, les réponses sont toujours profon-dément ancrées en vous. Parfois on ne le sait pas, mais elles sont là. Il faut peu de choses pour les faire émerger et vous pousser à l’action ou au changement. Des phrases simples et courtes, forment des suggestions ou questions qui peuvent vous con-duire et motiver à (re)trouver ces ré-ponses ou réconfort que vous cher-chez peut-être, voici l’objectif de cet ouvrage. Tel est mon souhait sincère : parta-ger avec vous des choses simples de la vie par des formules tout aussi simples, dans un langage clair, avec une mise en page épurée, simple,

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mais surtout partager tout l’amour que j’ai pour la Vie et les Hommes en ayant conscience que ce qui rend notre vie si passionnante, c’est cette diversité, ces inattendus, ces épreuves, ces petits et grands bon-heurs,… Personne ne naît avec une prédispo-sition à l’échec. Même pas vous. Nous avons tous en nous les gènes du bonheur, à nous de les développer comme on développe un talent que les autres admirent et avec lequel on peut rendre les autres heureux à leur tour ! Je vous souhaite une agréable lecture. Puissiez-vous y puiser inspiration et motivation pour atteindre vos objec-tifs et reconnaître tout ce qui consti-tue votre bonheur. Michel Poulaert.

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Ce qui est possible pour les autres l'est aussi pour vous ! Il ne s'agit pas de savoir si vous aurez les mêmes résul-tats qu'eux, mais de vous de-mander comment ils y sont parvenus. La réussite est un processus, une stratégie de pensées et d'actions. C'est une question de motivation, de vi-sion, de conviction, de con-trôle, de rencontres, de mise en pratique de choses exis-tantes mais aussi nouvelles et surtout… de persévérance.

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A quand remonte votre der-nière prise de risque ? Quand avez-vous pour la dernière fois fait quelque chose pour la première fois ? La routine est l'ennemie de la progres-sion, tant dans la vie privée qu'en entreprise. Ne vous re-posez pas trop sur vos acquis, le monde bouge et ce qui fonc-tionnait il y a quelques années n'est peut être plus d'actuali-té ! Prenez le risque de faire d'autres choses.

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Certains pensent que se perdre dans le service procure satisfaction. Aussi grand que soit votre désir de « donner », assurez-vous que lorsque vous « donnez », vous le fassiez de façon vraiment désintéressée. Il est possible que nous entre-tenions un espoir (parfois in-conscient) de recevoir en re-tour, de combler un besoin d'être reconnu, accepté et aimé. Ne vous trompez pas d'objectif et de motivation, vous vous éviterez bien des déceptions.

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Essayez de faire preuve de gratitude pour tout ce que vous avez, pour ceux qui vous aiment, pour ce que vous vivez, aussi peu cela vous semble-t-il, la reconnaissance vous mettra dans un état positif et vous verrez, beaucoup de choses vous sembleront déjà plus belles et agréables !

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Nous vivons parfois tellement dans notre routine que nous oublions de nous arrêter un instant et nous émerveiller pour de petites choses toutes simples comme par exemple la beauté des arbres en automne, d'un enfant en plein appren-tissage, pour votre conjoint, pour un « bête » couché de so-leil,... n'importe quoi pourvu que vous preniez le temps de vous arrêter un instant et dire « merci » à la vie.

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Si des soucis vous préoccupent, prenez une feuille et dressez une liste de tout ce qui vous « torture ». Le fait de les ré-pertorier, de les visualiser vous aidera à y voir plus clair et à faire un tri. Faites un point sur ce qui est vraiment problématique et vous pourrez en prendre certaines avec plus de distance. Vous deviendrez un peu plus objectif et remar-querez que, dans cette liste, certaines choses sont beau-coup moins importantes. Lâ-chez alors prise, ça sera déjà un peu de paix de gagné !

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Si le premier plan que vous adoptez échoue, imaginez-en un second et différent du précé-dent; si celui-ci ne réussit pas mieux, élaborez-en encore un et ainsi de suite jusqu'à ce que vous trouviez celui qui con-vient. Trop de gens se décou-ragent et vivent cela comme des échecs. Souvenez-vous qu’il n’existe pas qu’une solu-tion aux projets et aux pro-blèmes. Essayez aussi souvent jusqu’à ce que vous réussis-siez !

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Le Bonheur c’est : Ne pas se rebeller obstiné-ment contre les obstacles, les épreuves ou les difficultés, mais de les considérer et les examiner comme de nouvelles expériences à franchir qui vous feront grandir. Toute l’énergie que vous déployez à vous énerver vous empêche de développer de la créativité pour le franchir. Il y a tou-jours un moyen de franchir un obstacle. Cherchez une voie, un détour, une main aimante, un moyen créatif pour affron-ter, ruser ou contourner l’obstacle.

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Vous vous sentez fatigué ? Ce soir, faites le point de vos priorités de la journée, de vos vraies priorités, pour votre bien-être émotionnel et phy-sique, pensez à éteindre la té-lé et votre ordinateur plus tôt : n'y restez pas devant par habitude ou comme si vous étiez accro. Ne déréglez pas votre organisme en le forçant à rester éveillé. Allez plus tôt au lit : votre corps vous le rendra !

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Vous avez l'habitude de faire les choses de manière exces-sive ? Trop de sport, trop de travail, trop de boisson, trop d’activités,... La démesure, un manque d'équilibre, est sou-vent un signe de mal-être que vous essayez de compenser (parfois inconsciemment) par une suractivité. Ne compensez pas un manque en vous pié-geant dans des excès. Etes-vous encore vous-même? Es-sayez de vous modérer et de vous détacher de ce manque.

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Nous savons tous prendre des engagements : avec le patron, son conjoint, des amis, la banque,… Vous vous efforcez toujours à respecter votre pa-role. Qu’en est-il de vos enga-gements envers vous-même ? Engagez-vous à prendre réel-lement soin de vous. Accordez-vous, par exemple, 5 à 10 mi-nutes par jour à pratiquer une activité agréable, vous verrez combien cela vous fera de bien !

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Osez sortir de vos routines et des automatismes qui vous « encroûtent » dans une zone de confort. Décider de faire les choses en pleine conscience aide à apprécier davantage la vie que nous menons. Essayez de briser les routines : chan-gez de place à table, changez vos meubles de place, essayez de nouveaux hobbies, prenez une autre route lorsque vous rentrez du travail,… Vous verrez, avec de choses si simples, votre monde semblera déjà différent.

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Lorsqu’il vous arrive d’accumuler à outrance des objets liés à des souvenirs que vous refusez de lâcher, comme si vous alliez jeter un bout de vous-mêmes, envisagez que vous pouvez vous en débarras-ser. On n’y pense plus, on ne les regarde plus. Jeter est un acte symbolique. C’est ap-prendre aussi à lâcher prise avec son passé, ne pas se foca-liser sur ce qui est révolu, sur ce que nous ne pouvons pas changer. Mais c’est aussi faire de la place pour du re-nouveau et a de nouvelles émotions. Notre grenier est souvent le reflet de nos émo-tions…

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Se sentir heureux c’est : Chercher tout ce qui fait de vous un être unique et spécial : votre rire, votre visage, votre voix, vos émotions, vos atti-tudes, vos talents, votre cœur, votre expérience, votre géné-rosité,... Vous avez tous un rôle à jouer dans ce monde !

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L’optimisme, ça se cultive. Que cela soit inné ou pas, l’optimisme est une compétence qui se cultive avec de l’exercice et de l’entraînement. Faute de quoi, nous le perdons, nous laissons gagner son ad-versaire : le pessimisme et toutes les émotions qui lui sont alliées. Lorsque vous avez tendance à tirer des con-clusions négatives, posez-vous ce genre de questions : Quelle autre signification puis-je donner à cet événement ? Quelles nouvelles opportuni-tés s’offrent à moi ? Que puis-je en tirer de bon ? Quelle le-çon puis-je en tirer ?

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Pour beaucoup de gens, la paix signifie l'absence de guerre. La paix est avant tout un sen-timent intérieur, un état d'es-prit, une attitude. Vous pouvez travailler à votre paix inté-rieure, mais aussi dans votre famille, dans votre entreprise, avec vos voisins,... Lorsque vous êtes en paix envers vous-même, rien ne peut ébranler ce sentiment et il se partage

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Parfois nous pouvons nous sentir mal à l'aise avec nous-mêmes parce que nous avons conscience que certains de nos comportements nous freinent ou nous piègent. Explorer la raison de ce comportement peut être salutaire. Comme pour le ménage à la maison, faire un « ménage intérieur » vous allègera et vous aidera à (re)devenir vrai envers vous-même et les autres. Lâchez prise, l’imperfection fait le charme de ce monde, même du vôtre !

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Construire son Bonheur c’est : Se poser la question et ré-pondre honnêtement : « Qu’est ce qui m’empêche de progresser, de m’épanouir ? » L’une des réponses pourrait être : votre zone de confort où vous ne prenez plus aucun risque. Ces « acquis » dictent votre quotidien parce qu’ils sont « rôdés » et sont devenu des « automatismes ». Cepen-dant, ce qui semble fonction-ner peut devenir, à un moment donné, le pire ennemi de votre développement personnel. A quand remonte votre dernière expérience qui fût une « pre-mière fois » et votre dernière prise de risque ?

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Tous les secrets ne se justi-fient pas par « de bonnes in-tentions de préserver l'autre ». Certains sont la conséquence de choix ou d'événements mal-heureux. Cependant, la pra-tique prouve que ces secrets deviennent de vrais blocages et drames individuels dans les familles les plus respectables. Ils entravent, parfois sur plu-sieurs générations, l'épa-nouissement et l'identité indi-viduelle. Briser les chaines d'un secret peut libérer toute une famille d'un fardeau dont elle n'est pas responsable.

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Ne pas être en conflit avec l'Autre, c'est aussi ne pas être en conflit en soi avec l'autre : c'est pourquoi exprimez ce que vous pensez avec bienveillance au lieu d'accumuler la colère qui se refoule et s'emmagasine et finira par exploser avec re-grets. Il est possible d'y tra-vailler pour trouver le « cur-seur » de vos limites.

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Lorsque la déception hante vos pensées et reste omnipré-sente, considérez-la comme une plaie. A chaque fois que vous gratteriez cette plaie, elle se rouvrira aussitôt ! Laissez le temps à la cicatrisa-tion et quand vous en serez guérie, la cicatrice sera tou-jours présente, mais elle sera refermée et ne s'ouvrira plus. Donnez au temps et au recul leur chance de faire le travail.

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Les déceptions font partie des éléments qui forgent notre caractère. Nous ne maîtrisons pas tout. Et parfois elles sont le fruit de nos propres at-tentes ou exigences. Dans la plupart des cas, il est bon de moins attendre des autres. Ainsi, tout ce que vous rece-vrez seront comme des cadeaux de la vie. Donnez un sens à vos déceptions.

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Il y a des gens qui semblent attirer tous les malheurs du monde. Souvent, vous verrez qu’ils se concentrent sur tout ce qui va mal et finissent par tout disproportionner, jusqu’à penser que tout est contre eux… Et parfois, ils entre-tiennent une image de « victime de la vie », alors qu’ils ne le sont probablement pas plus que d’autres. Quelles que soient les épreuves, il est pos-sible de voir le monde diffé-remment et de donner un sens constructif à ce qui vous ar-rive!

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Se détacher du passé ne veut pas dire l'oublier. Vos souve-nirs, vos expériences, aussi douloureuses soient-elles, font partie de vous, vous ont formés tel que vous êtes. Mais ces souvenirs ne sont plus la réalité d'aujourd'hui. Les choix que vous faites aujour-d'hui, faites-les avec vos be-soins de l'instant présent et futur. Vous ne changerez ja-mais le passé, vivez maintenant et construisez-vous !

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Si vous êtes convaincu que vous n'êtes capable de rien, sachez que personne n'est ca-pable de « rien » ! Une preuve : vous savez lire ces lignes. Cessez de vous comparer à ceux que vous admirez. N’essayez pas de devenir quelqu’un d’autre. Vous aussi vous apportez quelque chose au monde, aussi simple que ce-la vous semble. Votre diffé-rence apporte justement cette merveilleuse diversité. Per-sonne n'est incapable de tout ! Vous avez vous aussi vos capa-cités, vos talents, vos qualités, vos façons de faire,... Recon-naissez-les et acceptez-les !

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Si vous désirez que votre vie change, ou s'améliore, commen-cez par changer les représen-tations que vous vous faites de votre vie. Toutes vos attitudes, vous pouvez les contrôler par la pensée : si vous vous con-centrez sur tout ce qui va mal, vous irez mal. A l'inverse, si vous vous concentrez sur les « possibilités » et nourrissez d'images constructrices, votre état d'esprit changera et, comme par enchantement, les résultats aussi.

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Pas toujours facile d'être pa-rent. Les enfants ont tous leurs personnalités et ont parfois besoin d'approches différentes. Ils ressentent tous le monde avec leurs propres yeux, besoins et sen-sibilités. Ce qui marche avec l'un ne fonctionnera pas for-cément avec l'autre. Tout l'art est d'arriver à combiner dans l'éducation valeurs, principes, cultures et respect de la per-sonnalité existante qui se dé-veloppe, sans les comparer à d'autres membres de la fa-mille... Ne comparez jamais un enfant à un autre, vous dé-truirez sa personnalité nais-sante.

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Construire son bonheur c’est : Chercher à améliorer sa vie, rendre notre existence meil-leure et plus facile, alors que, souvent, nous refusons de changer. Nous préférons qu’ « ils » changent, d’autres fois nous accusons les autres de ce qui nous arrive. Changer votre environnement est une utopie. La seule chose sur la-quelle vous avez vraiment in-fluence, c’est vous-même, vous pouvez changer votre manière de penser. Changez votre prisme, votre regard sur le monde, assumez la responsabi-lité de vos sentiments. Vous verrez que vous vous sentirez mieux !

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Lorsque vous faites un choix, il ne fera pas forcément l’unanimité de votre entourage. Mais s’il est judicieux et indis-pensable pour votre équilibre, que vous avez pesé le « pour » et le « contre », si vous en êtes convaincu : foncez sans vous laisser démonter ! C’est de votre équilibre dont il est question. Et vous verrez que souvent, vous obtiendrez ad-miration en retour !

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Si vous doutez de vous, pensez à toutes vos réussites, aussi simples semblent-elles ! Cela vous mettra dans un état in-terne positif et constructif. Si vous êtes convaincu de ne rien réussir, dites-vous que cela n'existe pas ! Pensez alors aux choses les plus simples : vous savez lire, marcher, parler, penser, bricoler, cuisiner,... Avant de pouvoir faire tout cela, vous avez dû l'apprendre et avec le temps vous y êtes arrivé.

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Les doutes sont souvent des signaux, mais ils peuvent aussi devenir traîtres; ils détrui-sent notre énergie et neutra-lisent nos ambitions et espoirs. Dites-vous constamment : « je dois obtenir ce dont j'ai besoin; c'est mon droit, et je l'aurai. » Il y a une grande force à rete-nir constamment la pensée que l'on est fait pour le succès, pour la santé, pour le bon-heur, personne ne naît avec une prédisposition à l'échec ou au malheur !

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Si vous aviez quelque chose de gentil et valorisant à dire à quelqu’un de votre entourage, même si ce n’est pas un proche, ou quelque chose d'inspirant (et court), que diriez-vous ? Qu'avez-vous de positif à par-tager autour de vous au-jourd’hui ?

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Pourquoi les enfants appren-nent plus vite ? Pourquoi osent-ils plus ? Pourquoi trouvent-ils le bonheur dans si peu de choses ? Pourquoi n'y arrivons-nous plus ou moins facilement ? Parce que, con-trairement aux enfants, nous nous laissons, entres autres, « polluer », « bloquer » ou « effrayer » par des souvenirs ou expériences du passé qui nous ont fait mal. Nous avons alors une tendance naturelle à généraliser. Pourtant, une mauvaise expérience ne risque pas forcément de se repro-duire encore et encore de la même façon. Du coup, nous nous y concentrons beaucoup plus et c’est ce qui nous em-pêche d’envisager les « possi-bilités » et oublions les « pe-tits bonheurs simples ». Osez faire appel à l’enfant en vous qui veut sauter dans la flaque d’eau !

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Il nous arrive de partager de merveilleuses expériences ou nos états d’esprits entre amis grâce à Internet. Cependant, n'oubliez pas que les réseaux sociaux, ce n'est pas la vie. Ce sont des OUTILS qui rappro-chent les gens, qui aident, qui créent des opportunités, mais ils ne doivent pas devenir maîtres de votre vie ! La vraie vie, c’est à l’extérieur du petit écran qu’il se joue !

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Les connaissez-vous ces gens qui sont tellement maladroits qu’ils n’ont de cesse de bles-ser leur entourage ? Seulement voilà, si on parle de « maladresse », on peut se con-vaincre qu’il ne s’agit alors pas de « méchanceté » délibé-rée. Ici encore, leurs bonnes intentions ne sont pas garants de résultat positifs. Vous pou-vez travailler sur VOS percep-tions et vous convaincre qu’ils sont « maladroits ». Cela don-nera une autre dimension à ce que vous considérez être des agressions.

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Même avec tout l’amour du monde, il nous arrive de bles-ser l’autre. Tout n'est pas qu'une question de « bonne in-tention », la « façon » dont nous faisons les choses a toute son importance. Toutes les « bonnes intentions » ne justifient pas toutes nos ac-tions et ne garantissent pas qu’elles soient « justes ». Avez-vous pensé au « libre ar-bitre » de l’autre ? De son con-texte émotionnel ? De son état d’esprit ? De sa réceptivité ? On ne peut imposer notre « vi-sion » d’un événement à la place d’un autre qui la vit dif-féremment que vous. Acceptez que votre chemin ne soit pas systématiquement celui que l’autre doit emprunter.

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Quand vous entendez ou lisez quelque chose qui peut vous inspirer ou motiver, ne pensez pas « facile à dire ». Lorsque vous dites cela, vous acceptez, en quelque sorte, la défaite, comme si c’était impossible pour vous alors que ça l’est pour les autres. Personne n’affirme que ce soit facile. En revanche, soyez convaincus que C'EST POSSIBLE, même si cela demande de gros efforts. OUI, C'EST POSSIBLE ! Essayez encore et encore ! Ne baissez pas les bras. Votre foi, votre patience et la persévérance sont des ingrédients indisso-ciables de la réussite.

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Lorsque vous êtes émotionnel-lement perturbé, vos modes de pensées se synchronisent sur ce que vous ressentez. Vos « réalités » sont déformées et négatives. Sachez alors ne pas toujours vous écouter et prendre du recul. Cela vous aidera à gérer les pensées né-gatives pour mieux affronter ce qui vous accable. Ne vous obstinez pas à penser dans un seul mauvais sens ! Il y a tou-jours plusieurs issues !

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Et si le week-end, vous en pro-fitiez pour que vous ou ceux que vous aimez soient votre priorité ? Que vous preniez le temps de dire « je t'aime » ou « pardon » ou « je te par-donne » à quelqu'un que vous n'avez pas vu/entendu depuis longtemps ? Que vous preniez le temps aussi de vous aimer vous même et vous faire plai-sir !

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Lorsque vous vous fixez un ob-jectif, ne soyez pas trop strict envers vous même tant sur le temps que sur vos actions. Etre trop strict risque de vous décourager, vous déprimer ou vous mettre en colère face au manque de progrès. Faites preuve de souplesse. Vous êtes sur la bonne route, ne vous sentez pas obligé de filer à 200km/h, profitez du voyage !

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Vous dire que vous ne pouvez pas supporter quelque chose produit deux effets : vous vous focalisez sur le malaise vécu et il va l'amplifier. En-suite, vous sous-estimez votre faculté à faire face au malaise. Trop souvent qualifier les choses d' « insupportables » les rend encore plus intimi-dantes qu'elles ne le sont en réalité. Remettre tout à sa juste place vous débloquera !

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Ne perdez pas de temps à vous désoler de ne pas avoir fait quelque chose ou d'avoir fait quelque chose de travers. Consacrez cette énergie à ti-rer une leçon qui vous aidera à mieux appréhender le pré-sent et l'avenir. Ici encore, il est important de réaliser que vous lamenter ne changera plus rien au passé. Concen-trez-vous alors sur ce que vous allez faire pour écrire votre histoire encore à venir !

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C'est prouvé : l'état émotion-nel dans lequel vous vous ré-veillez influence souvent toute votre journée et vos perceptions ! Même si la nuit a été rude, essayez de vous ré-veiller ou vous lever avec de bonnes dispositions positives, avec de la gratitude pour les nouvelles opportunités et dé-fis qui vont se présenter à vous, une nouvelle chance pour vivre votre vie en lui donnant tout son sens le plus sublime !

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En plus de notre système so-cial qui se concentre sur tout ce qui ne va pas, le cerveau possède un « système du pessi-misme » qui lui fait concentrer son attention aussi sur ce qui ne va pas. Les plus heureux sont ceux qui parviennent à mobiliser leurs ressources à donner un sens positif à la vie. Nous pouvons nous entraîner à être optimistes ! Ça aussi, c'est prouvé !

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La colère est parfois néces-saire à la survie. Mais si elle nous détruit (et les autres) ? Ne faudrait-il alors pas éva-luer le sens réel de ces co-lères, peut-être mal maîtri-sées ? Elle mène à des compor-tements désordonnés et nous pouvons devenir destructeurs. Reconnaissez votre colère et sachez qu'il n'est pas toujours nécessaire d'extérioriser nos pensées. Nous pouvons décider de communiquer différemment.

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Noyés dans toutes nos actions, nos pensées, à courir après le temps, nous oublions souvent l'essentiel. Essayez de vous débarrasser de ce qui vous en-combre, cessez d'entasser, d'empiler, de multiplier en cherchant à posséder toujours plus. Qu'est ce qui compte ré-ellement pour vous ? Epurez votre intérieur et cultivez la simplicité !

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Notre culture nous a éduqué à ne pas dévoiler nos sentiments. Cette croyance nous pousse à ne pas nous montrer tels que nous sommes réellement, nous devons émettre une image qui n'est pas la nôtre. Le problème, c'est qu'en trompant notre monde, nous nous trompons nous-mêmes. Nous ne savons plus qui nous sommes et ce que nous voulons. Osez être qui vous êtes ! Nous avons tous nos faiblesses !

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Se détacher du passé ne veut pas dire l'oublier. Vos souve-nirs font partie de vous même, mais ne sont plus la réalité de l'instant présent. C'est dans le présent que vous pouvez faire des choix, pas dans le passé. Votre passé vous échappe complètement, plus rien ne le changera. Dépensez votre énergie à construire vos nouveaux chapitres de vie !

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La meilleure façon de vous dé-tacher de quelque chose, c'est de le faire avec amour. Abste-nez-vous de haïr ce dont vous essayez de vous débarrasser. Reconnaissez que ce qui vous a façonné, c'est tout ce que vous avez vécu. Ce que vous détes-tez a été, peut-être, dans le passé, de bons outils et servi-teurs dans des situations pré-cises. A force de détester quelque chose, elle risque de vous coller à la peau ! Faites-vous en votre allié !

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Le courage ne se définit pas comme une absence de peur. C'est quand on continue à agir en dépit de sa peur. Le héros a peur, mais il agit quand même. Paradoxe : plus nous agissons en dépit de la peur, plus la peur diminue. Et plus nous laissons la peur nous paraly-ser, plus elle a d'emprise sur nous.

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Apprenez à vous aimer vous-même. On peut « tomber amou-reux » de soi un peu de la même façon que l'on tombe amoureux de quelqu'un : on commence par se remarquer, on voit les petites choses que l'on fait, ce qu'on dit, comment on le dit, toutes les petites choses que l'on aime… Vous apprendrez à vous aimer, à vous respecter et vous valoriser. Soyez géné-reux envers vous-même et ai-mez-vous, vous le valez !

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Construire son bonheur c’est : Etre plus réceptif au langage de votre corps. Ecoutez-vous et apprenez à décrypter les messages de votre corps. Con-trairement à l'esprit, celui-ci ne nous ment pas. Beaucoup de maux physiques, douleurs et fatigues ont une signification particulière. Apprenez à écou-ter ces signaux d'alarme, ils vous disent quelque chose pour votre survie !

69

Si vous voulez faire quelque chose depuis longtemps, don-nez-vous le temps de le faire ! Ne vous dites pas : « je suis trop vieux » ou « c'est trop tard » ! Il n'est jamais trop tard ou on n’est jamais assez jeune pour faire ou découvrir ce qu'on a toujours voulu faire ! Les limites du possible, c'est vous qui vous les fixez ! Sortez de ces limites contrai-gnantes ! Ce qui font que les enfants apprennent plus vite, c’est aussi parce qu’ils y croient et ont moins de bar-rières. Osez vous épanouir !

70

Ne remettez pas au lendemain : prenez le temps de faire ce que vous avez à faire, quitte à faire une liste des priorités et d'accomplir du mieux possible ce qui vous incombe du quoti-dien. Mais faites-le ! Cela vous donnera confiance en vous parce que vous serez satisfait d'avoir mené à terme une mis-sion et de laisser place à de nouvelles choses.

71

Imaginez : si aujourd’hui vous aviez une baguette magique, un pouvoir extraordinaire, que souhaiteriez-vous ? Une fois que vous avez émis votre sou-hait, qu’avez-vous en vous, quelles ressources avez-vous pour pouvoir réaliser ce sou-hait ? Que pouvez-vous faire, que vous manque-t-il pour y arriver ? Vous avez probable-ment tout en vous, ayez plus confiance en vous et surtout : donnez-vous les moyens d’y arriver !

72

Les grandes épreuves que nous traversons modifient souvent radicalement notre manière de percevoir la vie. Parfois, cela cause une sorte de « grand ré-veil » d'une certaine routine ou nous sort de notre « zone de confort ». Aussi doulou-reux ou nombreux soient-ils, les coups durs sont aussi une occasion de donner un (nou-veau) sens à notre vie.

73

Devenez votre propre meilleur ami. Cela vous permet de ré-pondre avec justesse et objec-tivité à ce que vous vivez. En effet, si votre propre image que vous avez de vous-même est « tronquée », il est aussi diffi-cile de voir le monde tel qu'il est parce que vous recevez l'image en retour que vous en-voyez de vous-même. Les inter-prétations confirment alors ce que vous ressentez... Aimez-vous et acceptez-vous !

74

« Ce que nous aurions dû faire », « ce que nous avons à faire »... Stop ! Partagés entre le passé et le futur nous ne pensons que très rarement au moment présent et passons à coté des choses essentielles d'aujourd'hui ! Parfois on se concentre en avant ou en ar-rière et on en oublie de profi-ter de ce que nous vivons en ce moment.... Cessez de vous pré-occuper de choses qui ne changeront plus ou qui n'exis-tent pas encore.

75

Le pardon n'est pas toujours une chose facile à donner, certes. Cependant, il est un ingrédient indispensable du bonheur. En apprenant à par-donner, vous pourrez conti-nuer à avancer, car la rancune est comme une chaîne qui vous lie au passé qui ne changera plus jamais... Pardonner, c’est se détacher de celui qui vous a offensé, mais c'est avant tout se libérer soi-même !

76

La gratitude est une émotion positive. Les personnes expri-mant régulièrement leur gra-titude se sentent plus heu-reuses, on moins de douleurs, sont plus optimistes, ont moins de migraines, sont moins dé-pressives,... La gratitude aug-mente la confiance en l'autre et le sentiment de reconnais-sance est contagieux. Remer-ciez plus souvent !

77

L'optimisme, même s'il est inné, s'entretient, au même titre que nous entretenons nos blo-cages, nos peurs, nos frustra-tions, nos haines... tout est une question de concentration et de vision. Si vous voulez élever votre vie, vous devrez vous exercer à accorder plus d'importance à ce qui édifie et construit. Ce n'est pas impos-sible. Comme pour tout : c'est une question d'exercice et de répétition.

78

S'inquiéter pour son avenir est une tendance naturelle. En revanche, les inquiets chro-niques ont un besoin de tout contrôler. Passer trop de temps à s'inquiéter sape le mo-ral, réduit votre capacité à ré-agir au stress, affaiblit le système cardio-vasculaire et perturbe les émotions. Reca-drez vos inquiétudes et appre-nez à accepter l'incertitude. Autorisez-vous à vivre aussi dans l'instant présent et dé-tendez-vous.

79

On sait tous critiquer, râler, se plaindre, dire ce qui ne va pas, ce qui nous manque,... Et il y a des choses qu'on ne fait pas assez souvent : rire, être re-connaissant, féliciter, dire qu'on aime, reconnaître nos qualités,... Lorsque vous arri-vez à adopter cette attitude et vous l'approprier, le monde autour de vous semble, comme par magie, tout-à-fait différent et comme par enchantement soudain plus vivable.

80

On oublie trop souvent que prendre la vie avec humour est un réel remontant et remède ! L’humour peut instantanément changer votre état interne. Il apaise les tensions, calme les esprits, entraîne de nouvelles dispositions de l’esprit, favo-rise la compréhension et ouvre bien plus de portes que la co-lère !

81

Lorsque nous entretenons de la rancune, aussi douloureuse que soit notre blessure ou notre déception, nous laissons demeurer en nous une semence qui grandira pour devenir un arbre qui fera de l’ombre à votre paix intérieure. La ran-cune favorise les dépressions, le stress et d’autres troubles. Cette émotion est toxique et ne dépend que de ce que vous VOULEZ en faire.

82

Les choses sur lesquelles vous vous concentrez influen-cent toujours vos perceptions, vos interprétations, votre vie ou ce qui vous arrive. Les pen-sées qui occupent votre esprit formeront toujours la base de ce que vous allez vivre. Si elles sont tournées vers un passé que l'on ne peut changer, vous n'avancerez pas. Si vos pensées sont positives et cons-tructives, votre vie se calque-ra dessus.

83

Fatigué par la routine ? Trou-vez-vous de nouvelles activi-tés ou changez votre vision des choses, changez votre angle de vue. Vous pourriez par exemple aussi commencer par changer de place lorsque vous êtes à table en famille. Vous verrez, rien que de chan-ger de place, même si cela vous paraîtra un moment déstabili-sant, votre angle de vision changera. Cela peut sembler simple, testez, vous verrez.

84

Et si vous commenciez la se-maine avec l'envie sincère d'en faire une réussite ? Tout com-mence par sa propre attitude ! Changez votre vision, votre attitude et vous verrez que, comme par enchantement, tout vous semblera différent !

85

Notre personnalité a plu-sieurs facettes, et certaines peuvent ne pas nous plaire. Cependant, comme pour une pièce de monnaie, il y a le pile et le face. Les deux cotés sont indissociables et en font sa spécificité. Il est probable que si vous n'aviez pas votre « pile », que votre « face » ne serait pas ce qu'il est aujour-d'hui... Acceptez vos imperfec-tions !

86

Les pensées sont une activité de l’esprit. Vos valeurs et croyances enracinées au plus profond de votre esprit les guident. Au cours de votre vie, votre système d'idées s’est dé-veloppé et influence vos pen-sées et vos perceptions. Il est possible de changer vos idées inadéquates qui émettent des pensées négatives et maîtri-sent finalement la vision que vous vous faites de votre vie.

87

Lorsque vous vous exprimez et que vous voyez que vous n'êtes pas compris, ne vous bornez pas à répéter sans cesse la même chose. Votre interlocu-teur a probablement besoin que vous utilisiez d'autres mots, d'autres méthodes. Si on ne vous comprend pas, comme avec les enfants, essayez de vous exprimer avec d'autres mots. Cela demande de la créa-tivité linguistique, mais ça paie !

88

Ce que vous croyez influe sur les résultats que vous obte-nez. Des croyances positives vous amèneront directement vers la réussite. Elles vous mettent dans un état interne favorable. En revanche, des croyances limitantes sabotent souvent votre vie. Nous pou-vons tous choisir nos croyances ou les changer. Si vous vous croyez incapable de quelque chose vous le serez inévitablement.

89

Avez-vous remarqué qu'un sourire change toute une atti-tude ? Qu’il est contagieux et que cela vous met dans un état interne favorable et optimiste ? Avez-vous essayé de relativi-ser plus souvent et de vous autoriser à sourire plus sou-vent ? Quitte à le forcer, sou-riez, vous verrez, toute votre physionomie changera rien que par ce petit sourire si simple !

90

Parfois nous terminons la journée avec le sentiment d'avoir couru toute la journée et finalement se rendre compte qu'on n'a pas fait grand chose. C'est alors que vous vous sentez frustré et fatigué. Mais que s'est-il passé ? Es-sayez de prioriser et de noter les choses qui ont une vraie priorité et faites-les dans l'ordre.

91

Etre soi-même, c'est souvent une question de confiance en soi, sans peur du regard des autres. Ne vous découragez pas, le processus de confiance en soi prend du temps. Il com-mence par le désir d'être vrai envers les autres, en commen-çant par l’être envers soi-même. N’ayez pas honte de qui vous êtes et ne doutez plus de vous ! Vous aussi, vous avez de la valeur, des talents, des qualités que d’autres admirent sans vous le dire. Personne n'a aucune qualité ! Pensez que le monde est merveilleux grâce à la diversité et vous en faites partie.

92

Nos peurs et nos blocages sont le plus souvent le résul-tat d'une somme de croyances négatives, souvent non justi-fiées. Que ce soit par votre éducation, votre histoire de vie, votre entourage, ces croyances vous tirent vers le bas et plombent votre énergie positive, vous paralyse. Imagi-nez un instant : que décide-riez-vous si ces peurs n'exis-taient pas ?

93

Que signifie pour vous le con-cept : « retour aux essentiels », qu'est ce que cela représente-rait pour vous ? Que sont pour vous les choses les plus es-sentielles, à savoir que, sou-vent, ce sont les choses les plus simples.

94

Vous remettez toujours au lendemain ? Arrivez-vous tou-jours en retard ? Vous souf-frez de procrastination. Au delà d'une discipline et orga-nisation de la priorité, peut-être souffrez-vous de manque de confiance en vous. Il arrive que ce problème est le reflet de ce mal être. Forcez-vous à arriver à l'heure et vous ver-rez que cela vous donnera confiance en vous !

95

Nous dépensons souvent énormément d’énergie à acqué-rir de quoi se procurer des signes extérieurs de réussite. Et si nous dépensions autant d’énergies pour acquérir des richesses intérieures ? Es-sayer de trouver la paix et donner un sens à sa vie de-mande beaucoup d’énergie, et pourtant…

96

Et si vous étiez convaincu que votre sort et destin sont entre vos mains ? A quoi res-sembleraient vos prises de dé-cision ? Bien entendu, nous ne maîtrisons pas tout. Le facteur « chance » existe, mais il n’est pas celui qui fait tout bascu-ler. Que feriez-vous si vous pouviez provoquer ce facteur « chance » pour mieux avancer ? La plupart des choses qui nous arrivent sont le résultat de nos croyances, prises de déci-sions, persévérance et actions !

97

Lorsqu’une épreuve vous ac-cable, ne vous posez pas les mauvaises questions du type : « pourquoi moi ? ». Cela ne vous aidera pas à avancer, car vous ne trouverez pas de réponse. Posez-vous alors des ques-tions du genre : « a quoi cela peut-il me servir ? », « comment cela peut me faire grandir ? », « comment je vais en faire mon avantage ? ». Donner un sens à l’épreuve vous apaisera.

98

Et si vous étiez convaincu de réussir ou d'arriver à trouver une solution... A quoi ressem-bleraient alors vos prises de décisions ? Que feriez-vous si vous étiez dans cet état d'es-prit ? La plupart des réussites sont le fruit d'un état d'esprit et de foi où l'on est convaincu que « c'est possible ». Que fe-riez-vous si vous étiez sûr d'y arriver ?

99

Cessez de vous dissimuler derrière des apparences ou une personnalité, par crainte des critiques, des jugements, du regard des autres ou pour se sentir accepté. Vous vous faites du tort car vous n'êtes pas vous-même et vous ne re-flétez qu'une image qui ne vous ressemble pas. Ne cher-chez pas à vous prouver, cher-chez à exprimer votre indivi-dualité. On peut vous aimer pour ce que vous êtes vrai-ment !

100

Prenez le temps de faire ce que vous avez à faire quoti-diennement et allez jusqu‘au bout, finissez cette tâche. C'est une excellente façon de prendre confiance en soi, en étant satisfait d'avoir mené à terme une mission et de laisser place à quelque chose de nou-veau ! Ce qu'on veut faire, c'est en le faisant qu'on le dé-couvre !

101

Evitez de vous embarquer dans trop de projets à la fois. Même s'ils vous procurent une im-mense satisfaction, vous n'en tirerez aucun profit à long terme lorsque votre corps vous lâchera faute de repos. N'oubliez pas, aussi nom-breuses que soient vos activi-tés, que c'est vous qui êtes au centre de votre vie. Ne vous trompez pas d'objectif !

102

Pour nous épanouir, nous avons tous besoin de nous sen-tir désiré et apprécié. Rien n'est plus pénible que la soli-tude, même si certains le font pour « se protéger » en se fer-mant à toutes les expériences enrichissantes de la vie. Si vous vous trouvez dans cette situation, réagissez, il en va de votre santé physique et mentale ! OSEZ SORTIR, quitte à vous mettre en « danger » !

103

Vous n'arrivez pas à trouver des réussites dans votre vie ? N’oubliez pas de vous simpli-fier la vie, nous avons tous nos réussites ! La preuve : vous savez marcher, parler, écrire, conduire,… ! Vous avez triomphé de tous ces appren-tissages. Si vous n'arrivez pas à en trouver pour vous moti-ver, inspirez-vous des réus-sites des autres en vous disant que c'est possible et dévelop-pez votre propre créativité pour y arriver !

104

Lorsque vous vous fixez des objectifs, ils doivent être le plus précis possible et expri-més clairement. Si vous restez dans le vague et la confusion, ils ne peuvent être atteints et laissent supposer que vous n'êtes pas motivé ou que ces objectifs ne sont pas vraiment une priorité. Ne vous fixez pas d'objectifs juste pour faire plaisir à d'autres. Ils doivent vous appartenir !

105

Avez-vous envisagé que nous sommes responsables de ce que nous ressentons ? Ainsi, lors-que des gens nous font du mal, dans la plupart des cas (le plus souvent, ne veut pas dire toujours !), votre interlocu-teur n'avait peut-être aucune intention de vous blesser. C’est la perception que vous vous faites de la remarque qui vous blesse. Souvent, nous in-terprétons ce qu'on nous dit.

106

L'imagination, les représenta-tions que nous nous faisons du danger sont à l'origine de bien des craintes. A l'inverse, elles peuvent aussi guérir de la peur. Ce que vous vous « re-présentez » (ou imaginez) peut se réaliser si vous vous lais-sez porter par la foi. Imaginez que vous êtes libéré de l'an-xiété et, rien qu'en l'imaginant, vous verrez, vous le serez ! La vision que vous avez influen-cera vos ressentis et interpré-tations !

107

Lorsque vous vous dites que votre vie est difficile, sur quels critères basez-vous cette conviction ? Comparez-vous votre vie avec celle des autres qui vous parait plus simple ? Nous vivons tous des épreuves et nous les surmon-tons de façons très diffé-rentes. Ce qui pour vous peut être une épreuve ne l'est pas forcément pour un autre, même s'il vit la même expérience. Nos perceptions interprètent une expérience !

108

A la minute où vous vous sur-prenez à avoir une pensée né-gative, rejetez-la instantané-ment. Ne vous attardez pas à considérer votre erreur, à vous y concentrer. Vos pen-sées influencent vos percep-tions d’un événement. Cessez immédiatement d'y penser et occupez votre esprit avec une pensée constructive; vous se-rez surpris de constater que vous pourrez prendre du re-cul et le vivre différemment.

109

La sensualité et la sexualité passent par la peau. Une sexualité épanouie est un véri-table facteur de bien-être. Mettez les caresses au centre de vos moments de tendresses. Une main sur une joue, ou sur le dos pourrait être un bon début... Attachez plus d'impor-tance à ces moments ten-dresses et câlins, ou blottis l'un contre l'autre juste comme ça, sans rien faire.

110

Avez-vous pensé à dire plus souvent « merci » ? Merci à la vie, merci à ceux qui vous en-tourent, merci à votre famille, merci à votre partenaire,... et en parallèle dire « pardon » plus souvent ou encore « je t'aime » ? Vous allez voir que votre perception et votre vi-sion change simultanément avec un esprit reconnaissant et aimant !

111

Et si vous étiez convaincu qu'il n'existe aucun obstacle qui ne puisse être surmonté ? Vous pouvez le contourner, l'en-jamber, le maîtriser, le tra-verser, et si, malgré toutes les tentatives vous n'y arrivez pas, restez convaincu qu'il y a une issue ! Ne vous limitez pas à la pensée que c'est impos-sible ou « facile à dire » ! Comment agiriez-vous si vous étiez convaincu qu'il y a tou-jours une solution ?

112

Vous êtes triste ? Quelle que soit la raison de votre chagrin, essayez en priorité d'échapper au pessimisme dans lequel vous baignez. Cela exige bien entendu des efforts, ou de se faire « violence » d'aller au delà de votre « naturel ». Re-prenez le cours normal de votre existence. Continuez à voir vos amis, faites-vous-en d'autres, faites un sport, con-sacrez-vous à des activités : vi-vez !

113

Les événements s’acharnent contre vous ? Ne cultivez pas le « syndrome de la victimisa-tion ». Si vous remettez systé-matiquement l’autre ou les événements en cause, vous êtes probablement convaincu que votre entourage est respon-sable de votre état d’esprit. Acceptez que vous soyez maître de vos perceptions ! Il vous ap-partient de changer cette vi-sion. Quel prix êtes-vous prêt à payer pour prendre votre vie en main vous-même ?

114

Pour mieux vivre un présent sans que les ombres du passé ne vous enchaînent, prenez conscience des liens qui vous blessent et tentez de vous li-bérer de ces chaînes, n’entretenez pas ce passé qui ne changera plus jamais ! Osez créer dans le présent, fort de vos expériences, développez de nouvelles énergies créatrices pour votre bien !

115

Parfois nous entretenons de la violence envers une per-sonne. Essayez de vous cen-trer sur la personne et moins sur ses actes, dissociez-les. Essayez de mettre des mots sur ce qui se passe. Si vous l’avez fait, essayez encore, mais dif-féremment. La plupart des co-lères sont le fruit de « mal-entendus ». Vous pourriez dé-couvrir que la personne en face de vous ne vous voulait pas de mal et qu’elle est juste « mal-adroite ».

116

Vous avez souvent peur ? Peur de tout, d’échouer, de la réac-tion des autres, de l’avenir,… Avoir peur est humain, ce n’est pas synonyme de faiblesse ou d’impuissance, c’est un senti-ment. La peur est un signal, une mise en garde, néanmoins elle ne devrait pas vous blo-quer ni freiner votre épa-nouissement. Si c’est le cas, analysez si cette peur est ré-ellement justifiée.

117

Vous voulez améliorer vos re-lations avec les autres ? Vous pourriez commencer par amé-liorer la relation que vous avez envers vous-même en vous parlant gentiment, en vous montrant bienveillant envers vos erreurs, en insistant sur ce que vous faites déjà de bien et en acceptant que vous aussi vous avez des qualités, des ta-lents et des réussites !

118

L'estime de soi est une forme d'amour de soi et c'est impor-tant ! Parmi toutes les choses que nous pouvons maîtriser, c'est le sentiment et l'image que vous avez de vous-même. Ce sentiment, s'il est négatif, vous pouvez le changer ! Il y a dans chacun toujours quelque chose d' « aimable ». Personne n'est incapable de rien, même pas vous ! S'aimer apporte une paix à l'âme.

119

De récentes études ont démon-trées qu'il existe 3 détermi-nants du bonheur : la géné-tique à hauteur de 50% et les conditions de vie pour seule-ment 10% !!! La bonne nou-velle : vous avez votre bon-heur en votre pouvoir à hau-teur de 40% ! Vous pouvez avoir de l'influence sur votre perception du bonheur et y travailler avec cet espoir que c'est possible ! Créez votre bonheur !

120

Envisagez un moment que vous aussi, vous avez droit au bon-heur et à la paix de l'âme ! Soyez convaincu que personne ne naît pour échouer et finir déplorablement seul ou dé-couragé de la vie. Cherchez et entourez-vous de gens et de pensées positifs qui vous tire-ront vers le haut ! Inspirez-vous des gens qui mordent dans la vie à pleines dents ! Le bonheur est accessible à tous !

121

La gratitude est une émotion positive ! Les personnes expri-mant régulièrement leur gra-titude se sentent plus heu-reuses, mais, de surcroît, elles ont moins de douleurs diverses, de migraines, sont moins dépressives et moins an-xieuses ! Soyez reconnaissant pour ce que vous êtes, ce que vous avez et pour tout ce qui vous touche !

122

Parfois la vie nous mène à faire des concessions. Elles sont indispensables pour l’équilibre d’une relation, qu’elle soit amoureuse, pro-fessionnelle ou sociale. Cela fait aussi preuve d’ouverture et d’humilité. Néanmoins, faire trop de con-cessions peut vous nuire car elles se transforment en sa-crifices où vous mettez vos be-soins, vos sentiments ou vos émotions complètement de coté pour satisfaire « l’autre ». Tôt ou tard, cela deviendra lourd à porter : vous ne vous respec-terez plus. Faire une conces-sion, c’est un acte gagnant-gagnant : ne vous oubliez pas !

123

Notre physiologie influence nos émotions et vice versa. En général, les pensées tristes nous recroquevillent, les pensées joyeuses nous ouvrent et nous dynamisent. Le plus in-téressant, c'est qu'il est très difficile de maintenir des pen-sées tristes en dansant ou en chantant. Que pouvons-nous apprendre ? Dynamisez-vous pour changer vos humeurs. Apprenez à changer vos émo-tions par divers exercices dy-namisants.

124

Voulez-vous vous lever du « bon pied » ? Posez-vous tous les matins des questions du genre: « Quelles sont les per-sonnes qui m'aiment et que j'aime ? », « Que vais-je faire pour que ma journée soit bonne ? », « Comment m'inté-resser aux gens que je vais rencontrer ? », « Qu'est ce qui m'attend d'agréable aujour-d'hui ? », « A qui ma présence ou mon appel fera plaisir ? », « Qu'est ce que j'aimerais man-ger aujourd'hui ? »,...

125

Comment se fait-il que cer-tains problèmes persistent ? Pour certaines personnes, des situations sont devenues comme « une seconde nature », l'immobilisme coûte moins d’énergie que le changement. Bonne nouvelle, il est pos-sible de changer sans conti-nuellement remuer le passé. En ce centrant sur les « rouages » et « ressentis », on peut faire un travail mental afin de donner un autre sens aux problèmes !

126

Les problèmes ne sont pas d’étranges phénomènes incom-préhensibles que le « sort », les « étoiles » ou une « volon-té divine » nous réserve. Cer-taines personnes ont l’art des les entretenir alors que d’autres arrivent à rebondir. Les maintenir fait appel à cer-taines conditions. Agir sur l’une d’elles, c’est modifier ses perceptions. On peut les aborder différemment en les considérants comme, par exemple, des leçons, une expé-rience, une énigme à résoudre, ou tout simplement des consé-quences de nos décisions, ce sont souvent des résultats suite à nos choix. Nous sommes, en majeure partie, respon-sables de notre sort. Nous sommes nous-mêmes les écri-vains de notre Grand Livre.

127

Donner un sens à votre vie ne veut pas dire « tout plaquer » et envoyer promener tout ce qui fait votre vie d'aujourd'hui ou recommencer une autre vie. Même si parfois la vie semble nous y forcer, soyez d'abord convaincu que les réponses ne sont pas forcément « ail-leurs ». Les réponses sont souvent « ici », en vous. Cepen-dant, cela vous conduira vers d'autres horizons, d'autres mondes.

128

Nous savons souvent mieux ce que nous ne voulons pas plu-tôt que ce que nous voulons. Mais concentrer son énergie sur ce que l'on veut éviter ne nous dirige pas vers ce que l'on désire ! Le cerveau fonc-tionne en « images » et ne con-naît pas la négation. Si vous vous dites « je ne veux plus me disputer », le cerveau n'enre-gistre que le mot « disputer » et influencera les résultats. Pensez alors à ce que vous voulez !

129

Combien de fois ne dit-on pas « oui, mais… », qui revient à dire finalement « non » ou cela vous sert de bouclier pour justifier votre conviction qu’une situation ne peut pas changer ? Essayez de trans-former le « oui, mais » en « oui et ». Par exemple : « Je dois faire des efforts, oui mais j’ai tellement essayé » devient « je dois faire faire des efforts. Oui et je vais persister jusqu’à ce que je trouve la bonne mé-thode ! »

130

La haine ronge et détruit à pe-tit feu si on n'y prend garde ! Essayez de résoudre la colère qui vous anime, de vous déta-cher de cette haine qui pour-rait finir par vous maîtriser. Sachez qu'elle ne forme au-cune solution. Ne cherchez pas à justifier votre haine. Cessez de vous focaliser sur sa cause et de la nourrir. Uti-lisez cette énergie pour vous recentrer sur vous-même et relativisez.

131

Imaginez : si aujourd’hui était votre dernier jour et qu'il vous était permis de donner un seul coup de téléphone, qui appelleriez-vous et que lui di-riez-vous ? Qu'attendez-vous pour le faire ?

132

Les mots « sentiment » et « ac-tion » sont souvent confondus. Nous n'avons pas toujours la maîtrise sur nos « sentiments » et « émotions » ni sur les évé-nements extérieurs indépen-dants de notre volonté. Bien que notre comportement soit l'expression consciente de nos sentiments, nous seuls sommes, au final, maître et respon-sable de nos décisions. Nous sommes toujours libres de choisir !

133

Le Bonheur c'est : Lorsque vous êtes couvert de « cicatrices » et de « bles-sures » de la vie, c'est d'es-sayer de leur donner aujour-d'hui un sens positif qui vous aidera à vous (re)construire. Elles vous disent, par exemple, que vous avez surmonté toutes ces épreuves là, que vous avez été fort et qu'elles vous ont rendues plus fort. Vous avez eu, vous aussi, vos petites et grandes victoires ! Ne vous apitoyez pas sur elles, au con-traire : elles sont les sym-boles de votre courage !

134

Vous êtes toujours « trop sé-rieux » ? Votre entourage vous dit de trop l'être ? Sortez de votre « moule » qui vous aliène des autres. Essayez d'adopter de nouveaux comportements, prenez des risques. Essayez de vous amuser, rapprochez-vous de personnes qui ont de l'hu-mour, lâchez-vous, assistez ou regardez des spectacles humo-ristiques et faites des choses inhabituelles. Sortez de votre routine :D

135

Vivez-vous l'amour ? En rece-vez-vous, en donnez-vous ? L'amour est la plus grande force de l'Univers. Lorsque vous en donnez, vous risquez d'en recevoir en retour. L'amour ouvre les cœurs et rend notre perception du monde meilleure et plus posi-tive, enthousiasmante, moti-vante. L'amour donne des ailes, pousse à l'action. Et souvent la maladie est un manque de non-amour de soi.

136

Construire son bonheur c’est : Savoir que la plupart de nos émotions sont le résultat de nos interprétations que nous donnons aux événements et aux situations extérieures indé-pendantes de votre volonté. Vous pouvez changer vos vi-sions et humeurs en modifiant vos attitudes et comporte-ments face à ces événements. Le monde autour de vous ne va pas changer, mais vous pouvez changer le regard que vous lui portez !

137

Et si vous étiez convaincu de réussir ou d'arriver à trouver une solution ? A quoi ressem-bleraient alors vos prises de décisions ? Que feriez-vous si vous étiez dans cet état d'es-prit ? La plupart des réussites sont le fruit d'un état d'esprit et de foi où l'on est convaincu que « c'est possible ». Que fe-riez-vous si vous étiez sûr d'y arriver ?

138

Vous faites des allergies ? Dans beaucoup de cas elles sont l'expression d'hostilité non extériorisée inconsciente. Cela crée une sorte de conflit intérieur, une énergie qui se retourne contre vous et fra-gilise votre système immuni-taire. Vous pouvez considérer l’allergie comme un signe qui demande d'effectuer des chan-gements dans votre vie. Exté-riorisez-les avec conscience !

139

Si vous êtes animé de pensées défaitistes, essayez de vous en débarrasser au plus vite parce que la meilleure façon de les voir se réaliser consiste à les entretenir. Ce qu’il vous faut adopter, c’est une attitude du type « Je ne crois pas à la dé-faite ». Ce que vous pensez de-vient vos croyances.

140

La gentillesse a souvent mau-vaise réputation... Paradoxe: nous sommes tous en quête de gentillesse dans un monde de « brutes », mais dès que vous en faites preuve, on vous trouve niais, hypocrite ou on accuse d'avoir besoin de quelque chose. Etre gentil ne veut pas dire tout accepter ou tout donner. Vous risquez de vous nuire. La gentillesse est thérapeutique pour tous ceux qui la donnent et la reçoivent.

141

Il est parfois difficile de mettre en évidence les dimen-sions positives de la vie. Es-sayez, juste le temps de vous-y concentrer si vous en avez le besoin, de vous passer de télé-vision ou de toutes les sources qui vous entraînent vers le bas (une personne,...). S'il vous est possible de vous en éloigner, juste le temps que... vous ayez besoin pour faire l'inventaire de tout ce qui est positif dans votre vie.

142

Faites-vous une image de toutes vos réussites, aussi simples vous semblent-elles (comme savoir écrire ou con-duire par ex.), notez-les dans un cahier et imprimez tout cela dans votre esprit. Relisez cela de temps en temps et vous ver-rez que cela nourrira votre esprit et fera grandir votre confiance en vous ! Ne pensez jamais à vous comme à un « vaincu » ou « incapable » ! Ce n’est pas parce que ce que vous faites est considéré comme « banal » que cela ne compte pas. Ne doutez alors jamais de la réalité positive, de vos ré-ussites. Personne n'est inca-pable en tout !

143

Vous souffrez d'un chagrin, d'une déception ? Quelle qu'en soit sa nature, essayez de sor-tir du climat de pessimisme dans lequel vous baignez, même si cela exige de vous un énorme effort, et reprenez le cours normal de votre vie. Continuez, forcez-vous s'il le faut, à voir vos amis, faites-vous en d'autres, marchez,... faites un sport, bougez, lisez, riez, sortez et faites des choses constructives !

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Vous ne savez pas dire « non » ? Réfléchissez vraiment pour-quoi. Attendez-vous (peut-être inconsciemment), qu'on vous dise « oui » en retour à vos propres besoins ? Est-ce que votre « non » est alors si in-conditionnel que ça ? Ce n'est pas un hasard que les gens « trop gentils » finissent ai-gris et exploités. Respectez-vous et osez dire « non » ! Le monde ne va pas s'écrouler suite à votre refus.

145

Certaines personnes consa-crent beaucoup d'énergie à es-quiver la souffrance, bien qu'inévitable, elle fait partie de la vie. L’opposition en tout est indispensable. La souf-france est une grande école : elle nous apprend la patience, l'humilité, l'écoute. Elle nous apprend que nous sommes en vie et remet les choses à leur juste place. Nous pouvons ap-prendre à tirer parti des pé-riodes où nous ne souffrons pas.

146

Vous-vous sentez mal au-jourd’hui ? Que pourrait vous dire votre meilleur(e) ami(e) pour vous aider ? L’écouteriez-vous ? Et si votre meilleur(e) ami(e) au-jourd’hui c’était vous ? Faites-vous confiance : écoutez-vous !

147

Se détacher de son passé ne signifie pas l'oublier. Vos sou-venirs et expériences font partie de vous-même, mais ne constituent pas la réalité de ce que vous êtes en ce moment. C'est dans le présent que vous pouvez faire des choix, pas dans le passé. Vous n'êtes pas responsable des choses que vous ne maîtrisez pas, et le passé nous échappe à tous ! Dé-tachez-vous de ce passé et al-lez de l'avant !

148

Parmi toutes les réponses que la psychologie donne sur l'influence que le passé peut avoir sur la personnalité, l'une des réponses les plus satisfaisantes, encoura-geantes et dynamisantes est : l'importance du passé est celle que nous voulons bien lui ac-corder, ou celle que nous avons besoin de lui accorder. Nul passé n'est parfait et nous en avons tous. Attribuez au passé le mérite de vos succès !

149

Souvenez-vous que l'homme parfait n'existe pas. Dévelop-per l'estime de soi signifie de-venir conscient de ses imper-fections et les accepter. Met-tez-vous en paix avec vous-même. Faites de votre mieux en toutes circonstances mais ne vous imposez jamais la perfec-tion comme but. Soyez indul-gent envers vous-même. Nos erreurs nous apprennent beaucoup Sans elles, la vie se-rait bien fade...

150

Certaines personnes aiment les autres dans l'espoir de re-cevoir ce même amour en re-tour. A y réfléchir, cet amour n'est alors pas si incondition-nel qu'il ne paraît... Quand nous attendons de notre pro-chain qu'il nous aime et pour-voie à nos besoins, nous pla-çons sur ses épaules un far-deau lourd à porter. De plus lorsque vous ne recevez pas exactement comme vous donnez, vous resterez déçus et frus-trés.

151

Il nous arrive de culpabiliser pour des choses que nous au-rions dû faire ou ne pas faire, que nous aurions dû dire ou ne pas dire. Mais toute cette énergie négative ne fait que nourrir une conviction : vous n'avez pas d'estime de vous. Cette culpabilisation vous li-mite. Consacrez cette énergie à d’autres pensées construc-tives. Ne gaspillez pas votre énergie à vous détruire inuti-lement.

152

Vous n'êtes pas né avec vos ha-bitudes, comme par exemple celle de vous faire du souci à outrance. Vos automatismes, vous les avez acquis au fil des ans. Et parce que vous avez le pouvoir de changer n'importe quel comportement, vous pou-vez chasser l'anxiété. Vous pouvez décider de briser vos habitudes limitantes. Cela de-mande des efforts mais c'est possible !

153

Souvent, les gens anxieux souffrent d'un sentiment de culpabilité et s'infligent, par-fois à leur insu, des punitions. Certains cherchent un pardon divin ou un pardon d'autrui mais ne se pardonnent pas à eux-mêmes. Offrez vous un pardon que vous offrez aux autres. Vous aussi, vous avez droit à l'erreur ! Pardonnez-vous vous-même comme vous l'accordez aux autres !

154

Faites l'inventaire de toutes les choses dans votre vie pour lesquelles vous pouvez être reconnaissant et dites à voix haute « merci » ! La gratitude engendre des sentiments posi-tifs et de bonheur. N'hésitez jamais à remercier !

155

Une idée simple à mettre en pratique : si vous vous sentez vaincu et prêt à abandonner, prenez le temps de vous arrê-ter et dressez la liste des fac-teurs qui jouent en votre fa-veur. Ignorez alors les autres. Ne vous attachez pas aux forces hostiles et limitantes car elles prendront une pro-portion démesurée et surtout souvent injustifiée !

156

Les mots que nous utilisons exercent un effet direct sur nos pensées. Certes, la pensée crée les mots, transmettent des idées, mais les mots in-fluencent également la pensée et aident à modifier, sinon à créer, les attitudes. Par con-séquent, si vous faites atten-tion à la nature des mots que vous utilisez, ceux-ci engen-dreront spontanément des idées apaisantes.

157

Vous allez au travail à contre cœur ? En connaissez-vous la ou les raisons ? Qu’est ce qui vous pousse à continuer à y aller et à supporter ce qui vous affecte ? Il y a probable-ment encore des points posi-tifs qui peuvent vous encoura-ger ! Allez, courage, soyez heureux de pouvoir travailler, essayez de relativiser !

158

Les chercheurs commencent à comprendre et confirment une vérité fondamentale négligée jusqu'à présent : notre état physique dépend en très grande partie de notre état émotionnel, et notre vie émo-tionnelle est profondément régie par nos pensées et la fa-çon dont nous traitons nos sentiments.

159

Nous sommes attentifs à ce que nous mangeons par soucis d'hygiène. La santé physique est mesurable, mais qu'en est-il de la santé et équilibre spi-rituel ? Faisons-nous autant attention à notre esprit comme nous le faisons pour notre corps ? Vos lectures, les films que vous regardez, la musique que vous écoutez en boucle in-fluencent vos comportements, vos idées, vos perceptions, et peuvent polluer votre esprit. Apprenez à nourrir votre es-prit avec la même attention que vous accordez à votre corps.

160

Quelle que soit la pensée, agréable ou douloureuse, sur laquelle vous vous concen-trez, que ce soit un souvenir de votre passé, quelque chose que vous observez dans votre présent, ou que vous anticipez dans votre avenir, cette pen-sée est active en vous immédia-tement, et elle attire d’autre pensées et idées similaires. Vos pensées influencent vos perceptions !

161

Si vous avez peur de l'avenir, pas ou peu confiance en vous, c'est probablement parce que vous vous concentrez sur tout ce qui vous tire vers le bas. Les choses sur lesquelles vous vous concentrez influen-cent toujours vos perceptions ! Pensez un instant à vos réus-sites, à vos succès aussi petits soient-ils. Vous verrez que ce-la change votre état d'esprit.

162

Consommation, télévision, In-ternet,... Tout nous pousse à croire que nous devons vivre dans le superflu pour être heureux. Posséder toutes les nouvelles technologies, con-sommer pour être dans le coup... Parfois, nous vivons tellement dans le superflu que nous nous auto condam-nons à toujours vivre dans le manque et ne plus voir l'es-sentiel.

163

Si le premier plan que vous adoptez échoue, imaginez-en un second. Si celui-ci ne réussit pas mieux, élaborez-en encore un et ainsi de suite jusqu'à ce que vous trouviez celui qui convient. Trop de gens se dé-couragent et c'est alors l'échec. Une défaite temporaire n'est pas un échec permanent. Recommencez inlassablement. Rien n'est jamais perdu pour celui qui refuse d'abandonner.

164

Lorsque vous sortez (pour travailler, faire des courses,...), prenez-vous soin de quitter ceux que vous aimez avec amour et tendresse et ac-cordez-vous leur le temps né-cessaire de les retrouver ? Un simple « au revoir » et « bon-jour » tendre et aimant peu-vent faire une si grande diffé-rence !

165

Trop de gens vivent une vie inauthentique, définie par les autres, souvent pour être re-connus ou acceptés. Or, l'ac-ceptation de soi est un élément essentiel du bien-être et des émotions positives, qui nous aident aussi, au final, à accep-ter les autres plus facilement. Apprenez à vous accepter et à vivre avec vous-même !

166

Nous portons tous des cica-trices de nos blessures de la vie. Nous pouvons choisir de les considérer comme paraly-santes en s'apitoyant sur les raisons qui les ont causées ou alors décider de les honorer car elles disent aussi que nous avons survécu et que ce-la nous a peut-être rendu plus fort ou plus lucide. Les épreuves, lorsque nous les surmontons, nous font gran-dir !

167

Avez-vous envisagé que vos proches n'ont peut-être pas conscience de vous avoir fait du mal ? Peut-être est-ce juste une maladresse. N’est-il pas possible qu’elle vous ait bles-sé sans le savoir ? Quand vous « décidez » de prendre cela comme une agression, vous êtes probablement la seule personne à en souffrir alors que l'autre n'en sait rien. Ne laissez pas les malentendus et les maladresses vous toucher !

168

Rappelez-vous de ceci : nous ne savons pas exactement de quoi est réellement faite la vie. Nous ne connaissons que la REPRESENTATION que nous nous en faisons. Si nous nous représentons une image néga-tive d'un évènement, cela for-mera notre PERCEPTION néga-tive de ce dernier. Si nous en avons une vision large et posi-tive, ici aussi notre cerveau y répondra, mais favorablement !

169

Les timides sont, la plupart du temps, centrés sur leurs propres ressentis intérieurs, leurs émotions, peut-être des expériences traumatisantes du passé et créent des blocages fondés sur les peurs et des perceptions intérieures qui ne sont plus ou pas toujours le reflet de la réalité d’aujourd’hui. De là naissent les sensations qui parasitent les relations. Ne vous sentez pas jugés injustement ! Osez vous mettre plus en avant !

170

Le week-end, surtout le di-manche est un jour bien diffé-rent des autres. C'est, cultu-rellement, et pour beaucoup, une journée de rituels, de traditions et de symboliques. Le dimanche est souvent répa-rateur face à une lourde se-maine. Profitez-en pour vous rapprocher de vous-même, de vos proches et pour souffler réellement. Reposez-vous le corps et l'âme ! Bon week-end !

171

Si vous aviez un conseil en-courageant à vous donner au-jourd’hui, lequel serait-il ? Qu’attendez-vous pour vous écouter ?

172

Ne vous laissez pas toucher par les choses que vous ne maîtrisez pas (ou plus). Appre-nez à lâcher prise. C'est un peu comme une béquille : on s’en sert le temps qu'un os cassé se régénère. Une fois guéri, il serait insensé de con-tinuer à l’utiliser. Considérez les choses passées comme in-dispensables à l’époque, mais plus utiles aujourd’hui. Avan-cez !

173

Certaines phrases comme « Je n'aurais pas dû », « Je ne fais pas ce qu'il faut » génèrent des émotions négatives et vous bloquent. Reformulez vos pensées et mettez au clair votre véritable désir. Une « mauvaise » conscience est une occasion de mieux vous connaître et mieux avancer ! Faites-en votre avantage. Les regrets seuls ne font rien avancer.

174

« Bien gentil, trop gentil »... La gentillesse jouit d'une image dénaturée. En contre partie, on oublie d'être réel-lement gentil ou bienveillant autour de nous. La gentillesse rebooste le moral, fait du bien, est un antidote au stress et c'est contagieux ! Ne craigniez pas d'être gentil autour de vous et faites-le avec sincéri-té !

175

Lorsque vous conversez pour exprimer vos sentiments, lais-sez place au dialogue pour que cela soit constructif pour vous mais aussi pour l'autre. Pratiquez l'écoute active pour vous assurer que vous êtes compris. Cela peut paraître paradoxal d’écouter pour être compris, mais vous vous assu-rerez qu’on vous comprend. Si ce n’est pas le cas, cela vous permettra de vous exprimer différemment et au final être compris.

176

Les pensées influencent les comportements et émotions. Pour le cerveau, une situation vécue ou évoquée ou remémo-rée, c’est du pareil au même. Fixez votre attention sur ce qui construit, élève, encou-rage, motive et cela changera les comportements et ressen-tis. Pensez à des choses posi-tives, à des projets et des idées positives.

177

Il est possible d'apprendre à discipliner son esprit pour des choses positives et construc-tives ! Nourrissez-le avec des souvenirs positifs, de vos ré-ussites, de vos qualités de ce que vous allez donner, avec des idées positives et des mots apaisants. Si vous persévérez, vous acquerrez de nouveaux automatismes positifs... et vous aurez au final plus de paix in-térieure.

178

Vous souffrez d’une maladie ? Avez-vous remarqué que vous parlez de « votre » maladie, comme si elle vous appartenait, comme si elle est indissociable de ce que vous êtes. Quand bien même vous avez probablement appris à vivre avec elle et qu’elle vous af-fecte, essayez d’en parler comme si elle ne fait pas partie de vous, la maladie, ce n’est pas vous : il y a la maladie et vous. Essayez mentalement de vous-en extraire.

179

Vous auriez voulu exprimer vos douleurs à un être qui est décédé ? Ce que vous auriez voulu dire, vous affecte en-core, mais rien ne peut plus changer. Proposition : écrivez ce que vous avez sur le cœur, comme si vous écriviez une lettre à cette personne et dé-posez la sur sa tombe ou à un endroit qui l’évoque. La sym-bolique de cet acte est puis-sante et vous aidera à avancer et à vous en détacher !

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Les changements s'opèrent par une pratique quotidienne, avec attention, patience, gentil-lesse envers vous-même et avec beaucoup de rigueur. Vous ne changerez pas par magie, par la force de la pensée seule ou en lisant des textes inspirants. Cela ne suffit pas. Au mieux, cela peut vous inspirer, vous motiver. Prendre conscience est une étape incontournable au changement. Acharnez-vous à acquérir de nouveaux sché-mas d'actions. C’est le travail, l’action couplée à la vraie mo-tivation et la persévérance qui vous conduiront au change-ment.

181

A quand remonte votre der-nière « première nouvelle ex-périence » ? Ce qui vivifie l’âme, ce sont les nouvelles expériences. Elles nous aident à sortir de nos routines et nous épanouissent. Allez ! Goûtez quelque chose de nouveau, explorez de nou-veaux endroits, faites-vous de nouveaux amis, participez à la vie associative de votre ré-gion,… osez vivre de nouvelles expériences !

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La « crise », un mot chargé de négativité. « Nous sommes en crise », la crise par-ci, la crise par-là ! Elle fait peur, elle paralyse plus d’un. Saviez-vous qu’en Chine, « crise » s’écrit en association de deux idéogrammes : wei (danger) et ji (opportunité). Quelle source d’inspiration ! N’est-ce pas dans les plus grands mo-ments d’épreuves que de nou-velles opportunités s’offrent à nous et favorisent la créati-vité pour en sortir ? Ouvrez-vous aux nouvelles opportuni-tés ! C’est en temps de crises (personnelles et économiques) que la créativité est au plus haut !

183

La paix de l'âme et le sentiment de bien être dépend beaucoup de la façon dont nous struc-turons nos pensées. Si nous vivons dans des expectatives de malheurs ou de désastres, comment alors se sentir con-fiant ? Et à force d'y penser, nous finirons par les attirer à nous. A l'inverse, si la con-fiance, l'optimisme et la foi fa-çonnent vos pensées, vous trouverez l'énergie qui vous accordera cette paix !

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Construire son bonheur c’est : Avoir conscience que nos pen-sées, les mots que nous utili-sons et nos croyances que nous entretenons sont sou-vent la cause de beaucoup de nos perceptions, de la façon dont nous interprétons un événement. Si elles sont défai-tistes, nous nous autosabo-tons tout seul, il est indispen-sable de s’en débarrasser au plus vite ! Si vous croyez en vous, en vos compétences, vos capacités, eh bien allez encore plus loin ! Ne croyez pas en la défaite. Le succès est avant tout un « exercice » mental, une attitude, un état d’esprit !

185

Si vous souffrez d'un complexe d'infériorité, la source se trouve probablement dans votre enfance. Vous avez vécu un processus de « condition-nement » qui vous a convaincu que vous ne valez rien. Eh bien non : vous avez bel et bien de la valeur ! Par ce même pro-cessus de conditionnement, vous pouvez découvrir que vous avez beaucoup à offrir à ce monde ! Personne ne naît pour échouer, même pas vous !

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Quel que soit votre état, rap-pelez-vous que les tourments ne servent à rien, sinon qu'ils ajoutent de la souffrance à la souffrance. Je cite souvent une phrase très utile du sage indien Shantideva, qui disait en gros : « S'il y a un remède, à quoi bon s'inquiéter, conten-tez-vous de l'appliquer. S'il n'y a pas de remède, à quoi sert l'inquiétude ? Elle ne fait qu'aggraver la douleur ».

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Il nous arrive à tous de s’indigner face à des événe-ments. Parfois, cela peut pro-voquer un sentiment de ré-volte, de dégoût ou d’injustice. Parfois cela peut nous blesser au plus profond de nous parce que cela va à l’encontre de nos valeurs et croyances. Quoi qu’il arrive, ne cédez pas vos valeurs ni vos croyances face aux regards ou intimidations des autres : si vous savez que ce que vous faites est juste, si cela respecte autrui, si cela n’est pas animé par la haine, la vengeance ou la colère, alors faites-le !

188

Le découragement est l’un des plus grands pièges que la vie nous tend : il nous freine, nous bloque, nous persuade que nous devons abandonner. Non ! Ne vous laissez pas vous décourager ! Si vous êtes con-vaincu que ce que vous faites est bon et juste, continuez en dépit des signes extérieurs d’échecs et des critiques. Comme les champions : ils ne cèdent pas au découragement. Essayez encore et encore, es-sayez différemment, s’il le faut, mais n’abandonnez pas ! Il y a un champion qui som-meille en vous !

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Si vous cherchez plus d’enthousiasme ou à vous mettre dans une énergie posi-tive, prenez un carnet et no-tez-y tout ce qui va bien et tout ce que vous réussissez une fois par jour ! Faites-ça chaque jour. Ainsi, vous ver-rez, après relecture, que votre état d'esprit changera progressivement : vous vous rendrez compte qu'au milieu des « échecs » et des « épreuves », vous arrivez à réussir encore beaucoup de choses ! Notez tout, même les plus petites choses qui vous semblent insignifiantes. Ce sont souvent ces petites choses qui font les grands mi-racles !

190

Le subconscient, l’esprit et le système nerveux ne font pas de différence entre situation ré-elle vécue d'une situation ima-ginaire ou imaginée. Le corps réagit à l’identique dans les deux cas en fonction de vos pensées. Prendre conscience de ce fait peut vous aider à gé-nérer des états internes fé-conds et valorisants pour surmonter vos épreuves ou vos coups de blues.

191

Lorsque vous lisez cet ou-vrage ou suivez des conseils et que vous vous dites : « oui, mais ce n’est pas facile » ou « facile à dire » ou d’autres réactions qui y ressemblent, c’est une façon comme un autre (souvent inconsciente), de baisser les bras et d’admettre que vous n’y arri-verez probablement pas. Vous vous mettez alors dans un état d’esprit négatif et, en effet, cela sera bien difficile. Bien entendu les épreuves sont parfois très douloureuses et longues, mais cela ne veut pas dire que vous n’y arriverez pas ou que le tunnel est sans fin ! Il y a toujours des issues, et si ce n’est pas facile, certes, ce n’est pas impossible ! NE VOUS DECOURAGEZ PAS !

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Après des déceptions, des tra-hisons, des mensonges, des maltraitances, des abus, des coups foireux, il peut être compliqué de pardonner. Par-donner, ce n’est pas oublier, certes. Cependant pardonner est avant tout un acte que vous faites pour vous-même. Cela vous libère et brise les liens qui vous attachent au passé. Ne pas pardonner, c’est aussi refuser d’avancer. Par-donner, c’est un processus, comme un deuil, ça prend du temps. Pardonner, c’est avant tout se libérer du passé !

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Nous sommes tous impuissants face à la mort. La perte d'un être cher est toujours l'un des moments les plus doulou-reux d'une vie. Le manque peut se faire sentir une vie durant. Les êtres chers vivent encore dans notre cœur et notre es-prit et bien souvent nous pen-sons aux meilleurs souvenirs. Chaque deuil, indispensable pour continuer, est différent, individuel et demande du temps. Faites vivre dans votre cœur ce qui vous aidera à avancer, vous devez avancer. Que cela soit un levier puissant pour vous aider à aller de l'avant.

194

Les débuts d’années sont les périodes des fameuses résolu-tions. Mais pourquoi atten-dons-nous un début d'année pour prendre ces résolutions ? Pour le symbole du renouveau ? C'est un point de vue, car chaque jour est en soit un re-nouveau : de nouvelles chances, de nouveaux défis, de nouvelles opportunités pour réussir ce qui nous touche à cœur ! Ne prenez pas de réso-lutions par tradition, ni parce qu'intellectuellement vous savez devoir changer quelque chose. Si vous voulez chan-ger/améliorer quelque chose, si cela ne vient pas du fond du cœur, le résultat ne sera pas le même ! Prenez une résolu-tion parce que vous savez qu'elle vous fera avancer !

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Construire son Bonheur c’est : Avoir conscience que l'accep-tation est une force in-croyable : accepter que nous ne maîtrisons pas tout, accep-ter qui nous sommes, accepter qu'on nous aime, accepter les cadeaux de la vie, savoir accep-ter les nouvelles opportuni-tés, accepter le pardon, accep-ter nos responsabilités et que nous créons nos perceptions de « notre monde », accepter les conséquences de ses choix, accepter de prendre des initia-tives et cesser d’attendre que le changement vienne de l’ « autre », accepter que l'avenir est une page blanche que nous seul pouvons écrire !

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Ce que vous croyez influe sur les résultats que vous obte-nez. Des croyances positives vous amèneront directement vers la réussite, même si cela doit prendre du temps. Elles vous mettent dans un état in-terne favorable. En revanche, des croyances limitantes sabo-tent souvent votre vie. Nous pouvons tous choisir nos croyances ou les changer. Bien entendu, affirmer que c'est « facile à dire » équivaut à accepter que c'est « impos-sible ». On peut trouver que quelque chose est difficile à appliquer, mais cela ne veut pas dire « impossible » ! Si vous vous croyez incapable de quelque chose... vous le serez inévitablement. A l'inverse, si vous êtes convaincus de pou-voir y arriver, vous mobilise-rez beaucoup plus d'énergie et de créativité pour y arriver avec persévérance et patience !

197

Lorsqu’ une difficulté sur-vient, il arrive qu'on se dise qu'on ne peut pas le supporter. Cela produit deux effets sté-riles et destructeurs : vous vous focalisez sur le malaise vécu et va l'amplifier. Ensuite, vous sous-estimez votre facul-té à faire face au malaise. Trop souvent qualifier les choses d' « insupportables » les rend plus intimidantes qu'elles ne le sont en réalité, on a ten-dance à les amplifier jusqu'à des proportions réellement insupportables. Remettre tout à sa juste place vous déblo-quera et vous aidera à donner à la difficulté sa juste valeur !

198

Quand nous aimons, nous ai-mons à notre façon. Souvent nous partageons cet amour de la même manière que nous ai-merions le recevoir. C’est pa-reil pour les autres, ils res-sentent probablement la même chose, mais vu de leur fenêtre. Parfois nous pensons que notre amour est incondition-nel alors que nous attendons simultanément ce même amour en retour. On donne pour re-cevoir en quelque sorte. Ce n’est alors, quelque part, plus de l’amour inconditionnel. Ac-cepter que « l’autre » nous aime « à sa façon », c’est aussi faire preuve d’acceptation. Ac-cepter que « l’autre » inter-prète l’amour avec ses percep-tions, besoins et dons, c’est faire preuve de vrai amour in-conditionnel. Nous exprimons tous différemment notre amour, mais cela reste de l’amour, aussi complexe et in-dividuel que cela puisse être.

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Le Bonheur c'est : Prendre conscience que les déceptions font partie des ex-périences qui forgent notre caractère. Parfois, elles sont le fruit de nos propres at-tentes ou exigences, mais aussi de nos belles tentatives ou bonnes intentions. La défaite n'est pas une fin, mais un ré-sultat. Nous ne maîtrisons pas tout, sauf notre motivation. Tous les champions ont dû souvent perdre avant d'y arri-ver. Donnez un sens à vos dé-ceptions, ne vous découragez pas, essayez encore et peut-être, si les fois précédentes n'ont pas fonctionné, essayez encore et encore, et s’il le faut, différemment.

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Parfois, la vie nous fait choi-sir la rupture. Il n’y a pas de honte à rompre une relation que nous considérons comme toxique ou destructrice. Rompre, c’est aussi se libérer. On n’est plus dépendant. Cela permet de passer à un nouveau chapitre de la vie sans pour autant devoir regretter le passé. On ne se laisse plus écraser par l’autre. On peut commencer à vivre pour soi, à faire des choses qu’on s’interdisait avant. Rompre, oui, c’est douloureux, mais c’est aussi retrouver de nou-velle forces : celle qui sont en nous et pas en l’autre ! Rompre, c’est un choix, mais quand vous l’avez fait, vous pourrez recréer votre nou-velle vie.

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Connaissez-vous des gens qui se complaisent dans leurs malheurs et, qui plus est, les entretiennent comme s’ils étaient indissociables ? Vous leur parlez, ils vous donnent raison, ils vous remercient, et puis leur habitude reprend le dessus… Vous rendriez ser-vice à ces « amis éponges », qui attendent de vous que vous leur apportiez toutes les ré-ponses et solutions à leurs questions, en les aidant à trouver eux-mêmes les ré-ponses à leurs angoisses. Les réponses que vous donnez sont souvent une interprétation de votre carte du monde. Ces ré-ponses ne sont pas forcément celles qui conviennent à l’autre. Laisser réfléchir l’autre, lui poser des ques-tions justes, après votre écoute, c’est favoriser ses ca-pacités créatives et de ré-flexion à se (re)découvrir son propre territoire et à ac-croitre la confiance en soi, mais surtout à trouver leurs

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propres réponses qui leur ap-partiennent.

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Le Bonheur c'est : Lorsque vous regardez der-rière vous et que vous pensez que votre vie a été désastreuse et que vous regardez devant vous et que rien ne vous dit que ça va aller mieux, vous sa-vez qu'en regardant à coté de vous, vous avez ceux qui vous aiment pour vous soutenir et faire ce bout de chemin avec vous. Vous n’êtes jamais seul !

204

Pour convaincre, montrez-vous convaincu. Le doute conduit à l'échec. Si vous n'êtes pas cer-tains d'avoir besoin ce que vous demandez ou d'y arriver, comment persuaderez-vous votre interlocuteur qu'il doit vous l'accorder ? Faites preuve de conviction et de confiance en vous. Cela se ressentira dans vos paroles et votre phy-siologie !

205

Il nous arrive à tous de se forger une armure pour se protéger des agressions. Ce-pendant, il est important de réaliser que l’on n’est pas « en guerre » 24/24, il est bon de l’enlever et de savoir quand la mettre ! On ne porte pas une cuirasse à longueur de jour-née, son « poids » symbolique risque de vous faire succom-ber. Sachez identifier les vrais moments où vous en avez besoin et les autres où il n’est pas indispensable. Quand on n’est pas « en guerre », sachez vous en débarrasser.

206

N'attendez pas qu'il arrive quelque chose. Ne vous con-tentez pas de laisser la vie s'écouler en attendant que les choses s’arrangent d'elles-mêmes. Si les circonstances de votre vie vous déplaisent, met-tez-vous à l'œuvre, élevez vos attentes, au-dessus de vos convictions limitantes. Persé-vérez dans cette attitude jus-qu'à ce que vous y arriviez. Vous êtes les architectes de votre vie.

207

La plupart d’entre nous por-tent des cicatrices de nos blessures émotionnelles. Nous pouvons nous en plaindre et nous apitoyer. En les entretenant, le fardeau restera toujours omniprésent. En revanche, nous pouvons les considérer comme honorables ! Elles sont les signes que nous avons survécus à toutes ces épreuves et que cela vous a probablement rendus plus forts et forgé votre caractère. Une âme sans cicatrices n’a pas vécu.

208

Eprouvez-vous des difficultés à vous trouver beau / belle ? Vous n’aimez pas vos formes ? Maigrir est un parcours de combattant, vous avez tout es-sayé ? N’en faites pas une fixa-tion. Accordez-vous ce privi-lège de bien vous habiller, faites-vous plaisir en soignant votre image : prenez soin de votre corps : un peu de ma-quillage et passez chez le coiffeur. Pas besoin de dépen-ser des sommes astronomiques pour bien s’habiller. Se sentir beau / belle n’est pas qu’une question de poids. Surtout n’oubliez pas : souriez ! C’est fou ce que le bonheur accom-pagné d’un sourire rend les gens encore plus beaux !

209

La façon dont nous percevons le monde qui nous entoure est la résultante de notre façon de le voir. Si vous êtes con-vaincu que le monde vous est hostile, il le sera inévitable-ment. Si votre attitude est po-sitive et optimiste, votre « monde » le sera aussi. L’image que vous vous faites du monde vous revient toujours comme un miroir !

210

Lorsque vous commettez une erreur ou que vous subissez un coup dur, n'y pensez pas trop longtemps. Ce sont des leçons que la vie nous donne. Votre disposition à commettre des erreurs est liée à votre prédisposition à réaliser vos objectifs. Nul ne gagne en tout temps. Nous tirons beau-coup plus de sagesse de nos échecs que de nos succès.

211

Vous valez beaucoup plus que vous ne pensez ! Le secret de votre valeur véritable, c'est que celle-ci est bien plus con-sidérable que vous ne croyez. Peu importe votre situation actuelle, les handicaps et les complexes que vous pouvez avoir, vous pouvez tous les transformer à votre avantage, en faire des atouts, des stimu-lants si puissants qu'ils vous catapulteront vers des som-mets insoupçonnés.

212

Les personnes qui ont du suc-cès fixent essentiellement leur attention sur ce qui fonctionne et ce qui pourrait éventuellement marcher dans le futur, ce sur quoi ils fixent leur attention prend de l'ex-pansion dans leur pensée et dans la vie. Ils concentrent leur attention davantage sur les éventuelles solutions plutôt que sur les problèmes.

213

Soyez convaincu qu'il existe toujours plusieurs possibili-tés pour résoudre un souci. Ne vous laissez pas freiner par la vision d'une seule direction ou solution. Développez votre es-prit d'ouverture et créatif et envisagez d'autres solutions, d'autres voies à suivre en pre-nant du recul ou en appréhen-dant la situation différemment. Si une solution n'a pas marché, ne vous bornez pas à la répé-ter encore et encore.

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Surpassez-vous ! Vous pouvez faire dès à présent tout ce que vous avez envie ou besoin de faire. La façon de le démon-trer, c'est de passer à l'action. Ne faites pas que simplement penser ou parler de ce que vous avez envie de faire. Ré-fléchissez-y d'abord sérieuse-ment, puis passer à l'action. Vous ne le constatez peut-être pas maintenant, mais vous pos-sédez déjà la capacité de faire tout ce que vous désirez faire.

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Les rêves sont merveilleux, en revanche, ils ne sont pas suf-fisants pour atteindre un ob-jectif ; un tableau brillant de l'avenir ne suffit pas pour ob-tenir les résultats désirés. Ainsi, si l'on désire construire un magnifique édifice, il faut d'abord tracer un plan d'ac-tions et suivre ensuite cha-cune des étapes de sa cons-truction : jeter les fondations, ériger les piliers, les struc-tures et ainsi de suite.

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L’important ce n’est pas ce que vous avez ou qui vous êtes ou ce que vous êtes qui compte, mais c’est ce que vous faites avec ce que vous avez en res-pectant la personne que vous êtes. Ce ne sont pas les choses matérielles ni ce que vous croyez être qui mesure une réussite, mais l’attitude que vous adoptez face à ce que vous avez déjà. Profitez de ce que vous avez et de ce que vous êtes !

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Rappelez-vous que lorsque vous changez votre façon de penser, vous changez vos con-victions. Lorsque vous changez vos convictions, vous changez vos attentes. Lorsque vous changez vos attentes, vous changez votre attitude. Lors-que vous changez votre atti-tude, vous changez votre com-portement. Lorsque vous changez votre comportement, vous changez votre perfor-mance, et lorsque vous chan-gez votre performance, vous changez.

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Si vous avez du mal à dire « je t’aime », vous avez une raison qui vous bloque à le dire. En revanche ne vous dites plus « je ne sais pas le dire », ce n’est pas vrai, nous sommes tous ca-pables de le dire puisque nous pouvons le lire. Prenez sur vous, pensez avant tout à l’autre et moins à votre blo-cage et dites-leur « je t’aime » et observez leur réaction...

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Quelques citations inspirantes « L'optimisme, c'est voir la vie à travers un rayon de soleil. »

Carmen Sylva « Sème un acte, tu récolteras une habitude ; sème une habi-tude, tu récolteras un carac-tère ; sème un caractère, tu récolteras une destinée. »

Dalaï Lama

« L’optimisme c’est aussi de dire qu’il y a de la tristesse dans la vie, du malheur. Dire que tout va bien, que tout va bien se passer, ce n’est pas de l’optimisme, c’est de la bêtise. »

Cédric Klapisch

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« Un optimiste, c'est l'incarna-tion humaine du printemps »

Susan J. Bissonnette. « Ce que je veux savoir avant tout, ce n'est pas si vous avez échoué, mais si vous avez su accepter votre échec. »

Abraham Lincoln « Un pessimiste voit la diffi-culté dans chaque opportunité, un optimiste voit l'opportunité dans chaque difficulté. »

Winston Churchill

« Optimiste et pessimiste sont également nécessaires à la so-ciété, l'optimiste invente l'avion, le pessimiste invente le parachute. »

Anonyme

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« Nous ne saurons jamais tout le bien qu'un simple sourire peut être capable de faire. »

Mère Teresa

« Il n'y a personne qui soit né sous une mauvaise étoile, il n'y a que des gens qui ne sa-vent pas lire le ciel. »

Dalaï Lama

« Que l'on me donne six heures pour couper un arbre, j'en passerai quatre à préparer ma hache. »

Abraham Lincoln

« Le pessimiste se plaint du vent, l'optimiste espère qu'il va changer, le réaliste ajuste ses voiles. »

William Arthur Ward

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« Le pessimisme est d'humeur ; l'optimisme est de volonté. »

Alain

« Un sourire coûte moins cher que l'électricité, mais donne autant de lumière. »

Abbé Pierre

« Le monde appartient aux op-timistes, les pessimistes ne sont que des spectateurs. »

François Guizot

« L'échec est le fondement de la réussite. »

Lao-Tseu

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« L'humour est l’adrénaline des optimistes. »

Serge Uzzan

« L’optimiste est une forme de courage qui donne confiance aux autres et mène au succès. »

Baden-Powell « L’espérance, c’est croire que la vie a un sens. »

Abbé Pierre « Le paresseux appelle chance le succès du travailleur. »

Proverbe anglais

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« Ne vous laissez pas découra-ger par l’idée que certaines personnes seulement peuvent atteindre les sommets. Ce que d’autres font ou ont fait, vous aussi pouvez le faire. »

Swâmi Râmdâs

« La goutte finit pas percer la pierre et la plante qui y pousse finit par la rompre. »»

Aristote « Beaucoup rêvent de succès. A mon sens, le succès ne peut être atteint qu’après une suc-cession d’échecs et d’introspections. En fait, le succès représente 1% de votre travail qui comporte lui, 99% de ce qu’on peut appeler échec. »

Soichiro Honda

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Remerciements Je tiens à remercier tous les Inter-nautes qui ont fait de la page « Source d’Optimisme et de Ré-flexions Positives » un succès. Dans leurs interactions, j’ai décou-vert qu’il y a, fort heureusement, beaucoup de gens sensibles à l’optimisme et aux valeurs hu-maines qui nous rappellent tout ce qu’il y a de meilleur dans ce monde et dans l’Homme : l’Amour, la tolérance, la bienveillance, l’empathie, la créativité, l’espoir, l’encouragement, le partage, la paix, la solidarité et ce, quelles que soient les religions, les cul-tures ou les peuples. Ces échanges nous rappellent que, malgré nos différences individuelles, sociales, culturelles et religieuses, nous fai-sons tous partie d’une seule race : le Genre Humain. Nous connais-sons tous les mêmes émotions, les mêmes besoins, les mêmes rires,

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les mêmes pleurs, les mêmes souffrances, les mêmes joies, les mêmes sensibilités, quelles que soient leurs interprétations et con-textes. Toute la gratitude revient aussi à tous ceux qui m’ont encouragé à exercer cette activité qui m’est chère : mes parents, ma famille, mes amis mais aussi tous ceux qui ont assisté à mes conférences de motivation dans les quatre coins de la France et au-delà et m’ont poussé à franchir la pas de la pu-blication papier. Je suis heureux d’avoir été, ces quelques pages durant, votre par-tenaire dans l’optimisme et la mo-tivation. La vie est belle ! Chaleureusement vôtre,

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Michel POULAERT.